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Union110331e

Mélanie Le-Fé a terminé 9e des récents championnats de France UNSS.  Agrandir la photo

Avec l’apport de Nina Rottger, la Picarde du JC Omois pensionnaire du Creps de Reims (1), la Marne abordera les France cadets samedi et dimanche (2) avec plus d’atouts qu’en 2010.

A l’Institut national du judo de Paris, quelles seront les chances départementales ? Elles reposeront sur les Rémoises Sophie Goncalves (- 63 kg) et Mélanie Le-Fé (- 70 kg).

Les sociétaires de Reims Judo tireront dimanche. Elles évolueront toutefois dans deux catégories assez denses.

Les élèves de Xavier Supernant perpétuent la tradition de représentation du Reims Judo aux France cadettes. En 2010, Juliette Rieu (- 52 kg) et Ingrid Maroquivoi (+ de 70 kg) étaient en lice.

Samedi à Paris, la Marne comptera sur une troisième représentante : Colyne Thieffain. Pour sa première grande expérience nationale, l’athlète du Cercle de l’Amitié de Cauroy-lès-Hermonville, près de Reims, combattra en - 48 kg.

La représentation féminine ne doit en revanche pas masquer les carences masculines. Représenté en 2010 au moins par le léger de l’AS Croix Rouge Dylan Girard (- 46 kg), le département n’a qualifié personne pour ce week-end.

Ph.L.

(1) Vainqueur de la demi-finale à Saint-Julien, la Sud-Axonaise sera une sérieuse cliente en moins de 63 kg.

(2) Il s’agit du championnat Elite. Les championnats nationaux cadets comprennent trois niveaux. Après l’Elite ce week-end, la Coupe de France (2e niveau) et le critérium national (3e échelon) se dérouleront les 4 et 5 juin à Ceyrat (Puy-de-Dôme).

110331d - RMmag février 2011

Dans l’académie, 128 postes sont supprimés, 30 sont créés dans le secondaire. Pour le primaire, résultat ce soir.  Agrandir la photo

Une distribution gratuite de compost aura lieu le 26 mars de 9h à 19h sur les 4 déchetteries de l’agglo (Reims Croix Rouge, impasse de la chaufferie - Reims Europe, rue de l’Escaut- Saint Brice Courcelles, chemin des Temples – Tinqueux, rue Marcel Dassault).

Les habitants intéressés peuvent venir avec des seaux (ou autres contenants) et les remplir dans la limite de 150 litres. En parallèle, les animateurs du tri présents lors de cette journée apporteront toutes les informations nécessaires et présenteront le compostage domestique. Des composteurs seront également proposés sur ces sites sur présentation d’un justificatif de domicile et paiement d’une caution de 15 €. Déjà été réalisée en 2010, cette opération est renouvelée cette année en raison de la forte demande.

Rappelons que le compost, mélangé à une terre simple, permet d’obtenir un terreau riche.

Il peut également être dispersé en couche fine sur la pelouse ou au pied des arbustes et plantes vivaces.

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Union110331c

Dans l’académie, 128 postes sont supprimés, 30 sont créés dans le secondaire. Pour le primaire, résultat ce soir.  Agrandir la photo

MARNE. Le couperet est tombé et le détail par établissement acté. 128 postes de professeurs seront supprimés dans les collèges et lycées de la Marne pour la rentrée 2011.

Sachant que 30 postes sont créés dans le même temps, ce sont au final 98 postes qui disparaissent.Au fil des semaines, le nouveau plan de réduction des effectifs dans l’Education nationale se fait plus précis. Des 16 000 à l’échelle nationale annoncés entre Noël et le Jour de l’An, on était arrivé à 363 postes (dont 12 administratifs) dans l’académie de Reims. Au fil des réunions et comités techniques paritaires, l’étau se resserre. Dans la Marne, si le détail pour le 1er degré (écoles maternelles et primaires) devrait être connu ce soir, chaque collège et lycée du département sait désormais à quoi s’en tenir.

Aÿ : Les Bleuets, 2 suppressions.
Châlons : Nicolas-Appert, 1 suppression ; d’Ablancourt, 4 suppressions.
Cormontreuil : Coubertin 3 suppressions.
Dormans : Ledoux 1 suppression, 1 création.
Epernay : Côte Legris, 1 suppression ; Monnet, 1 suppression.
Fagnières : Grignon : 1 suppression, 1 création.
Fismes : Thibaud-de-Champagne, 2 suppressions.
Frignicourt : Alin, 1 création.
Gueux : Sirot, 1 suppression.
Montmort-Lucy : 1 suppression.
Reims : Bastié, 1 suppression, 1 création ; Braque, 2 suppressions ; Brossolette, 2 suppressions ; Colbert, 1 suppression ; Curie, 5 suppressions ; Legros 1 suppression, 1 création ; Saint-Rémi, 1 suppression, Schuman, 4 suppressions ; Trois-Fontaines, 3 suppressions, 2 créations ; Université : 3 suppressions.
Saint-Memmie : Moulin : 1 suppression.
Sermaize-les-Bains : Pasteur, 2 suppressions.
Tinqueux : Billa, 2 suppressions.
Verzy : Eluard, 2 suppressions.
Vitry-le-François : Les Indes, 2 suppressions, 1 création : Vieux-Port, 2 suppressions.

Châlons : Talon, 2 suppressions ; Oehmichen, 6 suppressions, 4 créations ; Bayen, 1 suppression.
Epernay : Godart-Roger, 7 suppressions, 1 création ; Bourgeois, 4 suppressions, 1 création.
Reims : Colbert, 1 suppression ; Roosevelt, 6 suppressions, 3 créations ; Clemenceau, 4 suppressions ; Arago, 2 suppressions, 1 création ; Libergier, 6 suppressions ; Jaurès, 1 création ; Murigny, 5 suppressions.
Sézanne : Fontaine-du-Vé, 1 suppression.
Vitry-le-François : François-1er, 7 suppressions.

Châlons : Oehmichen, 3 suppressions, 1 création ; Talon, 1 création.
Epernay : Godart-Roger : 5 suppressions, 1 création.
Reims : Arago, 5 créations ; Curie, 2 suppressions ; Eiffel, 3 suppressions ; Murigny, 1 suppression, 2 créations ; Yser, 4 suppressions ; Europe, 4 suppressions.
Tinqueux : Croix-Cordier, 2 suppressions.
Vitry-le-Francois : François-1er, 1 création.

Arago et Murigny à Reims ainsi que Talon à Châlons sont des sections d’enseignement professionnel dans des lycées d’enseignement général.

F.G.

• 18 fermetures

Bétheny - Petit Bétheny
Bouzy - Camille-Claudel
Bussy-Lettrée - Ecole publique
Châlons - Pierre-Curie
Cumières - Ecole publique
Dormans - Du-Gault
Epernay - Jean-Jacques-Rousseau
Reims - Général-Carré
Reims - Jules-Ferry
Reims - Gerbault
Reims - La Neuvillette
Reims - Prieur-de-la-Marne
Reims - des Provençaux
Reims - Docteur-Roux
Vaudemange - Ecole publique
Vitry - Jules-Ferry
Vitry - Paul-Fort
Vitry - Louis-Pasteur

Dans ces écoles, il est prévu la fermeture d’une classe.

• 2 à 3 ouvertures

Reims - Anquetil (ouverture conditionnelle)
Reims - Ravel-Franchet
Suippes - Jules-Ferry (classe d’inclusion scolaire, clis)

Dans ces écoles, il est envisagé l’ouverture d’une classe.

• 10 fermetures

Aÿ - La Noue
Châlons - Jean-Macé
Courcy - Ecole publique
Cormontreuil - Enelle
Fagnières - Les Tilleuls
Nuisement - Ecole de la Vallée
Reims - Jardelle
Sainte-Ménehould - Robert-Lancelot
Sézanne - Barbonne-Fayel
Vitry - Mont-Berjon

Dans ces écoles, il est prévu la fermeture d’une classe.

• 2 à 4 ouvertures

Reims - Adriatique
Reims - Gilberte-Droit
Reims - Clairmaret (sous réserve d’effectif)
Reims - Emile-Zola (conditionnée à des problèmes de locaux)

Dans ces écoles, il est envisagé l’ouverture d’une classe.

Union110331b

Quarante et un commerces ont été recensés sur le trajet de tramway pour bénéficier d’une aide Fisac.  Agrandir la photo

REIMS (Marne). Pour aider les commerçants qui ont subi les travaux du tramway, 866 000 euros d’aide devraient être apportés sur 3 ans, dont 100 000 pour la rénovation de façades et l’accessibilité.

« TOUT a été fait pour que les commerçants pâtissent le moins possible des travaux du tramway. » Adeline Hazan, lors de la signature du Fisac (Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce) avec différents partenaires, a rappelé l’effort déjà consenti pour ceux qui ont été les plus gênés par les deux ans de travaux, un temps d’ailleurs relativement court, et même « un record du monde », a souligné Alain Lescouet, vice-président de Reims Métropole, chargé du tram.

La commission indépendante d’indemnisation à l’amiable du préjudice économique subi suite aux travaux du tramway, présidée par un magistrat du tribunal administratif, a indemnisé environ cent trente commerçants, pour une somme totale de 3,2 millions d’euros, a annoncé la maire.

Mais le Fisac tramway est né, lui, pour la redynamisation et l’attractivité de l’activité économique sur le trajet du tramway, avec un programme d’actions sur 3 ans. La Ville et l’Agglo ont donc associé la CCI, la chambre de métiers, et les trois associations de commerçants situés sur le trajet, celle du quartier Croix-Rouge, du Faubourg de Laon et les Vitrines de Reims pour le centre.

Au total, le Fisac représentera 866 500 euros, dont 222 000 de l’État. Animations, communication, aides directes, études, enquêtes et services à la clientèle sont inclus dans ce Fisac. Si l’État accepte de subventionner, un conseil d’orientation sera mis en place pour décider des opérations et travaux, suivre les actions engagées, mesurer leur efficacité et affiner en fonction sur les années suivantes.

Hormis les animations et la communication, une somme de 100 000 euros (moitié Ville, moitié État) sera consacrée à la rénovation des façades et à la mise aux normes de l’accessibilité. « Il s’agit des commerces situés à 50 mètres autour de la ligne », précise Adeline Hazan. Vingt-six commerces ont été recensés pour être concernés par la rénovation de façades, quinze pour l’accessibilité.

« La Ville s’engage à verser sa part, soit 50 000 euros, si l’État refuse la subvention Fisac », a précisé la maire. Reims aura ainsi profité à plein du tramway pour s’embellir et se mettre aux normes. Restera à faire pareil dans les quartiers qui ne bénéficient pas du tram !

G.F.

Opérationnel depuis septembre 2009, le Fisac (Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce) a pour but de préserver et développer les commerces et services de proximité dans les quartiers en zone urbaine sensible.

À Reims, il a pour vocation d’accroître l’attractivité des quartiers Croix-Rouge, Épinettes, Wilson, Châtillons et Orgeval, et d’inciter d’autres commerçants à s’y implanter.

L’aide, sous forme d’une subvention d’État directe, variant de 1 000 à 20 000 euros, est versée par la Ville sur présentation des factures certifiées acquittées des dépenses effectuées.

Grâce à ce dispositif, tout commerçant, artisan ou professionnel de service dont le chiffre d’affaires est inférieur à 800 000 euros et qui souhaite réaliser des travaux ou des investissements agréés par un comité technique et un comité de pilotage, peut bénéficier d’un financement d’État pouvant aller jusqu’à 40 % du montant de ses dépenses sans dépasser 20 000 euros par professionnel. Les travaux agréés sont de quatre types : rénovation des vitrines, modernisation des entreprises et des locaux d’activité, équipements de sécurité et aménagements facilitant l’accès des personnes handicapées.

Union110331a

MARNE. Rendus publics hier, les « indicateurs de résultats » des 30 lycées de la Marne affichent de grandes disparités. Surtout, un fort taux de réussite au bac dans un établissement n’indique pas toujours que la voie y soit royale, certains lycées perdant beaucoup d’élèves entre la seconde et l’obtention du diplôme.

DANS un peu plus de trois mois, le bac 2011 aura rendu ses verdicts mais le ministère de l’Education revient sur la cuvée 2010 en rendant public les « indicateurs de résultats » par établissement. Les 30 lycées de la Marne sont passés à la moulinette des statistiques, le rectorat n’ayant pas mégoté quant à la débauche de données.

Nous n’en publions que trois, mais vous pouvez retrouver leur intégralité sur le site du ministère (voir ci-dessous).

Surtout, les autorités insistent sur deux points. D’abord la notion de « valeur ajoutée ». Comment se situe un établissement non pas par rapport à ses voisins géographiques mais à ses voisins socio-démographiques de l’Académie ? Cette valeur permet d’offrir une comparaison plus probante. De plus, l’Éducation nationale insiste sur le taux d’accès au bac. En prenant en compte tous les élèves accueillis en classe de seconde (première pour l’enseignement professionnel) combien quittent le lycée avec le bac en poche ? Ces « taux d’accès » viennent parfois moduler largement le simple taux de réussite et mettre en lumière les établissements accompagnateurs et ceux, ultra-sélectifs, qui ne gardent que les bons éléments.

Comme dans la version 2009, on retrouve trois établissements rémois au sommet en terme de réussite : Saint-Joseph (98,18 %) et le Sacré-Cœur (97,01 %) mais cette fois, c’est Marc-Chagall (97,08 %) qui détrône du podium Jean-XXIII « seulement » crédité de 91,71 % cette année contre 96 % en 2009. S’en suivent Jean-Jaurès (95,37 %) et le premier lycée non-rémois : François-1er à Vitry avec 93,10 %. Surtout l’établissement vitryat se distingue par sa valeur ajoutée très probante : cinq points de plus que ceux de sa catégorie régionale, c’est la plus forte progression du département.

Il faut dire que pour cet indicateur, les lycées du département ne s’illustrent pas vraiment. En dehors de Marc-Chagall (+3,02) et Colbert (+2,59), à Reims aussi, la valeur ajoutée est soit quasiment inexistante, soit négative. Dans cette catégorie, « la palme » revient aux lycées rémois Val-de-Murigny, avec -6,22, suivi de Roosevelt (-5,01), Europe (-4,31), Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle (-4,18) et de Jean-Talon à Châlons (-3,82).

Enfin, en terme d’accès au bac des élèves de 2nde, Chagall s’avère le seul établissement à dépasser 8 élèves sur 10, cinq établissements étant à 7,5 sur 10 : Sacré-Cœur, Saint-Joseph, Libergier à Reims, Bayen (Châlons) et Godart-Roger (Epernay). A l’inverse, trois lycées affichent moins d’un élève de 2nde sur deux mené à l’obtention du bac : Oehmichen (Châlons), Arago (Reims) et Val de Murigny (Reims).

Si un seul établissement réussit un 100 %, Saint-Vincent-de-Paul (Châlons) en production, contre cinq en 2009, les résultats d’ensemble sont à relever. En plus du lycée châlonnais, Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle (97,92 % en production), Arago (96,43 % en production) et Jeanne-d’Arc (93,30 % en service) confirment la prédominance des lycées rémois. Néanmoins, l’établissement châlonnais Saint-Vincent-de-Paul fait jeu égal dans les trois indicateurs retenus avec le rémois Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.

En valeur ajoutée, huit établissements affichent des performances significatives de +5 à +9 points. Enfin, si le lycée La fontaine-du-Vé à Sézanne permet à 93,33 % de ses élèves de 1re d’obtenir le bac, d’autres lycées oscillent autour de 8 élèves sur 10 : Joliot-Curie, Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle et Saint-Michel à Reims, Saint-Vincent-de-Paul à Châlons et François-1er à Vitry.

F.G.

Réussite au baccalauréat, accompagnement et capacité à faire progresser les élèves… lunion.presse.fr dévoile le palmarès des lycées - publics et privés sous contrat d’enseignement généraux et technique - de Champagne-Ardenne. Découvrez les performances de votre lycée ou de celui de vos enfants.

Depuis 1993, le ministère de l’Education nationale se défend de donner un palmarès. Il s’agit plutôt "d’un regard croisé sur les trois indicateurs et les « valeurs ajoutées » correspondantes". L’ensemble de ces éléments est censé "donner une image de la réalité complexe que constituent les résultats d’un établissement"."Ces indicateurs sont établis à partir des résultats des élèves à la session 2010 du baccalauréat et des données relatives au déroulement de leur scolarité", communique le ministère.

L’objectif est double pour l’Education nationale. Il s’agit, tout d’abord, "de rendre compte des résultats du service public national d’éducation, en donnant à tous des éléments d’appréciation allant au-delà de l’affichage du seul taux de réussite des candidats". "Le second objectif est de fournir aux responsables et aux enseignants de ces lycées des éléments de réflexion pour les aider à améliorer l’efficacité de leurs actions".

Fondés sur les chiffres de réussite et d’accès au bac, ces mesures n’échappent toutefois pas à la polémique : utilisés par les médias qui les classent afin d’obtenir un palmarès, affichés avec fierté par les établissements, ils sont aussi regardés à la loupe par les parents d’élèves, même s’ils sont assez difficiles à interpréter.

Le ministère de l’Education nationale nous demande de publier le communiqué ci-dessous.

"Le taux de réussite au baccalauréat n’est pas le seul indicateur de résultat des lycées. Les taux d’accès au baccalauréat et la proportion de bacheliers parmi les sortants permettent d’apprécier le caractère plus ou moins sélectif des établissements et le parcours scolaire des élèves depuis leur entrée au lycée jusqu’au baccalauréat. Les taux de réussite et d’accès de chaque lycée doivent être comparés à des taux "attendus" qui tiennent compte des caractéristiques sociodémographiques et scolaires des élèves qui le fréquentent. Ceci permet de dégager la "valeur ajoutée" du lycée et d’offrir une approche relative de son efficacité. Le ministère ne publie pas de classement mais propose un regard croisé sur les trois indicateurs et les "valeurs ajoutées" correspondantes. L’ensemble de ces éléments donne une image de la réalité complexe que constituent les résultats d’un établissement." Pour établir ce classement, lunion.presse.fr s’est basé sur les taux de réussite au Bac et les a affinés avec les taux d’accès au Bac qui permettent de mesurer les chances pour un étudiant entrant en Seconde (ou en Première) d’arriver au baccalauréat. Un établissement offrant des taux très élevés dans les deux cas sera à même d’offrir à des parents la plus grande chance de succès pour leur enfant dès son entrée en Seconde.

1er Lycée Diderot (Langres)
2e Lycée Marc Chagall (Reims)
3e Lycée privé Mabillon (Sedan)
4e Lycée Francois 1er (Vitry-le-Francois)
5e Lycée Gaston Bachelard (Bar-sur-Aube)
6e Lycée F. et I. Joliot Curie (Romilly-sur-Seine)
7e Lycée Camille Claudel (Troyes)
8e Lycée Jean XXIII (Reims)
9e Lycée privé Saint-Joseph (Reims)
10e Lycée privé Saint-Francois de Sales (Troyes)
11e Lycée privé du Sacré Coeur (Reims)
12e Lycée privé Saint-Bernard (Troyes)
13e Lycée Saint-Exupery (St-Dizier)
14e Lycée privé Immaculee Conception (St-Dizier)
15e Lycée Chrestien de Troyes (Troyes)
16e Lycée Georges Clemenceau (Reims)
17e Lycée Leon Bourgeois (Epernay)
18e Lycée Bazeilles (Bazeilles)
19e Lycée Hugues Libergier (Reims)
20e Lycée privé Saint-Vincent-de-Paul (Châlons-en-Champagne).
21e Lycée Godart Roger (Epernay)
22e Lycée Jean Jaurès (Reims)
23e Lycée les Lombards (Troyes)
24e Lycée Marie de Champagne (Troyes)
25e Lycée Charles de Gaulle (Chaumont)
26e Lycée Pierre Bayen (Chalons-en-Champagne)
27e Lycée privé Saint-Michel (Reims)
28e Lycée Chanzy (Charleville-Mézières)
29e Lycée Jean Moulin (Revin)
30e Lycée la Fontaine du Ve (Sézanne)
31e Lycée privé Saint Jean-Baptiste de la Salle (Reims)
32e Lycée Colbert (Reims)
33e Lycée Sevigne (Charleville-Mézières)
34e Lycée Paul Verlaine (Rethel)
35e Lycée Saint-Remi (Charleville-Mézières)
36e Lycée Edouard Herriot (Sainte-Savine)
37e Lycée Franklin Roosevelt (Reims)
38e Lycée Monge (Charleville-Mézières)
39e Lycée Edme Bouchardon (Chaumont)
40e Lycée Etienne Oehmichen (Chalons-en-Champagne)
41e Lycée Pierre Bayle (Sedan)
42e Lycée Vauban (Givet) 43e Lycée Jean Talon (Chalons-en-Champagne) 44e Lycée Thomas Masaryk (Vouziers) 45e Lycée Francois Bazin (Charleville-Mézières) 46e Lycée Philippe Lebon (Joinville) 47e Lycée Val de Murigny (Reims)

A titre de comparaison, voilà le classement des établissements champardennais en ne tenant compte que du taux de réussite au bac.

1. Lycée privé Saint-Joseph (Reims) 98.18%
2.Lycée Marc Chagall (Reims) 97.08%.
3.Lycée privé du Sacré Coeur (Reims) 97.01%.
4.Lycée Diderot (Langres). 96.55%
5. Lycée Jean-Jaurès (Reims) 95.37%
6. Lycée privé Saint-François de Sales (Troyes) 95%
7. Lycée privé Mabillon (Sedan) 94.92%
8. Lycée Camille Claudel (Troyes) 94.5%
9. Lycée privé Saint-Joseph (Troyes) 94%
10. Lycée Gaston Bachelard (Bar-sur-Aube) 93.55%
11. Lycée privé Immaculée Conception (Saint-Dizier) 93.14%.
12. Lycée François 1er (Vitry-le-François) 93.1%.
13. Lycée privé Saint-Bernard (Troyes) 91.95%
14. Lycée Joliot Curie (Romilly-sur-Seine) 91.92%.
15. Lycée Pierre Bayen (Châlons-en-Champagne) 91.8%
16. Lycée Jean XXIII (Reims) 91.71%
17. Lycée Léon Bourgeois (Epernay) 90.24%
18. Lycée privé Oudinot (Chaumont) 89.36%.
19. Lycée Chanzy (Charleville-Mézières) 88.7%
20. Lycée Georges Clémenceau (Reims) 88.62%
21. Lycée privé général et technique Saint-Vincent de Paul (Reims) 87.1%.
22. Lycée La Fontaine du Ve (Sézanne) 86.55%
23. Lycée Hugues Libergier (Reims) 85.96%.
24. Lycée Charles De Gaulle (Chaumont).85.71%
25. Lycée privé de l’Assomption (Saint-Dizier).85.71%
26. Lycée Edouard Herriot (Sainte-Savine) 85.45%.
27. Lycée Arago (Reims) 84.62%
28. Lycée Chrestien de Troyes (Troyes) 84.35%
29. Lycée Saint-Exupéry (Saint-Dizier) 84.19%.
30. Lycée Paul Verlaine (Rethel) 84.08%.
31. Lycée Les Lombards (Troyes) 83.52%.
32. Lycée Notre Dame Saint-Victor (Epernay) 83.33%
33. Lycée privé Saint-Jean-Baptitste de la salle (Reims) 83.33%.
34. Lycée Godart roger (Epernay) 83.24%
35. Lycée privé général et technique Saint-Michel (Reims) 83.13%.
36. Lycée Sevigné (Charleville-Mezières) 82.88%
37. Lycée Marie de Champagne (Troyes) 82.16%
38. Lycée Bazeilles (Sedan) 82.08%
39. Lycée privé Saint-Rémi (général et techno) Charleville-Mézières 81.67%
40. Lycée Vauban (Givet) 81.61%
41. Lycée Pierre Oemichen (Châlons-en-Champagne) 81.5%.
42. Lycée Franklin Rossevelt (Reims) 81.39%
43. Lycée Edmé Bouchardon (Chaumont) 81.01%.
44. Lycée Blaise Pascal (Saint-Dizier) 80.43%.
45. Lycée Colbert (Reims) 80.21%.
46. Lycée Monge (Charleville-Mézières) 79.04
47. Lycée Jean-Moulin (Revin) 78.41 %.
48. Lycée François Bazin (Charleville-Mézières) 78.21%
49. Lycée Pierre Bayle (Sedan) 77.38%.
50. Lycée Thomas Masaryk (Vouziers) 76.47%
51. Lycée général et technique Jean-Talon (Châlons-en-Champagne) 75.18%
52. Lycée général et technique Philippe Lebon (Joinville) 71.53%
53. Lycée Val de Murigny (Reims) 71.26%
54. Lycée Europe (Reims) 62.07%.

