Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mars 2009.
Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.
Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.
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A partir du 1" avril - et ce n’est pas une blague - les locataires d’immeubles collectifs du groupe « Reims Habitat » vont bénéficier d’internet « 2 mégas » gratuitement !
Autrement dit, ils pourront recevoir les 18 chaînes de la TNT, 30 chaînes étrangères et la téléphonie entrante.
La seule obligation sera d’aller chercher un décodeur ad hoc et de laisser un dépôt de garantie de 75 €.
Ils ne paieront donc que 1,41 € pour l’entretien du réseau câblé. Cette disposition ne sera pas applicable dans les pavillons de Reims Habitat.
BÂTIMENT : SABINE fait mouche
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En trois jours d’échanges et de conférences, la première édition du salon professionnel SABINE (Salon du Bâtiment Innovant du Nord-Est), organisé au parc des expositions de Reims en février à l’initiative de Reims Evénements et ses partenaires, a réussi à attirer plus d’une centaine d’exposants et à intéresser 4240 visiteurs, dont 1150étudiants et enseignants. Les ateliers de démonstration mis en place par les filières de formation (Cnam, CFA BTP Champagne-Ardenne, AFPA, IUMP, lycée professionnel Yser et de lycée des métiers Arago de Reims, lycée des métiers Croix Cordier de Tinqueux) ont, en particulier, rencontré un vif succès.
Côté professionnel, les Trophées SABINE ont été décernés à des entreprises liées à la construction durable, sélectionnées sur des critères technologiques innovants :
catégorie « aménagement extérieur » :JDM (revêtement extérieur en résine perméable)
catégorie « enveloppe » : Acoustix(cloisons acoustiques à base de papier recyclé)
catégorie « gros œuvre » : Parex Lanko(ragréage de béton réduisant les poussières)
catégorie « aménagement intérieur » :Seigneurie Gauthier (peintures sans solvants organiques)
catégorie « équipements techniques » :Weishaupt (panneaux solaires à bonne intégration)
catégorie « ingénierie » : Flir Systems(imagerie infrarouge pour contrôle de la qualité des matériaux et de leur application)
catégorie « matériel et outillage » : Verem Remorques (porte-engins adaptables pour travaux)
A l’espace Billard, Sylvie Brin guide accompagnatrice, propose une sortie nocturne familiale « bol d’air nature », vers les hauteurs de Villedommange, samedi 4 avril. Départ à 19 heures devant le 14, rue Pierre-Taittinger.
Tél. 03.26.08.08.78.
A l’espace Watteau, Vincent Girardin, accompagnateur des Marcheurs du dimanche, organise deux sorties en avril dimanche 5 avril, randonnée journée, départ à 7 h 30 : au choix, « Coucy-le-Château » (12 km) ou « La forêt de Saint-Gobain » (12 km) et dimanche 26 avril, randonnée journée, départ à 7 h 30 : « Villers-Cotterêts : la forêt de Retz » (14 km).
Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50) ou auprès de Vincent Girardin (06.12.99.83.09)
Dans le cadre de la convention de stage signée entre l’association des Travailleurs maghrébins de France et l’université de Reims, un forum « Formation, emploi et lutte contre les discriminations » se tiendra mercredi 8 avril à 14 heures dans la salle municipale, avenue François-Mauriac.
Renseignements au 03.26.36.68.43.
Entrée libre
Après les deux premières réunions, la composition définitive du conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny a été annoncée officiellement.
Collège des élus : Alain Bisteur, Fatima Bouzid, Salah Byar, Éric Quénard, Saïda Soumaya-Berthelot et Élizabeth Vasseur.
Collège des habitants, section tirage au sort : Pierre Destrimont, Jean-Pierre Destrimont, Angélique Gallet, Salim Kobzili et Veli Ozturk.
Collège des habitants, section volontaires : Fadhila Aboura, Mohamed Benamara, Danielle Bonfils, Alain Boudroit, Hichem Boussoufi, Odette Destrimont, Abdallah Kamar-Eddive, Jeannine Laroche, Joël Lelleve, Martine Massrt, Yves Monflier et Martine Ngokaba.
Collège des associations : Art création culture, association des travailleurs magrébins de France, Atlas, collectif de défense des locataires Croix-Rouge, Cref, Étoile Croix-du-Sud, Maison de quartier Croix-Rouge et Les Polygones.
Attractifs, des ateliers graphiques autour des lettres et des mots.
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« Depuis dix ans, nous avons reçu 71 auteurs et rencontré plus de 10.000 élèves » constatait Jean Pérardelle, président de l’association Lire et Délires, organisatrice des Rencontres de littérature jeunesse qui fêtaient leur 10e édition. Très attendu, le salon du livre, où auteurs et illustrateurs dédicacent les ouvrages vendus sur les stands des libraires partenaires.
Fil conducteur de l’édition 2009, l’abécédaire était au cœur des ateliers et expositions. Tandis que les petits composaient leur prénom à l’atelier « Alphatampon », les plus grands jouaient avec lettres et mots, calligraphiaient, gravaient sur plastique ou linoléum. A l’atelier « Imagin’air » de l’artiste typographe Nicole Pérignon, on composait « l’abécédaire du printemps » avec des mots de circonstance : ciel, jonquille, soleil, herbe…
Les visiteurs sont venus en nombre le samedi à la salle polyvalente de Cormontreuil : « Nous n’avons pas voulu changer le caractère de notre manifestation par un déménagement hasardeux et coûteux » expliquait J. Pérardelle, soulignant la volonté de l’association de « rester au plus près du plus grand nombre ».
Le jury du concours « marque-page et abécédaires » a distingué les écoles Centre (Cormontreuil), Charles-Arnould, Blanche-Cavarrot, Jard, Saint-Brice-Courcelles, ainsi que les collèges P.-de-Coubertin et Trois-Fontaines.
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Le 5 mars, Gérard Duchêne, 45 ans, avait percuté en voiturette un Renault Espace stationnée allée des Bretons aux Pays-de-France.
La petite auto avait pas mal endommagé le gros véhicule.
La perte de contrôle n’était pas étrangère à un fort taux d’alcoolémie du conducteur, d’ailleurs privé de permis pour des faits similaires.
Or, même en voiturette, l’alcool au volant est interdit. De plus, elle n’était pas assurée.
Déféré à l’époque en comparution immédiate, Gérard Duchêne avait été maintenu en détention après avoir demandé un délai pour préparer sa défense.
Le tribunal vient de le condamner à six mois d’emprisonnement dont quatre assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant une obligation de soins.
Il devra payer 100 € d’amende pour le défaut de maîtrise.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, un homme pris de boisson a frappé sa concubine avenue Bonaparte car elle l’avait insulté, a-t-il expliqué aux policiers venus l’arrêter.
Le violent avait 3,06 grammes d’alcool par litre de sang.
Il a fait l’objet d’une convocation au tribunal le 26 juin.
Une salle pleine de locataires, mais aussi de propriétaires (mêmes problèmes, même combat).
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Certains signes ne trompent pas : il fait maintenant mieux vivre aux Polygones, cet îlot situé à l’extrémité de Croix-Rouge, côté Eisenhower.
En effet, quelques phrases de la présidente Geneviève Kaczowka, lors de l’assemblée générale, sont révélatrices : « il nous faut conserver notre quartier comme cela, il est joli. Gardons intact notre patrimoine ! » ou encore : « bien que ce soit toujours un bras de fer avec le bailleur Effort rémois pour obtenir quelque chose, nous nous félicitons de nos rapports avec MM. Quinquis et Bouilli : enfin, on nous écoute et on nous entend. »
Est-ce l’effet de la vigilance permanente de l’association ou bien le fait qu’une quarantaine de logements sont proposés à la vente, toujours est-il que d’importants travaux ont été réalisés au cours de la saison passée : étanchéité de la terrasse du 8, Bernanos où il y avait de gros problèmes d’infiltrations (reste à faire celle du 13, Daudet), fin des travaux des espaces verts face aux 11, 13, 15 et 17 Daudet (reste à faire nettoyage des arbres et replantations), élargissement d’un escalier extérieur, marquage au sol des emplacements de parking dans le garage Taittinger, lancement des travaux de condamnation des vide-ordures,…
Pour une bonne nouvelle, le prix de l’eau qui a diminué de 10 % au 1er janvier, il y en a de mauvaises : les prestations qui diminuent alors que les loyers augmentent et surtout la fameuse taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères.
Les élus Michel Guillaudeau et Éric Quénard ont bien donné leurs points de vue - un peu divergents- sur cette question, ils n’ont pas convaincu les locataires très remontés !
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Samedi, à 23 h 40, deux personnes ont été agressées place Jean-Dominique-Ingres dans le quartier Croix-Rouge, par un petit groupe de jeunes.
Après avoir été avertie, la police a interpellé de jeunes garçons bien connus de leurs services. L’un d’eux a reconnu les faits tandis que le second les a niés. Placés en garde à vue, les deux jeunes hommes sont convoqués au tribunal début avril.
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23 h 38, rebelote dans le quartier Croix-Rouge. Là, ils ont été alertés pour de la fumée suspecte qui s’échappait d’un local à poubelles, c’était un début d’incendie qu’ils ont éteint très facilement.
Un panneau est déjà installé à l’approche du pont de Vesle.
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Afin de montrer aux habitants de l’agglomération de Reims et à ses visiteurs le tramway dans son futur environnement urbain, la société Mars a fait réaliser une vingtaine d’images en trois dimensions.
En partenariat avec Reims Métropole, celles-ci ont été mises en scène d’après la charte graphique définie pour le projet par le designer Ruedi Baur et les visuels ont été apposés sur des panneaux « grand format » de 3 mètres par 2 ou 4 mètres par 3.
Leur implantation est en cours et ils jalonneront d’ici quelques jours les 11,2 km du tracé de la première ligne de tramway.
Le tracé en images passera par le Terminus P + R Neuchâtel, la rue du Docteur Schweitzer, le boulevard des Belges, la place des Belges, l’avenue de Laon, la place Saint-Thomas (panneau implanté), la place de la République, le parvis de la gare (quatre visuels - panneaux implantés), le square Colbert - boulevard Foch (panneau implanté), la place Jules-Lobet, la place Stalingrad (panneau implanté), la place Colin (panneau implanté), le carrefour Franchet-d’Esperey (recto verso), la rue Pierre-Taittinger, l’avenue Général Bonaparte, le rond-point avenue Léon-Blum et le terminus CHU.
On aurait tort d’enterrer trop vite la région en général et Reims en particulier.
Le déclin est plus dans les têtes que dans la réalité.
Exemple avec le lycée Arago. Des élèves ont participé à la construction d’une maison entièrement écologique conçue par une entreprise de Muizon.
Autre exemple avec nos deux génies de l’informatique mis à l’honneur ci-contre [1]. Et si tout simplement, on faisait (enfin) confiance aux jeunes ?
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Entre bowling, activités de plein air et travaux manuels, les enfants du centre de loisirs de l’association de promotion de Pays-de-France sortent du quartier pour découvrir la ville.
Leur dernière découverte a été le dépôt des Tur où ils ont beaucoup appris sur les transports en commun rémois.
Les élèves de la filière « travaux publics » plancheront sur le dossier du tramway.
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« Je suis convaincu qu’on ne fait pas acquérir des compétences dans un établissement scolaire, mais des capacités. Les compétences, on les acquiert sur le terrain… La formation doit donc être une « coproduction » entre le lycée et l’entreprise. » Fidèle à ce principe édicté « depuis plus de vingt ans », le chef des travaux du lycée Arago, Fabrice Binet, a supervisé une nouvelle convention entre le lycée et un groupement d’entreprises de travaux publics. Grâce à elle, les étudiants en travaux publics pourront compléter leur formation en ayant accès au chantier du tramway de Reims
Avec le bâtiment, la filière « Travaux publics » est l’une des quatre branches de formation initiale ou continue du lycée Arago. Elle regroupe 110 élèves en CAP (20), Bac technologique (60) et BTS (30).
Depuis fort longtemps, le lycée est donc « marié » aux entreprises du secteur par des conventions. Celles-ci ont pour but de compléter la formation théorique des élèves par des études de cas concrets. « Le TGV, l’A4 bis ou le tramway sont donc des opportunités. »
Concrètement, les élèves travaillent directement sur ces projets. Soit en visitant les chantiers, soit en effectuant des périodes de stages (de dix semaines, à plusieurs mois en cas d’alternance).
Comme les entreprises ne se sont pas faites pour assurer l’enseignement, « on fait venir l’entreprise au lycée ». Autrement dit, les dossiers techniques réels du projet sont étudiés en cours.
Enfin, des ingénieurs employés par les entreprises viennent évoquer leur spécialité au lycée : qualité, environnement, sécurité et service après-vente.
Cette politique de collaboration permet non seulement aux élèves d’acquérir des compétences, mais aussi de se faire repérer pour un éventuel emploi. « Nous nous engageons à trouver un boulot à tous ceux qui sortent du lycée », indique M.Binet. Lequel se réjouit de disposer d’un gros carnet d’adresses, justement grâce à cette politique de conventions. Et puis, sourit le chef des travaux, une partie des personnels en place dans les entreprises est souvent composée d’anciens élèves.
Pour mémoire, le lycée Arago accueille 600 élèves ou étudiants, du CAP à la licence professionnelle, dans quatre filières liées au bâtiment et à l’économie de la construction.
J.-F. Scherpereel
Toutes les associations et fédérations de locataires représentatives ont signé l’accord.
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Un nouvel accord collectif entre les organismes HLM et les associations de locataires, portant sur la procédure d’état des lieux dans le département de la Marne entre en vigueur le 1er avril.
Il a pour but de « mettre en place un outil de travail permettant d’harmoniser la position des bailleurs sociaux de la Marne et des organisations de locataires siégeant à la Commission nationale de concertation CNC afin d’établir une parfaite équité entre les parties ».
Il a été signé sous l’égide de l’Arca (Association régionale pour l’habitat de Champagne-Ardenne) entre les associations représentant les locataires (AFOC, CNL Marne, CGL Marne et CLCV) et les bailleurs sociaux de la Marne : l’Effort rémois, le Foyer rémois, l’OPH de Châlons-en-Champagne, Reims habitat, la Renaissance immobilière châlonnaise, le Toit champenois et Vitry habitat.
Cet accord a pour objet de garantir la mise en location d’un logement en bon état d’usage et de réparations, de préciser les obligations des parties en matière d’entretien du logement, de ses embellissements (papiers peints, peinture) et de ses équipements, de clarifier la méthode de réalisation des états des lieux et de définir les termes utilisés, d’arrêter une grille d’abattement pour vétusté, et de créer une commission de suivi annuel.
Le texte de l’accord doit être remis à tout nouveau locataire avant l’état des lieux d’entrée. Pour les anciens, il est disponible dans toutes agences des bailleurs sociaux et doit leur être remis sur simple demande.
On y trouve les obligations des locataires, celles du bailleur, l’état des lieux (d’entrée et de sortie), la notion de vétusté ( « conséquence de l’usure normale dans le temps de la chose louée normalement entretenue » ), les frais de remise en état consécutif à un défaut de propreté et d’hygiène, les conséquences d’un usage abusif caractérisé et celles des transformations réalisées sans l’accord du bailleur, le remplacement d’éléments d’équipement perdus ou déposés par le locataire, etc..
Ce qui intéresse beaucoup les locataires, c’est la nouvelle grille de vétusté, qui définit « pour chaque catégorie de matériau ou d’équipement, et par année, le pourcentage restant à la charge du locataire ». Cette grille détermine le calcul des indemnités dues par le locataire sortant.
Révisée par rapport à la dernière grille, elle est plus favorable au locataire.
Ainsi, par exemple, pour le carrelage, la faïence, le parquet traditionnel, les appareils sanitaires, les radiateurs et les équipements menuisés, le locataire sortant ne doit plus rien au-delà de 20 ans d’utilisation normale, au lieu de 25 ans dans la précédente grille.
Peu de litiges mais des situations exceptionnelles
En règle générale, l’établissement des états des lieux sortants se déroule plutôt bien. Une pré-visite permet au bailleur de donner des conseils de préparation de l’appartement avant l’état des lieux définitif et la majorité des départs se passe dans des conditions humaines et raisonnables.
Toutefois, les agents envoyés par les organismes logeurs découvrent parfois des situations exceptionnelles : « des cloisons abattues, des sanitaires cassés, des revêtements de sol constellés de trous de cigarettes, des moquettes déchirées, des taches sur les sols et les murs, des portes débitées en morceaux, et parfois un état de crasse inconcevable » raconte un enquêteur rémois.
« Parfois même, on nous refuse l’accès à l’appartement ». Dans ce cas, l’état des lieux est réalisé par un huissier et « généralement, la facture est beaucoup plus salée ».
En cas de litige, les associations sont prêtes à conseiller les locataires, parfois même elles les accompagnent le jour de l’état des lieux.
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A Paris, quatre Marnais — Jean Teurnier (Fismes), Henri Paulet et Jean-Pierre Randoulet (Reims) et Daniel Del Rey (Les Islettes, de g à d) — ont reçu leur 6e dan de la part de Jean-Luc Rougé le président de la Fédération française (FFJ) qui fut le premier champion du monde français de la discipline en 1975.
1. Avis d’appel d’offres faisant l’objet de la rectification marché à bons de commande pour des prestations de déménagement paru dans le journal du 27 février 2009.
2. Rectification : le marché est estimé à 334 locaux environ (estimation)
1re tranche (2009) : 60 locaux environ,
2e tranche (2010) : 137 locaux environ,
3. tranche (2011) : 137 locaux environ,
4. tranche (2012) : tranche conditionnelle s’il reste des locaux à déménager.
Le marché comporte une option : le déménagement de 11 locaux « chambres » situés dans un foyer dans le quartier Croix-Rouge.
3. Date d’envoi du présent avis : le 23 mars 2009
L’hebdo du vendredi- n° 117 - 090326e
La littérature jeunesse fait salon et selon…
Les enfants apprennent, fabriquent, lisent dans divers ateliers comme celui de lecture théâtralisée.
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…l’actualité. D’année en année, le succès du Salon du Livre se confirme : pour ces 10èmes Rencontres autour de la littérature jeunesse, l’enjeu est plus que jamais d’inscrire ce genre littéraire dans des préoccupations actuelles.
Martine à/a la rage… Car elle ne fait plus l’unanimité et comme sa fantasque cousine Fantômette, elle n’est plus la star des rayonnages des bibliothèques d’enfants. En effet, aujourd’hui loin de toute édulcoration, les auteurs osent parler de sujets qui n’auraient pas été abordés auparavant ; c’est ainsi que certains d’entre eux traitent des secrets de famille, de la citoyenneté, des libertés, du racisme… Cette littérature est le reflet du monde d’aujourd’hui et s’éloigne intelligemment des schémas traditionnels. Chaque année nombreux sont les auteurs et les illustrateurs de qualité qui sont invités à rencontrer les élèves : 78 classes ont eu la chance de travailler avec eux. Les enfants ont ainsi pu partager et éveiller leur créativité au contact des meilleurs écrivains de la littérature jeunesse du moment. L’association « Lire et Délires » organisatrice de l’événement offre son soutien à l’éducation artistique et culturelle, et souhaite promouvoir le livre de jeunesse, fondamental dans l’apprentissage.
Le dessein est d’ouvrir l’événement à un maximum de personnes et particulièrement aux parents, acteurs de la lecture. Comme celle-ci n’est plus le seul média, les jeunes sont constamment sollicités par les images, l’immédiateté, autant de facteurs qui peuvent parfois nuire à la lecture. Parallèlement à l’opération qui a lieu au salon, cinq lieux exposent les travaux de quatre illustrateurs : Carole Chaix à St Brice Courcelles, Frédéric Bertrand à la Médiathèque Croix Rouge, Rascal à la Médiathèque Laon Zola, Christophe Merlin à la Librairie Guerlin. Une exposition à la Médiathèque Cormontreuil proposera aussi des oeuvres de tous les illustrateurs. Cet événement est l’occasion de parler autrement de la littérature jeunesse et de rencontrer des écrivains comme Elisabeth Brami ou Muriel Szac… Jean Pérardelle, président de l’association « Lire et délires » associée à la Médiathèque de Cormontreuil depuis 10 ans, souhaite pleinement réaffirmer que le salon n’est pas : « un salon de chalands, on y est actif, en effet : les enfants apprennent, fabriquent, lisent dans divers ateliers comme celui de lecture théâtralisée par exemple ». Un bel outil pédagogique et ludique qui n’oublie jamais la lecture plaisir. Alors Cormontreuil mieux que Montreuil ?
Amandine Lefèvre
Le 28 mars, à la salle Polyvalente de Cormontreuil de 10h à 19h. Entrée gratuite.
JUSQU’AU 31 MARS : « Elmer et ses amis »
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A l’occasion du salon du livre de Cormontreuil, les 27 et 28 mars, 3 expos invitent les plus grands à retourner en enfance, mais surtout les plus petits à découvrir de vrais artistes : David McKee à la médiathèque Falala, Raskal à la médiathèque Laon-Zola et Frédéric Bertrand à la médiathèque Croix-Rouge.
En partenariat avec la maison de quartier et les structures de Croix-Rouge, l’association Multi-échanges services invite lés habitants à sa fête annuelle « Les Crêpes de la solidarité lb, le mercredi 1er avril, devant l’espace Billard ; rue Pierre-Taittinger.
« Les enfants sont invités à venir déguisés pour 14 h 30. Des jeux seront organisés sur place à Billard, ainsi qu’un stand décoration de masques pour ceux qui n’auraient rien, avant le départ du défilé à 15 heures sur l’esplanade Eisenhower, puis nous prendrons la passerelle pour rejoindre les Polygones par le parc », précise la présidente Martine Massart : « Il y aura des haltes d’animation musicale, avant le retour par la passerelle vers Billard où le défilé se clôturera par une grande farandole. Il est prévu aussi une bataille de confettis, et une distribution de crêpes le long du défilé. »
Retour à 16 heures, et dégustation de crêpes pour tous les enfants.
Cinq jeunes filles du Rap à Épinal.
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Le Reims Acrap patinage s’est déplacé, ce week-end, à Épinal pour la dernière rencontre de danse sur glace interclubs de la ligue de l’est et à Wasquehal en patinage artistique pour la 3e manche du challenge NPCA.
À Wasquehal, Lili-Rose Plomion s’est classée 1re (- de 6 ans) ; Juliette Wary, 5e (- de 13 ans) et Vinciane Manceaux, 2e (+ de 16 ans).
A Épinal, en catégorie Pré-Bronze, Norina Dakeur remporte la compétition, Marine Ravaux est 5e, Jessica Guissant 7e et Christopher Guissant la 12e. Maeva Grenier prend la 1re place en catégorie 7e cristal.
Des photographies du RAP sont disponibles dans notre galerie d’images
Les Recyclades s’intitulent cette année : « Plus d’amis pour le tri ».
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Plusieurs animations sont prévues à Reims dans le cadre des recyclades. Samedi 4 avril, un stand d’animations sur le tri, sera installé place d’Erlon de 10 à 19 heures. Les enfants auront, par exemple, la possibilité de s’initier au tri via une mini-chaîne de tri.
