Articles du journal l’Union sur le quartier Croix-Rouge 2007/3
Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.
Les notes de bas de page [ ] sont de l’Etoile Croix-du-Sud.
Les pompiers sont allés éteindre un feu de local vide-ordures, samedi peu avant 3 heures du matin, 4 place Maurice-Utrillo.
Depuis que le groupe « mythique » des années soixante, les « Lionceaux », s’est reconstitué, on ne retient plus ses membres.
Outre un livre, un CD et de multiples concerts, les musiciens et le chanteur préparent une tournée au Québec pour 2008.
Selon le leader du groupe, Alain Dumont, le groupe a été placé en 3e position d’un classement des groupes des années soixante.
Le 18 octobre, les « Lionceaux » présenteront un film qui leur est consacré à la médiathèque Croix-Rouge, à partir de 19 h 30 (entrée libre).
A l’occasion du mois de ramadan qui prendra fin le 12 octobre, l’association des Travailleurs maghrébins offre un repas à toutes les personnes qui vivent seules, handicapées ou en difficulté, à partir de 19 h 45 dans le local ATMF au 6, allée des Picards.
Cette action, lancée dans un esprit humanitaire et fraternel, est l’occasion pour l’ATMF de transmettre sa culture basée sur la solidarité, le partage et la générosité.
L’assemblée générale ordinaire de l’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny se déroulera mardi 2 octobre à 18 h 30 à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau.
Au cours de la dernière réunion du conseil municipal, Geneviève Kaczowka (« Les Polygones ») et Fabrice Lopez (« Club 47 ») ont été élus membres du conseil de quartier Croix-Rouge Maison-Blanche.
Celui-ci se réunira mercredi 3 octobre à huis clos.
Deux randonnées familiales ce mois-ci avec Vincent Girardin.
Dimanche 7 octobre : direction Sermiers, départ à 8 h 15.
Dimanche 28 octobre : direction Trépail, départ à 8 h 15.
Rendez-vous au 3 allée Antoine-Watteau, à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.).
Dans le cadre du mois de la création et de l’innovation, une animation « Zone franche urbaine » sera organisée par la municipalité à l’hôtel de ville, mardi 9 octobre.
Une séance de vaccinations sera organisée à l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger, mercredi 10 octobre, de 9 h 30 à 10 h 30.
Renseignements : 03.26.08.08.78.
Dimanche 14 octobre : réunion diurne à partir de 13 h 30.
Lundi 29 octobre : réunion diurne PMU à partir de 13 h 30.
Renseignements : Société des Courses de Reims, 3 rue du Président Kennedy - Tél. : 03.26.08.65.29. - Site : http://www.hippodromedereims.com
L’association 3F (Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de demain) organise sa première conférence-débat publique inaugurative à l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard, lundi 22 octobre de 14 à 16 heures sur le thème de la vieillesse, avec Renate Gossard, présidente des Panthères grises.
Entrée libre.
La semaine « portes ouvertes des associations du quartier Croix-Rouge » se déroulera du 1er au 5 octobre.
Le festival « Croix-Rouge s’affiche » change de formule et devient bi-annuel, explique Éric Krzywda, directeur de la Maison de quartier Croix-Rouge : « Le festival aura donc lieu en 2008, mais « Croix-Rouge s’affiche » reste présent dans le quartier cette année.
C’est pourquoi cette manifestation est proposée avec le souci de divertir et intéresser, mais aussi d’informer tous les habitants, quel que soit leur âge ».
Tous les spectacles sont gratuits.
Nous publierons chaque jour le programme détaillé.
Un atelier dirigé par Chaîtane Converat, animatrice et réalisatrice au studio Folimage : présentation du cinéma d’animation et de ses différentes techniques puis mise en pratique par la réalisation de petites séquences animées,
pour tous, à partir de 8 ans, mercredi 10 octobre de 10 à 12 heures et de 14 à 16 heures.
L’exposition et cet atelier sont proposés dans le cadre de l’opération « Coup de zoom sur le studio Folimage » .
Du 19 octobre au 17 novembre, une exposition d’œuvres originales d’Anaïs Vaugelade et Alex Godard permet d’évoquer l’univers de ces deux illustrateurs invités à la Fête du livre.
Les couleurs chaudes des pastels veloutés d’Alex Godard invitent le spectateur à un voyage exotique aux Antilles.
Des dessins à l’encre d’Anaïs Vaugelade naissent des personnages - animaux ou humains - drôles et attachants.
Dominick Boisjeol, plasticienne, anime des ateliers de création autour du livre : « Qui sont ces personnages ? » .
Les réalisations seront imaginées à partir des livres des auteurs et illustrateurs invités à la Fête du livre (16 et 17 novembre).
Mercredi 31 octobre de 10 heures à 12 h 30 pour enfants de 6 à 9 ans
et mercredi 31 octobre de 14 h 30 à 17 h 30 pour enfants de 9 à 14 ans.
Les HLM, rue des verriers dans le quartier Pommery. La famille Lequeux y loue un F3 pour 325 euros par mois. En médaillon, Michel Roquier, responsable sur Reims de la Confédération nationale du logement.
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Les HLM rémois s’apprêtent ainsi à augmenter leurs tarifs 2008 de 2 à 3 %.
Une hausse annuelle qui inquiète les locataires.
« ENTRE ce qu’on paye et le service rendu, ce n’est pas normal ! »
Tous les mois, au moment de régler son loyer, Christian Lequeux en a ras-le-bol.
A 60 ans, cet ex-cuistot vit avec sa femme et sa fille de 19 ans dans un F3 rue des Verriers, quartier Pommery. Annick, son épouse, est au chômage depuis trois ans. Lui en préretraite depuis la même période. A eux deux, ils touchent moins de 950 euros par mois. Pas facile dès lors de joindre les deux bouts.
« Une fois qu’on a payé le loyer et les charges, c’est-à-dire environ 325 euros, puis l’électricité et le gaz, il ne nous reste qu’un peu d’argent pour faire les courses, mais le reste, on ne peut pas. Notre seul loisir, c’est la télé. » Une situation qui n’est pas rare dans cette tour où vivent de nombreux retraités, des chômeurs, des RMIstes.
« Une fois qu’on a payé le loyer, les charges, l’électricité et le gaz, il nous reste tout juste de quoi faire les courses. », déplore Christian Lequeux, locataire d’un HLM du quartier Pommery.
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Président de l’amicale des locataires, Christian Lequeux, l’avoue : « On ne sait plus quoi faire. Tous les ans, on se tape une augmentation de loyers, 10 euros cette année pour ma part. Plus 15 euros de charges supplémentaires pour l’entretien des communs, des espaces verts, l’eau… Des charges qui, je trouve, ne sont pas justifiées. »
Les organismes sociaux, bien sûr, ne sont pas du même avis. « Les gens ont du mal à comprendre que les charges augmentent plus vite que l’inflation, notamment les charges d’eau et d’énergie, explique Patrick Baudet, le patron de Reims Habitat, propriétaire de 10.500 logements sociaux rémois. Nous, on ne fait aucun bénéfice dessus. »
En moyenne, les charges grimpent chaque année de 5 %. Les loyers des 40.000 logements sociaux rémois évoluent pour leur part d’environ 2,5 %, alors que l’Etat demandait aux organismes HLM de limiter la hausse à 1,8 %.
« On essaie d’être le plus modéré possible, se justifie Alain Nicole, directeur général de l’Effort rémois qui gère 17.500 HLM sur Reims. Mais chaque année, on doit faire face à une augmentation de nos coûts de fonctionnement : des charges, de la taxe foncière, du remboursement des emprunts, l’entretien de notre patrimoine, la construction de plus de 300 logements par an… d’autant que les aides en matière de construction et de réhabilitation sont en forte baisse. »
Les trois organismes logeurs rémois s’apprêtent à augmenter à nouveau leurs loyers. Une hausse de 2,6 % à partir de janvier 2008 a été décidée jeudi soir par l’Effort rémois. De leur côté, Reims Habitat et le Foyer rémois devrait trancher dans les semaines qui suivent.
Une hausse qui inquiète Michel Roquier, responsable de la Confédération nationale du logement (CNL) sur Reims. « Les loyers augmentent plus vite que le niveau de vie, plus vite que les aides », regrette ce retraité, habitant aussi à Pommery.
En 10 ans, le budget loyer des ménages est ainsi passé de 20 % à plus de 25 %. « A force de grignoter quelques euros tous les ans, les gens ne peuvent plus suivre. Certains sont à bout. »
Isabelle Griffon
Le 1er août dernier, le Crous de Champagne-Ardenne, qui propose plus de 2.850 logements sur Reims, a revu ses tarifs à la hausse. Une augmentation de 3,19 % qui se base chaque année sur l’indice de référence des loyers (IRL).
« Tout augmente : le prix de l’énergie, le coût des travaux de rénovation, nos charges d’entretien, nos salaires…, on doit compenser en augmentant les loyers », explique Toni Legouda, secrétaire général du Crous de Reims.
Un étudiant logé dans la plus simple des chambres devra désormais débourser 131 euros, soit 4 euros de plus que l’an passé. Pour une chambre rénovée (avec douche et WC), la facture passe de 201,50 à 208 euros.
En résidence universitaire, les studios les moins chers coûtent 203 euros, soit 23 euros de plus, et les plus chers s’élèvent à 539 euros, au lieu de 465 l’an passé.
Le pôle rémois de L’Association de la Fondation Etudiante pour la Ville lance sa campagne de recrutement de bénévoles en cette rentrée 2007.
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À l’heure où 20% d’une génération sort chaque année du système scolaire sans qualification (40% dans certains quartiers), l’Association de la Fondation Etudiante pour la Ville s’emploie à redonner leur chance à ces jeunes en difficulté.
« Être utile contre les inégalités », un slogan efficace pour l’Afev qui permet, depuis un an à Reims, à des étudiants rémois (ils étaient 72 en 2006) de s’engager concrètement dans ce bénévolat pour une durée de 6, 9 ou12 mois. Une cinquantaine d’entre eux suivront un enfant 2h par semaine, les autres participeront au dispositif Accompagnement Mission Locale, où ils apporteront leur aide aux jeunes dans la recherche d’un emploi ou d’un stage.
« C’est un cercle à trois, l’enfant, l’étudiant et ses professeurs » explique Nicolas Blavy, chargé de développement local pour l’Afev sur la région.
Créateur du pôle rémois en septembre2006, il ajoute : « nous voulons faire prendre conscience à ces jeunes que tous les savoirs que les profs veulent faire passer leur seront utiles ». Concentrée pour l’instant sur le quartier Croix-Rouge, l’Afev espère bien étendre prochainement son champ d’action sur les Epinettes ou encore Wilson.
Prenant en charge des élèves du CP à la 5ème scolarisés dans les sept écoles primaires et les trois collèges du quartier, les étudiants bénévoles s’investissent réellement dans l’encadrement des jeunes. C’est le cas pour Khadija, étudiante à l’IUFM de Reims et bénévole à l’Afev pour la deuxième année : « On va directement chez les gens, de cette manière il y a une véritable proximité qui s’établit avec la famille de l’enfant et avec l’enfant lui-même, ainsi qu’une confiance réciproque ».
Cette démarche de bénévolat permet, en outre, à cette future professeur de sciences physiques d’acquérir une première expérience quant à l’encadrement d’enfants.
De gauche à droite, Viviane Feige, poète de Croix-Rouge et Hugues Hommel, dessinateur.
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Pour mettre l’art à la portée du plus grand nombre, l’ACRAP a installe
son exposition « Artistes de Croix-Rouge parmi les stands de sa
brocante dimanche 23 septembre.
Résultat : des centaines de visiteurs !
Des photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Avec l’animation « j’écoute dans le noir », les médiathèques vont faire toucher du doigt aux enfants ce qu’éprouvent les malvoyants. Une fois la vue neutralisée, ce sont les autres sens qu’il faut mobiliser… Christian-Philippe Paris
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Avec l’animation « j’écoute dans le noir », les médiathèques vont faire toucher du doigt aux enfants ce qu’éprouvent les malvoyants.
Avez-vous envie de savoir comment les aveugles perçoivent le monde ? Une animation des médiathèques municipales le propose aux enfants de 6 à 12 ans demain samedi 29 septembre : « J’écoute dans le noir ».
« En effet, explique l’une des organisatrices, la pièce où ça se passe est complètement plongée dans le noir, et en plus, on met un bandeau sur les yeux des participants ! »
Une fois le sens de la vue neutralisé de la sorte, il ne reste plus qu’à mobiliser ceux qui restent disponibles, et en particulier l’ouïe, l’odorat et le toucher.
C’est avec eux que les enfants devront identifier des bruits, un grincement, un cri d’animal…, des objets et des odeurs que leur soumettra une association de Montpellier spécialisée dans l’appréhension de la cécité. Inutile de dire qu’à ce petit jeu, ce sont les vrais malvoyants qui se montrent les plus rapides.
Car cette animation est ouverte aussi bien à ceux qui voient qu’à ceux qui ne voient pas.
« Nous souhaitons même qu’il y ait un équilibre entre ces deux publics, précise notre interlocutrice, pour donner lieu à un échange. »
« J’écoute dans le noir » avait déjà été proposé à Reims en février, et il avait fallu refuser du monde à l’entrée (il faut dire que les groupes sont petits, quinze participants maximum).
Pour éviter ce genre de déconvenue, les médiathèques demandent de passer par une inscription préalable par téléphone (numéros ci-après).
Aux dernières nouvelles, c’est principalement à Croix-Rouge qu’il reste de la place. Alors, qui veut jouer à remplacer ses yeux par ses oreilles ?
Antoine Pardessus
J’écoute dans le noir, animation gratuite samedi 29 septembre à 14 heures à la médiathèque Croix-rouge (tél.03.26.35.68.40), à 16 h 30 à Jean-Falala (03.26.35.68.00).
Le tramway n’est pas encore sur les rails, mais peu à peu les éléments du puzzle se mettent en place. Lors de leur réunion de mardi, les élus de la communauté d’agglomération de Reims (CAR) ont donc pris une délibération autorisant la société concessionnaire du futur tram — « MAR-SAS » — à déposer une demande de permis de construire pour le futur centre de maintenance des véhicules.
Cet équipement sera implanté dans la ZAC de Bezannes, et disposera d’une surface de 54.600 m2. Les parcelles concernées sont déjà la propriété de la CAR. Elles se situent dans le prolongement de la rue Léon-Blum de Reims-Croix-Rouge. Si la déclaration d’utilité publique était promulguée dans les délais, les travaux pourraient commencer en avril 2008 et s’achever fin 2009.
Une fois le tramway opérationnel, le centre abriterait les ateliers de maintenance, les voies de remisage, les stations de services (sable, eau, etc.) et le centre de commandement. Le projet initial mise sur 18 rames. L’extension concernerait un total de 40 rames.
À noter que les travaux de fouilles préventives pour la ZAC de Bezannes — qui accueillera le tramway, mais aussi d’autres entreprises — coûteront 134.000 € aux contribuables de l’agglomération.
Plus généralement, en matière de transports, la CAR a pris la décision de procéder elle-même au remboursement des « indus » de versement transport aux entreprises concernées. Ceci pour « assurer un meilleur suivi des recettes et pouvoir identifier les demandeurs et les motifs ».
Le président Jean-Louis Schneiter a profité du vote de ces délibérations liées au transport pour annoncer que « le vote du budget de la CAR se déroulera avant le 31 décembre, pour pouvoir continuer à travailler — notamment sur les transports — et avoir un débat technique et non pas politique ». Une façon d’anticiper les élections municipales de mars 2008.
S’agissant du budget transport, justement, la contribution de la CAR « nécessaire pour l’équilibrer » s’élève à 18,2 M€, inscrite au budget primitif 2007.
Parmi les autres dossiers présentés et adoptés au pas de la charge pendant le conseil communautaire, on retiendra l’exonération possible de taxe professionnelle « appliquée à la valeur locative » pour les entreprises qui investiront dans la lutte contre la pollution des eaux ou de l’air, ou dans les matériels destinés à économiser l’énergie ou à réduire le niveau acoustique des installations existant au 31 décembre 1990.
J.F.Scherpereel
Une exposition dure jusqu’au 12 octobre à Croix-Rouge, une autre jusqu’au 13 à Falala.
A.P. |
Après plusieurs mois de travaux, la rue Jean-d’Aulan, à Croix-Rouge, vient enfin de terminer son lifting. Non sans difficultés.
Début septembre, la dernière portion de bitume est achevée. Cinq jours plus tard, les ouvriers la rabotent. Le motif : la nouvelle chaussée s’avérait déjà défectueuse. Résultat, tout a dû être refait. « A la charge de l’entreprise responsable du revêtement », précise Didier Drache, le chef du service voiries. De quoi rassurer les contribuables.
Deux conteneurs à ordures ont pris feu allée Edgar-Degas dans la nuit de mardi à mercredi.
Alertés à 22 h 25, les sapeurs-pompiers ont procédé à l’extinction.
JULIE RACONTE : « La sagesse d’Aïcha » et « Les six nourrices », deux histoires tirées des Petits contes malicieux de Gudule.
Pour tous, à partir de 6 ans, mercredi 3 octobre à 15 heures.
SPECTACLE POUR LES TOUT-PETITS : « Sous le toit de mes doigts » : écrit et interprété par Françoise Bobe. Les enfants et leurs parents reprennent spontanément la gestuelle et les refrains.
Tous les doigts deviennent acteurs pour un moment partagé avec complicité.
Pour enfants de 6 mois à 3 ans accompagnés d’un adulte, samedi 13 octobre, séances à 10 et à 11 heures (se présenter 5 minutes à l’avance).
LA RONDE DES ALBUMS : « N’ouvrez surtout pas ce livre ! » :
pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 17 octobre à 11 heures.
L’AIR DU CONTE : Contes et histoires d’Italie, pour tous,
à partir de 7 ans, mercredi 17 octobre, à 15 heures.
PROJECTION DE DIAPOSITIVES : « Le grand livre magique », un conte à dormir debout de J.-J. Vacher, illustrations de B. Debecker,
pour enfants de 4 à 8 ans, mercredi 24 octobre à 16 h 30.
Médiathèque Croix-Rouge, 14 rue Jean-Louis-Debar, au pied du château d’eau de Croix-Rouge.
Toutes ces animations sont gratuites, mais il est recommandé de s’inscrire au préalable (Tél. 03.26.35.68.40.).
Une exposition dure jusqu’au 12 octobre à Croix-Rouge, une autre jusqu’au 13 à Falala.
A.P. |
Vous connaissez peut-être la série télé pour enfants « hôpital Hilltop ». Ou bien vous êtes allé voir au cinéma la Prophétie des grenouilles.
Le point commun entre ces deux spectacles, c’est qu’ils ont été réalisés par un des rares studios français d’animation, Folimage, basé à Valence.
Pour ceux qui sont curieux de savoir comment on réalise de tels films, les médiathèques municipales proposent en ce moment des expositions sur le sujet ; pour ceux qui voudraient même mettre la main à la pâte, il y aura des ateliers d’initiation ; et pour ceux qui voudraient tout simplement déguster les produits finis, le programme comporte aussi des projections.
Expositions :
« Les coulisses du cinéma d’animation » à la médiathèque Jean-Falala (jusqu’au 13 octobre) ;
« Écris-moi un dessin animé » à la médiathèque Croix-Rouge (jusqu’au 12 octobre).
Atelier :
initiation au cinéma d’animation mercredi 3 octobre à la médiathèque Falala de 10 à 12 heures et de 14 à 16 heures, à partir de 8 ans, sur inscription au secteur jeunesse ;
même atelier, mêmes conditions mercredi 10 octobre à Croix-Rouge (inscriptions 03.26.35.68.26).
Projections :
samedi 29 septembre à 14 heures à Falala ;
samedi 6 octobre à 14 h 30 à Croix-Rouge ;
samedi 13 octobre à 16 heures à Falala.
L’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny, présidée par Maud Trefcon, réunira son assemblée générale ordinaire le mardi 2 octobre à 18 h 30 à l’espace Watteau — 3, allée Antoine-Watteau.
« Nous existons depuis quelques années et nous essayons de travailler en partenariat avec Reims-Habitat et le collège Georges-Braque afin que les habitants de notre quartier connaissent de meilleures conditions de vie »précise Isabelle Mallinger, secrétaire de l’amicale.
Une fête sur la place Maurice-Utrillo.
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La Maison de quartier Croix-Rouge organise une semaine d’animations dans le quartier intitulée « Sortez, c’est la rentrée ! »
L’espace Watteau et l’association At’home commencent les réjouissances avec une fête sur la place Maurice-Utrillo, dimanche 30 septembre.
Pour Patrick Schmid, directeur de l’espace Watteau : « Ce moment sera un temps de rencontre entre les habitants du secteur Croix-du-Sud et ceux des Hauts-de-Murigny, et la promotion des actions menées par les associations du quartier. C’est, d’une certaine façon, une journée « portes ouvertes » nouvelle formule. »
A partir de 10 heures, atelier vélos fleuris (venir avec votre vélo, le matériel est fourni).
11 heures, départ du cortège des vélos fleuris avec animations.
12 heures, verre de l’amitié offert, restauration sur place, buvette, animations.
De 14 à 18 heures, stands pour petits et grands, pêche à la ligne, jeux géants, playmaïs, voitures à pédales adultes, etc. et animations diverses avec la présence d’un magicien, d’un accordéoniste, de danseurs et chanteurs.
Si les conditions le permettent, les habitants de la résidence Maurice-Utrillo, de l’ARFO, pousseront la chansonnette.
De 17 h 30 à 18 h 30, petit bal accordéon.
Tout l’après-midi : télé-quartier, jeux, danse, musique, surprises !
Organisation : Association de locataires At’home, Espace Watteau, résidence Arfo Maurice-Utrillo, Maison de quartier Croix-Rouge.
Partenariat : Reims Habitat, Plurihabitat, ville de Reims et les commerçants du centre commercial des Hauts-de-Murigny.
La traditionnelle brocante d’automne de l’association Croix-Rouge animation et promotion a bénéficié d’un temps propice dimanche 23 septembre, et les visiteurs, très nombreux, ont pu réaliser de bonnes affaires à l’entrée de l’hiver.
Des photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
La médiathèque Jean-Falala et la médiathèque Croix-Rouge proposent, samedi 29 septembre, un atelier pour voyants et déficients visuels.
Cette pratique avait déjà rencontré en février un succès tel que le nombre de places fut insuffisant. Intitulé « J’écoute dans le noir » , et proposé par l’association Benjamins Média, l’atelier permet aux enfants de « toucher des oreilles et du doigt » la question de la cécité.
Cette animation est destinée à développer les capacités et le plaisir du jeune public et à lui permettre d’entrer plus profondément dans le monde des sons. Il découvre ses facultés d’une manière nouvelle et ludique et s’exprime lors de l’atelier qui suit.
Cette animation est proposée à un public d’enfants voyants ainsi qu’aux enfants mal ou non voyants de 6 à 12 ans (durée une heure environ).
L’entrée est libre, mais l’inscription préalable est obligatoire en sections jeunesse.
Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar, de 14 heures à 15 h 30 (03.26.35.68.40.).
Médiathèque Jean-Falala, 2 rue des Fuseliers, de 16 h 30 à 17 h 30 (03.26.35.68.00.).
Lundi à 16 h 20, un détecteur de fuite de gaz s’est déclenché dans un cabinet médical de la rue Fernand-Brunet, aux Hauts¬-de-Murigny, près de l’allée du Vignoble.
Les pompiers venus rapidement sur les lieux n’ont constaté aucune fuite.
« La ville va vous observer jusqu’en décembre » a annoncé Jean-Marie Beaupuy aux jardiniers.
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L’adjoint délégué aux Jardins familiaux, Jean-Marie Beaupuy, a annoncé aux jardiniers de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud la prochaine intervention d’un photographe professionnel mandaté par la ville de Reims.
« Notre objectif est double : réaliser une exposition photo sur les jardins d’une association qui est un très bon modèle d’adaptation aux idées nouvelles et dont le fleurissement est remarquable et par ailleurs, constituer une banque de photos pédagogiques qui pourront être utilisées par la ville à différentes occasions, en montrant les jardiniers dans leur travail quotidien, leurs différentes méthodes et opérations de jardinage et comment ils travaillent la terre. »
Pourquoi avoir choisi Croix-du-Sud ? Alain Chevallier (l’Effort rémois) explique ce choix : « Cette association est dirigée par un président, M. Weiler, qui est toujours à l’écoute. Champion de la récupération et des économies quand il s’agit de s’adapter aux situations nouvelles, comme les travaux liés au tramway et à la gare TGV de Bezannes, il a su donner aux jardiniers la capacité d’avancer avec beaucoup de brio malgré les obstacles. Résultat, des jardins exemplaires ! »
Sur l’emplacement du futur gymnase Jean-Jacques-Lapique.
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Devant le gymnase Roland-Bourgoin.
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Jean-Louis Schneiter, maire, Monique Nassau, adjointe aux sports et Bernard Lavergne, directeur de l’Office des sports ont inauguré deux nouvelles dénominations à Croix-Rouge.
D’abord, le futur gymnase de la rue François-Arago, dont l’appel d’offres vient d’être lancé, a été baptisé « Gymnase Jean-Jacques-Lapique, dirigeant sportif 1942-2006 », puis le gymnase Joliot-Curie, rue François-Mauriac, a perdu son nom ; il devient maintenant « gymnase Roland-Bourgoin, dirigeant sportif 1924-2001 ».
Les deux cérémonies se sont déroulées dans l’émotion et le recueillement devant les membres des familles et les associatifs.
Les jeunes patineurs du Reims Acrap patinage ont déposé des fleurs en hommage à leur président fondateur M. Lapique.
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Plus tard dans la nuit, vers 1 h 10, une Opel Corsa a brûlé rue Newton au quartier Croix-Rouge. L’origine reste à déterminer.
La voiture n’était pas signalée volée.
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A l’occasion de l’inauguration vendredi dernier du collège Joliot-Curie, dans le quartier Croix-Rouge, les élèves ont été sollicités pour accueillir les personnalités.
Tous vêtus de tee-shirts siglés « conseil général », les collégiens ont rempli avec beaucoup de délicatesse leur tâche.
Avec le sourire !
Notre article de jeudi 20 septembre « La Nacelle en danger : inquiétude des personnels » a suscité des réactions de la direction de l’association des Maisons de quartier de Reims et de la direction de la Maison de quartier Croix-Rouge.
Nous avons illustré le texte des photos de Sadhia Idami, animatrice du Point information jeunesse et de Franck Simon, animateur du Point Cyb, ce qui ne veut en aucun dire qu’ils sont les auteurs des propos rapportés dans nos colonnes.
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« J’ai étudié quatre ans à la fac de Droit. J’habitais à la résidence Gérard-Philipe, ce n’était pas l’idéal pour travailler : des sanitaires en commun, et trop de bruit.
En 1ère année, j’ai souffert du manque d’infos. Ca manque aussi de vie étudiante : pas de cafés, les tarifs des spectacles ou des musées trop élevés, et une ambiance générale médiocre.
Il y a quand-même de bons transports pas trop chers. »
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Renate Gossard vient de créer l’association 3F.
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Dans le nouveau guide des activités 2007-2008 de la Maison de quartier Croix-Rouge, on relève deux nouveautés remarquables.
Tout d’abord la création, à l’espace Pays-de-France d’un nouveau service « Dialogue et Rencontre » : « Nous avons souhaité créer cette activité (et non une association) en direction des personnes âgées, car la capacité d’accueil de l’association de promotion de Pays-de-France (Appf) est limitée » explique Eric Krzywda, directeur de la Maison de quartier Croix-Rouge.
« Nous recherchons bien un autre public sous l’animation de Madeleine Sadki qui proposera des activités conviviales à un public troisième âge le jeudi de 14 à 16 heures à l’espace Pays-de-France Picards (cuisine, jeux de cartes et de société, sorties). Responsable de l’activité, Mme Sadki sera sûrement secondée par d’autres personnes. »
Il est exact que la capacité d’accueil de l’Appf pour son activité personnes âgées est limitée à cause de l’exiguïté du local mis à sa disposition par le Foyer rémois : « Lors de la dernière séance, nous étions 24 personnes âgées dans un local de la taille d’une salle de séjour d’appartement ! » confirme Christiane Monflier. « Pourtant le Foyer rémois nous promet une salle depuis de nombreuses années et nous savons, par un représentant local de l’Anru, que l’argent destiné à son aménagement lui a été versé ! »
Le club du troisième âge de l’Acrap, celui de l’Association de promotion de Pays-de-France et ce dernier à l’espace Pays-de-France : trois activités pour les personnes âgées à quelques dizaines de mètres l’une de l’autre, cela peut être positif pour les seniors de Pays-de-France, à condition qu’elles ne soient pas concurrentes et travaillent en harmonie.
Autre nouveauté à relever, la création de l’association 3F « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de demain » par Renate Gossard, déjà présidente des Panthères grises de la Marne.
Objectifs : « Apporter le maximum aux femmes pour qu’elles puissent bien vivre leur vie, en parler et trouver des solutions. Les femmes d’hier peuvent apporter beaucoup aux femmes d’aujourd’hui et de demain ! »
L’association 3F va désormais organiser des conférences débats publics à l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard, le troisième lundi de chaque mois. Premier calendrier : lundi 22 octobre « la vieillesse » , lundi 19 novembre : « la consommation » , lundi 17 décembre : « l’adolescence » .
A chaque conférence débat, Renate Gossard invitera une personnalité de notoriété nationale.
Renseignements : Renate Gossard au 03.26.08.22.10.
La réutilisation des hectares bientôt laissés vacants par l’hippodrome déjà décidée ? « Pas du tout », affirme le maire. Photo archives .
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L’opposition a titillé le maire sur ces deux dossiers sensibles lors du conseil municipal d’hier. Réponse : les jeux ne sont faits ni dans l’un ni dans l’autre.
L’OPPOSITION a bien essayé de titiller le maire lors du conseil municipal d’hier soir sur deux points sensibles en ce moment : le réaménagement du site de l’hippodrome, et l’avenir des maisons de quartier. Sans réussir à le mettre en difficulté.
Le socialiste Éric Quénard, à propos de points de l’ordre du jour qui n’avaient qu’un très vague rapport avec le sujet, se lança sur l’hippodrome : reprochant au maire un manque de concertation, il faisait état d’une « consultation de promoteurs privés déjà lancée », avec offres d’achat à déposer pour le 25 septembre ! Il s’interrogeait également « sur le fait qu’aucun des bailleurs sociaux de la ville n’ait été sollicité sur un projet d’une telle ampleur » (rappelons qu’il s’agit de la réutilisation des dizaines d’hectares laissés vacants par la société des courses dans la perspective de son déménagement de Croix-Rouge à Bezannes). Et il conseillait au maire d’attendre plutôt le résultat des prochaines municipales pour ficeler un quelconque projet.
Ce à quoi le maire répondit que contrairement à ce que supposait son interlocuteur, « rien n’est ficelé ! Il s’agit juste d’avoir un certain nombre de propositions avec un chiffrage, mais aucun engagement n’a été pris par la ville, on n’en est qu’au stade de la réflexion ! »
C’est un peu la même réponse qui fut faite lors d’une autre pique oppositionnelle, cette fois à propos des maisons de quartier. Michel Guillaudeau le communiste et Adeline Hazan pour le PS, profitèrent d’un autre point de l’ordre du jour pour s’inquiéter des menaces pesant sur ces structures, ou au moins certaines d’entre elles (Chemin-vert, Verrerie, le Phare et la Nacelle), à la suite des audits les concernant. L’élu communiste supposait même les quatre en question déjà condamnées.
C’est Franck Noël qui répondait au nom de la majorité : la décision est entre les mains de l’association des maisons de quartier, et pour l’heure, « le conseil d’administration n’a pas pris sa décision, la réflexion est en cours ». Il laissait tout de même entendre qu’effectivement, une ou deux des 26 structures de ce type existant à Reims pouvaient être menacées. Le maire Jean-Louis Schneiter appuyait la réponse : « Nous (ville de Reims) ne sommes pas les gérants de l’association des maisons de quartier ! C’est à l’association à prendre ses responsabilités ! Et à ceux qui craignent un désengagement de la ville dans ces structures, je signale que nous allons reprendre celle de Chemin-vert en direct ! »
Jacques Meyer qui trouvait pour sa part « choquant que les audits en question ne soient pas communiqués au conseil » n’eut guère plus de succès : « Ces documents ne sont pas notre propriété, ils appartiennent à l’association ! » répondit le maire. Les élus de l’opposition savent donc ce qu’ils ont à faire s’ils veulent avoir connaissance du texte…
Antoine Pardessus
Elisabeth Monlibert, inspecteur d’académie de Reims : « Le dispositif doit officiellement être mis en place pour la Toussaint. À Reims, il sera opérationnel dès que possible ».
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Cinq collèges classés en zone d’éducation prioritaire sont concernés par l’« accompagnement éducatif » de ceux que l’on nomme désormais les « orphelins de 16 heures ».
INSPECTEUR d’académie de Reims, Elisabeth Monlibert indique que le dispositif « accompagnement éducatif », qui concerne ceux que l’on nomme désormais les « orphelins de 16 heures » sera mise en place dans les collèges rémois « le plus tôt possible ».
En tout, cinq établissements sont concernés à Reims, tous situés en zone d’éducation prioritaire : dans le quartier Croix-Rouge, les collèges Georges-Braque, François-Legros, Joliot-Curie, aux Châtillons, le collège Paul-Fort, et à Orgeval, le collège Colbert.
La base du principe pour l’accompagnement éducatif sera de proposer aux élèves volontaires de rester dans l’établissement deux heures après l’heure normale de sortie, à raison de quatre soirs par semaine. Le projet peut être étendu.
Pendant les deux heures d’accompagnement éducatif, « priorité sera donnée au soutien scolaire si les enfants en ont besoin. » Pour ceux qui n’en ont pas forcément besoin, des activités artistiques et culturelles seront proposées, ainsi que du sport.
Ce sont les enseignants qui seront sollicités en premier pour s’occuper des « orphelins de 16 heures ».
« Les enseignants encadreront l’accompagnement, et pourront se faire aider par des assistants d’éducation et par des intervenants extérieurs pour les activités culturelles et artistiques. Il y a déjà des dispositifs de réussite éducative, il faudra être en cohérence. »
Les enseignants travailleront sur la base du volontariat, en heures supplémentaires défiscalisées. « 140 M€ ont été dégagés au plan national pour rémunérer également les assistants d’éducation, de même que les étudiants qui pourraient être embauchés dans ce cadre-là ». On pense notamment aux étudiants de l’Afev, association de la fondation étudiante pour la ville, qui interviennent déjà dans le quartier Croix-Rouge et propose du soutien scolaire à domicile (l’union du 20 septembre).
Nul ne sait exactement combien d’élèves seront concernés par cette mesure qui va se mettre progressivement en place. « Nous pensons que 40 à 50 % des collégiens pourraient être intéressés », estime l’inspecteur d’académie. L’an prochain, l’accompagnement éducatif devrait être étendu aux autres collèges de la cité.
Patricia Buffet
Il semble qu’il y ait eu du rififi entre voisins vendredi soir vers 21 heures du côté de la place Jean-Fragonard (Croix-du-sud), où les pompiers ont été appelés pour porter secours à un homme blessé au poignet par une arme blanche, qui pourrait bien être un marteau.
Les pompiers sont intervenus vendredi soir vers 20 heures au groupe Eisenhower, où un feu leur était signalé au deuxième étage d’un immeuble.
Ils ont dû passer par le balcon pour accéder aux lieux, et constater qu’il s’agissait simplement d’une casserole oubliée sur le feu. Un petit coup de robinet a suffi.
Le ruban a été coupé par René-Paul Savary, président du conseil général.
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Hier après-midi, en présence de nombreuses personnalités, le président du conseil général René-Paul Savary et l’inspecteur d’académie Elisabeth Mon¬libert ont inauguré aux côtés du principal Philippe Lhuillier le collège Joliot-Curie.
Près de 3 ans de travaux ont été nécessaires à la réalisation de cet établissement classé « ambition réussite » (l’union d’hier). Le collège, notamment doté d’un gymnase de plus de 1.000 m2 ; de salles de sciences et de laboratoires, de salles de détente tant pour les élèves que pour les professeurs…, sera, espère le président du conseil général, « un véritable lieu de partage des savoirs et de convivialité. Et surtout, que nos collégiens puisent ici l’inspiration et l’énergie nécessaires à la construction de leur vie ».
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L’exposition annuelle de l’activité peinture de Madeleine Terrien est visible jusqu’à ce vendredi 21 septembre de 14 à 18 heures à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge.
« Un rayon de soleil dans cet espace culturel lumineux, une harmonie qui rompt la monotonie » déclarait Madeleine Terrien aux exposants : Micheline Briois, Francine Crochet, Raymonde Darve, Marie-Jeanne Farey, Christian Féry, Nicole Guille, Charles Guillerm, Françoise Luzzana et Isabelle Vidal.
Les cours continuent tous les jeudis de 18 à 20 heures au 14, rue Pierre-Taittinger (Tél. 03.26.08.08.78.)
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Ocre et bois sont les couleurs du collège Joliot-Curie. Cette année, ils sont quelque 386 élèves
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Un CDI flambant neuf pour ces élèves de 6e.
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Les classes SEGPA bénéficient d’ateliers très bien équipés pour la cuisine, le repassage, l’horticulture…
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La première pierre avait été posée en juin 2004. Le collège Joliot-Curie sera inauguré officiellement ce vendredi après-midi, dans le quartier Croix-Rouge.
Ancien établissement à structure métallique des années 1970, le collège Joliot-Curie a bénéficié d’une restructuration et d’une reconstruction complète ces trois dernières années. Seule une aile de l’ancien bâtiment — reconstruite dans les années 90 — a été conservée.
« Il s’agit d’une reconstruction sur site, » explique le principal de l’établissement Philippe Lhuillier, « Ce n’était pas évident mais tout s’est bien déroulé. Nous n’avons pas souffert des travaux qui ont été menés fait tranche après tranche. » Le collège, qui accueille les enfants issus des trois écoles primaires du quartier, compte actuellement 386 élèves, dont 48 en SEGPA.
C’est le conseil général qui a entièrement financé la reconstruction, avec un budget total de 12,5M€. Le nouvel équipement — conçu par Humbert Di Legge — présente, en extérieur, du métal, du bois et des couleurs chaudes. La grande cour, qui donnait autrefois sur la rue, est aujourd’hui fermée et mieux protégée du vent. À l’intérieur, des couleurs claires ont été choisies.
Le bâtiment construit s’étale sur plus de 8.000m2. Au sous-sol, on trouve notamment les ateliers de polytechnologie et l’infirmerie. Au rez-de-chaussée, se trouvent le foyer des élèves, les salles de sciences, les blocs sanitaires filles et garçons, des salles d’activités et un spacieux centre de documentation et d’information ; les bureaux administratifs et des salles de langues et d’informatique.
Au premier étage, on trouve les bureaux de l’administration, les locaux des professeurs, une salle de musique et 14 salles d’enseignement général. Un ascenseur dessert tous les étages.
S’ajoutent à ces équipements un gymnase de plus de 1.000m2 (avec des équipements pour le handball, le tennis, le basket, le volley, le badminton et l’escalade), une salle de gymnastique, des vestiaires et des sanitaires (dont certains sont équipés pour les handicapés). Enfin, les enseignants peuvent utiliser la grande salle polyvalente en rotonde de 289m2.
En extérieur, cinq logements de fonction ont été réhabilités et 72 places de stationnement créées dont 4 handicapés. « Ce projet est exemplaire, » constate Éric Quénard, conseiller général du canton, « Le conseil général n’a pas construit un collège au rabais. Des matériaux nobles ont été choisis et la qualité est au rendez-vous. La concertation avec les équipes enseignantes et les entreprises a permis cette grande réussite. »
Les élèves avaient déjà fait leur rentrée l’an dernier dans cet établissement flambant neuf. Les hasards du calendrier ont voulu que l’inauguration n’ait lieu que ce vendredi, à 15heures.
Patricia Buffet
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La 7e promotion de BTS NRC sera accompagnée par enseignants et professionnels.
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Le lycée Joliot-Curie vient de mettre en valeur la 7e promotion de nouveaux élèves en BTS NRC (négociations relations clients) lors de la réception de clôture du cycle de conférences organisé à leur intention.
En présence de Sylvette Rodrigues, inspectrice en économie gestion, le proviseur Gilles Gladieu et l’équipe enseignante ont remercié les intervenants et maîtres de stage qui ont, au cours des interventions, détaillé le métier d’attaché commercial dans différents domaines d’activité.
Le mouvement des Dirigeants commerciaux de France a été représenté par sa présidente rémoise Catherine Chopart.
En introduction à ce cycle, chaque élève de cette promotion 2006/2007 a exposé son projet tandis que de « jeunes anciens » faisaient part de leur expérience en formation et en insertion professionnelle.
Un professeur, Mme Tourteaux, avait de son côté, donné des pistes quant à la recherche d’entreprises partenaires.
« Avec 82Z de réussites l’an dernier, nous vous souhaitons de faire encore mieux cette année » a insisté le proviseur, qui a aussi souligné le « côté familial » qui règne au sein de cette section.
Une exposition est visible jusqu’au 12 octobre à la médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis Debar, à l’occasion de la sortie du film de Jacques-Rémy Girerd « La prophétie des grenouilles ».
Cette exposition, montée pour les enfants à partir de 6 ans, tente de répondre à la question : « Comment écrit-on un dessin animé ? ». Les adultes y trouveront également matière à satisfaire leur curiosité. Entrée libre.
« Liberté, Egalité, Fraternité », la devise républicaine souvent occultée, a été apposée sur le fronton de l’établissement.
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27ème collège du département à avoir fait l’objet d’une reconstruction, les travaux de l’établissement situé dans le quartier Croix Rouge ont été exclusivement financés par le Conseil Général.
Alors que l’inauguration officielle du nouvel établissement va intervenir en fin de semaine, Eric Quenard, conseiller général du canton de Reims 5 a tenu à revenir sur la nouvelle vie du collège.
La capacité d’accueil du nouveau collège est de 400 élèves et elle prévoit également une SEGPA (cuisine et horticulture), pouvant recevoir 96 élèves. Il est à noter que la capacité théorique a dû faire l’objet d’une révision à la baisse pour tenir compte de la diminution des effectifs ainsi que de la modification de la carte scolaire, qui a rattaché la commune de Bezannes au collège de Tinqueux. « La première pierre a été posée en juin 2007 et trois ans après le collège a pu ouvrir ses portes sachant qu’il est toujours plus long et délicat de réhabiliter que de construire du neuf. Autre prouesse technique, pendant les travaux, les élèves sont restés sur le site, les perturbations des cours ayant malgré tout été minimes » explique Eric Quenard. Pour mener à bien le projet à terme, une totale concertation a été instaurée entre le personnel enseignant, le conseil d’administration et le conseil général, par la mise en place de navettes et les collégiens eux-mêmes ont été associés à la réflexion.
Redonner une image valorisante de l’établissement et faire de ce nouveau projet un élément urbain essentiel de la réhabilitation du quartier Croix rouge ont également été des moteurs essentiels du chantier. « Nous souhaitions que ce collège soit une vitrine du quartier en pleine mutation et bénéficie comme d’autres constructions de matériaux nobles » ajoute l’élu du quartier. Ainsi, les bâtiments d’enseignements ont été décollés du sol et enveloppés d’un bardage de bois reconstitué pour leur qualité pérenne, des bandeaux et baies vitrées ont été intégrés dans un ensemble de cuivre et de zinc et un soin particulier a aussi été apporté aux nuisances acoustiques.
À noter qu’outre la présence d’une salle polyvalente (style amphi), un tout nouveau gymnase a été érigé dans l’enceinte de l’établissement.
Le montant total de l’enveloppe se chiffre à 12,45 millions d’euros (reconstruction et renouvellement de mobilier-matériel).
À terme, d’ici 10 ans, ce sont la totalité des 47 collèges publics du département qui auront été entièrement rénovés. Le prochain sur la liste à Reims, le collège François Legros.
O.M.
A trois reprises mardi soir (20 h 45, 22 h 50, 23 h 30), les pompiers sont intervenus dans la tour du 5 place Fragonard où une « odeur suspecte » inquiétait les habitants.
Les reconnaissances ont permis d’établir qu’il s’agissait d vapeurs d’essence déversée au sol dans les caves (l’écoulement serait accidentel).
Sandia Idami anime le centre ressources PIJ information-orientation où elle reçoit les jeunes et leurs familles.
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Franck Simon règne sur l’espace multimédia et le Point Cyb (enfants, ados, jeunes adultes, adultes et associations)
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Pour tenter de sauver l’association des Maisons de quartier de Reims et la sortir de son impasse financière, un audit commandé par la mairie a préconisé la suppression d’une dizaine d’emplois équivalent temps plein et la fermeture de quatre structures de quartier : Chemin Vert, Verrerie, Le Phare et la Nacelle.
Concernant La Nacelle, un animateur se demande : « cette préconisation est surprenante quand on sait que cet espace est une des structures les mieux adaptées aux pratiques jeunesse ; sa fréquentation, aussi bien qualitative que quantitative, est un bon indicateur puisqu’elle enregistre à elle seule presque la moitié des adhésions du secteur jeunes de la Maison de quartier Croix-Rouge : a-t-on seulement encore envie d’activités jeunesse ? ». Le personnel de la Nacelle s’inquiète sur la future place du loisir des jeunes dans le quartier Croix-Rouge en particulier et à Reims en général.
Un autre animateur confirme : « La Nacelle fonctionne très bien. Quelle image, quelle réputation veut-on lui donner ? Cette année cet espace a enregistré entre 120 et 130 adhérents, presque la moitié du chiffre que l’audit donne pour l’ensemble des structures jeunes de Croix-Rouge (La Nacelle, Ethnic’s, sport, séjours). Il s’agit là de la fréquentation régulière sur des ateliers à l’année. Si l’on évalue la fréquentation plus souple adaptée à un public ados, on peut multiplier ce chiffre par deux, cela concerne essentiellement des 13/25 ans, même si nous débordons régulièrement en fonction des demandes du public. »
Certes, fermeture ne veut pas forcément dire licenciement, mais éventuelle redistribution des personnels, « mais ce qui est certain, c’est qu’alors il n’y aurait plus qu’une seule structure « jeunes » à Croix-Rouge : l’espace Ethnic’s, alors que la Nacelle est très bien adaptée. Sinon où faire de la danse, où faire du multimédia ? Que faire de tous ces jeunes qui fréquentent « la MJC », comme ils l’appellent tous encore ? »
A la mairie, l’adjoint Franck Noël, en charge des maisons de quartier, est plutôt rassurant : « L’association des Maisons de quartier de Reims a, en effet, fait réaliser un audit dont les propositions et conclusions ont été restituées fin juin.
En qualité d’administrateur, la ville a eu communication de ce rapport qui est loin de nous satisfaire en l’état : alors que l’association des Maisons de quartier de Reims a besoin d’une véritable remise en cause de fond sur ses missions, son organisation et ses rapports avec ses partenaires, l’audit propose la fermeture immédiate de quelques espaces, ce qui nous paraît inacceptable à ce stade de la réflexion.
Afin de donner le temps à l’association de retravailler son projet dans la sérénité, je rappelle que le maire lui a octroyé 100.000 euros supplémentaires pour l’année 2007.
Le conseil d’administration de l’association des Maisons de quartier de Reims devrait faire de nouvelles propositions dans les semaines et les mois à venir. »
Bonne nouvelle pour les habitués des bibliothèques municipales rémoises : ils peuvent désormais, depuis cette semaine, emprunter ici (à Croix-Rouge par exemple) et rendre ailleurs, à Carnegie ou à Falala, ou dans n’importe quel autre site du réseau : Chemin-vert, Holden (quand elle rouvrira en janvier), Laon-Zola, ou Saint-Rémi pourquoi pas ? Une facilité nouvelle puisque jusqu’alors, les lecteurs devaient rendre les documents exclusivement là où ils les avaient empruntés.
Profitons-en pour rappeler que toute personne qui s’inscrit dans l’une des bibliothèques ou médiathèques de Reims est, de fait, inscrite dans l’ensemble du réseau et peut donc emprunter dans tous ces établissements simultanément.
Abonnement annuel pour les plus de 16 ans domiciliés à Reims : 10€ (25€ pour les non-Rémois) ; gratuité pour les scolaires jusqu’en terminale, les étudiants et demandeurs d’emploi quel que soit le domicile.
« Le club a fait un énorme effort financier pour la location de salle. »
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Vous êtes le vice-président du Reims roller Champagne club. Quid de votre salle d’entraînement ?
« La ville refait le sol du gymnase François-Legros. C’est une très bonne chose parce que le sol devenait dangereux pour les patineurs. Toutefois, on n’a plus de terrain d’entraînement alors que les compétitions reprennent fin septembre. Les dirigeants du club, notamment le président Gilbert Lagors, ont travaillé tout l’été pour trouver une solution. Grâce à ce travail, le club est en mesure d’offrir à ses adhérents une salle d’entraînement. Les entraînements ont pu reprendre la semaine dernière et, avec force, puisque nous avons pu multiplier les créneaux d’entraînement. »
Où en sont vos différentes équipes au début de cette saison ?
« Les rollers-hockeyeurs remontent en nationale 2. C’est une grosse satisfaction pour les Bulldog’s qui vont pouvoir jouer à plus haut niveau que les saisons passées. L’effectif est quasiment défini. Concernant les jeunes nous avons le grand espoir pour l’équipe cadette qui a les moyens d’atteindre les phases finales du championnat de France. Nous sommes encore en train de renforcer l’effectif, et les éventuels candidats peuvent prendre contact avec moi. Nous accueillons les joueurs dès 6 ans. Le club prête le matériel à ceux qui veulent venir découvrir notre sport. »
Votre offre sportive s’adresse-t-elle à tous ?
« Comme les années passées, le club propose des cours de roller pour tous les âges et tous les niveaux. L’objectif, à terme, étant de permettre aux patineurs de participer aux randonnées roller rémoises que le club organise les premiers vendredis du mois. Un autre temps fort est le 24 heures du Mans roller. Les patineurs les plus motivés peuvent rejoindre le groupe roller vitesse qui participe à la French in line cup. »
Tél. : 03.26.83.97.05 ou 06.12.13.78.55 ou www.reimsroller.fr
Tribunal correctionnel de Reims.- Déjà condamné la semaine dernière à trois mois de prison ferme pour des vols d’autoradio, Ahmed Neggar comparaissait cette fois pour des violences commises le soir de la fête de la musique, en 2006.
Ce soir-là, place d’Erlon, alors que la fête bat son plein, Ahmed Neggar rencontre un jeune qu’il déteste cordialement. Et réciproquement.
Plus tard, les deux Rémois se retrouvent dans un hall d’immeuble de l’avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge. Une rixe s’ensuit. Ahmed Neggar a une hache et en donne un coup sur la tête de l’autre jeune qui, blessé, devra se rendre au CHU.
« Il m’attendait avec un bâton, » se défend à la barre du tribunal Ahmed Neggar. « J’étais bourré. Lui a sorti un flingue, et son frère un couteau… ».
À la barre, l’avocate de la victime souligne la violence de l’altercation. « Heureusement que mon client a tourné la tête quand le coup est tombé. » Elle montre sur la tête du jeune homme une trace de coupure sur un crâne rasé de près.