Alexandre Allard

Union110330d

Les enfants représentent 80 % des adhésions.  Agrandir la photo

C’est une nouvelle dynamique qui s’esquisse à l’association sportive Croix-Rouge judo, où les enfants représentent 80 % des adhésions. Des adhésions pour lesquelles, l’équipe technique vient de définir trois priorités.

A savoir la préparation à la compétition pour le groupe-avenir (4-13 ans) ; le développement du judo-loisir via les parents. Et une plus grande impulsion autour du judo féminin.

« A ce propos, on a une bonne quinzaine d’ado-adultes qui s’adonnent à la pratique du judo et du jiu-jitsu. Et nous avons multiplié par deux le nombre de nos licenciés. Avec la nouvelle équipe dirigeante et technique, on est passé de 85 à 150 membres », précise Jean Dressayre, directeur technique.

« Nous voulons également inscrire l’association dans le paysage des quartiers en difficulté. Car par rapport aux enfants, nous voulons jouer une fonction sociale. Le judo est pourvoyeur de valeurs et de règles qui permettront aux plus jeunes d’avoir une base solide en société », complète Ludovic Martin-Kleisch, trésorier. On aura donc compris que l’AS Croix-Rouge a surtout une vocation pédagogique et sociale.

Ce qui ne l’empêche pas d’avoir de bons résultats, chez les minimes notamment. Quatre sont montés récemment sur le podium marnais.

Pour les projets, notons le souhait de fidéliser les licenciés « qui nous font confiance » et d’affermir le niveau technique des compétiteurs.

Union110330c

Vanessa Pogniot a présenté ses activités à l’assemblée générale.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

En 2010, l’accueil collectif de mineurs de l’Etoile Croix-du-Sud, supprimé un temps faute d’encadrement stable et diplômé, a rouvert le mercredi. Il totalise 240 enfants présents de 5 à 12 ans, avec une moyenne de 50 à 60 inscriptions, dont 25 « nouveaux » qui n’étaient pas connus de l’association.

L’ouverture d’un club de danse le mercredi de 17 à 18 heures est un « plus » pour une quinzaine de participants.

Près de 40 jeunes ont profité de deux grands voyages, chez Astérix en avril et au Touquet en juillet. « Deux journées très enrichissantes, la plupart des enfants n’étaient jamais sortis de Reims, et pour beaucoup, c’était la première fois qu’ils voyaient la mer », précise Vanessa Pogniot.

Par ailleurs, en décembre, à l’issue d’un concours de belote, une loterie spéciale Noël a permis d’acheter des cadeaux qui ont été offerts aux enfants du Memorial American Hospital, dans le cadre d’une action montée avec Mme Baudry, présidente de l’association Visite des malades en établissements hospitaliers. Au programme, chants, danse et goûter avec les enfants de l’AMH et des infirmières bénévoles.

Les activités 2011 sont axées sur différents thèmes et un rapprochement est prévu avec le Bistroquet, le café associatif voisin : « Chaque mois, un repas de midi sera organisé, dont les desserts seront préparés par les jeunes de l’Étoile. ». Il est prévu également de travailler sur le lien enfants-parents par des animations en commun.

Cet été, un mini-camp de 5 jours à Fort-Mahon accueillera les enfants de 8 à 12 ans. Les plus jeunes se rendront à une journée Far-West près d’Épernay.

Ce bilan a particulièrement satisfait Alain Chevallier, représentant de l’Effort rémois - Alpha logement, organisme qui subventionne largement l’association (20 180 euros en 2010) : « Un gros effort est fait ici pour l’accueil des jeunes et pour la consolidation du lien parents/enfants. Par ailleurs, la passerelle établie avec le Bistroquet est formatrice et importante ».

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Les pompiers ont multiplié les sorties ces derniers jours, comme ici rue de Brazzaville, lundi soir, pour un feu de papiers et de détritus dans le local à vide-ordures.  Agrandir la photo

REIMS (Marne). Les incendiaires ne chôment pas en ce début de semaine, avec une douzaine de feux allumés aux quatre coins de la ville.

Dimanche à 22 h 30, une Renault Mégane est partie en fumée rue François-Arago. Une heure plus tard, un scooter probablement a brûlé avenue Alexandre-de-Serbie.

Lundi vers 0 h 30, des détritus ont été incendiés dans le parc Saint-John-Perse, le long de l’avenue Eisenhower. Cette même nuit, dans le même quartier et pratiquement à la même heure, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré à 0 h 20 rue de Rilly-la-Montagne, suivi d’un feu de poubelle à 0 h 30 avenue Bonaparte.

A signaler que les « Bonapartistes » avaient déjà sévi samedi matin, avec une voiture et une poubelle respectivement incendiées à 2 heures et 7 h 30.

Les rails du tramway visés

Ils ont récidivé lundi soir, vers 18 h 45, avec un feu de poubelle allumé dans un local du 4, avenue Bonaparte.

Toujours lundi, une première poubelle a brûlé à 1 h 30 avenue d’Epernay, une deuxième à 1 h 35 rue Edmond-Herbé, une troisième à 2 h 10 rue de Normandie, avec propagation à trois mètres de haie. Cette même nuit vers 2 h 30, une Renault Mégane a été incendiée rue Mazarin au quartier Murigny. A la même heure, un inconnu a déversé un liquide inflammable sur les rails du tramway, rue du Docteur-Schweitzer à Orgeval. Il a mis le feu au liquide, mais aucun dégât n’a été constaté sur l’infrastructure.

Lundi à 15 h 45, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré place Dominique-Ingres (il y en avait déjà eu un samedi vers 4 heures, dans une tour voisine de la place Jean-Fragonard).

Toujours lundi, vers 21 h 30, une épaisse fumée s’est dégagée d’un local à vide-ordures de la rue de Brazzaville, au n° 4.

Elle provenait d’un amas de papiers et de détritus qui se consumait à l’intérieur. D’importants moyens furent mobilisés car l’appel initial laissait redouter un feu d’appartement.

Pour finir, lundi matin, les gendarmes ont retrouvé la carcasse calcinée d’un Citroën C15 à l’écart de Courcy, au lieu-dit la Haute-Charmes. Sans surprise, il s’est avéré que le véhicule était volé.

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Trois accidents ont été déplorés hier à Reims. Le premier concerne un piéton renversé par une voiture 12 h 30 rue Edmond-Rostand. Il est légèrement blessé, de même qu’un automobiliste impliqué dans une collision entre trois voitures vers 16 h 30, boulevard Pommery. À 15 heures, deux véhicules se sont télescopés rue Joliot-Curie. Une personne a été choquée mais elle refusé son transport au CHU.

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110329c

1. POUVOIR ADJUDICATEUR S.A. d’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX -Service Exploitation.

2. MODE DE PASSATION DU MARCHE Appel d’offres ouvert.

3. OBJET DU MARCHE : Marché d’exploitation des installations collectives de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire et des surpresseurs.

4. FORME JURIDIQUE DE L’ATTRIBUTION DU MARCHE : Entreprises individuelles.

5. DUREE DU MARCHE : Le marché prendra effet le 15 septembre 2011, pour une durée de 4 ans. Il pourra être reconduit une fois pour 4 ans. Il prendra donc fin au plus tard le 14 septembre 2019.

6. LOTS ET DESCRIPTION SUCCINTE

 Lot n° 1 : Chemin Vert ;
 Lot n’ 2 : Orgeval ;
 Lot n’ 4 : Wilson ;
 Lot n° 6 Trois Fontaines ;
 Lot n° 7 : Pays-de-France ;
 Lot n° 8 : Régionale (extérieurs de REIMS).

7. VARIANTES : Interdites.

8. SOUS-TRAITANCE. Autorisée, dans le cadre des contrôles réglementaires et obligatoires, pour le remplacement des radiateurs, le ramonage et l’assistance constructeur sur les chaudières.

9. VISITES OBLIGATOIRES SUR SITE

 Lot n’ 1 : le 13/04/2011 (matin, à partir de 8 h 30) ;
 Lot n° 2 : le 13/04/2011 (après-midi, à partir de 13 h 30) ;
 Lot n° 4 le 14/04/2011 (après-midi, à partir de 13 h 30) ;
 Lot n° 6 : le 15/04/2011 (journée, à partir de 8 h 30) ;
 Lot n° 7 : le 18/04/2011 (matin, à partir de 8 h 30) ;
 Lot n’ 8 : les 19/04/2011 et 20/04/2011 (journées, à partir de 8 h 30).

10. DOSSIER DE CONSULTATION : Le dossier de consultation du marché est disponible, à la demande, à titre gratuit, auprès de Mlle LHERMENIER, Cellule Marchés. Tél. 03.26.84.36.26 - Fax 03.26.84.36.19 - Courriel : e.lhermenier@foyer-remois.fr

11. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES Le 19/05/2011 à 12 h 00.

12. CONDITIONS DE PARTICIPATION :

SITUATION PROPRE DES OPERATEURS ECONOMIQUES, Y COMPRIS EXIGENCES RELATIVES A L’INSCRIPTION AU REGISTRE DU COMMERCE OU DE LA PROFESSION :
 Lettre de candidature signée, ou DC 1 ;
 La déclaration à souscrire ;
 Une attestation des administrations comptables et des organismes chargés de l’assiette et du recouvrement : des impôts et des cotisations de sécurité nodale, d’allocations familiales, de congés payés, établie postérieurement au 31 décembre de l’année précédant la présente consultation, ou DC 7 ;
 Les attestations d’assurances ;
 Les documents ou attestations figurant à l’art. D 8222-5 du code du travail, dont l’extrait K-BIS.

CAPACITE ECONOMIQUE ET FINANCIERE : Une liste de références et des renseignements sur les moyens humains, techniques de l’entreprise, le chiffre d’affaires des 3 dernières années et les pouvoirs de la personne habilitée à l’engager, ou DC 2. Les candidats doivent nous transmettre des références en privilégiant les prestations similaires.

CAPACITE TECHNIQUE : Copie des qualifications professionnelles et/ou certifications, en vigueur à la date de la remise des offres. La preuve de la capacité du candidat peut être apportée par tout moyen, notamment par des certificats d’identité professionnelle ou des références de prestations attestant de la compétence de l’opérateur économique à réaliser la prestation pour laquelle il se porte candidat.

13. ANALYSE DES OFFRES :

CRITERES DE JUGEMENT :
 Prix : 60 % ;
 Valeur technique : 40 % dont
• 15 % pour l’organisation de l’exploitation et les moyens humains et matériels mis en oeuvre au titre du présent marché ;
• 15 % pour le détail du poste P3 et échéancier ;
• 10 % pour les modes de gestion de l’astreinte.

14. RENSEIGNEMENTS :
 Pour tout renseignement administratif : Contact Mlle LHERMENIER, Cellule Marchés. Tél. : 03.26.84.36.26 -Fax : 03.26.84.36.19 - Courriel e.lhermenier@foyer-remois.fr ;
 Pour tout renseignement technique : Contact : FOYER REMOIS, M. DELLOUP, Service Exploitation. Tél. 03.26.84.36.24 - Fax : 03.26.84.36.09 - Courriel : j.delloup@foyer-remois.fr

15. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS SUR CE SUPPORT DE PUBLICATION (ET SUR LE JOUE) : Le 24/03/2011.

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À l’occasion du 13e Printemps des poètes, les médiathèques Croix-Rouge, Laon-Zola, Jean-Falala et la bibliothèque Carnegie ont organisé un concours de poèmes.

« Lié aux cérémonies du 800e anniversaire de la cathédrale de Reims, le thème est celui des cathédrales », précisait Jean-André Ithier, conservateur responsable de la médiathèque Croix-Rouge.

Ce concours était ouvert à tous à partir de 16 ans. La forme des poèmes était libre (versifiée ou non, rimée ou non). Le jury, composé de bibliothécaires, a examiné quatre-vingt-trois œuvres.

A l’issue des délibérations, il en a retenu dix qui sont exposées dans l’espace adulte de la médiathèque Croix-Rouge tout le mois de mars : Michel Bénard, Irène Bonnet, Sylvie Brun, Étienne Deleris, Jean-Marc Kupecky, Francis Leroy, Brigitte Louis, Séverine Michaud, Thierry Noyelle et Clémence Trémol.

Par ailleurs, trois poèmes ont été sélectionnés et classés : 1, Clémence Trémol. 2, Michel Bénard. 3, Séverine Michaud. Leurs auteurs ont reçu leurs cadeaux, des chèques lire, lors d’une cérémonie de remise de prix à la médiathèque Croix-Rouge.

Arrivée récemment à Reims Management School, Clémence Trémol, 22 ans, remporte le premier prix. Administratrice de l’association nationale « Brouillon d’écriture » sur le Web, elle a attrapé le virus de la poésie dès le collège « en découvrant des poètes comme Rimbaud et Tristan Corbière, inspirée par les sentiments et en particulier l’amour », explique-t-elle : « Ce concours m’a inspirée et m’a donné l’occasion de me tester et ce premier prix me situe et me rassure. »

Le texte primé :

Hélas voici encore la lumière tremblée de mes réveils de pierre
Venant baigner diffuse comme des larmes perlées
L’arabesque de mes paupières et les plis de l’étoffe.
Voilà qu’une pluie multicolore fond sur les pavés glacés
Et peint d’or et de rougeur ma silhouette raide
M’arrachant à la mort au Pygmalion trompeur.
La lueur rampe, passe les vitraux frappés de clarté,
Rayon moqueur qui éveille des ombres et fait tinter le verre,
En sursaut mille voix ténues, surprises d’être éveillées
Se mêlent au chœur, acclament le jour qui grandit,
Et je crois entendre, tout mon corps en frémit,
Sous la voûte l’écho incroyable de l’orgue
Qui autrefois résonnait si souvent.
Le jour diffracté baigne la pénombre d’émeraude et d’azur
De nacarat et d’or. En haut des colonnes infinies les peintures
Frissonnent, au pied les sépultures semblent se réchauffer.
Et mon cœur se gonfle sous l’émoi et je mêle ma voix
Pour chanter le triomphe de l’orgueil insatiable qui nous a placés là,
Anges empierrés, acrolithes figés les bras tendus vers le ciel implacable
Têtes de marbre et fiers pourtant de leurs ailes de pierre.
Où est parti ce dieu illustre, abandonnant le plus glorieux palais,
Cathédrale ouvragée, édifice fameux, fierté des hommes à lui offerte,
Et dont nous sommes l’offrande, sages sculptures lentement décrépies ?
Mais oubliée de tous, sinon des oiseaux,
La cathédrale en ruine, dorée, immémorielle sous le soleil,
Module un long cantique, comme les fidèles au temps des laudes,
Et les pierres soupirent, nul ne les voit, nul ne les admire,
Elles seules s’entendent mourir.

Clémence Trémol

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Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.

REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché : réfection de l’étanchéité et sécurisation des terrasses inaccessibles des immeubles situés 19 à 23, rue Pierre-Taittinger et 17 à 23 et 44-46, esplanade Eisenhower à Reims.

4) Lots : sans objet.

5) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

6) Demandes de renseignements : Renseignements administratifs auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.

Renseignements techniques auprès de la direction Grand-Est tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40.

7) Date limite de réception des offres : le 21 avril 2011 à 17 heures.

8) Date d’envoi à la publication : le 24 mars 2011.

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Les futurs assistants en architecture du lycée Arago expliquent leurs projets.  Agrandir la photo

Château d’art : aux couleurs du tram.  Agrandir la photo

Reflets en scène : un déséquilibre visuel.  Agrandir la photo

Evolution : inspiré des coteaux champenois.  Agrandir la photo

REIMS (Marne). Des élèves du lycée Arago ont prouvé qu’en bac pro, on peut créer de superbes projets, en travaillant sur un thème passionnant : le futur grand musée du Boulingrin.

ILS y ont passé des centaines d’heures, voire quelques nuits blanches … Les élèves assistants en architecture du lycée Arago ont travaillé d’arrache-pied sur les plans du futur musée des Beaux-arts au Boulingrin (l’union du 20.03).

Encadrés par leurs enseignants, Stéphane Collinet et Jean-Pierre Di Napoli, conseillés par Laurent Debrix, architecte, ils ont réfléchi sur un musée « passif », économe en énergie, et avec une identité propre à la région. « Les élèves ont eu en mains le cahier des charges intégral du musée des Beaux-arts, avec les détails de toutes les œuvres répertoriées ».

Jonathan et Vincent ont intitulé leur projet « Evolution ». Il s’inspire des coteaux champenois, avec des rangs de vigne sur sa façade principale. « Vu d’en haut, l’ensemble rappelle une bouteille de champagne ». L’idée originale, c’est la terrasse. Les marches d’accès servent de gradins, permettant d’assister à des spectacles sur le parvis, « afin d’inciter toutes les personnes à s’y rendre ». Sur la façade nord, des formes courbes de béton symbolisent des muselets. « Pour choisir cette voie, il faut aimer l’art, et avoir de l’imagination ! » assurent-t-ils.

« Ce musée, on voulait qu’il s’insère d’une façon évidente dans le quartier. D’où ce choix de fausses fenêtres en miroirs et de vraies vitres alternées, reflétant les Halles. Dans la partie nord, un puits de lumière et des vitrines qui exposent les œuvres, afin de donner envie, depuis l’extérieur, d’entrer dans le musée » explique Manon, qui a travaillé avec Gérald et Pauline sur « Reflets en scène ». Ils ont incliné la façade : « Pour deux raisons : créer un déséquilibre visuel et permettre aux rayons du soleil de chauffer plus en hiver qu’en été ».

Le projet de Marjolaine, Thomas et Maxime a été baptisé « Château d’art »… en raison de sa forme ronde, décorée de bandes peintes… aux couleurs du tram ! Mur d’eau, escalier à la montée lumineuse agrémentée d’un « mur de bulles », rappelant celles du champagne : « Ce symbole de notre région, est l’idée fondatrice de notre projet ». Ils ont donné la priorité aux matériaux régionaux. Le parvis est en robinier faux acacia : « Un bois qui ne chauffe pas au soleil et n’a besoin d’aucun traitement ».

David Liot, le directeur du musée, leur a proposé de rencontrer, lorsqu’il sera désigné, l’architecte chargé du projet : « On comparera nos idées ». Pourquoi pas une expo de leurs travaux à la mairie ? Ils le méritent vraiment…

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Tous les ans, des milliers de crêpes sont confectionnées et offertes au public.  Agrandir la photo

L’opération « Crêpes de la Solidarité 2011 » se déroulera ce mercredi de 14 h 15 à 16 h 30, sur l’espace entre la résidence Arfo Lucien-Doyen et le centre Billard, avec une partie des stands dans le jardin entre les espaces Billard et La Nacelle.

C’est l’association Multi-Échanges services (MUTes) qui l’organise et la présidente, Martine Massart, en définit l’objectif : « favoriser la rencontre et la solidarité entre les habitants du quartier Croix-Rouge, selon le principe « Je reçois une crêpe, j’offre une crêpe ».

Comme d’habitude, la MUTes ne sera pas seule, puisqu’elle a obtenu le partenariat de nombreuses structures du quartier : Promotion de Pays-de-France, travailleurs maghrébins de France, maison de quartier Croix-Rouge, collectif Croix-Rouge accueil, centre d’hébergement et de réinsertion sociale « Les Primevères », conseil de quartier, etc..

Martine Massart et son équipe comptent également sur les familles du CHRS Les Primevères, les mamans et leurs enfants de l’Accueil familles de Billard.

Sur le thème « s’accueillir différents pour s’enrichir de nos différences », tous les enfants du quartier et en particulier ceux des accueils de loisirs Billard, Watteau, Étoile Croix-du-Sud, Promotion de Pays-de-France et La Marelle, ainsi qu’un groupe d’enfants de l’Institut médico-éducatif l’Éveil avec leurs éducateurs, sont invités à participer à cette manifestation.

Des stands de bricolages seront proposés aux enfants. La fête commencera par un conte interactif sur les couleurs de la planète et les enfants seront invités à constituer un « arc en ciel de copains ». Au fur et à mesure de l’après-midi, chacun écrira sur des mains tous les gestes de partage et d’amitié que l’on peut faire et ces mains seront collées sur l’arbre de la Solidarité.

Deux temps festifs sont prévus : en début d’après-midi, le groupe « Élégance » fera chanter et danser les enfants, sur un répertoire qui leur est adapté, et vers 16 heures, le groupe « Africaa » donnera une prestation, et pour le final, invitera tout le monde à se joindre à la danse.

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Parents et enfants ont découvert le kin-ball.  Agrandir la photo

Organisée en partenariat entre la Ville de Reims et l’Usep, l’action « Sport en famille » se déroule un samedi par mois de 10 à 12 heures.

Les parents viennent faire du sport avec leurs enfants et ce dernier samedi, des enseignants ont participé à l’opération : Virginie Gosset et Eric Nigon, de l’école Blanche-Cavarrot, ainsi que Bertrand Dubois, directeur, Nathalie Faucon, coordinatrice Usep de Joliot-Curie et Christophe Viet, responsable Usep.

A leurs côtés, cinq familles de Blanche-Cavarrot (un parent et un ou deux enfants), une famille de Joliot-Curie et trois familles s’étant inscrit par internet sur le site internet « Sport en famille ».

Les sports proposés varient. Ce samedi, c’était tournoi de badminton et découverte du kin-ball.

« Cette activité permet de pratiquer un sport en famille dans des locaux adaptés avec du matériel mis à disposition des familles gratuitement, dans la bonne ambiance évidemment ! » précise Virginie Gosset.

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L’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny tiendra son assemblée générale ordinaire le mercredi 6 avril à 18 h 30, à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine-Watteau.

« Nous comptons vivement sur la présence de nombreux habitants du quartier, occasion pour eux d’exprimer leurs attentes » déclare Isabelle Mallinger, secrétaire (03.26.49.86.75.).

Site Internet : http://leshautsdemurigny.site.voila.fr

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Cinq clubs ont formé trois équipes.  Agrandir la photo

Les compétitions loisirs volley-ball Ufolep comptent une quarantaine d’équipes mixtes dans le département. Toutefois, ces dames concourent selon le règlement messieurs, avec un filet placé à 2,43 m (pour les dames 2,24 m).

La commission technique départementale a proposé l’organisation d’un tournoi exclusivement féminin, selon les règles appropriées. Celui-ci a été accueilli mercredi par le club de la MJEP Cormontreuil au gymnase Marcel-Thil.

C’est dans un parfait esprit Ufolep (« tous les sports autrement ») qu’il s’est déroulé. Dépassant le strict cadre des équipes d’origine, les joueuses de l’AFR Fagnières, le FJEP Bazancourt, la MJEP Cormontreuil, RAS et le RUC ont constitué trois équipes mixées. Elles ont pu se rencontrer deux fois en un set de 25 puis un set de 15.

Aucune équipe n’a été déclarée vainqueur : le volley-ball au féminin, oui !

Avis aux amatrices (et amateurs !) : des équipes accueillent encore des participants.