Par ailleurs, pour la première fois, les animateurs du tri seront présents sur les campus des facs. Pendant toute une journée, les étudiants pourront s’informer sur le tri, tester leurs connaissances sur le sujet grâce à un quiz… tout en dégustant un café servi dans des gobelets en carton ! Ces stands d’informations seront accessibles sur les parvis de trois facultés : le mardi 31 mars au campus Santé, le mercredi 1er avril au campus Croix-Rouge et le jeudi 2 avril à la faculté des Sciences dans le quartier Europe.
A noter également parmi les rendez-vous le mercredi 1er avril, un stand aux couleurs de l’opération sera installé au marché des Châtillons. Le jeudi 2 avril, Michel Zaegel responsable du tri à Reims métropole animera une conférence sur le compostage à la bibliothèque universitaire.
Hier, vers 3h30, un véhicule Range Rover a brûlé avenue Bonaparte. L’incendie, pour être d’origine indéterminée, n’en est pas moins suspect.
…
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090325d
Numéro 7282 du 23 au 29 mars 2009.
Dans son labo du quartier Croix-Rouge, Céline Couturier travaille désormais à explorer son marché grâce aux outils développés durant sa formation
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En ouvrant son laboratoire de prothèses dentaires à Reims, Céline Couturier a mis en pratique les conseils de la formation Diplôme Supérieur Création reprise d’entreprises.
J’en suis sortie plus forte que quand j‘y suis entrée. Cette formation est une très bonne expérience ». Créatrice d’un nouveau laboratoire de prothèse dentaire ouvert le 14 février dernier au nom « d’Inter Dentair » dans le quartier Croix-Rouge, Céline Couturier n’a pas de mots assez positifs pour qualifier le DU-Créa.
Ouvert aux demandeurs d’emplois, ce diplôme supérieur de Création-reprise d’entreprises est délivré au sein de l’IUT (Institut universitaire technologique) de Reims au terme de quatre mois de formation. Deux sessions prises en charge par le Conseil régional sont organisées chaque année qui regroupe chacune une dizaine de nouveaux étudiants.
« Ce qui est bien, c’est que ce sont des intervenants extérieurs qui animent la formation. Ils jettent les bonnes bases pour se lancer dans l’entreprise », explique Céline Couturier, soulignant que cette formation ne livre pas à eux-mêmes les candidats, toujours accompagnés. « On aborde les aspects psychologiques, commerciaux, comptables, stratégiques ou de négociation », se souvient-elle. Elle se rappelle aussi avec plaisir la richesse humaine du melting pot social que cette formation aura brassé.
De cette formation, Céline Couturier a visiblement trouvé la vigueur nécessaire pour lancer son laboratoire. Il en faut car le marché local compte une bonne vingtaine de laboratoires pour une population de quelque 130 dentistes. « Je me fais connaître sur Reims et dans l’agglomération », dit-elle. Mailings réguliers, envois de plaquettes et de tarifs, coups de fil pour obtenir des rendez-vous avec des dentistes… Les difficultés ne rebutent pas cette jeune femme de 35 ans, entré dans la prothèse dentaire à l’âge de 15 ans.
C’est peu dire qu’elle ne manque pas d’expérience, faisant « de tout, de la couronne au dentier complet ». Céline Couturier compte bien également continuer à « surfer sur la vague » de la technologie et des dernières innovations.
L’une des clefs de la réussite. Formé à l’implantologie (ces vis dans l’os de la mâchoire qui remplace la racine), elle s’intéresse aussi aux techniques d’assistance par ordinateur.
DOMINIQUE CHARTON
1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
2. Mode de passation du marché : avis de consultation est fait en entreprises générales ou en groupements d’entreprises.
3. Objet des marchés : construction d’une résidence étudiants : 212 chambres, La Rafale, Reims (51).
4. Nature et nombre de lots : opération en 1 lot, entreprise générale ou en groupement d’entreprises.
5. Délai d’exécution : 24 mois T.C.E. estimé.
6. Dossier de consultation :
a) Le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : I.C.A. REPROGRAPHIE 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24, 03.26.07.37.61.
b) Les dossiers seront disponibles à compter du mardi 17 mars 2009.
7. Date limite de remise des offres :
a) Le jeudi 7 mai 2009 à 17 heures, délai de rigueur.
b) Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de Monsieur LEROY , S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, direction de la maîtrise d’ouvrage, service construction 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
c) Indications à porter sur l’enveloppe extérieure cachetée : Consultation : " Offre pour la construction d’une résidence étudiants : 212 chambres, La Rafale à Reims ". Mention " Entreprise générale ou groupement d’entreprises ". Mention " Ne pas ouvrir ".
8. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprises générales ou groupements d’entreprises.
9. Présentation des offres : la présentation devra être conforme aux dispositions consignées dans le règlement de consultation, en respectant les modèles joints et accompagnés des documents demandés.
10. Durée de validité des offres : 180 jours à compter de la date limite de réception des offres.
11. Renseignements :
Administratifs : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, Monsieur Florian LEROY, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex, tél. 03.26.84.46.73, fax : 03.26.84.46.07.
Techniques : maîtrise d’œuvre : FOUQUERAY JACQUET 50, boulevard Lundy, 51100 Reims. Tél. 03.26.47.84.63, fax 03.26.88.36.12.
Date d’envoi de l’avis à la publication : le 16 mars 2009.
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Suivant décision de l’associé unique du 16 mars 2009, de l’EURL PRO CLEAN POWER, au capital de 2.000 €, siège social : 4 rue du Ruisseau Michaut - 51170 FISMES, 510 274 830 R.C.S. REIMS, il a été décidé de transférer le siège social 4 rue du Ruisseau Michaut - 51170 FISMES, au 43 rue Pierre Taittinqer_ -51100 REIMS.
L’inscription modificative de la société sera effectuée auprès du R.C.S. de REIMS.
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Le 18e forum étudiants-entreprises se déroule aujourd’hui, mercredi 25 mars, à la faculté sur le campus Croix-Rouge.
Organisé par les associations Promo 3E (promotion des étudiants en économie d’entreprise de la filière sciences économiques de Reims et la Corpo droit Reims), le forum réunit une cinquantaine d’entreprises, institutionnels et formations de deuxième cycle.
Son but est de rapprocher les étudiants du monde de l’entreprise. Ouvert à tous, le forum se déroule de 9 à 18 heures.
Le rectorat a signé hier une convention avec l’université et le Cnam dans le cadre de la création d’un collège des sciences.
Cette nouvelle structure permettra l’organisation de stages scientifiques gratuits pendant les vacances scolaires, à l’image de celui qui s’est déroulé au lycée Arago au cours des congés de février.
Ces stages sont ouverts en priorité aux lycéens de bon niveau scientifique et sont dispensés par des enseignants chercheurs de la région.
Dans la nuit de samedi à dimanche, un jeune homme de 19 ans armé d’un couteau de boucher a crevé les pneus de quatre voitures allée des Tourangeaux.
Un témoin l’a aperçu et prévenu le commissariat, ce qui a sans doute permis d’épargner de nombreux autres pneumatiques. À l’arrivée ’des policiers, le vandale s’est dirigé vers eux en brandissant lé couteau mais il leur a finalement remis sans résistance.
L’homme était complètement ivre. Après avoir cuvé ses libations, il a déclaré n’avoir aucun souvenir des faits et n’a donc pu expliquer ses motivations.
Il a été remis en liberté avec une convocation le 7 avril devant le tribunal correctionnel
Christine Michel parviendra-t-elle à faire partager son projet sportif à toutes les associations ? Réponse dans quelques semaines…
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Les associations sportives la redoutent. Ce n’est pas la reine des communicantes. Christine Michel, adjointe aux sports, n’a plus que quelques jours pour finaliser son projet sportif pour Reims.
NOUVELLE adjointe aux sports, depuis un an, Christine Michel peaufine avec le monde associatif son projet sportif pour Reims qui inclura notamment un nouveau barème pour l’attribution des subventions aux clubs sportifs.
Si elle ne veut pas encore le dévoiler (ce devrait être fait durant la seconde quinzaine d’avril), elle a aujourd’hui un tableau précis de la situation du monde sportif de la ville.
La Ville a payé un consultant pour dresser un état des lieux du monde sportif local. Quelles en sont les grandes lignes ?
Christine Michel : Sans compter la maintenance des équipements et les assurances, la ville de Reims consacre 9,5 % de ses budgets (fonctionnement et investissement) aux sports soit 172 € par habitant. Les villes de même importance n’en consacrent que 5,3 % soit 103 € par habitant. En terme d’équipement, nous en avons plus que les autres villes de même importance avec près de dix stades engazonnés et deux patinoires. Côté personnels, avec 286 agents dont 195 à la Régie des équipements municipaux sportifs nous avons 1,54 agent pour mille habitants contre 1,2 ailleurs. La ville compte 170 clubs affiliés à des fédérations pour 34 000 licenciés. Mais avec 20 % de licenciés à Reims, nous sommes en dessous de la moyenne nationale qui est de 24,5 %. Nous n’avons pas d’explication. Il y a même des associations qui ont des budgets importants et peu de licenciés.
Et côté subventions, comment se situe Reims ?
C.M. : La Ville accorde 4 millions d’euros de subventions, une somme importante puisqu’en moyenne 37 % des budgets des clubs proviennent de subventions de la Ville contre 20 % au niveau national. Cela induit, c’est vrai, une forte relation de dépendance.
À noter que six clubs reçoivent 72 % de cette enveloppe : l’association sportive du Stade de Reims, Saint-Jacques sport, le RC Basket, les Régates rémoises, le Hockey club et l’Efsra.
Nous sommes certes bien placés en nombre d’équipes qui évoluent à un haut niveau, mais si on considère le plus haut niveau atteint, on est loin des premiers.
Vous animez les États généraux du sport. Beaucoup de clubs craignent sans oser vous le dire des réductions de subventions.
C.M. : Ce que je peux dire, c’est qu’il n’y aura plus de reconduction automatique des subventions. Nous allons établir une liste de critères dont nous avons parlé aux clubs lors des réunions organisées avec eux. Il faudra aussi que le projet des clubs soit partagé avec la municipalité, puis évalué régulièrement.
On s’est aperçu que les objectifs fixés dans les contrats, avec les associations, du moins quand ils étaient inscrits, n’étaient pas toujours précis, c’est peu de le dire. Mais rien ne se fera dans la brutalité. Il y aura un outil de pilotage pour éventuellement réajuster si besoin.
La Régie des équipements municipaux sportifs (Rems) semble être dans le collimateur de la Ville ?
C.M. : Il y a un vrai manque de lisibilité entre ce que fait la Ville, la Rems et même l’Office des sports. Les clubs ne savent pas toujours à qui s’adresser pour la location d’un gymnase, l’animation. Ils ne savent pas trop qui fait quoi. La Ville qui soutient la natation par exemple doit payer ses entrées à la Rems…
Quid du statut du personnel de la Rems ?
C.M. : On sera peut-être amenée à leur proposer un contrat public, mais là, rien n’est arrêté.
Alain Moyat
Les champions après l’effort.
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Le Reims Acrap Patinage a obtenu d’excellents résultats ce week-end au Havre en remportant le tournoi de France 1re division. Elles n’étaient que deux très jeunes danseuses en 2002 à l’ouverture de la section. Ce week-end, le Reims Acrap patinage a présenté 20 patineurs au Havre en compétition nationale devant les clubs de Brest, Le Havre, Franconville,… et il sort 1er sur quatorze clubs : « Cette performance est énorme et merveilleuse », souligne Ludivine Lemaire, l’entraîneur.
En Préparatoire, les jeunes Clémence Millet, Océane Goyard-Gully et Victoire Plomion terminent 3e, 6e et 9e de la compétition.
En Pré-Bronze 1, Jeanne Reppel et Mélanie Carrie prennent respectivement les 1re et 2e places.
En Pré-Bronze 2, Juliette Wary et Renan Manceaux ont particulièrement brillé. Ils s’attribuent la 4e et la 6e places. Quant à Camille Leblon et Chloé Pillet, elles ne déméritent pas en terminant aux 10e et 21e places.
En Bronze 1, Margaux Abib-Gruet satisfait le jury et prend la 3e place. Anaïs Milard la suit en terminant 5e.
En Bronze 2, Camille Renault décroche une belle 2e place (confirmation après sa récente 1re place à Reims).
Belle compétition également pour Eva Lemaire, 6e.
Coralie Dehu termine 16e de cette catégorie.
En argent 1, Aurore Vermeulen prend la 6e place.
En Argent 2, les deux Rémoises ont supplanté leurs quatorze autres concurrentes sur la danse imposée (Solène Manceaux 1re et Justine Delaunois 2e). Malheureusement, Solène chutait dans sa danse libre et ne montait que sur la 3e marche du podium final. Justine, quant à elle, n’arrête plus son ascension et grâce à un libre détonnant, elle a remporté la 1re place.
En Vermeil 1, Morgane Huet a fini 6e avec un bon score au programme libre.
En Vermeil 2, Alexandra Henry prenait la 5e place.
« Je suis comblée par les performances de mes protégées et très émue d’avoir pu hisser le Reims Acrap Patinage sur la plus haute marche du podium des clubs d’un tournoi de France 1re division », concluait Ludivine Lemaire.
Des photographies du RAP sont disponibles dans notre galerie d’images
Les bénévoles sont venus nombreux de tout le département.
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Lire et faire lire est un programme national citoyen qui permet de transmettre aux enfants le plaisir de la lecture tout en permettant aux générations de mieux se connaître. Cette association permet également de faire participer les personnes de plus de 50 ans à la préparation de l’avenir du pays et d’affirmer le rôle fondamental qui est le leur en renforçant la cohésion sociale intergénérationnelle transférable ainsi dans les familles.
A cet effet, 160 bénévoles se relaient dans la Marne, qui proposent diverses animations dans les écoles, les médiathèques ou les communes afin de favoriser la lecture. « Ce qui nous situe dans les 20 premiers départements », se réjouit la présidente, Claire Métréau qui pourtant ambitionne d’arriver à 200 bénévoles en 2009.
Pour ce faire, des réunions et des formations sont proposées. Ainsi, depuis deux ans, une décentralisation à la formation a été initiée.
Après Epernay et Châlons, la prochaine aura lieu le 15 octobre à Sézanne.
Les lieux d’exercice se diversifient : crèches, écoles des gens du voyage, foyers pour jeunes en difficultés, centres de loisirs… « Il nous faut être présents là où les enfants souffrent de la solitude, de la misère et là où, grâce au livre et au lien intergénérationnel, nous pouvons apporter quelques clés d’ouverture vers l’avenir. » L’opération « Un enfant, un dessin, un livre » a été un vrai succès. « Mais il nous faut aller plus loin. » L’association envisage d’autres partenariats avec notamment d’autres associations complémentaires.
La présidente émet également un autre vœu : « Celui de distribuer 4.000 livres aux enfants qui participent aux actions ».
A noter que l’on pourra retrouver « Lire et faire lire » au salon du livre de Cormontreuil, samedi.
Lire et faire lire dans la Marne, 23, rue Alphonse-Daudet, Reims. Tél. 03.26.84.36.90. Mail : lireetfairelire@laligue51.org
Les lauréats de la catégorie des collèges.
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Le jeu-concours de la Semaine de la langue française laissera de belles traces écrites en Champagne-Ardenne. Un florilège des meilleurs textes composés autour des dix mots imposés paraîtra en mai.
LA proclamation des résultats au 5e jeu-concours des « 10 mots pour fêter la langue française en Champagne-Ardenne », organisé par l’association rémoise des membres de la Légion d’honneur, présidée par François Philippoteaux, a donné lieu à la traditionnelle et solennelle cérémonie à l’hôtel de ville de Reims, en présence de la maire, Adeline Hazan. La salle des fêtes était remplie de jeunes, impatients de savoir quels prix ils avaient obtenu. Ils appartenaient à quatre écoles primaires, dix collèges et dix lycées.
La qualité des travaux s’est traduite par une longue distribution de récompenses remises par les personnalités représentant l’Education nationale, le département et la Région.
Leurs interventions ont été suivies avec intérêt car les dix mots s’étaient également introduits dans quelques discours.
Quant à la langue française, « c’est un bonheur de la parler et de l’écrire », a dit le sous-préfet, en ajoutant : « Elle n’est pas figée, elle s’adapte aux temps nouveaux. Sa connaissance ouvre à chacun les portes de la culture, de l’enrichissement personnel et elle est source de cohésion sociale et trait d’union dans le monde. Je suis convaincu que cette source ne tarira pas
».
Quatre « super-lauréats » ont appris qu’ils étaient invités par l’association de la Légion d’Honneur à un voyage à Paris : au programme, le ravivage de la flamme sous l’Arc de triomphe et un déjeuner à bord d’un bateau-mouche. Des adultes ont été félicités pour leur participation au concours avec les partenaires : IUTL, Légion d’honneur, Amopa et bibliothèques pour tous. Les meilleurs textes seront rassemblés en un florilège disponible mi-mai au CRDP.
Ecoles élémentaires : Sherazed Ayad (B. Cavarrot), Gloria Bonneville, Chloé Evrad et Théo Debled (Ruisselet), GaÏa Larvor (Pommery).
Collèges : Bilge Can (Colbert), Méline Beautrait (Université), Cala Lanfranchini (Notre-Dame) et Lucie Legras (Avize).
Lycées : Marine Caplat (Clemenceau), Mathilde Barrachin (Jean XXIII), Clémence Guichard et Margaux Noël (Libergier).
Ont été primées des réalisations en ateliers d’écriture : lycées Yser et Joliot-Curie (un travail en commun), collèges Léonard-de-Vinci à Witry-lès-Reims, collège Nicolas-Appert à Châlons-en-Champagne et atelier Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.
En arts plastiques également (collèges Schuman, Université. Lycée Libergier,
Sévigné).
Dans le cadre de la semaine d’éducation contre le racisme, aujourd’hui :
Festival des collèges avec de 15 heures à 17 h 30, suite aux ateliers slam organisés par Slam Tribu, la Licra et les bibliothèques de Reims tout au long de l’année, des collégiens et des slameurs professionnels monteront sur scène à l’auditorium de la médiathèque Jean-Falala.
On attend notamment une performance d’Alain Maison.
Film : « In prison my whole life » de 18 h.30 à 20 h 30, la section de Reims du PCF propose une projection puis un débat avec Danier Ortheau du collectif national de soutien à Mumia Abu Jamal, journaliste noir américain, emprisonné depuis 1981 et condamné à mort.
Au 25, rue des Poissonniers.
L’Adie (Association pour le droit à l’initiative économique) tient des permanences à l’antenne municipale Châtillons, le 1er mercredi de chaque mois, de 8 h 30 à 12 heures et à l’antenne municipale Croix- Rouge, tous les vendredis, de 14 à 17 heures.
L’association Afrique Conseil, animée par des psychologues formés à l’aspect interculturel, organise dans le quartier Croix-Rouge des groupes de parole ouverts aux parents et aux jeunes. « Ces rencontres ont pour objet de soutenir les parents dans leur mission éducative, leur donner des repères sur les étapes du développement psychologique de leurs enfants, leur donner la parole afin qu’ils évoquent leurs difficultés, leurs réussites éducatives, aider les adolescents à se réconcilier avec eux-mêmes ou avec leurs parents » précise Rose Sita, l’une des animatrices.
Les réunions se déroulent à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge (3, rue du docteur-Billard), le dernier mardi du mois : 31 mars, 28 avril, 26 mai et 30 juin, de 18 à 20 heures.
Renseignements au 06.61.50.03.30. (Entrée libre).
La tour du 3, place Auguste-Rodin sera détruite au printemps 2010 mais les premières réunions pour le relogement des habitants débutent ce soir.
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Eric Quénard : la Ville a décidé de piloter de façon très rigoureuse cette rénovation urbaine.
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Vous êtes concerné par la rénovation urbaine. Votre logement va être détruit et vous êtes inquiet. Pour répondre à toutes vos questions, la Ville vient de sortir un guide du relogement.
D’ICI 2011, la ville de Reims, on le sait, va bénéficier d’un plan de rénovation urbaine colossal puisqu’il concerne près de 13.500 logements qui vont être réhabilités ou détruits pour un budget de 468 M€.
Dans les quartiers, certains habitants, et c’est normal, ne cachent pas leurs inquiétudes. Seront-ils relogés dans le même quartier ? A quel prix ? Qui paiera le déménagement ? Afin de répondre à toutes ces questions, la Ville va distribuer dans les jours qui viennent, et pas plus tard que ce soir à 18 h 30 aux habitants de la tour place Auguste-Rodin qui doit être détruite, un guide du relogement. Éric Quénard, premier adjoint, en charge du suivi de la rénovation urbaine, s’en explique.
L’élu n’a pas apprécié qu’on puisse dire que le Nouveau Reims avait hérité avec la rénovation urbaine d’un beau dossier tout ficelé.
« Nous avons fait des orientations majeures. Désormais, il y a un élu qui porte le dossier, avec les services et les bailleurs. Nous avons réussi à requalifier 127 logements sociaux de haut de gamme en logements très sociaux de façon à permettre à plus d’habitants de rester dans leur quartier, pas comme ça s’est fait à Wilson. Notre objectif est de permettre à 60 % de personnes de rester dans leur environnement actuel. Sur la charte d’insertion, nous veillerons à ce que 5 % du total des heures faites sur les chantiers de la rénovation soient réservés à des personnes sans emploi et qui habitent en zone urbaine sensible. »
« Pas question de traiter les mutations faites dans le cadre du renouvellement comme des mutations traditionnelles », insiste l’élu. Il faut rassurer, accompagner. Tel est le but du guide.
« Il y a cinq étapes-clefs pour le relogement : une réunion de présentation immeuble par immeuble en présence de la Ville et de l’organisme logeur avec présentation d’un calendrier prévisionnel, un entretien individuel
approfondi avec la personne chargée du relogement pour étudier cas par cas les situations de chaque famille (séparation, naissance, départ du foyer d’un enfant majeur), le souhait géographique (rapprochement familial, proche du lieu de travail ou de l’école etc.), le type de logement souhaité. Après acceptation de l’offre de relogement, le déménagement est programmé et organisé par le bailleur. Le jour de l’emménagement, le bailleur s’assure que la famille est bien installée. Ensuite, une réunion est organisée avec les personnes relogées pour voir si l’installation s’est bien passée et si l’intégration est réussie. »
Les habitants titulaires d’un bail dans un immeuble qui sera démoli se verront proposer un nouveau logement adapté à leur capacité financière, à la taille de leur famille et si possible en fonction de leur souhait géographique.
Les propositions de logements seront faites par écrit. Vous aurez dix jours pour donner votre réponse.
Concernant le montant des nouveaux loyers, à surface et équipement identiques, il sera proche de celui du logement quitté.
Le dépôt de garantie sera transféré sans revalorisation sur le nouveau logement. Le déménagement sera pris en charge par le bailleur à concurrence de 765€. Les frais d’ouverture des compteurs d’eau, EDF, GDF et téléphone fixe seront remboursés dans un délai de deux mois.
Un accompagnement particulier sera fait pour les personnes âgées et/ou handicapées.
