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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - octobre 2010.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010.

 

 

 


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Feux de poubelles : Deux jeunes suspectés d’incendies écroués

Deux jeunes Rémois de 18 et 24 ans ont été arrêtés après la mise à feu de trois conteneurs au quartier de l’Europe, durant la nuit de vendredi à samedi (notre précédente édition).

Présentés au parquet, ils ont été écroués dans l’attente de leur comparution cet après-midi, devant le tribunal correctionnel de Reims. Originaires du quartier, les deux prévenus sont soupçonnés d’avoir incendié les conteneurs rue de l’Adriatique et sur le parking de la piscine des Thiolettes, au terme d’une soirée d’anniversaire bien arrosée.

D’autres feux de poubelles - suivis d’aucune interpellation - ont émaillé la nuit rémoise de dimanche à lundi. Pas moins de six interventions distinctes ont été assurées par les pompiers : rue Dumont-d’Urville à 20 h 45 ; rue de Louvois à 22 heures ; route de Bezannes à 23 h 30 ; rue de Canterbury à minuit ; rue Louis-Paul-Bocquet à 0 h 35 et rue de la Bonne-Femme à 1 heure.


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Union101102b
CESSION DE FONDS DE COMMERCE

OFFICE NOTARIAL PORTE MARS

M Jean NUCCI et Danièle PONCE
Notaires
Reims (Marne)
5, boulevard Désaubeau

CESSION DE FONDS DE COMMERCE

Acte : Maître Danièle PONCE, notaire à Reims (Marne) du 13 octobre 2010 enregistré à Reims Nord, le 18 octobre 2010, bordereau 1251 case 1.

Cédant : Madame Fatima HOUDARRI, commerçante, divorcée en premières noces, non remariée, de Monsieur Mohamed LACHHAB, demeurant à Reims (Marne), 10, allée des Provençaux, appartement A, née à Ait Jbel Doum (Maroc) le 30 décembre 1964.

Cessionnaire : la société dénommée TELEBAZAR, société à responsabilité limitée au capital de 2.000 euros ayant son siège social à Reims (Marne) 9, place Auguste-Rodin en cours d’immatriculation au registre du commerce et des société de Reims.

Commerce : un fonds de commerce de vente prêt-à-porter hommes, femmes et enfants, chaussures, accessoires, vente de produits soins pour le corps, maquillage, vente produits africains et orientaux, taxiphone, vente de produits alimentaires et boissons non alcoolisées, épicerie et produits étrangers, import-export. Vente non sédentaire prêt-à-porter hommes, femmes, enfants, chaussures accessoires, produits de beauté, sacs, maroquinerie et tous commerces non réglementés connu sous le nom de AMIRA, situé et exploité à Reims (Marne), 9, place Auguste-Rodin.

Prix : 5.000 euros (cinq mille euros)

Jouissance : à compter du 13 octobre 2010.

Oppositions : dans les dix jours de la dernière en date des insertions légales en l’étude de Maîtres NUCCI et PONCE, notaires associés à Reims (Marne), 5, boulevard Désaubeau, où domicile est élu.

Pour unique insertion, Danièle PONCE.

51L1781172


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Union101102a
PLURIHABITAT L’EFFORT REMOiS

AVIS D’APPEL PUBLIC A CONCURRENCE

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’H.L.M. au capital de 3.200.000 euros, inscrite au R.C.S. sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Maître d’oeuvre conception et exécution : AXIS Architecture, M. Tanguy RODIER, 13, rue de la Fontaine, 77700 Serris, tél. 01.60.43.26.46, fax 01.60.43.26.47, Mail : axis77@axis-architecture-77.net

Objet et lieu d’exécution : marché de travaux de réhabilitation d’un bâtiment de bureaux avenue Robert-Schuman à Reims (51100). Réf. : DG-011010

Procédure : appel d’offres ouvert européen soumis à l’ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 20051742 du 30 décembre 2005.

Code C.P.V. (marché européen) : 45000000-7.

Le marché unique, objet de la présente consultation, sera attribué à une entreprise générale ou à un groupement d’entreprises solidaires ayant remis une offre portant sur l’intégralité de la prestation.

Composition du marché unique : prestation générale pour la réhabilitation d’un bâtiment de bureaux avenue Robert-Schuman à Reims, décomposée en 21 lots : Désamiantage / Démolitions / Gros-OEuvre / Structure métallique / Bardage-Panneaux de façade / Menuiserie aluminium / Serrurerie / Etanchéité / Plâtrerie / Faux-plafonds / Menuiserie bois / Courants forts-faibles / Chauffage / Planchers techniques / Plomberie / Sols scellés / Peinture / Ascenseur / Sols souples / Façade végétalisée / VRD-Espaces verts.

Délai d’exécution : 11 mois (compris préparation de chantier, intempéries et congés payés).

Date limite de réception des candidatures et des offres : le mardi 7 décembre 2010 à 12 heures, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés, PLURIHABITAT L’EFFORT RÉMOIS, 7, rue Marie-Stuart, 51100 Reims.

Le dossier de consultation sera disponible uniquement sur Internet et pourra être téléchargé gratuitement, à partir du lundi 8 novembre 2010, aux adresses suivantes : http://www.effort-remois.com rubrique « Appel d’Offres » ou http://www.lunion-legales.fr

Référence du marché : DG-011010.

Pour tout renseignement technique contacter : M. Tanguy RODIER, CABINET AXIS ARCHITECTURE au 01.60.43.26.46.

Pour tout renseignement administratif contacter : Service marchés : Mme GALLOIS au 03.26.04.99.05, Mme FORRAY au 03.26.05.92.33, M. MEUNIER au 03.26.04.99.82.

Date d’envoi du présent avis à la publication : le Jeudi 28 octobre 2010 au J.O.U.E. et aux J.A.L. L’UNION (éditions Marne, Aisne, Ardennes), L’AISNE NOUVELLE, L’EST ECLAIR (10), L’EST REPUBLICAIN (55), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (52) et LE MONITEUR.


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Union101102a
Feux de voitures

Dimanche, la police a découvert les restes calcinés d’une voiturette Microcar dans la zone industrielle de la Croix-Maurencienne à Saint-Brice-Courcelles. Elle avait tout l’air d’être volée.

Hier vers 1 heure, une Peugeot 307 a brûlé allée Edgar-Degas.

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Union101101a

Ça a chauffé ce week-end

Trois des quatre véhicules détruits à Cormontreuil avaient déjà été évacués par leur propriétaire.
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Quatre samedi ! Quatre dimanche ! Au total, ce week-end, ce sont quatre voitures qui ont été endommagées, au mieux ; détruites, au pire par divers incendies allumés sur Reims et sa région. Triste bilan qui ne s’arrête pas là puisque le feu aura également détruit un matelas, des poubelles ainsi que des containers. Pour autant, si l’ensemble de ces sinistres a mobilisé les forces de l’ordre une grande partie de ce week-end de la Toussaint, certains ne resteront pas impunis puisque plusieurs interpellations ont eu lieu notamment au cours de la nuit de samedi à dimanche.

Samedi entre 17 h 10 et 18 h 56, deux feux détruiront poubelles et containers boulevard Pommery et avenue du général Bonaparte à Reims. À 19 h 42, toujours avenue Bonaparte, c’est un appartement régulièrement squatté qui sera le théâtre de plusieurs départs de feu, heureusement sans gravité. À 19 h 43, rue René-de-Bovis, dans le quartier Sainte-Anne, 10 m2 de toiture seront touchés par un incendie allumé dans un cabanon de jardin. Feu rapidement circonscrit par ailleurs. À 22 h 32, rue Paulin-Paris dans le quartier de Neufchâtel, un feu de poubelle noircira également la porte de garage d’une maison particulière. À 2 h 58, un matelas sera la proie des flammes rue de Bel air dans le quartier Tunisie. Le sinistre sera circonscrit avant l’arrivée des pompiers. À 3 h 20, nouveau feu de container rue de Solférino à Neufchâtel.

Un anniversaire bien arrosé

Ce dimanche, vers 5 h 39 ce sont quatre voitures qui ont été détruites rue de Champagne-Ardenne à Cormontreuil. Il s’agit plus précisément d’une R 21, déclarée volée depuis le 30 octobre qui a été incendiée. Le feu s’est alors propagé à une Golf, une Peugeot 206 et à une Laguna les détruisant partiellement. L’enquête est toujours en cours pour déterminer les responsables de cet acte.

En revanche, les policiers de la sûreté urbaine de Reims ont résolu une série d’incendies en interpellant les auteurs en flagrant délit. Les faits remontent à samedi, aux alentours de 2 h 10. Trois containers avaient été pris pour cible notamment sur le parking de la piscine des Thiolettes ainsi que rue de l’Adriatique, dans le quartier Europe. Un cyclomoteur avait également été la proie des flammes juste après.

L’ensemble de ces incendies est à mettre à l’actif de deux Rémois, l’un âgé de 24 ans, inconnu des services de police, ainsi que d’un jeune majeur, en revanche lui est déjà bien connu des policiers. C’est d’ailleurs grâce à son pedigree que le jeune homme a pu être identifié. Il s’avère que les deux incendiaires, résidant dans le quartier Europe, avaient participé à une soirée anniversaire, particulièrement arrosée et que cette dernière s’était achevée par un jeu totalement idiot. L’un des deux Rémois a d’ailleurs confié être le propriétaire du cyclomoteur brûlé. Ils ont tous les deux reconnu les faits sans pourtant expliqué leur geste. Les deux gardés à vue devaient être présentés au substitut du procureur de Reims au cours de l’après-midi de dimanche.

Corinne LANGE

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Union101031a

Feux en série : Quatre voitures brûlées au cours de la nuit

Le feu qui a détruit la ZX s’est propagé à la Peugeot 207, stationnée rue Estienne-d’Orves dans le quartier Wilson.
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Containers, poubelles, vide-ordures, voitures et même des cyprès ont été la cible d’incendies plus ou moins importants au cours de la nuit de vendredi à samedi à Reims.

Les plus conséquents portent évidemment sur des véhicules dont trois ont été entièrement détruits et le quatrième fortement endommagé en raison de la propagation d’un feu.

La série noire a débuté vendredi à 21 h 10 rue Pierre-Fresnay dans le quartier des Châtillons par un feu mis à des cyprès chez un particulier. L’incendie a été maîtrisé avant l’arrivée des pompiers.

A 23 h 56, allée des Landais à Croix-du-Sud, c’est une Ford Escort qui a été la cible de vandales, les portières ayant été pliées avant que le véhicule ne soit détruit par un incendie.

Samedi à 1 h 23, des containers ont été incendiés avenue de l’Europe, juste en face de la piscine des Thiolettes.

A 2 h 08, rue de l’Adriatique toujours dans le quartier Europe, ce sont trois poubelles qui ont cette fois-ci été brûlées et entièrement détruites.

A 2 h 46, rue Lucien-Bettinger à Orgeval, deux petits containers ont également été incendiés.

A 3 h 22, c’est un local vide-ordures situé rue Maurice-Pelletier à Europe qui a été la cible de petits plaisantins. Bilan : un mur entièrement noirci par les flammes.

A 5 h 04, petit détour par le quartier Wilson où une Citroën ZX a été incendiée au bout de la rue Estienne-d’Orves. Un second véhicule, une Peugeot 207, a été partiellement endommagé en raison de la propagation de l’incendie.

Moins de trente minutes plus tard, à 5 h 30, c’est une voiture encore non identifiée qui a été brûlée boulevard Louis-Barthou à Wilson.

A priori, selon l’enquête menée par la sûreté urbaine de Reims, aucun lien ne semble relier ces différents incendies. Des investigations sont toujours en cours pour identifier les auteurs de ces feux.

C.L.

Les personnes qui auraient pu apercevoir des agissements suspects sont invitées à contacter le commissariat de Reims : tél. 03.26.61.44.00.

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Union101030a

Fermeture du Château d’eau durant l’hiver

Le Château d’eau fermera ses portes durant l’hiver.
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La direction de la Maison de quartier Croix-Rouge vient d’annoncer que le Château d’eau fermera durant l’hiver pour préserver ses salariés.

C’est aujourd’hui officiel, pour des raisons de conditions de travail, l’espace Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge, connu aussi sous le nom du Château d’eau, fermera ses grilles durant toute la période hivernale, laissant ainsi de nombreux jeunes à la rue. Ils n’auront peu ou plus de lieu pour se réunir durant cette trêve.

Alors que l’on entend parler d’insécurité dans les quartiers, la direction de la Maison de quartier décide de fermer une des armes pour lutter contre celle-ci durant l’hiver, la saison où les lieux sont le plus souvent occupés. Et du coup, elle compte envoyer les animateurs sur d’autres secteurs, de la ville et du quartier, laissant Croix-du-Sud quasi-désert.

« On est sur une fermeture temporaire, rien d’autre. Cette fermeture ne sera pas définitive, elle concerne seulement la période hivernale. Je le répète, il n’y aura aucune fermeture définitive tant que l’on n’aura pas un autre lieu à proposer aux jeunes du quartier », explique Éric Quénard, premier adjoint du maire de Reims.

Ethnic’s, comme les jeunes l’appellent, devrait de toute manière fermer vers 2015 puisque les lieux ne seront plus conformes à la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, qui prévoit que tous les établissements recevant du public (ERP) devront passer un diagnostic d’accessibilité et avoir fait l’objet de travaux nécessaires pour être accessibles au 1er janvier 2015.

Ethnic’s ne bénéficiera jamais de ces aménagements du fait des coûts très élevés des travaux.

« C’était à prévoir »

Cette fermeture a été décidée à la suite de plaintes des animateurs sur leurs conditions de travail et sur l’accueil des jeunes durant l’hiver. Le Comité d’hygiène, de sécurité, et des conditions de travail (CHSCT) a été saisi et après enquête, a effectivement confirmé que les conditions de travail n’étaient pas réunies pour permettre aux salariés de mener à bien leurs missions.

« C’est honteux lorsque l’on voit l’argent gaspillé pour des trucs qui durent un mois alors que la vie d’une structure qui fonctionne toute l’année est beaucoup plus importante. De toute façon, c’était à prévoir vu comment ils (la direction, NDLR) ont laissé crever les lieux. Aucune rénovation dans le matériel, aucun travaux d’isolation, des animateurs qui partent et qui ne sont jamais remplacés… Qu’est-ce qui va se passer maintenant ? Les jeunes ne seront pas encadrés, ils vont faire des conneries dans le quartier ou squatter les halls d’immeubles. Les plus stupides vont cramer des bagnoles et c’est malheureux à dire, mais c’est à ce moment-là que les élus et les directeurs vont venir donner des choses. C’est stupide, car ils vont conforter l’idée que c’est en ayant cette attitude que l’on obtient des choses alors que s’ils nous écoutaient, on leur prouverait le contraire », explique Karim, un jeune de Croix-du-Sud. « Nous sommes chaque jour sur un volcan qui peut péter à tout moment. Ce genre de décision stupide prise par des gens qui sont à des années-lumière de la réalité peut mettre le feu aux poudres. Je ne le souhaite pas car le quartier est aujourd’hui très calme mais ce sont les habitants, les commerçants et les jeunes eux-mêmes que cela va pénaliser », conclut un commerçant du quartier.

T.A.F.

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Les raisons de cette décision sont diverses

Selon Marie-Elisabeth Causin, directrice de la Maison de quartier Croix-Rouge, les raisons de cette fermeture sont nombreuses. Il n’y a pas que le problème des conditions de travail lié au froid dans les locaux.