Le substitut du procureur de la République Camille Siegrist a requis six mois de prison ferme pour cette agression « qui aurait pu se terminer en boucherie ».
Me Gervais, pour la défense, a souligné la « participation active » de la victime à la rixe. « Les deux hommes ont déjà eu maille à partir à plusieurs reprises. »
Quant à la cicatrice montrée par la victime, « elle ressemble plus à un accident de rasage qu’à un coup de hache ! D’ailleurs le certificat médical du jeune homme fait état d’une journée d’incapacité de travail ! ».
Le tribunal a condamné Ahmed Neggar à trois mois de prison ferme. Il devra verser 550 euros de dommages et intérêts à la victime.
Objet du marché : construction du gymnase Croix-Rouge. Référence : V5-2007-100.
La Ville de Reims lance une procédure de consultation dont le texte intégral de l’avis d’appel public à la concurrence est édité sur les sites Internet de Reims :
http://www.marchespublics.reims.fr
et du B.O.A.M.P .
http://djo.journal-officiel.gouv.fr... .
L’information ci-dessous ne vise qu’à communiquer aux candidats potentiels les supports officiels de diffusion des avis et les informations leur permettant d’y accéder.
Marché de travaux.
Ville de Reims, place de l’Hôtel-de-Ville, 51096 Reims cedex. Dossier à retirer en version papier à l’Hôtel de Ville, direction de la commande publique, bureau 202, 2’ étage de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures, samedi excepté, demande possible par fax. Tél. 03.26.77.79.25. Fax 03.26.77.79.09 ou en version numérique à l’adresse mentionnée ci-dessus.
Prestations divisée en lots : oui.
Précisions sur les lots :
Lot 1 : VRD, espaces verts.
Lot 2 : gros oeuvre.
Lot 3 : charpente métallique.
Lot 4 : couverture, étanchéité, serrurerie.
Lot 5 : menuiseries extérieures, serrurerie.
Lot 6 : doublage, cloisons, menuiseries intérieures. - Lot 7 : ossature bois, bardage bois, charpente bois. - Lot 8 : équipements sportifs.
Lot 9 : faux plafonds.
Lot 10 : revêtements de sols sportifs.
Lot 11 : carrelage, faïence.
Lot 12 : peinture, revêtements muraux.
Lot 13 : plomberie sanitaire.
Lot 14 A : chauffage, ventilation.
Lot 14 B : réseau de chauffage primaire.
Lot 15 : électricité, courants forts et faibles.
Durée du marché ou délai d’exécution : la durée totale du présent marché est fixé à vingt-six (26) mois.
Le délai d’exécution des travaux pour l’ensemble des lots est fixé à quatorze (14) mois compris un (1) mois de congés annuels et non compris la période de préparation de chantier de deux (2) mois.
L’exécution des prestations débutera à compter de la notification de l’ordre de service en prescrivant le début d’exécution.
Conditions de remise des offres : date et heure limites de réception des offres : le 24 octobre 2007 à 17 heures.
Date et heure limites d’obtention du dossier de consultation des entreprises : le 24 octobre 2007 à 17 heures.
La maquette taille réelle du futur tramway sera la vedette de cette semaine de sensibilisation aux transports alternatifs.
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Rendez-vous place d’Erlon, tous les jours entre 10 et 19heures, jusqu’au 29 septembre. Pendant dix jours, les Rémois pourront tester le confort et l’accessibilité du futur tram.
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Parc Saint John Perce.
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Avenue Léon Blum
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Dans le cadre de la semaine de la mobilité, les Rémois pourront découvrir le futur tramway grâce à une maquette grandeur nature exposée à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 29 septembre.
La maquette taille réelle du futur tramway sera la vedette de cette semaine de sensibilisation aux transports alternatifs.
DEPUIS le temps qu’on en entendait parler, on s’impatientait de le découvrir « pour de vrai ». A partir d’aujourd’hui, le tramway se dévoile enfin. Une demi-rame vert anis – l’une des huit couleurs retenues – installée en plein milieu de la place d’Erlon ouvre ses portes.
Les Rémois avaient choisi ses couleurs, puis sa forme épurée version « flûte de champagne », ils pourront cette fois pénétrer à l’intérieur, histoire de tester ses sièges tout gris, son confort, son espace (2,40m de large) et son accessibilité. Une première qui intervient dans le cadre de la semaine de la mobilité. Dix jours pour promouvoir les moyens de transport alternatifs, plus respectueux de l’environnement, c’est le pari lancé par cette manifestation européenne. Si on note de grands absents pour cette sixième édition comme Paris, Lyon ou Marseille, Reims répond présent.
L’an passé, la communauté d’agglomération avait organisé une campagne de sensibilisation dans les quartiers comprenant expositions, conférences et animations diverses. Cette fois, le programme est plus léger, mais regroupé en plein centre-ville. « Pour attirer un maximum de personnes », précise Jean Manca, le chargé de communication déplacements et tramway de Reims Métropole, « car en 2006, l’opération trop décentralisée n’a pas eu le succès escompté ».
Jusqu’au 29 septembre, les Rémois pourront déambuler dans une demi-douzaine de chapiteaux dédiés aux déplacements moins polluants. Transports collectifs, covoiturage, vélos, marche… Reims Métropole veut prouver que les solutions ne manquent pas.
Les citadins pourront surtout s’informer sur les mesures envisagées par l’agglomération pour les inciter à laisser leur auto au garage : redéploiement du réseau des bus, réaménagement des trottoirs, utilisation des biocarburants, nouvelles pistes cyclables… sans oublier le futur tramway dont la mise en service est prévue fin 2010.
Avant d’accéder au tram, une exposition détaille aux visiteurs le nouveau Plan de déplacements urbains (PDU) qui réorganisera les transports dès l’année prochaine. Un plan sur lequel la population est appelée à se prononcer en octobre et qui promet de créer des emplois. Un stand en profite d’ailleurs pour présenter un éventail des métiers qui recruteront, que ce soit dans le BTP ou dans le transport. Avec l’espoir de susciter quelques vocations.
I.G.
Daniel Denis
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« Je laisse ma voiture au garage et je viens en ville à pied : la marche c’est très bon pour la santé et, garer une voiture en centre-ville, c’est pratiquement impossible et ça coûte très cher. Une ou deux fois par mois je prends aussi le bus, mais cela dépend de la météo.
Je trouve abusif l’utilisation de l’automobile en ville : si cela continue, les gens rentreront avec dans les magasins !
Je n’ai pas trop d’opinion sur le futur tramway. »
Jean-Louis Schneiter,, le maire de Reims.
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Jean-Louis Schneiter a inauguré hier la semaine de la mobilité qui se traduit notamment par la présence jusqu’au 29septembre d’une reproduction grandeur nature du futur tramway de Reims. Le maire de Reims en a profité pour réaffirmer le caractère inéluctable à ses yeux du projet s’il obtient la déclaration d’utilité publique (DUP).
« On ne pourra revenir en arrière car cela coûtera trop cher. Prétendre le contraire c’est de la poudre aux yeux. Quant aux travaux, ils se feront dès que la DUP sera prise. Le calendrier électoral ne rentre pas en compte dans ce dossier ».
A noter que plus de 3000 personnes avaient déjà visité la rame hier en milieu d’après-midi.
C’était la cohue lors de l’ouverture de l’exposition consacrée au tramway.
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Dans le cadre de la semaine européenne de la mobilité, organisée du 16 au 22 septembre, dont le but est de sensibiliser la population aux conséquences négatives de l’augmentation des déplacements motorisés, Reims Métropole expose sur la Place d’Erlon une maquette grandeur nature du « peut-être » futur tramway de Reims.
Jusqu’au 29 septembre, cette reproduction du tram affiche la couleur quant à la volonté de Jean-Louis Schneiter de mener à bien ce projet pour Reims.
Mais avant de franchir les portes du tramway, les visiteurs sont d’abord invités à consulter une exposition retraçant le plan de déplacement urbain (PDU).
C’est d’ailleurs dans quelques jours, du 4 octobre au 6 novembre, que doit débuter l’enquête publique concernant le PDU, dont les conclusions diront si oui ou non le projet de tramway est viable à Reims.
C’est seulement après cette enquête qu’il reviendra aux pouvoirs publics de prononcer ou pas la déclaration d’utilité publique quant au futur tramway.
J.D.
Le nouveau programme édité par la maison de quartier Croix-Rouge est disponible gratuitement dans tous les lieux qui reçoivent du public.
Il regroupe toutes les activités offertes par les cinq espaces du quartier : Billard, Ethnic’s, la Nacelle, Pays-de-France et Watteau.
Chacun y trouve activités et renseignements à sa pointure : petite enfance, enfance, jeunes de 12 à 25 ans, adultes et familles.
Dans la rubrique « services » , on trouvera les heures de permanence du centre de soins, des assistantes sociales, de la médiation « aide aux victimes » du MARS, de la mission locale, du service de protection maternelle et infantile, des éducateurs du service départemental de prévention, du service des vaccinations, du Secours populaire, du Secours catholique, de la consultation de jeunes enfants, des points information initiative-jeunesse et du point info familles, et de plusieurs associations du quartier.
Nouveauté cette saison : la permanence de l’association 3F ( « Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes d’ailleurs » ) animée par Renate Gossard, un lundi par mois de 14 à 16 heures à la Nacelle.
C’est samedi 22 septembre à 10 h 30 que le nouveau gymnase de la rue François-Arago sera inauguré et baptisé « Gymnase Jean-Jacques-Lapique » .
A 10 h 45, le gymnase Joliot-Curie, rue François-Mauriac, perdra son nom et deviendra officiellement « Gymnase Roland-Bourgoin » .
Enfin, à 11 heures, au complexe sportif René-Tys, la salle multifonction sera inaugurée et prendra le nom de « Salle Jean-Armand » .
Le nouveau programme édité par la Maison de quartier Croix-Rouge est disponible gratuitement dans tous les lieux qui reçoivent du public.
Il regroupe toutes les activités offertes par les cinq espaces du quartier : Billard, Ethnic’s, la Nacelle, Pays-de-France et Watteau. Une mine d’or car chacun y trouve activités et renseignements à sa pointure : petite enfance, enfance, jeunes de 12 à 25 ans, adultes et familles.
Dans la rubrique « services » , on trouvera les heures de permanence du centre de soins, des assistantes sociales, de la médiation « aide aux victimes » du MARS, de la mission locale, du service de protection maternelle et infantile, des éducateurs du service départemental de prévention, du service des vaccinations, du Secours populaire, du Secours catholique, de la consultation de jeunes enfants, des points information initiative-jeunesse et du point info familles, et de plusieurs associations du quartier.
A la suite de la démission de Laurence Malassagne, présidente du conseil d’administration de Reims Habitat, le bureau a siégé mardi 11 septembre après-midi, et Patrick Baudet, directeur général de Reims-Habitat Champagne-Ardenne a communiqué :
« Mme Laurence Malassagne, présidente du conseil d’administration de Reims Habitat, a quitté son mandat pour des raisons professionnelles. La vice-présidente, Mme Marie-Annick Roger, assure la suppléance de la présidence du conseil d’administration jusqu’à la prochaine réunion du conseil, fixée le 25 octobre 2007. » Marie-Annick Roger confirme qu’elle va assurer l’interim, et précise : « A la suite de la démission de Laurence Malassagne, le maire va faire nommer par le conseil municipal un nouveau représentant au conseil d’administration de Reims-Habitat. »
Coup de zoom sur le studio Folimage et le cinéma d’animation : expositions, ateliers, projections à la médiathèque Croix-Rouge.
Inscriptions préalables au secteur jeunesse.
Entrée libre.
Mercredi 19 septembre à 14 heures, « La prophétie des grenouilles », un dessin animé de Jacques-Rémy Girerd. France, 2003, 1h30min : Tom, ses parents adoptifs et la voisine Lili sont prévenus par les grenouilles qu’un déluge va s’abattre. Ils embarquent sur un moulin devenu navire de fortune avec tous les animaux du zoo voisin. Au cours du périple qui les attend, humains, herbivores et carnivores vont devoir apprendre la solidarité… A partir de 5 ans.
Samedi 22 septembre à 9 h 30 « Mon âne », 1994, France, 5 min et Petits courts pour petits bouts : cette projection se déroulera à la fin de la séance de l’heure des bébés. Un âne facétieux accompagne à l’image des chansons et comptines traditionnelles françaises mise en mouvement par plusieurs techniques d’animation (courts animés pour public de 6 mois à 3 ans).
Mercredi 26 septembre à 10 heures, « Patate et le jardin potager », un dessin animé de Benoît Chieux et Damien Louche-Pélissier (1998, France, 1h). Dans un potager, quatre légumes s’aperçoivent que leur jardinier venu les récolter les a oubliés. Une petite carotte, un poireau craintif et un brocoli roublard décident d’envoyer en éclaireur Patate… A partir de 4 ans.
Médiathèque Croix-Rouge ; 19 rue Jean-Louis Debar.
Tél. 03.26.35.68.40.
La signature du protocole a eu lieu vendredi à Reims dans les locaux du Foyer rémois.
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« Pour les locataires, quand ils ont un problème d’eau chaude ou de chauffage par exemple, les délais sont toujours trop longs ; nous, nous estimons bien sûr que nous faisons toujours le mieux possible. Notre idée, avec ce protocole, c’est de passer du subjectif à quelque chose de plus objectif, et d’assainir ainsi les relations. »
Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois*, commentait ainsi une signature effectuée vendredi à Reims par son entreprise de logement social d’un côté et les représentants des locataires de l’autre.
Ces derniers, en signant, cautionnent donc la politique de qualité engagée par l’organisme logeur à la suite de l’obtention, en fin d’année dernière, de sa certification nationale Afaq.
Cette politique se traduit notamment par plusieurs engagements écrits noir sur blanc, par exemple la possibilité de joindre un service d’astreinte sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
A.P.
La brocante d’automne et l’exposition : « Les artistes à Croix-Rouge », organisées par I’ACRAP se dérouleront dimanche 23 septembre, de 9 à 18 heures, sur le parking de l’hippodrome.
Renseignements au secrétariat de l’Acrap, 11 avenue du Président Kennedy (derrière l’hippodrome), ouvert du lundi au vendredi de 14 heures à 18 heures et le mardi, mercredi, vendredi de 9 à 12 heures.
Téléphone 03.26.06.39.54. et sur le site http://acrap.9online.fr/
Une toile de Christian Ferry
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C’est lundi 17 septembre que Madeleine Terrien et les élèves de son atelier peinture qui fonctionne le jeudi de 18 heures à 20 heures à l’espace Billard.
Ils exposeront leurs œuvres jusqu’au vendredi 21 septembre.
Entrée libre au 14, rue Pierre-Taittinger, du lundi au vendredi, de 14 heures à 18 heures.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Le ton est monté entre père et fils mardi après-midi dans la rue Gandon, le premier reprochant au second de trop jouer sur l’ordinateur ; le fils a donné un coup de poing à son géniteur qui a porté plainte… avant de la retirer.
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La piste et les rambardes de la très fréquentée patinoire Barot ont fait l’objet d’importants travaux de rénovation du 13 mai au 15 juillet. Les associations sportives et les scolaires bénéficient désormais d’une patinoire entièrement aux normes.
100 tonnes de sable, 12 tonnes d’eau glycolée, 18 kilomètres de tuyaux, un investissement de 256000 euros et deux mois de travaux : voilà ce qu’il aura fallu à la Régie des équipements municipaux sportifs de la Ville de Reims (Rems) pour refaire intégralement la piste de la patinoire Barot. « L’ancien système de production de froid fonctionnait au gaz fréon, explique Monique Nassau, adjointe au Maire, déléguée aux Sports et présidente de la Rems. Or, non seulement l’utilisation du gaz fréon sera interdite dans quelques années, mais les travaux ont également permis de prévenir des problèmes de sécurité qui auraient pu provoquer la fermeture définitive de cet équipement. Nous avons donc préféré anticiper et moderniser cette patinoire très utilisée par les associations sportives et les scolaires. » En effet, depuis 1994, date de son ouverture, la patinoire Barot est fréquentée, en moyenne sur un mois, par 4000 personnes et est utilisée 92 heures chaque semaine par les associations sportives et les scolaires. Si on additionne les heures de fréquentation de la patinoire Barot à celles de la patinoire Bocquaine, on atteint une fréquentation hebdomadaire de 131 heures.
Ouverte depuis le 16 juillet dernier Les travaux ne se sont pas limités à la piste. La Rems a aussi entrepris la réfection totale des rambardes entourant la piste (coût de l’opération 66400 euros).
Grâce à ces travaux, la Rems offre aux associations une piste aux normes de la fédération
Le 2 juillet dernier, à la salle François Mauriac, la Ville de Reims et l’ensemble des organismes logeurs (Foyer Rémois, Reims habitat et Effort Rémois) ont organisé une réunion publique afin de présenter le projet de renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge portant sur la période 2008-2011. Les habitants se sont rendus nombreux à l’invitation aux côtés d’associations de locataires pour découvrir l’ensemble de la programmation : 449 démolitions de logements, la volonté de développer la mixité sociale avec la reconstruction de 565 logements et celle de 182 logements locatifs sociaux, la réhabilitation de 1615 logements.
Pour faire reculer la désertification commerciale, il est envisagé d’implanter13000 avec
m2 d’activités économiques. Les espaces publics seront également réaménagés un souci d’accessibilité et une attention toute particulière aux déplacements doux : voies piétonnes, pistes cyclables et futur tramway. Au fur et à mesure de l’avancement des projets dans chaque secteur (Eisenhower, Croix du Sud et Pays de France), les habitants dont l’implication est essentielle seront conviés à d’autres réunions publiques.
Sur des bases existantes (concert inaugural, soirées théâtre, ateliers d’arts plastiques au “village”, tournoi de sport inter-générationnel…), le festival redevient un projet que la Maison de quartier souhaite faire partager -de la définition jusqu’au bilan- par les associations de terrain et les habitants.
L’ambition d’affirmer un quartier au-delà de son périmètre prend un triple aspect :
• faire événement sur le quartier en touchant acteurs et publics de toute la ville
• exister dans la ville (cabarets, expos-photos, stages, présence à la Cartonnerie)
• plus largement, intégrer l’individu par la promotion de sa culture.
Cette amplification d’une image du quartier au travers de son festival a été placée sous la direction de José Mendes (notre photo), directeur artistique de la troupe l’Ageasse Théâtre, comédien, metteur en scène et illustrateur de livres pour enfants.
Dès cet automne, du 30 septembre au 7 octobre, une “Fête de rentrée” permettra aux associations de présenter leurs activités en s’adressant au plus large public.
La construction de la Halle de Technologie sera achevée pour la fin de cette année.
Sur le campus Moulin de la Housse, ce bâtiment est conçu pour recevoir en rez-de- chaussée des laboratoires dotés d’équipements lourds, le premier étage étant destiné à des bureaux d’enseignants- chercheurs et à deux salles pour les Doctorants et les étudiants en Masters.
On dirait un titre de film, mais Charline existe bel et bien. Cette brillante élève du Collège Georges Braque va représenter la France du 23 au 30 septembre à Rimouski (Québec-Canada) où se déroule le plus important festival francophone au monde.
L’immersion dans l’univers du cinéma jeune public sera totale mais Charline y a été préparée par madame Julien, professeur de lettres et madame Barrault, la documentaliste.
Reste à exercer un regard critique et passionné. Moteur !
Des déchets marqués par des coquelicots…
Attention, l’environnement a voulu nous dire quelque chose !
Dans leurs combinaisons de travail, armés d’encens, de confettis et de fleurs, des élèves de quatrième et des comédiens de l’association T.R.A.C ont frappé les trois coups… En coulisses, un partenariat original entre le collège Georges Braque, Reims habitat et les habitants eux-mêmes. Toujours sous la conduite de Sophie Hasslauer, professeur d’arts plastiques et d’Agnès Brion, professeur de lettres, un scenario d’aménagement de la place Maurice Utrillo en“laboratoire de féeries” est envisagé pour l’an prochain. A suivre…
Conçu par l’association Initiales, le Festival de l’écrit verra sa consécration en octobre prochain.
C’est dans nos quartiers qu’il puise ses sources. Patrick Schmid (Espace Watteau) est membre du comité de lecture et tête de réseau. « C’est, dit-il, cette diversité qui porte le projet. C’est de chaque quartier comme lieu de vie et d’expression que les participants issus d’ateliers d’écriture ou de stages sont sortis de leur isolement. Leur parcours est remarquable et leurs écrits souvent poignants. »
Les textes primés feront l’objet d’un livre remis aux lauréats à la médiathèque Jean Falala.
Rue Gilberte et Jean Droit, la Direction de la Voirie a procédé à la réfection de la chaussée côté avenue Général Eisenhower.
L’Antenne Municipale Croix-Rouge, à votre service 1 rue Joliot Curie.
Tél. 0326356020.
Union070913a - Locales - Reims
Depuis bientôt dix ans, l’association Émergence, présidée par Jean-Philippe Zinzindohoué, et son réseau de bénévoles s’impliquent dans une coopération internationale en République du Bénin.
Cet été, elle a mené un projet de redynamisation sociale au village de Hon, dans la région de Zogbodomey (1.500 habitants, dont environ 500 enfants).
Au programme :
La construction d’une bibliothèque scolaire, la création de quatre ateliers d’expression, l’installation de livres, documents, l’amélioration du système d’irrigation du jardin de l’école et enfin le développement du CEFAM (Centre d’éducation et de formation à l’agriculture et aux métiers), une future ferme-école située à Massi qui a pour but de former des jeunes ruraux de Zogbodomey aux outils et techniques de gestion agricole et aux divers métiers liés à la nature.
Pour la partie sociale, il s’agissait de créer une synergie autour d’un projet visant à redynamiser la population du village à travers des ateliers d’expression et de réflexion sur la réduction de la pauvreté, le développement endogène, les concepts du monde associatif : associations de femmes, de jeunes, de développement du village, groupements et coopératives.
Pour la partie pratique, les participants ont achevé la construction d’un bâtiment de 105 m2 au sein de l’école primaire de Hon, pour en faire une bibliothèque et « la maison du savoir et de la connaissance pour tous » .
Émergence :
Association de coopération et de solidarité internationale avec le Bénin, créée à Reims en septembre 1997.
Siège : 4 allée des Picards,
Tél. : 03.26.85.46.71.
Site : http://solijahfary.free.fr
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070912d - Locales - Reims
L’association Étoile Croix-du-Sud (5, avenue Léon-Blum) recherche des bénévoles libres en fin de journée et intéressés par les enfants :
« Venez nous rejoindre et aider les enfants du secteur Croix-du-Sud à réussir leur scolarité. Nous cherchons des personnes qui pourraient assurer du soutien scolaire du niveau primaire au niveau lycée ».
Contacter le secrétariat ou, par téléphone, le 03.26.06.56.66.
Union070912c - Locales - Reims
Les jardiniers élus et récompensés.
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Éric Dousset (parcelle 63) est classé premier pour la troisième année consécutive. Il succède à Jean Petit et remporte le grand trophée qu’il conservera trois ans en position de hors concours.
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La cérémonie de remise des prix annuels des plus belles parcelles à l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud est toujours un événement attendu.
Ils étaient une cinquantaine réunis à cette occasion pour écouter le président Georgy Weiler dévoiler la liste des gagnants, liste fournie par Alain Chevallier (l’Effort Rémois) et tenue secrète jusque là.
Une promenade préalable dans les parcelles a permis aux présidents des autres associations, à Didier Koladawski, (jardins de l’agglomération rémoise) et aux élus de constater l’excellent travail des jardiniers de Croix-du-Sud. Jean-Marie Beaupuy, adjoint délégué aux jardins familiaux, a souligné « la bonne amitié qui règne ici » , il a noté « la progression constante de ces jardins, année après année, et un fleurissement remarquable ». La ville de Reims subventionne cette association à hauteur de 7.600 euros, dont 4.000 pour l’équipement.
Les jardins sont victimes d’importants travaux de voirie à la jonction route de Bezannes et rue Joliot-Curie. Le président Weiler s’est dit « très vigilant. Dans trois ans, nous y verrons plus clair. » Il a eu une pensée pour les trois octogénaires de l’association, Mme Georges, M. Roussel (9e) et Mme Philippot, la doyenne, classée 11e à 85 ans.
Éric Quénard, conseiller général, a souligné « le gros investissement de l’Effort rémois » qui assure le prêt gratuit des locaux et offre un chèque aux vainqueurs.
Après la cérémonie, les jardiniers ont continué la fête autour d’un barbecue géant dans l’espace convivialité des jardins.
1. Éric Dousset, 2. Évelyne Nkounkou, 3. William Garnier, 4. Christiane Maquin, 5. Pascal Petit, 6. Jacqueline Guiot, 7. Jean Dugue, 8. Jean-Pierre Malissart, 9. Serge Roussel, 10. Jacques Bidaut et Georgette Philippot, 12. Mathilde Bidault et M. Desuage, 14. M. Ancelin, 15. M. Weiler.
La suite du classement des 67 parcelles peut être consultée sur les panneaux d’affichage dans les jardins.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070912b - Locales - Reims
Tribunal correctionnel de Reims._ Le 10 juillet dernier, le tribunal avait à juger d’un très désagréable dossier. Le jugement, mis alors en délibéré, n’a été rendu qu’hier : six mois de prison ferme pour les trois jeunes mis en cause.
Les faits se sont déroulés le 9 décembre 2006, dans un immeuble du quartier Croix-Rouge. Ce soir-là, un homme et sa mère pénètrent dans le hall de l’immeuble, accompagnés de leur chienne qui vient d’avoir une portée. Dans l’entrée, cinq jeunes s’amusent. Les moqueries fusent : « C’est 30 millions d’amis ici ! On va faire comme tes chiens, on va pisser partout… » L’homme et sa mère parviennent jusqu’à l’ascenseur qui commence à s’élever. Mais entre le rez-de-chaussée et le 1er étage, les jeunes réussissent à bloquer la machine. « Les jeunes ont ensuite enflammé des tracts et papiers trouvés dans le hall et les ont coincés entre les battants des portes métalliques de l’ascenseur. » Finalement, l’ascenseur sera débloqué.
L’homme et sa mère ont eu très peur. A l’audience, le fils tremble d’ailleurs comme une feuille. « C’était la fête des voisins et de la convivialité ! » commente le président du tribunal correctionnel, Mario-Louis Craighero. Entendues par les policiers, les victimes ont reconnu formellement sur photographies trois jeunes déjà condamnés par la justice : Houcine Benkirate — un étudiant en médecine -, et les frères Boukrina, Lyes et Slimane.
« Le plus agressif, c’était lui, » affirment-ils en désignant Benkirate qui nie toute participation. Le fils ajoute : « Je crois que je me suis trompé. Lyes Boukrina n’était peut-être pas là, je l’ai confondu avec son frère ».
Le revirement de ce témoignage ne lasse pas de surprendre le ministère public qui reprend les interrogatoires. « Pendant votre audition, vous aviez affirmé que les deux frères étaient présents, pas seulement l’un d’eux… »
Visiblement terrorisé et influençable, l’homme lâche du bout des lèvres, « tout à l’heure, il [Lyes Boukrina] est venu me voir dans le hall du tribunal. Il m’a dit que je m’étais trompé. Que je l’avais confondu avec son frère ». Le substitut du procureur rappelle que durant les interrogatoires, « les victimes ont reconnu les trois prévenus. Elles viennent de subir une tentative d’intimidation. Elles sont terrorisées. Ce jour-là, des prospectus ont brûlé dans l’ascenseur ». Et de requérir des peines de quatre à six mois de prison ferme à l’encontre des trois prévenus.
Me Laquille, pour la défense de Benkirate, a plaidé la relaxe. « Les victimes n’ont jamais reconnu mon client. Quand l’ascenseur s’est arrêté entre le rez-de-chaussée et le 1er étage, des coups ont été portés dans la porte de l’ascenseur. Les victimes ont senti des odeurs de brûlé mais on ne sait pas qui a tapé sur les portes, et qui a mis le feu aux papiers. »
Le tribunal a condamné chacun des trois jeunes à six mois de prison ferme.
Patricia Buffet
Adresse à retenir pour ceux qui cherchent un logement à Croix-Rouge : les 9,11,13 avenue Taittinger. Un bloc tout fleuri où les habitants ont le sourire.
Il y a des fleurs à presque tous les balcons. En bas, deux hommes ramassent les quelques papiers qui traînent sur une pelouse tondue de près. Le long du bâtiment, une rangée d’arbustes complète le tableau de verdure. Un chien planté entre deux géraniums observe sa maîtresse partie chercher le petit à l’école voisine. Il peut les suivre du museau tellement l’école est proche.
Nous sommes au pied du bloc des 9,11 et 13 avenue Taittinger. Le coeur de Croix-Rouge.
« Ce sont les élèves de l’école qui nous ont mis les arbres », précise William depuis son balcon. L’ancien vendeur en produits frais vit là depuis 1970 : « Je me plais beaucoup. Ma voiture est garée devant, le centre commercial est à deux pas, les écoles encore plus près. On a tout. Y com¬ris de quoi se balader avec les petits enfants ».
Jennifer, jeune caissière et maîtresse du chien partie chercher son petit à l’école, aime aussi ce coin de vie : « Faut pas se plaindre. Moi qui attends en ce moment un second enfant, je me sens bien ici. Nous sommes entourés de familles ou de personnes âgées. Tout le monde est correct ».
Cindy, du bloc depuis 4 ans, confirme : « On entend dire Croix-Rouge ceci Croix-Rouge cela, les gens n’imaginent pas qu’on peut y être très bien. Chez nous il n’y a pas un tag, notre hall est beau et propre ». Cindy se croirait presque à la campagne. À tel point qu’elle s’est fait un potager suspendu : « J’ai planté des tomates cerises sur mon bal-con et j’en récolte plein », se fé-licite la femme de ménage de profession, fière de montrer le résultat de son jardinage.
Dans son salon, un gros canapé d’angle invite au farniente.
Par sa fenêtre, on peut voir l’hippodrome « et même les chevaux parfois ». Elle changerait pas d’adresse Cindy : « Les logements sont bien. Je paie 441 euros charges comprises pour un F4. Pas excessif ».
Antoinette, encore une qui aime son bloc. Même les gamins qui cassent trop souvent les vitres avec leur ballon ne lui feront pas dire de mal de son logement : « J’ai des voisins supers ! 37 ans que je suis là, j’ai élevé 3 enfants et je me suis toujours plu ici ». Il n’y a pas de raison que ça change.
Catherine Frey
Photos Benjamin Segura
Reims Habitat, le bailleur propriétaire, n’ignorait pas qu’il fait bon vivre dans ce bloc de Croix-Rouge : « Situé face à un espace vert, il a toujours été bien habité et nous ferons tout pour que ça dure », assure François Toublan, directeur de l’organisme logeur.
L’installation d’entreprises au rez-de-chaussée du bâtiment contribue, selon le bailleur, à l’ambiance sereine de cette adresse. Harmonie un peu gâchée à l’arrière du bâtiment par les ballons casseurs de portes vitrées : « C’est un problème que les services techniques voudraient résoudre en mettant une plaque de métal à la place de la vitre du bas mais j’ai peur que ce ne soit pas esthétique ». Le mieux serait que ces footballeurs casseurs apprennent à jouer un peu mieux. Ou qu’ils se mettent au badminton. À part cela l’avenir de quartier est tout rose avec un futur parc à la place de l’hippodrome et le tram qui va passer à deux pas du bloc. Ils auront vraiment tout.
C.F.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 070911d
TRIBUNAUX DE COMMERCEGREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
Par jugement du 11/09/2007, le tribunal a prononce la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :
S.A.R.L. DUMONT LG,
13 place Fragonard - 51100 REIMS.
Activité : Travaux de maçonnerie générale.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
58401
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 070911c
Par jugement en date du 18/09/2007, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :
E.U.R.L. Profil Services,
53 esplanade Eisenhower -51100 REIMS.
Activité : Conseil en recrutement et toutes formes de conseils aux entreprises ou aux particuliers, import, export de biens et services, formation, création de sites Internet, gestion de sites Internet, gestion d’entreprises (centre d’appels).
R.C.S. : REIMS B 493 129 621 (2006 B 00727).
Juge commissaire : M. Christophe PINEL.
Liquidateur : Maître François DELTOUR, mandataire judiciaire, 3 rue Noël - 51100 REIMS.
Messieurs les créanciers sont invites à déclarer leur créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.
Le greffier administrateur : Louis-Dominique RENARD.
58482
Les inscriptions à l’école de tennis du Tennis-club Géo-André seront reçues mercredi 12 et samedi 15 septembre, au Club House, avenue François-Mauriac, à partir de 14 heures.
Par ailleurs, dans le cadre du jumelage entre Reims et Aix-la-Chapelle, le TCGA recevra pour une compétition amicale, une équipe de tennis aixoise, samedi 15 septembre de 9 à 15 heures.
Pour plus de renseignements : TCGA 03.26.49.25.06.
De passage allée des Bourguignons, jeudi vers 22 heures, les policiers ont contrôlé un homme de 35 ans qui refusait de se lever d’un banc.
Les agents ont compris pourquoi lorsqu’ils l’ont sommé de se mettre debout. Il y avait sous ses fesses un couteau-serpette et un morceau de résine de cannabis…
LES sacrifiés du TGV habitent Croix du Sud. Ils ont de moins en moins de bus pour se déplacer. « C’est atroce. Il faut maintenant attendre une heure pour avoir un K, tout le monde se plaint dans le quartier », dénonce Thérèse une habituée de la ligne.
« Le gosse, il va au collège à Yser, il me dit « Mémé, jamais je ne pourrai être à l’heure » C’est quand même pas normal ».
Ils ont le sentiment d’être des laissés-pour-compte : « On paie des impôts et on n’a même pas le bus ».
La situation date de l’arrivée du TGV. Il fallait trouver un bus pour aller jusqu’à la gare de Bezannes, manque de bol c’est leur K qui a été choisi.
Les représentants CGT des bus refont l’historique de cette décision : « À l’époque trois propositions ont été faites par les Tur à la communauté d’agglomération. La première prolongeait la ligne M avec un véhicule supplémentaire. Cette solution coûtait 300.000 euros ». Solution soutenue pour les élus CGT du comité d’entreprise.
La deuxième proposition consistait à « créer une branche à partir de l’arrêt Tourangeaux sur la ligne K. Cette option déshabillait profondément le terminus « Croix du sud » au profit de la gare TGV ». Mais ne coûtait rien ou presque.
La troisième solution « consistait à créer une navette entre la place Saint-Timothée et la gare TGV ». Solution la plus pratique mais onéreuse au point qu’elle n’a même pas été chiffrée.
Résultat des courses : Reims Métropole, soit les élus de l’agglomération réunis, a choisi la solution numéro 2. Et ont sacrifié les habitants de Croix du Sud.
« Les conducteurs et les usagers se retrouvent ainsi pris en otage face au choix du moins disant de Reims Métropole », clame la CGT.
D’autant plus en colère que ce sont les chauffeurs qui subissent la mauvaise humeur des passagers : « Ils pensent tous que c’est la faute des Tur s’ils ont moins de bus alors ce sont leurs élus qui ont décidé cela », souligne un conducteur de la ligne K. Lui-même solidaire des habitants de ce quartier où la grogne gagne.
Gérard, un retraité du quartier, donne des idées à ceux qui attendent le bus « Ils mériteraient qu’on aille tous bloquer le TGV ».
Catherine Frey
« Fin 2010, nous aurons le tram pour aller jusqu’à la gare, cette mesure concernant la ligne K n’est donc que provisoire ». Du provisoire d’au moins trois ans et demi. Pourquoi ne pas avoir choisi de prolonger la ligne M ? « D’abord parce que cette ligne serpentait dans les rues de Bezannes et prolongeait beaucoup trop le temps de transport ville-gare TGV. Et puis aussi parce qu’elle avait un coût élevé ». Quant à créer une nouvelle ligne, c’était hors de prix.
La communauté d’agglomération a choisi la solution la plus économique : « D’un côté il faut desservir la gare, de l’autre on nous demande de ne pas augmenter les impôts, on ne peut pas faire de miracle ». Pas de miracle, ce ne sont pas les habitants de Croix du Sud qui diront le contraire : « Il ne faut pas exagérer la gêne. Seuls deux arrêts sont dépouillés d’un tiers des bus, Fragonnard et Croix du Sud. Il faudra seulement que ces personnes prennent d’autres habitudes ».
Bernard Desoize a beau multiplier les arguments jusqu’à reprocher à la presse de toujours mettre le négatif en avant : les faits sont que les habitants de Croix du Sud ont été sacrifiés au profit du TGV pour des raisons budgétaires. « Si quelqu’un a une meilleure solution, nous sommes preneurs ».
C.F.
Plusieurs détenteurs de produits illicites ont été interpellés ces derniers jours.
SI vous transportez de nuit, et sur un deux-roues, des produits illicites, mieux vaut ne pas oublier d’allumer votre lumière. Sans quoi vous risquez d’attirer l’attention des policiers, et donc de vous faire contrôler… C’est exactement ce qui est arrivé à ce jeune homme de 24 ans, qui circulait jeudi soir un peu après 22 h 15 dans l’avenue d’Épernay. Ça n’a pas loupé : les policiers l’ont repéré et se sont donc intéressés à lui. Et qu’ont-ils découvert dans ses sacoches ? Des feuilles de cannabis. « J’ai récupéré ça dans les poubelles d’un ami qui déménageait », leur a expliqué en substance l’intéressé. Quelle que soit la véracité de cette affirmation, le cyclomotoriste au cannabis devra s’acquitter d’une amende de 500€.
Autre histoire de stupéfiants, survenue un petit peu avant, vers 22 heures, le même jour, dans l’allée des Bourguignons (Croix-Rouge) ; les policiers remarquent un groupe assis sur un banc et procèdent à un contrôle, et l’un des contrôlés, âgé d’une trentaine d’années, est trouvé en possession de cinq grammes de cannabis et d’un couteau. Il sera bon pour une amende de 350€.
Mais il n’y a pas que le soir ou la nuit que les produits interdits se baladent en ville : vendredi en pleine après-midi sur le boulevard Carteret, un homme d’une quarantaine d’années se sent quelque peu mal à l’aise en apercevant une patrouille, et tente alors de se débarrasser discrètement de certains objets. Mais les agents ont l’œil. Or les objets en question sont des flacons de méthadone, produit de substitution interdit à la vente en France, ainsi qu’un morceau de cannabis. Au domicile de l’intéressé on trouvera encore une vingtaine de flacons de méthadone, ainsi que du Subutex, mais pas la moindre ordonnance médicale pouvant éventuellement justifier cette présence. Le stockeur de ces médecines illégales a été placé en garde à vue.
A.P.
Quelques-uns de la centaine de participants à la sortie au Tréport.
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Oumkeltoum Fedaïli, référente-familles aux espaces Billard et Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, a organisé mercredi 5 septembre, une réunion de définition et de préparation des activités (ateliers et sorties) de la Parent’aise.
Il s’agit d’un lieu d’animations centré sur la relation parents et enfants, avec des ateliers d’activités ludiques et des sorties de proximité.
Ce fut l’occasion pour les participants de dresser le bilan des animations collectives et sorties familiales de cet été à Watteau.
Laurence Geoffroy, animatrice permanente, a ainsi évoqué la sortie familiale d’une journée au Tréport en bus, à laquelle ont participé 101 personnes dont 45 adultes : « Sur place, les familles ont participé aux activités proposées ou ont organisé leur journée à leur gré : baignade, visite du port, tour de bateau, montée d’une falaise en funiculaire,… »
Lors de la semaine des Arts du cirque, plusieurs familles se sont initiées à ces techniques sous le chapiteau de l’association TRAC installé sur l’espace vert Arago avant de pique-niquer sous le chapiteau. Quelques autres familles ont participé à la préparation d’un goûter au 6, allée des Picards pour clôturer le spectacle de cirque préparé par les enfants de l’accueil loisirs avec l’association TRAC.
Enfin, une sortie à Maki Catta Planet a été proposée fin août avec la participation de quatre adultes et treize enfants : « C’est un parc avec des structures gonflables, piscine à balles, karting, parcours d’obstacles style parcours dans les arbres à l’intérieur et possibilité de conduire un petit bateau qui se déplace sur un grand bassin selon un itinéraire à suivre ».
Après la réunion du mercredi 5 septembre (préparation et définition des ateliers et sorties de la Parent’aise), un premier programme jusque décembre a été établi avec Oumkeltoum Fedaïli, référent familles.
Des ateliers manuels : colliers de perles, pâte à sel, décoration de vitres. Mercredi 12 septembre après-midi, un atelier de confection de cocktails et de fleurs en papier crépon pour décorer des vélos et poussettes, en vue d’une fête fin septembre.
Des sorties culturelles : visites du planétarium, de la fabrique de biscuits Fossier, de la caserne des pompiers et de caves, cinéma, bowling, ateliers de prévention sécurité avec les TUR, participation aux moments lecture ou contes pour bébés ou enfants et spectacles proposés aux enfants à la médiathèque Croix-Rouge.
Animations lors de la semaine du goût et la Semaine bleue organisée par l’ORPA du 15 au 21 octobre : recherche de recettes sur Internet par des personnes âgées et des familles, ateliers cuisine, sortie à la cueillette de Muizon.
« Parent’Aise » : un mercredi sur deux de 10 heures à 11 h 30 ou de 15 heures à 17 h 30.
Renseignements, inscriptions : au secrétariat de l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.).
Des photographies sur les activités de la Parent’Aise sont disponibles dans notre galerie de photos
Après l’envoi de la lettre du président de la République aux enseignants, le ministre de l’Education nationale, Xavier Darcos, a entamé un petit tour de France à l’occasion de la rentrée scolaire.
Mercredi à Bordeaux et hier à Reims, l’agrégé de lettres classiques est venu visiter le lycée Arago guidé par son proviseur Michel Gagneux.
Sous les regards étonnés des élèves, le ministre et sa suite ont pris connaissance des spécificités du lycée, mêlant enseignement général et professionnel, allant de la classe de seconde au niveau bac plus 3.
Une belle occasion pour Xavier Darcos de rappeler la valeur de ces filières professionnelles « trop souvent dénigrées ».
Union070907a - Locales - Reims
Dans la nuit de mardi à mercredi, l’abus de champagne s’est révélé néfaste pour onze voitures stationnées rue de Rilly-la-Montagne au quartier Croix-Rouge.
Elles ont subi des dégradations commises par deux frè¬res qui venaient d’ingurgiter à eux seuls « trois à quatre bouteilles », selon leurs propres déclarations.
Sébastien, 20 ans, et Jean-François Masson, 21 ans, n’avaient pas eu l’occasion de boire ensemble depuis un certain temps. Ils se sont rattrapés mardi soir.
Tard dans la nuit, vers 3 h 30, les deux frères quittent l’appartement familial pour prendre l’air. Jean-François marche en tête.
Il trouve un tournevis et l’idée lui vient de s’en servir pour casser les vitres de plusieurs voitures.
Un véhicule, puis deux, puis trois… Ce sont au total onze voitures qui sont dégradées, l’une d’elles à deux reprises lors d’un nouveau passage.
Sébastien ne fait rien pour empêcher son frère. Il marche derrière et en profite pour jeter un coup d’oeil dans les habita¬cles afin de vérifier s’il n’y a rien d’intéressant à dérober.
C’est ainsi qu’une oreillette, une paire de lunettes ou encore quelques CD ne vont pas être retrouvés par les victimes (ni par les policiers d’ailleurs).
Evidemment, le bruit de verre brisé réveille plusieurs riverains. Seule l’arrivée de la police met fin aux agissements des deux frères renvoyés hier en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.
Jean-François Masson est un multirécidiviste : c’est la cinquième fois en deux ans qu’il est jugé pour des affaires similaires.
Sébastien n’en est qu’à une seule condamnation mais elle ne date que du 19 juin (sept mois de prison avec sursis, là encore pour vol et destruction).
Depuis le 10 août, il existe une certaine loi sur la récidive qui s’applique parfaitement aux prévenus. Peine plancher prévue : trois ans de prison.
Le tribunal leur inflige les trois ans mais en les couvrant partiellement d’un sursis avec mise à l’épreuve : 36 mois dont un an ferme à Jean-François, 36 mois dont 6 mois ferme à Sébastien, lequel devra également purger les sept mois de sursis révoqués (soit 13 mois ferme).
Les deux frères ont été écroués à l’issue de l’audience.
Union070906c - Locales - Reims
1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, BP 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.
3. Objet des marchés : remplacement des portes palières, alléesY.-Gandon et A.-Watteau à Reims.
4. Nombre et consistance des lots : 1 lot réparti comme suit :
Lot 1 : portes palières.
5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6. Délai d’exécution : 12 semaines (y compris la période de préparation de 6 semaines et non compris la période de congés payés et la ou les périodes d’intempéries).
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du CMP (voir règlement de consultation).
8. Critères d’attribution :
- Valeur technique
- Prix.
9. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site www.reims-habitat.fr.
10. Autres renseignements :
Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des constructions de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40.
11. Remise des offres :
les offres doivent être envoyées ou remises à : Monsieur le directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
12. Date limite de remise des offres : lmercredi 26 septembre 2007 à 17 heures.
13. Date d’envoi de l’avis à la publication : 31 août 2007.
Union070906b - Locales - Reims
Alain Prey, créateur du nouveau site du RAP.
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L’ancien site Internet du Reims Acrap patinage (RAP) étant tombé dans l’abandon, le club vient d’ouvrir un nouveau site : http://www.reims-acrap-patinage.com, créé par Alain Prey et animé par Romuald Bordes, deux bénévoles de l’Acrap.
Sobre dans sa présentation, ce site propose un « Accueil club » avec les actualités, des textes et des photos, les horaires, les inscriptions et le planning de programmation de la saison 2007-2008, un « Espace membres », avec accès sécurisé et mot de passe, réservé aux adhérents et « Nous contacter » avec une adresse e-mail à laquelle les adhérents peuvent proposer leurs textes ou leurs photos.
Une astuce : pour retrouver les textes et photos de la saison précédente 2006-2007, taper http://www.reims-acrap-patinage.com…
Reims Acrap Patinage
11, avenue du Président Kennedy
Tél/Fax (secrétaire club) : 06 24 85 44 64
Tél/Fax (secrétaire Acrap) : 03 26 06 39 54
LA MARNE > LEMAG sept-oct 2007
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Photos : Christophe Manquillet
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Cette collégienne de 14 ans a été sélectionnée pour représenter la France au jury du Carrousel international du film de Rimouski, au Québec, du 23 au 30 septembre.
Quand elle a appris la nouvelle, elle a eu « du mal à y croire… » Dans quelques jours, Charline Jaspard s’envolera pour le Québec, où elle participera au plus important festival francophone de cinéma jeune public. Le Carrousel international du film de Rimouski, qui fête ses vingt - cinq ans, accueille chaque année près de 15 000 personnes, sur les bords du plus grand estuaire du monde, celui du fleuve Saint-Laurent. Une véritable aventure pour cette jeune collégienne de 14 ans qui n’a encore jamais pris l’avion !
Élève au collège Georges Braque de Reims, un établissement classé en zone d’éducation prioritaire (Zep), la jeune fille au visage doux, encadré par de longs cheveux dorés, est un peu intimidée par l’effervescence provoquée par sa sélection parmi les dix-neuf membres du jury. Il faut dire qu’elle y représentera non seulement sa ville et son département, mais aussi la France, aux côtés d’une Coréenne, d’une Américaine, d’une Tchèque ou encore d’une jeune Polonaise.
Brillante élève, Charline doit sa participation à son professeur de lettres modernes, Marie-Adeline Julien, et à la documentaliste, Marie-Christine Barrault, qui s’activent à transmettre leur passion pour le cinéma aux élèves de l’établissement.
Depuis de nombreuses années, le collège Georges Braque participe à l’opération « Collège au cinéma », proposée par le Conseil général de la Marne. Un atelier intitulé « Lectures plurielles », associant la lecture d’une œuvre et le visionnage d’un film sur le même thème a aussi été mis en place. Et depuis la rentrée 2006, un « club cinéma » a vu le jour, à l’initiative de Marie-Adeline Julien. Tous les jeudis et vendredis midi de la dernière année scolaire, une dizaine d’élèves volontaires se sont ainsi retrouvés au CDI pour visionner ensemble des films, puis en discuter. C’est ainsi que les deux enseignantes, impressionnées par son regard critique, son sérieux et sa capacité à argumenter, ont eu l’idée de proposer la candidature de Charline pour le festival. « J’ai pu découvrir des films très différents, que je n’avais jamais eu l’occasion de voir. À la maison, on ne va au cinéma que pour les grandes occasions », confie la collégienne, qui vit avec son père, agent de maîtrise, et sa soeur aînée de 17 ans.
Plus tard, elle aimerait devenir professeur des écoles, « plutôt en maternelle, avec les tout-petits ». En attendant, elle s’apprête à vivre un moment inoubliable : durant une semaine, son immersion dans le monde du cinéma jeune public sera totale : les membres du jury visionneront la sélection, bien sûr, mais rencontreront aussi des acteurs et scénaristes, participeront à des ateliers, des débats… Un programme chargé, loin de son établissement d’origine !
Fondé en 1983, le Carrousel international du film de Rimouski est une véritable fête du cinéma jeunesse. Il propose, en compétition, des films de fiction et d’animation inédits, des rétrospectives thématiques et des films réalisés par des enfants.
Son jury, composé exclusivement de jeunes âgés de13 à 16 ans et présidé par un jeune comédien, décerne sept prix Camérios.
> En savoir plus : www.carrousel.qc.ca
Union070904a - Locales - Reims
« Nous constatons aujourd’hui qu’un jeune sur huit, diplômé ou pas, et habitant un quartier populaire trouve un emploi souvent précaire et sur le court terme, après seize ou dix huit mois d’inactivité.
Ce délai atteint dix-huit à vingt-quatre mois pour un adulte.
Quatre jeunes diplômés sur six issus de l’immigration quittent notre ville pour tenter leur chance ailleurs, faute de trouver un emploi à leur juste valeur et les deux jeunes qui restent se contentent de trouver tant bien que mal un emploi loin d’être en rapport avec leurs diplômes.
Trois sur huit d’entre eux trouvent un emploi uniquement par l’intermédiaire des agences intérimaires et jamais lors d’un recrutement.
Sept candidatures sur huit n’obtiennent aucune réponse. »
C’est la raison pour laquelle Reso (Réseau d’échanges solidaires) et ses partenaires, Reims Divers Cités et l’association des travailleurs Maghrébins de France (ATFM) [1] , lancent une action intitulée « Job Solidarité » .
Une lettre a été adressée hier lundi 3 septembre à la plupart des entreprises et sociétés implantées localement, pour un vrai sursaut citoyen dans leurs choix de recrutement et ainsi permettre aux compétences des quartiers de s’exprimer dans une activité salariale.
Par ailleurs, les entreprises pourront éventuellement être accompagnées et orientées dans le cadre de la recherche de leurs futurs collaborateurs en prenant contact avec le collectif RESO.
« Nous établirons un suivi mensuel sur le nombre des jeunes et adultes recrutés sur leurs secteurs d’activités, sur les entreprises qui joueront le jeu et sur celles qui ne donneront pas suite » annonce Alexis Gueldon, président de R.E.SO.
Union070903b - Locales - Reims
Au collège Georges-Braque :
6e : mardi 4 septembre de 9 à 12 heures (pas de cours l’après-midi)
5e : mardi 4 septembre de 14 à 16 heures.