En s’engageant politiquement dans ce dossier de la rénovation urbaine, le Nouveau Reims prend un risque si toutes ces promesses ne sont pas tenues. Éric Quénard le sait déjà : toutes les six semaines, il organise un comité technique territorial pour suivre quartier par quartier l’avancée du projet de rénovation, le respect de la charte d’insertion, le relogement, la gestion urbaine de proximité pour remédier aux dysfonctionnements techniques.
Alain Moyat
« Du temps ? Pour quoi faire ? » : Mireille Dupouy l’a expliqué ! |
« Je n’ai pas beaucoup le temps de me faire des soins du visage. Nous autres mamans avons tendance à oublier que nous sommes des femmes », avoue Samah, maman de deux enfants, qui se livre avec délices aux mains expertes d’élèves esthéticiennes du lycée Europe. « J’ai découvert l’atelier d’arts plastiques et pratiqué le yoga, une discipline que je vais peut-être approfondir », ajoute Paola, du quartier Orgeval. Toutes deux sont venues participer à la maison de quartier Cernay-Europe à la journée « Mères et… femmes ». Activités physiques, maquillage, soins, arts plastiques, de nombreux ateliers étaient proposés. « Ce mini-stage, c’était pour créer du rêve. Certaines se sont découvert des talents qu’elles ignoraient », explique Hubert Dufour, céramiste. « L’idée était qu’elles réalisent une œuvre à leur goût en apprenant une technique décorative. » Sylvie Francart leur a fait orner de superbes miroirs.
Christiane Kutten, adjointe au maire chargée de l’égalité hommes/femmes, a été frappée de voir le visage radieux des participantes : « Prendre le temps de s’occuper de son corps, avoir une activité culturelle, ça modifie le regard qu’on peut avoir sur soi. »
Point d’orgue, la conférence-débat de Mireille Dupouy : « Du temps pour quoi faire ? » Avec l’humour qu’on lui connaît, elle a réussi le tour de force de faire passer des notions philosophiques - « C’est quoi le temps ? Vivons-nous dans le même temps ? » - tout en faisant pleurer de rire son auditoire… « Nous avons atteint nos objectifs : permettre à des femmes de différents quartiers de se rencontrer, découvrir des activités qu’elles n’ont pas le temps ou pas les moyens de s’offrir » se félicitait Marie-Elisabeth Causin, directrice de la maison de quartier Croix-Rouge.
Les incendiaires ne passent pas toujours entre les gouttes. Vendredi vers 20 h 15, un adolescent de 14 ans a mis le feu à la poubelle d’un arrêt de bus rue François-Mauriac.
Accompagné d’un copain du même âge, il a pris la fuite… en bus ! Des policiers l’attendaient à l’arrêt suivant.
Le mineur a été retrouvé en possession d’un briquet et d’une boîte d’allumettes. Il n’a pas su dire pourquoi il avait incendié la poubelle. Son copain a été mis hors de cause. Il était présent mais n’a pas participé à la mise à feu.
Sur instruction du parquet, le petit incendiaire a été remis à ses parents. Il sera prochainement convoqué pour suivre un stage de citoyenneté.
La rue Auguste-Walbaum n’a pas été le seul endroit concerné ce week-end par des incendies.
De vendredi 20 heures à hier soir 18 heures, les pompiers sont sortis à vingt reprises pour des feux divers, notamment cinq feux de voitures.
…
Les poubelles aussi ont été à la fête ce week-end. Vendredi soir, un conteneur a brûlé vers 21 h 30 rue François-Dor, un autre à 22 heures dans le local à vide-ordures du 38 rue Rilly-de-la-Montagne (des feux à répétition y sont déplorés depuis de nombreuses semaines).
Samedi à 2 heures du matin, des cartons ont été incendiés allée des Picards (les murs ont été noircis).
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Les jeunes ont dansé pour apporter leur soutien au 15e Sidaction.
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Les danseurs et danseuses ont eu un chaleureux public.
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Hip-hop, rock fusion ou indie, stands d’information, distribution de préservatifs… la place d’Erlon a vécu hier après-midi à l’heure du 15e Sidaction.
D’UN beau rose, tendu sur un sexe en érection, le préservatif géant défiait le clocher de l’église Saint-Jacques, grimace sans doute faite au pape, dont les récents propos sur le sida font polémique. Hier, à l’initiative de la Ville, des associations Homozygote, Rire et Psyché, l’opération Sidaction 2009, la quinzième du genre en France, n’est pas passée inaperçue en centre-ville.
Tandis que des bénévoles échangeaient des piécettes contre le désormais fameux ruban rouge de ceux qui soutiennent la recherche contre le sida, sur scène, devant une toile sur laquelle figurait le slogan « aimer c’est de protéger », de nombreux groupes de jeunes ont rivalisé de talent pour faire des démonstrations de danses. Juste avant les « pros ».
Distribution de préservatifs gratuits, informations pour dire qu’« il ne faut jamais baisser sa garde », il n’est pas trop tard pour vous aussi faire un don.
Alain Moyat
Jusqu’au 11 avril au Tél. 110 ou www.sidaction.org
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Aujourd’hui, place d’Erlon, une grande manifestation sera organisée à l’occasion du Sidaction 2009. De 13 à 19 heures, des concerts, du slam, des stands de présentation des associations qui régulièrement s’occupent de prévention auprès des personnes malades et de leurs proches.
Pour la première fois, le Slam, Tribu et le Mitch vont se rencontrer et troubler l’ordre public sous forme d’attentat poétique. Tous les stands proposeront de parler de la maladie et distribueront gratuitement de la documentation et des préservatifs. Des affiches (créées pour l’occasion par l’association d’infographie Pikem) seront disposées sur tout le village pour sensibiliser les Rémois aux risques des maladies sexuellement transmissibles.
Au programme, dès 13 heures Maracasse Pied, danse hip-hop, Paragraff, Scénic road, Noodles, Hors 2 Portée.
Lundi 30 mars, la manifestation se poursuivra à partir de 19 heures à la maison associative.
Pour faire un don, composer le 110 les 21, 22 et 23 mars.
Les collégiens écoutent les conseils du slameur-conteur André Zé Jam.
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En partenariat avec Djaz51, le collège François-Legros a ouvert ses portes à la culture slam pour une journée de concert, d’échanges, d’ateliers d’écriture et de mise en commun.
Dans la matinée, les élèves de quatre classes (niveaux 4e et 3e) ont écouté le concert jazz. Puis, il y a eu un échange au sujet de ce style de musique, ses origines, son évolution et ses caractéristiques.
L’après-midi, deux classes (3e et 4e) ont participé dans un premier temps, en groupe, à deux ateliers : slam et musique.
« Le poète-slameur conteur André Zé Jam a réussi très facilement à capter l’attention de son jeune public, à leur faire part de sa conception de la poésie, à les mettre en confiance et à leur permettre de produire un texte dont le sujet était libre. Les élèves semblaient détendus et intéressés », apprécie Philippe Labiausse, principal du collège.
Dans un deuxième temps, les élèves ont lu leur texte sur scène devant leurs camarades (en solo ou en chorale). Puis, l’ont relu, accompagnés des musiciens. Ces derniers proposaient un univers musical en fonction de chaque texte proposé. Les élèves découvraient la musique improvisée pour leur texte, une démarche très intéressante.
« L’ensemble de ce travail était cohérent et original. Les élèves ont pu participer activement à une performance artistique. »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
« Lire et Délires » organise ses 10es rencontres.
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« Cette année, nous avons un nombre accru d’auteurs et illustrateurs invités », explique une des responsables de la médiathèque de Cormontreuil.
L’association Lire et Délires organise les 10e Rencontres autour de la littérature jeunesse et a sélectionné les ouvrages : « Nos critères ? L’intérêt des écrits, la qualité des illustrations » et « Ceux qui ont dit non ».
Certains auteurs exposent dans les médiathèques : « L’abécédaire » (Cormontreuil), Carole Chaix (Saint-Brice), Rascal (Laon-Zola), Christophe Merlin (librairie centre Reims) et Frédérique Bertrand (Croix-Rouge).
Avant le salon, deux événements : mercredi 25 à 15 heures, Nathalie Brisac proposera « La place de la littérature à l’école » à la médiathèque Jean-Falala (entrée libre). Vendredi 27 mars, un dîner-rencontre pour adultes avec les auteurs se déroulera à la salle polyvalente à partir de 19 heures. Inscription (10 €) au 03.26.35.28.63.
Enfin, point d’orgue, le Salon du livre de jeunesse où auteurs et illustrateurs dédicaceront leurs ouvrages. Des ateliers proposeront des animations éducatives. Des classes exposeront leurs réalisations. En parallèle, auront lieu des projections et des lectures théâtralisées.
Samedi 28 mars de 10 à 18 heures, salle polyvalente de Cormontreuil. Contact au 03.26.35.28.63. site http://lire-et-delires.fr
Le CDLCR est devenu la première association de défense des locataires du secteur Université.
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L’assemblée générale du collectif de défense des locataires Croix-Rouge, s’est déroulée, mardi, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge.
Bonne nouvelle : « Des négociations sont en cours avec Reims habitat pour disposer enfin d’un espace de permanences au 23 Eisenhower d’ici quelques semaines » a annoncé le président Fabrice Lopez.
Adhésions : Avec 142 adhérents vérifiés, surtout sur le secteur Eisenhower, « le CDLCR devient la première association de défense des locataires sur ce secteur. Nous allons prospecter maintenant les îlots Taittinger et Rilly-la-Montagne. »
Statuts : Le bureau souhaite s’élargir et intégrer des représentants de l’esplanade et de la cour Eisenhower, mais aussi des rues Pierre-Taittinger et de Rilly-la-Montagne, pour être représentatif du secteur Université-Hippodrome.
Renouvellement urbain : Le collectif fustige toujours « le manque de concertation avant la signature de la convention Anru ». Grande inconnue : « Que va devenir le vide laissé après la destruction - en cours - des immeubles 25/31 Eisenhower ? » Le CDLCR va organiser un « Vous avez la parole » et demandera aux habitants « Que voulez-vous ici ? ». Les réponses seront transmises directement à la maire de Reims.
Ordures ménagères : « Supprimer la taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères semble malheureusement impossible en l’état. Avec un collectif d’associations de locataires de l’agglomération rémoise, le CDLCR va travailler pour un mode de calcul plus juste, car actuellement c’est très pénalisant pour certains habitants. »
La fête à Eisenhower : Le projet du collectif d’organiser une fête de quartier est bien avancé. « Ce sera dimanche 31 mai, de 9 à 18 heures, sur la place au niveau du 60 Eisenhower : une brocante (pour créer du lien, pas pour faire de l’argent), des stands associatifs, des démonstrations, une fanfare de Saint-Brice-Courcelles, une chorale de Murigny, de la danse africaine et du hip-hop avec les Maisons de quartier. Nous commençons petit avec une quarantaine d’emplacements pour la brocante ; plus tard on pourra viser plus grand ! »
Renseignements, adhésions et inscriptions brocante :
CDLCR, 23 cours Eisenhower.
Tél. 03.51.00.27.69.
Site internet : http://cdlcr3.spaces.live.com
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Ce grand lycéen de 18 ans s’est senti mal à l’aise en voyant apparaître des policiers alors qu’il se trouvait au volant de son quad dans le quartier Croix-rouge mercredi dernier. Sans doute parce qu’il roulait sans casque et que son véhicule, offert par sa maman, n’était pas assuré.
Du coup, plutôt que de se soumettre au contrôle souhaité par les agents, il a préféré tenter de les semer avec son engin. Il avait ses chances, les fonctionnaires, eux, ne roulant qu’à vélo, et pourtant ce sont ceux-ci qui ont eu le dernier mot, retrouvant le pilote planqué dans un magasin de téléphonie .
Quant à l’interpellation, elle semble s’être fort mal passée, les policiers devant recourir à la force pour maîtriser l’homme, et essuyant au passage de sa part, force, insultes et même crachats. « Je n’avais pas vu que c’était la police », tentera d’expliquer le pilote, hier, à la barre du tribunal correctionnel.
Peu convaincant aux yeux des juges, qui ont puni le garçon de deux mois de prison avec sursis.
A.P.
L’amour peut permettre de surmonter la violence dans le couple. En tout cas si l’on en juge par cette comparution devant le tribunal correctionnel de Reims de ce jeudi. À la barre, un grand garçon de 21 ans, Florian Léon, tatouage au bras, clair collier de barbe. 21 ans seulement mais déjà dix-neuf condamnations au compteur ! On lui reproche d’avoir malmené sa « petite amie » (on ne sait pas trop s’il s’agit de l’ex-concubine ou de la concubine tout court…) au cours de la nuit de lundi à mardi, et cela pour une large part sous l’effet de l’alcool. Cela s’est passé dans le quartier rémois Croix-du-Sud, et selon le procureur, le calvaire de la demoiselle s’est prolongé entre minuit et cinq heures du matin : coups à la mâchoire et à la gorge, cheveux tirés, gifle tellement forte que la victime en perd connaissance, coups de pied, coups de poing… Devant une telle violence, le ministère public refuse de s’en tenir à la peine plancher d’un an de prison, et réclame 16 mois. « Un peu trop sévère », estime la défense, qui rappelle que le prévenu est aussi soutien de famille pour sa maman souffrante…
Mais cette scène de ménage pour le moins brutale ne semble en rien amoindrir l’envie des tourtereaux de vivre ensemble : « J’espère qu’on continuera à se voir », commente le garçon. « Il paraît qu’elle vous aime encore », ajoute le président. Mais la vie à deux sera momentanément interrompue par un séjour que le violent effectuera en prison : un séjour de huit mois, correspondant aux cinq mois ferme de la condamnation de jeudi (un an au total mais sept mois avec sursis), plus les trois autres mois qui tombent du fait de la révocation d’un précédent sursis.
A.P.
Même s’ils sont particulièrement agités, on ne maltraite pas inconsidérément des enfants. C’est pour cette raison que le tribunal correctionnel de Reims a envoyé, hier, une maman passer deux mois en prison.
L’histoire commence lundi, un peu après minuit, dans le quartier Croix-Rouge Une femme de quarante ans s’est blessée en tombant chez elle. Sa fille alerte la police ; les pompiers aussi sont prévenus. Quand les secours arrivent, la femme éteint la lumière, ne fait plus aucun bruit, refuse d’ouvrir la porte… Les pompiers seront obligés de briser une vitre pour pénétrer dans les lieux.
Cette femme, c’est la maman, à qui l’on vient précipitamment de retirer ses enfants. Elle en a quatre en tout, de trois pères différents. Deux de ces enfants, des garçons de 9 et 11 ans, vont raconter aux policiers toutes les violences qu’ils ont subies de la ’part de leur mère, et cela de façon assez régulière semble-t-il : coups et insultes. Des déclarations « accablantes » aux yeux de l’avocat de la partie civile.
L’un des garçons présente effectivement un hématome, l’autre des traces de coups de câble L’un des deux parlera même d’une tentative d’étouffement avec un oreiller… (Ils étaient punis sans savoir pourquoi », ajoute l’avocate En fait votre grand problème, c’est l’alcool », résume le président.
Comme ce n’est pas la première fois qu’il y a intervention auprès de cette femme pour des violences ou des soupçons de violences, indique pour sa part le procureur, et que la prévenue est une récidiviste, ledit procureur réclame la peine plancher de deux ans prévue, dont dix mois toutefois assortis du sursis.
L’avocate de la défense pour sa part, mettra en avant la thèse du complot du reste de la famille contre cette mère, au prétexte que celle-ci ne serait pas une musulmane pratiquante : les enfants auraient été montés » contre elle pour qu’ils puissent vivre avec un autre membre de la famille plus « religieusement correct ».
Les juges ont finalement prononcé une peine d’un an de prison, dont dix mois avec sursis.
A.P.
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allée des Picards (Croix-Rouge Pays-de-France), un peu après une heure et demie du matin.
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1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
2. Mode de passation du marché : avis de consultation est fait en entreprises générales ou en groupements d’entreprises.
3. Objet des marchés : construction d’une résidence étudiants : 212 chambres, La Rafale, Reims (51).
4. Nature et nombre de lots : opération en 1 lot, entreprise générale ou en groupement d’entreprises.
5. Délai d’exécution : 24 mois T.C.E. estimé.
6. Dossier de consultation :
a) Le dossier de consultation des entreprises est à retirer, à titre onéreux, à l’adresse suivante : I.C.A. REPROGRAPHIE 34, rue Alain-Colas, 51450 Bétheny, tél. 03.26.07.37.24, 03.26.07.37.61.
b) Les dossiers seront disponibles à compter du mardi 17 mars 2009.
7. Date limite de remise des offres :
a) Le jeudi 7 mai 2009 à 17 heures, délai de rigueur.
b) Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe à l’attention de Monsieur LEROY , S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, direction de la maîtrise d’ouvrage, service construction 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
c) Indications à porter sur l’enveloppe extérieure cachetée : Consultation : " Offre pour la construction d’une résidence étudiants : 212 chambres, La Rafale à Reims ". Mention " Entreprise générale ou groupement d’entreprises ". Mention " Ne pas ouvrir ".
8. Forme juridique de l’attribution du marché : entreprises générales ou groupements d’entreprises.
9. Présentation des offres : la présentation devra être conforme aux dispositions consignées dans le règlement de consultation, en respectant les modèles joints et accompagnés des documents demandés.
10. Durée de validité des offres : 180 jours à compter de la date limite de réception des offres.
11. Renseignements :
Administratifs : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, Monsieur Florian LEROY, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex, tél. 03.26.84.46.73, fax : 03.26.84.46.07.
Techniques : maîtrise d’œuvre : FOUQUERAY JACQUET 50, boulevard Lundy, 51100 Reims. Tél. 03.26.47.84.63, fax 03.26.88.36.12.
Date d’envoi de l’avis à la publication : le 16 mars 2009.
02-08-51AO1643566
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L’espace musique de la médiathèque Croix-Rouge propose une conférence, par Christian Séguret, et une exposition « Hofnermaniac » .
C’est la crise ! « Nous autres, pauvres guitaristes fauchés, pouvons désormais oublier le rêve d’acquérir, sur le marché vintage, une vieille Fender, une précieuse Gibson ou autre Américaine surcotée… Sortons du placard nos Européennes, nos copies japonaises des 70’s ! »
Et ces guitares kitch qui déclenchaient encore voici quelques années hilarité et sarcasmes, quand on osait les déballer - « Mais c’est quoi, cette guitare pourrie ? » - ces guitares « cheesy » (c’est-à-dire un peu ringardes), souvent accessibles dans les brocantes et vide-greniers pour une somme dérisoire - disons moins de 200 euros - seront à l’honneur, et exposées toute l’année à la médiathèque Croix-Rouge, en secteur musique ! « Si vous possédez une guitare datant en gros des années soixante ou soixante-dix, par exemple une vieille Hofner, Klira, Eko, une Française de marque inconnue, guitare nippone, transfuge des pays de l’Est, anglaise, suédoise, tchèque… n’hésitez pas à nous contacter, si vous êtes disposé à nous prêter la belle, pour qu’elle soit mise un temps en vitrine… » Pour débuter cette thématique, la médiathèque vous propose d’assister à l’intervention magistrale de Christian Séguret, rédacteur en chef de la revue « Guitar Collector » , musicien, auteur de plusieurs ouvrages sur la guitare, qui évoquera, puis jouera ces instruments pour illustrer sa conférence.
Il vous proposera aussi, au pied levé, d’expertiser et d’estimer les guitares que vous voudrez bien lui apporter.
Rendez-vous à la médiathèque Croix-Rouge le mardi 24 mars à 19 heures.
Le recteur Alexandre Steyer et Jean-Pierre Benoit.
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Du lundi 23 au samedi 28 mars les établissements scolaires sont invités à participer à la « 20e semaine de la presse et des médias dans l’école » : Alexandre Steyer, recteur de l’Académie de Reims et Chancelier des Universités, a lancé officiellement l’opération lundi dernier avec Jean-Pierre Benoit, coordinateur académique du CLEMI (Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information), devant enseignants et journalistes impliqués dans cette démarche éducative.
Dans la Marne, 14 lycées ou collèges ont déjà amorcé le travail et les responsables de projets ont précisé quelles pistes seraient suivies, avec rencontres et interventions de journalistes de presse écrite ou audiovisuelle sur le terrain, réalisation de reportages, de journaux, de blogs, débats et conférences : autant d’occasions de s’initier au langage et aux techniques de communication.
Pour le recteur, ces projets sont essentiels dans le cadre des activités pédagogiques « en particulier quand ils concernent des classes défavorisées : ils visent à apprendre à s’exprimer, à raisonner, à analyser l’information pour la transmettre, mais aussi à savoir écouter et à se mettre à la place de l’autre ».
Le thème proposé cette année pour le concours champardennais impose de se tourner vers les sciences : « Elles sont un enjeu majeur pour notre avenir et pourtant nous n’avons pas assez d’étudiants dans ces filières… Nous risquons de le payer cher pour le rayonnement de la France dans le monde », s’inquiète le recteur.
Il attend également des lycéens des reportages sur le « lycée de demain… Je souhaite connaître leurs idées sur la réforme ».
La diversité des programmes annoncés est apparue très prometteuse. On y trouvera aussi, comme l’a proposé le Capitaine Durand avec l’opération « Mon métier, mon avenir », des informations sur les métiers de la Défense.
Des temps forts sont prévus dans chacun des départements champardennais : pour la Marne ce sera au lycée Arago de Reims, amphi 1 et 2, le lundi 23 mars de 13 h 45 à 17 heures.
Il s’agira d’une rencontre-débat avec des journalistes de France 3, des radios et de la presse quotidienne régionale sur le thème « L’information dans les médias ».
La remise des prix au concours devrait avoir lieu le 18 mai.Participants marnais : - Collèges : Terres rouges Epernay, La Source Rilly-la-Montagne, Thibaud-de-Champagne Fismes, Maryse-Bastié Reims, Georges-Braque Reims, Pierre-Brossolette Reims, Victor-Duruy Châlons-en-Champagne, Les Bleuets Aÿ.- Lycées : La Fontaine du Vé Sézanne, Arago Reims, Roosevelt Reims, Libergier Reims, Jean-Jaurès Reims, LP Croix-Cordier Tinqueux.
Six « crews » régionaux ont présenté leur show devant un jury.
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« Cette année le festival « Urban Junior Tour » s’élargit au niveau national. Pour la première fois, nous organisons un grand concours « show chorégraphique » le mercredi 29 avril au cirque » : quatre spécialistes rémois du hip-hop, Franck Settier, David Moyen, David Mascia et Ismaël Taggae, accueillent, à la halle des sports, les groupes venus de Reims, Châlons et Troyes, pour présenter leur show de 5 minutes devant un jury.
Ce dernier, composé de spécialistes du popping, locking, new style et modern’jazz doit apprécier différents critères : « L’originalité, le respect des techniques, l’aspect musical, l’accroche, en veillant à ce qu’il y ait un fil directeur ». Après quelques échauffements et répétitions, le premier des groupes se présente.
« Classetx junior », groupe mixte, vient de La-Chapelle-Saint-Luc (10). Dès le début, on assiste à une démonstration avec une vraie mise en scène, une chorégraphie parfaitement réglée et un fil conducteur très étudié. Les tenues sont volontairement sobres pour un petit côté « West Side Story » qui devrait plaire.