Information :
Ufolep, tél. 03.26.84.32.26.
ufolep51@wanadoo.fr
www.ufolep51.org

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De jolies chorégraphies permettront…  Agrandir la photo

… de découvrir la richesse de la danse orientale.  Agrandir la photo

REIMS (Marne). Le troisième festival de danse orientale égyptienne en Champagne-Ardenne « Stars of the Orient » se déroulera en la salle audiovisuelle du lycée Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle les vendredi 1er et samedi 2 avril.

Organisée par Houria et l’association des « Orientales en couleur », cette manifestation se veut être une ode à l’art et la culture orientale.

Houria Gauzelin danseuse professionnelle et chorégraphe enseigne la danse orientale depuis plus de 10 ans en Champagne-Ardenne sous forme de cours réguliers ou de stages à thèmes.

Créée en 2003, la compagnie « les Orientales en couleur » a pour objectifs notamment de développer et de faire connaître la danse égyptienne, plus connue comme Bellydance, par l’intermédiaire des festivals, concours de danse, spectacles… et favoriser les échanges interculturels.

En ouverture du festival, le vendredi soir un concours international de danse « Miss Bellydance Reims 2011 » permettra aux spectateurs d’apprécier et de soutenir leurs favorites, élèves des masters-teachers invités pour la plupart. Un concours ouvert à toutes les danseuses de niveaux confirmés et de nombreuses danseuses étrangères - russes, irlandaises - sont attendues.

Lors de ce festival, l’orchestre des musiciens égyptiens « Étoiles du Nil », dirigé par Mamdouh Ahmed interprétera de grands classiques du monde arabe.

Le samedi soir, la première partie du spectacle sera assurée par Houria et la compagnie des « Orientales en couleur ». Se présenteront ensuite Irina Popova et Alexey Paraschuck danseurs et chorégraphes russes formés à l’Institut théâtral national de Russie à Moscou.

Suivront le groupe Yasmina et les serpents mystiques de Dublin, pionnières dans le développement des styles « Tribal et Bollywood » en Irlande ou encore Malika Bakbouk 1er prix au concours européen de danse orientale de Berlin en 2006.

Ces soirées feront découvrir la richesse de la danse orientale dans toute sa diversité présentant différents styles et influences comme le classique oriental, le baladi, les danses traditionnelles et folkloriques, le saïdi, le flamenco arabe et le bollywood.

Des chorégraphies riches en perspective et des couleurs chatoyantes, rythmées par les sons des thares et de la flûte égyptienne.

Renseignements : 06.67.73.98.36.
houria.reims@cegetel.net
www.houria.fr

Réservations : FNAC ou sur place en fonction des places restant disponibles.

Places limitées : adultes 18 euros, enfants de 5 à 12 ans 10 euros.

En marge du festival seront organisés des « work shops master-class » qui sont des ateliers de formation aux différents styles de danse orientale animés par les master-teachers invités.

Ces ateliers s’adressent aussi bien aux danseuses débutantes que confirmées, car différents niveaux de stages sont prévus.

Inscriptions obligatoires aux coordonnées ci-dessus.

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Les membres de l’atelier d’écriture ont offert un spectacle émouvant.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

 

L’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge a proposé une soirée poésie dans la salle de spectacle du Crous, devant un public venu en nombre.

En 1re partie, avec « Poétic’ Agapes » , des poèmes créés à l’espace Billard lors d’un atelier d’écriture auprès d’adhérents du quartier et des « fidèles amis » du Foyer Thiebierge, encadré par Romain Janssens, animateur de l’association LibrÉcriture de Châlons-en-Champagne, ont été interprétés par leurs auteurs.

Catherine Pierrejean, animatrice du secteur Contes de la Maison de quartier, annonçait le triple événement : le Printemps des poètes, la semaine de la langue française et de la francophonie et la Semaine de lutte contre le racisme et les discriminations.

En 2e partie, « Escales poétiques » , des poésies lues ou chantées, ont été interprétées dans dix langues différentes par des habitants du quartier, « des gens qui ne sont jamais montés sur une scène et qui ont composé, chacun à sa façon, une mosaïque très émouvante de cultures et de langues », précisait Catherine Pierrejean.

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Au cours de la nuit de vendredi à samedi, de nombreux incendies ont été allumés à Reims, dégradant deux voitu¬res et plusieurs poubelles. Le premier feu de voiture a eu lieu vers 1 h 30, allée Beethoven, à Wilson.

Le second s’est déroulé moins d’une heure plus tard, avenue du général Bonaparte à Croix-du-¬Sud. Une enquête est en cours pour retrouver les auteurs de ces incendies.

Plusieurs feux de poubelles ont notamment touché le quartier Croix-Rouge entre 21 heures et 5 h 30.

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Le pianiste Alexandros Kapelis donnera un concert mardi 29 mars dans l’amphithéâtre de l’école RMS, 59, rue Pierre-Taittinger, à Reims. Ce récital est organisé par l’association Les Nouveaux Virtuoses. Alexandros Kapelis est un des pianistes les plus doués de sa génération.

Il travaille à New York et a déjà derrière lui un répertoire impressionnant y compris comme soliste avec le Royal Philharmonie orchestra de Londres, l’orchestre symphonique de Prague ou la Camerata Italica. Il a également fait des études de direction d’orchestre.

À Reims, il interprétera deux sonates de Beethoven, « la Pastorale » et la « sonate Waldstein », puis « l’entretien des muses » de Rameau, « Orphée » de Liszt et deux pièces de Debussy : la « Danseuse de Delphes » et « L’Isle joyeuse »

Pour réserver, rendez-vous sur le site des Nouveaux Virtuoses, ou téléphonez au 06.43.55.38.25, ou par mail à monobuchon@hotmail.com Prix : 20 euros (gratuit pour les étudiants).

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Ce forum intitulé « Le Rallye des Familles » est ouvert pour ce dernier jour de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

Aujourd’hui encore, l’association « Paroles de Parents - École des Parents et des Éducateurs de la Marne » propose, dans le cadre de sa semaine des parents et des jeunes, ce forum intitulé « Le Rallye des Familles ».

Un rendez-vous organisé à l’ACRAP (avenue Kennedy) en présence de nombreuses structures : l’ACRAP, l’AFEV, l’ATMF, le Centre éducatif et scolaire de Bezannes, le collège Joliot-Curie, la circonscription de la Solidarité départementale Croix-Rouge, les groupes scolaires Joliot-Curie, Provençaux et Hippodrome, le foyer maternel le Renouveau, le foyer les Primevères, la Maison de quartier Croix-Rouge, la patinoire Jacques-Barot, l’USEP, l’AFC, l’association 2 Mains, le Bistroquet, le Campus des savoirs, l’Étoile Croix-du-Sud, le CIAM, le CODES, la CPAM, la FCPE, la Mission Locale de Reims, le Réseau Ambition-réussite, Reims Management School, le service départemental de Prévention, l’UNAFAM…

Ce « Rallye des familles », unique en son genre, sera un espace convivial et ludique où les familles (parents/enfants/jeunes) trouveront des réponses à leurs questions.

Ce forum (dernier jour aujourd’hui) sera ouvert de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures. De 12 à 14 heures, les familles sont invitées à l’ACRAP, avec leur pique-nique et un dessert « maison » à partager.

Renseignements complémentaires au 03.26.47.20.35. ou 06.34.50.69.14.

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Les collégiens ont été très attentifs à la présentation du lycée.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

 

 

Le collège Georges-Braque entretient, au cours de l’année scolaire en cours, une liaison privilégiée avec le lycée François-Arago : Comité d’Éducation à la Santé et à la Citoyenneté commun, réflexion sur l’alimentation et commission menu commune, sensibilisation aux pratiques d’Internet des élèves de 6e, 5e et 2e.

« Nous poursuivons avec une action concernant l’orientation », précise Frédérique Sarrazin, principale adjointe : « 50 élèves de nos classes de 3e, encadrés par leurs professeurs principaux, se sont rendus vendredi 18 mars au lycée Arago.

Ils ont suivi une présentation générale du lycée par Elisabeth Henry, proviseure adjointe, puis ils ont visité certains ateliers.

Ce fut aussi l’occasion pour plusieurs professeurs, d’échanger avec leurs collègues du lycée Arago ».

 Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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L’incendie allumé à une première voiture s’est propagé à deux autres.  Agrandir la photo

Lundi vers 21 h 30, trois voitures ont été détruites par les flammes sur un parking du groupe Eisenhower, au quartier Croix-Rouge à Reims.

L’incendiaire a mis le feu à une Renault 5 garée le long de l’école maternelle Billard.

Le sinistre s’est ensuite propagé de part et d’autre à une Renault Laguna et au Renault Kangoo d’une société de nettoyage. L’enquête ouverte par la sûreté départementale de Reims a permis d’arrêter l’auteur présumé des faits.

Il s’agit d’un adolescent de 16 ans. Le jeune homme a cependant contesté les faits en dépit des charges rassemblées contre lui.

Présenté au parquet, il a été mis en examen par un juge des enfants puis remis à ses parents sous contrôle judiciaire. Il était déjà connu de la police pour quelques infractions sans gravité particulière.

Dans la nuit de dimanche à lundi, trois autres voitures ont brûlé sur un parking du groupe Eisenhower, mais l’ado n’est pas mis en cause dans cette précédente affaire.

Décidément, ça brûle souvent dans le secteur… Mercredi vers 17 heures, comme relaté dans notre édition rémoise d’hier, les pompiers ont éteint un feu d’ascenseur au 5e étage de l’immeuble situé au n°55 du groupe Eisenhower. La cabine était entièrement embrasée. On sait maintenant pourquoi : c’est une palette qui a été incendiée à l’intérieur. Le ou les vandales sont en fuite.

Mercredi à 13 h 30, un scooter volé a brûlé dans un parking souterrain de la rue Charles-Marcq à Wilson. Vers 2 heures du matin, hier, les pompiers ont été appelés pour un feu de sac-poubelle place du Forum, au centre-ville.

En fin de matinée, vers 11 h 15, de la tourbe a pris feu le long de la voie du du tramway, avenue du Général-de-Gaulle. L’origine de l’incendie n’a pas été précisée. Il n’y a aucun dégât sur les infrastructures.

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Julien Tarte et ses coéquipiers ne comptent pas se laisser faire.  Agrandir la photo

Retenir la leçon, tel est l’intérêt des Rapaces. Quinze jours après la claque reçue chez le leader parisien, les joueurs de Laurent Lexcellent seront confrontés de nouveau aux Corsaires de Paris XIII, à l’occasion du dernier match de la saison régulière.

« C’est le dernier match de préparation avant les play-offs, qui plus est face à une très belle équipe », souligne l’entraîneur rémois. Et si ses joueurs ont validé leurs billets il y a quelque temps déjà, la rencontre n’en sera pas pour autant dénuée d’enjeux. « On veut aller chercher la deuxième place de la poule, ce qui serait plus intéressant pour nous si on poursuit l’aventure ».

Mais pour cela, il n’y a pas de calcul savant à faire : il faut s’imposer. Malgré la récente défaite, Laurent Lexcellent compte sur son effectif, qui affiche complet, pour rebondir dès demain.

« Le côté revanche est important bien sûr. Mais il faudra être présent tout le match et ne pas se laisser bouger », prévient le technicien. « Il est hors de question de reprendre la même chose que chez eux », conclut-il.

DEMAIN 20 HEURES, GYMNASE FRANÇOIS LEGROS

Reims RHR : Garcia-Prieto, Hiles ,Tarte, Duplant, Godefroy, Basset, Lexcellent, A Capitaine ; Rogé, le : Capitaine, Lacuisse Rivard, Maujean, Fayault,Tran.

L’hebdo du vendredi- n° 206 - 110325a

Réalisée par les Archives Municipales, cette expo présente l’évolution des armements des chevaliers du XIe au XVe siècle à travers des moulages et photos de sceaux.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar

Vendredi 25 mars à partir de 14h à RMS à Reims. 14h30 : « La chirurgie robotique au quotidien »-colloque médical ouvert au public. 18h : « le patient, le soignant, le robot : craintes & espoirs », conférence/débat avec la participation d’André Comte-Sponville et animée par Gérard Lemarié. La toute nouvelle génération du robot da Vinci SI sera exposée dans l’atrium de Reims Management School.

Infos et inscriptions gratuites sur le site www.chirurgierobotique-courl….

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Camille Renault, Jeanne Reppel, Renan Manceaux, Juliette Wary et Solène Manceaux (g. à d.), autour de l’entraîneur, Ludivine Lemaire.  Agrandir la photo

 

Au Rap (Reims Acrap patinage), on ne fait pas mystère de ses ambitions. Ludivine Lemaire, l’entraîneur, et tous les dirigeants aimeraient bien faire « aussi bien que l’an passé ». Le club avait décroché un accessit (bronze grâce à Margaux Abib-Gruet) lors de cet ultime rendez-vous national.

Samedi et dimanche, la médaillée 2010 ne sera pas là. « Elle a été blessée en début de saison et malgré tous ses efforts, elle n’a pu terminer que 11e du classement national. Seules, les dix premières sont qualifiées », explique Ludivine Lemaire.

Les espoirs de podium reposeront donc sur ses petits camarades. Habitués des honneurs dans les épreuves de la moitié nord, les cinq Rémois tenteront de profiter de leur bonne préparation pour se rapprocher du podium, voire mieux.

Il faudra donc suivre de près les prestations de Jeanne Reppel (minime 1re année), de Juliette Wary et Renan Manceaux (minimes 2e année), de Camille Renault (Novice 2e année) et de Solène Manceaux (Espoir 2e année).

Y.D.

 

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Une rencontre proposée par l’association « Paroles de parents ».  Agrandir la photo

 

 

 

Les enfants jouent, les parents se questionnent. Si le jeu vidéo est devenu une véritable culture populaire, pratiquée par plus de 28 millions de Français, et souvent décrié parce qu’il susciterait la violence ou l’addiction chez les jeunes et les plus gros joueurs, il n’en reste pas moins mal connu.

C’est pourquoi, dans le cadre de la semaine des Parents et des Jeunes, l’association Paroles de Parents (Epe de la Marne) propose un échange sur ce thème avec un professionnel demain vendredi 25 mars à 18 heures.

Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.

Entrée libre.

 

 

 

Union110324b

Les soldats du feu n’ont pas chômé, hier, avec pas moins de cinq sorties pour des incendies. La série a commencé à 13 h 30 avec une épaisse fumée s’échappant d’un parking souterrain de la rue Charles-Marcq (quartier Wilson). Elle provenait d’un scooter dont on peut supposer qu’il était volé.

Vers 14 heures, un feu de broussailles a parcouru 150 m2 près des terrains SNCF de Bétheny. A 16 heures, des détritus ont brûlé avenue Maurice-Plongeron à la Neuvillette.

Une heure plus tard, une cabine d’ascenseur a pris feu au cinquième étage d’un immeuble du groupe Eisenhower, au n°55. La cabine a entièrement brûlé. Aucune personne ne se trouvait à l’intérieur. Une enquête est en cours pour établir l’origine du sinistre. L’immeuble concerné est haut de douze étages.

A 20 h 15 hier soir, un feu d’appartement s’est déclaré en l’absence de la locataire boulevard des Phéniciens. Il a été rapidement éteint. La cause reste à déterminer. L’occupante a été relogée chez des proches.

La veille mardi, un feu de local à vide-ordures a été signalé vers 20 h 30 rue Pierre-Taittinger tandis qu’au même moment, des palettes prenaient feu sur le parking de la société Promocash, rue Paul-Maino en zone Farman.

Hier midi, une alerte au feu eut également lieu avenue Bonaparte à Reims… mais il s’agissait d’un barbecue allumé sur un balcon.

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1. Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.
REIMS HABITAT se réserve le droit de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3. Objet du marché : marché de contrôle technique et de coordination SSI dans le cadre des opérations " Les Hauts de Muire " et " Hôtel des Solidarités " à Reims (51).

4. Lots : ce marché est passé en lots séparés.
 Lot n° 1 : opération " Les Hauts de Muire " : marché de contrôle technique dans le cadre de marché en conception réalisation pour la construction d’environ 60 logements collectifs - Rue de la Concorde à Reims (51).
 Lot n° 2 : opération " Hôtel des Solidarités " : marché de contrôle technique dans le cadre de la construction d’un immeuble de bureaux, avenue du Général-Eisenhower à Reims (51).
 Lot n° 3 : opération " Hôtel des Solidarités " : marché de coordination SSI dans le cadre de la construction d’un immeuble de travaux, avenue du Général-Eisenhower à Reims (51).

5. Options à chiffrer impérativement au lot n° 1 : chaque candidat au lot n° 1 devra faire une proposition pour chacune des options suivantes :
 Option n° 1 : plus value pour 1 candidature à analyser au stade APS, en plus de celle déjà prévue en base.
 Option n° 2 : plus value pour 2 candidatures à analyser au stade APS, en plus de celle déjà prévue en base.
 Option n° 3 : plus value pour 3 candidatures à analyser au stade APS, en plus de celle déjà prévue en base.
 Option n° 4 : plus value pour 4 candidatures à analyser au stade APS, en plus de celle déjà prévue en base.

6. Justifications à produire : suivants articles 43 à 45 du C.M.P. (voir règlement de consultation).

7. Critères d’attribution :
 Les heures pour 30%.
 Le prix pour 30 %.
 La valeur technique pour 40 %.

8. Délai d’exécution :
 Pour le lot n° 1 : le délai maximum du marché de conception réalisation est de 30 mois, compris 30 jours d’intempéries prévisibles, périodes de congés payés et la période de préparation.
 Pour les lots n° 2 et n° 3 : le délai maximum des études à compter de l’OS de démarrage des études de conception jusqu’à à la remise du D.C.E. est de 6 mois. Le délai des travaux (compris intempéries, congés, préparation de chantier) est de 17 mois.

9. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30 - Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

10. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.

Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des programmes techniques et spécifiques de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.14 - Fax 03.26.48.43.40.

11. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, service commande publique.
Réponse au lot n°.. - Marché de contrôle technique et de coordination SSI dans le cadre des opérations " Les Hauts de Muire " et " Hôtel des Solidarités " à Reims (51), 71, avenue d’Épernay, 51100 Reims.

12. Date limite de remise des offres : le 11 avril 2011 à 17 heures.

13. Date d’envoi de l’avis à la publication : le 21 mars 2011.

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Union110323a

Lundi vers 21 h 30, une Renault 5 a été incendiée sur un parking du groupe Eisenhower, le long des grilles de l’école maternelle Billard. Le feu s’est propagé à une Renault Mégane et au Kangoo d’une société de nettoyage.

Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 0 h 15, un feu de voiture suivi d’une propagation à deux autres véhicules s’est déjà produit sur un parking du groupe Eisenhower.

Hier à 6 heures du matin, une voiture a pris feu sur l’A4, dans le sens Metz-Paris, au niveau de Méry-Prémecy, mais il s’agit d’un incendie accidentel. La voie de droite a dû être neutralisée.

Vers 20 heures, lundi, une haie s’est enflammée face à la caserne des pompiers Marchandeau.

Une demi-heure plus tard, des palettes ont brûlé à l’usine Citel, impasse de la Blanchisserie (notre précédente édition).

Il y avait en fait deux tas de palettes mis à feu séparément après avoir été déplacés contre des compteurs électriques, dans un bâtiment en cours de démolition

Hier à 17 heures, un feu de détritus s’est déclaré allée Georges-Bizet, près de la voie ferrée.

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110322e

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Maître d’œuvre conception et exécution : Cabinet AXIS Architecture – Mr Tanguy RODIER 13 rue de la Fontaine - 77700 SERRIS Tél. 01.60.43.26.46 - Fax 01.60.43.26.47 - Mail : axis77@axis-architecture-77.net Objet et lieu d’exécution : Requalification du site HSBC- avenue Robert Schuman à REIMS (51100) Réf. : DG-020311

Procédure : Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

Code CPV (marché européen) : 45000000-7

Le marché est composé de 19 lots :
  LOT 01 - GROS ŒUVRE
  LOT 02 – STRUCTURE METALLIQUE
  LOT 03 – BARDAGE/PANNEAUX DE FACADE
  LOT 04 – MENUISERIE ALUMINIUM
  LOT 05 - SERRURERIE
  LOT 06 – ETANCHEITE/ZINGUERIE
  LOT 07 - PLATRERIE
  LOT 08 – FAUX PLAFONDS
  LOT 09 – MENUISERIE BOIS
  LOT 10 – CLOISONS MODULAIRES
  LOT 11 – COURANTS FORTS/FAIBLES
  LOT 12 – CHAUFFAGE/VENTILATION/DESENFUMAGE
  LOT 13 – PLOMBERIE
  LOT 14 – SOLS SCELLES
  LOT 15 – SOLS SOUPLES

  LOT 16 – PEINTURE
  LOT 17 – ASCENSEUR
  LOT 18 – FACADE VEGETALISEE
  LOT 19 – VRD/ESPACES VERTS

Délai d’exécution : 12 mois (compris préparation de chantier, intempéries et congés payés)

Date limite de réception des candidatures et des offres :Le Vendredi 13 mai 2011 à 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de notre société, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.

Visite obligatoire sur RDV, merci de contacter Mr Maffat au 06.16.36.26.48

Les dossiers sont disponibles aux frais du candidat chez :I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61

Pour tout renseignement technique contacter : Mr RODIER/Cabinet AXIS Architecture au 01.60.43.26.46

Pour tout renseignement administratif contacter : Service marchés : Mme GALLOIS au 03.26.04.99.05, Mme FORRAY au 03.26.05.92.33, Mr MEUNIER au 03.26.04.99.82

Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 17 mars 2011 au JOUE et au JAL MATOT BRAINE.

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REIMS (Marne) Pour la 12e semaine de l’éducation contre le racisme, vingt associations se mobilisent. Elodie Lebourcq de l’association rémoise contre les racismes nous en parle.

Qui participe à cette opération ?

« Nous sommes heureux de mobiliser énormément de monde car cet événement a pour but, rappelons-le de dénoncer outre toutes les formes de racismes mais aussi toutes les discriminations. C’est ainsi que sont engagées dans la semaine : les Amis pour la fondation pour la mémoire de la déportation de la Marne, l’Alliance maladies rares, l’association Yassine (les polyhandicapés), l’association des travailleurs maghrébins de France, Au comptoir des rêves, le collectif de lutte antifasciste, Ex æquo, le foyer Princet Ozanam, les Francas de la Marne, Homozygote, l’Alternative, la Licra, la ligue de l’enseignement de la Marne, la maison de quartier des Épinettes, celle des Châtillons, de Croix-Rouge (Espace Billard), la mission locale pour la jeunesse, le parti communiste et la Ville de Reims ».

Il y a un important programme pour le public mais vous avez d’autres actions ?

« En plus des manifestations publiques il y a un gros travail fait dans les maisons de quartier, les écoles, avec des associations mais aussi des privés. Avec la librairie Au comptoir des rêves et les Francas de la Marne, il a été par exemple mis au point « la Malle aux livres » qui contient des ouvrages pour tous les âges traitant de différentes façons des questions de racisme et de discrimination. Mais il y a bien d’autres actions : à voir sur http//blogarcr.canalblog.org »

Vous êtes aussi présidente du comité de lutte antifaciste. Vous avez des raisons de vous indigner ?

« Oui durant cette campagne des cantonales, nous avons eu l’occasion de protester contre les propos des candidats du FN qui disent qu’avec l’aide médicale d’Etat, les clandestins sont mieux soignés que les Français. Ce n’est pas la réalité. Par ailleurs nous regrettons que les idées xénophobes soient banalisées dans l’opinion publique. Si Marine Le Pen ne fait pas de dérapage, elle n’est pas plus fréquentable que son père ».

Mardi 22 mars.
 De 17 à 21 heures cinéma à la faculté des Lettres (bâtiment modulaire 7-3) à l’initiative d’Homozygote : « Bent » de Sean Mathias. Gratuit.

