nous contacter conseiller le site conseiller cet article imprimer cet article


Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - août 2011.


 


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010, août 2010, septembre 2010, octobre 2010, novembre 2010, décembre 2010, janvier 2011, février 2011, mars 2011, avril 2011, mai 2011, juin 2011, juillet 2011. août 2011.

 

 

***********************************

Union110901b
Les jours et horaires de la rentrée scolaire

Voici les horaires de rentrée pour divers établissements scolaires rémois.

• Collège François-Legros
Rentrée des professeurs ce vendredi 2 septembre à 8 heures - salle des conseils - bâtiment C.
Pour les élèves, lundi 5 septembre à 13 h 30 - salle des conseils - bâtiment C. Tous les parents sont attendus avec leur enfant au collège pour une présentation générale de l’année et de la scolarité au collège François-Legros.
Il leur est demandé de rester au moins une heure pour cette présentation.
6e : lundi 5 septembre - 8 heures. Accueil sous le préau du collège ; 5e le mardi 6 septembre - 8 heures ; 4e le mercredi 7 septembre - 8 heures. Et 3e le mercredi 7 septembre - 9h30. Accueil sous le préau du collège.

• Collège Joliot-Curie
Lundi 5 septembre : 8 heures, rentrée des élèves de 6e ; 10 heures, rentrée des élèves de 3e.
Mardi 6 septembre : 14 heures : rentrée des élèves de 4e ; 15 heures, rentrée des élèves de 5e. Accueil en salle polyvalente.

• Collège Paul-Fort
Affichage des listes des classes de 6e vendredi 2 septembre à 16 heures.
Rentrée le lundi 5 septembre. Classes de 6e : accueil de 9 à 12 heures Les parents pourront éventuellement accompagner leurs enfants durant cette première demi-journée. Élèves libres, le lundi après-midi.
Classes de 5e : accueil de 13 h 30 à 15 heures ; classes de 4e : accueil de 14 heures à 15 h 30 ; classes de 3e : accueil de 14 h 30 à 16 heures. Début des cours le mardi 6 septembre à la première heure de l’emploi du temps.
La demi-pension fonctionnera à compter du lundi 5 septembre.

• Lycée Franklin Roosevelt
Enseignement secondaire. Seconde GT et seconde Bac pro le lundi 5 septembre : 8 heures - 8 h 30, rentrée des internes de seconde GT et seconde Bac pro TS, foyer d’internat.
9 heures - 10 heures, réunion des parents des élèves internes de seconde, amphithéâtre.
10 heures - 12 heures, rentrée des élèves de seconde GT et seconde bac pro TS.
Première et Première bac pro le lundi 5 septembre : 17 h 30 - 18 h 30, rentrée des internes de 1re et 1re bac pro TS, foyer d’internat ; à 18 h 30, réunion des parents et des internes de 1re et 1re bac pro TS, amphithéâtre.
Mardi 6 septembre de 8 à 10 heures, accueil des élèves de Première et 1re bac pro TS. Terminale et terminale bac pro :
Mardi 6 septembre : 8 - 9 heures, rentrée des internes classes de terminales et terminale bac pro TS, foyer d’internat. 10 - 12 heures, accueil des élèves de terminale
10 - 12 heures, accueil des terminales bac pro TS.

Enseignement supérieur. Rentrée des internes ce lundi 5 septembre : 8 h 30, classes de 2e année CPGE ; 9 heures MPSI et PTSI ; 10 heures P1 ECS ; 11 heures P1 ECT ; 14 heures PCSI.
Mardi 6 septembre : 9 heures, classes de BTS 2e année ; 10 heures, classes de BTS 1re année.

Rentrée des étudiants : ce lundi 5 septembre : 10 heures MPSI - PTSI - PC - PC - PT - P2ECS - P2ECT ; 11 heures PSI - PSI ; 14 heures P1ECS et P1ECT ; 15 heures PCSI.
Mardi 6 septembre : 10 heures, classes de BTS 2e année ; 14 heures, classes de BTS 1re année SIO et CGO ; 15 heures, classes de BTS 1re année TM, ELT et MAI.

***********************************

Union110901a
Retour sur un été meurtrier

-----

Une sexagénaire meurt dans les flammes

Une sexagénaire a perdu la vie dans un incendie qui s’est déclaré dans un appartement situé au 6e étage d’un immeuble abritant une quarantaine de locataires du troisième âge.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

A Couvrot, Rudy P. a porté seize coups à sa concubine Peggy Koscinzuck, la touchant au cou, aux bras et trois fois au cœur. Les secours ne pourront malheureusement pas la sauver.
- Agrandir la photo

Parmi les drames qui ont émaillé l’été, il est bien difficile d’oublier l’incendie qui a coûté la vie d’une résidente d’un foyer de l’Arfo (association rémoise de foyers logements pour retraités), le samedi 9 juillet au matin, place Marcel-Utrillo, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims. Un fait divers qui n’a pas manqué de susciter une vive émotion chez les riverains.

Pour une raison indéterminée, le feu s’est déclaré vers 8 heures dans un appartement situé au 6e étage d’un immeuble abritant une quarantaine de locataires du troisième âge. Cela « a pris en dix minutes, pas plus, témoignait ce jour-là un témoin de la scène (l’union du 10 juillet). Tout est allé très vite. Je suis sorti lorsque j’ai vu de la fumée. Quelques secondes plus tard, les flammes ont surgi. L’appartement s’est embrasé comme une allumette ».

Âgée de 71 ans, la victime a été retrouvée carbonisée dans les décombres. L’une de ses voisines a quant à elle été gravement intoxiquée par les fumées.

Aux victimes s’ajoutent également d’importants dégâts. Les 6e et 7e étages de l’immeuble ont en effet été sérieusement endommagés et deux appartements totalement dévastés.

F.B.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


-----

Quatre drames familiaux

Quatre homicides ont été commis en juillet-août dans le département de la Marne. Des coups de sang. Le contexte familial en toile de fond.

L’été n’aura pas réservé que des beaux jours. D’un côté, des rayons de soleil trop souvent absents et de l’autre, des vies humaines qui s’éteignent tragiquement. Cette année, la Marne a notamment payé un lourd tribut en nombre de morts par homicide. Particulièrement au mois de juillet durant lequel les esprits n’ont pas manqué de s’échauffer. Non sans une extrême violence, d’ailleurs.

Le bilan est sombre : trois homicides au cours de ce seul mois, dont un infanticide.

Une série noire qui débute la veille de la fête nationale, à Reims, dans un appartement du quartier Croix-Rouge, lorsque Stéphane Calabrese et Joël Dubost se rendent au domicile de Marie-Claude Pécourt, une femme de 60 ans, manifestement victime de violences conjugales. A la télé, c’est la mi-temps du match de foot féminin entre la France et les USA. Il est environ 19 heures. Une explication au sujet des violences qu’il venait de commettre le matin même, dégénère alors entre le compagnon de cette dernière, Dominique Goidin, et les deux hommes. Tandis que le ton monte, des coups de pied et de poing s’abattent sur l’ami violent avant de finir en jeu de massacres. C’est en tout cas ce qui ressort des constatations. Le visage fracassé, Dominique Goidin sera retrouvé sans vie au beau milieu de la nuit par Marie-Claude Pécourt.

L’horreur à Reims

Puis survient l’horreur. Moins de deux semaines après le premier meurtre. Encore à Reims, mais cette fois dans un appartement du boulevard Pommery. Il est plus de minuit, cette nuit du 25 au 26 juillet, quand au numéro 53, un homme âgé de 32 ans bat en effet à mort son enfant de quatre ans. Le petit Mohamed hurle, implore son père d’arrêter, mais celui-ci se trouve dans un véritable état de furie. Dans l’appartement, les meubles et les objets se brisent sous les coups de son père. Des coups d’une extrême violence, selon les premiers éléments d’expertise. Dix insoutenables minutes seront nécessaires aux policiers pour pénétrer à l’intérieur. Hélas, dans le chaos qu’ils y découvrent, le garçonnet ne crie déjà plus tandis que claque encore dans les lieux la fureur de son père. Il est plus d’une heure du matin quand le décès du petit Mohamed est prononcé, victime, semble-t-il, d’un drame de la séparation. Son meurtrier présumé est quant à lui placé en unité psychiatrique dans les heures qui suivent.

C’est également sur fond de drame familial que la série noire se poursuit une nuit plus tard à l’autre bout du département, précisément dans la petite commune de Couvrot, près de Vitry-le-François. Une fois de plus dans un climat de grande violence. Alors que le couple se trouve au domicile des beaux-parents, au 25 de la rue des Vignottes, une dispute éclate en l’occurrence dans la nuit du 27 au 28 juillet entre Peggy Koscinzuck et son concubin Rudy P., 39 ans. Sur la route des vacances en provenance de Cambrai, tous deux ont fait escale dans la Marne pour récupérer leurs deux enfants, âgés de 5 et 11 ans, avant de reprendre la route le lendemain. Mais ils n’en auront pas l’occasion. Il est environ une heure du matin quand se noue le drame. Un vrai bain de sang. Alors que toute la famille est réveillée par les cris, l’homme dérape dans un déferlement de violence, un couteau à la main. Sous les yeux de sa fillette de 5 ans, celui-ci porte alors plusieurs coups de couteau - seize au total -, touchant Peggy Koscinzuck au cou, aux bras et trois fois au cœur. Les secours ne pourront malheureusement pas la sauver. Ayant déclaré ne se souvenir de rien, Rudy P. attend quant à lui désormais la suite de l’instruction dans une cellule de la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne. Mis en examen pour homicide volontaire aggravé, il encourt la perpétuité.

Assassinat chez les forains

Enfin, c’est une nouvelle fois le secteur vitryat qui servira de théâtre au quatrième et dernier homicide de l’été. Très exactement le long de la RN4, au domicile de Christian Niess, un forain de 52 ans, dont le terrain privé se situe à l’entrée de la commune de Thiéblemont-Farémont.

Il fait un soleil de plomb quand le mardi 16 août, vers 13 heures, son neveu David Niess, 41 ans, lui aussi forain, le rejoint chez lui pour s’expliquer au sujet d’un problème de places de manèges devant être installés à l’occasion de la fête patronale de Montier-en-Der, en Haute-Marne. Mais dans la cour où sont parqués manèges et caravanes, l’entrevue entre les deux hommes tourne très rapidement au vinaigre. Jusqu’à ce que David Niess s’écroule de tout son poids, tué d’une décharge de calibre 12 dans le cou. Face à lui, Christian Niess tient un fusil à pompe dans les mains, en compagnie de son fils, Nicolas, qui est allé chercher l’arme. Le forain ira se rendre quelques minutes plus tard à la brigade de gendarmerie de Thiéblemont-Farémont avant d’être mis en examen pour assassinat, de même que son fils pour complicité d’assassinat.

Aucun autre homicide n’est, depuis, venu noircir un peu plus le tableau de cet été particulièrement meurtrier. Mais un constat s’impose : les quatre commis cet été dans la Marne, l’ont été dans un contexte familial. Autant de drames et de violences qui ne manquent probablement pas de cacher un malaise social beaucoup plus profond.

Franck BRENNER

***********************************

Union110831c
Au Reims avenir natation : Un nouvel entraîneur pour le premier stage

Mathias Lartigaud au milieu de ses stagiaires, pour une première prise de contact.
- Agrandir la photo

Le Reims avenir natation, club créé en mars dernier, organise un stage cette semaine pour ses jeunes nageurs, qui peuvent ainsi prendre leurs marques avec l’entraîneur, Mathias Lartigaud, recruté cet été.

Il a entraîné pendant 4 ans à Limoges, est titulaire du brevet d’État 2e degré, et du Beesan bien sûr. Il est tombé d’accord avec les dirigeants du Ran pour participer à la création de ce nouveau club et a découvert ses nageurs lors de ce stage à la piscine du Château d’Eau.

Dès lundi, les jeunes ont eu droit à une sensibilisation sur le dopage, une préconisation de la Fédération de natation, avant une visite de la caserne des pompiers, de caves de champagne, la découverte de l’aviron, puis des jeux de ballon, sports collectifs, course d’orientation et de nouveau l’aviron pour clôturer le stage jeudi.

Les soirées ont été consacrées aux jeux de société ou à des projections de films.

De quoi souder à la fois la nouvelle équipe dirigeante et les jeunes nageurs, qui seront ainsi prêts à débuter la saison fin septembre pour faire briller les couleurs du Reims avenir natation.

Pour tout renseignement : www.reims-avenir-natation.com

-----

Surfer sur le web pour nager

L’aquabike devrait être une activité très prisée des Rémois, comme elle l’est déjà à Laon.
- Agrandir la photo

C’est la révolution à la Rems : plus besoin de venir à 5 heures du matin à René-Tys pour inscrire son enfant dans le bon créneau aux cours de natation : il suffira d’aller sur internet mardi.

LA Rems avait déjà amélioré le système, mais pour avoir le créneau de piscine souhaité, il fallait toujours aux Rémois s’installer dans la nuit devant René-Tys, et pour les moins courageux qui arrivaient à 7 heures, attendre assez longtemps pour s’inscrire.

