L’HEBDO CROIX-ROUGE n°91 du 18 janvier 2012.
L’HEBDO CROIX-ROUGE est une parution du journal l’union que nous remercions.
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Le Reims Hip-hop festival arrive à grands pas. Son programme se dessine mais les organisateurs rencontrent des difficultés pour trouver des lieux pouvant accueillir certains éléments de cet événement.
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L’élection présidentielle va arriver à grand pas, ce qui va poser un problème pour de nombreuses associations, institutions et salles de spectacle en terme de communication.
En effet, les panneaux d’affichage gratuits que l’on trouve au coin de certaines rues du quartier, et qui sont un réel support de communication, seront submergés d’affiches au nom de tel ou tel candidat.
Elles recouvriront celles annonçant spectacles, fêtes, forums…
Certes ces élections sont primordiales pour la vie des Français mais la vie culturelle l’est autant pour les Rémois.
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Chers lecteurs,
Vous êtes nombreux à nous solliciter pour nous signaler que vous aimeriez savoir où vous procurer notre journal lorsque vous n’êtes pas dans la zone de distribution.
L’HEBDO CROIX-ROUGE est disponible dans différents lieux du quartier.
Vous pouvez le retirer dans plusieurs espaces de la maison de quartier, Billard, rue Pierre-Taittinger ou encore la Nacelle, rue du Docteur-Billard.
Il est également mis à disposition à la médiathèque Croix-Rouge, rue Jean-Louis Debar, mais aussi dans le café associatif « Le Bistroquet » situé avenue Léon-Blum.
De plus, chaque semaine, L’HEBDO CROIX-ROUGE est consultable dès le vendredi sur le site internet de l’union www.lunion-presse.fr. Sur ce site il est également possible de trouver l’intégralité des anciens numéros de votre Hebdo.
Vous pouvez aussi réagir à nos articles par le biais de la rubrique « Courrier des lecteurs ». Celle-ci est destinée aux lecteurs de L’HEBDO CROIX-ROUGE qui, par son intermédiaire, pourront faire parvenir par email, par courrier ou via le forum du site internet de l’union, leur vision ou prise de position sur l’actu du quartier
Pour nous contacter, rien de plus simple :
Courrier électronique : croixrouge@journal-lunion.fr
Courrier postal : « Hebdo Croix-Rouge » l’union, 5 rue de Talleyrand 52100 Reims
Forum du site de journal l’union : http://www.lunion.presse.fr.
Thierry ACCAO FARIAS
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Chaque mercredi dans votre quartier
À feuilleter chaque vendredi sur :
Rubrique « services » en page d’accueil
« Surveiller la cuisson dès 25 minutes, mais ne pas hésiter à laisser jusqu’à 40 minutes si nécessaire » ajoute Brigitte
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Ingrédients (pour 6 personnes) :
8 œufs,
1 kg de pommes de terre
huile d’olive
Préparation :
1-Laver et peler les pommes de terre. Les couper en morceaux (pas trop fins) et les mettre à cuire dans une poêle avec de l’huile d’olive. Les saler en cours de cuisson.
2-Casser les oeufs dans un saladier et les battre après les avoir assaisonnés (sel et poivre).
3-Quand les pommes de terre sont cuites, ajouter généreusement de l’huile d’olive verser les oeufs dans la poêle et mélanger rapidement le tout avant que l’omelette ne se I forme.
4-Dès qu’il est possible de déplacer la tortilla dans la poêle (quand la face cachée est cuite), prendre un couvercle et recouvrir la poêle. Renverser la tortilla sur le couvercle puis la faire à nouveau glisser dans la poêle. De la sorte, la tortilla est retournée sans encombre.
5-Lorsque la seconde face est cuite, la faire glisser dans un plat et servir avec un filet d’huile d’olive dessus.
Pour finir… La tortilla peut être enrichie d’oignons et/ou de jambon mais elle n’est plus alors dite « tra-ditionnelle ». La tortilla se mange tiède ou froide (excellent en plein été). Elle peut être découpée en cubes et servie en apéritif comme les tapas espagnoles.
Le Battle Circus en 2010 avait attiré de nombreux danseurs mais également un très large public.
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La programmation est en cours de réalisation, nous vous livrons les premiers éléments.
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Le Reims Hip-hop festival 3 arrive à grands pas. Son programme se dessine mais les organisateurs rencontrent encore quelques difficultés à trouver des lieux pouvant accueillir certains éléments de cet événement.