Mercredi 23 mars.
 A 10et 14 heures au complexe René Tys salle 306, 36, rue Léo Lagrange : film « Des noirs en couleurs » avec la Licra. L’histoire des joueurs afro-antillais en équipe de France de football. Gratuit.
 À 17 heures à la faculté des lettres (bâtiment modulaire 10-3) film « Nuit et brouillard » d’Alain Resnais à l’initiative du collectif Antifaciste. Gratuit.
 À 18 heures à la faculté des lettres (bâtiment modulaire 10-3). Film « Face aux fantômes » de Jean-Louis Comolli.
Projection suivie d’un débat avec Gérald Collas. Gratuit.

Jeudi 24 mars.
 A 20 h 30 à la maison de la vie associative (salle 101), film « Le rendez-vous des quais » de Paul Carpita. Sur la guerre du Vietnam. À l’initiative d’Attac. Gratuit.

Vendredi 25 mars.
 A 16 h 30 à la maison de quartier des Châtillons, 1, 3 Place des Argonautes café philo avec Didier Martz : « Le racisme et les discriminations ». Gratuit.
 A 18 heures à l’auditorium de la Médiathèque Falala : témoignage de Régine Frydman : « J’étais enfant dans le ghetto de Varsovie ». A l’initiative de la licra et de l’Afmd51. Gratuit.
 A 20 heures soirée festive à la maison de quartier des Châtillons. Art culinaire et culturels de cinq pays : de la danse orientale à la danse country en passant par un défilé de mode sénégalaise. Avec la maison de quartier et l’association Yassine.
Gratuit.

Samedi 26 mars.
 A 15 heures à Reims management school, 59, rue Pierre Taittinger film « Azur et Asmar » de Michel Ocelot. Un film d’animation en langue française et arabe qui conte l’Europe médiévale.
Pour adultes et enfants de plus de 3 ans. A l’initiative de la maison de quartier Croix Rouge-Espace Billard.

Union110322c

Le troisième tour des championnats de France par équipes 15/16 ans a été fatal aux filles du TC Géo-André. Opposées en phase qualificative à Metz au FC Mulhouse, les Rémoises n’ont pourtant pas démérité. Certes, Claire Makhloufi (1/6) n’a strictement rien pu faire contre une 0 mais Cindy Castille (4/6) n’a rien lâché pour « perfer » à un classement supérieur en empochant le tie break du troisième set !

Reste que les favorites alsaciennes ont su faire respecter la hiérarchie dans le double décisif. Dommage…

METZ. - FC Mulhouse bat TC Géo-André 2-1.

Marie Klocker (0, Mulhouse) bat Claire Makhloufi (1/6, Géo-André) 6-1, 6-2 ; Cindy Castille (4/6, Géo-André) bat Nina Boch (3/6, Mulhouse) 4-6, 6-3, 7-6.

Marie Klocker - Nina Boch battent Claire Makhloufi - Aurélie Marchal (4/6, Géo-André) 6-2, 6-3.

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Plusieurs incendies d’origine douteuse ont été signalés ces derniers jours.

Dimanche vers 3 h 30 du matin, un Peugeot Expert est parti en fumée rue Alain-Colas à Bétheny.

L’après-midi à 17 heures, un feu de broussailles s’est déclaré dans un terrain vague de la rue du Caporal-Chef-Divry. Une heure plus tard, quatre foyers ont été allumés sur le talus herbeux de la voie ferrée, route de Bétheny à Bétheny.

Toujours dimanche, vers 20 h 45, une voiture impossible à identifier a été incendiée dans un bois entre Cernay-lès-Reims et Nogent-l’Abbesse, au lieu-dit « la Voie des Chiens ». Elle est manifestement volée.

Hier vers 0 h 15, un Renault Kangoo a brûlé sur un parking de l’esplanade Eisenhower. L’incendie a dégradé par propagation une Mazda et une Laguna. Une poubelle a brûlé une heure plus tard rue Louis-Paul-Bocquet.

A 8 h 20, un incendie qui pourrait être accidentel s’est déclaré dans un conteneur de l’avenue Paul-Vaillant-Couturier à Tinqueux. En revanche, hier soir vers 20 h 30, une palette de composants électroniques a été incendiée à l’usine Citel, impasse de la Blanchisserie à Reims.

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Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Maître d’œuvre conception et exécution : Cabinet AXIS Architecture – Mr Tanguy RODIER 13 rue de la Fontaine - 77700 SERRIS Tél. 01.60.43.26.46 - Fax 01.60.43.26.47 - Mail : axis77@axis-architecture-77.net Objet et lieu d’exécution : Requalification du site HSBC- avenue Robert Schuman à REIMS (51100) Réf. : DG-020311

Procédure : Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.

Code CPV (marché européen) : 45000000-7

Le marché est composé de 19 lots :
  LOT 01 - GROS ŒUVRE
  LOT 02 – STRUCTURE METALLIQUE
  LOT 03 – BARDAGE/PANNEAUX DE FACADE
  LOT 04 – MENUISERIE ALUMINIUM
  LOT 05 - SERRURERIE
  LOT 06 – ETANCHEITE/ZINGUERIE
  LOT 07 - PLATRERIE
  LOT 08 – FAUX PLAFONDS
  LOT 09 – MENUISERIE BOIS
  LOT 10 – CLOISONS MODULAIRES
  LOT 11 – COURANTS FORTS/FAIBLES
  LOT 12 – CHAUFFAGE/VENTILATION/DESENFUMAGE
  LOT 13 – PLOMBERIE
  LOT 14 – SOLS SCELLES
  LOT 15 – SOLS SOUPLES
  LOT 16 – PEINTURE
  LOT 17 – ASCENSEUR
  LOT 18 – FACADE VEGETALISEE
  LOT 19 – VRD/ESPACES VERTS

Délai d’exécution : 12 mois (compris préparation de chantier, intempéries et congés payés)

Date limite de réception des candidatures et des offres :Le Vendredi 13 mai 2011 à 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de notre société, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.

Visite obligatoire sur RDV, merci de contacter Mr Maffat au 06.16.36.26.48

Les dossiers sont disponibles aux frais du candidat chez :I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61

Pour tout renseignement technique contacter : Mr RODIER/Cabinet AXIS Architecture au 01.60.43.26.46

Pour tout renseignement administratif contacter : Service marchés : Mme GALLOIS au 03.26.04.99.05, Mme FORRAY au 03.26.05.92.33, Mr MEUNIER au 03.26.04.99.82

Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 17 mars 2011 au JOUE et aux JAL L’UNION (éditions MARNE, AISNE, ARDENNES), L’AISNE NOUVELLE, L’EST ECLAIR (10), L’EST REPUBLICAIN (55), le JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (52), le MATOT BRAINE et le MONITEUR.

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L’association développe  Agrandir la photo

Claire Métréau (au micro) : « Nous approchons du cap des 200 bénévoles ».  Agrandir la photo

« Il serait facile de continuer notre petit bonhomme de chemin, mais il y a encore un taux d’illettrisme énorme dans la Marne (9 %) » déclarait Claire Métréau, lors de l’assemblée générale de Lire et faire lire dans la Marne. L’association compte 185 bénévoles enthousiastes, prêts à transmettre la joie de lire aux enfants des écoles. « Les enseignants sont de plus en plus intéressés par notre pratique. Ils nous considèrent comme un complément, qui entraîne un véritable impact sur l’appétit de lecture des enfants ». Un regret : Il semble que les services municipaux d’accueil (SMA) n’aient pas toujours compris l’intérêt de leur activité : « il y a eu de sérieux malentendus sur Reims, ce qui a entraîné la cessation d’activité de certains bénévoles, regrettant que le SMA ne soit pas à leur écoute ».

L’association reçoit des demandes de crèches : « elles découvrent qu’on peut lire aussi aux tout petits. Il va falloir organiser une formation spécifique ». Elle a largement dépassé le cap des 6.000 enfants (dont 20 % de maternelles) qui bénéficient d’une action qui doit s’insérer dans le projet d’école : « nous pouvons être amenés à illustrer des thèmes abordés dans les classes. Cette année, j’ai dû plancher sur Cro-Magnon ! » sourit la présidente.

Amorcée il y a deux ans, la politique de partenariat se poursuit, notamment avec l’Udaf (Union des associations familiales) : « on va cibler le recrutement de bénévoles sur Montmirail, Montmort et Esternay ».

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Des ateliers ont lieu en amont des rencontres et de l’exposition.  Agrandir la photo

REIMS (Marne) Faire grandir l’enfant, ouvrir son regard sur les textes et les images. Lui faire rencontrer des auteurs. C’est le but du salon du livre de jeunesse de Cormontreuil.

SUR l’affiche - illustrée avec talent par Thierry Dedieu - tout est dit : l’image de l’enfant sous la toise, calée avec des ouvrages, est parlante. « Le livre fait grandir ! » Président de « Lire et Délires », association organisatrice, avec les bibliothèques de Cormontreuil, Reims et Saint-Brice-Courcelles, Jean Pérardelle est heureux de présenter les 12e rencontres autour de la littérature jeunesse. « Nous avons la participation de 85 classes, 23 écoles, 4 collèges, de l’agglomération rémoise et de quelques villages. C’est toujours une forte demande, avec bien sûr les limites qu’imposent les contraintes budgétaires ». Le « Salon du livre », qui a lieu le samedi, n’est qu’un des trois moments forts de ces rencontres. « L’objectif premier, c’est faire en sorte que les enfants lisent une sélection d’ouvrages, et, au bout du chemin, rencontrent un auteur de la littérature jeunesse contemporaine et échangent avec lui ». Ce mercredi, à la médiathèque de Cormontreuil - commune qui accueillera le salon - on admire les albums exposés : La qualité des illustrations en fait de véritables œuvres d’art.

« Tout est lecture : aussi bien l’image que le texte », assure Jean Pérardelle. Le livre agrandit aussi le regard : il y a une approche esthétique, artistique, une grande diversité de techniques, d’inspirations. Les graphismes très différents de Thierry Dedieu, les papiers déchirés de Sara, les œuvres en volume de Carole Chaix, les silhouettes façon théâtre d’ombres d’Antoine Guillopé… quelques-uns des dix auteurs et illustrateurs invités du salon.

Trois temps forts. Le mercredi, des actions dans les médiathèques de Reims et de l’agglomération : lectures, ateliers, rencontres. Le vendredi, une soirée de rencontres et d’échanges avec les auteurs illustrateurs invités : à travers un jeu de questions, dont les réponses seront dessinées, écrites, racontées, projetées… Et bien sûr, le salon, le samedi : énormément d’ateliers seront animés par les écoles, les élèves, les associations, les bénévoles de « Lire et Délires ». Des intermèdes/spectacles ponctueront la journée : lectures théâtralisées, mises en voix et en musique. Et, bien sûr, des rencontres/dédicaces avec les auteurs, sur leurs stands : c’est aussi le but du salon !

• Expositions La maison est en carton : jeu autour d’albums. Jusqu’au 25 mars. Médiathèque de Cormontreuil.

Les dessins originaux de Thierry Dedieu : jusqu’au 30 mars. Médiathèque Laon-Zola.

• Ateliers et rencontres mercredi 23 mars

Médiathèque Croix-Rouge : voyage théâtral dans l’univers de Sara par Morgane Audoin, comédienne. Atelier papier déchiré à 14 h 30.

Médiathèque Jean-Falala : rencontre avec Kochka à 17 h 30.

Médiathèque Cormontreuil : lecture à voix haute de Benoît Broyart à 10 heures Ateliers animés par Carole Chaix et Frank Prévot, de 14 h 30 à 17 heures.$

Bibliothèque Saint-Brice-Courcelles : lecture à voix haute de Benoît Broyart à 15 heures et 16 h 30.

Soirée rencontre des auteurs/illustrateurs : vendredi 25 mars à 20 h 30 à la médiathèque de Cormontreuil.

• Salon du livre

Lectures théâtralisées « Aagun » : par la Cie « Théârto » à 14 h 15 et 16 heures. « Tu as perdu ta langue » : mise en voix et en musique de textes de T. Scotto par Morgane Audoin comédienne et Julien Lemoine, musicien, à 11 et 15 heures.

Samedi 25 mars de 10 à 18 heures : expositions, ventes, ateliers, animations à la salle polyvalente de Cormontreuil, Bd d’Alsace-Lorraine.

Détails sur http://lire-et-delires.fr

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Un important public pour saluer l’événement.  Agrandir la photo

Une inauguration bidon bien sûr mais forte en symbole.  Agrandir la photo

Les élèves assistants en architecture du lycée Arago ont planché sur le projet.  Agrandir la photo

Constitué de plusieurs centaines de cartons empilés en une après-midi sous les toiles du marché, le Grand musée du Boulingrin (GMB) a été inauguré hier soir en grande pompe. Sitôt la prestation brilantes des Boules de feu, la présidente du GMB Marie Descazaux ceinte de l’écharpe rouge et blanche des bâtisseurs a cédé la parole à son ministre fictif de la culture Anthony Cardoso. Dans un discours de haute tenue le vice président du GMB a d’abord rappelé le nobe objectif de Malraux : « rendre accessibles les œuvres capitales de l’humanité et d’abord de la France au plus grand nombre possible de Français. » Citant ensuite Pompidou, Mitterrand et Jacques Chirac, le vice président du GMB a ensuite expliqué pourquoi son association leur avait emboité le pas depuis cinq ans car « notre patrimoine nous appartient, vous appartient. » Et de saluer la ville qui a enfin décidé de se doter d’un grand musée au Boulingrin. Une ville à qui le GMB assure « son soutien inépuisable et sans bornes » car elle veut en faire un outil de développement culturel, économique, social et éducatif.

La présidente n’avait plus qu’à couper le ruban inaugural non sans expliquer que cet acte III du GMB, « cette préfiguration un peu particulière du futur musée, un site en devenir » présentait une exposition sur le thème des cinq sens. Des œuvres réalisées par des enfants des maisons de quartier, des écoliers, des collégiens, des lycées, des résidents du Foyer Thibierge et de plusieurs résidences arfo. A quelques jours du 1er avril cette inauguration n’avait rien d’un poisson même si le public important a pu être surpris de voir Myriam se prendre pour un guide de musée en tenue de Gretchen. C’était plutôt une façon d’enterrer la hache de guerre avec la mairie à la suite de propos mal compris ou mal formulés !

Alain MOYAT

« J’ai déjà le sentiment d’être physiquement dans le nouveau musée ! » souriait David Liot. Le directeur du musée des Beaux-Arts accueillait vendredi, en compagnie de Marie Descazaux, présidente de l’association « GMB » (Un grand musée au Boulingrin) les nombreux invités venus inaugurer l’exposition « Des jeunes rémois imaginent leur futur musée ». « Un musée peut être un support, un lieu de vie » a-t-il lancé à l’attention des lycéens de Clémenceau, d’Arago et des collégiens de Pierre-de-Coubertin venus, avec leurs enseignants, présenter leurs travaux. Un musée, c’est un lieu sérieux, mais c’est aussi un espace vivant, où d’autres domaines peuvent être organisés. « Dans un musée, on ne voit pas tout ce qui est derrière. Un musée, c’est 20 % d’espace pour les œuvres, et 80 % pour l’administration, le stockage des œuvres. Vous avez pris en compte dans vos travaux ces aspects inattendus, ce qui me paraît tout à fait essentiel ». Outre les maquettes totalement insolites des collégiens de Pierre-de-Coubertin (l’union du 18.03), les visiteurs pouvaient admirer des vidéos d’une visite originale du musée par les élèves de Clémenceau, et les projets d’un bâtiment « construction passive » élaborés par les futurs assistants en architecture du lycée Arago.

« L’économie en énergie, pour un musée, c’est primordial. Ils ont conçu une structure qui permet aux œuvres qui vont être à l’intérieur de ne pas subir de différences de température et d’hygrométrie. En somme, le bâtiment joue un peu le rôle de bouteille thermos » explique Laurent Debrix, architecte spécialisé dans le développement durable, conseiller des 6 projets présentés par des équipes de 3 élèves. Quentin, Guillaume et Léo ont planché durant 6 mois sur un musée recouvert de « rangs de vignes » et qui reprenait aussi la forme des Halles.

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Des neuf 2e série engagées, Perrine Gosse (3/6) a su élever son niveau de jeu pour s’imposer pour la deuxième fois consécutive dans la banlieue de Soissons.

De finale entre les deux favorites classées à 2/6, Cécile Bardoux (Amiens AC) et Jackie Lassaux (Géo- André Reims), il n’y en eut point puisque l’ancienne Soissonnaise a tout « cassé » sur son passage !

La championne régionale 2010 a sorti en demies et en deux manches la Samarienne pendant que sa partenaire de club Céline Bosc (5/6) s’inclinait contre la Rémoise.

Pourtant outsider d’un (petit) classement, Perrine Gosse n’a pas fait de détail face à la Rémoise (6-0, 6-4).

Quarts de finale : Perrine Gosse (3/6, Villeneuve-Saint-Germain) bat Amélie Zarev (5/6, Reims Europe Club) 6-1, 6-0 ; Céline Bosc (5/6, Villeneuve) bat Camille Kleiber (3/6, Guignicourt) 6-3, 6-3.

Demi-finales : Perrine Gosse bat Cécile Bardoux (2/6, Amiens AC) 6-4, 6-3 ; Jackie Lassaux (2/6, Géo-André Reims) bat Céline Bosc 6-3, 6-0.

Finale : Perrine Gosse bat Jackie Lassaux 6-0, 6-4.

Finale 4e série : Arlette Lestrat (30/1, Villeneuve) bat Barbara Heitz (30/2, Crépy-en-Valois) 6-2, 6-2.

Finale consolante 4e série : Elsa Meurisse (30/3, Vivaise) bat Léa Rivière (30/3, Attichy) 6-3, 6-4.

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Lorraine Lokoka a fait pleurer les Yonnaises en fin de match.  Agrandir la photo

Disputé au gymnase Lapique, le choc des dauphines a tenu toutes ses promesses

SÉVÈREMENT battues à l’aller (73-57), les Rémoises, toujours invaincues à domicile, n’ont toutefois malheureusement pas pu reprendre le panier-average.

BON DÉPART RÉMOIS
(18-18)

Concernées dès l’entre-deux, les Rémoises, à l’unisson, débutaient idéalement la partie (10-4, 5e). Seulement, le collectif yonnais se mettait progressivement en place et, en insistant à l’intérieur, les visiteuses recollaient au score (14-13, 7e). De plus, leur défense devenait de plus en plus hermétique, histoire d’atteindre la première pause à égalité sur un bonus de Mircheva (18 partout).

TECHNIQUE AU BANC !
(31-33)

Dominé alors au rebond, le RBF restait néanmoins en contact (22-22, 13e). Dans la foulée, la troisième faute de l’intérieure Ciak, synonyme de séjour préventif sur le banc, aidait également les Rémoises (27-27, 16e). Jusqu’à ce que l’arbitre siffle une incompréhensible faute technique au banc local. Résultat, les Marnaises encaissaient un 6-0 (27-33, 18e) mais s’accrochaient pour rentrer aux vestiaires avec seulement deux unités de retard (31-33).

8-0 D’ENTRÉE
(50-49)

Après la pause, avec le retour aux affaires de Fouasseau économisée en première mi-temps pour deux fautes, Reims signait d’entrée un important 8-0 (39-33,22e). Roche Vendée s’en remettait aux shoots de la meneuse slovaque Kubatova (39-38, 24e), mais les Champenoises mettaient beaucoup d’envie et d’intensité pour rester aux commandes (48-42, 26e). Il en fallait cependant plus pour faire sombrer les visiteuses qui s’appliquaient via Grelier à conserver intactes leurs chances à l’entame de l’ultime période (50-49).

LOKOKA INTENABLE
(68-63)

A 53 partou( (32e), la 4e faute de Fouasseau pouvait inquiéter. Reste que l’entrée en jeu de Lokoka allait être déterminante. En effet, la dynamique alilière inscrivait 6 points de rang (60-55, 34e). Herrscher et Gujaraidze dans la peinture puis surtout l’intenable Lokoka concluaient le travail (68-60, 39e). Les Yonnaises allumaient à longue distance mais ne parvenaient qu’à adoucir la note finale par Grelier (68-63).

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Anaïs Jomby a été ménagée cette semaine  Agrandir la photo

Hormis Lyon, Roche Vendée est ce qu’il se fait de mieux dans le championnat de L2. Le classement le démontre qui a fait des Vendéennes les dauphines du leader. Mais, si elles occupent la 2e place aujourd’hui, les Yonnaises ne sont pas assurées de terminer à ce rang puisqu’elles ne possèdent qu’une victoire d’avance sur les Rémoises.

Pour compléter le décor, il faut savoir que les Marnaises ne reviendraient sur la même ligne que leurs rivales de ce soir qu’en s’imposant de plus de 16 points, écart qu’elles avaient concédé à l’aller (73-57).

« Pensons déjà à la victoire », souligne Philippe Sauret, légèrement agacé de devoir jouer ce match important au gymnase Lapique (*), la seule salle de repli sur Reims avec les nouveaux tracés. « Nous manquerons de nos habituels repères, regrette-t-il. C’est comme si nous allions jouer à l’extérieur… le déplacement en moins ».

Ce changement de salle et de sol (un taraflex) n’est pas la seule contrariété rémoise. Lorraine Lokoka n’a suivi qu’une séance d’entraînement cette semaine (problème récurrent de périostite) et Anaïs Jomby (mollet) a également été ménagée. Cela ne devrait pas empêcher Philippe Sauret d’aligner son groupe au grand complet.

« Nous en aurons besoin pour contrer une formation qui a de l’expérience et qui joue un basket très structuré ». L’axe 1-5 (Kubatova - Mircheva) n’est pas le seul atout vendéen. « Il faudra se méfier de filles comme Elodie Gérard », prévient Sauret qui a insisté auprès de ses troupes pour qu’elles imposent leur rythme.

C’est à ce prix et en défendant fort que les Marnaises pourront conserver leur invincibilité à domicile.

Yves DOGUÉ

(*) Rue François Arago, derrière le lycée.

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Mercredi soir, les policiers sont intervenus rue Yvon-et-Claire Morandat pour mettre fin à un violent différend entre concubins.

Surexcité, l’homme avait frappé sa compagne à coups de poing, avant de lui serrer le cou (un jour d’incapacité totale de travail).

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Anthony Astgen, spécialisé dans la photographie urbaine, est reçu par l’association 2 Mains.  Agrandir la photo

L’association 2 Mains a le plaisir de recevoir une exposition du photographe Anthony Astgen pour plusieurs semaines, dans les locaux du Bistroquet, café associatif, 5, avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud.

Le vernissage de l’exposition se déroulera le mercredi 23 mars à 18 heures en présence de l’artiste.

Anthony Astgen se définit sur son site comme photographe rémois de haut niveau, spécialisé dans la photographie urbaine : « Photographe plaisir, je déambule dans les rues et les gradins de concerts et de stades. Reflex bien vissé sur j’aime capter l’instant… »

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« Déménagez-moi » : Le GMB, association pour un Gand Musée au Boulingrin de Reims, invite les familles, amis et voisins, à l’inauguration fictive du futur Grand Musée des Arts… en cartons et en fanfare, avec « Les Boules de Feu ».

Depuis octobre 2010, des œuvres ont été réalisées par : les Maisons de Quartier Orgeval, Jean-Jaurès, Espace Chalet, Trois-Piliers, Wilson/assoc, Chanoine Lallemant, l’école Maison-Blanche, l’école des Enfants du Voyage, le foyer Thibierge, les résidences Arfo Charles-Arnould, Dorgelès, Laon et Pierre-de-Coubertin, le collège Pierre-de-Coubertin de Cormontreuil, les lycées Arago, Clemenceau, Jean-Jaurès et Val-de-Murigny.

Sur une création du collectif d’artistes « Les Zinzolines ».