Elle revient sur l’historique des financements des salaires des animateurs mais aussi sur les subventions qui ont longtemps payé les activités qui s’y déroulaient, expliquant que « le contrat ville, de même que le Cucs sont des dispositifs qui permettent l’expérimentation et l’innovation mais qui n’ont pas pour vocation de pérenniser les actions ».

Ainsi, le dossier culture de quartier (qui a longtemps financé les activités d’Ethnic’s) a vu ses montants réduits sans être repris pour autant sur des financements de droit commun. « Nous avons dû demander une participation aux adhérents afin de maintenir les actions », ajoute la directrice.

Elle revient aussi sur l’arrivée d’autres associations et acteurs dans le domaine de l’emploi et de la formation sur le secteur de Croix-du-Sud qui, en quelque sorte, aurait fait de l’ombre au Point info jeunesse du Château d’eau.

« Toutes ces raisons conjuguées nous ont conduits à maintenir les quelques activités existantes en les déplaçant sur les Maisons de quartier Wilson/Maison-Blanche, ce qui ne pénalise pas le quartier puisque la majorité des adhérents ne réside pas à Croix-Rouge », affirme Marie-Élisabeth Causin.

T.A.F.

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Union101029c

« L’été s’affiche à Croix-Rouge » : L’heure des bilans

Des animations étaient proposées pour toutes les tranches d’âge.
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L’animation tout public pour l’été 2010, « L’été s’affiche à Croix-Rouge », proposée par la maison de quartier Croix-Rouge, s’est déroulée du 5 au 22 juillet sur le site de l’hippodrome de Reims. Arrive maintenant l’heure des bilans.

Une réunion officielle est programmée jeudi 4 novembre à 18 h 30 à l’espace La Nacelle, 3, rue du docteur-Billard, sous la présidence du premier adjoint Éric Quénard.

Toutes les associations et institutions du quartier, qu’elles aient ou non participé, ont été invitées par Yves Pringault, directeur des activités jeunesse de la Maison de quartier.

 

 

 

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Union101029b

127 366 € de subventions aux associations

Lundi soir, au cours de sa réunion, le conseil municipal a voté pour près de 128 000 € de subventions aux associations.

- Subvention d’équipement : Etoile Croix du Sud, 1 830 €.
- Congrès et assemblée générale : association rémoise des jardins familiaux, 313 € ; centre d’accueil et de soins pour les toxicomanes, 1 200 €.
- Actions touristiques : société des Amis de la cathédrale, 8 250 € ; parc naturel de la Montagne de Reims, 10 000 €.
- Associations à caractère éducatif : Fédération des conseils de parents d’élèves, 8 500 € ; association des parents d’élèves de l’enseignement public, 8 500 € ; association Prépareims, 7 000 € ; Éclaireurs et éclaireuses unionistes groupe Albert-Schweitzer, 800 € ; association départementale des Francas de la Marne, 1 500 € ; scouts et guides de France, 1 500 €.
- Projets associations socio-éducatives : association des parents d’élèves de l’enseignement public de l’agglomération, 600 € ; Reims échec et mat, 240 € ; association départementale des Francas de la Marne, 12 440 € ; action catholique des enfants, 800 € ; association des maisons de quartier de Reims, 850 €.
- Service municipal d’accueil : culture et bibliothèque pour tous du département de la Marne, 1 500 € ; art et culture d’Afrique de l’Ouest, 2 323 € ; association prévention Maif antenne de la Marne (action sécurité routière), 1 000 €.
- Projets étudiants : association de la fondation étudiante pour la ville, 10 000 € ; jeunes engagés, 1 600 €.
- Fonctionnement clubs sportifs : Cercle rémois de boxe française, 1 500 € ; roller club rémois, 1 200 €.
- Projets et manifestations : Reims haltérophilie et musculation (découverte haltérophilie au collège Legros), 2 500 € ; Reims basket féminin (découverte et initiation basket dans les quartiers, accueil des filles issues de milieu défavorisé), 7 100 € ; Cercle rémois d’arts martiaux (développement du full-contact dans les quartiers et gala de full-contact), 6 920 €.
- Association de relations avec les quartiers : Jeunesse et espoirs Pays de France, 4 500 €.
- Projets dans le cadre du fond d’initiative locale : Etoile Croix du Sud (voyage de l’amitié), 700 € ; avenir jeunes Reims, 3 000 € ; association des maisons de quartier de Reims (Anim3 Fontaines, fête du quartier), 2 000 €.
- Associations à caractère sanitaire et social : centre départemental des professions de santé de la Marne, 3 000 € ; à Chœur joie, 500 €.
- Animation commerciale : Syndicats des commerçants non sédentaires de Champagne-Ardenne, 13 700 €.

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L’hebdo du vendredi- n° 187 - 101029a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 187 - Semaine du 29 octobre au 04 novembre 2010

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Santé – Solidarité : Don du sang, don de soi !

Il faut 5 dons pour sauver une vie.
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En période réputée critique des vacances de la Toussaint, quatre étudiantes rémoises organisent trois jours de dons du sang (ouverts à tous), à la bibliothèque Robert de Sorbon sur le Campus universitaire Croix-Rouge.

« Nous avions envie de faire quelque chose d’utile et de fédérer pas mal d’étudiants autour de notre projet » expliquent en choeur Flavie, Andréa, Fatoumata et Pauline, quatre étudiantes en Master Management spécialité Finance de l’Université de Reims Champagne-Ardenne, « nous avons donc décidé d’organiser trois journées de don du sang au sein de la fac ».

Cette débauche d’énergie s’inscrivant dans le cadre d’un projet inhérent à leurs études, les « drôles de dames » désireuses de faire acte de citoyenneté, se sont donc investies sans compter (logistique, communication…) pour mener à bien leur dessein en un temps record. Travaillant main dans la main avec Bernard Sénon, directeur de communication à l’EFS (Etablissement Français du Sang) de Reims, les étudiantes ont su, par leur motivation, faire l’unanimité autour d’elles et rassembler des partenaires privés pour les accompagner dans leur « mission ». Aussi, les Biscuits Fossier, Monoprix ou encore Emmanuel Grandmengin, un pâtissier de Tinqueux se sont ralliés à leurs sourires communicatifs pour fournir les jours J, une collation « améliorée » (gâteaux, viennoiseries…) à tous les donneurs, le Crédit Agricole du Nord Est se chargeant, lui, de certains supports de communication. « Nous voulons atteindre les 500 dons, c’est un vrai challenge quand on sait que généralement sur trois jours, l’EFS n’a que 150 personnes qui osent pousser les portes du centre ou du camion de collecte » explique Flavie.

Dans une période particulièrement accidentogène sur les routes, les quatre jeunes femmes veulent également par leur initiative inviter les étudiants à adopter de bons réflexes en devenant des donneurs réguliers. « Moi-même, je n’étais pas sensible à ce genre d’initiative » explique Andréa, « mais sachant que 5 dons sont nécessaires pour sauver une vie, ça m’a fait réfléchir et j’ai décidé de franchir le pas ». Collations de luxe, sourires féminins, lieu de collecte insolite, que vous soyez étudiant ou non (la collecte étant ouverte à tous), vous n’aurez pas d’excuse pour ne pas pousser la porte de laBibliothèqueRobert de Sorbon le 2, 3 ou 4 novembre !Abon entendeur… salut et rendez-vous à la fac !

Les collectes auront lieu à la Bibliothèque Robert de Sorbon (Campus Croix-Rouge) les 2, 3 et 4 novembre de 9h à 11h30 et de 13h à 18h. Ouvert à tous.


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Social – Associations : CUCS 2011 : pour réduire les inégalités

Mardi 26 octobre, à l’Hôtel de Ville, les associations sont venues nombreuses assister à la présentation des orientations du CUCS 2011.
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Dans le cadre du contrat urbain de cohésion social (CUCS), la Ville de Reims et l’État se sont de nouveau engagés à soutenir une centaine d’initiatives en 2011 dans les quartiers les plus défavorisés. L’appel à projet est d’ores et déjà lancé. _Né sur les cendres du contrat de ville, initié en 2000 par le gouvernement Jospin, le CUCS vise à aider au développement des quartiers dits prioritaires, en favorisant notamment la cohésion sociale en leur sein, afin de réduire les inégalités entre les territoires d’une même ville. En 2010, ce sont 120 projets, pour un montant global de 2 millions d’euros, qui ont été financés conjointement par la Ville de Reims et l’État dans le cadre du CUCS. Ces actions menées par des associations, touchant principalement aux domaines de l’éducation, de la culture ou encore du sport, ont ainsi contribué à créer du lien social dans l’ensemble des quartiers et en particulier dans ceux identifiés comme les plus défavorisés (Croix- Rouge, Les Epinettes, Orgeval et Wilson). Pour 2011, le CUCS est donc reconduit et c’est dès aujourd’hui que la programmation se prépare. Ainsi, les associations désireuses de présenter des actions sont invitées à déposer leur dossier de demande de subvention avant le 31 décembre 2010. Mais attention, pour bénéficier du CUCS, les associations se doivent de proposer des projets relatifs aux thèmes ciblés par la Ville de Reims et l’État et ceci afin de mieux répondre aux différents problèmes rencontrés dans les quartiers. Les actions devront donc concerner l’accompagnement des opérations de renouvellement urbain, l’accès à l’emploi, la prévention de la délinquance, la réussite éducative, la lutte contre les discriminations ou la santé.

Au vu des actions menées ces dernières années, il apparaît que certaines thématiques sont délaissées. C’est particulièrement vrai pour l’emploi et la santé. Acteurs de votre ville, à vous de jouer. Pour déposer un dossier dans le cadre du CUCS, il est nécessaire de prendre contact avec la Ville de Reims (Direction de la politique de la ville et de l’habitat). Tél. : 03 26 35 61 73.


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JUSQU’AU 31 DÉCEMBRE 2011 : « MUSIQUE EN IMAGES »

Un itinéraire en trois étapes, sur trois médiathèques, allant des clichés d’artistes jamaïcains par Jérémie Kroubo Dagnini (Laon-Zola à partir du 4 novembre), aux “instants volés” en live lors des festivals de jazz rémois par Alain Julien (Croix-Rouge à partir du 19 octobre), en passant par Renaud Monfourny (photographe des Inrocks) et son objectif transcendant les stars internationales du rock (Jean Falala à partir du 4 novembre).

Entrée libre
Médathèques Croix-Rouge, Laon-Zola et Jean Falala


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Concert au profit de l’UNICEF


L’Ensemble Vocal d’Enfants se produira mardi 16 novembre à 20h au Conservatoire de Reims à l’occasion d’un concert donné au profit de l’UNICEF.

Au programme : Mendelssohn, Mozart, Bernstein… sous la direction de Yves Weeger et de Françoise Perpète au piano.

Participation libre.
Renseignements au 03 26 86 77 04.


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Stages de langue des signes

L’association "Des gestes pour se comprendre" organise à Reims des stages intensifs de langue des signes française du lundi 29/11 au vendredi 03/12 et du lundi 06/12 au vendredi 10/12.

Horaires : 9h15 - 12h15 et 13h30 - 16h30. Rens. : 03 26 08 96 48 ou infos.lsf@dgpc.fr

Des Gestes Pour se Comprendre : 57 esplanade du Général Eisenhower Burofac BP 5 - 51571 REIMS Cedex2 Tél : 03.26.08.96.48 Fax : 03.26.04.19.09 infos.lsf@dgpc.fr

Service Social : 122 bis rue du Barbâtre 51100 REIMS infos.social@dgpc.fr


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 101028c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7365 du 25 au 31 octobre 2010.

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CONSTITUTION DE SOCIETE

AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 15 octobre 2010, il a été constitué la société à respon-sabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :

- FORME : S.A.R.L.
- DENOMINATION : SARL M.M.S.
- ENSEIGNE : MMS DECO.
- CAPITAL : 1.000 f, divisé en100 parts de 10 € chacune entièrement souscrites et libérées.
- OBJET : Travaux de peinture de bâtiment ; Intérieur et extérieur, papiers peints, revêtements muraux et sols, ravalements.
- DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.
- SIEGE : 30 avenue Général Eisenhower - 51100 REIMS.
- GERANCE : Monsieur SAFRAN Murat, demeurant 2 esplanade Hemingway - 51100 REIMS.
- DEBUT D’ACTIVITE : Dès son immatriculation au R.C.S. de REIMS (Marne).

89796 Pour avis : Le gérant.

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Union101028b

Croix-Rouge, le chantier : Un blog poétique pour informer le public.

Franck Simon accompagne Mireille Lamiral-Dupouy dans sa quête et « interprète » les scènes sur le blog.
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Pour le projet « Il était une fois le quartier… Quel chantier ! », dont la direction artistique a été confiée à Mireille Lamiral-Dupouy (psychosociologue et auteur), Franck Simon, animateur du Point-Cyb de la Maison de quartier a été nommé assistant multimédia chargé de prises de vues.

Tous deux vont à la rencontre des habitants, dans différents endroits et à différentes occasions (hippodrome cet été, fêtes de quartiers, dans les rues, parcs, à la faculté…).

Lors de ces rencontres, des textes sont écrits et des photos sont prises pour enrichir le propos, qui alimenteront un blog, pour maintenir le lien avec le public et pour le tenir informé de l’avancement du projet. « Il sera mis à jour en permanence et sera consultable par tous, offrant ainsi un espace d’expression sur le projet », est-il précisé.

Poésie urbaine

D’ores et déjà, les habitants peuvent se connecter sur www.quelbeauchantier.blogspot.com, un concentré de poésie. « Voici un blog qui a déjà pour premier mérite de réunir des gens malgré eux, à travers des textes écrits lors d’une rencontre éclair et risquée dans la rue à ciel ouvert ou couvert, ou à ciel fermé, en sonnant aux portes des institutions, ou des maisons », précise Mireille Lamiral-Dupouy, qui conduit ce projet, « peur au ventre et crayon en main, partie s’exposer aux autres, aux habitants d’une vie et d’une ville, pour le meilleur de l’esprit ».

Tous les textes présentés sont issus, sans retouche, de ces moments. « Entre 5 et 40 minutes, c’est le temps moyen pour aborder gens et thèmes et faire lever la pâte d’écriture et sa tournure, en création partagée. »

Un livre

Dans la foulée, avant de se quitter, une photo est prise, pour appuyer sens et ressenti. Non un portrait, mais une composition choisie par les auteurs et captée par Franck Simon, avec ce qu’on a sous la main ou sous les pieds.

Chaque texte assorti d’une image est signé et livre deux ou trois choses sur la vie des gens. « Ces éclats qu’on vous invite à méditer, commenter » donneront lieu à un livre : « Carnet de Chantier et de Route », qui regroupera par thèmes les textes produits. Un objet de réflexion, d’art, à feuilleter et à compléter en mains propres. Un beau projet à suivre.

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Union101028a
Reims : le campus Croix-Rouge bloqué

Ils se sont fait devancer par les lycéens mais les étudiants comptent bien prendre leur revanche.

En effet, hier, lors d’une nouvelle assemblée générale, le blocage total de la faculté des lettres et des sciences humaines de Reims, sur le campus Croix-Rouge, a été voté.

Aussitôt, les portes de certains locaux ont été bloquées par des amas de tables et de chaises.

Rebelote dès ce matin où dès 7 heures les étudiants grévistes devraient inciter le plus grand nombre à descendre dans la rue afin de défiler à partir de 10 heures dans les rues.

La mobilisation estudiantine sera-t-elle au rendez-vous après les pétards mouillés de ces derniers temps ? Réponse dès 10 heures.