« A Reims il y a beaucoup de groupes, mais on ne les voit pas beaucoup. Sortez de vos quartiers et montrez ce que vous savez faire », lance un organisateur.
Ils l’ont montré - avec talent - ce dimanche.
Toujours rien devant le bureau de poste du centre commercial de l’hippodrome. « Vu qu’ils ont fermé la poste de Zola, ils n’ont qu’à nous donner la boîte qu’il y avait là-bas ! » explique avec humour Micheline Sage, présidente de l’association des locataires (en médaillon).
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Deux mois que La Poste a promis aux habitants de La Rafale une nouvelle boîte et toujours rien à l’horizon. L’attente se fait longue…
DEUX mois sont passés depuis notre précédent article à propos des difficultés que rencontrent les habitants du secteur de La Rafale, à Croix-Rouge, pour poster leur courrier (l’union du 15 janvier) puisqu’il n’y a pas de boîte aux lettres jaune devant leur bureau de poste. Cette fameuse boîte a disparu en même temps que l’ancien bureau qui se trouvait au pied du 60 Eisenhower sur la place du même nom. Celui-ci a ensuite été transféré sur le nouveau site commercial baptisé centre commercial de l’Hippodrome. Contacté par téléphone la veille de la parution de notre premier article, un responsable de La Poste expliquait que l’absence de boîte avait bien été constatée, mais surtout que le nécessaire allait être fait pour résoudre ce problème. « Cela fait deux mois et toujours pas la moindre boîte aux lettres. Le père Noël ne nous l’a pas apportée, si on a de la chance, les cloches de Pâques nous la ramèneront. Et puis vu qu’ils ont fermé la poste de Zola, ils n’ont qu’à nous donner la boîte qu’il y avait là-bas ! » explique avec humour Micheline Sage, présidente de l’association des locataires. Les habitants commencent à s’impatienter et ne comprennent pas pourquoi l’attente est si longue. « C’est tellement long que je me demande même s’ils ne sont pas partis chercher cette boîte aux lettres en Chine ou au Mexique. Il ne faut pas exagérer quand même, c’est du foutage de gu… » précise Victor, qui habite le secteur depuis plus de vingt ans. Micheline Sage raconte aussi que dans le foyer Arfo où elle vit, une boîte aux lettres est mise à la disposition des personnes âgées du foyer. Un salarié relève le courrier et va le poster pour les locataires. « Vous imaginez qu’une fois j’ai surpris un homme extérieur au foyer en train de mettre son courrier dans la boîte qui est réservée aux personnes âgées. Le problème, c’est vraiment que les autres boîtes du quartier sont loin », raconte-t-elle. Alors quand on habite Croix-Rouge, forcément, ça énerve ! « Il y a les facteurs qui ne sonnent jamais pour nous remettre nos recommandés, ils nous laissent un avis de passage écrit « absent » alors que nous sommes bien chez nous. Il y a aussi cette boîte aux lettres qui nous oblige à être dépendant des horaires du bureau de poste. Cela fait beaucoup quand même pour une boîte de service publique », affirme un jeune du quartier. Certains ont une autre vision des choses et sont persuadés que la boîte jaune va vite arriver. « Ils nous mettent des Quick et des Mc Do, pour que les animaux restent dans le zoo. La boîte va arriver car il faut que le ghetto reste dans le ghetto, c’est dégu… mais c’est comme ça », affirme cet autre jeune homme. On sent vraiment l’importance que cette boîte jaune a pour les habitants de La Rafale, espérons que La Poste va faire vite !
Thierry Accao Farias
Du côté de La Poste, la direction explique que tout est en cours quant à l’implantation de la boite aux lettres. « Cela ne dépend pas que de nous, car cette implantation se fait aussi avec la ville qui gère la voirie » Et du côté de la mairie, tout indique qu’il n’y aura pas de problème pour les autorisations. « Nous ne voyons aucun inconvénient à l’arrivée de cette boîte. Je vais faire le nécessaire pour savoir où ça bloque. C’est important de répondre à la demande nos concitoyens », ajoute Karim Mellouki, l’adjoint au maire en charge de la voirie.
T.A.-F.
« Les Indivisibles : De 14h 30 à 16 heures : le secteur jeunesse de la Maison de quartier Croix-Rouge propose des dessins animés contre le racisme réalisés par l’association Les Indivisibles. Projection suivie d’un débat avec Rokhaya Dialo, présidente de l’association à l’espace Billard (12-14 rue Pierre-Taittinger).
« Courts mais contre » : De 18 à 20 heures : projection de courts-métrages sur les différentes formes de discrimination, co-organisée par le Collectif de lutte antifasciste, Homozygote et La pellicule ensorcelée.
Amphi 10 — Faculté de Lettres.
Michou d’Aubert : De 19 h 30 à 22 heures : en 1961, un garçon d’origine kabyle est placé en famille d’accueil dans le Berry profond, et doit changer d’identité. Un film signé Thomas Gilou, avec Gérard. Depardieu et Nathalie Baye, qui ouvre une page mal connue du grand public de histoire de l’immigration en France.
Projection-débat en présence Messaoud Hattou.
Espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge (12-14, rue Pierre Taittinger)
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Vers 1 h 30, c’est un feu de local à vide-ordures qui a mobilisé les secours, allée des Picards.
Dans tous les cas, les feux ont été éteints rapidement à l’aide d’une lance.
Les écoliers de Charles-Arnould écoutent Mme Sammut.
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Lundi matin, la Semaine nationale d’éducation contre le racisme a été célébrée en mairie de Reims en même temps que l’inauguration d’une exposition, réalisée par les élèves de Clis de l’école élémentaire Charles-Arnould, expo qui retrace en 12 panneaux un important travail graphique et de réflexion contre les discriminations et qui se tiendra dans le hall durant une semaine.
Autour de la maire Adeline Hazan étaient présents les écoliers, Mmes Sammut, Castagnet et M. Mathieu, initiateurs de l’exposition, des membres du conseil municipal, de l’Education nationale, de l’Institut Michel-Fandre et des parents.
Mme Hazan a exprimé sa satisfaction devant le travail réalisé par les écoliers et l’équipe éducative de Charles-Arnould : « Cette exposition me tient à cœur, à la fois parce qu’elle est une belle leçon de tolérance, et qu’elle coïncide avec l’anniversaire de la première année de notre équipe à la tête de la Ville. C’est un événement qui sera suivi d’autres manifestations contre le racisme à Reims. »
Avant le verre de l’amitié, Mme Sammut a évoqué les travaux qui ont été menés avec les enfants de l’école, et le groupe « Unicité » a donné un extrait du spectacle qu’il proposera contre le racisme, à l’occasion du prochain festival « Rémois, et moi et toi » .
L’association de défense des locataires de l’îlot At’Hom (allée Jacques-Simon, allée Yves-Gandon, rue Adrien-Sénéchal, secteur Georges-Braque,…) réunira son assemblée générale le vendredi 20 mars à 18 h 30 à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge (3, allée Antoine-Watteau).
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090317e
Numéro 7281 du 16 au 22 mars 2009.
Entreprise unipersonnelle
à responsabilité limitée en liquidation
au capital de 7.622,45 €uros
Siège :
35 rue Georges Bernanos
51100 REIMS
R.C.S. Reims B 403 142 052
Aux termes d’une décision en date du 31/0112009, l’associé unique, après avoir entendu le rapport du liquidateur, a approuvé les comptes de liquidation, a donné quitus au liquidateur et l’a déchargé de son mandat, et a prononcé la clôture de la liquidation.
Les comptes de liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.
Pour avis Le liquidateur.
73492
Les sections sportives sont dans l’embarras, l’Acrap n’ayant plus de véhicule.
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De nombreuses sections sportives de l’Acrap effectuent des déplacements dans toute la France (majorettes, football, karaté et kobudo, viet vo dao,…), pour des compétitions ou des démonstrations, mais l’association n’a plus de véhicule. « Nous avons ouï dire qu’il y aurait des mini-cars en fin de carrière à la ville de Reims : nous nous en contenterions volontiers… » proposait le président Genesseau au premier adjoint qui a promis de voir cela de près.
Pour faire face à des dépenses de personnel, le bureau de l’Association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) a dû se résoudre à une augmentation de 30 % du montant des adhésions, qui passent de 10 à 13 euros.
Cela fait plusieurs années que les utilisateurs des courts de tennis couverts sur le complexe Géo-André dénoncent le mauvais état de la toiture : « Les jours de forte pluie, le sol est parsemé de nombreuses flaques d’eau et avant de jouer, il nous faut éponger avec des bâches fournies par nos soins… » proteste ainsi Alain Lommé, président du Tennis Club Acrap.
Les sections sportives sont dans l’embarras, l’Acrap n’ayant plus de véhicule.
Si certains à Croix-Rouge laissent entendre que, les associations qui avaient appelé à voter Adeline Hazan rechignent à engager un mouvement contre elle sur la taxe sur les ordures ménagères maintenant qu’elle est élue, cela n’est pas le cas pour celles du « GADL ». « Le Groupement d’associations pour la défense des locataires s’est mobilisé et les associations qui le composent Union des locataires de Croix-Rouge, At’hom, Et Croix-Rouge comité Pays-de-France, les Polygones, Maryse-Bastié, Naudin et les Jardins suspendus ont fait circuler une pétition commune », assurent Roseline Marandon, Geneviève Kaczowka et Claude Stoltz, présidentes de trois des associations du GADL.
Ce document qui dénonce cette taxe a été déposé hier en mairie.
Voici le programme de ce mardi 17 mars pour la semaine d’éducation contre le racisme :
De 15 heures à 17 h 30, « Festival des collèges » : à la suite des ateliers slam organisés par Slam Tribu, la Licra et les bibliothèques de Reims tout au long de l’année, des collégiens et des slameurs professionnels monteront sur scène. Performance d’Alain Maison notamment. À l’auditorium de la médiathèque Jean-Falala.
De 18 à 20 heures, « Séropo discriminés ! » : un débat organisé par Homozygote sur les discriminations envers les personnes atteintes du Sida. Débat animé par Maxence De Barros, consultant auprès de la commission européenne. Cette initiative entre également dans le cadre du Sidaction. À la fac de Lettres.
Du 17 au 28 mars, « Les mains » : à travers des photos de mains, les bénévoles d’Unis Cité dirigent la réflexion sur notre regard sur l’autre et sur les différentes formes de discriminations dans notre société. Du mardi au samedi de 10 heures à 19 h 30, au Comptoir des rêves (6, rue du Barbâtre).
Les travaux à Croix-Rouge ont supprimé 25 places du parking.
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La police municipale fait preuve de souplesse envers les voitures mal garées.
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La police municipale fait preuve de souplesse en terme de verbalisation, mais certains automobilistes en profitent et transforment les rues de la cité des sacres en véritable cauchemar pour les piétons.
EN raison des nombreux travaux engendrés par l’arrivée du futur tramway rémois, la police municipale semble vraiment faire preuve de souplesse pour ce qui est des PV à l’encontre des voitures mal stationnées. Au niveau de la police nationale, pas de consignes particulières, mais quand même… « Il n’y a pas d’instructions particulières mais lorsqu’une demande d’indulgence parvient à l’administration, et après vérification, certains PV sont retirés. Mais cela reste du cas par cas », explique-t-on au commissariat.
C’est le cas de cet homme qui habite au cœur du quartier Croix-Rouge. Un soir, alors qu’il est au travail (il exerce un métier de nuit), la police a verbalisé son véhicule. Il était alors 23 h 45. Sa voiture était garée devant un ancien parking sous-terrain condamné depuis longtemps. « Il n’y avait pas de place sur le parking. En plus, les ouvriers ont stocké des gros matériaux sur celui-ci, ce qui supprime près de 25 places. Du coup, je me suis garé devant l’ancien garage qui n’en est plus un. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je suis rentré après une nuit de boulot et que j’ai aperçu le PV sur mon pare-brise. J’étais furieux ! » explique le Rémois. « Il n’y avait pourtant aucune signalisation interdisant de se garer à l’endroit où était ma voiture. Le PV était de 35 € et c’était écrit « gênant sur la voie publique désignée par arrêté et dûment signalé ». Mais il n’y a aucune signalisation : regardez par vous-même ! J’ai contesté par courrier en précisant pourquoi j’étais garé à cet endroit. Cela a payé car je viens de recevoir une réponse comme quoi le PV était annulé », ajoute-t-il, fier d’avoir eu gain de cause.
Ailleurs, comme par exemple avenue de Laon, en bas de la rue de Vesle ou même dans la rue Passe-Demoiselles, les conducteurs font preuve d’un je-m’en-foutisme incroyable, et n’ont aucun scrupule à faire trinquer les piétons. Combien sont-ils à être obligés de zigzaguer entre berlines et citadines lors de leur trajet ? Les conducteurs se garent partout, sur les arrêts de bus, à cheval sur les trottoirs, sur les places handicapées, sur les pelouses des espaces verts et même devant les portes de garage.
D’autres ne prennent même plus la peine de rentrer leur bagnole dans le leur, en gros pour certains, tout est permis. À croire qu’à Reims, l’anarchie règne dans le domaine du stationnement. Même au tribunal on fait preuve de clémence. Exemple avec cet enseignant qui durant douze jours n’a pu rentrer sa voiture dans son garage, l’accès était bloqué par les travaux du tram. Du coup, le prof se garait devant chez lui sans donner le moindre centime aux parcmètres. Durant ces deux semaines, il a été verbalisé à trois reprises mais a décidé de ne pas les payer. Hier, il est passé au tribunal pour ces prunes impayées. Et a été relaxé. À force, la police municipale risque fort d’être agacée par certains conducteurs profitant de la situation… Sûr que si tout ce beau monde ne se calme pas, les PV risquent de tomber, et faudra pas venir pleurer.
Benjamin Beaufays devant un des grafs réalisés par les 12-15 ans
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Dans notre article de lundi 9 mars sur les jeunes de 12-15 ans qui vont investir des locaux d’Ethnic’s, nous avons évoqué un partenariat avec plusieurs structures.
Yves Pringault, directeur des activités jeunesse à la Maison de quartier Croix-Rouge, précise que « l’action de réalisation de la salle 12-15 ans menée sur Ethnic’s avait comme seul partenaire le Service départemental de prévention. »
Par ailleurs, « les partenaires cités (SDP, Mission locale, 2Mains, Pôle emploi-formation de la Médiathèque) seront sollicités et intégrés dans l’action d’accueil et d’accompagnement des publics 16-25 ans » et non pas 12-15 ans.
Mohammed El Haddaoui et les intervenantes invitées par l’ATMF.
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Pour la Journée internationale des femmes, l’association des travailleurs maghrébins de France a investi les locaux de l’Acrap pour un programme de quatre interventions : un médecin, le docteur Bensabah, une psychologue, Rose Sita, une étudiante en psychologie, Nadia Jamal et Annie Jerardin, ancienne déléguée régionale aux droits des femmes et à l’égalité, avant un débat avec l’assistance.
« Ce fut un après-midi de dialogue et d’échange entre des femmes d’origines diverses et les intervenantes », conclut le président, Mohammed Ek Haddaoui : « de nombreux problèmes, dont les femmes sont victimes parce qu’elles sont femmes, ont été évoqués : violences conjugales, mutilations, exploitation, harcèlement sexuel, viol… »
Le premier adjoint Éric Quénard et la conseillère municipale Saïda-Soumaya Berthelot ont apporté leur soutien à cette action en faveur des femmes qui subissent l’exploitation, les guerres, les violences, les mutilations…
La journée s’est terminée par une pause thé-pâtisseries, avant un défilé de mode en musique.
Le braqueur a fait irruption dans ce magasin Ed de l’avenue d’Epernay samedi matin à 11 heures. Le quadrillage du quartier par les policiers a permis l’arrestation du suspect le jour même.
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L’auteur présumé du braquage commis samedi matin dans un magasin Ed de Reims est en garde à vue. Les policiers l’ont retrouvé le jour même dans un logement des environs. Il est présenté ce matin au parquet
BRAQUAGE express, arrestation éclair ! Un homme est en garde à vue au commissariat de Reims après l’attaque à main armée perpétrée samedi matin contre l’enseigne hard discount de l’avenue d’Epernay (l’union d’hier). Les preuves réunies contre le suspect sont accablantes.
Parmi elles : une arme de poing et le butin du braquage retrouvés en sa possession. L’attaque eut lieu vers 11 heures. Malgré la présence de nombreux clients, l’auteur a fait irruption visage encagoulé pour se faire remettre le contenu d’une caisse sous la menace d’un pistolet ou d’un revolver. Tout s’est passé très vite. Il aurait volé une centaine d’euros avant de prendre la fuite à pied vers l’avenue Eisenhower. Depuis la recrudescence des braquages dans l’agglomération de Reims, les différentes unités du commissariat central sont sensibilisées au phénomène avec la mise en place d’un dispositif particulier à chaque alerte. Il consiste notamment à quadriller un certain périmètre autour du lieu des faits.
Samedi, ce maillage du terrain opéré par plusieurs unités a porté ses fruits avec le recueil de renseignements qui ont permis l’arrestation le jour même de l’auteur présumé. La direction de fuite menait vers le quartier Croix-Rouge, sans doute une diversion car les policiers l’ont finalement retrouvé dans un logement très proche du magasin. L’individu a été placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementale de Reims. Contrairement aux quelques autres braqueurs arrêtés ces dernières semaines, tous très jeunes, voire mineurs, et sans lourd passé judiciaire, l’homme actuellement interrogé au commissariat est d’un âge plus mûr et aurait déjà eu maille à partir avec la justice pour des vols avec arme. Il doit être présenté ce matin au parquet de Reims. On devrait en savoir plus dans les heures à venir.
Fabrice Curlier
Kader Ben Mohamed dédicacera son ouvrage demain, au Salon du livre, porte de Vincennes à Paris.
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Issu du quartier Croix-Rouge, Kader Ben Mohamed sort son premier livre. Un recueil où la philosophie apparaît de façon simple et proche du quotidien.
KADER BEN MOHAMED est un Rémois de 35 ans, enseignant en psychologie. Il prépare actuellement une thèse à l’université de Nanterre. Issu du quartier Croix-Rouge, il vient tout juste de publier son tout premier ouvrage intitulé « La condition des grands ».
« La première pensée m’est venue un jour lors d’un entraînement d’aïkido. J’ai demandé un stylo et je me suis mis à écrire quelques lignes. Un peu plus tard, j’ai relu puis me suis lancé dans l’écriture du livre. » explique Kader Ben Mohamed.
Le jeune homme précise clairement que son livre n’est pas un livre de philo pure mais plutôt un essai littéraire qu’il aura mis une année à achever.
« Mon but n’est pas de créer un système ou une théorie, mais plutôt d’expliquer mon point de vue sur le fait que la philosophie s’est trompée de chemin. » ajoute-t-il. La tête bien sur les épaules et maîtrisant son sujet, Kader Ben Mohamed offre au lecteur la possibilité de s’intéresser à la philo. Pour se faire, il invite le lecteur à penser, en lui offrant une philosophie simple, prouvant que celle-ci n’est pas réservée à une élite intellectuelle, mais bel et bien pour tous si on l’emploie dans des exemples concrets, tels que ceux que l’on rencontre dans la vie de tous les jours.
« Ce que je fais est une proposition, une invitation à la philosophie situationniste, basée sur des exemples du quotidien et sur des choses qui nous entourent », précise le Rémois.
« À lire absolument au moins une fois » ou encore « La lecture de cet ouvrage ne peut laisser indifférent » peut-on lire sur la page de garde, extrait des dires de Bernard-Henry Levy qui semble vraiment avoir apprécié la prose du jeune auteur rémois.
Le livre est disponible dans n’importe quelle librairie. Kader Ben Mohamed sera quant à lui demain au Salon du livre, porte de Vincennes à Paris, pour parler du livre et pour le dédicacer à ses lecteurs.
Le Rémois invite donc les lecteurs à penser avec lui et conclut par une phrase qui en dit long : « Jadis, c’était au sein du troupeau que l’homme vivait, mais aujourd’hui c’est au sein de l’homme que vit le troupeau ».
Thierry Accao Farias
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Vers 20 heures, les pompiers sont encore intervenus au n°38 rue de Rilly-la-Montagne, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, pour un énième feu de local à vide-ordures à cette adresse.
A 3 heures hier matin, un scooter probablement volé a été incendié rue Joliot-Curie.
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Hadhoum Tunc (à gauche) à la rencontre des publics de quartier
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Chanter un extrait d’une opérette de Messager et une mélodie de Fauré, devant un public assis autour de thés et pâtisseries, à la maison de quartier des Châtillons, c’est une façon non conventionnelle de présenter l’art lyrique !
C’est ce qu’a réussi Hadhoum Tunc, soprano au Grand Théâtre, en venant présenter l’opérette et l’opéra à une quarantaine d’adhérentes et de bénévoles de l’Atelier « Apprendre et vivre ensemble » .
« Je leur ai parlé aussi de la scénographie, des décors et des costumes au théâtre » , explique la chanteuse.
Cette action s’insère dans le partenariat instauré entre les maisons de quartier et le Grand Théâtre qui souhaite diversifier les publics.
L’artiste a apprécié un auditoire très réceptif et assez surpris que d’un corps de petite corpulence sorte une voix aussi puissante !
« Quand cette voix merveilleuse s’est élevée dans cette petite salle, nous sommes restées sous le charme » , confie une des bénévoles qui encadrent l’atelier. « Bien que peu habituées à l’art lyrique, les participantes ont écouté l’artiste avec émotion et sensibilité » , apprécie Nursel Yanasma, animatrice.
« Avec le Grand Théâtre, les maisons de quartier sont dans une démarche réfléchie visant à amener les familles à sortir de leur quartier et à accéder à d’autres cultures » .
Pour la représentation d’« Arsène Lupin », une centaine de personnes venues des maisons de quartier Croix-Rouge, Les Epinettes et Châtillons se sont déjà inscrites : l’action commence à porter ses fruits !
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090313b
Numéro 7280 du 09 au 15 mars 2009.
1. Identification de la collectivité qui passe le marché
Place de l’Hôtel de Ville
51096 REIMS Cedex
Personne responsable du marché : Monsieur Jean-Pierre AUGER , Directeur Général des Services Techniques, par délégation
2. Mode de passation
Marché à procédure adaptée, conformément à l’article 28 du Code des Marchés Publics.
3. Objet
La présente consultation a pour objet la démolition partielle (structures surplombant la voirie publique chaussée et trottoirs) de la passerelle commerciale Pays de France située avenue du Général Bonaparte à Reims.
4. Obtention du DCE
Le DCE sera remis gratuitement à chaque candidat qui en fera la demande à la Ville de Reims - Direction Générale des Services Techniques – Service des affaires administratives - 51096 REIMS cedex – bureau 110 – tél. : 03-26-77-73-47 – fax : 03-26-77-73-50.
Dispositions relatives à la dématérialisation : Les candidats ont la possibilité de consulter et d’archiver sur leur ordinateur le dossier de consultation des entreprises (DCE) dans son intégralité.