AU MOIS d’avril se déroulera la troisième édition du Reims Hip-hop Festival mettant à l’honneur la culture hip-hop devenue incontournable. Cet événement unique dans la région attire depuis sa création de nombreux Rémois mais aussi des personnes venant de toute la France et même d’Europe grâce à une programmation prenant de plus en plus d’importance au fil des ans.
Danse, concerts, graffs, conférences, expositions, toutes les disciplines sont durant une semaine mises en valeur afin de faire découvrir tout ce qui fait que le hip-hop est tant apprécié par les jeunes et les moins jeunes. Car il faut être clair : le hip-hop n’est plus une culture émergente loin de là puisqu’il est apparu en France et à Reims depuis plus de 30 ans maintenant.
Piloté par un collectif du nom de Urban Junior Tour constitué de l’association des maisons de quartier de Reims, de la Cartonnerie, du centre culturel Saint-Exupéry, des associations Growin’up et Footzbeul, de pôle sud musique et de plusieurs danseurs indépendants, le Reims Hip-hop troisième du nom se dessine progressivement et offrira encore de nombreuses prestations.
Si ce genre d’événement n’est pas simple à mettre sur pied il faut dire que pour certains le hip-hop n’est toujours pas assez chic et est considéré comme une sous-culture. D’où peut-être la difficulté rencontrée par les organisateurs à trouver certains lieux notamment pour l’organisation du traditionnel battle de danse hiphop debout.
« La difficulté aujourd’hui est de trouver des salles adéquates où se produire. Et s’il y a bien la Carte qui joue vraiment le jeu et qui depuis son ouverture propose de nombreux coups de main en terme de concerts, d’autres lieux plus institutionnels réfutent encore l’idée d’être associés au hiphop, notamment à la danse », explique un danseur rémois.
« Il //est vrai que chaque année nous avons un problème pour trouver des salles. Il y aurait bien sûr les gymnases mais ce serait régresser par rapport à ce que nous voulons faire de ce festival », explique Jean-Marie Dogué de l’espace Ludoval de la maison de quartier Murigny.
Pourtant le Reims Hip-hop festival offre toutes les garanties nécessaires en terme de structuration et d’organisation pour prétendre à l’accès d’enceintes rémoises plus prestigieuses.
« C’est simple à comprendre, certaines salles que je ne citerai pas peul ne pas être encore plus sanctionné ne s’ouvrent pas au hip-hop, du moins à un certain niveau. Ce que je veux dire c’est que si elles sont à l’origine de l’événement elles-mêmes ll n’y a pas de problème mais si elles ne pensent pas l’événement, elles ne l’organisent pas », ajoute un autre danseur.
Si le hip-hop dans toutes ses formes est omniprésent dans notre quotidien, que ce soit dans la publicité, le cinéma, la musique ou encore le graphisme et que de nombreuses villes telles que Nantes et Lyon organisent et soutiennent leur festival, il semblerait que ce ne soit pas encore à 100 % le cas à Reims. Et c’est dommage car la cité des sacres est un véritable nid de talents qui malgré toutes les barrières ne baissent jamais les bras.
TAF
Photos : C.LANTENOIS
Mardi 24 et mercredi 25 avril :
Stage et création d’une chorégraphie de danse hip-hop, encadré par Franco (Compagnie Engrenage), à destination des jeunes des ateliers de la maison de quartier. (Lieu à définir)
Jeudi 26 avril :
Spectacle de danse de la compagnie Engrenage, précédé par la chorégraphie créée lors du stage. (Lieu à définir)
Bal Funk sur la place d’Erlon.
Vendredi 27 avril :
Block Party réunissant toutes les disciplines de la culture hip-hop, à destination de tous les acteurs, ar-tistes, danseurs. C’est sur le parvis du Centre Culturel Saint-Exupéry que se déroulera cet événement.
Samedi 28 avril :
Concert à la Cartonnerie avec tête d’affiche et groupe local (programmation en cours de finalisation)
Dimanche 29 avril :
Battle de danse debout. (Lieu à définir)
Croix-du-Sud, les rénovations des façades sont sans nul doute les plus impressionnantes.
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Le quartier Croix-Rouge change mais que pensent réellement les habitants de son nouveau visage ? Pour le savoir, nous en avons rencontré quelques-uns afin qu’ils nous fassent part de leurs sentiments.
Si beaucoup d’habitants faisaient part de leurs doutes quant aux rénovations urbaines et au visage qu’aurait le quartier à la fin de celles-ci, il faut avouer que le résultat est vraiment plus que convaincant en ce qui concerne les façades des immeubles rénovés.