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Union101027a
Reims haltérophilie musculation : Ils forment des petits musclés

Le RHM propose, du lundi au vendredi, des séances destinées aux plus jeunes.
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Au gymnase François-Legros, le Reims haltérophilie musculation (RHM) propose du lundi au vendredi à tous les jeunes, notamment ceux des quartiers Croix-Rouge et Maison-Blanche, une aire de formation. « Les séances ont lieu de 16 à 18 h 30. Quand les enfants arrivent, on leur apprend d’abord la technique mais en leur faisant comprendre l’importance de l’apprentissage de l’haltérophilie dans le quotidien. Exemple : soulever une charge en ayant le dos bien placé. En sachant que cela permet de renforcer les os », soutient Romain Dijoux, entraîneur.

Pendant deux ans, ils ne font que de l’animation. La partie compétitive est basée sur la gestuelle (arraché et épaulé-jeté). A savoir que le club possède du matériel spécifique.

Pas interdit aux enfants

Toutefois, un hic subsiste : « Nous sommes heurtés sur le fait que les médecins refusent parfois cette pratique (qui est de deux fois une heure par semaine) aux enfants. L’haltérophilie est un sport olympique, encadré et réglementé. Nous travaillons sur le côté ludique, la coordination, les gestes et postures », indique David Baechler, vice-président du Reims haltérophilie musculation.

Sur le plan scolaire, un partenariat lie depuis quelques années le RHM au collège François-Legros. Ce qui permet aux élèves de cet établissement d’enseignement de bénéficier d’une série d’entraînements adéquats. « On a déjà eu une équipe championne UNSS », s’enthousiasme David Baechler.

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Union101026a
INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics. REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché : travaux de résidentialisation au 1-9, Eisenhower, 24/28, Rilly-la-Montagne, 53-65 et 48-54, Eisenhower à Reims. Des options obligatoires sont prévues au cahier des charges, ainsi qu’une clause d’insertion par l’économie.

4) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat.fr

4) Demandes de renseignements : renseignements administratifs auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27. Renseignements techniques auprès du maître d’oeuvre IOSIS GRAND EST, tél : 03.26.7738.18, fax 03.26.77.38.19.

5) Date limite de réception des offres : le 23 novembre 2010 à 17 heures.

6) Date d’envoi à la publication : le 21 octobre 2010.

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Union101025a
Fête de la science : Georges-Braque a sorti les microscopes

Un atelier sur les levures, avec Jocelyne Hoeltgen.
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- Voir toutes les photos.

Le collège Georges-Braque a été retenu comme site d’accueil dans le cadre de la fête de la science et a accueilli 103 élèves des classes de CM2 venus des écoles élémentaires Blanche-Cavarrot, Galilée, Jean-d’Aulan et Maison-Blanche le vendredi 22 octobre.

Cette opération était orchestrée par Mme Dos Santos avec le concours de plusieurs professeurs volontaires du collège.

Sept ateliers

Sept ateliers étaient proposés aux élèves sur le thème fort sérieux « Biodiversité, bioéthique : quels défis pour l’avenir ? » : un quiz autour de la course d’orientation avec Cathy Guillemin et M. Le Bailly, la biodiversité en anglais avec Adriana Gheorghe, la haie et les mathématiques avec Chantal Georges, les sols et la biodiversité avec Sylvaine Lalire, un puzzle « feuilles, écorce, fruits » avec Sébastien Palanga, le sol et les lombrics, avec Luisa Dos Santos et les levures au microscope avec Jocelyne Hoeltgen.

Dans chaque salle ou laboratoire, les élèves ont été très intéressés par cette expérience, le sérieux de leurs recherches et leur enthousiasme faisaient plaisir à voir.

En conclusion : une belle fête de la science !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union101023e

Une nouvelle activité à Croix-Rouge L’Acrap se lance dans le théâtre

L’Acrap (Association Croix-Rouge Animation et promotion) souhaite ajouter une vingt et unième activité à sa palette, en ouvrant une nouvelle section « théâtre » à compter du 1er janvier 2011.

« L’activité sera dirigée par Thierry Wehrung et concernera les enfants de 7 à 12 ans. Elle se déroulera dans la salle polyvalente de l’Acrap le mercredi matin de 10 h 30 à 12 heures », précise le président Jean-Pierre Genesseau : « Il faut compter de 30 à 33 séances l’année. Il n’y aurait pas de cours pendant les grandes vacances d’été sauf si un stage était organisé. En revanche, les cours auront bien lieu pendant les petites vacances. »

Si des ados sont intéressés, un cours leur sera proposé le samedi matin.

Thierry Wehrung recevra un maximum de 12 enfants pour ses cours qui seront basés sur les Fables de La Fontaine.

On peut d’ores et déjà se pré-inscrire ou se renseigner au secrétariat de l’Acrap, 11, avenue du président-Kennedy à Reims (derrière l’hippodrome), du lundi au vendredi de 9 h 30 à 11 h 30 et de 13 à 17 heures ou au 03.26.06.39.54.

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Union101023d
Pendant les vacances Des ateliers pour (bien) s’occuper

En plus de Ludosport, la Ville de Reims organise des ateliers éducatifs pour les jeunes pendant les vacances de la Toussaint, et cela commence dès cet après-midi.

Médiathèque Jean-Falala

Samedi 23 octobre de 14 h 30 à 17 heures : atelier « Biodiversité » avec les Petits Débrouillards. Comment l’eau circule-t-elle de la racine aux feuilles ? Que devient l’eau que les plantes ont absorbée ? etc.

Mercredi 27 octobre à partir de 14 h 30 : projection de diapositives suivie d’un mini-atelier d’illustration sur « Le lutin d’Halloween » d’Edith Penetticobra. A partir de 5 ans.

Mercredis 27 octobre et 3 novembre de 15 h 30 à 16 heures, « Sophie raconte… » : Sophie conte des histoires aux enfants à partir de 4 ans.

Projections : mardi 26 octobre à 19 heures, « Emile et les détectives » ; mercredi 27 octobre à 14 h 30, « La Classe volante » ; jeudi 28 octobre à 19 heures, « La Gloire de mon père » ; vendredi 29 octobre à 15 heures, dans le cadre du cycle « Le cinéma d’arts martiaux ». A partir de 11 ans.

Médiathèque Croix-Rouge

Mercredi 27 octobre à 16 h 30 : projection de diapositives « Les larmes du Dragon » de Pierre Chavy, illustration de Philippe Bouveret. Pour les enfants à partir de 4 ans. Sur inscription auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

Jeudi 28 octobre à 16 h 30, un film d’animation chinois (17 mn). De 3 à 6 ans. Sur réservation auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

Les Ateliers de la Culture

La direction de la culture et du patrimoine propose trois ateliers pour les jeunes à l’Ancien Collège des Jésuites.

Atelier du patrimoine

Stage gratuit pour les jeunes à partir de 10 ans : « Reims Médiévale, Jadis et Maintenant ».

Au terme du stage, les participants repartiront avec un livret présentant les vues anciennes et modernes prises sous le même angle à l’aide de différents types d’appareils photos prêtés durant la semaine.

Du lundi 25 octobre au vendredi 29 octobre, de 14 à 17 heures.
Inscription préalable indispensable au 03.26.82.39.26.
Présence obligatoire pour l’ensemble du stage.

Atelier d’éducation à l’image

Stage vidéo gratuit pour les 15/18 ans : « Le Sport à la télévision » (réalisation d’un reportage). Du lundi 25 au vendredi 29 octobre.

Horaires : lundi, mardi, mercredi de 14 à 17 heures ; jeudi et vendredi de 10 à 17 heures (avec pique-nique sur place à prévoir).
Inscription préalable indispensable au 03.26.77.75.28.
Présence obligatoire pour l’ensemble du stage.

Atelier BD

Stage gratuit pour les 12/17 ans, réalisation d’une planche BD.

Découverte des différentes étapes de création d’une bande dessinée. Réalisation par chacun des participants d’une page de BD, accompagnés par les professionnels de l’Atelier 510 TTC.

Du lundi 25 octobre au vendredi 29 octobre, de 14 à 18 heures.
Inscription préalable indispensable au 03.26.77.75.28.
Présence obligatoire pour l’ensemble du stage.

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Union101023c
Perturbations : Accès bloqué à l’incinérateur des ordures de Reims

Les militants de la CFDT Transports de Reims ont bloqué, hier, l’entrée de l’usine d’incinération des déchets des communes de Reims Métropole.
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LES routiers de la CFDT Transports de Reims débordent d’imagination pour engendrer des perturbations, fidèles à leur lutte contre la réforme des retraites telle que réalisée par le gouvernement. Hier, c’est Rémival, l’usine d’incinération des déchets de Reims Métropole, qui a été leur cible après leurs opérations escargots, barrages filtrants et blocages des camions-citernes des transports Durand depuis le début de semaine.

Dès 7 h 30, une quarantaine d’hommes a bloqué l’entrée des camions de ramassage des ordures des foyers des communes de l’agglomération rémoise qui venaient déposer leur chargement de déchets dans cette usine de l’Eco-parc de Reims.

• L’usine tourne

« Cela ne va pas empêcher notre usine de tourner 24 heures sur 24 », a commenté Jérôme Roussel, le directeur de cette agence de Veolia Environnement qui bénéficie de la délégation de service public de la part de Reims Métropole. « Au lieu d’avoir un week-end de deux jours, il sera de trois en terme de gestion de notre stock d’ordures à incinérer. » D’ailleurs, aucun personnel de Veolia n’est en grève et tous ont pu accéder à l’usine.

• Les déchets stockés

Chacune des bennes à ordures fait deux tournées quotidiennes de ramassage. Hier matin, le premier tour était terminé, ce ne sont donc « qu’une dizaine de camions » qui n’ont pu déverser leur chargement à l’usine, selon Jérôme Roussel. « Ces déchets ont été évacués vers un autre centre de transfert de l’agglomération », a précisé le responsable de Veolia.

D’après Jean-Louis Cavenne, maire de Bétheny et 2e vice-président de Reims Métropole, en charge des ordures ménagères, « ce flux a été détourné au centre de transfert de Cernay ».

Un lieu de stockage avant un traitement ultérieur.

• Les ordures toujours ramassées

Ce blocage du traitement des ordures n’a aucunement impacté leur ramassage qui s’est effectué normalement. Le spectre de l’amoncellement de poubelles sur les trottoirs de l’agglomération n’est pas d’actualité.

• Pas d’intervention des forces de l’ordre

Reims Métropole, le délégataire de service public, n’a pas effectué de démarche auprès de la préfecture de la Marne pour solliciter une intervention des forces de l’ordre.

• Toujours du chauffage pour Croix-Rouge

Cette usine d’incinération, en plus de produire 80 % de sa propre électricité, possède la particularité de fournir, via un réseau de chaleur de 11 km au total, un apport calorique pour la chaufferie centrale du quartier Croix-Rouge et du centre hospitalier.

« Nous fournissons 40 % des besoins de cette chaufferie. Mais ce blocage n’aura aucun impact sur la fourniture de chauffage », a rassuré Jérôme Roussel. « D’abord, nous sommes encore en capacité de produire de la chaleur et une solution permet aussi de parer nos éventuels soucis pour fournir du chauffage à ce quartier. »

Frédéric GOUIS

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Union101023b
L’avenue du Maréchal-Juin en sens unique

A partir du lundi 25 octobre et jusqu’au vendredi 29 octobre, l’avenue du Maréchal-Juin sera mise en sens unique entre le rond-point Général-Koenig/Maréchal-Juin et le rond-point Donatini.

Une déviation est mise en place par la rue Raoul-Dufy, allée J.-Simon et rue A.-Sénéchal.

L’accès aux riverains de la place Maurice-Utrillo sera maintenu par le rond-point Général-Koenig/Maréchal-Juin.

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Union101023a
Violences urbaines : Des pompiers caillassés sur un feu de poubelles

Jeudi soir, vers 21 heures, des poubelles ont encore été incendiées avenue Bonaparte, au quartier Croix-Rouge. Elles brûlaient devant les numéros 1, 3 et 5.

Les pompiers ont été fraîchement reçus : des pierres ont volé vers eux pendant qu’ils éteignaient les poubelles. Elles n’ont touché personne, ni le fourgon. L’intervention a pris fin sous protection policière.

Une heure plus tard, les « Bonapartistes » ont refait parler d’eux, toujours au n° 3, en allumant un feu de détritus dans un appartement squatté du premier étage.

Les pompiers sont arrivés en même temps que les policiers pour agir en sécurité. Le feu a été éteint sans incident. Les dégâts se limitent aux murs noircis de l’appartement.

Ce même soir à 19 heures, un autre incendie s’est déclaré à Croix-Rouge, allée des Bourguignons. Il a détruit 40 m2 dans un local d’immeuble.

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L’hebdo du vendredi- n° 186 - 101022b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 186 - Semaine du 21 au 28 octobre 2010

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Evènement – Fête de la science : Fêtons la science ensemble !

Cette 19e Fête de la science mettra en avant la biodiversité et la bioéthique.
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Loin de s’essouffler dans sa programmation, la 19e édition pour la Fête de la Science propose cette année encore aux Marnais près de 80 activités gratuites.

« Biodiversité et bioéthique, quels défis pour l’avenir ? » : le thème général de la Fête de la Science s’apparente cette année à un vrai débat de société.Bien entendu, cette thématique- phare n’est pas exclusive, les sciences de l’ingénieur, de l’univers et les nouvelles technologies sont également mises à l’honneur.

Biodiversité et bioéthique au coeur des débats

Dans l’esprit du thème de la fête 2010, l’Hôtel de Ville de Reims propose jusqu’au 23 octobre une exposition sur la biodiversité, réalisée par l’Unesco. Deux conférences (à 18h30) ponctueront les festivités à la mairie : le 22/10 sur le réchauffement climatique de la Terre, et le 23 sur Titan, le plus gros satellite de la planète Saturne.

Toujours dans la lignée Climat/Environnement/ Astronomie, le Planétarium de Reims se mobilise en présentant, entre autres, une exposition sur une possible vie, ailleurs dans l’univers (22, 23 et 24/10 de 14h à 18h), et un atelier sur les animaux du ciel, à la découverte des animaux légendaires à travers les constellations et le zodiaque des astronomes (23 et 24/10 de 10h à 18h). Pour terminer sur ce thème, le collectif Slam Tribu organise dimanche 24 au Café des Artistes (de 16h à 21h), une projection de courts métrages scientifiques, un atelier d’écriture, ainsi qu’une scène ouverte de slamautour de la biodiversité.

Dans un registre plus scientifique, l’Institut Moléculaire de Reims met en place vendredi un atelier d’expérimentations interactives sur la création du sucre, des bulles de champagne, du parfum…Toujours sur le campus du Moulin de la Housse, le département EEA (Electronique, Electrotechnique etAutomatique) organise toute la journée du 22/10, avec la société Pob- Technology, une démonstration de mini-robots dans le bâtiment 4. Notons aussi, sur le même campus, la programmation d’une conférence sur l’utilisation des lasers dans la climatologie, notamment dans l’étude de l’atmosphère (Bâtiment 6, vendredi de 14h à 17h). A signaler du côté de l’IUT de Reims (Bâtiment U, vendredi 22 de 14h à 19h et le 23/10, de 9h à 12h et de 14h à 18h), une immersion dans la salle 3D Relief pour découvrir les différentes déclinaisons de la 3D dans les secteurs de la santé, de l’archéologie ou de l’urbanisme.

Pour conclure, mention spéciale à l’Union des professeurs de physique-chimie qui organise le samedi, à 17h30, « Les pigeons de Penzias et Wilson », une pièce de théâtre cosmique et comique sur le thème de la création de l’univers, écrite par Norbert Aboudarham. Une manière amusante et pédagogique de répondre aux questions d’astronomie les plus énigmatiques.

