Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juin 2013.
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REIMS (51). Jeudi soir, vers 22 h 30, un violent feu d’appartement s’est déclaré au quatrième étage d’un immeuble de la rue Pierre-Taittinger à Reims, au quartier Croix-Rouge (l’union de vendredi).
Réfugié sur son balcon, à une douzaine de mètres du sol, le locataire a dû être évacué par la grande échelle des pompiers. L’enquête a révélé qu’il avait lui-même allumé l’incendie pour se suicider. Il avait le mis le feu à un tapis, avec son briquet, mais l’instinct de survie a repris le dessus quand les flammes ont commencé à ravager l’appartement. Il a tenté de les éteindre, s’occasionnant des brûlures aux deux jambes et à un bras. Il a également respiré pas mal de fumée. Les policiers l’ont interrogé sur son lit d’hôpital, où il se remet de ses blessures (elles ne présentent aucun caractère de gravité). L’acte de désespoir de cet homme d’une trentaine d’années, célibataire, n’est guère passé inaperçu dans son immeuble, une grande barre de douze étages. La fumée était montée jusqu’aux derniers niveaux, occasionnant une certaine panique. Plus de quarante appels sont parvenus en quelques minutes au centre opérationnel des pompiers qui a dépêché sur place deux fourgons, deux grandes échelles, deux ambulances et un véhicule de commandement, soit une vingtaine d’hommes.
Ce matin à 9 heures, le jury chargé de la notation des jardins familiaux de Croix-du-Sud passera pour une appréciation individuelle en vue du concours de la plus belle parcelle.
La maire de Reims se joindra aux scrutateurs. Ils pourront apprécier la valeur des potagers, mais aussi les qualités florales des 92 jardiniers en compétition. Deux notes seront attribuées : le floral et le potager.
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C’était la fête de l’athlétisme hier à Reims : la ville accueillait, sur son stade d’Orgeval, le désormais habituel meeting international intégré au circuit professionnel.
LES professionnels de l’athlétisme avaient hier une nouvelle fois rendez-vous à Reims pour le meeting de la ville ; celui-ci s’inscrivait dans une série de compétitions préparatoires au championnat du monde qui aura lieu en août en Russie.
Avant que les pros ne s’élancent sur la piste de Georges-Hébert en soirée, des scolaires ont goûté, pendant la matinée et une partie de l’après-midi, aux joies de l’athlétisme sur les terrains annexes.
La direction des sports de la ville, l’Efsra (entente family stade de reims athlétisme) et l’Usep (union sportive de l’enseignement premier degré) ont accueilli en tout plus de 150 écoliers. Etaient représentées : la Neuvillette, Galilée, Provençaux et Jamin.
Au terme des différentes épreuves (vitesse, lancers, relais…) ce sont les « Galiléens » qui se sont imposés, devant les Provençaux.
Le meeting a débuté par des épreuves de catégories de jeunes. On notera ainsi dans le 100 m toutes catégories (garçons et filles) des maisons de quartier la victoire d’Allan Gustin, (minime), ou encore celle d’Angelica Berriot, minime de l’Efsra, en toutes catégories féminines. Le club rémois a aussi décroché une première place sur le 100 m interrégional avec Claire Renaud, juniore.
Invité à dire un mot au micro, notre marcheur vedette Yohann Diniz n’a pas manqué de saluer la mémoire de cette grande figure du marathon Alain Mimoun dont on avait appris le décès dans la journée ; il a demandé pour lui au public une minute d’applaudissement.
Concernant le public, celui-ci était au rendez-vous mais il y avait quand même pas mal de places vides ; pas forcément dans la tribune couverte (800 places), qui a fini par se remplir ou presque, mais plutôt dans les gradins non abrités. Il est vrai que, comme l’an dernier, la pluie a fait son apparition au cours de la soirée.
Malgré cela, stationner aux abords du stade n’était pas sans poser de problème. Ceux qui n’avaient pas le pass VIP avaient du mal à trouver des places.
A.P.
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La 56e édition du Brevet cycliste de la Montagne de Reims (BCMR) a lieu demain. Ce rendez-vous unique en son genre et est une nouvelle fois organisé par le Cyclo club rémois, qui a mis le grand braquet pour les préparatifs. En 2012, ils étaient 1 100 cyclotouristes à prendre le départ. On y vient de toute la Marne, mais également de départements voisins et bien au-delà. Les gens du Nord, de la région parisienne et de Lorraine comptent parmi les fidèles. Ouvert à tous, ce brevet propose, au choix, cinq niveaux de difficultés : 50, 90,115, 140 et 155 kilomètres. Si le premier niveau conviendra mieux à des débutants et à des familles, la boucle des 155 kilomètres s’adresse à des cyclistes chevronnés.
Au fil du temps, les organisateurs ont toujours cherché à améliorer l’épreuve. Dans le souci d’allier une sécurité toujours accrue pour les participants, et d’ajouter quelques lacets touristiques supplémentaires, ils ont imaginé un circuit intermédiaire. Nom de code : le P1bis, qui déroule sont parcours sur 140 kilomètres.
Les inscriptions sont possible cet après-midi au gymnase Géo-André, avenue François-Mauriac (quartier Croix-Rouge à Reims) à partir de 16 heures.
La centaine de bénévoles attend demain, à partir de 6 heures, ceux qui souhaitent s’inscrire sur place. Renseignements au 03.26.61.53.59.
L’incendie survenu au quatrième étage de l’immeuble a mobilisé une vingtaine de pompiers.
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Hier soir, vers 22 h 30, un violent feu d’appartement s’est déclaré au quatrième étage d’un immeuble de la rue Pierre-Taittinger à Reims, au quartier Croix- Rouge, près de la faculté de droit. Une quarantaine d’appels sont parvenus en quelques minutes au centre opérationnel des pompiers qui a dépêché d’importants moyens sur place : deux fourgons, deux grandes échelles, deux ambulances et un véhicule de commandement, soit une vingtaine d’hommes.
Réfugié sur son balcon, à une douzaine de mètres du sol, le locataire de l’appartement a été évacué au moyen de l’échelle. Son état n’inspire aucune inquiétude. La fumée est montée jusqu’au douzième et dernier étage, occasionnant une certaine panique dans l’immeuble, sans pour autant nécessiter son évacuation. Les pompiers ont rapidement maîtrisé l’incendie. La police a ouvert une enquête pour en déterminer l’origine.
Hervé OUDIN
Les policiers ont saisi quinze téléphones portables, une balance, 3 700 €, 57 grammes de cocaïne et surtout 1,6 kilo d’héroïne dont la valeur marchande est estimée à 40 000 €.
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Les policiers ont démantelé un trafic d’héroïne qui arrosait les régions de Reims et Épernay. Neuf personnes ont été arrêtées, deux d’entre elles écrouées, 1,6 kilo de drogue saisi.
SALE temps pour les trafics de stupéfiants ! Après le coup de filet de la semaine dernière dans le quartier rémois de Croix-Rouge, au terme duquel sept individus ont été écroués, trois kilos de cannabis et 26 000 euros en liquide saisis, un nouveau réseau vient de tomber dans la Marne. Lundi après-midi, les policiers de la sûreté départementale de Reims ont appréhendé neuf personnes impliquées dans un trafic d’héroïne — saupoudré d’un peu de cocaïne — qui arrosait l’agglomération rémoise ainsi que la région d’Épernay.
L’enquête a démarré en début d’année, sur la base d’un renseignement anonyme laissant entendre qu’Alexandre Guilouet, Rémois de 32 ans, s’adonnait à un commerce de substances illicites. Les vérifications menées par la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale ont confirmé ces accusations. L’homme entretenait des contacts réguliers avec un Sparnacien de 29 ans domicilié dans les Côteaux ouest, Yoann Gallois, dont le rôle moteur s’est dessiné au fil des surveillances mais aussi des auditions d’une vingtaine de clients. Depuis une douzaine de mois, lui et sa compagne faisaient fréquemment le voyage à Maastricht (Pays-Bas) pour s’approvisionner en héroïne et cocaïne. Lourdement ancrés dans la toxicomanie, ils se réservaient une partie de la drogue pour leur consommation personnelle, le surplus étant écoulé pour financer l’importation suivante. Il a reconnu revendre sur Epernay tandis qu’Alexandre Guilouet se fournissait auprès de lui pour alimenter son propre réseau sur Reims, tout en prélevant sa dîme (lui aussi est accro à l’héroïne). Le dernier voyage aux Pays- Bas datait du week-end, avec un retour du couple lundi matin à Épernay. L’aprèsmidi, Alexandre Guilouet est venu chercher la part qui lui était réservée. À peine le temps de sortir que les policiers en planque lui tombaient dessus. L’interpellation des deux Sparnaciens suivait dans la foulée.
À leur domicile : 1,6 kilo d’héroïne, 57 grammes de cocaïne, 3 700 euros en liquide, une balance électronique et quinze téléphones portables (ils en utilisaient plusieurs pour brouiller les pistes).
À raison du gramme d’héroïne écoulé 25 € (prix moyen), la valeur marchande de la saisie atteint 40 000 €. Le couple aurait reconnu une quinzaine de voyages sur un an, pour un total de huit kilos importés.
Six autres personnes ont été appréhendées sur Reims et Épernay lors du déclenchement de l’opération lundi après-midi. Au terme des gardes à vue, sept des suspects ont été remis en liberté avec une convocation en justice tandis qu’Alexandre Guilouet et Yoann Gallois, présentés hier à l‘audience des comparutions immédiates, tous deux récidivistes, ont demandé un délai pour préparer leur défense. Le tribunal correctionnel de Reims a décidé de les maintenir en détention dans l’attente de leur procès renvoyé au 6 août. Visages émaciés, silhouettes décharnées, les deux hommes paient au prix fort leur toxicomanie. Le dernier patron de Yoann Gallois s’est séparé de lui en novembre 2012 : « Il n’était plus en état de travailler. » Sa consommation quotidienne ? Deux grammes de cocaïne, sept grammes d’héroïne.
Fabrice CURLIER
Le flair de Gaya sait détecter les produits stupéfiants mais aussi les billets de banque.
Formée à l’école de police de Cannes- Ecluse (Seine-et-Marne), une nouvelle recrue affectée au commissariat de Reims n’a pas attendu longtemps pour plonger dans le grand bain. Après avoir participé au gros coup de filet du 17 juin dans le quartier Croix-Rouge, elle a remis ça lundi lors du démantèlement du trafic d’héroïne à Epernay. Gaya est la nouvelle chienne anti-stups de la direction départementale de la sécurité publique de la Marne. Berger malinois, elle remplace Tara, sa précédente « collègue », partie à la retraite. Confiée à un policier de la brigade canine, elle est amenée à intervenir dans les trois circonscriptions de Reims, Epernay et Châlons-en-Champagne, mais aussi dans d’autres secteurs (notamment les départements limitrophes) si son appui est sollicité. Comme ses homologues des douanes et de la gendarmerie, Gaya appartient à une nouvelle génération de chiens qui ne sont plus seulement formés à la recherche des produits stupéfiants. Elle est également capable de détecter des billets de banque ! Un atout précieux quand il s’agit de rechercher les bas de laine des trafiquants de tout poil.
Avec son nom qui évoque les écoles d’antan et leurs encriers, le concours du « Plumier d’or » existe depuis 1996, à l’initiative de l’association « Défense de la langue française » et la filiale de Champagne-Ardenne, présidée par Jacques Dargaud, diffuse cette épreuve destinée aux élèves des classes de 4e « pour les encourager à aimer et à respecter notre langue ».
La marine nationale et le ministère de l’Éducation Nationale parrainent ce concours qui a été réparé dans 22 classes en Champagne-Ardenne.
Sur le plan national, 16 500 élèves ont participé au Plumier d’or 2013 : un nombre inférieur à celui de 2012 qui était de 21 161.
Cette année, outre les questions relatives au vocabulaire, à l’orthographe et à la grammaire, il était demandé aux concurrents de se mettre dans la peau d’un journaliste pour rédiger 20 lignes résumant un entretien avec une personnalité célèbre. Il fallait aussi transcrire en français, dans des phrases de sens différent, le mot « kelk » reçu dans un texto : le Plumier d’Or se met au goût du jour…
Avant la proclamation du palmarès, une conférence a été donnée par M. Do-Hurinville, maître de conférences à l’Institut national des langues et civilisations orientales.
Le « Regard sur les différents types de langues, avec comparaison entre le vietnamien et le français » a été suivi par des adhérents passionnés.
L’Association de défense de la langue française Champagne- Ardenne offre régulièrement à ses adhérents une lettre d’information très documentée.
Le siège social est situé au 2 B, rue de Chevigné à Reims.
Contact : 03.26.88.36.03.
Site national : www.languefrancaise.org
Collège Arthur-Rimbaud, de Charleville-Mézières : Elsa Buffet, Llian Baudart et Virgile Legrand.
Collège R.-de-Nassau, de Sedan : Alan Gorguet, Nathan Piquet, Laura Lambert et Camille Launoy.
Collège St-Pierre, de Troyes : Mathilda Malpel et Mélanie Jouquey.
Collège H.-Guillaumet, à Mourmelon-le-Grand : Margaux Templier, Mathis Guillaume, Lisa Ortega, Clémentine Varennes et Albane Rouillon.
Collège Mont-d’Hor, de Saint-Thierry : Juliette Tellier, Mathys Bellony et Amandine Portelette.
Collège du Vieux-Port à Vitry-le-François : Clémence Hennequin est lauréate nationale (2e). Figurent au palmarès local Eugénie Hézard, Lisa Lequeux et Léana Caillet.
Collège Georges-Braque à Reims : Hawa Diakité.
L’incendiaire de l’allée des Landais sévit toujours, avec des sacs poubelle mis à feu hier vers 0 h 30 dans le local à vide-ordures du n°3.
A 1 h 30, une Fiat Punto a brûlé rue Jules-Guérin à la Neuvillette.
Vers 9 heures, une épaisse fumée signalée à la Croix- Blandin provenait d’un feu de câbles allumé par des nomades.
Numéro 7504 du 24 au 30 juin 2013.
Société à responsabilité limitée
au capital de : 1.000 €uros
Siège social : 5 allée des Limousins 51100 REIMS
N° SIRET : 750 359 176 00013
R.C.S. Reims
AVIS DE DISSOLUTION
L’assemblée générale extraordinaire réunie le 15 juin 2013 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter du 1°’ juin 2013 sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée.
Elle a nommé comme liquidateur Monsieur AVCI Ismail, gérant associé pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif et l’a autorisé à continuer les affaires en cours et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation.
Le siège de la liquidation est fixé : 5 allée des Limousins - 51100 REIMS.
C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.
Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS (51), en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.
Pour avis : 116764 Le liquidateur.
10 créateurs ont été récompensés.
La 15e édition du Concours Talents organisé par le réseau BGE a récompensé 10 créateurs pour leur parcours exemplaire de demandeurs d’emploi ayant créé ou repris une entreprise au cours de l’année 2012. Ils ont reçu un prix de 2 000 € chacun :
Prix Talent de l’artisanat : Sophie Chanson, fleuriste Vert.tige, à Langres.
Prix Talent du commerce : Vicky Caffet, fabrication et vente de sous-vêtements masculins sur internet, à Troyes.
Prix Talent de l’innovation technique et technologique : Philippe Brandao, bureau d’études Ingenia System, à Reims.
Prix Talent des services : Olivier Parisot, auto-école Easy Drive, à Bouzy.
Prix Talent des dynamiques rurales : Philippe Serre, boulangerie à Novion Porcien.
Prix Talent de l’économie sociale et solidaire : Hervé Fleischmann, association L’école des jardiniers, à Saint-Brice-Courcelles.
Prix Talent des femmes, Corinne Remongin, service à la personne dépendante Mieux vivre chez soi, à Sarcet.
Prix Reims Métropole : Sébastien Jacques, café restaurant associatif à Croix-Rouge, Reims.
Prix crea Chalons : Thierry Cade, opticien àa Fagnieres.
Prix Talent de l’entrepreneuriat : Delphine Hazeaux, restaurant La Rosée, à Reims.
société d’avocats
NOM DOS
Société d’Avocats
10 boulevard Lundy - B.P. 2105
51074 REIMS CEDEX
Avis est donné de la constitution en date du 17 juin 2013 par acte sous seing privé, pour une durée de 99 années, d’une société civile immobilière qui sera immatriculée au R.C.S. de REIMS, dénommée "CREAPHARM", au capital de 1.000 €, composé exclusivement d’apports en numéraire, ayant pour objet : la propriété, l’administration, la gestion et l’exploitation par bail, location ou autrement, de tous immeubles bâtis ou non bâtis.
Son siège social est à REIMS (51100), Allée des Landais.
Son gérant est Monsieur Éric PLACET, demeurant à REIMS (51100), 23 rue des Templiers.
AGREMENT DES CESSIONAIRES : Les parts sociales se transmettent librement entre associés. Elles ne peuvent être transmises à toute autre personne qu’avec le consentement de la société donné par un ou plusieurs associés représentant plus des deux tiers du capital social, le cédant prenant part au vote.
Pour avis :
116696 Le gérant.
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REIMS (Marne). Le début de soirée aurait pu avoir des conséquences bien plus graves. Samedi soir, sur la terrasse d’un appartement surplombant la place Rodin, quartier Croix-du-Sud, un enfant fait tomber un de ses jouets par-dessus le balcon de l’appartement où il vit. Ni une, ni deux, il descend le chercher sur la place, en bas de son bloc. C’est là, vers 19 heures, que cet enfant va se faire attaquer par deux rottweillers, deux chiens qui ne sont ni muselés ni attachés. Ils appartiennent à l’épicier de la place qui a l’habitude de laisser ses chiens dans son magasin, quelques minutes avant la fermeture, pour éviter toute intrusion.
Dans des circonstances qui devront être éclaircies, les chiens sont parvenus à sortir de l’épicerie avant de fondre sur l’enfant. Quelques secondes ont suffi. Le petit garçon a été mordu à plusieurs reprises aux bras et aux jambes. Les morsures étaient suffisamment profondes pour provoquer la pause de six points de suture au garçonnet. Entendu par les services de police, le propriétaire des deux chiens devra répondre de blessures involontaires ainsi que du non-respect de la législation sur les chiens de catégorie 2, à savoir les textes portant sur les chiens de garde et de défense. Quant au petit garçon, il a d’ores et déjà pu regagner son foyer.
Quant aux deux chiens impliqués dans cette attaque, Eric Quénard, adjoint à la maire, en charge de la sécurité, a signé hier soir les documents relatifs à leurs euthanasies.
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REIMS (Marne). Et pourtant, cet homme de 58 ans faisait déjà l’objet d’une procédure d’éloignement. Ça ne l’a pas empêché, plusieurs jours durant, d’humilier et de rouer de coups son ex-compagne. C’est cette dernière qui a fini par donner l’alerte en se réfugiant dans une boulangerie, samedi. Le visage tuméfié, elle ne voulait plus retourner chez elle. Aux policiers qui sont venus la prendre en charge, elle a confié son calvaire. Il a été terrible.
Tout a commencé mercredi dernier. Son ex-compagnon, déjà connu pour des faits de violences, reprend contact avec elle. Ils décident d’aller manger au restaurant.
Mais l’ambiance des retrouvailles se dégrade rapidement. La femme refuse en effet de boire de l’alcool. Son ex-compagnon se sent offensé. Ils quittent rapidement le restaurant.
Cet homme de 55 ans entraîne alors son ex-compagne vers des prés. Et au milieu de la nuit, il l’oblige à se dévêtir puis lui donne l’ordre de se rouler par terre. L’humiliation ne s’arrête pas là. Choquée, cette femme est entraînée à son domicile, près de la place Dominique-Ingres, quartier Croix-Rouge. Là, l’homme la contraint à prendre place dans la baignoire. Il va ensuite l’asperger d’eau glacée durant une dizaine de minutes.
Tétanisée par la peur, la victime est ensuite frappée avec un manche à balai. Elle tente de se protéger, résultat : deux doigts cassés. Une plaie ouverte sera également constatée par les médecins au niveau de son dos.
Et ce n’est que deux jours plus tard que cette femme ira au-delà de sa peur et décidera d’alerter les boulangers en bas de chez elle.
Interpellé, son agresseur a aussitôt été placé en garde à vue. Il aurait partiellement reconnu des faits de violences. Présenté devant le délégué du procureur, l’auteur présumé de ces coups a été incarcéré à l’issue de son audition à la maison d’arrêt de Châlons.
Il restera d’ailleurs détenu jusqu’à sa comparution devant le tribunal correctionnel de Reims le 20 juillet prochain.
Th. D.
Le public était venu recueillir des informations actualisées.
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LA dernière réunion du conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny avait pour objet principal la situation sur les travaux dans le quartier Croix-Rouge, un sujet qui a intéressé au plus haut point les habitants présents.
