Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mai 2012.
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Profitant du match d’entraînement qui opposera demain vendredi à 10 heures les joueurs de l’équipe de France qui n’auront pas joué ce soir aux moins de 19 ans du Stade de Reims, la Ville a invité 3 431 écoliers à assister à ce match avec leurs 471 accompagnateurs.
Les élèves viennent de 152 classes du CP au CM2 dont quinze classes complètes : Barthou, Blanche-Cavarrot, Clairmarais, Gallieni, Gerbault, Hippodrome, Jard, Jean-d’Aulan, Mazarin, Ruisselet, Sacré-Cœur, Saint-Joseph, Sainte-Madeleine, Sully, Tournebonneau. Pour prolonger la fête, certains organiseront même un pique-nique ensuite au parc Léo-Lagrange.
Attention, ce match n’est pas ouvert au public.
A.M.
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En 14-15 ans, la prestation d’Enzo Wallart (Géo-André) était attendue, lundi après-midi au Centre de Ligue à Reims.
S’il l’a emporté, le pensionnaire des Hauts-de-Nîmes a dû batailler ferme (7-5, 7-5) et même retourner la situation dans le deuxième set (3-5) face à son ami Marc Algéri (Bar-sur-Seine), inscrit, lui, à l’Académie Daniel Contet (à Villeneuve-Loubet).
« Le vent était un peu de travers et, comme les courts sont neufs, les balles étaient assez lentes. Je sais faire autre chose. D’un autre côté, ça m’a obligé à jouer avec ma tête », expliquait celui qui, dans le Gard, est entraîné par Christophe Camus et Julien Maes.
« Je n’étais pas loin mais Enzo a mieux joué les points importants », résumait Marc Algéri.
Les deux locomotives de la relève champardennaise, les 13-14 ans Cindy Castille (Géo-André) et Constant de la Bassetière, ont été exactes au rendez-vous. Même si le second estimait avoir livré « un match moyen » : « Ce n’est pas le jeu que je développe à l’entraînement. Nicolas (Jonasz) s’est un peu battu tout seul ».
Un tournoi - sur terre battue - du Circuit européen U14 attend le Cormontreuillois du 4 au 10 juin à Budapest (Hongrie). L’objectif de la saison restant les France à Roland-Garros où il s’agira d’atteindre les quarts : « Je dois être dans les sept premiers au classement national », calculait Constant de la Bassetière.
Preuve que le niveau régional est finalement relativement homogène, toutes les finales ont été disputées, notamment celle des 15-16 avec la victoire d’Aurélie Marchal qui s’est un peu perdue dans le deuxième set (6-2, 7-6) face à l’opiniâtre Clémence Krug (Reims Europe).
En 17-18 ans, le Mengeot Benjamin Lévêque a su, lui aussi, sortir par le haut de sa finale contre l’Aubois Jules Janin : 6-2, 7-5.
Dans ce qui était une revanche de la demi-finale 2011 de la saison passée en 10 ans, Elvire Prault a pu mesurer sa progression face à Ilona Lopes (Romilly) : « Son arrêt de deux mois sur blessure (genou) lui a peut-être fait du bien au niveau de l’envie et de la fraîcheur », constatait le CTR, Yannick Lemaire.
Mention également, dans la même catégorie d’âge à un autre licencié de Géo-André, Gauthier Henry. Lequel a fait oublier l’élimination, la veille, de son grand frère, Lucas.
J.-P.P.
Organisés sur trois jours à Saint-Dizier, les Régionaux des seniors + ont été dominés par les Marnais (9 titres) devant la Haute-Marne (5), l’Aube (3) et les Ardennes (1).
En + 40 ans, la blessure (au bras) de la tête de série n° 1 Nicolas Wauthier (4/6, TC Reims) en demie, a ouvert la voie au Châlonnais Sébastien Joly (5/6) alors que son camarade de club Eric Renaud (5/6), nouveau pensionnaire en + 45 ans, a logiquement glané son ticket pour Roland-Garros.
Les plus âgés (à partir de + 65 ans) ont évolué sur terre battue. Avec réussite pour Philippe Huet (15/4, Géo-André) ou Roger Gratiot (30/3, La Muire).
Du côté des dames, en + 45 ans, Marie-Christine Saint-Mard (15/1, ASPTT Charleville) a décroché le seul titre ardennais face à la Châlonnaise Cathy Weber (15/1). Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims) a fait respecter la hiérarchie en + 50 ans alors que Martine Carrieu (15/3, Saint-Memmie) s’est montrée toujours aussi déterminée en + 55 ans. La surprise est venue de l’Européenne Christiane Garrige (15/5) en + 60 ans face à Sylvie Jolly (15/4, Epernay).
Samedi 2 juin et dimanche 3 juin de 9 à 18 heures, portes ouvertes aux jardins familiaux Croix-du-Sud.
Vente de fleurs et plants de légumes.
Numéro 7448 du 28 mai au 03 juin 2012.
APPARTEMENTS :
— Appartement type III bis d’environ 75 m2, 14 allée des Tourangeaux à REIMS, 2° étage, porte C - Classe énergétique : "C" - 103.400 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).
Renseignement I-MMOCOOP, 03.26.97.67.37.
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Si l’Ufolep est connue pour la pratique du sport de loisir, la compétition est aussi au rendez-vous chaque saison. La grande journée « Finales de coupes », bien rodée désormais, a rassemblé près de 400 personnes, pratiquants, bénévoles ou supporters, au complexe sportif Géo-André couplé à la Halle universitaire de Reims.
Au programme, les finales de coupes départementales « Saint-Remi Sport » de football, de volley, basket, et un tournoi de badminton. L’événement comprenait aussi, pour la première fois, l’accueil de la finale de coupe régionale Ufolep de football.
Fernand Vaillant-Bultel, vice-président de l’Ufolep, a souligné en fin de journée « le bon esprit sportif et la convivialité dans lesquels se sont déroulées les rencontres », saluant entre autres le travail des bénévoles des commissions techniques impliquées.
C’est dans la bonne humeur que tous se sont retrouvés vers 17 heures pour la remise des récompenses suivie d’un pot de l’amitié. Tous ? Non ! Car une poignée d’irréductibles badistes, victimes du succès du tournoi en ont fini seulement vers 18 heures !
Coupes départementales : Basket : challenge : ACS Sillery. Consolation : Gazelec. Football : challenge : Amis de F. Duquesne. Consolation : FC Christo. Volley : challenge : AS CANE. Consolation : Reims Université Club.
Coupe régionale football : Les Franco Portugais de Reims l’emportent face à la JS Vaudoise (Aube). Badminton : simple dame : Clémence Robert (MQ Val-de-Murigny).
Simple homme : Anthony Dassier (A. Jamin). Double mixte : Mathilde Houmont et Tony Martin (FC Taissy). Double hommes : Ronald Scholman et Stéphane Lambert (FJEP Muizon).
Informations sur le site ufolep51.org ou par téléphone au 03.26.84.32.26.
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BONNEIL (Aisne)
MINIMES : ALPHANIE MIDELET EN SOLO
Quel numéro ! Partie cent mètres devant les garçons, la jeune sociétaire du VC Laon, Alphanie Midelet, a terminé avec près de six minutes d’avance ! De retour dans l’Aisne après avoir disputé deux manches de Coupe de France à Pujols (Aquitaine) et Izernore (Rhône-Alpes), la cadette n’a laissé aucune chance aux minimes axonais.
Tandis qu’elle surclassait l’épreuve à son rythme, les prétendants au titre départemental, dimanche, faisaient dans l’attentisme en s’observant plus que de raison. On s’acheminait ainsi vers un sprint massif que le Saint-Quentinois Vincent Pastot remportait devant son éternel rival, le Villeneuvois Corentin Fossaert.
Le Chaunois Dimitri Hopin complète le podium.
CADETS : FLORIAN HEYMANS COURONNÉ
Des coteaux de champagne, le spectacle est venu… des Champenois ! Grands espoirs, Vincent Ortillon (ECV. Boulzicourt) et le champion régional, Sébastien Havot (ACB Reims) ont rapidement faussé compagnie au peloton.
Un ton (voire deux) au-dessus des autres, les deux collègues du lycée Arago de Reims, célèbre pour sa section sport-études ouverte aux cyclistes, ont dominé la course, portant leur avance à plus de 5 minutes.
Paralysés par l’enjeu, les Axonais s’observaient également beaucoup. L’animation est alors venue de Belgique, via une sélection de 11 Wallons. Un accord entre le Comité de l’Aisne et la Fédération de Cyclisme de Wallonie-Bruxelles a conduit à la création d’une association, l’Entente Cycliste Aisne Meuse. Celle-ci permet le déplacement de délégations dans les deux pays frontaliers.
Le champion de Wallonie, Guillaume Delvaux, a placé de nombreuses attaques. Cette énergie a donné des idées à Florian Heymans (AOS Courmelles) et Florian Sinet (VC Laon), hélas, bien trop tardives, pour espérer revoir le duo de tête.
Au sprint, Sébastien Havot a devancé son compagnon d’échappée.
A l’arrière, un petit groupe s’est formé sur la fin, réglé au sprint par le Troyen Martin Oliveira (UVCA Troyes) devant Florian Heymans, champion de l’Aisne. 7e et 12e, le Laonnois Florian Sinet et le Courmellois Antoine Bodin complètent le podium axonais.
Avec deux des leurs dans le trio de tête du championnat 02, les dirigeants du tout nouveau club de Courmelles étaient aux anges.
Bibliothèque Carnegie : 2, place Carnegie, de 10 à 13 heures et de 14 à 19 heures.
Médiathèque Jean-Falala : 2, rue des Fuseliers, de 10 à 19 heures.
Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis Debar, de 10 à 18 heures.
Bibliothèque Holden : place Brouette, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.
Bibliothèque Saint-Remi : 19, esp. des Capucins, de 10 à 12 heures et de 14 à 19 heures.
-Bibliothèque Chemin Vert : 12, av. de l’Yser, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.
Bibliothèque Laon-Zola : 2, rue de la Neuvillette, de 10 à 18 heures.
Bibliobus urbain : arrêt Chalet-Tunisie (angle Chalet/Prieur de la Marne) de 9 h 30 à 11 h 30 ; arrêt Trois-Fontaine (211 rue Paul Vaillant-Couturier) de 14 h 30 à 17 h 30.
Bibliothèques pour tous : centre-ville, 8, rue des Élus, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures ; Clairmarais, 73 rue Pierre Brossolette, de 10 à 11 h 30 et de 15 à 17 h 30 ; Mozart, maison de quartier Wilson, espace Louise-Michel, 1, place Nadia-et-Lili-Boulanger, de 9 h 30 à 12 heures et de 15 à 18 heures ; Orgeval, 7, place Pierre-de-Fermat, de 9 h 30 à 11 h 30.
« Jeanne d’Arc à Reims » par Patrick Demouy, professeur d’histoire médiévale, à 18 h 30 à la salle des fêtes de l’hôtel de ville de Reims.
« Les maîtres du désordre au quai Branly », par Juliette Corlier, docteur en histoire de l’art, à 18 h 15, à la médiathèque Jean-Falala, 2, rue des Fuseliers à Reims. Renseignements au 03.26.35.68.00
conférences réservées aux adhérents, à la Maison Saint-Sixte, 6, rue Lieutenant-Herduin. Problématiques actuelles : approche psychologique. La dépendance dans les démences du grand âge. Par Mireille Sigal, de 14 h 10 à 16 heures. Ukraine : géopolitique d’un espace de marge ? Par Claude Ruiz, de 16 h 10 à 18 heures.
« Initiation à la guitare » acoustique ou électrique, pour apprendre quelques trucs, astuces et accords basiques…, de 14 à 16 heures pour les adultes et les ados et de 16 à 17 heures pour les enfants à partir de 5 ans, à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar à Reims. Renseignements au 03.26.35.68.40
Projection de diapositives suivie d’un mini-atelier d’illustration (à partir de 5 ans) « Élise se déguise, Arlequin et Polichinelle » : pour le carnaval, élise essaie toutes sortes de déguisements et se retrouve dans des situations surprenantes ! À 14 h 30, sur inscription en secteur jeunesse. À la médiathèque Jean-Falala, 2, rue des Fuseliers à Reims.
« Sophie raconte…. » (à partir de 4 ans), de 15 h 30 à 16 heures. À la médiathèque Jean-Falala, 2, rue des Fuseliers à Reims. Renseignements au 03.26.35.68.00.
Programme de six films d’animation pleins de rire et de douceur pour les plus jeunes spectateurs, dans le cadre de « Grandes histoires pour petites oreilles » (à partir de 2 ans), à 16 h 30 (durée 35 minutes), à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar à Reims.
Le week-end de la Pentecôte fut assez chaud du côté de l’esplanade Eisenhower, avec cinq voitures détruites ou endommagées par un incendie samedi vers 4 heures du matin, suivi d’une tentative de mise à feu dans les bureaux de Reims Habitat après effraction d’un volet (l’union de dimanche).
Au cours du week-end, quelques tags ont également fleuri sur les murs, notamment un « Nike la France ».
Dimanche soir, plusieurs jeunes ont organisé un pique-nique sur les pelouses, rassemblement qui n’aurait gêné personne si les lieux n’avaient pas été retrouvés en mauvais état (herbe brûlée, canettes, papiers gras, etc.).
« On était relativement tranquille ces derniers temps mais depuis un mois, on sent les incidents monter », souffle une habitante.
La belle saison commence mal.
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Il y avait de l’animation, mardi, sur les installations du complexe Marcel-Thil, dans le quartier des Châtillons. Bruno Malherbe et son équipe de la Segpa du collège Paul-Fort « mais aussi les collègues des autres collèges qui ont assuré l’arbitrage » organisaient, pour la 23e année, les tournois de basket et de football.
Plus de 150 jeunes des classes de sixième et cinquième issus des Segpa de huit collèges, dont ceux de Dormans et Sézanne étaient engagés dans 22 équipes (onze pour chaque discipline). Pas moins de 72 matches ont été disputés, entrecoupés du pique-nique pris sur les pelouses. Fort heureusement, il n’a pas plu mais le temps était plutôt automnal que printanier…
« Cette année, toutes les équipes se sont bien comportées » se félicitait M. Malherbe, soulignant la difficulté des organisateurs à décerner les coupes du fair-play. « Toutes les équipes sont mixtes » poursuivait-il en remettant celle du football à Maryse-Bastié où « tous les matches ont été joués avec quatre filles ». En basket, la coupe fair-play a été remise au collège « La Fontaine du Vé » de Sézanne.
Après avoir remercié toutes les équipes pour leur bonne tenue et le nettoyage du terrain, Bruno Malherbe remettait alors douze coupes, dont trois de la ville de Reims, invitant les équipes à participer aux rencontres d’athlétisme qui se dérouleront le 5 juin prochain sur le stade d’Orgeval.
Football : 1. Paul-Fort 4, 2. Paulette-Billa 3 (Tinqueux), 3. Joliot-Curie 3, 4. Paul-Fort 3, 5. Trois-Fontaines 3, 6. Maryse-Bastié 2, 7. Sézanne 4, 8. Sézanne 3, 9. Maryse-Bastié 3,10. Trois-Fontaines 2, 11. Dormans 2.
Basket : 1. Paulette-Billa 2, 2. Trois-Fontaines 1, 3. Sézanne 1, 4. Paulette-Billa 1, 5. Paul-Fort 2, 6 Joliot-Curie 1, 7. Ville-en-Selve, 8. Paul-Fort 1, 9. Dormans 1, 10. Maryse-Bastié 1, 11. Sézanne 2.
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L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud ouvre ses portes au public les samedi 2 et dimanche 3 juin de 9 à 18 heures.
Les visiteurs pourront découvrir les 92 parcelles, dont 2 « pédagogiques » pour les enfants de l’étoile Croix-du-Sud et ceux de l’association de promotion de Pays-de-France.
Tous ces jardins appartiennent à la Communauté d’agglomération de Reims qui les ouvre à l’ensemble de sa population.
A l’occasion de ces portes ouvertes, les jardiniers proposeront à la vente des fleurs, des herbes aromatiques et des plants de légumes.
Entrée libre au croisement Joliot-Curie/Léon-Blum. Tramway : ligne B, station Léon-Blum.
Avant-propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journalofficiel.gouv.fr/…).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005.
REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : démolition des garde-corps béton et remplacement par des garde-corps métalliques au 14, 16, 18 esplanade Eisenhower, quartier Croix-Rouge Université à Reims.
4) Lots : désignation :
01. maçonnerie - sciage béton,
02. métallerie,
03. peinture extérieure,
04. échafaudage.
5) Critères de jugement des offres :
Critères, pondération :
1 : prix des prestations : 40 %,
2 : valeur technique : 50 %,
3 : critères environnementaux : 10 %.
6) Délai d’exécution : le délai d’exécution de l’ensemble des lots est de 4 mois (non compris les intempéries et congés payés).
La période de préparation de 10 semaines n’est pas comprise dans ce délai.
7) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
8) Renseignements complémentaires : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du bureau d’études de REIMS HABITAT, Monsieur AUTIN, tél. 03.26.48.62.32, fax 03.26.48.43.40.
9) Date limite de réception des offres : le 21 Juin 2012 à 17 heures.
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Elvire Prault (Géo-André) et Benjamin Lévêque (TC Saint-Memmie), sacrés en 12 ans et en 17-18 ans. Remi WAFFLART
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Installés sous les gloriettes du Centre de Ligue, aux Thiolettes à Reims, Yannick Lemaire et Emmanuel Castille ont passé un après-midi plutôt agréable. Ce qu’ils ont vu les a confortés dans le sentiment qu’il existe bien une relève en Champagne.
Claire Makhloufi blessée à la cuisse, Cindy Castille, Constant de la Bassetière et Enzo Wallart ont été exacts au rendez-vous, même si rien n’a été simple pour le dernier nommé.
Entre le Rémois de Géo-André, pensionnaire de l’Académie des Hauts-de-Nîmes, et l’Aubois de l’Académie Daniel Contet à Villeneuve-Loubet, le titre des 15-16 ans s’est joué en deux sets serrés : 7-5, 7-5.
Le niveau d’ensemble le confirme : l’équipe technique régionale et les entraîneurs de club commencent à récolter les fruits des structures mises en place, aussi bien avec le Centre de Ligue qu’en partenariat avec des clubs comme Géo-André (Cindy Castille, Aurélie Marchal, Elvire Prault, Gauthier Henry) ou Cormontreuil (Enzo Wallart). Autant d’espoirs passés « dans les mains » des entraîneurs fédéraux.
Le TC Saint-Memmie s’est également distingué, grâce aux victoires de Leanna Clauss (11 ans) et de Benjamin Lévêque (17-18 ans).
Retour sur ces championnats régionaux dans une prochaine édition.
9 ans : Maxime Dubouch (Reims Europe, 30/3) bat Naël Nasser (Bezannes, 30/5) 5-1, 3-5, 5-4 ;
10 ans : Matis Amier (SN Epernay, 30/1) bat Antoine Vicaire (Cormontreuil, 30/1) 5-0, 5-3 ;
11 ans : Valentin Godart (TC Sedan, 15/5) bat Corentin Bonna (PTT Charleville) 6-3, 6-3 ;
12 ans : Gauthier Henry (Géo-André Reims) bat Eloi Clément (PTT Troyes, 15/5) 4-6, 6-3, 6-4 ;
13-14 ans : Constant de la Bassetière (Cormontreuil, 5/6) bat Nicolas Jonasz (Montmirail, 5/6) 6-2, 6-0 ;
15-16 ans : Enzo Wallart (Géo-André Reims, 4/6) bat Marc Algéri (Foyer Barséquanais, 15) 7-5, 7-5 ; - 17-18 ans : Benjamin Levêque (TC Saint-Memmie, 5/6) bat Jules Janin (Rivière-des-Corps, 15/1) 6-2, 7-5.
9 ans : Maëlia Dufeux (Poix-Terron, 40) bat Elodie Lafond (Rivière-des-Corps, 40) 2-5, 5-4, 5-3 ;
10 ans : Lou-Anne Deglaire (Villers-Semeuse, 30/2) bat Marie-Amélie Comarlot (Saint-Memmie, 30/5) 5-3, 5-4 ;
11 ans : Leanna Clauss (Saint-Memmie, 30) bat Marie Barbe (Les Mazures, Renwez, 15/4) 6-4, 6-0 ;
12 ans : Elvire Prault (Géo-André, 15/4) bat Ilona Lopes (Romilly, 15/5) 6-4, 6-3 ;
13-14 ans : Cindy Castille (Géo-André, 2/6) bat Amélie Zarev (SN Epernay, 4/6) 6-4, 6-1 ;
15-16 ans : Aurélie Marchal (Géo-André, 3/6) bat Clémence Krug (Reims Europe, 4/6) 6-2, 7-6 ;
17-18 ans : Juliette Clément (PTT Troyes, 4/6) bat Marine Jumelet (TC Vitryat, 15/1) 6-0, 6-1.
Valentin Godart et Corentin Bonna ont disputé un remake de la finale départementale.
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Claire Makhloufi out, la toute jeune garde du département a assuré, hier à Reims.
LE forfait sur blessure (déchirure à la cuisse) de Claire Makhloufi a fait perdre un titre régional aux Ardennes. Le département n’est pas pour autant reparti « fanny » du Centre de Ligue, à Reims. En 11 ans, le « clasico » ardennais entre Valentin Godart (TC Sedan) et Corentin Bonna (PTT Charleville) a tourné en faveur du premier nommé : 6-3, 6-3.
Avant cette finale, Valentin Godart menait trois victoires (dont une en championnat des Ardennes) à deux devant son rival.
La saison passée, le Nouzonnais - 3e des Petits Marcassins - s’était incliné en finale 5-2 5-4 devant Clément Zarev (Reims Europe).
Ce succès vient à point pour le relancer, avec, comme super bonus, un billet pour les France jeunes à Roland-Garros.
Corentin Bonna a peut-être payé, physiquement, d’avoir dû « traverser » le tableau.
A l’inverse, Marie Barbe (Les Mazures Renwez, 15/4), couronnée en 10 ans en 2011, s’est fait battre, avec une contre à la clé, par Leanna Clauss (Saint-Memmie, 30).
C’est finalement en bas de la pyramide des âges que les Ardennes ont obtenu les meilleurs résultats, avec les succès en 9 ans - et entre 40 - de Maëlia Dufeux (Poix-Terron) et, en 10 ans, de Lou-Anne Deglaire (Villers-Semeuse).
En 14-15 ans, la prestation d’Enzo Wallart était attendue. S’il l’a emporté, le pensionnaire des Hauts-de-Nîmes a dû batailler ferme (7-5, 7-5) et même retourner la situation dans le deuxième set (3-5) face à son ami Marc Algéri (Bar-sur-Seine), inscrit, lui, à l’Académie Daniel Contet (à Villeneuve-Loubet).
Les deux locomotives de la relève champardennaise, les 13-14 ans Cindy Castille (Géo-André) et Constant de la Bassetière, ont été exactes au rendez-vous. Même si le second estimait avoir livré « un match moyen » : « Ce n’est pas le jeu que je développe à l’entraînement. Nicolas (Jonasz) s’est un peu battu tout seul ».
J.-P.P.
Jeu d’ombre et de lumière sous le soleil rémois pour Aurélie Marchal, Cindy Castille et Enzo Wallart.
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Claire Makhloufi sera la grande absente des championnats de Champagne jeunes aujourd’hui au Centre de Ligue, à Reims.