2011 sera l’année de la révolution pour les nageurs de la Rems (cours dispensés par les maîtres-nageurs de la Ville) : les Rémois vont pouvoir s’inscrire de chez eux, en pianotant à partir de 7 heures, mardi 6 septembre.

« Il faut, d’ici là, créer son compte utilisateur sur le site de la Rems (www.rems.fr). Ensuite, il suffira de se connecter mardi avec son identifiant et son mot de passe pour s’inscrire dans le créneau voulu », explique Pascal Vanscoor, responsable de l’opération à la Régie.

Une révolution qui a été le plus « balisée » possible par la Ville. « C’était une grosse demande des Rémois, pour éviter cette file d’attente. Il est possible qu’il y ait des couacs, mais a priori, le site est prévu pour gérer les 5 000 connexions attendues. »

Sans doute moins, car s’il y a 5 000 places pour les apprentis nageurs de la Rems, il sera possible d’inscrire plusieurs adhérents depuis un compte utilisateur. La famille bien sûr, mais aussi les voisins, amis… « Et pour ceux qui n’ont pas internet, pas de famille, d’amis ou de voisins qui l’ont, nous mettons en place dès mardi une permanence dans chaque piscine, pour pouvoir s’inscrire selon la même formule. »

Pascal Vanscoor recommande tout de même de ne pas se bousculer dans les piscines, il n’y aura aucun gain de temps. « L’étape suivant n’a, elle, pas changé : les inscrits devront impérativement confirmer et régler leur inscription entre le 12 et le 16 septembre, entre 8 h 30 et 19 heures, dans la piscine où ils sont inscrits. » Mais sur internet, ce sera comme à René-Tys : le premier connecté sera le premier inscrit. « On ne pourra pas cliquer sur les créneaux déjà remplis », précise Pascal Vanscoor. Alors, à votre souris pour d’abord créer votre compte, et cliquez vite mardi !

G.F.

Tarifs : 147 euros moins de 18 ans, 170 euros adultes (180 et 210 euros pour les non-Rémois). Début des cours lundi 26 septembre, fin le samedi 23 juin.

***********************************

Union110831b
La rixe se termine à coups de fusil

Depuis la semaine dernière, un Rémois est en prison, injustement accusé, selon lui, d’avoir tiré plusieurs coups de feu avec un fusil à pompe lors d’une rixe au quartier Croix-Rouge.

Les faits remontent au 17 août. Ce soir-là, vers 19 h 45, une altercation opposant plusieurs jeunes gens éclate rue Pierre-Taittinger. D’après les témoins, l’un des protagonistes se replie dans un immeuble pour en ressortir avec une « arme longue » qu’il utilise à plusieurs reprises pour tirer en l’air ou en direction de ses adversaires (les témoignages sont imprécis). Quelqu’un intervient et fait rentrer le tireur dans un autre immeuble.

Quand la police arrive, tous les belligérants ont disparu. Aucun d’eux ne va se faire connaître et aucune trace de sang n’est retrouvée, ce qui permet de supposer que les coups de feu n’ont touché personne. Les constatations techniques laissent à penser que l’arme utilisée est un fusil à pompe.

Cette arme n’a pas été retrouvée. En revanche, les renseignements recueillis par les enquêteurs ont orienté leurs soupçons vers un jeune du quartier accusé par certaines personnes d’être l’auteur des coups de feu.

Blessure à l’épaule

Le lendemain des faits, le suspect est d’ailleurs apparu blessé à l’épaule, au point de porter une attelle. Pour les policiers, il s’agissait d’un indice supplémentaire, les blessures résultant probablement des reculs successifs de l’arme à chaque tir.

Interpellé, le jeune homme a prétendu qu’il n’en était rien. Il a d’abord expliqué s’être blessé lors d’une séance de musculation, avant de reconnaître sa participation à la bagarre au cours de laquelle il aurait souffert d’une luxation de l’épaule.

La bagarre l’a opposé à trois individus qu’il dit ne pas connaître pas mais en aucun cas, a-t-il assuré, il n’a fait usage d’une arme à feu.

Selon lui, un contentieux l’oppose aux personnes qui l’accusent. Elles auraient profité de cette affaire pour se venger.

Ses protestations d’innocence sont restées vaines pour l’instant. Présenté au parquet de Reims, le mis en cause, Abdelmajid Ghorieb, 19 ans, a été écroué dans l’attente de son jugement.

Il doit comparaître le 19 septembre devant le tribunal correctionnel.

***********************************

Union110831a
Feux de détritus

Lundi vers 22 heures, des détritus ont pris feu rue de Rilly-la-Montagne. Un incendie similaire s’est déclaré hier à 8 h 45 rue de la Maladrerie, à l’angle de la rue de la Goulette.

A 19 h 30, un feu de local à vide-ordures a motivé une sortie des pompiers, rue Pierre-Taittinger, au n° 31.


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110830c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7409 du 29 août au 04 septembre 2011.

----------

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

Par jugement du 16/08/2011, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : Madame MARCILLY Stella, 2 all. Yves Gandon - 51100 REIMS. Activité : Transporteur routier de marchandises et loueur de véhicules de plus de 3 t 500. R.C.S. REIMS : A 389 104 878, pour le greffe 92 A 276.

98218 Le greffier : Bernadette DELPY.

----------

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

Par jugement du 16/08/2011, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : GIGABAT, 43 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS. Activité : Maçonnerie générale, entreprise générale du bâtiment, carrelage, électricité, plomberie… R.C.S. REIMS : B 415 150 747. pour le greffe 98 B 25.

98244 Le greffier : Bernadette DELPY.

----------

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

INTERDICTION DE GERER

Par jugement en date du 05/07/2011, le tribunal de commerce de REIMS a prononcé l’interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler, directe¬ment ou indirectement, soit toute entreprise commerciale ou artisanale, toute exploitation agricole et toute personne morale, soit une ou plusieurs de celles-ci pour une durée de 8 ans à l’encontre de : Monsieur KILINC Osman. 4 allée des Bourguignons 51100 REIMS, dirigeant de la société : CELIK (SARL), 31 groupe Eisenhower - 51100 REIMS. R.C.S. REIMS : B 440 223 352.

98331 Le greffier : Bernadette DELPY.

***********************************

Union110830b
Une nouvelle section à l’Acrap : Hip-hop-jazz-salsa avec Sofiane Fiorucci

Sofiane Fiorucci : danseur
- Agrandir la photo

 

Artiste complet, Sofiane Fiorucci a suivi une formation en danse classique, jazz et moderne et de nombreux stages de hip-hop.

Danseur, chorégraphe original, sensible et atypique, il travaille pour de nombreux artistes et compagnies de danse jazz et hip-hop.

Parmi ces derniers figurent de grands noms tels que Lâam, MC Solaar, Ophélie Winter, Shy’m,…

Il a également collaboré avec les plus grands de la danse internationale : Bruno Vandelli, Redha, Malika Benjelloun et Marty Kudelka (chorégraphe de Justin Timberlake, J-Lo et Janet Jackson).

L’atelier de Sofiane Fiorucci conduit à un hip-hop qui, comme la danse jazz, est l’expression gestuelle du mouvement inné. Il est naturel, il propulse et sous-entend l’expression du mouvement corporel. Des auditions auront lieu toute l’année, avec en projet la création d’une compagnie. « Un fort investissement personnel sera demandé », précise l’artiste.

Horaires :
- lundi et vendredi de 17 heures à 18 h 30, jazz ados à partir de 15 ans ;
- Mercredi : de 12 à 14 heures, hip-hop à partir de 10 ans ;
- Samedi : de 18 à 20 heures, jazz ados et adultes et de 20 à 22 heures (salsa à partir de 16 ans) ;
- Mardi et jeudi : collégiens et lycéens demi-pensionnaires inscrits au projet pédagogique « Jazz et hip-hop ».

Les inscriptions sont prises au secrétariat de l’association (11, avenue du Président-Kennedy), du lundi au vendredi de 9 heures à 11 h 30 et de 13 à 17 heures, ou auprès de Sofiane à l’Acrap, aux heures de cours.

 

***********************************

Union110830a
« Amusement » dangereux : Deux incendiaires de 6 et 9 ans arrêtés

Vendredi vers 18 h 30, deux enfants de 6 et 9 ans n’ont rien trouvé de mieux que de mettre le feu à une porte de garage, « pour s’amuser », ont-ils dit. Heureusement, les dégâts sont restés limités. Les faits se sont produits rue du Docteur-Bienfait. Identifiés par la police, les incendiaires ont été remis à leurs parents après avoir été sermonnés.

Samedi à 17 h 30, des détritus ont brûlé rue Pierre-Taittinger. Le lendemain vers 4 heures, un sac-poubelle a connu le même sort, allée César-Franck.

***********************************

Union110828b
TENNIS / France 2e série : Pas de miracles

Avec Mathieu Roy, Ludivine Choisel porte les derniers espoirs de la région sur la terre battue de « Roland ».
- Agrandir la photo

Les trois représentants de la Champagne n’ont pu rien faire contre la logique des classements lors du 1er tour des France 2e série, hier à Roland-Garros. Marie Menacer (Reims Europe, - 2/6) n’a pu titiller Yulia Fedossova - n° 26 et tête de série n° 4 - que dans le premier set : 3-6, 0-6.

Sévère pour Braidy

« C’est un peu le même scénario qu’à Montreuil où je l’avais déjà jouée. Aujourd’hui (hier), elle était au-dessus. Maintenant, je sais sur quoi je dois mettre l’accent à l’entraînement. J’ai besoin de progresser au niveau physique. On verra début septembre quand je reprendrai », résumait Marie Menacer.

Le score est encore un peu plus sévère pour Charline Braidy (Géo-André, - 4/6) face à la - 15, Alice Tisset : 1-6, 1-6. La plus belle résistance a été offerte par la Carolo licenciée à Gueugnon, Julie Gervais (- 4/6), opposée à Bérengère Teix (- 15) : 4-6, 3-6.

Charline Brady jouera les prolongations Porte d’Auteuil puisqu’elle est engagée en double, associée à Manon Arcangioli (- 4/6).

La Beaunoise licenciée à l’Europe Reims, Ludivine Choisel - qui n’a pu jouer hier - fera équipe avec Mathilde Cor (- 15) avec la perspective, en cas de qualification, d’affronter la paire favorite Ségolène Berger (n° 21) et Stéphanie Vongsouthi.

Hier soir, le Vitryat Arnaud Lalouette (0) était lui aussi dans l’attente de faire son entrée en lice face à Julien Jeanpierre (- 30).

Directement qualifié pour le 2e tour, le Rémois Mathieu Roy, licencié au Blanc-Mesnil, débutera le tournoi contre Frédéric Jeanclaude, un - 30 lui-aussi.

J.-P.P.

***********************************

Union110828a
Cambriolage

Un cambriolage a été constaté hier samedi vers 2 heures du matin dans un appartement de l’allée des Limousins à Reims.

La porte d’entrée avait été fractu¬rée et le ou les voleurs ont emporté divers matériels, dont un caméscope, un téléphone portable, et une tondeuse à che¬veux.

***********************************

Union110827a
TENNIS / Championnat de France 2e série Le saut à la perf

Charline Braidy et Marie Menacer devront se livrer sans retenue pour espérer garder le sourire.
- Agrandir la photo

Elles sont trois Ardennaises à figurer dans le tableau des France 2e série qui débuteront aujourd’hui à Roland-Garros : Marie Menacer, Charline Braidy et Julie Gervais.

Le tirage n’a pas épargné Marie Menacer.

La Nouzonnaise de Reims Europe a hérité de la n° 26 française, Youlia Fedossova, titrée en 15-16 ans en 2003, lauréate de l’Open de Vitry-le-François 2010 (devant la vice-championne de France, Karla Mraz) et, surtout, qui a flirté (107) avec le Top 100 WTA.

« Rien à perdre »

Ce « challenge » n’est pas pour inhiber la championne de Champagne qui partira en terrain connu puisque cette saison, dans le CNGT de Montreuil, sa route a déjà croisé celle de la Franco-Russe du Team Lagardère : « J’avais bien résisté dans le premier set ».

Après avoir eu deux balles de set dans la première manche (6-7), l’Européenne, entraînée par Stéphane Limouzin, avait cédé dans le deuxième set (2-6).

Au moins avait-elle eu sa chance…

Pour donner une idée du challenge à relever par la - 2/6, Yulia Fedossova - classée n° 26 française - n’est autre que la tête de série n° 4 derrière Ségolène Berger, Stéphanie Vongsouthi, exemptées de 1er tour, et Victoria Larrière : « Ce n’est pas une catastrophe pour moi de tomber sur une fille de ce niveau. Je n’ai rien à perdre. Si je gagne, ce sera tant mieux ; si je perds, je n’aurai qu’à continuer de travailler », résume Marie Menacer.