Il faut dire que le quartier est en pleine phase de changements et les inaugurations se succèdent, en particulier le long de la colonne vertébrale constituée par le tramway : avenue du Général-Eisenhower, rue Pierre-Taittinger, avenue du Général-Bonaparte et avenue Léon-Blum.
Florent Paroli, chef de projet à la Ville de Reims, et Eric Quénard, premier adjoint, ont détaillé les avancées du projet de la rénovation urbaine : d’abord sur le secteur Eisenhower-Hippodrome, puis sur le secteur Pays-de-France, et enfin sur le secteur Croix-du-Sud.
Des diapositives actualisées ont d’abord présenté les déconstructions réalisées et celles restant encore à entreprendre, puis les constructions, selon le même rythme, et enfin les résidentialisations et les voies nouvelles ouvertes ou à percer.
Le public, très fortement concerné, buvait les paroles des deux orateurs qui maîtrisaient parfaitement leur sujet. Ils ont insisté particulièrement sur l’offre commerciale, qui va être très importante, chacun des organismes logeurs proposant de très nombreuses cellules pour des professionnels. Pour Eric Quénard, « Croix-Rouge va représenter l’offre commerciale la plus importante sur Reims, et même la plus grosse opportunité commerciale du département avec 12 000 m2 disponibles, de plain-pied et très visibles » !
Par ailleurs, « pas question de concurrencer les commerces qui existent déjà. Au contraire, nous encouragerons la plus grande diversité commerciale comme cette Maison de la santé à Croix-du-Sud qui regroupera toutes les professions médicales et pharmaceutiques ». A ce sujet, beaucoup d’habitants se demandent d’ailleurs s’il y aura suffisamment de candidats commerçants.
Eric Quénard n’a pas manqué de rappeler son credo : « La rénovation urbaine à Croix-Rouge, ce n’est pas seulement démolir et reconstruire. Si, dans les années 1960-1970, on a construit ce quartier « pour loger », aujourd’hui, nous voulons ramener des activités, des commerces, des animations et améliorer les logements anciens et la qualité de vie des locataires. »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Aux alentours de 20 heures, les jardins du cryptoportique résonnaient aux sonorités electro-rock.
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REIMS (Marne). Les mélomanes ont assurément savouré cette 32e fête de la musique.
Hier soir, la cité des sacres a résonné de mille sonorités, pop, electro, folk, reggae, rap, rock ou encore classique, il y en avait pour tous les goûts. Malgré une soirée nuageuse et quelques gouttelettes de pluie, la foule était au rendez-vous pour assister aux prestations des différents groupes à travers la commune.
Professionnels et amateurs aux styles musicaux variés se sont partagé l’affiche pour rythmer et animer la ville de quoi séduire et surprendre tous les Rémois, y compris ceux qui connaissaient déjà la musique…
PREVENTION. Des stands de prévention étaient présents aux abords des scènes et des ambassadeurs de la vie nocturne déambulaient parmi la foule. « Notre rôle c’est de distribuer des éthylotests, des préservatifs et des bouchons d’oreilles et de sensibiliser les gens » expliquent Oussama et Imane.
ETUDIANT LE JOUR… ROCKEUR LA NUIT. Dimitri Dimix, 24 ans étudiant en commerce le jour et rockeur la nuit. « C’est la première fois que je participe à la fête de la musique, j’étais déjà venu en tant que spectateur. Cette année je me lance, j’ai rencontré des commerçants sympas qui m’ont laissé me brancher chez eux ».
SACRES DU FOLKLORE. Les gradins de la place de l’Hôtel de ville étaient pleins hier soir pour l’ouverture des sacres du folklore avec ici le groupe Tamarioni de Géorgie.
Aujourd’hui, rendez-vous dès 11 heures pour une animation à Muizon, avec le Pérou, puis à 15 heures place de l’hôtel de ville (Géorgie et Russie). Deux rendez-vous à 16 heures : place des Argonautes (Ghana, Kazakhstan) et place de l’hôtel de ville avec l’arrivée de la Tarasque de Tarascon, suivie du chant du dragon par Gilles Diss, et le défilé du Bailla avec la Tarasque (de l’hôtel de ville à la place d’Erlon). Le soir, spectacle de gala à 20 h 15 place de l’hôtel de ville, puis nouveau défilé du Bailla et de la Tarasque selon le même itinéraire ; et le tout est gratuit !
Début de soirée enflammé, place du forum où la foule s’était réunie aux abords du cryptoportique pour assister aux concerts. Guitares et basses en main, c’est avec Kiss-kiss une de leurs chansons les plus connues que le groupe rémois Modern Times a fait vibrer le public. Composée par le groupe, cette mélodie tropicale aux rythmes africains a fait se déhancher la plupart des spectateurs. « Les gens sont là pour passer un bon moment, on va essayer de les faire voyager » confiait John Attali, le leader du groupe peu avant son passage sur scène. C’est en compagnie de ses deux acolytes, Clément Timsit et Antoine Delpèche que le trio a assuré le show.
Une soirée mémorable pour les Rémois, qui vient effacer la déconvenue de l’année dernière : « Nous étions également programmés au crypto l’année précédente mais la prestation a été annulée à cause des orages, on a fini par faire le concert chez nous (rires) » raconte John. Cette première participation à la fête de la musique fut donc plus que réussie pour ces rockeurs des temps modernes.
J-G.V
Des femmes (et des hommes) sont chaque jour victimes de violences conjugales.
Christian LANTENOIS
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REIMS (Marne). Retour à la case prison pour Pierre-Yves Le Moine ! Sorti de détention début janvier après avoir purgé deux ans ferme pour des violences sur son amie, cet homme de 54 ans au casier lourd de onze condamnations a refait son apparition hier après-midi en comparution immédiate. De nouvelles exactions sur la même victime lui sont reprochées, alors qu’interdiction lui était faite de la rencontrer à la suite de la précédente affaire survenue en juillet 2011. À l’époque, pour la punir d’avoir cabossé sa voiture, il l’avait frappée à coups de bouteille avant de l’enfermer trois jours dans la chambre.
Le couple a des biens en commun, ce qui expliquerait que la dame ait pris l’habitude de revenir chez lui, place Dominique-Ingres. Jeudi, il l’aurait frappée avec un balai et un pommeau de douche avant de la menacer de mort : « Je vais te tuer ! Je vais t’écraser avec la voiture ! Si t’appelles les flics, si je pars en prison, à la sortie, je te tue, toi et toute ta famille. »
Pierre-Yves Le Moine sera jugé le 23 juillet. Le tribunal a refusé de le relâcher au vu de ses antécédents - notamment dix ans de prison en 2004 par les assises de Haute-Savoie pour un « viol commis sous la menace d’une arme » - ainsi que pour prévenir de nouvelles violences. De plus, il ne respectait pas la mise à l’épreuve liée à la condamnation de 2011 (trois ans dont un avec sursis). Hier matin, alors qu’il était en garde à vue, il avait rendez-vous avec le juge d’application des peines pour la révocation du sursis…
F.C.
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La section danse classique et moderne de l’ACRAP (association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion) organise son gala annuel de danse le dimanche 23 juin à 14 heures, à la Maison commune du Chemin-Vert, place du 11 novembre.
Renseignements à l’Acrap, au 11 avenue du Président Kennedy (entrée par l’impasse Schuman), ou par téléphone au 03.26.06.39.54.
Fabrice Belargent a confirmé la mobilisation de la police et de la justice sur Croix-Rouge. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Le procureur de la République (à droite) au moment du rappel des faits. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Lundi dernier, seize personnes étaient interpellées au petit matin dans le quartier Croix-Rouge de Reims. Jeudi, à l’issue des premières gardes à vue, huit d’entre elles ont déjà été mises en examen.
Il était à peine plus de six heures du matin, lundi 17 juin, quand une centaine de policiers de la sûreté urbaine et du SRPJ de Reims, soutenus par leurs collègues de la Brigade de Recherche et d’Investigation (BRI) de Strasbourg, sont arrivés sur la place Georges Braque du quartier Croix-Rouge. En marchant sur des oeufs, ils ont rapidement investi l’immeuble numéro 8, direction les 4e et 5e étages du bâtiment.
L’objectif : démanteler l’ensemble d’un vaste réseau de stupéfiants, des revendeurs aux petits caïds, en passant par les guetteurs et les « nourrices » (personnes dont le domicile sert à entreposer la marchandise), sévissant dans le quartier. Sur place, les enquêteurs ont mis la main sur trois kilos de résine de cannabis, une petite quantité d’héroïne et de cocaïne, six armes à feu (dont deux fusils de chasse à canon scié) et près de 25 000 euros en espèces. « On était ici sur un trafic particulièrement bien structuré, annonce d’emblée le procureur de la République de Reims, Fabrice Belargent, précisant qu’à l’issue de l’opération des forces de l’ordre, « sur les seize personnes interpellées et à l’issue des gardes à vue, huit ont été présentées au juge. Parmi celles-ci, quatre ont été envoyées en détention (dont les trois têtes d’affiche présumées), les quatre autres ayant été placées sous contrôle judiciaire. » Parmi les trois protagonistes supposés être à la tête du réseau, deux frères, déjà connus des services de police. Habitant le quartier, la quasi totalité des suspects se situe autour de la trentaine. Comme souvent, beaucoup ont nié toute implication, mais des intermédiaires du réseau ont reconnu avoir effectué pour eux plusieurs voyages vers la Belgique et les Pays-Bas ces derniers mois. Des allers-retours qui correspondraient à plusieurs kilos de cannabis et d’héroïne « importés ».
Afin de rassurer les habitants du quartier Croix-Rouge, gangrené depuis des années par le trafic de stupéfiants, le procureur Fabrice Belargent a clairement rappelé « la forte implication de la justice et des services de police sur ce secteur, en lutte contre ce type d’activités. Il y a une vraie conjonction de volonté de faire de ce quartier un endroit où l’on peut vivre sereinement. Certes, nous avons peut-être été longs à nous mobiliser et inefficaces pendant longtemps, mais cette période est révolue. » Gageons que les habitants du quartier puissent rapidement voir se concrétiser dans les faits la détermination du magistrat.
Aymeric Henniaux
Nouveau planétarium : Bientôt la tête dans les étoiles
Le planétarium ouvrira officiellement ses portes le 12 octobre 2013. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Le directeur du planétarium montre le ZEISS ZKP4, équipé de projecteurs d’étoiles à LED et fibres optiques. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Le nouveau Planétarium de Reims fera sa rentrée étoilée en septembre 2013, après 18 mois de travaux pour un coût de 3,4 millions d’euros. Doté d’un projecteur planétaire de toute nouvelle génération, il offrira une expérience unique aux visiteurs.
« Avec l’obligation de quitter les lieux du Collège des Jésuites, nous avons dû choisir un emplacement stratégique pour ce nouveau projet », explique Serge Pugeault, adjoint au maire de Reims en charge de la Culture. En effet à deux pas du tramway et de la gare SNCF Franchet d’Esperey, le planétarium trouve sa place à la croisée de deux quartiers, Wilson et Croix Rouge, qui sont en plein renouvellement urbain. Ainsi, le lieu est particulièrement bien desservi par les transports en commun. Avec sa nouvelle configuration, le nouveau Planétarium rejoint d’autres structures économiques et culturelles qui font vivre la culture et les arts dans tous les quartiers de la ville. Ce projet se veut une étape importante dans la mise en oeuvre du projet urbain Reims 2020. Une architecture recherchée
L’architecte Jean Paul Bonnemaison a conçu un plan en ellipse à l’image du système solaire. « Il était important que le planétarium gagne en visibilité, avec un tramway qui passe à côté, cela donne une dynamique à l’espace », indique l’architecte. Le bâtiment porte une sphère visible de l’extérieur sous laquelle est abritée la salle de projection, donnant un aspect futuriste au lieu. La salle sera plus confortable que l’ancienne puisqu’elle proposera une surface de projection de 8 mètres dans laquelle pourront prendre place 50 visiteurs simultanément.
Le tout est installé sur un espace vert de 600 m2, avec comme point d’entrée, une passerelle qui amènera les visiteurs tels des astronautes embarquant dans une fusée direction le vaste univers. « Nous avons voulu donner l’impression d’un objet envoyé du ciel », confie Jean Paul Bonnemaison.
Depuis sa création en 1980, le Planétarium rencontre un grand succès avec plus de 30 000 spectateurs par an. Mais, dans ses nouveaux locaux dotés d’un projecteur ZEISS ZKP4 de dernière génération, sa fréquentation devrait augmenter significativement. Trois autres projecteurs DLP haute définition permettront de reconstituer un ciel de campagne au plus près de la réalité. « Il est rare de pouvoir observer un ciel totalement étoilé, il nous faut donc faire découvrir au public et de façon précise ce que constitue notre ciel, ainsi 70% des explications se feront en direct aux visiteurs pour avoir plus d’échanges et s’adapter plus facilement au type de personnes qu’on reçoit », souligne Philippe Simonnet, le directeur du planétarium.
La base de donnée du planétarium permet de placer le ciel à un moment précis de l’histoire, comme par exemple la position des étoiles lors de la Révolution Française en 1789. La culture scientifique se veut ainsi être au plus près de son public avec une diffusion riche en matière d’astronomie : une salle pédagogique, travaux pratiques, expositions permanentes et temporaires viendront enrichir l’exploration de notre univers. Tout ce dispositif sera accessible à tous les publics : personnes à mobilité réduite, malentendants et visiteurs étrangers. Et en 2015, les malvoyants devraient bénéficier d’explications descriptives des 7000 étoiles de notre ciel.
En attendant son ouverture officielle le 12 octobre, le Planétarium ouvrira ses portes lors des deux premiers week-end de septembre, notamment à l’occasion des Journées du Patrimoine.
Nawel Megraoui
Concert - Un été dans la Ville - Croix-Rouge : Rap, raï et R’n’B
Deux groupes locaux seront présents sur scène : BES et Black Industrie (en photo).
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Depuis plusieurs années maintenant, quand les beaux jours reviennent, la musique s’installe dans le quartier Croix-Rouge à l’occasion d’un concert exceptionnel. Connu d’abord sous l’appellation « Croix- Rouge s’affiche », cet événement s’inscrit, depuis, pleinement dans la programmation de l’opération « Un été dans la Ville ». Cette année, vendredi 14 juin, à partir de 20h, ils seront cinq, chanteur ou groupe, à se succéder sur la scène installée sur le parking de l’hippodrome de Reims : Kader Japonais, Cheba Faiza, Groupe de Gnawa, et les locaux de Black Industry et BES.
Ce sont d’ailleurs ces derniers qui auront l’honneur d’ouvrir cette soirée. Né en 2008, BES se compose de trois membres : P.E Ice, L.A et Pheezy. Cousins, les trois acolytes signent un hip-hop moderne et actuel. Black Industrie, c’est quatre chanteurs, Demi, Ard, BChoppe et 6Rano, mais aussi deux beatmakers, Locs et MG. Ensemble, ils allient leur hip hop à d’autres styles musicaux comme le R’n’B, le reggae, le jazz, la variété française ainsi que différents rythmes africains. A leur actif notamment, la chanson « Ligue 1 » qui est devenue l’hymne du stade de Reims. Ensuite, c’est un groupe de musique Gnawa qui foulera la scène de Croix-Rouge, alliant les instruments traditionnels types gambri, tambourins, karkabous avec des instruments occidentaux comme la batterie, la guitare électrique et la basse. Cheba Faïza prendra la suite. Cette chanteuse algérienne chante un raï de type medahat, raï traditionnel algérien. Forte de son succès, elle a réalisé des prestations dans beaucoup de pays du Maghreb et d’Europe et à son actif une dizaine d’albums. Enfin, c’est Kader Japonais qui aura la lourde charge de clôturer ce grand concert. De son vrai nom Abdel Kader Haibaoui, il est surnommé ainsi en raison de son air faussement asiatique. Aujourd’hui reconnaissable entre tous grâce à sa voix rauque si caractéristique, il participe aux plus grands festivals internationaux de musique du Maghreb, comme ceux de Timgad, Alger et d’Oujda. Il s’est notamment fait connaître en France par ses passages à la Nuit du Raï au Zénith de Paris et au festival du Raï à Toulouse. Il a par ailleurs enregistré un duo avec Rim-k, du groupe de Rap 113. Évoquant dans ses chansons la jeunesse algérienne, Kader propose un raï, rap et R’n’B à la portée universelle.
J.D
Vendredi 14 juin à partir de 20h sur le parking de l’hippodrome de Reims. Entrée libre.
Les policiers ont saisi des produits stupéfiants, des armes et de l’argent aux mains des trafiquants qui avaient mis la cité Georges Braque en coupe réglée.
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REIMS (Marne). Les policiers rémois viennent de démanteler un trafic de drogue de belle ampleur qui gangrenait le quartier de Croix Rouge à Reims. Onze suspects ont été mis en examen et quatre sont sous les verrous. Parmi eux figurent le cerveau, son bras droit, un lieutenant et un homme de main.
ILS avaient mis le quartier de Croix Rouge et plus spécialement la cité Georges Braque en coupe réglée. Au fil des mois, les frères Bendjoudi ont fait prospérer un trafic de drogue de grande ampleur dans ce quartier sensible de Reims au moyen d’une minutieuse organisation forte d’une dizaine d’individus. Des petites mains jouent le rôle de guetteurs, d’autres - les nourrices - dissimulent la drogue et d’autres encore filtrent les allers et venues au numéro 8 de la place Georges Braque en contrôlant le hall de l’immeuble depuis un canapé.
Razik Bendjoudi, cerveau de la bande, dirige les opérations à distance avec son frère Rachid. À Croix Rouge, personne ne s’oppose à ces deux têtes d’affiche respectivement connues pour vol aggravé, agression sexuelle et violence ou recel. Car les frères Bendjoudi sont flanqués d’un colosse de deux mètres tout en muscle. Pour ne rien gâcher, Karfa Keita peut se vanter d’un CV éloquent. Ses états de service au plan judiciaire font mention de quinze condamnations dans des domaines aussi variés que le vol, la violence, le transport d’armes ou les dégradations.
Le géant aux épaules de déménageur n’a donc aucune difficulté à faire régner la terreur dans le quartier ou à jouer les hommes de main pour le recouvrement des impayés. La bande ne se prive pas d’exhiber des armes pour inspirer la crainte. Les perquisitions opérées lundi par les policiers ont d’ailleurs permis de mettre à jour deux fusils à canon sciés et quatre armes de poing.
La saisie de produits stupéfiants - avec trois kilos de résine de cannabis, 40 grammes d’héroïne et un peu de cocaïne - conforte les constatations opérées par les policiers de la sûreté départementale qui ont multiplié les planques sur les lieux du trafic. Son ampleur a été confirmée au fil des gardes à vue. Car si les caïds sont restés muets, il en a été autrement de quelques seconds couteaux qui avouent de fréquents voyages en Hollande et en Belgique. « Ils chiffrent la marchandise à plusieurs kilos d’héroïne et de cannabis », indique le procureur de la République, Fabrice Belargent.
La découverte de 25 000 euros en espèce atteste que le trafic était juteux. « Des membres de leur famille au sens large détiennent des sommes conséquentes qui ne sont pas forcément en rapport avec leurs revenus », commente le procureur de Reims. Ce dernier compte sur le talent du Groupe d’intervention régional (Gir) de Champagne-Ardenne pour faire la lumière sur l’origine douteuse de dizaines de milliers d’euros.
En attendant, onze suspects ont été mis en examen. Parmi eux, les frères Bendjoudi ont été placés en détention provisoire tout comme leur homme de main, Karfa Keita. Un autre lieutenant, originaire des Ardennais, est sous les verrous. Les riverains de la place Georges Braque ont, quant à eux, l’impression d’avoir retrouvé une certaine liberté.
Eric LAINÉ
Hier, le procureur de la République de Reims s’est félicité de la réussite de l’opération menée conjointement par les policiers de la sûreté départementale et du SRPJ de Reims pour mettre un terme à un trafic de stupéfiants de grande ampleur dans le quartier de Croix Rouge. « Il y a une conjonction de volonté pour en faire un endroit où l’on peut vivre paisiblement. Il faut au préalable éradiquer ce genre de trafic et veiller à ce qu’aucun autre ne se mette en place », commente Fabrice Belargent.
Le patron du parquet de Reims rappelle sans triomphalisme que d’autres trafics ont été démantelés dans ce quartier sensible en 2012. Car « quand un trafic est démantelé, un autre, quasiment identique, se met en place avec des têtes neuves ou recyclées ». « C’est pourquoi, souligne le procureur, un travail de fond est également mené auprès des usagers pour les décourager à se rendre dans les quartiers. » Cela peut prendre la forme d’interpellations en flagrant délit par la brigade anti-criminalité.