Place du Boulingrin samedi 19 mars à 17 heures. Exposition « Des jeunes rémois imaginent leur futur musée ! » les 19-20-21 mars au musée des Beaux-arts de Reims. GMB : 06.08.48.68.43 grandmuseeboulingrin.free.fr

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Lancement de la semaine de la presse par le recteur Alexandre Steyer.  Agrandir la photo

l’Union est impliqué dans la semaine de la presse et des médias alors que des actions pédagogiques sont menées toute l’année.

LA 22e semaine de la presse et des médias dans l’école mobilise de nombreuses équipes dans les établissements de l’académie de Reims. Le Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information (Clemi) dont le correspondant est ici Jean-Pierre Benoît précise qu’en 2011 la quasi-totalité des établissements sont volontaires pour participer à cette action pédagogique, ce qui représente 95 % des lycées publics et privés, 80 % des collèges et 10 % des écoles primaires : « Nous avons la chance dans l’académie de disposer d’équipes plurielles motivées ! »

Au cours de cette semaine du 21 au 26 mars, des travaux sont organisés autour du contenu de plus de sept cents titres tandis que des temps forts sont opérés dans des établissements avec la participation de journalistes professionnels. Des débats sur la thématique qui fait l’information sont au menu ainsi que des rencontres ciblées en particulier au Mémorial Charles-de-Gaulle de Colombey-les-Deux-Églises. Une table ronde est organisée sur le thème « La télévision, un média sous contrôle ? » avec la participation d’André Vassalo, Jean Lanzi et Daniel Schneidermann. Jeudi, le thème sera : « Le dessin de presse fait-il l’info ? » avec Guillaume Doizy et Aurel tandis que vendredi, un débat sur « Des médias traditionnels aux médias sociaux : s’informer aujourd’hui » verra la participation de Pierre-Louis Basse d’Europe 1, de Pierre-Marie Giraud de l’AFP et de Patrice Schumacher de France 3. Jeudi à Reims, une table ronde est prévue au lycée Arago autour de la question : « Qui fait l’Info ? » avec le concours de Gilles Halais de France Info, de Nicole Fachet de France 3. À Charleville-Mézières, des élèves réalisent toute la semaine un journal télévisé avec le CDDP et des pros autour du patrimoine carolo.

Comme le rappelle le recteur Alexandre Steyer, « L’éducation aux médias fait partie du socle commun des connaissances et des compétences que tous les élèves doivent acquérir. Il est spécifié qu’ils doivent être éduqués aux médias et avoir conscience de leur place et de leur influence dans la société ». Et d’ajouter : « Les technologies de l’information et de la communication font que, non seulement les possibilités d’accès à l’information sont multipliées, mais que chacun peut devenir producteur d’information ».

L’intérêt de cette semaine est d’avoir observé qu’au fil du temps la transdisciplinarité s’était imposée. La capacité des professeurs à se fixer un objectif commun et à apporter chacun leur expertise pour donner du corps à leur démarche et intéresser les élèves en faisant participer des journalistes est une constante louable. « L’éducation aux médias est un facteur de motivation scolaire ». Cette semaine est intense dans les CDI des établissements puisque des kiosques à journaux y sont souvent montés ce qui permet aux élèves de mesurer la diversité des titres et avec le multimédia de voir les différentes formes de présentation de l’information, la place de l’interactivité, les relais d’opinions. Ils apprennent à se méfier de l’instantanéité, à observer l’évolution de l’approche à chaud d’une information, à prendre le temps de la compréhension et de l’analyse. Savoir prendre de la distance par rapport aux faits pour éviter d’être submergé par l’émotion est aussi une exigence pour suivre les événements qui constituent l’actualité incessante de notre monde.

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Aujourd’hui commence une semaine contre le racisme. Du 18 au 27 mars, associations et citoyens s’engagent contre les discriminations. C’est ce soir que commencent les événements :

Alex a grandi à Croix-Rouge. il jouera ce soir  Agrandir la photo

REIMS (Marne) Alex a grandi à Croix-Rouge. Dans le cadre de la semaine d’éducation contre le racisme, il joue ce soir dans la comédie musicale « La Peau de l’autre ».

ALEX n’est pas né à Reims mais à Meaux (77). Arrivé à 4 ans dans le quartier Croix-Rouge, il fréquente successivement l’école primaire Provençaux, le collège Joliot-Curie puis les lycées Clemenceau et Libergier. C’est à ce moment qu’il apprend la musique.

« Avant j’aimais bien la musique mais ce n’était pas une passion. » C’est vers 15 ans donc, simplement avec des amis, qu’il accorde une importance grandissante à cet art, entre karaokés, improvisations et apprentissage de la guitare sèche. Il ira jusqu’à tenter le concours de l’émission de M6 « A la recherche de la Nouvelle Star » à Paris en 2007 où il réussira les présélections mais n’obtiendra ensuite que deux « oui » des professionnels de la musique André Manoukian et Marianne James sur les trois nécessaires pour poursuivre l’aventure.

Retour au lycée où ses « bœufs » musicaux remplissent le foyer des élèves et mettent la puce à l’oreille de son conseiller principal d’éducation (CPE). Ce dernier lui propose alors de faire un concert dans l’amphithéâtre de son lycée après les cours, expérience qui se renouvellera trois fois. C’est alors en confiance qu’il passe le casting de « La Peau de l’autre » à la fin de son année scolaire.

« Il y avait trois étapes, comme à la Nouvelle Star ». Ils étaient en effet 500 au départ, puis 100 pour arriver à un total de 25 personnes. Les participants ont vu se succéder épreuves de chant, de danse « ça a été une catastrophe car je ne sais pas danser » et même de théâtre.

Alex est ensuite choisi au cours de leur centaine d’heures de répétitions pour être le premier rôle. La troupe se donne pour la première fois en spectacle au conservatoire en mai 2010 et répète maintenant depuis septembre. Ils seront donc à Reims le 18 mars dans le cadre de la semaine nationale d’éducation contre le racisme. Le rôle d’Alex est celui d’Arnaud, un jeune qui cache un lourd secret, celui d’être séropositif.

« L’histoire de la pièce est surtout celle de destins croisés, qui sont tous liés aux discriminations. Mon personnage vit aussi une histoire d’amour avec une fille de son lycée. » Le thème de l’amour impossible est abordé ici de plusieurs façons : le couple que forment Arnaud avec son amie, celui du jeune Kameron et de sa dulcinée qui voient les préjugés familiaux liés à leur couleur de peau se mettre en travers de leur chemin. Enfin, celui du chef d’une bande de loubards qui voit ses trop grandes différences sociales avec celle qu’il aime faire de l’ombre à son couple.

I.D.

La Peau de l’autre. Spectacle à la Comédie suivi d’un débat. Ce vendredi 18 mars de 18 h 30 à 20 h 30. A l’initiative des Petits Musiciens et de la Licra Reims. Renseignements au 03.26.02.22.68.

A droite, Yacoub, étudiant membre de l’association Homozygote.  Agrandir la photo

La semaine nationale d’éducation contre le racisme a vu le jour en 1984. Il s’agit d’une initiative soutenue au plan national par le ministère de l’Education nationale.

Depuis 1999, des associations et des organismes rémois se réunissent autour de l’Association rémoise contre les racismes (ARCR) pour proposer une déclinaison locale de cette semaine d’information et de sensibilisation.

Vingt-quatre associations rémoises participent cette année à cette 12e édition. Comme son nom l’indique, la semaine a pour but de sensibiliser les jeunes, mais pas seulement au problème du racisme « pour que les premiers ne grandissent pas dans une société fondée sur l’intolérance et l’exclusion ».

C’est dans cet esprit qu’autour Elodie Lebourcq, les associations ont prévu jusqu’au 27 mars, de nombreuses animations favorisant l’échange et la diversité : comédie musicale, conférences-débats, projections et rencontres avec les réalisateurs, expositions, lectures de poèmes, de témoignages, ateliers et jeux pour enfants et adolescents, ateliers artistiques (écriture, photo, vidéo), tournois sportifs (futsal, kingball)…

Ce soir, vendredi 18 mars : poésie du monde avec des animations et lecture de poésies du monde dans leur langue d’écriture à l’initiative de l’espace Billard à 19 heures au centre culturel du Crous. Gratuit.

Samedi 19 mars : de 14 à 18 heures, journée de lancement sur la Place d’Erlon : artistes rémois (musique, danse, jonglage), espace de libre expression, stands d’animation jeunesse et village associatif *.

Lundi 21 mars : atelier artistique, déguisement et photo à l’initiative et dans les locaux de la Maison de quartier des Châtillons, 1-3 place des Argonautes. Gratuit.

De 20 h 30 à 23 heures au Cinémas Opéra, avec le Collectif de lutte antifasciste et de la Licra Reims diffusion du film intitulé : « D’une seule voix » de Xavier De Lauzanne. Gratuit, pour adultes. 6 €. Le film retrace une aventure humaine, une expérimentation concrète de la paix à travers la tournée d’un orchestre composé d’Israéliens et Palestiniens.

Séance de rattrapage le mardi 22 mars à 21 heures.

* Avec les associations suivantes : ARCR (Association rémoise contre les racismes), Alliance maladies rares, Attac Reims, Association Yassine, personnes autrement capables, les polyhandicapés, Ciam (Collectif interculturel d’associations de migrants), CLA (Collectif de lutte antifasciste), foyer Princet-Ozanam, Francas de la Marne, Homozygote, Ligue de l’enseignement de la Marne, Mission locale pour la jeunesse et les maisons de quartier de Reims.

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Découvrir et pratiquer gratuitement l’aviron, les arts du cirque, la marche nordique, le tennis de table, ou d’autres sports c’est possible à Reims ce samedi 19 mars de 10 heures à midi et gratuitement dans le cadre des samedis du sport.

Chaque activité proposée sera encadrée et animée par les bénévoles des clubs partenaires ou par des éducateurs territoriaux des activités physiques et sportives. Cette diversité des acteurs assure une large palette d’activités disponibles.

Le choix est large, les opportunités attrayantes, de quoi devenir acteur de son bien-être. Seul(e) ou en famille, à son rythme, chacun pourra découvrir et s’initier.

Seront ainsi proposées :

A la piscine Orgeval : de 10 à 11 heures, aqua gym (tous publics à partir de 16 ans avec inscription obligatoire à la direction des sports de la Ville de Reims). De 11 heures à midi, aqua palmes apnée à partir de 16 ans (savoir nager 25 m minimum).

Régates rémoises, 2, rue Clovis-Chezel : aviron, de 10 heures à midi (savoir nager).

Complexe René-Tys, 40, rue Léo-Lagrange : escrime, de 10 heures à midi (tous publics à partir de 6 ans) et escrime (tous publics à partir de 6 ans, baskets propres sorties du sac). Gymnastique corps et esprit de 10 heures à midi (tous publics à partir de 16 ans).

Au gymnase Saint-Exupéry, rue de Saint-Exupéry  : arts du cirque (à partir de 16 ans. baskets propres tirées du sac).

Au Parc de Champagne, marche nordique de 10 h 30 à midi (à partir de 16 ans) et test d’aptitude de course de 10 heures à midi (à partir de 16 ans, certificat médical obligatoire de non contre-indication).

Au Gymnase Léo-Borgniet, 4, rue Raoul-Dufy : découverte du basket de 10 heures à midi (à partir de 6 ans - baskets propres tirées du sac). Badminton et Kin ball de 10 heures à midi (à partir de 6 ans. baskets propres tirées du sac)

Gymnase François-Legros, boulevard Kennedy : initiation roller de 10 heures à midi. À partir de 6 ans - prévoir son matériel : rollers, protections tête, coudes, genoux et poignets.

À la patinoire Barrot, avenue François-Mauriac : initiation au patinage de 11 heures à midi (à partir de 3 ans - gants obligatoires - patins fournis à partir de la pointure 23).

L’inscription en ligne est possible sur le site sur le site www.reims.fr (sports/événements sportifs).
Renseignements au 03.26.79.03.77 ou au 03.26.79.86.40.
courriel : lessamedisdusport@reims.fr

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L’association de défense des locataires de l’Effort rémois du secteur At’Hom (périmètre Jacques-Simon, Yves-Gandon, Adrien-Sénéchal aux Hauts-de-Murigny) organise son assemblée générale jeudi 24 mars à 18 h 30 au siège de l’Association, local associatif, 1 allée Yves-Gandon, 2e étage, porte D.

Tout renseignement auprès de la présidente, Danielle Bonfils, au 03.26.86.10.03.

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Un soir de la semaine, à 18 h 30, les pompiers ont été appelés pour dégager des personnes bloquées dans un ascenseur de la place Dominique-Ingres, au n°4.

L’intervention sortait de l’ordinaire car ce ne sont pas deux, trois, quatre ou même six personnes qui ont été libérées de la cabine, mais neuf I De quoi provoquer la surcharge de l’appareil.

L’hebdo du vendredi- n° 205 - 110318a

Du mardi 22 au vendredi 25 mars prochain, l’association Paroles de Parents - Ecole des Parents et des Educateurs de la Marne organise une semaine évènementielle « La Semaine des Parents et des Jeunes » sur le quartier Croix-Rouge à Reims. Durant cette semaine, de nombreuses activités vont avoir lieu dans les différentes structures et associations du quartier. Ainsi seront proposés par exemple des Cafés Rencontre, une après-midi récréative pour les familles, une rencontre autour du conte pour les enfants, des rencontres thématiques, un atelier santé, un atelier informatique.

Renseignements : 03.26.47.20.35 - 06.34.50.69.14 ou

parolesdeparents@yahoo.fr.

Réalisée par les Archives Municipales, cette expo présente l’évolution des armements des chevaliers du XIe au XVe siècle à travers des moulages et photos de sceaux.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar

Vendredi 25 mars 2011 à 18h à RMS, 59, rue Pierre Taittinger à Reims : Conférence « Le patient, le soignant, le robot : craintes & espoirs »

Avec la participation d’André Comte-Sponville, animée par Gérard Lemarié.

Informations et inscriptions gratuites sur le site www.chirurgierobotique-courl… ou 03 26 77 56 78

Après une pause la semaine dernière, en raison de la tenue des 1/8èmes de finale de la Coupe de France, la Ligue 2 féminine reprend ses droits ce week-end, avec pour le Reims Basket Féminin un sommet à jouer face à Roche Vendée.

En effet, cette rencontre opposera le 3ème et le 2ème du classement, deux clubs seulement séparés par une victoire.

En cas de succès, les filles de Philippe Sauret reviendraient donc à la hauteur de leurs adversaires.

Pour ce faire, les Rémoises devront jouer leur meilleur basket face à une formation qui n’a perdu qu’à deux reprises lors de ses huit matches disputés en 2011. Deux échecs concédés à Pleyber Christ (74-54) et à Voiron (80-76). De plus, au match aller, Roche avait disposé du RBF sans trembler (73-57). Si la partie promet donc d’être difficile, il est bon de rappeler que la formation rémoise demeure toujours invaincue sur son parquet en championnat cette saison (11 victoires).

Néanmoins, cette rencontre ne se déroulera pas comme d’habitude à René Tys mais au gymnase Jean-Jacques Lapique en raison d’une compétition de gymnastique. Faut-il y voir un signe ?

Reims - Roche Vendée, samedi 19 mars à 20h au gymnase Jean-Jacques Lapique, rue François Arago. Entrée payante : 3/5€ (-12 ans gratuit)

 

Du samedi 19 mars au samedi 30 avril, l’exposition « L’armement des chevaliers à travers les sceaux », réalisée par les Archives départementales de la Marne en partenariat avec la médiathèque municipale de Reims et le musée Saint-Remi, présente l’évolution de l’armement des chevaliers de l’an mil à 1500 à travers une sélection de moulages et de photographies de sceaux.

Du XIe au XVe siècle, l’usage du sceau, hérité de l’antiquité romaine, se répand et sert à authentifier les actes de la vie quotidienne. Par la précision et le soin apportés à son iconographie, il est une source de connaissance du Moyen Âge, un livre ouvert sur les coutumes de la chevalerie : les sceaux montrent par exemple le rétrécissement de la cotte de mailles, l’apparition de plaques métalliques pour protéger cheval et cavalier, l’allongement de l’épée.

Parallèlement, les moulages de sceaux réalisés pendant les stages seront exposés et la fabrication et la conservation des sceaux seront expliquées.

Médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre.

 

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Les Rémoises accueilleront leurs grandes rivales de Roche Vendée au gymnase Jean-Jacques Lapique  Agrandir la photo

Bonne humeur et fair-play de rigueur au tournoi de RIRe.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

L’association Rencontres interculturelles de Reims (RIRe) vient d’organiser son traditionnel tournoi de basket-ball au gymnase Roland-Bourgoin.

Une quarantaine de participants accompagnés d’une vingtaine de supporters ont concouru selon la formule championnat sur cinq équipes, matches de sept minutes, puis demi-finale et finale en match de dix minutes. A la clé, des médailles pour récompenser les trois premiers et pour l’équipe fairplay.

Ce tournoi existe depuis dix ans dans le quartier Croix-Rouge, sur le secteur Pays-de-France.

« Si de nombreux joueurs viennent de Croix-Rouge, du centre-ville et des différents quartiers de Reims, nous accueillons également des joueurs et des fans de clubs de basket de toute la région et même de la région parisienne, comme ceux de Créteil », précisent les bénévoles de l’équipe d’encadrement et d’animation Ahmed Mekoui, Valéry Bourgeois et Ali Boukhedoumi.

Quant à l’organisateur, Joseph Cakpo, pour l’association R.I.R.e, il ajoute : « Nous sommes fiers de faire parler de Croix-Rouge à l’extérieur de Reims et de le présenter comme un quartier dynamique et accueillant ».

L’équipe gagnante du tournoi est « Woodcutter », composée de Jonathan 18 ans, capitaine de l’équipe, Leroy 19 ans, Pascal 24 ans, Sori 23 ans, Andreii 20 ans et Païco 24 ans.

« Les Rivers » sont arrivés deuxièmes : Ablo 28 ans capitaine de l’équipe, Florian 17 ans, Rayane 17 ans, Aldric 19 ans, Massane 19 ans et Bruce 22 ans.

L’AS Courtisols basket (ASCB) est troisième et l’équipe « La Septième Compagnie » reçoit la coupe du fair-play.

 Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

Union110317f

L’ensemble du personnel du lycée, Les Amis de Joliot ont la douleur de vous faire part du décès de leur collègue

Madame Edith LECLERC
Professeur de lettres-Allemand
Nous présentons nos sincères condoléances à toute sa famille.

Union110317e

« Je ne pensais jamais qu’il ferait autant de bruit », témoigne Jacky.  Agrandir la photo

« J’imagine qu’on va s’habituer », espèrent Véronique et ses enfants.  Agrandir la photo

REIMS (Marne). Quand il roule au pas, tout va bien mais dès qu’il accélère, le tram est bruyant. Désagréablement surpris, les riverains se plaignent déjà.

C’EST un peu la mauvaise surprise du tramway. Il est bruyant. Quand il passe à plus de 30 km/h le long des habitations, on ne peut pas l’ignorer. Avec le début du beau temps et les fenêtres qui s’ouvrent, les Rémois commencent à se dire qu’on leur a collé une nouvelle nuisance sonore sous les fenêtres.

« J’habite à la Rafale avenue Eisenhower à Croix-Rouge, soit le long de la ligne et je peux vous dire qu’on l’entend passer. Comme on n’est pas loin d’un carrefour, on a droit, en plus, au son de la cloche », grogne Germaine Fontaine.

Chaussée Bocquaine, en face de la Comédie, les habitants des résidences en ont déjà assez du grincement métallique des rames : « Fenêtres à double vitrage fermées, on l’entend un peu. Fenêtres ouvertes, on l’entend franchement. Il y a un effet caisse de résonance entre les immeubles, ce n’est pas agréable. Je ne pensais jamais qu’il ferait autant de bruit. J’ai habité à Strasbourg près de la ligne de tram, c’était bien moins bruyant », assure Jacky Diguet.

« Ils auraient dû mettre du caoutchouc aux roues. J’aurais préféré qu’il emprunte la rue Passe-Demoiselle, on aurait conservé notre tranquillité », lâche Marie depuis son deuxième étage.

« Il ne faut pas exagérer non plus », modère Françoise Renard. Mais après réflexion : « C’est vrai que quand nous serons dehors l’été, ce sera plus gênant. Surtout s’il passe toutes les six minutes dans chaque sens. S’ils le veulent, ils peuvent facilement diminuer cette nuisance en réduisant la vitesse de circulation », ajoute Françoise.

Même soupe à la grimace avenue de Laon. Il faut élever la voix à chaque fois qu’une rame passe. « Avant, on avait le bruit de la circulation et maintenant, on a celui du tramway. Ils nous ont fait croire qu’ils allaient améliorer notre cadre de vie mais les trottoirs sont devenus dangereux, on ne peut plus se garer et maintenant on subit le bruit du tram. Une sacrée amélioration ! » dénonce Carine Charles Martin.

« On ne s’attendait pas à ce volume sonore mais on va s’habituer. Quand je suis arrivée dans l’avenue, j’étais réveillée par les éboueurs, maintenant je ne les entends plus », optimise Véronique Macroine.

« On va s’y faire et avec tous les services qu’il va nous rendre on lui pardonnera le bruit ». Pas trop le choix.

Catherine FREY

Mars, le concessionnaire du tramway, ne promet pas de rendre le tram muet mais compte faire baisser le volume des rames : « Le graissage des boudins est en cours de réglage. Nous sommes encore en phase de test. Quand les rails seront huilés correctement, le bruit diminuera. Comme c’est le cas à Strasbourg ». Quant à réduire la vitesse ? « Ce n’est pas possible sinon nous ne pourrons pas respecter nos horaires ». Et sur le choix d’un tram sur rail plutôt que sur pneus ? C’est le choix de Reims Métropole. Sachant que si le tram sur pneus est plus discret, il a d’autres inconvénients : comme créer des sillons dans les chaussées et être obligé de les refaire sans arrêt.

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« IL ne manque plus que les lits pour y passer la nuit ! » Visiblement Camille, Aline, Nassima et Audrey sont ravies.

Ces étudiantes en mastère de droit privé préparent un exposé d’anglais à la bibliothèque Sorbon ; celle-ci respire encore le neuf et dresse sa silhouette bien contemporaine sur le campus Croix-Rouge depuis maintenant cinq ans.

Ces demoiselles y apprécient particulièrement cette salle de travail en groupe. « Il y en a plusieurs, c’est une des nouveautés par rapport à l’ancienne bibliothèque », indique la responsable en chef de ces installations à l’Urca, Carine Elbekri.

Ces salles de groupe ne sont pas les seuls « plus » de Sorbon par rapport à sa prédécesseur, aujourd’hui réduite à un tas de terre. « Il y a eu un gros travail de cotation, les ouvrages sont aujourd’hui beaucoup plus faciles à trouver », poursuit Mme Elbekri. Ce que nous confirme Julien, en première année d’histoire, et qui en deux ou trois clics, trouve les références de toute une bibliographie sur le thème « droit et hommes » ».

« Avant, c’était pour nous très compliqué à gérer, reprend la directrice ; et puis le nouveau bâtiment est mieux équipé : mille places assises, dont 200 avec un poste informatique, plus des prises électriques pour que les étudiants puissent utiliser leur ordi personnel. »

Ajoutons à cela la luminosité des salles, et le calme qui y règne. « Il y a des espaces de silence et d’autres où l’on peut parler » précise encore notre interlocutrice.

Bon, certains trouvent quand même le moyen de faire quelques critiques.

Ainsi Julien, déjà cité, qui regrette que Sorbon soit fermée un lundi matin par mois. Ou Marion, en mastère recherche de musique : elle trouve que la documentation disponible dans sa partie -très pointue il est vrai- reste assez limitée : « On est beaucoup obligé d’aller à Paris ».