4e : mardi 4 septembre de 15 à 17 heures.
3e : mardi 4 septembre de 15 à 17 heures.
La cantine sera assurée le mardi 4 septembre uniquement pour les 6e.
Au collège François-Legros :
6e et 3e d’insertion : mardi 4 septembre, de 8 h 30 à 11 h 30
5e : mardi 4 septembre de 13 h 30 à 15 h 30.
4e : mercredi 5 septembre de 8 à 10 heures.
3e : mercredi 5 septembre de 10 à 12 heures.
Union070903a - Locales - Reims
L’école Alfred-Gérard fait partie des nouveaux établissements concernés.
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Le dispositif qui permet de repérer les jeunes en difficulté et de leur proposer une aide personnalisée est étendu à deux nouveaux quartiers. A Croix-Rouge, il concerne déjà 132 familles.
MENTION bien dans tous les quartiers. Le dispositif de réussite éducative mis en place par la ville l’année dernière à Croix-Rouge, s’étend dès la rentrée aux Epinettes et à Orgeval.
Une bonne nouvelle pour les enfants de 2 à 16 ans de ces quartiers qui vont bénéficier d’une aide personnalisée s’ils en ont besoin. Les écoles Gallieni, Charpentier, Paul-Bert, Alfred-Gérard et le collège Colbert sont les nouveaux établissements concernés.
Pour faire partie du dispositif, il faut être soit originaire des trois quartiers élus, soit fréquenter les écoles désignées. Donc un jeune des Epinettes qui étudie à Maryse-Bastié peut bénéficier de cette aide.
De la même façon, un jeune de La Neuvillette qui fréquente Colbert est aussi concerné.
La réussite éducative qui touche, après un an d’existence, 132 familles de Croix-Rouge a prouvé son utilité. Le dispositif permet de repérer les jeunes en difficulté. « Ce sont en général les enseignants ou les structures socio-éducatives qui donnent l’alerte », explique les initiateurs du dispositif en mairie.
L’alerte peut être donnée pour un retard scolaire, des problèmes de comportement ou même un souci de santé. Un coordinateur rémunéré à 50 % par l’État et à 50 % par la collectivité est alors saisi. Il étudie le dossier du jeune avec son équipe composée d’éducateurs, de psychologues ou encore d’animateurs.
« En fonction du problème de l’enfant, une solution est proposée aux parents qui doivent donner leur accord. Dans la plupart des cas ils suivent ».
L’aide personnalisée peut prendre diverses formes : « Ce peut être proposer une activité sportive, organiser la prise en charge de frais dentaires quand il n’y a pas d’autre aide possible ou encore prévoir un accompagnement à la scolarité en collaboration avec les maisons de quartier ».
L’aide la plus fréquente est liée aux problèmes de comportement : « Nous proposons alors une rencontre avec un psychologue. Se retrouvent ainsi suivis des enfants qui ne l’auraient jamais été ».
Et qui, pour certains, s’en sortiront définitivement grâce à cela.
C.F.
Union070902b - Locales - Reims
Dans le cadre du concours annuel des plus belles parcelles, l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud procédera aujourd’hui à la proclamation du palmarès 2007 et à la remise des prix aux jardiniers sélectionnés. Rendez-vous à 10 heures, à la rocade centrale, rue Joliot-Curie.
Animé par Éliane Pierrejean, le groupe « QCR Infos, Rénovation urbaine » (locataires volontaires de Reims-Habitat), se réunira mercredi 5 septembre. Renseignements et inscription des nouveaux volontaires au point accueil, esplanade Eisenhower.
Vincent Girardin, organisateur et accompagnateur de randonnées pédestres familiales propose une réunion vendredi 7 septembre à 18 heures à l’espace Watteau, pour préparer le programme des randonnées 2007/2008.
C’est lundi 17 septembre que Madeleine Terrien et ses élèves de l’atelier peinture de l’espace Billard exposeront leurs œuvres jusqu’au vendredi 21 septembre. Entrée libre au 14, rue Pierre-Taittinger, du lundi au vendredi, de 14 à 18 heures.
La brocante et l’exposition « Artistes à Croix-Rouge », organisées par l’association Croix-Rouge animation et promotion se dérouleront dimanche 23 septembre, de 9 à 18 heures, sur le parking de l’hippodrome. Inscriptions à l’Acrap, au 03.26.06.39.54.
Union070902a - Locales - Reims
Les élèves du collège François-Legros visitent la cathédrale de Reims, c’est ça l’école ouverte.
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« L’école ouverte » est une initiative de trois collèges rémois publics, François-Legros, Paul-Fort et Georges-Braque.
Deux semaines avant la rentrée, et depuis trois années, les élèves qui le souhaitent participent aux multiples activités proposées par les professeurs. Encouragée par le rectorat, cette opération concerne 175.000 futurs collégiens en France.
Pour le groupe des onze têtes blondes du collège François-Legros, direction la cathédrale de Reims. Chaque jour de 9 heures à 16 h 30, 5 professeurs et 8 assistantes d’éducation encadrent les jeunes sur la base du volontariat. Après le phare de Verzenay, le musée Saint-Rémi, un atelier calligraphie et avant la visite des places de Reims et une journée surprise (une destination gardée secrète), les 32 élèves inscrits pour cette prérentrée quittent les vacances en douceur pour mieux appréhender la rentrée au collège.
« J’avais envie de m’habituer à mon établissement, rencontrer les professeurs et de nouveaux amis », confie enthousiaste, Angèle qui rentre en sixième mardi prochain. « De notre côté, nous apprenons à connaître nos élèves, détecter leurs personnalités, et éventuellement reformer nos classes », explique Christophe Buteau, professeur d’histoire à François Legros.
Caroline Denime
Union070902aa - Locales - Reims
Il est beau, il est coloré, il sent bon, le stand antillais.
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Des coiffes traditionnelles, des sets de table aux couleurs chatoyantes, des madras, des tee-shirts locaux, des livres et une ribambelle de saveurs antillaises sous forme de chips, de sirop, de confitures…
Faites vite, il ne reste plus qu’aujourd’hui pour y trouver le grand soleil qui boude toujours la foire.
Note du webmestre :CAFDOM, Club des Amis et des Français des Départements d’Outremer, est une association présidée à Croix Rouge-Eisenhower par Jacqueline Thétis, sur la photo avec ses adhérents.
Union070901a - Locales - Reims
Philippe Mouton.
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Un pro du bâtiment et une secrétaire comptable ont créé une entreprise d’insertion sélectionnée pour un prix national. Récompense pour ces deux responsables, et reconnaissance pour les salariés.
Sur le mur de son bureau, Philippe Mouton a déjà accroché le « prix départemental » du concours « Talents » de l’économie sociale. Le mardi 4 septembre, il saura s’il peut lui adjoindre le prix national pour lequel son entreprise d’insertion a été sélectionnée… Ce prix récompenserait la démarche de ce professionnel du bâtiment qui a préféré la voie de l’entraide à celle de la vie facile…
Philippe Mouton est peintre en bâtiment et maître-ouvrier en décoration, doublé d’un bon cœur. Après son apprentissage entamé à l’âge de 15 ans, il a effectué son service national comme sous-officier, « Casque bleu » à Sarajevo, spécialisé dans la logistique et le transport.
De retour à la vie civile, il reprend sa carrière dans le bâtiment, jusqu’à ce qu’une vilaine douleur dorsale ne l’oblige à changer de voie. C’est ainsi que Philippe Mouton se retrouve comme cadre technique dans une entreprise d’insertion du quartier Wilson à Reims, dans laquelle il s’implique tant et si bien qu’il est remarqué par les autorités. Mais l’entreprise finit par mettre la clé sous la porte.
M. Mouton retrouve un job, gagne « très » bien sa vie… Mais il décide de quitter son emploi pour créer son entreprise d’insertion dans le quartier Croix-Rouge, le 1er décembre 2005. Il s’adjoint les services de Viviane Fogel.
L’entreprise fonctionne comme toutes les entreprises du bâtiment. Ses donneurs d’ordres sont la Ville de Reims, les organismes logeurs, les grandes entreprises à la recherche de sous-traitants, et les particuliers. Mais les 8 salariés, eux, sont des personnes sur la voie du « retour à l’emploi ».
Leur contrat est de deux ans maximum. Il n’est pas renouvelable. Leur formation s’effectue en continu sur les chantiers. Elle est complétée par un suivi social de la personne, par des cadres techniques de formation. Car le but de tout ce travail, c’est l’emploi. L’entreprise perçoit 67.000 € de subventions d’État pour assurer cette (re) mise à niveau, soit 9.681 € par salarié. Si l’un d’entre eux s’absente, la subvention est suspendue.
A ce jour, les premiers arrivés commencent à sortir. « On comptabilise trois sorties positives ; un CDI refusé par le salarié ; et deux sorties négatives, les emplois étant jugés trop « difficiles » par les salariés ».
Philippe Mouton explique son parcours : « J’avais envie de transmettre mon savoir-faire et d’aider. Le sourire et la satisfaction de la personne à qui on retrouve un travail, ça vaut tout l’or du monde ».
Le prix départemental « Talents » et la sélection nationale constituent donc une belle récompense pour ce travailleur acharné et sa collègue. Mais aussi une reconnaissance du travail des salariés en voie d’insertion. A la rentrée, une autre récompense pourrait intervenir, avec la signature d’une convention avec un grand groupe de BTP pour décrocher d’importants marchés publics.
Union070831a - Locales - Reims
Le monde des courses impressionne. Ce soir, il se rend accessible.
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Ce soir, l’opération « courez aux courses » invite les enfants à découvrir les multiples facettes du monde hippique. L’hippodrome de Reims promet du spectacle en musique.
« L’OBJECTIF est de faire connaître les hippodromes comme lieu de détente et de loisirs. Un espace vert au sein des villes où les parents et les enfants peuvent s’amuser ».
Pour la première année, la fédération nationale des courses françaises chapeaute ce projet nommé « Courez aux courses ». Reims fait partie des 48 villes françaises concernées par cette opération.
Samedi 1er septembre, à partir de 19 h 30, les moins de 16 ans auront accès gratuitement à l’hippodrome.
Ils galoperont sur tout le site, accompagnés de leurs parents. L’envers du décor sera rendu visible.
« Les enfants et les jeunes ados pourront assister à la préparation des chevaux dans l’écurie, suivre « les heats » d’entraînement, approcher de près les jockeys et assister aux courses », développe Dominique Parmentier, secrétaire à l’hippodrome de Reims.
Lors des cinq heures d’ouverture au public, sept courses — six attelées (le jockey assis sur un sulky) et une montée (en selle) — se suivront. « Pendant la soirée la fanfare « Les boules de feu » de la faculté de médecine et « Courez aux courses » se conjugueront à l’hippodrome pour fêter en musique l’événement », précise Emilie Rousseau, chargée de communication.
« Il y aura aussi des balades en poney et des structures gonflables pour les plus petits ».
Le dernier week-end des vacances sera l’occasion de reprendre l’école en douceur.
En effet, « chaque participant recevra un agenda, un cahier d’écriture et un stylo à plume. Un souvenir pour rester dans l’univers équestre pendant l’année scolaire ».
Bref, à parier que cette soirée est à marquer au fer rouge.
Caroline Denime
Renseignements : Hippodrome de Reims, 3 avenue du Président Kennedy à Reims.
Tél. : 03.26.08.65.29.
Le samedi 1er septembre, la fanfare « les boules de feu » animera en musique la soirée dédiée aux enfants « Courez aux courses ».
Mais cet événement n’est que l’introduction de « Trot’Musik », une opération en trois temps. Après le rythme de la fanfare, un « soirée jazzy » aura lieu le 15septembre avec le groupe Jazz Event. Le 29 septembre, le « Brasil » sera à l’honneur. Au programme de cette soirée, démonstration de capoeira avec l’association rémoise Senzala de Capoeira, stand de produits brésiliens, musique et chant. « L’objectif est de faire découvrir les courses à des néophytes dans une ambiance chaleureuse », explique Emilie Rousseau à la communication.
C.D.
Ouverture de l’hippodrome à 18 h 30.
Départ de la première course à 20 heures, spectacle jusqu’à 23 heures.
Entrée 5€, programme de pronostic inclus. Gratuit pour les moins de 16 ans.
Réservation au restaurant panoramique au 03.26.82.21.22.
Union070830c - Locales - Reims
Les majorettes reprennent le bâton dès le 4 septembre.
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Avec Vincent Lapauw
au gymnase Roland-Bourgoin.
Mardi de 20 à 22 heures et vendredi de 18 à 20 heures.
Reprise mardi 4 septembre.
Le mercredi avec Virginie Delauzun
dans la salle polyvalente.
Enfants 6-8 ans de 14 à 15 heures ; 8-11 ans de 15 à 16 heures ; 11-13 ans de 16 à 17 heures ; 13-15 ans de 17 à 18 heures ; ados de 18 à 19 heures ; adultes de 19 à 20 heures.
Reprise mercredi 12 septembre.
Avec Céline Herter
dans la salle polyvalente.
Enfants 3,5-5 ans mercredi de 10 à 11 heures ; 6-8 ans mercredi de 11 à 12 heures ; 9-12 ans mardi de 17 à 18 heures ; 13-16 ans lundi de 17 heures à 18 h 30 ; 16 ans et adultes mercredi de 12 h 15 à 13 h 30 ; adultes mardi de 20 h 15 à 21 h 45.
Reprise lundi 17 septembre.
Avec Peggy Palterni
dans la salle polyvalente.
Jeudi et vendredi soir.
Avec Laurent Julliard
au complexe sportif Géo-André.
Reprise mardi 4 septembre.
Avec Djamel Chafik
au complexe sportif Géo-André.
Reprise mercredi 5 septembre.
Avec Théodore Lê dans la salle polyvalente.
Reprise lundi 10 septembre.
Avec Élisabeth Lorique
dans la salle polyvalente.
A partir de 16 ans,
lundi de 18 h 30 à 19 h 30.
Reprise lundi 17 septembre.
Avec Alain Lommé,
à partir de 16 ans.
Reprise début octobre.
Avec Magali Macadré
dans la salle polyvalente.
Reprise mardi 4 septembre.
Avec Jeannine Catry.
Reprise samedi 8 septembre.
Avec Christian Gérard
sur le parking de l’hippodrome.
A partir de 12 ans
mardi et jeudi après-midi.
Avec Franck Schmit
au gymnase François-Legros et dans la salle polyvalente de l’Acrap.
Adultes et jeunes à partir de 12 ans
vendredi de 20 à 22 heures.
Avec Jeannine Catry
Patinage artistique, danse sur glace et patinage synchronisé
au Reims Acrap patinage à la patinoire Jacques-Baroty.
Avec Bernadette Canu
dans la salle club.
Reprise jeudi 6 septembre.
Avec Bernadette Canu
dans la salle club.
Enfants à partir de 4 ans mercredi de 9 à 11 heures ;
adultes lundi de 14 à 18 heures.
Reprise mercredi 5 septembre.
Avec Bernadette Canu
dans la salle club.
60 ans et plus,
le mercredi.
au secrétariat de l’Acrap et du Rap, 11 avenue du président Kennedy à Reims (derrière l’hippodrome),
ouvert les lundi et jeudi de 14 à 18 heures et les mardi, mercredi, vendredi de 9 à 12 heures.
Téléphone 03.26.06.39.54.
et sur les sites http://acrap.9online.fr/ ou http://www.reims-acrap-patinage.com
Union070830b - Locales - Reims
Alors que les lycéens profitent de leurs derniers jours de vacances, les lycées se sont, eux, remis au travail depuis plusieurs jours déjà. Travaux, changement de direction, nouveautés… Ils sont bien occupés !
…
Proviseur : Michel Gagneux.
Proviseur adjoint : Marie-Françoise Dochez.
Effectif : 750 élèves répartis en 34 classes, « malgré les fluctuations, on a réussi à se stabiliser. En plus on conforte nos effectifs dans nos filières professionnelles et on note une plus grande implication des filles dans ces filières, ce qui est une très bonne chose », remarque le proviseur.
Nouveautés : CAP en apprentissage.
Travaux : Restructuration des ateliers qui devrait commencer dans le courant de l’année scolaire et se prolonger sur 2- 3 ans.
Proviseur : Gilles Gladieu.
Proviseur adjoint : Michel Charlet.
Effectif : 700 élèves, stable.
Nouveautés : Création d’un bac pro (vente ou commerce) en 1 an pour des élèves ayant échoué au bac général ou technologique.
Travaux : L’établissement poursuit sa rénovation.
…
M.L.
Union070830a - Locales - Reims
…
Principal : Sylvie Malaval.
Principal adjoint : Fabrice Wateau est remplacé par Marielle Fichou.
Effectif : 370 élèves répartis en 19 sections. Perte d’une quarantaine d’élèves suite à la suppression de deux classes (une 5° et une 3°), « on subit la baisse démographique », reconnaît la principale.
Nouveautés : Accent mis sur les liaisons inter-cycles (CM2/6° et 3°/seconde) et l’accueil des élèves de 6°. Poursuite de la classe bilangue en 6° et 5° et création de la 4° bilangue. Mise en place d’un dispositif en alternance pour les élèves de 4°.
Travaux : Dernière phase de réhabilitation du gymnase. Tous les faux-plafonds des halls et couloirs ont été refaits.
Fidèle gardien immobile, l’œuvre d’art des collégiens va fréquenter 35 élèves de plus cette année à François-Legros.
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Principal : Philippe Labiausse.
Principal adjoint : M. Régnier-Lelong.
Effectif : 550 élèves, soit 30 de plus qu’à la rentrée 2006.
Gestionnaire : Patrick Le Rhun (venant du lycée Libergier) remplace Mme Beaudelot, partie à la retraite.
Nouveautés : Mise en place d’études dirigées, d’aide aux devoirs et d’accompagnement à la scolarité à tous les niveaux. Création d’une UPI (Unité pédagogique d’intégration) pour les déficients sensoriels, essentiellement des malentendants. Mise en place d’une UEE (Unité d’enseignement externée) pour des jeunes venant de l’IME de Ville-en-Selve. Ouverture d’une section sportive haltérophilie qui s’ajoute aux partenariats existant déjà avec le Creps de Reims, le Reims Champagne Hockey et le Stade de Reims.
Travaux : rénovation de toute la cuisine pour les demi-pensionnaires.
« Une équipe stable qui marche bien », note le principal.
Principal : Philippe Lhuillier.
Principal adjoint : Valérie Lombard.
Effectif : 390.
Pas de nouveauté à signaler, ni de travaux.
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Union070829c - Locales - Reims
Le groupe franco-polonais au complet.
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« L’Europe est une réalité géographique, économique et historique. Pour stimuler le sentiment de citoyenneté européenne des jeunes et les aider à comprendre leur rôle dans l’Europe présente et future, il est de notre devoir de défendre et de faire valoir des valeurs de paix et de solidarité » remarquent Slimane Hamdi (Maison de quartier Croix-Rouge, espace Pays-de-France) et Sébastien Jacques (service départemental de Prévention de la Marne).
C’est dans cet esprit que, en partenariat avec l’association polonaise Ecoeurowies à Walbrzych, ils ont organisé un échange européen de jeunes sur le thème : « conscience européenne et lutte contre les discriminations ».
Les objectifs étaient de travailler sur une partie très importante de l’histoire de l’Europe, la Deuxième Guerre mondiale et particulièrement sur la déportation et la Shoah, et de permettre à un groupe de jeunes du quartier Croix-Rouge de Reims de découvrir un pays européen et d’aller à la rencontre d’une autre culture, d’une autre langue, de lutter contre toutes les formes de racismes et d’antisémitisme, et de faire un travail de mémoire et promouvoir la paix.
La préparation du voyage s’est faite sur deux thèmes : une sensibilisation à la déportation et à la Shoah, avec l’intervention de Mme Biava de l’Office national des Combattants, et la découverte de la Pologne (rencontre avec l’amicale franco-polonaise de Reims).
La première partie de l’échange de jeunes s’est effectuée en juillet : un groupe de jeunes du quartier Croix Rouge a séjourné huit jours à Walbrzych en Pologne. Les Français et les Polonais ont échangé sur les deux pays respectifs et sur leur appartenance à l’Europe.
« Notre projet d’échange de jeunes européens implique une réciprocité. Après notre séjour à Walbrzych en Pologne cet été, nous accueillerons courant 2008 nos amis polonais. Dès le mois de septembre, nous allons préparer le séjour de nos partenaires à Reims : ainsi nous rendrons l’hospitalité à notre hôte européen » conclut Slimane Hamdi.
Recueillement au camp d’Auschwitz.
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« Malgré la barrière de la langue, les échanges furent très riches » témoigne Slimane Hamdi (Maison de quartier Pays-de-France).
L’ensemble du groupe a suivi un programme d’activités riche : rencontres et échanges sur les deux pays respectifs, visite des villes de Walbrzych et Cracovie, visite des musées : tunnels et grottes réalisés durant la Seconde Guerre mondiale, découverte des mines de charbon, présence à un mariage traditionnel polonais et enfin, visite d’Auschwitz-Birkenau.
« Le moment fort de notre séjour reste incontestablement cette dernière visite. Malgré toute la préparation faite en France en termes d’information et de sensibilisation sur cet événement, les quatre heures passées à écouter les explications du guide et à voir les expositions et les lieux de l’horreur ont suscité une forte émotion et des sentiments d’indignation, ce qui s’est traduit par une avalanche de questions posées par le groupe au guide ».
D’autres photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070829b - Locales - Reims
Une interpellation a mal tourné lundi soir au quartier Croix-Rouge à Reims.
Vers 20 h 30, des policiers ont rattrapé un jeune homme qui avait fui à leur arrivée alors qu’il fumait un « joint » de cannabis avenue Bonaparte. Embarqué dans le véhicule de la patrouille, Majid Guerine, 23 ans, a voulu s’échapper une nouvelle fois. Il a donné un coup de pied à un premier policier — main cassée, 21 jours d’incapacité totale de travail — et a tenté d’asséner un coup de tête à un second fonctionnaire.
Celui-ci a paré le coup avec sa main (cinq jours d’ITT).
Jugé dès hier en comparution immédiate, Majid Guérine a nié les violences. « J’ai cherché à m’enfuir mais sans violence. Trois policiers sont arrivés derrière. J’ai pris des coups dans tous les sens. Un policier m’a donné un coup de poing à la bouche.
C’est à ce moment-là qu’il s’est blessé à la main. »
Sorti de détention en mars après avoir été condamné à six ans de prison — malgré ses protestations d’innocence — pour le braquage en 2002 de la station-service du magasin Intermarché Wilson, le jeune homme avait repris trois mois ferme fin juin pour des violences à agents de la force publique (le caillassage d’une patrouille au quartier Wilson).
Cette dernière condamnation n’a pas encore été exécutée. Rattrapé hier par la justice, Majid Guerine a écopé d’un an ferme pour l’agression des deux policiers lundi soir. Il a été écroué à l’issue de l’audience.
F.C.
Union070829a - Locales - Reims
La Fédération nationale des Courses françaises organise sur 49 hippodromes, dont celui de Reims, une journée spéciale rentrée des classes pour les enfants qui se déroulera le samedi 1er septembre.
Cet événement a pour but de faire découvrir cet équipement aux enfants pour lesquels l’entrée sera gratuite.
Chaque enfant se verra remettre sur place une kyrielle de souvenirs aux couleurs des courses hippiques fort utiles pour l’école : trousse, stylo plume, cahier de texte et cahier d’écriture.
Les enfants (mais aussi leurs parents) pourront assister à la préparation des chevaux, l’échauffement, l’entraînement puis suivre, du bord, la présentation au public et l’arrivée sur la piste.
Pour tous renseignements : 03.26.08.65.29.
Tarif : 5 € pour les adultes.
Site internet : www.lescourseshippiques.com
Union070828e - Locales - Reims
Travaux :
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil Général de la Marne.
Correspondant : Monsieur le Président du Conseil Général de la Marne, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.69.51.51, télécopieur : 03.26.69.51.29, courriel : marchespublics@cg51.fr.
Objet du marché : travaux sur les sous-stations de chauffage urbain et les régulations des réseaux de chauffage aux collèges François-Legros et Georges-Braque à Reims.
Les candidatures et les offres seront entièrement rédigées en langues française ainsi que les documents de présentations associés.
Critères d’attribution : offre économiquement la plus avan-tageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous (par ordre de priorité décroissant).
- Valeur technique,
- Prix.
Type de procédure : procédure adaptée.
Date limite de réception des offres : 17 septembre 2007 à 12 heures.
Délai minimum de validité des offres : 150 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Renseignements complémentaires : aucune transmission électronique n’est autorisée. Le délai global d’exécution des travaux est de 4 mois.
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : Conseil Général de la Marne, S.E.T.B., 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en¬Champagne cedex, tél. 03.26.69.40.20, télécopieur : 03.26.69.40.80.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : Conseil Général de la Marne.
Correspondant : service des marchés publics, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Champagne cedex, tél. 03.26.69.49.68, télécopieur : 03.26.69.51.29.
Adrese à laquelle les offres/candidatures/demandes de participation doivent être envoyées : Conseil Général de la Marne.
Correspondant : service des marchés publics, 2 bis, rue de Jessaint, 51038 Châlons-en-Chamapgne cedex, tél. 03.26.69.49.68.
Union070828d - Locales - Reims
Parc Arago : tout l’espace boisé sur cette photo va disparaître.
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Le stabile monumental en acier inoxydable du sculpteur Marcel Van Thienen (1922-1998), intitulé « Fleur des vents » a été présenté à Reims lors d’une exposition collective « la sculpture dans la cité » dans le quartier de l’Europe en 1970, avant d’être installé dans le quartier Croix-Rouge, sur le parc Arago (1,3 ha).
Cette « sculpture mobile » , qui a toujours été respectée par la population, fait maintenant partie de la mémoire collective des habitants de Pays-de-France. Avec la construction prévue par le Foyer rémois d’un ensemble immobilier le long de l’avenue Bonaparte dans le prolongement de La Poste et jusqu’au croisement Arago (centre commercial, logements, parking souterrain et espace vert privatif), on sait que tout l’espace boisé va disparaître. Des habitants s’interrogent sur le devenir de l’œuvre d’art : sera-t-elle maintenue sur place, déplacée ou bien détruite ?
Le Foyer rémois à qui nous avons posé la question a préféré ne pas communiquer sur ce sujet.
Union070828c - Locales - Reims
Fin juillet et début août, un atelier de création d’affiches « Les mots s’affichent » a fonctionné à la médiathèque Croix-Rouge sous l’animation de Nicole Pérignon plasticienne-typographe et Anne Mulpas, écrivain.
Ce projet, proposé par le collectif Odyliade, était soutenu par le Contrat urbain de cohésion sociale. Les participants ont écrit et conçu leurs affiches par le dessin, le collage, !a peinture, Nicole Pérignon et Anne Mulpas guidant les participants dans l’image des mots.
Les affiches réalisées seront exposées à la médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar) du 30 août au 8 septembre.
Entrée libre.
Des photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070828b - Locales - Reims
Geneviève Kaczowka (au centre) et une partie du bureau de l’association.
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Fin juin, nous reproduisions les écrits de Patrick Sommet, directeur Clientèle à l’Effort rémois qui, à propos des méthodes employées par la présidente de l’association de locataires des Polygones, remarquait : « …/… Vous laissez entendre à un grand nombre d’interlocuteurs extérieurs destinataires de vos courriels, que rien ne se fait : je ne peux accepter cette sempiternelle suspicion et les termes agressifs de vos écrits, à la limite du harcèlement, à l’égard de mes collaborateurs et de moi-même ».
L’association n’a pas apprécié cette déclaration.
« La présidente et les membres du bureau, 42 adhérents des Polygones, quatre présidents d’associations du quartier Croix-Rouge et 22 de leurs adhérents, sept membres de l’association FO des consommateurs de Reims (Afoc), huit sympathisants, l’ancien maire de Reims et quatre conseillers municipaux solidaires des actions menées sont scandalisés par la mauvaise foi du directeur Clientèle qui ne répond aucunement aux graves problèmes existants bien que destinataire de nombreux courriers et mails », écrit ainsi Geneviève Kaczowka : « Si réclamer des travaux promis, des remboursements de factures indûment attribuées aux locataires, des remplacements de matériels vétustes ou des interventions urgentes, demander des documents utiles à la mission de l’association est interprété comme étant du harcèlement, nous invitons ce monsieur qui est présenté aux locataires et associations comme directeur de la clientèle à changer de métier ! » Les membres de l’association sont des bénévoles qui œuvrent pour que les conditions de vie des habitants, tant dans le quartier que dans les appartements, soient décentes :
« Depuis des années, nous tentons d’ouvrir un dialogue constructif, mais nous constatons que les promesses ne sont pas tenues, que les réparations sont faites à l’économie, que les locataires ne sont pas entendus mais que les charges ne cessent d’augmenter. »
En conclusion, l’association invite le directeur de la clientèle à tenir compte des réclamations qui lui sont faites et de résoudre les problèmes au fur et à mesure afin d’éviter d’avoir à revenir maintes fois sur les mêmes observations et, au minimum, à répondre aux courriers qui lui sont adressés tant par les locataires que par l’association.
La présidente ne manque pas d’arguments pour justifier ses dires.
« Depuis cinq ans, nous attendons l’aménagement de l’escalier de la descente d’escalier au garage, dangereux. Suite à la chute grave d’une locataire, l’Effort rémois a pourtant été condamné par le Tribunal.
Depuis trois ans, une locataire attend une intervention définitive concernant l’humidité dans sa salle de bains.
Depuis trois ans, nous attendons que trente emplacements de parking au sol soient matérialisés.
Nous attirons sans relâche l’attention du bailleur sur la porosité des murs extérieurs en raison d’une mosaïque qui vieillit mal.
Depuis cinq ans, nous demandons la condamnation des vide-ordures pour raisons d’hygiène.
Des erreurs de facturation ne parviennent pas à être rectifiées et les remboursements sont impossibles à obtenir du service comptabilité.
Les ascenseurs sont de plus en plus souvent en panne et pour des périodes très longues.
Depuis six ans, nous demandons un local pour tenir des permanences à l’intention des locataires.
Toujours rien ! »
A l’Effort rémois, Patrick Sommet, directeur Clientèle, ne souhaite pas nourrir la polémique par voie de presse interposée.
Il rappelle simplement : « Nos équipes de terrain et moi-même sommes très sensibles à la qualité de vie et de service de nos clients locataires, ainsi qu’au travail très important réalisé par leurs représentants. Nos collaborateurs suivent avec attention les réclamations qui leur sont formulées et nous apportons les réponses avec les contraintes auxquelles nous sommes soumis. »
Parmi les nombreux travaux et actions réalisés et en cours, il note : « La mise en place d’une meilleure sécurisation pour l’accès aux garages, la réfection de joints de façades, une maintenance renforcée pour les ascenseurs incriminés, les remboursements de trop perçus pour trois clients en mars, juin et juillet… »
Pour l’Effort rémois, « notre volonté est vraiment de développer un dialogue constructif, et c’est pourquoi une proposition de nouvelle rencontre sur le terrain, dans l’attente d’une confirmation, a été faite à madame la présidente. »
Union070828a - Locales - Reims
Au 15 de la rue des Savoyards, le feu a pris dans le local vide-ordures.
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Plusieurs petits feux ont mobilisé les sapeurs-pompiers depuis samedi soir.
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Vers 3 heures, un incendie s’est déclaré dans un local vide-ordures au 15 de la rue des Savoyards (Croix-Rouge).
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Union070827a - Locales - Reims
Le vide-grenier proposé par la section pétanque de l’association Etoile Croix-du-Sud et qui était programmé sur le parking Léon-Blum près des terrains de pétanque le dimanche 9 septembre, a été annulé.
Selon la direction, cette décision est due au manque de candidatures.
De toute façon, l’association étant fermée tout le mois d’août, Jean-Michel Gauthier, président de la section pétanque, n’aurait pas pu assurer une permanence d’une heure chaque après-midi afin d’y recueillir les candidatures.
Union070824b - Locales - Reims
Fidèle lectrice de l’union et poète à ses heures la rémoise Liliane Feige a pris plaisir à lire notre rubrique : « La réclame en cartes postales ».
Elle nous en adresse une à son tour où l’on peut voir l’état de la place Royale et de la rue Cérès au lendemain de la Première Guerre mondiale après la retraite des Allemands. Avec sur un pan de mur une publicité pour la maison Petijean spécialisée notamment dans les fruits et pains.
Union070824a - Locales - Reims
Nathalie Bernard-Guelle, directrice de l’école de police de Reims, a encadré la remise des diplômes destinés à la deuxième promotion de cadets de la République, soit 26 élèves, en qualité d’adjoint de sécurité option police nationale. Tous ces jeunes ont été formés en alternance au lycée Joliot-Curie pour les matières générales et à l’École nationale de police de Reims pour les activités professionnelles. Ils se préparent maintenant au concours de gardien de la paix. Ensuite, certains intégreront l’École de police, d’autres la police aux frontières, la sécurité publique ou les CRS.
Clémentine Lebrun. Photo : Benjamin Segura
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Anthony Clary. Photo : Benjamin Segura
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Clémentine Lebrun sort major de la promotion 2007. « Si j’ai intégré la police, c’est pour devenir maître-chien, c’est ce que j’ai toujours voulu faire. » En attendant de réaliser son rêve, Clémentine intègre la direction départementale de sécurité publique des Ardennes. Elle souhaite par la suite entrer à l’école de police.
Pour Anthony Clary, le responsable de la section des cadets de la république, « être adjoint de la paix, c’est être à l’écoute des gens, les sécuriser, mais surtout entretenir une proximité avec le public ». Anthony n’a qu’un objectif : être admis au sein de la FMU, la brigade motorisée. Poste auquel il peut accéder en validant une série de concours en interne.
Union070823d - Locales - Reims
Cinq avis d’appel public à la concurrence nous apprennent que Reims Habitat va réaliser, à Croix-Rouge, des travaux de sécurisation d’accès des immeubles situés aux 26, 27 et 29 rue Pierre-Taittinger, l’extension des locaux du Centre d’accueil pour les demandeurs d’asile (CADA) au 20-22 avenue du général-Eisenhower, la réfection de l’étanchéité des terrasses du 6, place Maurice-Utrillo, la réfection du garage G18, allée Yves-Gandon, et encore l’isolation extérieure, la réfection de l’étanchéité et les VMC sur la tour du 60, esplanade-Eisenhower.
Les travaux d’été dans les écoles concernent cette année la maternelle Docteur-Billard (revêtements de sol dans les classes et le bureau), les écoles maternelles et élémentaires Gilberte et Jean-Droit et Galilée-Newton (travaux de chauffage), et l’école élémentaire Provençaux (remplacement de fenêtres en bois par des fenêtres en PVC).
L’artiste Armelle Blary prépare un évènement autour du passage traversant du 25-Eisenhower.
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Un projet artistique se met en place dans le quartier cet été : « Autre peau, autre ville » retenu par le CUCS (Contrat urbain de cohésion sociale), le conseil général de la Marne (770 euros) et Reims-Habitat pour accompagner la démolition de l’immeuble 25 à 31, avenue Eisenhower, dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain de Croix-Rouge.
La plasticienne Armelle Blary a commencé à travailler avec les enfants, dès le mois de juin, le mercredi après-midi.
L’association Mieux vivre à Croix-Rouge lui prête son local au 23, pour les jours de pluie. Armelle Blary rencontrera les habitants des immeubles qui vont disparaître, situés le long de l’avenue Eisenhower, avec l’objectif de travailler autour de leur mémoire.
Elle prépare un événement autour du passage traversant du 25 en octobre.
Union070823c - Locales - Reims
Notre article paru hier sur le beau geste des jeunes de Croix-Rouge nécessite deux mises au point. Sur le titre, il convient de préciser qu’il ne s’agissait pas d’une panne mais d’une rénovation complète et lourde, programmée dans le cadre du plan d’ensemble du Foyer rémois sur le parc d’ascenseurs de Pays-de-France, annoncée le 2 juillet lors de la réunion du maire, salle Mauriac : « quinze ascenseurs seront réhabilités chaque année » avait en effet précisé Christophe Villers, directeur général du Foyer rémois.
Enfin, les mots « en plus d’une récompense financière » laissent penser que les jeunes ont été rémunérés, ce qui n’est pas le cas : « bénévoles, ils n’ont reçu personnellement aucune somme d’argent. Les deux subventions du Foyer rémois et de l’association MJC Croix-Rouge ont servi au financement du transport collectif et des entrées au parc de loisirs » précise le président organisateur.
Union070823b - Locales - Reims
A l’ordre du jour de la dernière commission permanente du conseil général de la Marne, plusieurs dossiers concernaient le canton Reims 5 : « Au total, 95.733,05 euros ont été attribués à ces dossiers » annonce le conseiller général Éric Quénard.
Cette association accompagne les projets artistiques et culturels dans les écoles du quartier Croix-Rouge. Une subvention de 1.570 euros est accordée.
Encore une fois, le conseil général participe financièrement à l’édition 2007de l’opération « Croix-Rouge s’affiche ». Cette année est un moment particulier puisque la Maison de quartier va fonctionner pour la première fois avec un budget moindre. C’est le résultat d’un choix de la ville de Reims souhaitant privilégier un festival d’une plus grande ampleur une année sur deux. Avec sa nouvelle formule bi-an¬nuelle « Croix-Rouge s’affiche » se veut plus présent tout au long de l’année. Le conseil général poursuit son engagement en accordant 3.657 euros pour soutenir les ateliers de création et 2.650 euros pour la programmation musicale.
L’organisme logeur Reims Habitat a présenté un projet défendu par la plasticienne Armelle Blary et réalisé dans le cadre de l’opération de renouvellement urbain de Croix-Rouge : il s’agit de travailler autour de la mémoire des habitants du quartier qui vivent dans les immeubles situés le long de l’avenue Eisenhower voués à la destruction. Le conseil général a décidé l’octroi d’une subvention de 770 euros pour ce projet.
Deux subventions de 136 euros (aide à l’achat de l’ordinateur) et de 61 euros (aide à l’achat de partitions pour l’école de musique) ont été accordées.
Le matériel de cuisine du collège François-Legros est à renouveler. La cuisine de cet établissement date de 1988. Elle est devenue obsolète et les fréquentes pannes deviennent de plus en plus difficiles à gérer pour le personnel affecté aux cuisines, Il fallait donc agir. C’est chose faite : le conseil général vient de décider d’investir 86.889,05 euros pour remplacer le lave-vaisselle aujourd’hui hors service, ainsi que l’ensemble du matériel : marmite, fourneau, sauteuse…
Union070823a - Locales - Reims
Fabrice Lopez, de Reims nous envoie un courriel au sujet du devenir de l’hippodrome (l’union du mercredi 15 août).
« Il existe en effet deux politiques différentes pour la gestion des espaces verts de la ville de Reims. Alors que l’on investit des millions d’euros pour la Zac de Bezannes hautement environnementale (où prendra place l’hippodrome) et des millions d’eu¬ros sur d’autres espaces verts (coulée verte, parc de Champagne, etc.), on spolie 12% de la population rémoise (Croix Rouge) de plus de la moitié d’espace vert que l’on qualifiait naguère de poumon vert du quartier. Cinq hectares d’espace vert (parc Saint-John-Perse) pour 12% de population, à croire que le quartier qui est majoritairement locatif n’a pas le droit à un environnement convenable et n’est juste bon à payer des impôts locaux « résidentiels ». Quelle piètre estime de la municipalité à notre égard.
Je n’accorde à monsieur le maire de Reims, que l’honnêteté de camper sur ses positions malgré l’approche des futures élections municipales. Je souhaiterai que les autres personnalités poli¬tiques qui sont favorables à un espace vert intégral sur ce site s’expriment clairement et sans ambiguïté dans l’union. »
Union070823aa - Locales - Reims
Hier vers 18 h 30, une odeur de brûlé s’est répandue dans la cage d’escalier d’un immeuble de l’esplanade Paul-Cézanne, au n° 2.
Les pompiers sont venus. Ils ont découvert un début d’incendie allumé sur la moquette d’une cabine d’ascenseur.
Union070823aaa - Locales - Reims
Les chatons ont été retrouvés dans une caisse abandonnée dans un parc de Reims.
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L’association rémoise des Amis des bêtes n’en peut plus de voir arriver des chatons.
Mardi, une personne de l’Aisne s’est présentée au refuge de la route d’Ormes avec une quinzaine de chatons qu’elle disait avoir trouvé devant sa porte.
En raison de la surcharge des chatteries, les responsables lui ont demandé d’aller déposer ces animaux au refuge de Laon, dans son département.
Résultat : quelques heures plus tard, la police municipale de Reims apportait… une caisse à vendanges remplie de ces chatons ! La personne l’avait abandonnée dans le parc Saint-John-Perse (quartier Croix-Rouge).
L’histoire n’est pas finie. Hier, une dame a amené au refuge un autre chaton recueilli par son fils dans le même parc. Le petit matou, sans doute plus vif que ses congénères, a dû fausser compagnie à la tribu…
Les responsables du refuge doivent faire le nécessaire pour intégrer tous les nouveaux venus. Certains sont à l’infirmerie avec un coryza.
La présidente Françoise Chameroy est en colère, et désespérée. « J’espère que les amis des animaux auront à cœur d’aider l’association, sous quelque forme que ce soit. Nous répétons sans cesse qu’il faut castrer les mâles et stériliser les femelles pour stopper cette pléthore de bêtes abandonnées mais nous ne sommes pas entendus. Comment faudrait-il le dire ? »
Les minets âgés de deux mois environ sont tous adoptables.
Union070822a - Locales - Reims
Pendant la longue rénovation d’un ascenseur, rue Joliot-Curie à Croix-Rouge, six jeunes ont aidé les locataires dans leur vie de tous les jours : remonter les courses et le courrier, descendre les poubelles, sortir les chiens… Une action solidaire très appréciée.
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Pendant un mois et demi, le Foyer rémois a procédé à la rénovation de l’ascenseur du 1, rue Joliot-Curie à Reims. Pendant cette longue période sans ascenseur, six jeunes du quartier, de 14 à 16 ans, à l’appel de l’association de défense des locataires « Et Croix-Rouge, comité Pays-de-France » s’étaient mobilisés auprès des locataires pour remonter les courses et le courrier, descendre les poubelles, les poussettes…
En plus d’une récompense financière, l’association des locataires, l’association MJC Croix-Rouge (250 euros sur le fonds dédié aux initiatives de la population), le Foyer Rémois (235 euros) et le supermarché de la passerelle leur ont offert une journée dans un parc de loisirs.
Encadrés en permanence par un adulte ou un animateur de quartier, les jeunes ont réalisé 156 interventions auprès des locataires, dont certaines tous les jours, comme prendre le pain sans sel pour une dame du 7e étage, sortir les chiens, descendre les poubelles, remonter le courrier…
« L’opération a été un succès, quelques locataires offraient à boire, des gâteaux et même une petite pièce pour la cagnotte » conclut Marceau Nicolas, président de l’association organisatrice : « Je souhaite que cette expérience et cet élan de solidarité resserrent les liens entre les jeunes et les locataires et se reproduisent sous d’autres formes. J’aimerais que cela fasse boule de neige dans d’autres tours. »
Ce genre d’initiative est apprécié par l’organisme logeur : « Le Foyer rémois est heureux de voir que des jeunes du quartier se sont investis pendant la durée des travaux de l’ascenseur pour aider leurs aînés et espère que d’autres initiatives de ce type verront le jour » confirme Joël Mouysset, directeur de l’agence Croix-Rouge.
Les jeunes ont bien mérité leur sortie. A l’unanimité, ils ont choisi le parc Astérix en véhicule de location : il y avait moins de monde et ils ont pu profiter plus facilement des attractions gratuites.
Encadrés par David Gameiro (Maison de quartier Croix-Rouge, espace la Nacelle) et Tiphaine Himmesoete, éducatrice au service départemental de Prévention, ils sont revenus contents malgré un temps maussade.
Union070821a - Locales - Reims
Cinq voitures sont parties en fumée à Reims dans la nuit de dimanche à lundi.
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A 1 h 20, une Ford Fiesta immatriculée dans l’Aisne a pris feu rue Joliot-Curie.
A peine le temps de l’éteindre, et les pompiers étaient appelés quinze minutes plus tard juste à côté, secteur allée des Tourangeaux/rue François-Arago, où trois voitures étaient la proie des flammes.
Un Renault Scenic, une Ford Escort, un cabriolet Volkswagen ont été détruits.
Apparemment, le feu survenu sur l’un des véhicules s’est propagé aux deux autres.
L’origine reste indéterminée mais n’en demeure pas moins suspecte.
L’enquête en cours cherche notamment à établir s’il existe un lien entre cet incendié et celui de la rue Joliot-Curie un quart d’heure auparavant.
Union070818d - Locales - Reims
Les jeunes du mois d’août et la nouvelle équipe d’animation.
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Une nouvelle équipe a pris ses fonctions à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge pour animer l’accueil jeunes du mois d’août. Elle est dirigée par Johnny Chevalme, avec Audrey, Audrey, Chloé, Élodie, Jessica, Jocelin, Lucie et Vanessa.
« Les activités sont orientées autour du thème de la découverte de notre patrimoine et de notre ville (photos du quartier, bricolage, chansons de notre patrimoine, grand jeu au parc de Murigny et rallye touristique) » précise Laurence Geoffroy, référente Familles : « quant aux sorties, elles sont orientées autour de la découverte des possibilités de loisirs de notre ville (visite de la mairie, « Maki catta planet », patinoire, escalade avec les Arts de la grimpe, « set et match ») et de notre région (Mer de sable). »
Union070818b - Locales - Reims
Laurence Thirion : efficacité et sourire.
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Responsable de la communication depuis quinze ans de l’organisme logeur Reims-Habitat, Laurence Thirion vient de quitter Reims pour arpenter les vastes horizons maritimes de la Vendée où une nouvelle vie familiale s’est ouverte pour elle.
François Toublan, directeur Relations et Territoires, témoigne : « elle a assumé sa tâche de chef du service communication pendant 15 ans avec efficacité, discrétion et modestie, toujours avec le sourire, même dans les moments difficiles de notre vie de bailleur : les publications de l’organisme, les lettres aux locataires, la revue l’Hexagone, le lien, le site Internet www.reims-habitat.fr, toutes les manifestations, inaugurations, remises de prix au concours des balcons décorés, et autres réunions publiques sont à mettre à son actif, de même que les réformes de l’accueil, la charte éponyme et les enquêtes de satisfaction auprès de notre clientèle. »
Union070818a - Locales - Reims
Le groupe Percubaba au concert de clôture.
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Pour Jean-Philippe Zinzindohoué, président de l’association Émergence, la deuxième édition 2007 du Festival Solijahfary avait un double enjeu : en premier lieu, collecter des fonds pour achever les projets éducatifs commencés au Bénin après la première édition, en vue de « transformer l’essai », la finition de la bibliothèque scolaire du village de Hon.
Dans un second temps, asseoir ce rendez-vous dans le programme culturel de la région Champagne-Ardenne : « Solijahfary n’est pas simplement un festival musical, c’est un moment d’ouverture interculturel, qui mélange expressions, domaines et genres ».
Cette année, l’accent a résolument été mis sur l’Afrique, à travers sa culture, son histoire et ses problématiques, l’association Émergence œuvrant au Bénin : « si en 2006 les projecteurs avaient été braqués notamment sur le cirque et la capoeira, l’édition 2007 a mis en avant le cinéma, le théâtre, la littérature, le conte et même la gastronomie, autour de considérations d’éthique, de découverte et de devoir de mémoire. » Pour les organisateurs, le bilan est positif : « on peut se féliciter de sa bonne tenue et de ses qualités artistiques et humaines. le Festival a touché 912 personnes dont 56 artistes et 42 intervenants, un public très large, d’origines sociales, géographiques et ethniques différentes ».
Association Émergence, 4 allée des Picards. Tél. 03.26.85.46.71. ou 06.16.19.36.11.
Julien Lopez, stagiaire de l’IUT informatique de Reims, a réalisé le site de Solijahfary :
Union070817b - Locales - Reims
1. Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage, REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, BP 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.
3. Objet des marchés :marché de travaux, isolation extérieure, réfection de l’étanchéité, VMC, tour du 60, avenue du Général-Eisenhower à Reims.
4. Nombre et consistance des lots : 2 lots répartis comme suit :
Lot 2 : Menuiseriès extérieures.
Lot 5 : VMC.
5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6. Délai d’exécution : 12 mois (y compris la période de préparation de 6 semaines et non compris les intempéries et la ou les périodes de congés payés).
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du CMP (voir règlement de consultation).
8. Critères d’attribution :
- Prix.
- Valeur technique.
9. Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site www.reims-habitat.fr.
10. Remise des offres : les offres doivent être envoyées ou remises à Monsieur le Directeur général de REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, 51100 Reims.
11. Autres renseignements :
Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des programmes techniques et spécifiques de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.32, fax 03.26.48.43.40.
12. Date limite de remise des offres : lundi 10 septembre 2007 à 17 heures.
13. Date d’envoi de l’avis à la publication : lundi 13 août 2007
Union070817a - Locales - Reims
Mercredi soir, vers 23 heures, une détonation a éclaté dans une maison de la rue Mathieu-Troussieux, zone pavillonnaire proche de la piscine Croix-Rouge.
A l’intérieur, la police et les pompiers ont découvert le locataire blessé au bras par une carabine lui appartenant. Elle venait d’éclater alors qu’il tentait de la réparer.
L’homme a été transporté au centre hospitalier.
Union070815a - Locales - Reims
Aucun investissement municipal pour le futur parc de l’hippodrome.
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L’hippodrome devrait bientôt déménager sur la ZAC de Bezannes. L’opposition municipale est inquiète de voir comment la mairie aborde le dossier de financement du futur parc promis à la Croix-Rouge.
ON le sait. A plus ou moins court terme l’hippodrome devra déménager. Les élus de l’opposition sont très inquiets sur la façon dont sera géré par la ville l’aménagement du site où le maire a promis de maintenir un parc.
Ainsi, après une intervention d’Eric Quénard (conseiller municipal socialiste) lors d’un conseil municipal, Jean-Louis Schneiter avait précisé : « s’il faut de l’argent pour déplacer l’hippodrome, ce doit être à la charge des professionnels et de la collectivité.
L’idée est qu’actuellement, ces hectares ne profitent pas à la population. Il y a de la demande pour faire un parc public ouvert sur Croix-Rouge avec des logements, ce qui permet de financer un hippodrome.
Le parc public sera plus grand que celui de Saint-John-Perse (plus de 8 ha). Cette idée ne sera pas imposée, elle va être discutée. Ce ne sera pas un référendum mais une consultation. » Éric Quénard avait auparavant et depuis longtemps, attiré l’attention sur un aspect qui n’a pas été abordé par le maire : « un hippodrome doit être dépollué en profondeur, ce qui aura un coût important ».
Par ailleurs, lancée par les élus communistes au conseil municipal, la pétition contre « la bétonisation » et « le dépeçage » de l’hippodrome a réuni plus de 1000 signatures, dont 100 % des habitants de la résidence de l’hippodrome, et continue à courir.
La question a été à nouveau à l’ordre du jour au conseil municipal de juillet. La conseillère municipale communiste Pascale Martin a comparé les modes opératoires de la ville concernant deux grands parcs publics de Reims : le parc de Champagne (ex-Pommery) et le (futur) parc de l’Hippodrome.