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REIMS (Marne). Si la soirée est annoncée nuageuse, les orages ne devraient pas perturber cette année la fête de la musique. Profitons d’un large programme.
L’ANNÉE dernière, il avait fait un temps magnifique pour la fête de la musique ! Sauf que le grand soleil était venu vers 17 heures, bien après que la mairie ait décidé de tout annuler, notamment le concert à Wilson, suite à une alerte orange de Météo-France aux orages.
Impossible pour une ville de prendre un tel risque. Alors, après l’orage de mercredi soir, les inquiétudes demeurent pour cette fête ce soir. La météo s’annonce grise, mais sans pluie, du moins en soirée et pas d’orage en vue, pourvu que les spécialistes ne se soient pas trompés !
Il y aura des initiatives dans toute la ville, tous les quartiers. En soirée ou en journée, comme avec le rectorat, qui offre à ses personnels une pause musicale avec les élèves de 5e et 4e du collège Université, les élèves de CM2 de l’école du Jard et plusieurs établissements rémois ou avoisinant proposeront la comédie musicale « le roi lion » et les chorales des collèges Jean-Baptiste Colbert et François Legros. L’Ecole de flûte et de Clavier organise sa fête de la musique dimanche 23 juin à 16 h 30 à la maison de quartier Clairmarais. Au programme petits et grands à la flûte traversière, au synthétiseur et au piano et avec leur professeur Cécile Jeanblanc. Entrée libre.
La Ville a mis sur pied 8 scènes. D’abord dans les jardins du Cryptoportique, de 19 heures à minuit, avec Amphétamin, Modern Times, Paragraff, Aïdo Music system et Judy, soit du hip hop, électro, rock et indie pop. Ensuite place Brouette, à partir de 19 h 30, avec Night Rate et Rasta campagne, pop new wawe et reggae.
Place Saint-Thomas, on trouvera Medication sound system, Barbès. D et S’Kaya, de 19 h 30 à minuit. Musique de chœur place du 11 novembre, au Chemin-Vert, avec Ars Vocalis, mais aussi de la danse avec Shamis, et du rock-folk avec June & the Soul Robbers. Place Jules-Lobet, à partir de 19 heures, on pourra écouter les fameux Citrons bleus et Pina Colada, pour voayger en musique à travers le monde.
A Croix-Rouge, place au rap et reggae, avec de 18 heures à 22 h 30 Faya Flow, Black Industrie, Latypik, Oracle et A2H. Sur le parking de la Fileuse, les élèves de l’école Galliéni donneront un concert à 17 h 15, puis il y aura une battle de breakdance à 18 heures, et enfin 4tRECk et Jean Mikili, à partir de 19 heures. Enfin, à 21 heures, les Boules de feu, la fanfare des étudiants en médecine feront bouger les habitants. Des résidents de la friche artistique proposeront une performance.
Wilson croise les doigts pour qu’il n’y ait pas d’orage pour avoir droit au concert dans le théâtre de verdure, avec des ateliers avec les écoliers (15 heures), des groupes de rap (18 heures) et de la musique africaine à partir de 21 heures avec Debademba. Dans le tramway, les voyageurs auront droit à la fanfare à Paulette, de 18 h 30 à 20 h 30.
Le Temps des cerises accueillera sous son chapiteau un groupe de musique traditionnelle basque, du flamenco sauce métal, un spectacle de théâtre burlesque et des DJ sets de 18 heures à 2 heures du matin autour d’un barbecue.
À partir de 17 heures, il y aura aussi les Sacres du folklore place de l’hôtel de ville, et notamment le bal folk à partir de 23 heures. A noter que deux stands permettront de faire la prévention place d’Erlon et du Forum.
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REIMS (Marne). Il est arrivé détenu… Et pour cause, le 1er mars dernier, lassé de lui donner des avertissements, le tribunal l’a condamné à deux ans de prison ferme pour avoir transformé l’appartement d’une vieille dame, quartier Croix-Rouge, en libre-service. Bijoux, carte bancaire, chèques et téléviseur disparaissaient à chacune de ses visites. Les juges avaient surtout révoqué 8 de ses sursis, soit un total à purger de cinq ans et trois mois d’emprisonnement ferme, avec mandat de dépôt à la barre.
Cette semaine, c’est pour répondre d’un vol de scooter, impasse Demolin le 3 janvier dernier, qu’il a de nouveau été déféré devant le tribunal correctionnel de Reims. Et là, difficile pour les juges de faire l’impasse sur son casier. Vingt-huit mentions depuis 2007… et il n’a que 18 ans !
Mickaël Dousset n’a pas fini d’en découdre avec la justice et semble guère éprouvé par les années de détention qu’il a à purger. C’est d’ailleurs parfaitement décontracté qu’il a répondu mardi de ce vol de scooter avec dégradations, une énième infraction qui lui faisait encourir, au regard de son palmarès, une peine plancher de 3 ans. Ce 3 janvier, pour se venger de son ex-petite amie, il avait forcé la porte du garage familial et dérobé le scooter qu’il avait jeté au sol avant de s’enfuir, alors qu’il était repéré par la police.
Au substitut du procureur qui lui a demandé pourquoi avoir forcé la porte du garage, il a répondu du tac au tac : « Parce que j’arrivais pas à l’ouvrir ! » Et quant à savoir quels étaient ses projets de réinsertion, il a rétorqué « ne pas savoir » et surtout « avoir le temps d’y réfléchir »… puisque libérable en 2018. En bref, aucune garantie de réinsertion.
Avec une moyenne de 4 condamnations par an depuis 2007, il n’a de fait pas échappé à la peine plancher de trois ans… avec maintien en détention. Soit une possible libération en 2021, sauf à obtenir une confusion de peine avec la précédente.
C.G.
Clifton Asalobie et Cément Doedoe ont assuré ne pas savoir qu’ils dissimulaient de la cocaïne. Dessin Cégira
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REIMS (Marne). Ils ont été interpellés avec 250 grammes de cocaïne pour l’un, 76 grammes pour l’autre, cachés dans le pantalon au niveau de l’entrejambe… mais ils ignoraient qu’ils dissimulaient de la drogue. Difficile d’être convaincants. Ils sont partis pour un an et deux ans en prison.
« JE n’ai rien à voir avec cette histoire. J’étais chez moi, sous alcool, on m’a donné un paquet… Je ne savais pas ce que c’était. » Clément Doedoe, 30 ans, natif de Guyane, s’est défendu comme il a pu… Mais difficile, après avoir été condamné à dix-huit mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Cayenne, en juin 2007, pour trafic de stupéfiants, de faire croire qu’il ne savait pas la contenance du pochon qu’il avait dissimulé dans son pantalon au niveau de l’entrejambe. Un pochon qui contenait 250 grammes de cocaïne…
Peu crédible également les déclarations de son compatriote, Clifton Asalobie, 22 ans, trouvé en possession de 76 grammes de cocaïne, à qui un inconnu rencontré à Paris lui aurait demandé, moyennant 100 euros, de lui garder un petit sachet… qu’il croyait être du shit, tout en ne sachant pas « à quoi ça ressemble du shit ». Peu crédible il est vrai, quand on sait que le gramme de cocaïne s’écoule à 80 euros.
Les deux hommes avaient été interpellés suite à un banal contrôle routier, le 29 mai dernier, après avoir grillé un feu tricolore avenue Robert-Schuman, près de l’hippodrome de Croix-Rouge. Clifton Asalobie avait fui à toutes jambes à la vue des policiers, avant d’être interpellé. Clément Doedoe était resté au volant, mais la protubérance qu’il avait entre les jambes avait intrigué les policiers.
Si ce n’est leurs dénégations, on ne saura pas la provenance de ces pochons de cocaïne, d’une valeur marchande de 30 000 euros. Puisque ni l’un, ni l’autre, ne savaient ce qu’ils cachaient à côté de leurs bijoux de famille. C’est la défense qu’ils ont eue tout au long de leur procès qui s’est tenu mardi. Ils n’ont pas convaincu.
Clifton Asalobie a été condamné à deux ans de prison dont un an avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans. En état de récidive, Clément Doedoe a écopé de quatre ans dont deux ans avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans. Les deux hommes ont été placés sous mandat de dépôt.
Caroline GARNIER
Numéro 7503 du 17 au 23 juin 2013.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex
Maître d’œuvre conception, réalisation et pilotage des travaux : APO – 11, rue de l’Ecu 51100 REIMS Tél. 03.26.47.69.01 - Fax 03.26.88.67.31
Objet : Construction d’une agence bancaire – Avenue Léon Blum - Quartier Croix du Sud à Reims (51)
Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Le marché est composé de 9 lots :
Lot 01 : MENUISERIES EXTERIEURES ALUMINIUM
Lot 02 : MENUISERIES INTERIEURES PLATRERIE
Lot 03 : FAUX PLAFOND
Lot 04 : ELECTRICITE / ECLAIRAGE / COURANTS FAIBLES
Lot 05 : PLOMBERIE / SANITAIRES
Lot 06 : CLIMATISATION VMC
Lot 07 : CARRELAGE
Lot 08 : PEINTURE
Lot 09 : SOLS SOUPLES STRATIFIES
Délai d’exécution : 5 mois (dont 1 mois de préparation de chantier)
Date limite de réception des candidatures et des offres : Mardi 9 juillet 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart CS 80017 - 51723 Reims Cedex
Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 18 juin 2013 – 10 heures, auprès de :
Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, Référence du marché : CN-100613
Sur support papier, aux frais du candidat : I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61
Renseignements techniques : APO – Tél. 03.26.47.69.01
Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33.
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 13 juin 2013 aux Journaux L’Union ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.
Par jugement du 11/06/2013, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : FLORAKA (SARL), 10 rue de Rilly la Montagne - 51100 REIMS. Activité : Commerce gros et demi-gros de tous produits a des revendeurs ou des particuliers ainsi que de tous produits et prestations de services pour la communication. R.C.S. REIMS : B 440 881 936, pour le Greffe 2002 B 99.
116519 Le Greffier : B. DELPY.
Dénomination sociale : S.A.R.L. ARARAT.
Forme sociale : S.A.R.L.
Montant du capital social : 500 euros.
Adresse du siège social : 25, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.
Objet social :
Ravalement de façade,
Maçonnerie générale,
Isolation thermique extérieur (ITE).
Dirigeant : ASLAN Mehmet Cüneyt, 25, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.
Associé : KARATAS Muhammed 4, allée des Provençaux, 51100 Reims.
La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.
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Reims est la seule ville en France à détenir ce modèle de projecteur astronomique. L’image du ciel qu’il produit est particulièrement réaliste.
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Petit événement dans le nouveau planétarium encore en construction station Franchet-d’Esperey. Le projecteur dernière génération vient d’être installé. Il sera testé aujourd’hui.
Un petit bijou. Le projecteur astronomique du nouveau planétarium est arrivé. Assemblé hier mardi dans la salle de projection toute neuve, il doit être testé aujourd’hui. Les travaux du bâtiment ne sont pas encore terminés avenue de Gaulle, à hauteur de la station de tramway Franchet d’Espérey, mais l’installation du projecteur est un pas important vers l’inauguration prévue le 6 septembre.
Même s’il n’a pas obtenu de la Ville le droit de parler de son nouveau bébé dès hier, Philippe Simonnet, directeur du planétarium délocalisé, est heureux comme un gosse.
Comme il nous l’avait déjà confié, il s’agit d’un équipement exceptionnel que la ville de Reims sera seule à détenir en France : « La différence tient à la qualité du ciel qui est projeté. Il s’agit d’un système d’optique et non de vidéo, ce qui change tout. Le public va se retrouver sous un ciel d’un réalisme impressionnant ».
Grâce aux potentialités de l’appareil, les programmateurs pourront varier les thèmes des séances : « Par exemple, on pourra passer très vite d’une année à l’autre. En quelques secondes, on pourra montrer le ciel d’aujourd’hui et celui du même jour un siècle plus tôt ». Impossible encore de montrer celui du siècle suivant ! Le projecteur a été fabriqué à Iena en Allemagne d’où il arrive. Décrit comme optomécanique dernière génération, il est dénommé Zeiss ZKP4. Il a coûté 400 000 euros pour un budget total du nouveau planétarium de 3,5 millions.
La coupole de 8 mètres de diamètre dans laquelle il a été installé a gagné un peu en volume par rapport à celle de l’ancien collège des Jésuites. Elle peut accueillir 50 personnes contre 40 dans l’ancien bâtiment de la place Museux. Deux places ont été adaptées aux personnes handicapées.
À l’extérieur, l’équipe du chantier termine actuellement de poser les grilles tout autour du site. On peut déjà cheminer via une passerelle pour accéder au planétarium dessiné en forme de navette spatiale. L’architecture audacieuse de Jean-Paul Bonnemaison se marie à merveille avec la destination du bâtiment.
Seul bémol dans le décor : l’ancienne école défraîchie à l’arrière gâche un peu le paysage : « Nous avons l’intention de la redécorer. Elle sera repeinte dans un style qui colle avec le planétarium », annonce l’adjoint chargé du dossier.
Une fête, d’un coût estimé à 50 000 euros, est prévue le 6 septembre pour célébrer l’ouverture de la nouvelle structure. Sous un ciel qui sera forcément étoilé. Au moins à l’intérieur.
Catherine FREY
CHAMPIONNATS DE CHAMPAGNE-ARDENNE SENIORS. Même si la majorité des regards étaient tournés vers les 2e séries (lire notre édition de lundi), les championnats de Champagne-Ardenne individuels seniors, disputés le week-end dernier au Centre de ligue de Reims, ont également attribué les titres en 3e et 4e séries.
D’autant que les lauréats auront aussi le privilège de fouler la terre battue de Roland-Garros pendant l’été à l’occasion des championnats de France.
Ainsi, en Espérance (3e série), la finale masculine était tout simplement la revanche de celle des championnats de la Marne entre Corentin Fazilleau (15, La Vaure) et Louis Compas (15/1, Géo-André Reims).
Battu 6-3, 6-2 en début d’année, le Rémois a cette fois dominé les débats pour s’imposer nettement (6-2, 6-2) après avoir coupé l’herbe sous les pieds de l’Ardennais Valentin Marquis (15/2, Nouzonville) au tour précédent.
Quant au tableau féminin, décimé par les forfaits, il n’a pas connu de surprise puisque la tête de série nº 1 Carole Garnesson (15/1, Foyer Barsequanais) s’est imposée aux dépens Marie-Christine Saint-Mard (15/1, ASPTT Charleville-Mézières), après avoir déjà éliminé Zoé Martin (15/2, Les Mazures-Renwez) en demi-finale.
En Omnium (4e série), le Marnais Allan Steinberg (30, URT Reims) a encore fait sensation. Venu du tennis de table et licencié depuis seulement le début d’année, le Champenois avait traversé tout le tableau des championnats départementaux.
Monté directement à 30 au classement intermédiaire, il a récidivé en n’abandonnant que sept jeux en trois matches ! De quoi forcément nourrir quelques ambitions pour les championnats de France du côté de la Porte d’Auteuil.
Enfin, dans la finale féminine, la favorite Camille Schwartz (30, Bétheny) a échoué au stade ultime face à la Troyenne Emie Seurat (30/1), là où les Ardennaises Anne Brissart (30/1, Nouzonville) et Emilie Schaep (30/1, Mouzon) ont cédé en quarts de finale. Ce qui faisait dire, non sans un certain humour, au conseiller en développement de la Ligue Benoît Duchet : « Seurat ou Seurat pas championne de France ? »
HOMMES
Espérance (3è série). Quarts de finale.- Marquis (15/2, Nouzonville) bat Bonnefoi (15/1, Romilly) 2-6, 7-6, 6-3 ; Compas (15/1, Géo-André) bat Fromholtz (15/1, Chaumont) 6-4, 7-6 ; Braibant (15/1, Rosières) bat Thimel (15/3, Tamis Foulinois) par WO ; Fazilleau (15, La Vaure) bat Leonard (15/2, Les Mazures-Renwez) 4-6, 6-1, 6-2. Demi-finales.- Compas bat Marquis 6-4, 6-1 ; Fazilleau bat Braibant 7-5, 7-6 (10/8). Finale.- Compas bat Fazilleau 6-2, 6-1.
Omnium (4è série). Quarts de finales.- Lafay (30/2, Tamis Foulinois) bat Bodechon (30, Les Mazures-Renwez) 7-6, 7-6 ; Walczak (30/1, Creney) bat Moret (30/1, Bétheny) 7-5, 6-2 ; Janson (30/1, TC des Deux Vallées) bat Filippi (30/1, Bogny sur Meuse) par WO ; Steinberg (30, URT) bat Nguyen (30/4, Joinville) 6-0, 6-0. Demi-finales.- Lafay bat Walczak 7-6, 3-6, 7-5 ; Steinberg bat Janson 6-2, 6-0. Finale.- Steinberg bat Lafay6-4, 6-1.
DAMES
Espérance (3è série) Quarts de finale.- Cécile Mannevy (15/1, Bar-sur-Aube) bat Roseline Vienet (30, Chaumont) par WO ; Marie-Christine Saint-Mard (15/1, ASPTT Charleville) bat Anne Piquard (15/3, Sillery) 6-0, 6-2 ; Zoé Martin (15/2, Les Mazures-Renwez) bat Natacha Jacquot (15/3, Cormontreuil) 4-6, 6-4, 6-3. Demi-finales.- Marie-Christine Saint-Mard bat Cécile Mannevy par WO ; Carole Garnesson (15/1, Foyer Barsequanais) bat Zoé Martin 7-5, 6-1. Finale.- Carole Garnesson bat Marie-Christine Saint-Mard 6-2, 6-3.
Omnium (4è série) Quarts de finale.- Emie Seurat (30/1, TC Troyes) bat Laurence Klopp (30, Bétheny) 6-1, 6-2 ; Marion Heslot (30/1, Chaumont) bat Anne Brissart (30/1, Nouzonville) 6-2, 6-2 ; Corinne Sermage (30/1, CA Rolampontais) bat Emilie Schaep (30/1, Mouzon) 6-2, 6-1 ; Camille Schwartz (30, Bétheny) bat Mélanie Kohler (30/2, TC Pontois) 4-4 abandon. Demi-finales.- Emie Seurat bat Marion Heslot 6-3, 6-2 ; Camille Schwartz bat Corinne Sermage 6-7, 7-6, 6-3. Finale.- Emie Seurat bat Camille Schwartz 6-4, 6-4.
Une quinzaine de suspects ont été appréhendés hier matin par les policiers dans le cadre d’un important trafic de stupéfiants à Croix Rouge.
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Les chiens policiers - ici un Labrador des douanes - étaient de la partie pour dénicher la drogue.
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Les enquêteurs ont saisi des produits stupéfiants, des armes et de l’argent au terme d’un an d’investigations.
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REIMS (Marne). Lundi, une centaine de policiers ont procédé à un vaste coup de filet dans le cadre d’un important trafic de stupéfiants orchestré dans le quartier de Croix Rouge. Une quinzaine de suspects ont été appréhendés en possession de drogue, d’argent liquide et de quelques armes.
Il est six heures du matin quand de nombreux policiers de la sûreté urbaine et du SRPJ de Reims investissent la place Georges Braque, en plein cœur du quartier sensible de Croix Rouge. Ils se rendent à pas de loup au 4e et au 5e étage de l’immeuble numéro 8, épaulés des hommes en noir de la Brigade de recherche et d’investigation (BRI) de Strasbourg.
L’adresse est la bonne. Pour preuve, deux jeunes gens dorment d’un œil sur un canapé élimé installé dans le hall d’entrée. Ces petites mains montent la garde 24 heures sur 24 afin d’indiquer le chemin des paradis artificiels aux clients de passage.
Sorte d’« hôtesses d’accueil », ceux-là restent en tenues de sport, avec capuche de rigueur. Ils déguerpissent tandis que les policiers font « sauter » les portes d’entrée des trafiquants.
« Celui qui est au quatrième étage vend du cannabis tandis que celui du cinquième est spécialisé dans l’héroïne et les ecstasy », indique un anonyme. Ce bon père de famille, qui se lève tôt pour nourrir les siens, est soulagé. Il désespérait que la police fasse le ménage dans le secteur. « Lundi soir encore, ils étaient nombreux à défiler pour acheter de la drogue », poursuit cet autre. « Ils prenaient un ticket pour faire la queue comme à la sécurité sociale », ironise-t-il.
C’est d’autant plus insupportable pour les voisins que la tension est palpable dans ces files d’attente où se croisent paumés et petits voyous sous les yeux de leurs enfants. « Il y a trois semaines, une grosse bagarre a éclaté. Il y avait pas mal de sang sur le palier », précise un autre père de famille.
Soucieux de faire tomber l’ensemble du réseau, les policiers de la sûreté urbaine de Reims multipliaient les planques depuis environ un an. De filatures en surveillances, ils ont fini par un nom sur une quinzaine de suspects répartis pour l’essentiel aux quatre coins du quartier de Croix Rouge.