La Givetoise de Géo-André (- 2/6) souffre d’une déchirure à la cuisse gauche qu’elle s’est faite en championnats de France par équipe, à Marseille.
La lauréate du Tournoi de Grenoble menait 6-0 devant une - 30 quand elle a dû abandonner. Une blessure à l’épaule avait déjà, il y a deux mois, contraint Claire Makhloufi à faire un break.
Ce nouveau souci va obliger l’Ardennaise et la Ligue à demander un wild card pour disputer les championnats de France (15-16 ans).
Cette deuxième journée aura donné l’occasion de retrouver Enzo Wallart, déménagé avec sa famille à Barjac (Gard) mais toujours licencié à Reims (Géo-André) : « On y tient pour la Ligue, le club et Anthony Petit », insiste son père.
Celui qui possède la double culture française et américaine - il a vécu en Floride - a rejoint l’Académie des Hauts-de-Nîmes, où il est entraîné par Julien Maes et Fabrice Martin : « La politique est de disputer des tournois adultes », explique Franck Wallart.
L’an passé, Enzo Wallart s’était imposé en 13-14 ans face à Constant de la Bassetière, qui depuis s’est frotté avec succès au circuit européen.
De revanche, il ne pourra y avoir puisque le premier nommé est passé dans la catégorie d’âge supérieure.
En 15-16 ans, justement, Lucas Henri (Géo-André, 5/6) s’est fait surprendre en demi face à Marc Algérie (Bar-sur-Seine, 15) 7-6, 7-5.
Chez les 13-14 ans, malgré ses dernières performances, Constant de la Bassetière doit s’attendre à une finale compliquée devant un autre 5/6, Nicolas Jonasz (Géo-André). L’un comme l’autre ont été expéditifs en demi.
La finale des 12 ans sera un remake de la demie des 11 ans la saison dernière.
Battue en trois sets par Ilona Lopes, Elvire Prault essaiera de confirmer une meilleure progression (15/4 contre 15/5) et sa victoire d’hier face à Léna Coutant (Vitry-le-François, 30) : 6-3, 6-0.
Les autres têtes de série, Cindy Castille (13-14 ans) et Aurélie Marchal (15-16 ans) ont assuré. La première affrontera Amélie Zarev et la seconde Clémence Krug.
En 11 ans, Corentin Bonna (PTT Charleville, 30) a traversé le tableau, ce qui promet un derby disputé face à Valentin Godart (TC Sedan, 15/5).
J.-P.P.
La nuit de samedi à dimanche a été sensiblement moins « brûlante » à Reims que la précédente : en matière de feux criminels ou pour le moins suspects, les policiers n’en ont enregistré qu’un seul, rue de Solferino un peu avant 4 h 30, dont la victime se trouve être un conteneur.
Rappelons que la nuit de vendredi à samedi, elle, avait vu une activité plus forte des pyromanes et autres manieurs de briquets, avec notamment un feu de voitures sur un parking du groupe Eisenhower, un début d’incendie dans un local voisin, et quelques autres actes de vandalisme du même genre dans différents autres secteurs (voir notre édition d’hier dimanche).
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REIMS (Marne). La fin de la nuit de vendredi à samedi a été quelque peu agitée dans le secteur Eisenhower à Reims : plusieurs voitures et un local ont été endommagés par le feu.
AVEC les grandes chaleurs, certains se lèvent très tôt, ou bien se couchent fort tard. Car hier samedi vers 4 heures du matin d’abord, puis vers 5 heures ensuite, ça s’est pas mal agité du côté des immeubles du groupe Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge à Reims.
Et malheureusement pour les habitants, cette agitation n’était pas spécialement festive : ses auteurs, des bandes de jeunes s’il faut en croire les témoignages des gens du cru, semblaient en effet davantage tournés vers la dégradation des biens d’autrui que vers l’amusement de la galerie.
La première de ces deux scènes a eu pour cadre le parking situé à hauteur de l’arrière de l’immeuble 45, et c’est un Renault Espace qui en a principalement fait les frais, victime d’un incendie que l’on a du mal à imaginer accidentel.
Comble de malchance, les flammes se sont propagées à d’autres véhicules, ce qui fait que la police enregistrait finalement un total de cinq voitures plus ou moins endommagées. L’enquête de voisinage n’avait rien donné hier matin.
Mais ce n’était pas tout pour ce secteur, malheureusement habitué il est vrai à la rubrique de la délinquance nocturne, car une heure plus tard environ, c’était du côté de l’immeuble 47 que l’agitation reprenait, sous forme de vandalisme sur un volet et une vitre.
Selon la police, les trublions auraient percé une paroi et projeté un liquide inflammable à l’intérieur d’un local (il pourrait s’agir des bureaux de Reims Habitat), provoquant un début d’incendie. D’autres feux en d’autres endroits de la ville allaient aussi occuper pompiers et policiers au cours de la même nuit (lire ci-contre). Il faut espérer que les prochaines (nuits) seront un peu plus calmes.
A.P.
Organisés cette année au CO Saint-Dizier - TC Bragard, les championnats de Champagne des seniors + ont rassemblé 88 participants. Passage obligé pour décrocher un billet pour Roland-Garros, cette compétition est toujours très disputée.
Chez les messieurs, en + 35 ans, les 2/6 « Européens », Florent Seuret et Pascal Bonnet, auront cette année fort à faire avec Sébastien Mouilleron (1/6, Asptt Troyes). En + 40 ans, Bertrand Bisserie (3/6, Asptt Troyes) sera favori devant Nicolas Wauthier (4/6, TC Reims) alors que le titre + 45 ans devrait revenir à Eric Renaud (5/6, Asptt Châlons). Ensuite le TC Reims cherchera à faire le triplé avec Jean-Marc Visy (15/1) en + 50 ans, Bruno Floquet (15/3) en + 55 ans et Francis Fossier (15/3) en + 60 ans.
Quant à Philippe Huet (15/4, Géo-André) et Philippe Amillet (15/5, Côte des Blancs), ils seront favoris respectivement en + 65 et + 70 ans.
Du côté des dames, les Marnaises ne peuvent rien espérer en + 35 ans où Emmanuelle Fradin (4/6, COSD) devrait triompher à domicile, ni en + 40 ans où Gaelle Fortunato (2/6, Chaumont) possède les armes pour s’imposer. En revanche, Cathy Weber (15/1, Asptt Châlons) en + 45 ans, Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims) en + 50 ans, Martine Carrieu (15/3, Asptt Châlons) ou Dominique Sandre (15/3, TC Reims) en + 55 ans ou Sylvie Jolly (15/4, Société Nautique Epernay) en 60 ans possèdent des chances de succès.
AUJOURD’HUI. - 9 heures : début des rencontres.
DEMAIN. - 9 heures : début des finales.
De ce matin (9 heures) à lundi (16 h 30), le centre de Ligue de Reims va être rythmé par le championnat de Champagne des jeunes de 9 à 18 ans. Les 8 courts (4 intérieurs et 4 extérieurs) de l’Avenue de l’Europe vont accueillir 100 participants (moins 5 wo) pour cette grand-messe régionale composée de 14 tableaux. De quoi imaginer de rudes batailles, d’autant que de nombreux tableaux sont indécis.
Surtout chez les garçons avec, notamment, le duel annoncé chez les 9 ans entre Maxime Dubouch (30/3, Reims Europe Club) et Nael Nasser (30/5, Bezannes). Pas facile non plus d’émettre un pronostic en 11 ans entre les 15/5 Clément Zarev (Reims Europe) et Eliot Roussel (Vitry), en 12 ans entre les 15/3 Bastien Villenet (Taissy) et Gauthier Henry (Géo-André) et en 13/14 ans entre les 5/6 Constant De La Bassetière (Cormontreuil) et Nicolas Jonasz (Montmirail). En 15/16 ans, Enzo Wallart (4/6, Géo-André), tête de serie n°1, est remonté spécialement de Nîmes pour décrocher son billet pour Roland-Garros mais il aura fort à faire avec son camarade de club Lucas Henry (5/6, Géo-André).
Du côté des filles, le TC Géo-André espère faire le grand chelem sur les tableaux principaux puisqu’en 11 ans Alexane Habert (15/5), en 12 ans Elvire Prault (15/4), en 13/14 ans Cindy Castille (2/6) et en 15/16 ans Claire Makhloufi (- 2/6) sont favorites. Mais cette dernière, touchée à la cuisse, ne sera peut-être pas en mesure de défendre ses chances…
AUJOURD’HUI. - Début des rencontres à 9 heures ; derniers matches à 19 h 30. Demain : début des rencontres à 9 heures, derniers matches à 19 h 30. Lundi : début des rencontres à 9 heures, finales à 12 heures, 13 h 30, 15 heures et 16 h 30.
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A Croix-du-Sud, l’école Dufy-Cavarrot propose, pour les petits nouveaux, une préparation à l’entrée à l’école maternelle à la rentrée prochaine.
« En effet, nous organisons des ateliers découverte de l’école, tous les jeudis, jusqu’au 7 juin inclus, les maîtresses de petite section et moi-même, proposons des actions de sensibilisation à l’école » précise la directrice Pascale Donnio : « Les enfants inscrits pour la prochaine rentrée sont attendus avec leurs parents pour mener des activités et découvrir les locaux et les personnes qui les accueilleront. Motricité, peinture, collage de gommettes, graphisme et jeux sont au programme. » Prochains rendez-vous les jeudis 31 mai et le 7 juin, de 14 h 45 à 15 h 30. A savoir : les enfants nés avant le 1er septembre 2010 peuvent être admis à l’école.
Ecole maternelle Dufy-Cavarrot, 2 allée Blanche-Cavarrot, tél. 03.26.36.53.40.
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La deuxième bourse aux vêtements, chaussures, jouets et puériculture organisée à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge par le collectif Escapades a remporté un beau succès de fréquentation : « nous avons accueilli près de 130 personnes entre 9 h 30 et 15 h 30 avec une forte affluence à l’ouverture. Puis le beau temps a dissuadé les chineurs et chineuses jusqu’à la fermeture à 17 h 30 » confirme Jean-Marie Blancart, l’un des organisateurs, « après un énorme travail en amont, triage, étiquetage, classement par tailles, nous avons passé une excellente journée très conviviale ».
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Lors de l’assemblée générale de l’association « Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny » le 2 octobre 2007, Catherine Vautrin s’était déclarée scandalisée en apprenant que la taxe d’habitation dans le quartier Croix-Rouge était plus élevée que celle d’appartements haut de gamme du centre-ville, les propriétaires de ces derniers « oubliant » de signaler aux services fiscaux les améliorations effectuées sur leur propriété (salle de bain ou de douche supplémentaire, vérandas, extensions, ajout de garage,…) alors que la moindre amélioration réalisée sur les HLM (isolation extérieure, amélioration de la sécurité dans les halls, réfection de terrasses, peintures extérieures, caméras de surveillance,…) était signalée, conformément à la loi, par les organismes logeurs, provoquant aussitôt une « régularisation » du montant de la taxe d’habitation sous forme, bien entendu, d’augmentation.
Catherine Vautrin avait promis devant les locataires « d’intervenir à l’Assemblée nationale » pour tenter de régler ce problème qu’elle jugeait inadmissible.
Depuis, le bureau de l’association tente de relancer la députée mais en vain : « Malgré l’engagement pris lors de l’assemblée générale de 2007, Mme Vautrin pratique la politique de la chaise vide depuis plusieurs années et ne communique plus sur les sujets intéressant le quartier » regrettaient les responsables, Maud Trefcon, présidente et Isabelle Mallinger, secrétaire. « Aujourd’hui encore, elle n’est pas venue et n’a pas envoyé de représentant ».
Le premier adjoint Eric Quénard n’a pas manqué de joindre ses regrets à ceux du bureau de l’association ! Jointe par nos soins, Mme Vautrin n’a pas souhaité apporter de précisions sur ce sujet.
Mercredi, 22 h 15, allée Edgar-Degas, une querelle éclate entre deux voisins.
L’un accuse l’autre d’avoir insulté sa mère. Mécontent de se voir reprocher ses mots, ce jeune homme de 27 ans balance deux coups de poings dans la figure de son accusateur.
Bilan : un jour d’incapacité temporaire totale et une convocation devant le tribunal.
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ASSISES DE LA MARNE. Au terme d’un procès éprouvant, marqué par la personnalité complexe de l’accusé, Michel Toumert, 57 ans, a été reconnu coupable du meurtre involontaire de sa compagne, décédée 9 jours après avoir reçu un coup de couteau. Il a été condamné à 5 ans de prison dont 4 ans ferme.
LA plaie n’était pas mortelle… Kheltouma Benkhemmassa est décédée de l’absence de soins rapides. Pour les jurés, la tâche n’a pas été aisée hier après-midi à l’heure du délibéré. Toute la question était de savoir si ce défaut de soins était « intentionnellement » le fait de Michel Toumert… Car dans cette affaire, les services des urgences ont été appelés à 12 reprises entre le 26 et le 31 décembre 2009… sans que personne ne juge bon de se déplacer (voir notre précédente édition).
Sur ce point, l’avocat général, Laurent de Caigny, a laissé les jurés en répondre en leur âme et conscience. Il a évoqué la personnalité atypique de l’accusé, renfermé dans son mutisme, répondant tour à tour par un « oui » ou par un « non » à la même question. « Son esprit s’égare… On ne sait pas ce qu’il s’est passé ce 22 décembre 2009 entre 20 et 21 heures. On ne connaît même pas l’arme du crime ! Il y a une série de couteaux, choisissez ! On n’a pas de scène de crime… On pense que c’est le 22, mais on n’en sait rien… »
Fallait-il requalifier les faits de crime en délit (lire ci-après) ? Peu importe. Pour l’avocat général, les faits sont là : « Il a déclenché les secours… Le coup est mortel… mais il a déclenché les secours.
C’est un enjeu essentiel. Vous allez le déclarer coupable… de crime ou de délit, ça ne me regarde pas. Ça mérite quoi ? De la prison oui. Longtemps non, mais une partie d’emprisonnement ferme ». Et de requérir 5 ans dont 1 an avec sursis et mise à l’épreuve pendant 3 ans avec obligation de soins.
Crime ou délit ? Pour Me Manni, l’avocate de la partie civile, les « faits criminels sont caractérisés », l’état de légitime défense avancé par la défense ne peut aucunement tenir. « J’ai un doute sur le premier coup de couteau porté par Madame Benkhemmassa… » Elle va même supputer « des marques d’automutilation » de la part de l’accusé.
Et d’évoquer « un dossier éprouvant. D’une part, parce qu’une femme est décédée et qu’elle aurait pu être sauvée. D’autre part, parce que le contexte est compliqué. On parle d’une vie de souffrances… Dans cette affaire, on n’a pas pu réellement savoir ce qu’il s’est passé. On a des déclarations bien compliquées de Michel Toumert, contradictoires. Il y a des zones d’ombres, des lacunes dans le cadre de l’instruction… Elle s’est éteinte petit à petit. La mort est due au coup de couteau et à l’absence de soins. Il a menti. Il a dit être empêché de sortir… Il est sorti à 4 reprises… Il a menti pour sauver sa peau. Il sait qu’au bout, ce qui l’attend c’est la prison, et pour longtemps… La fin de vie de sa compagne aura été celle d’une femme agonisante pendant 9 jours, sur une paillasse… »
De son côté, Me Miravete, l’avocat de Michel Toumert, a plaidé la relaxe au motif de la légitime défense. « Il reçoit le coup de couteau, il la désarme et lui met un coup… Il y a légitime défense. Et c’est la relaxe. » Il a rappelé le contexte de violences conjugales et les coups également portés par la victime contre son client. « C’est un pauvre misérable qui a rencontré en Kheltouma le reflet de son existence… C’est un homme battu qui avait honte. Jamais il n’a porté plainte contre sa concubine… » Une nouvelle fois, il a fustigé l’absence des secours. « La machine des secours ne marche plus. Il y a un coup de couteau, des appels et les soins ne suivent pas. Il est là l’élément extérieur. Elle est décédée parce qu’il n’y a pas eu de soins. Elle n’a pas été soignée lorsqu’elle a appelé les secours, ou lorsqu’il a appelé les secours ! »
La légitime défense n’a pas tenu… Entre le coup de couteau porté le 22 décembre et les premiers appels passés le 26, Michel Tourmert aurait largement pu sauver sa compagne… Après trois heures de délibéré, la cour d’assises a donc retenu la qualification criminelle. Michel Toumert, incarcéré depuis le 1er janvier 2010, a été condamné hier à 5 ans de prison dont un an avec sursis et mise à l’épreuve pendant 3 ans, avec obligation de soins. Avec les remises de peine, il devrait sortir d’ici quelques semaines.
Caroline GARNIER
Accusé de « violence avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur la personne de sa concubine », un « crime » aux yeux de la loi, Michel Toumert encourait 20 ans de réclusion criminelle.
Hier, comme ce fut le cas lors de l’instruction, s’est posée la question de la qualification juridique des faits en « crime » ou « délit ». Deux notions qui n’augurent pas de la même sanction sur l’échelle des peines. Et c’était là tout l’enjeu de ce procès.
Dans un premier temps, sur avis du ministère public, le juge d’instruction avait décidé de renvoyer Michel Toumert devant le tribunal correctionnel de Reims pour répondre de « violence volontaire ayant entraîné une incapacité totale de travail de plus de 8 jours », avec deux circonstances aggravantes : l’usage d’une arme et en tant que concubin. Un « délit » en l’occurrence qui faisait encourir à Michel Tourment 7 ans de prison et, dans son cas, en état de récidive légale, 14 ans de prison.
Dans cette affaire, Me Manni pour la partie civile (la famille de Kheltouma Benkhemmassa) avait relevé appel de cette décision devant la chambre d’instruction, qui avait finalement décidé d’infirmer l’ordonnance du juge d’instruction et de renvoyer Michel Toumert devant la cour d’assises de la Marne.
Hier, les jurés ont retenu la qualification criminelle.
C.G.
Ce samedi à 5 h 45, un bureau d’un organisme logeur situé au 47, groupe Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge de Reims a brûlé.
Un engin incendiaire pourrait avoir été jeté à l’intérieur.
Les sapeurs-pompiers ont maîtrisé l’incendie au moyen d’une petite lance.
Une enquête de police est ouverte pour déterminer précisément l’origine du sinistre.
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Les slameurs M’sieur Dam, Thooooomas et Vagablonde, ici avec leur coach Laurent Etienne.
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Le slameur AK, du collectif Slam Tribu, et Emilie Royer, responsable au conseil général de l’action artistique dans les collèges.
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Six collèges marnais, dont quatre rémois, se sont affrontés avec des rimes, ce mardi, à la Comédie. Une finale dont la langue française est sortie vainqueur.
LE sol de la Comédie a tremblé sous les vivats des élèves, mardi 22 mai. Les apprentis slameurs des écoles Saint-Exupéry d’Avize, Nicolas-Ledoux de Dormans, Joliot-Curie, Robert-Schuman, Trois-fontaines et Saint-Michel de Reims, se sont affrontés en finale du Grand slam intercollèges de la Marne, organisé par le conseil général et le collectif « Slam Tribu ».
Une justicière, une candidate à la Présidentielle de 2017… trente collégiens talentueux se sont succédé sur la scène de 9 h 30 à 16 heures, portés par les encouragements des 200 spectateurs, pour déclamer, devant une salle tout à coup silencieuse, un poème d’une à deux minutes. Des textes tantôt sombres, tantôt enjoués et porteurs d’espoir. « Le slam est un bon moyen pour les jeunes de s’approprier la langue française », remarque Emilie Royer, responsable au conseil général de l’action artistique dans les collèges.
Le collège Nicolas-Ledoux, de Dormans, a dominé jusqu’au bout le classement des écoles de cette troisième édition, devant les collèges Robert-Schuman puis Trois-fontaines.
En individuel, c’est l’élève de troisième Zoé Russy, du collège rémois Trois-fontaines, qui a remporté la coupe.
Mais la langue française est aussi sortie gagnante du concours. Dans une ambiance survoltée, les bénévoles de Slam Tribu ont apporté leur humour et rythmé les transitions entre chaque slam, laissant au jury le soin de noter les performances.
« Les élèves se sont tous prêtés au jeu, souligne Emilie Royer, même certains qui étaient sceptiques au départ. » Car la finale de mardi était l’aboutissement d’une longue préparation.
En amont, les bénévoles de Slam Tribu ont dispensé six ateliers de slam de deux heures dans chaque collège : « Pendant les ateliers, on motive les élèves, raconte le slameur « AK », bénévole de l’association. On travaille avec eux pour les aider dans l’écriture de leurs textes. » Puis des mini-finales ont permis de déterminer cinq représentants pour chaque établissement ; cette fois, les textes sont créés de A à Z par les jeunes.
Un maniement de la langue jugé bénéfique. « Ce concours a un impact positif sur les élèves, même après la compétition », affirme l’artiste. « On a plus de demande de la part des professeurs que de places disponibles », renchérit Emilie Royer, pour qui le Grand slam est également une occasion de « démocratiser les scènes dramatiques nationales », comme la Comédie, « et de montrer aux jeunes que ce sont des lieux qui bougent. » Difficile en tout cas de ne pas voir le lieu vivant, mardi, devant l’enthousiasme des collégiens.
Xavier TERRIEN
Après les artistes Barcella en 2007 et Laurent-Etienne.com en 2009, un nouveau slameur rémois, Damien Guillemin alias « M’sieur Dam », de l’association « Les Ateliers slam.com », de Reims, est champion de France de slam. Il a remporté, samedi 19 mai, à Joué-lès-Tours en Indre-et-Loire, la coupe de la ligue slam de France, en individuel. Côté groupe, le trio rémois des Ateliers-slam.com, composé des artistes Thomas Pelzer (Thooooomas), Leslie Marquès (Vagablonde) et Damien Guillemin, a obtenu la médaille d’argent.
Une fierté pour leur coach Laurent Etienne : « On sentait que l’équipe avait envie de faire quelque chose là-bas, et surtout de s’amuser ; et ça, le public le ressent », explique l’ancien champion. Le trio a surpris le public de Joué-lès-Tours par son talent et son énergie. De son côté, le nouveau champion de France décollera en direction de Chicago, en juillet, où il participera, dans le mythique club de jazz « Green Mill », à un tournoi organisé par Mark Smith, pionnier du slam. Un honneur pour le slameur rémois, qui a encore du mal à réaliser : « Je m’attendais plus à la victoire par équipe, je ne pensais pas devenir champion. » Il a gagné une place pour disputer le tournoi francophone de l’océan Indien, en décembre, sur l’île de la Réunion. Des voyages qui pourraient compléter son répertoire.
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Michel Toumert (ici à son arrivée au tribunal) est accusé de « violence avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner » sur sa compagne… décédée 9 jours après avoir reçu un coup de couteau.
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REIMS (Marne). Kheltouma Benkhemmassa est décédée le 31 décembre 2009, à l’âge de 51 ans, d’un coup de couteau à la cuisse… porté 9 jours auparavant. Depuis hier, la cour d’assises de la Marne se penche sur la responsabilité de son compagnon, Michel Toumert, auteur présumé du coup… Un coup qui n’était pas mortel à l’origine.
