L’HEBDO CROIX-ROUGE n°7 du 11 novembre 2009.
L’HEBDO CROIX-ROUGE est une parution du journal l’union que nous remercions.
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Des lycéens d’Arago ont reconstitué de manière unique et originale la chute du mur de Berlin.
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Environ 10 €, c’est aujourd’hui le prix d’une place au cinéma, que le film soit bon ou que ce soit un navet de première.
Et après, les artistes et l’Etat pleurent parce que les gens téléchargent illégalement sur internet, d’où la fameuse loi Hadopi pour punir, comme ils disent, « le vol d’œuvres ».
Une cliente de Match qui parlait à haute voix ne mâchait pas ces mots sur ce qu’elle pense de tout cela.
« 10 euros le film ! Avec ça j’achète un paquet de 10 steaks, des yaourts, des pâtes, et on a de quoi manger pour une semaine. Qu’ils déplorent le téléchargement, moi je ne comprends pas ! »
Comme son nom l’indique, cette rubrique est destinée aux lecteurs de L’HEBDO CROIX-ROUGE qui, par son intermédiaire, pourront faire parvenir, par e-mail, par courrier ou via le forum du site internet de l’union, leur vision ou prise de position sur l’actu du quartier, mais pas seulement.
Cette tribune pourra aussi accueillir toutes sortes de commentaires, du coup de gueule au coup de cœur, en passant par des poèmes ou toute autre forme d’expression écrite. Politique locale ou nationale, événement, problème divers que vous rencontrez spontanément ou quotidiennement, tous les thèmes peuvent y être abordés.
Pour faire simple, cette rubrique est la vôtre, alors n’hésitez pas un seul instant à la faire vivre.
Bien évidemment, nous ne pourrons pas tout passer. D’une part parce que si vous êtes nombreux à nous faire parvenir vos textes, il faudra évidemment faire un choix, puis pour une question d’éthique nous serons dans l’obligation de faire preuve d’attention concernant les sujets que vous aborderez.
Courrier électronique : croixrouge@journallunion.fr
Courrier postal : « Hebdo Croix-Rouge » l’union, 5 rue de Talleyrand 51100 Reims
Forum du site de journal l’union :http://www.lunion.presse.fr.
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Le point info quartier est né il y a déjà près de six mois. C’est au 65 avenue du Général-Eisenhower que les médiateurs de quartier et les ambassadeurs du Tram accueillent les habitants, du lundi au vendredi de 11 heures à 19 heures.
Tous ces acteurs sont là pour répondre aux questions de la population pour tout ce qui concerne les rénovations urbaines et les travaux liés au futur tramway rémois.
« Nous répondons aux habitants sur divers sujets. Evidemment sur les travaux qui concernent le Tram et l’ANRU mais aussi pour des choses de la vie de tous les jours des locataires des divers offices logeurs. Nous sommes également un relais, puisque nous redirigeons les gens vers les services adéquats lorsque nous ne sommes pas en possibilité de répondre. Enfin, nous avons un système de livraison de « fiches-requêtes » interne grâce auquel nous faisons suivre les questions sans réponse aux personnes plus aptes à renseigner »explique Ali, l’un des médiateurs de quartier.
« Notre but est vraiment qu’aucune demande de renseignements ne reste insatisfaite » ajoute Jean Marica, de la mission tramway de Reims Métropole.
En ouvrant en pleine période de grandes vacances, le point info quartier a démarré timidement mais avec le temps, les gens commencent à venir chercher l’information qui les concerne. « Il faut que les gens repèrent les lieux et qu’ils franchissent le seuil. Mais il ne faut pas tirer des conclusions trop hâtives car la reconnaissance se fera aussi quand ils se rendront compte de notre réelle utilité » ajoute un autre médiateur.
Et il est faux de penser que les médiateurs restent tranquillement au chaud dans leur bureau. Au contraire, ils vont dehors à la rencontre des habitants histoire de se familiariser avec eux.
« Il est important que les médiateurs aillent sur le terrain, l’objectif étant d’inviter les gens à venir les voir sur place au point info. Puis ils gèrent aussi certains petits conflits de voisinage et pour cela, ils ont pour consigne de faire la médiation dans un lieu neutre, pas chez les gens directement mais au point info pour la stabilité et surtout pour engager les discussions »précise la responsable des médiateurs de quartier.