Charline Braidy (Géo-André, - 4/6) est elle aussi condamnée à la perf devant Alice Tisset (- 15), vue en demi d’un 10.000 dollars à Tanger : « Ce seront peut-être mes derniers championnats de France car la saison prochaine, je vais me consacrer à mes études », confie la Carolo.

La der pour Charline ?

Même si elle est licenciée au FC Gueugnon et fréquente le tennis-études des Hauts-de-Nîmes, Julie Gervais (- 4/6) peut être considérée comme la troisième représentante des Ardennes. Blessée (épaule) pendant deux saisons, la Carolo a effectué une rentrée remarquée en mai. Championne de Bourgogne 2e série, elle est parvenue à sortir des qualifs à Bruxelles et Amiens, signant des perfs à - 15, le niveau de son adversaire aujourd’hui, Bérangère Teix.

Jean-Pierre PRAULT

***********************************

Union110826a
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de Reims habitat (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT Champagne-Ardenne 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : le présent appel d’offres ouvert est soumis aux dispositions des articles 33 3ºal. et 57 à 59 du code des marchés publics. Cette consultation sera passée en application de l’article 77 du code des marchés publics relatif aux marchés à bons de commande.
3) Objet des marchés : marché d’entretien et de menues réparations des couvertures et terrasses d’habitation.
4) Nombre et consistance des lots : Le marché est composé de 2 lots.
- Lot n° 1 : succursale Murigny,
- Lot n° 2 : succursale Croix Rouge - Université.
5) Délai d’exécution : le marché prendra effet à compter du 1er décembre 2011 pour une durée de 1 an. Le marché pourra être renouvelé au maximum 3 fois un an. Le terme définitif étant le 30 novembre 2015.
6) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT Champagne Ardenne. Tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
7) Demande de renseignements complémentaires : Des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT. Tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27. Des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction location proximité de REIMS HABITAT.Tél. 03.26.48.43.18, fax : 03.26.48.62.58.
8) Date limite de remise des offres : le 3 octobre 2011 à 17 heures.
9) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 23 août 2011.

51AO1853574

***********************************

Union110824a
Peu de sorties pour les pompiers

Les pompiers sont sortis à deux reprises dans la nuit de lundi à mardi pour des interventions sur des petits feux.

Une première fois vers 5 h 15 pour un feu de cave dans laquelle des détritus étaient en train de brûler. Malgré une forte fumée, aucun blessé n’a été déploré.

La seconde sortie s’est déroulée dans le quartier Croix-Rouge et plus précisément au 15 de l’avenue Bonaparte. Idem, un petit feu qu’ils auront éteint rapidement.

Aux alentours de 8 h 15, c’est pour un accident sur l’autoroute A4, à hauteur de l’ancien péage de Dormans, qu’ils sont appelés. Cet accident dans lequel quatre véhicules, dont un poids lourd, ont été impliqués n’a fait miraculeusement aucune victime.

En milieu d’après-midi, c’est sur la départementale 73 qu’ils interviennent à nouveau pour un accident de la route près de la commune de Dampierre-le-Château. Le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule, celui-ci a d’ailleurs fait plusieurs tonneaux. Sur les cinq passagers, quatre ont été légèrement blessés et évacués par pré¬caution au CHU.

TAF


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110823d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7408 du 22 au 28 août 2011.

----------

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

IDENTIFICATION DE L’ORGANISME QUI PASSE LE MARCHE : ASSOCIATION REIMS MANAGEMENT SCHOOL, 59 rue Pierre Taittinger, B.P. 302 - 51061 REIMS CEDEX.
OBJET DU MARCHE : Réalisation d’un audit de démutualisation des systèmes d’information.
DURÉE DU MARCHE : Le marché sera conclu pour une durée ferme de deux mois à compter sa notification au titulaire.
PROCÉDURE DE PASSATION : Procédure adaptée en application de l’article 10 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
CRITÈRES D’ATTRIBUTION : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés dans le cahier des charges.
MODALITÉ D’OBTENTION DU DOSSIER : Le dossier est à retirer au service achat de l’organisme ou à l’adresse mail suivante : service.achat@reims-ms.fr.
DATE LIMITE DE RECEPTION DES OFFRES :15/09/2011 à 16 h 00.
DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION : Jeudi 18 aout 2011.

98181

----------

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

IDENTIFICATION DE LORGANISME QUI PASSE LE MARCHE : ASSOCIATION REIMS MANAGEMENT SCHOOL, 59 rue Pierre Taittinger, B.P. 302 - 51061 REIMS CEDEX.
OBJET DU MARCHE : Fourniture d’un service hébergé de gestion collaborative de contenus, de processus avec développements spécifiques.
DUREE DU MARCHE : Le marché sera conclu pour une période de 12 mois à compter de sa notification au titulaire, renouvelable deux fois.
PROCEDURE DE PASSATION : Procédure adaptée en application de l’article 10 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
CRITERES D’ATTRIBUTION : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés dans le cahier des charges.
MODALITE D’OBTENTION DU DOSSIER Le dossier est à retirer au service achat de l’organisme ou à l’adresse mail suivante : service.achat@reims-ms.fr.
DATE LIMITE DE RECEPTION DES OFFRES : 09/09/2011 à 16h 00.
DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION : Jeudi 18 aout 2011.

98182

----------

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

IDENTIFICATION DE L’ORGANISME QUI PASSE LE MARCHE : ASSOCIATION REIMS MANAGEMENT SCHOOL, 59 rue Pierre Taittinger, B.P. 302 - 51061 REIMS CEDEX.
OBJET DU MARCHE : Services de messagerie pour les étudiants de REIMS MANAGEMENT SCHOOL.
DURÉE DU MARCHE : Le marché sera conclu pour une durée de trois ans, de la notification au titulaire jusqu’au 31 décembre 2014.
PROCÉDURE DE PASSATION : Procédure adaptée en application de l’article 10 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
CRITÈRES D’ATTRIBUTION : Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés dans le cahier des charges.
MODALITÉ D’OBTENTION DU DOSSIER : Le dossier est à retirer au service achat de l’organisme ou à l’adresse mail suivante : service.achat@reims-ms.fr.
DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES OFFRES : 09/09/2011 à 16h 00.
DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION : Jeudi 18 août 2011.

98183

***********************************

Union110823c
AVIS DE CONSTITUTION

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes

Forme : société en nom collectif. Dénomination : Le Napoléon.
Siège social : 5, allée Edgar-Degas, 51100 Reims.
Objet : l’exploitation d’un fonds de commerce de presse, journaux, Française des jeux, PMU, bimbeloterie, papeterie, librairie et divers, situé à Reims (51100), avenue du Général-Bonaparte, auquel est annexé la gérance d’un débit de tabac exploité dans le même local.
Durée : 99 années. Capital : 10.000 euros.
Gérance : Mademoiselle Jessie GOHIEZ demeurant 5, allée Edgar-Degas, 51100 Reims.
Immatriculation : R.C.S. de Reims.

Pour avis.
51L1852303

***********************************

Union110823b
« Cordées de la réussite » au lycée Arago pour hisser les élèves à l’excellence

Un renforcement scolaire, en petits groupes, pour bien préparer sa rentrée.
- Agrandir la photo

Pour gravir les échelons de la réussite, il faut être aidé par des « premiers de cordée »… Grâce à des enseignants motivés, les élèves vont affronter sereinement la rentrée.

« NOUS avons démarré avec une petite équipe d’enseignants et 15 élèves. Cette année, nous accueillons 70 élèves venant de 11 établissements différents » rappelle Benoît Dieu, chargé de mission pour le dispositif de « réussite scolaire » du lycée Arago. Un soutien scolaire gratuit mis en place durant les grandes vacances.

Le public ? Des élèves qui viennent de filières technologiques, professionnelles et générales, de la seconde à la terminale. Durant deux semaines, du 22 août au 1er septembre, de 9 à 13 heures, neuf professeurs accueillent, par petits groupes d’une dizaine, des jeunes volontaires pour des séances de soutien et de renforcement scolaire. L’établissement ayant développé une politique de partenariat culturel très dense, des activités culturelles et sportives sont proposées l’après-midi. C’est ainsi qu’ils se rendront au Planétarium, découvriront l’enseignement supérieur avec l’Urca et le Crous, visiteront le musée des Beaux-Arts. Côté sports, une initiation à l’aviron est mise en place par les Régates Rémoises.

Site d’excellence

« Nous faisons partie, avec le lycée Armand-Malaise de Charleville-Mézières, des 30 « sites d’excellence » qui existent en France » précise Elisabeth Becker, le proviseur. « Ce qui est important, c’est de faire se hisser vers le haut les élèves de milieux où on n’a pas forcément cette ambition de la réussite. Il y a vraiment ici un potentiel d’enseignants motivés » insiste-t-elle.

Les professeurs, « premiers de cordée » de la réussite, se confient durant une pause récré.

Pourquoi sacrifient-ils deux semaines de leurs vacances ? « Pour motiver ces élèves, il faut que nous le soyons nous-mêmes. C’est avec beaucoup de conviction que nous venons. Nous sommes convaincus du bien-fondé de cette action, qui est probante statistiquement » assure Abdou Raimi, enseignant en Sciences économiques et sociales.

Tanguy Prévost, 15 ans, de Crugny, suit une scolarité sports-études avec le Creps. Membre du CJC Fismes, il est ceinture noire de judo et sportif de haut niveau. Il entre en 1re S à la rentrée : « Je suis déjà venu l’an dernier. J’avais révisé l’histoire et obtenu, grâce à cela, de meilleures notes à la rentrée. Cette année, je vais travailler les matières scientifiques ».

Le jeune homme apprécie aussi le « plus » culturel et sportif : « Cela m’a permis de visiter des coins de la ville que je ne connaissais pas ». Le soutien ? « Ça permet de faire sa rentrée sans tomber des nues ! ».

Bonne analyse !

***********************************

Union110823a
Une seule licence pour tous les sports

Fédération multisports, l’Ufolep a pour vocation de faire vivre « tous les sports autrement » : sport de détente, de loisirs ou compétitif, découverte de nouvelles pratiques sportives, sport de proximité, en milieu urbain ou rural. L’accessibilité au sport pour tous, le sport au service de la santé et dans le cadre des pratiques, la sensibilisation au développement durable, figurent parmi ses objectifs.

Grâce à l’Ufolep, tout membre d’une association, d’un comité d’entreprise, d’une collectivité locale accède à la pratique d’une ou plusieurs activités physiques, sportives, de pleine nature, avec une seule licence sportive.

Les activités sont déclinées sous des formes diverses, adaptées aux besoins et exigences des quelque 140 associations et 4 500 adhérents marnais de l’Ufolep. Citons quelques disciplines, parmi plus de cinquante pratiquées dans le département : badminton, football, VTT, athlétisme, tir à l’arc, basket-ball, cyclosport, rugby, sports mécaniques, volley-ball…

Outre la pratique sportive classique, les championnats ou les rencontres, l’Ufolep de la Marne organise des manifestations ponctuelles de plus grande envergure (rassemblements nationaux, régionaux, événements locaux…) Elle propose de plus des actions de formation à destination des bénévoles et des sportifs, conseille et soutient ses associations dans le développement de leurs projets.

« Vous souhaitez, à titre individuel ou en groupe pratiquer une activité sportive » interpelle l’Ufolep, « vos adhérents ambitionnent d’intégrer un championnat, de rencontrer d’autres pratiquants ; vous désirez organiser une manifestation, monter un projet avec un groupe d’adhérents ; vous recherchez le moyen de fidéliser vos adhérents autour d’une pratique sportive, d’un loisir dans votre commune par exemple… L’Ufolep de la Marne et son réseau associatif (plus de 10 000 associations et 400 000 licenciés en France) mettent leurs compétences à votre disposition pour répondre à tous ces besoins et vous aider à réaliser vos projets. »

« Chacun y trouvera les moyens de pratiquer ou d’encadrer un ou plusieurs sports, quels que soient son niveau, ses objectifs ou ses contraintes » assure Erick Klein.

Ufolep : 23, rue Alphonse-Daudet, BP 2187, 51081 Reims cedex.
Tél. 03.26.84.32.26
www.ufolep51.org
courriel : ufolep51@wanadoo.fr

***********************************

Union110822a
Blanche Cavarrot et « La Rosière »

Derrière les enfants, au centre, Blanche Cavarrot directrice de l’école de plein air.
- Agrandir la photo

INSTITUTRICE, Blanche Cavarrot fonde, avec Marie-Clémence Fouriaux, sa directrice, et Mme Desteuque, l’union des Jeunes Filles, en 1900. Durant la première guerre mondiale, elle organise des évacuations d’enfants.

Léon Bourgeois, maire de Reims, lui confie en octobre 1918 l’organisation des cantines populaires.

En 1919, avec Marie-Clémence Fouriaux, elle fait remettre en état la propriété léguée par Mme Veuve Eugène Desteuque à la Ville de Reims, le fameux « château de la Rosière » de Villers-Allerand.