Aymeric Henniaux

La Fête de la Science, du 21 au 24 octobre.
Programme complet : www.accustica.org

Collèges et lycées… de la partie

Pour l’édition 2010, les organisateurs sont partis à la rencontre d’un public plus jeune que celui touché habituellement. Faire découvrir les sciences en milieu scolaire, et pourquoi pas voir naître quelques vocations de scientifiques, tels sont les objectifs des différentes manifestations programmées dans les établissements marnais. Ainsi, Notre- Dame Saint-Victor, 8, rue Lochet à Epernay, propose jusqu’à samedi toute une exposition sur les fractales, des images faites d’ensembles mathématiques. Une conférence sur ce thème est d’ailleurs prévue vendredi à 18h dans l’établissement. Sur l’avenue de Champagne, le lycée Léon Bourgeois organise, lui, une conférence sur la biodiversité et l’évolution. Pour en parler, l’établissement accueille vendredi un paléontologue du Muséum d’Histoire Naturelle. De leur côté, les collèges rémois ne seront pas en reste à travers la mise en place à Georges Braque et Pierre Brossolette, d’ateliers destinés à faire découvrir les instruments des scientifiques (microscope, loupe, boussole etc.). Pour sa part, le lycée Colbert traitera d’un sujet météorologique des plus importants : les séismes. Retour sur les séismes en Haïti et au Sichuan au travers d’une rencontre/débat et d’une expo photos.

L’Inrap, pour la 1ère fois dans l’événement

Exceptionnellement cette année, les archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques préventives fêtent la science dans la région. Outre l’atelier prévu sur le Village des Sciences à Châlons, un autre atelier se tient à Reims depuis jeudi et jusqu’à dimanche, dans la salle Brûlart de l’Ancien Collège des Jésuites, place Museux. Intitulé Archéologie et archives, l’atelier rémois sera animé par des archéologues de l’Inrap. Ceux-ci présenteront tout le travail de « regards croisés » sur lequel ils s’appuient pour compléter et confirmer la connaissance historique. Par regards croisés, on entend la comparaison et la confrontation entre les archives découvertes dans le sol, et les témoignages et autres documents écrits laissés par les hommes dans le passé. Gratuit et ouvert à tous les publics, l’atelier proposera de nombreuses animations basées sur les fouilles rémoises, avec notamment des jeux pédagogiques pour les enfants.

Samedi 23 et dimanche 24 octobre, de 14h à 18h.


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« LE FILM D’ARTS MARTIAUX »

Des films de kung-fu en passant par les films de samouraïs, une invitation à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques.

Horaires d’ouverture habituelle
Entrée libre
Médiathèque Croix-Rouge et Jean Falala

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Union101022a
Reims et environs : Trois voitures brûlées

Mercredi vers 20 heures, ne Renault Laguna a été incendiée dans l’enclos d’un bassin d’eau de pluie, le long d’un chemin viticole donnant sur la RD64 entre Beine-Nauroy et Nogent-l’Abbesse. Les auteurs ont forcé le portail. La voiture était volée.

Hier à 2 heures, une Citroën X a brûlé sur un parking rue Michel-Simon à Reims. Même chose pour une Twingo à h 30 rue de la Maison-Blanche. Les deux véhicules n’étaient pas volés.

L’enquête sur la mise à feu d’une Toyota décapotable route de Witry, mercredi après-midi (notre précédente édition), est toujours en cours.

Ce même jour à 16h 30, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré allée des Béarnais.

Un incendie similaire a pris hier à 19 heures dans un immeuble de l’allée des Bourguignons.

A 11 h 15, les pompiers ont éteint un feu de détritus rue de Courcelles.

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Union101021d
Stationnement à Croix-Rouge : Quand même gonflé !


 

 

 

On sait que le stationnement à Croix-Rouge est un vrai casse-tête et chacun recherche une place, légale ou pas.

Un automobiliste gonflé a trouvé un emplacement libre à Croix-du-Sud : sur les rails du tramway dans le virage Léon-Blum/Bonaparte !

Il suffisait d’y penser !

 

 

 

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Union101021c
Médiathèque Croix-Rouge Graphisme et infographie : des métiers à découvrir

L’espace « Métiers » de la Mission locale pour la jeunesse.
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La médiathèque Croix-Rouge, à travers son secteur emploi et formation, propose de faire découvrir des corps de métiers de manière régulière tout au long de l’année.

Mercredi 13 octobre, c’était au tour des métiers du graphisme et de l’infographie, avec en prime des informations sur le régime (au sens fiscal et administratif) des artistes ou des auteurs.

Quatre stands ont accueilli les visiteurs :
- le lycée Saint-Jean-Baptiste-de-La-Salle,
- Delphine Ruinart, infographe professionnelle,
- Anne-Claire Jacquet, de la Cnams,
- et l’espace métiers de la Mission locale pour la jeunesse.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Union101021b
A Gilberte-Droit, les parents d’élèves ne décolèrent pas

La fermeture d’une classe à l’école maternelle Docteur-Billard a fait monter la grogne chez les parents d’élèves qui demandent des moyens supplémentaires et le réexamen du dossier.
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REIMS (Marne). La fermeture d’une classe à la maternelle Billard, à la rentrée dernière, ne passe toujours pas. Les parents d’élèves restent mobilisés. Ils ont même lancé une pétition.

ÇA commence à chauffer sérieusement du côté des parents d’élèves du groupe scolaire Gilberte-Droit (écoles maternelles Gilberte-Droit et Docteur-Billard), situé au cœur du quartier Croix-Rouge. La grogne est née en avril dernier, après l’annonce de la fermeture d’une classe à la maternelle Billard.

« Les conséquences ont concerné les deux écoles, qui font partie du même groupe scolaire », souligne Valérie Macquart-Quénard, déléguée des parents d’élèves, qui rappelle que les audiences avec l’inspectrice d’académie en avril et juin n’ont « rien donné ». « Ils ne sont jamais revenus sur leur décision », regrette-t-elle.

Une décision pourtant contestable selon les parents d’élèves, qui, depuis, multiplient les actions pour se faire entendre : rassemblement début octobre et un autre en prévision le mois prochain (avant la commission départementale de l’Éducation nationale du 22 novembre), pétition… « Nous comptons déjà 180 signatures. » Les parents, « inquiets pour l’avenir et la sécurité de leurs enfants », préviennent d’ores et déjà : « On ne laissera pas tomber ».

« Conditions d’accueil catastrophiques »

Ils se battront jusqu’au bout pour la réouverture, à la rentrée prochaine, d’une classe supplémentaire. « Les conditions d’accueil sont catastrophiques. On dénombre, en moyenne, 29 enfants - dont certains atteints d’un lourd handicap - par classe sur les deux écoles, et non 26, et ce sont près d’une vingtaine d’enfants qui n’ont pu être accueillis en petite section de maternelle sur les deux écoles », précisent les représentants, qui ont fait à nouveau part de leurs inquiétudes dans un courrier envoyé à l’inspectrice d’académie le 11 octobre dernier.

Et de rappeler l’article L113-1 du code de l’Éducation qui dispose que « L’accueil des enfants de deux ans est étendu en priorité dans les écoles situées dans un environnement social défavorisé ». « Alors voilà : nous sommes dans un quartier bénéficiant d’un Cucs, nous faisons partie, avec le groupe scolaire Ravel-Franchet, du projet « réussite éducative » du réseau de réussite scolaire François-Legros… et dans le même temps, les conditions d’accueil, à la suite de la suppression de classe, pénalisent au quotidien le travail des enseignants ! », s’insurge Mme Macquart-Quénard, qui demande un réexamen de la situation.

« Le discours qu’on nous a tenu consistait à dire que les opérations immobilières sur Reims ne permettaient pas d’y voir clair… Or sur le quartier, les effectifs des trois dernières années sont stables, malgré les nombreux mouvements de population », souligne-t-elle.

Ceci étant, les parents, même s’ils l’espèrent de tout cœur, ne croient pas vraiment à une réouverture de classe en cours d’année. « Mais on voudrait des garanties pour l’année prochaine. Et des moyens supplémentaires, d’ores et déjà, pour la directrice. Car cette fermeture a eu des répercussions en terme d’organisation. » Le bras de fer continue…

Marion DARDARD

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L’académie « surveille »

« C’est une situation qu’on surveille naturellement », souligne Christian Adnot, inspecteur de l’Éducation nationale adjoint à l’inspectrice d’académie.

« Durant la dernière année scolaire, nous avons rencontré les parents d’élèves et nous les rencontrerons à nouveau prochainement, au retour des congés de la Toussaint. Nous avons suivi l’évolution des effectifs. Nous avons des chiffres contradictoires entre le nombre d’enfants inscrits et le nombre d’élèves constaté par l’inspectrice de circonscription. Ces divergences vont au-delà d’un à deux élèves. C’est pourquoi on est en train de refaire un point objectif. Nous ne sommes pas fermés sur cette école, comme sur les autres. D’une manière générale, lorsque l’on constate un afflux soudain de population pas prévu, on met des moyens supplémentaires où il faut en cours d’année. »

Reste à savoir si le groupe scolaire Gilberte-Droit bénéficiera de cette flexibilité…

M.D.

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Union101021a
Et tout ça est gratuit

Si vous voulez savoir comment la psychologie sociale peut aider les pandas…
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Expositions

Biodiversité : du 21 au 23 octobre à l’hôtel de ville, de 8 h 30 à 18 heures. Où sont les autres ? (la vie ailleurs dans l’univers) : 21 et 22, de 9 à 12 et de 14 à 18 _ heures, 23 et 24, de 14 à 18 heures, au planétarium, place Museux. Séisme au Sichuan (Chine, du drame à la reconstruction) : vendredi 22 de 14 à 19 heures au lycée Colbert, 56, rue du Dr-Schweitzer.

Conférences

Climat de la Terre : en route vers l’inconnu ? vendredi 22 octobre à 18 h 30 à l’hôtel de ville.
Titan, un satellite de Saturne au-delà de nos attentes : samedi 23 octobre à 18 h 30, médiathèque Falala.
L’ozone, son rôle, son évolution : jeudi 21 à 18 h 30, Caisse d’épargne 12, rue Carnot.
Imagerie 3D, de la molécule à l’homme : jeudi 21 à 19 heures, au campus santé, 51, rue Cognacq-Jay, institut de recherche 53.
Séisme en Haïti : vendredi 22 à 15 h 30 et 18 heures au lycée Colbert, 56, rue du Dr-Schweitzer.

Conférence-concert

L’orgue de Saint-Remi : dimanche 24 à 17 h 30 à la basilique.

Balades (pied ou petit train)

Archéologie-géologie : une enceinte de la ville du XIVe siècle, jeudi 21 à 15 heures et 17 h 30, rendez-vous sur le parvis de la cathédrale.

Ateliers

Informatique interactive (wiimote, table tactile, effets spéciaux…) : 21 et 22 octobre, de 10 à 17 heures, à l’Exia-Cesi, 9, rue Gabriel-Voisin.
Archéologie (regards croisés avec le travail d’archive) : 21 et 22, de 9 à 12 et de 14 à 18 heures ; 23 et 24, de 14 à 18 heures, à l’Inrap, ancien collège des Jésuites, place Museux.
Astronomie (les animaux du ciel) : 23 et 24, de 14 à 18 heures, au planétarium, place Museux.
Astronomie (observation) : vendredi 22 de 20 à 23 heures, à l’observatoire de Beine-Nauroy.
Slam : dimanche 24 à 16 heures au café des Artistes (13 rue Gambetta) ; scène ouverte à 18 heures.
La science, source d’émerveillements (parfums, sucres, bulles de champagne, molécules en trois dimensions…) : vendredi 22 de 9 à 12 et de 14 à 17 heures au campus du Moulin de la Housse, bâtiment 18.
Chimie (au quotidien, de la plante au médicament, de l’alchimie à la chimie…) : samedi 23 de 9 à 12 et de 14 h 30 à 17 h 30 au Moulin de la Housse, bâtiment 17.
Communications numériques : du 21 au 23, de 10 à 12 et de 14 à 16 heures, au Moulin de la Housse, bâtiment 10.
Surfaces de l’infiniment petit : le jeudi 21 de 9 à 12 et de 13 à 16 heures, et le vendredi 22 de 9 à 12 et de 13 à 17 heures, au Moulin de la Housse, bâtiment 6.
Lasers pour l’étude de l’atmosphère : 21 et 22, de 9 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures, au Moulin de la Housse, bâtiment 6.
Immersion dans la 3D relief : 21 et 22, de 9 à 11 et de 14 à 19 heures, samedi 23 de 9 à 12 et de 14 à 18 heures, à l’IUT, rue des Crayères.
La psychologie sociale au service de l’insertion professionnelle ; autogérer son stress : 21 et 22, de 14 à 18 heures, au campus Croix-Rouge, bâtiment 13.
Console de jeu et paysage virtuel, un bon moyen de faire du sport et de lutter contre la sédentarité ? vendredi 22 de 10 à 12 et de 14 à 18 heures, campus Croix-Rouge, bâtiment 13.
Imagerie médicale (méthodes innovantes) : vendredi 22 de 9 à 12 et de 14 à 17 heures, au campus santé rue Cognacq-Jay, institut de recherche 53.
Zoologie (à la découverte des petites bêtes de la mare) : vendredi 22 de 9 à 12 et de 13 h 30 à 16 h 30 à Fismes, collège Thibaud-de-Champagne.
La biodiversité autour de nous (faune et flore de Champagne-Ardenne) : jusqu’au vendredi 22, de 9 heures à 11 h 30 et de 14 heures à 16 h 30 au Pôle scientifique, 6, rue du Général-Carré.
Les sciences au collège : vendredi 22 de 14 à 16 heures, collège Brossolette, 7, rue Roland-Dorgelès.
Biodiversité : vendredi 22 de 13 h 30 à 17 h 30, collège Georges-Braque, 3, rue Adrien-Sénéchal.

Théâtre

La Nuit noire (« conférence » sur l’origine de l’univers) : samedi 23 à 17 h 30 au centre des congrès.

Cafés-débats

La bioraffinerie de Pomacle-Bazancourt, un exemple à l’échelle de l’Europe : lundi 25 à 19 heures à la villa Douce, 9, boulevard de la Paix.
Les sciences, la recherche, leur perception en Europe : mardi 26 à 18 h 30, brasserie Saint-Maurice (rue Saint-Maurice). Comment la psychologie sociale peut aider les pandas : jeudi 21 à 18 heures, au campus Croix-Rouge, bâtiment 13.

Démonstration

Mini-robots : aujourd’hui jeudi 21 de 14 h 30 à 18 heures, et demain vendredi 22 de 8 h 30 à 12 h 30, et de 14 h 30 à 17 heures, au Moulin de la Housse, bâtiment 4.

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Union101020d
Association des Travailleurs maghrébins : À la recherche de l’équilibre alimentaire

Au menu ce jour-là : une soupe et un crumble.
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À l’association des Travailleurs maghrébins de France, au 6 allée des Picards, Naïma Closson anime un atelier d’éducation nutritionnelle en partenariat avec les étudiantes en économie sociale et familiale du lycée Libergier : « des femmes de différentes cultures réalisent des actions orientées vers la notion d’équilibre alimentaire ».

Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF, précise : « Dans une ambiance conviviale, autour d’un thé, ces sessions sont basées sur le savoir-faire, l’échange, le partage des connaissances et la découverte des différentes cultures de chacun des participants ».

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Union101020c
Accompagnement scolaire

L’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge (Tél. : 03.26.06.04.10.) ouvre un atelier « aide aux devoirs et à la méthodologie » proposé par une animatrice de la Maison de quartier et une bénévole.