Pour réaliser ces actions, candidats devront se connecter, via internet, à l’adresse suivante :
http://www.marchespublics.reims.fr
Un « mode d’emploi utilisateurs, fournisseurs » est mis à la disposition des candidats sur le site dans la rubrique « aide ».
Lors du téléchargement des documents, le candidat doit notamment indiquer, son nom ou raison sociale, le nom de la personne physique téléchargeant les documents ainsi qu’une adresse électronique (courriel). Toutes ces indications lui permettront de bénéficier de toutes informations complémentaires diffusées au cours de cette procédure, en particulier les éventuelles précisions.
La remise dématérialisée des candidatures et des offres n’est pas autorisée.
5. Date limite de réception des offres : le 17 AVRIL 2009 à 17h00
Les offres sont à envoyer par la poste en recommandé ou à remettre à la Ville de Reims – Direction Générale des Services Techniques – Service des Affaires Administratives - bureau 110 – 51096 REIMS Cedex
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6. Conditions d’envoi des offres
Sous enveloppe cachetée portant la mention "NE PAS OUVRIR" Consultation
VM5-S-09-06 « Démolition partielle de la passerelle Pays de France »
Cette enveloppe devra contenir les pièces relatives à la candidature (article 3.2 du règlement de consultation), et l’offre du candidat (article 4.2 du règlement de consultation)
7. Critères de jugement des offres
Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères pondérés énoncés ci-dessous, par ordre de priorité décroissante :
1 : Valeur technique 60%
2 : Prix 40%
8 -Renseignements complémentaires
Mme Chantal SAUVEGRAIN : 03-26-77-73-59
Direction de la Réhabilitation du Patrimoine Bâti - Service Sécurité Accessibilité et Gestion du Patrimoine
Une visite de chantier obligatoire est programmée, avant la remise des offres, le 27 mars 2009. Les candidats devront prendre contact auprès de Mme SAUVEGRAIN au 03.26.77.73.59 ou de M. THOMASSIAN au 03.26.77.73.12.
10. Date d’envoi à la publication du présent avis : 03 mars 2009
Le Directeur Général des Services Techniques
Jean-Pierre AUGER
ATTRIBUTION D’APPORTS
CESSION DE FONDS DE COMMERCE
ACTE : Reçu par Maître Alain RUAUX, Notaire à REIMS, 14 bd Lundy, du 26 février 2009, enregistré à REIMS NORD le 27 février 2009, bordereau 229, case n° 1.
CEDANTE : La société dénommée "LE TONKIN S.A.R.L.", société à responsabilité limitée au capital de 7.622,45 €, ayant son siège social à REIMS, 14 allée Yves Gandon, Centre Commercial, Les Hauts de Murigny, immatriculée au R.C.S. de REIMS sous le ri’ 405 341 546.
CESSIONNAIRE : La société dénommée "LE MEKONG", société à responsabilité limitée au capital de 5.000,00 €, ayant son siège social à REIMS, 5 allée des Landais, immatriculée au R.C.S. de REIMS sous le n° 509 611 364.
OBJET : Un fonds de commerce de produits alimentaires asiatiques, produits artisanaux asiatiques, plats cuisinés prêts à emporter, toutes spécialités alimentaires et artisanales de quelque origine que ce soit, l’exercice du commerce de traiteur, situé à REIMS, 14 allée Yves Gandon.
PRIX : Dix mille €uros (10.000,00 €), s’appliquant aux éléments incorporels pour 7.660,00 € et aux éléments corporels pour 2.340,00 €.
ENTREE EN JOUISSANCE : Le 26 février 2009.
OPPOSITIONS : Dans les dix jours suivant la dernière en date de la présente insertion et de la publicité au B.O.D.A.C.C., en l’Étude de Maître Alain RUAUX, Notaire à REIMS (Marne), 14 boulevard Lundy.
Pour insertion : Maître RUAUX.
73382
MEDECINS MARNE
Société civile de moyens au capital de 1.829,40 Euros.
Siège social : 21 rue Pierre Taittinger51100 REIMS
429 788 227 R.C.S. Reims
Du procès verbal de l’assemblée générale extraordinaire du 29 décembre 2008, il résulte que Monsieur Nicolas DHONDT n’est plus gérant de la société.
L’article 15 des statuts a été modifié en conséquence.
Mention est faite au R.C.S. de REIMS.
Pour avis.
71958
Au capital de 7.622,45 €uros
Siège social : 7 rue Joliot Curie - 51100 REIMS
R.C.S. Reims B 418 266 987
Aux termes d’une décision en date du 29 décembre 2008, la gérance de la société à responsabilité limitée SARL EMBELLI DECOR a décidé de transférer le siège social du 7 rue Joliot Curie - 51100 REIMS, au 9 rue des Savoyards, 3 B - 51100 REIMS, à compter du 1°’ janvier 2009, et de modifier en conséquence l’article 5 des statuts.
La gérance.
73459
TRIBUNAUX DE COMMERCE
TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement du 17/02/2009, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de M. LEROY Patrice Jacques Georges, 33, place Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité : Nettoyage, entretien, rénovation de locaux.
Le greffier : Bernadette DELPY
73262.
TRIBUNAUX DE COMMERCE
TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement du 17/02/2009. le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : GULER Ali. 9 place Jean Fragonard - 51100 REIMS.
Activité : Entretien espaces verts.
Le greffier : Bernadette DELPY.
73266
L’assemblée générale de l’association de défense des locataires des Polygones se tiendra jeudi 19 mars à 18h 30 dans la salle de la Ligue de l’enseignement, rue Alphonse-Daudet.
La présidente Geneviève Kaczowka et les membres du bureau présenteront les rapports sur les activités de l’association.
VOS MARCHANDS DE JOURNAUX : Tous sur le pont pour le 20.000e numéro de l’union
Grosse mobilisation hier matin auprès de nos 86 diffuseurs de Reims et de la couronne à l’occasion du 20.000e numéro de l’union. Une opération réussie grâce à la mobilisation de jeunes des lycées Yser (1re et terminale bac pro vente) et Joliot-Curie (1re année bac pro vente et 1re année BTS).
Mention particulière aussi à Denis Boitelet, dépositaire exclusif et à l’équipe de l’union : Franck Philippot, Patricia Auboin, Gérard Dubois, Bruno Périn et Carole Sangnier.
Voici quelques photos dans les points de ventes partenaires privilégiés de l’union.
REIMS.- Sofiane BEJAOUI, centre commercial Pays de France
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Bravo et merci aux lycéens d’Yser et de Joliot-Curie, mobilisés hier auprès des diffuseurs de l’union.
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REIMS.- Véronique CABARET, Le Kennedy, Ccial de l’Hippodrome.
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REIMS.- Évelyne CHOQUEZ, 13 place Rodin
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Ça phosphore dur à Reims métropole
Alors qu’il était question de poser symboliquement le premier rail du tramway début mai, vers la place des Belges, Mars et les élus se tâtent.
Cela pourrait finalement se faire du côté de Saint-John-Perse (quartier Croix-Rouge).
L’hebdo du vendredi- n° 115 - 090312c
ENVIRONNEMENT – CONSOMMATION : Devenons consom’acteurs !
Légumes bio ou issus de l’agriculture raisonnée, il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses.
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En place sous forme d’association depuis 3 ans sur Reims, l’AMAP (Aide au Maintien de l’Agriculture Paysanne) permet de consommer « local », des légumes de saison, directement du producteur au consommateur.
Des légumes de saison cultivés sainement et cueillis à maturité, une proximité du lieu de production ou d’élevage, aucun transport inutile, ni emballage superflu, c’est avec cette philosophie que le consommateur adhérent à l’AMAP, contribue notamment en Champagne-Ardenne au maintien d’une agriculture socialement équitable et écologiquement saine.
« Gagnant – gagnant » est l’autre principe des AMAP. S’engageant sur une année, à acheter hebdomadairement un panier de légumes de saison issus de l’agriculture raisonnée ou bio, l’acheteur permet au producteur d’écouler une marchandise de qualité avec une perte minimum en lui garantissant un revenu, mais aussi en le libérant de contrainte (moins de souci de gestion, investissements à court terme). « Au début de notre association, nous n’étions qu’une douzaine d’adhérents, nous allons bientôt franchir la barre des 350 consommateurs de toute catégorie sociale et de tout âge. Forts de ce succès, nous avons dû partir à la recherche de nouveaux producteurs, c’est chose faire depuis peu » explique Véronique Ritaly, pierre angulaire de l’association. Ainsi outre Daniel Boitelle, maraîcher à Mauregny en Haye (02), fidèle depuis le début de l’aventure, le Marnais Jean-luc Mathieu et l’Axonais Nicolas Beaufils sont venus garnir les rangs des maraîchers. Un éleveur de volailles et un couple des Ardennes, Nadège et Loic Boveroux fournissent de la viande de boeuf, de veau, de porc ou encore d’agneau, 100% bio.
Pour être client, il suffit d’adhérer à l’AMAP (cotisation annuelle de 10 € ) et moyennant 13€, vous repartez, chaque semaine, avec un panier de légumes raisonnés ou avec une cagette de produits bio pour 15€. Un geste éco-citoyen qui permet de retrouver les saveurs de légumes oubliés, des produits de saison de la région, cueillis le jour même de la vente. Une opération qui pousse les agriculteurs à se mettre au bio, en effet, ces derniers ont la garantie de vendre leur récolte, sans aucune perte, grâce aux commandes fidélisées des clients en amont.
Si la qualité n’a pas de prix (tarifs pratiqués inférieurs aux grandes surfaces), elle requiert cependant un engagement d’achats réguliers. « Si vous êtes absents car partis en vacances, il suffit de demander à un « AMAPien » de récupérer votre marchandise. C’est le gage d’un bon fonctionnement et d’un respect du producteur » précise Xavier Glod, amateur du système depuis la première heure.
Ainsi chaque mardi de 18h30 à 19h30, les AMAPiens et les producteurs vous attendent sur la place du marché du Boulingrin.
Un autre lieu de vente situé au 21 de la rue Alphonse Daudet (derrière le campus Croix-Rouge) est mis en place le vendredi aux mêmes heures.
Si vous êtes intéressés par cette nouvelle manière de consommer, et ainsi devenir acteurs d’une autre agriculture, vous pouvez contacter Véronique au 06 09 73 64 10
Franchet d’Esperey : une nouvelle gare en chantier
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La halte ferroviaire de Franchet d’Esperey, dont l’ouverture est programmée en septembre prochain, est en chantier depuis plusieurs semaines.
Celui-ci porte sur la création de deux quais, la mise en place d’une passerelle équipée de deux ascenseurs ainsi que sur l’installation d’équipements divers.
Le montant total des travaux s’élève à 3,2 M d’€. Cette halte, située sur la ligne SNCF Reims-Epernay et au croisement de la future ligne de Tramway, permettra une meilleure desserte de Reims Management School et de l’Université de Droit et de Sciences Humaines..
Les 5-7 ans et les 12-16 ans participaient à cette formation.
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Le Reims Champagne basket a accueilli la semaine dernière une vingtaine d’enfants dans le cadre d’un partenariat avec plusieurs maisons de quartier (dont Croix-Rouge, Saint-Remi et Cernay).
« Le matin on avait les 5-7 ans avec l’initiation au basket, et les après-midi les plus grands (12-16 ans) : pour ce groupe, l’accent a été surtout mis sur le jeu.
Le dernier jour, les professionnels sont venus apporter leur touche. C’était un peu leur surprise à eux », éclaire Franck Ostré, entraîneur.
L’assemblée générale de l’association de défense des locataires des Polygones se tiendra jeudi 19 mars à 18 h 30 dans la salle de la Ligue de l’enseignement, rue Alphonse-Daudet.
Le président Genesseau présente un flacon d’eau de Croix-Rouge au premier adjoint : elle est rouge orangé et granuleuse…
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La dernière assemblée générale de l’Acrap (Association Croix-Rouge pour l’Animation et la Promotion) aura été l’occasion pour les adhérents de l’association d’interpeller le premier adjoint Éric Quénard, sur plusieurs dossiers en suspens dans leur quartier. Avec des réponses qui ne les auront pas forcément rassurés…
Le président Jean-Pierre Genesseau a offert un flacon d’eau de Croix-Rouge au premier adjoint : « L’eau des sanitaires est polluée par des conglomérats de rouille, de sable et sa couleur rougeâtre n’engage pas à la boire. De plus, cela bouche nos canalisations, nos filtres et les distributeurs. Le coût de la maintenance s’en ressent ! »
Réponse invariable du premier adjoint : « La collectivité a demandé une expertise indépendante sur les réseaux primaires et secondaires. On verra alors l’impact par rapport à la qualité de l’eau… Le public sera tenu au courant des résultats de l’expertise… »
En attendant, aucune évolution n’est à attendre dans les canalisations et aux robinets des habitants !
« À cause des travaux du tramway, le terrain de tennis inférieur sera amputé de 5 mètres sur toute sa longueur. Qu’aurons-nous en remplacement ? » demandait Jean-Pierre Genesseau. « Espérons qu’un jour un nouveau terrain soit créé et que celui existant soit rénové car il est dangereux ! » ajoutait Alain Lommé, responsable de la section tennis.
« Quant à la section pétanque, elle ne peut organiser la moindre compétition sur place car elle ne dispose pas d’un boulodrome digne de ce nom, donc aucune rentrée financière… » ajoute Christian Gérard, responsable pétanque.
« Une rencontre est à organiser car le tramway racle un terrain de tennis, le meilleur des deux » a confirmé Éric Quénard : « A court terme, on rénove celui qui reste. À moyen et à long terme, pourquoi pas un second terrain de tennis ? Quant à la bande de terrain laissée vacante sur le court amputé, pourquoi pas un boulodrome correct ? » Pas de vraie décision en définitive : « Notre espérance est dans les mains de la Ville ! » conclut le président…
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Heureusement, les adhérents ont appris une bonne nouvelle : l’Acrap fait partie des trois premières associations rémoises, en nombre de licenciés. |
Les membres du bureau ont annoncé un déficit important que chacun espère résolu cette année.
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L’ASSEMBLÉE générale de l’association Croix-Rouge animation et promotion, vendredi, a montré la solidité de cette structure et la solidarité qui règne entre ses 820 adhérents et la centaine de bénévoles qui gravitent autour d’eux.
Après le tour d’horizon du président Jean-Pierre Genesseau et la lecture des comptes rendus d’activités des quatorze sections sportives et des cinq sections socioculturelles, le public a découvert que les finances ont posé problème cette saison. Avec 205.753 euros de dépenses pour 193.379 euros de recettes, le déficit atteint 12.373 euros, ce qui est dû, comme toujours, aux dépenses de location des installations sportives pour 10.739 euros reversés à la Ville, et aux frais de main-tenance d’un local associatif qui se fait vieillissant (11.714 euros).
Pour l’instant, la Ville attribue 60.000 euros de subvention de fonctionnement, mais qu’en sera-t-il dans l’avenir, après les états généraux du sport organisés en ce moment ? Sujet tabou, ni le président de l’Acrap ni le premier adjoint Éric Quénard n’en ont touché mot…
Une bonne nouvelle toutefois a été apportée par Antoinette Mabile (de l’office des sports) : « Un pointage récent demandé par la mairie fait apparaître que l’Acrap se situe dans les trois premières associations de Reims en nombre de licenciés ». Le conseiller municipal Alain Bisteur est même allé plus loin : « L’Acrap est la numéro 1 de toutes les associations à dominante sportive de Reims ».
Dans ces conditions, il sera difficile de réduire les subventions, d’autant plus que, comme l’a rappelé le président, « l’Acrap est certes une grosse association multisports, mais c’est aussi une importante composante sociale et culturelle du quartier, avec ses actions en direction des jeunes et des personnes âgées ! »
Si la danse orientale, les travaux manuels, le fitness-step et le yoga ont du mal à décoller, cinq sections ont vu leurs effectifs augmenter : couture, karaté et kobudo d’Okinawa, vovinam viet vo dao, pétanque et surtout natation, qui enregistre un bond de 20 % de nouveaux adhérents depuis la réfection de la piscine du château d’eau.
En définitive, cela a été une soirée studieuse, les adhérents posant de nombreuses questions pertinentes, mais conviviale puisqu’aucune fausse note n’a été remarquée : cette gestion sereine est tout à l’honneur du bureau et de nombreux bénévoles qui font de l’Acrap une association incontournable du quartier Croix-Rouge.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Plusieurs voitures ont brûlé ces dernières nuits à Reims ou dans les environs.
…
Toujours lundi, mais à 21 heures, une Mercedes classe A a pris feu sur le parking de la faculté Croix-Rouge, rue de Rilly-la-Montagne. A signaler que vingt minutes plus tard, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré au n°38 de la même rue, comme toujours (les pompiers ne comptent plus le nombre de fois où ils sont intervenus à cette adresse).
…
Dimanche vers 20 h 30, les pompiers sont également intervenus pour un feu de poubelle place Dominique-Ingres, au n°2, mais il a été éteint avant leur arrivée.
L’assemblée générale du Collectif de défense des locataires Croix-Rouge, où il sera question, entre autres, de la manifestation festive liée à une brocante dans le cadre du projet « Eis’Vital », se déroulera le mardi 17 mars à 19 heures, à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge (12-14, rue Pierre-Taittinger), 1er étage, dans la grande salle.
Journal « l’Union » - 090311bb
À l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une randonnée pédestre familiale « nature Bol d’air le, vers Fère-en-Tardenois.
Départ à 9 heures dimanche 15 mars, au 14, rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.
Les prochaines séances de vaccinations proposées à Croix-Rouge par le service communal d’hygiène et de santé se dérouleront aujourd’hui, à la maison de quartier :
de 9 h 30 à 10 h 30, à l’espace Pays-de-France, 1 allée des Béarnais (Tél. 03.26.82.53.48.
et de 14 à 15 heures, à l’espace Billard 14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03326.08.08.78.).
Société à responsabilité limitée au capital de 4.000 euros.
Siège social : 1, rue Jeanne-Jugan, 51100 Reims.
Le soussigné : Monsieur FERHAT Achour, 39, rue Pierre-Taittinger, 51100 Reims, né le 24 juin 1963 et de nationalité française, a établi ainsi qu’il suit les statuts d’une société à responsabilité limitée dont le gérant est l’associé unique.
La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.
511.1641337
Travaux
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE.
Correspondant : M. le Président du conseil général de la Marne, service marchés publics, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.49.68, courriel : marchespublics@cg51.fr
Objet du marché : remplacement des sols du hall et de la demi-pension avec désamiantage au collège Georges-Braque à Reims.
Type de marché de travaux : exécution.
L’avis implique un marché public.
Caractéristiques principales : des variantes seront-elles prises en compte : oui.
La procédure d’achat du présent avis est couverte par l’accord sur les marchés publics de l’O.M.C. : non.
Prestations divisées en lots : oui.
Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
Modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent : budget de la collectivité, virement sous 40 jours.
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.
Conditions de participation :
Situation juridique, références requises : copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire.
Déclaration sur l’honneur pour justifier que le candidat n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics.
Renseignement sur le respect de l’obligation d’emploi mentionné à l’article L. 5212-1 et suivant du code du travail.
Capacité économique et financière, références requises :
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les travaux objet du contrat, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles.
Déclaration appropriée de banques ou preuve d’une assurance pour les risques professionnels.
Référence professionnelle et capacité technique, références requises :
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années.
Listes des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyés d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l’époque et le lieu d’exécution des travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l’époque et le lieu d’exécution des travaux et précisent s’ils ont été effectués selon les règles de l’art et menés régulièrement à bonne fin.
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de contrats de même nature.
La certification QUALIBAT 1512 pour le lot n° 1 désamiantage.
Critères d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous (par ordre de priorité décroissant).
Valeur technique des prestations.
Prix.
Type de procédure : procédure adaptée.
Date limite de réception des offres : 25 mars 2009 à 12 heures.
Délai minimum de validité des offres : 150 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Renseignements complémentaires : à titre indicatif les travaux débuteront à compter du 22 juin 2009 jusqu’au 31 août 2009. Les délais d’exécution sont de 3 mois pour la tranche ferme et 1 mois pour la tranche conditionnelle.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés : CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE, service marchés publics.
Correspondant : service marchés publics, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.49.68,
adresse internet : http://www.achatpublic.com
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE - S.E.T.B.
Correspondant : Vincent DROBEZ, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.40.20.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : CONSEIL GÉNÉRAL DE LA MARNE.
Correspondant : service marchés publics, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.49.68, télécopieur : 03.26.69.51.29.
Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.66.86.87.
Service auprès duquel des renseignements peuvent être obtenus concernant l’introduction des recours : tribunal administatif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.66.86.87.
Renseignements relatifs aux lots :
Lot 1 : désamiantage.
Lot 2 : carrelage.
Date d’envoi de l’avis : 4 mars 2009.
51AO1640670
En ce début de semaine, des contacts doivent se nouer entre les représentants des locataires de plusieurs quartiers de Reims. L’idée est de monter un « collectif » anti-taxe des ordures ménagères à l’échelle de la ville de Reims. Si ce rapprochement fonctionne bien, un courrier commun sera adressé à la mairie de Reims, dont les anti-Tom trouvent le silence particulièrement « lourd ».
Il se dit néanmoins que dans le quartier Croix-Rouge, des associations ayant appelé à voter pour la liste d’Adeline Hazan, les responsables rechigneraient à engager un mouvement contre elle, maintenant qu’elle est en place.
A suivre dans les prochains jours.
À l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une randonnée pédestre familiale « nature Bol d’air », vers Fère-en-Tardenois.
Départ à 9 heures, dimanche 15 mars, au 14, rue Pierre-Taittinger.
Tél. 03.26.08.08.78.
En prélude à la semaine nationale d’éducation contre le racisme, un tournoi de slam est organisé dans l’auditorium de la médiathèque Jean-Falala, jeudi 12 mars, de 14 heures à 16 h 30.
Les apprentis slameurs des collèges Joliot-Curie, Georges-Braque et Colbert rencontreront les apprentis slameurs de l’école Pommery.
Le collectif Slam Tribu a en effet animé des ateliers Slam toute l’année en collaboration avec la Licra et les bibliothèques de Reims.
Ce tournoi (forme classique de Slam) sera l’occasion d’une rencontre ludique et bon enfant.
Les prochaines séances de vaccinations proposées à Croix-Rouge par le service communal d’Hygiène et de Santé se dérouleront mercredi 11 mars à la Maison de quartier :
de 9 h 30 à 10 h 30, à l’espace Pays-de-France, 1 allée des Béarnais (Tél. 03.26.82.53.48.)
et de 14 à 15 heures, à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.).
Pour tout renseignement complémentaire :
Service communal d’Hygiène et de Santé, 33, bis rue Laurent Déramez (Accueil : 03.26.35.68.70 ou 03.26.35.68.71)
Philippe N’Gou, conseiller crédit et Benoît Hubert, directeur de l’Adie.
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Travailler à son compte, depuis 2009, devient facile, grâce au nouveau régime de « l’auto-entrepreneur » qui n’impose plus, pour s’installer, de formalités compliquées. Mais cela suppose quand même quelques capitaux. Comment faire quand on n’a pas accès à un financement bancaire classique ? C’est là que l’Adie (Association pour le droit à l’initiative économique), installée à Reims depuis 1999, intervient. « Dans l’esprit de beaucoup, une entreprise, c’est quelque chose de costaud, avec plusieurs employés. Mais aujourd’hui, il y a d’autres façons de créer une activité », insiste Benoît Hubert, le directeur régional.