Avec Mme Joseph Krug, elle reçoit 50 enfants, dans ce qui allait devenir, en 1922, une école de plein air et un préventorium qu’elle dirigera durant de nombreuses années.

Décorée de la médaille de la Reconnaissance française, elle reçoit la Légion d’honneur en 1936, après avis favorable du maire Paul Marchandeau qui note, au bas de son état de services : « Melle Cavarrot a fait preuve tant pendant les bombardements de Reims qu’aux heures difficiles de la reconstitution, et depuis dans toutes les œuvres de bienfaisance, des plus hautes qualités d’intelligence et de dévouement désintéressé ».

Une personne très respectée

Henri Cappe se souvient d’elle, accueillant dans son bureau les visiteurs : « Une personne à l’allure sévère, très digne, très respectée dans le village ».

L’école de plein air employait pour les cuisines, l’entretien des locaux, des hommes et des femmes du village.

Le château de la Rosière continue d’accueillir des enfants dans le cadre de la Caisse des écoles de la Ville de Reims.

***********************************

Union110820b
REIMS Un duo ardennais arrêté avec un kilo de cannabis

Deux frères originaires des Ardennes ont été arrêtés puis jugés à Reims. Ils transportaient près d’un kilo de stupéfiants.

DEUX frères demeurant un petit village des Ardennes pensaient bien repartir de la cité des Sacres sans encombres avec leurs plaquettes de résine de cannabis.

C’était sans compter un brin de malchance et la vigilance des policiers de la brigade anticriminalité.

Il était 19 h 45, le 14 août, lorsque ces derniers ont en effet procédé avec une certaine veine au contrôle de la Golf à bord de laquelle circulaient les deux frères, alors qu’ils se trouvaient dans le quartier Croix-Rouge, à Reims.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le sac posé aux pieds du passager avant, âgé de 22 ans, n’est pas passé inaperçu. Quelle n’a pas été alors leur surprise d’y découvrir à l’intérieur quelque 990 grammes de résine de cannabis.

Les deux Ardennais avaient ainsi fait le déplacement dans la Marne pour s’approvisionner, comme n’a pas manqué de le reconnaître au cours de sa garde à vue le conducteur âgé de 27 ans.

En revanche, celui-ci a préféré garder le silence quant à l’identité de ses fournisseurs et, semble-t-il aussi, de ses clients.

L’enquête de police a cependant permis d’identifier six de ces derniers, lesquels ont très rapidement été entendus par les fonctionnaires de la sécurité publique.

Mandat de dépôt

Trois d’entre eux ont été convoqués devant le délégué du procureur de la République à une date ultérieure. Les trois autres ont bénéficié d’une ordonnance pénale, tout comme le passager de la Golf.

Le conducteur ne peut quant à lui se vanter de s’en être tiré à si bon compte. Jugé jeudi par le tribunal correctionnel de Reims dans le cadre d’une comparution immédiate, celui-ci a en effet écopé d’une peine de deux ans d’emprisonnement dont 15 mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve pendant deux ans.

Mais pas seulement : pour avoir été condamné en juin 2009 par le tribunal de grande instance de Charleville-Mézières pour des faits similaires, celui-ci s’est vu révoquer les cinq mois de sursis qui pesaient sur sa tête comme une épée de Damoclès.

Il devra en outre s’acquitter d’une amende de 1000 euros.

En attendant, l’Ardennais est aussitôt parti purger sa peine ferme dans une cellule de la maison d’arrêt de Reims, un mandat de dépôt ayant été délivré à son encontre par le tribunal à l’issue de l’audience.

F.B.

***********************************

Union110820a
Feux en série à Reims

Dans la nuit de vendredi à samedi, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus sur une série de feux aussi bien dans l’agglomération que dans sa périphérie. Ils sont allés rue de Bezanne vers minuit pour éteindre un scooter en flammes.

A 5 h 10, ils se rendaient près de Nogent-l’Abbesse pour une voiture entièrement embrasée puis à 5 h 30, ils se présentaient au 41, rue Pierre Taittinger dans le quartier Croix-Rouge pour maîtriser un sinistre. Peu avant 6 heures, ils procédaient encore à l’extinction de deux véhicules en flammes.

***********************************

Union110819b
La sécurité des piétons compromise. Le stationnement à Croix-du-Sud devient anarchique

Ce véhicule, arrivé le matin, a bloqué le trottoir toute la journée : aucune intervention malgré plusieurs signalements.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.
Les mamans avec leur poussette et les fauteuils roulants n’ont d’autre choix que d’emprunter la chaussée.
- Agrandir la photo

- Voir toutes les photos.

Georgy Weiler est un citoyen attentif à tout ce qui gâche la vie des habitants. Il intervient régulièrement à chaque réunion du conseil de quartier, mais « j’ai l’impression de parler dans le vide », regrette-t-il.

Son combat actuel, c’est le stationnement anarchique des véhicules à Croix-du-Sud : les trottoirs sont envahis par les véhicules, ce qui oblige les passants à marcher sur la chaussée, plutôt étroite à cause de la présence du tramway.

« Le pire, c’est pour les mamans avec leur poussette et pour les personnes à mobilité réduite, qui sont vraiment en danger ! »

Appel à la tolérance

Georgy Weiler relate le cas de cette camionnette stationnée en plein trottoir avenue Léon-Blum dès le matin :

« J’ai immédiatement téléphoné à la police de proximité et à la police municipale, mais en vain. Le soir à 17 heures, elle était toujours là, sans le moindre PV ! » Un peu aigri, il constate : « Dans les quartiers, nous avons vraiment l’impression d’être un peu oubliés ! »

Ce n’est pas l’avis du premier adjoint, Éric Quénard : « La police municipale intervient à chaque fois qu’elle est sollicitée. Elle l’a d’ailleurs été à plusieurs reprises par la famille Weiler.

Plusieurs dizaines de PV ont été dressés à Croix-du-sud à la suite d’interventions sur des véhicules mal stationnés. Toutefois, j’appelle chacun à la tolérance dans la mesure où le quartier est en pleine transformation.

Il n’est pas toujours possible, dans cette période de travaux, d’offrir un nombre de places de stationnement provisoire important sans réduire les espaces verts, ce que ni la ville, ni les habitants ne souhaitent. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

Union110819a
Bénin. Une belle initiative de développement local

À Reims, Joseph C. Cakpo (au centre) est chargé de la coordination à l’échelle de la diaspora en France.
- Agrandir la photo

 

Dans le cadre des actions de solidarité internationale, et de l’un des huit objectifs du millénaire des Nations Unies (la santé), un groupe de quatre étudiants en médecine de la faculté de Reims, qui ont la volonté de consacrer une partie de leurs vacances à un geste de solidarité, a fait un séjour au Bénin en juillet où s’est déroulé leur chantier, autour de l’extension du centre de santé par une salle d’accouchement à Hêvê-Grand-Popo.

C’était aussi une occasion propice pour eux d’aller à la rencontre du système de santé au Bénin, grâce aux informations et aux échanges avec le personnel hospitalier de la commune de Grand-Popo.

Ce projet a permis aux associations Planète développement et Rencontres internationales de Reims (6 allée des Picards) de développer un partenariat avec un groupe de médecine, associé à la population locale bénéficiaire.

Renseignements auprès de Planète Développement 72 rue Raymond-Poincaré, à Reims. Téléphone : 03.26.83.81.28 ou 06.24.95.90.77.

 

***********************************

Union110816a
Association Croix-Rouge/ Première reprise des activités dès mercredi

Les locaux vont à nouveau bourdonner d’activité.
- Agrandir la photo

La réouverture de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) est effective depuis le lundi 25 juillet.

Les inscriptions aux différentes sections seront prises aux dates ci-dessous.

- Temps libre avec Bernadette Canu, mercredi 17 août ;
- pétanque, avec Christian Gérard, mardi 23 août ;
- majorettes, avec Magali Macadré, mardi 23 août ;
- football enfants, avec Messieurs Houppermans et Dubois, mardi 23 août ;
- football seniors et adultes avec Djamel Chafif, mardi 23 août ;
- badminton, avec Vincent Lapauw, mardi 6 septembre ;
- balade pédestre avec Bernadette Canu, vendredi 9 septembre ;
- couture avec Bernadette Canu, lundi 5 septembre ;
- danse classique et moderne avec Virginie Delauzun, mercredi 21 septembre ;
- gymnastique avec Élisabeth Lorique, lundi 19 septembre ;
- karaté et kobudo d’Okinawa avec Théodore Lé, lundi 12 et samedi 17 septembre ;
- natation avec Jeannine Catry, samedi 24 septembre ;
- travaux manuels avec Bernadette Canu, mercredi 24 septembre ;
- et yoga avec Agnès Legrand, mardi 13 septembre.
- Pour les sections hip-hop-salsa-jazz avec Sofiane Fiorucci, gymnastique rythmique et sportive avec Cécile Mareignier, fitness et aérodanse avec Isabelle Bechet, informatique avec Romuald Bordes, tennis avec Alain Lommé, et vovinam viet vo dao avec Franck Schmitt, les dates seront quant à elles définies ultérieurement.
- Pour le patinage, voir le site www.reims-acrap-patinage.com

Les conditions d’inscription sont visibles sur le site www.acrap.fr. Régler au secrétariat de l’association, 11 avenue du Président-Kennedy. Horaires : du lundi au vendredi de 9 heures à 11 h 30 et de 13 à 17 heures, tél. 09.61.64.53.29.

***********************************

Union110815a
Reims : Feu et alcool au volant.

Nuit agitée dans les rues de Reims, où pompiers et forces de l’ordre ont eu une nuit plutôt chargée entre samedi et dimanche.

Tout commence samedi soir à 22 h 50, lorsque les pompiers sont appelés pour un feu de voiture boulevard Paul-Doumer. Arrivés sur place, ils ont dû arroser une Citroën C3 qui était en train de brûler. Le véhicule n’était pas signalé volé.

Rebelote à 0 h 20. Cette fois c’est à hauteur du 7, avenue Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge qu’ils interviennent pour un nouveau feu de voiture, une Opel Corsa.

À 2 h 18, nouvelle sortie pour les soldats du feu qui, cette nuit-là, portaient vraiment bien leur nom : Ils interviennent dans le quartier Wilson, rue Maurice-Ravel où deux conteneurs ont été incendiés.

Plus tard et preuve que les pyromanes du dimanche ne vont pas coucher tôt, c’est à 5 h 10 qu’ils sont sollicités, pour un nouveau feu de voiture. Avenue Bonaparte, ils découvrent deux Citroën en flammes.

Si les pompiers ont eu une nuit agitée, les policiers ont eu également de nombreuses interventions ; notamment liées à l’alcool. Tout d’abord, un jeune homme de 24 ans, domicilié dans la commune d’Hermonville, attire l’attention de la police au guidon de son cyclomoteur, en se la jouant à l’anglaise en circulant sur la voie de gauche de la route. Contrôlé, le test de l’éthylomètre se révèle positif : le jeune homme affiche un taux de 1,38 mg par litre dans le sang. Placé en garde à vue, il est reparti libre avec une convocation en poche pour le 16 août.

Autre histoire d’alcool au guidon, lorsque la police arrête le conducteur d’un cyclo qui avait omis d’indiquer à l’aide de son clignotant, qu’il allait tourner. Petit test d’alcoolémie au passage, ce Rémois de 19 ans roulait avec près d’un gramme d’alcool dans le sang. Il a également été placé en garde à vue et devra se présenter au commissariat le 16 août prochain.

D’autres contrôles ont eu lieu notamment rue Aristide-Briand, à la demande du procureur de la République. Sur vingt véhicules contrôlés, deux conducteurs ont été contrôlés aux stupéfiants, mais les résultats se sont révélés négatifs. Cela n’était en revanche pas le cas de ce Rémois, qui avait pris sa voiture avec 1 gramme dans le sang. Il a également été convoqué le 16 août.

***********************************

Union110814a
Voiture, meubles… en flammes

Les pompiers sont intervenus également dans la nuit de vendredi à samedi à 0 h 20 pour un feu qui s’était déclaré dans un local vide d’un immeuble de la rue Pierre-Taittinger dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Ce sont 10 m2 de meubles laissés dans le local qui sont partis en fumée. Le feu maîtrisé, les sapeurs-pompiers ont pris en charge deux personnes qu’ils ont emmenées au CHU de Reims par précaution.

Plus tard dans la nuit, les soldats du feu sont allés dans le quartier Chalet-Tunisie pour un feu de voiture. À leur arrivée, une laguna était en flamme, ils l’ont rapidement éteinte. Le véhicule n’avait pas été signalé volé.

Autre sortie, à 3 h 52 puisqu’une nouvelle fois c’est à Croix-Rouge avenue du Général-Bonaparte que les pompiers se sont rendus pour cette fois-ci un feu de conteneur. Deux ont totalement été brûlés.

***********************************

Union110811c
CONSTITUTION D’UNE S.A.R.L.