En plus des infos sur les divers travaux, les habitants ont la possibilité de se renseigner sur la Charte Locale d’Insertion qui a déjà permis à 40 personnes de Croix-Rouge de travailler sur les rénovations urbaines et à 6 sur les travaux du tramway.
À noter aussi que ce point info ne fermera pas immédiatement à la fin des travaux afin de pouvoir accompagner les gens bien au-delà de ces nouvelles constructions.
TAF
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Cédric Mahé, chargé de mission du Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), apporte quelques précisions.
« Le concept du point info quartier se décline à Croix-Rouge, à Orgeval et prochainement à Wilson et aux Épinettes. Il comporte plusieurs volets. Celui qui concerne le tram, le déplacement et les transports et tout ce qui touche de près ou de loin aux rénovations urbaines.
Ces points ont une identité visuelle que l’on peut voir sur des tracts et des affiches qui sont les mêmes dans les différents points information quartier. À l’intérieur, il y a bien sûr les médiateurs de quartier et les ambassadeurs du Tram, il y a une rotation des deux équipes sur les horaires d’ouverture, mais aussi trois fois par semaine, des permanences de chef de projet du CUCS, des rénovations urbaines et de la Charte Locale d’Insertion.
L’idée est aussi de s’associer aux associations pour faire connaître ce nouveau lieu. Pour cela, nous participons à des manifestations du quartier comme ce fut le cas à la fête du quartier Pays-de-France où nous avons décentralisé le point info quartier et tenu un stand durant cet après-midi festif Nous souhaitons vraiment renouveler ce type d’action ».
TAF
Comme cela fut le cas il y a 20 ans, chacun voulait partir avec un petit morceau du mur.
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Pour le vingtième anniversaire de la chute du mur de Berlin, des élèves en bâtiment du lycée François-Arago ont commémoré cet événement.
Lundi, le lycée François-Arago a fêté à sa manière le 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin.
Les sections de bac pro Gros œuvre, Assistant d’Architecte et Étude et Économie du Bâtiment de l’établissement ont réalisé un véritable mur en béton cellulaire (matériau novateur et respectueux de l’environnement) afin de reconstituer cet événement qui s’est déroulé le 9 novembre 1989, c’est-à-dire 20 ans jour pour jour avant l’hommage réalisé par les élèves du lycée situé dans le secteur Pays de France.
Sur place et devant un large public dont notamment Alexandre Steyer, le recteur de l’académie de Reims, des élèves se sont placés symboliquement de chaque côté du mur, d’un côté ceux endossant le rôle des habitants de la République Démocratique Allemande (RDA) et de l’autre ceux de la République Fédérale d’Allemagne (RFA).
Ils ont fait tomber leur mur et se sont retrouvés ensemble pour former une seule est unique patrie : l’Allemagne. À noter qu’en plus de cette mise en scène, deux fresques réalisées par les élèves du lycée ont été dévoilées. Ces deux œuvres deviendront par la suite pérennes et seront là pour rappeler aux futures générations d’élèves la chute du mur de Berlin et les valeurs de liberté.
Cet hommage original a été unique dans l’académie de Reims d’où la fierté de ceux qui y ont participé.
Théâtre, musique, mise en scène et lâcher de ballons étaient aussi au programme de cette commémoration. Pour conclure cette journée festive, les élèves et les professeurs ayant participé à cet événement ont ensuite partagé leurs sentiments avec les invités et se sont ensuite retrouvés pour un verre de l’amitié.
TAF
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Le terrible drame qui a coûté la vie à Rita Hoareau, concierge au lycée Arago, à la fin du mois d’octobre et qui concerne directement une famille du quartier, a causé une très vive émotion dans tout Croix-Rouge.
Quelques jours après cette horrible histoire, un élan de solidarité s’est mis en place par le biais d’une collecte, afin de venir en aide financièrement aux quatre enfants de la victime pour les divers frais liés aux obsèques de leur maman.
Certains ont fait du porte à porte, d’autres ont mis des urnes dans les maisons de quartier. La coopération a été énorme, chacun y allant de son initiative et toujours dans l’esprit de la solidarité.
