Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juin 2010.
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Le tournoi jeunes du CT Philippe à Dormans a vécu une excellente édition. La logique a été respectée même si les tentatives de doublé de Baptiste Breton (30/2, Reims Europe Club) et Nikolaj Woynar (15/4, Géo-André) ont à chaque fois échoué.
ADULTES.
Le tournoi adultes limité à 3/6 débutera le 3 juillet avec au programme des tableaux messieurs et dames ainsi que des +40 ans dames, +55 et +65 messieurs. Les inscriptions sont toujours possibles auprès de Philippe Gérin (03.26.52.72.69 ou 06.07.27.09.71).
FILLES
10 ans : Mélanie Gourmand (40, CT Philippe) bat Lou-Anne Carrasco (Non Classée, CT Philippe) 5-1, 5-0.
13/14 ans : Apolline Saint (30/5, Brie des Etangs) bat Mathilde Drouillet (30/5, CT Philippe) 6-1, 6-3.
GARÇONS
10 ans : Breton (30/2, Reims Europe Club) bat Lopes (30/3, Reims Europe Club) 3-5, 5-2, 5-1.
11/12 ans : Chaumont (30/1, Muizon) bat Breton (30/2, Reims Europe Club) 6-0, 7-6. - — 13/14 ans : Chardin (30, Reims Europe Club) bat Paté (30/3, CT Philippe) 6-0, 3-6, 7-5. - 15/16 ans :Woynar (15/4, Géo-André) bat Arfaoui (15/5, Saint-Martin-sur-le-Pré) 6-0, 6-1
17/18 ans : Renard (15/4, Géo-André) batWoynar (15/4, Géo-André) 5-7, 6-3, 3-1 abandon.
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Pas de surprises, dimanche, sur la résine du Champ-Jeudi, à Muizon, où les favoris ont confirmé leur statut à l’occasion de cette 25e édition.
Et de deux !
Ainsi, chez les dames où la limite avait été fixée à 15/1, la tête de série n°1 Maéva Spooner (15/1, Géo-André) a manifestement franchi un palier.
A 13 ans, la jeune Rémoise peut désormais s’imposer avec autorité chez les adul- tes, comme en témoigne sa victoire en finale contre Marie Pithois (15/3, Reims Europe Club) où elle a su inverser la tendance dans le deuxième set (6-3, 7-5).
Dans le tableau masculin, il était difficile de rêver plus belle finale entre les deux prétendants à 4/6, à savoir Adrien Dupuis (La Macérienne) et Jules Latour (Guignicourt). Seulement, l’Ardennais, tenant du titre et soucieux de le conserver, a nettement dominé la finale (6-2, 6-2) face à un adversaire émoussé physiquement par sa demi-finale matinale.
DAMES
Quarts de finale : Marie Pithois (15/3, Reims Europe Club) bat Diane Lang (30/1, Vandoeuvre) 6-0, 6-0 ; Camille Neff (15/3, Géo-André) bat Mélissa Noizet (30, Cormontreuil) 6-1, 6-2.
Demi-finales : Marie Pithois bat Stéphanie Abraham (15/2, Cheminots Reims) 6-0, 6-0 ; Maéva Spooner (15/1, Géo-André) bat Camille Neff 6-2, 6-1.
Finale : Maéva Spooner bat Marie Pithois 6-3, 7-5.
MESSIEURS
Quarts de finale : Vicaire (5/6, ASPTT Châlons) bat Deglave (15, Guignicourt) 6-3, 6-3 ; Charai (5/6, Guignicourt) bat Durant (5/6, Betheny) 7-6, 6-3.
Demi-finales : Dupuis (4/6, La Macérienne) bat Vicaire 6-4, 6-2 ; Latour (4/6, Guignicourt) bat Charai 7-5, 6-4.
Finale : Dupuis bat Latour 6-2, 6-2.
Roseline Marandon achète son pain dans le quartier, elle aimerait aussi faire ses courses dans un « discount »
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D’ici fin 2013, Orgeval et Pays-de-France auront bien changé. Avec des factures de chauffage qui vont baisser.
L’ANRU, c’est reparti ! Après Wilson, ce sont les quartiers Orgeval et Croix-Rouge, plus exactement Pays-de-France qui vont en bénéficier. L’opération de rénovation urbaine a été lancée en grandes pompes hier par la Ville et le Foyer rémois.
La maire Adeline Hazan, qui veut « revitaliser le quartier, le désenclaver, l’ouvrir sur la ville », a fait le tour des commerçants qui ont ouvert avenue Bonaparte, depuis quelques mois, entre le lycée Arago et la fameuse passerelle détruite en mai 2009. « Il y avait une demande, surtout que certaines personnes âgées n’osaient plus aller sur la passerelle », nous explique la boulangère, qui a ouvert en décembre.
Elle est juste en dessous des nouveaux appartements « basse consommation », qui sont à la fois le symbole de la rénovation du quartier, mais aussi son antithèse : l’opération de l’Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine) à Pays-de-France et Orgeval concernera surtout de la réhabilitation, sur 1.039 logements d’ici fin 2013.
Au prix de 40.000 euros par logement, avec 50.000 heures de travail de réinsertion, « pour des jeunes ou moins jeunes qui auront ainsi, au bout de trois ans, une formation qualifiante », explique Eric Quénard. « Avec les Epinettes, nous sommes le 5e plus gros dossier de France pour l’Anru. »
Allez, un dernier chiffre : le Foyer rémois aura investi 200 millions d’euros pour rénover les quartiers rémois. « Cette réhabilitation n’est pas facile car elle se fait en site occupé. Il faut donc être très près des habitants », explique Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois. Qui ajoutera que l’organisme veut « réhabiliter autrement, avec comme enjeu la réduction des charges de chauffage. Nous pourrions diviser celles-ci par deux ». Voilà une promesse qui aura été retenue ! « Voilà deux ans que nous travaillons avec les architectes et le Foyer rémois, nous voulons tout savoir sur la technique », explique Roseline Marandon, présidente de l’amicale des locataires.
Si elle a refusé des parkings privés avec badges « qui auraient augmenté les charges », elle rappelle qu’elle se bat « depuis des années pour le chauffage, car les gens ont froid ! C’est une grosse attente des habitants, c’est pour cela qu’on espère beaucoup de la réhabilitation et de la nouvelle chaudière au bois ». Pour une facture en baisse, mais aussi un chauffage correct qui n’oblige pas les locataires à s’acheter des radiateurs d’appoint ! « J’étais plus pour tout raser, moi. Notre quartier est un peu délaissé, par endroits, on se croirait à Sarajevo ! »
Ce que l’Anru ne fera jamais, c’est « changer la mentalité des gens. La mixité sociale, c’est bien, mais ici, c’est un peu chacun pour soi ». Belles façades, meilleure isolation, nouveaux commerces : les habitants voudraient bien aussi d’un Pôle emploi et d’un supermarché discount. Voilà qui va au-delà de l’Anru.
G.F.
Allée Edgar-Degas, il y a trois conteneurs pour les ordures ménagères, deux pour le tri et un pour le verre.
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La Ville de Reims et les trois organismes logeurs ont signé une convention hier, pour l’installation sur quatre ans de 400 conteneurs semi-enterrés ou enterrés. Le système est expérimenté depuis six mois dans le quartier Croix-du-Sud. Selon les chiffres de Reims Métropole, la performance du tri a été multipliée par cinq, avec 38 kg par an et par habitant de collectés. Le tout avec un taux d’erreur de 10 %.
A partir de septembre, les conteneurs vont être enterrés rue Théodore-Jéricho, rue Chanoine-Lallement, rue Estienne-d’Orves, rue Gerurez, dans les Hauts de Jean-Jaurès, avenue Bonaparte, avenue Taittinger, rue Charles-Roche, rue du 106e Régiment d’infanterie et allée Beethoven.
L’agglo va investir pour cela 2 millions d’euros, la même somme étant engagée par Reims Habitat, l’Effort rémois et le Foyer rémois. Comme pour le chauffage, cette nouvelle façon de collecter les ordures devrait amener une réduction des charges.
Sans oublier une meilleure propreté, une lutte plus simple contre le vandalisme (difficile de mettre le feu à ces poubelles…), et une amélioration de la qualité de vie.
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REIMS (Marne). Depuis jeudi, des centaines d’asticots provenant d’un vide-ordures ont élu domicile au premier étage d’un immeuble de l’allée des Limousins. Obligé de s’en débarrasser par pelles entières, un locataire déplore l’inertie du bailleur.
UNE pelle plus une pelle, plus une autre, font rapidement un seau. C’est en de telles quantités que Jean-Denis Barruffol ramasse, depuis jeudi, des asticots sur le pas de la porte de son appartement du 1 de l’allée des Limousins, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims. Par pelletées entières à raison de trois à quatre par jour, ce père de famille de 29 ans qui, depuis un an et demi, occupe au premier étage de l’immeuble ce logement avec sa femme et leurs deux enfants de 3 et 6 ans, tente ainsi de mettre un terme à la prolifération exponentielle de ces vers gris peu ragoûtants, envahissant par centaines le palier et plusieurs de ses appartements.
A l’origine : un vide-ordures collectif obstrué, dans lequel s’accumulent les poubelles normalement destinées à rejoindre le local situé en dessous de son domicile. « Il est bouché depuis trois semaines, déplore en effet le locataire. Le gardien sort les poubelles qui sont pleines, mais cela ne règle pas le problème. »
Et le problème, lui, perdure tandis que les asticots se multiplient à grande vitesse : « Ils rentrent à l’intérieur par-dessous les portes, poursuit Jean-Denis Barruffol. Il y en a sur les murs. Et le matin, quand on ouvre, il y en a plein devant la porte. Sans parler des odeurs. »
D’ailleurs, les quantités sont telles qu’ils débordent du vide-ordures : « Jeudi soir, j’ai essayé de colmater le sas avec un sac-poubelle, mais il y en avait trop, poursuit-il. Ça n’a pas tenu. » Autant dire que la situation est loin de prêter à sourire. Surtout qu’au goût des habitants du premier étage où ont élu domicile ces légions de vers, le bailleur ne semble pas en prendre la pleine mesure : « Comme deux autres personnes, j’ai appelé l’agence du Foyer rémois, mais personne n’intervient », affirme en effet le Rémois qui s’est également rendu, vendredi, auprès de son agence. Mais force lui est de constater que les vers, eux, se trouvaient toujours là, dimanche.
Du côté du bailleur, le cadre d’astreinte du Foyer rémois concédait hier la possibilité qu’il y ait pu avoir « un petit loupé » dans la gestion de l’incident. « Nous essayons de trouver des solutions en fonction des équipes présentes, a-t-il indiqué. Mais j’ai demandé aujourd’hui (hier, NDLR) à une entreprise d’intervenir pour déboucher le vide-ordures. Et si le problème ne peut pas être réglé dans l’immédiat, il le sera dès lundi. »
En attendant, Jean-Denis Barruffol dont la colère ne flanche pas, s’est armé de Javel et d’autres produits à base de vinaigre pour venir à bout des asticots : « On en a balancé partout, raconte-t-il. On a bien réussi à virer les blattes et les cafards des appartements, alors… ». Les vers sont prévenus.
Franck BRENNER
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Les locataires ont été invités à prendre contact avec leur bailleur afin de calculer leur supplément de loyer de solidarité (SLS) et de trouver, si besoin, une solution adaptée.
REIMS (Marne). Le supplément de loyer de solidarité que devront payer certains locataires en 2011 fait tousser. Pourtant, l’Effort rémois ne fait qu’appliquer la loi, et « a minima » précise l’organisme.
MEME prévenus « en douceur » par l’Effort rémois, certains locataires ont reçu comme un « coup de bambou » quand ils ont appris l’augmentation de leur loyer : de 100 à 480 euros ! Pour M. M., cela équivalait à payer plus de 1.000 euros par mois pour une petite maison ! Ajoutez à cela les charges, l’électricité, la fameuse TEOM… « C’est presque un mois de salaire qui partait ainsi ! »
Le service communication de l’Effort rémois nous a rassuré pour M. M. : il ne payera pas 480 euros de surloyer, mais 271. « La première année, le surloyer est passé de 40 à 80 euros, et là, 271 ! » On voudrait pousser les gens à partir qu’on ne s’y prendrait pas autrement. Pour l’Effort rémois comme pour les autres bailleurs sociaux, il s’agit pourtant simplement d’une application de la loi Molle, décidée par Mme Boutin à la demande du président de la République, et votée le 25 mars 2009.
La loi Molle, cela veut dire loi de « Mobilisation pour le logement et de lutte contre l’exclusion ». Le décret d’application impose à tous les bailleurs une modification du barème applicable pour la détermination du supplément de loyer de solidarité (SLS) et entraînera une hausse notable de la valeur du SLS à partir de 2011.
« Plurihabitat L’Effort rémois a décidé de sensibiliser tous les locataires dont le SLS devrait augmenter de plus de 100 € par mois (effet 2011 après l’enquête des ressources en janvier 2011) en adressant un courrier d’information présentant quelques exemples de l’impact du nouveau barème », explique l’organisme logeur, qui précise que « l’Effort rémois a choisi d’appliquer le barème a minima ».
Les locataires ont été invités à prendre contact avec le bailleur afin de calculer leur SLS et de trouver, si besoin, une solution adaptée : relogement dans un logement locatif adapté, proposition d’accession à la propriété… Pour notre M. M., pas facile de quitter une maison qu’il occupe avec bonheur depuis de nombreuses années, « et à presque 60 ans, je ne vois pas une banque qui nous prêterait de l’argent pour acheter ! » Mais comme le souligne le service communication de l’Effort rémois, « ces dispositions réglementaires s’imposent de plein droit à tous les bailleurs HLM et donc à leurs clients ; aucune dérogation n’est envisagée par les textes ! »
Créée pour obliger les locataires ayant un revenu assez fort à partir des HLM, la loi, comme d’habitude, ne prend pas en compte les cas particuliers. D’autant plus dommage que dans une ville comme Reims, le « quota » de logements sociaux est très largement supérieur à ce qui est exigé (40 % au lieu de 20). Et quand on voit le nombre de logements en construction actuellement, dont une grande partie par les bailleurs sociaux, on se dit que le SLS n’est pas forcément utile !
G.F.
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VENDREDI soir sur le parking de l’hippodrome de Reims, avait lieu un concert géant dans le cadre de l’opération « Un été à la ville », mais aux yeux des habitants ce spectacle ne fut qu’une nouvelle édition du festival Croix-Rouge s’Affiche. « Voilà, là on retrouve un vrai concert comme à l’époque ! Il n’y a pas de secret, lorsque des gens compétents sont aux commandes, le résultat est bien présent », souligne Yassine, un habitant du secteur Université, venu avec sa femme et ses enfants.
Organisé par la municipalité, la Trac et l’association 2 Mains, le show a débuté avec deux groupes de rap aux sonorités funky, Baka Sama et Tiz-on recordz. A ce moment-là, le public n’était pas nombreux, mais les artistes ont su, au fur et à mesure de leurs prestations, attirer de plus en plus de monde. A noter que le groupe a distribué 200 CD au public et a offert une séance de dédicaces.
Ensuite et devant environ 4 000 personnes, la célèbre Cheba Fadela est arrivée sur scène, faisant ainsi le bonheur du public qui l’a acclamée et l’a applaudie tout au long de sa prestation. La chanteuse a interprété les tubes de son répertoire qui l’ont rendue célèbre en Algérie et dans tout le Maghreb. Le public a été incroyable et lorsque la seconde tête d’affiche de la soirée, Cheb Abdou, est apparue sur la scène l’ambiance est encore montée d’un cran, toujours dans la joie et la bonne humeur.
Pendant le spectacle, les organisateurs ont ouvert un espace sandwichs et boissons. Les éducateurs de 2 Mains ainsi que les correspondants de quartier étaient aussi présents pour la logistique de cet événement et la Trac pour tout ce qui concerne la technique.
21 jours, c’est le temps qu’il aura fallu à Abdel, animateur de 2 Mains, pour offrir une programmation haut de gamme aux habitants du quartier mais aussi aux autres venus de l’extérieur.
Personne ne voulait le faire, lui a accepté et la réussite du concert en plus de l’aspect spectacle, a été de faire se déplacer les gens en famille, les jeunes, les moins jeunes, des hommes et des femmes de toutes origines et de toutes classes sociales pour le plus beau des spectacles de l’année, celui de la mixité sociale et culturelle.
Vivement l’année prochaine !
Thierry ACCAO-FARIAS
Pour le public, pas de doute : « Le RAP est une excellente école de patinage ».
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« Arrivée à la fin de mon mandat, je ne me représente pas aux prochaines élections. » La déclaration de Jeannine Catry, présidente du Reims Acrap patinage, en a surpris plus d’un dans la salle, à l’issue de la dernière assemblée générale. « Le destin fatal de Jean-Jacques Lapique en 2006 a laissé le club orphelin de son président, un club qu’il avait affilié en 1997 en créant la section artistique. »
Comme il n’y avait aucun volontaire pour assurer la succession, le président de la Fédération française des sports de glace a souhaité la candidature de Jeannine Catry « pour la survie du club ».
Avec la promesse du soutien des instances fédérales, elle a accepté : « J’ai essayé de faire de mon mieux pendant ces quatre années, et aujourd’hui, que ce soit pour l’image du club, pour son évolution, sa trésorerie, vous pouvez constater que je laisse une situation très saine ». Cette déclaration a été accompagnée d’une salve d’applaudissements.
Avec 96.334 € de dépenses pour 110.853 € de recettes, le Rap dégage, sur son dernier exercice, un bonus de 14.518 €.
Les subventions émanent de la Ville de Reims (30.200 €), de la région Champagne-Ardenne (1.351 €), du conseil général (860 €) et de la Ligue des sports de glace (250 €). Avec 184 licences, les adhésions sont en augmentation.
Le budget prévisionnel a été particulièrement épluché par le conseiller municipal délégué, Gilbert Baraban, qui représentait la maire de Reims. Il a fait plusieurs observations et donné des conseils de gestion, montrant qu’il savait de quoi il parlait. Comme gestionnaire des subsides municipaux, son cheval de bataille, c’est le recours au sponsoring. Une proposition qui ne semble pas avoir emporté l’enthousiasme de Jack Piton, président de la Ligue des Sports de glace de Champagne-Ardenne ou du conseiller municipal Michel Guillaudeau.
La « réelle qualité de l’enseignement du Rap » a été démontrée par les résultats du club : « Pratiquement tous nos patineurs ont obtenu lames, glaçons et médailles et, à l’issue du classement final des tournois de France 1re Division de danse sur glace, Justine Delaunois, Camille Renault, Margaux Abib-Gruet, Jeanne Reppel, Juliette Wary et Solène Manceaux ont été retenues pour le championnat de France à Dijon ; c’est avec panache que Margaux Abib-Gruet est montée sur la 3° marche du podium et que nos cinq autres représentantes se sont admirablement bien classées, chacune dans sa catégorie ».
Un nouveau conseil d’administration et un nouveau bureau ont été installés. Président : Jean-Luc Ployé ; vice-présidente : Nadine Delaunois ; secrétaire : Annie Manceaux ; vice-secrétaire : Isabelle Gruet ; trésorière : Frédérique Wary ; vice-trésorière : Catherine Navarro.
Les administrateurs : Christelle Billion, Gilles Braconnier, Anne-Sophie Calamy, Brigitte Froment, Véronique Milard, Agnès Ravaux, Jocelyne Renault, Valérie Reppel et Céline Sagot.
Reims Acrap patinage. L’adresse : 11, avenue du président-Kennedy (03.26.06.39.54.). www.reims-acrap-patinage.com
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Ça a dû barder avec Maman à la sortie du commissariat…
Mercredi après-midi, un gamin de 9 ans a chipé le briquet de sa mère, sans le lui dire, pour aller jouer avec des pétards au bas d’un immeuble de l’allée des Limousins. Il était accompagné d’un copain du même âge.
Vers 16 heures, le garçon a jeté plusieurs pétards dans une poubelle. Lui et son camarade s’attendaient à une petite explosion bien sympathique, mais pas à voir la poubelle s’embraser entièrement…
Ils ont détalé à toutes jambes mais un témoin les a vus. Ils ont reconnu les faits sans difficulté lorsqu’une patrouille de police est venue les aborder.
Pour les besoins de la procédure, les deux enfants sont allés au commissariat avec leurs parents. Les premiers feront l’objet d’un rappel à la loi, les seconds se verront réclamer la facture de la poubelle (450 €).
L’hebdo du vendredi- n° 174 - 100624a
Tramway : premiers essais sur la ligne
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Depuis une semaine maintenant, le tram de Reims est sorti de son nid afin d’effectuer ses premières sorties en ville.
Ainsi, après de multiples tests réalisés au sein du centre de maintenance, le tramway rose bonbon a circulé sans souci sur la ligne, entre la station Léon Blum et le terminus situé au pied de la gare TGV Reims - Bezannes.
Certes le trajet est encore un peu court, mais il a permis de tester les capacités d’accélération et de freinage de la rame, ainsi que le système de signalisation routière.
Les premiers essais en centre-ville sont quant à eux prévus à partir de la mi-septembre.
« Symphonie en noir et blanc »
JUSQU’AU 15 OCTOBRE
« Symphonie en noir et blanc »
Les Flâneries musicales comme vous ne les avez jamais vues : une série de clichés sensibles et touchants, des instantanés associant architecture et portrait pour un cheminement en toute simplicité dans un Reims version noir et blanc comme l’affectionne particulièrement son auteur Alain Hatat.
Cryptoportique, place du Forum
A voir aussi à la Maison du département, à la Fnac et dans les médiathèques Croix-Rouge et Cormontreuil
Concert : « Cheb Abdou & Chaba Fadela »
VENDREDI 25 JUIN
Concert : « Cheb Abdou & Chaba Fadela »
Grande soirée raï avec notamment le son traditionnel de Cheb Abdou puis, dans un style plus moderne, la chanteuse Chaba Fadela.
A 19h – Entrée libre – Parking de l’hippodrome
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Le chapiteau de l’association TRAC accueille petits et grands en matinée et en soirée.
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La Maison de quartier et les associations de Croix-Rouge proposent « L’été s’affiche à Croix-Rouge », une animation estivale gratuite sur le quartier, du lundi 5 au jeudi 22 juillet, en un lieu unique, l’hippodrome de Reims Champagne (accès par l’avenue Robert-Schuman), un site de loisirs et de détente et des manifestations artistiques, ouvert à tous les publics du lundi au samedi de 14 à 19 heures ou 21 h 30 selon programme.
Les organisateurs sont partis du constat suivant : « un nombre important d’habitants restent sur le quartier Croix-Rouge pendant l’été ». D’où cette décision de proposer des animations et un lieu de détente sur l’hippodrome au cœur du quartier pour accueillir les familles, les jeunes et tout habitant désireux de passer un moment convivial et agréable. On compte accueillir ici environ 2 000 personnes en trois semaines.
Véritable vitrine des forces vives de Croix-Rouge, le site accueillera « le » rendez-vous musical du quartier : le concert du vendredi 25 juin dès 19 heures, sur le parking de l’hippodrome, avec en première partie deux groupes de Metz, Tiz-on Recordz et Baka Sama (rap et funk) puis, en deuxième partie, Cheb Abdou et Cheba Fadela (raï), avec l’animation du comique algérien Mustapha Bila Houdoudh.
En lever de rideau de « L’été s’affiche à Croix-Rouge », sur le parking de l’hippodrome, l’association Trac recevra sous son chapiteau plusieurs centaines d’enfants des accueils de loisirs et des écoles le mercredi 30 juin, le jeudi 1er et vendredi 2 juillet, à 14 h 30 et 15 h 30. Il leur sera proposé le spectacle « Mister Bonnes », de la compagnie Bloody Macadam suivi de la diffusion d’informations concernant les animations estivales. La Maison de quartier propose des animations du lundi au vendredi, autour d’activités en rapport avec les compétences des animateurs et des bénévoles. Elle partage le planning avec les associations.
Le samedi est dédié aux associations de Croix-Rouge qui voudront offrir une prestation complémentaire, occasion pour tous ceux qui ont quelque chose à montrer de s’approprier ce lieu d’expression.
Six espaces de loisirs et d’animations seront ouverts : espace accueil-orientation-information (programmes, informations quartier, renseignements), espace sport avec terrain ensablé (sandball, beach soccer, beach volley, beach rugby, beach minton, pratique libre, indiaca, ping-pong, pétanque), espace famille/petite enfance (maquillage, cirque, jeux d’eau, peinture, jardin artificiel, parcours sensoriel), espace détente (transats, bacs à sable, buvette), espace jeux (jeux traditionnels étrangers, échange européen, jeux de société, matériel de jeux de plein air familiaux, trampoline), espace d’exposition (réalisations artistiques créées durant l’année ou sur place par les habitants ou associations, animation prévention, alimentation, santé) et espace scène pour la diffusion de mini-concerts et la valorisation des talents du quartier.
Cinéma en plein air le mardi 6 juillet à 22 h 30 : « OSS 117 Rio ne répond plus » (entrée exceptionnellement par accès des vans).
Programmation de mini-concerts : Open Mic Music, Wendee (Pop star 2007), Kreen, Mike Kenli, un sosie de Mickaël Jackson, Big Charley et des groupes du quartier (rock, rap, raï, reggae).
Ateliers et prestations cirque avec l’association TRAC du 5 au 9 juillet.
Mur d’escalade et tyrolienne avec les associations Vertical et Les Arts de la grimpe, du 5 au 9 juillet.
Les ateliers de la Prévention routière du 5 au 9 juillet, avec la Maif et Mars.
La semaine de l’athlétisme avec l’ESFRA du 19 au 22 juillet.
Des ateliers artistiques et plastiques avec les associations Résonances et Eutectic, du 5 au 9 juillet. Un atelier graph tout public les 20 et 21 juillet.
Des animations autour du livre avec la médiathèque Croix-Rouge.