« Pour le premier, un parc privé et payant, la ville a décidé d’investir 14 millions d’euros pour une réhabilitation alors que pour l’hippodrome, et alors que le terrain appartient à la ville, la municipalité n’est pas prête à investir la même somme pour les futurs espaces verts de Croix-Rouge et le maire préfère en vendre une bonne moitié » s’est étonnée Pascale Martin.
« Pour recréer un hippodrome ailleurs et faire un parc public de 8 hectares, il faut bien équilibrer les comptes et vendre une partie de l’espace » a répondu le maire.
Michel Guillaudeau, autre élu communiste au conseil municipal, voit là deux poids et deux mesures : « il y a deux logiques municipales différentes entre le parc de Champagne où les travaux seront financés sur le budget de la ville et le futur parc de l’Hippodrome, qui sera financé en vendant du patrimoine vert, sans contribution du budget de la ville, ni de Reims Métropole. ».
Yves Menu a de bonnes idées pour aménager l’espace hippodrome.
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Les habitants ont pris note des décisions du maire de Reims de vendre une partie de l’hippodrome à des promoteurs privés pour financer le transfert de l’hippodrome vers Bezannes d’une part et créer un espace vert de 8 hectares pour la population d’autre part.
Si certains s’y opposent, revendiquant la mise au vert de l’ensemble des 17 hectares, d’autres comprennent la démarche ou s’y résignent.
Des propositions d’aménagement commencent à émerger. Certains ont déjà fait part de leur souhait d’installer définitivement le « Musée éphémère de Croix-Rouge » dans les anciennes écuries.
Yves Menu, un amoureux de Croix-Rouge opposé aux constructions, fourmille d’idées : « le quartier va disposer ici d’un ensemble comportant des tribunes et, cerise sur le gâteau, un restaurant et des cuisines prêts à l’emploi » explique-t-il : « il faut absolument les garder et créer un espace pour les manifestations à venir, festival Croix-Rouge s’affiche, fêtes locales, théâtre de verdure, cinéma de plein air, etc.. »
Les pistes ne lui manquent pas en matière d’aménagements : espaces de skate, roller ou street hockey, golf miniature, maison de la justice, maison des associations : « on peut faire ici un lieu de vie essentiel pour le quartier, d’autant que l’hippodrome est pratiquement situé au centre de Croix-Rouge » insiste-t-il.
Union070813c - Locales - Reims
Quel plaisir de jouer devant les parents !
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Pour achever dans la joie, le séjour de l’accueil loisirs, à l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, les enfants ont invité leurs parents à un petit spectacle préparé par leurs soins.
Les parents sont venus nombreux et ont pu apprécier la danse du Pont d’Avignon par les petits, un sketch de Kaamelot par les moyens, la chanson de la famille tortue par les petits, un extrait d’Astérix et Cléopâtre, avant le final, où tous ensemble ils ont chanté la comptine « Y’avait des gros crocodiles… ».
Ce spectacle a été suivi d’un goûter collectif pris avec l’équipe d’encadrement sous la conduite de Delphine Bernard avec Amélie, Élodie, Jessica, Jonathan, Lucie et Sabrina.
D’autres photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070813b - Locales - Reims
Des morceaux de la tour foudroyée seraient proposés à la vente.
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On trouve sur des sites spécialisés dans les ventes aux enchères de « vrais morceaux du Mur de Berlin tombé en novembre 1989 » authentifiés, mis à prix à partir de 1 euro.
Dans le même esprit, on vient de découvrir, sur le feuillet gratuit « QCR Infos » élaboré par des locataires de Reims habitat de Croix-Rouge, l’annonce suivante :
« Vends morceau de béton de la tour 53-Taittinger, signé. Prix à débattre. Prévoir transport. Faire offre au Groupe communication, Reims habitat, 71 avenue d’Épernay, 51100 Reims. »
Il fallait y penser… À moins que ce soit un canular !
Union070813a - Locales - Reims
Photo collection Michel Thibault. Amicarte 51
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Les cartes postales servaient aussi à faire passer des messages en plus de la pub. Ici au café des Sportmen (aujourd’hui : la Chaise au plafond), un texte en rime sur la guerre : « C’est ici qu’on découvre la cité meurtrie, que les boches ont brisée car il leur a fallu, desserrer de leurs griffes ce coin de la patrie, le 12 septembre 1914 grâce aux braves Poilus. »
Le 6 avril 2008 aura lieu la 27e bourse aux cartes postales et toutes collections d’Amicarte 51 aux celliers de Castelnau, rue Gosset. Elle aura pour thème : « La réclame » avec une exposition de 200 photos de cartes agrandies.
Les personnes qui auraient des cartes sur ce thème peuvent en envoyer une photocopie à Olivier Rigaud, 30 rue Brûlée, 51100 Reims en joignant leurs coordonnées. Les originaux seront éventuellement demandés, le temps de les photographier, ceci en janvier 2008.
A.M
Union070812a - Locales - Reims
Voitures incendiées hier matin sur le parking de l’allée Edgar-
Degas : une scène devenue habituelle pour les riverains. |
Un violent feu de voiture s’est déclaré hier matin vers 4 h 30 au quartier Croix-Rouge à Reims, sur le parking de l’allée Edgar-Degas longeant l’avenue Bonaparte, à côté de l’église Saint-Bruno.
L’incendie a pris sur une Citroën AX avant de se propager de chaque côté à une Renault 5 et une Fiat Punto. Les trois véhicules ont été complètement détruits malgré l’intervention des pompiers. Le bruit occasionné par l’explosion des pneus et des vitres a réveillé de nombreux riverains.
Faute d’indices retrouvés dans les carcasses calcinées, l’origine de l’incendie reste « indéterminée » mais tout laisse à penser qu’il s’agit d’un acte criminel, d’autant que les feux de véhicules sont assez fréquents sur ce parking de l’allée Edgar-Degas.
« Je ne me gare plus ici. Il y a des voitures qui brûlent tous les quinze jours », râle un habitant. La fréquence est un peu exagérée mais n’empêche : on aperçoit encore au bout du par-king les traces du dernier incendie survenu au début de l’été (il avait détruit une Citroën AX et un Citroën Picasso).
Dans la nuit du 21 au 22 juillet, une Ford Fiesta garée sur la terrasse supérieure du parking a été volée puis incendiée au beau milieu de la passerelle pédestre surplombant l’avenue Léon-Blum, à une centaine de mètres de là.
« Je devais vendre ma Ford le 29 juillet », se lamente le propriétaire croisé hier sur le « parking maudit ». Lui aussi déclare ne plus vouloir s’y garer. « Il n’est jamais surveillé. »
En septembre 2005, exactement aux mêmes emplacements qu’hier matin, ce ne sont pas trois mais quatre voitures qui étaient parties en fumée. La police avait résolu l’affaire. Il s’agissait d’un règlement de comptes. Condamné à quatre mois de prison ferme, l’auteur avait incendié l’un des véhicules par vengeance, le feu se propageant ensuite aux trois autres.
« Ça fait cinq ans que j’habite là. Il y a déjà au moins 30 voitures qui ont cramé ici. Le parking n’a pas de lumière. La nuit, c’est le noir complet. »
Rien de neuf sous le soleil car ce témoignage d’un riverain en colère n’a pas été recueilli hier matin mais lors de l’incendie de septembre 2005.F.C.
Vendredi vers 19 heures, les pompiers ont été requis pour un feu de local à vide-ordures au 5 avenue Bonaparte.
Ils y ont découvert un petit feu de détritus éteint avant leur arrivée.
Union070810c - Locales - Reims
La section pétanque de l’association Etoile Croix-du-Sud organise un concours de doublettes mercredi 15 août, sur le terrain Galilée.
Inscriptions à partir de 13 h 30.
Renseignements au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66.)
Voir notre article sur cette manifestation
Union070810b - Locales - Reims
Le groupe Communication de QCR-Infos, le journal d’informations préparé par des locataires volontaires de Reims-Habitat, est animé par François Toublan et non Fabrice Lopez comme indiqué par erreur dans nos colonnes.
Il se réunira le mardi 14 août.
« Toute candidature d’un habitant du quartier à ces groupes est la bienvenue, pour travailler ensemble à l’amélioration de la qualité de vie à Université » déclare l’animateur.
Il suffit de s’inscrire au point accueil, esplanade Eisenhower.
Union070808b - Locales - Reims
Des participants absorbés par leurs recherches.
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Un atelier de création d’affiches animé par Nicole Pérignon, plasticienne typographe et Anne Mulpas, écrivain, a fonctionné jusqu’au 2 août à la médiathèque Croix-Rouge.
« Cet été, les mots ont le visage du quartier. Ils en dessinent les paysages urbains, les rencontres, les flâneries, le quotidien. Ils se baladent à pied, en sandales et pataugent dans les couleurs », précisait Nicole Pérignon, à l’origine du projet, proposé par le collectif Odyliade et soutenu financièrement par le Contrat urbain de cohésion sociale.
Chaque participant (enfants à partir de 7 ans et adultes) a écrit et conçu son affiche par le dessin, le collage, la peinture, guidé « dans l’image des mots » par les deux intervenantes.
Les affiches réalisées seront exposées à la médiathèque du jeudi 30 août au samedi 8 septembre.
Des photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070808a - Locales - Reims
Le collectif « A plusieurs » en action.
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Une centaine de spectateurs pour ce concert en plein air
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Dans le cadre des Flâneries Musicales et en collaboration avec [djaz51], Jean-Louis Pommier, tromboniste de jazz et son groupe, le collectif « A plusieurs », ont donné un concert gratuit mercredi 1er août, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.
On comptait une centaine de Rémois, dont Mario Rossi, adjoint à la culture, pour applaudir les compositions du collectif, écrites par chacun de ses membres : Jean-Luc Ponthieux, contrebasse, basses ; Vincent Limouzin, vibraphones ; Philippe Lemoine, saxophones ; Jean-Louis Pommier, trombone et Éric Groleau, batterie, percussions, qui sont actuellement ou ont été membres de l’Orchestre national de jazz.
Décentraliser les Flâneries et occuper le parvis de la médiathèque Croix-Rouge, c’est manifestement une bonne idée.
Des photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070807a - Locales - Reims
Le feu s’est déclaré dans un appartement dont les locataires sont actuellement en vacances. Il a tout détruit à l’intérieur.
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Sept locataires incommodés ont été mis sous oxygène, puis six d’entre eux transportés au CHU pour des soins complémentaires. Photos : Hervé Oudin
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Hier matin à Reims, un incendie d’origine suspecte a ravagé un appartement dans une tour de dix étages. Sept locataires ont été incommodés, six d’entre eux évacués à l’hôpital.
HIER midi, au quartier Croix-Rouge à Reims. L’incendie éteint, des pompiers exténués, visages noircis, se reposent un peu sur le perron de l’immeuble.
Plus haut, au cinquième étage du 18 allée des Bourguignons, une fumée résiduelle continue de s’échapper de l’appartement ravagé par les flammes.
Le feu d’origine suspecte s’est déclaré vers 11 heures dans le logement de M.El-Kamal Mhaidi, actuellement en vacances avec son épouse. L’importante fumée a incommodé sept voisins dont six ont dû être transportés au CHU pour y être oxygénés. Leur état n’inspirant aucune inquiétude, tous ont pu quitter l’hôpital dans la journée.
La fumée dégagée par le sinistre a envahi les appartements voisins |
L’incendie a éprouvé les habitants de l’immeuble mais aussi les pompiers venus le combattre.
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Le sinistre était visible de loin. « J’étais dehors quand j’ai vu une importante fumée » témoigne une jeune femme domiciliée au dixième et dernier étage. « J’ai cru qu’il y avait le feu chez moi. Je suis revenue en courant et j’ai vu que c’était au cinquième. Les flammes sortaient par la fenêtre. C’était impressionnant. »
Les volets en PVC du séjour étaient fermés : ils ont fondu. L’incendie a également transpercé les volets de la chambre donnant de l’autre côté de la tour.
Agée de 58 ans, Odile habite juste en dessous. « J’étais chez une amie du deuxième. Une voisine a appelé sur mon portable pour me dire qu’il y avait le feu dans mon immeuble. Ma chienne était chez moi. Je n’ai pas voulu l’abandonner. Je suis remontée la chercher. Il y avait de la fumée plein les escaliers. J’en ai encore reçu plus dans la figure quand j’ai ouvert ma porte. La fumée était rentrée chez moi par les fenêtres ouvertes. Il y en avait partout. »
La dame n’a pas eu besoin de rechercher sa chienne dans l’appartement enfumé. « Elle est venue tout de suite vers moi dès que j’ai ouvert la porte. Les pompiers sont arrivés à ce moment-là. Ils m’ont aidé à descendre. Un autre a pris ma chienne pour l’emmener en bas. »
Trois ambulances ont pris en charge les différentes victimes. L’incendie a également mobilisé trois fourgons à eau et une grande échelle, soit environ 25 hommes déployés sur le sinistre.
La plupart des habitants de l’immeuble sont sortis avant l’arrivée des sauveteurs. Une trentaine d’autres sont restés à l’abri chez eux. Il n’a pas été nécessaire de les évacuer.
« Nous n’avons pas encore eu de contact avec les locataires de l’appartement qui a pris feu » déclarait en fin d’après-midi la porte-parole du Foyer rémois. « Leur absence est normalement de longue durée. Nous prendrons les mesures nécessaires à leur retour. »
En revanche, l’organisme s’est déjà occupé du relogement des occupants de l’appartement situé juste au-dessus, rendu inhabitable par la fumée. Les autres locataires ont pu rejoindre leur domicile.
L’origine de l’incendie reste encore « indéterminée » mais les premières informations recueillies sur place laisseraient à penser qu’il pourrait s’agir d’un acte de malveillance. La police mène l’enquête.
Fabrice Curlier
Union070810a - Locales - Reims
Le 6 août, les flammes ont détruit un appartement au 5e étage, deux voisins ont été relogés.
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« J’ai mis le feu » aurait dit le fils des habitants de l’appartement, à un voisin, en sortant de son immeuble ce jour-là. Cette déclaration, après l’incendie, engage alors des doutes chez les enquêteurs, qui se tournent vers cet éventuel incendiaire.
L’homme, âgé de 42 ans, est suivi psychologiquement. Un rapport d’expertise a donc été nécessaire pour vérifier la fiabilité de ses propos. Si sa tutrice le définit comme quelqu’un de perturbé. Les experts estiment quant à eux que l’homme peut être dangereux pour lui-même et pour autrui et que, peu après l’incendie, dans l’urgence des premières investigations, il n’était pas audible et n’avait pas de discernement. Si une quelconque audition pour l’enquête avait été effectuée, elle n’a donc pas de valeur. L’homme n’est pas non plus accessible à une peine de prison.
Les experts devraient néanmoins bientôt permettre de procéder à un nouvel interrogatoire. En attendant il reste dans un hôpital, pour recevoir des soins psychiatriques.
Le quarantenaire occupe habituellement l’appartement de ses parents, en vacances au Maroc lors de l’incendie. Gros fumeur, la police explique qu’il aurait pu jeter un mégot dans la pièce ou dans le cendrier duquel il aurait aussi pu tomber.
Caroline Denime
Union070806b - Locales - Reims
Electromécanicien de profession, Christophe Verrier, né à Rethel (Ardennes) le 3 février 1968, a pris pour épouse samedi à l’hôtel de ville de Reims, Agnès Métais, agent territorial des écoles maternelles née à Lure (Haute-Saône) le 28 octobre 1968.
Agnès METAIS , est présidente de l’espace Billard de la Maison de quartier Croix Rouge et vice présidente de l’amicale des locataires La Rafale Université.
Union070806a - Locales - Reims
Le numéro 1 de la lettre « QCR Infos » destinée à l’ensemble des locataires de Reims habitat de Croix-Rouge vient de paraître, daté du 31 juillet. Ce journal d’information est distribué gratuitement avenue Eisenhower et rues Taittinger, Billard, Gilberte et Jean-Droit, Rilly-la-Montagne.
Lors d’une réunion publique du 21 juin, Patrick Baudet, directeur général, avait présenté le dispositif de concertation locative mis en place par Reims habitat : des instances de concertation, des rencontres régulières avec les responsables de succursale, des comptes rendus diffusés à chaque amicale. Cependant, il était apparu encore des insuffisances dans la communication entre les locataires et Reims habitat ce qui nécessitait d’aller plus loin.
Des locataires volontaires se sont donc inscrits en nombre à un groupe de réflexion qui va étudier les évolutions dans le quartier avec l’objectif d’améliorer le bien-vivre dans le quartier.
Trois sous-groupes ont été créés : un consacré à la vie quotidienne, animé par Arnaud Prieux, un autre à la rénovation urbaine, animé par François Toublan, et enfin un troisième à la communication, animé par Fabrice Lopez. C’est ce dernier sous-groupe qui rédige « QCR Infos », mis en page et édité ensuite par Reims habitat à 2.000 exemplaires.
Dans ce numéro 1, on découvre un édito : « Il est grand temps d’être fier de son quartier et de pouvoir à nouveau lever la tête » puis un article « Les habitants s’impliquent ! », un appel aux jeunes du quartier, l’annonce d’un projet artistique « Autre peau, autre ville » avec la plasticienne Armelle Blary pour accompagner la démolition de l’immeuble 25 à 31, avenue Eisenhower, des petites annonces, un article sur les nuisances sonores.
Vient encore « Mieux vivre en sécurité » avec les conseils de la police et « Combien ça coûte ? ».
Enfin, la lutte contre les scooters, boosters et autres quads interdits sur les esplanades est lancée : « Halte aux engins motorisés sur nos esplanades ! Ces espaces sont réservés aux piétons, aux mamans et leur poussette, aux enfants… »
Les groupes ne sont pas fermés : les bonnes volontés y sont les bienvenues. C’est un peu de temps et des idées que chacun apporte pour changer les choses et améliorer la situation dans les immeubles.
Les locataires qui n’auraient pas reçu « QCR Infos » peuvent l’obtenir au point accueil, esplanade Eisenhower.
Correspondance et petites annonces : « Groupe communication, Reims habitat, 71 Avenue d’Épernay, 51100 Reims ».
Vous pouvez consulter le contenu de QCR INFOS n° 1 sur notre site
Union070804a - Locales - Reims
A la tête de la Nacelle, Patrick Gobin, coordinateur, gère la structure, un atelier vidéo numérique et le club théâtre.
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On trouve à l’espace la Nacelle de nombreux secteurs enfants, ados, jeunes adultes et adultes qui en font un élément important de la maison de quartier Croix-Rouge.
La danse : avec Magali Garcia, cours de hip-hop chorégraphie 8/10 ans et 10/12 ans, entraînement hip hop break libre, cours de hip hop break, danse africaine, step danseuses, aéro danseuses, renforcement musculaire, activités physiques et sportives adaptées et danse orientale (avec Linda Zidour).
L’espace multimédia : avec Franck Simon, atelier jeunes multimédia, Point-Cyb, projets multimédias, image numérique, photographie, concours photo, vidéo numérique.
Le Point information-santé-prévention jeunesse (PIJ) : animé par Sahdia Idami et Séverine Munérat, il délivre aide aux initiatives, soutien et accompagnement aux projets, accueil, écoute, orientation, lieu ressource d’information et d’orientation.
Le sport de proximité : avec l’équipe Stéphanie Tadla, Tarek Maamoun et David Gaméiro, un secteur transversal mais dont certaines activités sont typiques à la Nacelle, comme animations sportives de découverte gratuites, futsal 12-15 ans et 18-25 ans, sports collectifs, programmes spécifiques pour chaque période de vacances scolaires, organisation et encadrement de séjours collectifs, accueil de l’association Football-club Atlas avec Hichem Boussoufi.
La prévention : avec la permanence de l’éducatrice du service départemental de prévention, Tiphaine Himmesoete.
Espace La Nacelle – 3, rue du Docteur-Billard (Tél. 03.26.49.47.07.).
Union070803b - Locales - Reims
Boris Claudel (a gauche), coordinateur du réseau Pôle sud musiques de passage à l’atelier scratch de l’espace Ethnic’s.
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Le réseau Pôle sud musique a été déclaré « Pôle de compétences musiques actuelles » des Maisons de quartier de Reims. Il concerne maintenant tout acteur local développant une réelle politique culturelle liée aux musiques actuelles.
Espace d’une maison de quartier ou association amateur de programmation musicale, Pôle sud musique offre, à tous, tout pour la pratique musicale, de nombreuses salles de répétition, des lieux de diffusion et des services programmateurs.
Maison de quartier Maison-Blanche : violon irlandais, initiation DJ et batterie.
Maison de quartier Val-de-¬Murigny : piano et guitare (à l’espace Le Ludoval).
Maison de quartier Clairmarais : guitare, batterie et piano.
Maison de quartier Croix-Rouge : batterie, scratch, MAO, guitare, clavier, basse, percussions, technique de chant, improvisation reggae raï, écriture et préparation scène rap (à l’espace Ethnic’s) ; piano, clavier et guitare (à l’espace Billard).
Maison de quartier Maison-Blanche : une salle de 80 places assises avec vidéoprojection possible (L’Atalante).
Maison de quartier Clairmarais : une salle de 100 places.
Maison de quartier - Val-de-Murigny : une salle à l’espace Turenne (45 places. Programmation à dominante rock alternatif et dérivés) ; une salle à l’espace Apollinaire (70 places) et deux salles à l’espace Le Ludoval (90 places assises en gradin et 70 places assises type cabaret).
Association Les Pirates de l’Art : festival Capharnaüm (tous les ans en avril), 10e acte en 2007 ! Programmation rock, électro et hip hop. Danse, théâtre, exposition et concert. Programmation régulière.
Association 51 Monochrome : Patate Festival (tous les ans en mars), 5e édition en 2007. Programmation punk, métal et ska sur 3 jours. Marathon Rock : promotion des groupes locaux pendant toute une journée. Programmation toute l’année.
Association Oxal’Art : programmation régulière à l’Espace Le Flambeau (un concert mensuel de septembre à juin) ; programmation des scènes ouvertes du festival Brut de Scène (en mai) ; soirées Act Dub à la Cartonnerie.
Pôle Sud Musique, 1 allée des Picards. Tél : 03.26.86.10.71
Site Internet : http://polesudmusique.com
Trouver une salle de répétition est souvent un problème pour les groupes. Pôle sud musique propose de multiples solutions :
Maison de quartier Maison-Blanche : deux studios de répétition équipés (créneaux de 4 heures toute la semaine).
Maison de quartier Val-de-Murigny : un studio de répétition équipé (à l’espace Turenne dès 19 heures et le week-end). Une salle de répétition (à l’espace Apollinaire créneaux de 4 heures par semaine en soirée).
Maison de quartier Clairmarais : une salle de répétition équipée pour groupes ou pratique individuelle (jours et horaires à déterminer).
Maison de quartier Croix-Rouge : une salle de répétition àLa Nacelle (créneaux de 3 heures par semaine dès 21 heures et week-end) ; un studio de répétition équipé à l’espace Ethnic’s (créneaux de 4 heures par semaine tous les jours).
51 Monochrome : créneaux gérés par le 51 Monochrome.
Union070803a - Locales - Reims
Christian Messlyn, le président de MARS.
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Christian Messlyn, le président de MARS (Mobilité agglomération rémoise) nous dévoile les secrets du tramway avant sa mise en circulation.
Quel est le budget ?
Christian Messlyn : La société privée MARS finance environ 305 millions d’euros, ce qui représente le plus gros placement. L’agglomération soit Reims Métropole participe au projet en versant près de 100 millions d’euros.
Combien de personnes travaillent sur le sujet ?
C.M : 120 personnes travaillent en ce moment sur le projet. En temps de travaux, 650 employés seront directement employés sur le chantier du tramway. Il faut savoir que ce sont plus de 3.000 personnes qui auront directement ou indirectement du travail dans les trois ans qui viennent.
Quand est-ce que les travaux seront finis ?
C.M : En juillet 2010. Mais les tramways ne seront en service que fin 2010, le temps de faire les vérifications et les tests du système. MARS intégrera la TUR le 1er janvier 2008, tous les employés de la TUR travailleront chez MARS.
C.M : 18 tramways seront mis à disposition pour tous.
Est-ce que le tramway consommera plus que le bus ? Et fera-t-il du bruit ?
C.M : Il consommera beaucoup moins que les bus et les voitures et il fera nettement moins de bruit aussi. A Bordeaux par exemple le chauffeur du Tram est obligé d’actionner la clochette pour prévenir de son arrivée.
Quelle sera sa vitesse ?
C.M : Il roulera en moyenne à 20 km/h, en vitesse commerciale. Dans certains endroits autorisés, il accélérera jusqu’à 80 km/h.
Quel est le prix du ticket ?
C.M : Les prix des tickets de bus et de tramway seront identiques. Le ticket de bus pourra servir de ticket de tramway et inversement. Il y aura aussi des abonnements.
Quelles sont les lignes de bus qui seront supprimées ?
C.M : Aucune ligne de bus ne sera supprimée, mais le tracé sera différent, car l’ancien trajet sera utilisé par le tramway. Les lettres des bus seront remplacées par des numéros de 1 à 100. Les tramways seront appelés A et B.
Est-ce qu’il y aura des accès pour les personnes à mobilité réduite ?
C.M : Des accès pour les personnes à mobilité réduite seront ajoutés au tramway, ainsi qu’au bus. Mais il faudra attendre 2015 pour les voir apparaître aux arrêts de bus.
Est-ce qu’il y aura des lignes de nuit ?
C.M : Le tramway n’aura pas de ligne de nuit. Par contre, il sera fonctionnel de 5 h 30 à 0h 30. Les lignes de nuit existeront toujours pour les bus.
Mathilde Larbre 12 ans,
Oriane Parizel 13 ans,
Ségolène Poix 13 ans
Alexandra Avakian 12 ans.
Union070801a - Locales - Reims
Des jeunes heureux d’avoir participé.
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La participation au tournoi jeunes du Tennis-club Géo-André de Reims a été en nette augmentation cette année avec 146 inscrits contre 118 en 2006.
On notera les victoires en 9/10 ans garçons et en 11/12 ans garçons d’un jeune d’Orlando en Floride, Enzo Wallart qui, passant ses vacances dans la région, s’est licencié au club :
« C’est le joueur qui a passé le plus de tours et qui a réalisé les meilleures performances » précise Eric Robert, l’un des organisateurs. « Enchanté par son expérience il reviendra peut-être disputer les championnats de la Marne et de la Ligue au printemps prochain. »
9/10 ans garçons :
- vainqueur Enzo Wallart (NC) TC Géo-André,
- finaliste Rémy Sanlis (30/4) TC Witry-les-Reims ;
- score : 5/0 5/0.
11/12 ans garçons :
- vainqueur Enzo Wallart (NC) TC Géo-André
- finaliste Thibault Piron (30/1) ASPTT Charleville ;
- score : 6/0 6/4.
13/14 ans garçons :
- vainqueur Paul Benhayoun (30) TC Géo-André,
- finaliste Thomas Jaeck (30) Europe Club ;
- score 7/5 6/0.
15/16 ans garçons :
- vainqueur Maxime Mansard (15/4) TC Dormans,
- finaliste Auguste Morville (30) TC Taissy ;
- score 6/1 6/0.
9/10 ans filles :
- vainqueur Éléonore D’Aymery (NC) Cormontreuil T.C.,
- finaliste Estelle Robert (NC) TC Géo-André ;
- score 5/0 5/0.
11/12 ans filles :
- vainqueur Maêva SPOONER (30/3) TC Géo-André,
- finaliste Maëlle Corcia (30/3) TC Taissy ;
- score 6/2 6/1.
13/14 ans filles :
- vainqueur Delphine Grillon (30/1) TC Saint-Memmie,
- finaliste Marie-Claude Ganache (30/4) TC Taissy ;
- score 6/3 6/3.
15/16 ans filles :
- vainqueur Sindi Emric (30) TC Philippe,
- finaliste Audrey Sarrazin (30) URT ;
- score 7/5 7/6.
Des photographies de cet évènement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070731b - Locales - Reims
La Maison de quartier Croix-Rouge organise, du 6 au 10 août, un stage d’équitation au lac du Der (52) pour des jeunes de 14 à 17 ans.
Renseignements auprès de Stéphanie Tadla ou Tarek Maamoun (03.26.49.47.04.) à l’espace La Nacelle.
L’antenne mobile de la mairie de Reims sera à la disposition du public les mercredis 1er, 8, 22 et 29 août de 9 heures à 11 h 30, sur le marché de Croix-du-Sud (tél. 06.16.39.21.02.).
La permanence des conciliateurs de justice sera ouverte tous les mercredis d’août de 14 à 17 heures, à l’antenne municipale de Croix-Rouge, 1 rue Joliot-Curie.
Un stand animé par les animateurs du tri des déchets sera installé sur le marché de Croix-du-Sud, esplanade Paul-Cézanne, mercredi 29 août 2007.
Objectif : informer et rappeler les consignes du tri au public.
Des jeux seront proposés en ce sens.
Union070731a - Locales - Reims
Alain Pacquier et Claudio Abbado au cours d’un atelier avec les jeunes musiciens baroques de La Havane
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Mercredi 1er et jeudi 2 août de 14 h 30 à 16 h 30 : « Les mots s’affichent ». Il s’agit d’un atelier de création d’affiches par Nicole Pérignon plasticienne-typographe et Anne Mulpas, écrivain.
Cet été, les mots ont le visage de mon quartier.
Chaque participant écrit et conçoit son affiche par le dessin, le collage, la peinture.
Nicole Pérignon et Anne Mulpas guident les participants dans l’image des mots.
C’est un projet proposé par le collectif Odyliade et soutenu par le Contrat urbain de cohésion sociale.
Pour tous, à partir de 7 ans.
Les affiches réalisées seront exposées du 30 août au 8 septembre à la médiathèque.
Mercredi 1er août à 10 h 30, projection de diapositives : parmi les animaux de la campagne, Renardo mène l’enquête.
Pour les enfants de 4 à 8 ans.
Samedi 4 août à 14 h 30, rencontre avec Alain Pacquier, pionnier de la redécouverte des musiques anciennes.
Après avoir créé le Festival de Saintes, Alain Pacquier est parti en Amérique latine avec un rêve encore plus fou : restituer au monde l’autre moitié du patrimoine musical baroque, né dans le sillage de la conquête espagnole. Ce sont les fameux « Chemins du baroque dans le Nouveau-Monde » illustrés par plus de cinquante enregistrements publiés sous son label K.617.
Mercredi 8 août à 15 heures, l’air du conte.
Lecture à voix haute : destination Prévert (textes courts et variés, poèmes, aphorismes, pour découvrir ce poète, ami des petits et des grands).
Pour tous, à partir de 8 ans.
Jeudi 30 août à 10 heures, l’heure des bébés est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.
La médiathèque est ouverte tout l’été à ses horaires habituels.
Toutes les activités sont gratuites, il est très conseillé de s’inscrire au préalable au secteur jeunesse
(19, rue Jean-Louis-Debar).
Union070729a - Locales - Reims
Sensibiliser les enfants au développement durable.
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« Nous avons fait appel à l’association des Petits Débrouillards dans le cadre de notre démarche sur le développement durable ». Sandrine Poret, qui représente Plurihabitat-L’Effort rémois, explique l’action entreprise par l’organisme logeur.
Chaque mois, une « fiche-conseil » propose un geste simple à réaliser au quotidien (trier ses déchets, dégivrer son congélateur…). « Nous avons voulu accompagner cela d’une action vers les jeunes. Notre objectif est aussi de contribuer à une meilleure convivialité dans les quartiers » indique Mme Poret.
Depuis plusieurs jours, les animateurs de l’association ont installé leurs stands sur les quartiers Croix-Rouge et Orgeval, ainsi qu’à Châtillons où ils officient près de l’Espace Eau. « Par le biais d’expériences ludiques, de jeux, nous allons essayer de sensibiliser les enfants au tri, à la maîtrise de l’énergie » : Stéphanie Leclère est responsable de l’antenne Marne-Ardenne des Petits Débrouillards. Elle montre les objets ingénieux et ludiques réalisés à base de matériaux de récupération : voiture à propulsion-air, éolienne-ascenseur, questionnaire électrique.
Chaque jour amenant de nouvelles activités, cet après-midi-là, les enfants des immeubles proches s’affairent à la confection de masques en papier journal recyclé. Emmanuelle et Rudy, animateurs de l’association, sont venus former les enfants aux expériences scientifiques, sur un thème écologique.
Union070728a - Locales - Reims
Une série d’actions autour du festival des Flâneries se développe pour amener la culture musicale à de nouveaux publics. Les Flâneries ont créé des partenariats avec des associations.
« Le public est demandeur », affirme Corinne Herbay, l’administrateur de production en charge de la logistique des concerts. « En créant des partenariats avec des associations, les Flâneries souhaitent développer une nouvelle formule de concerts dans des quartiers ciblés. Un nouveau rapport se tisse entre le public et l’interprète. »
Le partenariat avec la médiathèque Croix-Rouge a été renforcé avec l’organisation de concerts-rencontre.
Fin juin, un concert organisé avec un tromboniste et un pianiste a connu le succès en accueillant environ cent personnes.
La semaine prochaine se déroulera un concert jazz.
Depuis 2003, les Flâneries font aussi découvrir aux jeunes de Reims vital ados, les métiers du spectacle. L’accueil des jeunes pendant les répétitions, la découverte des métiers offre aux enfants la possibilité de découvrir les coulisses du festival et le monde du spectacle. L’association offre aussi des places de concert pour les jeunes de Reims vital ados et des tarifs réduits pour les accompagnateurs.
L’ancien collège des Jésuites accueillera dimanche matin un quatuor d’instruments à cordes accompagnés d’extraits musicaux. Ce programme familial sera suivi par une visite de l’exposition « Encens », au même endroit. L’année dernière, une opération de ce type avait été réalisée à la « Villa Douce » où se tenait un concert en extérieur.
Les Flâneries travaillent également avec l’association Les « Papillons Blancs ». Leur démarche consiste en l’insertion des personnes à difficultés mentales. En donnant un concert jazz ouvert à tous, l’objectif est de réunir tous les publics « sans retenue ni voyeurisme » car « la société accepte les différences » ajoute Corinne Herbay. Le centre d’aide par le travail de Tinqueux a été choisi pour l’occasion. Encore un succès. Le « Kiwanis Club d’Erlon » qui aide l’enfance défavorisée perçoit une partie des bénéfices de CD vendus. Les artistes eux-mêmes participent à cette action en offrant leur CD destinés à la vente.
Le partenariat avec l’association « Culture du Cœur » a pour but l’insertion par la culture en mettant à disposition des places de concert gratuites pour les populations démunies. « Cette démarche me tient à cœur », confie l’administratrice de production. Durant le concert pique-nique de samedi, le « Secours Populaire » a vendu des canotiers au profit de « Compte Vacances » pour les plus démunis. « Les Flâneries » cherchent donc à promouvoir la culture et à permettre à ceux qui n’y pensent pas forcément d’accéder à ce genre de loisirs. Dès l’année prochaine, l’association renforcera ces actions en organisant davantage de concerts dans les quartiers.
Eva Labéribe
Union070727c - Locales - Reims
Dans le cadre des Flâneries musicales, en collaboration avec [djaz51], la médiathèque Croix-Rouge accueillera un concert du collectif « À plusieurs », avec le tromboniste Jean-Louis Pommier, mercredi 1er août, à 19 h 30, sur le parvis de la médiathèque
(concert gratuit).
Consultez notre article sur le Collectif « A plusieurs »
Union070727b - Locales - Reims
Si la déclaration d’utilité publique est délivrée par le préfet, la mise en service du tramway est programmée le 16 octobre 2010.
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L’enquête publique sur la première ligne de tramway de l’agglomération rémoise se termine aujourd’hui. Que vous soyez « pour » ou « contre » il ne vous reste que quelques heures pour donner votre avis.
IL aura fallu un peu de temps, mais les partisans et opposants au tramway de Reims se sont enfin appropriés les regis tres de l’enquête publique. Si au début du mois de juillet, les cahiers étaient vierges ou presque, ceux-ci sont désormais beaucoup plus fournis alors que l’enquête se termine aujourd’hui.
A coup d’arguments et de longues dissertations, pro et anti-tramway se renvoient dos à dos avec d’un côté la mise en avant d’un projet « ambitieux », « moderne », « pratique », « écologique » et de l’autre un système « inutile », « coûteux », « destructeur », « démesuré ».
On y retrouve aussi des interlocuteurs plus habituels sur ce dossier comme une association d’usagers des transports pour le tram ou le Pact, les anti-tram officiels.
Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, il est donc encore possible de donner son avis même si c’est désormais dans la dernière ligne droite. Lancée le 18 juin dernier, l’enquête publique se clôt en effet ce vendredi 27 juillet.
Seules les observations écrites seront prises en compte par la commission d‘enquête composée d’un géomètre expert honoraire, d’un ingénieur en électricité en retraite et d’une ingénieur hygiène, sécurité et environnement. Ce « triumvirat » rédigera ensuite un rapport et émettra un avis, favorable ou non, dans un délai de six mois à compter de l’ouverture de l’enquête, soit au plus tard le 18 décembre 2007.
Si cet avis est favorable, le préfet pourra délivrer la déclaration d’utilité publique des travaux. Les travaux pourraient alors commencer fin mars 2008 selon le calendrier prévisionnel avec une mise en service programmée le 16 octobre 2010… Sauf recours divers des associations, certains étant d’ailleurs en cours devant le tribunal administratif.
Si l’avis du commissaire enquêteur est défavorable, le projet sera fortement remis en question avec comme seule possibilité de déclaration d’utilité publique, un décret en conseil d’Etat.
En attendant l’avis final, il reste donc encore une journée pour les habitants de Reims et son agglomération pour se prononcer.
Une mini expo de sept panneaux présentant les grandes lignes du dossier ainsi que les pièces plus détaillées sont visibles au siège de la communauté d’agglo de Reims (derrière la cathédrale), dans les mairies de Reims, Bétheny, Bezannes, Cormontreuil, Saint-Brice-Courcelles, Tinqueux, et dans les antennes municipales des quartiers Orgeval et Croix-Rouge.
Des registres sont également ouverts dans ces différents lieux pour y consigner remarques, critiques et autres commentaires.
A noter que pour ce dernier jour, l’un des trois commissaires enquêteurs sera présent cet après-midi en mairie de Reims de 14 h 30 à 17 h 30 pour recevoir en direct les remarques.
G. A.-T.
Union070727a - Locales - Reims
La spécialité de Croix-Rouge : le pôle emploi, avec une abondante documentation papier, et sites internet spécialisés.
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Contrairement à celle du centre-ville, la médiathèque de Croix-Rouge fonctionne tout à fait normalement pendant ces grandes vacances.
« POUR nous, il n’y a rien de changé pendant l’été : nous restons ouverts, et nous ne changeons pas nos horaires. » Ce message émane de la responsable de la médiathèque Croix-Rouge, Murielle Masini.
Avis par conséquent aux habitués de la médiathèque Jean-Falala du centre-ville, qui, eux, trouveront porte close à partir du 29 juillet : ils pourront toujours se rabattre sur la « petite sœur » de l’autre côté de l’autoroute. Certes, ils n’y trouveront pas absolument tout ce qu’ils trouvaient à Falala : « Par rapport à elle, nous avons une capacité du tiers environ, estime Mme Masini : 2.000m2 de surface par exemple, contre 6.000 à Falala. Et puis, contrairement à elle, nous ne disposons pas de cabine de langue, ni de partitions musicales. »
En dépit de ces restrictions, on trouvera quand même à Croix-Rouge de quoi s’occuper l’esprit pendant les semaines qu’il reste à « tenir » d’ici la rentrée : 65.000 livres, un large choix de revues que l’on peut même emprunter (à l’exception du dernier numéro) contrairement à ce qui se fait dans les autres bibliothèques rémoises, 4.500 films VHS ou DVD, et 7.000 disques (disques et films pouvant aussi être écoutés ou visionnés sur place).
Mais la spécialité de Croix-Rouge, c’est le pôle emploi-formation : une abondante documentation papier -plus de 2.000 ouvrages sur la recherche d’emploi, la rédaction des CV, les métiers qui recrutent, la préparation de concours, sans oublier le Rome, Répertoire opérationnel des métiers et des emplois, et quatre postes informatiques, spécialement affectés à cette thématique, avec présélection des sites internet ad hoc.
Certes, la documentation papier est consultable sur place sans aucune formalité, alors que l’accès aux postes internet, lui, n’est possible qu’aux titulaires de la carte d’inscription à la médiathèque. Mais celle-ci ne coûte que 10 euros pour les Rémois (adultes), et de nombreuses catégories (dont les scolaires et les inscrits à l’ANPE) peuvent l’obtenir sans rien payer. Alors…
Antoine Pardessus
Médiathèque Croix-Rouge, rue Jean-Louis Debar (près du château d’eau) :
mardi de 14 à 19 heures ;
mercredi de 10 à 18 heures ;
jeudi de 14 à 18 heures ;
vendredi de 14 à 18 heures ;
samedi de 10 à 17 heures.
Mercredi 1er août, concert de jazz à 19 h 30 dans le cadre des Flâneries (sur le parvis).
Samedi 4 août, à 14 h 30, rencontre avec Alain Pacquier, musicologue du label K.167.
Union070725a - Locales - Reims
Un incendie a entièrement détruit hier au petit matin un appartement, avenue Eisenhower. Neuf personnes ont été évacuées et les voisins confinés chez eux près de deux heures.
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« J’AI entendu des hurlements, des vitres qui cassaient. En regardant par le balcon j’ai vu des flammes de plusieurs mètres qui sortaient de l’appartement du 7e étage. J’ai réveillé mon frère et la petite et on est descendu tout de suite ». Le réveil a été violent hier matin au 36 avenue Eisenhower.
A 5 h 16, les pompiers sont appelés pour un feu dans cet immeuble du quartier Croix-Rouge. En arrivant sur place, ils découvrent un appartement entièrement embrasé.
Locataires, voisins… les habitants sont sur les balcons ou pour certains déjà dehors. Les pompiers déploient aussitôt deux grandes échelles pour intervenir.
Dans l’appartement en feu, cinq personnes, sont descendues. Quatre autres dans les logements situés au-dessus sont également évacuées.
« Neuf personnes au total ont été mises en sécurité tandis que les voisins ont été confinés chez eux », précise le responsable des pompiers présents sur place.
« Un homme, qui était dans le logement en feu, a été légèrement brûlé.
Une femme et deux enfants également présents ont été conduits à l’hôpital pour un contrôle de routine, tandis que la grand-mère sur place n’a rien eu.
Il y a également une femme policière qui a été incommodée par la fumée ».
Deux grandes échelles ont été déployées pour évacuer les habitants de l’appartement.
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Le logement a été complètement ravagé par les flammes et la façade de l’immeuble noircies sur plusieurs étages.
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L’origine de l’incendie, qui a totalement détruit l’appartement et noirci la façade sur les quatre derniers étages de l’immeuble, reste indéterminée. « Ma grand-mère a commencé à tousser et ma cousine qui a le sommeil léger a été réveillée par le bruit », témoigne un membre de la famille touché par le sinistre. « Elles ne savent pas du tout ce qui s’est passé. Elles vont bien tout comme les deux enfants, une fille de 1 an et un garçon de 5 ans ».
Le feu semble avoir pris très rapidement comme en témoigne un gardien. « J’étais sur la place quelques minutes avant pour sortir les poubelles et il n’y avait strictement rien. Aucune fumée, pas de flamme, aucun cri ».
Si l’incendie a été maîtrisé en moins d’un quart d’heure, il aura fallu ensuite procéder à la sécurisation des lieux et au désenfumage des étages. Les premiers habitants ont commencé à réintréger leurs appartements vers 6 h 45.
Les pompiers, eux, ont quitté les lieux vers 8 heures.
Quand aux victimes, elles ne pourront retrouver leur logement détruit. Elles ont prévu de s’organiser dans un premier temps avec leur famille.
G. A.-T.
Union070724b - Locales - Reims
Mme Kaczowka élargit maintenant sa mission jusqu’à Croix-du-Sud.
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Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de défense des locataires « Les Polygones », mène sans relâche son combat pour l’amélioration des conditions de vie des locataires de l’Effort rémois.
Coup d’œil sur son agenda :
Le 18 et le 20 juin, elle relance l’Effort rémois sur un litige qui court depuis quatre ans : « La remise en état des murs, du plafond, des peintures et du sol d’une locataire du 2 rue Bergson, travaux qui sont entièrement à la charge du bailleur ».
Le 20 juin, elle alerte l’Effort rémois sur une consommation d’eau froide excessive chez une autre locataire du 2 rue Bergson (« fuite sur un compteur d’eau froide, tuyaux en cuivre couverts de vert-de-gris, le compteur tourne à l’envers et les index ne correspondent pas »).
Le 27 juin, c’est pour une nouvelle panne d’ascenseur au 6 rue Bernanos qu’elle prend la plume : « Ces pannes répétitives deviennent très dommageables pour les locataires qui doivent emprunter les escaliers (personnes âgées, mamans avec jeunes bébés, personne handicapée au genou). La première panne date de fin avril. »
Le 5 juillet, elle visite, avec Danielle Bonfils (locataire de l’Effort rémois, secteur At’Home), l’immeuble du 2 place Rodin qui a subi d’importants dégâts suite à un incendie : « Nous avons constaté un état de saleté innommable, tant dans les montées d’escaliers que dans le local vide-ordures (odeurs pestilentielles), des sols imprégnés de suie et non décapés, des fils électriques pendants et dénudés, des murs éclaboussés, etc.
Comment les locataires peuvent-ils vivre dans un tel environnement ? Nous sommes consternées de constater qu’après l’incendie, aucun nettoyage n’a été entrepris pour assainir cet immeuble. Pourtant, les locataires paient toujours leurs charges ! »
Le 9 juillet, elle rencontre des locataires des 8, 10 et 12 place Georges-Braque : « Suite à l’incendie déclaré en septembre 2005, ils se demandent pourquoi les travaux de remise en état ne sont toujours pas réalisés 22 mois après, alors que les experts sont passés ! »
Le même jour, elle déplore « de nombreuses pannes d’ascenseurs », surtout au 10 place Georges-Braque : « Des personnes âgées, d’autres souffrantes, se trouvent en difficulté à cause de ces pannes incessantes. »
Le 10 juillet, c’est une relance pour le même ascenseur et pour ceux des 11 et 17 rue Daudet.
Le 10 juillet encore, nouvelle intervention pour les canalisations d’eaux usées entartrées d’une locataire du 11 rue Daudet, un problème à élargir à tout le secteur.
Association « Les Polygones », 8 rue Georges-Bernanos.
Présidente : Geneviève Kaczowka (Tél. 06.81.41.06.72.)
Le nouveau responsable de secteur, Emmanuel Picardat, a pris ses fonctions fin juin.
Il est conscient de la très grande activité de Geneviève Kaczowka, mais il ne peut pas, dans l’état actuel des choses, suivre le rythme de ses envois (exemple, six mails en cinq jours !) Il lui propose donc de lui faire parvenir un message hebdomadaire, qui regrouperait toutes les doléances de la semaine. « En cas d’urgence, la présidente a la possibilité de joindre l’accueil téléphonique de l’Effort rémois ou Mme Casal, qui est son interlocutrice, et qui suit quotidiennement tous les signalements.
D’ailleurs, un compte rendu faisant la synthèse de l’intégralité des réponses de l’organisme logeur sera envoyé à l’association dans la semaine afin de les clore définitivement.
L’Effort rémois tiendra ses engagements et, à moins d’éléments nouveaux, ne reviendra pas sur ses positions. »
Union070724a - Locales - Reims
Le président Herbreteau admire, mais ne fait pas partie du jury.
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Le jury de notation des parcelles de l’association des jardins familiaux de Pays-de-France passera dimanche 29 juillet à partir de 9 h 30 (entrée rue Joliot-Curie) sous la présidence d’Élisabeth Vasseur, représentant le maire de Reims.
Objectif : le classement annuel des plus belles parcelles, tenant compte de l’entretien général des parcelles et de leur embellissement (fleurissement en particulier).
Renseignements : Michel Herbreteau, président, au 03.26.86.09.49.
Union070723a - Locales - Reims
Black Jack d’Osamu Tezuka.
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Jusqu’au samedi 25 août, la médiathèque Croix-Rouge présente un panorama des principaux auteurs de mangas, d’ Osamu Tezuka à Jiro Taniguchi, en passant par Hayao Miyazaki, des principaux personnages comme Détective Conan, Dr Kenzo Tenma ou encore Lady Oscar ainsi que des grandes séries comme Dragon Ball.
Cette exposition, dont l’entrée est gratuite, a été réalisée par la médiathèque Stendhal de Saint-Ouen-L’Aumône.
lhebdoduvendredi070722a- Société
Après les quartiers Wilson et Epinettes à Reims, la compagnie Bloody Macadam a accueilli un groupe de jeunes de 15 à 17 ans autour de son chapiteau à Ay depuis le 15 juillet, pour mener des ateliers d’initiation cirque auprès des adolescents.
Pour concrétiser cette collaboration, une représentation du spectacle « Le Macadam Circus » est prévue à Ay ce vendredi 20 juillet à 20h45. Un barbecue géant ouvert à tous est aussi d’actualité !
Le groupe installera ensuite son chapiteau du 23 au 28 juillet à Reims, dans le quartier Croix rouge, puis du 30 juillet au 4 août à Saint Brice Courcelles et le 26 août au Parc de Champagne pour clore cette itinérance par un grand spectacle.
En savoir plus au 03 26 86 05 72 ou sur http://www.jonglissimo.over-blog.com
lhebdoduvendredi070722a- Société
Citinérance c’est reparti. La compagnie de cirque Bloody Macadam reprend du service. Elle déplacera son chapiteau dans les quartiers de la ville jusqu’en août pour initier petits et grands aux arts du cirque.
Depuis le début de la semaine, un chapiteau s’est installé dans le quartier des Epinettes. À l’intérieur, la compagnie Bloody Macadam s’agite pour accueillir tous les jeunes, intéressés par les arts du cirque. Car à partir de 17h30, tous les soirs, le mot d’ordre est découverte. Chacun peut venir librement s’initier aux acrobaties, au jonglage avec des massues, à marcher sur un fil et autres tours impressionnants. Hier dans le quartier Wilson, aujourd’hui aux Epinettes, dans quelques semaines à Croix-Rouge : comme un vrai cirque, la compagnie déplace son chapiteau pour aller à la rencontre de tous. C’est l’esprit Citinérance, un projet qui a fait ses preuves et qui perdure.
Depuis trois étés que la compagnie fait ses sauts de puce à Reims, l’engouement des enfants et des ados face aux artistes est toujours intact. Ce petit cirque ambulant fait des émules et permet de rassembler les habitants des différents quartiers concernés. Les maisons de quartiers et centres sociaux sont également associés à la compagnie, ce qui permet de créer une véritable fête autour de l’événement. Tant et si bien que demain, le chapiteau ouvrira sa piste à plusieurs groupes de danse, de hip hop, de musique… dans le cadre de la fête du quartier.
Vivre comme un artiste de cirque Avis aux curieux : la compagnie accueillera à partir de juillet une équipe de jeunes âgés de 15 à 17 ans désireux de vivre pendant l’été comme de véritables artistes de cirque.