« Venez nous rejoindre tous les lundis, en période scolaire, de 16 h 30 à 18 heures, au 6 allée des Picards » précise Elham Kouch, animatrice famille, auprès de qui il faut s’inscrire au 1, allée des Béarnais (Tél. : 03.26.82.53.48.).

Cet accompagnement scolaire s’adresse aux élèves du CP au CM2. Reprise lundi 4 octobre. Adhésion familiale 12 euros, participation 5 euros par trimestre.

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Union101020b
Danse sur glace / L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt

La grande famille du Rap ne rechigne pas à la besogne. Bien au contraire…
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Les jeunes patineurs du Rap répètent leurs gammes dès 7 heures du matin sur la glace de la patinoire Barot. Les résultats sont là pour les encourager à persévérer.

« Nous sommes un club de quartier, une section de l’Acrap ».

Jean-Luc Ployé, le tout nouveau président du Rap (Reims Acrap Patinage), connaît les forces de son association : un esprit convivial qui n’empêche pas une volonté d’atteindre son meilleur niveau, en danse sur glace et/ou en artistique (le club possède les deux affiliations).

« L’an dernier, nous comptions 171 licenciés dont 95 % de jeunes de 3 à 20 ans », précise Annie Manceaux, la secrétaire. « Six de nos membres se sont qualifiés pour les championnats de France de danse sur glace ».

À 7 heures sur la glace

Tous les jours de la semaine, sauf le lundi, ces jeunes filles (90 % des adhérents) et ces jeunes gens montent sur la glace de la patinoire Barot où les attend l’encadrement du club.

Ludivine Lemaire, l’entraîneur principal - « le socle technique du club », dixit le président -, dispense son enseignement au groupe compétition (huit éléments) et à tout le club. Rien n’est laissé au hasard dans cette association, présidée jusqu’au mois de juin dernier par Jannine Catry.

La technicienne est assistée par Sébastien Wasnieski (éléments techniques comme les pirouettes en artistique), Jourdao Da Barbara (technique) ainsi que par Nadia Deneuvillers, un professeur de danse classique du centre culturel de Tinqueux. Il faut encore ajouter à ce staff les bénévoles, qui ne comptent pas leurs heures et les jeunes compétitrices qui donnent un peu de leur temps à la transmission de leur savoir aux débutantes.

Le défi du président

« C’est comme cela que l’on fidélise nos patineurs », expliquent les dirigeants rémois. « Ce n’est pourtant pas évident, car la danse sur glace, c’est une école de courage qui demande 7 à 8 heures d’entraînement hebdomadaire pour atteindre le niveau national ».

Jean-Luc Ployé rappelle les horaires matinaux (à 7 heures sur la glace) que ces jeunes gens doivent respecter pour avoir leur dose de travail !

Et cela marche ! L’an dernier, les six demoiselles qualifiées pour les championnats de France défendaient les couleurs du club dans six catégories différentes, Margaux Abib-Gruet décrochant même le bronze en minimes. « Pourquoi pas sept en fin de saison ? », lance comme un défi le président Ployé.

Mais, avant d’en arriver là, le Rap aura l’occasion de s’illustrer en organisant deux grosses compétitions à la patinoire Bocquaine : le tournoi de France 1re division les 4 et 5 décembre et les Interligues le 23 avril. « La saison prochaine, nous postulerons à l’organisation des championnats de France solo ».

Yves DOGUÉ

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Union101020a
Enquête criminelle à Croix-Rouge

Hier matin, des policiers assistés par des gendarme sont longuement intervenu dans un appartement de l’allée des Bourguignons, ce qui n’a pas manqué d’intriguer le voisinage, et notamment les habitants de l’immeuble.

Les policiers agissaient à la demande d’un juge d’instruction, dans le cadre de l’enquête criminelle visant Junior Codevelle, ce jeune homme de 22 ans accusé d’avoir porté 39 coups de couteau à son amie, et d’avoir voulu la défenestrer du septième étage, le 13 mai 2009. La victime avait survécu par miracle, récupérée in extremis par la police et les pompiers lorsqu’elle fut lâchée dans le vide.

Hier, les enquêteurs avaient pour mission de récupérer dans l’appartement tout objet susceptible d’établir l’existence d’une vie de couple entre les deux protagonistes.

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Union101019c
Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Ethnic’s est fermé. Il aurait été impossible de mettre le local en conformité pour l’accessibilité aux personnes handicapées.
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Ethnic’s, c’est fini

La rumeur courait : l’espace Ethnic’s est condamné. Yves Pringault, directeur des activités jeunesse, explique : « Nous avons pris la décision de mettre Ethnic’s en suspens pendant tout l’hiver. Les locaux ne seront plus chauffés et sa fréquentation sera interdite. Plus tard, une décision définitive sera prise par les autorités. En attendant ; Salim Kobzili, animateur musique, travaille à la maison de quartier Maison-Blanche. Bertrand Stogowski a rompu son contrat, mais il conserve ses dix heures d’atelier batterie à Maison-Blanche également ». Les autres animateurs seront redéployés dans les autres maisons de quartier.

Eau chaude

Au cours du dernier conseil de quartier, Claude Stoltz, présidente de l’union des locataires de Croix-Rouge (ULCR), a interpellé le représentant de la mairie Alain Bisteur : « L’eau chaude nous a été coupée une semaine pendant les vacances et, à nouveau, nous venons de passer quinze jours sans eau chaude. Or, on va nous faire payer l’eau chaude comme si de rien n’était. Comme d’habitude ! »

Cette question n’étant pas du ressort du conseil de quartier, nous avons demandé à Reims Habitat, l’organisme logeur concerné, d’y apporter une réponse, mais en vain.

Conseil de quartier

Le fonctionnement des conseils de quartier doit évoluer, Adeline Hazan et les élus en ont pris conscience (l’union du 13 octobre). Thierry Wippler, adjoint à la démocratie locale, va faire des propositions pour redonner un peu d’enthousiasme aux conseillers et aux habitants désabusés. Pour sa part, Alain Bisteur, co-animateur élu du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny, se dit « prêt à tenter l’expérience d’une prochaine réunion consacrée uniquement à l’expression des habitants, sans faire d’info municipale ». Chiche ?

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Union101019b
Ludosport pendant les vacances : Activités gratuites pour les 4/11 ans

Durant les vacances scolaires d’automne, du 25 au 29 octobre, la Ville remet en place son opération Ludosport gratuite, réservée aux enfants de 4 à 11 ans. Voici les sites proposés :

Le matin

Neufchâtel : au gymnase Desbureaux, rue de Florence, de 10 h 30 à 12 heures pour les 4/5 ans, et de 9 h 30 à midi pour les 6/11 ans.

Cernay : au gymnase Henri-Barbusse, rue Henri-Barbusse, de 10 h 30 à midi pour les 4/5 ans, et de 9 h 30 à midi pour les 6/11 ans.

Croix-Rouge : au gymnase Léo-Borgniet, 4, rue Raoul-Duffy, de 10 h 30 à midi pour les 4/5 ans, et de 9 h 30 à midi pour les 6/11 ans. Au gymnase François-Legros, avenue Kennedy, de 9 h 30 à midi pour les 6/11 ans.

L’après-midi

Clairmarais : au gymnase Courcelles, 75 rue du Mont-d’Arêne, de 14 heures à 16 h 30 pour les 6/11 ans.

Europe : au gymnase Europe, avenue de l’Europe, de 14 heures à 16 h 30 pour les 6/11 ans.

Croix-Rouge : à la patinoire Jacques-Barot, avenue François-Mauriac, de 14 heures à 15 h 30 initiation au patinage pour les 4/5 ans, et de 14 heures à 16 h 30 initiation au patinage et matches de hockey pour les 6/11 ans.

Les Châtillons : au gymnase Vasco-de-Gama, 10, boulevard Vasco-de-Gama pour les 6/11 ans.

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Union101019a
AVIS DE CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 13 octobre 2010. Il a été constitué une société à responsabilité limitée :

Dénomination : SARL TELEBAZAR.

Capital : 2.000 euros divisé en 200 parts sociales d’un montant de 10 euros chacune, entièrement souscrites libérées à concurrence de 1/cinquième.

Siège : 9, place Auguste-Rodin, 51100 Reims.

Objet : vente prêt-à-porter hommes, femmes, enfants, cyber, téléboutique.

Durée : 99 ans à compter de l’immatriculation de la société au registre des commerces et des sociétés.

Gérant : associé co-gérant, Monsieur Halim LEMBOUB, 10, rue de Turenne, 51100 Reims et Monsieur Ismet MUMOU, 8, place Paul-Cézanne, 51100 Reims.

La société sera immatriculée au registre des commerces et des sociétés tenu au greffe du tribunal de commerce de Reims.

Pour avis et mention.

Monsieur Halim LEMBOUB et Monsieur Ismet MUMOU associé et cogérant de SARL TELEBAZAR.

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Union101018c
Au collège Georges-Braque / 60 tableaux en graff exposés

De gauche à droite : Isabelle, Léa, Julie, Océane, Kelly et Richard, collégiens graffeurs.
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Jusqu’au vendredi 22 octobre, le collège Georges-Braque présente une exposition de soixante tableaux réalisés en graff. Ils ont été créés par les habitants du secteur Croix-du-Sud et plusieurs collégiens, dans le cadre de l’opération « école ouverte », ou en plein air, à l’espace Ethnic’s, et au gymnase Léo-Borgniet, sous la direction de Najim Hocini, artiste urbain calligraphe rémois. Ces peintures de format 61 cm x 124 cm, articulées en huit séries, sont des œuvres collectives. Ces fresques illustrent à un moment donné de la journée (six temps, de l’aube au coucher du soleil), soit une vision du quartier Croix-du-Sud, soit un état d’âme de leurs auteurs.

Parcours artistique urbain

Le 24 septembre, quatre de ces panneaux étaient dévoilés sur le plateau multisport situé dans le parc public Raoul-Dufy (l’union du 27 septembre). Cette installation correspondait à la première étape d’un parcours esthétique urbain à Croix-du-Sud.

L’étape suivante sera l’installation de plusieurs séries, place Auguste-Rodin en novembre, le long des façades d’immeubles et des commerces, et la dernière étape de cette opération sera l’installation complète des peintures en décembre, pour proposer aux habitants un parcours artistique urbain le long des cheminements piétons actuels et futurs du quartier. Les séries de peintures constituant les fresques sont dénommées : Street, Stade, Croix-du-Sud, Immeuble, Auguste Rodin, Thomas, Samuel.

Les partenaires de l’opération sont la Ville, l’État, la fondation ERDF, l’animateur de l’espace Ethnic’s, l’éducateur de prévention en milieu ouvert et les agents de voisinage de Plurihabitat l’Effort rémois.

Exposition au collège Georges-Braque, 3, rue Adrien-Sénéchal, jusqu’au vendredi 22 octobre, sur rendez-vous au 03.26.36.07.92 aux heures d’ouverture de l’établissement.

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Union101018b
Médiathèque Croix-Rouge : Les jeunes enfants ne vont pas s’ennuyer

L’heure des bébés

Ce moment de lecture tendresse pour les tout-petits et leurs parents se déroulera samedi 23 octobre à 9 h 30 à l’espace jeunesse de la médiathèque Croix-Rouge (19, rue Jean-Louis-Debar).

Les bibliothécaires les accueillent avec des histoires à lire ensemble, pour les 6 mois - 3 ans et leurs parents (durée : environ une demi-heure).

Diapositives

« Les larmes du Dragon » de Pierre Chavy, illustration de Philippe Bouveret, une séance de diapositives pour les enfants à partir de 4 ans, mercredi 27 octobre à 16 h 30, dans la salle Heure du conte.

Pour ces animations, l’entrée est libre mais nécessite une inscription préalable auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

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Union101018a
Quartier Croix-Rouge : Inauguration du gymnase Jean-Jacques-Lapique

Les officiels écoutent les explications des architectes.
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Le gymnase Jean-Jacques-Lapique, derrière le lycée François-Arago, avait été baptisé une première fois par Jean-Louis Schneiter le 22 septembre 2007, à l’état de terrain vague.

Depuis, sous la conduite des architectes de l’agence rémoise Thiénot, Ballan et Zulaica, le bâtiment est devenu opérationnel et il y avait foule, mercredi 13 octobre, pour son inauguration « officielle » par Adeline Hazan, maire de Reims, et Jacques Meyer, vice-président du conseil régional, la Région l’ayant co-financé à hauteur de 40 %.

En effet, au vu des besoins des deux collectivités, elles ont décidé de construire ensemble cet équipement que les lycées François-Arago et Joliot-Curie pourront utiliser pendant les périodes scolaires, alors que la Ville de Reims le mettra à disposition des écoles, des jeunes du quartier et des associations sportives.

Hommage à un homme investi

« Premier équipement Haute qualité environnementale équipé d’une toiture végétalisée et de 250 m2 de cellules photovoltaïques intégrées permettant de produire une partie de ses besoins énergétiques, ce bâtiment présente des performances inférieures de 20 % aux normes fixées par la réglementation », précisait la maire de Reims qui, au passage, a salué les efforts de l’ancienne adjointe aux sports Monique Nassau.

Jacques Meyer, au nom de la Région, a loué « la bonne utilisation des fonds publics pour cette opération réussie ».

Adeline Hazan a rappelé le souvenir de Jean-Jacques Lapique : « Il s’est investi dans son travail d’enseignant, et a donné tout son temps libre aux Fêtes johanniques, et surtout au quartier Croix-Rouge, en qualité de président de l’association Croix-Rouge animation et promotion. Nous lui rendons hommage aujourd’hui ».

L’Acrap et le Rap (Reims Acrap patinage) étaient fortement représentés dans l’assistance, avec Alain Bisteur (conseil de quartier), la Maison de quartier Croix-Rouge et l’association MJC, auprès des élus, Éric Quénard, premier adjoint, Christine Michel, adjointe aux sports, Raymond Joannesse et Michel Guillaudeau, conseillers municipaux.

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Union101017b
Accident rue de Venise : Un fourgon des pompiers percuté

Hier après-midi, vers 14 h 30, un fourgon incendie des pompiers de Reims est entré en collision avec une voiture rue de Venise. Une personne qui occupait celle-ci, légèrement blessée, a été transportée au CHU par les collègues du fourgon percuté.

Un accident s’était déjà produit en début de journée rue de Venise, à 6 h 45. Il impliquait une seule voiture qui s’est renversée. La perte de contrôle a fait un blessé léger.

Toujours hier, à 11 h 10, une femme de 82 ans a été percutée par une auto place André-Maillart à Taissy. Elle se plaignait de douleurs à une hanche.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule dans la bretelle de sortie de l’A4, à l’échangeur de Tinqueux, en sens Metz/Paris. Indemne, il en a été quitte pour une grosse frayeur.

Vendredi à 18 h 15, un cycliste de 16 ans s’est blessé à l’épaule en chutant avenue Robert-Schuman, près du centre commercial de l’hippodrome.

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Union101017a
Véhicule volé : Une voiture incendiée au milieu des poireaux

Hier en fin de nuit, vers 6 h 30, une Renault 21 a été incendiée dans un champ de poireaux, entre la rue Ledru-Rollin et la traversée urbaine de l’A4. Il s’agissait d’un véhicule volé.

Deux heures plus tôt, une Golf est partie en fumée rue de Bizerte. L’incendie est manifestement criminel mais la voiture n’était pas signalée volée.

À 15 h 30 hier après-midi, un conteneur a pris feu allée des Provençaux, devant le n° 10.