LE regard vide, presque apeuré, Michel Toumert, 57 ans, les cheveux grisonnants, peine à s’exprimer. Il ne se souvient « plus de rien ». Depuis deux ans, il souffre de problèmes de mémoire. De sa dispute avec Kheltouma Benkhemmassa, décédée le 31 décembre 2009 des suites d’un coup de couteau à la cuisse gauche, il n’a plus vraiment de souvenirs. « C’est regrettable… Je ne peux pas en dire plus… »
Debout, les bras croisés, tendu, il va se livrer avec réserve sur son passé, sa vie. Il va reconnaître des problèmes d’alcool, pour lui comme pour elle… Ils avaient uni leur consommation. Du whisky, de la bière au quotidien. « Elle buvait de trop… Je buvais moins qu’elle. »
Eloignés du monde, ils vivaient ensemble depuis 16 ans, reclus dans leur appartement du quartier Croix-Rouge. Une volonté commune de ne pas avoir de contacts avec l’extérieur. Ils n’avaient pas d’amis, aucun lien avec leurs familles… Ni l’un, ni l’autre. Ils ont fait le vide autour d’eux.
Au chômage, ils vivaient dans une extrême précarité. A deux avec 600 euros par mois. Souvent, Michel a voulu « en finir » avec la vie. Il a d’ailleurs fait huit séjours en hôpital psychiatrique. L’expert psychiatre relèvera d’ailleurs « une altération du discernement » au moment des faits.
Dans cette vie de misère sociale, ils vivaient leur amour à huis clos sur fond de disputes conjugales, de violences réciproques. Une relation violente, pathologique. Ils s’aimaient à leur façon. Michel parlera « de sentiments forts, d’un côté comme de l’autre ». Un coup de foudre. Ce qui n’empêchait pas la police de se rendre fréquemment à leur domicile… Huit interventions de police entre 2004 et 2009. La dernière en date remonte au 10 décembre 2009… seulement quelques jours avant ce qui sera leur dernière dispute.
« Les disputes ont commencé dès les premiers jours », reconnaît Michel Toumert, condamné à trois reprises pour « violences conjugales » sur sa compagne. C’était leur mode de fonctionnement… Pour autant, elle le frappait aussi. « Elle, elle me tapait dessus avec des casseroles, des assiettes, un cul de bouteille… Elle a essayé de m’égorger… Elle était ivre. Je n’ai jamais porté plainte contre elle. Je n’osais pas… Elle m’a martyrisé pendant 16 ans. J’en ai jamais parlé. J’avais honte. »
Ce 22 décembre 2009, une dispute, comme il y en avait souvent, éclate. Une nouvelle scène de violence. « Elle était dans la cuisine, elle a pris un couteau… Elle a dit « mange, t’es mort ». J’étais alcoolisé et sous cachet. Elle aussi était alcoolisée. Elle a essayé de me tuer. Elle voulait me porter un coup à la gorge. Je l’ai désarmée, j’ai pris le couteau et je l’ai planté dans la cuisse… Je ne voulais pas. Elle m’a planté et moi j’ai fait la même chose. Ça saignait beaucoup. J’ai fait un garrot. Je lui ai demandé si elle voulait que j’appelle les secours, elle a dit non. Elle ne voulait pas quitter ses bébés (NDLR : son chien et ses deux chats). »
Kheltouma n’est plus jamais sortie de l’appartement. « J’ai appelé le Samu… Je ne me souviens plus… » Les souvenirs sont confus dans sa tête.
Lorsque les secours sont arrivés le 31 décembre 2009, à 5 h 35, Kheltouma était allongée au sol dans le salon, sur une simple couette, décédée des suites d’un choc hémorragique et d’un probable arrêt cardiaque. Dans un état de confusion extrême, Michel Toumert pensait que la dispute remontait à la veille au soir… Le coup de couteau avait été porté le 22 décembre entre 20 et 21 heures.
« Elle voulait pas aller à l’hôpital… » Interrogé sur le fait qu’il était sorti à quatre reprises de l’appartement entre le 22 et le 31 décembre, dont deux fois pour aller voir son médecin, et aurait donc pu alerter les secours, Michel Toumert n’a eu d’autres réponses. « Elle voulait pas… Elle voulait rien entendre. Elle était têtue pour ça. »
Soignée, Kheltouma serait encore en vie aujourd’hui (lire par ailleurs). La plaie n’était pas mortelle. Sa survie dépendait de soins chirurgicaux rapides…
Le procès va se poursuivre jusqu’à ce soir. L’Accusé encourt 20 ans de réclusion criminelle.
Caroline GARNIER
« Ça saignait beaucoup… J’ai fait un garrot… » Comment peut-on mourir d’un coup de couteau porté neuf jours avant ? Quelle relation peut-il y avoir entre le coup de couteau et le décès de Kheltouma ?
La plaie était « saignante », localisée sur la face externe de la cuisse gauche, profonde d’environ 12 centimètres… mais elle n’était pas mortelle. C’est en substance ce qu’a expliqué hier après-midi le Dr Frichet, expert-légiste. « Médicolégalement, aucune trace d’infection n’a été retrouvée au niveau de la plaie. Les dégâts ont été internes. Une artère et une veine ont été sectionnées provoquant un saignement interne. En aucun cas cette plaie ne pouvait être mortelle dans l’immédiateté du coup porté », a-t-il indiqué, avant d’affirmer : « Si elle avait été secourue immédiatement, la plaie aurait été traitée, elle aurait été sauvée. Les lésions initiales n’étaient pas mortelles… Elle est décédée d’absence de soins rapides, d’un choc hémorragique ».
Pour autant, entre le 26 et le 31 décembre, pas moins de douze appels ont été passés aux services des urgences, cinq auprès des services de police, six auprès du Samu et un auprès des sapeurs-pompiers. S’il n’a pas été possible de récupérer les enregistrements des appels passés auprès de la police (car détruits au bout de deux mois), les enquêteurs ont pu retracer les six appels passés au Samu, soit par la victime elle-même, soit par Michel Toumert. A chaque fois, alors qu’il était précisé que Kheltouma avait reçu un coup de couteau, qu’elle avait perdu beaucoup de sang, la réponse a été la suivante : « On vous conseille d’appeler un médecin… » Tout simplement surréaliste. Ce qui a fait dire au président Gilles Latapie : « Si je comprends bien, on intervient quand il n’y a plus de vie… »
A mots non voilés, même si là n’était pas l’objet du débat, l’avocat général Laurent de Caigny s’est étonné du nombre d’appels passés et des réponses formulées par les services de secours. Et de faire remarquer : « Si la notion de « non-assistance à personne en danger » devait être retenue, elle ne serait pas applicable à Michel Toumert ».
C.G.
Dans l’union d’hier, nous avons relaté la mésaventure d’une famille de cinq personnes agressées par une trentaine d’individus sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome à Croix-Rouge.
Les assaillants s’en sont également pris à leur voiture défoncée à coups de pied et coups de bâtons.
Les dégâts sont de 2 000 euros, et non 200 euros comme écrit par erreur dans l’article.
Devant le tribunal des enfants, cet ado de 16 ans aura à expliquer les faits d’extorsion qui lui sont reprochés.
Le 27 avril dernier, deux jeunes abordent une jeune femme et lui réclament son portable. La scène se déroule du côté de l’allée des Landais, à Croix-Rouge. Cette dernière refuse.
Un des deux mis en cause insiste et déclare qu’il va suivre la jeune femme jusqu’à ce qu’elle cède.
Cette dernière craque, enlève la puce de son téléphone et s’en va. Confondu il y a deux jours, le princi-pal auteur a déclaré lors de son audition qu’il voulait « simplement voir le téléphone ». Pas sûr que sa version persuade le tribunal des mineurs.
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En tennis, il y a le parcours de l’Excellence qui s’adresse aux petits Tsonga ou Gasquet, mais il y a aussi le chemin des écoliers. Ou plutôt vers les écoliers…
A Reims, le comité de la Marne a mis en place un cycle tennis à l’Ecole Gallieni (Orgeval), avec le soutien de Floriane Houb, directrice de l’établissement, et de deux enseignants : Delphine Beauvais (CE2-CM1) et Amar Nouri (CE2).
Les écoliers effectueront une sortie à Roland-Garros le 1er juin, financée en grande partie par le réseau réussite scolaire, la Ville de Reims pour le transport, et par une vente de crêpes.
Mais cette opération comprend aussi, et avant tout, des séances de mini-tennis au gymnase Gallieni, tous les lundis de 10 h 30 à 11 h 30. Diplômé (BE) au TC Géo-André, Bruno Dagnée y effectue des interventions.
« Il y a déjà un certain temps que nous menons des actions concrètes pour le tennis à l’école », rappelle le président du comité départemental, Jean-Pierre Vasseur qui n’oublie pas d’associer la Ligue de Champagne à ces initiatives.
Une douzaine de conseillers pédagogiques de circonscription ont déjà été formés - d’autres vont suivre pour que le maillage se resserre dans le département - et des kits complets de tennis à l’école ont été conçus pour les « instits ».
« Ce kit comprend des documents de travail incluant plusieurs matières : par exemple l’histoire du tennis ou la géographie, avec la localisation des grands tournois », explique encore Jean-Pierre Vasseur.
Une journée « tennis à l’Ecole » sera organisée le lundi 11 juin au TC Géo-André.
Tout juste une semaine plus tard, les enfants - 200 a priori - participeront également à une opération Scola-tennis au Centre de Ligue, aux Thiolettes. « Le but n’est pas de courir après les licences mais de donner peut-être envie de pratiquer le tennis », conclut en substance Jean-Pierre Vasseur.
J.-P.P
L’association Planète Parents invite les familles demain, vendredi 25 mai, de 14 à 16 heures à l’espace Watteau à la maison de quartier de Croix-Rouge pour un atelier « découverte et initiation au portage de bébé en écharpe ».
Atelier gratuit pour les adhérents de la Maison de quartier ou de l’association Planète Parents.
Inscription obligatoire à la Maison de quartier.
REIMS (Marne). C’est le procès de la misère sociale sur fond d’alcool qui s’ouvre aujourd’hui, et pour deux jours, devant la cour d’assises de la Marne. Michel Toumert, un Rémois de 57 ans, est accusé d’avoir porté un coup de couteau à sa concubine… décédée d’une probable septicémie neuf jours après.
ILS s’aimaient… d’un amour inconditionnel, irrationnel. Malgré les disputes, les violences, ils ne pouvaient se détacher l’un de l’autre. Kheltouma Benkhemmassa, 51 ans, est décédée dans la nuit du 30 au 31 décembre 2009 des suites probables d’une septicémie… Neuf jours après avoir reçu un coup de couteau à la cuisse.
Michel Toumert, son compagnon de l’époque, est accusé d’avoir porté le coup à la suite d’une énième dispute conjugale sur fond de misère sociale et d’alcool. Les faits se seraient passés le 22 décembre dans leur appartement du quartier Croix-Rouge, place Dominique-Ingres à Reims.
Pendant neuf jours, Kheltouma serait restée chez elle, se soignant avec l’aide de son compagnon. La plaie étant profonde, il lui aurait posé un garrot, puis une compresse après avoir stoppé l’hémorragie… et aurait ainsi régulièrement changé la compresse. Les urgences auraient été prévenues, mais ne se seraient pas déplacées.
Kheltouma aurait refusé de se rendre à l’hôpital par crainte d’abandonner ses chats.
Suite au coup de couteau, la victime aurait choisi de dormir sur un matelas dans le salon. Son concubin l’a retrouvée morte, le 31 décembre au matin, peu avant 5 heures. Déjà condamné pour des faits de violence, il est écroué depuis les faits à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne.
Accusé de « violences avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner », il encourt quinze ans de réclusion criminelle. Originaire d’Algérie, le couple vivait ensemble depuis une dizaine d’années.
Dans ce procès, tout l’enjeu du débat va porter sur le lien de causalité entre le coup porté et le décès de la victime neuf jours après. D’après les experts, le coup de couteau n’aurait pas été mortel. C’est l’absence de soins qui serait à l’origine du décès.
Caroline GARNIER
Mardi vers 0 h 45, une Opel Vectra a été incendiée rue Raoul-Dufy.
Un Renault Kangoo a subi le même sort à 4 h 45 rue des Capucins.
Le déchaînement de violences s’est produit sur le parking du centre commercial de l’Hippodrome.
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REIMS (Marne) Pour une simple remontrance, cinq membres d’une même famille ont été agressés par une trentaine de jeunes sur un parking du quartier Croix-Rouge à Reims. Les victimes cherchaient une pharmacie de garde quand les faits se sont produits.
ILS cherchaient une pharmacie de garde, ils ont fini aux urgences. Cinq membres d’une même famille se souviendront longtemps de leur passage au quartier Croix-Rouge à Reims, où une trentaine d’individus leur sont tombés dessus à la suite d’une simple remontrance en voiture.
« Les faits se sont produits vendredi soir », témoigne le conducteur du véhicule, un agent pénitentiaire de 25 ans domicilié à Metz mais en visite chez sa belle-famille à Reims. « Comme mon amie se plaignait de maux de ventre, nous avons cherché une pharmacie de garde en emmenant mes beaux-parents et ma belle-sœur enceinte de neuf mois. »
Après avoir tourné dans la ville, la famille arrive vers 21 heures au centre commercial de l’Hippodrome, rue Pierre-Taittinger. « Alors que je me dirigeais vers le parking, cinq jeunes ont traversé la route devant moi n’importe comment. J’ai dû m’arrêter. Machinalement, j’en ai regardé un. Il m’a défié du regard et m’a dit : « Nique ta mère ! » Je suis quelqu’un de droit, d’honnête. Je n’accepte pas qu’on puisse insulter les gens comme ça. Arrivé sur le parking, je suis descendu et j’ai demandé à ce jeune pourquoi il m’avait insulté. Et alors là, en quelques secondes, le groupe des cinq s’est retrouvé à une trentaine. Des copains sont arrivés de partout. Un jeune a collé sa tête contre moi en hurlant. Je l’ai repoussé. J’ai commencé à me prendre des coups dans tous les sens. J’en ai vu avec des bâtons, d’autres avec des ceintures. Mon beau-père est descendu pour s’interposer. Lui aussi a été frappé. Nous étions encerclés. »
Les violences n’ont même pas épargné la jeune femme enceinte, frappée au ventre d’un coup de ceinture puis poussée à terre. La bande s’en est également prise à la concubine. « J’ai voulu défendre mon ami. Trois jeunes me sont tombés dessus. J’ai reçu des coups. J’ai été tirée par les cheveux. Je suis tombée et ils ont continué à me frapper. »
Pendant ce temps-là, un quatrième individu s’est engouffré dans la voiture pour voler le sac à main de la jeune femme. « Il a pris la fuite vers les grands blocs qui se trouvent de l’autre côté de la rue Pierre-Taittinger. Quand tout le monde s’est éparpillé, j’ai couru derrière lui avec ma mère mais nous n’avons pas pu le rattraper. »
Bilan : 70 € disparus avec le sac ; blessures au bras, à la tête, au dos et aux jambes pour le concubin (deux jours d’incapacité totale de travail) ; douleurs aux jambes pour la concubine ; crise d’angoisse de sa sœur enceinte prise de contractions juste après l’agression. « Le travail a démarré dès notre arrivée à l’hôpital. Elle a été admise à la maternité où elle a accouché le lendemain midi. Heureusement, il n’y a pas de séquelles. Le bébé se porte bien. »
Plainte a été déposée. « Il y en a un que j’ai formellement reconnu sur photo », indique le concubin. « Je sais également qu’un témoin s’est manifesté pour dire qu’il pouvait en reconnaître certains. J’espère qu’avec tous ces éléments, l’enquête des policiers va aboutir car on ne peut pas accepter des choses pareilles. J’ai quand même le droit, avec ma famille, de me rendre où je veux, surtout pour chercher une pharmacie de garde, sans me faire insulter ou agresser ! »
Il est reparti à Metz avec une bien triste image de Reims.
F.C.
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REIMS (Marne) Une enquête est ouverte pour tenter de déterminer les circonstances dans lesquelles un Rémois de 29 ans s’est retrouvé avec le visage ensanglanté sur l’A 26, lundi vers 23 heures, à proximité de l’échangeur Reims-Colbert.
Le jeune homme a prévenu lui-même les secours depuis une borne d’appel d’urgence. Présentant de nombreux coups à la face, il a simplement dit qu’il venait de se faire agresser par plusieurs individus, sans donner d’autres détails avant son transport à l’hôpital.
Les gendarmes du peloton autoroutier de Tinqueux attendent de pouvoir l’auditionner pour en savoir plus. Originaire du quartier Croix-Rouge, il semble avoir été victime d’un différend qui a mal tourné, mais cela reste à confirmer.
L’agression s’est-elle produite sur l’A 26 ou à proximité immédiate ? Les auteurs l’ont-ils frappé ailleurs puis abandonné à cet endroit après l’avoir expulsé de leur voiture ? Les jours prochains apporteront peut-être des éclaircissements.
Numéro 7447 du 21 au 27 mai 2012.
au capital de 2.500 €uros Siège social :
30 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS
482 688 587 R.C.S. Reims
Aux termes d’une décision en date du 30/04/2012, l’associé unique a décidé de transférer le siège social de la société de 30 rue de Rilly la Montagne - 51100 REIMS, à 3 rue Claude Bernard - 51430 TINQUEUX, à compter du 01/05/2012, et -de modifier en conséquence l’article 4 des statuts.
Mention en sera faite au R.C.S. de REIMS.
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Quelque 300 jeunes, issus de 17 clubs ont foulé les pelouses du stade Jules-Vastag, en ce jeudi de l’Ascension, invités par l’Association sportive de Taissy et Saint-Léonard.
48 équipes étaient ainsi réunies pour ce grand rassemblement des U7/U8 et U9.
« Bien entendu, il n’est pas question de compétition dans cette catégorie d’âge mais cela permet aux jeunes de se confronter avec d’autres équipes », rappelle Bernard Rousselle, le responsable de l’école de foot.
Au cours de cette journée, tous ont pu participer à onze matches de sept minutes, arbitrés par les jeunes U15 du club taissotin.
Pas de classement donc mais, à l’issue de cette journée, chaque jeune footballeur est reparti avec un petit trophée tandis qu’une coupe était remise à chaque équipe.
En outre, le trophée du fair-play a été remis à l’équipe ardennaise de Villers- Semeuse.
Les clubs participants : Stade de Reims, Epernay, Sainte-Anne, Tinqueux, Acrap, Fismes, Château-Thierry, Villers-Semeuse, Saint-Brice-Courcelles, Wilson, Nord-Champagne, Murigny, La Neuvillette, Witry-lès-Reims, Sault-lès-Rethel, Muizon et Taissy.
À noter que le prochain rendez-vous de l’ASTL aura lieu les 26 et 27 mai à l’occasion du tournoi U11. 24 équipes seront réunies à partir de 9 h 30.
L’entreprise Pertuy, qui travaille sur le quartier, propose un atelier maçonnerie qui a beaucoup de succès.
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Samedi 26 mai, la Maison de quartier Croix-Rouge, en partenariat avec des associations du secteur, propose une fête des quartiers Pays-de-France et Croix-du-Sud à partir de 14 heures, sur la pelouse Saint-Bruno, derrière l’église du même nom.
Le thème retenu pour ces festivités est celui de la nature.
À l’affiche, la fanfare « iI y a du monde aux Balkans » conduira une déambulation de 14 à 15 heures, de Pays-de-France à Croix-du-Sud.
De 15 à 16 heures, sur la pelouse Saint-Bruno, un grand jeu rallye, un lancer de comètes, de la pétanque, une course en sac, la pêche aux canards, le chamboule-tout, du tir à la sarbacane et à l’arc, un quiz musical, un parcours à vélo attendront le public.
Un stand jardinage sera tenu par les associations de jardins familiaux, l’entreprise Pertuy animera un atelier construction et la médiathèque Croix-Rouge sera présente avec un atelier lecture. Seront encore proposés un stand atelier créatif, un stand photo (projet du futur), un stand maquillage et une buvette.
Toutes ces animations seront gratuites. Renseignements auprès de Slimane Hamdi à l’espace Pays-de-France (03.26.82.53.48.) ou auprès d’Elisabeth Causin à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.)
L’association Planète Parents invite les familles le vendredi 25 mai, de 14à 16 heures à l’espace Watteau (maison de quartier de Croix-Rouge) pour un atelier « Découverte et initiation au portage de bébé en écharpe ».
Atelier gratuit pour les adhérents de la Maison de quartier ou de l’association Planète Parents.
Inscription obligatoire.
La maison de quartier de Croix-Rouge (espace Watteau) propose d’organiser un petit séjour de vacances pour les familles qui ont de jeunes enfants.
Réunion d’information lundi 4 juin à 10 heures, 3 allée Antoine-Watteau.
Une sortie « Acrobranches en famille » est prévue vers « Grimpobranches » à Witry-lès-Reims le samedi 9 juin.
Départ prévu à 8 h 15 devant le collège Georges-Braque, retour vers 14 heures.
Prévoir son pique-nique.
Une tenue sportive est conseillée.
Tarifs : 3,80 euros pour les enfants de 3 à 5 ans, 5,80 euros pour les enfants de 6 à 11 ans, 7 euros pour les personnes de 12 ans (adhésion familiale obligatoire :12 euros).
Inscriptions au 03.26.36.03.50.
Avec deux victoires pour trois défaites, la 3e journée des Interclubs nationaux propose un bilan plutôt moyen. Reste que, pour une fois, ce sont les messieurs qui ont tiré leurs épingles du jeu.
Ainsi, en N3, Cormontreuil n’a-t-il laissé aucune chance à la faible formation bourguignonne de Talant (8-0). De quoi rester en course pour le maintien au même titre que le TC Vitry qui, également à domicile, a brillamment pris le meilleur sur Fontenay (6-2). En N4, le TC Reims a, certes, connu une nouvelle défaite à l’ASPTT Dijon mais en opposant une farouche résistance à l’image des superbes « perfs » des 4/6 Benjamin Landrieu et Jérémy Solivellas.
Les dames n’ont, elles, pas été à la fête. En déplacement à Nice pour la « finale » de la poule, le Reims Europe Club a été battu au terme d’une rencontre très équilibrée (4-3). Entre équipes très proches, le résultat aurait fort bien pu être inversé mais les Azuréennes, emmenées par l’ancienne « Européenne » Marion Gaud aujourd’hui n° 30, ont su forcer la décision.
Enfin, en N2, en virée aussi dans le Sud, à Gémenos, le TC Géo-André a cédé contre un des favoris à l’accession. Au complet, les Rémoises n’ont pas démérité comme en témoigne la nouvelle victoire probante de Servane Delobelle ou les bonnes prestations de Claire Makhloufi et Cindy Castille. La prochaine journée aura lieu le 3 juin puisque le week-end prochain est dévolu aux championnats de Champagne jeunes (au Centre de Ligue) et seniors + (Saint-Dizier).
N1B : NICE. - TCF Giordan bat Reims Europe Club 4-3.
Anja Prislan (n° 30, REC) bat Marion Gaud (n° 30, Giordan) 6-2, 2-6, 6-3 ; Morgane Pons (- 30, Giordan) bat Magdalena Kiszczynska (- 30, REC) 6-2, 3-6, 6-1 ; Aleksandra Grela (- 15, REC) bat Anais Van Cauter (- 15, Giordan) 6-0, 6-2 ; Amandine Cazeaux (- 15, Giordan) bat Marie Menacer (- 4/6, REC) 6-3, 6-0 ; Nuria Roig (- 4/6, Giordan) bat Nathalie Mohn (- 2/6, REC) 6-3, 6-0.