Clôture le 22 juillet : courses de trot en nocturne, fête de l’hippodrome et feu d’artifice avec « Reims, hippodrome de la Champagne »
Responsable du projet, Yves Pringault, directeur de l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge. Tél. 03.26.82.53.48 ou 06.75.00.89.12.
L’aventure de Cindy Castille au Championnat de France Perrier - 12 ans à Roland-Garros s’est achevée hier au stade des quarts de finale.
Opposée à l’Essonnienne Théo Gravouil (3/6), elle n’a pu que subir le jeu de son adversaire durant les cinquante-neuf minutes de match (6-1, 6-2).
Durant les trois premiers jeux, Castille cédait sa mise en jeu à deux reprises et Gravouil une fois seulement.
Cela lui permettait donc de mener 2-1, service à suivre. Un break que la Francilienne allait confirmer grâce à un jeu blanc (3-1), avant de prendre une nouvelle fois le service de Castille à 5-1 pour enlever le set 6-1 en dix-sept minutes tout juste.
La seconde manche était tout autant à sens unique. La faute à la Marnaise, qui, malgré une bonne douzaine d’occasions en quatre jeux, n’arrivait jamais à conclure. La perte de la seconde manche 6-2 n’en était que plus logique.
Ce que reconnaissait son père et d’entraîneur. « Je voulais que Cindy entre tout de suite dans le match. En jouant de l’avant. Mais au contraire, elle a retenu ses coups. Notamment dans la seconde manche, ou sur quatre jeux, elle n’a jamais réussi à prendre le dessus. Il faut aussi reconnaître aussi que Gravouil a très bien joué. Elle n’était pas loin de jouer 0, voire -2/6. »
Après quelques jours de repos, Cindy Castille va maintenant faire une tournée qui l’emmènera sur des tournois à Poitiers et Annecy. Pour continuer à progresser.
Le deuxième jour de l’été a été marqué par une succession de feux divers. A 0 h 30, une première poubelle a brûlé allée des Béarnais, puis une autre à 0 h 45 rue Ledru-Rollin. La veille lundi, à 20 h 30, deux matelas et deux sommiers abandonnés sur la voie publique avaient déjà brûlé rue Ledru-Rollin.
Toujours à 0 h 45, un lampadaire a pris feu rue Alexandre-Henrot. Vers 4 heures, six conteneurs à ordures ont flambé par propagation rue de Courcelles. A 4 h 30, nouveau feu de poubelle rue de Saint-Brice.
Vers 6 h 15, une personne domiciliée à Saint-Euphraise-et-Clairizet a été réveillée par de la fumée. Elle provenait de son lave-vaisselle en feu. L’incendie a causé de légers dégâts. Incommodé sans gravité, l’occupant a été conduit au CHU par précaution.
Vers midi, un feu de détritus a été allumé dans un immeuble de l’allée des Tourangeaux, au n°6, sur un palier du troisième étage.
A 13 h 50, les pompiers de Verzenay ont éteint un feu d’herbes d’environ 100 m2 le long de la ligne LGV, près de Verzy. Même scénario à 17 h 15 le long de la RD26 à Ludes.
Entre-temps, à 14 h 40, un feu de palettes s’est propagé accidentellement à un tracteur agricole, au lieu-dit les Quatre-Vents à Romigny. L’extinction a été assurée par les pompiers locaux.
Vers 21 heures hier soir, les pompiers sont retournés avenue Bonaparte à Tinqueux. Il ne s’agissait plus d’une fuite de gaz, comme à midi, mais de plusieurs détritus enflammés dans les communs d’un immeuble, au n° 55.
Un différend familial a failli mal tourner samedi matin à Reims. L’altercation a éclaté vers 4 h 30, au domicile d’un couple de la place Dominique-Ingres.
Lorsque la police est arrivée sur les lieux, la femme était assise sur le rebord de la fenêtre, au huitième étage, hurlant qu’elle allait sauter dans le vide.
Heureusement, elle a renoncé à cette funeste intention.
Elle était rentrée dans l’appartement lorsque son concubin a ouvert aux policiers. Hystérique, la jeune femme âgée de 20 ans s’est emparée d’un couteau avec lequel elle a donné des violents coups dans une porte.
Elle est ensuite revenue vers la fenêtre laissée ouverte.
Un policier s’est précipité vers elle pour l’empêcher de se défenestrer.
Se retournant, elle a tenté de lui porter un coup de couteau à hauteur du thorax. Le brigadier de police a pu esquiver l’attaque. Dans le mouvement, la lame du couteau a frôlé la main du fonctionnaire, au point d’entailler une partie de son gant en cuir.
La jeune femme avait bu. Maîtrisée, elle a encore fait du scandale dans l’ascenseur, en se tapant la tête contre les parois.
Après avoir fait l’objet d’une prolongation de garde à vue, la demoiselle a été présentée dimanche au parquet de Reims. Elle a été remise en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel.
Une autre interpellation a donné lieu à quelques difficultés, samedi soir à la gare SNCF de Reims.
Les policiers ont été appelés à la suite d’un différend opposant un contrôleur à un voyageur sans billet.
Rémois de 19 ans, le contrevenant a accueilli la patrouille par une bordée d’injures. En garde à vue, il a refusé de répondre aux questions qui lui étaient posées.
Il a été relâché avec une convocation en correctionnelle le 26 septembre.
Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet suivant : http://agysoft.marcoweb.fr et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.
3) Objet des marchés : marché de prestations intellectuelles : mission d’ordonnancement, de pilotage et de coordination (OPC) pour les opérations de renouvellement urbain — Quartier Croix-Rouge Universitaire à Reims ( 51).
Le marché vise l’intervention d’un coordonnateur OPC dans le cadre de 8 opérations différentes.
4) Lots : sans objet.
5) Délai d’exécution : l’exécution du marché débutera à sa date de notification. Les délais du marché sont explicités au calendrier prévisionnel joint au marché.
6) Date d’envoi à la publication : le 16 juin 2010.
7) Date limite de remise des offres : le 8 juillet 2010 à 17 heures.
Le court métrage français « Logorama », Oscar du court métrage 2010, sera projeté ce soir après le karaociné.
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Dans le cadre des animations estivales de la Ville, lancement ce soir de l’opération « Place(s) au cinéma » avec un karaociné suivi de 100 minutes de courts métrages étonnants.
VOUS adorez le cinéma et vous aimez chanter… Alors ne manquez pas la belle soirée consacrée au 7e art organisée à partir de 21 h 30 au Cryptoportique, place du Forum : la Ville propose un karaociné suivi de 100 minutes de courts métrages décalés.
Premier rendez-vous de l’opération « Place(s) au cinéma » dans le cadre d’« Un été dans la ville », le karaociné, proposé par l’équipe de Jérôme Descamps, directeur artistique de la Pellicule ensorcelée, sera ludique. A partir d’un catalogue d’une trentaine de chansons de films célèbres, le public pourra y pousser la chansonnette.
Et pas n’importe lesquelles puisque vous pourrez aussi bien vous prendre pour Lisa Minelli en entonnant « New-York New York » (dans le film de Martin Scorsese), Catherine Deneuve dans Peau d’âne (de Jacques Demy) avec « La recette du cake d’amour » ou Dorville et Arletty interprétant « Comme de bien entendu » dans Circonstances atténuantes de Jean Boyer…
Ensuite, le public pourra découvrir toute l’étendue de ce qui se fait de mieux en matière de court-métrage dans le monde avec la projection de quinze courts métrages décalés, étonnants ou drôles. Vous pourrez même voir le document français intitulé Logorama qui a obtenu cette année à Hollywood l’Oscar du meilleur court-métrage.
Cinéma encore du 29 juin au 7 septembre sur plusieurs places publiques et à l’hippodrome avec la Pellicule ensorcelée, mais aussi Télé centre Bernon.
« L’idée est de proposer gratuitement des classiques du cinéma, des incontournables dans toute la ville, sur des places de quartier », explique Jacques Descamps. Après pourquoi pas un pique-nique, le public pourra voir sur un écran de 4 x 3 avec du matériel de vidéo projection numérique une séance de ciné à l’ancienne avec des bandes annonces, un court-métrage suivi d’un grand film (voir la liste par ailleurs). Toutes ces soirées sont gratuites.
Alain MOYAT
Voici le programme de l’opération estivale « Reims fait son cinéma » au cours de laquelle les Rémois pourront voir gratuitement en plein air de nombreux films.
Mardi 29 juin. A 22 h 30 place du Chapitre : Au bout du monde de Konstantin Bronzit et Certains l’aiment chaud de Billy Wilder.
Mardi 6 juillet. A 22 h 30 sur le terre-plein central de l’hippodrome dans le cadre de l’été s’affiche : OSS 117 : Rio ne répond plus de Michel Hazanavicius.
Jeudi 15 juillet. A 22 h 30 place Saint-Laurent : Dix de BIf et Les sept mercenaires de John Struges.
Mardi 20 juillet. A 22 heures au parc de Champagne dans le cadre des Flâneries musicales : Slumdog millionaire de Danny Boyle.
Mardi 27 juillet. A 22 h 30 place Solférino, Espace Chalet : Le petit dragon de Bruno Collet et L’hirondelle d’or de King Hu.
Mardi 3 août. A 22 h 15 place Amélie-Doublié : Perles à rebours de François Hernandez et Pierre Excoffier et Hôtel du Nord de Marcel Carné.
Mardi 10 août. A 22 h 15 à l’Espace Claudel : La leçon de danse de Philippe Prouff et Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy.
Mardi 17 août. A 21 heures au parc de Champagne après un concert de groupes locaux diffusion de Laughing out loud de Lisa Azuelos.
Mardi 24 août. A 21 h 30 place Michel-Ange : Orgesticulanismus de Mathieu Labaye et La Strada de Federico Fellini.
Mardi 31 août. A 21 h 30 au parc Marcel-Lemaire : Les miettes de Pierre Pinaud et Isabelle au bois dormant de Claude Cloutier suivi de Le kid de Charlie Chaplin.
Mardi 7 septembre. A 21 h 30 place Museux : Flatlife de Jonas Geinaert et Fenêtre sur cour d’Alfred Hitchcok.
Et encore…
Le réseau des bibliothèques et médiathèques de la ville organisera aussi de nombreuses projections (www.ville-reims.fr/rubrique culture). La maison de quartiers des Epinettes propose ainsi le vendredi 2 juillet la projection de Looking for Eric de Ken Loach.
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France - 12 ans. Toujours en lice du côté de la Porte d’Auteuil pour le Championnat de France Perrier - 12 ans, Cindy Castille a validé son billet pour les quarts de finale.
Pour cela, elle a dû se défaire en huitième de finale d’une vieille connaissance, Aloïse Dorey (6-2, 6-4). En effet, depuis le début de leur jeune carrière, les deux demoiselles s’étaient déjà affrontées à six reprises. Avec une égalité parfaite.
La question était donc de savoir qui allait prendre le dessus sur l’autre. Les premiers échanges donnaient une tendance nette en faveur de la pensionnaire du TC Géo-André, qui réalisait le break dès le premier jeu.
Derrière, elle confirmait sur sa mise en jeu (2-0). Bien en jambes, trouvant les lignes, Castille mettait à mal la défense de la Normande qui s’inclinait finalement 6-2 en trente-quatre minutes tout juste.
Le début de la seconde manche était la copie conforme de la première avec un break de Castille. Hélas, elle cédait à son tour (1-1). Les deux joueuses se tenaient en respect jusqu’à 4-4. A cet instant, une série de fautes de Dorey permettait à Castille de prendre l’avantage pour mener 5-4, service à suivre. Cette fois-ci, elle ne tremblait pas, validant son ticket pour les quarts de finale de ce matin. La mission s’annonce pour le moins compliquée puisqu’elle sera opposée à Théo Gravouil (3/6). Cindy n’a pas lésiné face à Aloïse Dorey (6-2, 6-4).
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L’occasion de faire connaissance avec le personnel enseignant.
« Nous organisons vendredi 25 juin un après-midi portes ouvertes de 14 à 18 heures, à l’attention des parents et des élèves du Réseau de réussite scolaire : le collège et ses écoles de rattachement », annonce Olivier Leloux, principal. « Tous les travaux réalisés au cours de l’année seront présentés et nous récompenserons les élèves méritants. »
Collège Georges-Braque, 3 rue Adrien-Sénéchal au 03.26.36.07.92.
- L’heure des bébés
Vendredi 25 juin à 9 h 30 ; l’heure des bébés est un moment de lecture tendresse pour les petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. Les bibliothécaires les accueillent avec des histoires à lire ensemble (durée : environ une demi-heure). Cette séance sera suivie de « Petits courts pour petits bouts ».
- Éveil musical
Le percussionniste Amdy Seck, de l’association ACAO (Arts et cultures de l’Afrique de l’ouest) propose le samedi 26 juin à 10 heures son « Jardin musical pour petites oreilles », une séance d’éveil musical avec instruments de musique mis à disposition des petites mains, de 8 mois à 3 ans.
- Bébés peintres
Mercredi 30 juin à 16 heures, un atelier peinture pour les petits à partir de 18 mois est à rapprocher avec des histoires racontées par les bibliothécaires. Cette séance sera suivie par la projection de « Dix doigts de malice ».
Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis Debar. Toutes les activités sont gratuites sur inscription au 03.26.35.68.51.
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Hier matin, pour son entrée en lice dès le deuxième tour du Championnat de France - 12 ans, Cindy Castille a disputé une rencontre tranquille. Opposée à l’Azuréenne Charlotte Egoneau, la Marnaise démarrait son match de la meilleure des manières en prenant à deux reprises le service de son adversaire, pour mener 5 à 1 et 15-40 sur la mise en jeu de l’Azuréenne.
C’est alors que Cindy sortit quelques minutes de son match, laissant Egoneau revenir à 5-3, avant de se ressaisir pour conclure 6 jeux à 3.
Dans la seconde manche, la pensionnaire du TC Géo-André ne relâchait pas ses efforts, menant très vite 4-2. Elle breakait alors sur un jeu blanc, pour conclure la rencontre sur un dernier coup droit gagnant 6-2.
Aujourd’hui, place aux huitièmes de finale avec là encore un bon coup à jouer pour Cindy Castille
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Présente en quart de finale après une série de performances, l’Ardennaise du TC Géo-André a vu son aventure s’arrêter face à Laure Tanfin, l’une des favorites de l’épreuve (6-1, 6-2).
L’aventure de Claire Makhloufi sur la terre battue de Roland-Garros a pris fin hier matin. Comme craint, le miracle n’a pas eu lieu face à la Picarde (- 4/6).
Après avoir sauvé trois balles de set, Claire Maklhoufi finissait par rendre les armes sur un coup droit qui la prenait à contre-pied (6-1 en 29’). La seconde manche débutait tout aussi difficilement, avec la perte de sa mise en jeu (0-1) avant de réagir aussitôt (1-1). Un feu de paille puisque Tanfin passait la surmultipliée.
Ses coups droits puissants poussaient Makhloufi à la faute. 3-1, 4-2, la Champenoise ne trouvait pas de solutions tant dans l’échange qu’au service (5-2). Trois coups droits plus tard, le match était plié (6-2).
Claire Makhloufi va continuer sa saison sur terre avec les qualifs du tournoi de Paris début juillet.
En marge du tournoi 13-14 ans, débutait celui pour les joueurs âgés de 12 ans. Chez les garçons, l’aventure est déjà terminée pour Constant de la Bassetière de Cormontreuil. Classé 15/2, il s’est incliné en trois manches (1-6, 6-3, 6-1) face à Amour, classé 15/3. Chez les filles, Cindy Castille (TC Géo André), tête de série n°6 entre en lice ce matin.
LIEN SOCIAL : A la santé du Bistroquet !
Entrez, c’est ouvert. Le nom de l’établissement est justifié par une déco “bistrot années 1930”, invitant à la convivialité au coeur de Croix-Rouge.
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Au 5 avenue Léon Blum, un local de 60 m2 entièrement réaménagé et décoré va dynamiser un coeur de quartier relié à toute la ville. Accessible par le bus, desservi l’an prochain par le tramway, le café associatif était attendu par les habitants en quête d’endroit pour vivre ensemble des activités culturelles ou des loisirs qui fédèrent.
« Avec une moitié de sa population âgée de moins de 30 ans, Croix-Rouge, qui abrite ce projet à dimension humaine sur fond de rénovation urbaine offre un exemple original pour retisser du lien social et intergénérationnel » rappelle Eric Quénard, 1er Adjoint à la Maire.
“Maison de verre” ouverte sur trois côtés, cette nouvelle adresse, officiellement inaugurée le 7 juin, est le fruit d’un projet porté par l’association 2 Mains dont on connaît le travail en faveur de l’insertion des personnes éloignées de l’emploi.
Directeur de 2 Mains, Jean-Louis Rumério, avec une équipe expérimentée, évoque un programme chargé : dans ce bar sans alcool, on pourra consommer, déjeuner, bénéficier de petits concerts, assister à des pièces de théâtre, suivre et vivre des grands matchs de la Coupe du Monde. Dès ce mois de juin, une exposition photos et un film vont aussi retracer une mission humanitaire menée au Maroc par des jeunes bénévoles de l’association.
Aux côtés du directeur, Rafik Kobzili et Marfoud Serguini (notre photo) ne cachent pas leur enthousiasme et attendent beaucoup de cette convivialité, comptant sur ceux qui pousseront la curiosité et la porte pour apporter leurs suggestions. Un comité technique d’animation sera aussi le fer de lance de cette expérience.
L’effort Rémois Plurihabitat a financé 60% des travaux, la Ville prenant le solde en charge sous forme de subvention destinée à l’organisme logeur.
Quant au fonctionnement du Bistroquet, il sera soutenu par l’Etat et la Ville de Reims dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale
J.-P. M.
Les Sacres du Folklore dans les quartiers
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Des rencontres festives avec les groupes sont organisées le samedi 19 juin, à 10 h 30 sur les marchés Croix-Rouge (Arménie) et Boulingrin (Colombie), puis à 16 h dans les quartiers Châtillons (Arménie) et Europe (Chili).
Le marché Saint-Anne et le quartier Muizon recevront respectivement la visite des groupes Russes et de Colombie le dimanche 20 juin à 10 h et à 10h30.
Le groupe du Niger se produira sur le Marché Saint-Maurice le mardi 22 juin à 10h30.
Ce même groupe se rendra en compagnie de celui du Chili à la maison de quartier de la Neuvillette le mercredi 23 juin à 18 h.
LES SAMEDIS DU SPORT : Le 19 juin, votre rendez-vous bien-être
Depuis le mois d’avril, la Ville de Reims et le mouvement sportif rémois proposent les Samedis du sport. C’est l’occasion pour 300 rémois(es) de renouer avec une activité physique ou de s’initier, seul ou en famille, aux nombreux sports proposés.
Ces rendez-vous mensuels s’inscrivent dans le projet sportif de la Ville d’ouvrir la pratique physique à toutes et à tous pour en faire un véritable enjeu de santé et de bien-être.
Les Samedis du sport sont totalement gratuits et ses rendez-vous sont donnés en différents points de la ville pour être accessibles au plus grand nombre.
Au Complexe Georges-Hébert, 25 rue Raymond Poincaré, suivi physique personnalisé assuré par l’Entente d’athlétisme de Reims. De 10 h à 12 h, pour toute la famille, places disponibles 20 personnes.
Piscine d’Orgeval, activités aqua gym et aqua palmes animées par la Rems et Reims Natation 89. De 10 h à 11 h et de 11 h à 12 h. 40 places disponibles pour l’aquagym, 60 pour aqua palmes. A partir de 16 ans. Gymnase de Courcelles, initiation et cours de tennis assurés par le Comité départemental 51. De 10 h à 12 h. 16 places disponibles.
Pour toute la famille.
Complexe René-Tys, esplanade Léo- Lagrange, activités de tennis de table, basket, escrime. De 10 h à 12 h, pour toute la famille. Gymnastique chinoise, de 10 h à 12 h. 20 places par activité, à partir de 16 ans.
Parc de la Patte d’Oie, activités d’accrobranche, activités de nature, de 10 h à 12 h, 40 places disponibles. Pour toute la famille. Régates Rémoises, 2, rue Clovis Chézel, initiation à l’aviron assurée par les Régates rémoises. De 10 h à 12 h, pour toute la famille. 8 places disponibles.
Parc de Champagne, marche nordique assurée par l’Entente d’athlétisme de Reims. De 10 h à 12 h. A partir de 12 ans, 25 places disponibles. Gymnase St-Exupéry, 24 rue St-Exupéry, activités et arts du Cirque. De 10 h à 12 h.
Pour toute la famille. 20 places disponibles. Patinoire Barot, quartier Croix-Rouge, initiation au patinage assurée par le CPAR, de 10 h à 12 h, pour toute la famille. Patins à glace fournis.
Gymnase Léo-Borgniet, 4 rue Raoul-Duffy, nouveaux sports kin ball, fresbee… de 10 h à 12 h. Pour toute la famille. 25 places disponibles. Randonnée pédestre, de 10 h à 12 h.
Pour toute la famille. 40 places disponibles.
Gymnase Richelieu, rue Richelieu, activité de badminton, de 10 h à 12 h.
Pour toute la famille
H. C.
Comment s’inscrire ?
Vous pouvez télécharger le bulletin d’inscription sur www.lessamedisdusport. reims.fr, le demander dans les mairies annexes, l’Hôtel de ville de Reims, ou le récupérer dans le VRI du mois d’avril.
Les bulletins doivent être remplis et déposés, jusqu’au 16 juin, à la direction des Sports, Stade-Auguste Delaune, Chaussée Bocquaine, à Reims, 03 26 79 86 40.
Dispositif gratuit. Attention les places sont limitées selon le type d’activité.
Une tenue adéquate est évidemment obligatoire.
Agenda
21 juin au 15 octobre Symphonie en noir & blanc
Photographies d’Alain Hatat présentées au cryptoportique, à la Médiathèque Croix- Rouge (-> 31 juillet), à la fnac (-> 31 juillet) et à la Maison du Département (-> 21 juillet).
1er juillet au 28 août
Macrophotographies de Xavier Coulmier
Médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge et Laon-Zola.
6, 20 juillet et 17 août Passeurs d’images
Trois projections gratuites de films sur écran géant.
Le 6 juillet à 22 h 30 à l’hippodrome dans le cadre de "Croix-Rouge s’affiche en été " : OSS 117 Rio ne répond plus (2008).
Le 20 juillet à 22 h au parc de Champagne après le concert de clôture jazz des Flâneries : Slumdog millionnaire (2008).
Le 17 août à 21 h au parc de Champagne en lien avec RVA été : Lol (2010).
QUARTIER CROIX-ROUGE - HAUTS DE MURIGNY
Permanences de l’antenne mobile
L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15 h 15 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11 h 30 sur le Marché Croix du Sud. _ Contact : 06.16.39.21.02.
Votre antenne municipale
C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Jours et heures d’ouverture :
• le lundi de 14 h à 17 h 30
• du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 14 h à 17 h 30
• le samedi de 8 h 30 à 12 h.
Notez-le : les permanences de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie sont modifiées comme suit : le mardi de 14 h à 16 h et le jeudi de 9 h à 12 h (au lieu du vendredi). Permanence des Conciliateurs de Justice Tous les mercredis de 14 h à 17 h au Pôle Multiservices Croix-Rouge - 1, rue Joliot Curie - Tél. : 03.26.08.13.52.
Votre Espace Tram Info
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Pour répondre à vos questions, vous informer sur le projet, l’état d’avancement des travaux, les ambassadeurs du tramway vous accueillent : 65 Esplanade Eisenhower, du lundi au vendredi de 11 h à 19 h. Numéro Vert 0 800108726 du lundi au samedi de 7 h à 20 h.
L’été pour tous
Douze séances gratuites de cinéma en plein air
« Cet été, nous proposons pour la 1ère fois “Place(s) au cinéma” sur les places dans les quartiers : les gens sortent avec leur table et leurs chaises et dès que la nuit tombe, on projette un film. Il s’agit d’organiser des moments de convivialité. Si ça marche, nous irons encore plus loin l’an prochain. » précise Serge Pugeault.
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Autre volet de cet été cinéma, “Passeurs d’images”. « Nous proposons trois séances de cinéma sur grand écran en plein air » ajoute Serge Pugeault « avec aussi la volonté d’aller plus loin l’an prochain. Ces projections seront couplées avec des événements de l’été. » Au programme : OSS 117 : Rio ne répond plus à l’hippodrome le 6 juillet à 22 h 30 pendant “Croix-Rouge s’affiche”,…
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Des expos à ne pas manquer
L’été, c’est aussi une merveilleuse opportunité pour voir ou revoir les nombreuses e x p o s i t i o n s p r é s e n t é e s à R e ims .
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L’été culturel à Reims, c’est encore des événements organisés par l’association Trac dans les quartiers Wilson (jusqu’au 13 juin) et Croix-Rouge (28 juin au 10 juillet), un atelier d’expériences lyriques dirigé par Toni Amirati, mené avec des enfants des quartiers (représentation le 20 juin au Grand Théâtre),…
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Un Eté s’affiche à Croix-Rouge
C’est une nouveauté cette année, l’opération Un Eté s’affiche à Croix-Rouge, du 30 juin au 22 juillet, transformera l’hippodrome de Reims en un lieu de vie permanent où se croiseront les associations sportives, culturelles et artistiques. Cette première édition, soutenue par la Ville de Reims et organisée par un collectif associatif de Croix-Rouge, offrira, durant trois semaines, la possibilité à tous de s’initier à un sport de plein air (beach volley, foot-ball…).
Plusieurs temps forts viendront émailler cet évènement. Notamment des animations autour des arts du Cirque et un grand Concert gratuit le 25 juin, à 18 h, sur le parking de l’Hippodrome.