Vendredi vers 21 h 30, des broussailles ont brûlé rue Pierre-Bérégovoy à Cormontreuil. Peu de temps après, non loin de là, une poubelle s’est enflammée avenue du Languedoc.

A signaler qu’hier à 14 h 30, les pompiers ont été appelés pour « un feu » dans un bâtiment de la rue du Barbâtre, mais la « fumée » signalée par les requérants était en fait un nuage de vapeur provenant d’une rupture de canalisation d’eau chaude.

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Union101016b
L’Hebdo Croix-Rouge distribué gratuitement Main dans la main pour l’actualité du quartier

Jacques Tillier, Laurent Roux, Christophe Villers, Patrick Baudet et Philippe Germain dans les locaux de l’union.
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MERCREDI dans les locaux de l’union a été signée la convention de partenariat relative à l’Hebdo Croix-Rouge d’une durée de trois ans entre les différents acteurs de ce projet.

Philippe Germain, délégué régional EDF Champagne-Ardenne, Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat, Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois, Laurent Roux, directeur général adjoint de PluriHabitat L’Effort Rémois, et Jacques Tillier, président directeur général du journal l’union, ont chacun leur tour paraphé ce document afin de développer ensemble ce journal hebdomadaire et d’y apporter plusieurs changements de taille.

L’Hebdo Croix-Rouge est un journal de huit pages diffusé tous les mercredis depuis le mois d’octobre 2009 chez les buralistes du plus grand quartier rémois. Il traite uniquement de l’actualité qui se déroule dans ce quartier et de la vie de ses 25.000 habitants, des initiatives de ses nombreuses associations ainsi que de toutes les manifestations qui y ont lieu chaque année.

Dans 5.000 boîtes aux lettres

Les partenaires sont depuis longtemps implantés dans les différents secteurs de Croix-Rouge de par leurs activités respectives d’où leur volonté de participer à cette aventure unique en France.

Désormais le journal sera gratuit, il était auparavant vendu 10 centimes chez chaque diffuseur, et sera dès le mercredi 27 octobre distribué dans 5.000 boîtes aux lettres de Croix-Rouge.

La distribution sera prise en charge par « 2 Mains », une association implantée dans le secteur Croix-du-Sud qui, quarante semaines par an, rémunérera des jeunes, encadrés par plusieurs éducateurs, afin de remplir cette mission, qui elle aussi a donné lieu à un partenariat entre l’union et l’association.

Thierry ACCAO FARIAS

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Union101016a
Ça flambe

Jeudi soir, un scooter a été incendié, rue Rilly-la-Montagne peu après 20 h 30. L’incendie n’a causé aucun blessé et ne s’est pas propagé à d’autres véhicules.

Dans le même temps, une poubelle a été incendiée, avenue Bonaparte à 20 h 40.

Une autre poubelle sera incendiée deux heures après dans cette même rue.

Devant le numéro 2 de l’allée des Béarnais, c’est un container qui s’est embrasé. L’incendie a été rapidement maîtrisé par les pompiers.

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Union101015f

Association Résonances : une collecte de livres pour une bibliothèque au Bénin

Résonances recherche différents ouvrages et des outils pédagogiques
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Résonances, association interculturelle contribuant à la préservation du patrimoine immatériel et vivant de l’humanité, souhaite mettre en place une bibliothèque-ludothèque pour enfants et adolescents (de 4 à 16 ans) en orphelinat au Bénin et lance un appel à collecte.

Jusqu’au 15 décembre

Pour la bibliothèque, Résonances recherche des représentations de personnes africaines en majorité, des thématiques qui évoquent la création, l’expression, les jeux, les jouets, les problématiques de deuil, de mort, de maladies, de traumatismes et les connaissances (histoire de l’Homme, civilisations, histoires et vie des hommes), de l’univers (géographique, historique), de l’espace, de l’environnement (forêts, eau, animaux), culture artistique, les reportages et documents sur l’actualité, les récits d’aventures, les romans, les contes, les fables en livres illustrés, de lecture facile (africain, occidental, autres cultures) et les bandes dessinées (de type Yakari, Kirikou, mais pas de manga et peu de Disney).

Sont recherchés également des outils pédagogiques (dictionnaires français-anglais, espagnol, en poche, type Bescherelle), grammaire, orthographe, conjugaison de base, mathématiques (opérations basiques, tables de multiplication).

L’équipe de Résonances veillera à collecter des ouvrages en bon état et de bonne qualité pédagogique.

Pour la ludothèque, l’association recherche des jeux de société traditionnels (dames, dada, dominos), nombre et image, pousse-pousse, jeux de société-connaissances (univers, animaux, géographie), Scrabble, Memory, Uno, alphabet, Rubik cube, bouliers à compter, Puissance 4, albums pédagogiques (devinettes, charades, mots croisés), jeux stratégiques (bataille navale), des puzzles (200 pièces maximum), des outils pour atelier « art plastique » (cahiers de dessin ou assimilés), feutres, crayons de couleur et ciseaux.

Les dépôts se font jusqu’au 15 décembre. À Reims, prendre contact avec Josette Coppe, 16, rue Georges-Bernanos, au 06.13.72.77.72. (coppe.josette@yahoo.fr)

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Union101015e
Le commerce toujours aussi dynamique à Croix-Rouge

La SARL Logisat, spécialisée en installation, dépannage, création de sites web, formation en informatique et multimédia, et par ailleurs distributeur « privilège » Numéricâble, a quitté son local du 63, avenue du général-Eisenhower pour s’installer au Centre commercial des Hauts-de-Murigny, 8 allée Yves-Gandon (03.51.85.56.29.) où elle est ouverte du lundi au vendredi de 9 heures à 12 h 30 et de 14 à 19 heures et le samedi de 9 heures à 12 h 30. www.logisat.fr

La SARL Champagne PVC a décidé de fixer désormais son siège social au 43, esplanade Eisenhower depuis le 1" octobre dernier. L’association syndicale libre du groupe Eisenhower est constituée. Son siège social est fixé au 71, avenue d’Épernay. Elle a pour objet principal la gestion, l’entretien des biens situés dans son périmètre, au profit de tous les propriétaires de l’ensemble immobilier. Un président et un secrétaire général sont nommés pour trois ans par l’assemblée générale.

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Effort rémois à Croix-du-Sud : Des questions sans réponses

Georgy Weiler (debout, au micro) n’a pas obtenu de réponse à ses questions.
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Au cours de la dernière réunion du conseil de quartier Croix-Rouge/Haut-de-Murigny, un habitant de Croix-du-Sud, Georgy Weiler, a interpellé par deux fois le représentant de la ville Alain Bisteur : « Dans le cadre de la rénovation urbaine, l’Effort rémois a posé des balcons sur certains immeubles, des balcons sans séparation en dur. Les enfants se régalent. C’est une provocation au voyeurisme. C’est une incitation à regarder d’un balcon les voisins du dessus ! »

Puis : « Les locataires de l’Effort rémois payent l’électricité des entreprises qui se branchent sur les parties communes des immeubles pour leurs travaux. Est-ce normal ?

Pour ces deux interventions qui relèvent de l’organisme logeur, le conseiller municipal n’avait évidemment pas de réponses à apporter. Nous les avons demandées à l’Effort rémois, mais personne n’a souhaité nous répondre.

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Union101015c
Tracé de la ligne de tramway de Reims : Les plantations vont reprendre


Les plantations vont reprendre sur le tracé du tramway. « Nous avons prévu de commencer à planter dans 15 jours. D’ici le mois de février tout devrait être en terre », annonce Stéphane Doutre, architecte paysagiste chargé de l’opération pour le compte de Mars. Environ un millier d’arbres, d’arbustes et de graminées reste à installer.

« C’est sur le parvis et cours Langlet que les Rémois vont remarquer le plus de changement. » Un alignement de féviers d’Amérique pour le cours Langlet, des tilleuls et des magnolias pour le nouveau parvis de la gare. « Il s’agit d’arbres qui font déjà 6 à 7 mètres de haut donc ça aura tout de suite de l’allure », ajoute Stéphane Doutre, fier de ses bestiaux végétaux. Des plantes qu’il a choisie une par une en août dernier dans une pépinière hollandaise.

Des fruitiers place des Belges

Sur les quartiers nord, les côtés de rues qui n’avaient pas eu leurs arbres vont les voir arriver. Ce sera le cas rue Schweitzer, et avenue de Laon. La place des Belges sera dotée de petits fruitiers ornementaux. Pas de fruits à espérer pour faire des confitures mais le coin devrait être bien plus joli.

Des poiriers pour Taittinger

La cadence des plantations dépendra de la rudesse du climat. « On peut planter tout l’hiver à condition que la terre ne soit pas gelée. Une fois l’arbre mis en place, il peut geler quelques jours plus tard, ce n’est pas un problème. »

Les jardinières en pierre de la rue de Vesle seront remplies d’amélanchiers. Celles du pont de Laon, en bois, recevront des petits pommiers décoratifs hauts de 2,5 à 3 mètres.

Tout est déjà posé chaussée Bocquaine et avenue de Gaulle. À Croix-Rouge, c’est la rue Taittinger qui va verdir le plus grâce à une série de poiriers. « On a aussi quelques plantations au programme le long du boulodrome du côté du CHU. »

Les arbres arriveront au compte-gouttes en fonction du calendrier des jardiniers. « Ils sont arrachés en Hollande, les racines sont mises en motte et les plants acheminés rapidement. Il faut qu’ils restent le moins longtemps possible hors de terre. » Ensuite, de la bonne terre, un beau trou et un copieux arrosage : « L’arrosage à la plantation est capital. Le but étant d’éliminer les bulles d’air qui feraient sécher les racines ».

Cette 2e phase de plantation, ajoutée à celle de l’hiver dernier aura représenté en tout 4,3 millions d’euros dans le budget tramway.

C.F.

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Roller Hockey (N1) / Confirmer Viry

Laurent Lexcellent et ses troupes accueillent Pont-de-Metz.
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Une semaine après sa première victoire en terre castelviroise (7-2), le RHR reçoit les Greenfalcons de Pont-de-Metz demain (20 heures, gymnase François-Legros) lors de la 3e journée, avec l’ambition d’ouvrir son compteur succès à domicile.

Les Rapaces, 2es de la poule A, entendent se maintenir en haut de tableau. Et si les hommes de Laurent Lexcellent n’ont pas encore été opposés aux favoris, ils ont une invincibilité à préserver (après le 4-4 en ouverture face à Maisons-Laffitte).

Mais le rival venu de la Somme pourrait venir stopper l’élan rémois. Rudes et techniques, les individualités picardes devraient donner du travail à l’arrière-garde locale qui se montre toutefois solide en ce début de saison.

Pour s’imposer, les Rapaces devront, de nouveau, s’appuyer sur leur collectif pour faire la différence.

Le groupe sera complet et le coach Lexcellent devrait renouveler sa confiance aux trois blocs alignées précédemment.


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L’hebdo du vendredi- n° 185 - 101015a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 185 - Semaine du 15 au 21 octobre 2010

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Rénovation urbaine : « Un projet urbain et humain »

Le projet de l’ANRU permet de redonner un nouvel élan aux quartiers comme ici à Croix-Rouge avec ce futur immeuble de 29 logements.
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Il y a un an, Reims signait un avenant à la convention de l’ANRU faisant du projet rémois, qui s’élève à 468 millions d’€, l’un des cinq plus importants de France. Panorama des projets achevés et des réalisations en cours.

Alors que le projet de l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) suit son cours, Adeline Hazan a souhaité réaffirmer que les profonds changements dans les quartiers ne pouvaient se faire sans les habitants. « Ce n’est pas juste un réaménagement urbain, c’est aussi de l’humain » a ainsi assuré la maire de Reims lors de la conférence de presse mercredi consacrée à l’avancée du projet.

« Notre philosophie, c’est de remettre les habitants au cœur du projet et de leur ville ».

Projet urbain

Le projet de l’ANRU et des bailleurs sociaux prévoit à terme la revitalisation des quartiers Croix-Rouge, Epinettes, Orgeval et Wilson. « Il faut amener l’excellence dans ces quartiers pour que les habitants aient envie d’y rester et que d’autres souhaitent y venir » a déclaré Adeline Hazan. Cela passe bien sûr par la rénovation des logements - 1 700 destructions, 2 000 constructions et 3 000 réhabilitations – mais pas seulement : « l’excellence ce sont aussi les espaces publics, les groupes scolaires ou encore les commerces ». Mais plus que les mots, il y a les faits. A Croix-Rouge, la ville entend par exemple dynamiser le commerce en profitant de la mise en service du tramway en avril prochain, mais aussi avec la construction (en cours) d’une nouvelle résidence universitaire.

A Wilson, de nombreux équipements publics ont d’ores et déjà été inaugurés : salle municipale Rossini, groupe scolaire Ravel et maison de quartier. D’autres vont suivre en 2011 avec notamment un nouvel espace vert. Et demain, c’est le quartier Orgeval qui changera de visage (arrivée du tramway, création d’une maison de la santé, reconstruction de la maison de quartier Schweitzer, etc.). La liste est loin d’être exhaustive.

Projet humain

Mais voir son immeuble détruit et son quartier se métamorphoser génèrent des inquiétudes légitimes. Et ce d’autant plus quand le relogement des habitants n’est pas possible dans les nouveaux appartements du fait de la hausse des loyers. Des augmentations en partie compensées par une baisse des charges liées à une meilleure isolation, mais cela ne suffit pas toujours. Pour remédier à ce problème, la municipalité a donc multiplié les initiatives : mise en place d’ateliers urbains de proximité, de points d’informations dans les quartiers, création d’un guide du relogement et bientôt peut-être instauration d’une nouvelle aide municipale individualisée (AMI). En effet, la ville souhaite mettre en place une aide au relogement qui viendra s’ajouter à l’APL : 20€/mois la 1ère année, puis 15€ la 2ème année, etc. Si ce dispositif est voté lors du prochain conseil municipal, 600 familles pourraient en bénéficier dès janvier 2011.

Julien Debant


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Tramway - Environnement : L’autre coulée verte

Octobre 2010, le tramway effectue ses premiers essais avenue de Laon, laquelle a retrouvé ses plantations.
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Mars 2008, au grand dam des riverains, l’avenue de Laon perdait ses arbres… depuis des ormes sont peu à peu replantés.
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1 700 arbres et 34 800 arbustes, 47 000 plantes vivaces graminées, 39 000 végétaux « couvre-sol », plus de 80 000 m2 de gazon… Ces chiffres donnent une idée de la végétalisation de la ligne de tramway et de ses abords.

Dans le cadre d’une vision globale, il faut avoir présent à l’esprit que les travaux du tramway vont au-delà des voies elles-mêmes et s’inscrivent dans le cadre d’un important réaménagement des quartiers traversés et passent notamment par un large accompagnement végétal. Résultat : non seulement le tramway améliorera le transport sur l’agglomération…mais il contribuera également à son embellissement !

Le choix des variétés

2402 arbres vont accompagner le tracé sur 11,5 km : 1682 sont des plantations nouvelles, 720 arbres ont été conservés. Une trentaine de variétés a été choisie. Le choix des végétaux a été guidé par les contraintes géologiques (sol calcaire), météorologiques (rigueur du climat) et… spatiales (selon la place dont disposent les arbres pour se développer, par exemple).Mais la variété est à l’ordre du jour. On retrouvera, bien sûr, l’incontournable tilleul, mais l’orme de Sibérie (résistant à la maladie qui a décimé son cousin européen), le chêne de Bourgogne (adapté au sol calcaire), le févier d’Amérique ou encore le frêne américain (coloré de pourpre à l’automne) apporteront une diversité botanique jusqu’alors inconnue.