Marion Gaud - Nuria Roig battent Anja Prislan - Marie Menacer 7-5, 7-6 ; Magdalena Kiszczynska - Aleksandra Grela battent Morgane Pons - Amandine Cazeaux 2-6, 7-5, 1-0.
N2 : GEMENOS. - OMT Gemenos bat TC Géo-André 6-2
Margit Ruutel (-30, Gémenos) bat Claire Makhloufi (- 2/6, Géo-André) 0-6, 6-4, 6-2 ; Servane Delobelle (1/6, Géo-André) bat Léna Pacholski (- 4/6, Gémenos) 6-2, 6-1 ; Ana Miguel-Ivern (- 4/6, Gémenos) bat Jackie Lassaux (1/6, Géo-André) 6-4, 6-1 ; Julie Tringa (- 2/6, Gémenos) bat Cindy Castille (2/6, Géo-André) 6-7, 6-0, 6-4 ; Aurélie Marchal (3/6, Géo-André) bat Laura Barré (2/6, Gémenos) 6-2 abandon.
Margit Ruutel - Ana Miguel-Ivern battent Servane Delobelle - Cindy Castille 6-4, 6-2 ; Léna Pacholski - Julie Tringa battent Aurélie Marchal - Maêva Spooner 6-2, 6-7, 1-0.
N3 : CORMONTREUIL. - Cormontreuil TC bat Talant AT 8-0
Salomon (- 2/6, Cormontreuil) bat Verdun (3/6, Talant) 6-2, 6-0 ; Jolly (- 2/6, Cormontreuil) bat Guillemenot (4/6, Talant) 6-2, 6-0 ; Robert (0, Cormontreuil) bat Brissaud (4/6, Talant) 7-6, 6-0 ; Guillemard (5/6, Cormontreuil) bat Adeien Raux (5/6, Talant) 6-1, 3-6, 7-5 ; Lalouette (5/6, Cormontreuil) bat Harmand (5/6, Talant) 6-1, 6-1.
Jolly - Robert battent Verdun - Guillemenot 7-6 abandon ; Salomon - Lalouette battent Brissaud - Raux 6-2, 6-2.
VITRY LE FRANCOIS. - TC Vitry bat US Fontenay 6-2
Juska (n° 52, Vitry) bat Sicard (- 15, Fontenay) 7-6, 6-3 ; Fafl (- 4/6, Vitry) bat Suillerot (- 2/6, Fontenay) 6-2, 6-2 ; Lalouette (1/6, Vitry) bat Boissavy (0, Fontenay) 6-1, 4-6, 5-3 abandon ; Maole Munoz (1/6, Fontenay) bat Jeanrat (15/1, Vitry) 6-1, 6-1 ; Robineau (2/6, Fontenay) bat Mulat (15/2, Vitry) 6-1, 6-0.
Juska - Fafl battent Sicard - Suillerot 6-3, 6-4 ; Lalouette - Jeanrat battent Maole Munoz - Robineau 0-6, 6-3, 1-0.
N4 : DIJON. - ASPTT Dijon bat TC Reims 4-3
Neveu (- 4/6, Dijon) bat Betbeze (2/6, Reims) 6-1, 6-1 ; Leoussoff (1/6, Dijon) bat Gilles (3/6, Reims) 6-2, 6-1 ; Landrieu (4/6, Reims) bat Bonnard (1/6, Dijon) 6-3, 6-4 ; Solivellas (4/6, Reims) bat Brigand (2/6, Dijon) 6-3, 6-4 ; Meunier (2/6, Dijon) bat Fromentin (4/6, Reims) 6-2, 6-1.
Neveu - Leoussoff battent Betbeze - Landrieu 6-4, 6-4 ; Gilles - Fromentin battent Meunier - Charret (2/6, Dijon) 6-4, 6-4.
Anais, Estelle, Sarra, Marvin, Alexandre et les deux encadrants, Noémie et Djallal.
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Durant les vacances scolaires, du 23 au 27 avril, un groupe d’ados du quartier Croix-Rouge âgés de 13 à 15 ans a participé à un chantier jeunes mis en place par le Service de Prévention (SDP) et l’association Jeunesse et Espoir Pays-de-France, en partenariat avec le Foyer rémois. Le but de ce chantier était de renouveler les espaces verts et plus précisément ceux situés sur le secteur des Tourangeaux, l’une des parties de Pays-de-France.
Six adolescents encadrés par un éducateur ainsi que par Djallal, un jeune bénévole de Jeunesse et Espoir Pays-de-France, ont enlevé dans un premier temps toutes les plantes et fleurs fanées. Ils ont été invités par le bailleur pour choisir eux-mêmes les plantes qu’ils allaient replanter. « Un agent du Foyer rémois était avec nous sur toute la durée du chantier afin de nous aiguiller sur le travail à faire », souligne Noémie Hubert, éducatrice de prévention au SDP.
Ce chantier a également permis à Noémie Hubert d’observer l’attitude de ces jeunes, qu’elle suit tout au long de l’année, dans une action collective mais aussi d’évaluer leurs aptitudes au travail avant de les accompagner prochainement dans des recherches de stage.
« En échange de leur implication dans ce chantier, plusieurs sorties seront mises en place les samedis du mois de juin au parc Astérix, Center Park ou encore au zoo d’Amnéville. Ils le méritent car ils étaient tous vraiment motivés. Surtout qu’ils ont travaillé sous la pluie et qu’aucun n’a décroché. Ils ont tenu jusqu’au bout », ajoute l’éducatrice.
Fin mai, début juin, toujours en partenariat avec le Foyer rémois, le Service de Prévention et l’association Espoir jeune Pays-de-France mettront en place un chantier similaire pour des adolescents un peu plus jeunes. Un autre chantier pour de jeunes adultes sera également organisé dans le but de rénover des cages d’escalier à Pays-de-France. Ils se verront financer en retour un voyage en Espagne durant les vacances d’été.
T.A.-F.
Pivot de la saison, la troisième journée des Interclubs Nationaux risque fort d’être, dimanche, essentielle.
Cap au sud pour les dames puisqu’en N1B, le Reims Europe Club se rendra à Nice pour affronter le TCF Giordan dans la « finale » de la poule. Avec comme objectif la toute honorifique première place puisqu’il est quasiment acquis que ces deux formations accèderont à la N1A. De son côté, en N2, le TC Géo-André se déplacera dans les Bouches du Rhône pour défier, sans grand espoir, le leader Gemenos qui présente à chaque rencontre trois ou quatre négatives !
Chez les messieurs, en N3, le Cormontreuil TC devrait connaître son premier succès de la saison puisqu’il reçoit l’équipe la plus faible de la poule Talant. Défait dimanche dernier à Montataire, Vitry se doit, pour sa part, de battre Fontenay pour conserver ses chances de maintien. Enfin, en N4, le TC Reims va encore connaitre une rencontre difficile à l’ASPTT Dijon qui aligne un n° 22 et un - 4/6.
À la vue des pompiers, il a vu rouge ! Rémois de 31 ans, Steven Baudelot est ce passager de bus qui a menacé de mort le coéquipier d’une ambulance venu le secourir mardi matin après avoir été victime d’un malaise (l’union de jeudi). Un écart de conduite sanctionné hier après-midi, en comparution immédiate, par une peine de deux mois ferme.
Malade, le jeune homme l’était d’avoir trop bu. « J’avais fait la fête chez un ami. J’ai bu plusieurs bières, je ne sais plus combien. J’ai dormi chez lui, justement pour ne pas repartir ivre. J’ai attendu le lendemain pour rentrer chez moi en bus. »
Ce mardi matin, il lui reste quand même quelques séquelles de la soirée car son comportement suscite l’inquiétude des passagers. Il importune certains d’entre eux avant de sombrer dans un état de somnolence laissant craindre pour sa santé.
Alertés, les pompiers interviennent à l’arrêt de l’avenue du Maréchal-Juin à Reims. Steven Baudelot est sorti de sa torpeur. Ils lui demandent de descendre du bus pour pouvoir l’examiner tranquillement. « Pour moi, ça allait. Je voulais repartir. » Aussi commence-t-il à s’énerver quand il se retrouve sur le trottoir.
Il se laisse examiner, mais tout en menaçant le pompier qui l’ausculte. Celui-ci décide de prévenir la police. Colère du prévenu : « Je connais ton adresse. Je vais prendre huit mois mais à la sortie, je vais m’occuper de toi. J’ai ton visage dans ma tête ! Je vais te crever ! »
Les policiers arrivent. Lors de la fouille, ils trouvent un impressionnant couteau dans son pantalon : un poignard au manche décoratif, prolongé d’une lame tranchante longue de 20 centimètres ! Steven Baudelot repasse devant le pompier, le fixe du regard et lui lance : « Tu comprends avec quoi je vais te retrouver », avant de réitérer ses menaces de le « crever ».
Dégrisé au commissariat, il déclare ne plus se souvenir de grand-chose mais croit savoir qu’il est resté correct avec le sauveteur, prétendant au contraire que c’est lui qui a manqué de respect à son égard. « Il m’a considéré comme un clochard, comme un SDF. »
Interrogé sur le poignard, il explique en faire la collection.
Poursuivi pour le port d’arme prohibé et les menaces de mort sur une « personne chargée d’une mission de service public », Steven Baudelot a pris deux mois de prison ferme, mais sans mandat de dépôt. Il est reparti libre du tribunal en attendant de purger sa peine sous un mode aménagé.
Les juges lui ont accordé cette faveur au motif que la dernière de ses nombreuses condamnations remontait à 2008. Il s’agissait d’ailleurs d’une affaire similaire : des menaces de mort à l’encontre d’un chargé de mission de service public.
F.C.
Conseil municipal : Ça grince sur les subventions
 Parmi les sujets abordés au conseil : le prix des festivités pour l’inauguration des nouvelles Halles Boulingrin.
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Soutenir les associations, préparer les festivités pour l’inauguration des Halles du Boulingrin ou financer la restauration du musée-fort de la Pompelle, autant de dossiers qui attendent un soutien financier de la Ville. Un peu trop au goût de l’opposition.
Bien que la séance ne se soit point éternisée, avec des débats loin d’être houleux, le dernier conseil municipal de Reims a tout de même relevé un point de discorde entre majorité et opposition : les financements accordés par la Ville. C’est avec la délibération concernant l’obtention d’une subvention de 49 900 euros à l’association T.R.A.C (Toutes Recherches Artistiques et de Créations) pour l’organisation du concert d’été à Croix-Rouge que les hostilités ont été lancées, le Modem Jean-Marie Beaupuy se demandant « si, à un moment, une association ne doit pas avoir de limite de subventions ». « En l’occurrence ici, T.R.A.C. fait beaucoup de propositions et nous ont bien aidés pour cette opération estivale. Alors oui, on la soutient, mais dans la limite du raisonnable », résume Serge Pugeault, adjoint en charge de la Culture.
Autre projet, autre somme et autre polémique avec la délibération concernant le budget alloué par la municipalité pour l’inauguration des Halles Boulingrin, en septembre prochain. Si d’entrée le groupe UMP choisit de s’abstenir sur le vote, « vus les coûts exorbitants pratiqués en général par la majorité lors des inaugurations, à l’image de celle du tramway », Serge Pugeault souhaite couper court aux débats en se lançant dans une diatribe, somme toute mesurée : « Le budget total des festivités sera au maximum de 300 000 euros, c’est loin d’être considérable. D’autant que pour les coûts de rénovation des Halles, on avait prévu 28,5 millions d’euros et qu’on est, à l’heure actuelle, à 26 millions. Ça fait donc 2,5 millions d’euros de gagnés, soit une économie de 2,8% par rapport aux prévisions initiales. Parallèlement, je ne me permettrai pas de faire le comparatif avec les surcoûts faramineux que l’ancienne municipalité a connu avec la construction du nouveau stade de Reims… Donc 300 000 euros pour marquer de manière symbolique cette réouverture historique, non ce n’est pas trop ! »
Dans l’attribution de subventions ou de participation financière de la Ville, le musée du Fort de la Pompelle risque, lui aussi, de faire parler de lui dans les mois à venir. Là encore, c’est sur la question de l’investissement que commencent à poindre les premières anicroches (le chiffre de 4 450 000 euros est évoqué pour les travaux de restauration et la mise en valeur muséographique et scénographique). « Avec l’arrivée de vos amis au pouvoir, vous devez jouer de vos contacts dans tous les ministères pour nous obtenir des subventions Mme la Maire », lance, ironiquement, Jean-Marie Beaupuy. Si Adeline Hazan répond évidemment par l’affirmative, une partie de l’opposition reprend pourtant de plus belle : « Vous êtes également présidente de Reims Métropole, or le musée est situé sur la commune de Puisieulx qui va bientôt rentrer dans l’agglomération. Mais pour le moment, Reims Métropole n’a pas prévu de subvention pour ce projet, trouvez-vous cela normal ? » En conclusion, l’édile de Reims se contentera de rappeler qu’elle se sent « bien sûr très concernée par ce dossier qu’elle étudiera de près très prochainement ». Ces travaux sur le Fort devraient être achevés pour les commémorations du centenaire de la première guerre mondiale en 2014.
Aymeric Henniaux
Hommage : Dernier au revoir à Richard Vistelle
 Sur l’écran géant, un portrait de l’ancien président de l’Université, décédé le 22 avril dernier.
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 Près de 700 personnes ont assisté au dernier hommage organisé pour Richard Vistelle
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Ils étaient pratiquement 700, soit la contenance maximum de l’amphithéâtre numéro 3 du campus Croix-Rouge, à avoir fait le déplacement lundi pour rendre un dernier hommage à l’ancien président de l’université.
Pendant plusieurs heures, les qualités de l’ancien président ont fleuri à la tribune : « Franc, sympathique, ouvert et curieux », pour le recteur Philippe-Pierre Cabourdin, « humaniste très attachant, à l’écoute et anti-conventionnel » pour la maire de Reims, Adeline Hazan… Du côté des étudiants, Romain Poulain, étudiant en pharmacie a tenu à saluer « la proximité que Richard Vistelle a toujours voulu avoir avec nous, en créant notamment le poste de vice-président étudiant ».
« Un poste devenu désormais indispensable, a repris Cédric Gressent, vice-président étudiant en poste, avec lui, nous avions enfin un président qui nous associait aux grands projets ».
A.H
Patrick Baudet, directeur de Reims habitat, Eric Quénard, premier adjoint, Maud Trefcon, présidente, Isabelle Mallinger, secrétaire et Alain Bouny, directeur de la succursale Croix-du-Sud.
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L’assemblée générale de l’Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny s’est déroulée le mercredi 9 mai dans les locaux de l’espace Watteau.
A la suite de la démission de Daniel Houssack de son poste de trésorier, le bureau n’est plus composé que de deux personnes : Maud Trefcon, présidente, et Isabelle Mallinger, trésorière : « Il existe un réel besoin de nouvelles bonnes volontés afin de renforcer le bureau ! », déclarait cette dernière avant de lire le rapport d’activités de l’année écoulée.
Le projet d’espaces verts progresse lentement : « La deuxième tranche est terminée ». Le contrôle des charges est régulièrement effectué auprès du bailleur : « Reims habitat est heureux de l’existence de cette structure », assurait Patrick Baudet, directeur général, entouré de Philippe Bréjard, directeur location et proximité et d’Alain Bouny, nouveau responsable de l’agence Croix-du-Sud. « Je suis très attaché à la notion d’amicale et nous faisons beaucoup plus avec elle que contre elle ! »
En ce qui concerne les problèmes relationnels avec les élèves du collège Georges-Braque, « l’action menée en partenariat avec la mairie, le collège, les associations de locataires, la police, la justice, les travailleurs sociaux, l’éducation nationale et les bailleurs auprès des jeunes donne de bons résultats. La situation, même si elle n’est pas parfaite, s’est améliorée. Nous veillons à ce qu’elle ne se dégrade pas à nouveau et nous restons en contact avec les médiateurs de la ville de Reims ».
En attente, la suite de l’aménagement du quartier et des travaux sur les secteurs Utrillo puis Watteau, la suppression du carré Sénéchal et celle des bacs à sable, restent posées.
« Depuis 2008 encore, nous espérons aussi l’installation de détecteurs de présence sur les paliers de tous les bâtiments de l’îlot E. » « Les marchés sont passés », répondait Patrick Baudet : « Nous attaquons d’ici l’été 2012 et tout sera terminé fin septembre ».
L’amicale demande la poursuite des contrôles des prestations ménage et espaces verts « qui ne donnent pas du tout satisfaction, la société prestataire n’effectuant aucun contrôle ! ».
Avant les questions diverses du public, la présidente a invité les personnalités à s’exprimer sur plusieurs sujets : le GIE, groupement d’intérêt économique « Tranquillité », la vidéo-protection, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères Teom, la reprise des espaces verts par la mairie, le projet des bacs enterrés, le prix de l’eau chaude et du chauffage, les fuites dans le garage G18 et enfin, le montant de la taxe d’habitation.
Pour la vidéo-protection, Patrick Baudet a annoncé : « Elle sera installée courant 2012 dans certaines entrées et dans les garages. Dans les cinq ans, elle concernera l’ensemble des halls d’entrée sur la base d’une consultation des locataires. Elle leur coûtera 3,50 euros par mois par logement. Pour les garages, ce sera gratuit. »
Eric Quénard, premier adjoint, a donné des explications sur le GIE : « Il a été mis en place à l’initiative des bailleurs qui le financent eux-mêmes. De 17 à 23 heures, du lundi au samedi, le groupement dispose d’intervenants (jusqu’à quinze personnes si besoin, via une société de veille) pour tous les troubles signalés par les locataires en appelant le numéro d’urgence du bailleur concerné. Il fonctionne depuis le 1er mai ». Patrick Baudet précisait : « Le GIE s’occupe seulement de droit civil, contrat de location et règlement intérieur. Pour les troubles d’ordre pénal, il appelle lui-même la police qui intervient aussitôt ».
Invité en qualité de président local de la CNL (Confédération nationale du logement), Michel Roquier est un habitué du coup de gueule quand il assiste à l’assemblée générale d’une de ses associations adhérentes.
Il n’a pas failli à la tradition et cette fois, il s’est attaqué au prix de l’eau chaude et du chauffage chez Reims habitat : « Il y a un gros problème au niveau de l’eau chaude que vous payez 16,41 euros le m3, à la suite d’une grosse augmentation depuis 2007, c’est aberrant ! Ce problème est lié à celui du chauffage, que vous payez 9,05 euros du m2, alors qu’il est à 4 euros du m2 à Orgeval ! Il y a, pour l’eau chaude chez Reims habitat, quelque chose qui ne va pas, cela me semble trop élevé. Je compare avec l’Effort rémois et avec le Foyer rémois et je suis pour la vérité des prix. La CNL va creuser tout cela ! » Il ajoutait : « Quant à la fameuse chaufferie au bois en construction, elle sera la plus chère de toute la ville de Reims et c’est vous qui allez la payer ! » Eric Quénard a tenu, lui, à préciser : « Le bois, énergie durable, énergie la moins chère, permettra aux locataires des économies de 5 à 10 % et la nouvelle chaufferie sera opérationnelle pour le prochain hiver ».
Le public ajoutait qu’il a beaucoup de travaux à effectuer au niveau de la robinetterie et des sanitaires « qui ne sont pas au top ».
Verra-t-on une baisse prochaine du prix de l’eau chaude ? Beaucoup de locataires espèrent que l’intervention de la CNL sera suivie d’effets positifs sur la facture des charges !
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Le grand terrain de boules de l’Acrap, qui avait été tronqué pour permettre le passage du tramway, a été remis en état avec l’installation d’une clôture périphérique, la réfection de la surface de jeu, le remplacement des bastaings manquants sur tout le périmètre et le passage de fourreaux électriques pour le cas où ce terrain serait éclairé.
Le coût de ces travaux, réalisés par la ville de Reims, est de 60 000 euros TTC dont 25 000 euros de clôture.
L’Acrap dispose maintenant d’un petit boulodrome à surface sablée et d’un grand boulodrome à surface bitumée, avec bancs et éclairage, tous deux bien clôturés. De quoi renouer avec les concours de pétanque d’importance régionale, voire davantage.
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« Merci pour ta lettre, l’écureuil ! » est le titre d’une lecture publique proposée à la médiathèque Croix-Rouge demain samedi 19 mai à 16 heures, par l’Atelier de lecture à voix haute de la maison de quartier Maison-Blanche, dirigé par Claire Deborde, de la compagnie « Surleboutdelalangue », d’après l’œuvre de Toon Tellegen, « Lettres de l’écureuil à la fourmi », aux éditions Albin-Michel Jeunesse.
Les animaux de la forêt s’écrivent des lettres et des messages parfois étranges, que distribue le vent. Ainsi, l’éléphant invite l’escargot à danser, la taupe solitaire s’envoie des lettres à elle-même, tandis que la lettre d’un ver luisant fait battre le cœur d’un papillon de nuit. La douceur des mots de cette correspondance fantaisiste et émouvante ravira la gourmandise des auditeurs, grands et petits à partir de 7 ans.
L’auteur, Toon Tellegen, est né en 1943 aux Pays-Bas où son œuvre connaît un grand succès. Devenus de vrais classiques, ses livres sont régulièrement primés et font l’objet de lectures dans les cafés littéraires.
Durée 35 minutes. Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.
Une petite pause sur l’Esplanade de l’Espace de Bezannes en présence de Christine Michel et de Jean Pierre Belfie.
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Le Vélo tram’Usep 2012, une action sous l’autorité de Christophe Viet, délégué départemental Usep 51 (union sportive de l’enseignement du 1er degré) dans le cadre du P’tit tour Usep national, a permis de sensibiliser des enfants à la sécurité et au déplacement à vélo.
« Découvrir sa ville autrement, faire de l’inter quartier et mieux vivre ensemble » : les participants (deux classes d’une école rémoise) ont ainsi fait la liaison nord-sud de Reims métropole à vélo ou en tram. Une boucle vélo qui s’est déroulée parfois sous de fortes averses.
Les élèves vêtus de gilets jaunes de sécurité et de casques ont fait une petite pause sur l’esplanade de l’espace de Bezannes, où ils ont été chaleureusement accueillis par le maire et vice-président de l’intercommunalité Jean-Pierre Belfie, et l’adjoint au maire rémois en charge des sports.
L’Usep organise le jeudi 8 juin une étape Massif de Saint-Thierry à vélo, sortie cyclo en temps scolaire d’une journée d’environ 25 kilomètres, réservée aux écoles adhérentes à l’Usep ayant suivi un cycle vélo.
Informations auprès de Christophe Viet. Tél. 06.86.51.27.80 ou 03.26.84.32.23. E-mails : usep51@wanadoo.fr et usal.51@laposte.net.
Numéro 39 de MAI/JUIN 2012.
Dans le cadre de son « Parcours culturel », programme de sensibilisation artistique à destination des collégiens, le Conseil général a proposé un projet slam mené avec le collectif Slam Tribu à six collèges marnais : Saint-Exupéry à Aÿ, Nicolas Ledoux à Dormans, Joliot Curie, Schuman, rois Fontaines et Saint-Michel à Reims.
Dans chaque établissement, six ateliers de 2 heures, autour de l’écriture et de l’oralité, ont été menés avec les élèves. Le 22 mai, tous les collégiens se rencontreront pour soutenir leurs finalistes.
Pas de grosse surprise chez les messieurs pour la 2e journée de la Division Qualificative à la Division Nationale 4 puisque l’Europe Club a poursuivi sa route avec un large succès à Charleville.