Comme à Georges Braque, les enquêteurs ont appréhendé la quasi-totalité de leurs « cibles », fermant de facto plusieurs points de vente tenus par deux ou trois caïds locaux flanqués de petits revendeurs et de guetteurs. Les perquisitions, opérées à l’heure du laitier, confortent les soupçons des policiers.
Des chiens policiers, d’autres de la gendarmerie ou encore des douanes, ont mis le museau sur des produits stupéfiants et sur toute la panoplie des accessoires nécessaires au conditionnement des doses comme des balances ou des emballages.
De d’argent liquide et des armes ont également été découverts au domicile des suspects. Placés en garde à vue, ces derniers ont maintenant jusqu’à 96 heures pour s’expliquer face aux policiers et indiquer le rôle précis qu’ils ont pu jouer dans l’organisation du trafic.
Éric LAINÉ
L’incendiaire qui sévit depuis le mois de mars dans le local à vide-ordures du 3 allée des Landais est repassé à l’action, dimanche matin vers 2 h 15, en mettant le feu à des sacs-poubelle. On comptabilise désormais une douzaine d’incendies au même endroit (plus quelques-uns aux abords immédiats).
Toujours dimanche, les pompiers ont éteint un feu de détritus rue Jean-Nicolas-Surot à Tinqueux vers 17 heures, puis sur un terrain de foot rue de l’Escaut à 22 h 45. Une poubelle a également brûlé à 21 heures rue Perseval (centre-ville), trois autres à 4 h 10 place des Argonautes, une autre encore vingt minutes plus tard dans le même secteur, rue Dumont-d’Urville.
La nuit s’est terminée avec un feu de poubelle rue d’Alsace-Lorraine, peu avant 5 heures. A 11 h 10, un dégagement de fumée provoqué par le dysfonctionnement d’un chauffe-eau a fait sortir une dizaine de personnes rue du 106e R.I., au n°8.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 5.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex
Maître d’œuvre conception, réalisation et pilotage des travaux : APO – 11, rue de l’Ecu 51100 REIMS Tél. 03.26.47.69.01 - Fax 03.26.88.67.31
Objet : Construction d’une agence bancaire – Avenue Léon Blum - Quartier Croix du Sud à Reims (51)
Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Le marché est composé de 9 lots :
Lot 01 : MENUISERIES EXTERIEURES ALUMINIUM
Lot 02 : MENUISERIES INTERIEURES PLATRERIE
Lot 03 : FAUX PLAFOND
Lot 04 : ELECTRICITE / ECLAIRAGE / COURANTS FAIBLES
Lot 05 : PLOMBERIE / SANITAIRES
Lot 06 : CLIMATISATION VMC
Lot 07 : CARRELAGE
Lot 08 : PEINTURE
Lot 09 : SOLS SOUPLES STRATIFIES
Délai d’exécution : 5 mois (dont 1 mois de préparation de chantier)
Date limite de réception des candidatures et des offres : Mardi 9 juillet 2013 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart CS 80017 - 51723 Reims Cedex
Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 18 juin 2013 – 10 heures, auprès de :
Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, Référence du marché : CN-100613
Sur support papier, aux frais du candidat : I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61
Renseignements techniques : APO – Tél. 03.26.47.69.01
Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 13 juin 2013 aux Journaux L’UNION ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.
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Atteint de paralysie cérébrale sévère, Victor Galland a commencé à pratiquer la boccia avec Sébastien Plawecki au sein du Centre de rééducation pour IMC du Val-de-Murigny en 2006.
Cette discipline paralympique est présente au niveau de la Fédération française handisport depuis 2007. Dans sa catégorie BC3 (athlètes ayant d’importantes difficultés motrices qui peuvent être aidés d’un assistant ou d’un appareil pour lancer la balle), Victor s’est rapidement distingué pour pouvoir pratiquer au niveau national à partir de 2008 et a pu participer au championnat de France à Marseille dès mars 2010.
Depuis, il a beaucoup progressé grâce à des entraînements réguliers organisés par Aventure Boccia dans le Gymnase Géo-André de la Ville de Reims jusqu’à parvenir au titre de vice-champion de France à Brest en mars 2012.
Victor, intégré au pôle France en 2010, va participer avec deux autres jeunes Français et son assistant Guillaume Guizard à son premier championnat d’Europe du 15 au 23 juin à Guimaraes au Portugal.
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L’immeuble 3 Rodin démoli permet au quartier de respirer et d’être désenclavé grâce à la rue Madeleine Terrien. Photos Hervé OUDIN
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Un immeuble démoli et c’est tout un quartier qui se redessine, avec une nouvelle rue pour désenclaver l’îlot Degas-Rodin.
Le quartier Croix-Rouge est en pleine mutation grâce au programme de renouvellement urbain et il ne se passe pas une semaine sans que la Ville, avec l’Etat et un des bailleurs sociaux, n’inaugurent ou ne posent une première pierre, le tout pour environ 175 millions d’euros sur 10 ans.
C’était encore le cas hier, à Croix-du-Sud, pour la fin de la rénovation des 450 logements de l’îlot Degas-Rodin. Facile à trouver : c’est juste derrière le fameux parking garni de pots de fleurs géants, le long du tram et de l’avenu Bonaparte !
« Nous sommes depuis 30 ans à Croix-du-Sud, et aujourd’hui se conclut un travail de longue haleine, de détail même » a expliqué le directeur de Plurial l’Effort rémois, Alain Nicol. Le bailleur a mis 1,7 million pour cette opération Degas-Rodin, et 40 millions en 10 ans dans ce quartier. Mais il s’agit autant de renouvellement urbain que de renouvellement humain pour nous. Il a même promis des idées originales de lien social, « mais on ne dit rien avant la fin de l’année, de peur que nos amis nous les piquent ! »
Pour le 1er adjoint Eric Quénard, il s’agit aussi de « transformer la vie des habitants, avec ces nouvelles rues, cette résidentialisation, l’ouverture de la marmite, ou la colocation solidaire (NDLR : d’étudiants) engagée par l’Effort rémois ». S’ajoutent 1500 m2 de commerces dans des cellules toutes neuves, dont la nouvelle agence de Plurial inaugurée pour l’occasion.
Le plus spectaculaire pour le quartier a été la démolition d’une barre de 44 logements (le 3 Rodin), ce qui a permis de créer deux rues pour désenclaver l’îlot et permettre au quartier de mieux respirer. Ce qui sera totalement fait dans quelques mois, avec la destruction du 15 Rodin et de la place, qui marquera la fin du réaménagement de l’îlot. Le bailleur en profitera pour remettre à niveau le sol, car il y a actuellement une butée.
Instant d’émotion hier lors du dévoilement de la plaque de la nouvelle rue Madeleine Terrien. La famille de la peintre rémoise était en effet présente, notamment sa fille Monique et sa petite-fille Clothilde, qui a rappelé « que ce n’était pas une grand-mère ordinaire : elle peignait mieux qu’elle ne cuisinait, mais surtout, elle a su rester humble malgré le succès ».
Dans ce quartier où toutes les rues sont au nom d’artistes, plus spécialement de peintres, Madeleine Terrien est en bonne compagnie. Cette Rémoise née en 1914 en Thiérache, est arrivée avec son mari en 1939 à Reims, tenant le Familistère de la rue Chanzy. Soprano, elle se tourne vers la peinture à la retraite, réalise des œuvres au couteau, puis donna des cours au centre social Billard, à la maison d’arrêt et à la MJC Le Phare. Chevalier des arts et des lettres, elle a créé en 1993 l’atelier Madeleine Terrien, où des artistes continuent de donner des cours de peinture sous la présidence de Josette Bisteur.
L’autre voie a été baptisée rue Niki de Saint-Phalle, en l’honneur d’une artiste peintre, plasticienne, sculptrice et réalisatrice. D’abord mannequin aux Etats-Unis, elle a multiplié les œuvres, dont la fontaine Igor Stravinski à Paris.
G.F.
Une collision impliquant une voiture et un camion s’est produite hier à 8 heures sur l’A4, dans le sens Metz — Paris, au niveau de Trois-Puits. Deux personnes ont été légèrement blessées.
Vers 18 h 30, un enfant de 9 ans a été renversé par une voiture rue Raoul-Dufy à Reims. Lui aussi est légèrement blessé.
La veille jeudi, à 13 h 30, un accident sans gravité s’est produit rue de la Gare à Pontfaverger.
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CHÂLONS-EN-CHAMPAGNE (Marne). Mercredi soir, deux distinctions et les prix du Concours national de la Résistance et de la Déportation ont été remis lors d’une cérémonie.
EN première partie de la cérémonie du Concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD), le préfet de la Marne a remis deux distinctions. L’une à Christian Bruyen, vice-président du conseil général de la Marne en charge des commémorations et du monde combattant. Il est un interlocuteur privilégié dans le dossier du centenaire de la Marne. Cette distinction est une juste récompense de l’aide que le conseil général offre au service départemental et participe à la pérennité de ces relations.
Puis c’est Hervé Chabaud, rédacteur en chef du journal L’Union, fils de résistant et petit-fils de déporté mort en camp, vers lequel les regards se sont tournés. Il est une personnalité départementale à la fois comme journaliste et comme historien, très impliqué à chaque millésime dans le concours du CNRD. Il sera une aide précieuse et indispensable dans le centenaire de la Grande Guerre de la Marne. Cette distinction consolide les liens forts qui existent déjà.
Neuf collèges et lycées (dont professionnels) ont participé au concours. Le jury a réparti les lauréats en deux catégories : niveau collège et niveau lycée. Le jury a sélectionné la copie qui représentera la Marne pour le jury national.
Est désignée par le jury national dans la catégorie collège au titre de la rédaction individuelle : Laura Prin-Felix (collège Yvette Lundy de Ay).
Est désignée par le jury national dans la catégorie lycée au titre de la rédaction individuelle : Salomé Balatre (lycée Marc Chagall de Reims).
Sont désignés par le jury national dans la catégorie collège au titre du mémoire collectif : Ismaël et Yonas Hassnaoui, Nathan Monfroy, Sami Omrane (collège Perrot d’Ablancourt de Châlons).
Sont désignées par le jury national dans la catégorie lycée au titre du mémoire collectif : Maurine et Typhanie Creusel, Héloïse Dawant et Héloïse Flour (lycée Marc Chagall de Reims).
Dans la catégorie collège au titre de la rédaction individuelle : Jeanne Baillot, Safia Grefils-Alvarez, Marie Niewiedziala, Bérénice Prin-Felix (collège Yvette Lundy de Ay-Champagne). Emeline Gallois, Domitille Landes, Lucas Lesport, Harmony Bart (collège Notre-Dame Perrier de Châlons). Quentin Dida (collège Perrot d’Ablancourt de Châlons). Clément Contreras, Aurélien Cordonnier, Antoine Desfosses, Inès Filiali, Vincent Gueffier (collège Saint-Etienne de Châlons). Tanguy Meli (collège Jean Monnet de Epernay). Inès Roulet (collège François Legros de Reims). Lucas Bernhard, Alexandre Marquot, Damiane et Romane (collège Saint-Jean Baptiste de la Salle de Vitry-le-François). Isamaël et Yonas, Nathan Monfroy, Sami Omrane (collège Perrot d’Ablancourt de Châlons).
Dans la catégorie collège au titre de mémoire collectif : Alexis Commissaire, Thomas Didier, Irvin Henry, Lucas Lesport, Yohann Rinaldo, Elisa Dehu, Emeline Gallois (collège Notre-Dame Perrier de Chalons).
Dans la catégorie lycée au titre de la rédaction individuelle : Wafa Arbaoui, Clara Guillemin, Oriane Jaillet, Nimron Koneshachandra, Selma Malmberg, Sihem M’Barek (lycée Marc Chagall de Reims). Mathilde Lecaillon (lycée Saint-Joseph de Reims). Alexis Pujol (lycée professionnel François-1er de Vitry-le-François).
Dans la catégorie lycée au titre de mémoire collectif : Marilyne Anspach, Mathilde Marchal (lycée Ozanam de Châlons). Salomé Balatre, Nimron Koneshachandra, Selma Malmberg (lycée Marc Chagall de Reims).
Pour clôturer cette cérémonie, le verre de l’amitié a été servi.
L’équipe de direction. De gauche à droite : Christian Enault, trésorier, Marie-France Pernet, directrice, Michel Guillaudeau, président, et Laurent Callon, comptable.
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Le public dans la salle de réunion de La Marmite, le restaurant associatif de Croix-du-Sud.
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REIMS (Marne). Jobs’51 a pour objet d’aider les personnes sans emploi à retrouver du travail pour des missions plus ou moins longues, auprès de particuliers, de collectivités ou d’entreprises, dans une optique d’insertion.
UNE association « intermédiaire », qu’est-ce c’est ? « Job’s 51 est une association intermédiaire, loi 1901, conventionnée par l’Etat, sur un territoire géographique donné. Elle fait partie des structures d’insertion par l’activité économique. Elle est au service des demandeurs d’emploi qui rencontrent des difficultés socio-professionnelles, afin de les accompagner vers une insertion professionnelle durable grâce à un parcours individuel adapté à chaque situation », précise la directrice, Marie-France Pernet : « C’est un processus qui nécessite de la disponibilité, de l’écoute et du temps. »
Malheureusement, la mise à disposition auprès d’un employeur est limitée à 480 heures sur une période de deux ans et elle est soumise à une obligation d’agrément délivrée par Pôle emploi dès que la durée dépasse 16 heures, « des contraintes perçues comme des freins au développement de l’activité ! »
Depuis sa création en 1992, l’association intermédiaire Job’s 51 a beaucoup évolué. Actuellement, elle a orienté son activité en direction des particuliers, des entreprises, des associations et des organismes-logeurs, en particulier le Foyer Rémois.
« Notre implication est forte dans le domaine de la rénovation urbaine avec l’application de la clause sociale qui, pour chaque chantier, fixe un pourcentage d’heures de travail réservées à l’insertion », précise le président Michel Guillaudeau.
L’équipe de Job’s 51 a évolué également, elle est plus spécialisée avec un conseiller en insertion professionnelle, un encadrant technique, responsable du suivi comptable, un secrétariat et l’accueil piloté par la directrice.
« Cela permet un entretien d’accueil des nouveaux demandeurs d’emploi qui s’inscrivent auprès de l’association, l’organisation d’un parcours d’insertion où le suivi détermine les modalités de la mise au travail. Depuis quelques années, nous multiplions les actions de formation sur les techniques professionnelles, la connaissance des produits de nettoyage, les gestes et postures… »
« Aujourd’hui, dans une société en crise, notre structure est confrontée à des situations nouvelles : les particuliers au pouvoir d’achat réduit limitent leurs demandes de services, de même pour les associations dont les subventions connaissent parfois des coupes sombres ; des organismes-logeurs se sont tournés vers d’autres sources de main-d’œuvre, les entreprises multiplient la sous-traitance et le programme ANRU va bientôt connaître une pause », regrette Michel Guillaudeau. « Cependant nombre d’entreprises nous font confiance et apprécient nos actions de suivi et l’encadrement technique qui entoure nos salariés mis à disposition. »
En ce qui concerne l’avenir de l’association, le comptable Laurent Callon est alarmiste : « Vous êtes très peu subventionnés, et votre volume d’activités ne génère pas suffisamment de financement pour couvrir l’intégralité de vos charges (permanents et structure). D’où un déficit de 62 000 euros. Heureusement, votre structure est solide et vous disposez d’une marge de manœuvre importante, des années précédentes. Nous avons dû piocher dans ces réserves pour équilibrer votre budget 2012, mais combien de temps pourra-t-on durer de la sorte ? Vous avez encore quelques années devant vous, mais après ? »
Un adhérent demande : « Quel recours ? » C’est le trésorier Christian Enault qui répond : « Aucun ! Nous avons frappé à toutes les portes, tout le monde est désolé, mais aucune solution n’est en vue ! »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Jusqu’au 15 juin, le collectif Etc intervient dans le quartier Croix-Rouge. Son objectif est de préparer et d’accompagner un nouvel équipement public dont le début de travaux est prévu pour fin 2013 et qui sera livré dans le quartier en 2015. Celui-ci aura plusieurs vocations, culturelles et sociales, dans une combinaison à préciser entre une salle de spectacle, un bar-restaurant, une maison de quartier, un incubateur d’association et une maison de la petite enfance.
D’ici là, les concepteurs veulent éviter que, dans l’esprit des futurs utilisateurs, il y ait « un risque de décalage », à cause de la durée des travaux.
C’est pourquoi le collectif Etc accompagnera la construction de cet équipement, en intervenant régulièrement sous forme de « chantiers ouverts » d’une ou deux semaines (tous les 4 à 5 mois), jusqu’à la livraison.
Il leur faut donc occuper les lieux dès maintenant avec déjà la transformation de l’ex-parking actuel G8 en face du lycée Arago, en espace public : « Nous allons rencontrer un maximum d’acteurs du quartier susceptibles de prendre part au projet de l’équipement. On peut nous contacter par téléphone au 06.24.47.95.25. »
Les aménagements resteront sur place jusqu’au début du chantier et évolueront au fur et à mesure. « Nous organiserons aussi des ateliers ouverts à tous, et plusieurs événements : repas, concerts, fête de la musique, … »
Plus d’infos : www.collectifetc.com
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L’équipe de Football Loisir de l’Association Croix-Rouge pour l’Animation et la promotion (Acrap) a été triplement honorée après sa participation au tournoi d’Isles-sur-Suippe le dimanche 19 mai.
« Nous avons en effet reçu la coupe rouge pour l’équipe entente (Isles-sur-Suippe a offert cette coupe à Fabrice, capitaine de l’équipe entente).
La coupe verte, dite du fair-play, a été remise au Club Acrap et enfin, la grande coupe, celle de la 3e place sur 8 équipes, a été offerte à Romain Bagot, entraîneur de l’équipe Foot Loisir Acrap. »
L’été en musique se poursuit ce soir avec le grand concert à Croix-Rouge qui promet beaucoup, sur le parking de l’hippodrome à partir de 20 heures (entrée libre).
Deux groupes de rap rémois ouvriront le bal : BES, composé de trois rappeurs (P.E Ice, L.A et Pheezy) qui signent un hip-hop moderne et actuel ; Black Industrie, avec Demi, Ard, BChoppe et 6Rano ; Locs et MG, Beatmakers, qui sont tous de Croix-Rouge. Ils allient leur hip-hop à d’autres styles musicaux comme le RnB, le reggae, le jazz, la variété française ainsi que différents rythmes africains. Leur chanson Ligue est devenue l’hymne du stade de Reims.
Les têtes d’affiche seront un groupe de gnawa et deux artistes raï. L’Algérienne Cheba Faïza chante un raï de type medahat, traditionnel algérien, et a à son actif plus d’une dizaine d’albums. Abdel Kader Haibaoui, nom de scène Kader Japonais (à cause de son air faussement asiatique), a repris les plus grands succès de la musique raï. Reconnaissable entre tous grâce à sa voix rauque si caractéristique, il participe aux plus grands festivals internationaux de musique du Maghreb.
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REIMS (Marne). Ils sont soupçonnés d’avoir molesté un passager qui voulait manger un sandwich au jambon dans le tramway de Reims. Ils l’auraient frappé en invoquant un motif religieux.
ON en sait un peu plus sur l’agression d’un passager du tramway survenue ce week-end à Reims. Comme nous l’avions évoqué dans l’union de mardi, il se confirme que la victime a été frappée alors qu’elle voulait manger un sandwich au jambon.
Les faits se sont produits vendredi, vers 21 heures. Agé de 23 ans, le jeune homme a pris le tramway avec deux camarades pour se rendre à une soirée. Alors que la rame traversait le quartier Croix-Rouge, il a sorti de son sac à dos un morceau de pain et du jambon pour se préparer un sandwich.
Un groupe de trois passagers se trouvait près de lui. Tous les témoins s’accordent à dire qu’à la vue des tranches de jambon, l’un des individus l’a apostrophé de vive voix en l’accusant de manger délibérément du porc devant lui pour le provoquer et porter atteinte à ses convictions religieuses (il a fait comprendre qu’il était musulman).
Surpris par cette accusation, le jeune homme a répondu qu’il n’avait l’intention d’offenser personne. Les récriminations accompagnées d’insultes ont pourtant continué de plus belle. D’après le plaignant et les témoins, l’individu, après avoir réitéré son refus de le voir manger du porc en sa présence, s’est précipité sur lui pour le frapper de coups de poing au visage.
Ses deux acolytes ont fait de même, puis les trois agresseurs sont descendus à l’arrêt suivant, du côté de la faculté Croix-Rouge.
Les coups portés au visage de la victime ont occasionné plusieurs blessures saignantes qui ont nécessité son transport aux urgences du CHU. « C’était très violent. J’ai cru qu’ils allaient lui fracasser la tête », déclare un témoin sidéré par la scène.