L’équipe de l’HEBDO CROIX-ROUGE présente ses sincères condoléances à toute la famille. Les funérailles de Rita Hoareau se sont déroulées lundi matin à l’église Saint-Pierre dans le quartier des Châtillons.
TAF
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Suite de la démission de Sarah Ouaja-Ok, adjointe à la culture, Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de défense des locataires « Les Polygones », et représentante élue des associations au Conseil de quartier Croix-Rouge, devrait devenir conseillère municipale au l’ janvier. C’est une femme à la carte de visite chargée, qui porte de nombreuses casquettes.
Présidente du Groupement des associations de locataires de Reims, elle est également vice-présidente de l’association Force Ouvrière des consommateurs, ce qui lui permet d’assister à tous les Conseils de concertation locative de l’Effort rémois, du Foyer rémois et de Reims habitat.
Dans d’autres domaines, elle est aussi vice-présidente de l’Union des retraités F.O. de la Marne « j’organise des activités et des sorties ».
Où trouvera-t-elle le temps d’être conseillère municipale ? « S’il le faut, j’abandonnerai certaines de mes charges actuelles, j’attends de savoir ce que l’on attend de moi au sein de la majorité municipale. »
Depuis le mercredi 4 novembre, la ligne V a fusionné avec la ligne R, dont les arrêts seront désormais communs. Pour plus de renseignements : http://www.tur.fr
Mardi 24 novembre de 17 heures à 19 heures, la ville, CreaReims et l’Adie organisent une rencontre sur la création d’activité à Croix-Rouge.
Trois grands thèmes y seront abordés : « les clefs de la réussite » ou comment créer sa boite, « pourquoi pas vous ? » témoignages de créateurs et « être accompagné ! » rencontres personnalisées autour de chaque porteur de projet.
Contact : Adie : 03.26.35.97.22
Adeline Hazan, maire de Reims participera bien au prochain Conseil de Quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny qui se tiendra le 20 novembre dans la salle municipale François-Mauriac à partir de 19 heures.
Dans le cadre des permanences des élus de la ville de Reims, Salah Byar, conseiller municipal, sera le vendredi 13 novembre de 14 h 30à 15 h 30 dans les locaux de l’antenne municipale Croix Rouge, rue Joliot-Curie.
La permanence de la Caisse des Écoles à l’Antenne Municipale Croix-Rouge a été modifiée, elle a lieu désormais le jeudi de 9 heures à 11 h 30 et de 14 heures à16 h 30, en remplacement du mardi.
Une animation sur le commerce équitable sera organisée par Sadhia Idami et Tassa-dit Assloudj animatrice des points information Jeunesse de la maison de quartier Croix-Rouge le mercredi 18 novembre. Expo, diaporama sur le chocolat… Contact : 03.26.86.08.02 ou 03.26.49.47.07
Le numéro 27 du petit journal réservé et distribué aux locataires de Reims Habitat du secteur Université est disponible.
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Reims Management School est située dans le quartier depuis longtemps, cette école a une renommée qui s’étend au-delà des frontières de Croix-Rouge.
De part ses diverses facultés, l’enseignement est indissociable de Croix-Rouge. Mais cet immense quartier peut être fier de compter sur son sol une école mondialement reconnue puisque l’un des deux campus de Reims Management School (RMS) se trouve rue Pierre-Taittinger, juste à côté des polygones.
« RMS a été créée en 1928, elle a donc fêté ses 80 ans l’an dernier. Elle est l’une des plus vieilles écoles de France »explique François Bonvalet, Directeur Général de Reims Management School.
Alors pourquoi appeler cette école de cette façon à l’anglo-saxonne ? Le directeur a une explication bien fondée. « C’est parce que l’on reçoit des élèves de partout, dont Reims puisque c’est notre ville. Management parce que c’est notre boulot et School pour école »ajoute-t-il.