Franchement lorsque l’on voit ce qui a été fait sur Croix-du-Sud, on ne peut qu’être ravi car de ces immeubles laids nous sommes passés à des immeubles qui paraissent totalement neufs. C’est vraiment bluffant ! » ; explique Daniel, un habitant de Croix-du-Sud.
Si l’aspect visuel des immeubles des trois secteurs du quartier a changé, un autre détail et pas des moindres est à noter. L’isolation des habitations a également été retravaillée afin de limiter les frais énergétiques des locataires des trois bailleurs Reims habitat, le Foyer rémois et l’Effort rémois.
« C’est vrai que les façades ont pris un coup de jeune. Sur université nous avions déjà eu une remise en peinture I y a maintenant une paire d’années mais le fait que l’isolation ait été refaite est un détail vraiment appréciable : cela va nous permettre de faire des économies d’énergie et donc d’argent, c’est quelque chose de très positif », explique Jérôme, habitant avenue du Général-Eisenhower.
En ce qui concerne les nouveaux immeubles qui sortent de terre, ils bénéficient des matériaux modernes que l’on retrouve sur d’autres chantiers de la ville car la volonté des bailleurs et de la Ville est de proposer des matériaux neufs et non pas du recyclé.
« J’ai pu lire que le matériel était le même que celui utilisé dans d’autres quartiers plus huppés. C’est bien car parfois nous avions l’impression que l’on nous mettait du matériel recyclé comme le mobilier urbain. Cette fois nous sommes bien traités à la même enseigne et c’est tout à l’honneur des décideurs d’agir comme cela », précise Stéphane, un habitant de Pays-de-France.
Autre nouveau bâtiment, la résidence universitaire située au pied de la faculté de droit et de lettres qui involontairement donne un sacré coup de vieux aux coquilles, véritable symbole du quartier.
Des résidences sont en cours de réalisation, de nouveaux parkings et commerces verront aussi le jour, Croix-Rouge fait vraiment peau neuve et son visage change au fil des mois pour le bonheur des habitants du plus grand quartier rémois.
TAF
Photos C. LANTENOIS
En lien avec la Maison de l’enfance, Alexandra Babin, animatrice familles des espaces Watteau et Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge, propose des animations parents-enfants, tous les mercredis de 10 heures à 11 h 30, à la Marelle, 3 allée des Picards, depuis le 11 janvier.
« Venez partager des moments avec vos enfants jusqu’à 6 ans, autour d’activités manuelles, d’ateliers cuisine, de spectacles, de sorties… », précise-t-elle.
Ce sera également l’occasion de rencontrer d’autres parents, de partager les expériences de chacun sur l’éducation des enfants et d’exprimer certaines questions et difficultés éventuelles. Toutes ces animations sont gratuites. Pour tout renseignement, contacter Alexandra Babin à l’espace Watteau-Pays-de-France, 3 allée Antoine-Watteau, au 03.26.36.03.50. ou au 06.47.71.53.00.
Mercredi 18 janvier : découverte des amis de mon jardin, atelier autour du puzzle.
Mercredi 25 janvier : atelier perles à repasser.
Mercredi 1- février : conte des amis de mon jardin, atelier manuel.
Mercredi 8 février : atelier motricité et bourse aux livres.
Mercredi 15 février : préparation du carnaval.
Mercredi 22 février après-midi : grand carnaval, animations.
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Depuis début janvier, Reims Management School à lancé son application Smartphone destinée à l’ensemble de ses publics.
Depuis le jeudi 5 janvier 2012, le groupe Reims Management School a lancé son application Smartphone destinée à l’ensemble de ses publics : entreprises, futurs étudiants, étudiants du groupe, diplômés RMS et grand public.
L’application Smartphone RMS est une application gratuite qui permet d’entrer de plain-pied dans l’Ecole. Elle s’adresse à tous ceux qui désirent découvrir l’actualité du groupe, l’ensemble des programmes du groupe RMS, ses activités de recherche, la vie étudiante à Reims Management School. Photos, témoignages et vidéos rendent tangible la vie sur le campus de RMS.
Interactive, l’application permet aux étudiants du groupe d’accéder en direct à leurs plannings de cours ainsi qu’aux réseaux sociaux de l’École.
Ainsi sans renoncer aux canaux classiques d’information, le groupe Reims Management School s’approprie les nouvelles pratiques initiées par la génération Y et communique avec les outils qui lui sont familiers.