Un dernier coup droit qui déborde son adversaire et Claire Makhloufi peut serrer un poing rageur, tout en regardant son entraîneur à Géo-André Sébastien Paillard. La Givetoise vient de se qualifier pour les quarts du championnat de France Perrier 13-14 ans. Une vraie performance face à Mathilde Armitano, classée 0.
Pourtant, le début de rencontre laissait à penser que la partie allait être à sens unique. Tendue, ayant du mal à développer son jeu, Claire voyait le score défiler. 0-2 et pas le moindre point à l’horizon. Il fallait attendre une double faute d’Armitano pour que Makhloufi inscrive son premier point, puis son premier jeu quelques minutes plus tard (1-2).
Picarde en face
L’Ardennaise finissait par recoller au score à 3 partout. A 4-4, elle obtenait une balle de break qu’elle convertissait aussitôt sur un passing long de ligne, contre-carrant ainsi la montée au filet de la Lyonnaise.
Dans le jeu suivant, la pensionnaire du TC Géo-André Reims confirmait, remportant la manche 6-4 sur un revers croisé mettant Armitano loin de la balle. Le set suivant était à sens unique puisque, très vite, Makhloufi se retrouvait à un jeu du match (5-1).
Et malgré une réaction de la Lyonnaise, avec une balle de match sauvée à 5-2, Makhloufi ne laissait pas passer sa chance sur la seconde pour l’emporter 6-3. Pour le plus grand bonheur de Sébastien Paillard. « Elle était tendue au début, puis elle s’est libérée. Dès lors, elle s’est mise à jouer fort, à bouger Armitano. C’est une très belle perf, mais depuis une semaine, Claire joue juste. C’est de bon augure pour la suite ».
La tâche sera à nouveau compliquée en quart puisque Claire Makhloufi jouera la tête de série n°2, Laura Tanfin (- 4/6). La Picarde de Rivery s’est montrée intraitable (6-0, 6-1) devant la 2/6, Clara Tanelian.
L’hebdo du vendredi- n° 173 - 100619b
EXPOSITION – PHOTOS : Symphonie en noir et blanc
Emeline Concé, violoniste du Conservatoire national de Paris, posant dans le parc du Château « Les Crayères ».
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En marge de la 21ème édition des Flâneries musicales (17 juin au 21 juillet), Alain Hatat, photographe rémois qui capte depuis maintenant 19 ans les instantanés musicaux du festival, expose une série de portraits de férus de musique dans cinq lieux culturels de la métropole.
À l’occasion de leur 21ème édition, les Flâneries musicales ont passé commande au photographe Alain Hatat de toute une série de clichés d’artistes en noir et blanc, centrée sur les lieux patrimoniaux ou sur les espaces publics de la Ville de Reims fréquentés par le festival. Cette manifestation, orchestrée par Wily Dubos du Conseil d’administration des Flâneries, a été voulue pour rendre hommage au public et aux nombreuses personnes qui s’investissent de multiples façons dans la musique à Reims en tant qu’acteurs dans le cadre d’une association ou dans leur profession. Ainsi, compositeur, ingénieur du son, instrumentistes les plus divers, chef de choeur, artiste lyrique, directeurs de salles… se sont retrouvés couchés sur la pellicule d’Alain Hatat.
« J’affectionne de travailler sur les portraits, de les mettre en scène et en lumière dans des lieux magiques et chargés d’histoire ».
Sur le thème d’ « un lieu, un instrument, un interprète », une trentaine de personnes du monde de la musique rémoise pose non pas dans, mais avec le plus simple appareil, dans des univers aussi traditionnels que la Cathédrale, le Grand Théâtre, la Basilique Saint Remi, l’Hôtel de Ville mais aussi dans des cadres plus champêtres comme le Parc du Château « Les Crayères » ou encore celui des grenouilles vertes.
Devant l’objectif, personnages, instruments et lieux fusionnent. « Cette année, je voulais sortir des traditionnelles photos de concert et apporter une touche plus contemporaine en transposant l’artiste dans un lieu de mon choix. Ils ont tous accepté avec simplicité, mais aussi avec beaucoup de complicité » explique Alain Hatat.
L’innovation du projet tient également dans son mode d’exposition. Ainsi cinq lieux accueilleront la même exposition ou presque comme le précise le professionnel : « l’originalité vient du fait que les tirages exposés sont de formats différents suivant la taille des salles, ce qui implique des photos, malgré tout, différentes ». Si, bien entendu, le nom de l’artiste sera apposé au bas de chaque photo, un texte descriptif de l’histoire des lieux (cadre architectural), imaginé par Patrick Demouy, renseignera le curieux et/ou le mélomane.
O.M-L
Expositions à découvrir :
Jusqu’au 24 juillet : FNAC d’Erlon
Jusqu’au 31 juillet : Médiathèque Cormontreuil, 4, place Louise-Michelet à Cormontreuil et Médiathèque Croix-Rouge, 2, rue Jean-Debar à Reims.
Du 21 juin au 15 octobre : Cryptoportique de Reims.
Du 21 juin au 21 juillet : Maison du Département, 18, rue Carnot à Reims.
COMMERCE – QUARTIERS : Châtillons retrouve ses baguettes !
Boulangerie et pâtisserie, l’ouverture du Fou du Pain était très attendue dans le quartier des Châtillons.
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Première entreprise rémoise à avoir reçu la subvention maximale du Fisac, la boulangerie « Le Fou du Pain » a été inaugurée cette semaine place des Argonautes.
C’est une abréviation peu connue mais ô combien importante dans la création d’entreprise. Le Fisac, ou Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce, permet à des projets d’entreprise de pouvoir bénéficier de subventions d’Etat, versées par la Ville de Reims.
Opérationnel depuis septembre 2009, le dispositif a depuis traité seize projets qui ont pu bénéficier des dites subventions. Le dernier en date a pris forme il y a deux mois, au 18, place des Argonautes, quartier des Châtillons.
Gérée par David et Elisabeth Lebas, la boulangerie Le Fou du Pain est la première entreprise rémoise à avoir reçu la subvention maximale du Fisac (20 000 €). Un apport financier qui réjouit évidemment le couple : « à l’origine, on avait déposé notre dossier sans trop y croire mais le comité de pilotage du Fonds a répondu favorablement au projet. Je pense que c’est important que Châtillons retrouve une vraie boulangerie. Ça va redynamiser le quartier, le lien et la proximité avec les habitants ».
Grâce à l’enveloppe de 20 000 €, les Lebas ont ainsi pu procéder à une rénovation d’ampleur du magasin, racheter des éléments corporels (four, etc.) et investir dans du matériel neuf.
Le rafraîchissement de la façade, dernière étape de la rénovation, sera réalisé plus tard.
S’il soutient la création et la réhabilitation d’entreprise en général, le Fisac s’est avant tout donné une mission principale : développer le tissu économique de proximité et les services à la population dans les Zones Urbaines Sensibles (ZUS). En ce sens, ce Fonds d’Intervention privilégie les dossiers visant à accroître l’attractivité des quartiers Croix-Rouge, Epinettes, Châtillons, Orgeval et Wilson. Adeline Hazan, Maire de Reims se félicite d’ailleurs « que chacun des quartiers ait pu, grâce au dispositif, voir de nouvelles entreprises s’implanter sur son secteur. Le Fisac profite à tout le monde et, si Le Fou du Pain a pu obtenir la subvention maximale, on espère que le magasin ne sera pas le seul à se la voir attribuer ».
Si seize entreprises ont déjà été aidées, les porteurs de projets sont toujours les bienvenus car les ressources sont là : dans le cadre de la 1ère tranche du dispositif Fisac en ZUS de Reims, l’État a en effet décidé d’apporter une aide à l’investissement de 300 000 €.
Aymeric Henniaux
Pour constituer un dossier Fisac, contactez Delphine Massart au 03.26.77.87.66. delphine.massart@mairie-reims.fr
LOISIRS : Cet été, Reims se cultive !
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La manifestation « Place(s) au Public » se déroulera tout l’été à Reims, ainsi les places de la ville seront le théâtre de nombreuses manifestations culturelles.
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« Place(s) au Spectacle »
Les jardins du Cryptoportique, le Grand Théâtre de Reims, le quartier Croix- Rouge, le centre culturel Saint- Exupéry… Autant de lieux où seront organisés concerts et manifestations artistiques du 21 juin au 30 septembre.
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« Place(s) au Cinéma »
12 séances gratuites de cinéma en plein air sont programmées avec le concours des associations « Passeurs d’images » et « la Pellicule ensorcelée ». Ainsi le 22 juin, un « KaraoCiné » sera organisé dans les nouveaux jardins du Cryptoportique à 21h30 et à 22h30, dix courts-métrages seront projetés. OSS 117, Slumdog millionnaire, la Strada… jusqu’au 7 septembre, une vingtaine de films seront diffusés sur les places rémoises, au Parc de Champagne ou à l’hippodrome.
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Retrouvez tout le programme de « un Été dans la Ville » dans « le guide de l’été » disponible chez de nombreux commerçants rémois et distribué avec le prochain numéro du mensuel VRI.
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À l’occasion de leur 21e édition, les Flâneries Musicales offrent à Alain Hatat l’occasion de présenter une série de photographies réalisées en noir et banc et centrées sur les lieux patrimoniaux ou sur les espaces publics de la ville de Reims fréquentés par le festival.
C’est pour l’artiste et les organisateurs une façon de rendre un hommage au public et aux nombreuses personnes qui s’investissent de multiples façons dans ce domaine culturel à Reims. 28 personnalités du monde de la musique, reconnus ou en devenir, ont accepté de jouer le jeu en toute simplicité en venant retrouver le photographe et poser dans un lieu de concert. Résultat, une série d’instantanés associant architecture et portrait. « Une autre façon de découvrir les Flâneries » comme le souligne Alain Hatat qui aura le privilège de présenter son exposition grand format installée entre les piliers de la prestigieuse salle basse du cryptoportique, à l’occasion de l’inauguration, le 21 juin, de la nouvelle scène construite dans cet espace de la place du Forum.
D’autres lieux accueillent une version, chacune différente, de l’exposition : la FNAC, les médiathèques Croix-Rouge et de Cormontreuil et la maison du Département.
Ils seraient bien montés dedans faire un tour mais le tram n’a pas ouvert ses portes. Il faudra patienter.
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Les essais doivent aussi aider les piétons à se familiariser à la présence du tram dans le paysage.
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Pour la première fois, le tram a circulé au milieu de la population. C’était hier avenue Léon-Blum. Il était très attendu.
ILS avaient l’air d’attendre le tram tous ces Rémois, hier matin, à la station Léon-Blum. Des usagers super patients qui sont restés plus d’une heure à surveiller son arrivée entre 11 heures et midi et demi.
Et qui, pour certains, étaient déjà venus la veille pour rien. La signalisation lumineuse n’étant pas complètement au point, le tram avait dû ajourner son entrée dans le monde.
Catherine Paulus n’aurait pas pu manquer cette première sortie. « Je suis toute l’histoire du tramway depuis le début. Pour moi, c’est un événement. Surtout que j’ai la chance d’avoir une station juste devant chez moi. »
Revenons à hier. 11 h 45, ils attendent. Depuis la station, ces drôles de passagers peuvent voir le petit rose se balader dans son champ en contrebas. Montera, montera pas… « Il va nous faire attraper le rhume à tarder autant. » « Ils auraient pu mettre des bancs quand même. »
Dès que l’espoir tombe, Catherine remonte le moral des troupes : « Il va arriver, regardez il a allumé ses phares ! » Parti comme c’est, la fille de Catherine va devoir se charger de préparer le repas : « Déjà que ma mère déboule sans arrêt dans ma chambre parce qu’on voit la ligne depuis ma fenêtre… Alors que je suis en pleine révision du bac. Elle est complètement accro. »
L’attente se prolonge. À un moment, tout le monde croit qu’il s’avance enfin mais finalement il se met à reculer. Les conversations reprennent. « Plus tard, je le prendrai pour aller faire mes courses ainsi je dépendrai moins de mes enfants. » « On ne sait pas encore combien coûtera le billet. À Nancy, c’est 1,30 euro. » « Ça devrait être à peu près pareil. »
Ça y est. Midi et quart. Cette fois, il va monter puisque des hommes en orange s’emploient à couper la circulation. Tout le monde se tait et tend le cou pour mieux voir.
Il approche. On commence à entendre un bruit sourd, proche d’un sifflement, auquel les Rémois seront bientôt habitués. À l’approche de la station, il fait résonner un coup de cloche. Une cloche du type de celle émise par les bus. Un peu plus forte peut-être. D’ici un an, elle aussi, fera partie du paysage sonore des Rémois. « Il est super ! », s’enflamme Catherine. « Ils auraient dû mettre Monsieur Schneiter dedans, c’est tout de même son tram. » « Ils auraient surtout dû venir avec une bouteille de champagne qu’on fête sa sortie. »
Au lieu de ça, le tram s’arrête devant eux une trentaine de secondes avant de repartir dans l’autre sens. Sans avoir ouvert ses portes. Pas grave, ils l’ont vu, ils ont été les premiers à le voir circuler et ils pourront le raconter longtemps.
C.F.
Depuis le 27 mars, la rame a effectué une batterie de tests techniques. La rame a ensuite réalisé ses premiers essais en ligne sur la voie unique à l’extérieur du centre de maintenance, pour tester notamment ses capacités d’accélération et de freinage.
Hier, aujourd’hui, puis très ponctuellement, le tramway commencera à circuler sur le tracé de la ligne entre le terminus de Bezannes et la station Blum afin de tester la mise en service de la signalisation routière au niveau des giratoires. On commencera à le voir dans le centre-ville à la mi-septembre. Une seconde rame, rose elle aussi, vient d’arriver, elle va commencer ses essais dans l’enceinte du centre de maintenance.
Depuis lundi, la formation des personnes en charge de former les conducteurs de Transdev Reims à la conduite du tramway a commencé. La formation des conducteurs débutera, quant à elle, en novembre prochain. Ces différentes phases seront suivies en février par la marche à blanc jusqu’à la mise en service prévue le 18 avril 2011.
Avant sa mise en service, chaque rame aura effectué au moins 250 km.
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La Champagne a toujours une représentante aux championnats de France Perrier 13-14 ans. Hier, Claire Makhloufi (2/6) était en lice pour le 2e tour. Sa victoire n’a souffert d’aucune contestation face à Waffa Achemaoui (3/6), il est vrai, moins bien classée qu’elle.
Si le premier jeu de service de la Givetoise de Géo-André était délicat, elle faisait tout de même la course en tête. Son adversaire commettait quatre fautes directes tour en répliquant du tac au tac dans le jeu suivant (1-1).
Usant et abusant de balles sur le revers de son adversaire, Claire Makhloufi faisait courir Achemaoui aux quatre coins du terrain. 2-1, 3-1, 4-1, le set défilait à toute vitesse. Un nouveau coup droit long de ligne sur le revers de la Parisienne donnait la première manche à Makhloufi (6-1).
L’Ardennaise continuait sur sa lancée en prenant le service de son adversaire. Celle-ci lui répondait illico en débreakant aussitôt (1-1), après un jeu long de treize minutes tout de même ! Malgré ce retour, Achemaoui ne respirait pas la sérénité. Pestant souvent contre elle-même, ou l’arbitre de chaise, elle perdait sa mise en jeu dans la foulée. Makhloufi pensait alors s’envoler vers la victoire (3-1) mais, là encore, la machine se grippait au moment de conclure, Achemaoui s’engouffrant dans la brèche (3-3).
Mais plus forte mentalement, la Champenoise faisait encore la différence sur une série de revers croisés (4-3). Plus rien n’allait l’arrêter. Et à sa quatrième balle de match, elle validait son ticket (6-1, 6-3).
L’obstacle sera plus difficile à négocier aujourd’hui face à la Lyonnaise Mathilde Armitano (0), vice-championne de France 2009 des 12 ans.
« Je vais jouer en confiance. Ce n’est pas moi qui aurai la pression. A Roland-Garros, on est là pour se battre », confie Claire Makhloufi, motivée par sa perf en championnat de Champagne 2e série, devant Laetitia Tordo : « C’était la première 0 que je battais ». Armitano sera peut-être la seconde…
Quelque 250 musiciens et danseurs venus du monde entier se produiront en ville durant ces cinq jours.
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Organisés par les Jolivettes, les Sacres du folklore du 18 au 22 juin 2010 s’annoncent exceptionnels avec des groupes folkloriques mais surtout plusieurs défilés avec le dragon le grand Bailla.
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Vendredi 18 juin. A 15 h 15, présentation des groupes sur le parvis de la cathédrale. A 16 heures, défilé des nations du parvis de la cathédrale à l’hôtel de ville. A 20 h 15, spectacle d’ouverture sur le parvis de la cathédrale. A 23 heures, première escapade du grand Bailla sur le parvis de la cathédrale.
Samedi 19 juin. A 10 h 30, l’Arménie sur le marché Croix-Rouge et la Colombie sur le marché Boulingrin. A 14 h 15, entrez dans la danse sur le parvis de la cathédrale. Initiation au folklore avec l’Arménie, le Chili, le Niger et l’Indonésie. A 16 heures, l’Arménie dans le quartier Châtillons et le Chili quartier de l’Europe. A 16 h 30, deuxième escapade du grand Bailla sur le parvis de la cathédrale. A 17 heures, spectacle dans la cour d’honneur du musée Saint-Remi avec la Russie. A 20 h 15, grand spectacle sur le parvis de la cathédrale.
Dimanche 20 juin. A 10 heures, la Russie sur le marché Sainte-Anne, à 10 h 30 la Colombie à Muizon. A 17 heures, concert musique et chants du monde sur le parvis de la cathédrale. A 20 h 15, grand spectacle sur le parvis de la cathédrale. A 22 h 15, dernière escapade du grand Bailla sur le parvis de la cathédrale.
Lundi 21 juin. Fête de la musique. A 19 h 15, sur le parvis de la cathédrale concert tzigane suivi à 20 h 30 d’un grand spectacle, à 23 heures de la remise des sacres puis d’un bal folk avec Arrière Pays.
Mardi 22 juin. A 10 h 30, le Niger sur le marché Saint-Maurice.
REIMS (Aisne). Deux Rémois ont écopé de deux et trois ans de prison pour un braquage au restaurant Quick de Croix-Rouge. L’un des auteurs portait un masque de Sarkozy !
ACCUSÉS d’avoir braqué le restaurant Quick de Croix-Rouge, le 1er février 2009, deux jeunes du quartier, Kamel Nouir et Razik Bendjoudi, ont été respectivement condamnés à deux et trois ans de prison ferme.
Si l’un des auteurs portait une banale cagoule, l’autre avait fait preuve d’originalité en dissimulant son visage sous un masque de carnaval… à l’effigie de Nicolas Sarkozy ! La plaisanterie n’avait fait rire personne, le soir des faits, au restaurant Quick. Il était 22 h 30. C’était l’heure de la fermeture.
« Il n’y avait plus de client. Les deux individus sont arrivés par l’entrée de la terrasse et se sont dirigés directement vers le local administratif », avait témoigné à l’époque le directeur du restaurant. « Il y en a un qui était masqué, l’autre encagoulé. Ils avaient un fusil. Sur le chemin, ils ont croisé une équipière occupée à fermer les caisses. Ils lui ont demandé de les emmener au coffre-fort. Ils sont arrivés dans le local où ils ont fait face à la manager. »
Deux autres équipiers sont partis à toutes jambes mais l’un des braqueurs les a rattrapés sur le parking, les obligeant à revenir dans le restaurant. Le cinquième et dernier salarié encore présent s’occupait de la fermeture des différentes portes. Il n’avait rien remarqué et c’est au moment où il fermait l’entrée de la terrasse qu’il fut braqué à son tour.
Le personnel neutralisé, les malfaiteurs s’étaient fait ouvrir le coffre sous la menace du fusil tenu par le faux Sarkozy. Butin : 1 100 euros.
En fuite trois minutes seulement après leur irruption dans le fast-food, les braqueurs échappèrent de peu à la police. La première patrouille eut le temps d’apercevoir l’un des auteurs fuir à pied en direction du quartier Croix-Rouge. Il avait disparu entre les immeubles.
L’enquête du SRPJ de Reims confirmait la piste locale, avec la mise en cause de Kamel Nouir, 21 ans, et de Razik Bendjoudi, 26 ans. Le premier a tout reconnu, allant jusqu’à dire que c’était lui qui avait le fusil. Le second, en revanche, a redit au tribunal qu’il n’avait rien à voir avec cette histoire.
Reconnu coupable malgré ses dénégations, Razik Bendjoudi a écopé d’une peine supérieure à celle de son son ami en raison d’un casier judiciaire plus important. Les deux prévenus, incarcérés depuis avril et juin 2009, ont été maintenus en détention.
F.C
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La présidente Christiane Monflier, au centre, la trésorière Gilberte Durant et les élus.
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L’association de promotion de Pays-de-France regroupe 131 familles adhérentes. Son assemblée générale s’est déroulée vendredi dans les locaux du 5, allée des Picards, devant 40 personnes réunies dans une ambiance joyeuse et conviviale. Dans la salle, le premier adjoint Éric Quénard représentait la maire de Reims, près du conseiller municipal Michel Guillaudeau et du co-animateur élu du conseil de quartier, Alain Bisteur. L’association Deux Mains, la Maison de quartier Croix-Rouge et les jardins familiaux de Croix-du-Sud (qui accordent une parcelle pédagogique à l’APPF) étaient représentés par leurs directeurs.
Avec 5 000 euros de subvention municipale et 8 050 euros du Foyer rémois, l’APPF dégage un excédent de recettes de 1 760 euros, « ce qui témoigne de la bonne gestion de nos comptes ».
Comme l’a souligné Éric Quénard, « l’APPF ne vit pas recroquevillée sur elle-même », ses nombreuses activités visent à « favoriser les relations sociales et conviviales entre toutes les générations » : accueil des enfants dans le centre de loisirs en partenariat avec les Francas, activités en faveur du temps libre, galette des Rois, journées festives, journées pêche et sorties pour les familles, parents et enfants, concours de balcons fleuris, fêtes de Noël, activités et repas pour les aînés, actions d’amélioration du quartier et une présence active dans toutes les actions menées dans le quartier avec les autres partenaires (Maison de quartier, 2 Mains, Conseil de quartier, Francas, MJC, Foyer rémois,…).
L’APPF, présente à la fête du secteur et aux « Bonbons de Marceau », sera également active à l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge ». Christiane Monflier résume ainsi la philosophie de son association : « il s’agit surtout pour nous de permettre à tous les habitants de Pays-de-France de se rencontrer, de se parler et de se divertir. »
Manifestement, c’est mission remplie !
Renseignements : Association promotion Pays-de-France, 5 allée des Picards. Tél. 06.31.61.16.10.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Dans un communiqué transpirant un brin l’autosatisfaction, Catherine Vautrin, députée de la Marne et présidente du groupe UMP/DVD au conseil municipal de Reims, annonce l’implantation d’une Unité territoriale de quartiers (Ndlr : les UteQ sont des unités de la Direction centrale de la sécurité publique de la Police nationale) à Reims, sur Croix-Rouge et Wilson. Mme Vautrin met en exergue le caractère insistant de ses doléances à l’endroit du ministère de l’Intérieur qui l’a finalement entendue. Une UteQ a pour mission de lutter contre la délinquance et les violences urbaines, obtenir des renseignements, et développer le lien de confiance police-population. De 15 à 18 agents de police expérimentés seront donc affectés sur Reims, d’ici la fin de l’année, si l’on s’en tient au format ordinaire de ces unités créées en 2008 par Michèle Alliot-Marie, et expérimentées alors en Seine-Saint-Denis. Selon le ministère de l’Intérieur, cité par Mme Vautrin, « Cette implantation […] a été arrêtée à l’issue d’une étude approfondie de la topographie de la délinquance et en fonction de priorités précisément identifiées au plan local ». Et de souligner que cette annonce la « conforte dans son combat », puisqu’elle n’a de cesse « d’interpeller les pouvoirs publics locaux et nationaux sur la situation à Wilson et plus récemment à Croix-Rouge, notamment sur le site du campus Croix-Rouge de l’Université ». Et si d’aventure, on s’aventurait du côté de Mme Hazan à répliquer qu’il s’agit là tout simplement d’une palingénésie de la très jospinienne « police de proximité », l’argumentaire est tout prêt, déjà rodé par MAM elle-même. Les UTeQ assument des missions véritables de lutte contre les délinquances et non point de copinage para-associatif, elles œuvrent en complémentarité avec les autres services de police.
Catherine Vautrin affirme mettre « beaucoup d’espoir dans cette mobilisation supplémentaire de l’Etat à Reims pour rétablir la quiétude publique sur ces secteurs, en pensant principalement aux habitants et aux commerçants qui souffrent depuis de trop longs mois en se sentant parfois oubliés par les autorités tant nationales que locales ».
Philippe LE CLAIRE
Sauf nouvel incident technique, le tramway devrait enfin sortir de son champ et se balader avenue Léon-Blum, Croix-Rouge à Reims, entre 11 h 30 et 13 heures.
Retrouvez la vidéo de la première sortie du tram hier matin.
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Deux Marnais étaient ainsi engagés au 1er tour du Trophée Perrier 13-14 ans débutant hier du côté de la Porte d’Auteuil.
Enzo Wallart et Claire Makhloufi, tout deux du TC Géo André, n’ont pas connu la même réussite. En effet, malgré des coups droits puissants, le premier n’a pu éviter une défaite face à l’Essonnien Jean-Baptiste Neri-Fuchs.
Peut-être un peu tendu d’être sur un court de Roland-Garros, il entamait difficilement la rencontre (0-3). Au même moment, sur le court n°12, Claire Makhloufi était elle aussi en difficulté (0-2).
Concours de circonstance étonnant, les deux Marnais se réveillaient en même temps pour empocher la première manche.
7-5 pour Enzo Wallart et 6-3 pour Claire Makhloufi. Puis, leur trajectoire divergeait. Makhloufi continuait sur sa lancée. L’alternance de coups droits ou d’amorties gagnants mettait à mal son adversaire qui baissait vite les bras (6-1).