Dans la poule B, Givet continue d’étonner et se positionne clairement pour disputer lebarrage.
En revanche, du côté des dames, Saint-Memmie a créé la sensation en disposant, dans une rencontre accrochée, des favorites « Européennes », certes privées d’Alice Hall et de Muriel Legué. De quoi, désormais, croire à la montée, d’autant que l’autre poule semble moinsrelevée.
Poule A. – La Macérienne – Reims Europe Club (1) 1-7 ; TC Troyes – Foyer Barsequanais 7-1 ; TC Géo-André (2) – Cormontreuil (2) 6-2. Classement : 1. Reims Europe Club 6 points ;2. TC Troyes, Géo-André (2), Foyer Barsequanais et La Macérienne 4 pts ; 6. Cormontreuil (2) 2 pts.
Poule B. – Romilly Sports 10 – TC Montmirail5-2 ; ASPTT Châlons – TC Givet 2-5 ; Reims Europe Club (2) – TC Langres 5-0 par WO.
Classement : 1. Givet 9 points ; 2. Romilly et Montmirail 7 points ; 4. Reims Europe Club (2) et ASPTT Châlons ; 6. Langres – 10 points (forfait général).
Poule A. – TCM Bar-sur-Aube – TC Sancéen 5-0 par WO ; Romilly Sports 10 – TC Géo-André (2) 8-0 ; TC Reims – TC Troyes 5-2.
Classement : 1. Bar-sur-Aube, Romilly et TC Reims 6 points ; 4. TC Troyes et Géo-André (2) : 2 pts ;6. TC Sancéen – 2 pts.
Poule B. – TC Vitry – ASPTT Charleville 2-5 ;TC Montmirail – TC Sedan 2-6 ; TC Saint-Memmie – Reims Europe Club (2) 5-2.
Classement : 1. Sedan et Saint-Memmie 6 points ; 3. Reims Europe Club (2) et Charleville 4 pts ;5. Montmirail et Vitry 2 pts.
REIMS (Marne). Les audiences se suivent et ne se ressemblent pas pour Mallé Kanté… Lundi, ce Rémois de 32 ans a écopé d’un an de prison ferme en comparution immédiate (notre édition d’hier) pour des violences exercées lors d’une beuverie au domicile d’une locataire de l’esplanade Paul-Cézanne chez laquelle il s’était invité avec une bande d’amis.
Il avait aggravé son cas en abreuvant les policiers d’insultes et de menaces lors de son audition au commissariat.
Avec ses multiples condamnations inscrites au casier judiciaire, Mallé Kanté est venu en habitué à la barre du tribunal, d’autant qu’il avait comparu une semaine plus tôt sur plainte d’un couple frappé et dépouillé de plusieurs bijoux à son domicile de l’avenue Bonaparte, début mars, après l’avoir invité à boire un coup.
Des imprécisions dans le témoignage des victimes - placées sous tutelle - et certaines zones d’ombre du dossier avaient cependant abouti à sa relaxe (notre édition de jeudi).
« Profitez-en, ce ne sera pas tous les jours comme ça ! », s’était écrié le représentant du parquet, fort contrarié par cette décision.
Il ne croyait pas si bien dire.
Les caves de certains immeubles de l’avenue Bonaparte ont été la cible d’un gros déploiement de policiers.
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REIMS (Marne) Opération d’ampleur ce week-end dans les caves et les garages du quartier. La police veut voir et être vue dans le quartier.
QU’ON se le dise, les fonctionnaires de police, même si leurs effectifs font grise mine, continuent à sillonner les zones dites sensibles de la cité des sacres. Exemple le week-end dernier autour de l’avenue Bonaparte, dans le cœur du quartier Croix-Rouge. Flanqués de nombreux maîtres-chiens, des dizaines de fonctionnaires, ont, en fin d’après-midi, investi certains lieux de cette avenue et les ont passés au crible. Pas plus pour faire du chiffre que pour être vu d’ailleurs.
« Nous savons bien que le quartier Croix-Rouge est une des zones sensibles de notre ville. Il y a une certaine animosité vis-à-vis des forces de l’ordre. Et il n’est pas question pour nous de céder du terrain ? C’est bien pour cela que des opérations de ce genre sont fréquentes au cœur de ces secteurs », explique Annie Brégal, directrice départementale de la sécurité publique de la Marne (DDSP).
Ce n’est pas une nouveauté, plusieurs quartiers de Reims font régulièrement l’objet de visites musclées et massives de policiers. Si les prises, qu’elles soient de drogues ou d’armes, ne sont pas au rendez-vous, le but de la police est de se faire voir. Une manière de bomber le torse pour montrer que les quartiers ne sont pas livrés à la loi de la jungle. L’année dernière, plusieurs actions de ce type avaient déjà ciblé les quartiers Orgeval ou encore Wilson. Avec des résultats à la clé.
« Cette fois encore, nous avons pu investir le quartier, faire passer les chiens renifleurs de drogues dans certains endroits sensibles, dans les coursives ou les caves. Nous avons également, en marge de cette opération, procédé à l’arrestation d’une personne dans le cadre d’une ILS (Infraction à la législation sur les stupéfiants) », explique un haut gradé.
Bref, ces gros déploiements de force sur un temps court vont continuer dans la cité des sacres. S’ils ne régleront pas tous les problèmes, ils pourraient faire réfléchir certains.
Th. D.
Triste histoire que celle de cet homme qui a comparu à la barre du tribunal correctionnel lundi. Il était présenté dans le cadre de violences volontaires et d’outrages.
Les faits se sont déroulés ce week-end dans un appartement dans la rue Paul-Cézanne, dans le quartier Croix-Rouge. Une bande d’amis s’invite chez une femme. Très vite et l’alcool aidant, la soirée dégénère. Le prévenu n’hésite pas à frapper la locataire de l’appartement avant qu’une patrouille de police ne vienne interpeller le perturbateur.
Lors de son dégrisement, il va traiter de tous les noms le fonctionnaire en charge de la surveillance des cellules.
Déjà connu des services de police et de justice, cet homme d’une trentaine d’années a été condamné à un an ferme.
Il a été conduit à la maison d’arrêt de Châlons à l’issue de l’audience.
Peu avant midi, les pompiers sont intervenus pour secourir un homme sérieusement touché à une main.
Cet ouvrier qui oeuvrait sur un chantier situé hauteur de la place Fragonard, dans le quartier Croix-du-Sud, selon les premiers éléments recueillis, s’est coincé la main entre plusieurs câbles d’acier.
Il a été orienté vers le CHU.
Marie-Annick-Roger et les représentantes de l’Unicef, très reconnaissantes de l’initiative des chorales Val de Muire, les Lundis Chantants et A Tout Chœur.
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Les chorales Val de Muire, les Lundis Chantants et A Tout Chœur avaient donné en mars un magnifique concert sous la direction d’Annie Sallé au profit de l’Unicef en l’église Sainte-Bernadette de Tinqueux.
Les trois chœurs avaient présenté un programme de toute beauté. Leur chant commun final « Donne moi une vie » de Yannick Noah avait bien exprimé l’idée que porte l’Unicef, une association qui sans relâche sensibilise le public à la cause des enfants du monde.
Vendredi soir à la Maison des associations, la présidente de la chorale Val de Muire, Michèle Hasselwander, au nom des trois chorales a remis un chèque de 1 423,28 euros à Marie-Annick-Roger, présidente de l’Unicef-Marne. Cette dernière a remercié les chorales et le public qui ont participé à cette belle soirée et rappelé que « l’Unicef est une association qui a besoin du soutien et de l’aide de tous. Il y a trop d’enfants dans le monde en grandes difficultés et cela dans de nombreux domaines : les enfants malades non vaccinés, ceux atteints du sida, ceux que l’on vient arracher à leur mère quand elles sont dans les champs pour en faire des enfants soldats ».
Unicef Marne, 12, place G.-Braque 51100 Reims. Tél/Fax. 03.26.05.80.10. www.unicef.fr
Numéro 7446 du 14 au 20 mai 2012.
société d’avocats
NOM DOS
Société d’Avocats
10 boulevard Lundy - B.P. 2105
51074 REIMS CEDEX
EP FINANCES
Société à responsabilité limitée
au capital de 317.000 €uros
Siège social : Allée des Landais - 51100 REIMS
329 096 432 R.C.S. Reims
Suivant délibérations en date du 9 mai 2012, l’assemblée générale ordinaire a décidé de nommer Madame Judicaëlle PLACET, demeurant à REIMS (51100), 23 rue des Templiers, aux fonctions de cogérante, et ce pour une durée illimitée.
GERANCE
ANCIENNE MENTION : Monsieur Eric PLACET.
NOUVELLE MENTION : — Monsieur Eric PLACET ; — Madame Judicaëlle PLACET.
L’inscription modificative de la société sera effectuée au R.C.S. de REIMS.
105647 Pour avis.
Dimanche soir, les pompiers ont déployé de gros moyens du côté de la place Fragonard, au cœur du quartier Croix-du-Sud.
Une fuite de gaz leur avait été signalée. Sauf que, une fois sur place, les soldats du feu, n’ont constaté aucune fuite !
Si une odeur d’essence était bien perceptible, elle n’a pas entraîné d’évacuation des logements, nombreux dans le secteur.
La deuxième journée a bien failli être noire. Heureusement, les « Européennes » ont réalisé le match parfait à Bagneux (8-0). « C’était cette rencontre qu’il fallait gagner. Nous sommes maintenant bien placés pour monter. Il faudra gérer les dernières rencontres », annonçait le capitaine, Pheng Xayphengsy, qui n’a pas voulu prendre de risque avec Nathalie Mohn (- 2/6), légèrement touchée au pied. Reste qu’avec deux victoires en deux matches, les Rémoises ont quasiment assuré la montée puisque les deux premières accèdent en N1A !
En N2, le TC Géo-André n’a rien pu faire contre la réserve du Lagardère Paris Racing (6-2). Chez les messieurs, les Marnais ont enchaîné les désillusions. En N3, les Cormontreuillois, toujours privés de leurs - 2/6, Thibaut Visy et Camill Salomon, se sont logiquement inclinés à Saint-Germain-les-Corbeil (6-1). Les Vitryats ont perdu à Montataire (4-3) un match important pour le maintien. La « faute » au Tchèque Martin Fafl, qui a perdu son simple et son double.
Enfin, en N4, pas de miracle pour le TC Reims, qui a subi la loi d’Issy-les- Moulineaux (5-2).
N1B
BAGNEUX. - Reims Europe Club bat COM Bagneux 8-0. Anja Prislan (n° 30) bat Samantha Schoeffel (- 30) 6-4, 6-4 ; Magdalena Kiszczynska (- 30) bat Eloïse Gournay (- 2/6) 6-0, 6-4 ; Aleksandra Grela (- 15) bat Crystal Mangaya (1/6) 7-6, 6-2 ; Marie Menacer (- 4/6) bat Mathilde Angot (3/6) 6-1, 6-0 ; Laetitia Tordo (1/6) bat Jade Durand Viel (4/6) 6-3, 6-2.
Prislan - Menacer battent Schoeffel - Mangaya 6-3, 6-2 ; Kiszczynska - Grela battent Gournay - Angot 6-3, 6-1.
N2
PARIS. - Lagardère Paris Racing (B) bat TC Géo-André 6-2. Laetitia Sarrazin (- 4/6) bat Claire Makhloufi (- 2/6, Géo-André) 6-1, 6-1 ; Servane Delobelle (1/6, Géo-André) bat Marion Ravelojaona (- 2/6) 6-1, 6-1 ; Camille Siriex (0) bat Jackie Lassaux (1/6, Géo-André) 6-2, 6-0 ; Cindy Castille (2/6, Géo-André) bat Marie-Christine Calleja (0) 6-3, 7-5 ; Stéphanie Weil (1/6) bat Maéva Spooner (4/6, Géo-André) 6-4, 6-2.
Sarrazin - Ravelojaona battent Makhloufi - Castille 6-1, 7-5 ; Siriex - Weil battent Delobelle - Spooner 6-4, 6-3.
N3
SAINT-GERMAIN-LES-CORBEIL. - TC Saint-Germain-les-Corbeil bat Cormontreuil TC 6-1. Viel (- 4/6) bat Jolly (- 2/6, Cormontreuil) 6-1, 6-4 ; Servien (0) bat Robert (0, Cormontreuil) 6-4, 6-3 ; Robin (0) bat Guillemard 5/6, Cormontreuil) 6-3, 6-4 ; Salvi (1/6) bat Lalouette (5/6, Cormontreuil) 7-5, 6-4 ; Mevel (2/6) bat De la Bassetière (5/6, Cormontreuil) 6-4, 6-2.
Viel - Servien battent Jolly - De la Bassetière 6-3, 6-1 ; Robert - Guillemard battent Salvi - Mevel 6-4, 6-4.
MONTATAIRE. - Montataire TC bat TC Vitry 4-3. Juska (n° 52, Vitry) bat Barlow (- 4/6) 6-4, 6-0 ; Short (- 4/6) bat Fafl (- 4/6, Vitry) 6-3, 6-2 ; Lalouette (1/6, Vitry) bat Malherbe (1/6) 6-1, 6-4 ; Barrier (2/6) bat Jeanrat (15/1, Vitry) 6-0, 6-0 ; Leclerc (4/6) bat Mulat (15/2, Vitry) 6-2, 6-2.
Juska - Lalouette battent Short - Barlow 6-4, 5-7, 1-0 ; Malherbe - Barrier battent Fafl - Jeanrat 6-3, 6-2.
N4
REIMS. - TC Issy-les-Moulineaux bat TC Reims 5-2. Lacroix (- 30) bat Betbeze (2/6, TC Reims) 6-0, 6-2 ; Bdiri (0) bat Gilles (3/6, TC Reims) 6-2, 5-7, 7-6 ; Hers (2/6) bat Solivellas (4/6, TC Reims) 7-5, 2-6, 6-1 ; Landrieu (4/6, TC Reims) bat Moroconi (3/6) 1-6, 6-4, 6-4 ; Rondeau (4/6) bat Fromentin (4/6, TC Reims) 6-0, 6-1.
Lacroix - Hers battent Betbeze - Solivellas 6-2, 6-2 ; Gilles - Fromentijn battent Bdiri - Rondeau 7-6, 4-6, 1-0 (10/8).
Servant, pour les 13/14 ans, de qualification pour la BNP Paribas Cup du Stade Français, à Saint-Cloud (13-25 juin), l’épreuve jeunes du TC de la Côte des Blancs, à Avize a été marquée par une grosse surprise.
Le Cormontreuillois Julien Ortonovi (30/1) a traversé une bonne partie du tableau pour notamment « perfer » à 30 et deux fois à 15/5 !
Mais ce n’était pas fini puisque, sur sa lancée, il a dominé le favori, Guillaume Tonnel (Taissy), classé 15/3 sur le score de 6-4, 6-3. De quoi gagner son billet pour le championnat officieux des minimes sur terre battue !
A noter que le tableau féminin n’a pu être édifié, faute de combattantes… Pour les autres résultats, il faut souligner la bonne vitalité de l’école de tennis de Saint-Memmie, qui s’est octroyée trois titres.
9/10 ans : Brunot (NC, Saint-Memmie) bat Grivot (30/3, Côte des Blancs) 5-1, 5-2.
11/12 ans : Floucaud (15/4, Géo-André) bat Roussel (15/5, Vitry) 6-2, 6-2.
13/14 ans : Ortonovi (30/1, Cormontreuil) bat Tonnel (15/3, Taissy) 6-4, 6-3.
15/16 ans : Martens (15/5, Société Nautique Epernay) bat Guillaume (15/5, Société Nautique Epernay) 6-3, 6-0.
9/10 ans : Marie-Amélie Comarlot (30/4, Saint-Memmie) bat Lisa Moreaux (non classée, ASPTT Châlons) 5-0, 5-0.
11/12 ans : Elodie Brunot (30/2, Saint-Memmie) bat Aline Prudhomme (40, Montmirail) 6-0, 6-1.
Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site Internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.R 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005. REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : marché de travaux pour la construction de 32 logements collectifs et de 4 locaux d’activités, résidence « Robert-de-Sorbon » située rue Pierre-Taittinger à Reims.
4) Critères d’attribution : critères / pondération
Prix des prestations : 60 % ;
Valeur technique : 40 %.
5) Marché alloti et attribué séparément : lot n°10, désignation : peintures, sols souples. Les autres lots sont en cours d’attribution.
6) Option : des options obligatoires sont prévues.
7) Délai d’exécution : le délai d’exécution de l’ensemble des lots est de 18 mois (y compris 15 jours pour intempéries et les congés payés). La période de préparation de 2 mois n’est pas comprise dans ce délai.
8) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
9) Renseignements complémentaires :
Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du maître d’oeuvre : LINGAT ARCHITECTES, Monsieur GRIFFON, tél. 03.26.40.19.88. Fax : 03.26.47.46.05.
10) Date limite de réception des offres : le 5 juin 2012 à 17 heures.
11) Date d’envoi à la publication : le 9 mai 2012.
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REIMS (Marne). Le monde enseignant en deuil.
La disparition de Marcel Poisblaud a bouleversé toutes les personnes qui ont partagé, à un moment ou à un autre, la vie et les activités de cet enseignant au parcours exemplaire qui ne laisse que de bons souvenirs chez ses collèges et dans le monde associatif.
Après ses études à Jolicoeur (nom donné à l’époque au lycée Roosevelt), Marcel entre à l’Ecole Normale de Châlons-sur-Marne. Le service militaire terminé, il débute sa carrière professionnelle en 1948 à l’école Libergier de Reims. Il est ensuite nommé à Hourges en classe unique.
En 1954, il devient directeur de l’école de Berru où il assure le secrétariat de mairie. Comme à Hourges, il organise chaque année une fête de Noël avec spectacle mobilisant les écoliers et la jeunesse du village. (On n’a pas oublié les grands décors de spectacle qu’il peignait alors).
Nommé directeur de l’école Maison-Blanche de Reims en 1966, il va s’investir à fond dans la kermesse des Ecoles laïques dont il deviendra le président en 1974. Il est alors directeur de l’école Pommery et président de l’Union des Œuvres Laïques.
Avec Jacqueline - épousée en 1949 -, Marcel s’installe à Tinqueux en 1978. De leur couple sont nés trois enfants, suivis de neuf petits-enfants et deux arrière-petits-enfants.
Sa carrière s’achèvera à la direction de l’école Galilée : il prendra sa retraite en 1981, mais restera en contact avec le monde de l’enseignement grâce à ses fonctions de DDEN et à ses activités dans le monde associatif en tant que trésorier du Comité central des fêtes de la ville de Reims jusqu’en 1997 : à ce titre, il participera aux nombreuses manifestations de la cité et à la mise en place et au suivi du Cirque éducatif.
Officier des Palmes académiques, médaille d’argent de l’Enseignement public, il était également officier de réserve au grade de lieutenant-colonel.
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Dix-huit caméras de vidéo protection seront installées sur le campus universitaire de Reims.
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La députée se réjouit de cette décision qui constitue le montant maximum qui pouvait être accordé.
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REIMS (Marne). La députée Catherine Vautrin vient d’annoncer le déblocage de 48 890 € pour l’installation de caméras sur le campus universitaire de Reims.
CATHERINE VAUTRIN, députée de la Marne et conseillère municipale de Reims, a reçu la confirmation du ministre de l’Intérieur, en date du 4 mai dernier, officialisant le déblocage de crédits par le Fonds interministériel de prévention de la délinquance, pour contribuer au financement de l’installation de dix-huit caméras de vidéo protection sur le campus universitaire de Reims.
« La demande initiale avait été faite par les étudiants du campus. Le président Vistelle avait alors rencontré le préfet qui, en plus des forces de police, lui avait parlé de caméras de surveillance », explique Catherine Vautrin.
L’ancien président de l’Urca récemment disparu, Richard Vistelle, s’était particulièrement mobilisé sur ce dossier afin que l’élue intervienne auprès du ministre de l’Intérieur pour obtenir ce financement.
« Lorsque j’ai eu connaissance de la demande de financement, je suis intervenue directement auprès de Claude Guéant. Le financement a été accepté à hauteur de 50 % en une semaine, ça a été très rapide. Je préférais faire en sorte que cela se fasse rapidement », ajoute la députée.
La députée se réjouit de cette décision qui constitue le montant maximum qui pouvait être accordé dans le cadre de ce projet, dont le coût global s’élève à 99 781 €. « Je veux vraiment mettre en avant le président Vistelle, car c’est son initiative qui est récompensée. Il faut savoir aussi que ce dispositif de vidéo surveillance sera une première en France », conclut Catherine Vautrin.
Régulièrement interpellée par les associations étudiantes telles que le MET sur le problème des agressions récurrentes sur le campus Croix-Rouge, elle était intervenue en conseil municipal pour demander l’application de ce projet de sécurisation.
La vidéo protection est un complément aux actions menées par les polices nationale et municipale, puisqu’elle contribue à améliorer l’élucidation des affaires.
T.A.F.
L’équipe rémoise en pleine finale. Philippe Mille, chef étoilé du restaurant Les Crayères de Reims, Akram Benallal, restaurateur à Paris, et Ruben Sarfati, ancien candidat de l’émission « Top chef », les regardent œuvrer et évaluent leurs performances.
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REIMS (Marne). Elles ont battu trente-deux équipes venues de toute la France. Hier, « Les startelettes » rémoises ont remporté le concours national de cuisine étudiante organisé sur deux jours, par l’association « Arrête de mal bouffer » de l’école de commerce Reims Management School (RMS), au centre des congrès de Reims. Tiphaine Guillet, Charlène Debeauvais et Julie Heynard, étudiantes à RMS, affrontaient en finale l’équipe grenobloise « Les choux marreurs ».
Au menu de cette 5e et dernière épreuve ? Cuisiner un plat et un dessert en 50 minutes pour cinq personnes avec des produits bon marché.
Et si l’équipe rémoise avait pris un temps de retard au début de la compétition - les plaques électriques n’ont pas tout de suite fonctionnées -, le trio s’est bien rattrapé. Son jambon de Bayonne roulé à l’escalope de poulet avec une crème onctueuse et son risotto de courgettes en plat de résistance, puis son pain perdu nappé de chocolat fondu et ses poivrons confits, ont séduit les jurés. Un jury de prestige puisqu’il s’agissait de Philippe Mille, chef deux étoiles du restaurant Les Crayères de Reims, d’Arnaud Lallement, chef deux étoiles de L’Assiette Champenoise à Tinqueux, d’Akram Benallal, restaurateur une étoile à Paris, de Ruben Sarfati et d’Alexis Braconnier, anciens candidats de l’émission « Top chef » sur M6.
Lé. B.
Hier vers 4 heures du matin, homme d’une vingtaine est tombé du huitième d’un immeuble de la place Maurice-Utrillo.
Il n’a pas survécu à cette chute de plus de vingt mètres.
L’hypothèse d’un geste désespéré a été confirmée par l’enquête de police.
Les collégiens de Saint-Remi et leur principal ont couru pendant près de deux heures, hier, malgré la pluie. Bernard SIVADE
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C’est sous une pluie battante que 84 élèves du collège Saint-Remi se sont élancés, hier après-midi, sur le circuit du parc de Champagne : ils participaient à la Course contre la faim, une course de solidarité pour laquelle Action contre la faim (ACF) mobilise chaque année les élèves de toute la France afin de lutter contre la faim dans le monde.