Dénomination MON VILLAGE.
Siège social : 9, rue André-Pingat, BP 441, 51065 Reims Cedex.
Objet : commerce ambulant fruits et légumes.
Durée : 99 ans, à compter de son immatriculation au registre du commerce de Reims.
Capital : 10.000 euros apporté en numéraire et divisé en 1.000 parts de 10 euros chacune.
Gérance : Farid MEHDI, 19, rue des Savoyards, 51100 Reims. Riad BOULAKROUNE, 19, rue des Savoyards, 51100 Reims.
Immatriculation : la société sera immatriculée au registre du commerce tenu au greffe du tribunal de commerce de Reims.

51L1851221

***********************************

Union110811b
Stage aux Régates : 8 enfants découvrent l’aviron

Issus du quartier Croix du sud, les enfants ont découvert notamment la machine à ramer et l’ergomètre.
- Agrandir la photo

 

Faire rimer le temps des vacances avec la découverte d’une activité nautique. C’est le pari que vient de relever un groupe d’enfants en participant, aux Régates, à un stage de quelques jours.

« En les accueillant dans nos installations, on souhaite qu’ils nous rejoignent à la rentrée prochaine. Ce sont généralement des gamins qui n’ont pas la chance de s’initier à notre discipline.

Le premier matin, ils ont appris quelques techniques, notamment la machine à ramer, et découvert l’ergomètre. Et dès le lendemain, ils ont pu naviguer.

« Au départ, il y avait beaucoup d’appréhension, car le bateau était instable. En fin de semaine, on se rend compte qu’ils sont très demandeurs et envisagent de vivre les plaisirs de cette animation », raconte Laurence Collet, leur entraîneur.

Parmi ces huit stagiaires (tous issus du quartier Croix du sud), il y a Inès, 11 printemps : « Je suis très contente d’être ici. Je commence à bien me débrouiller avec l’aviron double, la yolette. Si je suis venue, c’est par envie de découvrir ce sport qui m’apporte du plaisir, et la joie d’être en compagnie de mes amis », indique-t-elle.

« Moi, je voulais surtout m’amuser et profiter de la présence des autres. Je remercie mon animatrice qui m’avait parlé de cette activité intéressante », a conclue Théo, 10 ans et demi.

 

***********************************

Union110811a
Logement étudiant : encore et toujours la galère

Dernière ligne droite pour les étudiants en recherche d’appartements.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne) Plus que quelques semaines avant de découvrir ou de retrouver les amphis des facultés. Dans la cité des Sacres, il est toujours aussi difficile de se loger.

COLOCATION, studio, chambre en résidence universitaire ou, pour les plus veinards, des appartements dans des résidences du centre-ville, les choix pour les étudiants sont aussi divers que variés. Enfin sur le papier, car dans la réalité il en est tout autrement. En particulier à Reims, où les loyers sont réputés pour être élevés. Comme dans toutes les villes étudiantes, les places sont chères.

Alors comment faire pour trouver le bon plan, cet appartement ou ce studio dont rêvent nos frais étudiants qui, la plupart du temps, n’ont pas les moyens de se le payer. Il faut aller à la chasse. Au menu, épluchage des petites annonces des quotidiens et consultation intensive des sites internet où des particuliers proposent une offre. Pour les plus désespérés, ou ceux qui refusent de perdre trop de temps dans les recherches, les agences de locations et autres vendeurs de listes sont à leurs dispositions.

Gare aux charges

Sylvain a 21 ans. Il est arrivé de Nancy il y a deux ans pour effectuer des études de commerce à Reims « dans une école bien cotée ». Il a su tirer des leçons de ces mauvaises expériences. « Je suis arrivé ici sans repères. La première chose que j’ai faite a été de me rendre sur mon futur site d’études. J’ai procédé à une chasse aux locations dans un rayon de seulement quelques centaines de mètres. J’ai trouvé ce que je pensais être la perle rare, chez un particulier. J’ai vite signé un bail d’un an. Je n’avais pas fait gaffe aux charges. Et là je me suis retrouvé avec la taxe sur les ordures ménagères à payer. ce qui a considérablement plombé mon budget de l’année. »

Attention donc à l’empressement, même si le temps joue forcément en défaveur des étudiants.

Marchands de listes

Marie 22 ans, veut devenir avocate. Elle n’est pas de Reims et s’est retrouvée « obligée » de pousser la porte d’une agence pour trouver un logement en une semaine. « Je me suis rendue, un peu en désespoir de cause, chez une agence qui m’a proposé de me fournir une liste d’appartement.

Cela m’a coûté 180 pour trouver mon bonheur parmi la dizaine de logements qui m’ont été proposés, mais je trouve que cette solution constitue une véritable sécurité. »

La rentrée à la fac, c’est dans quelques semaines. Et force est de constater qu’il ne reste plus grand-chose sur le marché des étudiants à Reims. A fortiori, et c’est logique, lorsque les propriétaires privilégient des locataires qui sont déjà dans le monde du travail et qui disposent donc d’un salaire. Un gage de loyers payés en quelque sorte. Alors, si vous n’avez pas encore choisi votre logement, prenez votre courage à deux mains et allez visiter, quitte à tout vérifier.

Quelques minutes à passer qui éviteront bien des mauvaises surprises.

Thomas DUPRAT

***********************************

Une nouvelle résidence universitaire à Croix-Rouge

La nouvelle résidence universitaire a une capacité de 212 logements.
- Agrandir la photo

 

A quelques centaines de mètres de Reims Managment School, mais aussi et surtout de la faculté de lettres et de sciences humaines de la ville, une nouvelle cité universitaire est disponible. Un ouf de soulagement pour les boursiers qui remplissent les critères de sélection afin de bénéficier d’une des chambres mises à leur disposition par le Crous.

212 nouvelles places sont donc disponibles. Les appartements vont du studio au T3, et leur superficie varie entre 19 et 73 mètres carré. Dans ce bâtiment en L, un parking souterrain de 72 places permet aux étudiants de garer leur voiture en toute sécurité. Labellisé, ce bâtiment sera raccordé à la nouvelle chaufferie urbaine de Croix-Rouge, avec le complément d’une chaufferie à bois.

Dans le cadre du désir de développement de l’université, deux projets de logements sont encore sur les rangs. Un mail piétonnier sera créé pour relier la bibliothèque universitaire et la station de tram toute proche. Des logements neufs seront construits (Foyer rémois et Foncière logement), la première tranche des travaux permettra la livraison de 21 logements ; la seconde, 29 de plus.

Ces travaux ont été rendus possible depuis la démolition de la tour 53 Taittinger et du centre commercial la Rafale, tous deux détruits en 2006.

 

***********************************

Les offres du Crous

Chambres, studios, appartements, le Crous offre des possibilités multiples aux étudiants éligibles après analyse de leur dossier.

Les chambres en cité universitaire

- En cité traditionnelle : 140 €.
- En cité rénovée : 234 €.

Les studios et appartements en résidence universitaire

Ils coûtent de 230 € à 610 €, suivant leur superficie et le nombre de pièces.

Le Crous permet également aux étudiants de bénéficier de logements HLM

Environ 800 logements sont répartis sur les quartiers, Europe, Croix-Rouge, Murigny, Châtillons, Wilson, Croix du sud, Avenue de Laon, Naudin. Les loyers varient entre 210 et 310 €. Les appartements disponibles vont du T1 bis au T3, meublés, ils sont destinés plus particulièrement aux jeunes ménages ou aux personnes d’une même famille.

Le logement en ville

Le service logement en ville est un complément au service traditionnel du Crous. Cela peut constituer une alternative si le dossier du demandeur n’a pas été accepté pour les logements déjà cités.

***********************************

Union110810d
Croix-Rouge : des précisions quant à la propreté du quartier

Le virage Bonaparte/Blum avant et après nettoyage.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne) Les membres du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny pointent la possibilité d’agir pour plus de propreté.

NOTRE article « Dans le quartier Croix-Rouge. La propreté laisse à désirer ! » du samedi 30 juillet a fait vivement réagir Alain Boudroit, coanimateur du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny, présent lors de la séance plénière du mercredi 16 février au cours de laquelle il a été traité de la propreté dans le quartier.

En effet, à la suite de ses interventions, le trottoir longeant le lycée François-Arago est propre à ce jour.

Quant au trottoir au croisement de l’avenue du Général-Bonaparte et de l’avenue Léon-Blum, il est lui aussi propre et agréable à regarder (notre photo).

« En effet, j’étais intervenu dès le 21 mars auprès du Service Propreté pour signaler l’abondance de papiers et détritus dans les bosquets, et réponse m’avait été donnée que le nécessaire serait fait », précise-t-il.

Comment remplir les « fiches propreté »

En ce qui concerne les fiches à remplir dans le cadre de l’opération « Diagnostic en marchant », pour signaler en mairie tout espace non propre, Alain Boudroit explique : « Ces fiches ne sont pas destinées aux habitants eux-mêmes, mais aux conseillers de quartier qui peuvent être accompagnés d’habitants volontaires. Ces conseillers connaissent les coordonnées de la Direction des déchets et de la propreté, à qui ils retournent les fiches de signalement, ce qui a déjà été fait plusieurs fois. »

L’une de ces conseillères de quartier, Danielle Bonfils, présidente de l’association de défenses des locataires du secteur At’Hom (Hauts-de-Murigny), s’exprime sur le sujet : « Si les gens étaient un peu plus propres et soigneux, les lieux resteraient propres ! Mais jeter un papier ou une canette dans une poubelle c’est trop demander. Sur notre site At’Hom, l’agent de propreté passe tous les vendredis matins, pour ramasser les détritus des locataires (et autres). Dès le vendredi soir, il peut tout recommencer ! Mais dans quel monde vivons-nous ? »

-----

À qui signaler les zones malpropres du quartier ?


Pour signaler en mairie les zones malpropres du quartier, on doit s’adresser à un conseiller de quartier, dont voici la liste.

Urbain Avaligbe, Youssef Bargane, Saïda Berthelot, Alain Bisteur, Danielle Bonfils, Alain Boudroit, Hichem Boussoufi, Salah Byar, Liliane Feige, Angélique Gallet, Martine Henriet, Geneviève Kaczowka, Abdallah Kamar-Eddine, Esther Kouekam, Martine Massart, Marc Millard, Rebecca Mioko, Yves Monflier, Éric Quénard et Élisabeth Vasseur.

Il est aussi possible de s’adresser aux structures suivantes, membres du conseil : Art création culture, association la Lézardière, association Étoile Croix-du-Sud, association de défense des locataires « Et Croix-Rouge ? comité Pays-de-France », Cref, association de défense des locataires les Polygones, association de promotion de Pays-de-France et maison de quartier Croix-Rouge.

***********************************

Union110810c
Séance de diapositives

Une projection de diapositives, destinée aux enfants à partir de 4 ans, sera proposée ce mercredi 10 août à 16 h 30, dans la salle « Heure du conte » de la médiathèque Croix-Rouge.

Au programme, « L’enfant et l’oiseau magique » de Jacques Duquennoy : un enfant s’ennuie, tout seul dans une ville grise, jusqu’à ce qu’il trouve une drôle de petite balle.

***********************************

Union110810b
Tentative de cambriolage : dix-huit mois ferme

L’homme voulait voler. Et pour cela, Sébastien Afchain n’a pas hésité à s’introduire par effraction dans les murs d’une école maternelle de la rue Blanche-Cavarot, quartier Croix du sud, à Reims, au cours de la soirée de vendredi dernier.

Il était environ 23 h 45 quand celui-ci, ivre, a en l’occurrence brisé une vitre de l’établissement scolaire avant de pénétrer à l’intérieur puis de tenter d’entrer dans les classes.

En vain, cependant.

Mandat de dépôt

Au lieu de cela, tout juste est-il parvenu à casser la poignée de la porte d’un bureau avant d’être interpellé par les policiers rémois. Sans aucun butin.

Des faits que l’homme, âgé de 35 ans, a reconnus un peu plus tard au cours de sa garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police. Il a ensuite été déféré au parquet puis placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement en comparution immédiate, lundi, devant le tribunal correctionnel.

Un tribunal qui ne lui a pas fait de cadeau : dix-huit mois ferme et autant de sursis avec mise à l’épreuve. Une peine qu’il est aussitôt parti purger à la maison d’arrêt de la cité des sacres, un mandat de dépôt ayant été délivré à son encontre à l’issue de l’audience.

F.B

***********************************

Union110810a
Prison ferme pour des menaces et des dégradations

Huit mois de prison dont cinq assortis d’un sursis. Trois mois ferme, c’est donc la peine qu’est parti purger à la maison d’arrêt de Reims, Noham Dehaies, à l’issue de l’audience devant le tribunal correctionnel qui, lundi, devait le juger dans le cadre d’une comparution immédiate pour dégradations volontaires par incendie et menaces de mort réitérées.