Le second tour sera probablement plus compliqué aujourd’hui pour la Rémoise.
Sur le court n°17 en revanche, Enzo Wallart ne trouvait plus de solution. Enfin calme, Neri-Fuchs retrouvait son tennis. Jouant plus juste, il breakait à 2-2 dans la seconde manche, pour enchaîner ensuite jusqu’au terme du set (2-6).
Scénario identique dans l’ultime set avec un break à 3-3 pour un succès (3-6) qui met déjà un terme à l’aventure d’Enzo Wallart à Roland-Garros.
Claire, à toi de jouer !
Limitée cette année à 15/1, la 26e édition du tournoi du TC Gueux (220 inscriptions) a permis au maître de cérémonie, Philippe Gayet, de mettre sur pied des tableaux passionnants.
Dans celui des messieurs où sept 15/1 avaient pris place, seul Jean Baptiste Fromentin (Reims Europe Club) a fait honneur à son classement en allant au bout de la compétition.
Opposé en finale au coriace sociétaire du TC Géo-André Guillaume Roger (15/2), l’Européen s’est appuyé sur sa puissance pour s’imposer 6-4, 6-4.
En + 45 ans, les spectateurs ont assisté à un remake de la finale 2009 avec… la même issue car Norbert Quenot (15/4, URT) a facilement dominé Laurent Khaitrine (15/4, TC Reims) 6-2, 6-1.
Chez les dames, la jeunesse a pris le pouvoir puisque la finale s’est disputée entre deux 15/2 de … 13 ans, à savoir Clémence Krug (Reims Europe Club) et Maéva Spooner (Géo-André).
Au terme d’une rencontre ô combien serrée, la protégée de Pheng Xayphensy, en pleine progression, a su forcer la décision (6-3, 2-6, 6-3). Histoire d’apporter un beau doublé au REC en terre gueusienne …
Quarts de finale : Stéphanie Abraham (15/2, Cheminots Reims) bat Solène Chauvin (15/4, Reims Europe Club) 6-3, 6-3 ; Maéva Spooner (15/2, Géo-André) bat Marie Pithois (15/3, Reims Europe Club) 6-4, 6-2 ; Clémence Krug (15/2, Reims Europe Club) bat Charlotte Becret (15/3, Reims Europe Club) 7-5, 6-7, 6-3 ; Déborah Rajaosafara (15/4, Reims Europe Club) bat Sindi Emric (15/2, CT Philippe) 6-2, 6-2.
Demi-finales Spooner bat Abraham 6-1, 6-3 ; Krug bat Rajaosafara 6-1, 6-0.
Finale : Krug bat Spooner 6-3, 2-6, 6-2.
Quarts de finale Fromentin (15/1, Reims Europe Club) bat Lalire (15/2, Saint-Memmie) 6-1, 3-6, 6-4 ; Martin (15/3, URT) bat Frelon (15/3, URT) 6-2, 6-1 ; Chedotal (15/2, URT) bat Lecomte (15/2,TC Reims) 6-1, 6-3 ; Roger (15/2, Géo-André) bat Michalski (15/1,Taissy) 6-4, 6-4.
Demi-finales Fromentin bat Martin 6-4, 6-0 ; Roger bat Chedotal 6-2, 1-6, 6-1.
Finale : Fromentin bat Roger 6-4, 6-4.
Demi-finales : Quenot (15/4, URT) bat Liegeois (15/3, Villers Marmery) 6-1, 6-0 ; Leveque (15/3, Cormontreuil) bat Khaitrine (15/4,TC Reims) 7-5, 6-4.
Finale : Quenot bat Khaitrine 6-2, 6-1.
Finale : Ramanitra (15/5, Dormans) bat Chaudre (15/5, URT) 6-1, 6-0.
Mardi soir, vers 23 h 45, une Renault Laguna a pris feu sur un parking de la rue Gilberte-et Jean-Droit, derrière le groupe Eisenhower. D’origine suspecte, l’incendie s’est propagé à deux autres voitures (un Scénic et une Clio).
A 0 h 45, hier, une Renault25 probablement volée a été incendiée sur un chemin communal, entre Vrigny et Ormes.
Décidément, c’est une série noire pour les Renault car vers 7 h 30, un Kangoo s’est enflammé dans un hangar, rue Prieur-de-la-Marne.La cause du sinistre est inconnue.
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Slimane Hamdi, animateur à la maison de quartier Croix-Rouge, a préparé un programme alléchant pour la fête de Pays-de-France, samedi 19 juin, dans le secteur des Picards. « Cette fête, sur le thème de la musique », précise-t-il, « se déroulera en parallèle à la brocante organisée par Salah Byar, responsable du Point rencontres » (voir ci-dessous).
Le programme
14 heures, ouverture des stands au public. 15 heures : salsa latino avec la formation « Don Clovis » (trois artistes). 15 h 45 : quiz musical par l’espace Ethnic’s de la maison de quartier. 16 h 30 : jazz avec « Moriss » (3 artistes). 17 h 15 : musique orientale avec « Boualem » (2 artistes). 18 heures : apéritif cocktail de fruits de la maison de quartier. 19 heures : pique-nique. Chaque participant doit venir avec un repas à partager. 19 h 30 : accordéon jusque 20 heures. 20 heures : rap par les jeunes du quartier. 21 heures : danse hip-hop par l’espace La Nacelle.
Buvette
Six jeunes adolescentes et leurs mères tiendront la buvette : 50 % des bénéfices seront consacrés à l’opération « les bonbons de Marceau », en décembre 2010. Le reste financera une journée découverte à Paris en septembre, avec visite de l’Institut du Monde arabe et promenade à la découverte du maximum de monuments. En effet, ces jeunes filles, âgées de 12 à 15 ans ne sont jamais allées à Paris, ni sorties de Reims, voire du quartier. Cette action est coordonnée par Elham Kouch, animatrice « Famille » du Secteur Pays-de-France.
Les participants
Les associations et les institutions qui participent aux stands et aux animations sont : l’association Point rencontre, l’association de promotion de Pays-de-France Appf, le collectif Croix-Rouge accueil, le comité Pays-de-France de défense des locataires, l’association sports et cultures du cœur Mounsif et Co, La maison de l’enfance, le conseil de quartier, le point info quartier, le tri sélectif (Reims Métropole) et la maison de quartier Croix-Rouge qui met à disposition de chaque stand associatif un grand jeu pour enfants.
Pour tout renseignement, contacter Slimane Hamdi, à l’espace Pays-de-France, 1, allée des Béarnais, tél. 03.26.82.53.48.
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Pendant tout le mois de juillet et dans le cadre de la manifestation « L’été s’affiche à Croix-Rouge », Karim Medaouar, animateur à la maison de quartier Croix-Rouge, compte diriger un atelier « vélo ».
« L’idée est simple : les jeunes viennent le matin avec leurs propres vélos. Ils peuvent les réparer en ma présence (le matériel est mis à leur disposition) et l’après-midi est réservé à une sortie en groupe. »
Karim Medaouar lance un appel aux habitants qui souhaitent se débarrasser d’un vélo : « Déposez-le à l’espace La Nacelle de la maison de quartier, 3, rue du Docteur-Billard ».
Les collégiens dans l’espace scénarisé du mémorial Charles-de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises.
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Tous les élèves de 3e du collège Georges-Braque se sont rendus vendredi 11 juin au mémorial Charles-de Gaulle, sous la coordination d’Éric Morell, professeur d’histoire-géographie.
« A quelques jours de la commémoration de l’Appel du 18 juin, et dans la continuité du témoignage apporté par des résistants et déportés au sein même du collège, les élèves ont pu travailler la biographie du général dans son contexte historique, économique et social (1914-1939 et 1939-1969), dans l’espace scénarisé du mémorial de Colombey-les-Deux-Églises », explique le professeur.
« Ils ont également travaillé le programme d’éducation civique avec la constitution de la Ve République de 1958. »
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Après le succès rencontré par la brocante de Croix-du-Sud, c’est le secteur Pays-de-France qui va organiser la sienne. Parallèlement à la fête de Pays-de-France, l’association Point rencontre de Salah Byar organise en effet un « vide-caves » sur le secteur.
Il se déroulera le samedi 19 juin, de 8 à 19 heures, au cœur même du quartier, sur le terrain qui se situe entre le 19, allée des Savoyards, le 2, allée des Picards et le 7, rue Joliot-Curie.
« Les personnes qui sont intéressées pour venir exposer doivent me contacter pour avoir des renseignements », explique Salah Byar, de l’association Point rencontre.
Le mètre d’étal sera à 1 euro. La somme récoltée sera consacrée à l’opération « Les bonbons de Marceau » en décembre 2010. Contact : 06.32.81.84.75.
Vendredi 18 juin à 19 h 30 au centre culturel du Crous, rue de Rilly-la-Montagne, concert avec Red soul community et Cherry Boop and the sound makers. Entrée : 5 €.
Sale temps pour les poubelles, avenue Bonaparte. Lundi, un conteneur a brûlé à 6 heures, un second à 23 h 55.
La même mésaventure est arrivée à deux poubelles de la rue du Danube, hier à 4 h 10, puis à5 h 15.
Lundi matin, la carcasse calcinée d’un véhicule Renault Scénic a été retrouvée près du parc des expositions. Il semblait volé
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France 13-14 ans. Claire Makhloufi surfera sur la vague aujourd’hui à Roland-Garros. Après sa perf en quart des championnats de Champagne 2e série face à Laetitia Tordo (0), la Givetoise entrera dans le tableau des France 13-14 ans : « Au Creps, elle a joué autour de - 2 », estime l’entraîneur fédéral Emmanuel Castille.
En demi, Caroline Colomb (37 ans) a dominé la n° 1 régionale des 13-15, mais cette défaite face à une rivale au style « injouable » ne peut avoir altéré le mental de l’espoir du Centre rémois de Géo-André.
Si Claire Makhloufi ne figure pas parmi les huit têtes de série, son niveau de jeu actuel la situe pas très loin du top 10.
Problème, le tableau dévoilé hier va très vite se resserrer.
A condition de ne pas buter d’entrée sur la 4/6 Julie Turpin, la 2/6 ardennaise se retrouvera confrontée à une 1/6 (Isaline Galland). Avec la perspective de défier la 0 de la ligue du Lyonnais, Mathilde Amitrano, finaliste 2009 en 12 ans.
Chez les garçons, la Champagne sera représentée par un autre pensionnaire de Géo-André, Enzo Wallart (15/1) qui ouvrira face à l’Essonnien Jean-Baptiste Neri-Fuchs (5/6), vu en 16es des Petits As de Tarbes, le « Mondial » de la catégorie en janvier.
Le duo sera coaché par Olivier David qui passera le relais à Emmanuel Castille pour les France 12 ans, à partir de samedi.
Une « affaire » de famille puisque les plus grandes chances régionales reposeront sur Cindy, la fille du cadre fédéral. 5/6, celle qui fréquente également le Pôle de Géo-André cherchera à confirmer sa place de demi-finaliste à Bressuire où étaient engagées les meilleures de l’Hexagone et des filles de 24 nations…
En garçons, Constant de la Bassetière (15/2) défendra les couleurs régionales, mais aussi du Cormontreuil TC.
Jean-Pierre PRAULT
Avec des effectifs stables (115 engagés) pour une limite fixée à 5/6, la 18e édition - la troisième du renouveau - du tournoi du TC Saint-Martin-sur-le-Pré a tenu toutes ses promesses.
Avec quatre 5/6 sur la ligne de départ, le tableau final masculin s’est conclu sur la même finale que l’an passé entre Omar Charai (5/6, Guignicourt) et Robin Bernard (5/6, Reims Europe Club).
L’Axonais empochait le set initial (7-5) mais l’Européen rétablissait rapidement l’équilibre (6-4).
Puis, dans la foulée, Robin Bernard enchaînait face à un Guignicourtois touché physiquement et qui, surtout victime de crampes, devait se résoudre à abandonner à 4-1 dans la belle.
A croire que les courts de la banlieue châlonnaise étaient propices aux abandons puisqu’en +35 ans, l’ex- « footeux » Denis Henrot (15/4, Asca Châlons) s’est employé à user ses adversaires, qui ont abandonné en demi et en finale. Du côté des dames, la Troyenne Marine Grandjean (15) a impressionné en dominant nettement la lauréate 2009 Clémence Weber (15) en demie puis la tête de série n°1 Lucie Varenne (5/6, La Macérienne) en finale.
Quarts de finale : Mouton (5/6, ASPTT Châlons) bat Thierus (15, Géo-André) 6-1, 7-5 ; Bernard (5/6, Reims Europe Club) bat Fremin (15/2, Grandpré) 6-3, 6-4 ; Charai (5/6, Guignicourt) bat Lalire (15/2, Saint Memmie) 5-7, 6-1, 6-2 ; Noizet (15/1, Suippes) bat Puberl (5/6,TC Reims) 6-4, 7-5.
Demi-finales : Bernard bat Mouton 7-5, 6-1 ; Charai bat Noizet 6-4, 7-5.
Finale : Bernard bat Charai 5-7, 6-4, 4-1 abandon.
+ 35 ans, finale : Henrot (15/4, Asca Châlons) bat Baudinet (15/4, TC Reims) 6-2, 4-3 abandon.
Demi-finales : Marine Grandjean (15, ASPTT Troyes) bat Clémence Weber (15, ASPTT Châlons) 6-3, 6-3 ; Lucie Varenne (5/6, La Macérienne) bat Marine Groulez (15, ASPTT Châlons) 7-5, 4-6, 6-2.
Finale : Marine Grandjean bat Lucie Varenne 6-4, 6-0.
Maître d’ouvrage : Société d’HLM L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Objet : Marché de travaux de rénovation électrique à Reims, Tinqueux et Fismes.
Procédure adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Marché composé de 8 lots :
Lot 1 : 120 bd Vasco de Gama et 43/43 bis rue Dumont d’Urville à Reims (2010/2011)
Lot 2 : 1/3/5 rue Jacques Simon et 1/3 rue Gandon à Reims (2010/2011/2012)
Lot 3 : 33, 41, 43, 45 et 47 rue François D’or et 2, 4, 6, 10 - 3, 5,7, rue Sculpteur Jacques à Reims (2010/2011)
Lot 4 : Rue des Anémones, Capucines, Tournelles et Bleuets à Fismes (2010/2011)
Lot 5 : Individuels Champ Paveau à Tinqueux (2010/2011/2012)
Lot 6 : Collectifs Champ Paveau à Tinqueux (2010/2011/2012)
Lot 7 : 12bis/12ter Cook et 37 d’Urville à Reims (2011)
Lot 8 : Châtillon Tour U et 7 Place des Argonautes à Reims (2011/2012)
Date limite de réception des offres : Le Vendredi 9 Juillet 2010 à 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au service marchés de la société Plurihabitat L’Effort Rémois - 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.
Le dossier de Consultation est disponible gratuitement en ligne à partir du Mardi 15 Juin 2010. Il peut être téléchargé sur les sites suivants : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr (Réf. Marché : MA – 170610)
Pour tout renseignement technique et fourniture des plans contacter : Service Maintenance : Mr MAIERON 03.26.04.99.27 ou Mr MINISCLOUX 03.26.04.98.79
Pour tout renseignement administratif contacter : Service Marchés : Mme M. FORRAY 03.26.05.92.33 ou Mme N. GALLOIS 03 26 04 99 05
Date d’envoi du présent avis à la publication le 10 juin 2010 aux JAL L’UNION (éditions Marne - Aisne – Ardennes) et L’Est Eclair.
Les stands, ici la pêche à la ligne, ont vivement intéressé
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L’orchestre d’harmonie de la ville de Reims en concert place Billard.
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La fête de quartier du secteur « Université » s’est déroulée samedi, sur le parking devant l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Organisée par Marie-Elisabeth Causin, directrice de l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, assistée par les professionnels et les bénévoles des espaces Billard et la Nacelle, elle a rassemblé de nombreux habitants.
La fête a été ouverte en fanfare, avec l’orchestre d’harmonie de la Ville de Reims, dirigé par Philippe Cochenet : un défilé dans le quartier, puis un mini-concert sur l’esplanade Eisenhower, histoire de rameuter les populations. Puis cette fanfare s’est reformée en harmonie classique pour un concert formidable qui a ravi les spectateurs avant une véritable ovation.
Plusieurs élus étaient présents sur le site : Arnaud Robinet, député de la Marne ; Adeline Hazan, maire de Reims ; les adjoints Éric Quénard et Pascale Martin, les conseillers municipaux Alain Bisteur, Saïda Soumaya Berthelot et Michel Guillaudeau.
Tout l’après-midi, les stands associatifs ont captivé les habitants : l’association de la fondation étudiante pour la ville, l’association multi-échanges services, l’atelier peinture de Billard, le service départemental de prévention, l’association Résonnances, les Rencontres internationales de Reims, le groupe Escapades, l’union des locataires de Croix-Rouge, l’association Arrêt-Couleurs.
Même les stands informatifs ont été pris d’assaut : les médiathèques et le bibliobus, la collecte sélective de Reims métropole, les Transports urbains rémois et le conseil de quartier.
À 16 h 30, Magali Garcia, animatrice danse de l’espace la Nacelle, a présenté un spectacle sur podium : chants d’Allaoui Bensad, défilé de mode du groupe d’action contre les mutilations sexuelles, danseuses du collège François-Legros, groupe de rap du quartier, et enfin les célèbres danseuses de l’atelier de la Nacelle.
L’après-midi tirait à sa fin et Yassine Ramdani, directeur adjoint de Billard, voyait arriver avec confiance la dernière partie de la fête : à partir de 19 h 30, un repas pique-nique partagé (chaque participant devant apporter un plat à partager), accompagné par le groupe « Les Georges du Verdon ».
En définitive, une très belle fête de quartier, créatrice de lien social et de convivialité grâce à l’investissement de tous : un régal.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Sous l’impulsion d’Elham Kouch, animatrice « Famille » du secteur Pays-de-France, des habitants se mobilisent afin de réaliser une fresque avec l’aide d’une intervenante, Cléo Thienot, de l’association Arrêt-Couleurs à Reims. 28 panneaux de 1,30 x 0,62 cm seront transformés en aquarium géant, afin de décorer l’espace Petite enfance/Famille qui sera installé sur le site de l’hippodrome, dans le cadre de l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».
D’ores et déjà, à la Marelle, 11 enfants ont réalisé 3 panneaux.
Pour le lieu d’accueil parents-enfants de l’Espace Billard, sept mamans et huit enfants ont réalisé trois panneaux.
Pour le collectif Croix-Rouge « accueil, quatre adultes participent à la réalisation de deux panneaux.
Enfin, un groupe de six adolescentes et leurs mères s’activent également : elles vont réaliser quatorze panneaux !
Les tags, souvent difficiles à faire disparaître, fleurissent dans les halls d’immeubles.
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Un vent d’incivilités souffle au pied des immeubles de la place Jean-Fragonard. Des témoignages, anonymes, dénoncent une escalade depuis près d’un an.« IL y a quelques mois, des jeunes à moto s’amusaient à prendre les sens interdits pour faire du rodéo sur les pelouses. Il y a bien des policiers qui sont intervenus mais ils ont été vite semés ». Marc, réside au n° 1 de la place Jean-Fragonard. Il s’est installé, avec sa famille, voilà deux ans à Croix-du-Sud. Au temps des jours heureux… ou presque. « Lorsqu’on est arrivé dans ce secteur du quartier Croix-Rouge, les actes d’incivilité étaient plutôt rares. Aujourd’hui, ils sont devenus monnaie courante », dénonce le quadragénaire.
Les tags ont commencé à fleurir sur les murs des halls d’immeuble. De plus en plus nombreux. « Des gens sont venus nettoyer mais ils ont eu beaucoup de difficultés à tout enlever », explique le riverain. Roger, de son côté va dans le sens de son proche voisin. « On ne peut pas dire que ce soit de l’art… » Des sigles, des chiffres et autant de mots, placardés mais incompréhensibles pour ces habitants de la place Jean-Fragonard.
Du côté de L’Effort rémois, on dénonce ces actes de vandalisme : « …les communs ne sont en aucun cas un moyen d’expression mural… ». Un courrier a d’ailleurs été envoyé à l’ensemble des locataires en date du 4 juin. Une chose dérange pourtant Marc : « On va devoir payer le nettoyage ! ». Effectivement, le courrier de l’organisme logeur stipule : « Devant de tels agissements, nous nous sommes vus dans l’obligation de faire intervenir une société de nettoyage pour les escaliers, il va de soi que ces prestations seront facturées dans les charges locatives ».
Marc évoque d’autres actes notamment « des gens qui urinent dans les ascenseurs, des poubelles déposées ça et là… La femme de ménage qui intervient quotidiennement ici nous dit en avoir marre ». Dernièrement, ce sont des traces et morceaux de craie qui parsèment le sol des entrées d’immeubles. « Une société qui effectuait des travaux de sondage a laissé des gravats. Imaginez les dégâts… », dénonce le locataire. « Je suis certain que ce qui se passe au n° 1 se passe également dans les six autres HLM de la place Jean-Fragonard ». Marc n’envisage pas de quitter son appartement dans les prochains mois mais il avoue avoir peur pour sa famille.
« Il n’est pas rare de tomber nez à nez avec des gars bourrés à 3 heures du matin, installés dans les escaliers ». C’est accompagnés de leur père que les enfants de Marc patientent à l’arrêt de bus. « C’est vrai, on ne peut pas encore parler de vraie violence. Pas encore… ».
Pour L’Effort rémois, « ce manque de civisme et de respect vis-à-vis de tous est tout à fait intolérable, nous ne pouvons tolérer plus longtemps cette situation », affirme-t-on dans un précédent courrier daté du 21 avril dernier. « Il semblerait que les enfants de certains locataires soient en partie responsables de ces faits, et s’il s’avérait que tel était le cas, nous ne manquerions pas de facturer aux parents responsables les différentes interventions ».
Corinne LANGE
Geneviève Kaczowka, conseillère municipale, présidente du GADL et de l’association Force ouvrière des consommateurs,
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Dans notre article sur la réunion du Groupement des associations de défense des locataires de Reims (l’union du mardi 8 juin), nous avons rappelé que le GADL était « présidé par Geneviève Kaczowka, qui est également vice-présidente départementale de l’association Force ouvrière des consommateurs, vice-présidente de l’association des locataires des Polygones et conseillère municipale », ce qui est la vérité.
Toutefois, Mme Kaczowka, qui invente le concept d’« intermittent du conseil municipal », tient à préciser que, le 4 juin, pendant la réunion qu’elle présidait, elle n’était pas conseillère municipale, mais vice-présidente départementale de l’Association force ouvrière des consommateurs.
Par ailleurs, « je n’ai jamais dit que les sociétés intervenantes sous-traitaient, et je n’ai jamais prononcé qu’il s’agissait de Kosovars, Turcs… etc.
Ces mots ont été prononcés par Mme Marandon (CGL), une autre présidente d’association. »
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Ça y est. Le petit Rose va enfin pouvoir sortir de son enclos.
Mercredi, jeudi et vendredi, le tram ira faire des tours sur l’avenue Léon-Blum à Croix-Rouge. D’un rond-point à l’autre, en passant par la station, il va se balader sous surveillance.
Pour éviter tout incident, des membres du personnel technique seront sur place en permanence.
Ils feront attention aux piétons pas encore habitués à croiser une machine sur les rails et aux automobilistes qui devront apprendre à laisser passer le tramway.
Ces balades ont principalement pour but de tester la signalisation lumineuse autrement dit les feux rouges et verts, au niveau des deux ronds-points de l’avenue.
Pour les Rémois, ce sera le premier contact avec le tramway en route.
Les travaux du tramway ont beau causer quelques désagréments dans la vie des Rémois, tout le monde ne s’en plaint pas. Certains, en effet, y trouvent quelques avantages substantiels en revendant le cuivre dérobé sur les différents chantiers du tracé.
Vu le cours du cuivre, pas étonnant, donc, qu’un nouveau vol de câbles ait eu lieu, samedi, dans le quartier Croix-Rouge.
Mais, parfois, il arrive que le crime ne paie pas, comme l’a appris à ses dépens un individu interpellé peu après les faits, vers 18 h 30, en compagnie d’une connaissance, en possession d’un sac contenant des câbles de cuivre.
Déjà connu des services de police, le mis en cause, âgé de 28 ans, a fini par reconnaître le vol au cours de sa garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police.
Son comparse a, quant à lui, été mis hors de cause.
F.B.
Il était environ 3 h 30, dans la nuit de samedi à dimanche, quand un feu s’est déclaré au sein d’un local à ordures d’un immeuble de l’allée des Savoyards, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims.
Les sapeurs-pompiers ont rapidement circonscrit le sinistre, mais trois personnes ont été légèrement incommodées par les fumées qui se sont propagées aux étages.
Aucun relogement n’a cependant été nécessaire.
L’origine de l’incendie demeurait indéterminée, hier.
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Hier après-midi au Creps de Reims, Sébastien Jolly, déjà titré pour ses débuts en 35 ans, a réussi le doublé. Christian LANTENOIS
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On attendait une passation de pouvoir. Caroline Colomb et Sébastien Jolly en ont décidé autrement…
RETRAITÉ de la Détection nationale, Gérard Valentin avait reçu un texto : « Incroyable, je suis en finale. Viens me voir ». Au « clavier », l’une de ses anciennes disciples, Caroline Colomb, 37 ans…
Ces championnats de Champagne (2e série) aurait pu être, chez les filles, ceux d’un passage de témoin entre générations.
La veille, Claire Makhloufi (14 ans) avait ouvert une brèche dans le mur de l’expérience en perfant contre Laetitia Tordo, 40 ans.
La Givetoise de Géo-André n’avait plus qu’à confirmer devant ladite Caroline Colomb pour espérer défier en finale Charline Braidy dans le derby ardennais de la relève.