Hier matin, quelque 300 élèves du collège Joliot-Curie ont ainsi arpenté le stade Géo-André. Mardi 15 mai, 404 élèves du collège Trois-Fontaines courront eux aussi pour la République centrafricaine (RCA), le pays qu’Action contre la faim met en avant cette année. « La moitié des fonds collectés seront versés aux missions de notre organisation en RCA, annonce Edouard Marchal, responsable de la communication d’ACF, mais aussi en Afghanistan et en Indonésie. »
Avant le départ, les élèves ont découvert la situation du pays, notamment ses problèmes d’infrastructures. « J’ai montré aux élèves une première vidéo, en novembre dernier, et des photos de notre précédente participation, raconte Mme Morin, professeur de technologie et énergique organisatrice du collège Saint-Remi. Comme les élèves étaient motivés, des gens d’ACF sont venus, en mars, pour répondre à leurs questions. »
Le principe de la course est simple : l’élève s’engage, auprès de parents, de proches ou d’amis, à parcourir un certain nombre de kilomètres. Si son « contrat » est rempli, ces personnes reversent le montant négocié au collège. L’année dernière, le collège Trois-Fontaines avait ainsi recueilli 2 000 euros pour l’association. Au niveau national, l’opération avait permis de récolter 2,8 millions d’euros. Un record.
Manifestement, la deuxième journée des Marnais risque fort d’être compliquée. Ainsi, en N1B, les « Européennes » rendront visite à Bagneux. Annoncées comme favorites pour l’accession, les filles des Hauts-de-Seine ont présenté, pour l’ouverture, une équipe plutôt moyenne (- 30, - 2/6, 1/6 et deux 3/6) mais risquent fort de faire appel, demain, à leur numérotée (27) ou à leur deuxième - 30.
En N2, le TC Géo-André aura le privilège d’évoluer sur les installations du Lagardère Paris Racing au Bois de Boulogne. Sur la composition de la journée initiale, cela semble jouable mais la réserve du LPR pourrait fort bien, à domicile, aligner une Camille Pin (- 30 mais 76e au classement WTA en 2006) ou d’autres négatives.
Chez les messieurs, en N3, les Cormontreuillois, toujours amoindris, iront défier la très solide formation du TC Saint-Germain-lès-Corbeil, sans grand espoir de succès. De son côté, le TC Vitry se déplacera dans l’Oise, à Montataire, avec deux étrangers dans une rencontre très importante pour le maintien.
Enfin, en N4, seule équipe à évoluer à domicile, le TC Reims n’a pas grand-chose à attendre de sa confrontation avec Issy-les-Moulineaux, qui présente des classements nettement supérieurs.
DEMAIN
DAMES. - N1B : COM Bagneux - Reims Europe Club ; N2 : Lagardère Paris Racing 2 - TC Géo-André.
MESSIEURS. - N3 : TC Saint Germain-lès-Corbeil - Cormontreuil TC, Montataire TC - TC Vitry ; N4 : TC Reims - TC Issy-les-Moulineaux.
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Dans la région du Sahel, la malnutrition a dépassé le seuil d’alerte. Déjà de nombreux enfants ont besoin de soins vitaux. Il n’est pourtant pas trop tard pour agir et en sauver des centaines de milliers.
« Mobilisé depuis des mois, l’UNICEF a besoin de vous pour renforcer ses secours médicaux et sanitaires et distribuer d’urgence des aliments thérapeutiques » appelle Ẻlisabeth Henry, bénévole au Comité UNICEF Marne.
Renseignements au Comité UNICEF Marne - 12, Place Georges-Braque – Reims (Tél. 03.26.05.80.10.).
Pour faire un don, s’adresser à UNICEF France – BP 600 – 75006 Paris ou se rendre sur unicef.com
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La société civile de moyens « SOS Médecins » (médecins généralistes - soins à domicile), dont le siège était installé 21, rue Pierre-Taittinger, a décidé de le transférer au 10, place Maurice-Utrillo à Croix-du-Sud. Tél. 0.821.21.15.15.
La Sarl Cred « Capella - Ressources et développement » (Enseignement - Formation continue d’adultes), dont le siège social était installé à Lille (Nord) 20, rue Victor-Tilmant, a décidé de le transférer au 20, allée Yves-Gandon, aux Hauts-de-Murigny. Tél. 09.52.41.58.30.
Quatre petites entreprises du secteur Bâtiment/Travaux publics, créateurs d’emplois, ont vu le jour à Croix-Rouge.
Bulent Dogan a créé « Dogan », une société par actions simplifiée, au 17, cour Eisenhower. Cette SAS est une entreprise générale du bâtiment et de travaux publics. Tél. 03.26.07.37.46.
« Bâtiment, rénovation, construction », est une Sarl d’entreprise générale du bâtiment créée au 23, rue Joliot-Curie, sous le sigle BCR, par Kemal Aklan. Tél. 09.53.24.24.43.
La Sarl « Bati Avci » est une entreprise de bâtiment général, travaux publics, espaces verts et tous travaux connexes, créée au 5, allée des Limousins, par Ismail Avci. Tél. 03.26.09.36.89.
La Sarl So. Re. Bat. se charge de travaux, ravalements extérieurs, maçonnerie générale, enduits décoratifs et pose de carrelage, faïence et dalles de terrasses. Elle a été créée au 45, rue Pierre-Taittinger par Firat Tutmaz.
Julie, Anne-Cécile, Laurence, Roselyne et les autres : un président bien entouré !
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REIMS (Marne). Inlassablement et avec le sourire, les équipes de l’Union locale de soins infirmiers de Reims et de son agglomération ont abordé les passants toute la journée du 5 mai place Stalingrad pour les sensibiliser au lavage des mains, un acte essentiel pour préserver la santé de tous. Près de 400 personnes ont ainsi rempli un questionnaire sur leurs pratiques d’hygiène : quand se laver les mains, combien de temps y consacrer, comment le faire, comment se sécher ?
Quelques surprises attendaient les enquêteurs mais dans l’ensemble une bonne approche du problème est apparue dans les réponses. Restait quand même à affiner et à préciser : « Se laver les mains régulièrement est un des moyens les plus efficaces de prévenir certaines maladies (rhumes, diarrhées, grippes) et il faut au moins les savonner 30 secondes (sans oublier les ongles taillés) pour que ce soit efficace… Penser aussi que les essuie-mains sont des nids à microbes : il faut les changer souvent et les laver à l’eau javellisée ».
Ceux qui avaient bien voulu répondre au quizz sont repartis avec un flacon de désinfectant utilisable quand on ne dispose pas d’eau, comme lorsqu’on emprunte les transports en commun.
Plusieurs laboratoires avaient donné de quoi faire des essais.
Ballons, autocollants et flyers remplis de bons conseils ont aussi été distribués par des infirmières et infirmiers appartenant aux centres affiliés à l’Union locale : centres de soins Croix-Rouge, Trois Piliers et Jean-Jaurès, Chemin-Vert et Europe, Orgeval, Louvois et Châtillons, Trois Fontaines et Croix-Rouge française (rue Houzeau-Muiron à Reims et 3, avenue Bonaparte à Tinqueux).
Au cours d’une récente participation à la commission solidarité/santé/insertion de la Ville de Reims, M. Moreaux, président de l’Union locale des Centre de soins de Reims et de son agglomération, a présenté cette association qui regroupe sept structures.
Il a rappelé qu’elle a été créée en 1979 par MM. Durand et Vernier pour démontrer la valeur ajoutée et l’utilité des activités. Depuis juin 2010, l’association dispose d’un poste d’assistante de coordination et de développement des centres, tout en leur conservant leur propre autonomie. Dans leur ensemble, ils dispensent par an plus de 720 000 actes infirmiers.
La plupart de ces centres étaient au départ des associations issues de congrégations religieuses qui s’employaient à répondre aux besoins et aux droits sanitaires des habitants des quartiers. Ils sont restés des structures de proximité, assurant des soins sans hébergement au centre ou à domicile avec une permanence, une équipe mobile à l’écoute des demandes, en réseau le plus souvent avec les maisons de quartier.
Chacun participe activement à des opérations comme celle évoquée ci-dessus, mais aussi la Semaine bleue, Octobre rose, des ateliers de prévention des chutes chez les personnes âgées vivant au sein des résidences ARFO…
Selon le président, « l’Union locale des centres infirmiers permet d’assurer à chaque Rémois des soins de proximité et de qualité, avec une promotion et une prévention de la santé et la présence active d’accompagnements auprès des malades pour l’application des soins sur prescription médicale (surveillance des prises de médicaments, pansements, prises de sang, soins d’hygiène, injections et dialyses) ».
Son rôle est donc essentiel pour le maintien à domicile des patients, en liaison avec les services médicaux et l’Assurance-maladie.
Renseignements au 48, rue du Barbâtre Reims. 03.26.85.17.19. unionlocale.csi@uriopss-ca.asso.fr
Les 72 jeunes - comme les années précédentes - sur la ligne de départ étaient répartis en neuf tableaux. Les clubs de Chauny et Viry-Noureuil ont remporté deux finales chacun. D’ailleurs, le fait marquant de ce tournoi Christian-Salier réside dans le très beau parcours de Rémi Sauvage. Le 30/2 virois battait en finale, et en trois manches, l’Isarien Paul Charvoz, trois classements au-dessus de lui !
La deuxième performance est à mettre à l’actif du Carolo Thibault Piron (15/2), également à la belle, contre le local Alexandre Normand (15/1). La seule victoire vivaisienne revenait à Théo Poette (30/1).
Une satisfaction pour son moniteur Jean-Paul Michel, aussi organisateur, en compagnie de Frédéric Olécrano.
10 ans : Emy Pineau (30/4, Laon) bat Sarah Leroy (Nc, Laon) 5-2, 5-2 ;
11/12 ans : Morgane Koczupinda (30, Guise) bat Emma Guelbone (30/2, Noyon) 6-3, 6-1 ;
13/14 ans : Sarah Hannoun (15/4, Guignicourt) bat Elvire Prault (15/4, Géo-André Reims) 1-6, 6-4, 7-5 ;
17/18 ans : Valentine Lequeux (30/2, Chauny) bat Elise Abboud (30/3) 6-3 ab.
10 ans : Poette (30/1, Vivaise) bat Verzura (30/3, Yvetot) 5-0, 5-0 ;
11/12 ans : Sauvage (30/2, Viry-Noureuil) bat Charvoz (15/5, Lagny-le-Sec) 7-5, 6-7, 6-1 ;
13/14 ans : Vignon (15/3, Chauny) bat Godart (15/5, Sedan) 6-2, 6-0 ;
15/16 ans : Deruere (15/2, Viry) bat Compère (15/3, Vivaise) 6-3, 6-3 ;
17/18 ans : Piron (15/2, ASPTT Charleville-Mézières) bat Normand (15/1, Vivaise) 6-2, 5-7, 6-3.
Cindy Castille s’exporte aussi à l’international, avec des résultats probants qui lui valent d’être classée 201° au ranking mondial U14.
La Rémoise de Géo-André s’est déplacée en Angleterre et au Danemark. A l’Aegon Junior de Notthingam, elle est parvenue jusqu’en demi-finale où elle a échoué (2-6, 4-6) face à la Britannique Eden Richardson, tête de série n° 5 et future lauréate.
Dans l’Essonne et à Copenhague, elle a passé deux tours à chaque fois.
Les sapeurs-pompiers de Reims sont allés ce vendredi à 6 h 30 au 13, allée des Savoyards dans le quartier Croix-Rouge pour une fuite de gaz.
Il s’agissait d’un dysfonctionnement sur un boîtier.
Le danger a été rapidement écarté.
Les sapeurs-pompiers de Reims ont été requis ce jeudi à 5 h 50, pour un abondant dégagement de fumée qui provenait des sous-sols de l’immeuble du 9, place Jean-Fragonard au quartier Croix-Rouge.
Munis de leurs appareils respiratoires isolants, les sauveteurs ont progressé jusqu’au local vide-ordures où ils ont découvert un conteneur entièrement embrasé.
Le sinistre a été maîtrisé au moyen d’une petite lance. Les communs ont ensuite été ventilés pour que les locataires ne soient pas incommodés.
L’origine de l’incendie est indéterminée.
Exit la Pré-Nationale, bonjour la Division Qualificative à la Division Nationale 4 I Derrière ce changement de nom, rien de vraiment nouveau hormis le souhait de la Fédération de voir toutes les ligues évoluer sur le format des compétitions nationales.
Toujours essentielle, la première journée a livré son précieux lot d’informations. Chez les messieurs, le relégué le Reims Europe Club, grand favori à l’accession, a frappé un grand coup en écartant d’entrée son principal rival, le TC Troyes. Et on voit mal qui, dans la poule B, où le TC Langres a déclaré forfait (indisponibilités), pourrait empêcher les « Européens » de remporter le barrage le mois prochain.
Coup de tonnerre du côté des dames où l’épouvantail, le TC Sancéen (trois - 2/6,3/6,4/6)- disqualifié du barrage d’accession l’an passé pour ne pas avoir présenté d’arbitre ! -, a perdu sa première rencontre par forfait pour avoir aligné une 30/2 avec une licence non valide !
De nature à ouvrir la voie de la montée aux « Européennes » qui devront, toutefois, se méfier dans la poule B des Sedanaises et des Mengeottes .
MASCULINS.
Poule A : Foyer Barsequanais-TC Géo-André 2 6-2, Reims Europe Club -TC Troyes 6-2, Cormontreuil TC 2 — Macérienne 2-5.
Poule B : TC Givet-Romilly 5-3,TC Montmirail- Reims Europe Club 2 5-3,TC Langres - ASPTT Châlons : 0-5 par WO.
FÉMININES.
Poule A :TC Troyes - Romilly 2-6,TC Sancéen -TC Reims 0-5 par WO,TC Géo-André -TCM Bar-sur-Aube
Poule B : TC Sedan -TC Vitry 8-0, ASPTT Charleville -TC Saint Memmie 1-7, Reims Europe Club -TC Montmirail 7-1.
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L’équipe Really Mad Stage (scène vraiment dingue) de l’école de commerce RMS vient d’organiser son tremplin musical. C’était le 1er gros événement pour cette petite vingtaine d’étudiants passionnés de musique.
Le public était invité à voter pour différents groupes lors des deux demi-finales qui se sont déroulées mercredi soir au KilBerry et jeudi soir à l’Excalibur. Puis ça a été la finale, à l’Appart Kfée vendredi soir. L’ambiance était au rendez-vous puisque 115 personnes se sont déplacées pour départager the Jacket ou Lez’ahuris.
The Jacket a finalement été désigné vainqueur, et remporté trois jours d’enregistrement.
La géomatique (géographie couplée à l’informatique) sera au coeur des débats le mardi 15 mai sur le campus Croix-Rouge.
Deux laboratoires de l’Urca, le Gegenaa (groupe d’étude sur les géomatériaux et environnements naturels, anthropiques et archéologiques), et le Crestic (centre de recherches en sciences et technologies de l’information et de la communication) y organisent une journée sur ce thème.
Il y sera question de cartographie informatisée, visualisation dynamique des territoires en deux ou trois dimensions, et autres GPS.
Avant - propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur
les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée
par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est
consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journaloffi
ciel.gouv.fr/MarchesPublics).
1) Identifi cation de l’organisme qui passe le marché : maître
d’ouvrage : REIMS HABITAT Champagne-Ardenne, 71, avenue
d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux
dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005.
REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec
tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : création d’un réseau de chauffage
pour alimenter les nouvelles constructions situées rue Pierre-
Taittinger et Esplanade Eisenhower à Reims.
4) Lots : sans objet.
5) Critères de jugement des offres : critères et sous-critères,
pondération
Valeur technique de l’offre appréciée au vu des thèmes
à développer dans le mémoire technique, 40 %.
Le prix des prestations, 60 %.
6) Délai d’exécution : le délai d’exécution des travaux est
de 11 semaines. La période de préparation d’une semaine est
incluse dans ce délai ainsi que les intempéries et les congés
payés.
7) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut
être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service
commande publique, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27
ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site :
www.reims-habitat.fr
8) Renseignements complémentaires : les renseignements
d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service
commande publique de Reims habitat, tél. 03.26.48.62.30,
fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du Maître d’oeuvre : bureau d’études Eric de Marne, tél : 03.26.04.74.04, fax : 03.26.04.46.37, e-mail : accueil@betdemarne.fr
9) Date limite de réception des offres : le 31 mai 2012
à 17 heures.
10) Date d’envoi à la publication : le 2 mai 2012.
51AO1920255
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C’est dans ses locaux du siège social commun à la Ligue de l’enseignement, et à l’Usep, que le comité départemental Ufolep de la Marne a organisé son assemblée générale.
En préambule à la présentation du rapport moral, le président Noël Naudin, a rappelé que « cette année sera la dernière de sa mandature, le comité directeur étant appelé statutairement à se renouveler en 2013 ».
Il a réaffirmé « l’importance de la participation des adhérents aux instances décisionnelles, garantissant une représentation forte et fidèle s’inscrivant dans les valeurs portées depuis maintenant 84 ans par l’Ufolep au sein de la Ligue de l’Enseignement » : le sport avant tout comme un outil d’éducation, vecteur de solidarité et de citoyenneté, mais également un sport qui s’adapte, qui évolue, qui innove.
Si le projet d’éducation par le sport de l’Ufolep s’enrichit de saison en saison, grâce à l’action de ses associations, à travers la formation d’éducateurs ou bien par la mise en place de projets spécifiques en direction des jeunes, on constate une difficile mobilisation de ceux-ci dans la vie de la fédération. L’expérience irremplaçable des responsables d’association se devant de côtoyer la fraîcheur et l’engagement des plus jeunes, le président a réaffirmé la priorité pour l’Ufolep de jouer son rôle en permettant l’expression et la prise de responsabilité. A cette occasion, la bienvenue a été souhaitée à Thibaud, jeune éducateur sportif, formé par l’Ufolep qui, suite à la réalisation de son service civique dans la fédération, a été récemment embauché.
Enfin, M. Naudin a abordé la question du contexte actuel de crise des finances publiques incitant à penser « que des menaces futures existent sur les moyens alloués ». Il a repris à son compte la proposition de la Ligue de l’Enseignement et de l’Ufolep : « le soutien aux fédérations multisports et à leurs associations afin d’assurer une pratique réellement adaptée et accessible à tous ».
Ce cadre général posé, différentes interventions vivantes ont jalonné la présentation du rapport d’activité qui a permis de constater la diversité des actions réalisées tout au long de l’année par l’Ufolep de la Marne, forte de 140 associations et 4 400 licenciés : organisation de compétitions sportives, d’activités de loisirs, de stages sportifs, d’ateliers de découverte pour les plus jeunes, le soutien au développement associatif avec la Ligue de l’Enseignement…
L’Ufolep engage des moyens importants pour la formation. Dirigeants, officiels, simples participants ou éducateurs, bénévoles ou professionnels, chacun y trouve des contenus adaptés répondant à ses besoins, développés grâce au réseau local de la Fédération.
A été particulièrement remarquée, l’efficace structuration des écoles de conduite moto pour les 6 - 12 ans avec des bénévoles des clubs fortement impliqués au sein de la commission technique, mais aussi la première promotion du CQP, certificat de qualification professionnelle, permettant à 15 animateurs d’encadrer désormais des activités sportives de pleine nature, collectives ou d’opposition à titre professionnel. Mention spéciale aussi aux actions éducatives jeunesse telles que le raid éducatif régional 13 - 16 ans ou le projet « classe relais » mené conjointement avec l’éducation nationale et la PJJ.
Numéro 7445 du 07 au 13 mai 2012.
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES
MAITRE D’OUVRAGE : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 €, inscrite au R.C.S. sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, B.P. 324 - 51061 REIMS CEDEX.
AFFAIRE : Construction de 22 logements en accession, stationnement, commerce, pôle médical et reconstruction d’un parking aérien, Avenue Bonaparte à REIMS (51) / Réf. : CN-111111
Lot n° - Libellé du lot - Entreprises - Montant en € H.T. tranche ferme - Montant en € H.T. tranche conditionnelle :
— 01 - Terrassement / Démolition - VIELLARD (51) - 10.712,00 - 42.832,00 ;
— 02 - Gros oeuvre - BEC CONSTRUCTION (51) - 642.708,00 - 922.339,10 (dont option 5.509,74 pour séparateur hydrocarbure) ;
— 03 - Etanchéité - CREIL ETANCHEITE (60) - 63.302,88 - 67.085,46 ;
— 04 - Menuiseries extérieures PVC - PAQUATTE (55) - 32.000,00 - 100.000,00 ;
— 05 - Menuiseries métalliques et alu - CHEYERE (08) - 58.390,00 - / ;
— 05 - Menuiseries métalliques et alu - SII (08) - / - 168.071,03 (dont option 15.035,00 pour platelage bois) ;
— 06 - Menuiseries intérieures / Plâtrerie - AA MEREAU (02) - 131.796,93 (dont option 11.870,28 pour isolant sous bardage zinc) - / ;
— 06 - Menuiseries intérieures / Plâtrerie - RESOR (51) - / - 145.310,00 (dont option 4.310,00 pour doublage communs RDC) ;
— 07 - Electricité courants faibles - LAVOYE (51) - 90.000,00 - 110.000,00 ;
— 08 - Plomberie / Sanitaire / Chauffage - SCHANUS (51) - 27.376,60 (dont option 968.00 pour 4 chauffes eau) - / ;
— 08 - Plomberie / Sanitaire / Chauffage - SANICHAUF (51) - / - 195.000 ;
— 09 - Climatisation - ANQUETIL (51) - 154.100,00 - / ;
— 09 - Climatisation - SANICHAUF (51) - / - 42.110,00 ;
—10 - Carrelage / Faïence - GIL CARRELAGES (55) - 49.749,16 - / ;
—10 - Carrelage / Faïence - MORISOT (51) - / - 50.000,00 ;
—11 - Peinture / Peinture des sols - PVF (51) - 45.081,25 (compris lazure anti-graffitis) - 94.176,50 ;
—12 - Revêtement de sols stratifiés - DECO 7 (51) - / - 35.000,00 ;
— 13 - Ravalement ITE - SOREFA (51) - / - 46.085,00 ;
— 14 - Bardage / Vêture - SOREFA (51) - / - 182.915,00 ;
— 15 - Bardage zinc - BUCZEK (51) - 129.242,58 (pour info suppression isolant sous bardage zinc) - / ;
—16 - Ascenseurs - OTIS (51) - 32.050,00 - 32.500,00 ;
—17 - VRD - SRTP (51) - 179.500,00 - 11.000,00 ;
— 18 - Espaces Verts - ACTUEL PAYSAGE (51) - 16.697,74 - 16.780,80.
Montant total du marché (tranche ferme et tranche conditionnelle) : 3.923.912,03 € H.T.
POUR TOUS RENSEIGNEMENTS, CONTACTER LE SERVICE MARCHES : Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / Mme FORRAY 03.26.05.92.33 .
DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS A LA PUBLICATION : Le jeudi 3 mai 2012 aux journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), L’EST ECLAIR (Aube), L’EST REPUBLICAIN (Meuse), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (Haute Marne), le COURRIER PICARD (Somme), le MONITEUR et le MATOT BRAINE. 105558
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La deuxième bourse aux vêtements, chaussures, jouets, puériculture, organisée par le collectif Escapades, se déroulera samedi 12 mai, de 9 h 30 à 18 heures, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge (1er étage), 12-14, rue Pierre-Taittinger (Tram A ou B, Bus ligne 13, arrêts Campus ou Kennedy).