Mais globalement, Sorbon semble bien donner toute satisfaction, et pas seulement à ceux qui la gèrent. Et cela se traduit par les chiffres de fréquentation : « Environ 50% en plus, affirme Mme Elbekri, ce qui nous donne une affluence de 2 à 3 000 entrées par jour ! » Entrées qui, on peut le rappeler, ne sont pas réservées aux seuls étudiants : toute la population peut venir, consulter sur place et emprunter ! Mais on ne pourra quand même pas coucher sur place comme le souhaiteraient nos jeunes juristes.

Antoine PARDESSUS

Union110317c

Sept voitures et une remorque de camion ont été détruites par des incendies lors de la nuit de dimanche à lundi, en divers endroits de l’agglomération (notre avant-dernière édition).

La nuit de lundi à mardi fut également agitée avec quatre voitures et une dizaine de poubelles qui ont brûlé à leur tour, sans oublier une cabane de jardin qui s’est enflammée dès 18 h 10, dans les terrains situés le long du boulevard des Tondeurs, près de l’échangeur Neufchâtel.

Vers 23 h 30, une BMW série 3 a brûlé rue Louis-Bréguet à Tinqueux. A 23 h 45, une Citroën C4 est partie en fumée rue Taittinger à Croix-Rouge. Dans le même secteur, esplanade Eisenhower, cinq conteneurs ont flambé à 4 h 30.

Un feu de poubelle a été signalé mardi vers 0 h 30 à Wilson, allée Fernand-Kinet, tandis qu’à 3 h 45, quatre conteneurs ont brûlé à Saint-Remi, sur l’esplanade Fléchambault.

Vers 4 h 20, un Renault Scénic a pris feu dans le box d’un garage collectif de l’impasse du Levant, près de la rue Marie-Stuart. Loi des séries au centre-ville car cette même matinée, à 9 h 30, une habitante de la rue Ruinart-de-Brimont a retrouvé sa Ford Fiesta partiellement brûlée dans le box d’un parking (l’origine des deux sinistres n’a pu être déterminée).

Toujours mardi, mais en journée, à 13 heures, une BMW a été calcinée allée des Nivernais.

Même les communes de l’arrondissement ne sont pas épargnées par les incendies. Dans la nuit de dimanche à lundi vers 1 h 30, une Peugeot 205 a été incendiée près de la gare de Muizon, en direction de Champigny.

Il se confirme que la voiture était volée.

Un feu de poubelle s’est également déclaré rue de Brimontel à Bourgogne lundi vers 21 h 30.

Après ce début de semaine mouvementé, aucun feu n’a été signalé dans la nuit de mardi à mercredi.

Union110317b

Le pianiste Alexandros Kapelis donnera un concert mardi 29 mars à RMS, organisé par l’association Les Nouveaux Virtuoses.

Au programme deux sonates de Beethoven, « l’Entretien des muses » de Rameau, « Orphée » de Liszt et deux pièces de Debussy.

Pour réserver, rendez-vous sur le site des Nouveaux Virtuoses, au 06.43.553825, ou par mail à mcmobuchon@hotmail.com Prix : 20 euros (gratuit pour les étudiants).

Union110317a

La jeune Mélanie est en première année de mastère administration économique et sociale.

Dans le cadre de ses études, elle est chargée d’organiser une rencontre entre professionnels et étudiants et le tout public autour des métiers de la communication.

Son « café des métiers de la com » aura lieu le mardi 5 avril de 10 à 15 heures à la bibliothèque Robert de Sorbon (campus Croix-Rouge).

Union110316b

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CADETS. - Il n’y a pas eu de nouveaux Marnais qualifiés pour les France ce week-end. A Soissons, les meilleures places des sociétaires de Reims Judo ont été des 7e places (Alexis Liance en - 81 kg, Emilie Schoeny en - 63 kg).

MINIMES. - A Vitry-le-François, le comité de la Marne a décerné ses titres. Les lauréates : Bénédicte Barthélémy (Amicale Carteret, - 36 kg), Fleur Wargnier (SO Marnais, - 40 kg), Alice Rieu (Reims Judo - 44 kg), Camille Bereaux (Fismes, - 48 kg), Elisane Cordelois Magniant (-52 kg),. Madeline Marchand (Reims Judo, - 57 kg), Kesia Paros (ASPTT Châlons, - 63 kg), Roselyne Sigal (Amicale Carteret, - 70 kg).

Chez les garçons, les titres sont revenus à Ambroise Tatti (Amicale Carteret, - 34 kg), Louis Amour (Reims Judo, - 38 kg), Mouslim Oumarox (Croix-Rouge, - 42 kg), Nicolas Danzi (ASPTT Châlons, - 46 kg), Corentin Renault (JC du Vignoble, - 50 kg), Nathan Niederlender (Saint-Martin, - 55 kg), Sacha Nouveau (ASC Châlons, - 60 kg), Paul Hugot (SO marnais, - 66 kg), Lilian Vignon (Reims Judo, - 73 kg), Medhi Bettahar (Vitry, + 73 kg).

Tous les médaillés ainsi que quelques 5e tenteront de s’illustrer lors des Régionaux du 10 avril à Reims.

Juliette Rieu avait obtenu son billet pour les France cadettes.

 

Union110316a

Avant-propos cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE —ARDENNE : 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation concours restreint de maîtrise d’oeuvre sur Esquisse+. La présente consultation est lancée en application des articles 38, 70 et 74 du code des marchés publics.
3) Objet des marchés opération HÔTEL DES SOLIDARITÉS. Concours restreint de maîtrise d’oeuvre sur Esquisse+ pour la construction d’un immeuble de bureaux situé avenue du Général-Eisenhower à Reims.
4) Pièces à consulter et à télécharger : les pièces du dossier d’appel à la candidature sont disponibles au format papier à l’adresse du pouvoir adjudicateur et au format électronique sur son site : www.reims-habitat.fr - Rubrique marchés publics.
5) Demande de renseignements :
Renseignements administratifs : service commande publique -Téléphone 03.26.48.62.30 - Fax : 03.26.48.43.27.
Renseignements techniques : DPTS - Téléphone : 03.26.48.43.29, Fax : 03.26.48.43.40.
6) Remise des candidatures : les candidatures doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
Les candidatures peuvent également être transmises par voie électronique en toute confidentialité et de manière sécurisée sur le site http://www.reims-habitat.fr — Rubrique marchés publics.
7) Date limite de remise des candidatures : le 18 avril 2011 à 17 heures.
8) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 11 mars 2011.

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110315e

Par jugement en date du 08/03/2011, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de LE BONAPARTE (SNC), Av. du Général Bonaparte, Ctre Com. Pays de France - 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 500 952 41 1). Activité : Librairie, journaux, bimbeloterie, débit de tabac, loto et Française des Jeux.

Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET (Maître Bruno RAULET), 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

93875 Le greffier : Bernadette DELPY.

Union110315d

Dans le cadre du « Printemps des poètes », l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge propose une soirée poésie vendredi 18 mars à 19 heures dans la salle de spectacle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne (entrée libre).

En première partie, « Poétic’Agapes », des poèmes créés lors d’un atelier d’écriture encadré par Romain Janssens, animateur de l’association LibrÉcriture de Châlons-en-Champagne, mis en scène par Claire Deborde et interprétées par leurs auteurs. En deuxième partie, « Escales poétiques », des poésies interprétées dans diverses langues.

Union110315c

Immatriculée dans la Mayenne, la remorque contenait des paniers à linge.  Agrandir la photo

Les soldats du feu n’ont pas chômé dans la nuit de dimanche à lundi, avec pas moins de sept voitures et une remorque de camion parties en fumée.

Si l’origine des différents sinistres n’a pu être établie, faute d’indices susceptibles d’éclairer les enquêteurs, chacune d’entre elles n’en demeure pas moins douteuse.

La série a commencé vers 21 heures, avec l’incendie d’une Peugeot 406 à l’angle des rues Schneiter et Gilberte-et-Jean-Droit, au quartier Croix-Rouge.

A 1 heure du matin, une Renault 19 a flambé rue Diderot à Tinqueux. Le feu s’est propagé à trois mètres de haie.

Une demi-heure plus tard, les pompiers ont fait mouvement à Muizon, dans le quartier de la gare, en direction de Champigny, pour éteindre une Peugeot 205. Il pourrait s’agir d’un véhicule volé.

A 4 h 30, retour à Tinqueux où une forte lueur et des déflagrations étaient signalées sur le parking de l’hypermarché Carrefour. Les pompiers ont découvert une remorque de camion entièrement embrasée.

Elle était garée en contrebas de la route de Soissons, à quelques dizaines de mètres de la station-service.

Immatriculée dans la Mayenne, la remorque contenait des paniers à linge.

Le sinistre a fortement endommagé une structure en béton utilisée à des fins publicitaires.

A peine le temps d’éteindre cet incendie que deux autres véhicules prenaient feu à 5 heures : une Renault 21 rue de Salzbourg, près du cimetière de l’Ouest ; un Renault Express allée Pierre-Grandrémy, tout près… de la rue Gilberte-et-Jean-Droit où avait brûlé la 406 dimanche soir.

L’avenue d’Epernay ne passe pas loin. En la traversant, on arrive rapidement à la rue Hector-Berlioz à Wilson : une Twingo y a brûlé à 5 h 45.

A proximité se trouve l’impasse de Dunkerque : un Citroën C15 l’a enfumée à 7 h 15.

Tous ces incendies déplorés dans un périmètre restreint sont-ils liés ? La question est pour l’instant sans réponse.

Union110315b

Première étape du circuit Champagne Energies 2011 qui vise à mettre en lumière les 4e séries, des non classés aux 30, la 20e édition - la deuxième en version « couverte » - du tournoi du TC Vertus a battu un record de participation avec 146 inscrits soit une hausse de 16 % par rapport à l’an passé.

Ouvert jusqu’à 15/4, le tableau masculin a été passionnant. Ex 15/2 en 2001, l’ancien Vertusien Christophe Simon (15/5, Chouilly) s’est fait un plaisir de triompher sur ses anciens courts. Avec à la clé trois perfs à 15/4 pour ce retour gagnant.

Opposé au stade ultime au Connantrat Vincent Lucas (15/4, La Vaure), le Chouillat a maîtrisé la partie de bout en bout pour s’imposer (6-3, 6-3).

Du côté des dames où la limite a été fixée à 15/3, la favorite Julie Carré (15/3, Côte des Blancs) a tenu bon pour inscrire son nom au palmarès. Déjà mise en difficulté en demie, la sociétaire du TCCB a dû s’employer pour venir à bout Sindi Emric (15/3), l’ex 15/2 du CT Philippe. Dans ce choc des générations, l’expérience a fait la différence (7-5, 7-5) pour la presque plus de 35 ans avizoise face à la jeune (16 ans) dormaniste.

MESSIEURS

 Quarts de finale : Jacquet (15/4,Aÿ) bat Delozanne (15/4, La Vaure) 6-2, 6-0 ; Simon (15/5, Chouilly) bat Detruiseux (15/4, Cormontreuil) 6-2, 6-2 ; Plistat (15/4, Coulanges Cohan) bat Legros (30, Nautique Epernay) 5-7, 6-2, 7-5 ; Lucas (15/4, La Vaure) bat Mercenier (15/5, La Vaure) 6-4, 6-1.
 Demi-finales : Simon bat Jacquet 6-3, 6-2 ; Lucas bat Plistat 6-2, 6-2.

 Finale Simon bat Lucas 6-3, 6-3.

DAMES

 Quarts de finale : Estelle Levasseur (15/3, ASPTT Epernay) bat Anne-Laure Bression (30/1, Nautique Epernay) 6-0, 6-2 ; Sindi Emric (15/3, CT Philippe) bat Julie Herregods (30/1, Vertus) 6-7, 6-3, 6-3 ; Angélique Selosse (15/3, Géo-André) bat Marie Geoffroy (15/4, Saint-Memmie) 6-1, 6-4 ; Julie Carré (15/3, Côte des Blancs) bat Nadine Sanchez (30/1, Mardeuil) 6-2, 6-2.
 Demi-finales : Sindi Emric bat Estelle Levasseur 6-3, 6-3 Julie Carré bat Angélique Selosse 6-3, 4-6, 6-2.

 Finale : Julie Carré bat Sindi Emric 7-5, 7-5.

Union110315a

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Opposées dimanche au Stade Clermontois lors du deuxième tour des championnats de France par équipes 15/16 ans, les filles du TC Géo André se sont brillamment qualifiées en remportant les deux simples.

Si Claire Makhloufi (1/6, photo) a aisément fait respecter la hiérarchie, Cindy Castille (4/6) a dû, à classement égal, s’employer en trois sets pour s’imposer.

Samedi, les Rémoises n’auront pas la tâche facile contre le FC Mulhouse qui présente des classements à 0, 2/6 et 3/6.

REIMS. -TC Géo-André bat Stade Clermontois : 2-1.

 Claire Makhloufi (1/6, Géo-André) bat Justine Esculier (3/6, Stade Clermontois) 6-1, 6-1 ;
 Cindy Castille (4/6, Géo-André) bat Emma Bois-nier (4/6, Stade Clermontois) 6-3, 4-6, 6-3.

 Justine Esculier-Marine Deberle (15, Stade Clermontois) battent Claire Makhloufi-Cindy castille 7-6, 7-6.

 

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Des collégiens très concernés en particulier par le réseau social Facebook.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

REIMS (Marne). Le collège Georges-Braque et le lycée François-Arago ont monté une action commune concernant la sensibilisation des élèves sur les enjeux et les risques de l’utilisation de l’Internet et des téléphones portables.

Dans ce cadre, l’association Calysto, en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, intervenait lundi 7 mars en seconde au lycée François-Arago et mardi 8 mars auprès des collégiens de 6e et 5e.

Cette opération permet d’informer et de sensibiliser les élèves, les parents et les enseignants aux bons usages de l’Internet et du téléphone mobile.

L’association constate : « Plus de 90 % des ados ont accès à Internet à la maison. Les trois quarts ont un profil Facebook, sur lequel ils postent régulièrement des photos ou des vidéos personnelles. Mais la plupart d’entre eux (de 58 % pour les 15-17 ans à 87 % pour les 11-13 ans) ne protègent aucune information personnelle. Au risque d’avoir de mauvaises surprises : 39 % des 15-17 ans ont déjà vu des données privées publiées à leur insu ! »

Une soirée d’information commune au collège et au lycée était ensuite proposée aux parents et aux équipes pédagogiques à Georges-Braque, une initiative bienvenue quand on sait que, selon Calysto, « les parents sont souvent aux abonnés absents. A peine trois enfants sur dix discutent de l’utilisation qu’ils ont de cet outil avec leurs parents. La part de ces derniers qui installent le contrôle parental est minoritaire. »

Plus de renseignements : consulter http ://www.tousconnectes.com

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Union110314c

Une scène de crime a été reconstituée.  Agrandir la photo

REIMS (Marne). Des brigades et escadrons de gendarmerie présentent leur métier à des lycéens rémois qui en découvrent des aspects méconnus.

PROTECTION épaules, coudières et protège-tibia, en plaques de plastique très dur, type armure, ceinturon pour l’arme de service, chasuble à poches pour y glisser les grenades lacrymogènes, casque 3e génération et masque à gaz : le gendarme a revêtu sa tenue d’intervention manifs et émeutes.

Tout de noir vêtu, on lui suggère qu’il ressemble un peu à Robocop. « Plutôt à Dark Vador ! », lance une élève. Une jeune fille passe le gilet pare-balles : 10 kg sur les épaules ! Dans la cour du lycée professionnel Joliot-Curie, un véhicule d’intervention de la gendarmerie et une moto de la brigade motorisée ne passent pas inaperçus !

Objectif de ce déploiement : promouvoir l’image de la gendarmerie à l’extérieur.

« Certaines spécialisations sont peu connues du public. Nous sommes aux prémices d’une campagne de recrutement de 9 500 postes au niveau national. Nous voulons montrer aux jeunes gens les différents métiers qu’on peut trouver chez nous », explique le major Patrick Rogissart, du centre de recrutement et d’information de Reims.

Dans un coin de salle, une scène de crime a été reconstituée. Les lycéens, très intéressés, regardent un TIS (Technicien d’Investigation Scientifique) leur expliquer comment on repère les traces de sang, les empreintes : « La technologie a évolué. Il faut prendre de grandes précautions pour ne pas polluer la scène de crime. » « Hier, à 18 heures, nous avons plongé à Vitry-le-François, pour rechercher un véhicule. L’eau était à 6 degrés », commente un des plongeurs de la brigade nautique de Dienville (10), qui montre l’appareil photo à caisson étanche et le détecteur subaquatique de métaux qu’il utilise, dans des eaux à la visibilité souvent quasi nulle.

Présentes aussi, la gendarmerie des transports aériens, qui effectue les enquêtes lors de crash d’avion et la gendarmerie de l’air chargée de la sécurité des bases aériennes.

Deux élèves ressortent « C’était intéressant. Mais c’est trop court ! ». « C’est le meilleur compliment qu’on puisse nous faire », apprécie le major Rogissart. « Nous voulions avant tout montrer aux élèves un aspect concret et professionnel d’une profession », insiste Amadou Simal, le proviseur. « Nous allons reproduire cela pour d’autres métiers, afin que les jeunes aient une représentation plus juste du monde du travail », conclut Farida Sebbane, chef des travaux, qui mène le projet.

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Les escrimeurs américains ont été les premiers à prendre leurs quartiers dans la structure rémoise.  Agrandir la photo

IL va bientôt falloir orner la façade du Creps de Reims avec les anneaux olympiques ! La semaine dernière, les gymnases, salles d’armes et les bureaux de la route de Bezannes ont été fréquentés par des jeunes (et moins jeunes) gens qui ont des vues sur les visas pour Londres (2012) et Rio de Janeiro (2016).

Les escrimeurs américains, forts d’une première expérience rémoise fructueuse, ont été les premiers à prendre leurs quartiers dans la structure rémoise.

Les basketteurs leur ont succédé à l’occasion de la visite du président de la Fédération française. Vendredi midi enfin, une convention « d’un nouveau type » a uni Pauline Ferrand-Prévot à de nombreux partenaires. Objectif (olympique) 2016 mais pourquoi pas 2012…

Textes : Yves DOGUÉ

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Hier à 7 h 30 du matin, les policiers ont été appelés pour un différend conjugal place Auguste-Rodin. C’est le mari qui a ouvert la porte. Il présentait une plaie saignante de trois à quatre centimètres sur le crâne.

D’après les constatations, il venait de se prendre un coup de bâton asséné par sa femme lors d’une énième dispute. Les pompiers l’ont conduit à l’hôpital tandis que la police a auditionné l’épouse. L’enquête est en cours.

Quelques heures auparavant, vers 3 heures, un homme fut lui aussi retrouvé blessé à la tête rue Buirette, en centre-ville, mais il ne s’agissait pas d’une agression. Il est tombé tout seul à la suite d’une forte consommation d’alcool. Il s’est d’ailleurs montré agressif envers les pompiers.

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Tenante du titre, Perrine Gosse n’aura, cette fois, pas la partie facile.  Agrandir la photo

Virginie Doublet est pour le coup « pro-active » et a bien fait de décaler la 3e édition du circuit féminin ! Prévue la semaine dernière, la première étape 02 souffrait de la concurrence des championnats de l’Aisne : « Je n’aurais eu qu’Amélie Zarev à 5/6 et Maéva Spooner à 15 ! », avouait la juge-arbitre. Et ce week-end, grâce à « l’autorisation de la Ligue et suite à de nombreux coups de téléphone », le club villeneuvois et sa présidente Arlette Lestrat rassemblent exactement neuf 2e série !

Un unique tableau qui monte en puissance de dix en dix… dames avec 37 inscriptions.

La succession de l’ancienne Soissonnaise et nouvelle licenciée du TCV Perrine Gosse (3/6) s’annonce relevée et intéressante dans le cadre du premier des cinq tournois axonais de l’édition 2010/11.

Les favorites, classées à 2/6, s’appellent Cécile Bardoux (Amiens AC) et Jackie Lassaux (Géo-André Reims). A « l’étage » inférieur, Perrine Gosse aura à cœur de défendre ses nouvelles couleurs, à l’instar de l’autre « départementale », Camille Kleiber de Guignicourt…

Si le titre semble s’éloigner pour les 5/6, Céline Bosc nouvellement arrivée à Villeneuve et l’espoir âgé de 13 ans Amélie Zarev (Reims Europe Club), en revanche, la perspective d’une « perf » reste toujours motivante. Les trois 15 auront aussi cet objectif : La Saint-Quentinoise Charlotte Niay, la Rémoise de Géo-André Maéva Spooner et l’Amiénoise du RCA Karine Chatelain. En revanche, il n’y a ni de 15/1 ni de 15/2…

Pour le moment, la « palme » revenant à la Castelle Amaëlle Bourdon (30) qui a passé sept tours avant de déclarer forfait (sur blessure) face à Charlotte Niay justement…

AUJOURD’HUI. - 10 h 30 : demi-finales ; 14 heures : finale 4e série ; 15 heures : finale Open.

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Lucas Meissonnier, à l’origine de cette solidarité.  Agrandir la photo

 

 

Pour la seconde année consécutive, à l’occasion de l’anniversaire de la convention des Droits de l’enfant, Lucas Meissonnier et son équipe du Bistro du Forum ont mis en place une opération « 1 menu = 2 euros au profit de l’Unicef ».

Grâce à cette initiative, une somme de 300 euros a été remise à l’Unicef représentée à cette occasion par Élisabeth Henry, bénévole au comité Marne.

« L’Unicef est sensible à cette initiative en faveur des enfants fragilisés dans le monde, pour lesquels nous déployons de nombreuses actions dans les domaines de la santé, de l’éducation et de la protection » déclare Élisabeth Henry.

Comité Unicef Marne - 12 place Georges-Braque - Reims.
Permanence chaque mercredi après-midi de 14 à 17 heures.

 

 

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Modifié pour la deuxième fois en épreuve hivernale pour profiter de la superbe structure couverte, le tournoi du TC Vertus a battu pour sa 20e édition un record de participation en approchant les 150 inscrits contre 126 l’an passé.

Cette compétition est également la première étape du circuit Champagne Energies qui, non seulement, récompense les sans-grade des non-classés aux 30 mais aussi dope les engagements.

Résultat, dans un tableau masculin limité à 15/4, bien malin qui peut émettre le moindre pronostic entre onze 15/4 et une vingtaine de 15/5 ! Reste qu’il faudra suivre avec attention les prestations de Mathieu Derot (Mareuil sur Ay), Jean-Baptiste Jacquet (Ay), Simon Detruiseux (Cormontreuil) ou Christophe Delarme (Reims Europe Club).

Chez les dames, le titre se jouera sans aucun doute à la limite des engagements (15/3) entre Estelle Levasseur (ASPTT Epernay), Sindi Emric (CT Philippe), Angélique Selosse (Géo-André) et surtout la solide Julie Carré (Côte des Blancs).

Demain, 9 heures : demi-finales dames ; 10h30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 15h30 : finale messieurs.

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Les jeunes écoliers sur les marches du château de la Rosière.  Agrandir la photo

Dans le cadre d’un projet « hygiène, santé et sport », les 21 petits élèves de la classe de CP de l’école Blanche-Cavarrot vivent, depuis mercredi, hors du cocon familial.

Encadrés par leur enseignante Virginie Gosset et deux animateurs de la Caisse des écoles, ils sont hébergés dans le château de la Rosière, à Villers-Allerand. Ce n’est toutefois pas une colonie de vacances.

« Ils vont pratiquer des activités plus ludiques qu’en classe traditionnelle », indique Melle Gosset avant d’ajouter toutefois qu’outre les matières habituelles, « ils vont travailler sur l’alimentation, effectuer des balades en forêt et du sport ».

Les enfants auront même la visite d’un cuisinier de la Caisse des écoles qui leur dévoilera quelques recettes qu’ils pourront réaliser chez eux.