La toujours 0 du TC Troyes en a décidé autrement avec son style en « ronds » si particulier qui a déstabilisé aussi bien Claire (2/6) que Charline (- 4/6).
Le débat entre les pro et les anti-Colomb a vécu deux épisodes de plus au Creps de Reims : « Face à Caroline, il faut être forte tactiquement et mentalement car rien que sa renommée impressionne. Elle ne lâche pas un point et fait déjouer ».
Pour déjouer, Claire Makhloufi et Charline Braidy (« malgré 25 points à la volée ») ont déjoué. La première a vite mené 2-0 pour se perdre dans la 4e dimension : « Dans ma catégorie d’âge, je n’ai pas l’habitude de rencontrer ce style de jeu. Les balles sont plus tendues, là, ce ne sont que des balles chopées, des amortis… ».
Charline Braidy est parvenue à revenir à 3-3 dans le second set, pour elle aussi craquer sous l’avalanche des trajectoires en cloche millimétrées : « Il faut jouer vite sur le rebond », expliquait Gérard Valentin.
Du jeu, pas du jeu ? « J’adore ». Caroline Colomb a fini de s’émouvoir de sa mauvaise réputation. Hier, l’ancienne du Cormontreuil TC préférait savourer son premierr titre en 2e série, vingt ans après avoir bataillé avec une certaine Laetitia Tordo. Ironie, le cru rémois 2010 aura sacré les deux (déjà) champions des + 35 ans.
Poussé en trois sets en quart par Gabriel Andruejol, Sébastien Joly (- 4/6) a su, entre partenaires de club, franchir les obstacles : Jean-Charles Robert (diminué par une blessure) puis Vincent Lévêque (- 2/6).
Le professeur du Creps y est allé pas à l’intox mais presque : « Il m’a asphyxié en début de match. Une grosse fatigue, il faisait très lourd et la surface qui n’avance pas trop lui convenait », commentait son adversaire. « Toutes les rencontres ont été dures ». Sébastien Jolly a « crampé sur le béton poreux » en milieu de 2e set mais a tenu (6-2, 6-3). Ecartant d’un sourire à peine agacé l’argument de l’âge : « Pour moi, ce n’est pas une inquiétude que je sois champion pour la 9e fois à 35 ans, c’est une satisfaction. J’ai fait mon travail. Réussir le doublé (2e série, + 35 ans), c’est une performance ».
En « bâche » de fond, Roland-Garros : « En + de 35 ans (du 3 au 8 juillet), j’ai le temps. Non, mon objectif c’est l’Open (du 28 août au 4 septembre). Je joue bien en ce moment… ».
Roland-Garros : cette perspective qui rendait radieuse Caroline Colomb, faisait monter les larmes de Charline Braidy. A ce point que la native de Saint-André-les-Vergers a offert son visa avec classe : « Je fais déjà le championnat des + de 35 ans », confiait-elle
Pour Claire Makhloufi, la Porte d’Auteuil c’est dès mercredi pour les France des 13-14 ans. Un autre histoire : « La meilleure est - 15 quand même ».
Jean-Pierre PRAULT
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2e série. - Demi-finales Caroline Colomb (0, TC Troyes) bat Claire Makhloufi (2/6) 6-2, 6-0 ; Charline Braidy (- 4/6, Géo-André) bat Fanny Jarles (Saint-Dizier) 6-2, 6-1.
Finale : Colomb bat Braidy 6-3, 6-3.
3e série. - Claire Duter (5/6, Sedan) bat Clémentine Ziegler (15/3, Sedan) 3-6, 6-2, 6-1
4e série. - Solène Thériot (30/2, TC Pontois) bat Typhanie Bertrand (30/1, Bar-sur-Aube) 6-1, 6-2.
2e série. - Demi-finales : Sébastien Jolly (- 4/6, Cormontreuil) bat Jean-Charles Robert (- 4/6, Cormontreuil) 6-1, 6-2 ; Vincent Lévêque (- 2/6, Cormontreuil) bat Nicolas Beuque (- 4/6, Cormontreuil) 6-4, 6-2.
Finale : Sébastien Jolly bat Vincent Lévêque 6-2, 6-3.
3e série. - Kevin Dubois (15/1, Givet) bat Denis Perrot (15/1, Langres) 6-2, 6-3.
4e série. - Mathieu Devillard (30/1, AS du Tertre) bat Didier Maciacchini (30/2, Muizon) 6-2, 6-4
« À l’agence du Foyer rémois, on nous écoute mais il n’y a pas de suite », se plaignent de nombreux locataires.
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Nous recevons des alertes de tous côtés de Pays-de-France où le climat général semble se dégrader.
Ainsi, au 7 allée des Limousins, immeuble promis à destruction, il ne reste plus que quatre locataires. Tous les appartements vides du Foyer rémois sont condamnés, ornés de plaques métalliques, à l’exception de ceux qui sont gérés par le CROUS qui n’a pas réagi. Résultat : « ils sont squattés, on y trouve des cyclomoteurs, mobs, quads et boosters, des matelas, dans un état de saleté indescriptible ! » a constaté cette bénévole de l’association de locataires.
Au 1, Landais, c’est un habitant du 5e étage qui se fait l’écho des locataires : « Les pigeons sont rois ici, il y a une couche de 3 cm de fiente sur tous les balcons. On ne peut plus ouvrir nos fenêtres tant l’odeur est forte ! Le Foyer rémois nous dit que c’est un problème municipal, le service hygiène de la Ville nous répond que c’est un problème Foyer rémois ! »
Aux Gascons, ce sont les caves qui posent problème : « Impossible d’y accéder, c’est un capharnaüm indescriptible et, de toute façon, c’est chasse gardée, territoire interdit », se plaint cette locataire qui a lancé une pétition spontanée.
Enfin, le parking des Bourguignons se transforme en piscine à la moindre pluie : « Il faut s’équiper de bottes si l’on veut s’y garer ! » Dernier méfait constaté, le local de l’ancienne annexe de la MJC, au 6 allée des Picards, vient d’être saccagé. « Tout est cassé, il y a de la peinture partout, même les fils électriques ont été arrachés : le local est hors d’usage », rapporte un voisin. Des graffitis en guise de signatures affichent « Croix-du-Sud », mais personne n’est dupe : les véritables auteurs n’auraient pas signé leur méfait, « c’est une fausse piste pour relancer une guerre de secteurs… »
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Au cours de la dernière réunion du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny, les services de Reims et de l’agglomération ont présenté le plan propreté mis en place par l’équipe municipale. Une habitante a témoigné : « Vos services ont réalisé un environnement agréable à proximité du gymnase Jean-Jacques-Lapique, avec en particulier de beaux parterres fleuris. Hélas, faute d’entretien, ils se sont rapidement dégradés ! Par ailleurs, les élèves du lycée voisin Arago ne respectent pas les lieux : papiers, emballages et canettes vides jonchent le sol ! »
La dame a bien tenté de rencontrer la proviseure du lycée, mais en a été empêchée : « la personne chargée de l’accueil à l’entrée du lycée m’a objecté que rien ne prouvait que c’étaient les lycéens qui dégradaient l’environnement, et de toute façon, ce n’est pas au lycée de faire l’éducation des jeunes… »
Le conseil de quartier a pris acte de ce problème. « À la suite de cette réunion, j’ai demandé aux services d’étudier l’installation de poubelles sur le parking du gymnase et quelques semaines plus tard, trois poubelles neuves ont été installées », annonce le premier adjoint Eric Quénard : « Au-delà de la réactivité dont les services de la collectivité ont su faire preuve, cette installation est une illustration concrète de l’utilité des conseils de quartier dans la vie quotidienne des habitants. »
REIMS (Marne). Une bande armée a encore fait du ramdam au pied des immeubles, dans la soirée de jeudi. Un étudiant et quatre mineurs ont été interpellés.
DECIDEMENT, ça chahute pas mal dans le groupe Eisenhower de Reims ces jours-ci ! Il y avait déjà eu un gros attroupement armé mardi dans ce pâté de grands immeubles à l’entrée du quartier Croix-rouge, en deux séquences, agrémenté de plusieurs détonations ressemblant à des coups de feu.
Les habitants « ordinaires » en avaient été considérablement impressionnés. Certains avaient parlé de « régiment », de « défilé » devant le nombre des attroupés munis de barres ou de matraques (notre édition d’hier).
Et jeudi soir, « ils » ont remis ça. Qui ça, ils ? On ne saurait le dire avec exactitude. Des individus aimant la violence manifestement : une trentaine selon la police, armés là encore de barres ou de bouteilles ; les forces de l’ordre ont dû faire usage du flash-ball pour ramener le calme.
Un individu avait été interpellé lors de l’échauffourée de mardi ; jeudi, les policiers ont mis la main sur cinq individus, un majeur et quatre mineurs.
Et le majeur était présenté dès hier devant le tribunal correctionnel selon la procédure de comparution immédiate, pour « violence urbaine ».
Les policiers affirment qu’il faisait partie de l’attroupement armé. Lui-même aurait été porteur d’une barre de fer.
L’intéressé, un garçon de 24 ans, étudiant en psychologie, dément formellement. Lui ne faisait que passer par là par hasard au sortir d’un restaurant.
Et de barre de fer dans ses mains, point. Les policiers insistent pourtant : ils ont dû le frapper au poignet d’un coup de tonfa (un bâton réglementaire de maintien de l’ordre) pour le désarmer.
« Regardez mes mains, je n’ai aucune trace de coup ! se défend-il. Et puis j’ai déjà fait de la prison, et maintenant je reste à l’écart de tous ces problèmes. Pourquoi est-ce que j’irais gâcher ma vie en me battant avec les policiers ? » « Mais pourquoi vous aurait-on interpellé vous ? » s’étonne la présidente. Bonne question en effet.
Les policiers auraient-ils capturé le garçon au hasard, tout simplement parce qu’il était l’un des rares qui n’avait pas l’air de se sauver, et qu’il était donc plus facile à attraper que les autres ? « Vous n’avez aucun élément matériel ! » plaidait la défense par la bouche de Me Ponton : « Pas d’empreinte sur la barre de fer en question, pas de trace du coup de tonfa sur le corps de mon client ! et les autres personnes arrêtées nient également. Les policiers n’ont pas arrêté les bonnes personnes ! »
Une version que le procureur avait contrecarrée par avance, estimant que devant les dénégations des prévenus, c’étaient les procès-verbaux qui faisaient foi. Les juges n’ont pas voulu s’opposer à cet usage.
Suivant la version de la police, ils ont donc condamné Houcine Ben Kirate à six mois de prison, dont trois fermes. Histoire d’ôter l’envie à d’autres de continuer le petit jeu des rassemblements nocturnes ?
Antoine PARDESSUS
Trois des jeunes mineures interpellées rue Pierre-Taittinger pour vol avec violence de sac à main commis mardi après-midi rue Branly (notre édition du 11 juin) ont été mises en examen par le juge des enfants puis remises à leurs parents.
Les deux autres ont été mises hors de cause.
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C’est de nouveau au collège Pierre-de-Coubertin que l’association des Parents d’Elèves de l’Enseignement Public de Reims (PEEP Reims) a remis les récompenses aux lauréats du concours Grand prix des jeunes lecteurs.
Les collèges Colbert, Léonard-de-Vinci, Robert-Schuman, Paul-Fort, Saint-Remi, Paulette-Billa, Joliot-Curie, Georges-Braque et Raymond-Sirot ainsi que les écoles élémentaires Jard, Croix-Bonhomme, Sully, Ruisselet, Gerbault, Martin-Peller et Zola ont été récompensés pour leur participation. Tous ces établissements ont reçu des bons d’achat ; ce qui leur permettra d’enrichir les fonds des CDI et des bibliothèques scolaires.
Des enfants ont également été récompensés :
Pour les élèves de CM2 : 1. Juliette Cahon, de l’école Jard ; 2. Claire Haëm, de l’école Jard ; 3. Emma Villemonais, de l’école Croix-Bonhomme ; 4. David Augustin, de l’école Jard ; 5. Aylin Cakir, de l’école Jard.
Pour les élèves de 6e : 1. Marc-Antoine Leroy, du collège Léonard-de-Vinci ; 2. Julie Duchêne, du collège Robert-Schuman ; 3. Lynn Husson, du collège Université ; 4. Zélia Falala, du collège Université ; 5. Juliette Sacre, collège Robert-Schuman.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100611h
Numéro 7345 du 07 au 13 juin 2010.
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
INTERDICTION DE GÉRER
Par jugement en date du 23/03/2010, le tribunal de commerce de REIMS a prononcé l’interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler, directement ou indirectement, soit toute entreprise commerciale ou artisanale, toute exploitation agricole et toute personne morale, soit une ou plusieurs de celles-ci pour une durée de 5 ans à l’encontre de Monsieur LEBLANC Philippe, 19 groupe Eisenhower - 51100 REIMS, dirigeant de la société : LEBLANC Philippe, 19 groupe Eisenhower - 51100 REIMS.
85929
Le greffier :Bernadette DELPY.
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REIMS (Marne). Plus ça avance, et moins ça se termine… les Rémois en ont plus qu’assez des travaux. Encore deux à trois mois à tenir.
ÇA n’en finit pas. Le bruit, la poussière, les bouchons… Les Rémois commencent à saturer. Les commerçants commencent à suffoquer. D’autant plus que les dates de fin de travaux qu’on leur avait annoncés il y a un an n’ont pas été respectées. Le chantier du tram a pris du retard sur quasi tous les secteurs. La rue Schweitzer et le cours Langlet auraient dû être finis depuis février, l’avenue de Laon depuis avril sur sa portion sud, Bonaparte en avril… en définitive rien n’est encore terminé, à l’exception peut-être de la chaussée Bocquaine (lire par ailleurs).
« Les intempéries subies cet hiver et le printemps maussade qui a suivi nous ont obligés à revoir nos plannings », explique Manuel Pierre, directeur de la construction chez Mars. « Je précise que malgré ce nouveau calendrier, nous ne sommes pas en retard par rapport à notre cahier des charges. Ces modifications n’auront pas d’incidence sur la date de mise en service du tram ». Ils vont avoir une incidence sur le moral des Rémois. Courage, la fin reste tout de même proche. Voici le nouveau calendrier de fin des travaux secteur par secteur :
Les gros travaux seront finis fin août. La rue Schweitzer à Orgeval pourrait être la rue de Reims qui a le plus souffert. Malheureusement (ou heureusement) ce n’est pas fini car après celles du tram, les habitants vont voir arriver les pelleteuses de la rénovation urbaine.
De la place des Belges à Saint-Thomas, les gros travaux seront terminés fin août. De Saint-Thomas à Pont de Laon, il faudra patienter jusqu’à fin septembre. C’est à ces deux dates que la circulation sera remise à double sens. Il y aura des travaux devant l’église Saint-Thomas jusqu’à fin octobre pour la réalisation du parvis et du parking Fossier.
Place de la République
La circulation sera à nouveau normale début septembre. Il y aura encore des travaux autour de la porte Mars jusqu’en fin d’année.
Tout le centre-ville sera terminé début septembre à l’exception du cours Langlet livré fin septembre et de la place Jules-Lobet pas finie avant fin octobre. Le retard cours Langlet n’est pas dû qu’à l’hiver. La collectivité a demandé à Mars d’ajouter un carrefour qui n’était pas prévu à l’intersection avec la rue des Élus : « Cette modification a été demandée pour permettre aux bus de passer par la rue des Élus au lieu de descendre par la place du Théâtre », fait savoir Reims Métropole.
Les automobilistes seront libérés début septembre. L’ascenseur à vélo du pont de Vesle ne sera pas terminé avant fin octobre mais cela n’empêchera pas la circulation de reprendre sur le pont dès début septembre.
L’avenue Bonaparte sera finie fin septembre, Blum et Maréchal-Juin, début septembre.
Le prolongement de la ligne jusqu’à la gare TGV reste un point d’interrogation. Une chose est certaine, l’agglo ne le fera pas faire avant la mise en service. En attendant de trouver les fonds et d’être certain que cela vaut la dépense, Reims Métropole prolongera le parvis de la gare en pente douce jusqu’à la station de tramway.
Catherine FREY
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Une enquête nationale révèle que les bailleurs marnais augmentent trop leurs loyers par rapport à ce que préconise l’État. Pas si simple…
DEPUIS hier, le Foyer rémois est célèbre au plan national.
L’organisme logeur s’est fait remarquer par la forte augmentation de ses loyers par rapport aux souhaits de l’État.
Benoist Apparu, député de la Marne et secrétaire d’État au Logement a, dans une circulaire datée du 12 octobre dernier, recommandé de ne pas pratiquer des hausses supérieures à 1 % en 2010.
Visiblement désobéissant, le Foyer rémois a augmenté ses loyers de 2,5 %. Ses deux collègues, Reims habitat et l’Effort rémois ne sont guère meilleurs élèves. Ils ont augmenté les leurs de 2 %.
Les bailleurs rémois sont-ils à ce point assoiffés d’argent ?
Ce n’est pas ainsi que Christophe Villers, directeur général du Foyer rémois voit les choses : « Nous posons chaque année 10 millions d’euros sur la table pour réhabiliter et entretenir notre parc de 12.000 logements. Nous avons plus de 1.000 logements en cours de construction et plus de 30 opérations de chantier », énumère-t-il.
« Nous ne pouvons pas mener cet effort sur notre patrimoine sans prévoir de ressources », ajoute le directeur.
« Il nous faut constamment trouver un équilibre entre notre vocation sociale et notre mission de rénovation. On parle de Grenelle, de développement durable mais derrière les améliorations de l’habitat, il y a forcément un coût. »
Autrement dit, Benoist Apparu est bien gentil mais on ne peut pas demander à la fois aux bailleurs de rénover leurs blocs et de ne pas augmenter leurs loyers. Leur demander cela serait, comme qui dirait, un peu… surréaliste ? Démago ? Hypocrite ?
Consolation pour les locataires rémois qui vont subir l’augmentation : « Les travaux que nous réalisons actuellement devraient déboucher sur une baisse des charges. Baisse qui devrait à terme compenser la hausse », conclut Christophe Villers. On attend de voir.
Catherine FREY
Une barrière en hauteur a été installée à l’entrée du parking de Reims habitat. Les locataires de l’Effort rémois réclament la même à l’entrée de leur propre parking.
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Aux Hauts-de-Murigny, les deux parkings Reims habitat et Effort rémois étant mitoyens et non fermés, tous les locataires des immeubles environnants se garaient là où ils pouvaient, depuis des années sans que jamais personne n’y trouve rien à redire.
Mais, à la suite des travaux de rénovation effectués aux alentours de la tour Gandon, une quinzaine de places de parking a été supprimée. Même problème avec les travaux de déplacement de l’agence Croix-du-Sud de Reims habitat à Toulouse-Lautrec : une douzaine de places en moins ! Pour les automobilistes, il faut bien retrouver des places ailleurs !
Or, depuis que Reims habitat a installé une barrière en hauteur pour limiter le stationnement des gros véhicules sur son propre parking, ils viennent à présent se garer sur le parking de l’Effort rémois, « où ils ont une préférence pour le second niveau, plus près des immeubles, où ils risquent moins les incendies ! », précise une bénévole de l’association At’Hom. Les locataires de l’Effort rémois demandent en conséquence l’installation chez eux aussi d’une barrière en hauteur à l’entrée de leur propre parking.
« Puisque Reims habitat peut le faire, pourquoi l’Effort rémois ne pourrait-il pas le faire ? », argumente une habitante, remontée.
Responsable du secteur pour l’Effort rémois, Nicolas Quinquis, a rencontré à ce sujet les responsables de l’association At’Hom : « Il est bien conscient du problème de stationnement posé par les fourgons qui stationnent à présent sur ce parking, et risquent de l’endommager -car nul ne sait ce qu’il y a à l’intérieur de ces véhicules, et multiplié par une dizaine, cela fait du poids- mais il informe qu’il n’est malheureusement pas pour l’instant dans les projets de l’Effort rémois d’installer une barrière en hauteur, faute de finances », rapporte la présidente. « Le problème sera revu à l’automne pour essayer d’inscrire cette installation dans les gros travaux 2011 voire 2012. »
Autant elle peut sembler calme le jour, autant l’esplanade Eisenhower semble abriter des rassemblements peu rassurants la nuit.
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Il y a eu de l’agitation du côté des immeubles d’Eisenhower à Reims au cours de la nuit de mardi à mercredi. La police a vu moins de monde que les habitants.
Que s’est-il passé exactement à Reims au groupe Eisenhower dans la nuit de mardi à mercredi ? Guerre entre bandes, tentative de lynchage ou simple petite bagarre ? Difficile de se prononcer.
Ce qui est sûr, c’est qu’il s’est passé des choses pas très orthodoxes, dans le genre attroupement menaçant et détonations plus que suspectes, et si peu ordinaires que ces événements ont marqué certains habitants de ce pâté de grands immeubles d’une dizaine d’étages chacun.
Habitants qui n’acceptent de témoigner que sous le couvert de l’anonymat, par crainte d’éventuelles représailles.
Ainsi cet homme d’une trentaine d’années : « Ça a commencé vers 21 heures. Tout d’un coup, j’ai vu de ma fenêtre une bande d’individus avançant comme un régiment, je dirais qu’ils étaient entre trente et cinquante, vociférant, lançant des menaces et des insultes, armés de bouts de bois ou de matraques, on aurait dit qu’ils cherchaient quelqu’un. Et puis ça s’est calmé, jusque vers une heure moins le quart. Je n’étais pas encore couché, et là il y a eu des éclats de voix, et des coups de feu : j’en ai vu un, et entendu deux autres. Et les policiers sont intervenus. »
La mère de ce témoin, qui habite un autre appartement dans le même secteur, parle pour sa part de « cortège », de « défilé » pour évoquer l’attroupement initial, « qui se dirigeait vers l’annexe de Reims habitat » (organisme logeur, ndlr) ; en tout cas cette dame est catégorique : « J’habite ici depuis 1992, je n’avais encore jamais vu une bande comme ça ! » Et elle aussi affirme avoir entendu des coups de feu.
« En ce moment, c’est vrai qu’il y a de l’ambiance ici le soir », confirme un troisième homme. Lui aussi a vu un attroupement armé de bouts de bois ou autres outils du même style. « Je dirais qu’ils étaient une centaine. La police est arrivée tout d’un coup en masse, neuf véhicules, des CRS, un chien, apparemment il y a eu une course entre la bande et les flics… »
Du côté de ladite police, on confirme l’intervention, certes, mais on se veut rassurant : la version qu’elle avance dans l’immédiat est celle d’une (banale ?) bagarre entre bandes de jeunes, qui ne comptait chacune guère plus qu’une dizaine d’individus. Des coups de feu ? Des détonations oui, des coups de feu, ce n’est pas confirmé : les gens auront pu confondre avec des claquements de portière…
Un individu porteur d’un fusil de chasse a toutefois été interpellé. Et une enquête est en cours. On n’en saura donc pas plus, et on ne saura donc pas dans l’immédiat si ce sont les habitants qui ont vu double ou triple ou si les policiers ont raté une partie du spectacle.
Antoine PARDESSUS
Une jeune fille d’une vingtaine d’années a été agressée pour son sac à main mardi vers 17 heures dans le secteur de la rue Pierre-Taittinger à Reims. Selon la police, la jeune fille aurait été remarquée par un groupe de jeunes mineures de 14-15 ans alors que toutes se trouvaient dans un même bus.
Une fois descendue, la jeune fille isolée aurait été suivie par le groupe, puis agressée assez violemment, les agresseuses tirant les cheveux de leur victime, la mettant au sol et lui donnant des coups de pied.
Puis elles ont pris la fuite en s’engouffrant dans un bus, mais la police a rapidement réagi, faisant arrêter le bus en question et procédant alors à l’interpellation de quatre membres de la bande.
Une cinquième jeune fille avait réussi à prendre la fuite, mais, ayant été identifiée, elle a été interpellée plus tard à son domicile.
Une partie du butin a été retrouvée et restituée à la victime.
A.P.
Stoppée en demi en 2009, Charline Braidy aura à cœur d’aller cette fois jusqu’au bout au Creps de Reims.
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L’an dernier, Amélie Thévenot avait été impitoyable avec la jeune garde ardennaise, s’offrant dans la douleur (7-5, 6-5) Charline Braidy en demi puis plus aisément Zoé Hamel en finale.
Ce week-end, toujours au Creps de Reims, la Chaumontaise ne défendra pas son titre (2e série). Au même moment, elle se trouvera à Vichy où elle accompagnera son époux mobilisé « pour faire passer le Capeps ».
La voie sera donc libre pour Charline (Géo-André), tête de série à - 4/6, et Zoé (1/6), mais aussi pour deux autres Ardennaises : Laetitia Tordo (0) et Claire Makhloufi (2/6). L’ancienne de l’Europe et la petite dernière de Géo-André !
Championne régionale des 13-14 ans, la Givetoise du TC Géo-André essaiera pour sa première à ce niveau de « percer » un tableau délesté des « Rémoises » de l’Europe : la n° 1 Nathalie Mohn et la Carolo Marie Menacer.
Les deux espoirs nationaux ont été engagées sur le circuit WTA par leur entraîneur Pheng : « Elles disputeront des tournois aux Pays-Bas, Alkmaar, Rotterdam, puis en Belgique, Bruxelles et Charleroi. C’est un choix. Nathalie et Marie Menacer ont d’autres objectifs ».
Outsiders : Caroline Collomb (Troyes) et Fanny Jarles (Saint-Dizier).
Qualifiées : Jackie Lassaux (Sedan), Carole Boudaud (Saint-Dizier).
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Même donnée chez les hommes où le champion en titre Matthieu Roy ne remettra pas sa couronne en jeu.
Suite conforme à ses ambitions sur le circuit des Futures, l’Européen de 21 ans (1022e mondial) a muté à Blanc-Mesnil.