« Nous nous lançons dans cette nouvelle activité afin de mettre à la disposition des habitants du quartier Croix-Rouge et de Reims en général un grand choix de vêtements à des prix plus que raisonnables et avec le souhait que nous rencontrions le même succès qu’avec notre bourse aux livres », précise Jean-Marie Blancart, l’un des animateurs d’Escapades.
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Avec seulement deux victoires, la première journée des Marnais lors des Interclubs Nationaux a été plutôt moyenne mais… prévisible !
Reste que les filles ont été exactes au rendez vous puisqu’en N1B, malgré des premiers pas hésitants de sa numérotée (30) slovène Anja Prislan, le Reims Europe Club a assuré son maintien - en attendant pourquoi pas mieux ?- en dominant le TC Plaisir (5-2). A noter le retour à la compétition encourageant de Nathalie Mohn, désormais -2/6.
De son côté, en N2, le TC Géo-André n’a pas raté son entrée en compétition en prenant le meilleur sur le Red Star (5-2). Le tout sans Claire Makhloufi (-2/6) ni Jackie Lassaux (1/6) mais avec de superbes « perfs » des jeunes Maeva Spooner (15 ans) et Lisa Marie Habert (13 ans). Sans oublier la victoire du double 2 au jeu décisif pour éviter le match nul !
En revanche, chez les messieurs, ce fut la bérésina. En N3, le Cormontreuil TC, privé des -2/6 étudiants « américains » Thibaut Visy et Camill Salomon, s’est incliné à domicile contre Le Chesnay (5-2). De quoi regretter de ne pas avoir validé la licence de Manuel Soumet (3/6) et le bon parcours hollandais de Constant de la Bassetière (5/6)….
Au même niveau, le TC Vitry n’a pas de regret à avoir puisqu’il avait été décidé de faire l’impasse sur ce match contre la très solide formation meldoise. Résultat un 8-0 !
Enfin, le TC Reims a, pour son retour en N4, rapidement été confronté à la dure réalité du terrain. N’affichant pourtant pas son équipe type, la réserve de la Porte du Hainaut n’a en effet laissé aucune chance aux Rémois en s’adjugeant tous les simples !
REIMS. - Reims Europe Club bat TC Plaisir 5-2
Fiona Gervais (-15, Plaisir) bat Anja Prislan (n° 30, REC) 6-3, 6-3 ; Magdalena Kiszczynska (-30, REC) bat Chloé Barras (-15, Plaisir) 6-2, 7-6 ; Aleksandra Grela (-15, REC) bat Alexise Duchene (-4/6, Plaisir) 6-4, 6-0 ; Marie Menacer (-4/6, REC) bat Sophie Lacombe (-2/6, Plaisir) 4-6, 6-4, 6-2 ; Nathalie Mohn (-2/6, REC) bat Inès Villemur (1/6, Plaisir) 7-6, 6-1.
Fiona Gervais - Chloé Barras battent Anja Prislan - Magdalena Kiszczynska 7-5, 6-3 ; Aleksandra Grela - Marie Menacer battent Alexise Duchene - Sophie Lacombe 4-6, 6-1, 1-0 (10/2).
REIMS. - TC Géo-André bat Red Star 5-2
Servane Delobelle (1/6, Géo-André) bat Caroline Martin (2/6, Red Star) 6-0, 6-0 ; Cindy Castille (2/6, Géo-André) bat Philippine Gauduffe (3/6, Red Star) 7-6, 6-1 ; Françoise Rouby (3/6, Red Star) bat Aurélie Marchal (3/6, Géo-André) 6-3, 7-6 ; Maeva Spooner (4/6, Géo-André) bat Marion Pereira (3/6, Red Star) 6-4, 7-6 ; Lisa-Marie Habert (15, Géo-André) bat Stéphanie Dussaut (4/6, Red Star) 7-6, 4-6, 6-3.
Caroline Martin - Françoise Rouby battent Servane Delobelle - Cindy Castille 6-4, 6-2 ; Aurélie Marchal - Maeva Spooner battent Marion Pereira - Stéphanie Dussaut 6-3, 4-6, 1-0.
CORMONTREUIL. - TC Le Chesnay Trianon bat Cormontreuil TC 5-2
Bedene (-15, Le Chesnay) bat Jolly (-2/6, Cormontreuil) 3-6, 6-3, 6-4 ; Sokolowski (0, Le Chesnay) bat Robert (0, CTC) 6-3, 6-2 ; J. Soudjoukdjian (2/6, Le Chesnay) bat Lalouette (5/6, CTC) 7-5, 6-1 ; Guillemard (5/6, Cormontreuil) bat De Souza (4/6, Le Chesnay) 1-6, 7-6, 6-1 ; G. Soudjoukdjian (4/6, Le Chesnay) bat Gatti (15/1, CTC) 6-3, 6-2.
Bedene - Sokolowski battent Jolly - Lalouette 6-3, 6-2 ; Robert - Guillemard battent J. Soudjoukdjian - G. Soudjoukdjian 6-3, 6-1.
VITRY-LE-FRANCOIS. - CS Meaux bat TC Vitry 8-0
Marti (N° 40, Meaux) bat Lalouette (1/6, Vitry) 3-6, 6-2, 6-2 ; Noblecourt (- 30, Meaux) bat H.Mulat (15/1, Vitry) 6-0, 6-1 ; Da Col (- 15, Meaux) bat B. Mulat (15/2, Vitry) 6-1, 6-1 ; Courbard (- 4/6, Meaux) bat Sambras (15/4, Vitry) 6-1, 6-0 ; Lastre Gonzalez (- 2/6, Meaux) bat Merli (15/4, Vitry) 6-0, 6-2.
Da Col - Courbart battent Lalouette - B.Mulat 6-1, 6-3 ; Noblecourt - Lastre Gonzalez battent H.Mulat - Sambras 6-0, 6-0..
SAINT-AMAND-LES-EAUX. - SATC Porte du Hainaut (B) bat TC Reims 6-1
Pruchniewski (- 2/6, Hainaut) bat Betbeze (2/6, TCR) 7-5, 6-4 ; Gouget (0, Hainaut) bat Gilles (3/6, TCR) 6-3, 6-1 ; Watremez (0, Hainaut) bat Solivellas (4/6, TCR) 6-2, 6-7, 6-3 ; Echilley (1/6, Hainaut) bat Fromentin (4/6, TCR) 6-1, 7-5, Desurmont (3/6, Hainaut) bat Landrieu (4/6, TCR) 6-4, 6-2.
Pruchniewski - Watremez battent Betbeze - Solivellas 6-0, 6-4 ; Gilles - Fromentin battent Gouget - Echilley 7-5, 6-2.
REIMS (Marne). Samedi vers 1 h 30, alors qu’ils patrouillaient près de l’allée Edgar-Degas, des policiers ont vu un homme venir vers eux pour les insulter sans raison.
Agé de 35 ans, l’individu était manifestement saoul (ceci expliquant peut-être cela). Il a aggravé son cas par une rébellion et en tentant de porter des coups aux fonctionnaires lors de son transport au commissariat.
Il a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel.
Un autre Rémois allergique à l’uniforme s’est illustré lundi soir au centre-ville. Alors qu’il était contrôlé avec un groupe de camarades, il s’en est pris à l’un des policiers qu’il a frappé au visage et à un genou : six jours d’incapacité totale de travail.
L’agresseur a fini la soirée en garde à vue.
Un feu de poubelle s’est déclaré allée des Picards dimanche vers 15 h 30, un deuxième avenue Alexandre-de-Serbie à 21 h 40.
Des détritus ont également brûlé rue de Rilly-la-Montagne 19 h 45, avenue Georges-Hodin hier matin à 1 heure ainsi qu’entre Witry-lès-Reims et Cernay-lès-Reims, à 7 h 45.
Jean-Charles Robert et Cormontreuil se présenteront avec une équipe amoindrie en début de campagne.
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Les cinq clubs marnais engagés ne nourriront pas d’ambitions très élevées pour cette campagne 2012. Les batailles s’annoncent rudes sur tous les fronts…
AVEC cinq clubs marnais (lire par ailleurs) sur la ligne de départ, la saison des Interclubs Nationaux ouvre aujourd’hui. Un millésime 2012 qui s’annonce passionnant avec, comme dénominateur commun, le maintien.
Chez les messieurs, en N3, l’objectif est réalisable pour les Cormontreuillois et les Vitryats. En revanche, en N4, il est fort probable que le TC Reims fasse de nouveau l’ascenseur. Du côté des dames, l’Europe Club va découvrir la N1B avec un effectif de qualité. De quoi se maintenir et même rêver à l’accession. En N2, les « jeunettes » de Géo-André, renforcées par Servane Delobelle, devront s’employer pour renouveler leur bail.
REIMS EUROPE CLUB
Effectif : Anja Prislan (n° 30), Magdalena Kiszczynska (- 30), Aleksandra Grela (- 15), Marie Menacer (- 4/6), Nathalie Mohn (- 2/6), Laetitia Tordo (1/6), Alice Hall (3/6).
Composition de la poule : USO Mondeville (deux 1/6, 3/6, deux 4/6, 15) ; TCF Giordan (n° 30, - 30, deux - 15, - 4/6, - 2/6, 1/6, 3/6) ; COM Bagneux (n° 27, deux - 30, - 2/6, 1/6, 2/6, deux 3/6), TC Plaisir (deux - 15, - 4/6, deux - 2/6, deux 1/6), FC Kronenbourg (deux 0, trois 1/6, 3/6, deux 4/6).
Objectif. - Pheng XAYPHENGSY (entraîneur) : « On va jouer le maintien et, pourquoi pas, la montée. J’ai deux inconnues. A quel niveau est la numéro 1 slovène et comment va évoluer Nathalie Mohn en numéro 5 ? On a la chance d’avoir deux équipes faibles à jouer lors des deux derniers matches. Pour les autres équipes, encore faut-il que les filles soient là ! Mais, on sera vite fixé. »
Calendrier. - 6 mai : REC - TC Plaisir ; 13 mai : Bagneux - REC ; 20 mai : Giordan - REC ; 3 juin : REC - Mondeville ; 10 juin : Kronenbourg - REC.
TC GÉO-ANDRÉ
Effectif : Claire Makhloufi (- 2/6), Servane Delobelle (1/6), Jackie Lassaux (1/6), Cindy Castille (2/6), Aurélie Marchal (3/6), Maéva Spooner (4/6).
Composition de la poule : FC Lyon (- 2/6, deux 1/6, trois 2/6, deux 3/6) ; OMT Gemenos (- 30, deux - 4/6, - 2/6, 1/6, 2/6, 3/6) ; Lagardère Paris Racing B (- 30, - 4/6, deux - 2/6, deux 0, 1/6, trois 3/6) ; Red Star (1/6, 2/6, cinq 3/6, deux 4/6) ; FC Gueugnon (- 4/6, deux - 2/6, 0, 3/6, 5/6).
Objectif. - Sébastien PAILLARD (entraîneur) : « Ça ne va pas être évident car, pour la première rencontre, la plus facile, nous ne pourrons pas compter sur Claire Makhloufi, absente pour raison personnelle, et sur Jackie Lassaux, blessée. On souhaite se maintenir mais, avons-nous, malgré l’arrivée de Servane Delobelle, l’équipe suffisante pour gagner deux matches ? Ça va être dur. »
Calendrier. - 6 mai : Géo-André - Red Star ; 13 mai : Lagardère Paris Racing - Géo-André ; 20 mai : Gemenos - Géo-André ; 3 juin : Géo-André - FC Lyon ; 9 juin : Gueugnon - Géo-André.
CORMONTREUIL TC
Effectif : Sébastien Jolly (- 2/6), Camille Salomon (- 2/6), Thibaut Visy (- 2/6), Jean-Charles Robert (0), Alexandre Blossier (2/6), Constant De La Bassetière (5/6), Laurent Guillemart (5/6).
Composition de la poule : Marly (- 15, - 4/6, trois 0, deux 1/6, 2/6, 3/6) ; SMTC Montrouge (- 15, deux - 2/6, deux 0, deux 1/6, deux 2/6) ; TC Saint-Germain-les-Corbeil (n° 45, deux - 4/6, deux 0, deux 1/6) ; TC Le Chesnay Trianon (deux - 15, 0, 2/6, 3/6, quatre 4/6) ; Talant AT (3/6, deux 4/6, quatre 5/6).
Objectif. - Sébastien JOLLY (capitaine) : « Le maintien, d’autant qu’avant l’arrivée des « Américains », Salomon et Visy, nous allons présenter une équipe très amoindrie. »
Calendrier. - 6 mai : CTC - Le Chesnay ; 13 mai : Saint-Gemain-les-Corbeil - CTC ; 20 mai : CTC - Talant ; 3 juin : CTC - Montrouge ; 10 juin : Marly - CTC.
TC VITRY
Effectif : Andis Juska (n° 52), Martin Fafl (- 4/6), Viktor Filipenko (- 4/6), Marek Pokrywka (- 4/6), Arnaud Lalouette (1/6), Brice Bonnerave (15/1), Gautier Jeanrat (15/1), Brice et Henri Mulat (15/1).
Composition de la poule : Chartonnière (- 2/6, 0, 1/6, deux 2/6, trois 5/6) ; CS Meaux (n° 40, - 30, - 15, - 4/6, - 2/6, 5/6) ; US Fontenay (- 15, - 2/6, 0, trois 1/6, 2/6, 3/6) ; Montataire TC (deux - 4/6, 1/6, 2/6, deux 4/6, 15) ; AS Sarreguemines (- 15, - 2/6, 1/6, deux 2/6, 3/6, deux 5/6).
Objectif. - Arnaud LALOUETTE (capitaine) : « Nous visons le maintien. C’est jouable mais ce ne sera pas évident. D’autant que nous allons devoir composer avec nos étrangers. »
Calendrier. - 6 mai : Vitry - Meaux ; 13 mai : Montataire - Vitry ; 20 mai : Vitry - Fontenay ; 3 juin : Sarreguemines - Vitry ; 10 juin : Vitry - Chartonnière.
TC REIMS
Effectif : Vincent Betbeze (2/6), Charles Gilles (3/6), Jean-Baptiste Fromentin (4/6), Benjamin Landrieu (4/6) Cyril Pusset (4/6), Jade Sentissi (4/6), Jérémy Solivellas (4/6), Nicolas Wauthier (4/6).
Composition de la poule : ASPTT Dijon (n° 22, - 4/6, deux 1/6, quatre 2/6) ; TC Issy-les-Moulineaux (deux - 30, 0, 1/6, 2/6, trois 3/6) ; Bussy TCVB (- 15, deux 1/6, 2/6, deux 3/6, deux 4/6) ; TC Cheminot Vaugirard (trois 1/6, deux 2/6, 3/6, 4/6) ; SATC Porte du Hainaut B (n° 55, - 30, - 4/6, quatre - 2/6, trois 0).
Objectif. - Jérémy SOLIVELLAS (capitaine) : « Si on arrive à se maintenir, ce sera formidable. Ça va être très dur mais c’est jouable. Cela dépendra en fait de la composition des équipes adverses. »
Calendrier. - 6 mai : Hainaut - TCR ; 13 mai : TCR - Issy ; 20 mai : Dijon - TCR ; 3 juin : TCR - Vaugirard ; 10 juin : Bussy - TCR.
Grosse boulette du secrétariat du TC Géo-André, qui n’a pas validé une dizaine de licences avant la date fatidique du 31 octobre. Notamment Quentin Munier (1/6), Sébastien Paillard (2/6), Arnaud Pignon (3/6) et Cédric Leroy (3/6) ne peuvent pas participer aux Interclubs ainsi que des éléments des équipes 2 hommes et dames ! Résultat, les garçons promus en N3 ont tout simplement déclaré forfait, au grand dam des intéressés…
Pour l’année scolaire 2012-2013, les inscriptions se dérouleront dans les antennes municipales, jusqu’au samedi 16 juin
• Antenne municipale Châtillons : 11, avenue Christophe-Colomb, tél. 03.26.35.60.70. Le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à 12 h.
• Antenne municipale Croix-Rouge : 1, rue Joliot Curie, tél. 03.26.35.60.20. Le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
• Antenne municipale Europe : 1 ter, place Jean-Moulin, tél 03.26.35.60.00. Le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
• Antenne municipale La Neuvillette : avenue Nationale, tél. 03.26.35.60.05. Les lundis et jeudis de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30.
• Antenne municipale Murigny : 2 A, place René-Clair, tél. 03.26.35.60.60. Le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
• Antenne municipale Orgeval : 7, place Pierre-de-Fermat, tél. 03.26.35.60.10 du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30.
• Antenne mobile : 06.16.39.21.02
Service éducation : 4, rue Jovin, inscriptions du lundi 16 avril au vendredi 15 juin. Ouvert du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 (17 heures le vendredi)
Les documents à présenter
Photocopie des pages vaccinations du carnet de santé de l’enfant ; livret de famille, justificatif récent de domicile (quittance de loyer ou d’EDF) ; certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé). En cas de séparation, jugement de divorce ou de séparation précisant le lieu de résidence de l’enfant et l’autorité parentale ou la photocopie de la pièce d’identité de l’autre parent et son autorisation écrite pour l’inscription scolaire.
Pour tout autre renseignement : 03.26.77.76.34 (ou 33 ou 25).
Une répétition de la version duo du spectacle « A la recherche du voleur de vie sur terre ».
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La nature, on peut aussi la défendre par le corps, le texte, la musique : deux danseurs se proposent de sensibiliser le public rémois à la défense de l’environnement.
A plat ventre, Zia, une petite fille compte et recompte, « 466, 467… », les petits insectes de son jardin, les coccinelles, les hannetons. Elle découvre qu’il manque des vies dans son univers… Elle va partir, accrochée à son cerf-volant, emportée par un courant d’air, qui va l’aider à traverser le monde à la recherche du « voleur de vie sur terre ». Elle va y rencontrer des animaux… Dans le studio de « La Licorne », Céline Coessens et Damien Guillemin, danseurs, répètent. Cette compagnie de danse contemporaine s’investit dans des spectacles sur la sensibilisation au respect de l’environnement. Le premier de la série, « Forêt de larmes », avait été présenté à l’Opéra de Reims en 2007.
La chorégraphe, Brigitte Canonne, est très sensible à tout ce qui touche à la nature, à la forêt, et notamment les coupes d’arbres « à blanc » : « Je me suis dit : il faut faire quelque chose. Et cela m’a inspiré un spectacle de danse sur la désertification et le déboisement ». L’année dernière, elle met en scène « Zia », un conte chorégraphique joué en quatuor, sur la biodiversité, écrit par José Mendès. Et Cette année, elle en sort une version « duo », une petite forme « tout terrain », avec une bande-son, enregistrée par José Mendès avec les musiciens Ludovic Caqué et Damien Buisson.
Dans le studio, Damien Guillemin (connu aussi comme slameur) évolue, entravé dans un fil élastique (sa toile) : il est tour à tour araignée, ours, chimpanzé solitaire. La prestation chorégraphique des deux danseurs combine, avec humour et finesse, danse, manipulations d’objets, mime… « Tout est dans la symbolique. Il me faut trouver une gestuelle qui permet aux spectateurs d’imaginer les animaux et leur environnement, sans tomber dans la caricature », explique le danseur. Le mélange est réussi : c’est poétique, esthétique et drôle et peut être apprécié par tous, enfants et adultes.
« Zia », accueilli en résidence au Ludoval, bénéficie du soutien du Laboratoire chorégraphique de Reims, de la Ville, de la Région et du Département, sera visible en « sortie éclatée », dans divers sites de Reims (voir par ailleurs).
Par ailleurs, Accustica, association partenaire du projet, propose, sur chaque lieu, une exposition : « La biodiversité c’est la vie, c’est notre vie ».
Mercredi 9 mai : à 15 heures, première à l’Espace Le Ludoval, résidence de la Compagnie. 1, place René-Clair. Réservations au 03.26.36.21.05.
Mercredi 16 mai : à 14 h 30 à la maison de quartier des Châtillons. 1-3, place des Argonautes. Réservations au 03.26.77.65.20.
Lundi 11 juin : à 19 heures au centre culturel du Crous sur le campus Croix-Rouge avec le Suac/Urca.
Mercredi 13 juin : à 15 heures à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge. 12-14, rue Pierre-Taittinger. Réservations au 03.26.08.08.78
Samedi 23 juin : à 15 h 30, à l’espace Le Flambeau, dans le cadre du festival « Caravan’Sérail ». Réservations au 03.26.40.02.41.
Entrée gratuite mais réservation obligatoire.
L’assemblée générale ordinaire de l’Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny se tiendra le mercredi 9 mai à 18 h 30, dans les locaux de l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, 3 allée Antoine-Watteau.
L’ordre du jour est le suivant : rapport d’activités de l’année 2011,…
Renseignements auprès de la secrétaire, Isabelle Mallinger, 5, allée Yves-Gandon. Tél. 03.26.49.86.75.
C’est une belle frayeur qu’a dû avoir le jeune conducteur de ce scooter qui circulait dans le quartier Croix-Rouge.
A hauteur du lycée Arago, l’engin a coupé les voies du tram.
Percuté, le pilote a été projeté à terre, légèrement blessé.
Le trafic a été interrompu durant quelques dizaines de minutes aux environs de midi. Des navettes ont été mises en place par Citura entre les arrêts Robert-Debré et Campus afin de retarder le moins possible la circulation du tramway.
L’association pour l’Accueil des étudiants étrangers à Reims (AAEER), présidée par Jean-Paul Debeusscher, propose chaque année, en association avec l’Association de défense de la langue française (DLF), présidée par jacques Dargaud, un concours d’écriture à partir d’un thème : pour 2012, il avait été demandé aux candidats de donner leurs impressions sur les spécificités découvertes en France et cela en partant de quelques lettres choisies dans l’alphabet.
Lors de la remise des prix, en présence de Dominique Bunel, conseiller municipal à la vie étudiante, les extraits lus ont montré à quel point le travail du jury avait été difficile pour désigner les lauréats. Humour et créativité étaient au rendez-vous avec ces quelques exemples : « Le S, la bête noire de l’alphabet : l’ai-je bien mis où il est nécessaire ? Ne va-t-il pas me mordre en m’ôtant un point marqué au stylo rouge ? » ou encore « Le P, pour passage pour piétons… Gaspillage de couleurs puisque personne ne le respecte… »
Il s’agit d’étudiants se présentant sous les couleurs du CIEF, du programme Erasmus, de l’Urca ou de RMS.
Les trois premiers ont reçu une enveloppe avec une somme de 150 à 50 euros.
1er, Chengye Wang (Chine) ;
2e, Elena Aganina ep. Massart (Russie) ;
3e, Hannah Logish (Allemagne).
Deux ouvrages ont été remis aux suivants.
Chinh Cuong Duong (Vietnam), Aoran Li (Chine), Brahim Benzraiouil (Maroc), Chuping Cui (Chine), Anastasia Kozlova (Russie), Marta Cabanas rizaldos (Espagne), Renata Kocourek (Tchéquie), Yu Lewei (Chine), Yili Lin (Chine), Lijuan Du (Chine), Mihaela Groza (Moldavie).
Numéro 7444 du 30 avril au 06 mai 2012.