RMS c’est tout de même 25.000 m2 de surface et plus de 4.000 élèves, 200 salariés dont 80 enseignants permanents, sans compter les 500 vacataires qui viennent des quatre coins de la planète…
« Il existe cinq grands programmes d’enseignement. Certains d’entre eux comme le Cesem existent depuis 40 ans et ont des partenaires en Chine, au Mexique, aux Etats-Unis… Il y aussi Supde Co qui pèse à lui tout seul 48 % des étudiants, c’est le fleuron de nos programmes » précise le directeur général.
Reims Management School s’est, durant toutes ces années, forgée une solide réputation qui aujourd’hui lui vaut une reconnaissance européenne et même mondiale ainsi que sa présence dans plusieurs classements d’écoles prestigieuses. Elle fait partie des dix meilleures écoles de management françaises sur 39 existantes et depuis trois ans, RMS s’est successivement classée 26e, 24e et cette année 19e dans le classement européen établi par le journal « Financial Times ». Rien que ça !
« Au sein de ce grand quartier, il y a une école qui est un must de l’éducation et de cela les habitants peuvent être très fiers »conclut François Bonvalet, directeur de RMS.
T.A.F.
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On ne peut passer à côté sans le voir tant sa surface est immense, l’hippodrome est l’une des figures emblématiques du quartier avec la faculté et ses célèbres coquilles. Il s’étend sur 18 hectares, la piste quant à elle mesure 1.156 mètres pour 18 mètres de largeur.
L’hippodrome organise à l’année 18 réunions de course. Certaines d’entre elles se déroulent en journée et en fin d’après-midi et d’autres en nocturne.
Huit courses entrent dans le cadre du PMU et sont ainsi diffusées en direct sur la chaîne télévisée des turfistes Équidia. Il fait partie de la fédération « Est » des hippodromes.18.000 personnes assistent aux courses tout au long de l’année.
Six personnes y travaillent à temps plein et lors des courses, ce n’est pas moins de cinquante vacataires qui travaillent dans différents corps de métier.
Cet établissement hippique organise aussi sa propre fête sur le thème de la country à l’attention des habitants. L’an dernier 3.000 personnes ont fait le déplacement.
T.A.F.
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Il a lieu le samedi, rue Pierre-Taittinger (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Permanence de soins : du lundi au vendredi de 11 heures à 11 h 45 et de 17 h 45 à 18 h 15 à l’espace billard, rue Pierre-Taittinger.
Soins à domicile assurés : 7 jours sur 7
Soins le samedi et dimanche sur rendez-vous.
Secrétariat ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Tél. : 03.26.08.27.62.
Lundi de 14 heures à 17 heures.
Permanence de l’association Mars à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Émilie Tackoucht, Conseillère emploi-formation.
Permanence du mardi au vendredi à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.09.65.97.
« 2 Mains » Halim Lemboub, Aide à l’insertion
Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Thiphaine Himmesoëte, éducateur de prévention.
Permanence le mercredi de 14 heures à 16 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
L’atelier nature de la maison de quartier organisera un grand loto le 11 novembre dans la grande salle de l’espace Billard afin de financer l’une de ses sorties. Pour avoir toutes les informations concernant cet événement, il suffit de contacter Sylvie au 03.26.08.08.78
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Conseiller municipal.
Né à Jouarre (Seine-et-Marne) le 27 mars 1899, mort à Reims le 16 août 1970.
Lucien Doyen entra à la compagnie générale des as¬surances rémoises dont il devint directeur.
En 1958, il fut membre du conseil d’administration du Lycée des garçons.
Président du tribunal de commerce de Reims entre 1961 et 1970.
Il fut conseiller municipale en mars 1959 et en mars 1965.
Chevalier de la légion d’honneur, il épousa Cécile Léonie Michel.
Il repose au cimetière de l’Ouest.
Les danseuses « modern-jazz » de l’Acrap dans la chorégraphie de « Thriller » au Forum des Associations.
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L’Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (Acrap) qui fêtera bientôt ses quarante ans est née en 1970 avec la création du quartier.
Le but de l’Acrap était de promouvoir la vie sur le quartier et de l’animer. Initialement, la section urbanisme a été la première à fonctionner pour proposer des améliorations dans l’aménagement du quartier. Par la suite, avec la prise en charge par l’Acrap d’équipements sportifs, courts de tennis, terrains de football, boulodrome, elle a développé des sections sportives qui, au fil du temps, se sont affirmées au point de faire de cette association l’une des plus importantes omnisports de Reims. Initialement logée dans des préfabriqués, l’ACRAP à établi son siège au 2, rue du Docteur-Billard pendant près de 20 ans, avant d’emménager en 1993 dans le bâtiment actuel du 11 avenue du Président-Kennedy.