Dans son développement futur, le groupe RMS prévoit également le lancement de l’application en anglais pour les étudiants internationaux et l’ensemble des partenaires académiques du groupe RMS à l’étranger. Selon Dominique Berger, Web Multimedia Manager à Reims Management School : « Lorsque nous avons lancé le projet de cette application, notre ligne directrice a été la volonté de nous doter d’un outil complémentaire de communication avec notre communauté et faire découvrir notre Ecole au plus grand nombre. Dans cette optique, l’application RMS comporte à la fois une partie accessible à l’ensemble de nos publics, et une partie réservée aux étudiants du groupe. Elle permet d’être informé de l’actualité du groupe, de visionner de nombreux reportages sur les événements de l’école, de se renseigner sur nos programmes… Elle pourrait s’appeler "RMS dans votre poche !". »
RMS a également voulu être ludique, d’où les choix graphiques et la fonctionnalité « Bonus », que l’école vous invite à découvrir !
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L’association Kalebass & Cie met en place un stage d’Afro Zumba® à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge dès le 21 janvier.
« C’est nouveau dans notre région », précise Nuccia Thétis, professeur Zumba certifiée, animatrice du stage avec Hamed Sylla, percussionniste : « Un mélange de danse latine, de fitness et d’afro dance qui vous trans-portera grâce à ses musiques variées et à ses percussions en live. »
Places limitées. Sur inscription préalable. Tarif 17 euros (sans emploi et étudiants,14 euros). Début des cours samedi 21 janvier, de 14 h 30 à 16 h 30. Pour tout renseignement, appeler le 06.28.04.64.88.
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Conseiller municipal.
Né à Jouarre (Seine-et-Marne) le 27 mars 1899, mort à Reims le16 août 1970.
Lucien Doyen entra à la compagnie générale des assurances rémoises dont il devint directeur.
En 1958, il fut membre du conseil d’administration du Lycée des garçons.
Président du tribunal de commerce de Reims entre 1961 et 1970.
Il fut conseiller municipale en mars 1959 et en mars 1965.
Chevalier de la Légion d’honneur, il épousa Cécile Léonie Michel.
Il repose au cimetière de l’Ouest.
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Il a lieu le samedi, rue Pierre-Taittinger (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Permanence de soins : du lundi au vendredi de 11 heures à 11 h 45 et de 17 h 45 à 18 h 15 à l’espace billard, rue Pierre-Taittinger.
Soins à domicile assurés : 7 jours sur 7
Soins le samedi et dimanche sur rendez-vous.
Secrétariat ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Tél. : 03.26.08.27.62.
Lundi de 14 heures à 17 heures.
Permanence de l’association Mars à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Émilie Takoucht-Lallemant, Conseillère emploi-formation.
Permanence du mardi au vendredi à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.09.65.97.
« 2 Mains » Halim Lemboub, Aide à l’insertion
Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Tél. 06.38.43.00.96.
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L’association des jardins familiaux de Pays-de-France a réuni son assemblée générale le dimanche 8 janvier dans la salle municipale Croix-Rouge dans une ambiance de bonne camaraderie.
Le président Michel Herbreteau a accueilli un public manifestement heureux d’être présent, ses confrères des jardins de l’agglomération, les adjoints Eric Quénard et Raymond Joannesse, et le conseiller municipal Michel Guillaudeau.
Il a évoqué les travaux réalisés en 2011 : 17 portillons réparés, la taille des troènes, le nettoyage de prin-temps, des plaques de cabanons, des nids-de-poule rebouchés et la remise en conformité du portillon, sans oublier la création d’un jardin pédagogique en collaboration avec Yves Monflier
Il a abordé les perspectives 2012 : de nouveaux nids-de-poule à reboucher, la remise en peinture de 11 cabanons et le changement de certaines plaques, la taille des haies et la réfection des bordures de l’allée principale.
Le trésorier Jean-Claude Hirault a fait le point sur les finances. Avec 8 214 euros de recettes, dont 3 859 euros de subvention municipale, et 5 886 euros de dépenses, le compte d’exploitation est positif de 2 327 euros, dûment contrôlé par M. Malissart.