Vendredi dernier, cet ouvrier natif de Verdun, âgé de 33 ans, avait été interpellé par les policiers peu avant 21h30, avenue Bonaparte, dans le quartier Croix Rouge, à Reims, alors qu’il venait d’avoir un différend avec son ex-petite amie. Un différend si houleux que cette dernière avait dû trouver refuge chez une voisine avec ses quatre enfants. S’en étaient suivies des menaces de mort réitérées à travers la porte avant qu’un feu allumé sur le paillasson n’oblige les sapeurs-pompiers à intervenir. Au cours de sa garde à vue, l’homme avait alors reconnu les faits de menaces de mort, mais nié les dégradations par incendie sur la porte de la voisine.

Il avait été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement. Le tribunal a donc tranché en délivrant un mandat de dépôt à l’issue de l’audience, maintenant ainsi Noham Dehaies derrière les barreaux.


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110809a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7406 du 08 au 14 août 2011.

----------

AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHE

1) MAITRE D’OUVRAGE : SA d’HLM LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.
2) MODE DE PASSATION : Avis de consultation faite en entreprises générales.
3) OBJET DU MARCHE Construction de 29 logements collectifs + 3 locaux d’activités FOYER REMOIS et 21 logements collectifs I- 3 locaux d’activités Foncière logement -Rue Pierre Taittinger et Allée La Rafale à REIMS.
4) RESULTATS : Entreprise générale : PERTUY Construction, 20 rue Blaise Pascal - 54320 MAXEVILLE. Tél. : 03.83.93.23.23 - Fax : 03.83.98.17.48 - Pour un montant de : 6.765.968,00 € H.T.
5) DATE D’ENVOI DE L’AVIS AU JOUE ET SUR CE SUPPORT : 2 août 2011. 97951

----------

S.D.S.

SELARL J.P. CHINCHILLA
CABINET DE DROIT DES AFFAIRES
Société d’Avocats à la Cour d’Appel de Reims
31 avenue Jean Jaurès - 51100 REIMS


S.D.S.
Société par actions simplifiée
au capital de 130.000 Euros
Siège social : Avenue Robert Schuman 51100 REIMS
450 799 333 R.C.S. Reims


Aux termes d’une délibération en date du 13 avril 2011, l’assemblée générale extraordinaire des associés, statuant en application de l’article L. 225-248 du code de commerce, a décidé qu’il n’y avait pas lieu à dissolution de la société.

Pour avis : Le président.

98036

***********************************

Union110808a
Tram / L’agression qui met le feu aux poudres

Jusqu’à l’agression d’une conductrice de bus, les chauffeurs devaient traverser Croix-du-Sud à pied et en uniforme. Désormais, des navettes ont été mises en place pour leur sécurité.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne) Une conductrice agressée au mois de juillet, il n’en fallait pas moins pour que les syndicats pointent du doigt « des dysfonctionnements criants ». Ils réclament des aménagements.

SI le patronyme du service des transports publics a changé il y a quelques mois - ils s’appellent désormais Citura - il y a bien une chose qui ne bouge pas d’un iota dans cette boîte, ce sont les tensions sociales entre les représentants des salariés et leur direction.

Dernier exemple en date à propos de l’agression d’une conductrice. Le 19 juillet dernier, aux environs de 11 heures du matin, une conductrice a été assaillie par deux personnes à l’issue de son service. « Les conducteurs de tramway finissant au terminus ’Hôpitaux’sont dans l’obligation, pour rentrer chez eux, de revenir au centre de maintenance de Bezannes, endroit où ils garent leurs voitures. La traversée du quartier Croix-du-Sud se fait donc en tenue et à pied. »

Navette réclamée

C’est là que le bât blesse, puisque depuis la mise en place du tramway et même bien avant, la CGT avait demandé à ce que des navettes soient mises en place pour faciliter les transferts des conducteurs ainsi que pour assurer leur sécurité.

« Notre accord sécurité est mort depuis l’arrivée de l’exploitant Transdev au 1er janvier 2008. En matière de sécurité, force est de constater que nous avons perdu trois années entières. Aucun dispositif n’est en place. C’est un bien triste constat. »

La conductrice agressée a eu la peur de sa vie. Et il a fallu en arriver là pour que la direction prenne des mesures concrètes. En fait, ils n’ont fait qu’appliquer ce que réclamait une bonne partie des salariés depuis le début. « Dès le lendemain de cette agression, la direction a enfin décidé de bouger. mais il a fallu qu’une de nos collègues se fasse prendre à parti et agresser pour que les choses changent. C’est triste. »

Désormais, les chauffeurs qui descendent au terminus ’hôpitaux’ne sont plus livrés à eux-mêmes.

Problèmes de maintenance

En effet, c’est une voiture du centre de maintenance qui vient les chercher sur place pour les ramener à Bezannes, où ils peuvent récupérer leurs véhicules.

Les choses ont donc changé de ce côté-là. Si le tramway est flambant, c’est loin d’être le cas du parc de bus de Citura. Aussi, le syndicat majoritaire tient à souligner au passage des problèmes d’effectifs dans les ateliers de maintenance des locaux situés rue du Colonel-Charbonneaux.

« Nous avons appris qu’un apprenti mécanicien, qui a déjà travaillé deux années pour l’entreprise, ne sera pas titularisé. Les raisons techniques ne sont bien sûr pas évoquées par la direction. Son tuteur, qui l’a suivi tout au long de sa formation, est tout simplement outré qu’il ne soit pas titularisé. »

Bref, c’est toujours le même climat chez Citura, celui de la tension sociale et d’un certain dialogue de sourds ; une marque déposée chez Transdev.

Se dirige-t-on vers un nouveau mouvement de grève ? La rentrée de septembre devrait nous l’indiquer rapidement.

Et tant pis, une fois de plus, pour les usagers qui paient leurs cartes d’abonnement. Ils sont habitués aussi à payer les pots cassés.

Thomas DUPRAT

-----

Plusieurs incidents et beaucoup de questions

Trois incidents pas assez rapidement pris en charge par les secours soulèvent l’inquiétude.
- Agrandir la photo

Le 26 juillet dernier, une femme de 76 ans chute violemment dans une rame du tramway, à proximité de l’arrêt Franchet-d’Esperey. Elle se casse le col du fémur et en aura pour plusieurs mois avant de remarcher normalement.

Cet incident permet au syndicat majoritaire de souligner « que les procédures en de pareils cas sont mentionnées dans le règlement de sécurité et d’exploitation (RSE) et dans le plan d’intervention des secours, ainsi qu’à travers le plan d’intervention des secours (PIS). Nous faisons le constat que la procédure n’a pas été suivie. En effet, lorsque cet incident est survenu, la personne blessée a dû patienter six arrêts durant avant d’être prise en charge par les secours. »

« Depuis la mise en route du tramway, c’est le troisième incident de ce genre », commente le syndicat. Désormais, la direction de Transdev, en plus des représentants syndicaux, aura de nouveaux points à régler avec le comité d’hygiène et de sécurité et conditions de travail (CHSCT). Des personnes qui font des malaises ou chutent dans les rames, et qui doivent patienter de trop longues minutes pour être secourues, cela pose en effet des questions. Gageons que le Sdis (service départemental d’incendie et de secours) prendra le taureau par les cornes dans les prochaines semaines. Croisons les doigts en attendant pour qu’il n’y ait pas de drame.

Débat sur le maillage : la mairie se réunira à la rentrée

Après la création d’une association qui veut réunir l’ensemble des doléances des Rémois à propos du nouveau réseau de bus et des déplacements éventuels de certains arrêts, la municipalité, par la voix de son premier adjoint Éric Quénard, a tenu à réagir :
« Que les citoyens nous envoient des lettres pour nous signaler des problèmes ou que des associations se constituent, c’est une bonne chose.

« Cependant, la municipalité n’avait pas attendu ce genre de retours pour se mettre au travail.
Une réunion avec l’ensemble des acteurs du dossier a d’ailleurs eu lieu le 6 juillet dernier sous la présidence d’Adeline Hazan. L’ensemble des soucis dont les usagers nous ont fait part ont été abordés. Il s’agit principalement de l’implantation de certains arrêts, de quelques itinéraires ainsi que des délais de correspondance entre le réseau bus et tramway.

« Il ne faut pas nier qu’il y a des soucis sur divers points. Des avancées et des solutions ont déjà été trouvées.

On peut prendre l’exemple de la rue Gambetta, qui s’est vue réattribuer un arrêt initialement supprimé. Une grande réunion aura lieu dès la rentrée prochaine pour trouver des solutions durables après plusieurs mois d’utilisation de ces nouveaux tracés. »

Vivement la rentrée.

***********************************

Union11087a
TENNIS / Nogent-sur-Marne : Braidy au mental

Charline Braidy (à g.) a pris le meilleur sur Marie Ménacer (à d.) en finale du tournoi val-de-marnais.
- Agrandir la photo

 

Les Ardennes étaient bien représentées en finale du tournoi Open féminin de Nogent-sur-Marne. Après plusieurs tours de qualification, la finale a opposé deux Ardennaises licenciées à Reims : Charline Braidy (- 4/6) et Marie Ménacer (- 2/6). La Nouzonnaise, protégée de Stéphane Limousin, Marie Ménacer, empochait le premier set 7-5.

La Houdizyienne, Charline Braidy, égalisait en remportant la deuxième manche 6-3.

Entre deux filles de niveau similaire, l’ultime set se jouait « dans la tête » bien plus qu’à la technique et c’est la mieux classée régionale, Charline Braidy, qui s’imposait 6-1.

Les deux demoiselles auront peut-être l’occasion de disputer la revanche lors des championnats de France 2e série qui se dérouleront à la fin du mois sur les courts en terre ocre du stade Roland-Garros à Paris.

 


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110804c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7405 du 01 au 07 août 2011.

----------

I-MMOCOOP

I-MMOCOOPSociété anonyme coopérative d’intérêt collectif d’H.L.M.
à directoire et conseil de surveillance
au capital variable de 3.000.000 €uros
Siège social : 8 rue Lanson - 51100 REIMS
R.C.S. Reims 498 393 776

L’assemblée générale mixte du 17 juin 2011 a ratifié la nomination en qualité de membre du conseil de surveillance de la COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION DE REIMS, sis à REIMS (51100), 9 place de l’Hôtel de Ville, dont le représentant permanent est Monsieur Eric QUENARD, demeurant à REIMS (51100), 2 rue Galilée.

Mention sera faite au R.C.S. de REIMS.97679

Pour avis.

***********************************


Union110804b

Le quartier Croix-Rouge a perdu un artiste

Hugues Hommel, artiste
- Agrandir la photo

 

Originaire de Paris, Hugues Hommel est arrivé à Reims en 1993 et il s’est installé à Croix-Rouge en 1997. Il travaillait aux bonbons Krema jusqu’en 1998/1999, avant délocalisation de l’entreprise dans le Poitou où il n’a pas pu s’adapter.

Retraité depuis avril 2011, il présentait déjà d’importants problèmes de marche qui lui imposaient le port d’un corset.Sa rencontre avec Liliane Feige, la poète de Croix-Rouge, a marqué un tournant dans sa vie. Elle l’a initié à la poésie et l’a encouragé à la pratique du dessin et de la peinture.

Il vient de publier son premier recueil « Ephéméride de ma planète et de l’espace », disponible chez Liliane Feige, au 6 allée Edgar-Degas à Croix-du-Sud.

Très vite, ses talents de dessinateur et de peintre amateur l’ont fait connaître, il a exposé aux salons du livre de Fismes et aux « Artistes de Croix-Rouge » avec l’Acrap, où il tenait régulièrement un stand avec son amie poète. Il a présenté ses œuvres à plusieurs concours, dont ceux de l’Académie de Paris et à Bayonne où il remportait de belles médailles.

Il s’est rapidement investi dans la vie du quartier, il était présent à toutes les fêtes de secteurs, aux Crêpes de la solidarité, aux Bonbons de Marceau, au Muguet du 1er mai, et aux repas des seniors de l’Acrap. Il participait à tous les conseils de quartier, malgré la maladie qui l’affaiblissait, l’envoyait 1 mois et demi à Maison-Blanche, puis en chimio à Godinot pour une affection foudroyante. Il s’est éteint à 60 ans à la résidence des Capucins après 3 ans et demi de soins et de souffrances, mais toujours entouré d’affection.

 

***********************************

Union110804a
Les antennes municipales à l’heure d’été

Durant le mois d’août, les agents des antennes municipales se tiendront à disposition des usagers aux horaires habituels d’ouverture des antennes, ainsi que des périodes suivantes :

 

Antenne Croix-Rouge.
Fermeture jusqu’au samedi 6 août inclus. Retrait des documents urgents durant cette période : Antenne Murigny — 2 A place René Clair (Tél. 03.26.35.60.60) — du lundi après-midi au samedi matin, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30

Antenne Murigny.
Fermeture du lundi 8 au samedi 13 août inclus. Retrait des documents urgents durant cette période : Antenne Croix Rouge — 1 rue Joliot-Curie (Tél. 03.26.35.60.20) Mêmes horaires que ci-dessus.