APPARTEMENTS :
Appartement type II d’environ 51 m2 - 13 place Toulouse Lautrec à REIMS, 3° étage, porte B - Classe énergétique : "D" - 79.378 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
Appartement type IV d’environ 79 m2 - 15 place Toulouse Lautrec à REIMS, 20 étage, porte A - Classe énergétique : "D" - 122.848 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
AVIS DE CONSTITUTION
Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS (51) du 23 avril 2012, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION SOCIALE : COMPTOIRS D’EURASIE.
SIEGE SOCIAL : 20 allée des Alsaciens - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL :
L’achat, la vente, en France et à l’étranger, de produits alimentaires (naturels, surgelés et frais), livres de cuisine, ustensiles de cuisine, décoration de la table, vaisselle, produits bien être et santé ;
Importation, exportation.
DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au R.C.S.
CAPITAL SOCIAL : 20.000 €.
GERANCE :
Monsieur Patrice PANTHU, demeurant 20 allée des Alsaciens 51100 REIMS ;
Mademoiselle Danni LU, demeurant 20 allée des Alsaciens - 51100 REIMS.
IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au R.C.S. de REIMS.
105443 Pour avis : La gérance.
Ça marche très fort pour le concours de cuisine les Toqués, organisé par l’association étudiante de RMS Arrête de mal bouffer.
Un concours, rappelons-le (voir nos précédentes Vie des campus), ouvert à tous les étudiants de France pour qu’ils puissent montrer leurs talents culinaires le temps d’un week-end, les 12 et 13 mai prochain au palais des congrès de Reims.
Ça marche tellement bien que les inscriptions sont désormais closes : « Nous dénombrons trop d’équipes de Reims Management School, indiquent les organisateurs. Par conséquent, dans le but de ne pas trop favoriser les étudiants rémois, nous organisons des présélections. Fabrice Maillot, chef du Petit comptoir, présidera le jury. »
Ces présélections se déroulent à l’atelier de Luca, boutique Oliviers and Co au 4 cours Langlet, aujourd’hui jeudi 3 mai de 14 h 45 à 18 heures et samedi 5 mai de 14 h 30 à 17 heures.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Maître d’œuvre conception : Cabinet APO WUSTNER
11, rue de l’Ecu – 51100 REIMS
Tél. 03.26.47.69.01 - Fax 03.26.88.67.31
Maître d’œuvre réalisation : SOCREL – M. G. KELLER
7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Tél. 03.26.04.98.51 Fax 03.26.47.92.63
Objet : Aménagement de cellule commerciale (création de vitrines) sur Croix du Sud – Ilot Degas/Braque à Reims (51) Procédure : Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Le marché est composé de 9 lots :
Lot 01 : METALLERIE / MENUISERIES ALU
Lot 02 : MENUISERIES INTERIEURES / PLATRERIE EN PLAQUE
Lot 03 : FAUX PLAFONDS
Lot 04 : ELECTRICITE / ECLAIRAGE / COURANTS FAIBLES
Lot 05 : PLOMBERIE / SANITAIRES
Lot 06 : CLIMATISATION / VMC
Lot 07 : CARRELAGE
Lot 08 : PEINTURE
Lot 09 : ASCENSEUR
Délai d’exécution : 7 mois (dont 1 mois de préparation de chantier)
Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 25 Mai 2012 avant 12 heures, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’Effort Rémois, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mercredi 2 mai 2012, auprès de :
Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, Référence du marché : CN-060412
Sur support papier, aux frais du candidat : I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61
Renseignements techniques : Sce Construction M. Keller 03.26.04.98.51 / M. Bertout 03.26.04.98.30
Renseignements administratifs : Sce Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05/ Mme Forray 03.26.05.92.33
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 26 avril 2012 aux Journaux L’UNION ECO (Marne, Aisne, Ardennes), L’EST ECLAIR (Aube) et L’EST REPUBLICAIN (Meuse)
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex
Objet : Résidentialisation Croix du Sud Phase 1 à Reims (51) / Réf. : MA - 080412
Procédure adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Composition du marché : 1 lot unique Terrassement / VRD / Aménagements Paysagers
Délai d’exécution : 1 mois de préparation + 5 mois de travaux
Date limite de réception des candidatures et des offres : Le vendredi 1ier juin 2012 à 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart à REIMS
Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 24 avril 2012, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr (Sous la référence du marché : MA-080412)
Renseignement technique : Cabinet APO : Mme Dufour 03.26.47.69.01 Service Maintenance : Mr Lhermitte 03.26.04.99.89
Renseignement administratif : Service Marchés : Mme Forray 03.26.05.92.33 / Mme Gallois 03 26 04 99 05
Date d’envoi du présent avis à la publication le mercredi 18 avril 2012 au JAL L’UNION ECO (édition Aisne / Marne / Ardennes).
EPERNAY (Marne) Manifestement, il ne faisait pas bon être tête de série masculine à 15/3 pour ce 14e tournoi de l’ASPTT Epernay. Si Benoît Martin (Géo-André) et Sylvain Plistat (Coulonges Cohan) chutaient dès les huitièmes, Safwane Arfaoui (Saint-Memmie) et Christophe Delarme (Reims Europe Club) tombaient en quart ! La voie était libre pour les outsiders, notamment Fabien Machicote (15/5, Reims Europe Club) et Bertrand Loth (15/4, Aÿ), qui se sont retrouvés au stade ultime..
Ce dernier, véritablement maudit sur la résine de la rue de la Guadeloupe, a malheureusement dû abandonner en finale. Victime d’une grave entorse en demi l’an passé contre le futur vainqueur de l’épreuve, Arnaud Dubouch, l’Agéen a cette fois connu une alerte (élongation) à la cuisse gauche alors qu’il menait 3-1 à la belle puis a sévèrement « crampé » à la jambe droite à 5-5 au point de jeter l’éponge !
Pourtant, jouant sur son expérience, Loth avait empoché le set initial (6-3) avant de mener 3-2 dans le deuxième. Le moment choisi par « l’Européen » pour serrer le jeu et… en aligner quatre de suite pour égaliser (6-3).
Dans le troisième set, Loth débutait idéalement mais la balle de break ratée à 4-2 a été lourde de conséquence. La suite est connue, d’autant que ses ennuis physiques l’ont conduit à abréger les échanges et à commettre des fautes.
Pas de surprise en revanche du côté des dames où la finale a opposé deux des favorites à 15/3 Mélia Oget (Taissy) et Catherine Decure (Cumières). Misant sur sa jeunesse, la Taissotine a dominé ce match face à la Cumiérote - également pongiste de haut niveau à l’ASC Châlons (n° 285 française) - en signant un logique 6-2, 6-1.
Demi-finales : Machicote (15/5, Reims Europe Club) bat Jacquet (15/4, Aÿ) 7-6, 3-6, 6-3 ; Loth (15/4, Aÿ) bat Derot (15/4, Mareuil-sur-Aÿ) 6-3, 7-5.
Finale : Machicote bat Loth 3-6, 6-3, 5-5 abandon.
Demi-finales : Mélia Oget (15/3, Taissy) bat Céline Japin (15/3, ASPTT Epernay) 3-6, 7-5, 6-4 ; Catherine Decure (15/3, Cumières) bat Sylvie Jolly (15/4, Société Nautique Epernay) 4-6, 6-1, 6-3.
Finale : Mélia Oget bat Catherine Decure 6-2, 6-1.
Les quatorze comédiens de l’atelier théâtre de l’Université de Reims en pleine répétition. Ils joueront ici « La comédie animale » d’Andreas Marber.
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REIMS (Marne) Rendez-vous est donné dès demain pour la 25e édition du festival « Reims monte en scène ». Sept troupes de théâtre étudiant se succéderont sur les planches rémoises durant trois jours. En voici un petit aperçu.
CELA fait un quart de siècle qu’ils se font plaisir et distraient le public rémois. Les étudiants passionnés de théâtre se produisent une fois par an dans la cité des sacres, dans le cadre du festival « Reims monte en scène » organisé par l’école de commerce Reims management school (RMS).
Le levé de rideau sur la 25e édition aura donc lieu demain à 19 h 30, au centre culturel Saint-Exupéry. Les quatorze comédiens de l’atelier théâtre de l’Université de Reims joueront la pièce de théâtre contemporaine « La comédie animale ». Pièce d’Andreas Marber, mise en scène par Marine Mane, membre de la compagnie de théâtre La Tramédie.
Suivra la représentation de la troupe de l’école de commerce parisienne de l’Essec à 21 h 30. Ils joueront « La Balade du Grand Macabre » de Michel de Ghelderode. De sorte que chaque soir les grandes écoles d’ici et d’ailleurs donneront deux représentations. « Ce festival étudiant de théâtre amateur, organisé en partenariat avec La Comédie, permet aux étudiants de se rencontrer, de partager leur passion et de se produire sur des scènes importantes », explique Julia Bocquin, présidente de l’association « Reims monte en scène. » Et au public de poser un autre regard sur eux.
Ainsi pourra-t-il découvrir le travail de l’année de ces passionnés au centre culturel de Saint-Exupéry le premier soir, au Crous de l’université de Reims vendredi et en partie samedi, et à l’atelier de la Comédie samedi (lire par ailleurs).
Soit trois jours de représentations, qui s’achèveront sur une pièce de théâtre interprétée par les étudiants de Reims management school. Les seize comédiens joueront « Les mouches » de Jean-Paul Sartre.
Tragédie mise en scène par Florian Sevin, qui se veut « minimaliste, avec des costumes sur le mode héroïc fantaisie. J’ai voulu sortir du côté tragédie grecque pour rendre la pièce plus abordable, détaille-t-il, moins lourde et plus dynamique. À l’image des comédiens de la troupe. » Pauline Rémond, l’une des comédiennes jouant une Erinnyes - une mouche maléfique - a d’ailleurs eu plaisir à répéter et découvrir une nouvelle façon de voir la pièce. « Le plus difficile n’était pas tant d’apprendre les répliques que de se les approprier, de travailler sur la relation humaine. »
Pour découvrir ces visions du théâtre et ces acteurs âgés d’une vingtaine d’années reste à se rendre à l’une des représentations. Et comme ces passionnés se donnent à 100 %, un jury composé de professionnels du monde de la culture remettra quatre prix dimanche matin à 11 heures, au bar de la Comédie de Reims. Le meilleur comédien, la meilleure mise en scène et la meilleure scénographie seront récompensés. Sans oublier le coup de cœur des lycéens.
Lélia BALAIRE
Jeudi 3 mai au centre culturel Saint-Exupéry
19 h 30-21 heures. L’Atelier théâtre de l’Université de Reims (BVE), « La Comédie animale » d’Andreas Marber. 21 h 30-23 heures. La Comedia de l’Essec, « La Balade du Grand Macabre » de Michel de Ghelderode.
Vendredi 4 mai au Crous de l’Université de Reims
19 h 30-21 heures. HEC, « La Légende Antigone » de Philippe Fenwick. 21 h 30-23 heures : Centrale Paris, « Les Acteurs de Bonne foi » de Marivaux.
Samedi 5 mai au Crous de l’Université de Reims
17 heures - 18 h 30 : La Corde Verte (Telecom Paris), « L’amour d’un brave type » de Howard Barker.
Samedi 5 mai à l’Atelier de la Comédie
19 h 30-21 heures : L’Entracte (CELSA), « Danser à Lughnasa » de Brian Friel 21 h 30-23 heures : Reims Management School, « Les Mouches » de Jean-Paul Sartre.
Réservations : jusqu’au 5 mai. Contact : festivalreimsmonteenscene@gmail.com ou 06.75.98.51.67. Tarifs : pour une soirée 9 euros en tarif plein et 5 euros en tarif réduit (lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi). Pass pour trois soirées : 24 euros en tarif plein, 13 euros en réduit
L’association étudiante « Arrête de mal bouffer » du groupe Reims management school organise le premier concours national de cuisine étudiant intitulé « Les toqués ».
Il se déroulera les 12 et 13 mai au Centre des congrès à Reims. Réservé aux étudiants des grandes écoles et universités, ce concours arbitré par de grands chefs, doit accueillir une centaine d’étudiants cuisiniers amateurs de France, désireux de faire découvrir leurs talents.
Répartis par équipes de trois, ils devront disputer un total de trois épreuves. L’association « Arrête de mal bouffer » qui est composée d’une quinzaine d’étudiants, milite pour convaincre les étudiants qu’il est possible de cuisiner des produits de saison, de qualité, et de bien manger à petit prix.
L’entrée au concours sera libre, le public pouvant assister aux différentes épreuves qui seront ponctuées d’animations sur le village exposants.
Ce mercredi à 3 heures, les sapeurs-pompiers se sont rendus allée des Savoyards dans le quartier Croix-Rouge de Reims où une voiture en stationnement était la proie des flammes.
Les sauveteurs ont maîtrisé ce sinistre d’origine indéterminée au moyen d’une petite lance.
Les sapeurs-pompiers de Reims ont été requis ce mardi 1er mai à 3 h 30 pour une voiture en stationnement place Jean-Fragonard dans le quartier Croix-Rouge qui était la proie des flammes.
Ils ont maîtrisé le sinistre au moyen d’une petite lance.
Une enquête est ouverte pour déterminer l’origine de cet incendie.
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REIMS (Marne) Dans la continuité du chantier réalisé pendant les vacances de février dernier, un nouveau chantier jeunes a été réalisé, dans le cadre de l’opération « Scop’Ados », les mardi et mercredi 24 et 25 avril sur le site At’Hom des Hauts-de-Murigny, entre l’allée Jacques-Simon et l’allée Yves-Gandon.
Six adolescents du quartier Croix-du-Sud ont réalisé un massif de fleurs en dur, encadrés par Thierry Julliot et trois ouvriers de l’entreprise d’espaces verts du même nom, avec David Gameiro de la Maison de quartier Croix-Rouge, Cédric Benadjaoud et Pauline Forst, éducateur spécialisé et assistante sociale du Service départemental de Prévention. Nicolas Quinquis, adjoint au responsable d’agence de l’Effort rémois, supervisait le bon déroulement des travaux.
L’objectif de ce chantier s’inscrit dans le projet de la Coopérative adolescents, gérée par la Maison de quartier Croix-Rouge. Coursa, Helas, Madiba, Moustapha, Nadir et Soulymane ont participé à cette opération malgré un temps plutôt maussade. Ils bénéficieront d’une subvention à usage collectif offerte par l’Effort rémois et le contrat urbain CUCS et destinée aux adolescents du quartier (et pas seulement les participants aux chantiers) pour financer des projets de voyages et de loisirs pour les années à venir.
Leur souhait immédiat : une journée de karting et un voyage cet été à la mer pour pratiquer le quad et le char à voile.
Comme à l’accoutumée, au terme du chantier, une collation a été organisée entre les jeunes, les locataires ainsi que l’Amicale des locataires du quartier At’Hom, afin d’échanger sur le sujet et de favoriser les échanges intergénérationnels sur le site.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Fella Fellahi réclame « des aménagements adaptés » dans son appartement situé au niveau de la place Fragonard.
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REIMS (Marne) Fella a perdu le pied droit. Lourdement handicapée, elle ne peut plus vivre dans son logement sans des aménagements. Pas d’avancée pour l’instant…
LA détresse est là. Pourtant, Fella Fellahi ne baisse pas les bras. Atteinte d’une infection rare, malade depuis des années, les médecins décident de l’opérer le 30 janvier dernier. L’intervention est de taille, son pied droit est mort. Elle est amputée. Depuis la plaie physique cicatrise correctement. Au niveau moral, l’ambiance est très différente. Voilà des mois qu’elle prévient les diverses instances pour réclamer des aménagements adaptés à son handicap. Des toilettes rehaussées par exemple, une salle d’eau qui prenne en compte son impossibilité à tenir debout sans soutien.
« Mon rêve, c’est de prendre une douche. De ne plus me laver dans le lavabo tous les matins partiellement. Je ne demande que des aménagements qui vont avec mon nouveau statut de personne handicapée ».
Les larmes aux yeux, Fella revient prendre place dans son canapé, laissant son déambulateur tout près d’elle. Sa vie est brisée, elle compte sur les responsables de l’Effort Rémois, son bailleur, pour tenter de trouver une solution le plus rapidement possible désormais. « Je ne réclame pas un nouveau logement. Ce n’est pas cela. Je veux simplement des aménagements que prévoit la loi pour les handicapés » commente sans haine, la quinquagénaire.
Voyant que les lettres envoyées à son bailleur ne semblaient pas donner grand-chose, Fella s’est tournée vers ses médecins.
Ces derniers n’ont pas tardé à rédiger des lettres toutes aussi cinglantes les unes que les autres. À commencer par le chirurgien qui a procédé à son imputation. Le docteur Mensa préconise en effet « que le logement de sa patiente soit aménagé le plus rapidement possible compte tenu de son handicap ». Deux autres praticiens, notamment, le psychologue qui la suit dans cette épreuve, le docteur Chemla stipule « qu’il est très urgent de procéder à des aménagements compte tenu de l’état psychologique fragile de la patiente, depuis son amputation ».
Les avis sont donc unanimes. Reste à l’Effort Rémois de lui permettre de mieux vivre son handicap, d’aménager quelque peu sa salle de bains et ses toilettes. Sans oublier la cuisine. Car il ne faut pas perdre de vue que lorsqu’on se déplace obligatoirement soit en fauteuil roulant, soit à l’aide d’un déambulateur, tout devient plus compliqué, voire impossible.
Contacté vendredi, l’Effort Rémois étudie de près la situation de Mme Fellahi. Nous ne manquerons pas de vous informer des avancées de ce dossier.
Thomas DUPRAT
De l’été 2011 à mars 2012, fumeurs de cannabis mais aussi cocaïnomanes et héroïnomanes ont défilé dans ce hall d’immeuble de l’allée des Béarnais.
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REIMS (Marne) Accusé d’avoir géré un « supermarché de la drogue » dans son hall d’immeuble du quartier Croix-Rouge, un Rémois a écopé d’un an de prison ferme. Le point de vente distribuait cannabis, héroïne, cocaïne.
« ç A fume tout le temps ici. C’est infernal, mais je ne fais aucune remarque. C’est le meilleur moyen si on ne veut pas être embêté. » Tais-toi et passe ! Depuis l’été dernier, dans cette entrée d’immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims, au n°2 de l’allée des Béarnais, les locataires marchaient droit. Ne rien dire, ne rien voir pour ne pas contrarier un petit groupe d’individus qui squattait le hall transformé en point de vente de produits stupéfiants.
Cannabis, héroïne, cocaïne… Les clients avaient l’embarras du choix dans ce « supermarché de la drogue », selon une formule alors utilisée par le parquet de Reims, jusqu’à ce que la police ne fasse le ménage lors d’une opération menée à la fin du mois de mars (l’union du 31). Les perquisitions dans les communs et un appartement squatté du premier étage ont permis de saisir 200 grammes de résine de cannabis, ainsi que 20 grammes de cocaïne et 30 grammes d’héroïne conditionnés dans des « pochons » prêts à la revente.
Des quantités relativement peu importantes, somme toute, mais pour le parquet, « il s’agissait des stupéfiants destinés à être revendus dans la journée. » C’est une règle élémentaire du deal : ne jamais posséder un gros stock à ses côtés, afin de limiter les risques en cas d’interpellation.
L’enquête n’a d’ailleurs pas permis de mettre en lumière la filière d’approvisionnement. Allée des Béarnais, les trafiquants prenaient des précautions supplémentaires en se dissimulant le visage avec cagoules, capuches et autres masques de paintball. Ils étaient chez eux dans ce hall, à tel point qu’entre deux visites de clients (tous filtrés à l’entrée par un « agent d’accueil »), il arrivait qu’ils se relaxent en faisant des séances de musculation…
Menée durant de longues semaines, la surveillance du point de vente a permis de mettre en cause trois jeunes du quartier. L’un, mineur de 17 ans, a été écroué dans l’attente de son passage devant le tribunal pour enfants tandis que les deux autres, laissés libres sous contrôle judiciaire au grand dam du parquet, ont comparu la semaine dernière devant le tribunal correctionnel.
Des trois garçons, seul Antar Noui habite l’immeuble. « Je suis innocent. Les policiers m’ont vu dans le hall car j’habite ici, c’est tout ! », affirme cet intérimaire de 20 ans. Les surveillances apparaissent pourtant accablantes pour le jeune homme. Certes, la police n’a retrouvé que « quatre joints » à son domicile, mais il a eu du mal à convaincre que les 7 000 euros en liquide dissimulés sous le meuble du téléviseur provenaient des « économies » de ses petits boulots.
Déclaré coupable, Antar Noui a écopé de dix-huit mois de prison dont six mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve. Il reste libre en attendant de purger ses douze mois ferme ultérieurement. Son coprévenu a eu plus de chance. Ne cessant de répéter qu’il n’était pas l’un des dealers encagoulés, et que sa présence aux abords du hall s’expliquait par sa proche domiciliation dans le quartier, il a été relaxé.
Son avocat, Me Pascal Ammoura, a notamment usé d’un alibi incontestable pour fragiliser l’accusation.
Du 11 octobre au 20 décembre 2011, le garçon était dans l’impossibilté de participer au point de vente pourtant ouvert en continu durant cette période : il purgeait en prison l’une de ses huit condamnations.
F.C.
Une impressionnante haie de torches en feu autour du monument aux morts de la Résistance.
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Les portraits de Mme Berthe Aubert (notre photo) et de Georges Simon ont été présentés par des de Croix-Cordier.lycéens. Photos : Aurélien LAUDY
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REIMS (Marne) Très émouvante cérémonie au monument des martyrs de la Résistance où des jeunes portent le flambeau du souvenir pour que personne n’oublie jamais les morts en déportation.
SOIXANTE-SEPT ans, déjà que les Forces alliées arrivant en Allemagne découvraient de visu l’horreur des camps de concentration. Depuis, chaque année au mois d’avril, une cérémonie est organisée pour ne jamais oublier toutes les victimes de la Déportation. Hier soir, à l’initiative des Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation, d’associations de déportés (1) et de la ville, de nombreux Rémois ont participé à la veillée qui s’est tenue au pied du monument aux martyrs de la Résistance dans lequel est scellée une urne renfermant depuis 1955 les cendres recueillies dans les crématoires de Mauthausen, Flossenburg, Bergen Belsen et Neuengamme.
C’est là, au sens propre, comme au sens figuré que les plus anciens ont d’abord transmis le flambeau du souvenir aux plus jeunes (sapeurs-pompiers et lycéens). Sur fond de roulement de tambours, de l’interprétation de « Nuit et brouillard » porté par les choristes de la Veslardanne, l’émotion était palpable.
En présence aussi des autorités civiles, militaires et religieuses et de porte-drapeaux, à la lumière des torches, chacun a pu voir les portraits de Mme Berthe Aubert et Georges Simon, morts en déportation, portés par quatre élèves du lycée Croix Cordier de Tinqueux. Une façon de rappeler aux mémoires oublieuses que cette commémoration nationale a aussi toute sa justification à Reims où de nombreux Rémois ont aussi connu les camps. « Chant des partisans », « Chant des marais » avec la chorale, « Liste de Schindler » par l’harmonie municipale, la musique a parlé au cœur de tous, tout comme la lecture d’un poème de Marianne Cohn : « Je trahirai demain » et un autre d’Aragon : « Chanson pour oublier Dachau » par élèves du collège François Legros.
Alain MOYAT
(1) Fédération des Déportés et internés résistants et politiques de l’arrondissement de Reims et Union nationale des associations de déportés internés et familles de disparus.
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