C’est vrai qu’ils bénéficient là, d’un cadre magnifique, en pleine nature. Mais il leur faut apprendre à vivre en autonomie, sans les parents : repas, toilette…

Des parents qui peuvent toutefois suivre le séjour à travers le site internet de l’école. Leur retour est prévu ce vendredi après-midi à l’école. Nul doute que les jeunes écoliers auront une foule de choses à raconter.

Une exposition sera alors réalisée dans le cadre de l’école, avec vidéo des meilleurs moments.

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Cinq nouveaux volontaires pour entrer au conseil d’administration  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

L’association Étoile Croix-du-Sud a réuni son assemblée générale vendredi 4 mars devant une quarantaine de personnes, dont les représentants des associations de promotion de Pays-de-France et des jardins familiaux de Croix-du-Sud.

Le président Jean-Michel Gauthier a accueilli le public en félicitant les animateurs de l’association et ceux de l’association 2 Mains qui ont redressé la structure : « L’équipe a gagné, nous allons continuer pour une nouvelle aventure ! »

La grande nouvelle de la soirée a été donnée par le trésorier Jean-Louis Rumerio : « Après une gestion déplorable de l’ancienne équipe qui nous avait laissé un trou énorme, 2010 a vu la fin des dettes ! » En effet, avec 72 740 euros de recettes (dont 8 580 euros de la ville de Reims et 20 180 euros de l’Effort rémois - Alpha logement), pour 70 790 euros de charges, le compte d’exploitation 2010 est positif de 1 949 euros. « C’est la première fois depuis 2003 ! »

A la suite de ce redressement, Alain Chevallier, pour Pluri-Habitat déclarait : « L’ensemble des habitants de Croix-du-Sud peut dire merci aux bénévoles successifs ! » et la Caisse d’allocations familiales finance à nouveau régulièrement le centre d’accueil collectif d’enfants (3 775 euros) dirigé par Vanessa Pogniot.

L’avenir immédiat est à l’optimisme : « Nous repartons avec les mêmes activités » annonce Jean-Michel Gauthier : « accueil de mineurs 5/12 ans, pétanque, danse avec Aïssetou, 3e fête du muguet le 1er mai avec brocante, lotos, concours de belote, repas champêtre de fin d’année, journée parents-enfants à la Mer de sable le 29 juillet, passerelle entre nos jeunes et le Bistroquet, un lieu formateur et important, tentatives de relancer une fête du secteur Croix-du-Sud et de monter une loterie à l’échelle du quartier Croix-Rouge,… »

Quant à l’avenir plus lointain, Alain Chevallier précisait : « Croix-du-Sud est en plein bouleversement pour cause de Renouvellement urbain. Une réflexion avec votre président est déjà engagée pour de nouveaux locaux. Dans quelques années, l’Étoile Croix-du-Sud pourra en prendre possession ! »

 Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

L’hebdo du vendredi- n° 204 - 110311a

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À 15 h 30, mercredi 30 mars, rendez-vous à l’arrêt Trois-Fontaines, devant la maison de quartier, au pied de l’arbre à poèmes.

Pendant tout le mois de mars, le Bibliobus urbain propose une opération ludique : chacun est invité à participer à « un cadavre exquis ».

Ce jeu collectif consiste à composer une phrase à plusieurs personnes sans qu’aucune d’elles puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes.

Petits et grands peuvent apporter leur contribution sous la forme d’un mot ou d’une expression. Les phrases ainsi créées seront regroupées pour former un texte poétique.

Tous les amateurs de poésie, quel que soit leur âge, peuvent faire connaître leur création ou partager leur poème préféré en venant l’accrocher, sous la forme d’une feuille, à l’arbre à poèmes installé dans le bibliobus urbain durant le mois de mars.

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Laure Adler (à propos de Françoise Giroud) : « Derrière son armure de guerrière, se cachait une femme très douce ».  Agrandir la photo

La journaliste écrivain dissertera ce jeudi soir autour de son ouvrage consacré à Françoise Giroud, la fameuse féministe.

LAURE ADLER, écrivain et journaliste, vient de publier une biographie de Françoise Giroud. Elle sera ce jeudi soir dans les murs de l’école supérieure de commerce pour répondre à son sujet aux questions de Gérard Lemarié dans le cadre des Rencontres Passerelles. Elle a au préalable répondu aux nôtres.

Qu’est-ce qui vous a poussée à vous intéresser au personnage de Françoise Giroud ?

« Elle était un modèle pour moi quand j’étais jeune journaliste, et elle le demeure encore. De plus, j’ai pu avoir accès, par sa fille, à des archives inédites la concernant. »

Qu’y avez-vous trouvé ?

« Qu’elle était une actrice majeure de l’histoire du XXe siècle, une des plus engagées dans la cause des femmes ; elle fut notamment la première secrétaire d’Etat à la condition féminine. »

Un poste qui n’existe plus…

« Hélas non ! Nous avons la famille à la place… »

Ce n’est pas mal non plus…

« Il manque quand même quelque chose pour lutter contre l’inégalité entre hommes et femmes, contre la régression du statut des femmes. A compétences égales, elles sont 27 % moins bien payées que les hommes ! Et je parle bien de la situation en France ! »

Comment l’expliquez-vous ?

« Les patrons ont peur des femmes à responsabilité. Mais le sort le plus révoltant, c’est celui des femmes issues des milieux défavorisées, nous avons besoin d’une nouvelle Françoise Giroud ! »

Trouvez-vous que vous vous ressemblez toutes les deux ?

« Disons que j’ai beaucoup d’admiration pour elle, même si elle s’est construite un personnage un peu sec et autoritaire, mais elle était obligée, car alors ce n’était pas facile de se faire respecter. Mais derrière son armure de guerrière, il y avait beaucoup de douceur, de failles et de complexité, complexité amoureuse en particulier. A ce titre je la trouve attachante, et j’ai essayé de la rendre telle dans mon livre. »

Antoine PARDESSUS

Françoise, de Laure Adler (éditions Grasset). Dédicace ce jeudi 10 mars à 18 h 15 à la librairie Rose et son roman, rue Chanzy et conférence à 20 h 30 à RMS.

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Dans l’univers de Sara.  Agrandir la photo

Trois ateliers d’initiation théâtrale à partir des livres de l’auteur-illustrateur Sara seront proposés, dans le cadre du partenariat des bibliothèques de Reims avec le salon « Lire et délires », par la comédienne Morgane Audoin, qui emmènera les enfants de 8 à 10 ans pour un voyage théâtral dans l’univers de Sara : ils seront tour à tour marin, voiture, ours ou capitaine.

Ces trois ateliers ludiques auront lieu samedi 12 mars, mercredi 16 mars et mercredi 23 mars de 15 à 17 heures.

Ce dernier jour, Sara sera présente et partagera avec les enfants sa technique de papiers déchirés. Chacun pourra réaliser une illustration personnelle. De plus, guidés par Morgane, les enfants lui feront découvrir les jeux théâtraux qu’ils auront développés lors des deux séances précédentes. Sara, auteur illustratrice de grand talent, fait partie des 10 auteurs et illustrateurs pour la jeunesse présents sur le salon Lire et délires de Cormontreuil le samedi 26 mars.

Pour les enfants de 8 à 10 ans. Médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre sur inscription préalable obligatoire au 03.26.35.68.51.

110309g - VRI mars 2011

…

Afin d’accompagner efficacement les jeunes vers l’emploi, la Mission Locale propose accueil, écoute, formations, soutien, informations, médiation et orientation aux jeunes de 16 ans à moins de 26 ans.

Elle constitue ainsi, selon le mot de Bertrand Schwarz, inspirateur des missions locales, le réseau des jeunes qui n’ont pas de réseau.

Michael Daligault, 22 ans : Un projet en marche

Michael Daligault effectue un Service Civique d’un an depuis octobre 2010 à l’USEP. « Encadré par des éducateurs spor-tifs, je suis animateur le mercredi matin dans une école de Cormontreuil et le mercredi après-midi au gymnase Europe. Il y a une partie animation et une partie logistique. Quand je me suis inscrit à la Mission Locale, j’étais au chômage après avoir travaillé dans un magasin de sport à Lille. C’est ma conseillère qui m’a parlé du Service Civique. Je me suis très bien entendu avec elle et une relation de confiance s’est établie. Le Service Civique, ce n’est pas vraiment un emploi. C’est surtout très relationnel. Ça permet de faire un pas dans le monde du travail dans un domaine qui nous tient à cœur. Ça donne un sens à sa vie. Ça permet de se rendre utile. En même temps, je suis une formation proposée par la Ligue de l‘Enseignement pour obtenir un certificat de qualification professionnelle d’animateur de loisirs sportifs et j’interviens dans les écoles Galilée et Joliot Curie sur les temps périscolaires. C’est une 1 ère étape. Je vise le BP JEPS, "activités physiques pour tous", qui se prépare au Creps et permet de travailler dans les activités sportives. Je voudrais devenir éducateur sportif dans une commune ou dans une association sportive. » Amateur de foot qu’il pratique dans un club de Croix-Rouge, Michael Daligault a élaboré un projet qui concerne tous (toutes) les disciplines : « J’aimerais développer le sport pour tous. »

…

Le retour des beaux jours nous donne envie de profiter pleinement de la richesse de l’offre culturelle rémoise. Interview croisée de la relieuse d’art Hélène Ségal et de l’illustratrice plasticienne Carole Chaix qui évoquent leurs projets respectifs présentés à Carnegie et à la médiathèque Croix-Rouge.

Deux expositions originales et passionnantes à ne manquer sous aucun prétexte.

Parlez-nous de votre univers artistique…

Hélène Ségal : la reliure d’art consiste à conserver et protéger une œuvre littéraire existante et prédominante dans un écrin noble à la hauteur de sa valeur. Il me faut 6 mois en moyenne pour réaliser la reliure et le décor d’un ouvrage, inspirés par une profonde connaissance de l’œuvre en question. J’utilise pour ce faire des cuirs lisses et du papier, parfois un peu d’ivoire, de l’or… Je travaille sur des textes poétiques contemporains, des livres d’artistes ou encore des romans en édition originale. Mes clients sont des bibliophiles français, européens ou américains sans oublier les commandes publiques des bibliothèques municipales, de la bibliothèque nationale de France.

Carole Chaix : mon métier d’illustratrice et de plasticienne me permet de proposer des “univers” à visiter… en images… plus ou moins volumineuses, lumineuses, des-si nées… Il s’agit pour moi de partager qui je suis, de donner à voir, à aimer ou à détester.

Donnez-nous envie de venir voir votre expo !

H.S : plus de 50 œuvres sont exposées !
Pour certains ouvrages comme Les Illuminations de Rimbaud, et à la demande de mon client, je n’ai pas réalisé de reliure, mais j’ai protégé le livre avec une boîte en cuir de veau noir et en box de couleurs (cuir très lisse et très brillant). Les visiteurs seront très certainement surpris car la reliure d’art contemporaine n’a rien à voir avec l’image que l’on peut se faire du vieux livre relié avec du papier marbré que possédaient nos grands-parents. Le décor est inscrit dans une influence actuelle. Mon style est sobre, épuré, minimaliste avec un jeu de matières et de couleurs qui offre une gamme inouïe de créations possibles.

C.C : l’exposition “Lux Paradiso” donne une occasion de visiter l’intérieur de mon 13e album “Paradiso” en découvrant les coulisses de sa création, l’envers du décor ainsi que le réseau d’histoires et de personnages tissé pendant l’écriture et l’illustration de l’album. De nombreux croquis et travaux de recherches sont exposés ainsi que la maquette de l’album. Et puisque “Paradiso” raconte une histoire d’amour, “Lux Paradiso” présente aussi des histoires de couples avec des portraits géants réalisés sur toile et dont Franck Prévot s’est emparé pour écrire des histoires de rencontres amoureuses.

Si vous deviez qualifier votre projet en un mot ?

H.S : prestige. Un patrimoine littéraire prestigieux exposé dans un lieu prestigieux, Carnegie.
C.C : plus qu’un livre, un Paradiso… Du carnet aux prolongements…

S. C.

> Livres reliés, Hélène Ségal, exposition du 15 février au 30 avril 2011, Bibliothèque Carnegie, 2 place Carnegie à Reims, renseignements au0326778141.

> Lux Paradiso, Carole Chaix, exposition du 16 février au 12 mars, Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar à Reims. Plus d’informations au 0326356843.

Le développement durable est au coeur de l’action de la direction des Déchets et de la Propreté.

Celle-ci anime deux actions en partenariat avec les structures d’insertion et la communauté Emmaüs pour donner aux mobiliers ou aux textiles une deuxième vie. Ainsi, 2 samedis par mois, les compagnons Emmaüs animent un point de collecte dans les déchetteries de Reims-Croix-Rouge et à Saint-Brice Courcelles. En échange, le magasin Emmaüs, installé dans la zone d’activité de la Neuvillette s’est engagé à livrer les meubles dont ils ne veulent pas à la collectivité, ce qui, dans l’année, représente près de 400 tonnes de déchets encombrants en moins à collecter.

La deuxième action portée à la Direction des Déchets et de la Propreté concerne le recyclage des déchets textiles. La Ville de Reims et Reims Métropole ont signé une convention avec l’entreprise Le Relais afin d’étendre l’implantation de conteneurs à textile sur le domaine public avec pour objectif d’atteindre un point de collecte pour 2000 habitants.

En échange, Le Relais s’engage dans un partenariat avec les associations rémoises de collecte des textiles afin de maintenir ce maillon social indispensable aux personnes dans la précarité.

En signant la charte d’engagement le 10 octobre 2006, MARS avait accepté de réserver 5 % des emplois créés sur le chantier du tramway à des personnes issues des quartiers souhaitant s’inscrire dans un parcours d’insertion professionnelle. Ce qui fut dit fut fait, au-delà même de l’objectif puisqu’on avait estimé à 25 le nombre de bénéficiaires possibles de cette clause d’insertion et qu’en réalité une cinquantaine ont été concernés. Quelques jeunes sont encore en activité sur la queue du chantier. « Le dispositif a bien fonctionné, souligne Philippe Dorkel, de la direction de la Politique de la Ville. Les entreprises du Groupement Constructeur ont utilisé les ressources des structures d’insertion locale pour mettre ce dispositif en place avec la collectivité, principalement Emploi 51, mais aussi Job 51 et GEIQ 51. Pour certains, le passage dans ce chantier a été un bon moyen de monter en compétence dans le domaine des travaux publics. Il a parfois été un tremplin pour enchaîner une mission plus longue sur la rénovation urbaine des quartiers, ceci grâce à la clause d’insertion intégrée dans les marchés publics de travaux. Le tram et l’ANRU ont été moteurs pour initier et consolider sur notre territoire cette démarche qui était encore assez peu connue et utilisée auparavant. »

El Ambidi Abidi, habitant du quartier Croix-Rouge, est l’un des bénéficiaires de la clause d’insertion tramway :

« J’avais arrêté les cours et je cherchais un emploi. Par l’intermédiaire d’Emploi 51, j’ai pu travailler pendant un an et demi sur le chantier du tramway. Je m’occupais de la pose des rails pour la société Colas Rails. Cette mission m’a permis de gagner ma vie et m’a donné envie de repartir en formation. Aujourd’hui, je suis en contrat d’apprentissage dans la société ABELEC tout en suivant les cours au CFA BTP 51 à Farman. L’électricité, c’est mon rêve depuis que je suis tout petit. C’est l’occasion ou jamais de le réaliser. »

Après Les Veillées de Guy Alloucherie (Croix-Rouge, 2 0 0 9 ) , L e Mâ t i t u b e d e Christophe Huysman (2009) et Transports Exceptionnels de Dominique Bovin (2010), le Manège propose un nouveau spectacle de rue : Meio Fio.

“C’est une performance chorégraphique pour espace urbain.
Une recherche sur les possibilités de penser et de construire le corps en contact avec d’autres espaces - ici la rue. Contre un mur, cette pièce s’adapte parfaitement à chaque lieu, éléments urbains. Meio fio signifie le rebord du trottoir… là où s’assoient les enfants des rues dans les grandes villes. Il s’agit d’un travail déroutant par sa violence et son énergie à fleur de peau. Une aisance physique qui envoie les corps contre le mur, se jeter au sol, à la fois très poétique et sensible".

La Cie Membros est née en 1999 à Macaé (Brésil) avec l’envie d’en finir avec certains clichés sur la jeunesse, sur la violence, sur le hip hop, etc. Le spectacle sera présenté, en lien avec les Maisons de quartier, le mardi 19 avril dans le quartier Wilson, le mercredi 20 avril dans le quartier Clairmarais, le jeudi 21 avril dans le quartier Cernay, le vendredi 22 avril dans le quartier des Châtillons, ainsi que dans le quartier Croix-Rouge (date à définir).

Des actions culturelles, conférences/rencontres/débats, ateliers de danse hip-hop, seront organisés du lundi 11 au vendredi 15 avril.

> Meio Fio, pièce pour sept danseurs. Durée 20 mn. Création et direction : Paulo Azevedo et Tais Vieira. Rens. : 0326473040.

Jusqu’au 12 mars : Lux Paradiso De Franck Prévot et Carole Chaix.

Médiathèque Croix-Rouge.

Questions de familles

Les associations Paroles de parents et l’Ecole des parents et des éducateurs de la Marne organisent du 22 au 25 mars, l’opération “questions de familles” et propose des actions d’aide à la parentalité.

Ainsi, le 22 et 23 mars, de 10 h à 12 h, la Circonscription de la solidarité départementale, 26, rue Jean-Louis Debar, proposera une permanence d’écoute pour les parents.

 Le 23 mars, toujours à la circonscription de la solidarité, de 13h30 à 16h30, une après-midi récréative pour les parents et leurs enfants sera organisée autour du jeu (sur inscriptions).
 Le 24 mars, au collège Joliot-Curie, de 18 h à 20 h : projection suivie d’un débat.
 Le 25 mars, à la médiathèque Croix-Rouge, de 18 h à 20 h, rencontre-débat sur “ces enfants qui jouent, ces parents qui se questionnent, réflexion sur la révolution que représentent les nouvelles technologies”.

Maison de quartier Croix-Rouge

• Jeudi 17 mars, 18 h 30, diffusion du film “Drôle de genre” de Jean-Michel Carré avec Hippolyte Girardot et Agnès Soral, durée : 1h28. Résumé : Et si les femmes étaient le sexe dominant et les hommes dominés ? A partir de ce postulat, cette comédie de moeurs se joue des clichés.

La projection sera suivie d’une rencontre débat animée par Violaine-Elsa Seys, chargée de mission Egalité Femme-Homme à la Ville de Reims.

• Du 21 au 25 mars : rencontres-débats avec des collégiens du quartier Croix-Rouge sur le thème de la représentation et de l’image actuelle des filles à partir d’extraits d’une pièce de théâtre “La morsure des hyènes” écrite par José Mendès.

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La délégation du Rap n’a pas fait le court voyage pour rien…  Agrandir la photo

Comme à Cholet, le Rap s’est adjugé le titre de meilleur club à Fontenay-sous-Bois. Au général, le club rémois pointe à la 5e place nationale.

Leur discipline est ingrate ! Les danseurs sur glace - comme les patineurs - n’ont d’autre choix, s’ils veulent fréquenter les sommets, d’appartenir à la caste des lève-tôt. Ils n’ont pas le droit non plus de manquer une compétition car leur calendrier n’est guère fourni et les occasions de s’illustrer sont donc rares.

Prenez les danseurs du RAP (Reims Acrap patinage) engagés dans les tournois de France 1re division. « Il y a six dates inscrites au programme », explique le président Jean-Luc Ployé. « Le club participe à quatre d’entre elles et les trois meilleurs résultats de chaque élément sont retenus en vue de la qualification pour les championnats de France. »

Les jeunes Rémois viennent de boucler la première partie de leur saison. Après Le Havre, Reims et Cholet, ils se sont rendus ce week-end à Fontenay-sous-Bois. Avec une belle réussite puisque neuf podiums ont récompensé les efforts des élèves de Ludivine Lemaire.

Clin d’œil à cette discipline ultra féminine, la seule victoire du week-end francilien est revenue à Renan Manceaux, l’un des seuls garçons du groupe compétition.

Dans le Val-de-Marne, les Rémois ont remporté le classement du meilleur club. Comme à Cholet. « A la fin des six tournois de France, nous sommes 5e club de France », se réjouit le président. Reste à patienter quelques jours pour savoir qui aura décroché son billet pour les championnats de France, début avril à Brive (les dix premiers de chaque catégorie).

« Nous avons cinq qualifiés « sûrs », souligne Jean-Luc Ployé. « On espère en avoir un peu plus quand les classements finaux seront édités ».

Yves DOGUÉ

Son début de saison ayant été perturbé, Margaux Abib-Gruet n’est pas certaine de figurer dans la liste des danseuses retenues pour les France. Pourtant, ses qualités sont évidentes.

« Elle vient d’être retenue pour danser avec Grégory Brisseaux, un jeune homme de Besançon », souligne son président. A 14 ans, Margaux va s’expatrier afin de construire son couple appelé à patiner en junior la saison prochaine. « A Fontenay, elle a peut-être patiné pour la dernière fois en solo pour le club. » Inutile de dire que l’émotion était grande sur la piste fontenaysienne…

Le club de Châlons s’est également illustré en banlieue parisienne en remportant deux catégories, une en solo, l’autre en couple. Cela lui vaut d’occuper la 21° place nationale et, avec le RAP, de propulser la Ligue au 6° rang hexagonal. Pour les deux couples, le prochain rendez-vous est fixé du 18 au 20 mars à Belfort pour les championnats de France « Couples ».

Préparatoire 1 : 3. Alan Da Silva Moutinho (Rap).
Préparatoire 2 : 2. Jeanne Georges (Rap). 4. Evangeline Braconnier (Rap).
Pré-bronze 1 : 1. Léna Bailly (Châlons) ; 3. Myrtille Navarro (Rap).
Pré-bronze 2 : 3. Chloé Aubriet (Châlons).
Bronze 1 : 3. Jeanne Reppel (Rap).
Bronze 2 : 1. Renan Manceaux (Rap) ; 2. Juliette Wary (Rap).
Argent 1 : 2. Margaux Abib-Gruet (Rap) ; 4. Anaïs Milard (Rap).
Argent 2 : 3. Camille Renaut (Rap) ; 5. Eva Lemaire (Rap).
Vermeil 2 : 2. Solène Manceaux (Rap).

Préparatoire : 1. Charlène Duval – Adrien Masseron (Châlons).
Argent : 2. Mathilde Dias – Jasco Huon (Châlons).

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Plus de 50 enfants à table pour une soirée hamburgers maison et le spectacle des animateurs.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

Laurence Geoffroy, animatrice globale de l’Espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, a particulièrement « mis le paquet » sur l’accueil de loisirs pendant les vacances de février, avec deux temps forts : le mercredi 2 mars lors d’une veillée sur le thème « il était une fois un cabaret », suivi d’un repas hamburgers, et le vendredi 4 mars avec une exposition des réalisations manuelles et artistiques des enfants suivie d’un goûter auquel les parents étaient invités.

Plus de 50 enfants du quartier, de 3 à 12 ans, ont fréquenté chaque jour l’accueil de loisirs au cours de ces deux semaines, sous la direction de Solange Deflorenne, responsable d’accueil, accompagnée de 7 animateurs diplômés ou en cours de Bafa. Le thème retenu était d’actualité, puisqu’il s’agissait de l’hiver !

En plus d’un grand jeu par semaine, les enfants ont bénéficié de sorties piscine, piscine à boules, Jimbaloo, bowling, médiathèque Croix-Rouge…

Des veillées les ont rassemblés au centre, et ils ont fréquenté des ateliers différents chaque jour : déguisements et masques avec mini-défilé de carnaval, instruments de musique (maracas et percussions), cerfs volants, amulettes australiennes, perles, peinture au doigt, atelier cuisine,…

Un « arbre des différences » leur a permis d’aborder le thème de la citoyenneté. Un coin café a été organisé un mercredi soir pour les parents, qui pouvaient rencontrer Cécile Mézières, référente familles dans les Espaces Billard et Watteau.