Antenne Europe.
Fermeture du mardi 16 au samedi 20 août inclus_ Retrait des documents urgents durant cette période : Hôtel de Ville — Bureau 11 (Tél. 03.26.77.78.67) du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 heures à 17 heures

Antenne Chatillons.
Fermeture du mardi 16 au samedi 20 août inclus. Retrait des documents urgents durant cette période : voir Antenne Murigny.

Antenne La Neuvillette.
Fermeture le jeudi 18 août. Retrait des documents urgents durant la semaine du 16 août : Antenne Orgeval — 7 place Pierre de Fermat (Tél. 03.26.35.60.10) — du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30.

***********************************

Union110803c
Appel aux dons pour l’Unicef / 2 millions d’enfants menacés par la malnutrition

Un camp de réfugiés somaliens au Kenya (juillet 2011).
- Agrandir la photo

La section Marne de l’Unicef relaie l’appel à la générosité du public pour répondre à la situation catastrophique qui sévit en ce moment dans les pays de la Corne de l’Afrique, en particulier la Somalie, l’Ethiopie, le Kenya et Djibouti. La région fait face aux effets conjugués de la sécheresse, de très mauvaises récoltes, de l’augmentation du prix des denrées de base et de l’épuisement des réserves alimentaires des familles. La Somalie fait en plus face à une situation de conflit récurrent et d’insécurité.

Cette situation provoque également des déplacements massifs de populations en provenance de Somalie, vers le Kenya et l’Ethiopie. 10 000 Somaliens arrivent chaque semaine au Kenya, 2 500 réfugiés seraient enregistrés chaque jour par le HCR à la frontière éthiopienne.

Pour la seule Somalie, plus de 430 000 enfants souffrent de malnutrition aigüe, dont plus de 120 000 de la forme la plus sévère de la maladie. 75 % de ces enfants se trouvent dans les régions sud du pays, frontalier avec le Kenya.

Ces chiffres sont d’une gravité extrême, nécessitant une réponse d’urgence de grande ampleur, dont les actions prioritaires portent sur la prise en charge des enfants sévèrement malnutris, par la distribution d’aliments thérapeutiques, le renforcement de l’accès à l’eau potable et l’accès aux services de santé de base.

« 10 millions de personnes sont affectées par cette situation, dont 2 millions d’enfants, les plus vulnérables face à la malnutrition et qui sont en danger de mort. Aidons-les ! Votre soutien pour sauver des vies ! C’est une question de vie ou de mort » lance Élisabeth Henry du Comité Unicef Marne, 12, Place GeorgesBraque (03.26.05.80.10).

Donnez à l’Unicef : www.unicef.fr ou par chèque à Unicef - urgence Corne de l’Afrique - BP 600-75006 Paris.

***********************************

Union110803b
A Croix-Rouge : Beaucoup de travaux de voirie

La période estivale est propice à l’engagement de travaux de voirie et le quartier Croix-Rouge n’échappe pas à cette règle.

Secteur Pays-de-France

L’avenue John-Kennedy a bénéficié en mars d’une réfection (tapis et marquage au sol), un aménagement qui s’est élevé à 11 000 euros.

Par ailleurs, au niveau du croisement de cette même avenue avec la rue Lucien-Doyen, la couche de roulement de la chaussée a fait l’objet d’une rénovation en fonction des dégradations constatées, alors que la rue de Rilly-la-Montagne bénéficiait de travaux de voirie.

Cette intervention, réalisée au cours des vacances de Pâques, a coûté 9 000 euros à la ville.

Secteur Eisenhower

Dans le secteur Eisenhower, le plateau sportif du groupe scolaire Docteur-Billard a été réaménagé et il est ouvert à nouveau depuis le 1er août.Depuis un an, la Ville de Reims expérimentait l’ouverture en accès libre de ce plateau sportif dans l’école Billard, les week-ends et durant les vacances scolaires.

En raison de son état de vétusté, des travaux de réfection étaient devenus nécessaires et ont imposé une fermeture du site.

Pour le rendre plus agréable et confortable pour la pratique des jeux de ballon, la Ville de Reims a réalisé la réfection complète du sol, la mise en place de nouveaux tracés (création de deux terrains : un pour le basket, l’autre pour la pratique du handball et du football), l’installation de cages de buts de type multisports et des plantations pour créer un espace ombragé.

Dans le secteur Hauts-de-Murigny

Dans le secteur Hauts-de-Murigny, au niveau du magasin Lidl, des travaux d’éclairage de l’allée située entre l’avenue du Maréchal-Juin et la rue Joliot-Curie ont débuté courant juillet. Leur coût estimatif est de l’ordre de 85 000 euros.

***********************************

Union110803a
Hauts-de-Murigny : Des aménagements appréciés

La végétation et les arbres qui font le charme de cet îlot ont été respectés et mis en valeur.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

 

 

Au début de cette année, Reims habitat a lancé une opération d’envergure pour aménager les espaces extérieurs, place Toulouse-Lautrec et allée Yves-Gandon, avec en particulier la création d’allées, la mise en place d’une rampe pour handicapés et l’installation de nouveaux éclairages.

Ces travaux avaient été décidés en concertation avec l’Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny qui veille au bon entretien, au réaménagement et à l’embellissement de ses différents espaces. La tranche en cours, qui concerne notamment les abords de résidences mises en vente au profit des locataires (secteurs Lautrec et Gandon), est pratiquement terminée et permet de rendre ces espaces accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Le résultat est spectaculaire et les locataires apprécient que la végétation et les arbres qui font le charme de cet îlot aient été parfaitement respectés.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

***********************************

Union110802c
Logement social / De longues listes d’attente

Mme R. a écrit au ministre du Logement, à celui des Solidarités et surtout à la cour européenne des droits de l’homme.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Il y a plein de beaux logements sociaux en construction à Reims. En attendant, certains doivent rester dans des conditions plus que difficiles à Croix-du-Sud ou Wilson.

REIMS peut s’enorgueillir de compter beaucoup de grues dans sa ville : reine des immeubles en constructions, la cité des sacres l’est aussi dans son nombre de logements sociaux. Avec 45 % de son parc locatif consacré aux HLM, la barre est placée très au-dessus des 20 % non respectés par beaucoup de communes.

Et quand on voit le nombre de constructions neuves ou bientôt livrées, on se demande qui peut encore chercher un logement à Reims ! Et pourtant, les réclamations affluent à notre journal : il y aurait du mal-logement dans notre ville.

Eric Quénard, premier adjoint chargé du Logement, nous précise qu’il y a toujours de la demande pour des logements sociaux, « la faute à la crise sans doute, qui amène plus de gens à demander ce type d’habitat. Donc, ceux qui visitent un logement et l’acceptent ne peuvent pas en changer rapidement, ce ne serait pas juste pour ceux qui sont sur liste d’attente. »

Sauf que dans certains cas, comme celui de Madame R., celui de Mme Matrat (lire par ailleurs) ou encore celui de Valérie, souffrant d’une maladie orpheline (problème de respiration) et qui n’arrive pas à faire aboutir sa demande auprès des organismes, l’attente est longue et insupportable.

La première a voulu rejoindre son ami, après avoir élevé seule ses deux derniers enfants, elle qui en a eu 5. « J’habitais Epernay et j’avais demandé un pavillon pour qu’on puisse tous vivre ensemble. Comme c’était long (NDLR : presque deux ans), j’ai accepté cet appartement à Croix-du-Sud. »

« Le pire immeuble du coin »

Sauf que l’enfer commence en janvier 2011 : Mme R. n’avait pas vu, lors de sa visite, les déchets laissés sur le palier, n’avait pas senti les odeurs d’urine, et n’avait pas entendu les bruits, diurnes et nocturnes, du voisinage. « Une des habitantes m’a dit que j’étais tombée sur le pire immeuble du coin ! »

Après être restée sans souci 23 ans à Epernay, Mme R., reconnue travailleur handicapé pour surdité, souffre comme jamais. « Je vais dormir chez mon ami à Tinqueux, car là, ce n’est plus possible. J’ai fait des demandes pour changer, on m’a dit pas avant dix-huit mois ! J’ai écrit à Madame la maire, qui m’a répondu qu’elle voulait que tous les Rémois soient installés le plus confortablement. Eric Quénard m’a aussi répondu, il a alerté l’Effort rémois. »

L’organisme logeur nous a simplement précisé que le dossier de Mme R. était suivi…« Les voisins se tapent dessus, le vide-ordures est utilisé très tard ou très tôt, on entend tout. j’ai reçu une lettre anonyme intitulée « avis aux locataires qui sont crasseux ». » L’Effort rémois est conscient des soucis puisqu’il a écrit plusieurs notes à tous les locataires, précisant qu’il ne fallait pas faire de bruit, uriner n’importe où, etc. mais, selon Mme R., « ce sont eux qui font la loi », en parlant de certains locataires.

La sonnette est encore au nom de l’ancien locataire, depuis 7 mois qu’elle y habite ! « Je ne vois pas les recommandés qu’on m’envoie… » Elle n’en peut plus, et envie les locataires qui peuvent s’en aller plus rapidement. « En plus, c’est une zone blanche, on a du mal à voir quelque chose à la télé, le téléphone portable ne passe pas, et il n’y a pas de lumière dans le salon… »

G.F.

***********************************

Union110802b
La galère d’un sauveteur blessé en éteignant un incendie

Bernard SIVADE
- Agrandir la photo

Difficile, la condition de sauveteur anonyme. Le 24 mai, un Rémois a lui-même éteint un violent feu de cuisine après avoir évacué le locataire qui commençait à étouffer. Blessé au pied, il ne peut toujours pas retravailler.

« C’est un bloc maudit. J’ai fait une demande pour partir d’ici. » Rémois de 46 ans, Abderrezzak Chetioui habite dans le quartier Croix-Rouge, au n°10 de la place Georges-Braque. Son voisin de palier est mort, tué le 13 juillet lors d’une rixe. Le lendemain, une gazinière a pris feu à l’étage du dessus ; quatre jours plus tard, un canapé à l’étage du dessous.

Il y eut aussi un violent feu de friteuse au troisième étage, le 24 mai dernier. Abderrezzak n’est pas près de l’oublier. C’est lui-même qui a évacué le locataire puis éteint l’incendie. Il s’en est sorti avec des blessures aux jambes qui le handicapent toujours aujourd’hui.

« Chalumeau géant »

Ce 24 mai, vers 23 h 30, M.Chetioui se trouvait chez lui lorsqu’il a « senti le feu ». « J’ai appelé les pompiers, puis j’ai vu des flammes qui sortaient d’une fenêtre au troisième étage. J’y suis allé, en pantoufles et pyjama. J’ai ouvert la porte. Le locataire était dans le couloir. Il commençait à étouffer. Je l’ai fait sortir. J’ai vu qu’il y avait un feu énorme dans la cuisine, avec des flammes de 1 m 20-1 m 30 qui sortaient de la friteuse. C’était comme un chalumeau géant. Les meubles au-dessus prenaient feu. J’avais peur que ça se communique à l’immeuble. »

« Il y avait beaucoup de fumée. J’ai coupé mon souffle, j’ai pris une couette sur un séchoir et j’ai tapé sur les meubles et la friteuse, mais la couette s’est enflammée. J’ai pris une grande serviette, je l’ai enroulée et j’ai encore tapé sur la friteuse, une fois, deux fois. Le feu commençait à rétrécir. La troisième fois, la friteuse est tombée en répandant de l’huile partout. J’ai été brûlé au bas des jambes. Des choses sont également tombées du meuble, notamment un objet lourd que j’ai reçu sur le pied gauche, mais sur l’instant, ça ne m’a rien fait. Je suis allé chercher un drap. J’ai dû éteindre par terre car il y avait des flammes à cause de l’huile, puis j’ai pris la friteuse avec le drap pour la jeter par la fenêtre. Heureusement qu’il n’y avait personne en bas. Sur le coup, je n’y ai pas pensé. »

Tout danger était écarté. « C’est seulement là que j’ai senti la douleur au pied. Il avait gonflé. Je n’arrivais plus à me tenir debout. Je me suis assis sur les escaliers. Les pompiers sont arrivés au même moment. »

Brûlures au 2e degré

Evacué dans un brancard, M.Chetioui fut admis pour la nuit au CHU où les médecins ont diagnostiqué des « brûlures du 1er et 2e degré » sur le pied et au tibia.

Deux mois après, il n’est toujours pas rétabli. « Je suis chauffagiste en intérim. J’avais des offres de mission pour cet été mais j’ai dû les refuser. C’est un métier où on est toujours accroupi. Il faut prendre appui sur le pied. Le mien est encore gonflé. Je ne peux pas le plier. En plus, tel qu’il est, c’est impossible de mettre des chaussures de sécurité. » Abderrezzak attend des jours meilleurs, sans rien regretter. « Si c’était à refaire, je le referais. C’est ma nature. Si je vois quelqu’un en danger et que j’estime avoir les capacités suffisantes pour l’aider, je fonce. »

Il y a une quinzaine d’années, ce père de deux enfants avait déjà sauvé une personne de la noyade en plongeant dans la Méditerranée. « C’était ma sœur. Je n’avais pas attendu les secours. Elle serait morte sinon. »

Fabrice CURLIER

***********************************

Union110802a
Reims : rixe au couteau entre dames

Une altercation opposant deux femmes a dégénéré place Jean-Fragonard à Reims, samedi vers 23 heures. L’une d’elles a tenté de porter des coups de couteau à sa rivale qui se serait blessée à un pouce en voulant saisir l’arme.