Il restait à Jean Kozycki, au nom de la Société d’horticulture de l’agglomération de Reims, de remercier l’association « qui a ouvert ses jardins à une séance d’initiation à la culture potagère en faveur des enfants des écoles. Un grand succès qui sera, je l’espère, encore de rigueur le 11 mai prochain avec une école du quartier ! »
Venu en chemise, le conseiller municipal Michel Guillaudeau a parlé de la pluie et surtout du beau temps : « Le repos de la végétation n’est pas respecté : les parasites et les escargots sont heureux ! Hélas, les fruits et légumes vont coûter cher ! »
L’adjoint Raymond Joannesse a rappelé la directive européenne déjà appliquée à Reims : « Ni insecticides ni pesticides, ni produits chimiques dans les parties communes de vos jardins ! On les retrouve dans l’eau que l’on doit ensuite dépolluer dans une usine très coûteuse ! »
Enfin, avant la traditionnelle galette des Rois, l’adjoint Éric Quénard précisait : « C’est la onzième fois que j’assiste à votre assemblée générale. Je vous décerne le triple E. Entretien (avec maintenant 68 parcelles). Embellissement (Si la ville Reims a encore cette année sa 4e fleur, les jardins familiaux dans leur globalité, y sont pour beaucoup). Engagement (l’équipe autour du président Herbreteau, les bénévoles et la Ville sont ensemble toute l’année, sans oublier le passage de témoin auprès des enfants). »
Les résultats du concours 2011 des plus belles parcelles ont été proclamés, provoquant parfois de belles surprises, comme chez Philippe Collard, tout étonné d’être classé premier potager.
Catégorie « Jardins fleuris »
1, Christophe Buiron. 2, Lucienne Bérini. 3, Americo Azevero. 4, Madelena Ramalho. 5, Lam NguyenNgo. 6, Denis Loehler. 7, Yves Monflier.
Catégorie « Jardins potagers »
1, Philippe Collard. 2, Claude Mirbel. 3, Charles Juilliart. 4, Menouar El-Achene. 5, Guy Charreau. 6, Ibrahim Unal. 7, Nathalie Avelange.
En fin d’assemblée générale, un message de sympathie a été adressé par Michel Herbreteau à Jean-Claude Hirault, « fidèle trésorier de notre association depuis 23 ans. Il sera regretté par tous les jardiniers pour sa légendaire gentillesse ! »
Après une remise de cadeaux et de fleurs pour son épouse, sous un tonnerre d’applaudissements, l’in-fatigable bénévole, très ému, s’est justifié : « J’ai trouvé une petite maison dans les Ardennes, et nous allons nous y installer. Nous devons donc quitter Reims et l’association ! »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Jours et heures d’ouverture :
le lundi de 14 heures à 17 h 30
du mardi au vendredi de 8 h 30
à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Pour tout renseignement, s’adresser à la CSD au 03 26 06 84 10
Espace de renseignement et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé, les loisirs.
Mise à disposition d’ordinateurs, accès internet.
Renseignements et tarifs : Elham Kouch
1, allée des Béarnais Tel : 03.26.82.53.48.
MJC Croix-Rouge
1, Allée des Béarnais.
Dernier jeudi de chaque mois, de 18 h 30 à 20 heures
Croix-Rouge Accueil
Vendredi de 14 heures à 17 heures.
« 2 Mains » Vanessa Pogniot, Aide à l’insertion. Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à La Marelle 1, allée des Béarnais. 06.47.54.17.77
Noémie Hubert éducateur de prévention. Permanence le mercredi de 14 à 16 heures à l’espace Pays-de-France de la maison de quartier
1, allée des Béarnais.
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L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud a organisé son assemblée générale samedi 7 janvier dans la salle Prével de l’Étoile Croix-du-Sud.
La présidente Evelyne Nkounkou a réussi le tour de force, par un habile subterfuge (voir encadré), de réunir plus de 80 personnes (pour 92 parcelles), un record de participation. Il a fallu rajouter -des chaises.
Avec 20 632 euros de recettes, dont 5 922 euros de subvention municipale, et 15 887 euros de dépenses, le compte d’exploitation est positif : + 4 759 euros.
Le rapport moral a fait apparaître de nombreux achats collectifs : une cabane double, une remorque, des compteurs et leurs raccords, une tronçonneuse, un désherbeur thermique, un aspirateur souffleur, deux débroussailleuses, deux perceuses sans fil, un motoculteur, six brouettes, une tondeuse, une tonnelle, de la laine de verre, du grillage et divers petits équipements pour aménager les containers où ranger le matériel, sans oublier de la terre et des arbres fruitiers.
Les chèques récompenses pour le concours des plus belles parcelles ont été offerts par l’Effort rémois via Alfa Logement.