« Notre objectif principal est de proposer des activités à des prix accessibles à tout le monde et cela grâce aux nombreux bénévoles qui consacrent de leur temps pour que l’association fonctionne ». Autour du président Jean-Pierre Genesseau, du vice-président Romuald Bordes, de la secrétaire Antoinette Mobile et de la trésorière Jeannine Catry, seize administrateurs (beaucoup étant en même temps animateurs de sections) prennent les décisions collégiales.
L’Acrap propose 18 sections : badminton, couture, danse classique et moderne, danse rythmique et sportive, fitness, aéro¬danse, football enfants, football seniors et plus de 18 ans, gymnastique d’entretien, karaté et kobudo d’Okinawa, majorettes, natation, pétanque, temps libre, tennis, travaux manuels, vovinam, viet vo dao et yoga. Lancement en cours : roller.
L’Acrap s’investit fortement dans la vie du quartier. Sa section « Fêtes et loisirs » organise les brocantes de printemps et d’automne, deux expositions d’artistes locaux, le Noël des personnes âgées et celui des enfants avec un concours de dessins, et participe activement aux Forums des associations, à la Semaine bleue, au Téléthon et au Festival Croix-Rouge s’affiche. Pour se faire connaître, l’association édite quatre fois par an son bulletin d’information « Acrap’informe », tiré à 15.500 exemplaires.
Acrap - 11 avenue du Président Kennedy - Tél. 03.26.06.39.54.
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Jours et heures d’ouverture :
le lundi de 14 heures à 17 h 30
du mardi au vendredi de 8 h 30
à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Pour tout renseignement, s’adresser à la CSD au 03 26 06 84 10
Espace de renseignement et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé, les loisirs.
Mise à disposition d’ordinateurs, accès internet.
Renseignements et tarifs : Elham Kouch au 1, allée des Béarnais Tel : 03.26.82.53.48.
1, Allée des Béarnais.
MJC Croix-Rouge
Dernier jeudi de chaque mois, de 18 h 30 à 20 heures
Croix-Rouge Accueil
Vendredi de 14 heures à 17 heures.
CCAS ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 heures à 16 h 30. Antenne Croix-Rouge, 5, rue Joliot-Curie. Tél : 03.26.40.31.79
« 2 Mains » Vanessa Pogniot, Aide à l’insertion Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à La Marelle 1, allée des Béarnais. 06.47.54.17.77
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La grande question que beaucoup d’habitants et de passants se posent est de savoir si oui ou non le château d’eau contient toujours de l’eau ?
Et bien oui ! Cette impressionnante structure sortie de terre en 1970 est divisée en cinq parties, un sous-sol qui sert de réserve aux créations et décors du festival Croix-Rouge s’Affiche, le rez-de-chaussée où se trouve le mur d’escalade, le premier étage où travaillent les salariés de l’espace « Ethnic’s » de la maison de quartier et enfin la partie supérieure qui comporte 4 réservoirs de vingt mètres de haut remplis d’eau.
« Ils contiennent cinq millions de litres qui alimentent tout le quartier, mais aussi jusqu’au centre-ville. L’eau y est analysée plusieurs fois par mois et tous les jours le long des 600 kilomètres de réseau d’eau de l’agglomération » explique Jean-Christophe Inglard de Reims Métropole.
Il a lieu, le mercredi Esplanade Paul-Cézanne (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
L’antenne mobile de la mairie est à votre service le mercredi de 9 heures à 11 h 30 sur le Marché Croix-du-Sud. Contact : 06.16.39.21.02.
Circonscription de la solidarité départementale de Reims Croix-Rouge : du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. 26, rue Jean-Louis Debar. Tél. : 03.26.06.84.10. http://www.marne.fr
Permanences : Mme Oudin, lundi de 14 heures à 16 heures Mme Gravil, mardi de 14 heures à 16 heures (à la circonscription départementale pendant les vacances scolaires). Espace Watteau, 3, allée Watteau.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Lundi de 9 heures à 11 h 30
Médecin pédiatre : Mme Mackonguy.