Enfin, certains grands de 11/12 ans ont fait activité commune avec les jeunes de la maison de quartier coachés par David Gameiro, « une sorte de passerelle pour préparer la transition entre Watteau et la maison de quartier ».

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Union110309d

Les jeunes ont pu découvrir l’animation avant une formation Bafa.  Agrandir la photo

Les Francas de la Marne ont organisé les 24 et 25 février, deux jours de sensibilisation à l’animation, à destination de jeunes de 15-16 ans. Certains étaient orientés par le secteur jeunes de la ville de Tinqueux et d’autres investis dans le projet « animateurs juniors », un projet mené en collaboration avec le service jeunesse de la ville de Reims dans le cadre de Reims Vital Ado.

32 animateurs en herbe ont ainsi été accueillis par une équipe de sept bénévoles à l’association des Francas de la Marne et deux animatrices jeunesse de la Ville de Reims en charge de RVA à la maison de quartier Murigny (espace Ludoval) où ils ont pu partager leurs expériences avec les 17 animateurs en stage de perfectionnement Bafa qui, lui, s’est déroulé du 21 au 26 février.

Les jeunes ont expliqué que leur participation à cette expérience était motivée par une volonté de découvrir les coulisses de l’animation et une fois cette curiosité satisfaite, ils ont exprimé le désir d’aller plus loin.

Gladys Chéron, présidente des Francas de la Marne, précise : « Nous voulons permettre à des jeunes de découvrir l’animation avant de s’engager dans une formation Bafa, leur permettre d’exercer des responsabilités à leur mesure et de partager des passions, des compétences avec des plus jeunes qu’eux ».

Union110309c

Sabrina Hadj Abderrahman avec un groupe d’enfants au Sénégal.  Agrandir la photo  Voir toutes les photos.

L’association « La lumière de l’obscurité », créée fin 2007, a un projet humanitaire. Ainsi en octobre 2007, Sabrina Hadj Abderrahman, chargée de communication, expliquait : « Nous aimerions nous rendre dans un centre d’orphelins au Niger, dans les environs de Niamey, pour convoyer de l’argent, des vêtements, des fournitures scolaires et des médicaments que nous aurons collectés ».

Initialement, cette association devait donc consacrer ses efforts en direction des enfants du Niger avec un principe simple : « Notre objectif était de nous déplacer afin de ne pas envoyer d’argent sans avoir un regard sur les achats. Nous souhaitions en effet acheter les besoins nécessaires (médicaments et nourriture) sur place. Mais compte tenu des conditions de vie actuelles au Niger, un voyage là-bas aurait été trop dangereux, nous nous sommes donc rabattues sur le Sénégal ».

Membre de l’association, Sabrina Hadj Abderrahman, 25 ans, s’est rendue du 5 au 12 décembre 2010, dans ce pays, avec sa maman, à la rencontre d’une association « Les Gônes de M’Bour » située à M’Bour, à environ 80 km de Dakar : « Cette association a été créée par une Française qui vit là-bas et qui vient en aide aux enfants vivant dans les rues. La plupart ont à peine 6 ans. Le bâtiment qui les accueille a été construit gratuitement par deux Français, Compagnons du devoir », confirme en effet Sabrina. « Nous avons acheté sur place et distribué des médicaments ainsi que de la nourriture ».

« Notre action a bien abouti, et nous remercions tous ceux qui ont fait des dons et qui ont contribué de près comme de loin à ce projet », conclut Sabrina Hadj Abderrahman.

Sabrina Hadj Abderrahman secrétaire, et Oumoul Kane présidente (à droite).  Agrandir la photo

La mission accomplie, les membres de l’association ont décidé la dissolution et la liquidation de « La lumière de l’obscurité » pour se consacrer à un nouveau challenge, toujours au Sénégal, en créant, le 1er janvier 2011, « Aduna », qui signifie « le monde d’ici-bas » en langue peuhl. Ils désirent se consacrer à un nouveau projet : « Nous souhaitons développer un village situé au nord-est du Sénégal, près de la frontière avec la Mauritanie : ils ont les terres mais pas de matériel adéquat, en fait ils n’ont rien ! », précise Sabrina Hadj Abderrahman. « Nous voulons les aider en matière d’irrigation, de maraîchage et d’apport de matériel », confirme Oumoul Kane, la présidente : « Ils ont le savoir-faire et un plan d’action bien défini, mais ils n’ont pas de fonds ».

Le ministère de l’Agriculture du Sénégal a mis Oumoul Kane en relation avec le directeur régional de développement rural de Matam, qui s’est déplacé pour un état des lieux. Il a établi un constat et a préparé une liste de matériel conseillé et de travaux à faire (aménagement de l’espace en particulier). C’est donc avec un aval gouvernemental que l’association Aduna va se mettre au travail. « Les premiers besoins ainsi déterminés sont évalués à 2000 euros », que Sabrina Hadj Abderrahman, Oumoul Kane, Lamia Bendellal la trésorière, et Malika El Habchi, chargée de mission, vont devoir récolter.

Une première manifestation sur le thème de l’Afrique le 26 mars puis une grande soirée salle Mauriac le 29 octobre vont leur permettre de vendre des pâtisseries et de récolter des fonds pour leur projet. Une campagne de communication et d’adhésions suivra.

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Hier vers 2 heures du matin, un véhicule Mazda a pris feu, boulevard Wilson. L’origine, pour être indéterminée, n’en demeure pas moins douteuse.

Vers 8 h 30, les pompiers sont intervenus rue de la Cerisaie pour éteindre un tas de copeaux de bois qui se consumait sur une superficie de 5 m2.

A 16 h 30, appelés pour une « odeur de brûlé », place Maurice-Utrillo, ils ont découvert des aliments oubliés sur le feu.

Lundi vers 16 h 45, leur intervention fut sollicitée en bordure de l’A4, dans la traversée de Reims, pour éteindre un feu de végétation.

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Le premier tour des championnats de France 15/16 ans par équipes a délivré un bilan mitigé pour le TC Géo-André.

Opposés à MaisonsAlfort emmené par un 3/6, les garçons n’ont pu éviter la défaite malgré la « perf » de Lucas Henry (15/1) à 15. En revanche, les filles ont créé une petite sensation en sortant Le Perreux.

Pourtant privées de Claire Makhloufi (1/6) et Cindy Castille (4/6), les Rémoises se sont appuyées sur le dynamisme de Maéva Spooner (15) - auteur d’une remarquable « perf » à 4-6 - pour s’imposer dans le jeu décisif du double

Dimanche, les protégées de Geoffrey Alessio accueilleront le Stade Clermontois avec la ferme intention de franchir un nouveau tour.

GARCONS

REIMS. - Maisons Alfort TC bat TC Géo-André 2-1. Petit (3/6, Maisons Alfort) bat Varéa (15/1, Géo-André) 6-0, 6-0 ; Henry (15/1, Géo-André) bat Pilou (15, Maisons Aifort) 7-5, 7-5. Petit - Pilou battent Henry -Woynar (15/2, Géo-André) 6-3, 7-5.

FILLES

REIMS. -TC Géo-André bat A. Le Ferreux ; Éléonore Barrera (3/6, ALP) bat Aurélie Marchai (4/6, Géo-André) 7-5, 6-3 ; Maéva Spooner (15, Géo-André) bat Elisa Thomas (4/6, ALP) 6-4, 6-2. Aurélie Marchai - Maéva Spooner battent Barrere -Thomas 4-6, 7-6, 1-0.

Union110308c

MODIFICATIF

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv. fr/MarchesPublics).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.
3) Objet des marchés : marché de maîtrise d’œuvre pour la requalification et réfection des dalles des garages G1 et G2 et de l’esplanade et cour Eisenhower, quartier Croix-Rouge à Reims (51).
4) Date limite de remise des offres : la date limite de réception des offres fixée initialement au 10 mars 2011 à 17 heures et reportée au 31 mars 2011 à 17 heures.
5) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 3 mars 2011.

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NATURE DU MARCHE : Marché public de travaux
POUVOIR ADJUDICATEUR
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur :
Nom de l’organisme : État - Ministère de la Santé et des Sports
Mandataire et Représentant du pouvoir adjudicateur : Direction Départementale des Territoires de la Marne
Point de contact : M. KARGOL
Adresse : 28, boulevard Lundy
Code postal : 51 100 Ville : Reims
Pays (autre que France) : France
Téléphone : 0326056680 Télécopieur : 0326475241
Courriel : adrien.kargol@marne.gouv.fr
Adresse du profil d’acheteur (URL) : http://www.marches-publics.gouv.fr
Référence : DDT51-SBDI-CREPS-2011-01 OBJET DU MARCHE
Objet du marché : Travaux de réalisation d’un parcours d’échauffement pour le complexe Dojo/Escrime du CREPS de Reims
Lieu d’exécution : CREPS de Reims – route de Bezannes – 51 100 Reims
CARACTERISTIQUES PRINCIPALES
Le présent marché a pour objet la réalisation d’un parcours d’échauffement de type piste finlandaise (piste d’athlétisme en copeaux de bois), d’une longueur de 1000 m. _ Le marché n’est pas divisé en lots.
CONDITIONS RELATIVES AU MARCHE Cautionnement et garanties exigés :
* Retenue de garantie pouvant être remplacée par une garantie à première demande ou par une caution personnelle et solidaire ;
Modalités essentielles de financement et de paiement et / ou références aux textes qui les réglementent :
* Origine du financement : Etat ;
* Une avance sera accordée au titulaire selon les conditions fixées dans le cahier des charges ;
* Les prix seront fermes et définitifs ;
* Les comptes seront réglés mensuellement sous la forme d’acomptes et d’un solde ;
* Le délai global de paiement du règlement des comptes sera fixé à 30 jours ;
Forme juridique que devra revêtir le groupement d’opérateurs économiques attributaire du marché :
Nature de l’attributaire, chaque marché sera conclu :
 soit avec un entrepreneur unique ;
 soit avec des entrepreneurs groupés solidaires. Chaque candidat ne pourra remettre, pour un même marché, qu’une seule candidature en agissant en qualité soit de candidat individuel, soit de membre d’un groupement. CONDITIONS DE PARTICIPATION Situation juridique - références requises :
• Les documents et renseignements qui rendent recevables les candidatures en application des articles 43 et 44 du Code des Marchés Publics (CMP), à cet effet le candidat pourra utiliser les formulaires DC1 et DC2 (téléchargeables sur le site http://www.economie.gouv.fr et fournis avec ce dossier de consultation) ;
• La forme juridique du candidat ;
• En cas de groupement, sa nature et le nom du mandataire ;
• Les pouvoirs de la personne habilitée pour engager le candidat y compris, en cas de groupement, le cas échéant, les habilitations nécessaires pour représenter les entreprises au stade de la passation du marché.
Capacité économique et financière - références requises :
• Une déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les travaux objet du marché, réalisés au cours des 3 derniers exercices disponibles ;
• Une déclaration appropriée de banques ou preuve d’une assurance pour les risques professionnels ;
• Le candidat peut prouver sa capacité par tout autre document considéré comme équivalent par le pouvoir adjudicateur.
Référence professionnelle et capacité technique - références requises :
Expérience :
*La présentation d’une liste des travaux en cours d’exécution ou exécutés au cours des 5 dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l’époque et le lieu d’exécution des travaux et précisent s’ils ont été effectués selon les règles de l’art et menés régulièrement à bonne fin.
Capacités professionnelles :
* L’indication des titres d’études et professionnels de l’opérateur économique et/ou des cadres de l’entreprise, et notamment des responsables de conduite des travaux de même nature que celle du marché ;
* Les certificats de qualifications professionnelles :
La preuve de ces capacités peut être apportée par tout autre moyen notamment par des certificats d’identité professionnelle ou des références de travaux attestant de la compétence de l’opérateur économique à réaliser la prestation pour laquelle il se porte candidat.
Capacités techniques :
*Une déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement, pour chacune des 3 dernières années ;
*Une déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature ;
Pour justifier de ses capacités professionnelles, techniques et financières, le candidat, même s’il s’agit d’un groupement, peut demander que soient également prises en compte les capacités professionnelles, techniques et financières d’autres opérateurs économiques quelle que soit la nature juridique des liens existant entre ces opérateurs et lui (notamment en cas de sous-traitance). En outre, pour justifier qu’il dispose des capacités des opérateurs économiques pour l’exécution du marché, le candidat produit un engagement écrit de ceux-ci.
CRITERES D’ATTRIBUTION
Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés dans le cahier des charges.
PROCEDURES
Type de procédure : Procédure adaptée.
Conditions de délai Date limite de réception des offres : 30 mars 2011, à 16H00 RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES Numéro de référence attribué au marché par le pouvoir adjudicateur : DDT51-SBDI-CREPS-2011-01
Autres informations :
* Les candidatures et les offres seront entièrement rédigées en langue française ainsi que tous les documents de présentation associés ;
* Unité monétaire utilisée : l’euro ;
* Les candidatures qui ne peuvent être admises en application des dispositions du I de l’article 52 du CMP sont éliminées par le RPA ;
* A titre indicatif, les travaux commenceront vers fin avril/début mai 2011 pour une durée de 15 semaines ;
Conditions d’obtention du cahier des charges et des documents complémentaires :
* Le mode de retrait du dossier de consultation ne conditionne pas le choix du mode de transmission de la candidature ;
* Le dossier de consultation sera remis en 1seul exemplaire au candidat, sous la forme d’un CD.

* Les documents de la consultation et les renseignements supplémentaires pourront être obtenus par voie électronique sur la Place de Marché Interministérielle (PMI) (http://www.marches-publics.gouv.fr) sous la référence publique "DDT51-SBDI-CREPS-2011-01", après avoir installé les prérequis techniques et avoir pris connaissance du manuel d’utilisation ;
Conditions de remise des offres ou des candidatures :
* Si plusieurs offres sont successivement transmises par un même candidat, seule est ouverte la dernière offre reçue, sur support papier, par le maître de l’ouvrage dans le délai fixé pour la remise des offres. Les autres documents sont retournés au candidat sans être ouverts ;
* Le pouvoir adjudicateur impose la transmission des offres sous forme papier ;
PROCEDURES DE RECOURS
Instance chargée des procédures de recours et auprès de laquelle des renseignements peuvent être obtenus concernant l’introduction des recours :
Nom de l’organisme : Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne
Adresse : 25 rue du lycée
Code postal : 51000 Ville : Châlons-en-Champagne
Téléphone : 03 26 66 86 87
Précisions concernant le(s) délai(s) d’introduction des recours :
• Référé précontractuel : depuis le début de la procédure de passation jusqu’à la signature du contrat (article L551-1 du Code de Justice Administrative) ;
• Référé Contractuel : 31 jours à compter de la date de publication de l’avis d’attribution du marché ou à défaut 6 mois à compter du lendemain du jour de la conclusion du marché. Toutefois ce référé n’est pas possible en cas de publication d’un avis d’intention de conclure le marché au moins 11 jours avant sa signature (article L551-13 à L551-23 et R551-1 à R551-9 du Code de Justice Administrative) ;
• Recours pour excès de pouvoir : dans un délai de 2 mois à compter de la notification de la décision de rejet (articles R421-1 à R421-3 du Code de Justice Administrative) ;
• Recours de plein contentieux : dans un délai de 2 mois à compter de l’accomplissement des mesures de publicité concernant l’attribution du marché.
DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS A LA PU B LICATION : 02/03/2011
ADRESSES COMPLEMENTAIRES
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus -
Adresse à laquelle les offres / candidatures / projets / demandes de participation doivent être envoyées :
Nom de l’organisme : DDT51 / SBDI / CPR
Point de contact : M. KARGOL Adrien
Adresse : 28, boulevard Lundy
Code postal : 51100 Ville : Reims
Téléphone : 0326056680 Télécopieur : 0326475241
Courriel : adrien.kargol@marne.gouv.fr
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Le Groupe Courlancy propose, vendredi 25 mars à RMS, une plongée dans l’univers de la robotique au service de la santé.

Chacun découvrira en avant-première la dernière génération du robot Da Vinci en présence de chirurgiens qui répondront à toutes les questions (14 heures).

Une conférence-débat en fin de journée autour du philosophe André Comte-Sponville, abordera les craintes et espoirs que suscitent les avancées en robotique (18 heures).

Union110307b

« Avec de la motivation, tout est possible ! »  Agrandir la photo

Elvida Azemovic est une étudiante de 20 ans, Rémoise depuis six ans, qui habite en résidence universitaire dans le secteur Rilly-la-Montagne. Sa vie a été un long combat contre l’adversité.

Ballottée de pays en pays et de ville en ville, elle n’a jamais pu bénéficier d’une scolarisation normale, d’où d’énormes problèmes dans son enfance, au niveau du langage en particulier. Mais sa volonté farouche de s’en sortir, son passage à l’Ecole de la deuxième chance, avec de nombreux stages et des travaux personnels acharnés, lui ont permis d’atteindre maintenant un bon niveau qui lui permet d’être à l’aise dans la société. La preuve : titulaire d’une capacité en droit, elle poursuit ses études vers une licence. Elle voudrait faire part de cette réussite à des jeunes scolarisés en primaire, en collège ou en lycée, pour leur délivrer son message d’espoir : « Avec de la motivation, tout est possible ! »

Parallèlement à ses études, elle se consacre à sa passion, la danse orientale d’origine égyptienne. « C’est au cours de plusieurs stages de danse à Reims, Paris et Lille, avec Yaël Zarcia, une grande professionnelle de la danse et de la chorégraphie égyptiennes, que le déclic s’est produit », explique-t-elle : « grâce à sa pédagogie, elle a réussi à me libérer complètement et à m’épanouir à 100 % dans ma passion ! »

Elvida continue à fréquenter les stages de Yaël Zarcia mais elle nourrit également le secret espoir de se rendre en Égypte pour suivre les cours d’autres pointures internationales comme Mayodi (Association et ballets El Noujoum) ou Randa Kamel.

À Reims, Elvida se produit dans des manifestations locales, on a ainsi pu l’apprécier sur scène lors de la fête du secteur Pays-de-France en 2009. Elle donne désormais des cours collectifs « pour transmettre cette joie, le meilleur médicament pour lutter contre les complexes ».

Les étudiantes inscrites à ses cours de danse orientale égyptienne se retrouvent tous les vendredis, de 18 à 20 heures au gymnase universitaire de Croix-Rouge.

(renseignements au 06.38.98.66.28.).

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L’association Étoile Croix-du-Sud communique les dates de ses prochaines manifestations organisées au 5, avenue Léon-Blum.

 Loto : vendredi 11 mars (réservation jusqu’au jeudi 10 mars à 16 heures).
 Concours de belote : dimanche 13 mars et dimanche 10 avril.
 Contact au 03.26.06.56.66.

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Parmi les Ardennais, chez les minimes, Aymeric Lallement … et chez les benjamines, Amélie Revel.  Agrandir la photo

Les cadettes des Ardennes prêtes à bien faire.  Agrandir la photo

C’est souvent très essoufflés qu’ils ont passé la ligne d’arrivée : les jeunes sapeurs-pompiers se sont donnés à fond, hier, pour le cross régional, disputé à l’hippodrome de Reims.

Il y avait les Ardennes, la Marne, la Haute-Marne et l’Aube, mais aussi la Meuse, la Moselle, la Meurthe-et-Moselle le Bas-Rhin, le Haut-Rhin et les Vosges, au total 390 coureurs, des benjamins aux juniors.

Tous jeunes sapeurs, ils sont passés par une sélection départementale avant de participer à cette grande épreuve régionale, marquée par une domination des Alsaciens chez les plus jeunes.

« C’est un bon terrain, ça va aller vite », pronostiquait le délégué régional des JSP, organisateur avec l’union départementale, le lieutenant-colonel Fouquet. Cela a été trop vite même pour certains, qui ont dû abandonner ou être accompagnés après la ligne d’arrivée, jambes flageolantes ou trop essoufflés. Deux Ardennais ont dû abandonner après un kilomètre chez les minimes, sur blessure.

Tous ont eu droit à une barre de céréales et une boisson pour se remettre de leurs émotions, avant la remise des récompenses dans la salle des parieurs, en présence d’un représentant de la mairie, du capitaine Degremont, président de l’UDSPM et du directeur-adjoint du service départemental, le lieutenant-colonel Régis Deza.

Union110305c

« En 2010, nous avons vendu environ 25 paniers par semaine. L’objectif de ces ventes est avant tout de développer le commerce local. »  Agrandir la photo

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VITRY-LE-FRANÇOIS (Marne). L’association « 2 Mains » s’est dotée d’un nouvel outil pour l’insertion vers l’emploi, un jardin associatif situé à Vitry-le-François.

Créée en juin 2006 à Reims dans le quartier Croix-Rouge, l’association « 2 Mains » occupe une place importante dans le département en terme d’accompagnement et d’insertion vers l’emploi. Elle est composée d’une solide équipe d’une trentaine de personnes et dispose de trois antennes situées à Épernay, à Châlons-en-Champagne et à Vitry-le-François.

C’est dans cette dernière ville qu’elle a mis en place un nouvel outil en février 2010, « Le jardin du François ».

Ce jardin permet à des personnes éloignées de l’emploi de rompre l’isolement et de s’inscrire dans un parcours d’insertion sociale et professionnelle. Il favorise le travail d’équipe par le biais des techniques et des compétences dans le maraîchage, mais aussi grâce aux autres travaux nécessaires au bon fonctionnement de cette entreprise.

« Travailler dans ce lieu fait partie du dispositif de l’association. Un dispositif qui permet aux gens de retrouver un emploi car, comme on dit, c’est plus facile de retrouver du travail lorsqu’on a déjà du travail », explique Sophie Verrière, chargée de développement chez « 2 Mains ».

« 2 Mains » privilégie aussi le côté écologique et se refuse de travailler avec le moindre produit chimique. « Les produits cultivés dans le jardin le sont dans le respect de l’environnement. Ils sont issus de l’agriculture raisonnée et bien sûr sans produit chimique. Deux personnes de Vitry travaillent sur ce jardin, encadrées par des maraîchers professionnels », précise Sophie Verrière.

Les fruits et légumes récoltés dans ce jardin de trois hectares sont ensuite vendus sous forme de paniers de différentes tailles à des personnes qui ont adhéré à l’une des antennes de l’association.

« En 2010, nous avons vendu environ 25 paniers par semaine. L’objectif de ces ventes est avant tout de développer le commerce local mais il est également important que les adhérents puissent avoir un vrai engagement associatif en achetant ces paniers. Enfin, cet achat permet de créer de l’emploi », poursuit Sophie Verrière.

L’association « 2 Mains » continue donc de multiplier les actions en direction de l’emploi et touche de ce fait de plus en plus de Marnais de tout âge.

T.A.-F.

Renseignements : {{Un dispositif complémentaire}}|" class='spip_url spip_out' rel='external'>www.assos2mains.fr>

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Les services de la Ville ont constaté qu’à la sortie du cycle primaire, un enfant sur deux seulement savait nager : « Dans certains quartiers, on avait un pourcentage qui descendait en dessous de 50 %. Ce n’était pas acceptable. » L’idée, c’est d’arriver à avoir des dispositifs qui soient complémentaires par rapport à ce qui est proposé aux enfants sur le temps scolaire. « L’objectif, c’est que tous les enfants soient égaux devant l’apprentissage de la natation. Même si on fait des efforts sur les tarifs, ce n’est pas encore accessible à tout le monde. » Deux formules ont été proposées : stage -gratuit- de deux semaines à Orgeval, qui a reçu environ 150 enfants au total, ou d’une semaine à Château d’Eau (40 enfants) ou à Louvois (20 enfants). Des séances en petits groupes, pour garder une qualité d’encadrement. Les enfants qui ont encore à progresser seront prioritaires aux vacances de printemps : inscriptions à partir du 28 mars.

[|Paroles de petits nageurs