De nombreux arbres fruitiers d’ornement (sans fruits), comme les pommiers, poiriers et cerisiers, viendront également agrémenter les quartiers. S’y ajouteront arbustes et plantes vivaces, ainsi que la création ou le rétablissement de nombreux massifs de fleurs (à Franchey-d’Esperey, Croix- Rouge, Neufchâtel, Orgeval, Saint-Thomas, Cours Langlet…). L’engazonnement est également à l’ordre du jour, sur près de 8 hectares, dont 30 000 m2 sur la plateforme même du tramway, notamment boulevard des Belges, sur les promenades, rue Thiers, Chaussée Bocquaine ou encore à Neufchâtel.

Et lorsque l’on ne pourra pas planter d’arbres ou aménager des massifs de fleurs (comme rue de Vesle, par exemple, où l’on ne recense pas le moindre pistil), des jardinières fixes contenant des arbustes donneront la touche végétale qui fait aujourd’hui un peu défaut.

Bref, le tracé de la ligne de tramway va constituer une véritable trame verte en respectant la biodiversité. Le tramway rémois est bien… à la fleur de l’environnement.

A noter que 7 sculptures de l’artiste Christian Lapie seront installées vendredi 15 octobre, entre 9h et midi, place Stalingrad.


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« LE FILM D’ARTS MARTIAUX »

Des films de kung-fu en passant par les films de samouraïs, une invitation à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques.

Horaires d’ouverture habituelle – Entrée libre

Médiathèque Croix-Rouge et Jean Falala


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Région / Rythmes scolaires. Ça phosphore dans l’académie

Le temps des consultations sur les rythmes scolaires dans l’académie de Reims est engagé avec la mise en place d’un calendrier destiné à permettre à chacun de s’exprimer et ainsi nourrir le rapport d’orientation qui sera remis au ministre au printemps prochain.

Ce jeudi à 17 heures, ce sont les trois établissements marnais expérimentaux de nouveaux rythmes scolaires qui se retrouvent pour discuter. Les enseignants, les personnels, les élèves, des élus, des responsables du monde de la santé et du sport du collège Georges-Braque, du lycée Arago de Reims ainsi que leurs homologues du lycée Croix-Cordier de Tinqueux débattront autour de Jean-Pierre Benoit, chargé de mission du recteur des possibilités d’organiser autrement la journée scolaire et les séquences d’enseignement au cours de l’année.

Ce premier rendez-vous fixé au lycée rémois Arago n’empêche pas la mise en place dans les établissements d’une consultation. Cette phase qui doit durer jusqu’à la mi-novembre sera suivie par l’organisation de débats dans les quatre départements de l’académie de Reims autour des inspecteurs, des élus, des décideurs économiques et des représentants du monde économique social et religieux.

Une table ronde académique devrait avoir lieu avec le recteur début décembre, avant la date butoir du 10 où les restitutions de tous les débats et discussions menés dans toutes les académies sont attendues au ministère.

Cette consultation réclamée par le ministre de l’Éducation Nationale, le Haut-Marnais Luc Chatel, est la résultante d’un constat connu : le système scolaire français compte le plus grand nombre d’heures de cours en Europe et sur un nombre de jours de classe parmi les plus bas.

Certains observateurs affirment, parfois avec véhémence, que le rythme imposé aux jeunes génère du stress, de la fatigue et a des conséquences négatives sur leurs résultats scolaires.

Calendrier

Dès lors, il faut à la fois réfléchir sur la durée, l’organisation des journées de cours et revoir l’ensemble du calendrier de l’école. Le ministre insiste : « Cela ne signifie pas moins apprendre, mais mieux apprendre ».

Se pose la question de la place du sport et de ses valeurs comme le respect des règles, l’esprit d’équipe, le dépassement de soi, mais aussi de tout ce qui peut concourir à un meilleur apprentissage, à une mémorisation plus efficace des connaissances qui sont dispensées.

On retrouve dans le comité de pilotage national l’inspecteur général Christian Forestier, ancien recteur de l’académie de Reims et administrateur général du Conservatoire national des arts et métiers, et Pierre-Yves Jardel, maire d’Orbais-l’Abbaye, et qui a été vice-président du conseil régional de Champagne Ardenne en charge des lycées.

Dès janvier prochain, des propositions issues des débats seront synthétisées. Un rapport d’orientation sera déposé au printemps chez le ministre. Une mission d’information parlementaire apporte depuis plusieurs mois son expertise sur le même thème, étudie les différents modèles européens et consulte des chronobiologistes et autres experts.

H.C.


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Union101014f
Un coup de main aux locataires du parc social

L’ensemble du plan de rénovation urbaine sera achevé en 2013. Pour compenser les augmentations des loyers des nouveaux logements, Reims met en place une aide.
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La Mairie de Reims a annoncé la mise en place d’un dispositif d’aides aux personnes impactées par les travaux de l’Anru. Objectif : aider les foyers modestes. Sans oublier les classes moyennes.

LES travaux réalisés dans le cadre du renouvellement urbain font beaucoup parler dans les quartiers. Pas toujours en bien d’ailleurs, avec des soucis récurrents de parkings, d’accessibilité, de bruit… Adeline Hazan a souhaité enterrer ces débats de riverains, le temps d’une conférence de presse, en annonçant un nouveau dispositif d’aides aux locataires du parc social concernés par les réformes de l’Anru (l’Agence nationale pour la rénovation urbaine). En clair, des riverains des quatre quartiers visés par cette procédure - Wilson, Orgeval, Les Epinettes et Croix-Rouge - vont être soutenus financièrement par la Ville pour une durée de trois ans.

« Certes, il s’agit d’une rénovation urbaine. Mais il s’agit aussi de prendre compte l’aspect humain », a affirmé la maire. Alors des chargés de mission sont partis observer ce qui se fait ailleurs. Dans la ville d’Angers, dans le Maine-et-Loire, les chargés de mission ont observé un processus de soutien financer aux foyers touchés par la rénovation urbaine, qu’il s’agisse d’une réhabilitation ou même d’une destruction de bâtiments induisant une nécessité de relogement. Logique, puisque des loyers de logements neufs sont forcément plus chers. Il s’agissait de compenser.

Complément de l’APL

L’aide municipale individualisée (AMI) sera donc effective à compter du 1er janvier 2011. Qui pourra bénéficier de ce dispositif ? Pour cela, il faudra calculer « le taux d’effort », c’est-à-dire la part consacrée par les ménages dans les loyers. Si ce taux est supérieur à 25 %, les locataires pourront prétendre à cette aide. La perception de l’aide personnalisée au logement (APL) n’est pas prise en compte dans ce calcul. « L’aide pourra aller jusqu’à 20 euros mensuels pour les foyers les plus en difficulté. Mais attention, le versement de cette aide ne vient absolument pas remettre en cause le versement de l’APL. » Le montant des versements de l’AMI sera différent s’il s’agit de reloger des personnes dont le logement sera détruit ou bien s’il s’agit d’une réhabilitation. Ce versement sera dégressif et durera trois années.

Thomas DUPRAT


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L’Anru quartier par quartier

Le quartier Orgeval est l’une des quatre zones concernées par la rénovation urbaine.
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Au total, 480 millions d’euros seront investis dans le cadre de cette rénovation.

Croix-Rouge : 275 réhabilitations de logement, 226 constructions neuves et 372 résidentialisations. 212 logements sont en construction dans la résidence universitaire. À Pays-de-France, 158 logements seront détruits, 530 réhabilités, 33 constructions. A Croix-du-Sud, 75 démolitions, 79 constructions et 871 réhabilitations.

Epinettes : le plan d’urbanisme prévoit 122 démolitions, 212 constructions, 191 logements réhabilités. Les travaux du futur éco-quartier des Courtes Martin démarreront au premier semestre 2011.

Orgeval : 203 démolitions à effectuer. 328 constructions de logements. 32 logements neufs fin 2010 et 33 autres fin 2011.

Wilson : le plus avancé des quartiers de l’Anru. Requalification des rues, salle municipale, espaces verts, plateaux enfants. Démolitions effectuées à 90 % et un tiers des logements neufs a été livré.


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L’aide municipale en chiffres

Le dispositif AMI prendra donc effet à partir du 1er janvier 2011 et s’étalera jusqu’à la fin des travaux réalisés dans le cadre de l’Anru. En 2011, le budget consacré par la Ville à ce nouveau dispositif sera de 75 000 euros.

Voici les montants auxquels certains locataires pourront prétendre.

1. Pour un relogement définitif ou temporaire : 20 euros par mois la première année, 15 euros par mois la deuxième année, 10 euros par mois la troisième année et 5 euros par mois la quatrième année.

2. pour les opérations de réhabilitations simples : 15 euros par mois la première année, 12 euros par mois la deuxième année, 9 euros par mois la troisième année et 5 euros par mois la quatrième année.

Ce dispositif a pour but de compenser l’augmentation des loyers après la construction de nouvelles habitations ou après les phases de réhabilitation de nombreux immeubles.

Initiés en janvier 2009, les travaux de l’Anru devraient s’achever dans le courant de l’année 2013.


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Union101014e
Partenariat Acrap-Caisse d’Épargne-l’union : Pour le bonheur de 75 mômes

Jacques Tillier, Benoît Mercier et Jean-Pierre Genesseau.
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Christian LANTENOIS
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HIER soir dans les locaux de la Caisse d’Épargne s’est déroulée la signature de la convention de partenariat entre le club de football du quartier Croix-Rouge, l’Acrap, la Caisse d’Épargne et le journal l’union.

Grâce à celle-ci, 75 enfants âgés de 6 à 12 ans, licenciés à l’Acrap, seront équipés de la tête aux pieds : survêtements, shorts, coupe-vent, chaussettes et maillots aux couleurs de l’Internazional de Milan, c’est-à-dire en noir et bleu, floqués des logos de la célèbre banque et de notre quotidien.

Pour le club, c’est une première puisque jamais, au cours de ses trente ans d’histoire, un tel accompagnement n’avait eu lieu, que ce soit en terme de financement des équipements ou simplement en ce qui concerne les couleurs de l’équipe qui dans toutes les catégories d’âges seront désormais identiques.

Accompagnés de leur président Jean-Pierre Genesseau, sept jeunes vêtus de leur nouvelle tunique et deux éducateurs sont venus assister à cet événement. Accueillis par Benoît Mercier, président du directoire de la Caisse d’Épargne Lorraine-Champagne-Ardenne, et par Jacques Tillier, président directeur général de l’union, les enfants ont fièrement présenté leur tenue de match et ont bien évidemment parlé un peu de football avec les deux présidents.

Une grosse surprise pour le club

Alors que les trois signataires de cette convention dialoguaient des difficultés que peuvent rencontrer les bénévoles de l’Acrap pour faire tourner leur club, l’un de ces soucis a semble-t-il touché les deux autres partenaires.

« Nous avons décidé de financer deux minibus pour l’Acrap, un par la Caisse d’Épargne et un second par l’union », ont déclaré Benoît Mercier et Jacques Tillier.

Après cette cerise sur le gâteau qui n’était pas prévue, les trois présidents ont ensuite signé la convention avant de se réunir autour d’un pot de l’amitié en présence bien sûr de Benjamin, Boubacar, Nathan, Kaumassy, Gabin, Burak et Abdoul, les sept petits footeux de l’Acrap qui pourront dorénavant faire le voyage lors des déplacements, tous ensemble, comme les grands clubs dont ils sont fans.

Thierry ACCAO FARIAS


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Interview du nouveau président d’Intercampus : « Nous souffrons d’un déficit d’image ! »

Maxime Thorigny : « Des bâtiments vétustes donnent de Reims une image défavorable. Il faut y remédier. On n’est pas là uniquement pour organiser des fêtes ! ».
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Rencontre avec le nouveau patron de l’association étudiante la plus représentative au sein de l’université rémoise.

LE nouveau « porte-voix » des étudiants rémois, c’est lui : Maxime Thorigny, 21 ans, étudiant en « développement des milieux naturels et anthropisés » (ayant subi la marque de l’homme). Il vient d’être élu président de la fédération associative Intercampus, la structure la plus représentative actuellement au sein des instances du monde estudiantin*. Il répond à nos questions.

Cela fait trois ans que vous évoluez au sein de l’Urca (université de Reims/Champagne-Ardenne), quel regard portez-vous sur elle ?

« Notre principal défaut c’est un déficit d’image, par rapport aux facs de Paris ou à la future université de Lorraine ; pourtant nous avons des équipes de recherche très performantes et un enseignement de qualité. »

A quoi serait due cette image défavorable ?

« Pour une large part aux problèmes de bâtiments vétustes ; aujourd’hui à Reims on sait trouver des salles chauffées et où il ne pleut pas, mais des salles sans chauffage et où il pleut, ça a longtemps existé ! »

Oui au campus unique à Croix-Rouge

Intercampus peut-il contribuer à faire évoluer cette image ?

« Nous allons effectivement rédiger un livre blanc de propositions sur tout ce qui touche la vie à l’université, le logement, la restauration, la pédagogie, etc. Car nous ne sommes pas là uniquement pour décrier ce qui ne va pas. »

Quelle est la position d’Intercampus sur le projet de campus unique à Croix-Rouge ?

« Nous sommes pour ; un nouveau campus sur un seul site devrait en effet contribuer à rectifier notre déficit d’image. »

Autres actions ou projets de votre fédération ?

« Le 21 octobre, ce sera la soirée de clôture du mois des campus, Noctampus, sur le thème « autour du monde ». Cela se passera au parc de la Patte-d’oie et place d’Erlon, et le même jour nous interviendrons au colloque national de l’Avuf (association des villes universitaires de France) qui se tiendra à Reims. Par ailleurs, après Noctampus, nous mènerons des actions de prévention et de citoyenneté, sur les conduites addictives et à risques, et sur l’accès physique de l’enseignement supérieur pour les handicapés. Vous voyez, on n’est pas là uniquement pour organiser des fêtes ! »

Antoine PARDESSUS

*Sous l’appellation Interasso.


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Sortir du dispositif « Welcome week »

Nous avons aussi interrogé le nouveau président d’Intercampus sur la semaine d’accueil de la Ville à destination des étudiants, la « Welcome week », qui s’étale sur une quinzaine de jours, jusqu’au 30 octobre. « Quand la Ville nous a proposé d’y participer, en juin, nous étions partants, et puis nous nous sommes aperçus que la mairie essayait de s’approprier nos événements, avec des partenaires qui ne sont pas les nôtres, ce qui nous a posé problème. Nous souhaitons donc à présent sortir du dispositif. Comme nous n’avions pris que des engagements oraux, nous allons simplement ne pas mettre le logo « Welcome week » sur nos affiches. »

Ndlr : Cette position s’est infléchie à la suite d’un entretien avec l’élu municipal concerné.


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Union101014c
RMS devient une association

Ce terrain envahi par les herbes, près de l’Acrap, pourrait être ouvert aux enfants.
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En constituant cette association, la gestion financière, ainsi que du personnel sera simplifiée,

Révolution de velours dans le monde des études supérieures à Reims. L’école de commerce ne sera plus directement sous la coupe de la Chambre de commerce.

CRÉÉE en 1928, Reims Management School (RMS) a effectué sa mutation en adoptant de nouveaux statuts, ceux d’une association. Une décision adoptée, il y a deux semaines, lors de l’assemblée générale de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Reims et d’Epernay. « Cette validation était nécessaire puisque statutairement nous dépendions entièrement de la CCI, explique François Bonvalet, directeur général du groupe RMS. Le dépôt des statuts de l’association à la préfecture devrait être effectif d’ici quelques jours. »

En effet, comme presque toutes les écoles de commerce françaises, RMS fut fondée par une CCI. 82 ans plus tard, la structure rémoise, comme de nombreux autres établissements similaires à travers l’Hexagone, s’éloigne de la chambre consulaire. Après deux ans de réflexion et une année à les peaufiner, les textes encadrant l’association RMS ont été validés.