Finaliste malheureux en 2009, le Cormontreuillois Sébastien Jolly fera figure de favori. En dépit d’un âge (35 ans) qui va lui permettre de batailler à Roland-Garros pour les France de sa catégorie (après son titre régional à Troyes).
Si les courants seront ardennais chez les filles, Cormontreuil aura carrément le vent dans le dos avec les autres - 4/6 Nicolas Beuque (ex - 15) et Jean-Charles Robert, mais aussi le - 2/6 Vincent Lévêque.
Sans oublier le jeune (22 ans) Benjamin Pillet, classé à 0, à égalité avec Gabriel Andruejol : « Il passe le BE cette année et il est moins bien que la saison passée », confie Pheng.
Pour tenter de brouiller les cartes, l’Europe misera aussi sur les 1/6 Florent Seuret, Alexandre Gajanovic et Théophile Castelhano.
Jean-Pierre PRAULT
Chez les filles (3e), Béatrice Plodzien (15/1, TC Reims), Pauline Thiéry (15/1, Witry-les-Reims) chercheront à prolonger les échanges de la finale départementale (victoires en 3 sets de la première). Les Sedanaises Claire Duter (15/1) et Clémentine Ziegler (15/5 mais ancienne 2e série et en plein come-back) peuvent jouer les arbitres.
A suivre chez les hommes- où sont attendus les 15/1 du TC Reims Sébastien Liesch et de Nouzonville, Alexandre Aernout le parcours du Givetois Kevin Dubois, finaliste régional en 15-16 ans, sera suivi avec attention.
En 4e série, la représentation sera ardennaise (Anaïs Garcia, Valérie Noël) chez les féminines, et partagé chez les masculins avec les 30/1 Didier Maciacchini (Muizon) et Mustapaha Djebel (PU Charleville).
DEMAIN. - Au Creps de Reims : à partir de 10 heures, dernières parties à 19 heures.
DIMANCHE. - 9 heures : demi-finales ; 14 heures : finales 4e série (H et D), 3e série (F) ; 15 h 30 : finales 2e série (H et F), 3e série (F).
Les Rapaces devront avoir le don d’ubiquité ce week-end. Ils seront sur trois fronts en même temps.
Dès ce soir, les juniors sont engagés à Anglet en finale nationale. Huit équipes sont réparties en deux poules. Reims affronte Grenoble (20 h 30), Caen demain midi (13 h 15) et Tarbes demain soir (19 heures).
Les Rémois doivent terminer dans les deux premiers pour jouer les demi-finales dimanche contre Rouen, Anglet, Viry-Châtillon ou Lyon.
Pendant que les juniors disputeront ce titre (une première dans l’histoire du club), le RHR sera impliqué dans l’organisation de la finale nationale réservée aux poussins et benjamins, au gymnase Lapique (près du lycée Arago).
Anglet, Nantes, Saint-Médard-en-Jalles et Villeneuve-la-Garenne seront aux prises chez les premiers. Grenoble, Nice, Villenuve-la-Garenne et Maisons-Laffitte le seront chez les seconds.
Enfin, troisième théâtre d’opération du RHR, les féminines seront engagées à Rennes pour les finales N2. Un tournoi à quatre doit désigner les championnes de France.
Rennes sera favori, mais, derrière, c’est ouvert. Reims a ses chances comme… Vitry-le-François dans un derby qui sera acharné. Les Vitryates ont battu les Rémoises en Coupe de France. Varces, quatrième équipe en lice, a toujours vaincu Reims, mais de peu. Alors…
L’hebdo du vendredi- n° 172 - 100610b
INITIATIVE : Le Bistroquet : le rendez-vous du quartier ?
Sitôt ouvert, le Bistroquet a déjà trouvé sa vocation : un lieu de partage et d’échange.
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Ouvert depuis lundi à Croix-Rouge, le Bistroquet est le premier café implanté dans le quartier. Ce bar associatif s’inscrit dans la politique de rénovation urbaine et de dynamisation de la ville.
« Longue vie au Bistroquet ! » C’est en ces termes qu’ Adeline Hazan, a achevé son discours d’inauguration du premier café associatif du quartier Croix-Rouge, lundi 7 juin. Gérer par l’association 2 Mains avec le concours d’autres associations du quartier, le Bistroquet devrait être le théâtre de nombreuses animations. Expositions de photographies, en pleine actualité avec la projection de matches de la Coupe du Monde de foot, organisation de concerts ou débats, il sera, d’après la maire de Reims, « un lieu de partage et d’échanges intergénérationnels. » Objectif : renforcer le quartier par le lien social. À la carte du troquet, si l’alcool est proscrit, les plats seront préparés avec des produits issus du jardin d’insertion de Vitry-le-François.
Prix raisonnables assurés !
Ce projet de bar associatif s’inscrit dans la continuité de la politique de rénovation urbaine menée par la Ville. Implanté dans le quartier Croix-Rouge, le Bistroquet est situé à proximité d’une station de tramway (Blum). Avec cette initiative, les différents partenaires du café associatif – à savoir l’Effort rémois, la Ville de Reims, l’association 2 Mains, l’État, Alpha logement et le Fonds pour l’innovation sociale des entreprises sociales de l’habitat – espèrent ouvrir Croix-Rouge vers l’extérieur et ainsi dynamiser la ville.
Parquet neuf, peinture fraîchement apposée, cuisine équipée, le montant des travaux entrepris pour l’ouverture du Bistroquet s’élève à plus de 25 000 €. Derrière le comptoir, Rafik Kobzili, responsable du café et coordinateur de l’animation, et quatre aides cuisine et service s’activent déjà. La plupart du personnel engagé bénéficie d’un Contrat d’Accompagnement dans l’Emploipasserelle.
Dès ce vendredi soir, ils accueilleront les supporters de l’équipe de France pour la diffusion du match contre l’Uruguay. Les habitants de Croix-Rouge sont enthousiastes, il faut dire que, jusqu’ici, le quartier qui réunit plus de 10% de la population rémoise, ne disposait d’aucun café !
Manon Royer
Le Bistroquet, 5, Avenue Léon Blum à Reims. Ouvert du mardi au vendredi de 9h à 15 h et le samedi de 9h à 19 h. Nocturne le mercredi et le jeudi jusqu’à 21h.
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Mardi soir, peu avant minuit, une voiture s’est embrassée « toute seule » rue Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge.
Plus de peur que de mal : aucun blessé n’est à déplorer malgré le feu qui a ravagé le Renault Espace.
Les pompiers ont rapidement maîtrisé l’incendie.
Selon les premières constatations effectuées et les déclarations du propriétaire, il semblerait que la voiture souffrait de problèmes électriques depuis un certain temps. Et donc que l’embrasement ne serait aucunement volontaire.
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Un nouveau café associatif vient d’ouvrir à Croix-du-Sud. Son nom : Le Bistroquet. Un lieu convivial et intergénérationnel plein d’ambitions pour tous les habitants.
LE Bistroquet est le nom du café associatif qui vient d’être inauguré lundi dans le secteur Croix-du-Sud du quartier Croix-Rouge.
Ce lieu convivial était demandé par les jeunes du quartier depuis plusieurs années. Grâce à l’association 2 Mains qui a porté ce projet, celui-ci a enfin vu le jour.
Effectivement cette association a su apporter les éléments nécessaires pour que les partenaires comme la Ville de Reims, et plus particulièrement Éric Quénard qui a vivement défendu ce concept, l’Etat et le bailleur l’Effort rémois tombent sous le charme de ce café pas comme les autres.
Après quelques mois de remise en état des vieux locaux situés avenue Léon-Blum par des professionnels mais aussi par des jeunes de l’association encadrés par Stéphane et ses mains en or, le Bistroquet est aujourd’hui un café digne de ce nom.
Pour l’inauguration, Jean-Michel Gauthier, président de 2 Mains, et Jean-Louis Rumério ont invité les associations et les commerçants du quartier ainsi que le maire de Reims, Adeline Hazan, Éric Quénard son premier adjoint, le sous-préfet Jean-Jacques Caron et Laurent Roux de l’Effort Rémois qui successivement y sont allés de leur petit discours.
« Nous espérons que le Bistroquet saura rendre la fierté aux habitants de Croix-du-Sud », a expliqué Laurent Roux.
« Ce genre de lieu permet d’ajouter de l’humain à l’urbain des rénovations urbaines. Nous voulons que ce lieu devienne un lieu d’animation intergénérationnel », a souligné Adeline Hazan.
« L’ouverture de ce lieu est une étape importante dans la vie active du quartier mais aussi l’occasion de rappeler l’importance d’être soudé », a ajouté le sous-préfet.
Après avoir expliqué que ce lieu accueillera de nombreuses animations culturelles du type expo-photos, débats ou encore retransmissions dès le vendredi de certains matchs de la coupe du monde de football en plus des services de restauration et autres spécialités d’un café, le président a souhaité mettre à l’honneur Rafik, Aissatou, Eliette, Sophie, Elif et Sylvie, ces jeunes issus du quartier qui vont donner vie au bistrot.
Les invités ont ensuite été conviés à rejoindre les locaux de l’association voisine de l’Étoile Croix-du-Sud où un petit apéro les attendait. C’est un nouveau tournant qui vient d’être pris par l’association 2 Mains qui, une semaine après avoir inauguré ses jardins associatifs de Vitry-le-François, vient une nouvelle fois de lancer un message fort aux autres acteurs associatifs du quartier : quand on veut, on peut !
Thierry ACCAO FARIAS
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A l’approche des vacances, le lycée Joliot-Curie a présenté aux familles et aux invités - parmi lesquels M. Daudé, chef du service académique de l’orientation - une série de documents témoignant de divers projets menés à bien au cours de l’année scolaire : c’est le cas de l’action de remobilisation des jeunes entre 16 et 18 ans pour les « réconcilier avec l’école ».
Sous le nom de « Saci » (Socialisation, accompagnement, citoyenneté) ou encore « Action Parad », ce travail se fait également aux lycées Yser, Gustave-Eiffel et Croix-Cordier. En ce qui concerne le lycée professionnel Joliot-Curie, les jeunes ont été très motivés par la découverte des métiers liés au journalisme : techniques du reportage, rédaction d’articles, maîtrise de la vidéo et de la photo, visites à Paris et Reims dans des entreprises. La Cartonnerie a servi de cadre à des rencontres autour de la scène rémoise grâce à Cédric Cheminaud.
Marie C. Rogé, coordinatrice du projet, a noté l’excellence des portraits et interviews réalisés par les élèves auprès d’artistes tels qu’Exco, Gavroche, Guillaume de « The shoes », Startlion et surtout Barcella avant la sortie na tionale de son album le 31 mai dernier.
Autre point fort au lycée Joliot-Curie : une nouveauté qui consiste à mettre à l’honneur par un « Prix du mérite scolaire » deux élèves pour chacune des 26 classes de l’établissement.
Devant parents et collègues, le proviseur Gilles Gladieu a expliqué qu’il s’agissait d’une initiative des équipes qui, après avoir passé beaucoup de temps à suivre certains élèves nécessitant plus d’attention, souhaitaient mettre en évidence l’attitude positive de ceux qui, plus discrets, suivaient leur « petit bonhomme de chemin ». Avis a été pris auprès des responsables de la vie scolaire, des agents, des surveillants… « Le choix a été difficile… Nous avons été aidés par le foyer socio-éducatif », ont expliqué David Durand et Corine Gordeziej.
Ce sont donc 52 diplômes qui ont été délivrés, assortis d’un chèque-cadeau de 20 euros.
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Autre compte-rendu significatif présenté au CDI du lycée Joliot-Curie : le séjour à Londres des classes Bac pro Sécurité Prévention.
Les professeurs Aziz Meguebel, Franck Martin avec Frédérique Albert (prof d’anglais) ne tarissent pas d’éloges sur l’accueil réservé à leurs 40 élèves par la « London fire brigade » et par la police londonnienne qui leur ont proposé des tests, prêté des uniformes, dévoilé des dispositifs tels que les caméras de surveillance disposées dans la ville et le fonctionnement des patrouilles : « Nous avons même eu accès au 10 Downing street ! »
Ils ont aussi visité la Tate Modern, Covent garden, le stade de Chelsea et assisté à la relève de la garde. Une expérience inoubliable…
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La police continue de faire le ménage dans le milieu des tagueurs rémois. Sa dernière bonne prise était celle de Bazyk, un adolescent de 16 ans qui avait écumé le centre-ville depuis le mois d’octobre (l’union du 23 mai).
Après Bazyk, voici maintenant Zonar. Les enquêteurs de la sûreté départementale de Reims avaient une petite idée de son visage depuis qu’il avait été filmé par la vidéosurveillance urbaine en train de taguer avec une bombe de peinture des panneaux de chantier et du mobilier urbain rue Pierre-Taittinger.
C’était le 5 février. Les « Zonar » avaient fleuri le même jour avenue François-Mauriac et sur la rame d’un TER à la gare SNCF de Reims (là aussi, il a été filmé).
Les policiers ont fait le rapprochement avec une série de sept voitures recouvertes du fameux tag lors de plusieurs expéditions menées au centre-ville, ou ses proches abords, entre le 22 et le 30 janvier. Les véhicules étaient garés rue Ponsardin, place Paul-Jamot, boulevard Carteret, rue Edouard-Vaillant.
Placé en garde à vue, Zonar, alias un Rémois de 18 ans déjà connu pour des dégradations par tags, a tout contesté. Hélas pour lui, les films de la rue Taittinger et de la gare SNCF sont accablants. Le jeune homme a été remis en liberté avec une convocation le 6 septembre en correctionnelle.
Zonar a-t-il d’autres méfaits à se reprocher ? Ou bien sont-ils plusieurs tagueurs à utiliser cette marque de reconnaissance ? Un habitant du quartier de la Lézardière, entre Croix-Rouge et Tinqueux, a vu deux gros « Zonar » apparaître sur sa maison les 19 octobre et 24 décembre 2009. Il s’agissait plus précisément de « graffs », c’est-à-dire une sorte de fresque colorée avec les lettres remplies à l’intérieur.
En parcourant la ville, le plaignant a découvert nombre de ces « graffs » sur des façades d’habitations (avenue d’Epernay, avenue de Paris, avenue de Gaulle, rue Chabaud, rue du Lieutenant-Colonel-Schock, rue François-Dor…), sur le supermarché du boulevard Wilson, sur le hard discount du boulevard Franchey-d’Espérey, sur un transformateur de la rue Georges-Bernanos ou encore sur les bâtiments de l’école dentaire rue du Général-Kœnig.
Certaines inscriptions sont au niveau du sol, d’autres nécessitent de la souplesse et une absence de vertige car elles ont été réalisées en hauteur, après escalade sur des toits.
F.C.
Lundi vers 14 h 30, deux hommes se présentent chez l’opticien du centre commercial de l’Hippodrome, rue Pierre-Taittinger à Reims. Pendant que l’un des « clients » occupe le vendeur, l’autre s’assoit près de la caisse… et s’empare de 260 €.
En fuite à l’arrivée de la police, les auteurs présumés du vol ont été retrouvés à proximité.
Titulaires de casiers judiciaires à rallonges, Mustapha Idami, dit Moustique, et Miloud Lacheb, tous deux âgés de 38 ans, ont été présentés hier en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.
Ils ont demandé un délai pour préparer leur défense. Le tribunal a renvoyé le procès au 6 juillet et ordonné le maintien en détention des deux prévenus.
France Quatromme, conteuse, proposera samedi prochain ses « coussins de comptines ».
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Samedi 12 juin à 10 heures, France Quatromme, conteuse professionnelle, propose ses « coussins de comptines et son tapis à conter » pour rassembler parents et enfants.
Mercredi 16 juin à 9 h 30, l’heure des bébés, c’est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. Les bibliothécaires les accueillent avec des histoires à lire ensemble (durée : environ une demi-heure).
Mercredi 16 juin à 16 h 30, séance de diapositives « Petites comptines pour devenir grand » de Lionel Courgnaud : quatre petites histoires pour les enfants à partir de 2 ans.
Jeudi 17 juin de 14 à 16 heures, l’atelier « Jeudi Informatique » traitera de l’utilisation d’Internet. Inscription préalable obligatoire au 03.26.35.68.48.
Samedi 19 juin à 10 heures, la compagnie Association d’Idées Danse-Théâtre, avec la danseuse Caroline Chaudré, chorégraphiée par Agnès Rossinfeld, présente « Histoires de danser », un solo dansé, suivi d’un atelier donnant des éléments simples aux enfants pour les amener petit à petit à la découverte de la danse. Âge : 2-3 ans.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.
Toutes les activités sont gratuites sur inscription préalable au 03.26.35.68.51.
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Tout au long de l’année, la médiathèque Croix-Rouge propose de faire découvrir un corps de métier, en partenariat avec des acteurs de l’insertion professionnelle et des professionnels.
Mercredi dernier, sur une organisation de la Mission locale, ce sont les métiers de la restauration qui étaient à l’honneur. La médiathèque a accueilli une cinquantaine de jeunes, collégiens, lycéens mais aussi jeunes adultes de moins de 26 ans. Tous ont pu rencontrer les représentants du pôle emploi, la plateforme de vocations, où l’on pratique un recrutement par simulation, l’association de formation et d’enseignement continu (Afec et Greta), et d’autres organismes.
Présents également, des employeurs à la recherche de candidats en restauration : Champagne-Traiteurs, Campanile Taissy, Brasserie du Boulingrin,… pour des entretiens directs.
Par ces journées consacrées chaque mois à un nouveau corps de métier, « les organisateurs veulent décentraliser les actions de présentation des métiers dans les quartiers, par une action de proximité avec les jeunes », explique Estelle Derouillat, responsable du secteur emploi-formation de la médiathèque Croix-Rouge, un service qui fonctionne toute l’année. Ici, au-delà des diplômes, on teste ses capacités et ses envies.
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Le Groupement des associations de locataires de Reims (Gadl) regroupe sept associations rémoises de défense des locataires, des trois bailleurs - Effort rémois, Reims habitat et Foyer rémois - avec l’objectif d’être plus fort, de comparer leurs problèmes respectifs et de faire front ensemble. Trois nouvelles associations viennent de demander à les rejoindre : Val-de-Murigny, Champ-Paveau et Tinqueux.
Le Gadl s’est réuni vendredi dernier « pour dénoncer les mauvaises relations des associations membres avec les services de l’Effort rémois ». « Les réunions des conseils de concertation locative ne sont que des chambres d’enregistrement dirigées par le bailleur ! Nous en avons ras-le-bol d’être méprisés ! », exprime le Gald.
Cette réunion avait pour point de départ une demande commune des associations relevant de l’Effort rémois : « Que les réunions des conseils de concertation locative soient animées par le directeur général ou son adjoint, accompagné des services importants de l’organisme logeur ». Elles demandent aussi « que les responsables des secteurs soient également présents ».
Par ailleurs, « les différents courriers ne sont pas traités, mais laissés en attente de réponse pendant des mois, voire indéfiniment », fustige la Gald.
En conséquence, les représentants de l’amicale Naudin, de l’amicale Maryse-Bastié, de l’association At’Hom, de l’association des Polygones, de la Confédération générale du logement, de l’association Force Ouvrière des consommateurs (Afoc) et de la Confédération du logement et du cadre de vie (CLCV) ont boycotté la dernière réunion du conseil de concertation locative du 1er juin. Ils ont demandé une audience au directeur général de l’Effort rémois, Alain Nicole.
Ce dernier les recevra le 24 juin. En attendant il maintient sa position : « Je suis contre la présence des responsables d’agence au conseil de concertation locative pour éviter que des problèmes de gestion courante se traitent lors des conseils ».
Pour le patron de l’Effort rémois, on ne doit y traiter que des problèmes « de politique générale ». Or, les locataires ont des problèmes concrets, des problèmes de terrain, et veulent qu’ils soient évoqués.
« Nous nous plaignons du mauvais fonctionnement de la maintenance. Il n’y a aucune coordination avec l’Effort rémois dont les réponses sont toujours négatives », témoigne Jacques Lagel, de l’amicale Naudin, qui évoque l’exemple d’une porte de douche posée à l’envers et pour laquelle il a fallu attendre cinq mois avant intervention du bailleur.
« De toute façon, il est impossible de contacter le service des Aînés », confirme Geneviève Kaczowka (Afoc), qui révèle que l’Effort a choisi pour ses travaux des entreprises peu ou pas qualifiées, qui sous-traitent avec des ouvriers Kosovars ou Turcs qui ne seraient pas assurés. « Les décisions prises par les précédentes directions sont remises en cause par les nouveaux responsables », regrette pour conclure Claudette Verniolle, de l’amicale Maryse-Bastié.
Le Groupement des associations de locataires (Gald) de Reims est présidé par la conseillère municipale Geneviève Kaczowka. Celle-ci est également vice-présidente départementale de l’Association force ouvrière des consommateurs et vice-présidente de l’association des locataires des Polygones. Elle s’élève contre une autre irrégularité : « L’Effort rémois refuse obstinément de faire figurer le montant de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères sur une ligne particulière de notre facture mensuelle et l’inclut dans les charges des locataires, sans lisibilité, alors que ce n’est pas une charge mais une taxe ! ».
L’Effort rémois répond qu’il ne peut pas régulariser cette situation pour des raisons informatiques. « Qu’il se renseigne auprès des autres bailleurs ! », conseillent Claude Stoltz, de l’Union des locataires de Croix-Rouge, et Roselyne Marandon, du comité Pays-de-France de Croix-Rouge, organismes membres de la confédération générale du logement.
Pour Danièle Bonfils, de l’association At’Hom : « Ce refus d’établir une quittance de loyer détaillée, ce refus d’informer les locataires de ce qu’ils payent, au contraire de ce qui se fait au Foyer rémois et à Reims habitat, c’est prendre les locataires pour des imbéciles ! »
Avec deux montées, trois maintiens et une seule descente, le bilan de cette saison 2010 est, pour les clubs marnais, plutôt positif.
Il faut dire que, dimanche, la cinquième et dernière journée a parfois été miraculeuse. Ainsi, en N2, Cormontreuil s’est lourdement incliné à Annecy (8-0) mais s’est sauvé grâce à la défaite de Bagneux à Cagnes.
Forts d’un numéroté, de trois -30 et d’un -4/6, les Haut-Savoyards ont dominé cette partie de bout en bout. Seul Nicolas Beuque (-4/6) a quelque peu résisté, poussant son adversaire à une troisième manche.
De fait, quatrième de la poule, le CTC a pu renouveler son bail. Une situation qui n’a rien d’illogique au vu de l’effectif et de la saison des banlieusards rémois.
En N3, le Reims Europe Club n’a pas pu éviter la défaite à Albert (5-2). De quoi retrouver la division inférieure la saison prochaine. Une situation qui n’a rien d’illogique puisque les « Européens » ont perdu à l’intersaison le n°1 champardennais Mathieu Roy et ont dû disputer les deux dernières rencontres sans l’expérimenté Jérôme Clausse.
En N4, le TC Géo-André a créé l’exploit en ramenant la victoire du TC Schiltigheim, jusque là leader invaincu de la poule (4-3). Certes, les Alsaciens, déjà assurés de la montée, n’ont pas aligné leurs trois négatifs étrangers mais les Rémois, homogènes à souhait, ont fait le nécessaire pour renouveler leur bail.
Par ailleurs, la grosse cote est venue du TC Vitry qui s’est nettement imposé à Brunsttat (6-2). Deuxièmes de leur poule, les Vitryats accèdent en N3 ! « Vu la configuration de la poule, tout pouvait arriver lors de la dernière journée. Et ça a basculé en notre faveur », notait le capitaine Arnaud Lalouette.
Du côté des dames, en N3, le Reims Europe Club n’a pas pu s’emparer de la première place. Privées de Nathalie Mohn en simples, les « Européennes » ont ainsi subi la loi de Ninon Pornichet (4-3). Rien de dramatique puisque le maintien était déjà en poche.
Enfin, en venant à bout de Maurepas (4-3) dans une « finale » pour la relégation, le TC Géo-André a renversé une situation compliquée pour s’offrir, sur le fil, le maintien.
ANNECY. - Annecy-le-Vieux TC bat Cormontreuil TC 8-0. Burquier (n°39) bat Robert (-4/6) 6-2, 6-0 ; Cauvard (-30) bat Beuque (-4/6) 6-2, 5-7, 6-3 ; Botti (-30) bat Jolly (-4/6) 7-5, 6-2 ; Bayet (-30) bat Leveque (-2/6) 6-1, 6-1 ; Guiyoule (-4/6) bat Blanc (1/6) 6-4, 6-2 ;
Burquier - Cauvard battent Beuque - Jolly 1-0 abandon ; Bayet - Botti battent Robert - Leveque 1-0 abandon.
ALBERT. - Albert Tennis bat Reims Europe Club 5-2. J. Obry (-30) bat Andruejol (0, Reims Europe Club) 6-2, 6-3 ; Gustafsson (-4/6) bat Castelhano (1/6, Reims Europe Club) 6-4, 6-1 ; Fusi (2/6) bat Seuret (1/6, Reims Europe Club) 3-6, 6-2, 6-3 ; Gajanovic (1/6, Reims Europe Club) bat Pecoul (2/6) 4-6, 7-6, 6-4 ; N. Obry (4/6) bat Alessio (5/6, Reims Europe Club) 6-2, 7-5 ;
J. Obry - Gustafsson battent Andruejol - Seuret 6-1, 6-2 ; Castelhano - Gajanovic battent battent Fusi - N. Obry 7-5, 6-3.
SCHILTIGHEIM. - TC Géo-André bat TC Schiltigheim 4-3. Pignon (2/6, Géo-André) bat Fauth (2/6) 6-4, 7-5 ; Gottie (3/6) bat Balles (2/6, Géo-André) 6-3, 4-6, 6-2 ; Roth (3/6) bat Paillard (2/6, Géo-André) 6-4, 7-5 ; Pacanowski (2/6, Géo-André) bat Michel (5/6) 6-4, 6-2 ; Leroy (3/6, Géo-André) bat Guth (15/1) 7-5, 6-1 ;
Balles - Pacanowski battent Gottie -Roth 6-4, 6-2 ; Michel - Fauth battent Leroy - Pignon 6-0, 6-4.