Puéricultrice : Mme Stéphanie Moreau.
Madame Takoucht, conseillère emploi-formation
Permanence mercredi de 16 heures à 18 heures
Espace Ethnic’s, Château d’eau, avenue d’Epernay
Association 2 Mains
Permanences d’éducateurs, 4, place Dominique-Ingres. Tél. 03.10.16.10.40 ou Sébastien Jacques, coordinateur des permanences : tél. 06.31.18.63.26 ou jacques.sebastien.2mains@hotmail.fr
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L’association « 2 Mains » établit des liens entre le monde économique, l’entreprise et le monde social et éducatif. Il s’agit de mettre en place un dispositif éducatif novateur d’insertion sociale (DENIS) en faveur des jeunes et des moins jeunes en ruptures sociale et professionnelle. Ses locaux sont basés en plein cœur de Croix-du-Sud au 4 place Dominique-Ingres, véritable Q-G de cette structure qui avance à grands pas puisqu’au début de l’aventure, « 2 Mains » ne comptait que cinq salariés contre vingt aujourd’hui.
« Lorsque nous avons débuté nous étions cinq travailleurs. Aujourd’hui, trois d’entre eux, dont moi, sont toujours dans l’association qui emploie désormais vingt personnes. On y trouve des éducateurs spécialisés, diverses conseillères, une comptable, etc. » explique Jean-Louis Rumerio, président de l’association « 2 Mains ».
La mission de ces professionnels a aussi évolué puisqu’au départ, l’accompagnement était essentiellement tourné vers les 16-30 ans de Croix-Rouge. A l’heure actuelle, il n’y a plus de limite d’âge ni de frontière. Ces professionnels exercent dans tout Reims et même dans d’autres villes comme Epernay, Châlons-en-Champagne et Vitry-le-François.
TAF
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L’association « Vertical » a été créée en 1985 et est située avenue d’Epernay à Reims. Elle propose de faire découvrir le monde de l’escalade sur son mur implanté au rez-de-chaussée du Château d’Eau.
Cette association a une double affiliation (Fédération Française de la Montagne et de l’Escalade et Fédération Française des Clubs Alpins de Montagne).
Les adhérents forment des groupes de grimpeurs et de grimpeuses qui se réunissent chaque semaine les lundis, mardis et jeudis.
Le matériel est mis à la disposition à chaque séance et lors des sorties et stages organisés par les initiateurs fédéraux.
D’autres activités sont proposées telles que des randonnées pédestres ayant un rapport avec la nature et l’environnement.
Espace billard - 14, rue Pierre-Taittinger -Tél. 03.26.08.08.78 - Fax 03.26.46.82.89
Espace la Nacelle - 3 rue du Docteur-Billard -Tél. 03.26.49.47.07 - Fax 03.26.49.47.03.
Espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Epernay - BP 30 - 51571 Reims cedex 2 - Tél. 03.26.86.08.02 -Fax 03.26.06.61.69
Espace Pays de France - 1, allée des Béarnais -Tél. 03.26.82.53.48
Espace Watteau - 3, allée Watteau - Tél. 03.26.36.03.50 - Fax 03.26.36.88.13
Ouverture le mardi de 14 à 19 heures, mercredi et jeudi de 10 à 18 heures, samedi de 10 à 17 heures.
19, rue Jean-Louis-Debar. Tél : 03.26.35.68.40
Piscine du Château d’Eau, 12 allée des Landais -03.26.86.18.38 - chateaudeau@rems.fr
Aide aux devoirs, conseils et aide méthodologique les vendredis de 16 h 30 à 19 heures à l’espace Ethnic’s de la Maison de Quartier Croix-Rouge.
Contact : David et Tassadit au 03.26.86.08.02.
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Il s’appelle Starlion, son truc à lui c’est le rap mais pas un rap cliché, un rap pétillant car acoustique.
Starlion est un rappeur rémois originaire de Croix-du-Sud qui, grâce à sa musique, explose littéralement tous les clichés que l’on associe généralement au rap.