La victime a reçu quelques soins à l’hôpital tandis que l’autre personne était conduite au commissariat. Elle a été remise en liberté dans l’attente d’une poursuite d’enquête.

***********************************

Union110801b
Unicef : Une Rémoise en or

Emilie Pereira est montée sur la plus haute marche du podium et ira en finale nationale.
- Agrandir la photo

A la suite des journées sportives sur le Kids FitDays for Unicef, 100 enfants ont été sélectionnés par tirage au sort pour participer à une compétition de triathlon. Les enfants du Nord et leur famille se sont ainsi retrouvés à Calais pour participer à la seconde finale régionale. Une journée magique qui s’est déroulée devant la plage.

Lors de cette journée sélective (cette fois l’épreuve était chronométrée), les enfants ont concouru par catégorie d’âge, selon les distances homologuées par la fédération française de triathlon.

Les trois meilleurs petits garçons et petites filles de chaque tranche d’âge (de 1999 à 2005) sont désormais sélectionnés pour tenter de remporter le titre de « Petit Triathlète de l’année » lors de la finale nationale qui se déroulera le 2 octobre à Angoulême, le jour même de la finale du Fit élite qui rassemble les meilleurs triathlètes du monde.

La Rémoise Ines Safi termine 6e chez les poussines ; Alexis Pereira 3e chez les pupilles 2001 ; Emilie Pereira l’emporte chez les pupilles filles 2000 ; Maxime Vesseron 6e en pupilles garçons 2000. Il y aura donc deux qualifiés rémois pour la finale nationale.

***********************************

Union110801a
La rixe mortelle de Croix-Rouge garde sa part de mystère

La victime de l’homicide, Dominique Goidin, vivait depuis une vingtaine d’années avec Marie-Claude Pécourt.
- Agrandir la photo
La demande de remise en liberté de Stéphane Calabrese , seule personne écrouée dans cette affaire, a été rejetée jeudi par la cour d’appel. Joël Dubost (arrière-plan)
- Agrandir la photo

REIMS (Marne) La rixe qui a coûté la vie à un concubin violent, battu à mort le 13 juillet dans son appartement de Croix-Rouge, reste ténébreuse. Les protagonistes s’opposent sur le déroulement des faits.

FINIS, la musique à fond et les éclats de voix lors des libations. Un silence sépulcral règne désormais dans l’appartement du 5ème A, au 10 place Georges-Braque à Reims, quartier Croix-Rouge.

Le locataire, Dominique Goidin, est mort. Sa compagne, Marie-Claude Pécourt, est partie en foyer. Joël Dubost, qui venait souvent boire chez eux, est interdit de séjour dans l’immeuble tandis qu’un autre habitué, Stéphane Calabrese, réside maintenant à la maison d’arrêt de Reims.

Coups et gifles

Les quatre personnes sont les protagonistes du drame survenu le soir du 13 juillet et au cours duquel Dominique Goidin, 55 ans, a péri le visage fracassé lors d’une rixe qui a mal tourné (l’union du 16 juillet). Qui a fait quoi ? L’enquête cherche toujours à le déterminer avec certitude.

Régulièrement battue par son compagnon, Marie-Claude Pécourt, 60 ans, avait été vue dans la journée du 13 juillet avec un œil au beurre noir. Voisins de son immeuble, Stéphane Calabrese, carreleur en formation de 37 ans, et Joël Dubost, dit Jojo, retraité de 60 ans, eurent vent de cette nouvelle raclée.

Apparemment, les deux hommes se sont rendus d’eux-mêmes au domicile du couple, et non sur demande de la concubine.

Stéphane Calabrese voulait la persuader de déposer plainte. Dominique Goidin est intervenu. A partir de là, les événements deviennent imprécis.

Stéphane Calabrese affirme avoir été frappé le premier.

Il limite sa riposte à quelques coups de pied et de poing, accusant Joël Dubost d’avoir fait de même, ce qui est contesté par son avocat, Me Jean Roger. « M.Dubost a reconnu avoir mis deux gifles, et rien d’autre ! »

D’après Marie-Claude Pécourt, Stéphane Calabrese se serait acharné sur la victime dont le visage a « explosé » : fracture de la pommette, triple fracture de la mâchoire, hémorragie méningée à l’origine du décès.

Le trio est ensuite parti « boire un apéro » chez un voisin. La concubine a regagné son appartement vers 22 heures. Ce n’est qu’à 2 h 40 qu’elle a prévenu les pompiers. Dominique Goidin était déjà mort.

Déclarations contradictoires

Mise en examen pour « non-empêchement de crime » et « non-assistance à personne en danger », Marie-Claude Pécourt est libre sous contrôle judiciaire, de même que Joël Dubost, poursuivi pour « homicide volontaire », tout comme Stéphane Calabrese, mais le seul à avoir été écroué car suspecté d’avoir porté les coups les plus violents.

Une demande de remise en liberté a été refusée jeudi par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Reims.

« Je ne suis pas surpris de la décision, mais il s’agissait de montrer notre désaccord avec cette version des faits consistant à tout imputer à M.Calabrese », explique son avocat, Me Gauthier Lefèvre, lequel s’appuie sur les « zones d’ombre » du dossier et les nombreuses déclarations contradictoires de la concubine (lire par ailleurs).

Mensonges ou amnésie éthylique ? A l’arrivée des secours, la locataire avait 1,36 gramme d’alcool par litre de sang.

Interpellé à 4 heures, Stéphane Calabrese accusait encore 1,10 gramme. Joël Dubost se trouvait dans le même état.

L’instruction s’annonce compliquée pour reconstituer le dramatique scénario de ce huis clos alcoolisé.

Un couple brisé par l’alcool

Le contrôle judiciaire de Marie-Claude Pécourt et Joël Dubost est très strict : interdiction de se rencontrer et de se rendre au 10 Georges-Braque, obligation de pointer trois fois par semaine au commissariat et d’entreprendre des soins alcoologiques.

En raison de l’impossibilité pour elle de retourner dans l’appartement (qui plus est sous scellés judiciaires), Marie-Claude Pécourt a été relogée le soir même de sa libération dans un foyer. Elle s’y trouve toujours. Native de Liévin (Pas-de-Calais), elle vivait depuis 22 ans avec Dominique Goidin, lui aussi originaire de la même région. Elle a pris sa retraite de femme de ménage au mois de mai tandis que son concubin était au RSA après avoir travaillé dans sa jeunesse à la SNCF et dans les espaces verts.

Violences passées sous silence

D’une première union, Marie-Claude a eu trois fils qui vivent dans le Var. « Nous sommes partis dans le Sud à l’âge de travailler », explique l’un d’eux. « On avait fait venir notre mère et notre beau-père sur la Côte d’Azur. On leur avait trouvé un travail dans une villa à Sainte-Maxime : ma mère s’occupait du ménage, Dominique faisait le jardin mais ça ne leur a pas plu. Comme il y avait déjà une tante sur Reims, ils sont repartis là-bas il y a une dizaine d’années. »

Au fil du temps, la situation du couple s’est dégradée. « Ils se sont renfermés sur eux-mêmes. Ils ne faisaient rien. On savait que c’était l’alcool mais quand ils venaient nous voir, il n’y avait aucun problème. Ici, ils ne buvaient pas. On a essayé de les faire revenir dans le Sud, ça n’a pas marché. Mon beau-père était quelqu’un de réservé. Il avait du mal à parler. Je pense que l’alcool lui donnait confiance. Ça le rendait plus sûr de lui. Quand il buvait, il n’avait peur de personne. J’avais souvent ma mère au téléphone mais elle ne nous a jamais dit qu’elle était battue. Si j’avais su, j’aurais fait tout de suite les 1 000 kilomètres pour aller la chercher. » Marie-Claude est mise en examen pour « non-assistance à personne en danger » et « non-empêchement de crime ». Toute la question est de savoir si elle avait conscience que son concubin était en train de mourir — « Elle ne l’aurait jamais laissé dans cet état si elle avait su qu’il était gravement blessé », affirme son fils -, et si elle était en mesure d’empêcher les violences. « Comment aurait-elle pu faire ? Elle mesure 1 m 50 ! Elle est toute faible. Je ne vois pas comment elle aurait pu s’opposer à deux hommes alcoolisés qui frappent. » Le souhait de ses enfants, dès que la situation judiciaire le permettra, est de la faire revenir auprès d’eux.

Fabrice CURLIER

-----

L’hypothèse de la « deuxième bagarre »

De sa cellule, Stéphane Calabrese continue d’affirmer qu’il n’y a rien de commun entre les coups qu’il a donné et les blessures mortelles. « Il reconnaît deux coups de poing, et un coup de pied », indique son avocat, Me Gauthier Lefèvre.

Le rapport d’autopsie évoque un « coma immédiat » à la suite des coups reçus, avec une durée de survie qui aurait pu atteindre trois ou quatre heures.

Pour appuyer la demande de remise en liberté de son client, rejetée jeudi par la cour d’appel, Me Lefèvre a mis en exergue les versions fluctuantes de la concubine. Elle a d’abord affirmé ne pas avoir quitté l’appartement après la bagarre, pour finalement l’admettre. Son retour est établi vers 22 heures. Selon une version, elle a dit qu’elle était allée se coucher sans se préoccuper de son ami allongé dans le canapé, habitué qu’il était à cuver ses libations ; selon une autre, il était conscient et l’avait même insultée à son retour.

« On sait qu’elle ne dormait pas à 0 h 30 car un voisin qui passait devant la porte a entendu une voix féminine », rappelle Me Lefèvre. Un autre détail l’intrigue. « Ce 13 juillet, tout le monde a vu Mme Pécourt avec un seul coquart à l’œil gauche. Or, le soir de sa présentation, et la photo parue dans le journal le prouve, elle avait un coquart aux deux yeux. J’avance l’hypothèse qu’il y a peut-être eu une deuxième bagarre après son retour à l’appartement. Elle dit avoir été insultée. On peut imaginer qu’une altercation a éclaté dans la foulée, ce qui expliquerait l’apparition du deuxième coquart. »

Cette version sous-entend une lourde responsabilité de la concubine dans le décès de son ami. Elle a pour avocate Me Cécile Régnier, actuellement en congés. Son associé, Me Guy Marteau, répond pour elle. « L’hypothèse d’une deuxième bagarre n’apparaît pas sérieuse en fonction des déclarations des uns et des autres. De toute façon, jamais Mme Pécourt n’aurait eu la force de porter des coups d’une violence telle qu’ils ont fait exploser la tête de la victime. J’oppose un ferme veto à cette hypothèse. »

F.C.

***********************************

Union110731a
Feux nocturnes

Vendredi vers 5 heures du matin, une voiture a été incendiée boulevard Wilson à Reims, près du magasin Lidl.

Un conteneur a brûlé à la même heure avenue Bonaparte.

Toujours vendredi, mais à 22 heures, des détritus ont pris feu sur le parking de l’hypermarché Carrefour, route de Cernay.

Hier vers 1 heure, une poubelle a également brûlé rue du Général-Giraud à Châlons-en-Champagne.

***********************************

Union110730a
Dans le quartier Croix-Rouge : La propreté laisse à désirer !

Papiers et détritus sont imbriqués dans les épineux.
- Agrandir la photo

Lors de la séance du conseil de quartier Croix-Rouge-Hauts-de-Murigny du mercredi 19 mai, le sujet principal, en rapport avec la campagne « Reims ville propre » menée par la municipalité, était consacré à la propreté du quartier.

« Sur Croix-Rouge, c’est un prestataire de services qui s’occupe du nettoyage des rues », révélait Larbi Ait-Yahia, chef de service à la direction des activités du déchet et du nettoiement de Reims Métropole.

Grâce à un astucieux système de fiches que devaient remplir les habitants, plus aucune saleté ne devait résister aux agents nettoyeurs et Croix-Rouge allait devenir un quartier propre.

Hélas, force est de constater qu’il n’en est rien, d’autant plus qu’il n’a pas été précisé où la population pouvait se procurer ces fameuses fiches et à qui elle devait les remettre.

Il suffit par exemple de se promener sur le trottoir le long du lycée, rue François-Arago après le croisement avec l’avenue du Général-Bonaparte, à Pays-de-France, pour être édifié ! Autre endroit significatif, le trottoir au croisement entre l’avenue du Général-Bonaparte et l’avenue Léon-Blum à Croix-du-Sud (virage du tramway) : papiers et détritus sont tellement imbriqués dans les épineux qu’il semble impossible de nettoyer cet endroit sans arracher la végétation (notre photo).

Il y a encore beaucoup d’efforts à réaliser pour faire de Croix-Rouge un quartier vraiment propre !


Commentaires

Navigation

Articles de la rubrique