Le lendemain, sorti de l’hôpital, le jeune homme est allé porter plainte au commissariat pour des faits susceptibles d’être qualifiés en « violences volontaires » commises « en réunion » et « dans un moyen de transport collectif de voyageurs », deux circonstances aggravantes qui porteraient la peine maximale encourue à cinq ou sept ans d’emprisonnement selon la durée de l’incapacité totale de travail.
Les agresseurs sont toujours en fuite. Une enquête de police est en cours pour tenter de les retrouver.
F.C.
Un garçon de 19 ans a été interpellé dans l’avenue Pierre-Taittinger (quartier Croix-Rouge) après avoir porté un coup de poing à un contrôleur de bus de la ligne 13.
Le jeune homme circulait sans titre de transport.
Avec, dimanche, une cinquième et dernière journée sans surprise, la Division Qualificative à la Division Nationale 4 a délivré le nom des barragistes. Ainsi, chez les messieurs, le barrage sera, le 23 juin prochain au Centre de ligue de Reims, 100 % troyen. Et pas facile d’émettre le moindre pronostic entre le TC Troyes et l’ASPTT Troyes tant les deux formations semblent proches sur le papier.
En ce qui concerne la relégation, les descentes de N4 de Vitry, de Géo-André et Reims Europe Club vont forcément bouleverser les prévisions et il est probable que les cinquièmes et sixièmes de chaque poule descendent !
Du côté des dames, Saint-Dizier a confirmé son statut de grandissime favori en signant son cinquième 8-0 et sera opposé à Chaumont qui, à domicile, a résisté aux Mengeottes privées, il est vrai, de leur n° 1, Mathilde Jacquin. Quant à Bar-sur-Aube et au TC Côte des Blancs, ils prendront part, l’an prochain, au championnat Honneur.
Poule A : TC Troyes - Foyer Barséquanais 7-1 ; TC Reims - TC Givet 6-1 ; Montmirail - Betheny 7-1.
1. TC Troyes 14 points ; 2. TC Montmirail 13 ; 3. TC Reims 12 ; 4. Foyer Barséquanais 9 ; 5. TC Givet 7 ; 6. TC Bétheny 5.
Poule B : La Macérienne - Saint-Memmie 4-4 ; Romilly - ASPTT Châlons 3-5 ; CO Saint-Dizier - ASPTT Troyes 3-4.
1. ASPTT Troyes 15 points ; 2. Romilly 11 (+ 2) ; 3. ASPTT Châlons 11 (- 1) ; 4. CO Saint-Dizier 9 ; 5. La Macérienne 8 ; 6. TC Saint-Memmie 6.
Poule A : ASPTT Charleville - URT 7-1 ; TC Reims - TCM Bar-sur-Aube 4-3 ; CO Saint-Dizier - Reims Europe Club (B) 8-0.
1. CO Saint-Dizier 15 points ; 2. ASPTT Charleville 13 ; 3. Reims Europe Club (B) 11 ; 4. TC Reims 9 ; 5. URT 7 ; 6. TCM Bar-sur-Aube 5.
Poule B : TC Sedan - TC Troyes 7-1 ; TC Montmirail - TC Côte des Blancs 7-1 ; ECA Chaumont - TC Saint-Memmie 5-2.
1. ECA Chaumont 15 points ; 2. Sedan 13 ; 3. Saint-Memmie 11 ; 4. TC Troyes 9 ; 5. TC Montmirail 7 ; 6. TC Côte des Blancs 5.
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Du 27 avril au 5 mai, le Boom Bap a fait vibrer la ville au rythme du hip-hop via ses multiples aspects.
Le festival a notamment fait escale à la médiathèque Croix-Rouge, aux Halles du Boulingrin, au cinéma Opéra, au Manège, au Cirque (Circus Battle #2) et au cryptoportique (graff et danse), devant un public conquis.
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Si une grande partie des événements ponctuels liés directement au 10e anniversaire des médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge s’est déroulée du 21 mai au 1er juin derniers, d’autres propositions se poursuivent ce mois-ci : En quête… de bibliothèques (réseau BM jusqu’au 15 juin) ; Photomatez-vous (médiathèques Jean Falala jusqu’au 30 juin et Croix-Rouge jusqu’au 2 juin) ; exposition Bibliothèques Imaginaires Bizarres et Saugrenues (médiathèque Jean Falala jusqu’au 13 juillet) ; exposition Théâtre muet des bibliothèques (médiathèque Jean Falala jusqu’au 13 juillet), etc. Au-delà de ces rendez-vous, l’ensemble du réseau de la Bibliothèque Municipale affiche toujours une profusion de propositions à retrouver sur le site www.bm-reims.fr, rubrique "Ouvrez les guillemets". Et ce n’est pas fini. En septembre, la médiathèque Laon-Zola fêtera ses 40 ans
A. C.
Inauguré en mars dernier à Croix-du-Sud et géré par L’Assos’Café, le café-restaurant La Marmite est un lieu de rencontres convivial pour les habitants, travailleurs et étudiants.
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Inauguré en mars dernier à Croix-du-Sud et géré par L’Assos’Café, le café-restaurant La Marmite est un lieu de rencontres convivial pour les habitants, travailleurs et étudiants. Les partenaires financiers du projet (Etat, Ville de Reims, Alpha logement l’Effort rémois) favorisent ainsi une offre de proximité dans un quartier d’habitat social en renouvellement urbain. Accueil du public : du lundi au vendredi de 10 h à 15 h, 5 avenue Léon-Blum (quartier Croix-Rouge)
Fini le développement commercial structuré sur une opposition entre le centre-ville et la périphérie !
Aujourd’hui, la recherche de modernité et d’attractivité oriente désormais la collectivité vers un modèle de développement durable qui s’appuie davantage sur les nouvelles tendances de consommation : le retour à la proximité, la promotion de nouvelles mobilités et la limitation des déplacements automobiles, la valorisation des formes de commerce porteuses de lien social (marchés, structures coopératives…) ou d’innovation (e-commerce).
L’échelle du quartier et du centre-bourg regagne donc une réelle légitimité “commerciale”.
A l’image du quartier Clairmarais qui a connu une profonde évolution depuis l’arrivée du TGV en 2007. La construction de nouveaux immeubles de bureaux et d’habitat ont permis l’accueil en rez-de-chaussée de commerces et de services. A noter également l’implantation sur le secteur d’enseignes alimentaires de proximité comme Dailymonop et Super U, répondant aux besoins quotidiens des consommateurs.
A Reims, plusieurs projets urbains vont permettre de développer l’offre de proximité. La reconquête de la friche ferroviaire du Sernam, au nord du Boulingrin, permettra dans un futur proche la création d’un nouveau quartier répondant à l’ambition d’équilibre territorial par son caractère multifonctionnel. Le programme de construction associera logements, bureaux, centre commercial, hôtel, résidence seniors, résidence étudiante, parking…
Enfin, la collectivité s’attelle à favoriser une offre de commerces et services de proximité dans les quartiers d’habitat social (Croix-Rouge, Orgeval…). Objectif : améliorer le confort et la qualité de vie des habitants. Adeline Hazan, Maire de Reims et Présidente de Reims Métropole, inaugurait en avril dernier un nouveau pôle commercial (voir photo) à Croix-du-Sud, quartier en renouvellement urbain. Réalisée par Plurial l’Effort Rémois, l’opération s’élève à 1,2 M€ subventionnés par la Ville (15 %), l’ANRU (35 %) et le FEDER (10 %)
S. C.
Avec huit scènes dans la ville : place Brouette, place du 11 Novembre, place Saint- Thomas, place Jules Lobet, cryptoportique, parking de la Friche Artistique La Fileuse (Quartier Orgeval), Théâtre de verdure (quartier Wilson), avenue Bonaparte (Quartier Croix-Rouge). Dix-sept groupes programmés. Un concert à l’Opéra de Reims en compagnie de la chanteuse Hadhoum Tunc (programme Wagner, Siegfried-Idyll, et Mozart, ouverture de La Flûte Enchantée et airs de Don Giovanni). Mais aussi de la musique en mouvement dans le tram avec La Fanfare à Paulette. Sans oublier "Le Temps des Cerises" et la scène dressée place de l’Hôtel de Ville (Sacres du Folklore, voir aussi en page 44). Détail de la soirée sur www.reims.fr. Tous les lieux sont accessibles aux personnes à mobilité réduite
A. C.
Les Samedis du sport, lancés il y a trois ans par la Ville, permet à toute la famille de s’initier et de pratiquer gratuitement une ou plusieurs activités spor tives.
Pour cette nouvelle édition du 15 juin, une association implantée dans le quartier vous ouvre ses portes. Il s’agit de Vertical qui dispose d’un module escalade, au Château d’eau (rue Jean-Louis Debar). L’association vous propose une initiation à l’escalade. Un baptême entièrement encadré par des membres de l’association.
A côté de cette activité, le public pourra profiter d’activités aquatiques à la piscine Château d’eau, d’initiations à l’athlétisme et au badminton au gymnase Léo-Borgniet.
Renseignements à la direction des Sports de la Ville de Reims, 0326798640 ou sur reims.fr
La prochaine séance du Conseil de quartier Croix-Rouge, Hauts de Murigny se tiendra le jeudi 13 juin, 19 h, salle Mauriac.
REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus ce mercredi vers 2 heures, une énième fois au 3, allée des Landais dans le quartier Croix-Rouge pour maîtriser un incendie qui se développait dans le local vide-ordures de cet immeuble collectif.
Ils ont éteint le sinistre au moyen d’une petite lance et ventilé les locaux avant de regagner leur centre de secours.
Dans une saison 2013 bien sombre (quatre relégations sur cinq équipes engagées), le rayon de soleil est venu, dimanche, de Cormontreuil. Bien mal embarqués avec trois défaites de rang, les Cormontreuillois avaient repris espoir en allant gagner, la semaine précédente, à Dax. Restait à battre le TC Avrillé pour conserver sa place en N4.
Les vieux briscards du CTC ont livré une rencontre qui restera dans les annales contre des banlieusards angevins pourtant plus fort sur le papier. Si Thibault Visy (- 2/6) réduisait son adversaire chilien (- 4/6) au rôle de figurant, Sébastien Jolly (0) - jouant sur une jambe car blessé au mollet, ce qui l’obligeait souvent de servir à la cuillère ! - devait s’incliner 7-6 à la « belle » après avoir mené 5-2 !
Et Jean-Charles Robert (1/6) perdait aussi 7-6 dans le troisième set face à un adversaire perclus de crampes… La victoire avec une certaine autorité de Constant De la Bassetière et la défaite en trois sets du revenant Manuel Soumet contribuaient ensuite au score de 3-2 à l’issue des simples en faveur des visiteurs.
Le CTC n’a jamais été un spécialiste des doubles mais la magie a opéré puisque les paires Visy - De la Bassetière et Robert - Soumet ont triomphé dans une ambiance survolltée.
Pour le reste, c’est la bérésina. Les filles de Géo-André n’ont pas existé sur la terre battue de Mont-de-Marsan (8-0). Leurs homologues masculins - malgré la formidable « perf » contre un - 15 tchèque du capitaine Sébastien Paillard - n’ont pas fait beaucoup mieux dans le 16e arrondissement parisien contre le Féminin Paris Cercle (7-1). Idem pour le TC Vitry logiquement battu à Vichy (7-1).
Enfin, les « Européens » evolueront également en DQDN4 la saison prochaine. En déplacement à Beauvais qui alignait ses deux Espagnols à - 4/6, le REC n’a rien pu faire. Pas de regrets à avoir toutefois puisque, dans le même temps, Saint-Maur battait le leader Bussy
MONT-DE-MARSAN. - Stade Montois Tennis bat TC Géo-André 8-0. Carine Maisonnave (1/6, Stade Montois) bat Jackie Lassaux (0, Géo-André) : 7-5, 6-2 ; Marie-Laure Piganiol (2/6, Stade Montois) bat Maêva Spooner (3/6, Géo-André) 6-1, 6-3 ; Karine Redon (3/6, Stade Montois) bat Angela Charles-Alfred (4/6, Géo-André) 6-2, 4-6, 6-1 ; Laetitia Gassis (5/6, Stade Montois) bat Lisa-Marie Habert (5/6, Géo-André) 6-2, 6-4 ; Nadège Lespiau (5/6, Stade Montois) bat Lucie Grygielski (15, Géo-André) 6-1, 6-1.
Marie-Laure Piganiol - Stéphanie Birot (3/6, Stade Montois) battent Jackie Lassaux - Maêva Spooner par WO ; Karine Redon - Laetitia Gassis battent Angela Charles-Alfred - Lisa-Marie Habert par WO.
VICHY. - Sporting Vichy Bellevue Tennis bat TC Vitry 7-1. Lalouette (1/6, Vitry) bat Taillefer (1/6, Vichy) 5-7, 6-2, 6-3 ; Grolier (2/6, Vichy) bat Thouvenot (4/6, Vitry) 6-2, 6-1 ; Grail (2/6, Vichy) bat Mulat (15, Vitry) 6-0, 6-0 ; Bardet (2/6, Vichy) bat Amiot (15/1, Vitry) 6-0, 6-0 ; Braud (5/6, Vichy) bat Bonnerave (15/1, Vitry) 6-4, 6-2.
Martin (1/6, Vichy) - Grail battent Thouvenot - Lalouette 6-2, 6-2 ; Bardet - Grolier battent Mulat - Amiot 6-0, 6-1.
CORMONTREUIL. - Cormontreuil TC bat TC Avrillé 5-3. Visy (- 2/6, Cormontreuil) bat Gonzales Leiva (- 4/6, Avrillé) 6-2, 6-4 ; Kouyate (- 2/6, Avrillé) bat Jolly (0, Cormontreuil) 6-3, 3-6, 7-6 ; Nowaczyk (0, Avrillé) bat Robert (1/6, Cormontreuil) 6-4, 3-6, 7-6 ; De la Bassetiere (2/6, Cormontreuil) bat Pinchon (1/6, Avrillé) 7-5, 6-2 ; Prezelin (2/6, Avrillé) bat Soumet (4/6, Cormontreuil) 4-6, 6-2, 6-1.
Visy - De la Bassetière battent Kouyate - Nowaczyk 6-3, 6-2 ; Robert - Soumet battent Gonzales Leiva - Ville (2/6, Avrillé) 6-4, 6-2.
PARIS. - Féminin Paris Cercle bat TC Géo-André 7-1. Paillard (3/6, Géo-André) bat Vejmelka (- 15, Paris) 6-2, 7-6 ; Zornosa (0, Paris) bat Pacanowski (4/6, Géo-André) 6-3, 6-2 ; Baba Aissa (0, Paris) bat Leroy (4/6, Géo-André) 6-2, 6-1 ; Revol (1/6, Paris) bat Pignon (4/6, Géo-André) 6-3, 6-3 ; Daverne (4/6, Paris) bat Duval (15/1, Géo-André) 6-3, 3-6, 7-5.
Vejmelka - Monier Vinard (0, Paris) battent Paillard - Pacanowski 1-0 abandon ; Zornosa - Revol battent Leroy - Pignon 1-0 abandon.
BEAUVAIS. - Beauvais Oise Tennis bat Reims Europe Club 6-2. Valls Campos (- 4/6, Beauvais) bat Bonnet (1/6, Reims Europe Club) 6-3, 6-3 ; Garcia Gimeno (- 4/6, Beauvais) bat Birot (2/6, Reims Europe Club) 6-0, 6-2 ; Brieda (0, Beauvais) bat Gajanovic (2/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-3 ; Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Croc (3/6, Beauvais) 7-5, 6-7, 7-5 ; Woynar (5/6, Reims Europe Club) bat Saillant (3/6, Beauvais) 4-6, 6-3, 6-4.
Valls Campos - Garcia Gimeno battent Gajanovic - Seuret 6-4, 6-1 ; Croc - Rondeau (4/6, Beauvais) battent Bonnet - Woynar 2-6, 6-3, 1-0.
Numéro 7502 du 10 au 16 juin 2013.
Aux termes d’un acte sous seings privés, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : Société par actions simplifiée.
DENOMINATION : ACTIFORT. CAPITAL : 3.000 €.
SIEGE SOCIAL : 58 rue Galilée 51100 REIMS.
OBJET : Le négoce de matériels industriels.
DUREE : 99 années.
PRESIDENT : Monsieur Didier COTS, demeurant 58 rue Galilée 51100 REIMS.
MENTIONS COMPLEMENTAIRES :
-ADMISSION AUX ASSEMBLEES ET DROIT DE VOTE : Tout associé peut participer aux assemblées sur justification de son identité et de l’inscription en compte de ses actions. Le droit de vote attaché aux actions est proportionnel à la quotité du capital qu’elles représentent. Chaque action donne droit à une voix au moins.
AGREMENT : Les actions ne peuvent être cédées, y compris entre associés, qu’avec l’agrément préalable de la collectivité des associés.
IMMATRICULATION : R.C.S. de REIMS.
116188 Pour avis.
Par décision du gérant de la SARL unipersonnelle REMARK STUDIO, au capital du 10.000 €, 37 avenue Saint Pol - 51100 REIMS, 482 282 746, R.C.S. REIMS, en date du 30 mai 2013, il a été décidé de transférer le siège social de la société au 14 rue Edouard Mignot - 51100 REIMS, à compter du 10 juin 2013. GERANCE : Monsieur Richard MALMBERG, demeurant 31 rue Newton - 51100 REIMS. Mention en sera faite au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
116224
La prochaine séance plénière du Conseil de quartier Croix-Rouge – Hauts-de-Murigny se déroulera jeudi 13 juin à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, 4, avenue François-Mauriac.
Au programme, les comptes rendus des Commissions du Conseil et le point sur les travaux dans le quartier Croix-Rouge.
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REIMS (Marne). Faire vivre des valeurs citoyennes à travers des parcours artistiques : c’est l’objectif de « Théâ », qui a permis à plus de 200 écoliers marnais d’apprivoiser théâtre et danse.
« ILS sont plus de 400 classes en France qui découvrent, par le biais du théâtre, des textes d’un auteur dramatique contemporain pour jeune public. Cette année, c’est Karin Serres », explique Lysiane Julien, coordinatrice régionale et départementale de « Théâ ». Théâ, c’est une des actions menées par l’OCCE (Office Central de Coopération à l’Ecole), afin de favoriser l’accès des enfants à la culture, à travers un théâtre « citoyen » qui développe l’affirmation de soi, le respect des autres et de la différence. Karin Serres, quant à elle, est connue dans notre région : elle a déjà été l’invitée notamment des associations « Lire et Délires » et « Méli’môme ».
Les enseignants qui participent au projet, auxquels se sont ajoutés des animateurs de maisons de quartier, ont une formation par l’intermédiaire de Nathalie Azam.
Durant trois jours (les 17 mai, 4 et 7 juin), 12 classes marnaises ont présenté leurs spectacles à leurs camarades. Elles sont accompagnées dans leur projet par des artistes : les comédiennes Virginie Massard, Florence Prévost, Nathalie Azam, la danseuse Aurélie Dalle, Pseudonymo et Succursale 101 pour les marionnettes.
L’objectif est double : « Entrer dans une vraie démarche de création artistique et faire se rencontrer différents publics d’enfants ». C’est ainsi que, vendredi, les enfants de l’école rémoise « Blanche-Cavarrot » côtoyaient ceux des écoles de Rilly-la-Montagne et de Villers-Allerand. Maryvonne Leclère accompagne ses petits de maternelle : « L’intérêt de Théâ, c’est de travailler avec des professionnels, d’amener le projet jusqu’à la rencontre finale ».
Sur la scène du Ludoval, deux classes de Blanche-Cavarrot répètent les manipulations du spectacle de marionnettes qu’ils ont monté sur « Frigomonde » : un pays où trois tribus, les « Kélélé », les « Ouétu-Chulaq » et les « Lions », qui parlent bizarrement, se disputent une plaque de glace qui craque dangereusement…
Les enfants ont fabriqué les marionnettes et les manipulent dans la lumière noire : « C’est parfait pour ce texte. Cela crée un univers polaire, blanc, superbe. Quant aux dialogues, c’est un langage inventé, avec des fautes de français volontaires : les enfants s’amusent beaucoup », apprécie Eric Nigon, l’un des enseignants.
Les petits marionnettistes, en tout cas, s’éclatent à faire bouger et parler leurs personnages…
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Lundi
Saint-Thomas, le plus « tramway » : Le marché de la place Saint-Thomas pour ceux qui aiment faire leurs courses en début de semaine est particulièrement facile d’accès en tramway.
Mardi
Saint-Maurice, le plus « senior » : actuellement déplacé rue Simon en raison des travaux en cours place Museux, ce marché rencontre un grand succès auprès des sexagénaires du quartier.