BRUNSTTAT. - TC Vitry bat TC Brunsttat 6-2. Thomet (-15, Vitry) bat Gillming (-4/6) 6-3 abandon ; Witmeur (-15, Vitry) bat Groll (0) 6-2, 6-4 ; Lalouette (0, Vitry) bat Toniutti (1/6) 6-0, 6-4 ; Walch (2/6) bat Blossier (2/6, Vitry) 6-2, 6-3 ; Gelebart (2/6) bat Varin (3/6, Vitry) 7-5, 2-0 abandon ;
Thomet - Witmeur battent Groll - Gelebart 6-3, 6-2 ; Lalouette - Bonnerave (15, Vitry) battent Toniutti - Walch 6-2, 6-4.
REIMS. - Ninon Pornichet bat Reims Europe Club 4-3. Nantenaina Ramalalaharivolona (-4/6) bat Marie Menacer (-4/6, Reims) 6-1, 7-6 ; Marina Razafimahefa (1/6) bat Laetitia Tordo (0, Reims) 4-6, 7-6, abandon ; Emilie Gaillot (3/6, Reims) bat Marie Lefevre (1/6) 2-6, 6-3, 3-1 abandon ; Nathalie Baumes (3/6) bat Audrey Rousseaux (5/6, Reims) 6-1, 6-2 ; Muriel Legue (5/6, Reims) bat Adèle Beneyton (15/1) 6-1, 7-5 ; Nathalie Mohn (-15, Reims) - Marie Menacer battent Marina Razafimahefa - Nathalie Baumes 6-2, 6-2 ; Nantenaina
Ramalalaharivolona - Peggy Blancho (15/1) battent Emilie Gaillot - Audrey Rousseaux 6-3, 6-3
REIMS. - TC Géo-André bat TC Maurepas 4-3. Charline Braidy (-4/6, Géo-André) bat Emilie Mahaut (1/6) 6-0, 6-1 ; Claire Makhloufi (2/6, Géo-André) bat Charlotte Truffaut (3/6) 7-5, 6-2 ; Lisa Santoro (3/6) bat Claire-Hélène Genin (3/6, Géo-André) 6-2, 6-4 ; Delphine Goujon (4/6) bat Cindy Castille (5/6, Géo-André) 7-6, 6-3 ; Anne-Sophie Rose (15, Géo-André) bat Léa Poisson (4/6) 7-6, 6-3 ;
Charline Braidy - Claire Makhloufi battent Emilie Mahaut - Charlotte Truffaut 7-6, 6-2 ; Lisa Santoro - Léa Poisson battent Claire-Hélène Genin - Cindy Castille 7-6, 6-1.
Ils ne sont pas bien vieux. Deux sont nés en décembre 1996, le troisième en juillet 1997, mais ils savent déjà manier le briquet avec dextérité. A eux trois, les garnements sont impliqués dans quatre feux de poubelles dont le premier remonte au printemps 2009, à une époque où le plus jeune du groupe avait encore 11 ans !
Ils ont sévi dans leur propre immeuble, allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Non content de brûler les poubelles, l’un des ados a également commis sept dégradations. Sa mère a fini par s’en rendre compte. Elle s’est présentée avec lui au bureau de police pour le forcer à se dénoncer. Et c’est ainsi que les auditions menées par le groupe spécialisé en investigations sur les bandes ont permis de reconstituer les agissements des uns et des autres.
Les trois gamins ont participé ensemble à l’incendie d’une poubelle dans le hall de leur immeuble, le 24 avril 2009.
Les deux de 13 ans ont ensuite mis le feu au local à vide-ordures les 21 janvier, 22 mars et 24 mars 2010, à chaque fois en journée.
Pour finir, celui amené au bureau de police par sa mère a avoué les dégradations suivantes : les boutons de l’ascenseur le 16 novembre 2009 ; le panneau d’affichage du hall les 30 décembre 2009 et 24 février 2010 ; les ampoules des communs les 8 et 11 février ; une porte et la cloison de gaines techniques le 23 février ; une porte vitrée du hall le 9 mars.
Les adolescents n’ont donné aucune explication particulière à leurs actes. Pour eux, il s’agissait d’un « amusement » comme un autre. Il ne leur venait même pas à l’idée que, domiciliés dans l’immeuble, ils portaient préjudice à leur propre famille.
Le trio est prochainement convoqué devant le juge des enfants. Les parents se verront présenter la facture.
F.C.
Onze voitures - dont deux épaves - ont été détruites ou dégradées par le feu depuis vendredi soir à Reims. Aucune n’était volée.
La première de la série est une Audi A6 incendiée vendredi vers 22 h 30 rue Jean-Gabin, à Murigny. Vers 4 heures, dimanche, une Fiat Punto s’est embrasée dans le même quartier, mais de l’autre côté de l’avenue Pompidou, rue Jean-de-la-Bruyère. Le feu s’est communiqué à une Skoda et a liquéfié le bas de caisse d’une Peugeot 405. Quinze mètres de haie ont également souffert de la chaleur.
Toujours dimanche, mais à 23 h 30, deux épaves ont été incendiées dans un terrain vague de la rue Jean-XXIII, à Neufchâtel.
A 23 h 45, une Opel Corsa a été mise à feu allée des Bourguignons, devant le n°2. Une Renault Mégane a été incendiée deux heures plus tard à la même adresse, avec propagation à une autre Corsa. Il pourrait s’agir des mêmes auteurs.
Entre temps, vers 1 heure, une 307 a flambé dans le même quartier, rue du Docteur-Billard. Le feu s’est propagé à une Seat Ibiza.
A signaler que vendredi à 23 h 45, une Alfa Romeo signalée volée a été incendiée près du stand de tir de Montbré. Une voiture a également brûlé au lieu-dit La Garenne à Villers-Marmery, dimanche vers 18 h 15, mais le feu serait accidentel.
Samedi soir, un feu de cave s’est déclaré à 18 heures allée des Tourangeaux, un feu de détritus à 22 heures dans un hall d’immeuble de la rue de Canterbury, un feu de papiers à 22 h 45 rue du Chanoine-Lallement.
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Placé en fond de court, du côté de l’entrée des artistes, Eric Joris a vite compris « que Nadal n’était pas là pour s’amuser. Qu’il avait la rage ». Peut-être l’effet du 8e perdu l’an dernier face au même Söderling.
Cette impression s’est confirmée tout au long de la finale : « J’étais à 2 ou 3 mètres. Nadal était hyper-concentré, fermé, au point d’en paraître agressif, inexpressif. Il a d’ailleurs eu du mal à se dérider pour la traditionnelle interview et lors de la remise des récompenses. Son expression était moins maîtrisée qu’à l’habitude », résume le juge de lignes de Fismes, retenu hier pour sa 11e finale Porte d’Auteuil « Trois chez les femmes, huit chez les hommes dont quatre consécutives pour mes quatre derniers Roland ».
Sollicitée en ligne de fond, l’attention du responsable des arbitres de la Ligue de Champagne-Ardenne s’est surtout fixée sur les « retours bloqués » de Söderling : « Il a choisi de frapper la balle hyper tôt et hyper fort. Ce qui n’était, à priori, pas forcément la bonne option mais un retour comme ça, peut arracher une ligne. Ce sont des balles à plus de 200 km/h. Nous devons être hyper-réactifs… ».
Une nouvelle fois, Eric Joris n’a pas trouvé mieux que la casquette (« Que je ne porte pas dans le civil ») pour aiguiser sa concentration « Ça me cache le public et m’empêche par exemple d’être dérangé par la ola. Mon champ de vision s’en trouve axé sur l’essentiel ».
Question ambiance, la finale 2010 n’a pas égalé celle de 2009 : « L’an dernier, tout le monde voulait que Federer gagne. Cette fois, même si le public était majoritairement pour Nadal, c’était un peu plus partagé. Cette finale aurait pu basculer au 2e jeu du 2e set ».
La « quinzaine » de RG restera historique pour les arbitres de Champ’Ardennes qui ont placé quatre des leurs en finale : Gaëlle Valentin (femmes) et le duo Guillaume Thiérus et Yohan Adam (juniors garçons et Trophée des légendes).
« Ils ont entre 25 et 20 ans, c’est un gage pour l’avenir », conclut cap’tain Eric Joris.
Jean-Pierre PRAULT
Christian LANTENOIS
La Société Immocoop, filiale de Reims habitat, vient d’adresser aux locataires des 1, 3, 5, 7 et 9 avenue Eisenhower une lettre leur confirmant officiellement qu’ils pouvaient désormais acquérir leur logement. Les locataires concernés sont libres à tout moment d’acheter ou non leur logement. La lettre précise le prix de vente du logement, annonce la mise en place d’une copropriété pour l’immeuble, et indique qu’Immocoop assurera les fonctions de syndic. Des travaux d’aménagement des extérieurs sont prévus prochainement. Les locataires sont invités à retourner un petit questionnaire sur cette mise en vente. Bientôt, les locataires des 24, 26 et 28 rue de Rilly-la-Montagne recevront la même lettre.
Oguz Korkmaz vient de constituer une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée intitulée « Ingénierie Pilotage Sécurité Conseil », dont le siège social est installé au 15, rue Alphonse-Daudet aux Polygones.
Le numéro d’appel pour contacter la nouvelle association « Mounsif and Co, les sports et les cultures du cœur » n’est plus celui de la résidence Arfo Lucien-Doyen, mais celui du président Kerroum Mounsif : 06.23.20.78.22. ou celui de Bensad Allaoui : 06.46.84.51.42.
Responsable du secteur At’Hom pour l’Effort rémois, Nicolas Quinquis a laissé entendre aux responsables associatifs que cet espace immobilier serait probablement résidentialisé dans les années à venir, « ce qui entraînerait des aménagements sur les espaces verts, massifs de fleurs, réagencement avec pose de clôtures, etc.. autour des immeubles ». Les locataires redoutent, à la clé, une augmentation des charges…
À l’espace Billard, Élisabeth Causin et Yassine Ramdani sont les organisateurs de la fête des habitants.
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La fête des habitants du samedi 12 juin sera animée par les associations du secteur Taittinger/Eisenhower/Polygones et les équipes et bénévoles des espaces Billard et la Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge.
Sont en particulier attendus le jour J : l’association Croix-Rouge animation et promotion, l’association de la fondation étudiante pour la ville, l’amicale des locataires des Polygones, le groupe d’action contre les mutilations sexuelles, la médiathèque Croix-Rouge, l’association multi-échanges services, le service départemental de prévention, l’association Résonnances, les Rencontres internationales de Reims, le tri sélectif de la ville de Reims, les Transports urbains rémois, l’union des locataires de Croix-Rouge et le Conseil de quartier.
À 15 heures, un défilé d’engins roulants et fleuris, sera accompagné d’une fanfare, sur l’esplanade Eisenhower. De 15 heures à 18 h 30, animations sur le parking devant l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger : stands de jeux et d’information, démonstrations et spectacle de contes.
De 16 heures à 18 h 30/19 heures, spectacle de chants, de musique et de danses sur le podium, sur une programmation de Magali Garcia.
À partir de 19 h 30, repas pique-nique partagé (chaque participant devra s’inscrire et apporter un plat à partager), accompagné par le groupe « Les Georges du Verdon ». Tous les stands seront gratuits hormis la buvette et les gâteaux.
Renseignements : Élisabeth Causin, espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.
Les parents ont apprécié la belle aventure sportive et humaine des collégiens.
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Le principal Olivier Leloux et la principale adjointe Frédérique Sarrazin ont reçu les parents d’élèves pour fêter comme il se doit la performance de l’équipe de badminton du collège Georges-Braque, qui a terminé sa saison avec une 6e place aux championnats de France !
L’exploit est de taille. Comme l’a souligné Nicolas Himber, leur professeur d’éducation physique et sportive : « finir 6 au France, parmi 27 équipes régionales finalistes, c’est un très beau résultat. »
Avec 3500 équipes nationales représentant 170.000 licenciés, on mesure la performance d’Audrey Barbier, Maxime Dubar, Odelia Guebels, Dorianne Polis et Bastien Martinez. Admirables également Sarah Brahmi et Solène Durand qui représentaient le collège pour officier à l’arbitrage lors de la finale à Lorient.
Nicolas Himber et sa collègue Catherine Guillemin ont expliqué que la section badminton du collège a été créée en septembre 2005, avec un recrutement (20 élèves) en fin de 6e. Les jeunes sportifs bénéficient de 4 heures d’entraînement par semaine en cours et 2 heures d’UNSS, avec un prof d’EPS assisté, une fois par semaine, d’un brevet d’état haut niveau, Julien Friederich, classé 23e France, en partenariat avec la Ligue Champagne-Ardenne de badminton.
Le conseil général prend en charge 50 % des frais de fonctionnement, la section est également aidée par le « Réseau réussite scolaire » et par des sponsors privés : un garage de Bezannes, une pharmacie du quartier Wilson et une maison de champagne des Mesneux.
Pour sa part, le Reims Champagne natation rend possible le transport des sportifs sur les lieux de leurs exploits.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
La tentation était trop forte. Tony n’a pas résisté. C’est à peu près la version que ce Rémois de 38 ans, résidant le quartier Maison-Blanche, a avancée aux policiers.
Vendredi vers 19 h 15, une patrouille de la Bac circule rue Pierre-Taittinger lorsqu’elle tombe par hasard sur Tony. Ce dernier porte un casque de chantier. Contrôlé, l’homme se trouvait également en possession d’une pince-monseigneur et surtout d’un câble en cuivre d’une longueur de 2 mètres.
Placé en garde à vue dans les locaux du commissariat, Tony ne fait aucune difficulté pour reconnaître le vol et les dégâts occasionnés.
Il a fait l’objet d’une procédure de « plaider coupable » qui devra être homologuée par le tribunal le 13 juillet prochain.
Le café associatif Croix-Rouge, un projet réalisé dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale et dans le cadre d’un partenariat associant la Ville de Reims, l’Etat, le conseil général et Plurihabitat l’Effort rémois, sera inauguré lundi 7 juin à 16 h 30 au 5, avenue Léon-Blum par Adeline Hazan, maire de Reims.
Ce café, baptisé le Bistroquet, sera géré et animé par l’association 2 Mains.
L’Association de promotion de Pays-de-France (APPF) réunira son assemblée générale vendredi 11 juin à 18 h 30, dans son local du 5, allée des Picards.
Renseignements au 06.31.61.16.10.
Le Reims Acrap patinage (Rap) réunira son assemblée générale vendredi 11 juin prochain à 20 h 30, dans la salle Jean-Jacques Lapique de l’Association Croix-Rouge animation et promotion, 11 avenue du président-Kennedy.
Pour plus de renseignements, contactez le 03.26.06.39.54.
Le collège François-Legros ouvre ses portes au public ce samedi 5 juin toute la matinée. Spectacles sous le préau, présentation d’activités (conduite cyclomoteur, haltérophilie…), expositions dans le préau, salles 12, 15, au CDI, salle 102, 109, 207 et 209.
Comme souvent, la saison d’Interclubs se jouera sur la cinquième et dernière journée. Ce millésime ne dérogera pas à la règle demain (9 heures).
En N2, les Cormontreuillois n’ont quasiment aucune chance de ramener la victoire d’Annecy-le-Vieux mais ils prieront pour une défaite de Bagneux à Cagnes pour renouveler leur bail à ce niveau.
En N3, le Reims Europe Club possède une chance de se maintenir. Il faudra s’imposer à Albert. Pas simple si les Picards alignent leurs quatre négatifs.
A l’étage inférieur, les Rémois du TC Géo-André sont également mal partis. Il faudra un miracle sur la terre battue de Schiltigheim. A moins que le leader invaincu, assuré de la montée, n’aligne pas ses trois négatifs.
Le TC Vitry sera en grand danger à Brunsttat. Toutefois, une défaite de l’ASPTT Dijon contre le leader Vitrolles pourrait suffire à son bonheur.
Chez les dames, en N3, les jeux sont déjà faits pour les Européennes. Sûres de retrouver la division supérieure, elles disputeront la première place aux Thiolettes contre Ninon Pornichet.
Géo-André jouera, à domicile, une finale contre le TC Maurepas, les partenaires de Charline Braidy devant s’imposer pour se maintenir.
La bande des sept : Johan Adam (Sedan, Troyes), Kevin Berranger (Vitry-le-François, étudiant au Creps de Reims), Patrick Duchatelle (Reims, Boult-sur-Suippe), Aurélie Gibaru (Montcy-Notre-Dame), Éric Joris (Fismes), Guillaume Thiérus (Géo-André Reims), Gaëlle Valentin (Saint-Martin-sur-le-Pré).
Soulignés : les « finalistes ».
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Une manière d’entrer dans l’histoire pour les représentants de la Champagne-Ardenne. De gauche à droite, Éric Joris, Guillaume Thiérus, Kevin Berranger, Gaëlle Valentin, Aurélie Gibaru, Johan Adam et Patrick Duchatelle.
Sept sur sept : jusqu’à mercredi soir, la délégation champ’ardennaise des juges de lignes était encore au complet à Roland-Garros. Et ils seront quatre (parmi 60) sur la finale dames et hommes.
Le cas du Sedanais Johan Adam est jugé « exceptionnel » par le responsable de la commission régionale des arbitres, Éric Joris, lui-même en lice pour une 6e finale hommes consécutive.
« Passionné de tennis, du CSSA et de tout (*) » , Johan Adam n’a contacté Éric Joris qu’il y a deux ans. La progression de l’ingénieur à Troyes a été fulgurante.
Le prix à payer ? Des « week-ends sur les courts », « des concessions sur les trajets, car la ligue est grande, 350 km du nord au sud ». Roland oui, mais via « Langres ».
Éric Joris a su transmettre son expérience, « les codes » : « Il faut avoir une attitude dynamique, ne pas être avachi sur sa chaise ». Ces conseils ont permis à Johan Adam « de taper dans l’œil des conseillers techniques de Roland-Garros » : « Il a été testé sur une ligne un peu plus dure que les autres ».
« Les notes sont très très satisfaisantes et nous avions autant de représentants que les Yvelines ». Au ratio des licenciés, la Champagne-Ardennes s’est imposée comme l’une des meilleures ligues Porte d’Auteuil.
Pour sa 2e session, le Rémois Guillaume Thiérus a été vu « sur le Central et les courts télévisés ». De retour après un break de « 3 ou 4 ans pour les études », Aurélie Gibaru, la fille du président du District Ardennes de football, est allée jusqu’en deuxième semaine…
« Le plus dur va commencer ». Éric Joris fait référence à l’après-Roland : « Les copains appellent sur les portables et avec la curiosité que cela génère, il va falloir gérer le retour au travail ». RG constitue un super « extra » qui confère également des devoirs. Comme celui de vite retomber sur terre. Le week-end prochain, le Creps de Reims accueillera les championnats régionaux. Et les « Roland » ne devront pas bafouiller leurs décisions : « Il va y avoir de la pression ».
Le droit à l’erreur sera encore moindre pour le « prof » Éric Joris si comme en 2010, il décroche un César du second rôle, demain : « L’an dernier, pour la victoire de Federer, je jugeais la longueur de balle, sa profondeur ».
« Impliqué » sur la balle de match, le Fismois avait aperçu comme une larme de joie sur la joue du Suisse. Emotion qui aurait bien mérité une bonne crème glacée de marque américaine, le péché mignon (la récompense) de celui qui passe la journée à garder « la » ligne.
Jean-Pierre PRAULT
(*) Il a joué au foot en DH.
L’hebdo du vendredi- n° 171 - 100604c
Grandeur Nature : deux expositions, des conférences, ateliers et projections
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Arbres et insectes, macrophotographie et herbiers, c’est toute la nature qui investira cet été le réseau des médiathèques de Reims.
La manifestation, Grandeur Nature, réunira du 1er juin au 28 août trois sites : les médiathèques Jean Falala, Croix- Rouge et Laon-Zola.
Au programme, deux grandes expositions, l’une consacrée à la macrophotographie de nature, par le photographe Xavier Coulmier (Machromatisme, du 1er juin au 28 août), l’autre consacrée à Emilie Vast, qui s’évertue depuis quelques années à imaginer sur ordinateur des herbiers virtuels (La vraie nature d’Emilie Vast, du 8 juin au 28 août)… et toute une série d’ateliers, de conférences et de projections !
Le collège François-Legros ouvre ses portes au public demain samedi 5 juin toute la matinée.
Spectacles sous le préau, présentation d’activités (conduite cyclomoteur, haltérophilie…), expositions dans le préau, salles 12, 15, au CDI, salle 102, 109, 207 et 209.
Mercredi vers 19 h 30, des papiers ont été incendiés dans une gaine d’ascenseur de la place Dominique-Ingres, au n°4.
Peu avant 22 heures, les pompiers ont éteint un feu de palettes avenue d’Epernay.
Une poubelle a brûlé au même moment avenue Bonaparte, au n°1, puis une autre trente minutes plus tard devant le n°9.
A 23 h 30, des détritus ont pris feu dans un terrain vague de la rue Jean-XXIII. Hier à 14 h 30, des broussailles ont brûlé rue du Dauphiné à Cormontreuil, puis à 17 heures à la Neuvillette, rue En-Mémoire-des Harkis.
A 19 heures, appelées pour une fumée suspecte rue Raymond-Poincaré, les pompiers ont découvert des aliments oubliés sur le feu. Ils sont passés par la fenêtre pour accéder à l’appartement.
GREFFE DU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE REIMS
Par jugement en date du 11 mai 2010, le tribunal de grande instance de Reims a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif des opérations de la liquidation judiciaire de UNION GENERALE DES ÉTUDIANTS DE REIMS, UNION NATIONALE DES ÉTUDIANTS DE FRANCE représentée par son président, demeurant 57 bis, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims.
A ordonné la publicité dudit jugement.
Pour extrait, fait à Reims, le 25 mai 2010, le greffier.
Hier vers 3 heures du matin, la police et les pompiers ont été requis allée des Béarnais où une femme postée sur un balcon du 7e étage hurlait son intention de se jeter dans le vide.
A l’arrivée des secours, la dame était rentrée dans l’appartement fermé à clef. Elle a refusé d’ouvrir, avant d’accepter au moment où les pompiers allaient défoncer la porte.
Théodore Lé, Pauline Ferrand-Prévot, Hervé Coutelas et Raynald Delestre sont les lauréats 2010 des Grands challenges.
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La traditionnelle soirée des Grands challenges de l’office des sports de la Ville de Reims a eu lieu lundi. Créés en 1967, les Grands challenges honorent tous les ans les personnalités du sport rémois.
Cette année les récompenses ont été attribuées à Théodore Lé (catégorie « athlète » de l’Acrap), Pauline Ferrand-Prévot (challenge d’encouragement de l’AS Bazancourt), Hervé Coutelas (catégorie « dirigeant » du Cram) et Raynald Delestre (catégorie « entraîneur » des Régates rémoises).
En présence d’Adeline Hazan, maire de Reims, Christine Michel, adjointe chargée des sports, de Nicolas Marandon, conseiller régional et en maître de cérémonie, Jacques Laurent, le vice-président de l’office des sports, a remis les trophées aux récipiendaires.
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Cela fait la troisième fois en un mois qu’ils se réunissent pour faire le point sur les retraites et envisager une action syndicale forte pour la manifestation du 24 juin. Cela devient urgent, car après, il y aura les vacances et… le Mondial !
CE soir, cela se passe dans la salle municipale de Croix-Rouge à Reims, 4, avenue François-Mauriac. Un nom prédestiné, car il faut être croyant pour deux dans ces temps de déprime généralisée. Il y a là une petite cinquantaine de personnes : retraités, militants syndicaux (FSU, Solidaires, UNEF, CGT) ou politiques (PC, PS, Parti de Gauche, NPA). Pas assez bien sûr. Un motif de satisfaction toutefois : un quart de jeunes. Une fois le cadre général donné par Patrice Perret, secrétaire national de Solidaires, la parole est à la salle. Pour dire quoi ? Eh bien, en premier lieu, qu’il est difficile de mobiliser les gens. Entre ceux qui cherchent un emploi et n’en trouvent pas, les jeunes qui croient dur comme fer qu’ils devront payer leur retraite, le gouvernement qui martèle ses arguments comme des évidences reprises en boucle par les médias, comment ne pas être fataliste ? Pour Raymond, communiste CGT ou l’inverse, « la crise a été mise en place pour qu’on se serre la ceinture ».
La crise ? Tellement pratique pour stopper nette toute velléité de contestation. Pourtant du fric, il y en a. Personne n’en doute dans la salle. Il est vrai que la santé insolente des banques françaises, qui étaient à l’agonie un an en arrière, a du mal à faire passer le discours de rigueur, en vigueur aujourd’hui. La crise n’est-elle pas le cheval de Troie d’une libéralisation à marche forcée de la France ? L’attaque sur les retraites ne préfigure-t-elle pas un changement total de société ? Si les sensibilités politiques sont diverses, tous ou presque ont le sentiment que le problème des retraites n’est qu’un des éléments d’une refonte générale de notre logiciel social. Que la liquidation de notre système de protection, issu du Conseil national de la Résistance, est bien envisagée à plus ou moins long terme. La revanche de Vichy, comme le pense Michel ? De là, en guise de riposte, à rêver de nationalisations il n’y a qu’un pas ! Mais on sent bien que celui qui le dit n’y croit plus trop lui-même. D’ailleurs le PS, en embuscade pour 2012, se garde bien de le promettre. Bien sûr on parle de mondialisation, de délocalisation des emplois, de l’importance de revenir à un mythique plein-emploi, de fédérer un hypothétique mouvement européen. Mais tout cela, c’est pour déballer ce que l’on a sur le cœur. Pour revenir au concret, « l’urgence est de mobiliser pour le 24 juin » rappelle Sylvie. Car après ce sera les vacances, et juste avant les vacances, la coupe du Monde de football. On a beau être communiste, l’amateur de foot qu’est Raymond le sait bien, le foot n’est pas propice à la mobilisation. De là à souhaiter que la France perde au premier tour…
Bruno TESTA
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« Le bout du monde », une nouvelle création écrite et mise en scène par José Mendes de la Compagnie Ageasse Théâtre, sera offerte le mardi 8 juin à 10 heures dans la salle de spectacle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne, aux écoles du quartier qui s’inscriront.