Les ados participeront à l’itinérance du cirque et devront vivre comme les membres de la compagnie. Une autre façon de découvrir l’envers du décor et le quotidien d’un saltimbanque.
Au programme :
montage et démontage du chapiteau,
organisation des campements et des ateliers
mais aussi réalisation des costumes, des décors…
Et bien sûr entraînement quotidien aux jonglages, aux acrobaties et aux arts plastiques.
À la fin des vacances, l’objectif est de pouvoir présenter un grand spectacle original. Les jeunes travailleront donc à l’élaboration de la représentation, tout comme une vraie famille de cirque.
La date du spectacle est déjà fixée au 26 août au Parc de Champagne !
Un rendez-vous à ne pas manquer.
Anne-Lise Fournier
En savoir plus au 03.26.86.05.72. Production TRAC, 5 rue Pierre Flandre à Reims.
Le chapiteau est installé aux Epinettes jusque samedi 9 juin. Du 9 au 13 juillet, école de cirque Supercrampe (semaine dédiée à la rencontre entre le groupe de jeunes qui suivent l’itinérance et les artistes), du 15 au 22 juillet à Ay, du 23 au 28 juillet à Croix Rouge, du 30 juillet au 4 août à St Brice Courcelles.
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Sous l’impulsion de l’association TRAC (Toutes Recherches Artistiques et de Créations), le festival « Jonglissimo » est né en 1994.
C’est à la base une convention de jonglage (réunion de jongleurs autour d’ateliers de travail, de scènes ouvertes, etc. …), qui a toujours eu une ouverture au tout public avec des ateliers de sensibilisation, une programmation de spectacles originaux et de qualité.
Depuis l’année 2000, le projet Jonglissimo se décline en biennale avec une alternance de deux événements :
le festival « Jonglissimo », manifestation organisée les années paires,
- « Les nuits de la jongle de Jonglissimo », organisées les années impaires, événements régionaux qui se construisent sur des programmations de soirée, balayant les différentes formes de spectacles de jonglage existant.
Par ailleurs, l’association TRAC développe des actions de formation et de stages autour des arts du cirque.
Les prochains rendez-vous de l’association TRAC : « Les Nuits de la jongle de Jonglissimo » en 2007
Renseignements :
Association TRAC
5 rue Pierre Flandre REIMS
T_ el/fax : 03 26 86 05 72
Mail : jonglissimo.trac@freesbee.fr
Union070721c - Locales - Reims
Mise à disposition d’artistes professionnels pour les fêtes associatives.
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Les concerts de fin de saison organisés par la Maison de quartier Croix-Rouge ont été appréciés par la population : le concert géant de Cheb Abbes et Cheb Redouane sur le parking de l’hippodrome, puis le concert plus intimiste de rap sur le parvis de la médiathèque.
Directeur de la Maison de quartier Croix-Rouge, Éric Krzywda voulait montrer ainsi la présence de cette structure sur l’ensemble du quartier. Il explique : « le concept de Festival doit faire place désormais au concept Croix-Rouge s’affiche. »
Il s’agit, pour les cinq espaces de la Maison de quartier : espace Billard, espace Watteau, espace Ethnic’s, espace Pays-de-France et espace la Nacelle, solidaires et indissociables, de montrer leur présence permanente, par des actions spécifiques telles que les concerts, mais aussi et surtout par une aide structurée à toutes les associations qui en feront la demande.
Cela a déjà été le cas lors de la fête de la solidarité, avec l’association Multi-échanges services et, lors de la fête des voisins, avec les associations MVCR, Club 47, Polygones, et Croix-Rouge comité Pays-de-France, Point-rencontres, Étoile Croix-du-Sud et At’Home. C’est encore le cas avec l’association Emergence pour un après-midi « jeune public » sur la pelouse Arago dans le cadre du Festival Solijahfary et pour l’association Kalebass et Cie pour l’organisation d’un stage Art Afro Metiss.
« Toute structure qui œuvre pour le quartier Croix-Rouge peut demander notre assistance. La Maison de quartier dispose maintenant d’un équipement technique et de professionnels compétents pour aider sérieusement toute nouvelle demande d’activité. »
Dernière en date, l’association de défense de locataires « Et Croix-Rouge, comité Croix-du-Sud » dont le président vient de se rapprocher de la Maison de quartier.
Union070721b - Locales - Reims
Laurence Geoffroy détaille le mode d’emploi aux écoliers et à leurs parents.
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Tout au long de l’année scolaire, au cours de séances régulières d’accompagnement scolaire à l’espace Watteau sous la conduite de Laurence Geoffroy « référente familles » et de son équipe, des collégiens de Georges-Braque et des écoliers des écoles élémentaires Galilée et Blanche-Cavarrot ont planché, tout en travaillant sur leurs acquis scolaires, sur la réalisation d’un almanach très personnalisé.
A la fin de leurs travaux, l’opuscule leur a été remis, en présence des parents et enseignants, après un petit goûter sympathique : cinquante-deux fiches, une par semaine, font ressortir pour les collégiens tout un travail de recherche et de valorisation sur des thèmes aussi variés que l’environnement, les fêtes, les métiers, la condition féminine, la science et bien d’autres choses encore.
Les enfants de primaire ont, quant à eux, valorisé toutes les recettes de cuisine réalisées dans l’année scolaire.
Tous peuvent maintenant attendre la prochaine rentrée avec confiance.
Union070721a - Locales - Reims
Adhérents et amis réunis pour un bilan.
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L’association Multi-échanges services (Mutes) se porte bien : à l’occasion d’un bilan annuel, la présidente Martine Massart a souligné la qualité et le volume des échanges entre les adhérents (un service rendu gratuitement à un adhérent vaut un autre service gratuit, rendu par cet adhérent ou par un autre : interprétariat, cuisine, repassage, jardinage, aide au courrier, couture, assistance aux devoirs, aide au bricolage, traduction, transport pour des courses ou un rendez-vous administratif, peu importe : toute solidarité est bonne.
La Mutes est également satisfaite du travail accompli, souvent en partenariat, avec les autres associations qui œuvrent sur le quartier Croix-Rouge.
Aux activités de services et d’échanges, Jacques Baptiste, administrateur, souligne de nouvelles initiatives et tout d’abord « un atelier cuisine qui fonctionne avec l’appui du Secours catholique, et depuis fin 2006, la communication avec ses adhérents qui est renforcée par la création d’un journal interne d’information. »
La présidente souligne le besoin de maintenir la démarche vers autrui, la lutte contre l’isolement et le droit à la différence, des thèmes chers à la Mutes au profit de
tous les concitoyens.
On peut contacter l’équipe de cette association de solidarité lors de ses permanences à l’espace Billard (renseignements, horaires au 03.26.08.08.78.).
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1. Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, BP 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du CMP.
3. Objet des marchés : extension des locaux du CADA au 20-22, rue du Général-Eisenhower à Reims.
4. Nombre et consistance des lots : 3 lots répartis comme suit :
Lot 1 - Démolition, cloisons.
Lot 2 - Electricité, plomberie.
Lot 3 - Peinture sols souples.
5. Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6. Délai d’exécution : 2 mois (non compris la période de préparation de 2 semaines et de congés payés et non compris la ou les période(s) d’intempérie).
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du CMP (voir règlement de consultation).
8. Critères d’attribution :
Valeur technique.
Prix.
9. Retrait du dossier et règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à Reims Habitat Champagne-Ardenne, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site www.reims-habitat.fr.
10. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de Reims Habitat, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la construction de Reims Habitat, tél. 03.26.48.62.32, fax 03.26.48.43.40.
11. Date limite de remise des offres : vendredi 10 août 2007 à 17 heures.
12. Date d’envoi de l’avis à la publication : 17 juillet 2007.
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Des pistes cyclables de ce type vont émerger aux quatre coins de la ville dès la fin de l’année. - Agrandir la photo |
Les cyclistes peuvent souffler. Plusieurs projets de pistes cyclables sont dans les tuyaux. Réalisation prévue en fin d’année pour les uns et courant 2008 pour les autres.
Les adeptes du deux-roues, qui regrettaient le manque de voies réservées à la petite reine dans la cité des sacres, peuvent se réjouir : trois projets de pistes et bandes cyclables sont sur le point d’aboutir. Manquait plus que l’attribution des marchés. C’est aujourd’hui chose faite.
Ces trois chantiers lancés par la Ville d’un coût total compris entre 350.000 et 380.000 euros, débuteront entre septembre et décembre cette année. Livraison prévue dans tous les cas avant 2008. Tour d’horizon des réjouissances.
Boulevard Pasteur, entre les rues Lagrive et Sillery, sera créée sur 120 m, une piste cyclable d’un côté de la rue.
Rue Stéphane-Mallarmé, création sur 220 m d’une piste cyclable d’un côté, et d’une bande cyclable (traçage sur la chaussée) de l’autre.
Entre l’avenue François-Mauriac et la rue Pierre-Taittinger, création d’une piste cyclable de 500 m.
Il ne faut pas avoir froid aux yeux pour rouler à vélo boulevard Pasteur ! Heureusement, une piste cyclable va voir le jour avant la fin de l’année entre les rues Lagrive et Sillery.
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« Nous essayons de créer, au fur et à mesure, un maillage cohérent du réseau » note Sylvain Sachau, directeur des espaces urbains de la ville. « On réfléchit constamment à de nouvelles études pour lancer des marchés et des travaux les années suivantes. »
Ces trois projets déjà bien lancés seront complétés l’an prochain par deux autres créations pour les vélos, comme l’explique Fabrice Daviaud, directeur de la voirie :
« Dans le cadre de la réfection de la première partie du boulevard Charles-Arnould, entre la rue Pierre-Brossolette et la place Verte, sera aménagée une piste cyclable de 500 m des deux côtés de la chaussée. Nous continuerons sur le même schéma pour les autres tronçons. » Fin des travaux prévue au premier semestre 2008.
Autre grand chantier en perspective, la création pour 2008 d’une piste cyclable de 10 km le long du canal jusqu’à la coulée verte. Un aménagement unique de par sa longueur mais aussi de par sa couleur : la ville a jeté son dévolu sur un enrobé blanc ! « On trouvait le noir un peu trop routier, béton. Le blanc a un aspect nettement plus sympa ! »
Gâtés nos cyclistes !
Marion Dardard
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La restitution des ouvrages empruntés à la médiathèque Jean-Falala pendant sa fermeture (31 juillet-25 août inclus) sera possible dans n’importe quelle autre bibliothèque municipale (Carnegie, Croix-Rouge, Chemin-vert, Holden, St-Remi, Laon-Zola).
Union070720a - Locales - Reims
Plusieurs habitants de l’esplanade Eisenhower ont signalé au conseiller municipal Michel Guillaudeau la présence inopportune d’un panneau publicitaire situé à la sortie du parking du 32 (immeubles des 32 à 44).
L’élu a adressé une requête à Reims habitat pour le déplacement de ce panneau implanté sur un emplacement inadapté car il cache la visibilité.
Selon les locataires, plusieurs demandes auraient déjà été faites sans résultat.
Humour : au dos du panneau gênant pour les automobilistes, on lit une affiche de la sécurité routière :
« Bien voir pour conduire en sécurité ».
lhebdoduvendredi070719g - Société
Procédé d’humidification du sable reposant sur une dalle et constituant la piste avant la mise en glace définitive
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Depuis le mois de mai, la patinoire Jacques Barot construite en 1994 et située dans le quartier Croix-Rouge était en réfection.
Le gaz fréon utilisé dans l’ancien système de production de froid bientôt interdit, et de nombreux soucis techniques rencontrés par le passé au niveau de la dalle ont précipité sa rénovation.
Parmi les nombreux travaux entrepris : la rénovation totale de la piste (100 tonnes de sable, 12 tonnes d’eau glycolée) et de l’ensemble du système de production de froid (18 km de tuyaux) sans oublier la pose d’une nouvelle rambarde ceinturant la piste.
Le montant des travaux financés par la Régie des Equipements Municipaux Sportifs de la Ville de Reims (REMS) se chiffre à près de 320 000 euros.
Union070719f - Locales - Reims
Avant-propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journalofficiel.gouv.fr/…).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53, 57 à 59 du code des marchés publics.
3) Objet des marchés : marchés de travaux : exécution ; réfection du garage G18 allée Yves-Gandon à Reims.
4) Nombre et consistance des lots : 2 lots, 1 option répartis comme suit :
Lot 1 : étanchéité.
Lot 2 : électricité.
Option n° 1 obligatoire lot 2 : éclairage du parc de stationnement.
5) Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
6) Délai d’exécution : 3 mois (non compris la période de préparation de 15 jours et y compris la ou les périodes de congés payés de 15 jours et les intempéries de 15 jours).
7) Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
8) Critères d’attribution : prix : 60 %, valeur technique : 20 %, délai d’exécution : 20 %.
9) Délai de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de remise des offres.
10) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax. 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr.
11) Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.40.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la construction de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.16.
12) Date limite de remise des offres : mercredi 29 août 2007 à 17 heures.
13) Date d’envoi de l’avis à la publication : jeudi 12 juillet 2007.
Union070719e - Locales - Reims
Les trois Rémois reçus à Matignon.
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« M.Eric Etienne s’est montré très sensible et attentif à nos préoccupations sur tous les sujets que nous avons abordés avec lui et relatifs aux échecs successifs des politiques de la ville. Il doit nous tenir au courant de la concertation prévue avec le ministre et rendez-vous est pris pour rencontrer la secrétaire d’État au Logement et à la Politique de la ville, Mme Fadela Amara, lors d’une table ronde à laquelle devrait participer la ministre de tutelle Mme Christine Boutin. »
De retour de Matignon où il a été reçu mardi avec Hicham Erretat de Reims Divers cités et Mohamed El Haddaoui de l’association des travailleurs maghrébins de France, le Rémois Alexis Mohamed, président de Reso n’est pas mécontent de ce premier contact.
Lui et ses collègues ont pu expliquer au conseiller technique du cabinet du ministre chargé de la Politique de la ville, de l’Exclusion et des Discriminations la crise sociale vécue, à leur avis, par les habitants des quartiers de Reims qu’ils ont rencontrés (l’union du mardi 17 juillet).
Ces trois responsables associatifs dénoncent notamment « l’absence de mixité sociale dans les quartiers, la disparition constante des commerces, de fortes discriminations raciales et ethniques quant à l’accès au logement, à l’emploi, au stage en entreprises ; le sentiment de rejet, de ghettoïsation et d’abandon des populations françaises issues de l’immigration, le chômage de masse, la précarité et l’exclusion subies par les habitants des quartiers populaires, l’oisiveté des jeunes. Ils considèrent enfin que la politique sociale menée dans les quartiers avec les MJC puis les maisons de quartier est à bout de souffle et n’est plus en phase avec la réalité. »
Ils demandent le soutien et des soutiens financiers à l’État « car les villes de province font aussi partie de la République ».
Union070719d - Locales - Reims
7.600 euros de subvention municipale pour les Jardins familiaux de Croix-du-Sud.
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Subventions votées au cours du conseil municipal du 25 juin pour les associations de Croix-Rouge :
Association des Jardins familiaux de Croix-du-Sud, 7.600 euros (équipement 4.000 euros, fonctionnement 3.600 euros).
Association des Jardins familiaux de Pays-de-France, 3.400 euros (équipement 1.000 euros, fonctionnement 2.400 euros).
Association des Maisons de quartier de Reims, 2.880 euros (dont 1.700 euros pour le Football-club Atlas).
Association Etoile Croix-du-Sud, 3.111 euros (fonctionnement 1.500 euros, concours divers 1.000 euros, découverte de la nature 611 euros).
Il a beaucoup d’obstination, Salah Byar, président de l’association Point Rencontres à Pays-de-France : lors de la réunion du maire et des trois directeurs des HLM de Croix-Rouge, il a dû poser trois fois la même question, n’obtenant pas de réponse :
« Dans les immeubles où il y a un gardien, la vie est bien meilleure pour les locataires. C’est une présence humaine essentielle. La loi qui impose un gardien pour 100 logements sera-t-elle enfin respectée un jour ? »
Salah Byar, président de l’association Point Rencontres à Pays-de-France : il veut des réponses sur les gardiens dans les immeubles
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Enervé par tant d’insistance, le maire a demandé à Christophe Villers (Foyer rémois) de répondre : « Ce n’est pas une loi, mais une recommandation. »
La ville de Reims entreprend cet été des travaux dans les écoles de Croix-Rouge. Jusqu’au 17 août, pose de revêtement de sol dans des classes et dans un bureau de la maternelle Docteur-Billard ainsi que des travaux de chauffage dans les maternelles et élémentaires Gilberte et Jean-Droit et Galilée-Newton.
Le troisième concert de l’été, prévu sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, n’a pas eu lieu, à la grande déception des amateurs de danses hip-hop, africaine et orientale. « Nous avons été obligés d’annuler ce concert : en effet, la compagnie de David Moyen, Authentik Wibzz, nous a lâchés au dernier moment » regrette Éric Krzywda, directeur de la maison de quartier Croix-Rouge.
En pèlerinage ardennais « sur les pas de Rimbaud et Verlaine », la poètesse du quartier Croix-Rouge, Liliane Feige, n’oublie pas : « Mon quartier n’a pas de frontière../.. Une fleur à mon corsage, je reviens dans mon Croix-Rouge les bras chargés de poèmes pour tous ses habitants que j’aime. »
En raison de travaux d’aménagements, les déchetteries situées à Croix-Rouge (impasse de la Chaufferie) et à Europe (rue de l’Escaut) seront fermées ce jeudi 19 juillet de 9 à 14 heures.
Union070719c - Locales - Reims
Le premier départ a eu lieu le lundi 10 juillet pour huit jours de festival aux Franco’Folies de la Rochelle.
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Depuis six ans, plusieurs séjours sont organisés par la maison de quartier Croix-Rouge, dans le cadre du projet « Éducation et séjours collectifs de jeunes » financé par le Contrat de ville et maintenant par le Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs) de la ville de Reims.
Ces séjours sont proposés en partenariat avec le service départemental de Prévention, la circonscription de la Solidarité départementale Croix-Rouge, le Secours populaire français, les Francas de la Marne et le dispositif « Réussite éducative » du Centre communal d’action sociale (Ccas) de la ville de Reims.
Leur objectif : offrir à des jeunes âgés de 12 à 17 ans, qui n’ont pas la chance de partir en vacances, une « bouffée d’oxygène » en allant à la découverte de la nature, de la plage ou de diverses activités sportives et culturelles.
L’équipe pédagogique accompagne les jeunes afin qu’ils participent activement à l’organisation de la vie en collectivité durant leur séjour et ce, dans un esprit de convivialité et de détente.
Les départs auront lieu tout l’été :
jusqu’au 20 juillet, à Quend-Plage en Baie de Somme (10 jeunes de 14 à 17 ans),
du 23 au 27 juillet, à Croqu’Nature à Blacy avec les Éclaireurs et éclaireuses de France (15 jeunes de 12 à 14 ans),
du 30 juillet au 3 août, à Croqu’Nature à Humbécourt (Haute-Marne) avec les Éclaireurs et éclaireuses de France (15 jeunes de 12 à 14 ans),
du 30 juillet au 3 août, à Quend-Plage en Baie de Somme (7 jeunes de 14 à 17 ans)
et du 6 au 10 août, stage équitation au lac du Der (7 jeunes de 14 à 17 ans).
De son côté, l’association MJC Croix-Rouge organise jusqu’au 22 juillet, un séjour collectif Croq’Nature au lac du Der (15 jeunes de 8 à 11 ans).
En octobre, l’ensemble des participants et leurs familles se rassembleront autour d’un repas pour se remémorer les souvenirs d’été.
Renseignements
à l’espace Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard auprès de Stéphanie Tadla (03.26.49.47.04.)
ou à la circonscription de la Solidarité départementale Croix-Rouge, rue Jean-Louis-Debar, auprès de Christine Deghaye (03.26.06.84.10.).
Union070719b - Locales - Reims
L’association de promotion de Pays-de-France a organisé une sortie familiale au Crotoy dans la Somme : « La journée s’est très bien passée malgré le temps maussade et les enfants ont pu toutefois, et souvent pour la première fois, prendre un bain de mer » apprécie la présidente Christiane Monflier : « Petits et grands ont apprécié le voyage en petit train reliant Saint-Valéry-sur-Somme au Crotoy. »
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Une ferronnerie en carton ondulé criante de réalisme.
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Un enfant sortant de grande section de maternelle à Gilberte-Droit a demandé à ses parents de le conduire au centre ville : « Là, je leur ai montré les façades Art Déco ! » explique-t-il fièrement.
La démarche du petit devenant guide pour ses parents n’étonne pas la directrice de l’école, Mme Sauvage : « Les élèves ont participé à un projet culturel artistique sur la flore Art Déco à Reims. Ils ont enrichi leur vocabulaire en utilisant des mots spécifiques à l’architecture comme : volutes, spirales, courbes, sculptures, ferronneries, mosaïques » , de quoi tenir une conversation savante.
A cette occasion, pour rencontrer le patrimoine Art Déco, ils ont visité la bibliothèque Carnegie, le musée des Beaux-Arts et le centre ville pour observer les façades.
Puis avec Isabelle Chastaing, une plasticienne, ils ont réalisé deux œuvres : une composition inspirée des bas-reliefs de la bibliothèque Carnégie (motifs de fleurs géométriques) et la création d’une ferronnerie en carton ondulé.
L’exposition qu’ils ont préparée a été visitée par les parents, tous présents, les familles, les classes maternelles et élémentaires de l’école Gilberte-Droit et les classes maternelles et préparatoires de l’école Docteur-Billard.
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
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Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P.
Objet des marchés : travaux de sécurisation d’accès d’im¬meubles situés aux 25, 27, 29 rue Pierre-Taittinger à Reims.
Nombre et consistance des lots : trois lots répartis comme suit :
Lot 1 : menuiserie métallique.
Lot 2 : interphonie.
Lot 3 : carrelage.
Modalité d’attribution des lots : par marchés séparés.
Délai d’exécution : quatre mois (non compris la période de préparation de 15 jours et les intempéries et y compris la ou les périodes de congés payés).
Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du C.M.P. (voir règlement de consultation).
Critères d’attribution : valeur technique, prix.
Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, tél. 03.26.48.43.43, fax 03.26.48.43.40 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
Autres renseignements :
Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction des programmes techniques et spécifiques de REIMS HABITAT tél. 03.26.48.43.38, fax 03.26.48.43.40.
Date limite de remise des offres : vendredi 10 août 2007 à 17 heures.
Date d’envoi de l’avis à la publication : mercredi 11 juillet 2007.
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Un coin pour les très très jeunes lecteurs à Laon-Zola.
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Pendant les grandes vacances, on peut bien entendu y emprunter des livres, mais d’autres activités sont également possibles dans les bibliothèques municipales.
COMMENT s’occuper pendant ces grandes vacances estivales ?
Les bibliothèques et médiathèques municipales ont elles aussi une réponse à donner. A vous de faire votre choix parmi les propositions suivantes ; avec un rappel important : toutes les animations sur place sont gratuites.
Bien sûr, c’est l’activité de base de ces lieux : l’emprunt de livres (dix documents pendant trois semaines pour les inscrits) et la lecture sur place (pour tout le monde, gratuitement).
Ce sera possible tout au long de l’été, avec des horaires quelque peu modifiés (voir par ailleurs).
On notera aussi que tout cet été il sera possible de lire au jardin de la médiathèque Laon-Zola (rue de la Neuvillette), aménagé spécialement, avec tables, chaises et parasols. A priori, jusqu’en septembre.
Celle consacrée au « BDessinateur » Jean Solé continue à Falala et Laon-Zola jusqu’au 28 juillet.
A Croix-rouge, nouvelle expo, sur le thème de la BD toujours, mais plus particulièrement sur les japonaises dénommées mangas, assez différentes des traditionnelles franco-belges, jusqu’au 25 août.
A Carnegie, « un train peut en cacher un autre », dans le cadre de la mise en service du TGV-Est, visible jusqu’au 25 août.
A Croix-rouge, création d’affiches avec « les mots s’affichent », pour les enfants à partir de 7 ans, sous la houlette d’un écrivain Anne Mulpas, et de la typographe Nicole Pérignon ; deux heures à chaque fois ; en tout six rendez-vous entre le 19 juillet et le 2 août.
Plusieurs projections de dessins animés japonais sont prévues dans le cadre de l’expo sur les mangas (voir plus haut). Il reste encore deux projections à Falala (18 et 25 juillet, 14 h 30), mais l’essentiel de la programmation reste à venir à Croix-rouge, à partir du samedi 21 juillet (neuf projections en tout). Autres projections, cette fois dans le cycle « au galop » : samedi 21 et 28 juillet (15 heures à Falala).
Diapos Renardo mène l’enquête, pour les 4-8 ans, le mercredi 1er août à 16 h 30 à Croix-rouge.
Le mercredi 1er août, jazz en soirée (19 h 30) à Croix-rouge, sur l’esplanade, dans le cadre d’un partenariat avec Djaz51 et les Flâneries. Sur scène le collectif A plusieurs, dont le tromboniste Jean-Louis Pommier.
Lecture à voix haute : Destination Prévert, textes du poète, mercredi 8 août à 15 heures à Croix-rouge, à partir de 8 ans.
La ronde des albums : les animaux de la ferme et de la campagne, mercredi 18 juillet à 11 heures, pour les 4-6 ans à Croix-rouge.
L’heure des bébés : jeudis 19 juillet et 30 août à 10 heures à Croix-rouge, pour les 6 mois/ 3 ans.
A.P.
Les bibliothèques et médiathèques rémoises fonctionneront selon les horaires suivants jusqu’au 1er septembre inclus.
Médiathèque Jean-Falala (ex-Cathédrale) : mardi 13-19 heures ; mercredi 10-19 heures ; jeudi 13-19 heures ; vendredi 13-19 heures ;samedi 10-18 heures. Fermeture du 29 juillet au lundi 27 août inclus.
Bibliothèque Carnegie : mardi 10-13 heures et 14-18 heures ; mercredi 10-13 heures et 14-18 heures ; jeudi 14-18 heures ; vendredi 14-18 heures ; samedi 10-13 heures et 14-18 heures.
Médiathèque Croix-rouge : mardi 14-19 heures ; mercredi 10-18 heures ; jeudi 14-18 heures ; vendredi 14-18 heures ; samedi 10-17 heures.
Médiathèque Laon-Zola : mardi 14-19 heures ; mercredi 10-18 heures ; jeudi 14-18 heures ; vendredi 14-18 heures ; samedi 10-17 heures.
Bibliothèque Holden (place Brouette) : mardi 9-12 heures ; mercredi 10-12 heures et 14-18 heures ; jeudi 9-12 heures ; vendredi 9-12 heures ; samedi 10-12 heures et 14-17 heures.
Bibliothèque Saint-Remi : mardi 9-12 heures ; mercredi 10-12 heures et 14-18 heures ; jeudi 9-12 heures ; vendredi 9-12 heures ; samedi 10-12 heures et 14-17 heures.
Bibliothèque du Chemin-vert : mardi 9-12 heures ; mercredi 10-12 heures et 14-18 heures ; jeudi 9-12 heures ; vendredi 9-12 heures ; samedi 10-12 heures et 14-17 heures. Fermeture du 31 juillet au 1er septembre inclus.
Bibliobus urbain : arrêt du 14 juillet au 20 août.
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« …Et puis, on est entre copine. »
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En ce début d’été, une cinquantaine de collégiens de Georges-Braque ont décidé de passer leur première semaine de vacances… à l’école de police.
EN partenariat avec l’Education nationale, l’école nationale de police de Reims renouvelle pour la sixième année consécutive avec le collège Georges-Braque l’opération « école ouverte ».
« Nous encadrons une cinquantaine de jeunes en ce début d’été, » précise le brigadier-chef David Boyer, qui encadre les jeunes avec deux autres formateurs de l’école de police, Christophe Heneaux et Laure Austoni. « Ce nombre est en nette augmentation par rapport à l’an dernier, » ajoute-t-il.
Pour l’école, « c’est un moyen de montrer une autre image de la police. Dans les quartiers difficiles, cette image n’est pas toujours florissante. Là, les jeunes sont super contents, on les revoit d’une année sur l’autre, le contact est très bon. »
Mêmes échos pour l’enseignant coordinateur du projet côté éducation nationale. Jean-Marc Dequine estime que sur la cinquantaine de jeunes présents — du CM2 (futurs 6e) à la troisième — « plus de la moitié ne part pas en vacances. C’est un bon moyen de les occuper. »
« Ici, c’est intéressant, on apprend des choses » indique Betty.
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Parc Astérix, faux de Verzy, piste routière d’Orgeval, formation aux premiers secours, les vacances à l’école de police sont bien chargées.
En plein cours pour « essayer de sauver un nourrisson qui s’étouffe, » une bande de copine s’active et se conseille mutuellement.
Laetitia, Ophélie, Lorène et Julia ont suivi Betty qui leur a demandé de s’inscrire avec elle pour cette semaine de vacances à l’école de police.
« Cela passe les journées, » lance une des jeunes filles.
« Au moins c’est intéressant ici », ajoute une autre.
« Et puis, on est entre copines… ».
Quant à être entourées par des policiers pendant les vacances : « cela ne nous fait rien, on n’y fait même pas attention ! ».
Certaines de ces jeunes filles passeront l’été à Reims, d’autres doivent partir dans les Ardennes, une autre au Cap d’Agde… « Moi je vais participer à Reims Vital Ados, mais ma copine n’a pas l’âge. »
Quand les jeunes filles s’ennuient elles vont « au ciné, ou en centre-ville. Dans le quartier, il n’y a pas grand-chose. Parfois, on peut aussi aller se balader ensemble au parc de Murigny. »
L’école ouverte est financée à 75 % par l’Education nationale. Sept enseignants s’investissent d’ailleurs dans le projet.
La ville de Reims participe également financièrement. C’est entièrement gratuit pour les élèves qui s’inscrivent.
Une deuxième semaine de vacances sera organisée à l’éco¬le de police du 22 au 31 août prochain.
Patricia Buffet
Union070717a - Locales - Reims
Hicham Erretat, Alexis Mohamed et Mohamed El Haddaoui (de gauche à droite) présidents respectivement de Reims Divers Cités, Réso et l’ATMF (travailleur maghrébins de France).
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Alexis Mohamed, Hicham Erretat et Mohamed El Haddaoui doivent franchir aujourd’hui à 15 h 30 les portes de Matignon à Paris. Les représentants des associations rémoises Reso, Reims Divers Cités, et ATMF (travailleurs maghrébins de France) y seront reçus par le directeur de cabinet du Premier ministre François Fillon.
« On a trop tendance à parler des banlieues parisiennes, mais nous avons les mêmes difficultés dans nos quartiers que ce soit le chômage, la discrimination… », expliquent les trois responsables rémois.
« Par notre démarche, nous souhaitons faire prendre conscience au gouvernement que les associations des villes de provinces doivent être entendues et conviées aux tables rondes organisées à Paris. Nous voulons contribuer au projet de société avec notre compétence de proximité, de terrain ».
Il s’agit pour les associations rémoises « d’inverser la tendance ». « Il y a toujours des projets d’envergure et de gros moyens en région parisienne. On est en retard sur pas mal de choses dans nos provinces ».
L’invitation à Matignon s’est faite très rapidement. « Nous avons écrit il y a trois semaines pour être reçus », explique le président de Reso. « On pensait que cela ne se ferait pas avant la rentrée ou octobre-novembre et on a eu une réponse pour ce mardi 17 juillet. D’ailleurs au départ on voulait aller avec plusieurs associations représentant toute la Marne et finalement ce sera nous trois. Mais ce n’est que partie remise ».
G. A.-T.
Union070717aa - Locales - Reims
Des détritus brûlant dans une cave de la rue Taittinger ont provoqué une fumée suspecte hier lundi peu avant 18 heures ; les pompiers sont venus, et ont éteint le feu avec une lance.
Union070716a - Locales - Reims
G.B. confronte son expérience personnelle de locataire avec celle des habitants de Croix-Rouge à Reims.
A la suite de l’article sur le secteur « Les Polygones » à Croix-Rouge, je voudrais faire une synthèse sur les réclamations justifiées des locataires.
Il me semble que les trois organismes bailleurs de Reims rencontrent les mêmes demandes. Ils semblent oublier le décret du 27 août 1987 ainsi que les accords signés avec les représentants des locataires.
Habitant Orgeval depuis le 1er mars 1967, j’ai attendu 16 ans pour avoir du chauffage correct, plusieurs années pour changer de WC dont les fuites incessantes ont fini par décoller le revêtement des sols de la salle de bain, des toilettes et de la cuisine.
Depuis des années, je réclame des réparations justifiées, mais que l’on reporte toujours. J’ai d’ailleurs déposé au tribunal en 2006 une demande, hélas sans avocats, qui n’a pas abouti.
Bien sûr, on ne peut pas construire des résidences pour les Parisiens, grâce aux loyers des constructions des années 1960,..
Je suis de tout cœur avec les locataires ’en colère, mais ils n’ont pas grand-chose à espérer : les réclamations viennent de tous les quartiers.
Quand donc un élu se penchera-t-il sur les vrais problèmes ?
Pour terminer, la loi prévoit une température minimum de 19 ° dans les appartements…
Passez aux gérances, les radiateurs électriques fonctionnent !
Un ancien vice-président de l’amicale C.N.L. d’Orgeval
Union070715a - Locales - Reims
Les tomates toutes noircies en raison du mildiou.
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Dans les jardins familiaux la pluie vient contrarier les récoltes. En raison des précipitations anormales de ces derniers temps, les tomates et les pommes de terre sont fortement touchées par les maladies.
L’ÉTÉ pluvieux n’en finit pas de faire des dégâts. Dernières victimes en liste, les plantations des jardins familiaux. La pluie fait ainsi le malheur de la tomate. Tout comme la pomme de terre, elle est très sensible aux attaques du mildiou. Le climat actuel est une véritable aubaine pour cette maladie qui se répand plus facilement lorsque l’atmosphère est fraîche et humide.
Du coup aux jardins familiaux du Pays de France on est obligé de se rabattre sur d’autres cultures. Il faut dire qu’on trouve dans les parcelles une très grande variété de fruits et légumes, il y en a pour tous les goûts et pour toutes les saisons.
« Les choux et les courgettes sont ravis par ce temps, mais on est tout de même déçu pour le reste, quelques-uns ont préféré arrêter de cultiver. Vu l’état de certains plants de tomate on se dit qu’il vaut mieux tout tondre pour recommencer l’an prochain », explique Michel Herbreteau, président des jardins familiaux du Pays de France. L’excès d’eau n’est pas problématique uniquement en raison des maladies comme le mildiou, l’oïdium ou la cloque, mais aussi car cela influe négativement sur la saveur du fruit.
Pour palier aux attaques du mildiou les jardiniers appliquent ce qu’ils appellent « la bouillie bordelaise », poudre bleuâtre à base de cuivre, et mettent les plants sous des serres de fortune. « Normalement on interdit d’avoir des serres plastiques d’une hauteur de plus d’un mètre, mais là on est un peu plus souple », concède Michel Herbreteau. Mais dans les jardins familiaux, les membres sont philosophes. « Si la récolte est mauvaise on espère juste que l’année prochaine sera meilleure. L’an dernier on a eu des tomates jusqu’à début septembre ». Ici c’est la qualité et la convivialité qui compte. Michel préfère cultiver bio sa petite parcelle. « Mon désherbant, c’est mes deux mains », plaisante-t-il.
Au final, plus que la production maraîchère, c’est une ambiance que recherchent les membres. Chacun cherche à vivre sa passion pour le jardinage, tout en cultivant le bon voisinage. Aux jardins du Pays de France tout le monde se connaît et régulièrement des manifestations sont organisées. « Quand on a des pépins on s’aide, on se prête du matériel. Dans quelques jours un « barbeuc » va être organisé avec tous les membres et le 29, il y aura un concours des plus beaux jardins fleuris de l’agglomération », explique Michel. Lui y trouve son compte, puisqu’il cultive son lopin de terre, qu’importe le temps, depuis près de trente ans.
Jean-Benoît Perrot-Minnot
Avec près de 1.500 parcelles disséminées à travers la ville, 8 associations, une fédération, et un prix national reçu l’an dernier pour récompenser l’entretien général, Reims est un véritable paradis pour les jardins familiaux. C’est la ville de Reims et la communauté d’agglomération qui mettent à la disposition des associations les différents lopins.
La direction des espaces verts se charge de l’entretien des clôtures, des chemins et fournit les abris de jardin. Le restant est à la charge des membres. Ceux-ci doivent respecter un cahier des charges quant à la propreté et à l’entretien des parcelles.
Cette grande surface consacrée au jardinage associatif demande un travail régulier aux jardiniers amateurs. Environ six heures de travail hebdomadaire sont nécessaires pour entretenir son potager et son petit coin de jardin.
Fédération des jardins familiaux de l’agglomération de Reims, 122 bis, rue du Barbâtre - 51.100 Reims.
Union070714b - Locales - Reims
Les habitants de Croix-du-Sud ont dû se frotter les yeux en voyant déambuler une équipe bizarrement vêtue entre le secteur Georges-Braque, le secteur Blanche-Cavarrot et l’esplanade Paul-Cézanne.
En réalité, il s’agissait simplement de la parade « Power Flower » : des personnels des organismes logeurs l’Effort rémois et Reims-Habitat et des collégiens de 4e de Georges-Braque associés au service départemental de prévention pour mener ensemble une nouvelle action « pour mieux vivre dans le quartier ».
D’autres photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070714a - Locales - Reims
L’arrosage a commencé hier sur un sol à -8 degrés et sous les yeux de l’adjointe aux sports et du directeur des équipements sportifs de la ville. Christian-Philippe Paris
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La rénovation de la patinoire d’entraînement Jacques-Barot touche à sa fin. Dans une semaine, les premières lames des patins vont la cisailler de toute part. Avec joie.
ÇA va glisser comme jamais. La patinoire d’entraînement Jacques-Barot est en phase finale de rénovation. Hier matin, par une température polaire, les techniciens arrosaient le sable pour constituer la première couche de glace.
« La patinoire rénovée sera constituée de deux dalles. La première, en béton, sur laquelle nous avons placé tout un réseau de câbles dans lequel circule de l’eau dite glycolée. Réseau que nous avons recouvert d’une deuxième dalle de sable », explique Alain Simon, directeur de la régie des équipements sportifs.
Reste ensuite à arroser. « L’eau arrive sur un sol à -8 degrés pour que la glace prenne bien ». Quand la patinoire sera terminée, il ne sera plus nécessaire de maintenir une température aussi froide. Juste assez pour empêcher la fonte.
Au-dessus de la première couche de glace, « nous arroserons à nouveau avec de la peinture à l’eau pour donner sa couleur blanche à la patinoire ». Puis enfin un dernier arrosage d’eau pour donner l’épaisseur finale à la glace.
Le tout devrait être terminé d’ici une petite semaine pour une réouverture « vendredi 20 juillet ». C’est le club de patinage de vitesse qui aura l’honneur et le plaisir de baptiser la surface.
« Ils vont apprécier d’avoir une glace nickel », se réjouit pour eux Monique Nassau, adjointe au maire chargée des sports. « Nickel » et plus écologique puisque « l’eau glycolée, semblable à celle que l’on trouve dans nos frigos, va remplacer le fréon, gaz qui contribue à l’effet de serre ». Gaz qui sera interdit en France en 2012. « Comme nos tuyaux commençaient à être poreux, nous avions un risque que le fréon s’échappe, c’est pourquoi nous n’avons pas attendu », souligne l’élue. « Nous aurions été sans doute obligé de fermer en pleine saison donc de déménager les clubs de Barot sur Bocquaine en prenant sur les heures du grand public. Le faire cet été nous a évité cet inconvénient ».
Bocquaine est en état, Barot se refait une beauté pour un coût de 256.000 euros et qu’en est-il du projet Orgeval ? « Comme je l’ai déjà dit, il n’est pas abandonné mais le maire a préféré le décaler dans le temps ». Mais comme les élections municipales passeront par là… son avenir reste incertain.
En attendant, les entraînements vont reprendre dans des conditions optimales et bonne nouvelle en sus : « La fédération ouvre un pôle France de patinage au Creps de Reims (centre régional d’éducation populaire et de sport) ». Nous avions déjà le premier club français de patinage de vitesse, nous aurons maintenant l’école des meilleurs patineurs de France. A quand l’organisation des JO ?
C.F.
Union070713c - Locales - Reims
L’association Étoile Croix-du-Sud organise le 21 juillet une sortie familiale de fin d’année à Boulogne-sur-Mer au Nausicaa, sortie ouverte aux adhérents habitant le quartier (gratuit pour les enfants du centre de loisirs de l’association).
Départ à 6 h 30, retour vers 20 heures.
Adhésions, renseignements et inscriptions au secrétariat, 5 avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66.).
Union070713b - Locales - Reims
L’équipe du centre de loisirs début juillet.
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C’est parti depuis le 4 juillet : Aïcha, Amélie, Delphine, Elodie, Jessica, Johnny, Jonathan, Lucie et Sabrina accueillent les enfants âgés de trois à douze ans pour les vacances d’été, en demi-journée ou en journée, avec ou sans repas au centre de loisirs de l’espace Watteau à Croix-du-Sud.
Ce centre est ouvert du lundi au vendredi, jusqu’au 31 août inclus. Pour favoriser la prise en compte de chaque tranche d’âge, les 3/5 ans profitent des salles de l’espace Watteau tout spécialement aménagées, les 6/8 ans transitent vers l’école Blanche-Cavarrot, aimablement mise à disposition et les 9/12 ans se retrouvent désormais à la plate-forme des centres de loisirs du quartier Croix-Rouge où se retrouvent les centres de loisirs de l’association de promotion de Pays-de-France, de l’association Étoile Croix-du-Sud, de l’espace Billard et de l’espace Watteau.
Des moments forts sont prévus pour cet été : des sorties dans des parcs d’attractions, la venue de l’association Trac avec son cirque, et une foule d’activités avec pour fil rouge le thème du patrimoine.
Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau ou au 03.26.36.03.50. de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures.
Union070713a - Locales - Reims
Danses hip-hop, africaines et orientales au programme.
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Après un premier concert consacré au rap sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge et un deuxième concert sur la pelouse Arago, consacré au reggae et à la salsa, le dernier concert de juillet sera consacré aux danses hip-hop, africaines et orientales.
Il sera animé par les adhérents des ateliers de l’espace La Nacelle, suivis d’une prestation d’Autentik Vibzz, compagnie de danse hip-hop rémoise, sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, mercredi 18 juillet à partir de 18 heures.
Ce concert est gratuit et ouvert à tous.
Union070712d - Locales - Reims
Catherine Pierrejean, animatrice contes à la Maison de quartier Croix-Rouge (porteuse du projet en partenariat avec la Zone d’éducation prioritaire Croix-Rouge), a regroupé, dans l’opération « Rencontres en contes » près de 500 jeunes du quartier autour des contes.
Pour cette 9e édition, du mardi 26 au jeudi 28 juin, dans la salle de l’association Étoile Croix-du-Sud, 60 enfants des centres de loisirs (Croix-du-Sud, Watteau et Billard) et 335 scolaires (Billard, Blanche-Cavarrot, Franchet-d’Esperey, Galilée, Gilberte-Droit, Hippodrome, Institut Michel-Fandre, Joliot-Curie, Provençaux), ont écouté des contes, des saynettes ou des histoires à message, comme par exemple l’adaptation d’un livre en théâtre par le groupe de bénévoles « Au fil des mots ».
Union070712c - Locales - Reims
La médiathèque Croix-Rouge sera ouverte tout l’été à ses horaires habituels.
Jeudi 21 juillet à 10 heures, salle de l’heure du conte, « L’heure des bébés » , un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents. Renseignements et inscriptions en secteur Jeunesse.
Création d’affiches
Jeudi 19 et vendredi 20 juillet, mercredi 25 et jeudi 26 juillet et mercredi 1er et jeudi 2 août, de 14 h 30 à 16 h 30, « Les mots s’affichent » dans un atelier de création d’affiches par Nicole Pérignon plasticienne-typographe et Anne Mulpas, écrivain, pour tous, à partir de 7 ans. « Cet été, les mots ont le visage de mon quartier. Ils en dessinent les paysages urbains, les rencontres, les flâneries, le quotidien. Ils se baladent à pied, en sandales et pataugent dans les couleurs. Chaque participant écrit et conçoit son affiche par le dessin, le collage, la peinture. »
Dans ce projet proposé par le collectif Odyliade et soutenu par le Contrat urbain de cohésion sociale, Nicole Pérignon et Anne Mulpas guident les participants dans l’image des mots.
Les affiches réalisées seront exposées à la médiathèque du 30 août au 8 septembre.
Union070712b - Locales - Reims
Le terrain multisports sera en accès libre à l’entrée de Georges Hébert.
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100 tonnes de sable utilisées pour la rénovation de la patinoire Barot.
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Pas de vacances pour les structures sportives rémoises. C’est en effet aujourd’hui que doit être inauguré le nouveau terrain multisports dans le quartier Orgeval. Demain, ce sera au tour de la patinoire Barot rénovée d’être présentée.
D’un coût d’environ 140.000 euros, le terrain multisports sera en accès libre à l’entrée du stade Georges-Hébert. Il permettra la pratique de sports collectifs comme le football à 7, le basket, le hand ou le volley. Le terrain en gazon synthétique de 28 mètres sur 14 sera entouré de palissades métalliques de 3 mètres et d’un filet pare-ballons sur deux mètres soit une clôture d’une hauteur totale de 5 mètres. Un éclairage programmable permettra aux habitants du quartier de profiter de cette strcuture à toute heure et en toutes saisons.
À noter qu’une clôture périphérique sera installée afin d’interdire l’accès au stade Georges-Hébert lorsque celui-ci est fermé.
Autre structure « nouvelle » présentée, demain cette fois, la patinoire Barot. 322.400 € ont été consacrés par la Rems (Régie des équipements municipaux sportifs) à la réfection complète de la piste, au remplacement du système de production de froid et à la rénovation complète des rambardes du tour de piste aux normes des fédérations.
Ouverte en 1994 et destiné exclusivement aux clubs sportifs et scolaires, la patinoire Barot était en travaux depuis le 13 mai dernier. Les clubs découvriront leur nouveau bijou dès le 16 juillet pour le patinage de vitesse et à la mi-août pour l’ensemble des autres clubs rémois.
Pour plus d’informations sur le RAP (Reims ACRAP Patinage), consultez son site :
Union070712a - Locales - Reims
Beaucoup d’interrogations chez les habitants.
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La rencontre organisée par le maire avec les habitants de Croix-Rouge pour la présentation du projet de renouvellement urbain des années 2008 à 2011 a été l’occasion d’une longue séance de questions-réponses, preuve d’une inquiétude certaine. Les réponses de Jean-Louis Schneiter (JLS), Patrick Baudet (PB) pour Reims habitat, Alain Nicole (AN) pour l’Effort rémois et Christophe Villers (CV) pour le Foyer rémois.
Conséquences des travaux du tramway sur le commerce :
JLS : « Un fonds d’indemnisation pourrait être créé » .
Les trois organismes logeurs respecteront-ils la directive gouvernementale d’une augmentation maximum des loyers de 1,8 % ?
PB.CV. : « Ce sont les conseils de surveillance qui décident, au sein desquels figurent les associations du quartier ! 1,8 % , c’est une simple recommandation pour un loyer moyen, ce n’est pas une obligation, il faut un équilibre ».
Quelle augmentation des loyers ?
PB : « Il y aura effectivement une augmentation des impôts, sauf aux Polygones. On fait le chiffrage des opérations. »
AN : « A Croix-du-Sud, on en discutera avec les locataires » .
Quelle répercussion sur les impôts locaux ?
JLS : « Ce sont les services fiscaux qui fixent les assiettes locales de calcul, pas le maire. Allez voir les parlementaires que vous avez élus ».
Les tuyauteries souterraines sont hors service. Quelle rénovation pour le chauffage ?
JLS : « La thermographie aérienne nous a aidés à cerner ces problèmes. J’ai demandé à la Soccram de me faire des propositions de révision. Si ces propositions ne sont pas convenables, la ville engagera une action judiciaire. »
A-t-on pensé aux personnes à mobilité réduite ?
Les trois organismes logeurs rassurent : « On a pensé aux accès aux halls et aux cheminements ascenseurs et nous avons une demande croissante d’aménagements intérieurs de logements. »
Des beaux quartiers, c’est bien, mais la sécurité ? Des voyous font la loi, il y a des incendies partout. On va augmenter les loyers et les impôts locaux, en même temps, il n’y a plus de sécurité et on a peur de sortir de chez soi.
JLS : « Les immeubles neufs seront sérieusement sécurisés. Dans la rue, la police municipale fait des rondes mais elle a, comme la police nationale, un effectif insuffisant.
La solution passe par les CUCS, contrats urbains de cohésion sociale qui remplacent le contrat de ville. Pour la sécurité, nous comptons sur les idées des associations : allez les voir. Les dossiers sont à déposer auprès de M. El MCherfi. Je suis prêt à prendre toutes les idées dans ce domaine » .
Avez-vous une idée du chiffrage de toutes ces opérations ?
JLS : « En millions d’euros : 99 pour l’habitat, 12 pour les aménagements, 8 pour les commerces et l’activité économique, 3 pour les équipements et 1 pour l’ingénierie, soit au total 123 millions d’euros, dont 31,4 financés par l’état. »
Sur tous les secteurs, les espaces verts libres (terrains de foot libres, terrains de basket libres, ..) sont grignotés ou vont disparaître pour les voiries et les constructions. Il n’y a plus rien pour les jeunes : conséquence, ils squattent les halls d’immeubles. Même constat de grignotage pour les parkings.
JLS : « On vient d’inaugurer un terrain multisports à Croix-du-Sud » .
Michel Guillaudeau, conseiller municipal communiste, n’a compté que 95 logements sociaux à construire à Croix-Rouge pour 195 annoncés : « C’est que les autres seront construits dans l’agglomération, hors de Croix-Rouge » . Par ailleurs, un simple calcul avec le patrimoine d’origine, le nombre de démolitions, le nombre de constructions et le nombre de réhabilitations et (ou) résidentialisations montre que 63 % des logements de Croix-Rouge resteront en l’état.
Claude Lamblin, ancien maire communiste de Reims, s’est inquiété : « Quelle sera la réhabilitation des logements actuels occupés par la population du quartier ? Aucun de vous ne parle de l’intérieur des logements. Au bout de trente ans, les locataires ne méritent-ils pas des logements définition-2007, avec une autre cuisine, une autre salle de bain ? Enfin, parlons de la résidentialisation. Qui dit changement de structure dit changement de loyer. Et le maintien de la population de Croix-Rouge dans tout cela ? Voulez-vous faire fuir une partie de la population ? Voulez-vous une mutation de population ? Il faut que les habitants de Croix-Rouge puissent y rester ! » (applaudissements).
Christophe Villers : « C’est tout à fait dans nos intentions. »
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Union070711e - Locales - Reims
C’est un Reims Atlas revigoré (2e dans la troisième série, groupe B du District Marne de football) qui vient d’effectuer un séjour à Bruxelles.
Un déplacement ponctué par une rencontre de foot, une visite de monuments mais aussi une soirée à thèmes.
« C’est une tradition chez nous : Atlas organise tous les ans une sortie ; et l’année dernière, c’était à Berlin lors du Mondial. Ce que nous voulons mettre en valeur, c’est l’entraide, la convivialité, l’échange… », confie Hichem Boussoufi, président du Reims Atlas.