Jean Moulin, le plus discret : dissimulé entre le boulevard Pommery et le quartier de l’Europe, le marché de la place Jean-Moulin est une adresse de connaisseurs.
Et aussi Croix du Sud, avenue Léon-Blum (parking face arrêt tram).
Mercredi
Châtillons, le plus pratique : un marché tenu le jour où les enfants n’ont pas d’école permet aux mamans de prendre leur temps devant les étals sans devoir courir à la sortie de l’école.
Jeudi
Carteret, le plus « cosy » : situé à la frontière du quartier Jean-Jaurès et du boulevard Carteret, ce marché fait revivre une fois par semaine ce secteur peu piéton d’ordinaire.
Luton, le plus circulaire : installé des deux côtés de la place Luton, le tour de ce marché animé peut être effectué dans un sens ou dans l’autre.
__ Rue de Vesle, le plus central : en plein centre-ville et tout au bout de la rue des grands magasins, un marché accessible à pied, en tram et en voiture.
Murigny, le plus « tardif » (de 15 à 20 heures), il est situé place René-Clair, et a ouvert il y a quelques semaines.
Vendredi
Wilson, le plus long : installé tout le long d’un côté de l’avenue du Président-Wilson, la traversée de ce marché très fréquenté peut prendre un certain temps.
Le marché le plus bio : c’est le seul de la semaine, qui a été déplacé de la place Museux aux halles Boulingrin, à partir de 16 heures.
Samedi
Croix-Rouge, le plus cosmopolite : une grande variété de produits venus d’ailleurs en plus des stands classiques.
Boulingrin, le plus chic : sous les halles rénovées, ce marché est aussi un rendez-vous pour les Rémois du centre-ville pour discuter.
Dimanche
Sainte-Anne, le plus populaire : il réunit à la fois l’ambiance de Wilson et celle de Jean-Jaurès.
Jean-Jaurès, le plus familial : c’est le rendez-vous du dimanche pour beaucoup de Rémois, avec une circulation bientôt interdite pour faciliter les courses.
C.-H.R.
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Jeunes qui s’interrogent sur leur avenir. Demandeurs d’emploi qui cherchent des reconversions. Ils sont venus découvrir des secteurs qui recrutent !
« JE suis surtout venue chercher des pistes : Je vais m’engager dans une formation et n’ai pas envie de me tromper », confie Aïcha, une jeune femme titulaire d’un doctorat de génie électrique. Elle fait partie des visiteurs venus se renseigner sur les débouchés et formations au Forum des métiers de l’informatique et des flux logistiques, organisé par le Cesi, ce samedi.
« Flux logistiques » ? On demande quelques précisions. Olivier Kaluzinski, responsable d’établissement au Cesi Reims, explique : « Une entreprise a besoin de gérer au mieux ses flux d’informations, de produits, ses flux financiers. Elle doit maîtriser ses achats pour limiter les stocks, gérer les coûts, optimiser les expéditions, les délais de fabrication… » Pour cela, le Cesi prépare, entre autres diplômes, à un mastère spécialisé « supply chain management » (responsable de la chaîne logistique globale) de niveau Bac + 6.
Mais le Cesi, ce sont aussi quantité d’autres formations : « Aujourd’hui, les métiers de l’informatique ne cessent d’évoluer, dans le domaine des supports, des infrastructures, du développement du multimédia et de l’environnement web ». L’objectif de ce forum est de sensibiliser les jeunes et les demandeurs d’emploi sur l’intérêt de se former à ces métiers, à travers différents parcours.
Une trentaine de responsables d’entreprises, de professionnels étaient présents, comme Claude Jean Girault, de l’entreprise Netcom. Que demandent les visiteurs ? « Ils se renseignent sur mon parcours, sur ce qu’attendent les entreprises, sur les spécialités ». Les âges ? Les niveaux ? « De l’étudiant qui sort de scolarité à la personne qui souhaite une reconversion complète ». « Les formations permettent de sortir du CESI avec une employabilité assez élevée. On possède toutes les « ficelles », les automatismes, appris en entreprise » ajoute Pierrick Delhaye (Entreprise Alba, Sainte-Menehould).
« J’avais fait un BTS de commerce, mais ça ne me correspondait pas du tout. Possédant quelques connaissances informatiques et motivé, j’ai été intégré dans une formation », confie Alexandre Gillet, responsable informatique dans une mairie de l’agglomération. Romain Velly, étudiant en 1ère scientifique, dialogue avec un professionnel : « Je suis venu discuter avec des gens qui font part de leurs expériences. Cela m’intéresse pour mon avenir ».
Portes ouvertes demain mercredi 12 juin de 14 à 20 heures. Cesi : 7bis, avenue Robert-Schuman à Reims.
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Une année sportive s’achève au Lycée François Arago de Reims. Forte en émotion pour la section l’UNSS de l’établissement, couronnée d’un titre de champion de France de triathlon (sport-études), de deux 4e places en duathlon et triathlon (équipe 2) et représentée à cinq reprises dans les championnats nationaux.
« L’objectif c’est, avant les résultats, de faire découvrir le sport aux lycéens en tant que loisir », insistent les professeurs d’EPS. « On propose de la compétition aux jeunes mais ce n’est pas une obligation. Il y a des activités comme la musculation, où ça n’existe pas ».
Pour le futur, l’association sportive voit encore plus grand : « C’est la première année que l’on travaille réellement avec les clubs (Efsra, RC Natation, Reims Basket Féminin, CRECF) ainsi qu’avec le lycée. Il y a eu une émulation au sein même de l’établissement, ce qui a favorisé les inscriptions », se réjouissent les encadrants. « L’année prochaine, on va continuer sur cet axe demi-fond et natation. On a la chance d’avoir beaucoup de licenciés jeunes (94 dont 36 filles) ça nous laisse du temps pour travailler », assure Loïc Janson, le coach du sport-études triathlon.
Tous les lycéens sportifs se sont vus remettre le maillot floqué au nom de leur établissement des mains du proviseur, M. Tschens.
Athlétisme, basket, natation et cyclisme, toutes les filières étaient réunies dernièrement pour une cérémonie de fin d’année avant de partager un cocktail.
« On a de formidables résultats pour une première année. C’était expérimental et ça a très bien fonctionné. J’insiste encore une fois sur la réussite sportive et scolaire des élèves, j’en suis très satisfait. Pour l’année prochaine, j’espère que ceux qui ont loupé de peu les médailles pourront grimper sur le podium », confie M. Tschens, ravi.
Valentin LIERRE
Une foule compacte a envahi les environs de l’espace Billard.
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La fête annuelle des habitants du quartier Université/Croix-Rouge s’est déroulée le samedi 1er juin sur le parking de l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge.
L’organisation de ce moment festif doit beaucoup aux associations partenaires, aux usagers et aux habitants qui ont su préparer un moment amical ou familial, alliant convivialité et solidarité grâce aux animations, ateliers et échanges autour d’un thème placé pour cette année sous les couleurs de l’arc-en-ciel des cultures et des savoir-faire.
« Il n’y a pas de frontière réelle entre les couleurs, et par conséquent entre les cultures », précise Nora Baouali, coordinatrice socio-culturelle : « c’était l’objet de cette manifestation », un choix de l’équipe de professionnelles (salariées et bénévoles) de l’espace Billard, pour « contribuer au mieux vivre ensemble ».
Au programme de cette fête, des ateliers de beauté, de soin et de détente favorisant le bien-être et l’épanouissement, des activités ludiques, artistiques, sportives et culturelles pour tous les publics. Une scène ouverte a accueilli spectacles, concerts, chants, danses diverses… L’organisation d’un freeze mob parapluie a permis une prise de photo collective, un défilé a arpenté le quartier et enfin, un manège a émerveillé petits et grands.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Après une présentation des lieux tels qu’ils vont s’offrir aux étudiants une fois tous les travaux terminés, Gilles Baillat, président de l’Urca (Université Reims Champagne-Ardenne), a accueilli les signataires de conventions de partenariat pour la refonte de l’université en manifestant sa joie de constater qu’il ne s’agit plus maintenant d’un projet d’avenir mais d’une réalité, grâce à ces contrats qui matérialisent les liens de l’Urca avec les collectivités locales. Il a remercié la Caisse des dépôts et consignations, représentée par son directeur général Jean-Pierre Jouyet, pour sa confiance et sa mobilisation. En réponse, celui-ci a dit sa satisfaction d’accompagner ce « campus d’avenir », lieu de vie et d’innovation, de progrès en matière de recherche et d’insertion au cœur d’un éco-système de politique économique.
Adeline Hazan, présidente de Reims Métropole, a affirmé son désir de voir s’améliorer la vie des étudiants dans la ville tout en leur donnant l’envie d’y rester avec le label « Reims-Campus », qui regroupe l’Urca, RMS et Sciences Po, dans la même synergie. René-Paul Savary s’est réjoui de cette démarche qui favorisera le passage aux études supérieures des jeunes écoliers et collégiens marnais.
Pour le Conseil régional, Jacques Meyer a rappelé l’atout que représente l’Urca pour la Champagne-Ardenne : « une véritable force de frappe, un effet masse » par ses offres de formation dans le paysage international. Le recteur Philippe-Pierre Cabourdin n’a pas caché sa satisfaction après une « légitime attente » de cette cité universitaire pour laquelle les travaux sont maintenant déjà bien engagés. Il a insisté sur le développement du numérique dans les collèges et lycées qui favorise « un déplacement en douceur » des plus jeunes vers les études supérieures. Le préfet Pierre Dartout a souligné à son tour la part de la Caisse des dépôts et Consignations dans ces projets qui vont permettre de « retenir des jeunes intelligences » grâce à l’attractivité de Reims et de la Champagne-Ardenne.
Il est grand temps que cet exercice 2013 des Interclubs Nationaux s’achève. Déjà assurés de la relégation, le TC Vitry ainsi que les garçons et les filles du TC Géo-André chercheront à quitter la compétition la tête haute. Toutefois, à Vichy, les Vitryats ne seront pas favoris contre une formation très homogène. Idem pour les Rémois qui se déplacent dans le 16e arrondissement parisien, au stade Montherlant, pour affronter le Féminin Paris Cercle et les partenaires de Jackie Lassaux qui seront en difficulté sur la terre battue de Mont-de-Marsan.
Tous les regards seront donc tournés vers le Cormontreuil TC qui, à domicile, jouera son maintien contre le TC Avrillé.
Certes, les banlieusards angevins sont plus forts sur le papier - avec notamment un Chilien à -4/6 - mais le retour de Thibault Visy a changé la donne et tous les espoirs sont permis.
Même chose, mais à un degré moindre, pour le Reims Europe qui doit aller battre le deuxième Beauvais et dans le même temps espérer une défaite de Saint-Maur. Rien d’impossible mais très compliqué…
AUJOURD’HUI, à 9 heures. — Dames : Stade Montois Tennis (4e) — TC Géo-André (6e). Messieurs : Sporting Vichy Bellevue (3e) — Vitry (6e) ; Cormontreuil (5e) —TC Avrillé (e) ; Féminin Paris Cercle (4e)—TC Géo-André (6e) ; Beauvais OiseTennis (2e)— Reims Europe Club (5e).
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REIMS (Marne). Deux Rémois de 17 et 18 ans ont été écroués après le vol d’une moto au cours duquel la victime a été tabassée au point de sombrer dans le coma. Ils nient les faits.
DEUX jeunes hommes du quartier Croix-Rouge ont été écroués hier soir après la violente agression de mercredi au cours de laquelle un habitant de Tinqueux, Loïc G., 25 ans, a été tabassé au point de sombrer dans le coma (notre précédente édition).
Déjà connus de la justice, Souleymane Touré, 18 ans, et un mineur de 17 ans ont été mis en examen pour « vol aggravé » malgré leurs protestations d’innocence. Ils mettent en cause un troisième individu qui aurait frappé la victime avec une bouteille de champagne afin de voler la moto de cross que son frère s’apprêtait à vendre à une personne désignée comme étant Souleymane Touré.
L’affaire s’est nouée sur le site le boncoin. Mercredi en début d’après-midi, contacté après avoir mis en vente sa moto 125 cm3, le frère de Loïc G. se rend avec lui au rendez-vous fixé près de l’hippodrome de Croix-Rouge. Deux individus les attendent. Celui qui se présente comme l’acheteur discute le prix, manipule l‘engin. Les deux parties se mettent finalement d’accord sur 1600 €. L’acheteur demande alors aux deux frères de les suivre dans le quartier pour le paiement de la transaction.
Le groupe s’arrête devant un immeuble de la rue Raoul-Dufy. L’acquéreur fait monter le vendeur dans les étages, puis lui demande de patienter, le temps d’aller chercher l’argent. Au bout de plusieurs minutes, ne le voyant pas revenir, le jeune homme regagne le bas de l‘immeuble où il avait laissé son frère avec la moto et l’acolyte.
Il le retrouve allongé au sol, la tête ensanglantée. Des deux individus et de la moto, plus aucune trace. Il le charge dans son véhicule, et le transporte aux urgences du CHU où il arrive à 14h20. Les médecins diagnostiquent un enfoncement de la boîte crânienne, avec œdèmes cérébraux, manifestement provoqué par des coups portés au moyen d’un objet.
Toujours dans le coma, la victime est cependant aujourd’hui hors de danger, mais des séquelles sont à craindre. Du côté de l’enquête, les policiers de la sûreté départementale de Reims ont rapidement orienté leurs soupçons vers Souleymane Touré et le mineur. Le premier aurait été vu dans le quartier avec une moto de cross semblable à celle qui a été volée, et des effets lui appartenant, ainsi que ses empreintes (comme celles du mineur), ont été retrouvés dans le van utilisé par les deux frères pour se rendre au rendez-vous avec la moto de cross. De plus, il est formellement reconnu par le frère de Loïc G. comme étant l’acquéreur.
Venus se constituer prisonniers jeudi matin au commissariat de Reims, les deux suspects ont bien reconnu leur présence rue Raoul-Dufy, mais en imputant le vol avec violence à un troisième individu qui aurait soudain surgi de nulle part pour agir de sa propre initiative.
Cette version n’a convaincu ni le juge d’instruction, qui leur a notifié la mise en examen, ni le juge des libertés et de la détention qui les a placés sous mandat de dépôt.
Le passé des deux garçons n’a pas plaidé en leur faveur. Quatre condamnations pour vols avec violence garnissent déjà le casier judiciaire de Souleymane Touré. La dernière datait seulement du 13 février. Il avait un comparse dans cette affaire. Le même mineur…
Fabrice CURLIER
Le prochain concours de pétanque en doublettes organisé par l’association Étoile Croix-du-Sud se déroulera dimanche 16 juin à partir de 13 h 30 sur les terrains Galilée, à l’angle de l’avenue Léon-Blum et de la rue Joliot-Curie, en face des jardins familiaux.
Inscriptions au secrétariat de l’association, 5 avenue Léon-Blum (Tramway, ligne B station Léon-Blum).
Téléphone 03.26.06.56.66.
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Organisé dans le cadre de l’opération « Un été dans la ville », le traditionnel concert d’été de Croix-Rouge se déroulera le vendredi 14 juin, à partir de 20 heures, sur le parking de l’hippodrome de Champagne.
Au menu, B.E.S. (rap français), Black Industry (rap), Gnawa (fusion reggae), Cheba Faiza (raï Oran) et Kader Japonais (raï).
Entrée libre pour
tous publics
(Tramway lignes A ou B, station Kennedy).
Les vétérans sportifs Mourmelonnais (VSM) affronteront le FC Ardre le dimanche 9 juin à Reims, au stade Géo-André.
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Créé en 1987 par Christian Offret, le club des vétérans sportifs Mourmelonnais (VSM) est composé de 27 licenciés âgés de 30 à 65 ans. Il participe depuis sa création à un championnat de football vétéran organisé par l’Ufolep de la Marne.
Présidé par Thierry Joannes (qui a succédé à Olivier Guédal en juin 2012), le club s’est qualifié - pour la toute première fois de son histoire - en finale de la coupe départementale Ufolep. Celle-ci se déroulera le dimanche 9 juin à Reims, au stade Géo-André, où les VSM affronteront le FC Ardre.
Avant d’arriver en finale, l’équipe mourmelonnaise a d’abord dû en découdre avec quatre équipes, et pas n’importe lesquelles !
Au 1er tour, les VSM ont joué contre Sept-Saulx (score final 3-0). Au 2nd tour, les Mourmelonnais l’ont également emporté 3-0 face à l’AC Lusitania-Reims.
Lors des quarts de finale, les VSM se sont largement imposés face au club des Amis de Fabien Duquesne (9 buts à 3). Enfin en demi-finale, les vétérans mourmelonnais l’ont à nouveau emporté par 3 buts à 0 face au FC Reims-Christo. Soit 18 buts marqués pour seulement 3 encaissés en 4 matchs !
Pour les soutenir, des membres de l’association « La pétanque Mourmelonnaise » se rendront au stade Géo André le matin du 9 juin. Un bien bel exemple de solidarité entre associations sportives !
Informations sur www.vs-mourmelon.footeo.com
Mod’Emploi suite
En septembre et octobre 2012, près de 450 personnes ont bénéficié à Croix Rouge des animations mises en place par Reims Métropole et la Maison de l’emploi et des métiers dans le cadre de l’opération Mod’Emploi. À la demande des acteurs du quartier, la Maison de l’emploi et des métiers assure un suivi de ces opérations en organisant en2013 plusieurs manifestations en lien avec l’emploi, sous l’appellation « Mod’Emploi « suite » ». C’est ainsi que des permanences sont régulièrement organisées au sein de l’espace emploi-formation de la Médiathèque (renseignements au 03 26 07 87 12) et qu’un forum de la création d’entreprise a été organisé à la Nacelle le 23 mai, en attirant notamment l’attention des porteurs de projet sur les avantages liés à une implantation en zone franche urbaine, en vigueur jusqu’au 31 décembre 2014.
Pour plus de renseignement : Maison de l’emploi et des métiers – 03 26 07 87 12
Hôtel des Solidarités
Situé entre la nouvelle résidence Saint-John Perse et la passerelle de franchissement de l’avenue Eisenhower, un Hôtel des Solidarités innovant dans sa conception accueillera en priorité les organismes évoluant dans la sphère de l’économie sociale et solidaire, à l’image de l’UDAF de la Marne (Union départementale des associations familiales) qui a déjà réservé deux niveaux. Construit à l’initiative de Reims Habitat sur les plans du cabinet Giovani Pace Architecte, il devrait être livré début 2015
Adeline Hazan a rencontré mercredi les trois bailleurs sociaux, suite aux différentes pétitions et réclamations de locataires, après le drame de Wilson.
Le point a été fait sur les vérifications et garanties de sécurité mais après ?
Les quatre interlocuteurs se reverront tous les trimestres, pour de nouveau faire le point.
Sera-ce vraiment suffisant pour faire bouger les organismes logeurs souvent plus prompts à réclamer les loyers qu’à venir réparer les logements ?
Vivement la plage !
Les festivités débuteront dès le jeudi 13 juin sur la scène du Cryptoportique avec une carte blanche donnée à Barcella. (© l’Hebdo du Vendredi)
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La programmation d’Un été dans la Ville a été dévoilée : concerts, séances de cinéma en plein air, expositions et activités sportives rythmeront comme toujours la période estivale rémoise avec, grande nouveauté cette année, l’installation d’une plage dans le cadre de l’opération Au Bonheur des rives.
« Avec l’Opération Un été dans la Ville, notre philosophie est à la fois simple, mais pas évidente à mettre en musique. Nous voulons faire en sorte que pendant tout l’été, tous les Rémois puissent bénéficier gratuitement d’un grand cycle de festivités dans des lieux repérés avec l’idée qu’ils se réapproprient l’espace public », explique la maire de Reims, Adeline Hazan. Ainsi, pour cette 4e édition, qui se déroulera du 13 juin au 13 septembre, les meilleurs ingrédients des éditions précédentes ont été gardés, tandis que de nouveaux ont été ajoutés.
Les Jardins du Cryptoportique accueilleront donc une programmation musicale enrichie, d’un point de vue quantitatif et qualitatif. C’est d’ailleurs sur cette scène que s’ouvrira officiellement Un été dans la Ville, jeudi 13 juin à 19h30, avec une carte blanche donnée au chanteur et compositeur Barcella. L’artiste rémois, qui tourne dans toute a France avec son album Charabia, a convié sur scène Milamarina, Askehoug et Ours. Le lendemain, vendredi 14 juin, direction le quartier Croix-Rouge et le parking de l’hippodrome avec en tête d’affiche Kader Japonais, mais aussi Gnawa, Cheba Faizai et les locaux de Black Industry et BES. Au total, ce sont ainsi 50 concerts qui sont programmés jusqu’à la fin de l’été avec en clôture, vendredi 13 septembre, une carte blanche aux rémois de Bewitched Hands.