« Le bout du monde » est un spectacle pour les petits, à partir de 3 ans, qui les emporte à la recherche du bout du monde.
« Se poser la question du bout du monde, c’est envisager par voie de conséquence de dépasser ses propres limites géographiques », explique José Mendes : « Les premiers hommes ont dû se poser la question. Voyez les chemins qu’ils ont pu parcourir et visiblement, ils cherchent encore… »
« J’ai été les voir, les élèves à Georges-Braque sont manifestement heureux », relate Alexandre Steyer.
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Alexandre Steyer, recteur de l’Académie de Reims, nous a accordé une interview, dans laquelle il a fait le point sur la violence, sur le collège Georges-Braque, la carte scolaire, les tests de langues vivantes, l’orientation et son propre rôle dans l’éducation régionale.
La violence est-elle forte dans les établissements rémois ?
« Non, il s’agit de petite violence, de « crise de nerfs ». Il n’y a pas de violence sociale. De toute façon, on n’accepte pas la violence, et on est très dur dès qu’il y en a. Dès mon arrivée, j’ai créé une équipe de sécurité de 8 personnes, des éducateurs, des anciens gendarmes, etc. Ils peuvent intervenir n’importe où dans l’académie pour calmer certaines situations. »
Vous craignez surtout une autre forme de violence ?
« Oui, la violence morale entre les élèves, notamment via internet et Facebook. On a des cas dans la région qu’on cherche à régler. C’est pareil pour les violences sur soi-même.
La région n’est pas à l’abri : contrairement à certaines idées reçues, il y a chez nous autant de classes défavorisées qu’en région parisienne. Il faut que les élèves le disent quand ils sont témoins de ce genre de violence. »
Vous vous êtes déplacé au collège Georges-Braque suite aux incidents. N’y a-t-il pas là-bas beaucoup de violence ?
« Non, ce sont des rumeurs. Les collégiens ne posent pas de problème dans le quartier. Il n’y a pas de violence dans le collège, donc pas besoin d’une équipe de sécurité. Il ne faut pas confondre les jeunes du quartier avec les collégiens. Il n’y a pas de souci à Georges-Braque. J’ai été les voir, et les élèves sont manifestement heureux. Ces rumeurs sont injustes. »
Voilà trois ans que la carte scolaire a été assouplie, voire abandonnée. Cela a-t-il changé quelque chose sur Reims ?
« Non, car le système était tellement complexe qu’on pouvait aller où on voulait, grâce aux options. La véritable révolution, elle a été pour les sections européennes.
Avant, il fallait avoir le bon parcours pour y entrer. Désormais, tout le monde peut postuler pour entrer en seconde européenne, il suffit de passer un test. Il ne faut pas hésiter, que ce soit en anglais, c’est vrai très demandé, ou en allemand et espagnol. »
Quel est le niveau requis ?
« C’est celui du socle commun du Brevet des collèges (niveau A2), en fait celui de base en langue : se débrouiller pour un voyage. Il faut savoir que beaucoup n’ont pas eu le brevet il y a deux ans. Le système est étendu à l’informatique et sera bientôt généralisé. »
Ne faudrait-il pas commencer vraiment l’anglais en primaire ?
« Il y a eu une évolution incroyable depuis dix ans dans ce domaine. On va même faire de l’anglais en visioconférence, et les jeunes pourront échanger avec des Anglais en direct via internet. »
Vous êtes à ce poste depuis trois ans : pouvez-vous nous expliquer votre rôle ?
« Je suis à la fois pompier et architecte. Je fais le lien entre collèges et lycées, la fac et le lycée, le lien avec les partenaires institutionnels. »
Trouvez-vous la région attractive ?
« Si j’avais pu choisir, j’aurais choisi… Reims ! On peut travailler facilement avec tout le monde. C’est une région à stimuler, où il faut s’occuper des élèves en souffrance.
Par exemple, lorsqu’une classe prépa a été transférée de Roosevelt à Arago, tout s’est bien passé. Ce dernier lycée travaille d’ailleurs sur plusieurs fronts, que ce soit le sport, le BTP… Il y a même des élèves artistes, dont 4 vont intégrer l’école des Arts de Troyes ! »
N’y a-t-il pas un problème d’orientation pour les élèves comme pour les parents ?
« Il y a effectivement une demande, car les parents sont perdus, c’est trop complexe. Donc nous allons tenter de simplifier les choses.
Certes, les élèves doivent souvent se décider très vite, mais il faut aussi savoir que rien n’est définitif : on peut changer en seconde.
Il ne faut pas hésiter à aller voir les professeurs. Souvent, les élèves ne savent pas ce qu’ils veulent faire quand ils sont en terminale. Ils peuvent aussi avec un contact maintenant par internet avec un conseiller d’orientation-psychologue. Nous allons aussi nous servir du web pour mieux préparer le forum étudiant. »
Propos recueillis par Guillaume FLATET
L’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours de pétanque en doublettes le dimanche 6 juin sur le terrain Léon-Blum à Croix-du-Sud.
Frais de participation : 10 euros par équipe.
Indemnité à chaque partie.
Début du jeu à 14 h 15.
Inscriptions au secrétariat 5, avenue Léon-Blum, Tél. 03.26.06.56.66..
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Le conseiller général Éric Quénard a participé à Châlons-en-Champagne à une session du conseil général de la Marne : « Elle était consacrée à la présentation du compte administratif 2009 qui retrace l’ensemble des recettes et des dépenses effectivement réalisées par la Ville sur une année », explique-t-il. « A cette occasion, plusieurs dossiers concernant le canton Reims 5 ont été votés ».
L’élu cite en particulier : 8 332 € pour la création d’un giratoire et d’un passage surélevé sur la RD6 à Bezannes dans le cadre de sa politique de sécurité routière, 5 125 € pour la structure « la Marelle » de Pays-de-France, dans le cadre de sa politique de soutien aux lieux de rencontre parents-enfants, 9 278 € pour le centre de soins infirmiers de Croix-Rouge et 20 000 € pour l’association Deux Mains et son dispositif Denis (Dispositif éducatif novateur d’insertion sociale), dans le cadre de sa politique en faveur de la jeunesse.
Par ailleurs, le conseil général a également adopté une subvention de 203 338 € pour soutenir le fonctionnement de l’association des maisons de quartiers de Reims. Une partie de cette somme sera ventilée à la maison de quartier Croix-Rouge et ses différents espaces dans le cadre de sa politique de soutien aux lieux d’accueil parents-enfants et de sa politique de l’enfance (protection maternelle et infantile).
« Il est important que le conseil général de la Marne accompagne financièrement des projets portés par des associations du quartier Croix-Rouge ou participe à leur fonctionnement », précise Éric Quénard. « Il convient en effet de profiter de cette possibilité pendant qu’elle existe encore car, dans le cadre de la réforme territoriale présentée par le gouvernement et soutenue par les parlementaires locaux, les départements pourraient perdre ce que l’on appelle « la clause de compétence générale » qui leur permet notamment de soutenir des projets associatifs dans le domaine culturel et sportif. »
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L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud tiendra des portes ouvertes les samedi 5 et dimanche 6 juin.
Comme les années précédentes, des fleurs et des plants de légumes seront proposés à la vente aux visiteurs.
Par ailleurs, la présidente Evelyne Nkounkou annonce que le traditionnel concours de la plus belle parcelle se déroulera dimanche 20 juin.
Les incendiaires n’ont pas chômé ce week-end, avec six voitures et quatre poubelles mises à feu.
C’est une Citroën AX qui a ouvert le bal, samedi à 2 heures, dans un parking de l’avenue de Laon.
Vers 4 h 30, une Audi A6 volé au cours de la nuit à Cernay-lès-Reims, au domicile d’un habitant de la rue de Bétheny, a été incendiée allée Santos-Dumont, en zone Farman.
Les auteurs ont également volé dans cette même rue de Bétheny, chez une autre personne, une Peugeot 306 retrouvée en flammes à 6 h 30 le long de RD980, à la sortie de Cernay-lès-Reims en direction de Reims.
Restés tranquilles durant la journée de samedi, les brûleurs de voitures ont repris du service dimanche à 2 heures, avec une Renault Mégane cabriolet incendiée rue du Docteur-Billard à Reims, contre un coffret GDF.
La chaleur a fait fondre le coffret, déclenchant une fuite de gaz enflammé. Vers 3 h 30, une voiture a flambé rue de Bourges, puis une autre à 4 h 40 rue Dumont-d’Urville (le feu allumé sur une Peugeot 407 s’est propagé à une Renault Clio).
Sur le front des poubelles, une première a brûlé samedi à 2 h 10 rue Debar, la deuxième à 21 h 15 rue Estienne-d’Orves, deux autres avenue Bonaparte dimanche à 1 h 10 et 5 h 10.
Un vieil homme malade s’est tiré une balle dans la tête, samedi matin, à son domicile de la rue Joliot-Curie. Il est mort peu de temps après son admission à l’hôpital.
Deux victoires pour quatre défaites (dont celle de Cormontreuil 0-8 en N2, hier dans nos éditions), la 4e et avant-dernière journée a été décevante.
En N3, Reims Europe Club peut nourrir de légitimes regrets. Opposés à Rouen, les « Européens », privés de Jérôme Clausse, ont laissé passer une balle de match dans le double 1 pour, ensuite, perdre la rencontre 4-3 ! Là aussi, le maintien est encore jouable mais il faudra s’imposer à Albert qui compte quatre négatifs…
En N4, le TC Géo-André n’a rien pu faire à domicile contre Sarreguemines (5-2) alors que Vitry s’est aisément imposé contre la lanterne rouge Besancon (5-2). Les Rémois sont bien mal engagés car, pour son conserver leur place à l’échelon national, ils devront s’imposer chez le leader invaincu Schiltigheim… Quant aux Vitryats, une défaite des Dijonnais pourrait suffire à leur bonheur.
Le rayon de soleil est venue des dames où, en N3, les « Européennes », invaincues, ont assuré la montée en s’imposant très largement sur la terre battue de la réserve de Vincennes (8-0). De leur côté, les filles de Géo-André, logiquement battues par Sarreguemines (6-2), sont encore en course pour le maintien à condition de battre à domicile Maurepas.
N3 REIMS. - Rouen TC bat Reims Europe Club 4-3.
Quenessen (- 15, Rouen) bat Andruejol (0, Reims Europe Club) 6-1, 6-3 ; Nicaise (- 2/6, Rouen) bat Gajanovic (1/6, Reims Europe Club) 6-3, 6-1 ; Seuret (1/6, Reims Europe Club) batAube (0, Rouen) 6-3, 6-0 ; Castelhano (1/6, Reims Europe Club) bat Mirebeau (0, Rouen) 6-0, 7-6 ; Pareau (2/6, Rouen) bat Alessio (5/6, Reims Europe Club) 6-0, 6-1.
Quenessen - Nicaise battent Andruejol - Seuret 6-1, 4-6, 1-0 (11/9) ; Castelhano - Gajanovic battent Aube - Mirebeau 1-6, 6-3, 1-0 (10/4).
N4 REIMS.- AS Sarreguemines batTC Géo-André 5-2.
Sessagesimi (-15, Sarreguemines) bat Balles (2/5, Géo-André) 6-1, 6-1 ; Holzler (-4/6, Sarre-guemines) bat Pacanowski (2/6, Géo-André) 6-2, 6-1 ; Gabriel (1/6, Sarreguemines) bat Paillard (2/6, Géo-André) 6-1, 3-6, 6-3 ; Mangin (2/6, Sarreguemines) bat Pignon (2/6, Géo-André) 6-2, 6-4 ; Leroy (3/6, Géo-André) bat Schott (3/6, Sarreguemines) 6-3, 1-6, 6-1.
Sessagesimi - Holzler battent Balles - Pacanowski 6-3, 6-0 ; Pignon - Leroy battent Gabriel - Mangin 6-2, 5-7, 1-0.
VITRY. -TC Vitry bat Besancon Re 5-2.
Akomlo M’Lapa (0, Besancon) bat Witmeur (15, Vitry) 6-2, 6-2 ; Lalouette (0, Vitry) bat Desbenoit (4/6, Besancon) 6-1, 6-2 ; Blossier (2/6, Vitry) bat Mareschal (4/6, Besancon) 6-7, 7-6, 6-4 ;Varin (3/6, Vitry) bat Myotte Duquet (5/6, Besancon) 6-1, 6-2 ; Bonnerave (15, Vitry) bat Bachour (15, Besancon) 6-3, 6-4.
Akomlo M’Pala - Bachour battent Witmeur Blossier 2-6, 6-3, 1-0 ; Lalouette - Bonnerave battent Desbenoit - Myotte Duquet 6-1, 6-0.
N3 SARREGUEMINES. - AS Sarreguemines batTC Géo-André 6-2.
Charline Braidy (- 4/6, Géo-André) bat Déborah Krieger (1/6, Sarreguemines) 6-2, 6-3 ; Sylvie Philippi (1/6, Sarreguemines) bat Claire Makhloufi (2/6, Géo-André) 6-2, 7-5 ; Carole Stroh (2/6, Sarreguemines) bat Claire-Hélène Genin (3/6, Géo-André) 6-2, 6-1 ; Oriane Lanier (3/6, Sarreguemines) bat Cindy Castille (5/6, Géo-André) 6-0, 6-4 ; Anne-Sophie Rose (15, Géo-André) bat Marine Schmitt (5/6, Sareguemines) 6-4, 6-0.
Déborah Krieger- Sylvie Philippi battent Charline Braidy-Claire Makhloufi 6-4, 6-4 ; Carole Stroh - Oriane Lanier battent Claire-Hélène Genin - Anne-Sophie Rose 6-3, 6-3.
VINCENNES. - Reims Europe Club bat CA Vincennes (B) 8-0.
Nathalie Mohn (- 15) bat Anne Dubroca (4/6) 6-4, 6-1 ; Marie Menacer (- 4/6) bat Cécile Becret (15) 6-2, 6-0 ; LaetitiaTordo (0) bat Inès De Lacaze (15/1) 6-0, 6-0 ; Mélanie Roy (2/6) bat (saure Martin (15/1) 6-1, 6-2 ; Emilie Gaillot (3/6) bat Anouk Laperche (15/2) 6-1, 6-0.
Marie Menacer - Emilie Gaillot battent Cécile Becret - !saure Martin 6-0, 6-0 ; LaetitiaTordo - Mélanie Roy battent Inès De Lacaze -Anouk Laperche 6-0, 6-0.
Les 12 et 13 juin, le club de Reims ne saura plus où donner de la tête. Il sera au gymnase Jean-Jacques Lapique où il accueille mais ne participe pas aux finales nationales poussins et minimes.
Le corps à Reims donc mais l’esprit ailleurs puisque les Rapaces seront sur deux fronts : à Anglet avec les juniors qui se sont qualifiés le week-end dernier à domicile et à Rennes avec la N2 féminine.
Le RHR disputera deux finales nationales en cette occasion.
Inutile de dire que le président François Bock est satisfait de cette fin de saison sur les chapeaux de… roller.
Ph.L.
De juin à août, dans l’espace Image et Musique au rez-de-chaussée et dans l’espace adulte au premier étage, la médiathèque Croix-Rouge présente une exposition de photographies du photographe rémois Alain Hatat.
À l’occasion de leur 21e édition, les Flâneries musicales ont passé commande à cet artiste d’une série en noir et blanc, centrée sur les lieux patrimoniaux et les espaces publics de Reims fréquentés par le festival. 28 personnalités du monde de la musique rémoise (membres d’associations, accordeurs, ingénieurs du son, directeurs de salles, instrumentistes ou encore compositeurs) sont venues poser devant le photographe, dans un lieu de concert. Résultat : une série de clichés sensibles et touchants, instantanés associant architecture et portrait pour un cheminement en toute simplicité dans Reims version noir et blanc.
Entrée libre
La médiathèque Croix-Rouge, dans son secteur Emploi-formation, propose de faire découvrir un corps de métiers de manière régulière tout au long de l’année 2010, en partenariat avec les acteurs de l’insertion professionnelle : le PIJ Champagne-Ardenne, Job’s 51, la Maison de l’emploi et des métiers, les Points information jeunesse des espaces Ethnic’s et Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, la Mission locale, le Pôle emploi et Transdev.
Mercredi 2 juin, de 14 à 18 heures, il s’agira de tout savoir sur les métiers de la restauration avec en prime, une information sur le contrat d’apprentissage.
Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis-Debar.
Lors du dernier conseil municipal, la dénomination de certaines rues créées ou prolongées a été adoptée. A Orgeval, le tronçon qui prolonge la rue Charles-Roche jusqu’à la rue Schweitzer sera logiquement appelé Charles-Roche. Idem pour le prolongement de la rue Charles-Guggiari. A Clairmarais-Gérurez, l’impasse des Docks rémois, prolongé jusqu’à la rue des Romains devient une rue. La nouvelle rue débutant de la rue de Courcelles vers la rue Maldan sera appelée rue Hortense-Sinzot et celle à côté, en forme de fer à cheval, rue Michel-Laval. Dans le centre, la rue de Bouzy est prolongée jusqu’à la rue des Coutures.
Du côté de Wilson SIR 1, la rue Joseph-Haydn est prolongée jusqu’à la rue Hector-Berlioz et celle située entre l’allée Georges-Bizet et la rue Joseph-Haydn s’appellera rue Oum-Kalsoum. Enfin, à Wilson SIR 2, il y aura des rues Berty-Albrecht, Françoise-Dolto, Simonne-Aubry. Jacky-Perlot, promenade des Sakura et passage des Pergolas.
Le mail piéton entre le resto U et la rue Pierre-Taittinger s’appellera allée la Rafale et entre la rue Dufy et l’avenue Blum, il y aura une rue Marie-Laurencin.
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Cours le matin et sport l’après-midi : le nouveau rythme scolaire, proposé par Luc Chatel, sera expérimenté au collège Georges-Braque. Le recteur nous explique pourquoi.
APRES les incidents qu’a connu le collège Georges-Braque (nos précédentes éditions), la visite du recteur d’académie Alexandre Steyer a débouché sur l’annonce que l’établissement sera pilote pour le nouveau rythme scolaire, selon lequel, dès la rentrée de septembre, les élèves auront cours le matin et se consacreront à des activités sportives l’après-midi.
« Mais il n’y a aucun lien. Le système est assez attractif, et j’ai vu lors de ma visite que les jeunes de ce collège aimaient le sport. Et ma philosophie, depuis que je suis en Champagne-Ardenne, c’est de mettre des moyens ou des innovations attractives là où il y en a le plus besoin. »
Pour lui, la musique est déjà « servie » avec les classes à horaires aménagés, qui permettent de suivre le même rythme en allant au conservatoire l’après-midi. « De toute façon, il s’agit seulement d’une expérience, cela ne veut pas dire que tout le monde le fera dans les années à venir. »
Cette nouvelle disposition peut concerner à la fois le sport de haut niveau, mais surtout le sport santé, « pour les enfants qui ont des problèmes de poids. Cela les fera bouger et pourra les aider aussi à une meilleure nutrition. Il est malheureusement évident que la mauvaise santé dépend aussi de la classe sociale ».
Alexandre Steyer précisera que les jeunes « ne feront pas que du foot » ! Et assure que tant au niveau matériel que des profs, « il y a ce qu’il faut, il s’agit surtout d’un réaménagement de l’emploi du temps ». Ce qui va faire bondir les profs d’EPS (voir ci-dessous).
En tout cas, il est certain qu’il ne faut pas se tromper quand on change les rythmes scolaires. On le voit chez les primaires, où, comme la plupart des parents, le recteur a constaté que les élèves « étaient fatigués », ce qui est aussi le cas chez les collégiens d’ailleurs.
« Je regrette que si peu d’écoles aient choisi de travailler le mercredi matin, comme cela était possible. Mais c’est vrai qu’avec les transports, c’est compliqué… »
G.F.
Lire l’interview du recteur dans notre rubrique éducation de mercredi
Pour ce professeur du conservatoire, la proposition du ministre de l’Education « ne met pas assez l’accent sur le culturel ».
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François Éberlé enseigne la chanson au conservatoire, et intervient aussi comme musicien en milieu scolaire, dans le quartier Orgeval :
« Quand j’ai entendu parler de cette réforme, j’ai appris qu’elle était plutôt à dominante sportive ; que ça se passe le matin ou l’après-midi, ce n’est pas là le problème, ce que je me dis, c’est que ça ne met pas assez l’accent sur le culturel ; or la musique et la culture peuvent être des vecteurs pour certains apprentissages. A mes yeux, le culturel est un des moyens de sortir de l’échec scolaire, par une valorisation que l’enfant n’obtiendra pas forcément dans les matières habituelles, français, maths, histoire… disons les matières intellectuelles. Je ne dis pas que c’est une solution miracle, et puis cette valorisation peut aussi sans doute s’obtenir par le sport, mais grâce à la musique par exemple, certains enfants peuvent se sentir à l’aise et transformés, et par ce biais on peut parfois récupérer certaines choses. Je l’ai vu à Orgeval, où nous travaillons sur un spectacle sur le thème du temps, qui permet de travailler en même temps sur l’histoire. »
Recueilli par A.P.
Pour nous, ce changement des rythmes doit s’intégrer dans un programme plus vaste cherchant l’équilibre global des jeunes, incluant notamment la nutrition, mais aussi le rythme de travail, la concentration, et la découverte d’activités nouvelles.
Maintenant, il reste à mettre tout ça en musique, à coordonner les différents intervenants, qui ne sont pas seulement des enseignants de l’établissement, mais aussi des intervenants extérieurs, des institutionnels et autres.
Ceci se fera au niveau de notre comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté. »
A.P.
Hervé Laheurte est professeur d’éducation physique et sportive depuis une dizaine d’années. Il déclare n’appartenir à aucun syndicat, ce qui ne l’empêche pas de nourrir des interrogations que ne renieraient probablement pas ses collègues syndiqués : « Depuis que le ministre a annoncé la réforme, ma boîte mail a été assaillie par les collègues syndicalistes. La crainte qui s’exprime, c’est d’assister à une entrée en force des associations sportives extrascolaires, les clubs du milieu fédéral, dans les établissements ; on peut imaginer qu’un entraîneur de judo fédéral pourra donner des cours dans des lycées.
Car si on veut que ces nouveaux cours de sport ne se réduisent pas à du gardiennage, il faudra recruter énormément de profs, les profs actuels ne pourront pas se dédoubler ; ou alors, on fera appel à des intervenants extérieurs, que l’on pourra sans doute payer moins cher…
Sinon, sur le principe de faire faire plus de sport aux jeunes, je suis loin d’être contre, ça permettrait de lutter contre leur grande sédentarité, qui est un mal récurrent de nos jours. Et si c’est un moyen de lutter contre l’absentéisme et le décrochage scolaire, je dis oui. Mais il ne faudrait pas que ça se fasse en pressant un peu plus les enseignants ; ceci ne pourrait pas s’envisager sans répercussions salariales. »
Recueilli par A.P.
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« Je ne connais pas très bien ce système pratiqué en Allemagne où l’enseignement général est donné le matin, et le sport l’après-midi.
Est-ce que ce serait possible en France, avec le nombre de profs d’EPS ?
Personnellement, je crains que ce système soit gênant, je compte inscrire mes deux enfants dans des clubs : judo et athlétisme.
Est-ce qu’ils seront toujours motivés pour pratiquer ces sports le mercredi ?
Ces rythmes ne vont-ils pas perturber les enfants ? »
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« Je suis au courant de cette nouvelle initiative, je l’ai appris par la radio. Je savais que ces rythmes se pratiquaient depuis longtemps en Allemagne.
Je trouve que c’est une très bonne chose car les enfants sont plus concentrés le matin, comme les adultes d’ailleurs…
De plus, ils pourront faire plus de sport à des âges où ils sont demandeurs et ont besoin de se dépenser physiquement.
De nouvelles disciplines sportives vont-elles être introduites à l’école ? »
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« Je ne connaissais pas cette nouveauté qui va bouleverser les rythmes scolaires.
Je trouve que ce ne serait pas mal car, quand on fait du sport le matin, on est plus fatigué pour les autres matières le reste de la journée.
Cela ne me dérangerait pas de devoir déjeuner à 10 h 30, car je mange très peu le matin, et c’est précisément l’heure où l’on a le fameux « coup de pompe ».
Moi, j’aurais mieux aimé faire du sport l’après-midi ! »
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Allaoui Bensad est un jeune bénévole du quartier Croix-Rouge qui n’en finit pas de cumuler les talents : écrivain, producteur, co-réalisateur, scénariste, metteur en scène, comédien, coach vocal, chanteur et directeur de casting.
Il annonce la sortie de son nouvel ouvrage, écrit en anglais sous le titre « Outcast for love », qui veut dire « Clochard par amour » : on peut traduire par « J’ai épousé l’art pour commettre un adultère avec la misère ». L’auteur explique : « Ce livre explique, à travers des chants lyriques, pourquoi j’ai failli me retrouver à la rue. »
On peut le consulter et l’acheter sur TheBookEdition.com où sont déjà publiés quatre autres ouvrages d’Allaoui Bensad : « Le destin des enfants de l’espoir », « M’Hamed the king of my world », « Lancelotti » et « M’Hamed, le sultan de mon orient ».
Il suffit de cliquer sur le lien suivant : www.thebookedition.com/outcast-for-...
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