Union070711e - Locales - Reims
Des questions-réponses, principalement animées par les élus de l’opposition et suivies intensément par les 200 habitants réunis salle Mauriac.
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Dernier sujet, et pas des moindres, abordé par le maire de Reims venu présenter aux habitants le projet de réhabilitation urbaine de Croix-Rouge pour les années 2008 à 2001 : le devenir de l’hippodrome.
Fabrice Lopez (Club 47) : « Vous aviez promis, il y a quelques années, un poumon vert sur l’hippodrome ».
Jean-Louis Schneiter : « L’hippodrome est vétuste. Il ne peut plus fonctionner que deux ou trois ans. Après, il faudrait une réhabilitation aux conséquences importantes et la ville n’a pas les capacités financières de refaire un hippodrome qui lui coûterait trop cher. La solution ? Vendons des terrains le long des avenues Robert-Schuman et d’Épernay pour équilibrer financièrement cette opération : plus on construira le long de ces voies, plus on ouvrira le parc de l’hippodrome vers Croix-Rouge. Je vous livre le fond de ma pensée, c’est une idée qui chemine lentement : on va créer 8 hectares de verdure là où il n’y en a pas et sur un terrain qui est fermé. »
Martine Massart (association MUTES) : « Pourtant, le maire de Bezannes nous a présenté lui-même le projet d’un hippodrome sur sa commune ».
Jean-Pierre Belfie (maire de Bezannes) : « Nous faisons des projets, ce n’est pas pour autant que c’est voté ! Mais enfin, que préférez-vous : 16 hectares fermés sur lesquels vous ne pouvez pénétrer qu’une vingtaine de fois par an en payant, ou bien 6 hectares sur lesquels vous pourrez aller tous les jours gratuitement ? »
Michel Guillaudeau (conseil ler municipal communiste) : « Un nouvel hippodrome est déjà décidé par Reims Métropole à Bezannes.
Je crains que ce soit la ville de Reims qui finance le transfert en lieu et place de Reims Métropole. »
J-L.S. : « Rien n’est encore décidé, nous sommes en phase exploratoire ».
Claude Lamblin (ancien maire communiste de Reims) : « Des logements, mais quels logements ? Des logements clos avec des jardins privatifs clos. Je redoute une ségrégation dont seront victimes les habitants de Croix-Rouge ! Il n’y aura pas de mixité sociale sur les logements de l’hippodrome, je le crains. On ne peut pas remodeler un tel quartier sur des critères de rentabilité et d’équilibre ! »
Jean-Louis Scheiter : « Il y aura forcément les deux, dont du social ».
Éric Quénard (conseiller municipal socialiste) : « Croix-Rouge est déjà très dense. Pourquoi le redensifier encore plus ? Il y a un seuil à ne pas dépasser : 900 logements de plus, cela ne me semble pas une bonne option ».
Claude Lamblin : « Pourquoi empiéter sur des zones déjà largement urbanisées ? Il faut imaginer pour Reims une densification globale : au lieu de grignoter sur l’hippodrome, vous pouvez aménager sur les pourtours de la ville de Reims ! »
Jean-Louis Schneiter : « Mais je le rappelle, rien n’est décidé : je reviendrai voir les habitants à ce sujet pour une consultation ».
Jean-Claude Laval (conseiller municipal socialiste) : « Je crains que l’influence des promoteurs privés n’influence fortement les décisions futures du maire… »
Jean-Louis Schneiter, irrité : « Vous écoutez mais vous ne comprenez rien : on n’est pas là pour que les élus fassent des effets de manche ! »
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Union070711d - Locales - Reims
Stéphane Lempereur aura passé près de douze ans à Croix-Rouge.
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Une réorganisation du personnel des agences a été décidée à l’Effort rémois.
Emmanuel Picardat, en poste à Châtillons, est nommé à Croix-Rouge (3400 logements), sur le poste de Stéphane Lempereur.
Celui-ci va prendre en charge la gestion du patrimoine « centre » (4500 logements) au siège, rue Marie-Stuart, succédant à Mme Lefèvre, qui occupera le poste des Châtillons.
Tous les locataires vont recevoir un courrier d’information et, pendant une courte période d’adaptation, MM. Picardat et Lempereur travailleront ensemble.
Figure bien connue dans le quartier, Stéphane Lempereur y aura passé six ans comme agent relations-locataires puis cinq ans et demi comme responsable du secteur Croix-du-Sud.
« J’ai toujours tâché d’être très terrain » explique-t-il : « l’erreur aurait été de refermer l’agence sur elle-même : l’accessibilité doit permettre à tous les locataires de trouver une réponse rapide à leurs problèmes, notamment pour les petites réparations. Pour les autres travaux, plus longs à mettre en place, un bon dialogue permet aux locataires de tolérer une échelle de temps raisonnable. »
De leurs côtés, les associations tirent un bilan réservé :
« Sur le plan relationnel, M. Lempereur a toujours été aimable et charmant » déclare Danielle Bonfils, présidente de l’association des locataires At’Home (secteurs Gandon-Simon). « Mais nous sommes toujours en attente de réclamations faites depuis de nombreux mois ».
« La collaboration de l’association des Polygones avec M. Lempereur n’a pas toujours été facile » confirme Geneviève Kaczowka, présidente de l’association : « Toutefois, nous avons réussi, à force de persévérance à obtenir des visites régulières sur le site, suivies de travaux de mise aux normes, de réhabilitation et d’embellissement du quartier.
Ce fut laborieux mais les résultats sont satisfaisants. »
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Les futurs champions de l’école de tennis du TCGA.
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Passage des balles pour les jeunes de l’école de tennis du Tennis-club Géo-André.
Ont reçu la balle blanche : Axelle Bieri, Ilya Ponsin et Perrine Ravou.
Ont reçu la balle jaune : Nathan Bieri, Aurélien Jacques et Perrine Ravou.
Ont reçu la balle orange : Opale Boury, Sébastien Feneuil, Alexis Lamalle et Kevin Tassin.
Ont reçu la balle verte : Richard Bassette, Paul Boury et Maxime Ledieu.
Ont reçu la balle rouge : Elise Barthelme, Paul Boury, Lucien Brochet, Grégoire Perseval et Lucie Renard.
Union070711b - Locales - Reims
Espoirs d’Afrique et Croix-Rouge ont été les finalistes de cette cinquième édition.
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Fin des Rencon’Estivales 2007.
Cette compétition, destinée aux quartiers rémois, a rassemblé samedi et dimanche autour du ballon rond plus de 150 jeunes au complexe sportif de Géo-André. Espoirs d’Afrique, Maghrébine, Wilson, Chalet-Tunisie, Orgeval, Croix du Sud, Croix-Rouge : telles étaient les équipes qui ont qui participé à ces différents duels bon enfant. La finale a vu la victoire de Croix-Rouge face à Espoirs d’Afrique (3-1).
« Nos prévisions sont bonnes : toutes les équipes ont répondu à l’appel. Une pareille manifestation permet aux jeunes de sortir de leur cadre habituel. Ici, ils ont à la fois la possibilité de profiter des installations et de s’épanouir. On veut montrer que quartier ne veut pas dire violence », confient Ali Boukhedoumi et Joseph Cakpo, organisateurs.
L’opération sera renouvelée l’année prochaine : avec des formules plus adaptées à l’ensemble des équipes participantes.
Union070711a - Locales - Reims
Lecteurs, conteurs et comédiens amateurs : tous passionnés !
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« Ce soir, nous présentons au public l’ensemble des ateliers, pour valoriser le travail de tous les comédiens. Nous sommes partis sur de petits spectacles, facilement intégrables à des événements ou manifestations, à partir de contes, lectures et poésies ». Claire Deborde, comédienne a animé des stages, dans le cadre du projet « Histoire de dire » porté par la maison de Quartier Croix-Rouge, en partenariat avec le « Réseau spectacle vivant ».
Rencontre conviviale, ce mardi 3 juillet au Ludoval, avec un public familial : « J’insiste sur le mot rencontre, parce que c’est l’occasion, pour les acteurs et le public, de faire connaissance et de découvrir des personnes qu’ils n’auraient peut-être pas été amenés à côtoyer et de chasser certaines idées reçues », explique à l’auditoire Catherine Pierrejean, coordinatrice du projet.
Il faut en effet préciser que les acteurs viennent de différentes associations ou structures de Reims, dont le Foyer Thibierge et l’Institut Michel-Fandre.
Comédiens valides et handicapés sont donc réunis, tous animés par la même passion des mots et des histoires. « Notre ambition est bien sûr de distraire et de glisser, à l’occasion, au travers des textes, des messages qui nous semblent importants », ajoute-t-elle.
Orama joue du djembé. Elle va se produire dans Saraba, un conte africain, avec Florence, son éducatrice. Ravie, la fillette confie, tout sourire : « J’aime bien les applaudissements ! » Ce soir-là, ils n’ont pas manqué de récompenser tous ces artistes amateurs, qui ont su, avec leur cœur et leurs mots, faire passer beaucoup d’émotion, et, pourquoi pas, donner envie de les rejoindre !
Union070711aa - Locales - Reims
Un jeune homme d’une vingtaine d’années qui avait manifestement abusé de la boisson a été interpellé mardi vers 2 heures et demi pour avoir endommagé la porte d’un hall d’immeuble dans la rue des Tourangeaux (Croix-Rouge).
Union070710c - Locales - Reims
Le patrimoine vieillit mal.
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« Quand des locataires se plaignent de la présence de moisissures et d’humidité dans leur logement, nous avons constaté que la réponse classique de l’Effort rémois est « vous n’aérez pas suffisamment ! » regrette Geneviève Kaczowka, présidente de l’association « Les Polygones » : « Il ne vient à l’esprit de personne que le patrimoine est vieillissant, que des fissures importantes apparaissent au fur et à mesure des années, d’autant plus que les murs extérieurs sont recouverts d’une mosaïque qui vieillit mal et que l’entretien des terrasses, des balcons et des façades n’est jamais fait à l’exception de colmatages partiels inefficaces ! »
Ces logements, construits entre 1975 et 1977 ont perdu leurs qualités d’étanchéité et n’ont pas non plus celles requises aujourd’hui en matière d’économie de chauffage : « ils devraient être entièrement réhabilités en supprimant cette mosaïque qui se fissure pour la remplacer par des panneaux entiers ! »
Mauvaise nouvelle : lors de la rencontre entre le maire, les organismes logeurs et les habitants sur l’avenir du quartier, il a été précisé à Mme Kaczowka que les Polygones ne faisaient pas partie du plan de réhabilitation de l’Effort rémois !
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Le groupe As.Owido, très dynamique, a animé le concert.
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Le premier concert de l’été de la Maison de quartier Croix-Rouge s’est déroulé mercredi 4 juillet sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge : ce fut un concert rap avec As O Wi Do suivi de Marchands 2 Lyrics, deux groupes rémois qui ont animé le quartier, sur des installations préparées et sonorisées par l’espace Ethnic’s.
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Deux autres rendez-vous sont annoncés, dans la tradition du Festival Croix-Rouge s’affiche :
mercredi 11 juillet à partir de 18 heures, sur la pelouse Arago, concert avec les adhérents de l’atelier reggae de l’espace Ethnic’s et Sense Maya (salsa)
et mercredi 18 juillet à partir de 18 heures, sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, démonstrations de danses Hip Hop, africaines et orientales par les adhérents des ateliers de l’espace La Nacelle et une prestation d’Autentik Vibzz, compagnie de danse hip hop rémoise.
Ces concerts sont gratuits et ouverts à tous.
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Jeudi 21 juillet à 10 heures, à la médiathèque Croix-Rouge, « L’heure des bébés » propose un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.
Renseignements et inscriptions à la médiathèque Croix-Rouge.
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Au palais du Tau, les enfants sont appelés à dévoiler leur créativité.
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Pour les 12-16 ans. Le dispositif Reims Vital’Ado propose plus de 180 activités. Le mot d’ordre est « autonomie », les participants peuvent utiliser gratuitement le réseau T.U.R pour se rendre aux activités qu’ils ont choisies librement. A partir d’aujourd’hui, il est possible de compléter son programme d’activité en se rendant, sans rendez-vous, au centre.
Situé 3, rue des Orphelins.
Ouvert du lundi au vendredi, de 10 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 jusqu’au 22 août.
N° vert : 0 800 506 956
Pour les 4-11 ans. Dispositif complémentaire de Reims Vital’Ado, Ludosport s’adresse aux plus jeunes. Ici, l’accent est mis sur la souplesse. Des activités sportives sont organisées sur différents sites, la participation est gratuite et il n’est pas nécessaire de faire une réservation. Il suffit de montrer à l’éducateur une fiche d’autorisation parentale remplie avec photo, disponible à la mairie et dans les antennes municipales.
N° vert : 0 800 506 956
Ouvert aux jeunes de 4 à 17 ans du 1er au 30 août. Les inscriptions se font à la semaine, en journée complète de 9 heures à 17 h 30 avec prise en charge du repas du midi. Au programme activités multisports, mais aussi ateliers créatifs.
Inscription auprès de l’association sportive de l’université de Reims. R.U.C : chemin Rouliers, tél. : 03.26.82.50.99.
S’appuyer sur le patrimoine pour développer sa créativité, tel est l’objectif du programme que propose l’Atelier du patrimoine situé dans l’Ancien collège des Jésuites. Du 20 au 24 août, l’après-midi de 14 à 17 heures, les jeunes de 12 ans et plus pourront s’exercer à l’art de la taille sur pierre. Du 27 au 31 août, même tranche horaire, un atelier photo s’appuyant sur les détails architecturaux de la basilique Saint-Remi sera proposé à jeunes de plus de 10 ans.
Ancien collège des Jésuites : 1, place Museaux
Réservation au 03.26.82.39.26.
Là encore, le patrimoine rémois est à l’honneur. Le palais du Tau organise durant les mois de juillet et août des ateliers pédagogiques à destination des 5-12 ans. Pendant deux heures, les enfants seront amenés à découvrir le musée, puis à développer leur créativité en concevant différents objets d’art en rapport avec la visite.
Une séance : 7 euros.
L’après-midi de 14 h 30 à 16 h 30.
Les mardis 10 et 17 et les jeudis 12 et 19 juillet.
Palais du Tau : 2, place du cardinal Luçon.
Une grande variété de spectacles et d’ateliers dans les deux médiathèques rémoises. À noter tout particulièrement, le cycle d’animation « JapAnime », à l’occasion de l’expo « Manga ! » organisée à la médiathèque Croix-Rouge jusqu’au 25 août. Au programme projection de films d’animations et ateliers dessin. Pour le reste de l’été, ne pas oublier la venue régulière de conteurs pour enfants et les autres ateliers de création.
Médiathèque Jean-Falala : 03.26.35.68.00.
Médiathèque Croix-Rouge : 03.26.35.68.40.
Beaucoup de choses du côté des maisons de quartier. De nombreuses sorties, s’adressant aux jeunes mais aussi aux familles, sont organisées (notamment « Espace Billard » : journée à la mer au Tréport le samedi 21 juillet, « Verrerie » : sortie à Calais le 10 juillet, « Jean-Jaurès » : journée au lac du Der le 13 juillet). En parallèle, tout au long de l’été, différentes activités sont proposées aux jeunes de tous âges (danse, artisanat, sport, piscine, pique-nique…). N’hésitez pas à allez vous renseigner auprès de votre maison de quartier.
Tél. : 03.26.35.32.50.
Du 4 juillet au 31 août, la caisse des écoles propose aux enfants de passer leurs journées dans trois centres de loisirs : « La Muire » (3-6 ans), « La Rosière » à Villers-Allerand (6-9 ans, ramassage en bus assuré depuis Reims), « Moulin Huon » (10-13 ans). De nombreuses activités et sorties, adaptées aux différentes tranches d’âge, sont proposées.
Les tarifs sont établis en fonction des revenus déclarés des parents.
Tél. : 03.26.88.74.55.
« Les vacances doivent faire partie intégrante de l’éducation, au même titre que l’école » affirme un des participants. Tout le monde, ou presque, était d’accord sur ce point, jeudi dernier, lors du café débat organisé par la mairie à la Cartonnerie. Le thème retenu était « l’évolution des pratiques de loisirs des jeunes pendant leurs vacances ».
Cette rencontre s’inscrit à la suite du « Forum des acteurs du temps libre de la jeunesse » qui s’est tenu l’an dernier. L’objectif est d’adapter l’offre de loisirs « pour mieux répondre aux attentes des jeunes rémois » explique l’adjoint au maire à la culture et président de la Cartonnerie, Mario Rossi.
3 millions d’enfants ne partent pas en vacances, 50 % n’osent pas le dire à leurs amis, de moins en moins de ménages aidés pour les départs… Les données sont accablantes. Alors, les vacances, grande cause sociale ? Assurément pour Jacques Chauvin, chargé de mission à la Ligue de l’enseignement et intervenant jeudi dernier.
Au final un plaidoyer pour la « colo », trop souvent caricaturée qui est pourtant un vecteur important de départ en vacances, lieu de mixité sociale et d’autonomie pour les jeunes.
Prochain café débat en octobre, sur le thème de « l’accès aux loisirs pour les jeunes handicapés ».
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Jeudi 19 et vendredi 20 juillet, mercredi 25 et jeudi 26 juillet et mercredi 1er et jeudi 2 août, de 14 h 30 à 16 h 30, « Les mots s’affichent » à la médiathèque Croix-Rouge dans un atelier de création d’affiches par Nicole Pérignon plasticienne-typographe et Anne Mulpas, écrivain, pour tous, à partir de 7 ans.
« Cet été, les mots ont le visage de mon quartier. Ils en dessinent les paysages urbains, les rencontres, les flâneries, le quotidien. Ils se baladent à pied, en sandales et pataugent dans les couleurs. Chaque participant écrit et conçoit son affiche par le dessin, le collage, la peinture. »
Dans ce projet proposé par le collectif Odyliade et soutenu par le Contrat urbain de cohésion sociale, Nicole Pérignon et Anne Mulpas guident les participants dans l’image des mots.
Les affiches réalisées seront exposées à la médiathèque du 30 août au 8 septembre.
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La finaliste malheureuse Perrine Gosse (Soissons).
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Pour sa 18e édition, l’Open du TC Géo-André demeure une épreuve majeure puisqu’elle a encore rassemblé 331 participants ! Le tournoi jeunes (dont les résultats seront publiés prochainement) a culminé à 146 inscrits contre 116 l’an passé alors que les adultes ont connu une légère baisse en passant de 210 en 2006 à 185 cette année.
De quoi toutefois proposer de beaux tableaux disputés à souhait à commencer par le masculin où les demi-finales se sont apparentées à un match Cormontreuil - Saint-Dizier qui, contre toute attente, a tourné en faveur des Haut-Marnais.
Car, si la victoire de l’ex - 4/6 du CTC, Mickaël Sicco (- 2/6, Cosd) n’a rien d’illogique contre Benjamin Pilliet (- 2/6, CTC), le succès de Nicolas Vinel (1/6, Cosd) aux dépens du seul - 4/6 engagé Jean-Charles Robert (CTC) est assurément la « perf » du week-end.
En finale, Mickaël Sicco s’est appuyé sur un service puissant pour diriger les débats et s’adjuger le premier set 6-4. Dans la foulée, il menait rapidement 3-0. La pluie stoppait alors la rencontre et Vinel, victime de crampes et surtout se sentant condamné, préférait abandonner. Pas forcément du goût du public et des organisateurs…
Pas de surprise en + 35 et + 45 ans, puisque les favoris Laurent Tacanowski (15, Bétheny) et Philippe Liégeois (15/3, Villers-Marmery) se sont respectivement imposés contre Philippe Genty (15/1, Bétheny) et la figure lo¬cale Philippe Huet (15/4, Géo André).
Le tableau féminin a été marqué par le forfait de la tenante du titre Valérie Menegatti (2/6, TC Sancéen). Amélia Simon, (2/6, Europe Club) l’a bien remplacée au pied levé mais a subi les foudres de la jeune (15 ans),.. ; et prometteuse Perrine Gosse (15, TC Soissons) qui a récidivé en demi-finales face à Emilie Gaillot (4/6, Europe Club) diminuée par l’accumulation de matches en trois sets, l’Axonaise subissait la loi de Laure Chardin (4/6, TC Sancéen) dans le set initial de la finale (6-2). Malgré quelques difficultés, l’Auboise sait ensuite respecter la supériorité de placement (6-4).
1/4 : Pilliet (- 2/6, Cormontreuil) bat Munier (5/6, La Ma¬cérienne) 6-3, 7-6 ; Sicco (- 2/6, Saint-Dizier) bat Gillet (3/6, Cormontreuil) 6-3, 6-0 ; Vinel (1/6, Saint-Dizier) bat Prat (3/6, TC Les Hauts-de-Nîmes) 6-2, 7-5 ; Robert (- 4/6, Cormon¬treuil) bat Sentissi (3/6, Europe Club) 6-1, 6-1.
1/2 : Sicco bat Pilliet 4-6, 6-4, 6-3 ; Vinel bat Robert 6-2, 3-6, 6-2.
Finale : Sicco bat Vinel 6-4, 3-0, abandon.
+ de 35 ans : 1/2 : Genty (15/1, Bétheny) bat Ujma (15/4, Taissy) 6-1, 6-1 ; Pacanowski (15, Bétheny) bat Thomas (15/1, ASCA Châlons) 6-1, 6-0 ; finale : Pacanowski bat Genty 6-2,
6-3.
+ de 45 ans : 1/2 : Huet (15/4, Géo André) bat Deberdt(15/5, ASCA Châlons) 6-3, 6-3 ; Liégeois (15/3, Villers-Mar¬mery) bat Jungmann (15/5, Géo André) 6-2, 6-4 ; finale : Liégeois bat Huet 6-2, 6-1.
DAMES
1/4 : Marine Groulez (4/6, ASPTT Châlons) bat Béatrice. ; Plodzien (15/1, TC Reims) 6-3, 6-0 ; Laure Chardin (4/6, TC Sancéen) bat Alexandra Mauroy (15, Soissons) 6-2, 6-1 ; Emilie Gaillot (4/6, Europe Club) bat Marion Gervais (15/1, La Macérienne) 6-4, 6-1 ; Perrine Gosse (15, Soissons) bat Amélie Simon (2/6, Europe Club) 1-6, 6-2, 6-1.
1/2 : Laure Chardin bat Marine Groulez 6-2, 6-1 ; Perrine, Gosse bat Emilie Gaillot 4-6, 6-3, 6-2.
Finale : Laure Chardin bat Perrine Gosse 6-2, 6-4.
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Les habitants n’ont pas perdu une miette des explications données.
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Au cours de la dernière rencontre organisée par le maire avec les habitants de Croix-Rouge pour la présentation du projet de renouvellement urbain des années 2008 à 2001, chaque directeur d’organisme HLM est venu présenter ses propres projets pour le secteur dont il est principalement responsable.
216 logements seront détruits dans les 5 à 6 ans (dont la tour déjà abattue), 225 logements seront construits, dont 52 « sociaux » et 275 logements seront réhabilités ou résidentialisés, 6.300 m2 d’activités économiques seront aménagés (bureaux, services,…).
« Reims habitat essaie de travailler sur le confort aussi bien des logements que des parkings, dont le grand G3 souterrain qui sera démoli, reconstruit et reconfiguré en matière de sécurité et de confort », a expliqué Patrick Baudet, de Reims Habitat.
Les trois directeurs HLM autour du maire : de gauche à droite, Alain Nicole (Effort rémois), Patrick Baudet (Reims habitat) et Christophe Villers (Foyer rémois).
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La tour du 60 Eisenhower sera rénovée dès cette année, l’appel d’offres est en finalisation pour l’étanchéité et l’isolation des façades.
Pour d’autres immeubles, il y aura retournement des entrées : entrées principales sur la rue Billard, entrées secondaires sur Eisenhower : « il faut « casser » cette grande place un peu vide et peu sécurisée ».
Confort encore avec un aménagement pour la collecte sélective avec des locaux adaptés.
Les nouveaux logements seront construits à l’angle Eisenhower — Taittinger avec, en rez-de-chaussée, des espaces professionnels et commerciaux dans la continuité de l’opération Burofac.
158 logements seront détruits (« 2 et 4 Bourguignons, 7 Limousins, sous toutes réserves »), 265 logements seront construits, dont 11 « sociaux », 530 logements seront réhabilités ou résidentialisés, 4.300 m2 d’activités économiques seront créés dans le virage Bonaparte après la poste (commerces existants réimplantés en rez-de-rue et offres nouvelles).
« Rien n’est encore décidé » a assuré la maire. Cependant le Foyer rémois va attaquer les travaux sur l’espace vert Arago, dans le virage Bonaparte.
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« 15 ascenseurs seront revus et mis aux normes chaque année (c’est déjà commencé), et en matière de réhabilitation, nous nous attacherons au confort intérieur : électricité, chauffage, plomberie, et au confort extérieur : enveloppes, façades, étanchéité, reprises des éclats de béton », a souligné Christophe Villers pour le Foyer Rémois.
Enfin, le stationnement sur les parkings sera retravaillé, avec des accès sécurisés entre les parkings et les entrées.
75 démolitions seront effectuées dès 2010, 75 nouveaux logements seront construits : 32 « sociaux » et 43 intermédiaires, dont de l’accession sociale à la propriété en bas de quartier surtout, 810 logements seront résidentialisés ou réhabilités (intérieur, chauffage, électricité, isolation de façades, pose de balcons en façade et même des vérandas dans certains appartements, tous les ascenseurs, soit 37 cabines, seront refaits dès cette année), 2.320 m2 d’activités économiques seront aménagés (commerces existants et offres nouvelles) avec repositionnement des parkings en front de quartier : « nous visons à terme une plus grande mixité sociale », précise Alain Nicole, responsable de l’Effort.
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070707b - Locales - Reims
Comment s’appelleront le centre commercial de l’hippodrome, l’école maternelle hippodrome, l’école élémentaire hippodrome, le laboratoire de l’hippodrome et la résidence de l’hippodrome quand celui-ci sera délocalisé à Bezannes ?
« Nous regrettons que des équipes qui s’inscrivent ne viennent pas, sans aucune explication. D’autres nous confirment leur participation la veille, mais ne viennent pas non plus » regrette M. Julliard, président de l’Acrap football-club : à cause de l’absence de certaines équipes, nous avons dû revoir sur place toute l’organisation de notre dernier tournoi : il manquait en effet 8 équipes débutants, 6 équipes poussins, 4 équipes benjamins, 2 équipes 13 ans, et 4 équipes vétérans ! »
Arnaud Robinet, conseiller municipal délégué, l’a dévoilé au cours de l’assemblée générale du Reims Acrap patinage : le nouveau gymnase Croix-Rouge, qui sera construit derrière le lycée Arago sur co- financement ville de Reims et région Champagne-Ardenne, portera le nom de Gymnase Jean-Jacques Lapique, « en hommage à la partie importante de sa vie que cet homme a consacrée à l’Acrap et au Rap et à toute son action pour le sport à Reims ».
C’était une innovation, une première : pour fêter la musique dans le secteur Croix-du-Sud, l’Effort rémois, en partenariat avec Mixstyle et l’IUT de Reims (Techniques de commercialisation), avait concocté une animation fort sympathique, un « 21 juin artistique », sur la place Georges-Braque, à 20 heures, avec les groupes Black Industrie (rap), BMX (flat), Sherifa Nadey (soul) et A So Wi Do (reggae danse hall), et un spectacle de break dance.
Union070706c - Locales - Reims
Renate Gossard a évolué dans toutes les structures rémoises qui se consacrent aux femmes.
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Renate Gossard, présidente de l’association des Panthères grises — France vient de créer avec ses amies, un atelier-conférence : « 3 F — Femmes d’hier, femmes d’aujourd’hui et femmes de tous pays ».
Elle explique : « Nos objectifs sont le bien-vivre et le bien-vieillir dans notre ville et nous agirons en faveur des femmes, qu’elles soient ou non des aînées et quelle que soit leur ethnie ».
Mme Gossard a évolué dans toutes les structures rémoises qui se consacrent aux femmes, et en particulier aux femmes âgées : « Il y a beaucoup de travail à faire ! » conclut-elle.
Elle a été séduite par les ateliers au féminin de l’espace Watteau où un important travail d’éducation est conduit en faveur de femmes « qui vivent dans un monde terrible et cruel ».
L’atelier-conférence se réunira le premier vendredi de chaque mois à partir d’octobre dans l’un des espaces de la maison de quartier Croix-Rouge.
Conquise par le travail réalisé par l’équipe de l’espace La Nacelle, c’est là qu’elle aimerait se poser, à proximité de la résidence Arfo, « pour donner des conférences sur la consommation, la santé, des conseils pratiques, la diététique, la façon de gérer sa vie… ». Renate Gossard a déjà contacté de nombreuses personnalités comme la célèbre journaliste et écrivain Claude Sarraute, pressentie pour être présidente d’honneur. Par ailleurs, un site Internet (« antirouille ») sera créé.
On peut prendre contact avec les 3F en téléphonant au 06.07.96.56.72.
Union070706c - Locales - Reims
Aujourd’hui l’association est revenue dans ses anciens locaux remis en état.
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« L’Association Étoile Croix-du-Sud a connu une période difficile suite à l’incendie de novembre 2005 : tout a été détruit ; bénévoles et salariés ont dû travailler des mois durant sans matériel, sans documents, dans des locaux inadaptés.
Aujourd’hui l’association est revenue dans ses anciens locaux remis en état. Beaucoup d’efforts sont déployés par les bénévoles de l’association pour développer les activités et en ouvrir de nouvelles.
Dans le domaine sportif c’est le cas avec la création d’une activité pétanque qui rassemble déjà 30 adhérents », expliquait le conseiller municipal communiste Michel Guillaudeau au cours du dernier conseil municipal : « Dans cette situation de redémarrage de l’association, je m’étonne de la faiblesse des montants proposés par la municipalité : 1.500 euros de subvention de fonctionnement pour une demande de 2.372 euros alors que les années précédentes la subvention était de 2.000 euros ; 1.000 euros de subvention exceptionnelle pour une demande de 2.500 euros, alors que la moyenne des années antérieures est de 4 à 5.000 euros. »
Monique Nassau, adjointe aux sports a fourni une explication officielle : « L’association faisait du football et n’en fait plus. Nous avons tenu compte de cette situation particulière dans la détermination des sommes proposées. »
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Une cérémonie amicale s’est déroulée mardi au collège Joliot-Curie à l’occasion du départ à la retraite de Nadine Panel, professeur de lettres classiques (français et latin) et de Maryse Gallet, professeur d’anglais, qui ont enseigné toutes deux 17 ans dans cet établissement de Pays-de-France, classé « ambition réussite » en zone d’éducation prioritaire.
Le principal Philippe Lhuillier a associé à cet hommage les autres membres de la communauté éducative qui font l’objet d’une mutation.
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La Soissonnaise Perrine Gosse espère prendre place dans le dernier carré du « grand tableau ». Jean-Marie CHAMPAGNE
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Si le tournoi du TC Géo-André Reims est véritablement « majeur » avec sa 18e édition qui se joue jusqu’à dimanche, cet Open ouvert des 9 aux + 45 ans n’en a pas moins fait encore plus de place aux jeunes, 146 cette année contre 118 l’an passé ou 100 en 2005.
Les petits se rapprochent donc de plus en plus des grands, d’autant que la participation est en baisse en quantité comme en qualité chez les adultes.
Dans le tableau messieurs, la succession de Cyril Baudin (- 30, Europe Reims) sera tout de même assurée dignement.
Avec Jean-Charles Robert (- 4/6, Cormontreuil TC), qui a justement perfé contre l’« Européen » en avril à Châlons.
Ou avec l’un des deux – 2/6 : l’autre Cormontreuillois Benjamin Pilliet ou l’ex Cormontreuillois et – 4/6 Mickäel Sicco (CO Saint-Dizier / TC Bragard), lequel perfe également jusqu’à – 30 et ne s’était incliné qu’en deux manches serrées (6-7, 4-6) face à Cyril Baudin l’année dernière en finale.
A défaut de 0, l’ultime place dans le carré d’as devrait revenir à l’unique 1/6… qui perfe à – 2/6, Nicolas Vinel, à bonne école avec Mickaël Sicco au COSD / TCB.
Si les 2/6 ne sont pas de la partie non plus, les 3/6 ne manquent en revanche pas.
A commencer par les locaux Vincent Betbèze, Arnaud Pignon et… Grégory Prat, licencié au TC Les Hauts-de-Nîmes mais pensionnaire du centre de formation de Géo-André, lequel a déjà perfé à 1/6.
Et à continuer avec Nicolas Gillet (CTC) et Jade Sentissi (Europe), qui perfe aussi à 1/6. Dans le tableau dames, la Rémoise de l’Aube Valérie Menegatti (2/6, Saint-Julien-les-Villas) défend son bien.
Sortie victorieuse parmi trois 3/6 l’an passé, l’ancienne 0 doit cette fois compter avec trois 4/6 : Marine Groulez (ASPTT Châlons), laquelle vient de perfer à 2/6, Emilie Gaillot (Europe) et Laure Chardin, qui perfe régulièrement à 2/6… mais pas contre sa camarade de club Valérie Menegatti.
Les autres principales outsiders sont deux et 15… et de Soissons : l’ex 4/6 Alexandra Mauroy et la jeune Perrine Gosse (15 ans), laquelle perfe jusqu’à 4/6.
Du côté des vétérans, les titres devraient se jouer entre Laurent Pacanowski (15, Bétheny) et les 15/1 Philippe Genty (Bétheny), Olivier Thomas (Asca Châlons) et Jean-Marc Visy (TC Reims) chez les plus de 35 ans ainsi qu’entre Philippe Liégeois (15/3, Villers-Marmery) et Philippe Huet (15/4, Géo-André) chez les plus de 45 ans.
Sébastien Hénot
Demain,
- 12 heures : finales 9/10 ans filles et garçons ;
- 14 heures : quarts de finale messieurs ;
- 17 heures : quarts de finale dames
dimanche,
- 9 heures : demi-finales dames ;
- 10 h 30 : demi-finales messieurs ;
- 13 heures : finales 11/12, 13 / 14 et 15 / 16 ans filles et garçons ;
- 14 heures : finales + 35 et + 45 ans messieurs ;
- 15 heures : finales dames et messieurs.
070705h Correspondant particulier
L’assemblée générale de l’association Multi Echanges Services ( MUTES ) s’est tenue le vendredi 22 juin 2007 à 18 heures dans la salle Billard.
070705g Correspondant particulier
La Brigade Power Flower
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Vendredi 22 juin à partir de 15 h 30, parade de la brigade de Power Flower dans le secteur Croix-du-Sud, de la place Georges-Braque à l’école Blanche Cavarrot.
C’est un évenement de prévention dans le cadre de la propreté du quartier, avec les collégiens de Georges-Braque, Reims habitat, l’Effort remois et le service départemental de prévention
Union070705f - Locales - Reims
Les habitants sont venus nombreux de tous les secteurs de Croix-Rouge.
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Événement d’importance, lundi 2 juillet, dans la salle municipale de l’avenue Mauriac, où plus de 200 habitants sont venus écouter le maire de Reims présenter le projet de renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge pour la période 2008 à 2011. « C’est la première fois que les trois directeurs des offices HLM sont présents ensemble avec le maire » faisait remarquer Jean-Louis Schneiter.
Tous les états-majors des bailleurs et de nombreux élus du quartier, de la ville, du département et de la région étaient dans la salle de même que les représentants des associations et en particulier celles chargées de la défense des locataires.
Après une présentation générale assurée sur écran par Eric Citerne et ses services (direction de l’urbanisme), chaque bailleur a été invité à présenter son projet de rénovation urbaine : Alain Nicole (Effort rémois) sur Croix-du-Sud, Christophe Villers (Foyer rémois) sur Pays-de-France et Patrick Baudet (Reims habitat) sur Eisenhower-Taittinger.
Ont suivi les nombreuses questions du public avant une intervention du maire sur le devenir de l’hippodrome, suivie d’une nouvelle batterie de questions-réponses.
Le maître mot de la réunion a été « rien n’est décidé », ce qui en a fait sourire plus d’un au vu des plans proposés, déjà fort élaborés.
L’architecte Roland Castro a donné une leçon d’urbanisme : « Ce quartier, en définitive, n’est pas très dense, mais il en donne l’impression car il est très mal architecturé. Enlever des bâtiments à certains endroits et en construire d’autres plus petits en premier plan permettra, en définitive, de dédensifier l’ensemble : c’est de l’art urbain. »
Sur l’ensemble du quartier, il est envisagé de démolir 449 logements (y compris la tour Taittinger déjà détruite) et d’en construire 565 nouveaux dont 195 « sociaux » (l’hippodrome ne fait pas partie de ces chiffres). En matière d’ancien, 1.615 logements seront réhabilités et 902 seront « résidentialisés ».
Dans le même temps, il y aura accélération de vente du patrimoine dans les trois sous-secteurs en 2010-2011. « Le but de cette opération est d’améliorer le quotidien des habitants » a précisé Jean-Louis Schneiter « avec, en même temps, un effort de création de surfaces consacrées au développement économique, n’oublions pas que nous sommes en zone franche urbaine : nous voulons stopper la désertification commerciale. Chaque secteur a son offre commerciale, on la garde ! ».
Les moyens de transport seront améliorés, avec un soin tout particulier en faveur des « déplacements doux » : pistes cyclables et voies piétonnes. Nous reviendrons dans les prochains jours sur chaque secteur avec les questions du public et les réponses des décideurs.
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Le public a ovationné les artistes
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Cheb Redouane a trouvé les mots qui touchent le public
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Le parking de l’hippodrome était noir de monde, jeunes et familles, vendredi 29 juin pour le grand concert nocturne programmé en guise de Festival Croix-Rouge s’affiche.
Après l’orchestre châlonnais Cocktail, au riche répertoire de variétés internationales, Cheb Redouane puis Cheb Abbes ont montré leur talent, accompagnés par un groupe composé spécialement par Abdel (espace Ethic’s de la maison de quartier Croix-Rouge) parmi les meilleurs joueurs de musique raï fusion : des heures de plaisir.
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Stéphanie Tadla, maître d’œuvre de « Sports de proximité ».
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Stéphanie Tadla, responsable du dispositif « Sports de proximité » à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, a livré le programme de cet été pour les 12 - 25 ans.
Futsal : Du lundi 9 juillet au vendredi 3 août, futsal au gymnase Joliot-Curie (sauf les mercredis). Inscriptions sur place par équipes de 5. De 15 heures à 16 h 45 : réservé aux 12/15 ans. De 17 heures à 18 h 45 : réservé aux 16/25 ans.
Basket-ball : Du lundi 9 juillet au vendredi 3 août, basket-ball de 15 à 18 heures, organisé par LudoSport au gymnase Léo-Borgniet.
Sport’Évasion : Mercredis 11, 18 et 25 juillet et 1er août : sorties sport’évasion, de 14 à 18 heures (piscine, accrobranche, équitation, lac du Der, …). Inscription à La Nacelle ou au gymnase Joliot-Curie.
Sorties VTT : Les mardis et vendredis : sorties VTT, du bitume à la verdure, de 14 à 17 heures. Inscription à La Nacelle ou au gymnase Joliot-Curie.
La forme : Les lundis et jeudis de 18 à 20 heures : remise en forme (18 à 25 ans). Rendez-vous à La Nacelle.
Activités gratuites, sauf Sport’Évasion (participation 1 euro).
Renseignements : Stéphanie Tadla, espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard (Tél. 03.26.49.47.07.).
Union070705c - Locales - Reims
La section pétanque de l’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours de doublettes dimanche 8 juillet sur le boulodrome Galilée, avenue Léon-Blum. Inscriptions à partir de 13 h 30, lancement du concours à 14 h 30.
Renseignements au secrétariat, tél. 03.26.06.56.66.
Union070705b - Locales - Reims
Jeudi 21 juillet à 10 heures, salle de l’heure du conte, « L’heure des bébés » à la médiathèque Croix-Rouge, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents.
Renseignements et inscriptions en secteur Jeunesse de la médiathèque.
Union070705a - Locales - Reims
Les Francas de la Marne ont organisé, du samedi 23 juin au lundi 2 juillet, un stage de base Bafa dans les locaux des structures du quartier Croix-Rouge.
« Il avait l’originalité de réunir pour moitié 15 jeunes des quartiers de Reims et Tinqueux dans le dispositif que nous appelons BAFA territoire et l’autre moitié 15 jeunes en stage dit « calendrier » (stage traditionnel) » précise Martine Enault, responsable de formation.
Les projets ont été vécus tantôt en parallèle, tantôt en commun, selon les objectifs du moment.
L’autre originalité est la journée supplémentaire offerte par les Francas : « Les jeunes du BAFA territoire se sont préparés à « accueillir en camping » et ont donc vécu montage de tente, organisation d’un camp et veillée au camping de Val-de-Vesle avant de clore le stage qui n’est qu’une première étape du processus Bafa qu’ils termineront à la Toussaint. »
Union070704d - Locales - Reims
La médiathèque Croix-Rouge sera ouverte tout l’été à ses horaires habituels.
Elle propose notamment :
Exposition :
Jusqu’au samedi 25 août, exposition « Manga ! ». Un panorama des principaux auteurs de mangas, d’ Osamu Tezuka à Jiro Taniguchi, en passant par Hayao Miyazaki, des principaux personnages comme Détective Conan, Dr Kenzo Tenma ou encore Lady Oscar ainsi que des grandes séries de Dragon Ball à Monster.
Atelier Mangas :
Mercredi 4, vendredi 6 et samedi 7 juillet, de 14 à 16 heures, des ateliers de découverte et d’initiation aux mangas seront animés par Dave Morel, intervenant de la maison de quartier Croix-Rouge : découverte des spécificités du dessin manga, reproduction et création de personnages (Pour tous, à partir de 12 ans).
Julie raconte :
Mercredi 4 juillet à 15 heures, salle de l’heure du conte, Julie raconte l’histoire d’une princesse qui usait trois cents souliers par nuit, extraite de contes polonais. Pour tous, à partir de 6 ans.
La ronde des albums :
Mercredi 18 juillet à 11 heures, dans la ronde des albums : les animaux de la ferme et de la campagne, pour les enfants de 4 à 6 ans.
Union070704c - Locales - Reims
Sous un autre nom, mais avec un objectif inchangé, l’Association télé centre Bernon, en partenariat avec la ville, renouvelle la manifestation « Un été au ciné/Cinéville », appelée désormais « Passeurs d’images ».
À cette occasion deux projections de films en plein air, gratuites, seront proposées au public.
La première aura lieu le jeudi 5 juillet à l’hippodrome.
La séance commencera à 22 h 30.
C’est le film « Trois enterrements » (2005) de Tommy Lee Jones (avec Tommy Lee Jones, Barry Pepper, Julio Cesar Cedillo, Dwight Yoakman, Melissa Leo, January Jones, Vanessa Bauche), qui sera proposé aux cinéphiles.
La seconde projection sera organisée le vendredi 6 juillet au stade Georges Hébert à la même heure.
À l’affiche « Les brigades du Tigre » (2006) de Jérôme Cornuau (avec Clovis Cornillac, Diane Kruger, Edouard Baer, Olivier Gourmet, Jacques Gamblin, Thierry Frémont, Gérard Jugnot).
L’entrée est gratuite.
Néanmoins, en cas d’intempérie cette manifestation sera annulée.
Hippodrome de Reims, 3, rue du Président Kennedy
et stade Georges Hébert, 25, rue Raymond Poincaré
Union070704b - Locales - Reims
Du 4 juillet au 24 août, vacances sportives gratuites pour les 4-11 ans avec la reprise de Ludosport.
Mis en place par la ville, Ludosport est un dispositif gratuit d’accès libre et sans réservation préalable.
Pour s’inscrire, remettre à l’éducateur la fiche d’autorisation parentale disponible à la mairie, dans les mairies annexes accompagnée d’une photo d’identité.
Si votre enfant est déjà inscrit à Ludosport ou à l’Usep le mercredi, il vous suffit de l’accompagner sur le site de son choix, muni de sa tenue de sport et de sa carte d’adhérent 2006-2007.
Matin : du lundi au vendredi de 9 h 30 à midi
pour les 4-5 ans et les 6-11 ans au gymnase Léo-Borgnier (Croix-Rouge), 4, rue Raoul-Dufy ;
pour les 6-11 ans au gymnase Europe, avenue de l’Europe ; pour les 4-5 ans et les 6-11 ans au gymnase Desbureaux, rue de Florence ;
pour les 6-11 ans à Tinqueux au centre équestre La Muire, avenue du 29-août-1944 ; pour les 6-11 ans au gymnase Richelieu (Val-de-Murigny) ;
pour les 6-11 ans au stade Saint-Symphorien : roller et roller hockey. Fermé le jeudi.
L’après-midi : du lundi au vendredi de 14 à 16 h 30
pour les 6-11 ans au gymnase Courcelles, 75, rue du Mont d’Arène ;
pour les 6-11 ans à l’école Paul Bert (Épinettes) rue Sidi-Bel-Abbès ;
pour les 6-11 ans au gymnase Prieur-de-la-Marne, 1, rue Xavier Dizy (Jean-Jaurès) ;
pour les 6-1 ans au gymnase Galliéni (Orgeval) ;
pour les 6-11 ans au gymnase Roux, chemin des Charbonniers (Wilson).
Croix rouge spécial glace :
du 5 au 13 juillet à la patinoire Bocquaine, 41, rue Chaussée-Bocquaine
et à la patinoire Jacques-Barrot du 16 juillet au 3 août.
Pour les 4-5 ans de 14 heures à 15 h 30 mini glace, initiation patinage ;
pour les 6-11 ans de 14 heures à 16 h 30 initiation patinage, patinage libre, matches de hockey et balai ballon.
Pour tous renseignements :
internet : www.monecole-reims.fr ou www.reims.fr
Renseignements téléphoniques au 0.800.506.956. Appel gratuit depuis un poste fixe.
Union070704a - Locales - Reims
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Hier vers 13 heures, appelés pour un feu dans un local vide-ordures allée des Picards (Croix rouge), ils sont tombés en réalité sur un fumigène.
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Un homme de 20 ans a frappé sa concubine rue des Savoyards, jeudi vers 22 h 30.
La victime a été transportée au centre hospitalier, l’auteur au commissariat central.
Union070702b - Locales - Reims
Comme annoncé lors de la dernière rencontre avec les habitants le 8 mars, le maire organise une nouvelle réunion publique lundi 2 juillet à 18 h 30, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
Au programme : « la présentation du projet de renouvellement urbain du quartier Croix-Rouge 2008 - 2011 ».
La chronologie des opérations de rénovation urbaine, a été décrite par Marie-Annnick Roger, premier adjoint :
« la réunion à l’Agence nationale de rénovation urbaine (Anru) à Paris a bien eu lieu et c’est le sous-préfet qui a défendu le projet avec le DDE. Le projet a été jugé très bon, seuls quelques ajustements devant être apportés. La phase suivante était une réunion technique des services de la ville de Reims avec les trois organismes logeurs : Reims-Habitat, Foyer rémois et Effort rémois. Puis le Maire devait aller lui-même défendre le projet ficelé à l’ANRU pour agrément, et maintenant, nous revenons devant les habitants du quartier. »
Union070702a - Locales - Reims
Attentifs et charmés, les enfants apprécient.
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Catherine Pierrejean, animatrice contes à la Maison de quartier Croix-Rouge (porteuse du projet en partenariat avec la Zone d’éducation prioritaire Croix-Rouge), a regroupé, dans l’opération « Rencontres en contes » près de 500 jeunes du quartier autour des contes.
Pour cette 9e édition, du mardi 26 au jeudi 28 juin, dans la salle de l’association Étoile Croix-du-Sud, 60 enfants des centres de loisirs (Croix-du-Sud, Watteau et Billard) et 335 scolaires (Billard, Blanche-Cavarrot, Franchet-d’Esperey, Galilée, Gilberte-Droit, Hippodrome, Institut Michel-Fandre, Joliot-Curie, Provençaux), ont écouté des contes, des saynettes ou des histoires à message, comme par exemple l’adaptation d’un livre en théâtre par le groupe de bénévoles « Au fil des mots ».
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Ce dimanche 1er juillet, à 15 h 30, se déroulera le spectacle de fin d’année de la section Danse rythmique, sportive et modern’jazz de l’Acrap, dans le théâtre de la Maison commune du Chemin-Vert.
Le nombre de places est limité.
Il est donc recommandé de réserver auprès du secrétariat Acrap, 11 avenue du président-Kennedy (téléphone numéro 03.26.06.39.54.).
Union0706 30b- Locales - Reims
Trois rendez-vous sont annoncés, dans la plus pure tradition du Festival, mêlant animations du quartier, professionnalisme et valorisation des talents du Quartier Croix-Rouge :
Mercredi 4 juillet à partir de 18 heures, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge : concert rap avec deux groupes rémois : Killah Concept et Twister.
Mercredi 11 juillet à partir de 18 heures, sur la pelouse Arago, concert avec les adhérents de l’atelier reggae de l’espace Ethnic’s et Sense Maya (salsa).
Mercredi 18 juillet à partir de 18 heures, sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, démonstrations de danses Hip Hop, africaines et orientales par les adhérents des ateliers de l’espace La Nacelle et une prestation d’Autentik Vibzz, compagnie de danse hip-hop rémoise.
Tous ces concerts sont gratuits et ouverts à tous.
Union070630a - Locales - Reims
Une bande de futurs médecins, chauffeur routier, avocat… tous exceptionnels.
Maxime Fleury |
Ils sont pas moins de 107 bons élèves à Georges-Braque. Tous ont reçu un diplôme du mérite dont ils sont fiers. Et qui fait toujours bien à ramener aux parents.
Younes Fatmi sera vétérinaire ou médecin,
Riwan Cheron sera médecin,
Ciriaco Giorgione n’a pas encore trouvé sa vocation,
Alexis Marins sera « avocat de l’accusation »,
les quatre compères de George-Braque ont obtenu un diplôme du mérite : « Ce sont surtout nos parents qui vont être contents ». En voilà déjà quatre qui sont certains de passer un été sans nuage.
En tout ils sont pas moins de 107 à avoir reçu le fameux diplôme et à avoir fait la fierté des professeurs.
Laurine Matsimouna bat tous les records avec un vertigineux 18,17 de moyenne. Elle n’aura pas perdu son temps dans ce collège de Croix-Rouge : « A la rentrée, j’intègre une section européenne à Jean-Jaurès ».Les vocations médicales semblent à nouveau dans l’air du temps chez les ados. Laurine a aussi attrapé le virus : « J’aimerais devenir chirurgienne ou médecin légiste ».
Samantha Bordes, élève de 3e, s’est notamment distinguée en participant au concours de la Licra. Elle est presque pressée de quitter le collège pour réaliser son rêve de toujours : « Je veux devenir chauffeur routier comme mon père. Depuis toute petite, je veux faire cela. Je suis souvent partie avec mon père pendant les vacances. Je serai la relève ». Avant de mettre le contact, Samantha va commencer par « un BEP CAP à Châlons. J’ai encore six ans d’études avant de pouvoir conduire ». Bientôt libre comme l’air sur les routes. Avec le diplôme du mérite pour décorer la cabine.
Rendez-vous lundi avec d’autres collégiens méritants.