« Notre but, c’est de permettre aux personnes d’avoir une activité principale ou complémentaire, avec un minimum de formalités ».
Quelqu’un qui est en situation de chômage, d’emploi précaire, peut aujourd’hui créer une activité économique. Philippe N’Gou, conseiller crédit, peut les aider : « Mon rôle est à la fois de faire émerger des projets et de répondre aux besoins de financement ». Il s’agit d’un vrai prêt bancaire (d’un montant maximum de 5.500 euros), aux conditions du marché.
Sur Reims, une quinzaine de bénévoles, chefs d’entreprises, cadres, apportent un accompagnement collectif et individuel : « Nous balisons en quelque sorte le parcours : appuis dans les démarches, conseils pour bien démarrer ».
La plupart des demandeurs sont des personnes assujetties aux minima sociaux : « Si nous avons en face de nous quelqu’un de responsable, qui sait rebondir en cas de difficulté, on va le suivre. Ce n’est pas le projet qui fait la réussite, c’est l’homme ».
En un an, sur l’agglomération, l’Adie a accordé environ une soixantaine de microcrédits.
La création d’entreprise a été pour beaucoup un tremplin : « A trois ans, 8 personnes sur 10 sont sorties du chômage, 6 entreprises sur 10 sont encore en activité. Pour les autres, ça leur a permis de rebondir ».
Ventes ambulantes, activités artisanales ou de services, petits travaux à domicile : la plupart ont démarré tout petits, dans une pièce de leur maison, avec du matériel d’occasion et ont, à présent, pignon sur rue. « Vous seriez surpris du système D que peuvent trouver nos clients pour travailler ! »
Cet outil d’insertion est aussi un remède contre le travail au noir. « Ce nouveau statut, nous y sommes pour beaucoup », constate Benoît Hubert, fier de préciser : « Nous venons de remettre le millième microcrédit en Champagne-Ardenne ». A la question : « Quelle est votre plus belle réussite ? »
Benoît Hubert répond : « Mais elles sont toutes belles ! Notre mission, c’est l’insertion, durablement, dans l’emploi ».
Adie 2 allée Albert-Caquot, Pépinière d’Entreprise Farman. N° vert : 0 800 800 566.
Permanences aux antennes municipales des Châtillons le 1er mercredi du mois de 8 h 30 à 12 heures et de Croix-Rouge tous les vendredis de 14 à 17 heures.
Site : www.adie.org
La Ville de Reims a décidé de s’associer à un collectif de 19 associations, à l’occasion de la semaine contre le racisme et l’antisémitisme, élargie à la lutte contre les discriminations.
Lundi 16 mars
- À 10 heures : à la salle des fêtes de l’hôtel de ville, vernissage de l’exposition « Regards d’enfants », en présence des enfants de l’école Charles Arnould et des élus. Sketchs sur les discriminations, créés par « Unis-Cité ».
- À 18 heures : le foyer Princet-Ozanam fera découvrir la réalité des foyers d’accueil de jour, en présence de la directrice et de l’équipe éducative. Rendez-vous salle 101 de la maison de la vie associative, 122 rue du Barbâtre.
Mardi 17 mars
- À 18 heures : débat organisé par « Homozygote » sur les discriminations envers les personnes atteintes du sida. Débat animé par Maxence De Barros, consultant auprès de la commission européenne. Rendez-vous au bâtiment modulaire de la fac de Lettres.
Mercredi 18 mars
- À 14 h 30 : des dessins animés contre le racisme à la maison de quartier Billard. Réalisation : association les Indivisibles. Projection suivie d’un débat avec la présidente de l’association Rokhaya Dialo.
- À 18 heures : projection de courts métrages sur les différentes formes de discrimination, co-organisée par le « collectif de lutte antifasciste », « Homozygote » et la « Pellicule ensorcelée ». À l’amphi 10 de la fac de Lettres.
- À 19 heures : « Michou d’Aubert » : Film de Thomas Gilou, avec Guillaume Depardieu et Nathalie Baye, sur l’histoire de l’immigration en France. À voir à la maison de quartier Billard (quartier Croix-Rouge).
Les jeunes ont participé à la réhabilitation de leurs locaux, avec David Gameiro.
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Durant les vacances d’hiver, une dizaine d’adolescents de 12 à 15 ans du secteur Croix-du-Sud, encadrés par David Gameiro, animateur jeunes de la maison de quartier et par Philippe Malin, éducateur au Service départemental de prévention, ont remis en état des locaux d’Ethnic’s.
« C’est la reprise en main du public 12-15 ans. Ils seront ici chez eux, dans ce lieu d’accueil où l’on pourra capter leur parole, faire émerger leurs projets et les familiariser avec des activités », précisaient Yves Pringault, directeur jeunesse de la maison de quartier Croix-Rouge et Jean-Pierre Ettel, président des maisons de quartier de Reims.
Cette action est montée en partenariat avec l’association 2 Mains, la médiathèque Croix-Rouge, le collège Georges-Braque et le service départemental de prévention.
Un intervenant graff, Benjamin Beaufays, a guidé les jeunes dans la réalisation de fresques murales.
La salle, inaugurée vendredi, sera ouverte dès demain, mardi 10 mars, aux jeunes de 12 à 15 ans et le dispositif fonctionnera mardi, jeudi et vendredi de 16 à 19 heures, mercredi de 14 à 19 heures et samedi de 14 à 18 heures.
Bien entendu, les 16/25 ans seront toujours accueillis chez Ethnic’s, mais dans des salles et un point information jeunesse bien distincts.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
L’histoire suivante vous dégoûterait presque de jouer les bons samaritains.
Elle se passe à Reims le samedi 21 février vers 23 heures au groupe Eisenhower, mais la police vient seulement de la dévoiler.
Un homme d’une trentaine d’années vient de s’en prendre plein la tête, c’est le cas de le dire, après avoir croisé un groupe de jeunes ; il a notamment pris un coup de bouteille sur le crâne. Il a le visage en sang quand un quidam d’une vingtaine d’années s’approche dans l’intention de lui venir en aide.
Il demande au blessé son portable pour appeler les secours, selon ses déclarations à la police ; mais le fait-il de façon un peu équivoque ? Toujours est-il que l’autre, apparemment paniqué, croit à un vol !
Et comme le « secoureur » insiste, le blessé lui donne un coup de bouteille sur la figure !
Conclusion tragi-comique pour ce malentendu.
Heureusement que la police est finalement arrivée pour remettre un peu d’ordre dans la situation !
A.P.
Vendredi après-midi, un jeune homme a été interpellé allée Jacques-Simon. Il avait été reconnu par un policier comme étant recherché pour exécuter une peine de prison ferme.
L’intuition du policier était bonne puisque l’homme de 35 ans devait purger une peine de deux mois de prison ferme.
Il a été emmené directement à la maison d’arrêt de Reims.
Un autre jeune, âgé de 20 ans, a été arrêté samedi par une patrouille de police. Il a été placé en rétention au commissariat car il ferait lui aussi l’objet d’un extrait de jugement le condamnant à deux mois de prison ferme. Des vérifications étaient en cours hier.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus dimanche, vers 2 h 50, rue Joliot-Curie pour un feu de voiture.
Une Daewoo a été détruite par les flammes et l’incendie s’est propagé à une Renault 5 stationnée à proximité.
Le feu a été éteint à l’aide d’une lance. La police, qui était sur les lieux, a ouvert une enquête.
Le premier adjoint et le président d’accord : « La Ville a d’autres priorités que le transfert de l’hippodrome. »
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En 2008, l’activité de cet équipement a battu tous les records. 2009 sera une année de travaux, en attendant un hypothétique transfert de l’hippodrome vers Bezannes.
POUR dresser le bilan de la société des courses de Reims, le président Gilles Jeziorski affichait un large sourire. Il y a de quoi : 2008 « restera dans les annales » comme l’année de tous les records. Fréquentation et recettes. Seule ombre au tableau : comme le transfert de cet équipement vers Bezannes n’est pas pour demain, la société est obligée de conduire des travaux pour améliorer les conditions d’accueil.
L’an dernier, 142 courses ont été courues par 1.972 concurrents pour 8.197 chevaux engagés. Le tout en dix-huit réunions, dont sept l’ont été au titre du PMU. Les compteurs ont explosé pour ces dernières : 54,3 M€ collectés, en hausse de 19 % par rapport à 2007, qui a compté une journée de moins.
Quant aux enjeux locaux, ils ont engrangé 1 M€ d’enjeux, en hausse de 6,3 %.
Plus de 16.000 personnes sont entrées sur l’hippodrome, pour une moyenne habituelle de 12 à 14.000 entrées. Cinq manifestations justifient ces résultats : la fête de l’hippodrome (+23 %) ; la course nationale de trot, le « GMT » (+11 %) ; l’opération « générosité » pour Roseau, avec Miss France ; la visite du Stade de Reims (+ 10 %) et le « déjeuner sur l’herbe » (817 convives).
En 2009, les grands rendez-vous seront nombreux, avec notamment huit journées PMU. Reims a été préférée à d’autres grandes villes grâce à la rénovation de sa piste.
En 2009, la société va aussi devoir investir 0,7 M€ pour refaire la cuisine de son restaurant, chauffer la tribune et lui adjoindre un point de restauration rapide, créer un accès handicapés. Autant de travaux qui étaient suspendus au transfert vers Bezannes. Vu le prix (on parle de 30 M€), le président Jeziorski a admis que « la Ville a d’autres priorités ». Approbation du premier adjoint et conseiller général du canton, Gilles Quénard, qui promet cependant que la Ville « accompagnera » la SCR. Car contrairement au projet Schneiter, le transfert version Hazan ne sera pas payé en totalité par la collectivité.
Enfin, la délégation de service public Ville/SCR qui datait de 1976 et courait jusqu’en 2010, a été résiliée le 1er janvier. Désormais, la SCR est simple « locataire » de la ville.
J.F.Scherpereel
En prélude à la semaine nationale d’éducation contre le racisme, un tournoi de slam est organisé dans l’auditorium de la médiathèque Jean-Falala à Reims, jeudi 12 mars, de 14 heures à 16 h 30.
Les apprentis slameurs des collèges Joliot-Curie, Georges-Braque et Colbert rencontreront les apprentis slameurs de l’école Pommery.
Le collectif Slam Tribu a en effet animé des ateliers slam toute l’année en collaboration avec la Licra et les bibliothèques de Reims. Ce tournoi (forme classique de slam) sera l’occasion d’une rencontre ludique
Eh oui, les câbles électriques sont comme ça sur plusieurs étages…
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Les locataires du 17, avenue Bonaparte, ne supportent plus la crasse de leur immeuble.
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Sonia Royer et Kader discutent de leur problème. Une pétition résume le malaise ambiant
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Ils en ont plus que marre, les locataires du 17, avenue Bonaparte. Ils vivent dans un immeuble plus que sale où fils électriques dénudés, crasse, tags et vide-ordures bouchés font bon ménage.
CHEZ EUX, c’est propre. Ils font de leur mieux pour agencer leur appartement, malgré les fissures et la vétusté des logements.
« Lorsqu’on appelle le Foyer rémois, ils viennent et constatent mais ne donnent jamais de suite. Je voulais faire de la peinture mais si je repeins, ça ne servira à rien, ça cachera seulement la misère. Ce n’est pas une solution » précise Rafik, locataire depuis 1978.
« Vous avez vu l’état de la robinetterie ? Honnêtement c’est Mathusalem ! Bon, il y a aussi des gens qui doivent se responsabiliser. Vous imaginez, il y a plus d’animaux dans l’immeuble que de locataires. Il faut limiter le nombre d’animaux par logement » ajoute Sonia Royer, représentante des locataires.
Effectivement, ces locataires du 17 avenue de Bonaparte, dans le secteur Pays de France (sous-quartier de Croix-Rouge) en ont clairement raz le bol du manque d’écoute dont fait preuve le Foyer rémois à leur égard. C’est pour cela qu’ils ont décidé de s’unir, signant une pétition qui dénonce ce qu’ils supportent au quotidien.
« Quelquefois, une femme de ménage passe, mais à part nettoyer le rez-de-chaussée, rien d’autre. Elle ne fait pas les escaliers ni les étages. » explique ce monsieur qui habite l’immeuble. Quel autre terme employer que « dégueulasse » pour qualifier la crasse incrustée sur les escaliers ? C’est si sale qu’on dirait même de la moquette, horrible ! Les vide-ordures sont bouchés depuis des lustres, l’odeur des ordures remonte même jusqu’aux logements.
« On sent les poubelles jusque chez nous, les odeurs remontent et sortent de notre cagibi » explique ce couple locataire du 1er étage.
Des tags partout, du rez-de-chaussée au dernier étage. Certes, le Foyer rémois n’y est pour rien mais ce n’est pas pour autant qu’il les efface. Quel beau décor, des « Nique la police » ou encore des « Fils de p… » en guise de décoration murale.
« Regardez, il y en a partout ! Que doivent penser nos amis lorsqu’ils nous rendent visite ? Ils doivent nous prendre pour des pouilleux quand ils voient cela » explique cette autre femme. Et que dire des câbles électriques dénudés que l’on peut voir ? À la portée de n’importe quel enfant, inconscient du danger. « On a peur de l’incendie », s’indigne cet autre locataire.
Autre problème qui, semble-t-il, aurait été résolu par l’organisme logeur : les blattes. « L’appart d’une dame était envahi de cafards, mais ils sont venus faire une désinsectisation. Espérons que cela suffira », ajoute Sonia Royer, qui précise bien que l’état des autres immeubles en terme de crasse est similaire. « Nous voulons que cela change » conclut-elle.
Thierry Accao Farias
Le Foyer rémois apporte quelques précisions
Contacté par téléphone, le Foyer rémois rapporte quelques précisions en ce qui concerne les soucis que rencontrent ces locataires en colère. « Les locataires ont, à disposition, un numéro de téléphone qu’ils peuvent appeler 24 heures sur 24 et ce 7 jours sur 7. C’est une possibilité qu’on leur offre en cas de problème », précise, Christophe Fabert, directeur de la clientèle au Foyer rémois.
Celui-ci explique aussi que le nettoyage n’est pas une responsabilité qui appartient aux locataires. « Nous avons des agents d’entretien ainsi que des prestataires de service, mais une heure après qu’ils sont passés faire le nettoyage, ça peut être déjà sale. Malheureusement nous ne pouvons que déplorer cela. »
T.A.F
A l’occasion de ses 35 ans, l’association Étoile Corse-du-Sud recherche des bénévoles pour la mise en place de trois jours de fête les 12,13 et 14 juin.
Une réunion d’information se tiendra mardi 10 mars à 18 h 30 au siège de l’association, 5 avenue Léon-Blum.
Pour tout renseignement, s’adresser au secrétariat (Tél. 03.26.06.56.66.)
Démonstration devant la fac de Lettres.
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Un groupe de jeunes « qui veut donner une image positive » a créé une association de Yamakasis : il y a Dimitri, Sébastien, Florian, Mickaël, Romain, Benjamin, Sébastien, Jordan, Jazzon, Medhi et les autres, tous passionnés par cette discipline ; pas un jour sans que les gens du quartier Croix-Rouge ne découvrent au détour d’un immeuble, ces jeunes de 15 à 18 ans en train de s’entraîner, afin d’améliorer leur souplesse, leur agilité, leur rapidité.
L’objectif dans ce sport, « le parkour », c’est de se déplacer le plus vite possible d’un point à un autre, dans un environnement urbain (immeubles, installations sportives, passerelles, escaliers, bouches d’aération, sorties de garage, bacs à fleurs,…), par l’acrobatie, une activité qui requiert souplesse et agilité.
La création de leur association a été encouragée par l’Union des locataires de Croix-Rouge, où la présidente, Claude Stoltz, apprécie : « Yamakasis mais pas kamikazes, ils sont conscients du danger, leur envie d’apprendre, leur volonté de respecter l’environnement, les lieux, les gens, leur désir de transmettre une image positive de la jeunesse est un bel exemple à suivre… ».
On peut découvrir les activités Yamakasis sur le site http://infinity-style.tk
Ce conducteur de voiturette sans permis comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Reims.
Il lui était reproché de manquer pour le moins de maîtrise dans le pilotage de son engin : jeudi après-midi, dans l’allée des Bretons du quartier Pays-de-France, il avait endommagé avec son véhicule une vraie voiture, un Renault Espace. Ce n’était pas le fruit du hasard : s’il n’avait pas de permis, il avait en revanche une bonne dose d’alcool dans le sang. Qui plus est, il n’était pas assuré !
Il avait alors le choix entre un jugement immédiat, ou un délai pour préparer sa défense. Il a choisi cette deuxième option. Du coup, les juges avaient à se prononcer sur ce qu’il convenait de faire de l’intéressé en attendant la nouvelle audience : le laisser en liberté, ou bien le mettre au frais dans une cellule.
En dépit de la demande de son avocate, Me Manni, ils ont préféré garder « sous le coude » le conducteur à problèmes. Il devra donc patienter derrière les barreaux jusqu’au 24 mars.
Ajoutons que les propriétaires de l’Espace n’en avaient malheureusement pas fini avec leurs déboires de voitures. Le frère du prévenu est venu rechercher la voiturette de celui-ci, voiturette qui avait été immobilisée sur place après l’accident en raison de l’absence d’assurance.
Eh bien, le deuxième frère n’a pas fait mieux que le premier : il a trouvé le moyen, en manœuvrant à son tour le petit véhicule, d’endommager la deuxième voiture des propriétaires de l’Espace !
Heureusement, il n’y a pas eu de troisième frère pour tenter sa chance…
A.P.
Cette histoire de vol de voiture aurait pu être banale sans sa conclusion amusante. Elle commence mardi après-midi par un vol de Ford Fiesta commis par un individu de 25 ans, qui s’en sert pour faire tours et détours dans son quartier de Croix-Rouge
En fin d’après-midi, le voleur croise une patrouille.
Celle-ci remarque aussitôt que ce conducteur n’a pas attaché sa ceinture. Les policiers cherchent donc à contrôler ce dernier.
Mais on aura compris que l’intéressé a tout intérêt à ne pas se laisser approcher de trop près par les forces de l’ordre ; il prend donc la fuite en courant, s’engage finalement dans un immeuble. Les policiers suivent, le cherchent vainement.
Mais au moment où l’un des fonctionnaires redescend les escaliers, l’ascenseur arrive au même moment sur le même palier ; et la porte s’ouvre… sur le voleur !
Ce nez à nez inattendu permet aux policiers d’avoir le dernier mot. Le voleur fuyard est interpellé et placé en garde à vue.
Il reconnaîtra seulement avoir utilisé la voiture ; il sera donc poursuivi pour recel.
A.P
Reims bouge pour la journée des Femmes… où plutôt le mois des femmes si l’on en croit le programme.
Débats, expositions ou encore théâtre et cinéma, il y en aura pour tous les goûts. C’est le moment de sortir les agendas.
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Projections-débat sur le thème « Femmes et parentalité »
11 mars (16 h 30 - 19 heures) et 12 mars (9 heures-11 h 30) à la médiathèque Croix-Rouge.
A noter : la séance du 12 mars est réservée aux femmes fréquentant les maisons de quartier.
« Regards de femmes » avec les Maisons de quartier
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À côté du printemps des poètes, le mois de mars est celui des illustrateurs pour la jeunesse dans les médiathèques de Reims. Jusqu’à la fin du mois, trois expositions aux trois coins de la ville permettent de retourner en enfance, mais surtout de faire découvrir de vrais artistes aux plus petits.
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Enfin, la médiathèque Croix-Rouge propose jusqu’au 28 mars une exposition d’œuvres originales de Frédérique Bertrand : planches en peinture acrylique, crayon et collages, mais aussi créations en volume.
Diplômée de l’École des beaux-arts de Nancy, elle a écrit de nombreux livres pour enfants, mais a aussi réalisé des illustrations pour la presse nationale et internationale, créé des affiches pour des festivals et couvertures de livres.
Elle expose régulièrement dans des galeries d’art et a marqué de son style les éditions du Rouergues.
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis Debar, 03.26.35.68.40.
Ces expositions sont organisées dans le cadre du partenariat de bibliothèque de Reims avec le salon du livre de Cormontreuil qui se déroulera les 27 et 28 mars prochains.
A cette occasion, il sera possible de rencontrer au salon ou dans les médiathèques les illustrateurs.
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Randonnée pédestre : Départ dimanche à 7 h 15 du centre social Watteau (Croix-Rouge).
Choix entre deux parcours : « Les dames de Meuse » (14 km) ou « La boucle des Sept-Roches » (11 km).
Renseignements et inscriptions au 03.26.36.03.50. ou au 06.12.99.83.09.
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Les années se suivent et se ressemblent à la société des courses de Reims. Une fois encore, Gilles Jeziorski qui présidera ce soir l’assemblée générale de l’association, va devoir tirer des plans sur la comète, tenter d’en dire plus sur le déménagement de l’hippodrome.
Une chose est sûre au moins pour la Ville, ce déménagement n’est pas pour demain. Compte tenu du marché immobilier et d’un montage financier qui laisse à désirer et n’est pas satisfaisant, du fait de la non-implication et du Département et de la Région pour un dossier évalué entre 15 et 18 M€, il est indispensable de revoir les choses » affirme le premier adjoint Éric Quénard.
Un élu qui confirme aussi ce qu’a déjà dit plusieurs fois la maire Adeline Hazan : « Ce dossier n’est pas prioritaire et nous avons assez de projets à mener avant, en matière de rénovation urbaine, dont le projet Croix-Rouge. La société des courses ayant fait 200.000 € de travaux, il n’est pas question de la chasser du site avant plusieurs années, mais il est indispensable de nous rencontrer courant mars, pour voir de quelle façon et dans quelles conditions on peut lui assurer cette pérennité. »
L’hebdo du vendredi- n° 114 - 090305e
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 114 - Semaine du 06 au 12 mars 2009
Quand l’hippodrome se remet en selle…
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Après 3 mois d’interruption et quelques transformations, l’hippodrome de Champagne rouvre ses pistes à Reims. Entre rénovation et rêve de délocalisation.
Accueillant cette année 2 courses PMU de plus que l’an dernier (soit 8 journées sur les 18 journées de trot programmées), l’hippodrome de Reims doit s’adapter à ses activités. « Les PMU génèrent une très large part de nos recettes », souligne Gilles Jeziorski, Président de la Société des Courses et concessionnaire de l’hippodrome.
« Lors de ces occasions, la ville devient la vitrine de la France hippique : pour conserver l’agrément national, il faut pouvoir disposer d’une structure appropriée ». Après 6 ans de stagnation, une piste de dégagement vient donc d’être créée autour de l’anneau, afin que les chevaux au galop, englués dans la mêlée, puissent s’échapper sans danger.
200 000 € qui ont permis d’améliorer les pistes, mais qui seront loin de suffire à métamorphoser le site. « La rénovation a ses limites : pour se développer et attirer davantage de public, l’hippodrome a besoin de plus d’espace, d’accessibilité et de commodités.