L’association a remarqué la bonne tenue des parcelles pédagogiques de l’association de promotion de Pays-de-France et de l’Étoile Croix-du-Sud. « Les enfants ont vraiment bien travaillé et nous les encoura-geons à continuer dans cette voie. Ils ont reçu chacun une coupe lors de la remise des prix. »
Avec la modification des statuts, l’assemblée générale a été mouvementée. Des rumeurs ayant circulé entre les jardiniers, nombre d’entre eux sont arrivés, très remontés contre deux propositions suggérées ha-bilement par la présidente Evelyne Nkounkou : l’augmentation des tarifs de location d’une part, l’embauche d’une personne chargée du nettoyage et de l’entretien des trois rocades, des allées publiques et des parties communes d’autre part, ce qui aurait pu entraîner une dépense supplémentaire de 10 000 euros par an. La présidente savait très bien que ces propositions étaient irréalistes, mais son objectif était de réunir le plus de monde possible : objectif réussi. Mais devant le brouhaha ambiant et alors que tout le monde criait en même temps, l’adjoint Éric Quénard, présent avec son collègue Raymond Joannesse et le conseiller municipal Michel Guillaudeau, a dû intervenir en médiateur pour calmer les esprits, ramener le calme et définir des conditions d’interventions publiques.
Ceci n’a pas empêché l’ancien président, Georgy Weiller, démissionnaire en 2008, d’annoncer son intention de faire annuler l’assemblée générale devant le Tribunal administratif.
Comment en est-on arrivé là ? Quand les jardiniers signent leur contrat de location pour une parcelle, il est stipulé que « l’entretien des allées et des abords délimitant les parcelles sera assuré par eux-mêmes ».
Or, selon la présidente, « très peu de jardiniers nettoient leur allée, et aucun jardinier ne nettoie les parties communes et les trois rocades ».
Le conseil d’administration a donc pensé soit à créer un emploi à plein-temps, soit un emploi à mi-temps, ou encore à faire appel à Reims Espoir ou aux Ateliers de la Forêt.
À l’issue de discussions très animées et parfois à la limite de la discourtoisie, ces deux propositions ont été soumises au vote et rejetées. Les jardiniers ont fini par se mettre d’accord : ils respecteront désormais la clause de nettoyage incluse dans leur contrat. « Nous prenons acte », concluait la présidente, « vous vous devez solidarité ! »
Il reste maintenant à voir si cet engagement est correctement tenu, sinon ce sera rebelote à la prochaine assemblée générale !
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Il a lieu, le mercredi Esplanade Paul-Cézanne (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
L’antenne mobile de la mairie est à votre service le mercredi de 9 heures à 11 h 30 sur le Marché Croix-du-Sud. Contact : 06.16.39.21.02.
Circonscription de la solidarité départementale de Reims Croix-Rouge : du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. 26, rue Jean-Louis Debar. Tél. : 03.26.06.84.10. http://www.marne.fr
Permanences : Mme Oudin, lundi de 14 heures à 16 heures Mme Gravil, mardi de 14 heures à 16 heures (à la circonscription départementale pendant les vacances scolaires). Espace Watteau, 3, allée Watteau.
Pour tout renseignement, s’adresser à la Circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Lundi de 9 heures à 11 h 30
Médecin pédiatre : Mme Mackonguy.
Puéricultrice : Mme Stéphanie Moreau.
Cédric Bendiaoud
Espace Watteau, 3, allée Watteau.
le vendredi de 15 à 17 heures (sur rendez-vous).
Téléphone : 03.26.36.03.50
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Des jeunes filles du quartier, encadrées par Sahdia Idami de la maison de quartier et Cléo de l’association « Arrêt Couleurs », ont débuté mercredi dernier la mise en peinture de la salle réservée à l’accueil jeunes dans les locaux de l’espace « La Nacelle » de la maison de quartier. Ce petit chantier s’étalera sur dix séances. Il a été mis en place dans un premier temps pour redonner de la couleur à cette pièce importante dans la vie de cet espace mais aussi pour accrocher les jeunes et leur faire découvrir certaines pratiques artistiques.
« C’est dans l’optique d’accrocher un petit groupe de filles du quartier que nous avons pensé à mettre cette petite action en place. D’une part car la salle avait réellement besoin d’un relooking et d’autre part car cela permet aux jeunes de découvrir des choses qu’ils ne connaissaient pas forcément d’où l’intervention de Cléo et de l’association Arrêt Couleurs qui grâce à son expérience peut guider le petit groupe et l’initier à la peinture, au dessin… », précise Sahdia.
Ces travaux sont également ouverts aux jeunes de tous les secteurs de Croix-Rouge qui voudront y participer.