C.F.
Union070629g - Locales - Reims
Le spectacle de fin d’année des élèves de la section « danse rythmique, sportive et modern’jazz » de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Céline Herter) aura lieu dimanche 1er juillet au théâtre de la Maison commune du Chemin-Vert à 15 h 30.
Dernière randonnée avant les vacances d’été, le dimanche 1er juillet aux étangs de Châtrice (Sainte-Ménéhould), 10 km, départ à 8 h 30 et retour vers 16 heures : espace Watteau, 3, allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.).
Le maire de Reims revient dans le quartier pour rencontrer à nouveau la population, le lundi 2 juillet à 18 h 30, dans la salle municipale Mauriac.
Sur le thème « Conscience européenne et lutte contre les discriminations », la Maison de quartier Croix-Rouge (espace Pays-de-France) et le service départemental de Prévention organisent, avec l’association polonaise Ecoeurowies à Walbrzych, un séjour en Pologne pour huit Rémois du quartier, du jeudi 5 au jeudi 12 juillet.
Le football-club ACRAP organise une journée détection (renseignements et découverte du club) mercredi 4 juillet, au complexe sportif Géo-André, de 14 à 18 heures.
Un concert rap gratuit avec les deux groupes rémois Killah Concept et Twister, sera offert mercredi 4 juillet à partir de 18 heures, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.
La municipalité organise une séance gratuite de cinéma en plein air jeudi 5 juillet à 22 h 30 à l’hippodrome de Reims, avec la projection de « Trois enterrements » de et avec Tommy Lee Jones en version française.
Un concert gratuit sera donné mercredi 11 juillet à partir de 18 heures sur la pelouse Arago par les adhérents de l’atelier reggae de l’espace Ethnic’s et le groupe Sense Maya (salsa).
Mercredi 18 juillet à partir de 18 heures, sur le parking du centre commercial de l’hippodrome : démonstrations de danses hip hop, africaines et orientales, par les adhérents des ateliers de l’espace La Nacelle avant une prestation d’Autentik Vibzz, compagnie de danse hip hop rémoise.
Union070629f - Locales - Reims
Plusieurs poubelles ont brûlé pendant la nuit de mercredi à jeudi, la première à 22 heures dans le local à vide-ordures du 3 allée Edgar-Degas,
……….
Union070629e - Locales - Reims
À l’issue de la phase club du challenge Trophée d’une grande banque au Tennis-club Géo-André, sont qualifiés pour la phase finale au Creps de Reims le 1er juillet les joueurs suivants :
9/10 ans : fille, Estelle Robert ; garçon, Louis Compas.
11/12 ans : fille, Alice Thierry ; garçon, Hugo Leick.
13/14 ans : fille, Camille Neff ; garçon, Alexis Lamalle.
Par ailleurs, deux filles du Tennis-club Géo-André disputeront le championnat de France Perrier :
- Claire-Hélène Génin en individuel et l’élève de Jean-Louis Batteux,
- Maeva Spooner (catégorie 10 ans) par équipe.
Union070629d - Locales - Reims
Jean-Marie Bouissou, spécialiste de la culture japonaise contemporaine.
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Samedi 30 juin à 14 h 30, Jean-Marie Bouissou, directeur de recherche au Centre d’études et de recherches internationales (CERI) de Sciences Po, et maître de conférence à l’IEP de Paris, donnera une conférence dans la salle d’exposition de la médiathèque Croix-Rouge, sur le thème « Le manga et la culture japonaise ».
M. Bouissou a publié de nombreux ouvrages sur l’histoire politique, économique et sociale du Japon depuis la guerre.
Depuis plusieurs années, il travaille aussi sur le manga et la culture japonaise contemporaine.
Union070629c - Locales - Reims
Geneviève Kaczowka et l’Effort rémois : « C’est le bras de fer ! »
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« A notre demande, Patrick Sommet, directeur Clientèle à l’Effort rémois, est enfin venu dans le secteur des Polygones, mardi 12 juin, pour constater des problèmes d’ascenseurs souvent en panne, de descente d’escalier au garage souterrain difficilement praticable et dans laquelle je suis tombée et d’importants autres désordres, objet de très nombreux mails et courriers », annonce Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de locataires « Les Polygones ». Des exemples.
Un couple avec quatre enfants en bas âge, au 6 rue Bernanos : leur logement aurait été livré sale, dégradé et comportant des désordres, facturation de remise en état complète de moquettes, WC bancal de 31 ans d’âge et au débit très faible, non remplacé, compteurs d’eau d’origine hors d’état, présence d’humidité et de moisissures, fissures de la façade extérieure et des balcons,…
Au 2, rue Bergson : humidité et moisissures très importantes dans l’appartement depuis quatre ans. « Les services sanitaires de la ville de Reims ont conclu à une humidité sur les façades extérieures exposées aux intempéries et donc relevant de la responsabilité du bailleur. Or ce dernier a demandé à la locataire de réaliser elle-même la réfection du plafond et des sols ! »
« Nous avons relevé un certain nombre d’anomalies et de dérives en matière de facturation aux locataires dont je demande régularisation : c’est le bras de fer ! Malgré les promesses, aucune déduction n’a été opérée sur les factures de loyers. Nous constatons trop souvent la difficulté pour l’Effort rémois de rectifier ses erreurs. Pourquoi les locataires doivent-ils attendre des mois avant que leur dû leur soit remboursé ? »
Du côté de l’Effort rémois, M. Sommet, directeur clientèle, n’apprécie pas les méthodes employées par la présidente. Il remarque : « J’ai noté que vous n’étiez pas toujours au courant des travaux réalisés » et il proteste : « Nous sommes allés ensemble sur le site des Polygones toute la matinée du 12 juin avec les personnes de l’Effort rémois qui ont apporté les réponses à toutes les questions que vous avez posées. Ces questions pour la plupart ont déjà fait l’objet d’innombrables appels téléphoniques, courriers, courriels,… qui eux-mêmes ont fait l’objet de réponses ou font l’objet de traitement en cours. Deux jours plus tard vous reposez les mêmes questions et vous laissez entendre à un grand nombre d’interlocuteurs extérieurs destinataires de vos courriels, que rien ne se fait : je ne peux accepter cette sempiternelle suspicion et les termes agressifs de vos écrits, à la limite du harcèlement, à l’égard de mes collaborateurs et de moi-même ».
Pour M. Sommet, l’Effort rémois travaille quotidiennement pour satisfaire ses clients-locataires et est très attentif à la qualité de service pour laquelle une démarche d’amélioration est actuellement engagée.
En conclusion, il invite la présidente à un « dialogue constructif ».
Union070629b - Locales - Reims
Les collégiens ont mis le don d’organes en chansons.
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Dans le cadre du projet d’études de onze élèves infirmières de l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), en collaboration avec l’agence de biomédecine, les élèves des classes de 5e 1, 5e 2, 3e 1 et 3e 2 ont participé à la Journée nationale du don d’organes vendredi 22 juin.
Devant un public très attentif, les élèves de 5e ont présenté des chansons qu’ils ont composées avec l’aide de Myriam Ranaivoson, professeur d’éducation musicale : « La musique du bonheur », « À mon donneur », « Aux trois vies », « le Rap des organes », « Octobre »,, « Pour faire mon bonheur ».
Les élèves de 3e, sous la houlette de Julie Bourgoin, professeur de biologie, ont présenté les résultats d’une enquête réalisée auprès d’adultes du collège et du quartier, ainsi que des panneaux expliquant les différentes greffes d’organes.
Moment fort de l’après-midi : le témoignage d’Élodie Camus, transplantée du cœur.
Mme Plessiez, formatrice à l’IFSI, et le docteur Reitter-Chenel, médecin au Centre hospitalier régional de Reims et membre de la coordination hospitalière des dons d’organes et de tissus, ont félicité les élèves pour la qualité des travaux réalisés et leur investissement dans cette opération. Elles ont conclu en rappelant que la jeunesse constituait un vecteur important d’information et de mobilisation pour le don d’organes.
Union070629a - Locales - Reims
Près de 150 personnes ont participé hier soir à l’AG de l’association.
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L’assemblée générale des maisons de quartier de Reims n’a pas apporté hier soir de réponses précises sur l’avenir des structures dans les quartiers.
JAMAIS sans doute l’assemblée générale de l’association des maisons de quartiers de Reims n’avait attiré autant de monde. Hier soir, la salle de l’espace Schweitzer à Orgeval était en effet trop petite pour accueillir les quelque 150 participants à la réunion.
Dehors, les tracts circulaient tout comme les autocollants arborés fièrement par les participants : « J’aime ma maison de quartier »
Il est vrai que les questions étaient nombreuses sur l’avenir des différentes structures après la publication d’un audit assez drastiques dans ses préconisations et l’annonce d’un déficit prévisionnel pour 2007 de 165.702 euros après les 37.101 euros de 2006.
De réponses, les salariés n’en ont pas eu de définitives. Jean-Pierre Ettel, président de l’association a rappelé que cet audit donnait des « préconisations » et qu’il ne s’agissait donc pas de « décisions ». « Nous allons organiser des réunions d’ici notre conseil d’administration de septembre pour voir quelles sont les solutions à apporter pour arriver à l’équilibre en 2008 », a souligné le président. Devant des salariés inquiets, mais dans une ambiance très posée, le maire a rappelé les derniers engagements de la ville avec 100.000 euros de plus que prévue pour 2006 et 200.000 euros de subventions supplémentaires en 2008. « La collectivité attend de l’association qu’elle prenne ses responsabilités », a insisté Jean-Louis Schneiter. « Nous avons à travailler ensemble et faire que les personnes qui viennent dans les maisons de quartier ne soient pas des consommateurs mais des participants. On ne réussira qu’à cette condition ».
Concernant la recherche d’équilibre pour 2008, le maire a indiqué que l’objectif était de « préserver le maximum des emplois ». « On ne peut garantir aujourd’hui 100 % » a-t-il lâché. « Le but est aussi de préserver le maximum de structure à condition que leur utilité et leur représentativité soient reconnues ».
Autant de réserves qui n’auront sans doute pas rassuré les nombreux salariés présents hier soir à l’espace Schweitzer.
G. A.-T.
Union070628b - Locales - Reims
80 personnes représentaient une soixantaine de familles.
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L’équipe au grand complet de Reims-Habitat était présente la semaine dernière à une rencontre de dialogue avec ses locataires. La salle de l’espace Billard était pleine avec 80 personnes représentant une soixantaine de familles. Deux associations de locataires étaient à l’écoute, Mieux vivre à Croix-Rouge (Mme Michelot) et le Club 47 (Mme Stoltz). Patrick Baudet, directeur de Reims-Habitat avait également invité toutes les entreprises qui travaillent à l’entretien et à l’environnement des immeubles concernés.
Au cours de cette rencontre, une première, pas de tribune officielle, mais une disposition en cercle, plus conviviale.
M. Baudet a rappelé les efforts de Reims-Habitat en matière de communication avec ses locataires : « j’ai demandé aux responsables des succursales de rencontrer au moins tous les deux mois et plus souvent si nécessaire les amicales et associations de locataires, avec obligation de leur adresser ensuite un compte-rendu qui m’est également remis. »
Et encore : « j’ai cré une instance locale de concertation, un conseil de concertation locative, qui se réunit deux fois par an. Je pensais que cela fonctionnait bien, mais j’ai le sentiment que malgré tout, il reste encore beaucoup de choses à faire en termes de participation. »
« Le quartier est en situation de dégradation. Il ne faudrait pas grand-chose pour que tout redevienne comme avant. Pourquoi pas des bénévoles qui participeraient aux efforts généraux avec Reims-Habitat ? ».
Or, précisément, Patrick Baudet a annoncé qu’un groupe de travail de 17 locataires volontaires venait d’être cré.
Au Club 47, on détermine, d’une façon générale, trois niveaux de réflexion à approfondir : les locataires (civisme), Reims-Habitat (communication et suivi des interventions) et les entreprises (cohésion entre les différents intervenants).
Une locataire parle d’usine à gaz : « au lieu d’une méga-réunion comme celle-ci, dont je doute de l’utilité, pourquoi pas des mini-réunions décentralisées, immeuble par immeuble, où les locataires viendraient parler avec vous de leurs problèmes concrets ? ».
L’idée est retenue par M. Baudet qui promet « une nouvelle réunion bilan à l’automne » sous les applaudissements et bien des regrets : « La réunion était trop courte, dommage ! »
Un mois de panne au 37-Eisenhower : « Handicapé des deux jambes et cardiaque, il me faut 2 heures pour monter à pied au 9e étage ! »
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Odyssée en fauteuil roulant avec l’ascenseur en panne : « Les pompiers ont été appelés plusieurs fois pour me monter au 3e étage du 60-Eisenhower ! »
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« Nous demandons un remboursement d’une partie des charges d’ascenseur correspondant, immeuble par immeuble, aux pannes subies ».
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Des problèmes, les locataires en ont rapidement soulevés. Tout a commencé par les nombreuses pannes à répétition des ascenseurs : « Reims-Habitat est-il victime des mises aux normes réglementaires qui rendent les appareils trop sensibles ? Certains secteurs sont-ils plus atteints que d’autre par les pannes et dysfonctionnements ? Un nouveau dispositif a été mis en place depuis le mois de mai par l’ascensoriste, pour réagir plus rapidement. »
Nombreux signalements de scooters et autres cyclomoteurs et motos. La présence et la visibilité des agents de proximité municipaux sont jugées insuffisantes : « on ne les connaît même pas ! »
Pour Patrick Baudet, « C’est un gros souci pour nous. Nous ne sommes pas en capacité d’y répondre seuls. Certes, les familles avec jeunes délinquants sont connues, mais on est dans un état de droit : sans témoignages écrits, sans preuves, la police ne peut pas intervenir. »
« Le soir, la situation est épouvantable et invivable au 10-Eisenhower : c’est inimaginable ! »
« Au 51-Eisenhower, avec les jeux de balles, les carreaux sont régulièrement cassés ! »
« Au 10 et au 12-Eisenhower, c’est pire qu’à Chicago : fils électriques arrachés, tout est cassé, ascenseurs, boîtes aux lettres, carreaux, pots de fleurs, balconnières… Les jeunes montent sur le toit et grimpent sur nos balcons. Dehors, c’est motos, urine, beuveries, chiens dangereux, jeux de ballons… »
Ont encore été évoqués des problèmes de nettoyage des halls, entrées et escaliers, des problèmes de voies pompiers encombrées par des stationnements anarchiques de véhicules, beaucoup d’ennuis de télévision par câble (« un réseau rénové va très bientôt être mis en place »), le « laxisme » de Reims-Habitat face au linge et aux tapis sur les balcons, aux paraboles sur les balcons, aux boîtes aux lettres débordantes non vidées (7 sacs poubelle au 47-Eisenhower, 4 sacs au 33).
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070628a - Locales - Reims
Franck Noël, adjoint à la jeunesse et le président des Maisons : « Il faut agir vite car l’ambiance n’est pas au mieux dans les maisons et certaines directions sont un peu à bout. » Agrandir la photo |
Ce soir à 19 heures, l’association des maisons de quartier se réunit à la maison de quartier Schweitzer. Sur fond de difficultés financières, de licenciement, et de fermetures de maisons.
EN 2003, constatant les déficits colossaux des MJC Clairmarais et Schweitzer, la Ville a voulu reprendre les choses en main. Éteindre les incendies et en profiter pour regrouper plus globalement les MJC et les centres sociaux dans des espaces, des maisons de quartier. Quelques années plus tard, le bilan n’est pas très probant côté financier. À tel point que pour remettre à flot les finances, un audit préconise le licenciement de 10 équivalents temps plein et la fermeture, pas moins de quatre maisons (Chemin Vert, Verrerie, le Phare et la Nacelle). À quelques mois des élections, le maire, bien entendu, ne veut pas de clash. La Ville allongera donc -il l’a promis- 100.000€ cette année puis 200.000€ en 2008. Reste qu’il va falloir avoir tout de même le courage de prendre des décisions. Le débat DE ce soir à l’assemblée générale des maisons de quartier risque d’être chaud. Franck Noël, adjoint à la jeunesse attend des « réponses stratégiques ».
« On a fait un point financier avec les directeurs. Entre 2002 et 2007 la Ville a fait passer sa subvention de 3,6M€ à 5,3 % », explique Franck Noël, « soit une augmentation de 47 % et pas pour 47 % de projets en plus. » Sur l’audit, l’élu se dit déçu. « L’audit financier ne nous apprend rien. La diminution de la subvention Caf n’explique pas tout. Par contre l’audit organisationnel fait par des externes n’apporte rien d’innovant. Il ne remet rien en cause. L’association doit faire des propositions car si la gestion a été confiée à une association, c’est aussi pour qu’elle prenne son destin en main. Si sur le fond, 26 Maisons c’est trop pour Reims, il faut faire de la prospective et voir comment modifier les choses en fonction de l’évolution de la ville. Plutôt que de dire il faut licencier, fermer des structures, ce serait plus intéressant de savoir ce que sont les Maisons, où elles veulent aller à court, moyen et long terme. Nous avons raisonné d’abord dans une logique financière car il y avait des urgences. Nous avons besoin maintenant d’un réel projet. On a aussi besoin d’un message fort de l’association. La gestion est bonne, les comptes bien suivis mais il n’y a pas de vision stratégique. Ils doivent inventer un nouveau projet, mieux cordonner. Il faut agir vite car l’ambiance n’est pas au mieux dans les maisons et certaines directions sont un peu à bout. »
Alain Moyat
Union070627d - Locales - Reims
Au détour d’une question, la communiste Pascale Martin a abordé hier soir la question du devenir des Maisons de quartier. « Un audit financier et organisationnel préconise la suppression de dix emplois équivalent temps plein et la fermeture du Chemin vert, la Verrerie, Le Phare et la Nacelle. Qu’en est-il M. le maire ? »
Jean-Louis Schneiter : « Oui il y a eu un audit. J’irai jeudi à l’assemblée générale des maisons de quartier. Nous ferons un effort de 100.000€ en 2007 et 200.000€ en 2008, mais il faut bien qu’ils prennent aussi leurs responsabilités. Qu’ils réfléchissent à la façon de résorber leur déficit chronique. À eux de faire des propositions. »
A.M.
Union070627c - Locales - Reims
Cheb Abbes et … Agrandir la photo |
… Cheb Redouane chantent le quotidien avec réalisme Agrandir la photo |
Avec sa nouvelle formule bi-annuelle le Festival Croix-Rouge s’affiche est plus présent tout au long de l’année. C’est pourquoi il donne rendez-vous aux habitants de Croix-Rouge mais aussi de Reims et alentours amateurs de musique et de danse pour l’événement musical :
vendredi 29 juin à partir de 20 h 30, sur le parking de l’hippodrome, avec Cheb Abbes et Cheb Redouane en concert gratuit.
« Tous les deux enfants d’Oran, la capitale mondiale du raï, ces deux chanteurs algériens sont ce qui se fait de mieux en ce moment de l’autre côté de la Méditerranée », explique Eric Krzywda, directeur de la Maison de quartier Croix-Rouge.
Avec un large éventail de fidèles, allant des jeunes à un public plus âgé sans oublier les familles, ils se classent actuellement en tête des meilleures ventes de CD en Algérie. Leur musique est qualifiée de Raï Fusion, mêlant jazz, gnawa et raï et les guitares électriques côtoient cuivres et instruments plus traditionnels.
Habitués des grandes scènes mondiales (Suisse, Canada, Zénith de Paris,…), ils possèdent chacun une importante discographie.
Ils se différencient par leurs textes : Cheb Redouane parle de sentiments, de paix, et de toutes les préoccupations de la jeunesse, Cheb Abbes est plus proche de la réalité et chante le quotidien.
Le concert sera ouvert par l’orchestre Cocktail de Châlons-en-Champagne, bien connu dans la région pour son répertoire de variétés françaises et étrangères.
Union070627b - Locales - Reims
Dans le cadre des Flâneries Musicales 2007 et en collaboration avec Djaz 51, la médiathèque Croix-Rouge propose, en salle d’exposition, le vendredi 29 juin à 19 heures, une rencontre avec Jean-Louis Pommier, tromboniste de jazz ayant participé à la plupart des grandes formations hexagonales.
Cet échange entre le public et ce musicien qui place la pédagogie au cœur de sa démarche est un prélude au concert de son groupe, le « Collectif à Plusieurs », programmé mercredi 1er août, à 18 h 30, sur le parvis de la médiathèque.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar (tél. 03.26.35.68.45).
Entrée gratuite.
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Attention aux faux policiers ! Un senior averti en vaut deux.Archives l’union/Christian-Philippe Paris Agrandir la photo |
Pour que cet été le mot « vacances » rime avec « vigilance », la police de proximité organise depuis le début du mois plusieurs séances d’information dans les maisons de quartier.
Il s’agit pour les forces de l’ordre de communiquer les règles de sécurité essentielles à destination des personnes âgées, un public plus exposé que d’autres aux risques de vols, d’agressions ou d’accidents (piétons).
De nombreux points sont abordés au cours des réunions : vol au distributeur à billets, vol à la tire, vol à l’arraché ou par usage de fausse qualité.
Depuis plusieurs années, on assiste en effet au développement de ce qu’on appelle également les « vols par ruse », c’est-à-dire ces faux policiers, faux employés EDF-GDF et autres agents des eaux qui s’introduisent chez les personnes âgées pour dérober leurs biens de valeur.
Le conseil de base est de toujours exiger la présentation de la carte professionnelle quitte à vérifier par téléphone la réalité de la mission.
En plus de ces informations, les policiers rappellent la reconduction cet été de l’opération « tranquillité vacances » (mise en place du 28 juin au 2 septembre).
En faisant un signalement de votre absence auprès du bureau de votre quartier, vous pouvez obtenir l’assurance de visites fréquentes des patrouilles pour vérifier si aucune effraction n’a été commise à votre domicile.
Pour la police ces actions de sensibilisation ont un double objectif : « Outre le message diffusé, ça nous permet d’avoir une relation de proximité avec les gens du quartier, par la suite ils viennent plus facilement vers nous quand ils ont des soucis ».
Des dépliants récapitulant toutes ces règles de sécurité sont à la disposition de la population dans les bureaux de police.
D’autres informations de ce genre sont programmées dans le courant du mois de juin,
le mercredi 27 à 17 h 30 à l’espace Billard (quartier Croix-Rouge)
et le même jour à 18 h 30 à la mairie de Bezannes.
Union070626d - Locales - Reims
De gauche à droite : Sophie, Tesnim, Capucine, Manon, Cassandra et Angélique. Toutes méritantes. Agrandir la photo |
Les méritants sont toutes des méritantes au collège Joliot-Curie. Elles ont de bonnes notes, de l’ambition et plein de projets.
Des élèves en réussite. C’est ainsi qu’elles se nomment à Joliot-Curie. Une petite bande de bosseuses de Croix-Rouge qui ne connaît les mauvaises notes que par ouï-dire. Pas frimeuses mais conscientes de leur niveau.
Manon Gautrelet, élève de 3e, entrera à Libergier en septembre avec son 17,03 de moyenne. « J’ai choisi la filière scientifique. » Pour travailler plus tard « dans le secteur animalier. Peut-être vétérinaire mais pas pour les chiens et chats, plutôt pour les éléphants d’Afrique ». De Joliot, elle regrettera « les amis et ma prof de français grec et latin : Nadine Panel. Elle est formidable ».
Angélique Florentin se destine à l’audiovisuel. C’est l’option qui lui a fait choisir Clemenceau : « Si toutefois je suis prise. » Un 15,5 de moyenne devrait l’y aider.
Capucine Lantenois estime qu’elle fait partie des méritantes car « je n’ai pas trop de difficultés et les capacités de réussir plus tard ». Elle le dit avec naturel et assurance en laissant la fausse modestie à d’autres. « L’année prochaine, je vais en section européenne à Chagall pour devenir plus tard professeur de langue. » Future prof de Joliot-Curie : « Pourquoi pas. Ce sera amusant d’avoir pour collègue des personnes que j’ai eu comme enseignant. »
Cassandra Roger, en 3e aussi, était presque dernière de sa classe l’année dernière, « cette année, je suis première avec 15,34 de moyenne ». Explication de cette métamorphose ? « La motivation. L’envie de bosser. Je ne voulais pas me retrouver avec rien dans les mains. » Un peu tard tout de même car Cassandra est embarquée dans une filière professionnelle qui l’empêche d’aller en seconde classique : « Il faudrait que je redouble mais comme ils sont en sureffectif. Sinon, je serais allée à Clemenceau avec Angélique car je voulais être animatrice radio. » Heureusement Cassandra s’est trouvée une seconde vocation : « Mécanicienne auto. Ça me plaît à peu près autant et si je veux retrouver la voie classique, je ferai peut-être une première d’adaptation. » Maintenant qu’elle a trouvé la motivation, elle ne lâchera pas.
Tesnim Khalifa a beaucoup travaillé pour obtenir son 17,28 de moyenne. Elle compte poursuivre sur cette voie à Jean-Jaurès pour devenir médecin. Sophie Mil Homens, 16,46 de moyenne, suivra sa bonne copine à Jean-Jaurès « en filière économique et sociale. Je veux devenir professeur des écoles ». Toutes les deux vont regretter Joliot-Curie : « C’est un bon collège et c’est notre quartier, on l’aime bien. »
Rendez-vous demain avec d’autres collégiens méritants.
C.F.
Union070626c - Locales - Reims
Courant 2008, les Rémois accueilleront à leur tour leurs amis polonais. Agrandir la photo |
L’EUROPE est une réalité géographique, économique et historique. Pour stimuler le sentiment de citoyenneté européenne des jeunes et les aider à comprendre leur rôle dans l’Europe présente et future, les animateurs de la maison de quartier Croix-Rouge et le service départemental de prévention estiment qu’il est de leur devoir de défendre et de faire valoir des valeurs de paix et de solidarité.
C’est dans cet esprit que, grâce au conseil européen, à la région et aux deux organismes logeurs, Foyer rémois et Effort rémois, ils organisent un échange européen de jeunes sur le thème : « conscience européenne et lutte contre les discriminations » avec l’association Polonaise Ecoeurowies à Walbrzych.
Le projet concernera 16 jeunes :
8 jeunes Polonais âgés de 13 à 17 ans, garçons et filles, adhérents de l’association Ecoeurowies à Walbrzych en Pologne
et 8 jeunes Français âgés de 13 à 17 ans, garçons et filles, issus du quartier Croix-Rouge de Reims (Antar, Cynthia, Hakim, Kadidia, Romuald, Sofiane, Stéphanie et Zahra).
Les Rémois seront accueillis en Pologne du jeudi 5 au jeudi 12 juillet.
Le programme est le suivant :
Premier jour : intégration et jeux.
Deuxième et troisième jours : visite des camps de concentration d’Auschwitz et de Gross-Rosen, visite des souterrains creusés par les hommes d’Hitler.
Quatrième jour : journée polonaise (us et coutumes, gastronomie, chants, minorités…)
Cinquième jour : journée française. Sixième jour : visite d’un château, d’une fabrique de céramique ou de mines de charbon.
Cet échange de jeunes est conclu entre deux associations : maison de quartier Croix-Rouge (France) et Ecoeurowies (Pologne). Les actions 2007 sont la première partie du projet global.
En effet, courant 2008, les Rémois accueilleront à leur tour leurs amis polonais sur un ensemble d’actions respectant également le thème « conscience européenne et lutte contre les discriminations ».
Travailler sur une partie très importante de l’histoire de l’Europe : la Deuxième Guerre mondiale et particulièrement sur la déportation et la Shoah.
Permettre à un groupe de jeunes du quartier Croix-Rouge de Reims de découvrir un pays européen et aller à la rencontre d’une autre culture, d’une autre langue.
Lutter contre toutes les formes de racismes et d’antisémitisme.
Faire un travail de mémoire et promouvoir la paix.
C’est tout un travail de préparation au séjour en Pologne qui est mis en œuvre.
Les animateurs, Slimane Hamdi, coordinateur loisirs jeunes de la Maison de quartier Croix-Rouge, et Sébastien Jacques, éducateur du service départemental de prévention, conscients des conséquences psychologiques que peuvent engendrer la visite du camp d’Auschwitz-Birkenau, ont décidé d’organiser des rencontres et des échanges sur le thème de la Deuxième Guerre mondiale et la déportation avec les associations ou personnes compétentes dans ce domaine à Reims :
Office national des anciens Combattants et victimes de guerre (Onac), Céline Biava, déléguée à la Mémoire combattante,.. et les jeunes feront des recherches sur internet avant de réaliser un document multimédia.
La deuxième thématique (la découverte d’un pays et d’une culture) nécessite un minimum de connaissances et d’informations (préparation aux échanges culturels) : les jeunes Rémois participeront à l’organisation d’un après-midi festif avec les bénévoles de l’association des Polonais de Reims, ils feront des recherches sur internet sur la Pologne et la région où le groupe va séjourner.
Union070626b - Locales - Reims
Le football-club Acrap organise un goûter de fin de saison auquel il invite ses joueurs demain mercredi 27 juin à 16 h 30 au complexe sportif Géo-André.
Par ailleurs, une journée détection (renseignements et découverte du club) est prévue mercredi 4 juillet, toujours à Géo-André, de 14 à 18 heures.
Renseignements au 06.66.44.80.89. ou au 03.26.06.39.54.
Union070626a - Locales - Reims
Avec l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, les marcheurs sont invités par Vincent Girardin à découvrir les étangs de Chatrice (Sainte-Ménéhould) dimanche 1er juillet (10 km) :
départ à l’espace Watteau à 8 h 30,
retour vers 16 heures.
Prévoir le repas à tirer du sac.
Renseignements au 03.26.36.03.50. ou au 06.12.99.83.09.
Union070624b - Locales - Reims
Vendredi vers 4 heures du matin, la police et les pompiers ont été appelés avenue du Général-Bonaparte pour secourir une personne qui aurait reçu un « coup de hache sur la tête », selon les propos du requérant.
Les secours craignaient le pire mais à leur arrivée, la victime avait pris la fuite. Par contre, ils ont retrouvé l’agresseur à la hache, en fait une hachette qu’il tenait encore à la main.
Placé en garde à vue, l’homme âgé de 33 ans a contesté avoir porté des coups sur la victime. Celle-ci s’est manifestée pour dire qu’elle allait bien et qu’elle ne souhaitait pas déposer plainte.
La hachette a été confisquée, l’individu remis en liberté dans l’attente d’une décision du parquet sur ce ténébreux dossier. L’origine du différend n’est pas connue.
Union070624a - Locales - Reims
Hier vers 2 heures du matin, deux voitures ont été détruites par les flammes rue François-Arago. D’après les constatations, le feu a pris sur une Opel Astra avant de se propager à une Citroën C3. L’origine reste indéterminée mais n’en demeure pas moins suspecte.
Jeudi vers 19 heures, des carcasses de pneus ont été incendiées sur un terrain du boulevard Louis-Barthou. Le feu s’est éteint avant l’arrivée des pompiers.
Union070622e - Locales - Reims
L’emplacement litigieux. Pour les locataires, cela a toujours été un parking ; pour la police, c’est devenu une voie pour les pompiers, interdite de stationnement par conséquent. Agrandir la photo |
Contrairement à ce qui se passait depuis des années, un petit parking est désormais considéré comme « voie d’accès pompiers » dans cette allée des Hauts de Murigny. Gare à ceux qui s’y stationnent !
Ça grogne du côté de l’allée Gandon, dans les hauts de Murigny. Plus précisément du côté de la grande tour du n°5. La faute à quoi ? Aux contraventions qui se sont abattues ces derniers jours sans crier gare sur les habitants du quartier. Ceux-ci étaient habitués à se garer sur un petit parking au bas de leur immeuble. « J’habite ici depuis une quinzaine d’années, témoigne Bernard Deschamps, ça a toujours été considéré comme un parking ; d’ailleurs il y avait un panneau qui l’indiquait, et on voit encore des traces de lignes de marquage au sol. »
L’ennui, c’est que, sous l’effet de l’usure du temps, les lignes sont devenues à peine visibles ; et que le fameux panneau, lui, s’est retrouvé par terre. Du coup, aux yeux de la police, ce parking n’en est plus un ; il est considéré au contraire comme faisant partie d’une voie d’accès pour les pompiers, comme un panneau, bien en place celui-là, l’indique clairement.
Du côté de la police municipale, on confirme que « nous avons effectivement réactivé les verbalisations portant sur le stationnement gênant les accès pompiers, à la suite de plaintes de riverains craignant pour leur sécurité en cas d’incendie ».
Ce qui explique les « prunes » distribuées ces jours-ci ; et des prunes au prix fort : 135 euros !
Pour éviter de voir ces désagréables « papillons » continuer à se poser sur les pare-brise, l’amicale des locataires a organisé une réunion d’information mercredi soir, histoire de mettre en garde les habitants. Une barrière empêchant l’accès à l’emplacement litigieux a même été posée hier matin, pour éviter tout risque inutile.
A priori, si l’on en croit M.Deschamps, le parking devrait retrouver à terme sa vocation initiale, une fois les travaux menés par l’organisme logeur terminés : soit pas avant le mois de juillet.
D’ici-là, les habitants sont invités à prendre leur mal en patience, et à chercher ailleurs une place pour leur voiture.
Union070622d - Locales - Reims
De gauche à droite, Christian Enault, trésorier, Béatrice Sicard, présidente, Michel Méther, vice-président et Muriel Jourd’heuil, secrétaire. Agrandir la photo |
L’association MJC Croix-Rouge, émanation de l’ancienne MJC Croix-Rouge éliminée lors de la création de l’association des maisons de quartier de Reims, n’avait plus de siège social : le dernier en date était situé dans les bâtiments de l’ancienne La Rafale, rasée pour cause de rénovation urbaine du secteur Rafale/Taittinger.
L’assemblée générale a donc adopté un nouveau siège social, désormais fixé dans les locaux de la maison de quartier Croix-Rouge, au 1 allée des Picards « au centre géographique du quartier ».
Béatrice Sicard, présidente, a précisé : « Nous aurons même un placard pour ranger nos documents et matériels ! » , ce qui a provoqué les rires de plusieurs présidents d’associations dans la salle : « Et vous n’avez pas peur que l’association MJC Croix-Rouge soit mise au placard ? »
Union070622c - Locales - Reims
A quelques jours de l’assemblée générale des maisons de quartiers qui se déroulera le jeudi 28 juin à 19 heures à la maison de quartier Schweitzer, une coordination intersyndicale CGT-FO-CFDT tire la sonnette d’alarme au nom des 280 équivalents temps plein employés dans les 14 maisons de quartier et 26 espaces et centres sociaux gérés par l’association.
« Depuis le 1er janvier 2006, toutes les structures MJC et centres sociaux sont réunies au sein de l’association des maisons de quartier de Reims. Les exigences municipales ont été exaucées et l’association a mobilisé les moyens nécessaires pour aboutir dans les délais fixés. Mais aujourd’hui, la municipalité ne veut pas prendre en compte, dans le cadre de sa subvention annuelle, l’évolution maîtrisée des coûts salariaux et de fonctionnement des équipements. L’audit financier et organisationnel demandé par la mairie prescrit des mesures de retour à l’équilibre fondées exclusivement sur des critères de gestion. Il préconise la fermeture de site et des suppressions de postes en contrats précaires et en CDI. »
L’audit confirmant que ce n’est pas la gestion des maisons qui est défaillante mais le financement structurel, la coordination pose plusieurs questions.
« L’association va-t-elle fermer des sites ? Lesquels et quand ? Des postes vont-ils être supprimés ? Lesquels et quand ? Le projet associatif et les contrats de projets sont-ils menacés ? »
Opposée à de telles mesures, la coordination CGT-CFDT-FO attend des réponses claires pour l’assemblée générale.
A.M.
Union070622b - Locales - Reims
Les enfants de l’école Blanche-Cavarrot ont inauguré la soirée. Agrandir la photo |
Beaucoup de monde dans la salle surchauffée de Joliot-Curie. Agrandir la photo |
Une prestation de l’atelier danse du mercredi. Agrandir la photo |
« Et si tu triches ». C’est sur cette chanson que les enfants de l’école Blanche-Cavarrot, dirigés par Eric Nigon, ont accueilli les participants à la soirée des trophées organisée par l’Usep-Usal mardi soir.
Mais la grande salle du collège Joliot-Curie était un peu exiguë pour contenir tout le monde dont Mlle Nassau, maire-adjoint chargée des sports, M. Monchablon, de la direction régionale Jeunesse et Sports ou encore Michel Gonnet, de l’Inspection académique.
Cette soirée avait pour but de « récompenser les écoles et leurs élèves mais aussi de présenter les ateliers informatiques » rappelait la présidente de l’Union de secteur des amicales laïques, Françoise Cloux.
Organisés dans le cadre de l’Usep, de nombreux sports sont en effet proposés tout au long de l’année le mercredi, qui donnent lieu à compétitions.
Ainsi après ce premier chant et une prestation de l’atelier danse du mercredi, les enfants sont venus présenter leurs réalisations informatiques.
A commencer par le petit film réalisé par les élèves de l’école Alfred-Gérard, qui a beaucoup fait rire l’assemblée.
Ceux de Blanche-Cavarrot ont mis en place un site internet ;
ceux de Clairmarais ont raconté l’histoire de Benjamin
tandis que les jeunes de Jamin se sont intéressés à l’art déco.
Au total, six réalisations ont été présentées sur les neuf ateliers.
Des coupes et autres récompenses ont ensuite été remises à quatorze écoles : Alfred-Gérard, Blanche-Cavarrot, Ruisselet, Clairmarais, Jamin, Cormontreuil, Avranches, Ravel, Amundsen, Joliot-Curie, Provençaux, Maison-Blanche, Louvois et Galilée.
Les vacances approchent désormais. Mais rendez-vous a déjà été pris dès la rentrée, en septembre, pour la préparation du marathon et du relais Usep auquel participent de nombreux écoliers.
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Les concepteurs du Musée éphémère : « mettre en valeur le quartier Croix-Rouge et ses habitants ». Agrandir la photo |
Le musée éphémère de Croix-Rouge, qui était présenté à la médiathèque, a fermé ses portes.
Par la photographie, les arts plastiques, la vidéo et l’écriture, des groupes d’enfants, d’adolescents et d’adultes ont travaillé pour mettre en valeur leur quartier et ses habitants. Ils ont travaillé aussi sur un projet soutenu dans le cadre du Contrat de ville par l’Etat, le conseil régional de Champagne-Ardenne, le conseil général de la Marne et la ville de Reims, dans un partenariat entre la Maison de quartier Croix-Rouge, la Zone d’éducation prioritaire (Zep Croix-Rouge), l’Éducation nationale, la médiathèque Croix-Rouge et le lycée Joliot-Curie.
Jean Bigot, plasticien, Guillaume Gellert, photographe, Anne Mulpas, écrivain, et Caroline Valette, plasticienne, ont aidé les participants à s’exprimer, à recueillir différents témoignages et à dresser un portrait de leur quartier et de ses habitants pour en conserver une trace dans un inventaire patrimonial, juste avant le début des grands travaux de restructuration du quartier.
Le pari a été réussi, mais tout le monde redoute maintenant que tout ce travail de plusieurs années finisse à la benne ! Le maire de Reims a montré son enthousiasme : « Il était important de recréer un passé que l’on n’a pas connu. Le quartier Croix-Rouge a 40 ans. A l’époque de sa réalisation, il n’y avait pas de fouilles archéologiques comme maintenant. D’où l’intérêt de reconstituer ce qu’il aurait pu être. Vous avez cré cette mémoire : il nous faut maintenant la sauver et lui trouver un lieu d’entrepôt. Pourquoi pas chez les organismes logeurs ? » NDLR : Reims-Habitat, par exemple, s’est beaucoup engagé dans ce projet.
L’adjoint à la culture Mario Rossi ne rejette pas non plus ce souhait de beaucoup d’habitants : « pérenniser ce musée pour qu’il ne soit pas détruit. »
A Croix-Rouge, des habitants proposent des idées, comme par exemple l’aménagement des écuries de l’hippodrome quand il aura déménagé à Bezannes. Toute idée sera la bienvenue.
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Des 3e ont reçu leur Brevet d’attestation de formation aux premiers secours.Agrandir la photo |
La journée portes ouvertes du collège François-Legros, samedi 16 juin, s’est bien déroulée : parents, futurs parents et amis se sont déplacés en nombre malgré quelques ondées orageuses.
Ils ont pu remarquer
une très belle représentation d’arts du cirque par les élèves de la 4e à projet,
une représentation de théâtre en anglais par des élèves de 4e (travail sur des « Itinéraires de découvertes »),
des expositions, une démonstration de lancer de boomerang (autre « Itinéraire de découverte » de l’année),
une initiation au maniement d’un cyclomoteur,
un point santé,
un point accueil de la maison de quartier Wilson
et la remise du Brevet d’attestation de formation aux Premiers secours à des élèves de 4e à projet et de 3e à profil (notre photo).
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Les collégiens ont l’habitude d’intervenir dans le quartier (sculpture 2006). Agrandir la photo |
Depuis 2004, le collège Georges-Braque, les organismes logeurs l’Effort rémois et Reims-Habitat et le service départemental de prévention s’associent pour mener ensemble des actions « pour mieux vivre dans le quartier ».
L’objectif est toujours de favoriser des pratiques de territoire plus respectueuses de la collectivité, par exemple se déplacer, se construire des repères, utiliser les équipements collectifs…
Des interventions dans les cours d’éducation civique des classes de 6e, pour échanger sur l’histoire du quartier Croix-Rouge, et en particulier des secteurs Croix-du-Sud et Hauts-de-Murigny, et informer les élèves sur les conditions du « mieux vivre ensemble ».
Un projet d’aménagement pour revaloriser la terrasse minérale et végétale du garage G17 de l’îlot Maurice-Utrillo (Reims-Habitat), avec les classes de 4e3 et de 3e5 (l’union du vendredi 20 avril).
Enfin une action sur le thème du respect des espaces extérieurs et sur la propreté du quartier, avec les classes de 4e.
C’est ce dernier volet qui verra son aboutissement vendredi 22 juin avec une parade-déambulation dans les quartiers Hauts-de-Murigny et Croix-du-Sud : les élèves de 4e, sous la direction de Sophie Hausslauer, professeur d’arts plastiques, seront accompagnés des comédiens Thierry Eveloy, Philippe Garaudet et Virginie Massart (association TRAC : Toutes recherches artistiques et de création).
Le départ sera donné à 15 h 30 au collège Georges-Braque. Le cortège atteindra vers 16 h 20 l’école Blanche-Cavarrot avant d’arriver, vers 17 heures, sur l’esplanade Paul-Cézanne.
Le thème : une pluie de déchets s’est abattue soudainement sur le quartier, les Brigades de la propreté entrent en action.
Trois corps, « les repéreurs, les ramasseurs et les agisseurs » balayent le secteur pour éradiquer ce fléau.
Associations de locataires, commerçants et habitants sont invités à se joindre au défilé.
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Ali Boukhedoumi (à gauche) et Joseph Cakpo organisent les Rencon’Estivales 2007.Agrandir la photo |
Les Rencon’Estivales 2007 approchent à grands pas. Sous l’égide de Rire (Rencontres interculturelles de Reims), ce tournoi réunit pendant deux jours plusieurs clubs amateurs rémois autour du ballon rond. Il est le joli prélude de la série d’activités sportives proposées durant l’été.
« C’est une manifestation sportive qui est ouverte aux plus de 18 ans. Elle obéit à une formule championnat ; et parallèlement, elle véhicule un message de prévention. Pour cette cinquième édition, il y aura huit équipes en lice. Ces dernières, contrairement aux années précédentes, ne seront pas éparpillées ; tous les matches seront disputés au complexe sportif Géo-André », soulignent Joseph Cakpo et Ali Boukhedoumi, organisateurs. « Nos jeunes sont très demandeurs notamment sur tout ce qui tourne autour du sport. Cela leur permet de se retrouver avant les grandes vacances. L’ambiance est toujours relax : n’oubliez pas que beaucoup viennent de finir leur examen. »
Le programme est déjà ficelé.
La journée du samedi 30 juin (à 9 heures) sera consacrée aux matches éliminatoires ;
le dimanche 1 juillet (en début d’après-midi) aux demi-finales et finale.
Contacts : 06.62.43.07.76 ou 06.03.09.28.45.
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Mangas : Un dessin de Dave Morel.Agrandir le dessin |
Du jeudi 28 juin au samedi 25 août, un panorama des principaux auteurs de mangas, d’Osamu Tezuka à Jiro Taniguchi, en passant par Hayao Miyazaki, des principaux personnages comme Détective Conan, Dr Kenzo Tenma ou encore Lady Oscar ainsi que des grandes séries, de Dragon Ball à Monstersera, sera présenté à la médiathèque Croix-Rouge.
Cette exposition a été réalisée par la Médiathèque Stendhal de Saint-Ouen-L’Aumône. Mercredi 27 juin et du 4 au 7 juillet, de 14 à 16 heures, des ateliers de découverte et d’initiation aux mangas seront animés par Dave Morel, intervenant de la maison de quartier Croix-Rouge.
Au programme,
découverte des spécificités du dessin manga,
reproduction et création de personnages.
Pour tous, à partir de 12 ans, inscriptions en secteur jeunesse.
Médiathèque Croix-Rouge — 19, rue Jean-Louis-Debar (Tél. 03.26.35.68.45.).
Activités gratuites.
Parti à Tarbes pour sauver sa tête, le TC Géo André a parfaitement rempli son contrat.
Moins handicapées que prévu sur la terre battue tarbaise non refaite et peu glissante, les Rémoises ont pourtant connu quelques désagréments.
Si la jeune et prometteuse Claire-Hélène Genin (4/6), récente championne de Champagne des 13/14 ans, s’est difficilement sortie du piège tendu par une 15/2 locale, Célia Respaut(0), victime d’une allergie et Noémie Ruffin (1/6) confrontée à une ancienne - 4/6 ont subi de sévères « contres » respectivement à 4/6 et 15 !
Heureusement, les leaders - la Polonaise Magdalena Kizczynska (n° 28) et Mylie Gillet (- 2/6) - ont répondu présentes pour mener 3-2 à l’issue des simples.
Et comme les doubles ont été à la hauteur, les Rémoises ont donc renouvelé leur bail à ce niveau.
Magdalena Kiszczynska (n° 28, Géo André) bat Marina Cossou (n° 32, Tarbes) 6-2, 6-0 ;
Mylie Gillet (- 2/6, Géo André) bat Charlotte Lacombe (4/6, Tarbes) 6-3, 6-0 ;
Julie Cazaubon (4/6, Tarbes) bat Célia Respaut (0, Géo André) 6-3, 4-6, 6-0 ;
Hélène Cedet (15, Tarbes) bat Noémie Ruffin (1/6, Géo André) 6-4, 6-4 ;
Claire-Hélène Genin (4/6, Géo André) bat Lisa Hondagne (15/2, Tarbes) 6-1, 3-6, 6-1.
Kiszczynska –Gillet battent Cossou – Cazaubon 6-2, 6-1 ;
Respaut – Ruf¬fin battent Lacombe – Cedet 6-7, 6-4, abandon.
« Avez-vous pensé à vous inscrire à notre 18e tournoi d’été ? » demandent les organisateurs du Tennis-club Géo-André.
Du 23 juin au 8 juillet : NC - 4e/3e/2e série - H + 35 - H + 45.
Les perdants du 1er tour participeront à un tournoi de consolation.
Inscriptions au : 03.26.36.23.61 ou sur www.klikego.com
Du 2 juillet au 8 juillet, catégories jeunes.
Inscriptions pour le 24 juin sur www.klikego.com
Plus de 600 joueurs sur les terrains. Ici, les benjamins de l’Acrap. Cliquez sur cette photo pour en voir d’autres dans notre galerie de photos. |
Débutants : pas de classement pour les débutants des équipes du Stade de Reims, La Neuvillette, Muizon (deux équipes), Sainte-Anne (trois équipes), Tinqueux (deux équipes), Saint-Brice-Courcelles, Sissonne, Fismes, Acrap (7 équipes dont une équipe féminine). Le fair-play a été attribué au club de Saint-Brice-Courcelles.
Poussins : 1. Sissonne, 2. Saint-Brice-Courcelles-1, 3. Tinqueux, 4. Isle-sur-Suippe, 5. Sainte-Anne, 6. La Neuvillette, 7. Fismes, 8. Saint-Brice-Courcelles-2, 9. Acrap 1, 10. Acrap-2, 11. Taissy, 12. Saint-Brice-Courcelles-3. Le challenge a été attribué à Sissonne qui le remettra en jeu la saison prochaine. Le fair-play a été attribué à Fismes pour sa tenue en-dehors et sur le terrain.
Benjamins : 1. Taissy, 2. Sainte-Anne, 3. Bazancourt, 4. Wilson, 5. Witry-lès-Reims, 6. Fismes, 7. Acrap-1, 8. Acrap-2. Le challenge a été gagné par Taissy. Le fair-play pour Taissy également, pour sa conduite en dehors et sur le terrain.
13 ans : 1. La Neuvillette, 2. Sissonne, 3. Bazancourt, 4. Saint-Brice-Courcelles, 5. Wilson, 6. Sillery, 7. Charleville, 8. Acrap. Le challenge a été gagné par La Neuvillette. Le fair-play a été attribué à l’O.L. de Charleville.
Vétérans : 1. AS Nord-Sud, 2. Warmeriville, 3. Isle-sur-Suippe, 4. Acrap-1, 5. Reims amicale FC, 6. Acrap-2. Le fair-play a été attribué à Isle-sur-Suippe.
A l’issue de ce tournoi, les bénévoles et les éducateurs de l’Acrap football ont remis un trophée particulier à Mme Catry, la compagne de l’ancien président Jean-Jacques Lapique « en souvenir de tous les moments qu’il a apportés à l’Acrap et au football en particulier ».
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Du côté de Pôle Sud musique, réseau de musiques actuelles amateurs des maisons de quartier de Reims, on a conscience des difficultés, comme l’explique Boris Claudel, le coordinateur :
« A Reims, on manque de salles, de vrais cafés-concerts pour les groupes. Il y a aussi un vrai problème de communication : des gens, des associations se battent pour faire bouger les choses, mais les infos ne sont pas centralisées. »
Pôle Sud Musique a été cré pour proposer gratuitement aux groupes qui fréquentent les maisons de quartier (une soixantaine) un accompagnement artistique et administratif vers la professionnalisation. « Après l’estimation des besoins des groupes, on met en place des actions dans les maisons de quartiers et avec le Polca dans le cadre des Mercredis du kiosque » décrit Boris Claudel.
Rencontres musicales entre amateurs et pros, conférences, cycle de scène ouverte - « On investit une maison de quartier et on invite les groupes du réseau à partager leurs expériences avec du matériel de pros » -, sans oublier le dispositif Jeunes talents en partenariat avec La Cartonnerie (quatre groupes sélectionnés bénéficient d’une résidence à La Cartonnerie et d’ateliers). Pôle Sud musique met tout en œuvre pour soutenir les groupes amateurs émergents.
Clou des actions : un podium pour la Fête de la musique sur l’esplanade André-Malraux où se produiront des groupes de Pôle Sud musique.
M.D.
Mario Rossi, adjoint à la Culture de Reims : « Soutenir les groupes était l’une de nos priorités lorsque nous avons été élus.