L’année dernière, chaque quartier avait eu droit à sa séance de cinéma en plein air. Devant le succès rencontré, sept autres rendez-vous ont été ajoutés. Le concept reste le même, un pique-nique, des propositions artistiques et la projection d’un film ou de plusieurs courts-métrages. La séance d’ouverture est prévue le mercredi 3 juillet au Parc de Champagne avec la projection d’Intouchables, couplée avec un concert de jazz.
L’été, c’est aussi flâner et prendre le temps de découvrir autre chose. Au Parc de Champagne, ce sont les écoles du monde entier qui s’exposent en photos (à partir du 15 juin). Aux Halles du Boulingrin, l’artiste Armelle Blary offrira aux promeneurs ses propositions poétiques sur le thème du Transports (à partir du 27 juin). L’Hôtel de Ville accueillera Murs et arrière-cours, une proposition qui mêle griffures et graffs (à partir du 2 juillet). Enfin, dans la galerie souterraine du Cryptoportique, place à la Double réalité de Cécile Bethleem, un dispositif vidéo et musical où le lieu joue un rôle déterminant (à partir du 22 juillet).
A Reims, la période estivale rime aussi avec le sport. Rendez-vous tout d’abord avec le traditionnel meeting d’athlétisme, vendredi 28 juin, avec quelques-uns des meilleurs athlètes français et étrangers. Dès le lendemain, samedi 29 juin, c’est l’équipe de France féminine de football qui investira le Stade Auguste Delaune pour une rencontre amicale face à la Norvège. Plus insolite, le championnat d’Europe de voitures radiocommandées qui se déroulera du 9 au 13 juillet sur le superbe circuit dédié à la discipline dans le quartier Trois Fontaines.
Grand succès de l’année dernière avec 15 000 visiteurs recensés, Au Bonheur des Rives cette fois-ci pendant trois semaines (du 20 juillet au 11 août). Le long du boulevard Henri Henrot, au bord du canal, le temps sera à la bronzette avec une foule d’activités pour les petits et les grands dont les très appréciées bases nautiques avec ses pédalos et water-rollers. Surtout, cette année, une plage d’une centaine de mètres de long (600 tonnes de sable) fait son apparition avec ses transats et parasols ! Et non loin de là, une péniche accueillera de nombreuses animations et ateliers, mais aussi un café culturel et… un écran de cinéma pour deux séances (26 juillet et 9 août) à vivre les pieds dans le sable.
Julien Debant
Programme complet : ete.reims.fr
Actions culturelles des Flâneries Musicales
Dans le cadre des actions culturelles menées par les Flâneries Musicales de Reims, deux concerts auront lieu mardi 11 au Théâtre du Chemin Vert et vendredi 14 juin à 20h au Temps des Cerises avec les élèves de CE2 de l’Ecole Pommery, des participants des Maisons de quartier Croix-Rouge et Trois-Piliers, et la complicité du Conservatoire à Rayonnement Régional de Reims.
Entrée gratuite.
Insolite « Mécanic(s) »
Eric Philippon et Pierre Payan proposent un voyage musical à vivre dès 18 mois. (© Jean-Yves Gaultier)
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A partir d’instruments, de jouets (petit clavier bruiteur, pipeau à coulisse) et autres objets insolites détournés (sacs plastiques, feuilles de papier, casseroles, trouilloteuses, etc.), Eric Philippon et Pierre Payan, anciens membres du groupe La Tordue, créent un joyeux bric-à-brac musical accompagnant ainsi les images de quatre courts-métrages muets, en noir et blanc et en couleurs, ayant vu le jour entre 1924 et 1958 :
Carroussel Boréal de Ladislas Starewitch (1958, France, 12’), Cartoon Factory : Koko dessinateur de Dave et Max Fleischer (1927, Etats-Unis, 7’53), Les Acrobates (45’) et Un dimanche à Gazouilli de Ladislas et Irène Starewitch (1955, France, 12’). A la fin de la séance, les enfants sont invités à venir toucher et essayer les nombreux accessoires qui les auront fait voyager dans un monde ouvert sur un autre cinéma. Un spectacle à découvrir dès 18 mois.
Samedi 8 juin, à 10h30 à la médiathèque Jean Falala (auditorium - Entrée libre) et à 16h30 à la médiathèque Croix-Rouge (salle d’exposition - gratuit mais réservation conseillée 03 26 35 68 51). Durée 45 minutes.
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Le Reims Champagne Basket organisait dimanche dernier son 17e Challenge des Sacres. 26 équipes étaient engagées sur ce tournoi poussins-benjamins qui s’est déroulé sur le site Universitaire Croix-Rouge à Reims.
Plus de 240 jeunes venus de Champagne-Ardenne, de Picardie, de la région parisienne et de Belgique se sont rencontrés tout au long de cette journée.
La finale benjamine opposait Val d’Europe Pays Créçois (77) à Viry-Chatillon (91), tandis que l’Etoile de Charleville et les Belges de Mont-sur-Marchienne s’affrontaient chez les poussins. À l’arrivée, les Ardennais ont eu le dernier mot.
Côté marnais, les poussins du RCB se sont offert une très belle troisième place.
Lundi, vers 18 heures, un automobiliste a fait une mauvaise rencontre sur un parking voisin du lycée Arago à Croix-Rouge.
Trois individus l’ont abordé.
L’un d’eux lui a proposé du cannabis, l’autre lui a demandé de l’argent. Au final, le plaignant n’a reçu que des coups de poing et s’est fait voler son portefeuille tombé par terre lors de la bousculade.
Les agresseurs ont également dégradé à coups de pied deux portières de sa voiture.
En fuite mais retrouvé dans le quartier par une patrouille de police, le trio est exclusivement composé de mineurs, qui ont accusé la victime d’avoir voulu leur vendre du cannabis. L’intéressé dément.
Au terme des auditions, les trois adolescents ont été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants.
Plusieurs voitures ont brûlé au cours de la nuit dans l’agglomération rémoise. La première est une Peugeot 307 partie en fumée rue de Rilly-la-Montagne, hier à 0 h 20. Le feu s’est propagé à une Volkswagen Passat.
Vers 3 h 30, une Peugeot 308 a connu le même sort rue Henri-Farman à Bétheny. Une demi-heure plus tard, une Citroën DS3 s’est enflammée rue Prieur-de-la-Marne. Une Ford Kia a été touchée par propagation.
Deux poubelles ont brûlé cette même nuit au quartier des Châtillons, l’une à 22 h 50 rue Sébastien-Cabot, l’autre à 0 h 10 boulevard Vasco-de-Gama.
L’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge organise les Rencontres théâtrales jusqu’au 7 juin, dans la salle de spectacle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne (Tramway, A ou B, arrêt Kennedy). L’entrée est libre, les réservations sont à faire par téléphone au 03.26.08.08.78.
Aujourd’hui mercredi 5 juin : réservé aux enfants des accueils de loisirs.14 h 30 : adaptation du conte « Merlin l’enchanteur » par les enfants de l’accueil de loisirs, intervenante Chantal Minart, puis « Du loup à la sorcière », auteur et interprète Zémanel de la compagnie « Acte 2 ».
Jeudi 6 juin (tout public), de 9 heures à 11 h 30, sur inscription, atelier théâtre avec R. Monclin, de la compagnie Yapadléz’Art.
A 14 h 30, tout public et groupes constitués, atelier ACIP de la Maison de quartier Arènes du Sud, avec une création théâtrale, « Romane et le haricot magique » puis « La vie est un conte de fée », autre création théâtrale par l’atelier ACIP de l’espace Billard (Maison de quartier Croix-Rouge).
Enfin, atelier de chant polyphonique de l’espace Billard, en partenariat avec Cesare.
A 19 heures, pour public adulte et adolescent, « Chacun sa croix » comédie humoristique de J.C. Barc, de la compagnie Yapadléz’art.
Vendredi 7 juin, à 18 h 30 (spectacle familial, à partir de 2 ans), « La Dame aux secrets », contes et marionnettes avec Danièle Ronsin de la compagnie « L’Arbre à couleurs ».
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Les animatrices « référentes familles » des espaces Watteau et Pays-de-France ont préparé de nombreuses animations en juin, en direction des familles et des enfants.
Mercredi 5 juin, atelier créatif « spécial Fête des pères ». Rendez-vous à la Marelle à 10 heures. Samedi 8 juin, journée à Paris, au Jardin des plantes et à la piscine géante de l’Aquaboulevard. (Prévoir son pique-nique ainsi qu’une collation pour la piscine). Une participation de 10 euros par enfant et de 12 euros par adulte et enfant de plus de 12 ans est demandée. Rendez-vous devant le collège Georges-Braque pour 8 heures (retour prévu vers 20 heures).
Mercredi 19 juin, sortie aux Halles de Reims et pique-nique. Rendez-vous à 9 h 30 à l’espace Watteau.
Mercredi 26 juin, jeux extérieurs. Rendez-vous à la Marelle à 10 heures.
Samedi 29 juin, à la découverte de l’hippodrome de Reims (sortie gratuite). Au programme, baptêmes de sulkys, calèches, poneys, musique et danse country, tombola, bœuf à la broche, nombreuses activités et feu d’artifice. Rendez-vous devant l’hippodrome à 16 h 30.
Pour tout renseignement, appeler Sarah Morillon ou Alexandra Babin par téléphone au 03.26.36.03.50. ou au 06.47.71.53.00.
REIMS (Marne). L’avenue du Général-Bonaparte présente désormais une qualité architecturale indéniable, après les nombreuses opérations de renouvellement urbain menées au cœur de ce quartier. L’inauguration de la résidence Joséphine illustre ce changement en profondeur.
AVEC sa façade en terre cuite (masquant habilement 20 cm d’isolant), ses huisseries noires et ses oriels, la résidence Joséphine, construite par le Foyer Rémois et inauguré le 31 mai dernier, présente un style bien à elle. Elle contribue à la variété architecturale de l’ensemble des constructions neuves - commerces, logements et parkings aériens - implantés le long de l’avenue du Général-Bonaparte, côté ZAC de Bezannes.
Ainsi, au fur et à mesure qu’il progresse en direction du CHU, depuis la place Arago (Pays-de-France) jusqu’à la médiathèque (Croix-du-Sud), le piéton ou l’usager de tramway apprécie le changement opéré assorti d’une grande variété de styles et de couleurs.
Aux commerces et logements à la façade blanche de la place Arago, succèdent une touche ocre avec la résidence Joséphine, une séquence verdoyante avec le parc Saint-Bruno avant l’approche colorée et le clin d’œil végétal (pots de fleurs géants en façades) pour le parking aérien, les commerces et logements du secteur Croix-du-Sud : un régal pour les yeux !
Les 49 logements de la résidence ont reçu le label Bâtiment Basse Consommation (BBC). De plus, ses oriels (avancées vitrées fermées donnant vers l’extérieur) apportent aux logements clarté, chaleur solaire et vue surplombante.
Enfin, ce bâtiment contribue à relier le secteur Pays-de-France et celui de Croix-du-Sud. La desserte par le tramway avec un arrêt très proche de la résidence contribue au confort quotidien des habitants de la résidence.
Déjà près de 30 demandes effectives sont enregistrées sur les 49 disponibles. Une future locataire, inscrite dès la première heure, va pouvoir emménager dès ce mois de juin.
Elle est ravie : « Habiter dans un tel logement, confortable et parfaitement isolé, cela va me changer ! »
Une autre personne qui a également postulé explique : « J’habite rue Joliot-Curie depuis plus de trente ans. C’est avec un réel plaisir que je vais m’installer ici : calme, tranquillité, verdure, pour un loyer très raisonnable, c’était une opportunité à ne pas manquer ! » Pour un type 3 avec emplacement de stationnement, elle règlera un loyer de 581 euros, chauffage inclus et environ 57 euros de charges.
Commencés en 2011, les travaux ont coûté 6,5 millions d’euros, dont 573 000 au titre de la rénovation urbaine, 592 000 sur fonds propres du Foyer rémois et le reste par la Caisse des Dépôts. ;
Bruno Dagnée : « Cette année, on a voulu valoriser les joueurs les plus bagarreurs ».
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Les 15 et 16 juin aura lieu la fin de la saison au Tennis club Géo-André.
Ce week-end débutera par les tests de balles. « Ils auront pour but d’évaluer la progression des jeunes au cours de l’année, au travers de trois épreuves différentes (balle rouge, balle orange et balle verte).
Parallèlement, nous mettrons sur pied un tournoi interne pour les jeunes de l’école de tennis. Différentes catégories d’âge composant notre structure de formation pourront s’affronter, explique Bruno Dagnée, le responsable de l’école de tennis. Cette année, on a souhaité redynamiser cette initiative en mettant en place un système de compétition visant à valoriser les joueurs les plus bagarreurs. Lesquels recevront un titre et une coupe.
Ce sera également l’occasion pour les élèves de parrainer un de leurs amis et de lui permettre de s’essayer au tennis ».
Cinq défaites lors de la troisième journée, quatre dimanche dernier, le parcours des clubs marnais lors des interclubs nationaux s’apparente véritablement à un chemin de croix.
Seul Cormontreuil a su, pour cette avant-dernière sortie, tirer son épingle du jeu en s’imposant nettement sur la terre battue de la réserve de Dax (7-1). Il faut dire que l’apport de Thibault Visy a fait la différence face à une formation de surcroît inférieure.
En revanche, à domicile, le TC Vitry n’a rien pu faire contre la très homogène formation Alto-Sequanaise de Bagneux (7-1). Une défaite qui condamne déjà les Vitryats à la relégation à la DQDN4. Un niveau régional au sein duquel ils seront accompagnés par le TC Géo-André qui, sur ses courts, a été sévèrement battu par le leader, l’ASLM Cannes (8-0).
Pour sa part, le Reims Europe Reims a offert une farouche résistance au leader Bussy (4-3) et jouera donc maintien dimanche à Beauvais.
Enfin, du côté des dames, le TC Géo-André n’a pas pesé lourd contre les Ebroïciennes (7-1). Comme prévu, les Rémoises évolueront l’an prochain en N3.
REIMS. – Evreux AC bat TC Géo-André 7-1. Magalie Malbet (-4/6, Evreux) bat Jackie LASSAUX (0, Géo-André) 6-3, 6-3 ; Nastasia Boitier Lesourd (0, Evreux) bat Laetitia TORDO (2/6, Géo-André) 7-5, 6-2 ; Agathe Siroit (1/6, Evreux) bat Maëva SPOONER (3/6, Géo-André) 6-3, 6-3 ; Pauline Buisson (1/6, Evreux) bat Angela CHARLES-ALFRED (4/6, Géo-André) 6-0, 6-4 ; Lucie GRYGIELSKI (15, Géo-André) bat Hélène Laloyer (3/6, Evreux) 6-3, 7-6. Magalie Malbet - Nastasia Boitier Lesourd battent Jackie LASSAUX - Maëva SPOONER 6-1, 7-5 ; Pauline Buisson - Agathe Siroit battent Laetitia TORDO - Angela CHARLES - ALFRED 7-6, 2-6, 1-0 (13/11).
Vitry-le-François. – COM Bagneux bat TC Vitry 7-1. LALOUETTE (1/6, Vitry) bat Cocouvi (1/6, Bagneux) 6-2, 6-0 ; Demoncy (1/6, Bagneux) bat THOUVENOT (4/6, Vitry) 6-3, 6-4 ; Normand (2/6, Bagneux) bat MULAT (15, Vitry) 6-0, 6-4 ; Tayart de Borms (3/6, Bagneux) bat AMIOT (15/1, Vitry) 6-0, 6-0 ; Patry (3/6, Bagneux) bat BONNERAVE (15/1, Vitry) 6-2, 6-4. Cocouvi - Normand battent LALOUETTE - MULAT 6-2, 6-2 ; Demoncy - Patry battent THOUVENOT - AMIOT 6-2, 6-4.
DAX. – Cormontreuil TC bat Dax US (B) 7-1. VISY (-2/6, Cormontreuil) bat Loubere (4/6, Dax) 6-1, 6-0 ; JOLLY (0, Cormontreuil) bat Darrigol (4/6, Dax) 6-2, 7-5 ; ROBERT (1/6, Cormontreuil) bat Ackroyd (4/6, Dax) 6-2, 6-2 ; DE LA BASSETIERE (2/6, Cormontreuil) bat Caliot (5/6, Dax) 6-2, 6-4 ; Olexa (15, Dax) bat LALOUETTE (4/6, Cormontreuil) 6-0, 6-1. ROBERT - JOLLY battent Loubere - Darrigol 6-2, 6-1 ; VISY - DE LA BASSETIERE battent Ackroyd - Olexa 6-1, 6-1.
REIMS. – ASLM Cannes bat TC Géo-André 8-0. Tringali (-2/6, Cannes) bat PAILLARD (3/6, Géo-André) 4-6, 6-4, 6-2 ; Bellavoine (-2/6, Cannes) bat LEROY (4/6, Géo-André) 6-0, 6-3 ; Breistroff (1/6, Cannes) bat PACANOWSKI (4/6, Géo-André) 7-6, 6-1 ; Lyonnard (3/6, Cannes) bat PIGNON (4/6, Géo-André) 6-4, 6-3 ; Carsuzaa (4/6, Cannes) bat RAMBAUT (15/4, Géo-André) 6-1, 6-0. Tringali - Bellavoine battent PAILLARD - PIGNON 1-0 abandon ; Breistroff - Carsuzaa battent LEROY - RAMBAUT 6-0, 6-0.
REIMS. – Bussy TCVB bat Reims Europe Club 4-3. A. Rakotondramanga (-15, Bussy) bat BONNET (1/6, Reims Europe Club) 6-1, 6-4 ; Dorsemaine (0, Bussy) bat SEURET (2/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-1 ; BIROT (2/6, Reims Europe Club) bat Ramirez (1/6, Bussy) 5-7, 7-5, 6-2 ; GAJANOVIC (2/6, Reims Europe Club) bat Duval (4/6, Bussy) 6-2, 3-6, 6-2 ; V.Rakotondramanga (4/6, Bussy) bat CHAUVIN (5/6, Reims Europe Club) 6-0, 6-2. A.Rakoton-dramanga - Dorsemaine battent BONNET - BIROT 6-0, 6-4 ; GAJANOVIC - SEURET battent V.Rakotondramanga - Belhaouane (4/6, Bussy) 6-3, 6-2.
Numéro 7501 du 3 au 09 juin 2013.
28 avenue du Général Eisenhower51100 REIMS
R.C.S. Reims B 410 213 250
L’assemblée des actionnaires réunies le 24 mai 2013 a décidé la modification suivante : transfert du siège social situé 24 esplanade Eisenhower à REIMS (51100), au 28 avenue du Général Eisenhower à REIMS (51100).
Modification corrélative des statuts.
116125 Pour avis : Le président.
Au quartier de l’Europe, les immeubles du Foyer rémois semblent en bien triste état…. Y’a-t-il un risque ?
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Nombre de locataires sont décidés à se battre contre le Foyer rémois, et nous ont signalé des dégradations dans différents immeubles, prenant l’exemple du drame de Wilson pour donner l’alerte.
Ainsi, un habitant de la rue de Taissy a écrit à la fois à l’organisme logeur, mais aussi à la maire. « Des briques tombent, l’état de l’immeuble se dégrade de plus en plus. »
Dans sa réponse, le Foyer rémois regrette l’allusion au drame du 8, allée Beethoven et rappelle que l’immeuble situé au 4, rue de Taissy a bénéficié de travaux de peintures des cages d’escaliers, de la réfection de l’étanchéité des toitures-terrasses, du remplacement des portes de hall, de l’interphonie et la rénovation de la chaufferie collective, le tout entre 2003 et 2008. La rénovation des ascenseurs est programmée pour 2012.
Cette réponse est partie le lendemain du courrier envoyé par la maire au directeur du Foyer rémois lui demandant « une action rapide et d’ampleur ». Souvent les locataires se sentent isolés et n’ont pas le sentiment que leurs problèmes soient pris en compte par le bailleur. « Il y a une certaine impatience, mais le temps du bailleur n’est pas toujours celui du locataire. Nous essayons de donner satisfaction dans les 48 heures, mais ce n’est pas facile. S’il y a un problème de sécurité, on intervient. En revanche, si ce n’est que de l’esthétique, cela rentre dans les programmations pluriannuelles sur nos 18000 logements » explique Christophe Faber, directeur de clientèle du Foyer rémois. Qui concède qu’après les deux drames à Witry et Wilson, « les locataires sont en phase d’interrogation. Nous avons mis en place un traitement spécifique. Nous sommes très vigilants quant à leur inquiétude, nous voulons être à l’écoute ». Cela n’empêche pas les récriminations, comme cette dame qui demande un logement depuis quatre ans « mais en vain, pour moi, il y a de passe-droits »…
Ou ces locataires à Cormontreuil, qui se plaignent de fuites et pour qui le Foyer rémois ne fait rien, malgré des pétitions. A tel point que le quartier va perdre un médecin, car l’organisme ne veut pas faire les travaux nécessaires !