Il débute dans ce style musical en 1996 dans une formation du nom de « 100 Scrupules » aux côtés de ses acolytes de l’époque Athit et Yannick alias Smoke Fire. C’est dans le temple du rap champardennais, le Château d’eau, qu’ils répètent et élaborent leur musique orchestrée par le talentueux producteur Byron alias B-Y.
Ils arpentent toutes les scènes de la région et se font un nom en à peine quelques années d’expérience, ce qui les amènera à faire les premières parties d’Assassins (le groupe du frère de l’acteur Vincent Cassel) ou de Sayan Supa Crew, célèbres interprètes du tube « Angela ».
« Je me souviens de l’époque Croix-Rouge, le vrai. C’était un des premiers festivals rémois avec Octob’Rock et cela bien avant la création de ceux d’aujourd’hui comme par exemple Electricity » se rappelle le musicien.
Parallèlement à cela, Starlion travaille dans la structure qui lui a fait découvrir ce courant musical en tant que professeur de break, la danse hip-hop étant une autre de ses passions, il fait d’ailleurs partie d’un groupe de Châlons-en-Champagne : Affaires Classées. On l’aura compris, le truc de Starlion c’est le hiphop sous toutes ses formes.
En 2001, il intègre le collectif Crew 2 Fu en tant que chanteur et sortira un an plus tard son premier opus solo « 100 S » en hommage à son groupe.
Puis un jour, alors qu’il participe à un concert à Sarry en hommage à Fabrice, musicien décédé dans un accident de voiture, il rencontre le chanteur Barcella. Cette rencontre lui ouvre alors les yeux sur la musique, les coulisses, la préparation d’un spectacle, la découverte de la musique totalement acoustique mais surtout cela créera une vraie amitié entre deux hommes, un rappeur et un chanteur.
Depuis, Starlion a continué son bout de chemin en tant qu’artiste solo en imaginant un spectacle mêlant différents types musicaux tels que la soul, le reggae, le blues ou encore le jazz qu’il a présenté avec son orchestre en première partie du groupe Nantais Hocus Pocus à la Cartonnerie. Cette représentation lui a ouvert des portes et pas n’importe lesquelles puisqu’il participera le 21 novembre au concert de sélection pour les Francofolies et en décembre à celui des Transmusicales de Rennes où il jouera une nouvelle fois son show : La Cave se Rebiffe.
TAF
1996 / Il débute le rap au Château d’eau à l’association « Ethnic’s »
1997-2000 / Il arpente les scènes de la région avec son groupe « 100 Scrupules »
2001 / Starlion intègre le collectif chalonnais de « Crew 2 Fu »
2002 / Il sort son premier album « 100S » à 2.000 exemplaires qui a rencontré un succès d’estime
2009-2010 / Starlion prépare son second album et participera en décembre au concert de sélection des Francofolies et à celui des Transmusicales de Rennes
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Ingrédients :
1 kg de morue (ou la moitié déjà effilochée)
3 ou 4 pommes de terre Bintje (selon la taille)
4 œufs, 1/2 paquet de levure chimique
6 cuillères à soupe bombées de farine
2 oignons, 1 bouquet de persil plat
1/2 verre de lait (10c1), huile d’olive, huile de friture
Préparation :
La veille, faites dessaler la morue dans de l’eau en changeant celle-ci environ toutes les 5 heures.
Faites-la cuire 10 minutes dans un litre de lait mélangé à un litre d’eau (départ à froid). - - Egouttez, puis effilochez la morue avec une fourchette en retirant la peau et les arêtes.
Faites cuire les pommes de terre et écrasez-les avec le lait.
Ajoutez les œufs un par un en les incorporant bien à chaque fois.
Ajoutez les oignons, hachés et revenus à l’huile d’olive, et le persil haché finement également.
Ajoutez la levure et la farine en pluie et mélangez. Laissez reposer 3 à 4 heures pour que la pâte lève.
Faites chauffer un bain de friture, et plongez-y des petites quenelles de pâte à accrus que vous formez avec deux cuillères. Attention, l’huile ne doit pas être trop chaude sinon les ocras noircissent sans cuire.
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Commentaires