Auparavant, nous étions faibles dans les domaines des musiques actuelles et de la lecture publique. Nous avons donc développé différents types d’interventions : d’abord, la Cartonnerie, lieu de diffusion et d’accompagnement. C’était une intention municipale pour répondre à une demande du milieu des musiques actuelles. Mais nous ne voulions pas concentrer les énergies uniquement sur ce lieu et s’en contenter.
Alors nous avons cherché à accompagner en amont les artistes qui viennent ensuite à La Cartonnerie. C’est pourquoi nous avons initié et développé Pôle Sud musique, avec l’appui des maisons de quartier.
Nous avons par ailleurs cherché à accompagner des groupes à un moment de leur parcours en leur allouant une partie du budget culture. C’est le cas de Gavroche qui a été sollicité pour assurer la première partie d’une tournée de 50 dates. Ou des Western Specials que nous avons soutenus dans la création de leur CD.
Enfin, nous soutenons la diffusion de certaines manifestations, comme Capharnaüm, le festival Electricity, le Patate Festival… On ne subventionne pas tous les groupes mais on est là pour donner un coup de pouce à ceux qui commencent à émerger. Je pense que notre dispositif est désormais conséquent. »
Recueilli par M.D.
Le public de l’assemblée générale. ; De gauche à droite, Mmes Jaquet, Huet et Catry, membres du bureau Cliquez sur cette photo pour en voir d’autres dans notre galerie de photos. |
Le Reims Acrap patinage a réuni son assemblée générale vendredi 15 juin dans la salle Jean-Jacques-Lapique au siège de l’association.
Le club a fonctionné avec l’encadrement suivant : BEE1 patinage artistique, Sabrina Deconinck.
BEE1 danse sur glace, Ludivine Mansard. Bénévoles, Marie-Thérèse Blazquez, Christophe Coulonnier, Morganne Huet et Jonathan Jaquet.
Aides ponctuelles, Maxine Baule, Roxane Bouvet, Ludivine Ganthier et Perrine Monboisse.
Le club a enregistré pour cette saison 107 adhérents, comprenant les licenciés et les extensions en danse sur glace ou en artistique, soit 125 licences enregistrées.
Au-delà de la danse sur glace et du patinage artistique, les entraîneurs ont relancé le patinage synchronisé, une discipline porteuse d’espoirs.
Les résultats du club sont très éloquents. Chacun a pu s’en rendre compte à la lecture d’un rapport long de quinze pages. « Le contrat entre la ville et le RAP est pleinement rempli », a commenté Arnaud Robinet, au nom du maire.
Jeannine Catry annonçait la couleur : « cette année marque la fin de mon mandat de présidente par intérim : c’est l’assemblée générale qui élira un nouveau président. » Il n’y a pas eu photo : à une écrasante unanimité, elle a été élue présidente à part entière, aidée par Mme Jaquet, trésorière et Mme Huet, secrétaire. « Mme Catry est passée du statut d’intérimaire au contrat à durée indéterminée » commentait le conseiller régional Michel Guillaudeau.
Avec 103.100 euros de charges pour 95.300 euros de produits, le compte d’exploitation 2006 est « encore déficitaire cette année (7.800 euros), mais beaucoup moins qu’à la dernière saison. »
A noter les subventions : 33.300 euros ville de Reims, 1.145 euros département et 3.900 euros Jeunesse et Sports.
Dans les dépenses, le poids des services extérieurs, dont les locations, s’élève à 26.580 euros et les dépenses de personnel à 42.790 euros.
« Le projet de patinoire à Orgeval est à revoir, reporté de plusieurs années » a confirmé Arnaud Robinet. Quant à la patinoire Jacques-Barot, à Croix-Rouge, elle est en cours de rénovation, une réfection vers une patinoire mobile. « Vous allez donc conserver votre patinoire » a enchaîné Michel Guillaudeau : « c’est un bien pour votre club ! »
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Union070619a - Locales - Reims
Bernard Lavergne a remercié la Ville, le comité régional des offices municipaux des sports et le comité départemental olympique et sportif pour leur soutien. |
Plus de 120 disciplines pour 350 clubs ou sections : les habitants de la communauté d’agglomération peuvent facilement satisfaire leurs envies d’activités physiques. L’office des sports est à leur disposition au 5, impasse Léo-Lagrange.
BERNARD LAVERGNE, président de l’office des sports a rappelé, lors de l’assemblée générale, que la santé est rattachée à la Jeunesse et aux sports : « Beaucoup de pratiquants cherchent avant tout à se maintenir en forme. Le phénomène est grandissant avec le vieillissement de la population : on se remet au sport pour rester jeune ». Cela ne va pas sans quelques risques : un colloque médical sur « la reprise du sport » aura d’ailleurs lieu le 13 octobre prochain à Reims.
L’adjointe aux sports Monique Nassau a rappelé que le « sport pour tous » est une des actions de la Ville : un exemple avec le complexe René-Tys (21 millions d’euros de travaux) qui a déjà accueilli deux fois la population de l’agglomération : c’est dire son succès. Trois gymnases vont bénéficier de travaux cet été (6 millions d’euros) : Vasco-de-Gama, Barbusse et François-Legros.
Bernard Lavergne n’a pas manqué d’évoquer également le sport de haut niveau : « Reims est estampillé foot, mais il y a aussi bien d’autres disciplines où les Rémois sont performants. Les Rémois mais aussi les Rémoises, puisque la pratique féminine s’intensifie ».
Le président aimerait que la ville, l’intercommunalité, le département s’unissent pour un projet commun de promotion du sport féminin, « pour porter haut nos couleurs… Nous sommes prêts, nous office des sports de la Ville de Reims, à faire des propositions ».
Melle Nassau a indiqué que le gymnase prévu à Croix-Rouge (lycée Arago) porterait le nom de Jean-Jacques Lapique. Un autre serait dédié à Roland Bourgouin tandis que celui annoncé (en 2010) à Clairmarais (lycée Roosevelt) serait baptisé José-Ferez.
Quant à la salle multisports de René-Tys, elle devient salle Jean-Armand.
Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur |
Dernières sorties pédestres de la saison avec Vincent Girardin à l’espace Watteau :
dimanche 24 juin à Laon, parcours de 12 km. Départ à 8 h 30 de l’espace Watteau et retour vers 16 h 30,
puis dimanche 1 er juillet aux étangs de Chatrice (Sainte-Ménéhould), 10 km, départ à 8 h 30 et retour vers 16 heures.
Renseignements, inscriptions :
à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.)
ou auprès de l’accompagnateur, Vincent Girardin (Tél. 06.12.99.83.09.).
Covoiturage possible si inscription.
Le collège Georges Braque de Reims a largement participé au concours. |
Des prix appréciés par les lauréats. |
L’Association des membres de l’ordre des Palmes académiques (Amopa) défend la langue française, « la plus belle par sa clarté, sa précision, son élégance » selon Jacques Treffel, président national.
Elle a remis les prix de son concours aux jeunes lauréats marnais.
A en juger par les résultats du « Concours Amopa pour la défense et l’illustration de la langue française », les jeunes des établissements scolaires marnais ont pris plaisir à écrire sur les divers sujets au choix des professeurs : trois écoles élémentaires, neuf collèges et un lycée figurent au palmarès proclamé par le président de l’Amopa, Jean-Marie Munier, le 13 juin à Reims.
La remise de livres en piles enrubannées est chaque année un moment privilégié à la fois pour les lauréats mais aussi pour les enseignants, les familles et les personnalités.
Tous ont visiblement apprécié la lecture des meilleurs travaux, comme le texte de Thomas Tricot, de la classe de première du lycée Godart Roger d’Epernay, premier prix de la jeune nouvelle et prix de poésie.
Du même établissement, Aurore Philippe, en seconde, est également primée dans cette catégorie.
Les collégiens marnais se sont taillés la plus belle part : les collèges Perrot d’Ablancourt de Châlons en Champagne, Jean Monnet d’Epernay, Pierre de Souverville de Pontfaverger, Jean Moulin de Saint-Memmie. Pour Reims : les collèges François Legros, Saint Rémi, Pierre Brossolette, Maryse Bastié et George Braque à qui revient la palme du plus grand nombre d’élèves primés (22 sur 50 copies).
Les lauréats de CM2 appartiennent à Reims Ruisselet (premier Fabio Vanni), Reims Mazarin (premiers Théophile Sambras, Julia Maeso, Elsa Burel avec un prix collectif à l’ensemble de la classe) et Fagnières (premier prix à Clémence Marintabouret).
Très attachés à la langue française, le lycée d’Oradea en Roumanie et le lycée Alecsandre Yossif de Razgrad en Bulgarie ont envoyé des textes d’une excellente qualité. A été très applaudi un poème qui s’intitulait « Une larme ». Extraits : « Une larme, c’est crier avec les yeux, c’est un mot que le cœur ne peut pas prononcer ».
RS Pôle-Sud musique prépare la Fête de la musique.Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur |
Comme chaque année, le réseau Pôle-Sud Musique (Réseau musiques actuelles amateurs des maisons de quartier de Reims) organise son podium « Fête de la Musique » , mercredi 21 juin sur l’esplanade André-Malraux (face à la Comédie de Reims, au centre Saint-Exupéry et au C.I.S.).
« Dès 18 heures et toute la soirée, vous pourrez retrouver ou découvrir, une dizaine de groupes locaux amateurs issus des Maisons de quartier membres du réseau, avec entre autres les groupes Diskorde, Crazy Bear First Concept, 6 Thèmes D, Paper Doll, Goha (programmation non définitive) », annonce Boris Claudel, coordinateur de Pôle-Sud musique : « une soirée musicale à l’éclectisme flagrant, le tout dans une ambiance festive et conviviale (bar et restauration légère sur place), loin du brouhaha et de la cohue du centre ville ! »
Cette soirée sera réalisée avec la participation active des bénévoles du réseau et avec le soutien de deux sponsors.
Renseignements complémentaires :
Réseau Pôle-Sud Musique :
03.26.86.10.71.
ou sur le site www.polesudmusique.com
L’association Multi-Échanges Services (MUTES) tiendra son assemblée générale à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge le vendredi 22 juin à 18 heures.
Renseignements auprès de la présidente, Martine Massart, au 03.26.08.08.78.
Tous ces élèves ont excellé d’une façon ou d’une autre : ce peut être lié à leurs résultats mais aussi à leur comportement et à leur implication.
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Nous commençons notre tour des collégiens méritants par ceux de François-Legros. Pour récompenser leurs efforts, l’établissement leur offre un séjour en Angleterre.
A la « Star Ac du mérite » François- Legros, ils sont 45 collégiens à avoir été sélectionnés.
Dans ce collège situé à l’orée de Croix-Rouge, on sait comment récompenser les jeunes qui se sont distingués (en bien) pendant l’année. Et pas n’importe comment puisque l’école leur offre un voyage d’une petite semaine en Angleterre. Rien que cela !
« C’est la deuxième année que nous procédons ainsi. L’année dernière, nous n’avions rien dit jusqu’au dernier moment. Cette fois, les élèves attendaient les sélections », raconte Geneviève Lago, professeur d’Anglais qui se réjouit de la fierté des méritants.
« Certains ont fait des efforts pour être choisis. D’autres qui pensaient l’être ont été déçus ». Ce sont les professeurs principaux qui ont désigné dans chaque classe les « élus ». Sur des critères très variés : « Ce peut être lié au comportement, à la vie scolaire, à la progression… Ils ont comme point commun d’avoir du mérite ».
Tous les ans, le professeur d’anglais se débrouille pour emmener deux classes outre-manche. « Les méritants, eux, ne paient pas leur voyage. L’argent est pris sur des crédits de l’Éducation nationale et du ministère des Affaires sociales. Les collèges utilisent les fonds en montant des projets, nous avons choisi de récompenser les jeunes qui ont su faire des efforts », explique Philippe Labiausse, le principal.
Bonne idée, penseront les sélectionnés. Lundi 2 juillet, ils partent tous pour Cambridge. « Kaambriidge » avé l’accent.
Rendez-vous demain avec d’autres collégiens méritants de Reims.
C. F.
Union070615d - Locales - Reims
Le collège François-Legros organise une journée portes ouvertes ce samedi 16 juin, de 10 à 12 heures et de 14 heures à 16 h 30.
Au programme : présentation de spectacles, expositions de travaux et de photographies.
Collège François-Legros : 2, rue François-Legros (tél : 03.26.08.03.77.)
Union070615c - Locales - Reims
L’organisme logeur Reims-Habitat organise jeudi 21 juin de 17 heures à 19 h 45 une rencontre de dialogue avec ses locataires, salle de l’espace Billard (12-14, rue Pierre- Taittinger).
Au programme du directeur, Patrick Baudet : « faire avec eux un point précis pour tout ce qui a trait à la maintenance de nos installations, qu’elles concernent les ascenseurs, le chauffage, la propreté, la plomberie. »
Union070615b - Locales - Reims
Pour le secteur Pays-de-France, c’est la date du 24 juin, à partir de 15 h. qui a été retenue, sur la pelouse Arago.
Une séance de cinéma en plein air clôturera la journée, à partir de 22 heures.
« Dans le même état d’esprit que le Village de l’édition 2006 du Festival, retrouvez des jeux, des animations pour tous, des démonstrations d’ateliers » annonce Eric Krzywda, directeur de la maison de quartier Croix-Rouge.
Renseignements au 03.26.86.10.71.
Union070615a - Locales - Reims
………
A 11 h 30, une friteuse s’est enflammée allée des Provençaux à Reims. Elle avait cessé de flamber à l’arrivée des pompiers.
……
Une demi-heure plus tard, les pompiers ont été appelés pour un « feu d’appartement » place Jean-Fragonard.
Il s’agissait en fait d’un feu de local à vide-ordures dont la fumée est remontée dans la cage d’escalier.
…….
Raphaël Dellorco |
Benoît Mangin |
Abir Touti |
Benjamin Da Silva, Jérémie Gombert et Valentin Tardy |
Laetitia Ruta et Alexia Jedrzejowki |
Julien Lallemant et Olivier Ravillon |
Morgann Prey et Maxime François |
Patinage, basket, yoseikan budo, haltérophilie et tir à l’arc : des jeunes se sont distingués avec un titre de champion de France en 2006. Ils ont reçu la médaille d’or de l’Office des sports des mains du président Bernard Lavergne.
Deux Rémois sur trois pratiquent une activité sportive dans l’une des 200 associations existant en ville.
C’est l’agréable constat rappelé mardi soir par les responsables de l’Office des sports de Reims réunis en présence de Monique Nassau, adjointe aux sports, Jean-Claude Laval, conseiller général, et de nombreux responsables de clubs et athlètes.
Comme c’est la tradition, l’Office a procédé à une remise de médailles d’or à des athlètes ou des cadres méritants. Il a été rappelé que cette distinction ne pouvait être obtenue qu’une fois et ne s’adressait qu’aux moins de 16 ans au moment des épreuves.
Raphaël Dellorco est au Reims Yoseikan Budo, une discipline où il a obtenu le titre de champion de France cadet.
Il poursuit son entraînement à René-Tys dans son club qui compte 106 licenciés.
Benjamin Da Silva, Isik Diren (absent pour la remise des médailles), Jérémie Gombert et Valentin Tardy : une équipe d’haltérophiles du collège François-Legros.
Ils ont obtenu le titre de champions de France UNSS.
Benoît Mangin du RCB est champion d’Europe moins de 18 ans. Il est actuellement en stage avec l’équipe de France des moins de 19 ans.
Sa médaille lui sera remise ultérieurement par Martine Ribaud, secrétaire générale du RCB.
Laetitia Ruta et Alexia Jedrzejowki, 13 et 15 ans, sont toutes deux championnes de France en patinage artistique et sélectionnées nationales.
Elles appartiennent au Club patinage artistique Reims.
Abir Touti a choisi l’haltérophilie : elle est championne de France UNSS collège François-Legros.
Elle a aussi obtenu le titre des moins de 53 kilos cadettes à Blois en juin 2006, Dans son club Rs Haltérophilie Musculation, on compte 45 compétiteurs dont 6 filles.
Julien Lallemant et Olivier Ravillon sont devenus champions de France UNSS en équipe pour le lycée Saint-Jean-Baptiste de la Salle.
Julien s’entraîne maintenant dans un club de Vertus et Olivier toujours au lycée.
Morgann Prey et Maxime François, 10 et 11 ans, du Reims Acrap patinage.
Ils sont champions de France en couple et sélectionnés en national danse sur glace.
Nuccia Thétis : Quels que soient vos connaissances, votre âge ou vos origines, laissez-vous emporter par le feeling afro-caribéen ! »Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur |
L’association Kalebass et Compagnie propose des stages, des ateliers, de la danse et des percussions sur le thème des arts de la Guadeloupe, des Caraïbes et de l’Afrique à l’espace Billard (14, rue Pierre-Taittinger) et à l’espace la Nacelle (3, rue du docteur-Billard) : dépaysement total assuré !
Au programme,
des ateliers danses traditionnelles et des ateliers crump-hall, avec Ovide Carindo, professeur, chorégraphe et danseur renommé,
un atelier percussion avec Marc Pandlof, musicien guadeloupéen, soliste, pédagogue du Ka,
un atelier culinaire avec Jeanine, cuisinière créole
et un atelier enfants avec Nuccia Thétis, chanteuse, danseuse et animatrice danse,
le tout agrémenté de soirées « expression ».
« Etnika » est une danse originelle ethnique, traditionnelle en Guadeloupe, sur une technique crée par Ovide Carindo. « Gwo-Ka » est une danse traditionnelle sur percussion.
« Crump-Ka », c’est de la danse-hall de la Jamaïque, sur raggamuffin et danse-hall et du crump, danse des États-Unis, dans une forme d’expression libératrice et énergique.
Quant au gwoka, c’est la percussion traditionnelle. On retrouve ses rythmiques dans le zouc, la danse-hall et les musiques des Caraïbes.
Contacts : Kalebass et Cie, Nuccia Thétis, 41 rue Pierre Taittinger (Tél. 06.28.04.64.88.)
Marie a l’impression d’être une oubliée » des politiques. Elle n’a pas voté dimanche dernier et ne compte pas se rendre aux urnes dimanche prochain |
Autour d’un café, les jeunes cherchent à comprendre les causes de l’abstention. En médaillon, Salah Byar qui espère que les électeurs se mobiliseront dimanche prochain. |
35,25 % de votants au bureau de la rue des Auvergnats, 33,79 % à la rue Newton. Croix-Rouge comptabilise l’un des taux d’abstention les plus forts de Reims. Rencontre avec des électeurs découragés, qui se sentent oubliés.
« NON, je n’ai pas voté. » Marie ne s’en cache pas : elle « n’en a rien à faire de la politique ». Cette habitante de Croix-Rouge fait partie des « oubliés », comme elle les appelle. « Ils racontent des histoires pour être élus. Après, ils ne s’occupent plus de nous ! Qu’on vote ou pas, ça ne change rien. »
Laëtitia, une amie du quartier, acquiesce. Elle non plus ne se passionne pas pour les élections. Elle zappe quand ça parle politique à la télé. Pourtant, les deux femmes s’inquiètent pour l’avenir de leurs enfants, ont des idées, des espoirs. Mais le découragement a pris le dessus.
Comme pour nombre d’habitants du 5e canton de la 1re circonscription.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 35,25 % de votants au bureau de la rue des Auvergnats, 33,79 % à la rue Newton. Un taux d’abstention supérieur à la moyenne nationale (39,41 %).
Vincent, un autre habitant, ne s’est pas déplacé non plus dimanche. « On nous avait annoncé une vague bleue, ça ne servait à rien d’aller voter. » Lui aussi parle de « découragement ». « La mobilisation a été énorme pour les présidentielles, mais ça n’a pas suffi à changer les choses. » Il n’ira pas voter au second tour. Pour cause de déménagement. Et de blasement.
Il y a aussi ceux qui avaient « autre chose à faire » dimanche dernier, qui n’ont « pas eu le temps », ou qui travaillaient, comme Véronique, qui a tardé à faire sa procuration. Elle sera par contre de la partie au prochain tour. Son amie Christine, elle, n’a pas pu se déplacer. « Trop occupée avec les enfants, et la petite était malade. » L’intérêt n’y est pas. D’autres n’osent pas répondre. Certains pensent même qu’ils sont « dans l’illégalité » parce qu’ils n’ont pas voté.
Au salon de thé de Salah Byar, le point de rendez-vous des jeunes du quartier, la discussion s’instaure rapidement.
Autour de la table, on a voté dimanche - les affiches d’Éric Quénard placardées sur le mur du local laissent peu de doute sur l’identité du candidat plébiscité -. Mais on tente d’expliquer le taux d’abstention.
« C’est peut-être un coup pour marquer le ras-le-bol, une démotivation suite aux présidentielles. Beaucoup ont l’impression que leur vote n’aura pas d’impact, que c’est peine perdue » confie cet habitué avant d’ajouter : « Il faut dire aussi que le calendrier n’est pas idéal : c’est la période des brocantes, tournois de foot et autres kermesses. Les gens ne prennent pas le temps de voter et préfèrent se consacrer à ces activités ».
Pour Sofiane et Adil aussi, il faut chercher les causes de l’abstention dans l’après présidentielles.
« Moi aussi, je suis déçu. Mais c’est pas pour ça que je n’ai pas voté ! Peut-être aussi que certains attendent le second tour pour se mobiliser » souligne le jeune homme avant de laisser la parole à son ami : « On peut perdre une bataille, mais pas la guerre. »
Salah, Sofiane, Adil et les autres veulent garder espoir. L’espoir que dimanche, les électeurs se mobiliseront.
Marion Dardard
Secteur Gandon : sans ascenseur, des locataires âgés et handicapés ont été bloqués au 6e étage pendant quinze jours.Cliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur |
On se souvient qu’un incendie important s’était déclaré au matin du samedi 21 avril dernier dans les caves du 1, allée Yves-Gandon, provoquant une vive réaction des locataires réunis au sein de l’association At’Hom et qui demandaient depuis trois ans à l’Effort rémois de détruire ces caves.
Les dégâts étaient importants et Danielle Bonfils, présidente de l’association, regrettait que « l’ascenseur étant hors service, des locataires âgés et handicapés (soient) restés bloqués dans leur appartement au 6e étage pendant quinze jours. La porte d’entrée qui fonctionne habituellement avec badge ne fonctionnait plus, restant ouverte à tous vents, et nous n’avions ni sonnettes ni interphones. »
Bonne nouvelle : « L’ascenseur a été remis en service et les caves sont enfin démolies. M. Sommet, directeur de la clientèle, viendra quand tout sera remis en état pour voir ce qui reste à faire : lessivages complets des paliers, remises en peinture pour certains alors que tout avait été refait il y a à peine deux ans et nous aimerions aussi que la cage d’escalier soit mise en peinture. »
Il reste cependant un regret : « En effet, alors que nous subissons toujours les inconvénients consécutifs à cet incendie, nous découvrons avec stupéfaction que nous ne bénéficions d’aucune réduction des charges, en particulier celles de l’ascenseur dont nous avons été privés pendant plus de quinze jours. Aujourd’hui encore, cet ascenseur ne dessert toujours pas le soul-sol.
Nous sommes également confrontés depuis l’incendie à des pannes successives de courant dans les cages d’escalier, les paliers, l’ascenseur, les sonnettes et la porte d’entrée. Plongés dans l’obscurité totale, nous devons parfois attendre des heures pour être dépannés malgré les nombreux appels à l’agence Croix-du-Sud. En revanche, il n’y a eu aucun retard dans la distribution de la dernière quittance de loyer. Nous exigeons un remboursement des charges locatives ! »
Une pétition en ce sens a été signée par une trentaine des 50 locataires du 1, allée Yves-Gandon, faisant part de leur mécontentement : « C’est quand même inadmissible ! Les locataires de l’Effort rémois sont littéralement rackettés et je me demande comment cela se passe là où il n’y a pas d’amicale ou d’association » s’exclame la présidente Danielle Bonfils.
Selon Stéphane Lempereur, responsable de l’agence Croix-du-Sud de l’Effort rémois, les locataires mécontents devraient pouvoir obtenir satisfaction au niveau des charges locatives.
Daniel Houssack ne proposera plus de sorties cyclo dans les environs de Reims. |
« Pour construire le site propre de bus dans le quartier Croix-Rouge, vous avez détruit les espaces verts du carrefour Schuman - Bonaparte, une partie du parking de l’hippodrome, la buvette et la billetterie qu’il a fallu reconstruire un peu plus loin pour 365.000 euros » a rappelé le conseiller municipal communiste Michel Guillaudeau en conseil municipal le 4 juin : « Or, maintenant, Reims Métropole a décidé de modifier le tracé du tramway aux abords du bâtiment de l’Acrap, et toute la partie du site propre comprise entre le carrefour Taittinger - Kennedy et la station François-Mauriac sera inutilisée. Quel usage en est prévu ? Une piste de skate avec pistes cyclables ? »
Réponse du maire : « Ce tronçon du site propre sera récupéré dans le projet hippodrome, peut-être pour de la circulation automobile. »
Plusieurs subventions de fonctionnement ont été accordées aux associations de Croix-Rouge lors de ce même conseil municipal :
5.000 euros à l’association Étoile Croix-du-Sud,
5.000 euros à l’association de promotion de Pays-de-France (Appf),
500 euros à l’association multi-échanges services (Mutes)
et 1.900 euros à l’association Croix-Rouge entreprises (Crea).
Par ailleurs, l’association Atlas a reçu une subvention de 250 euros pour une soirée concert destinée à aider le centre de réducation motrice du Val-de-Murigny.
Huit filles de 17 à 27 ans et de multiples origines, Audrey, Aurore, Corinne, Coumba, Kaoutar, Magalie, Maureen et Melanie, « prônant un esprit positif dans le domaine de la danse hip-hop et ne cherchant qu’à évoluer dans ce millieu » proposent à travers leurs show un univers de styles dynamiques : New style, Pop, Smurf, Locking, Hype, Krumping, tout y passe !
Entraînées à l’origine par Magali Garcia (espace Nacelle de la maison de quartier Croix-Rouge), elles ont décidé un jour de voler de leurs propres ailes : les « Meltin Crew » étaient nées, accompagnées dans leur montage et leur financement par l’association MJC Croix-Rouge, dans un projet soutenu par Stéphanie Tadla et Christian Énault.
On les découvre avec plaisir sur leur blog :
http://meltincrew051.skyrock.com/
Daniel Houssack, un bénévole de l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, animait des sorties vélo le dimanche.
Il est déçu et renonce : « Depuis le mois d’octobre 2006, j’ai fait le maximum pour animer ces randonnées cyclistes familiales. Pratiquement personne n’est venu aux rendez-vous !
Il est dur de faire bouger les gens ! »
Daniel Houssack ne proposera plus de sorties cyclo dans les environs de Reims.
Interrogée par M. Fabrice Lopez, vice-président de l’association de locataires « Club 47 », Marie-Annick Roger, Premier adjoint de la ville de Reims, lui a donné la réponse suivante :
« Comme Monsieur le Maire s’y est engagé au mois de mai quand il est venu à Croix-Rouge, nous retournerons dans le quartier pour une nouvelle réunion le 2 juillet à 18 h 30, le lieu étant encore à préciser. Nous ne nous sommes jamais dérobés à nos obligations et nous avons toujours invité la population concernée à ces réunions. »
Réservez donc dès maintenant votre soirée du lundi 2 juillet à 18 h 30 !
L’appellation « loyer modéré » dans les HLM serait-elle usurpée ? Près des deux tiers des organismes HLM ont procédé pour 2007 à des augmentations de loyers supérieures à la hausse de 1,8 % préconisée par le ministère du Logement, selon un sondage dévoilé cette semaine.
L’enquête, réalisée par la CLCV, une association de consommateurs, porte sur 157 organismes dans 18 régions, soit 20,8 % de l’ensemble des offices HLM.
L’appel à la modération de Jean-Louis Borloo est resté lettre morte : la hausse moyenne des loyers en France atteint 2,04 %. Un coup dur pour le pouvoir d’achat des locataires HLM dont plus de la moitié ne bénéficie d’aucune aide au logement. La hausse des loyers se conjugue avec une flambée des charges liée au renchérissement du prix du pétrole.
Parmi les mauvais élèves, la Champagne-Ardenne (+ 2,62%) arrive en tête avec la Guadeloupe (+ 2,64%). La Bretagne (+ 1,45%) et l’Auvergne (+ 1,64%) restant comme en 2006 en queue de classement avec les hausses les plus modérées. Un tiers des 157 organismes logeurs a voté des augmentations de loyers inférieures ou égales à 1,8 %.
L’augmentation cumulée des loyers en Champagne-Ardenne, qui se distinguait déjà par les plus fortes hausses en 2005 et 2006, atteint 9,4 % depuis 2004. La moyenne française se situe, elle, à 8,49 %.
« 3 % des locataires en HLM ont subi des hausses de 5 à 10 % », indique l’association de consommateurs qui dénonce les disparités dues à la modulation des loyers. Il est de plus en plus fréquent qu’un organisme HLM, à l’instar du privé, fixe des loyers différents en fonction de la situation géographique de l’immeuble. Certains locataires se voient ainsi appliquer des augmentations aussi spectaculaires qu’inattendues.
La CLCV milite pour que les bailleurs tiennent compte des préconisations ministérielles et qu’à défaut, les préfets, censés les contrôler, soient plus coercitifs. Il faut « un mécanisme de réelle régulation avec des sanctions », prône l’association qui demande, au passage, une révaluation des aides au logement.
Ch.P.
Le 21e gala de la section danse classique et moderne animée, à l’association Croix-Rouge animation et promotion, par Virginie Delauzun, se déroulera dimanche 17 juin au théâtre du Chemin-Vert à partir de 15 heures.
Les inscriptions sont reçues au secrétariat, 11, avenue du Président-Kennedy (tél. 03.26.06.39.54.).
L’équipe de La Neuvilette, vainqueur des 13 ans.
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Une des trois équipes de Taissy a emporté la coupe Jean-Jacques Lapique et la coupe du fair-play benjamins. |
Le week-end de samedi 9 et dimanche 10 juin, c’était la grande fête du football à Reims : l’Acrap Football-Club organisait ses tournois annuels, avec un « Challenge Jean-Jacques Lapique » en jeu pour chaque catégorie : débutants, poussins, benjamins, 13 ans, et vétérans.
Les clubs ont répondu en masse : 72 équipes et leurs dirigeants, c’est près de 900 joueurs et accompagnateurs qui ont foulé le gazon naturel et artificiel des terrains du complexe sportif Géo-André !
Sur une organisation sans faille, les bénévoles de l’association Croix-Rouge animation promotion ont montré qu’ils maîtrisaient parfaitement une aussi lourde manifestation, que ce soit sur les terrains ou sur les abords.
Les clubs rémois étaient nombreux : Stade de Reims, Acrap (16 équipes dont une féminine), Sainte-Anne (5 équipes), Wilson, La Neuvilette, les Copins, le FC Atlas et Reims amicale FC.
La couronne était bien représentée : Taissy, Saint-Brice-Courcelles (6 équipes), Tinqueux et Cormontreuil. Certains joueurs sont venus de beaucoup plus loin : Muizon, Isle-sur-Suippe, Fismes (6 équipes), Witry-les-Reims, Bazancourt, Sillery, Beine-Nauroy, Soudron, Nord Champagne, Sissonne et même Charleville !
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Organisée de main de maître par les bénévoles de l’ACRAP sur les terrains de Géo André, cette manifestation a rassemblé 72 équipes de joueurs et leurs coaches, entraineurs et quelques familles : au moins 800 personnes.
STADE DE REIMS : 11 joueurs
MUIZON : 22 joueurs
ISLE SUR SUIPPE : 33 joueurs
ACRAP 176 : joueurs
TAISSY 33 : joueurs
SAINTE ANNE : 55 joueurs
FISMES : 66 joueurs
WITRY LES REIMS : 33 joueurs
WILSON : 22 joueurs
BAZANCOURT : 22 JOUEURS
SISSONNE : 44 joueurs
LA NEUVILLETTE : 33 joueurs
SAINT BRICE COURCELLES : 66 joueurs
TINQUEUX : 44 joueurs
SILLERY : 22 joueurs
CHARLEVILLE : 11 joueurs
COPAINS DE REIMS : 11 joueurs
BEINE NAUROY : 11 joueurs
F.C. ATLAS : 11 joueurs
REIMS AMICALE FC : 11 joueurs
SOUDRON : 11 joueurs
NORD CHAMPAGNE : 11 joueurs
CORMONTREUIL : 33 joueurs
De nombreuses photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie de photos
Hier vers 13 h 30, une épaisse fumée a envahi la cage d’escalier d’un immeuble de l’esplanade Eisenhower, au n° 37.
Elle provenait d’un incendie dans le local à vide-ordures.
Les installations électriques des parties communes ont été détruites.
………
L’équipe de la fête des enfants. |
Trois débats publics vont être organisés à Croix-Rouge par les Points information-jeunesse autour du film de la campagne « Pas de quartier pour les inégalités » lancée par l’Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV).
Ils se dérouleront dans les locaux de la maison de quartier :
mardi 12 juin à 17 heures à l’espace Ethnic’s (rue Jean-Louis-Debar),
mercredi 13 juin à 16 heures à l’espace la Nacelle (3, rue du Docteur-Billard)
et jeudi 14 juin à 17 heures à l’espace Pays-de-France/Béarnais (1, allée des Béarnais).
En mobilisant chaque année 7.500 étudiants bénévoles dans des accompagnements éducatifs réguliers auprès de 10.000 jeunes en difficulté, l’AFEV crée du lien social dans les quartiers défavorisés et lutte activement contre les inégalités.
La mission du consul du Maroc à Reims a rencontré un très grand succès : « Nous avions prévu, avec le consulat, un accueil et une organisation pour 180 à 200 résidents marocains et français d’origine marocaine », se souvient Mohammed El Haddaoui, président de l’association des Travailleurs Maghrébins de France, section Marne : « En réalité, le consul et son adjoint ont reçu 485 personnes au cours d’un marathon de 6 heures du matin jusqu’à 18 heures sans interruption, avec des habitants de Reims, d’Épernay, de Sézanne, de Fismes. »
A la suite de la dernière assemblée générale, le conseil d’administration de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) a été recomposé.
Bureau : président, Jean-Pierre Genesseau. Secrétaire, Antoinette Mabile. Trésorière, Jeannine Catry.
Administrateurs : Virginie Aligard, Colette Bertrand, Bernadette Canu, Djamel Chafik, Virginie Delauzun, Christian Gérard, Céline Herter, Cyril Houppermans, Laurent Julliard, Vincent Lapauw, Théodore Lê, Alain Lommé, Elisabeth Lorique, Jean-Philippe Macadré, Magalie Macadré et Franck Schmitt.
Bonne nouvelle pour les cyclistes du quartier : la Ville vient de lancer un appel public à la concurrence en vue de la création de pistes cyclables avec élargissement des trottoirs le long de l’avenue François-Mauriac, entre le rond-point vers le Creps et Bezannes et le rond-point Jules-Crochet (poste de police).
« La fête du voisinage, dans le secteur Pays-de-France, s’est transformée en fête des enfants : ils étaient plus de 250, à qui l’association « Point rencontres » et le comité de défense des locataires « Et Croix-Rouge ? » ont distribué de la confiserie, des boissons et des gâteaux, avec la participation du voisinage » relatent Salah Byar et Marceau Nicolas, les organisateurs :
« Cela a été l’occasion de renforcer la solidarité et l’entente. »
La section pétanque de l’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours ouvert à tous (doublette) le dimanche 10 juin, sur les terrains Léon-Blum.
Frais de participation : 10 euros par équipe.
Horaires et renseignements auprès de Pierre Agisson au 03.26.06.56.66.
Les représentants des associations aidées ou demandeuses.Cliquez sur cette photo pour en voir d’autres dans notre galerie de photos. |
Depuis 2006, avec la mise en place de la Maison de quartier Croix-Rouge, l’ancienne MJC Croix-Rouge a rendu ses comptes (largement positifs) et a disparu du paysage de l’animation professionnelle.
Elle a été suivie de la création d’une nouvelle structure baptisée, par nostalgie ou souvenir, « l’association MJC ».
Objectif : « être au service de l’ensemble des habitants du quartier, soutenir leurs initiatives qu’elles soient individuelles ou collectives, qu’elles émanent de jeunes ou d’adultes. »
L’association MJC dispose d’une marge de manœuvre originale : le « trésor de guerre » de l’ancienne MJC a bien été cédé à la Maison de quartier de Reims mais avec un accord commun, une grande partie sera réservée à des actions qui concernent le quartier.
C’est ainsi que les adhérents, qui ont participé aux animations de la Maison de quartier Croix-Rouge et des associations (Festival Croix-Rouge s’affiche, crêpes de la solidarité, animations de la semaine intergénérationnelle) ont sélectionné et proposé plusieurs projets lors de la saison précédente :
une troisième édition de camps pour des enfants n’étant jamais partis en vacances,
l’accompagnement et le financement du groupe de danseuses des Meltin Crew,
la naissance de l’association « CréaForm’Aide » (habitants et une animatrice de l’EPMM),
une aide à l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » pour un goûter de fin d’année aux enfants de Pays-de-France,
la fourniture d’une machine à coudre pour l’atelier patchwork du collectif Croix-Rouge accueil (CRA) et
une aide à l’association de promotion de Pays-de-France pour une sortie familiale à Nigloland.
Pour l’avenir, l’association MJC reste donc à l’écoute des nouveaux besoins mais « il nous apparaît urgent de constituer le conseil d’orientation Croix-Rouge pour une meilleure coopération entre professionnels, bénévoles et habitants.
Par ailleurs, les difficultés financières de l’association des Maison de quartier de Reims nous inquiètent : nous restons vigilants et déterminés. »
L’aventure ne va pas s’arrêter en si bon chemin, les demandes abondent :
fabrication de maquettes de locomotives et de petits trains par deux jeunes du quartier,
montage des activités de l’association Kalebass et Cie dans les espaces Billard et Nacelle,
aide à l’association des Panthères grises pour un projet en faveur des personnes âgées du quartier,
aide aux jeunes de Pays-de-France pour l’opération d’assistance aux locataires pendant les travaux de réfection de l’ascenseur du 1 rue Joliot-Curie,
et surtout continuation de l’organisation de deux camps pour enfants à Blacy.
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Le bodystep en projet au sein de l’association Croix-Rouge animation et promotionCliquez sur la photo pour la voir en vraie grandeur et en couleur |
L’association Croix-Rouge animation et promotion envisage la création, à la prochaine rentrée, d’une nouvelle section sportive : « fitness - body-step » , basée sur l’utilisation d’un step à hauteur variable.
Avec des mouvements simples, cette activité sera ouverte aux pratiquants de fitness ou au contraire, aux novices en step.
Chorégraphié et très facile à suivre dès la première fois, même pour les débutants, le bodystep peut remettre en forme en un temps record.
Les personnes qui seraient intéressées peuvent déjà le faire savoir, sans engagement,
auprès du secrétariat de l’Acrap,
11 avenue du président-Kennedy
(Tél. 03.26.06.39.54.)
Le gala de fin de saison du Reims Acrap patinage (RAP) se déroulera samedi 9 juin à la patinoire Bocquaine (Chaussée Bocquaine) à Reims.
Renseignements au secrétariat, téléphone numéro 03.26.06.39.54.
Cinq voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de lundi à mardi.
La première est une Renault Mégane partie en fumée à 23 h 30 rue du Docteur-Jacquinet (quartier Saint-Remi).
L’origine est indéterminée. Une heure plus tard, une Opel Corsa a été incendiée au bout de la faculté des Sciences, chemin des Rouliers. Elle était volée.
Vers 2 h 45, un incendie d’origine suspecte a détruit une BMW puis une Opel Corsa par propagation rue Charles-Roche.
Enfin, vers 5 heures du matin, une cinquième voiture a brûlé allée des Bourguignons, devant le n°6.
La section pétanque de l’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours ouvert à tous (doublette) le dimanche 10 juin, sur les terrains Léon-Blum.
Frais de participation : 10 euros par équipe.
Horaires et renseignements auprès de Pierre Agisson au 03.26.06.56.66.
Le gala de fin de saison du Reims Acrap patinage (RAP) se déroulera samedi 9uin à la patinoire Bocquaine (chaussée Bocquaine).
Renseignements au secrétariat, tél.03.26.06.39.54.
Quel aménagement est-il prévu sur l’emplacement de l’hippodrome ?
C’est cette fois le socialiste Eric Quénard qui a posé la question au maire. « Je veux me faire l’écho de l’inquiétude grandissante des habitants de la Croix-Rouge sur le projet de construction de 900 logements [.]
Sur un quartier très dense, il serait bon que vous annonciez que telle n’est pas votre volonté. [.]
Pour mettre fin aux rumeurs les plus folles il vous faut rassurer la population sur ce qui n’est qu’une étude et vous engager clairement à consulter la population sur le projet. »
Le maire a répondu sans détour. « J’ai prévu d’aller voir la population sitôt les élections pour ne pas polluer le débat. S’il faut déplacer l’hippodrome, il faut de l’argent et ce n’est pas au contribuable de payer, nous ne sommes pas ici en Normandie où le Conseil général a tout pris à sa charge. Ces seize hectares n’étant déjà pas actuellement à la disposition du public, j’ai pensé qu’on pourrait en prendre la moitié pour faire un parc public tourné vers la Croix-Rouge et construire le reste pour financier l’hippodrome, important pour la région. L’idée sera discutée, mais pas par référendum. »
A.M.
Le stand d’accueil avec, au centre, le président. Cliquez sur cette photo pour en voir d’autres dans notre galerie de photos. |
Dans le cadre de l’opération nationale « Rendez-vous aux jardins », l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud a, cette année encore, organisé deux journées portes ouvertes samedi 2 et dimanche 3 juin.
Les visiteurs ont pu bénéficier de visites guidées et commentées et emporter plantes, fleurs, aromates et cucurbitacées avec, en prime, de bons tuyaux de plantation.
Elle était la seule association rémoise, avec le jardin d’horticulture Pierre-Schneiter, à participer à cette manifestation nationale.
Plus de soixante jardiniers mettent tous leurs soins à présenter un ensemble de parcelles potagères fort bien cultivées et très fleuries, tout en participant à un travail collectif remarquable d’aménagement de l’environnement, sous l’impulsion de leur président, Georgy Weiler, qui ne ménage pas sa tâche avec de nombreux bénévoles.
Jardins familiaux de Croix-du-Sud, rue Joliot-Curie (tél.03.26.06.71.76.) Site : http://jardinscroixdusud.site.voila.fr
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Le professeur Morville aux côtés de Mmes Constant et Caron, directrice du CAMS. |
Le but du centre d’action médico-sociale (CAMS) est de dépister le plus tôt possible tous les handicaps des très jeunes enfants, notamment à la suite de réanimation, ou des prématurés.
Fonctionnant depuis 2002 dans un local de 170 m2 à la place des urgences psychiatriques de l’hôpital, il accueille de plus en plus d’enfants. D’où la nécessité de s’agrandir.
C’est ainsi qu’un terrain de 1.800 m2 a été acquis au 5 bis allée des Landais où est actuellement en construction un nouveau centre de 1.000 m2 qui devrait accueillir 1.100 enfants de 0 à 6 ans (200 en prise en charge et 900 en dépistage). Le budget pour la construction de ce bâtiment est de 2,5 millions d’euros.
« Nous voulons que les enfants aient envie d’y venir », souhaite le professeur Patrice Morville, président de l’association « Bien naître en Champagne-Ardenne » qui, mercredi 30 mai, s’est vu remettre un chèque de 100.000 euros des mains de Bénédicte Constant, directrice générale adjointe du Crédit agricole du Nord-Est. « Nous avons un rôle à jouer auprès des personnes qui ont des difficultés », explique celle-ci.
Ce centre est aujourd’hui en phase d’achèvement ; son ouverture est prévue en juillet et son inauguration en octobre. De 24 personnes (soit 12 équivalent temps plein), il devrait employer à terme 21,5 ETP.
Les scouts, porteurs de valeurs nobles. |
Les Scouts musulmans de France, district Champagne-Ardenne, organise ce dimanche 3 juin une journée portes ouvertes au gymnase Joliot-Curie et salle Mauriac à Reims.
L’accueil se déroulera dès 9 h 30.
Au programme expositions, stands, animations scouts séances de dédicaces du livre « l’Islam dans la cité ».
L’après-midi, à partir de 14 h 30, grand colloque avec la présence de Catherine Vautrin, Adleine Hazan, Tareq Oubrou (président des Imams de France), Daniel Robinson et Yacine Demaison (président et vice-président du scoutisme français).
Renseignements auprès du groupe de Reims au 03.26.06.25.49.
« SCOUTS toujours ? Prêts ! » Cinquante enfants et un même cri du cœur devant le centre culturel de Saint-Memmie. Parce que le scoutisme a cent ans, les scouts musulmans de France ont pris leur bâton de pèlerin.
Par le biais d’un relais de ville en ville, opération appelée « La Flamme de l’espoir », ils traversent l’hexagone, en bus, pour promouvoir un message d’espérance fondé sur les valeurs nobles offertes par le scoutisme.
A ce bus est associé le flambeau olympique offert par la Grèce à la France lors des jeux olympiques. Il a été prêté par le comité national olympique français. Il sert de passage de témoin symbolique.
A chaque ville une thématique. Le bus est parti de Bordeaux le samedi 12 mai. Il s’est déjà arrêté à Toulouse, Marseille, Cannes, Lyon et Grenoble. Il terminera son périple à Paris le 1er juillet.
En attendant sa venue à Saint-Memmie samedi 16 juin, les scouts organisent à Reims une journée portes ouvertes demain dimanche 3 juin, sur le thème de l’égalité des chances.
L’inauguration aura lieu au gymnase Joliot-Curie.
La matinée, de 10 h 30 à 13 h 30, salle Mauriac, une grande exposition retraçant l’histoire des scouts musulmans de France sera organisée entre autres animations, tombola et stands.
Dès 14 h 30 et jusqu’à 16 h 30, un colloque, sous forme de trois thèmes concernant les jeunes verra les interventions de Catherine Vautrin, ex-ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la Parité, Tareq Oubrou, président des imams de France, Danièle Robinshon et Yacine Demaison, président et vice-président du scoutisme Francais.
Un débat s’ensuivra, puis un spectacle de 18 à 20 heures.
Retour au relais samedi 16 juin à Saint-Memmie, puis Châlons et Reims. D’un hôtel de ville à l’autre, seront au programme passation de relais, lâcher de colombes, rencontres avec les jeunes des quartiers, (Vauban à Saint-Memmie de 10 à 10 h 30, la Bidée à Châlons de 12 à 14 heures, et enfin Orgeval, Wilson et Croix-Rouge à Reims. aux environs de 16 heures).
A l’issue de la journée, le département de la Marne passera le flambeau aux scouts d’Alsace.
F.M.
Un Rémois a été condamné hier à cinq ans de prison ferme pour avoir lardé de coups de couteau son beau-frère après une soirée d’anniversaire. Il s’était acharné sur la victime frappée au thorax et à la tête.
PIERRE-ALEXANDRE a échappé de peu à la mort, son agresseur aux assises. « A quelques centimètres près, c’était le cœur. »
Le 26 novembre 2006, Olivier Grego, 21 ans, a lardé son beau-frère de plusieurs coups de couteau au thorax et à la tête dans un appartement de la rue de Rilly-la-Montagne à Reims.
Le jeune homme séjournait régulièrement chez la sœur de la victime. C’est avec eux, en cette soirée du 25 novembre, qu’il part fêter un anniversaire au domicile d’une voisine.
Olivier boit beaucoup de whisky. La veille, il avait fumé « vingt joints ». Vers 4 h 30, la fête terminée, le trio regagne l’appartement. Alors qu’il s’apprête à se coucher, Olivier Grego entend une dispute entre sa sœur et Pierre-Alexandre.
Le couple, qui se chamaille pour une broutille, le voit surgir dans la chambre.
« Je me suis battu avec lui car j’ai cru qu’il avait porté des coups à ma sœur » explique-t-il lors de son procès hier au tribunal correctionnel de Reims.
La sœur s’enfuit, appelle la police. A l’arrivée des agents, Olivier Grego se précipite vers eux, surexcité. « Je vais vous niquer ! C’est moi qui l’ai planté, cet enc. ! »
Le beau-frère est retrouvé au sous-sol, adossé contre un mur. Il saigne abondamment de la tête et de la poitrine. La lame d’un couteau est fichée dans le thorax, près du cœur : le manche s’est cassé sous la violence des coups.
Secouru par le Samu, Pierre-Alexandre est sauvé. Il va s’en tirer avec quinze jours d’incapacité totale de travail malgré les nombreux coups de couteau relevés sur le crâne et au thorax.
« Il s’est vu mourir ! Il avait du sang plein la bouche, un couteau dans le corps, il sentait qu’il s’affaiblissait » s’insurge son avocate, Me Fanny Quentin. D’autres couteaux ensanglantés ont été retrouvés dans l’appartement, dont un à côté d’un maillot utilisé pour essuyer la lame.
Etourdi par l’alcool et le cannabis, le prévenu n’a gardé aucun souvenir des faits. Quatre heures après, son taux d’alcoolémie avoisinait encore le gramme par litre mais les constatations ont permis d’établir qu’après avoir brisé le manche du couteau en le plantant dans le thorax de la victime, il était retourné en chercher d’autres.
Des faits gravissimes qui amènent le parquet à requérir sept ans de prison ferme.
Déscolarisé depuis l’âge de 16 ans, Olivier Grego n’appréciait pas son beau-frère. Selon un proche, « il n’a jamais eu de sympathie pour lui, le méprisait ». Il y eut même de précédentes menaces avec un couteau mais à l’époque, Pierre-Alexandre n’avait pas déposé plainte.
Pour Me Lydie Laithier, son client ne supportait pas la présence envahissante du beau-frère chez sa sœur. « A trois dans l’appartement, ça ne pouvait plus aller. Cette promiscuité ne pouvait que mal finir. »
L’abus d’alcool et de cannabis - dont la consommation « exacerbe son agressivité » a noté l’expert - ont fait le reste.
Après en avoir délibéré, le tribunal correctionnel condamne Olivier Grego à cinq ans de prison avec maintien en détention. Le jeune homme repart dans le couloir cellulaire en donnant un violent coup de pied dans la porte.
F.C.
Le réseau Pôle Sud Musique (réseau des musiques actuelles amateurs des Maisons de quartier de Reims) organise en partenariat avec La Cartonnerie et NRJ Reims l’édition 2007 du dispositif « Jeunes talents ».
Ce tremplin s’adresse aux groupes amateurs répondant aux critères suivants : groupes du département de la Marne proposant un répertoire original et n’ayant remporté aucun dispositif ou tremplin musical.
Les quatre groupes retenus, suivront tout un panel de formations techniques personnalisées, avant d’être programmés à La Cartonnerie à Reims, fin octobre.
Les dossiers d’inscription seront remis sur rendez-vous jusqu’au 28 juin inclus.
Date limite de retour des dossiers d’inscription : 29 juin à 17 heures.
Renseignements complémentaires et dossiers d’inscription :
- Boris Claudel, coordinateur du réseau Pôle Sud Musique,
- Maison de quartier Croix-Rouge,
- 1 allée des Picards à Reims
- Tél. 03.26.86.10.71.
- ou site Internet www.polesudmusique.com
[1] ATMF Reims. 3, allée Picards - 51 000 REIMS. Tel : 03 26 36 68 43
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