A Croix-Rouge, Jean-Pierre Bauwens, président de l’Amicale de défense des locataires de Pays-de-France (collège des associations) enfonce le clou : « Notre association confirme la surdité du Foyer rémois. Inutile de se plaindre, c’est la croix et la bannière pour pouvoir contacter un responsable. Mieux, quand des mesures sont prises, les résultats ne sont jamais communiqués aux usagers ».
Il y a aussi le cas du quartier de l’Europe, un des plus anciens de Reims, là d’ailleurs où le Foyer rémois a installé son siège social. « Il y a des garde-corps qui risquent de se décrocher, des morceaux de l’immeuble qui se décrochent lorsque vous passez dessous, des linteaux qui reposent sur quelques centimètres… » Photos à l’appui, ce locataire qui habite rue de l’Adriatique souhaite aussi que l’organisme logeur réagisse. Du coup, la maire Adeline Hazan a décidé de réunir les trois organismes logeurs rémois, demain mercredi 5 juin pour « les rappeler à leur obligation d’entretien et de sécurité ».
Autre immeuble, autres désagréments. Au 2, rue Charles-Marq, des locataires ont lancé une pétition pour se plaindre du nettoyage des communs.
« Jusqu’à il y a trois mois, il n’y avait rien à redire. Mais là, il y a eu un changement de prestataire pour le nettoyage des communs et c’est devenu une véritable porcherie, » commente cette locataire qui envisage, avec d’autres signataires, de ne plus payer les charges. « Ce n’est pas acceptable. Nous payons des charges tous les mois et voulons vivre dans un environnement sain et propre ».
Sur ce point Christophe Faber, directeur chargé de la clientèle, explique que le Foyer Rémois a mis en place une nouvelle politique de propreté actuellement en rodage sur les secteurs Wilson et Pays de France. Suite au dépôt de 4 pétitions, une réunion a eu lieu avec le prestataire et des avenants vont être décidés afin d’être « plus efficaces ».
Et de rappeler aux locataires qu’il existe une agence de proximité sur le quartier et des outils de gestion qui permettent de tracer les revendications.
- ce lundi 3 juin à Europe (rue de l’Escaut) de 14 à 17 heures ;
- mardi 4 juin à Croix-rouge (impasse de la Chaufferie) de 14 à 17 heures) ;
- mercredi 5 à Saint-Brice (chemin des Temples) et à Tinqueux (rue Marcel-Dassault) de 9heures à 11h30 ;
- jeudi 6 à Reims-Europe (rue de l’Escaut) et à Croix-rouge (impasse de la Chaufferie) de 14 à 17 heures.
- Le samedi 8 juin, ce seront les portes ouvertes au centre de tri Trivalfer, rue du Val-Clair dans la zone industrielle Pompelle (prendre la route de Châlons, fléchage à partir de la place des Droits-de-l’homme), de 9 heures à 12h30 et de 13h30 à 17 heures, spectacle à 10h30, 14h30 et 16heures, visite en langue des signes à 15 heures.
La valeur marchande des trois pochons de 5, 71 et 251 grammes de cocaïne découverts dans l’entrejambe des suspects est estimée à 30 000 €.
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REIMS (Un banal contrôle routier a permis la saisie de 327 grammes de cocaïne sur les deux occupants d’une voiture. La drogue était cachée dans leurs parties intimes.
LES convoyeurs de produits stupéfiants doivent se méfier de la police, mais aussi des feux rouges. Mercredi après-midi, vers 16 heures, le conducteur d’une Renault Velsatis grille un feu tricolore avenue Robert-Schuman, près de l’hippodrome de Croix-Rouge.
Pas de chance, une patrouille du commissariat passe juste à ce moment-là. Le contrôle s’ensuit. Si l’automobiliste reste sagement au volant, le passager détale soudain à toutes jambes, mais il ne court pas assez vite. Intrigués par cette tentative de fuite, les policiers observent plus attentivement les deux personnages. C’est ainsi qu’ils remarquent une anomalie sous le pantalon du conducteur, au niveau de l’entrejambe : il est déformé par une « forte protubérance », bien au-delà de ce qu’on est en droit d’attendre d’un homme normalement constitué…
L’automobiliste est soumis à la fouille. La grosseur se révèle être un pochon bourré de cocaïne : 251 grammes. Le passager n’est pas en reste, avec deux sachets de 5 et 71 grammes eux aussi dissimulés dans ses parties génitales. Au total, il y en a pour 30 000 €, une cachette dans la logique des choses, « l’endroit idéal où déposer des objets de valeur, n’y a-t-il pas déjà là les bijoux de famille », s’enflamme le procureur lors d’une envolée devant le tribunal correctionnel.
La procédure se termine en effet à l’audience des comparutions immédiates pour les occupants de l’auto. Tous les deux natifs de Guyane, mais venus s’installer au quartier Croix-Rouge, le conducteur, Clément Doedoe, 30 ans, et le passager, Clifton Asalobie, 22 ans, n’ont pas dit grand-chose à la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale de Reims. Clément déclare avoir caché les 251 grammes dans son pantalon à la demande de Clifton, lequel n’a jamais mentionné ce service lors des auditions séparées. S’agissant des 76 grammes trouvés en sa possession, il affirme les avoir récupérés auprès d’un inconnu rencontré à Paris, à charge pour lui de les garder pour le compte de quelqu’un dont il ignore le nom. Une somme de 200 € lui aurait été donnée en échange du coup de main.
L’affaire est nébuleuse, la vérité sans doute ailleurs, la poursuite d’enquête incertaine quant aux chances d’aboutir, aussi le parquet s’est-il concentré sur le flagrant délit pour faire juger les deux prévenus qui ont toutefois demandé un délai afin de préparer leur défense. Le tribunal les a maintenus en détention dans l’attente de leur procès renvoyé au 18 juin. Clément Doedoe risque gros. En état de récidive après avoir été condamné à dix-huit mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Cayenne, en juin 2007, pour un trafic de stupéfiants, il encourt une peine plancher de quatre ans d’emprisonnement.
Fabrice CURLIER
Chez les messieurs, en N4, Vitry affronte Evreux qui présente le même profil, en s’appuyant de surcroît sur un numéroté (le Néerlandais Miliaan Niesten, n°54). Pas de nature à rassurer des Vitryats qui se rapprochent toujours un peu plus du niveau régional.
Idem pour le Cormontreuil TC, à moins que Sébastien Jolly et sa bande ne reviennent victorieux de leur déplacement à Dax, d’autant qu’ils devraient enregistrer le retour de l’« Américain », Thibault Visy.
Enfin, de leur côté, le TC Géo-André et le Reims Europe Club s’attendent à être bousculés par, respectivement, l’ASLM Cannes et Bussy TCVB, leaders qui filent tout droit vers la division supérieure.
9 HEURES. - Dames, N2 : TC Géo-André - Evreux AC ; messieurs, N4 : TC Vitry - COM Bagneux, Dax US (B) - Cormontreuil TC, TC Géo-André - ASLM Cannes, Reims Europe Club - Bussy TCVB.
Aujourd’hui, entre 14 et 19 heures, se déroulera la fête des habitants du quartier Croix-Rouge aux 12 et 14 rue Taittinger.
L’ensemble de la population est invitée à participer à cette manifestation.
Anniversaire des médiathèques : concert à Croix-Rouge
10 ans de médiathèque Croix-Rouge, c’est 10 ans de soutien aux musiciens issus du quartier.
Pour fêter cela, la médiathèque offre une scène à des groupes emblématiques dont Kerjostyle
& the Mothafonk (rap aux saveurs funky et jazz). A découvrir gratuitement vendredi
31 à 18h30 à la médiathèque Croix-Rouge.
Après-midi jeux de société franco-allemands à la médiathèque Croix-Rouge
Mercredi 5 juin, de 14h à 18h à la médiathèque Croix-Rouge, l’association Stimuli, pôle ludique champardennais, et Charlotte Raffarin, ambassadrice de l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse (OFAJ), proposeront aux enfants et leurs familles, un après-midi gratuit autour de jeux de société sur le thème franco-allemand. Renseignements et inscriptions auprès de la médiathèque Croix-Rouge.
Si la chaleur ne sera pas là, la pluie non plus ne devrait pas s’inviter à la fête des voisins. Tour d’horizon des rues où plus de 50 invitations ont été lancées.
CE soir, c’est le début de l’amélioration météo avant un joli week-end. Tant mieux, car beaucoup de Rémois se sont décarcassés pour organiser, comme chaque année, la fête des voisins (à partir de 19 heures).
Quatorze amicales, associations ou maisons de quartier se sont ainsi inscrites auprès de la Ville, avec donc au moins 50 invitations lancées.
Même système chez les particuliers, avec 36 habitants d’un peu tous les quartiers qui se sont lancés. Sans oublier bien sûr tous ceux qui ne demandent pas de barriérage ou d’invitations, et qui s’organisent entre eux pour 10, 20 ou 30 personnes.
Du côté de Saint-Remi-Barbâtre, il y aura des belles tables de voisins rues Adnot, de Taissy et de l’Oseille, ainsi que sur l’esplanade des Capucins, avec l’amicale des locataires du même nom.
A Croix-Rouge, animation prévue rue Jacques-Detré. Du côté de Jean-Jaurès-Cernay-Epinettes, plus de choses annoncées, avec l’amicale des locataires Naudin, dans la rue du même nom, allée Jazeron pour l’association du Hameau de l’est. Les particuliers seront rue Daubenton, de Nogent, David, Savoye-Kellerman, Esplanade Le Rouet. A noter que 300 personnes sont attendues rue Thionville.
Au centre-ville, les voisins ont lancé des invitations rue Berton, boulevard Lundy, rue de Chativesle, au carrefour Capucin-Jard, parc des Capucins et rues Adad, du Tambour et Werlé. La résidence Tiers-Temps organise aussi la fête, tout comme l’association Ex-Aequo rue du Jard et l’Amicale du 28 boulevard Joffre.
A Clairmarais, la maison de quartier sera dans le square Henriot les particuliers place Corot.
A Trois-Fontaines, deux rendez-vous : rue Walbaum avec la maison de quartier et rue de Pévy. A Dauphinot, ce sera avenue Charles-Flandres.
Du côté de Laon-Zola-Luton, les tables seront installées rue du Vieux coq, du jeune Homme, Foulrquart et place Michel-Ange, avec aussi les locataires Brossolette, les Jardins suspendus et le faubourg de Laon (333, ave de Laon).
Rendez-vous aussi rue Faivre à Murigny, rue de Courlancy et à Martin -Peller avec la Colline Sainte-Geneviève.
Il y aura du monde avec l’association La Lézardière (rue Flaubert) et rue de Sacy avec Bien Vivre à Sainte-Anne, sans oublier dans ce quartier rue de la Briqueterie et rue Bazin-Serbie.
On termine par Orgeval, avec les rues Fanart, Desbureaux et Guignicourt. Et si on habite dans les petites villes de la Métropole ou les villages du bassin rémois, il y aura toujours un moment à partager ce soir avec ses voisins !
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REIMS (Marne). Même s’ils sont en baisse par rapport à 2012, des vols de bijoux à l’arraché continuent de se produire à Reims. Dernier cas mardi avec une jeune femme agressée à Croix-Rouge.
Le sac à main n’est plus la cible privilégiée des voleurs à l’arraché. Avec la hausse du cours de l’or, nombreuses sont les petites frappes à s’être reconverties dans l’arrachage des bijoux. Une Rémoise de 23 ans en a fait l’amère expérience, mardi matin, dans le quartier Croix-Rouge.
Il était 11 h 30. La jeune femme traversait le square de la rue du Docteur-Billard, derrière l’école, lorsque trois individus ont croisé son chemin. « Tout d’un coup, un des trois s’est jeté sur moi pour tenter d’arracher ma chaîne en or. Je me suis débattue. Il m’a griffé le cou. Il m’a fait tomber et m’a frappée à coups de pied sur les jambes. Une dame est arrivée. Elle a crié, ce qui l’a mis en fuite avant qu’il ne réussisse à prendre ma chaîne. »
L’agresseur avait le visage partiellement dissimulé sous une capuche. Selon le témoignage de la dame, les deux autres individus semblaient faire le guet pendant que leur complice attaquait la jeune femme.
Depuis le début de la décennie, ce type d’agression est devenu un fait marquant de la délinquance de voie publique en France, notamment en région parisienne et à Marseille, avec un pic en 2012, année où le prix du gramme d’or a dépassé les 44 €.
Reims n’a pas échappé au phénomène. « Nous avons été confrontés à une série durant le premier semestre de l’année dernière », se souvient la commissaire Annie Brégal, directrice départementale de la sécurité publique de la Marne.
« Il y avait deux ou trois équipes qui tournaient*. Le travail des brigades anticriminalité et des enquêteurs de la sûreté départementale de Reims a permis de les neutraliser. Depuis, c’est un phénomène qui reste marginal, avec quelques faits commis de temps à autre, sans unité de lieu. Nous restons vigilants. Nos équipages sont d’ailleurs sensibilisés en permanence pour tout ce qui concerne les vols sur la voie publique, notamment les vols de portables ou de mallettes d’ordinateur. »
D’après les statistiques locales, seuls six faits ont été recensés depuis le 1er janvier. Reims n’est donc pas encore Marseille ou Paris, capitale confrontée l’an dernier à « plus de dix vols par jour », contre « dix par semaine en 2011 », selon la préfecture de police.
Même si le prix du gramme d’or est aujourd’hui redescendu aux environs de 35 €, c’est toujours 55 % de plus qu’il y a quatre ans à la même époque. De quoi susciter l’engouement des petits malfrats pour ce précieux métal à portée de main dans les rues.
* Les quartiers principalement touchés étaient Croix-Rouge, Saint-Remi et Les Châtillons.
F.C.
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La Vendée leur a plutôt réussi. Cécile Lejeune, Vincent Lafleur, Lucie Picard et Antoine Blacas en sont revenus avec un titre national. « C’était l’objectif, pour nous comme pour le lycée », assure Antoine, élève de seconde à François-Arago.
Sourire aux lèvres sur la route de l’entraînement, les triathlètes rémois se disent satisfaits du devoir accompli : « On est tous très contents, individuellement et collectivement. C’est vrai qu’il y a une très bonne entente dans notre groupe. Certains sont même en classe ensemble », explique Cécile.
Vélos enfourchés et prêts à partir pour s’entraîner, les champions ont gardé leur rythme de travail. Une belle équipe qui se forme donc, composée de la championne de France minime surclassée, Cécile Lejeune. Elle a évidemment tenu un rôle particulier dans ce titre :. « Je devais rattraper le retard et j’y suis presque parvenue complètement ».
La jeune athlète est considérée comme un « phénomène » par Loïc Janson, son entraîneur : « Elle est extrêmement forte, je n’ai jamais vu ça, elle ira très loin. En plus, elle a un an de moins et reste quand même au-dessus du niveau cadet. Elle n’a quasiment pas de déchet dans les trois sports ». Antoine, lui, s’avoue plus à l’aise sur le vélo et en course : « La nage ce n’est pas trop mon truc, c’est très technique mais je travaille beaucoup. »
Les Rémois rempilent donc demain à Châteauroux, cette fois aux championnats de France. Un niveau « bien plus élevé » selon leur coach : « Ce n’est pas la même compétition, là, on est plus dans le scolaire. Ce week-end, il y aura de très bons athlètes ». Mais l’équipe reste confiante et, après concertation, annonce l’objectif : « On pense qu’un top15 ne serait pas mal », disent-ils avant que Vincent Lafleur revienne sur cette annonce. « On peut même être dans les 10 premiers ».
Les lycéens disposent de moyens d’entraînement assez complets. « On s’entraîne beaucoup au lycée et on a un partenariat avec le Creps qui nous fait bénéficier de ses installations », explique l’entraîneur. « Ils ont aussi des résultats scolaires très bons… Surtout les filles », conclut le proviseur du lycée. Des esprits sains dans des corps sains en somme.
Valentin LIERRE
Mercredi matin, un riverain de la rue Raymond-Poincaré a retrouvé sa R5 aspergée d’essence, avec du papier consumé en dessous. Un vandale a voulu l’incendier au cours de la nuit, mais le papier s’est éteint avant d’embraser le véhicule.
En revanche, deux voitures ont brûlé hier : une Mégane rue Roger-Foucry à 5 heures, une Peugeot 306 rue de Rilly-la-Montagne à 2 h 20 (avec propagation à deux Opel).
De nombreux stands et ateliers attendaient les enfants, comme ici, l’entreprise Pertuy.
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La fête des secteurs Croix-du-Sud et Pays-de-France, était organisée samedi 25 mai sur l’espace Saint-Bruno, entre la résidence Joséphine et l’église de Croix-Rouge. Toutes les forces vives de ces secteurs s’étaient réunies pour assurer le succès de la fête et le temps a été plutôt clément. Simplement, le pique-nique de soirée a été annulé à titre préventif.
Autour des organisateurs, Elisabeth Causin pour l’espace Watteau et Slimane Hamdi, pour l’espace Pays-de-France, on pouvait remarquer l’équipe de La Marmite, restaurant associatif, l’entreprise Pertuy (le public a adoré préparer du ciment, surtout les jeunes filles), l’association culturelle Maoraise de Reims, l’association de promotion de Pays-de-France, l’équipe « service civique » d’Unis-Cité, qui a assuré la partie thématique retenue sur le « développement durable », les associations Métamorphose et Les savants fous, l’association Multi-échanges services, la médiathèque Croix-Rouge, le tri sélectif, toujours présent et la Maison de l’enfance.
Une structure gonflable et les jeux pour enfants étaient également à disposition des jeunes qui pouvaient de déplacer des stands aux nombreux ateliers tenus par les équipes de Watteau et de Pays-de-France.
Toujours présente, l’équipe d’animation du Conseil de quartier, toujours présente, accueillait le public à l’entrée de la fête qui a été clôturée par une belle prestation endiablée du groupe de percussions Pily-Pily.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Les collégiens du Sacré-Cœur espèrent faire aussi bien que leurs prédécesseurs, surtout sur le développement durable.
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REIMS (Marne). Les mini-entreprises présentent leur projet aujourd’hui au Manège. Zoom sur deux d’entre elles, mais le public pourra venir voir les 41 projets développés comme dans une vraie entreprise cet après-midi.
Elles seront 41 mini-entreprises de toute la région, à venir présenter leur projet aujourd’hui au Manège, avec comme objectif de représenter la Champagne-Ardenne au championnat de France. C’est aussi l’occasion de montrer que les jeunes collégiens, lycéens et ceux en insertion sont capables non seulement d’avoir de belles idées, mais surtout de les mettre en pratique.
Une mini-entreprise, c’est en effet la conception d’un produit de A à Z, dans les conditions du réel, avec un PDG, des chefs de service, des ouvriers, ingénieurs, communicants, etc. Le projet débouche sur une vente encore une fois réelle du produit, assurée aussi par les élèves, tout comme la gestion administrative et financière. Une plongée pour tous ces jeunes dans le monde actif qu’ils affronteront dans quelques années. Organisé par l’association Entreprendre pour Apprendre (EPA), ce 5e championnat régional des mini-entreprises sera ouvert au public de 13 h 30 à 15 h 30. Le jury sera constitué de chefs et cadres d’entreprise et de membres de l’Education nationale.
Les mini-entreprises classées premières de leur catégorie (il y en a 4 : collège, lycée, postbac et insertion) représenteront la Champagne-Ardenne au championnat national qui se tiendra le 5 et 6 juillet à la cité des sciences et de l’industrie, à Paris.
Les jeunes abordent la créativité, l’esprit d’initiative, le sens des responsabilités, l’intégration à une équipe, la gestion de l’entreprise, la réflexion pour résoudre les difficultés liées à la vie de la mini-entreprise (délais fournisseurs, malfaçons…), la communication… qui sont des compétences attendues des entreprises.
L’EPA, créée en 2008, a encadré plus de 50 mini-entreprises cette année dans la région. En plus des premiers prix, les jeunes pourront viser le prix du Développement durable, celui des valeurs de l’économie sociale, de la communication, du projet intergénérationnel, du meilleur stand, de l’égalité, de la mobilité, de l’innovation. Ils choisiront eux-mêmes le dernier prix, le Coup de cœur.
En plus des deux collèges présentés ci-dessous, ceux de Joliot-Curie et de Brossolette vont présenter des tee-shirts, celui de Pontfaverger des bijoux, celui de Gueux des cadres photos, et Fismes a présenté son spectacle, Mix’ages, samedi à la nouvelle salle des fêtes de la commune.
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