TAF
Renseignements : espace « La Nacelle », rue du Docteur-Billard. Tel : 03.26.49.47.07
Ils sont inquiets, les élèves de 1" « sécurité et prévention ». Depuis la rentrée, il leur manque de nombreuses heures de cours.
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Privés de cours de secourisme et de stages en immersion, des formations obligatoires pour le Bac, les 1re « sécurité et prévention » de Joliot-Curie sont inquiets. Et le font savoir.
Début janvier, tous les élèves de 1re Bac pro option « sécurité et prévention » ont mené des actions au sein de leur établissement. Ils rentraient en cours mais refusaient de sortir leurs affaires. Motif du mouvement de grogne, le fait que certains cours ne soient pas assurés. Frustrant pour ces jeunes qui ont choisi la filière porteuse des métiers de « la sécurité et de la prévention ». Dans ce cursus, certains cours sont pré-pondérants. Comme les ceux de secourisme et de prévention assurés par des pompiers professionnels. Cette formation inclut également un stage de huit semaines en immersion dans une caserne. Les années précédentes, les lycéens de Joliot-Curie effectuaient leurs formations avec les sapeurs-pompiers… de Saint-Dizier, en Haute-Marne. Limpide. Depuis l’année passée, les pompiers de Saint-Dizier ont fait le choix (légitime) d’accueillir des lycéens de leur département.
Le rectorat de Reims s’est donc rapproché des pompiers de la Marne pour initier une convention per-mettant des stages en immersion. Le papier a été signé mais dans les faits, ces futurs bacheliers ne savent toujours pas s’ils seront accueillis en stage dans la Marne. Très inquiets, ils craignent pour leur avenir.
« Nous avons fait le choix de cette filière par passion. Nos trois heures de cours hebdomadaires sur le se-courisme ne sont pas assurées. Idem pour les stages en immersion. On ne voit rien venir mais fi ne faut pas oublier que les coefficients de ces matières sont d’une extrême importance pour nous. Que va-t-i I se passer si on ne peut pas valider ces épreuves ? », commente Lucie, une des dix-neuf élèves de 1- « sécurité et prévention » de Joliot-Curie.
Le chef d’établissement reconnaît le souci avec les pompiers. Le dossier est actuellement entre les mains du rectorat. « Je le dis et je l’ai répété à mes élèves, ils n’ont pas à s’inquiéter mais nous comprenons bien évidemment leurs questionnements. Aussi, nous sommes à la recherche de solutions pour eux et pour leurs formations. Mais les heures de formation qui ne seront pas effectuées en T’ année le seront pour les mêmes en terminale. Que les élèves - et les parents - soient rassurés, ils ne seront en aucun cas pénalisés dans leurs études », explique le proviseur de Joliot-Curie, Amadou Simal.
Quant au retard pris, par la faute de la mésentente entre les dirigeants des sa-_,peurs- pompiers de là Marne et le rectorat, les choses se régleront, c’est promis. On verra bien. Pas sûr que les élèves de Joliot-Curie retrouvent la sérénité.
Thomas DUPRAT
l’union -
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Simple et passionné. Charly, une référence dans le milieu de la danse hip-hop grâce notamment aux nombreux battles qu’il a remportés.
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Charly est un jeune Rémois Charly son jeune âge a une sacrée expérience dans le milieu de la danse hip-hop.
Charly est un Rémois de 24 ans. Né en Haute-Savoie c’est quelques mois après sa naissance qu’il atterrit dans la cité des sacres avec sa famille.
Ado, il pratique différentes activités comme tous les mômes de son âge, football et boxe entre autres, avant de découvrir l’amour de sa vie : la danse hip-hop et plus précisément le break. Avec ses copains de l’époque, c’est à 14 ans qu’il débute, sans structure, sans groupe, dans la rue simplement comme le faisaient les anciens lorsque cette danse venue d’ailleurs est arrivée aux portes des grands quartiers populaires rémois.
En 2003 il prend ses premiers cours dans une salle à la MJC Clairmarais avec Sofiane Saber et enchaîne ses pas dans les différents lieux de la ville où se retrouvaient les danseurs.
L’un de ces lieux était la MJC Croix-Rouge située sous le centre commercial La Rafale où il rencontre David Moyen, la référence en Champagne-Ardenne, qui gérait les créneaux danse de la structure à cette époque.
Aujourd’hui Charly fait partie de deux groupes. Le premier, la Dream Team Est pour tout ce qui concerne les compétitions internationales, le second Kannibal Olocaust, sa famille, avec qui il a pris part à de nombreux événements, notamment en 2011.