Seule une nouvelle construction pourrait permettre de créer d’autres activités ». Un complexe de 25 hectares à Bezannes, par exemple, pourrait accueillir les courses en toute sécurité (ascenseurs, parking, chauffage des tribunes…), mais pas seulement. « Les pistes, ne servant qu’une vingtaine de jours par an, pourraient être exploitées le reste du temps » : loges d’entreprises, congrès, manifestations sportives… Un projet toujours d’actualité, qui trotte dans la tête du Président depuis de nombreuses années.
Retardées en 2007 pour raisons électorales, les discussions ont repris avec la nouvelle municipalité (propriétaire de l’hippodrome), dans un climat sain et constructif. Mais elles progressent aujourd’hui sur fond de crise nationale. Car pour financer la construction de la nouvelle enceinte, à hauteur d’environ 18 M d’€, le site abandonné à Croix-Rouge devrait trouver une autre utilité. « De gros promoteurs immobiliers étaient intéressés par le projet. Aujourd’hui, ils ne sont plus très motivés pour investir…
Personne ne sait quand ça va se terminer, on ne pourra rien lancer avant au moins 5 ou 6 années ». Le temps de restructurer les tribunes actuelles, pour temporiser et rester dans la course.
Pauline Godart
Des expos à voir de 7 à 77 ans
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En plus du printemps des poètes, le mois de mars est aussi celui des illustrateurs pour la jeunesse, dans le réseau des bibliothèques de Reims. En effet, à l’occasion du salon du livre de Cormontreuil, les 27 et 28 mars prochains, trois expositions dans la ville invitent les plus grands à retourner en enfance, mais surtout les plus petits à découvrir de vrais artistes.
Ainsi, David McKee est à l’honneur à la médiathèque Jean Falala avec son célèbre éléphant Elmer, Rascal à la médiathèque Laon-Zola et Frédérique Bertrand à la médiathèque Croix- Rouge.
Plus d’infos sur le salon du livre jeunesse de Cormontreuil surhttp://lire-et-delires.fr
TRAMWAY : Les ambassadeurs à l’école
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Parce qu’il est important que les enfants s’approprient le tramway dont ils seront, demain, les principaux utilisateurs, les ambassadeurs du tram viennent à leur rencontre dans les écoles avec un projet pédagogique complet.
Outre les missions quotidiennes d’information de la population qu’ils accomplissent à l’Espace Tram Info, sur le terrain ou par téléphone, les ambassadeurs du tram interviennent depuis la fin d’année dernière dans les écoles primaires de l’agglomération pour présenter les caractéristiques du tramway de Reims, expliquer les travaux et le long processus qui aboutit à la réalisation d’un tel projet, montrer comment il fonctionnera et ce qu’il changera pour l’agglomération.
Leurs interventions, préparées en collaboration avec les enseignants et suivies avec attention par les élèves, s’intègrent dans une proposition plus large qui comprend la mise à disposition d’outils pédagogiques mais aussi des visites de chantier pour suivre les différentes étapes des travaux jusqu’à l’ouverture de la ligne en 2011.
Classes participant à ce jour au projet :
1 classe de CE2/CM1 de l’école élémentaire Alfred Gérard
1 classe de CE2 de l’école élémentaire Blanche Cavarrot
1 classe de CE2 de l’école élémentaire Cavelier de la Salle
1 classe de CM1 de l’école élémentaire Cavelier de la Salle
1 classe de CM2 de l’école élémentaire du Jard
1 classe de maternelle de l’école maternelle 3 Fontaines
1 classe de 3e du collège 3 Fontaines
1 classe de 5e du collège Saint Rémi
Avis aux amateurs !
ARRÊT SUR IMAGE
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Les alpinistes urbains ont déployé sur les balcons d’un immeuble voué à la démolition les phrases inventées par les habitants du quartier Croix Rouge dans le cadre du projet « Autre peau/Autre ville » mené avec la plasticienne Armelle Blary pour Reims Habitat.
Photo Alain Hatat.
DÉPOSE D’UNE LIGNE 20 000 VOLTS À REIMS
La décision de restructurer ses réseaux au sud de l’agglomération rémoise a été prise par ERDF à la suite d’une étude lancée en 2006 qui tenait compte notamment du développement de la zone commerciale « Les Parques » à Cormontreuil mais aussi du projet de contournement autoroutier de l’agglomération (A4 bis) et de prises en compte de préoccupations environnementales.
Au programme : l’enfouissement de la ligne aérienne qui surplombe le quartier Val de Murigny et les voies SNCF qui relient la gare centrale de Reims à la gare Champagne-Ardenne TGV.
Par ailleurs, le projet de tramway nécessite la modification du réseau existant rues Léon Blum et Joliot- Curie et son enfouissement pour alimenter la future sous-station de traction, avenue du Maréchal Juin à Reims.
Nécessitant une grande maîtrise technique, notamment au-dessus des habitations, les travaux de dépose des conducteurs ont été organisés début décembre.
Cette opération s’achève en ce début d’année avec la dépose des pylônes.
Visuel du Printemps des poètes, élaboré lors de l’atelier écriture.
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Mardi 10, à 15 heures : « Comment les femmes ont pris le pouvoir », pour toutes, à partir de 8 ans.
Mercredi 11, à 11 heures, en poésie, quelques poèmes et comptines pour enfants sages… ou presque, de 4 à 8 ans.
Clôture de l’atelier d’écriture animé par Romain Janssens, écrivain public : « Le Printemps des poètes est enfin arrivé » mercredi 11, à 17 heures.
Mercredi 18, à 15 heures, dans le cadre de la journée de la femme, témoignages : extraits de récits sur la diversité de la condition des femmes. Pour tous, à partir de 12 ans.
Samedi 21, à 9 h 30, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans accompagnés d’un adulte. Inscription indispensable.
Mercredi 25, à 16 h 30, « Le gros navet », traduit du russe par I. Balibar et illustré par Lucile Butel : « Une, deux, trois personnes viendront-elles à bout de ce légume quelque peu récalcitrant ? ». Pour enfants de 4 à 8 ans.
L’Association des travailleurs Maghrébins en France intervient à l’occasion de la journée internationale de la femme, dimanche 8 mars à 14 heures dans le local associatif de l’Acrap, 11, avenue du président-Kennedy.
Mohammed El Haddaoui et son équipe ont prévu l’intervention de trois femmes : un médecin, une historienne et une spécialiste des questions d’égalité des droits hommes-femmes.
La parole sera donnée à la salle avant une pause thé et gâteaux et un défilé de mode en musique de 18 à 19 heures.
Entrée libre.
Le conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny se réunira mercredi 11 mars à 19 heures dans la salle municipale avenue François-Mauriac.
À l’ordre du jour notamment : restitution de la commission, débat et première validation ; information du conseil de quartier sur le projet urbain Reims 2020 et sur le renouvellement urbain ; questions diverses et expression publique. Entrée libre.
L’art investit Croix-Rouge
Du 5 au 20 février dernier, la compagnie Hendrick Van Der Zee, en résidence au Manège de Reims, a parcouru le quartier Croix-Rouge, allant à la rencontre de ses habitants. Une série de rendez-vous préparés de longue date avec tous les acteurs du quartier et enrichis de nouvelles suggestions au fur et à mesure des rencontres et des discussions. Au détour d’une rue, sur les places, les marchés, dans les lieux publics, dans un magasin, les cours d’écoles et de collèges, de jeunes artistes ont ainsi proposé des moments de grâce exprimés par la danse, le cirque, le théâtre…
Ces impromptus artistiques partagés avec les habitants ont été filmés. Cela s’appelle une "Veillée". « Une Veillée, c’est fabriquer quelque chose ensemble » explique Guy Alloucherie, directeur artistique de la compagnie. « C’est détourner le quotidien des gens sans rien leur imposer. Elle est le prétexte à parler de culture, d’art. La culture doit être un service public. Pour inventer, changer le monde. » Au terme de la Veillée, un spectacle d’une durée de 1h30 environ retraçant le cours de cette belle aventure a été projeté au gymnase Géo André, à 18 h puis à 20h30. La mémoire de cette Veillée est aussi inscrite dans le blog tenu quotidiennement par la compagnie installée à La Nacelle, sous forme de textes et de photos. Archivé, il sera donc consultable longtemps après le départ des artistes : www.hvdz.org/blog
« Croix-Rouge "squatté" par la compagnie HVDZ ! Un bel hommage à notre quartier lieu d’échanges pluridisciplinaires teintés de cultures urbaines, au travers de rencontres impromptues avec des artistes, enregistrées et diffusées. »
Autre peau, autre ville exposée à la Médiathèque Croix-Rouge
jusque fin février à la Médiathèque Croix-Rouge, cette exposition présentait la synthèse des actions réalisées dans le cadre du projet artistique Autre peau autre ville conçu par la plasticienne Armelle Blary. Un projet soutenu par la Ville de Reims au côté de l’organisme logeur, Reims Habitat, et qui s’inscrit dans le cadre de la rénovation urbaine (ANRU). Pendant deux ans, de nombreux habitants du quartier, en particulier les anciens locataires des immeubles 25 à 31, esplanade Eisenhower, ont participé à cette démarche originale qui a fait d’eux des acteurs à part entière de cette rénovation en vue de repenser la ville et de se projeter ensemble dans l’avenir.
Le Programme de Rénovation Urbaine : Informer au cœur des quartiers
Le 29 janvier dernier, Adeline Hazan lançait officiellement à l’Hôtel de Ville le programme de rénovation urbaine 2008-2011. Objectif de ce projet ambitieux : faire de Reims une métropole régionale du Grand-Est, dynamique et solidaire.
Embellir les quartiers, les rénover, les animer, le programme se décline sur quatre secteurs : Croix-Rouge, Wilson, les Epinettes et Orgeval.
La concertation locale et la participation des habitants à la rénovation urbaine sont au cœur de la démarche. Réunions publiques dans les quartiers concernés, ateliers urbains de proximité, Points Information, autant d’initiatives pour associer les habitants aux projets.
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« La rénovation des quartiers est nécessaire. Je trouve essentiel d’informer les habitants dans cette métamorphose. Plus on en parle, et mieux c’est accepté. L’action artistique peut permettre de tisser du lien entre les habitants et d’accompagner les populations dans cette logique du changement ».
Quel est le sens de votre présence dans ces réunions d’information publique sur le programme de rénovation urbaine ?
Le projet de rénovation urbaine est porté par la Ville de Reims. Lors de ces réunions, l’objectif est d’expliquer à nos locataires notre action sur le logement : démolition, réhabilitation, et résidentialisation.
Quels autres dispositifs de concertation allez-vous mettre en œuvre ?
Des groupes de travail seront mis en place avec les locataires volontaires pour une réflexion sur des thèmes liés à la vie de quartier : stationnement, tri sélectif… En outre, des réunions individuelles spécifiques auront lieu au sujet du relogement.
Que répondez-vous à l’inquiétude des locataires sur une éventuelle hausse de leurs loyers après la rénovation ?
Nous allons essayer de trouver un accord gagnant/gagnant avec les locataires. Nous allons rencontrer chaque personne concernée par ces réhabilitations ou relogements et réaliser un accompagnement personnalisé en s’appuyant notamment sur le dispositif APL (aide personnalisée au logement).
Rénovation urbaine, un tremplin pour l’insertion professionnelle dans les quartiers
Le programme de Rénovation Urbaine est aussi un formidable outil d’insertion par l’emploi. En effet, la Charte d’insertion consacre un minimum de 5 % des heures travaillées sur les chantiers liés à la rénovation à l’embauche des demandeurs d’emploi vivant dans les zones urbaines dites “sensibles”. Au-delà de ce tremplin pour l’emploi, la Ville de Reims a créé un réseau de partenaires pour accompagner les bénéficiaires de la Charte d’insertion vers une formation professionnelle.
Depuis trois mois, Mahmoud Ammiche, 32 ans, habitant de Croix- Rouge, profite de la Charte d’insertion professionnelle, un dispositif dans lequel l’Etat, les collectivités et les maîtres d’ouvrage s’engagent à consacrer au moins 5 % des heures travaillées sur les chantiers de la Rénovation urbaine à l’embauche des demandeurs d’emploi vivant dans les zones urbaines dites “sensibles”. A Reims, cette charte prend une dimension particulière étant donnée l’importance du programme de rénovation urbaine qui y est mené. Une première enveloppe portait à quelque 180 millions d’euros le montant consacré à la rénovation urbaine à Reims. Une somme qui s’est traduite concrètement par des contrats à durée déterminée au bénéfice de 120 demandeurs d’emplois.
Depuis deux mois, le programme de Rénovation urbaine à Reims est monté en puissance avec l’ajout de 290 millions d’euros d’investissements supplémentaires ce qui en fait l’un des cinq programmes les plus ambitieux en France. Un tel investissement consenti par l’Etat, la Ville de Reims, Reims Métropole, les bailleurs sociaux et la Foncière logement va directement profiter à l’insertion professionnelle dans les quartiers.
« 5 % de ces 290 millions d’euros, devront être convertis en heures de travail pour les habitants des quartiers, c’est le minimum que nous impose l’Agence nationale pour la rénovation urbaine, mais la volonté du Nouveau Reims est d’aller au-delà de ces 5 % et faire de Reims un modèle en ce qui concerne l’insertion professionnelle », prévient Eric Quénard, 1er adjoint à la maire de Reims, en charge du Logement et de la politique de la ville.
Pour réaliser cet objectif, le premier adjoint a réuni régulièrement autour d’une même table l’ensemble des acteurs de la Rénovation urbaine. Le but étant de créer une synergie afin d’optimiser au mieux les opportunités professionnelles générées et d’accompagner les demandeurs d’emploi vers la formation et une vie professionnelle pérenne. « La Charte d’insertion offre souvent une première expérience professionnelle, le but est d’accompagner ces jeunes vers des formations », insiste Philippe Dorkel, chargé de mission à la Direction de la Cohésion sociale de la Ville de Reims. Le réseau mis en place par la collectivité porte ses fruits puisque la moitié des personnes employées dans le cadre de la Rénovation urbaine ont bénéficié (ou bénéficie) d’une formation professionnalisante. C’est le cas de Mahmoud Ammiche qui, depuis plusieurs mois, travaille sur le chantier du groupe scolaire Ravel, dans le quartier Wilson. Cette première expérience a été concluante et Emploi 51, une agence intérimaire spécialisée dans l’insertion, va lui financer intégralement une formation dans le bâtiment.
Slimane Habitri, un habitant de Wilson, a créé son entreprise en novembre 2008, grâce à l’activité générée par le programme de Rénovation Urbaine, son entreprise a déjà bénéficié de deux chantiers aux Epinettes et à Wilson. « Nous travaillons en partenariat avec le Foyer Rémois », explique le jeune entrepreneur, spécialisé dans le domaine de la démolition.
« Pour chaque chantier, j’embauche des jeunes du quartier », reprend-il : « Il y a beaucoup de volontaires, je suis souvent obligé de refuser des candidats. » La deuxième enveloppe de 290 millions d’euros, destinée à renforcer le programme de Rénovation urbaine, ouvre évidemment de nouvelles perspectives à l’entreprise de Slimane Habitri : « Il est certain que cela va créer de l’activité pour les entreprises locales, dont la mienne je l’espère. » _ H. C.
« La clause d’insertion offre souvent une première expérience professionnelle pour les demandeurs d’emploi vivant dans nos quartiers. Mais il ne faut pas s’arrêter là et accompagner ces demandeurs vers des formations professionnelles afin que leur insertion professionnelle soit durable »
vous avez plus de 25 ans, adressez-vous au Pôle emploi (ex Anpe), agence Jacquart, 80, rue Docteur Lemoine, Reims, composez le 3949.
Si vous avez moins de 25 ans, adressez-vous à la Mission locale pour la jeunesse. 34, rue Trianon, à Reims, 0326403034, Agence Wilson, 53, boulevard Wilson, 0326773935.
La vie des quartiers
• L’équipe de Cindy tous les mercredis des périodes scolaires propose des activités par tranche d’âge pour les enfants de 3 à 12 ans.
• Les vendredis de 9h45 à 11 h, jusqu’en juin (sauf durant les vacances scolaires) bénéficiez des ateliers de préparation à l’école maternelle en contactant Alexandra au 0647715300.
• Enfin, toute l’équipe invite les habitants des secteurs Croix du Sud et Hauts de Murigny à participer à l’élaboration du nouveau projet de l’Espace Watteau pour les 4 ans à venir.
• le lundi de 14 h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12 h.
L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le Marché Croix du Sud. Contact : 0616392102.
a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 6 h à 13 h.
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La classe de Terminale BT Collaborateur d’architecte du lycée Arago a organisé un concours d’architecture interne comme chaque année.
Cela consiste à regrouper les élèves en binôme, qui, durant deux semaines de recherches, ont élaboré un projet sur « l’espace d’accueil, de rencontres et de cultures » au parc de Champagne (anciennement parc Pommery).
Jean-Philippe Thomas, président du concours des collaborateurs d’architectes, ainsi que le professeur principal de cette section, Joël Garin, des architectes DPLG, des parents d’élèves tirés au sort, et des représentants de la Ville de Reims, ainsi que le président de l’ordre des architectes, ont constitué le jury.
Des panneaux et des maquettes ont été exposés afin de retenr trois projets. Les élèves sont passés par tirage au sort à l’oral pour présenter leurs projets. Il ne va pas sans dire que la qualité de leur travail a donné du fil à retordre au jury. Tous ces élèves se sont battus pour leur avenir, car tous sont très impliqués par leur filière.
Malheureusement, cette section de BT Collaborateur d’architecte au lycée Arago se trouve dans sa dernière ligne droite.
Les derniers diplômes seront distribués en juin prochain, la section s’arrêtant à la fin de cette année scolaire 2008-2009. Joël Garin et l’équipe enseignante font le maximum pour que le taux de réussite aux examens soit de 100 %.
Avec la fin des vacances vont arriver les deuxièmes séances de conseils de quartier. Voici les prochains rendez-vous :
le mardi 10 mars à 19 heures pour le secteur La Neuvillette/Trois-Fontaines à la maison de quartier la Neuvillette, 45, rue jean-Jaurès (information sur le projet urbain Reims 2020) ;
Croix-Rouge/Hauts de Murigny, mercredi 11 mars à 19 heures, salle municipale, 4, avenue François-Mauriac (information sur le projet urbain Reims 2020 et sur le renouvellement urbain) :
Cernay/Epinettes/Jamin/Jaurès, jeudi 12 mars, 19 heures, maison de quartier Epinettes, rue du Général Corbineau (information sur le projet urbain Reims 2020 et sur le renouvellement urbain des Epinettes).
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090303i
Numéro 7279 du 02 au 08 mars 2009.
1) MAITRE D’OUVRAGE : MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE, RECTORAT DE L’ACADÉMIE DE REIMS, représenté par Monsieur le Recteur.
2) CONDUCTEUR D’OPERATION : D.D.E. DE LA MARNE, Unité Territoriale de REIMS (U.T.R.).
3) OBJET DU MARCHE :
Lot 1 : Marché de contrôle technique ;
Lot 2 : Marché de coordonnateur SPS.
3) LIEU D’EXECUTION : 57, 57 bis rue Pierre Taittinger, sur le Campus Universitaire Croix Rouge à REIMS.
4) DELAI D’EXECUTION : Environ 24 mois.
6) MODALITÉS ESSENTIELLES DE FINANCEMENT ET DE PAIEMENT
Financement : 50 % état + 50 % Conseil Régional ;
Délai de paiement : 30 jours ;
Paiement par acomptes.
7) DELAI PENDANT LEQUEL LES CANDIDATS RESTENT ENGAGES PAR LEUR OFFRE : 120 jours.
8) PROCEDURE DE PASSATION Marché sur appel d’offre ouvert, passé en application de l’article 33 du code des marchés publics.
9) CONTENU DE LA MISSION : Désamiantage et démolition de l’ancienne bibliothèque (bât. 1) et d’une partie de l’U.F.R. Lettres (bât. 8), dévoiement des réseaux, éventuellement reconstruction de locaux techniques et remise en état des espaces extérieurs.
10) JUSTIFICATIFS A PRODUIRE Celles-ci sont précisées dans le règlement de la consultation, en application des art. 44 et 45 du C.M.P.
11) LORS DE LA SELECTION DES CANDIDATURES, NE SERONT PAS ADMISES
Les candidatures qui ne sont pas recevables en application des articles 43, 44 et 47 du code des marchés publics (C.M.P.) ;
Les candidatures qui ne présentent pas des garanties techniques et financières suffisantes.
12) NATURE DE L’ATTRIBUTAIRE, LE MARCHE SERA CONCLU
Soit avec un prestataire unique ;
Soit avec des prestataires groupés solidaires.
13) CRITERES DE JUGEMENT DES OFFRES Offre économiquement la plus avantageuse appréciée conformément au critère d’attribution unique : le prix des prestations.
14) ADRESSE OU LES DOSSIERS PEUVENT ETRE RETIRES RECTORAT DE L’ACADÉMIE DE REIMS, Service de l’Ingénieur Régional de l’Equipement, 1 rue Navier - 51082-REIMS CEDEX, contact : Dominique LANGLET. Tél. 03.26.05.68.43 - Fax : 03.26.05.20.20 - Mail : ce.ire@ac-reims.fr.
Les dossiers seront envoyés par La Poste ou remis sur place après demande préalable par fax ou par courrier.
15) DATE ET HEURE LIMITE DE RECEPTION DES OFFRES 2 avril 2009, à 11 h 30.
16) ADRESSE DE REMISE DES OFFRES : Les offres, sous pli cacheté, seront envoyées en recommandé avec A.R. ou remises contre récépissé à :
RECTORAT DE L’ACADEMIE DE REIMS, Service de l’Ingénieur Régional de l’Equipement, 1 rue Navier - 51082 REIMS CEDEX, contact : Dominique LANGLET. Tél. 03.26.05.68.43 Fax 03.26.05.20.20 - Mail ce.ire@ac-reims.fr.
17) RENSEIGNEMENTS D’ORDRE ADMINISTRATIF ET TECHNIQUE : DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L’EQUIPEMENT, Unité Territoriale de REIMS, Ingénierie d’Appui Territorial, 28 boulevard Lundy - 51100 REIMS, contact Eric GEANT. Tél. 03.26.05.66.64 - Fax 03.26.47.52.41 - Mail :Eric.Geant@developpement-durable.gouv.fr.
18) RENSEIGNEMENTS COMPLEMENTAIRES : Les candidats peuvent retirer le D.C.E. par voie électronique sur le site http://www.marches-publics.gouv.fr/
Au menu "Annonces - Consultations en cours", cliquer sur le lien "recherche avancée", choisir "Ministère de l’Éducation Nationale", indiquer dans le module de recherche, à la rubrique "Référence" la référence suivante RECTORAT-REIMS-CT-SPS-PHASE1
Dans le tableau de bord de la consultation, cliquer sur l’icône à droite "accéder à la consultation" puis suivre les instructions de la plateforme.
En cas de difficultés, contacter le 03.26.05.68.43 ou ce.ire@ac-reims.fr.
19) DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION 20 février 2009.