« Nous avons participé au Battle of The Year dans les arènes de Nîmes et également à Street Dancers une émission de télé diffusée surchaînee O une chaîne de télévision du groupe France télévision », explique Charly.
Tout au long de son parcours de danseur Charly a participé à plus de 15 battles à travers le globe. Si en 2007 il arrive troisième au championnat du monde par équipe de Séoul en Corée du sud, il enchaîne les victoires en un contre un en Belgique au Burning Floor de 2009, au Hip-Hop jam de 2010 en République tchèque, au BBoy King en 2011 à Périgueux.
Il a aussi été invité en tant que juge à d’autres compétitions en Europe.
Le prochain rendez-vous de Charly arrive à grand pas puisque prochainement il affrontera un danseur vénézuélien en un contre un.
En cas de victoire il pourrait participer au Red Bull BC One, l’une des plus prestigieuses compétitions de danse internationales diffusée en prime sur toutes les télévisions du monde entier.
TAF
Photo : C. LANTENOIS
Charly donne chaque semaine des cours dans différents lieux de la ville comme par exemple à la maison de quartier d’Orgeval mais aussi pour des enfants âgés de 5 à 11 dans .école privée Aux petites mains.
Depuis le début du mois de janvier, il donne des cours à l’espace La Nacelle de la maison de quartier Croix-Rouge situé dans le secteur Université.
Ils ont lieu les mercredis après-midi de 15 heures à 16 h 30.
« C’est un cours mixte même si pour le moment il y a beaucoup de jeunes filles du quartier. Maintenant je travaille avec elles les pas de préparation ainsi que des petites chorégraphies. Par la suite lorsque j’aurai plus de garçons nous travaillerons le break etje ferai des petits groupes par niveau », explique Charly.
C’est la première fois que Charly donne des cours dans le quartier mais il est d’ores et déjà certain que sa bonne humeur et sa sympathie feront qu’il sera très apprécié par les jeunes de Croix-Rouge.
TAF
2001-2002 : Charly débute la danse dans les rues du quartier Orgeval.
2003 : Il commence à prendre des cours à la MJC Clairmarais avec Sofiane Saber.
2007/2012 :
-Il participe à de nombreux battles dans le monde comme aux championnats du monde par équipe de Séoul ou, il finira en troisième position avec l’équipe de Légitime Obstruction.
-Il participe au Battle of The Year avec l’équipe rémoise de Kannibal Olocaust. Puis à l’émission Street Dancer diffusée sur la chaîne France O
Espace billard - 14, rue Pierre-Taittinger -Tél. 03.26.08.08.78 - Fax 03.26.46.82.89
Espace la Nacelle - 3 rue du Docteur-Billard -Tél. 03.26.49.47.07 - Fax 03.26.49.47.03.
Espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Epernay - BP 30 - 55571 Reims cedex 2 - Tél. 03.26.86.08.02 -Fax 03.26.06.61.69
Espace Pays de France - 1, allée des Béarnais -Tél. 03.26.82.53.48
Espace Watteau - 3, allée Watteau
Tél. 03.26.36.03.50 - Fax 03.26.36.88.13
Ouverture le mardi de 14 à 19 heures,
le mercredi et jeudi de 10 à 18 heures,
le samedi de 10 à 17 heures.
19, rue Jean-Louis-Debar. Tél : 03.26.35.68.40
Piscine du Château d’Eau, 12 allée des Landais -03.26.86.18.38 - chateaudeau@rems.fr
Crèche : 6 allée des Landais. Tél. 03.26.06.20.58
Déchetterie : impasse de la Chaufferie. Ouverte du lundi au samedi de 9 à 19 heures.
Association 2 MAINS
4 place Dominique Ingres — 52100 Reims. Tél. 03.10.16.10.40 — Fax. : 03.10.16.10.41.
E-mail : assos2mains@aol.com
Déchèterie Croix-Rouge : ouverte de 9 heures à 19 heures du lundi au samedi, et de 9 heures à 12 heures les dimanches et jours fériés.
Vous pouvez y déposer gratuitement vos déchets ménagers dans la limite de 250 kg ou 1 m3 par voyage.
Impasse de la Chaufferie.
Tél. : 03.26.02.90.90.
Effort rémois : agence de Croix-du-Sud, 9 place Jean Fragonard. Tél : 03.26.06.04.42.
Foyer rémois : agence de Pays-de-France, 1 avenue Bonaparte. Tél : 03.26.05.84.84.
Reims Habitat : Succursale Croix-Rouge, 46, bis groupe Eisenhower. Tél : 03.26.08.16.07.
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