73043
Les responsables d’associations transmettront les informations à leurs adhérents.
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150 personnes pour Croix-du-Sud, 175 pour Pays-de-France et 160 pour Eisenhower-Université, au total moins de 500 personnes pour un quartier de la taille de Croix-Rouge, c’est peu !
Moins de 3 % des habitants se sont sentis concernés, ce qui donne tort à ce locataire d’Université qui regrettait « le manque d’information par les bailleurs ».
Si chaque invité a été correctement informé du devenir de son secteur d’habitation : Croix-du-Sud ou Pays-de-France ou encore Université, une quatrième réunion n’aurait pas été inutile pour faire apparaître, à chaque habitant, la continuité de l’opération de renouvellement urbain.
Chaque bailleur a évidemment présenté son « territoire », mais une vue d’ensemble, une vue d’avion en quelque sorte ferait ressortir qu’en réalité un plan d’aménagement global a été respecté, tout le long de la ligne de tramway, sur les trois sous-secteurs. Toutes les associations de locataires de Croix-Rouge ont assisté aux trois réunions et ont pu ainsi s’en rendre compte.
De nombreux adjoints et conseillers municipaux de la majorité étaient présents à une ou plusieurs réunions.
Si Salah Byar était fidèlement assis au premier rang des trois réunions, Michel Guillaudeau s’est fait remarquer par sa prédilection pour le fond de salle, comme s’il se détachait de cette opération.
Pour l’opposition, on a aperçu Élisabeth Vasseur. Par ailleurs, le député Arnaud Robinet et son attaché parlementaire ont couvert les trois réunions.
Le verdict du public est formel : c’est l’Effort rémois qui a reçu le plus d’applaudissements.
Adeline Hazan, Éric Quénard, les services municipaux et Alain Nicole, directeur général, qui avait pourtant l’air de s’ennuyer ferme, ont été fortement acclamés à l’issue de leurs interventions. Les autres bailleurs, Foyer rémois et Reims habitat n’ont reçu que quelques timides bravos.
Les habitués des fins de réunions municipales ont été déçus : au moment du pot de l’amitié à l’issue des réunions, point de champagne pour le petit peuple. Au menu, de simples jus de fruits et boissons gazeuses servis avec quelques amuse-gueules.
Des photographies de ces événements sont disponibles dans notre galerie de photos :
Le groupe portugais Lusitania a enchanté les convives.
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Tous ont apprécié l’initiative de l’APPF.
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L’association de promotion de Pays-de-France a organisé son repas dansant annuel pour les personnes âgées, samedi 28 février, dans la salle municipale Croix-Rouge.
Devant une cinquantaine de convives, le DJ Halle a su créer une ambiance joyeuse tout l’après-midi.
Le lendemain, l’APPF fêtait l’Épiphanie dans la même salle.
Là encore, cinquante personnes ont apprécié les danses folkloriques du groupe portugais Lusitania, une association rémoise venue en nombre, avec bannière et costumes.
Dans l’après-midi, la galette des Rois a été dégustée avant quelques pas de danse. Si le député Arnaud Robinet était présent samedi, le premier adjoint Eric Quénard avait choisi le dimanche.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Les jeudis informatique de la médiathèque Croix-Rouge.
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« Souris, périphériques, numérisation, surf sur internet, adresse mail,… ces mots vous effraient ? Vous n’y comprenez rien ? »
La médiathèque Croix-Rouge, en collaboration avec l’association de logiciels libres Lolica, propose des ateliers d’initiation à l’informatique les 1er et 3e jeudis de chaque mois, de 14 à 16 heures.
Prochains rendez-vous : univers informatique, jeudi 12 mars et utilisation d’internet, jeudi 26 mars.
Inscription obligatoire en secteur actualité-emploi-formation au rez-de-chaussée de la médiathèque ou par téléphone au 03.26.35.68.48 ou au 03.26.35.68.50.
L’effraction a été commise au premier étage de l’immeuble, rue Pierre-Taittinger.
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« Quand je suis passée devant l’immeuble ce matin (hier lundi matin, ndlr), ça m’a semblé bizarre de voir que les fenêtres de l’appartement étaient ouvertes ! » Et du coup, cette belle-mère a aussitôt alerté sa belle-fille, qui occupait l’appartement en question, situé dans la rue Pierre-Taittinger du quartier Croix-rouge, à quelques pas de la fac de lettres, appart’dont elle s’apprêtait d’ailleurs à déménager.
Le logement était donc vide de meubles, mais cela n’a pas empêché des individus de s’y introduire, probablement au cours de la nuit de dimanche à lundi, peut-être en passant par le balcon.
Ils n’ont rien pu voler. En revanche, ils ont laissé quelques traces désagréables de leur passage, défonçant une porte, et laissant couler l’eau des robinets. Les pompiers ont dû intervenir peu après 10 heures pour résorber cette fuite. Celle-ci est toutefois restée sans conséquences sur les appartements voisins.
A.P.
Il n’est pas trop tard pour inscrire votre enfant (de 4 à 11 ans) aux activités proposées par la Ville et des associations dans le cadre de Ludosports.
La semaine dernière, 431 enfants, en moyenne, ont fréquenté, chaque jour, les sites proposés.
Trente-cinq enfants au gymnase Desbureaux, 48 à Barbusse, 46 à Léo-Borgniet, 38 à François-Legros, 48 à Gallieni, 91 à la patinoire Barot, 46 à Courcelles, 36 à Vasco-de-Gama et 43 à Europe.
Pour les 4-5 ans le matin, jusqu’à vendredi de 10 h 30 à midi, aux gymnases Léo-Borgniet, Barbusse, Desbureaux et de 14 heures à 15 h 30, à la patinoire Barot
et pour les 6-11 ans, jusqu’à vendredi de 9 h 30 à midi aux gymnases Léo- Borgniet, Desbureaux, Barbusse et François Legros et de 14 heures à 16 h 30 aux gymnases Clairmarais, Europe, Gallienni, Vasco-de-Gama et la patinoire Barot.
Renseignements au tél. 0.800.506.956. (appel gratuit depuis un téléphone fixe).
Dans le cadre du Printemps des poètes et durant la semaine du 9 au 13 mars, le groupe « Au fil des mots » présentera des poèmes dans les différents ateliers d’adultes des espaces Billard, Watteau et Aquarelle de la maison de quartier Croix-Rouge, ainsi qu’aux enfants des accueils-loisirs et des services municipaux d’accueil des écoles primaires Billard, G. Droit, Hippodrome et Provençaux, sur le thème retenu cette année « Rire en rimes ».
L’humour sera donc présent dans les poèmes présentés lors de ces prestations. Les textes sont des créations des membres du groupe ou des poèmes d’auteurs (Hugo, Ionesco… ). Claire Deborde, de la compagnie « Sur le bout de la langue » a participé à la mise en forme.
Le groupe « Au fil des mots » est constitué de personnes adhérentes à différentes maisons de quartiers de Reims ou encore au foyer Thibierge (groupe de poésie « Les thi’poètes ») et de jeunes adultes et adolescentes scolarisés au CRM et à l’institut Michel-Fandre.
Ce projet, porté par la maison de quartier Croix-Rouge, est coordonnée par Catherine Pierrejean.
Vincent Girardin, accompagnateur des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau communique le calendrier de ses prochaines randonnées pédestres. Innovation : il propose parfois aux participants de Choisir entre deux parcours lors du rassemblement.
Dimanche 8 mars, randonnée journée, départ à 7 h 15 : au choix, « Les dames de Meuse » (14 km) ou « La boucle des Sept-Roches » (11 km).
Dimanche 29 mars, randonnée matinée, départ à 8 h 15 : au choix, « Rilly-la-Montagne » (11 km) ou « Hautvillers » (13 km).
Dimanche 5 avril, randonnée journée, départ à 7 h 30 : au choix, « Coucy-le-Château » (12 km) ou « La forêt de Saint-Gobain » (12 km).
Dimanche 26 avril, randonnée journée, départ à 7 h 30 : « Villers-Cotterêts la forêt de Retz » (14 km).
Dimanche 10 mai, randonnée matinée, ’départ à 8 h 15 : au choix, « Saint-Martin-d’Ablois » (11 km) ou Verzenay ( 14 km).
Dimanche 14 juin, randonnée matinée, départ à 8 heures : « Vertus » (11 km).
Dimanche 28 juin, randonnée journée, départ à 8 h 15 : « Le plateau de Mondement (Sézanne) » (12 km).
Dimanche 5 juillet, randonnée journée, départ à 7 h 30 : au choix, « Les Vieilles-Forges » (12 km) ou Rocroi » (12 km).
Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.)
ou auprès de Vincent Girardin (0612.99.83.09.).
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Le collectif rémois Slam Tribu (Didier, Gipsy, Selecta Seb, Laurent Etienne.com, Barcella, M’sieur Dam et Mirko) a été choisi pour coordonner cette édition 2009 de la Nuit du slam.
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En entrée…
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Lundi 9 mars : de 18 à 20 heures, à la bibliothèque universitaire campus Croix-Rouge, atelier d’écriture slam en langues étrangères pour étudiants Erasmus par Danny Sherrard, Américain, champion du monde 2008.
Mercredi 11 mars : de 18 à 20 heures au centre culturel du Crous, campus Croix-Rouge, atelier d’interprétation slam en langues étrangères pour étudiants étrangers par Danny Sherrard.
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Le service communal d’hygiène et de santé organise régulièrement des séances de vaccinations.
Les prochaines se dérouleront les mercredi 11 mars
de 9 h 30 à 10 h 30 à Croix Rouge, à l’Espace Pays de France 1, allée des Béarnais, Tél, 03.26.82.53.48.,
et de 14 à 15 heures à l’Espace Billard 14, rue Pierre Taittinger, Tél. 03.26.08.08.78.
Pour tous renseignements : Service communal d’hygiène et de santé, 33 bis, rue Laurent-Déramez, du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 (17 heures le vendredi).
En partenariat avec Djaz51, le collège François-Legros (2, rue François-Legros) organise une journée « slam » le lundi 9 mars de 10 à 12 heures et de 13 h45 à 16 h 45.
Un concours de belote sera organisé le dimanche 8 mars par la section pétanque de l’association Étoile-Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.
Inscriptions sur place à 13 h 30 ou sur réservation au 09.60.18.69.30 ou auprès de M. Gauthier, au06.11.68.16.48.
Début des parties à 14 heures.
Site : www.etoilecroixdusud.com
La prochaine marche proposée par Vincent Girardin, accompagnateur des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, aura lieu le dimanche 8 mars.
Départ à 7 h 15 : au choix, « Les dames de Meuse » (14 km) ou « La boucle des Sept-Roches » (11 km).
Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.)
Dans le cadre de la journée de la Femme, les référentes familles des maisons de quartier organisent différents ateliers durant la semaine du 9 au 13 mars et la clôtureront par une journée événement le14 mars à l’Espace Cernay, Europe.
La médiathèque Croix-Rouge s’associe en proposant des visites guidées gratuites de la médiathèque les mardi10 mars et vendredi 13 mars à 9 h 30.
Inscription auprès de Laurence Geoffroy (maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau, Tél. 03.26.36.03.50.).
Autres initiatives de la médiathèque : une projection sur, le thème « Être mères et femmes », suivie d’une rencontre animée par Violaine-Elsa Seys, chargée de mission Égalité homme femme à la Ville de Reims, pour adultes, mercredi11 mars, à 16’h 30 et jeudi 12 mars, à 9 h30.
Inscription auprès de Laurence Geoffroy à l’Espace Watteau, au 03.26.36.03.50.
Enfin, la médiathèque participera à la journée du 14 mars, de 10 à 18 heures, organisée par les maisons de quartier (présentation des services proposés par la bibliothèque) à la maison Cernay-Europe, rue du Général-Carré.
Renseignements auprès de Chaque référent-familles pour le programme des ateliers et les conférences de la journée (www.maisondequartier reims)
Les consommateurs sont au rendez-vous à Reims.
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La crise est partout. A l’échelle nationale, le débat porte sur une relance par la consommation, plutôt que par l’investissement.
A Reims, la consommation est relativement stable.
FACE à la crise, nos dirigeants se disputent pour savoir s’il faut relancer l’économie par l’investissement (activité des entreprises = emploi = pouvoir d’achat) ou par la consommation, (pouvoir d’achat = activité économique = emploi).
Et les Rémois ? Ils consomment. De façon relativement stable, si l’on en croit le rapide tour d’horizon de quelques magasins de grande distribution, et de commerces de proximité.
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Mêmes observations à Croix-Rouge où le supermarché « se stabilise ». Ici aussi le client - « beaucoup de RMistes et d’allocataires » - va de lui-même vers les produits à bas prix, mais ne réduit pas sa consommation, comme en témoigne le « panier moyen ».
Notre interlocutrice entend ses clients « parler de la crise », mais « ils achètent. Surtout en début et en fin de mois. La dernière semaine est quand même difficile ».
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Bayar Salah représentait Adeline Hazan, maire de Reims
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Près de 500 personnes, essentiellement des jeunes gens, ont suivi la famille de Parfait Ngomé dans l’hommage rendu à ce jeune homme d’une vingtaine d’années, tué dimanche dernier dans une collision frontale sur la RN44, à hauteur de Vaudemange (voir nos éditions précédentes). Un accident qui a fait par ailleurs 5 blessés, dont deux étaient dans un état grave.
Réunie par petits groupes sur la petite place au pied : de l’immeuble de la rue des Savoyards à Croix-Rouge, la foule a formé un cortège dans un silence impressionnant. Cortège ouvert par les parents et les proches du jeune homme, précédés par quelques jeunes filles en T-shirt rose.
Le père de Parfait Ngomé portait un portrait de son fils. Après un tour dans le quartier qui l’a vu vivre, les participants ont rejoint le gymnase Joliot-Curie pour une cérémonie de prières et de recueillement.
Parfait Ngomé reposera au Cameroun, où sa dépouille doit être rapatriée le 5 Mars :
J.F.Scherpereel
Un concours de belote est organisé dimanche 8 mars par l’Association Etoile Croix-du-Sud, 5, avenue Léon Blum.
Frais d’inscription : 10 euros par équipe.
Inscriptions sur place à partir de 13h30.
Une marche est organisée cet après-midi à la mémoire de Parfait.
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Cet après-midi, la famille et les amis de Parfait Ngome, ce jeune Rémois tué dimanche dernier sur la RDN 944, ainsi que les associations de Croix-Rouge, organisent une marche silencieuse à la mémoire du jeune étudiant.
Elle débutera à 15 h 30 au 13, rue des Savoyards pour se terminer au gymnase Joliot-Curie, dans lequel les personnes iront se recueillir et accompagner la famille de Parfait dans ce moment très difficile.
Pour ceux qui voudront voir une dernière fois Parfait Ngome, son corps a enfin été rapatrié au funérarium de Reims.
Le rapatriement du défunt vers son village natal au Cameroun aura lieu jeudi 5 mars. C’est tout un quartier qui s’est mobilisé depuis son décès. « Je voudrais remercier ceux qui nous ont aidés, amis et associations, ainsi que la Ville de Reims qui nous a mis à disposition le gymnase » s’émeut le père de Parfait.
T.A.F.
Gilles Jierzorski : « La piste de dégagement : un élément essentiel de sécurité. »
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La société des courses se voit contrainte, pour conserver ses « réunions PMU », de mettre ses pistes aux normes. Elle en profite pour améliorer les structures d’accueil.
DES lecteurs se sont interrogés sur l’activité d’engins de chantier dans l’hippodrome : opération immobilière ? Il n’en est rien : l’hippodrome refait ses pistes. « L’hippodrome est en développement, comme toute la filière courses d’ailleurs. A Reims, c’est l’évolution du trot et des événements PMU », explique Gilles Jierzorski, président de la société des courses de Reims. Il faut savoir que l’activité de l’hippodrome, ce sont 18 manifestations par an. Les réunions régionales, les PMH (Pari mutuel hippodrome) et les journées PMU « où l’hippodrome rémois est la vitrine des courses de France ». Passant de 2 à 8 réunions PMU, la société s’est vue contrainte de développer les infrastructures, pour recevoir les médias, et surtout améliorer la qualité des pistes. « Nous avons aussi porté nos efforts sur l’accueil des spectateurs et des télévisions, de plus en plus nombreuses à suivre l’événement, dynamisé le restaurant panoramique, rénové une centaine de boxes et stalles ».
Depuis quelques années, la municipalité promet une délocalisation de l’hippodrome. « Cette incertitude freine notre développement. Aujourd’hui, nous avions des normes de sécurité et d’accueil du public minimalistes ».
C’est ce qui a poussé le conseil d’administration à voter certains travaux. D’abord la mise aux normes de la piste de trot qui doit comporter une piste de dégagement permettant à un concurrent qui galope de pouvoir quitter la course sans provoquer d’accident. La piste, d’une longueur de 1.156 m et d’une largeur de 3,50, sera recouverte de « pouzzolane » une roche de scories volcaniques.
La piste suiveuse sera également goudronnée. Les travaux devront être terminés pour le dimanche 8 mars, date de l’ouverture. Le coût ? « Cher ! » sourit le président « de l’ordre de 200.000 euros ».
La seconde partie des travaux porte sur la remise aux normes du circuit électrique de la piste. Enfin, la fin de l’année verra la refonte totale des cuisines du restaurant et d’un espace « salon/restauration » dans les tribunes.
Cela veut-il dire que le projet de déplacement de l’hippodrome est enterré ? « Il est toujours d’actualité. Mais même si les discussions avec la municipalité sont très ouvertes, il y a un aspect de crise économique très forte. Depuis 7 ans on nous dit : on va délocaliser ! » La société des courses se trouve en face d’un dilemme : « Si dans trois ans on n’est plus là, ce sont des gros travaux pour pas grand-chose. Mais si on attend, nous n’avons plus de réunions PMU ! »
D’autant que pour Gilles Jierzorski, il serait dommage de cantonner l’hippodrome à simplement 18 réunions de courses. « Je préconise un lieu qui permette d’irradier autour du quartier. Le temps qu’on reparle du projet et qu’on le mette en route… on en a encore bien pour 6 ou 7 ans… ».
1. Maître d’ouvrage : S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
2. Mode de passation du marché : appel d’offres ouvert.
3. Objet du marché : marché à bons de commande pour des prestations de déménagement.
4. Durée et prise d’effet du marché : le marché prendra effet à la date de notification du marché, soit le 24 avril 2009 au plus tôt. Le marché est constitué de trois tranches fermes : 2009, 2010 et 2011 : estimation de 88 locaux environ à déménager par tranche. La tranche conditionnelle de 2012 ne s’applique que si au terme des trois tranches fermes, les prestations ne sont pas terminées. Cette tranche concernera les locaux restant à déménager.
5. Nature des prestations : le marché aura pour objet de confier au titulaire les prestations de déménagement de 264 locaux environ (estimation) situés dans les quartiers Croix-Rouge et Orgeval à Reims.
6. Dossier de consultation : le dossier de consultation des entreprises est disponible, à titre gratuit, à la demande auprès de : Cellule marchés, Mademoiselle Elvina LHERMENIER, tél. 03.26.84.36.26. Fax : 03.26.84.36.19.
7. Date limite de remise des offres : le vendredi 10 avril 2009 à 12 heures.
Adresse où les offres doivent être transmises, sous double enveloppe : LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, 8, rue Lanson, B.P. 1, 51051 Reims cedex.
8. Renseignements et justifications concernant les capacités juridiques, techniques, économiques et financières des candidats :
La déclaration à souscrire par les sociétés.
Les documents ou attestations figurant à l’article D 8222-5 du code du travail.
Une attestation des administrations comptables et des organismes chargés de l’assiette et du recouvrement des impôts et des cotisations de sécurité sociale, d’allocation familiales, de congés payés établie postérieurement au 31 décembre de l’année précédent la consultation, ou DC 7.
Une liste des références et des renseignements sur les moyens humains, techniques de l’entreprise et sur les pouvoirs de la personne habilitée à l’engager, ou DC 5.
Les attestations d’assurance.
Copie des qualifications professionnelles ou autres preuves équivalentes.
9. Jugement des offres : les offres seront jugées selon les critères suivants :
Critère n° 1 : qualifications, références, assurances : 40%.
Critère n° 2 : montant global de l’offre : 30 %.
Critère n° 3 : moyens humains, techniques et matériels mis en oeuvre : 30 %.
10. Renseignements :
par courrier ou par fax à :
LE FOYER RÉMOIS, direction de la maintenance, Mademoiselle Elvina LHERMENIER,
tél. 03.26.84.36.26. Fax : 03.26.84.36.19.
E-mail : E.LHERMENIER@foyer-remois.fr
11. Date d’envoi du présent avis : le 23 février 2009.
02-08-51AO1638152
L’hebdo du vendredi- n° 113 - 090227a
Journal gratuit d’information rémoise
N ° 113 - Semaine du 27 février au 5 mars 2009
ENSEIGNEMENT : Arago : lycée pilote de l’Académie
Entouré des représentants de l’Université, le recteur de l’académie de Reims s’est réjoui de la mise en place de cette semaine scientifique
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Stages, soutien scolaire et semaine scientifique, depuis août dernier, le lycée François Arago accueille toute une série de projets novateurs dans l’Académie.
Des mots même du recteur de l’Académie de Reims, Alexandre Steyer : « c’est au lycée Arago qu’on essaye tout ! ». Retenu dans le cadre du plan Espoir banlieues de la secrétaire d’Etat chargée de la politique de la ville, Fadela Amara, le lycée organisait déjà du soutien scolaire depuis août dernier, l’établissement accueille désormais depuis cette semaine un stage d’anglais pour lycéens et banalise cette première semaine de vacances en Semaine Scientifique.
Vingt-sept élèves venus des lycées des quatre départements de Champagne-Ardenne ont été sélectionnés pour participer à ce projet, unique en son genre dans l’Académie. « Pour les conférences, nous avons fait appel à des enseignants-chercheurs de toutes les disciplines scientifiques qui ont tous répondu favorablement » se réjouit le recteur, qui précise « l’importance de cette semaine, permettant aux élèves de voir les professeurs d’université et les scientifiques sous un autre angle. A un moment où le manque de chercheurs se fait sentir, il est crucial de continuer à faire naître des vocations ».
Pendant ces cinq jours banalisés, les scientifiques en herbe ont assisté à près de vingt heures de conférences (sur le calcul scientifique, l’astronomie, le nucléaire, etc.) ponctuées de visites (laboratoire de recherche, planétarium, centrale nucléaire de Chooz). Scolarisés aux lycées Bazin et St Rémi de Charleville-Mézières, Adrien et Gauthier se réjouissent d’avoir opté pour des vacances intelligentes : « ça nous permet de prendre de la distance par rapport aux cours et de voir davantage les perspectives qu’offre chaque branche représentée ». Tous deux passionnés par les sciences, Gauthier espère découvrir au cours de cette semaine une profession qui l’emballerait vraiment tandis qu’Adrien souhaite obtenir des précisions sur les branches informatique et physique élémentaire vers lesquelles il souhaite s’orienter.
Plébiscitée autant par les professionnels que par les lycéens, nul doute que cette Semaine Scientifique devrait être de nouveau organisée l’année prochaine.
Aymeric Henniaux
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