Internationalisation

Le but principal de cette modification est de mettre en adéquation le rôle de grande école internationale auquel prétend légitimement RMS avec son mode de gouvernance. « Actuellement, nous avons bien un conseil de surveillance, avec quelques grands cadres ou patrons d’entreprises internationales, mais il n’a qu’un rôle consultatif », détaille François Bonvalet. Pour jouer dans la cour des grands, mieux vaut avoir à sa tête des hommes d’expérience qui savent véritablement ce que signifient mondialisation, globalisation et enjeux internationaux. De même, en constituant cette association, la gestion financière, ainsi que du personnel sera simplifiée, 80 % de son fonctionnement étant déjà assuré par les frais de scolarités, avec un chiffre d’affaires qui avoisine les 32 millions d’euros.

Pour autant, ce changement de statut ne signifie nullement qu’entre RMS et la CCI de Reims et d’Epernay les ponts sont coupés. « Les membres de la CCI seront toujours majoritaires au conseil d’administration de l’association, précise François Cravoisier, président de la CCI de Reims et d’Epernay, et qui a accompagné cette mutation. De même, les locaux ainsi que la marque RMS sont toujours détenus par la CCI. »

Ainsi, si ce changement de statut est essentiellement symbolique, il n’en demeure pas moins qu’il devrait permettre à RMS de naviguer plus aisément dans la compétition internationale que se livrent les écoles de commerce.

Damien LE-THANH


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Union101014b
Forum des métiers du social

L’institut régional du travail social de Champagne-Ardenne organise son 17e forum, demain vendredi 15 octobre, de 10 à 17 heures au 8, rue Joliot-Curie. Cet événement permet de mieux connaître les métiers du social et les formations proposées. Infos sur le site www.irts-ca.fr/com/forum2010


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Union101014a
Croix-Rouge : Ça brûle toujours avenue Bonaparte

Les « bonapartistes » continuent de mettre le feu dans leur avenue. Hier vers 4 heures du matin, une Citroën AX a été incendiée devant l’immeuble du n° 15. Le sinistre s’est propagé à trois autres véhicules (un Renault Espace, une Peugeot 106, une Renault Clio).

Depuis plusieurs semaines, pour ne pas dire quelques mois, les feux de voitures et de poubelles sont devenus endémiques avenue Bonaparte.

Vers 19 h 45 hier soir, les pompiers sont retournés au quartier Croix-Rouge, rue des Savoyards, pour éteindre un feu de papiers allumé sur un balcon du 3e étage.

Deux heures avant, un feu de cave a nécessité une intervention allée des Grives, aux Epinettes. Enfin, mardi matin à 3 h 30, une poubelle a brûlé rue du Chalet.


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Union101013d
2 Mains en assemblée générale

L’assemblée générale de l’association 2 Mains aura lieu le lundi 18 octobre à 18 h 30 dans les locaux de l’Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.

Pour tout renseignement, s’adresser au directeur Jean-Louis Rumério (03.10.16.10.40).


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Union101013c
Forum des métiers du social

L’Institut régional du travail social de Champagne-Ardenne organise son 17e forum, vendredi 15 octobre, de 10 à 17 heures au 8, rue Joliot-Curie.

Cet événement permet de mieux connaître les métiers du social et les formations proposées.

Site internet : www.irts-ca.fr/irts/com/forum2010.


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Union101013b
Incendiaires

Dimanche, des détritus ont été enflammés à 18 heures dans une tour de l’avenue Bonaparte, puis une poubelle à 23 h 15 rue Apollinaire.

Lundi midi, un feu de papiers a été allumé dans un hall d’entrée de la rue Abbé-Miroy.

A 19h 15, une poubelle a brûlé place Dominique-Ingres.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 101013a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7363 du 11 au 17 octobre 2010.

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LIQUIDATION JUDICIAIRE

TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 05/10/2010, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :

- SOFEX (SARL),
- 26 rue de Rilly la Montagne -51100 REIMS.
- N° Registre du Commerce : (B 494 625 395).
- Activité : Tous travaux de bâtiment.

Mandataire liquidateur : SCP CROZAT BARAULT MAIGROT, (Maître Jean-François CROZAT), 17 quai de la Villa, B.P. 1014 - 51318 EPERNAY CEDEX.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné, dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

89450 Le greffier : Bernadette DELPY.


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Union101012c
Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Ce terrain envahi par les herbes, près de l’Acrap, pourrait être ouvert aux enfants.
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Boulodrome Acrap

Au cours du dernier conseil de quartier à Croix-Rouge, une habitante a suggéré que le terrain près de l’Acrap, officiellement baptisé « boulodrome » mais qui n’est jamais utilisé, même par les boulistes du dimanche, tellement il est biscornu, pourrait être grillagé et ouvert aux enfants du secteur qui pourraient s’y ébattre en toute sécurité. L’idée n’a pas été rejetée et sera étudiée.

Karaté et kobudo

Théodore Lê, animateur en arts martiaux à l’Acrap, n’enseigne pas le judo. « Nous ne pratiquons pas du judo mais du karaté. Autre précision qui a également son importance, la section karaté shorin ryu et kobudo d’Okinawa de l’Acrap regroupe deux disciplines distinctes : le karaté est une discipline qui se pratique pieds et mains nus, alors que le kobudo est une discipline qui se pratique avec des armes (outils agraires). »

Hausse des loyers

Jean-Pierre Bauwens, administrateur de l’association de défense des locataires « Et Croix-Rouge, comité Pays-de-France », dévoile le montant de l’augmentation des loyers qui attend les habitants des immeubles qui seront réhabilités par le Foyer rémois, dans le cadre de la rénovation urbaine : « L’article 3 du protocole d’accord collectif prévoit une augmentation moyenne de 25 € une année après la réception des travaux, ventilée ainsi : une part fixe de 12,50 € par logement et une part variable avec un taux de 4,58 appliqué au loyer actuel, prenant en compte la superficie du logement », révèle-t-il.


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Union101012b
Lutte contre l’exclusion sociale et la discrimination : Echanges de bons procédés

L’assistance a posé de nombreuses questions.
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L’association Multi-Échanges services (Mutes) a tenu son assemblée générale annuelle vendredi 8 octobre à l’espace Billard de la maison de quartier devant une trentaine de personnes. Dans la salle, les conseillers municipaux Michel Guillaudeau et Saïda Soumaya Berthelot côtoyaient le curé de Croix-Rouge, Nicaise Rousseaux et les représentants des associations amies « Promotion de Pays-de-France », « Collectif Croix-Rouge accueil », « Union des locataires de Croix-Rouge », « MJC Croix-Rouge », « Étoile Croix-du-Sud » et la Solidarité de la circonscription départementale.

Ensemble, ils ont écouté et adopté à l’unanimité les rapports moral, d’activités et financier.

Des activités diversifiées

La réunion a été l’occasion pour les administrateurs de rappeler le fonctionnement de l’association : « L’objectif de la Mutes est de lutter contre l’exclusion sociale et la discrimination et de rompre l’isolement. Pour cela, elle s’est dotée d’un moyen : l’échange de services réciproques, de particuliers à particuliers, entre des personnes d’âge, de milieux et de cultures différents, sur la base : un service donné égale un service rendu gratuitement. » La Mutes est ainsi devenue « un lieu bien vivant de rencontres et d’échanges qui affirme sa volonté de résister à un certain courant individualiste ».

Au-delà des échanges de services, la Mutes assure des permanences régulières (tél. 03.26.08.08.78.), anime avec le Secours catholique un atelier « cuisines du monde », organise la traditionnelle journée annuelle « Crêpes de la solidarité » et une fête de Noël, elle participe régulièrement à la fête des habitants et commence à développer des sorties avec ses membres.

Preuve de bonne santé, trois nouvelles administratrices volontaires ont été élues pour étoffer un conseil d’administration déjà bien garni !


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La leçon de trésorerie de Rustique Adigoun

Le trésorier (à droite) gère l’association aec sagesse
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Toutes ces activités, la Mutes les réalise avec un budget qui laisse pantois : 409 € seulement de recettes pour un exercice ! Un nouvel adhérent s’est étonné : « Je vois subvention Ville de Reims : 0 €, je m’étonne quand je découvre dans la presse le montant de certaines subventions accordées à des associations ou à des projets, je ne comprends pas ! »

Le trésorier Rustique Adigoun a tout expliqué avec une grande clarté : « Nous n’avons pas reçu de subvention parce que nous n’en avons pas demandée. En effet, nous avions une réserve de près de 15.000 € des exercices précédents, et une association n’a pas vocation à faire des économies et n’a pas le droit de faire du bénéfice. Dans ces conditions, nous n’avons pas sollicité la Ville. En revanche, cette année, nous avons reçu 1.000 € puisque nous avons eu des frais importants pour nos ateliers et nos activités. » Une belle leçon de civisme, d’autant plus que « nous sommes très attentifs à la moindre dépense ».

Représentant la maire de Reims, la conseillère municipale Jeannine Davis a approuvé, tout en jouant la prudence : « Une association a besoin d’une petite réserve en cas de pépin inattendu. Par ailleurs, si vous voulez vous informatiser un jour, il vous faudra disposer d’une petite avance. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 


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Union101012a
Le sport pour tous : De nouvelles activités pour les personnes handicapées

Une équipe au service des personnes handicapées du département.
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Quelque peu en sommeil depuis un an, l’activité du comité départemental Handisport repart avec de nouveaux projets grâce à l’arrivée de nouveaux partenaires. Et pour bien commencer la saison, le CDHM s’installe dans de nouveaux locaux au 10, rue de Rilly-la-Montagne.

« Avec les associations ou sections du département, le comité propose une douzaine d’activités sportives accessibles aux personnes handicapées physiques ou sensorielles (handicap auditif ou visuel) », explique la trésorière Annette Richet.

Ainsi, parmi les associations, on recense le Club des sourds sportifs de Reims, Reims Handisport et Châlons Handisport. Les sections sont des clubs qui, en leur sein, proposent des activités adaptées, à savoir : les Régates rémoises (aviron), l’EFSRA (athlétisme), Reims Europe Club (tennis), la MJEP Cormontreuil (judo), l’ORTT et l’ASCC (tennis de table) ainsi que le Reims patinage de vitesse. Il sera bientôt possible de s’adonner aux fléchettes avec le club Angel Dark de Châlons qui organise une journée découverte le samedi 20 novembre.

Découverte de la boccia

Des projets sont également en cours de réflexion. Tels les permanences à la Maison départementale des personnes handicapées (50, rue Patton à Châlons) ou à l’antenne de Reims où l’on peut obtenir tous renseignements sur les activités. Une plateforme d’accueil pour personnes handicapées hospitalisées devrait se mettre en place à l’hôpital Sébastopol.

Enfin, est prévue une journée découverte de la boccia (pétanque adaptée avec, éventuellement, utilisation de gouttières) le mercredi 15 décembre prochain au Creps de Reims, avec la présence de l’entraîneur fédéral Sébastien Plawecki afin de sensibiliser les personnes encadrantes.

« Toutes les associations sportives souhaitant ouvrir une section sur le département de la Marne sont invitées à s’adresser au CDHM qui peut accompagner la démarche (administration, communication, formation…) », explique le secrétaire, lui-même en fauteuil roulant.

Le CDHM est présidé par Christian Khouth, assisté de Annette Richet, trésorière, Cyril Richet-Wallat, secrétaire, et Elham Seffar, agent de développement, qui tient des permanences du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 13 à 17 heures.

Comité départemental Handisport, 10, rue de Rilly-la-Montagne à Reims. Tél. 03.52.45.72.50.


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Union101011a
Mais où se gare-t-on à Croix-Rouge ?

Les nombreux travaux effectués actuellement, rue Joliot-Curie, font craindre aux riverains la disparition de dizaines de places de stationnement.
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Les travaux à Pays de France, engendrent des problèmes de stationnement. Conséquence, les habitants se plaignent, surtout qu’à terme ils craignent de constater la suppression définitive de certains emplacements.

LA grogne enfle à Pays de France. La cause ? Des difficultés de stationnement provoquées par les travaux de rénovation du quartier, découlant du programme de l’Anru. A cela s’ajoutent des rumeurs persistantes, évoquant la disparition à terme de dizaines de places de parking, qui inquiètent les habitants.

D’ailleurs, lors du dernier conseil de quartier Croix-Rouge/Haut-de-Murigny, le 30 septembre dernier (voir l’union du 5 octobre), les présents ont profité de cette occasion pour exprimer leur ras-le-bol auprès des élus : « Sept étages de parkings vont disparaître, on se gare où ? »

Cafouillage des élus

Certains dénoncent même le manque de compréhension de la police municipale : « A 7 h 30, la police municipale débarque et aligne tout le monde ! Aucune discussion n’est possible, carte d’invalidité ou non ! »

Si Alain Bisteur, conseiller municipal de la majorité, présent lors de ce conseil de quartier, s’était engagé à se pencher sur le problème des PV, l’élu avoue que pour l’instant « aucune consigne, ni décision n’ont été prises à ma connaissance ». « Nous marchons sur des œufs. Je comprends l’exaspération des riverains. Concernant les PV le matin, j’irai constater par moi-même », commente un brin suspicieux Alain Bisteur, même s’il se refuse de remettre clairement en cause les propos des habitants.

PV ou pas, il faut bien se garer, de jour comme de nuit. D’ailleurs, on constate aisément le manque de places. Alors, le moindre espace de bitume ou d’herbe accessible se transforme aussitôt en zone de stationnement sauvage.

Pourtant, pour Eric Quenard, premier adjoint à la ville de Reims, il n’y a pas d’inflation du nombre de PV, dressés par la police municipale. « Il y en a eu 59 en juin, 35 et 23 en juillet et août, et 59 pour le mois de septembre, détaille l’élu. On est bien loin des 250 PV dressés certains mois dans l’avenue de Laon. Mais il est vrai que la police nationale en dresse aussi et là je ne connais pas leurs chiffres. »

Augmentation du nombre de places

Du côté de la municipalité, on veut également tordre le cou aux rumeurs. On soutient qu’à terme, la situation sera même bien meilleure, malgré « les désagréments actuels, inhérents à tout chantier ». « Regardez le plan. Le nombre de places de parking de la rue Joliot-Curie ne va pas diminuer. Il y en aura même plus au total dans le quartier, grâce à la création de la rue Voie Nouvelle et ainsi qu’à proximité de la voie piétonne, affirme Salah Byar, conseiller municipal de la majorité et vice-président de l’association des locataires de Pays de France. Il s’agit uniquement de rumeurs sans fondement. »

Confirmation identique du côté du Foyer rémois. Actuellement, pour les îlots A et B, qui font l’objet du programme de rénovation de 33 millions d’euros, 322 places de parking sont recensées, dont beaucoup de places souterraines qui ne sont pas utilisées « pour des problèmes de sécurité ».

« A l’achèvement des travaux, fin 2013, il y a aura 480 places, soit 158 de plus, affirme Sébastien Courtois, directeur adjoint des services techniques du Foyer rémois. Dont 40 % accessibles à tous, le reste seulement aux locataires. »

Des propos censés rassurer les habitants. Seul hic, il faudra attendre encore au moins deux ans avant d’en arriver là.

Damien LE-THANH


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Parkings provisoires et « souplesse » de la police municipale

La police municipale fait preuve de « souplesse ».
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Pour une municipalité de gauche, se mettre à dos les quartiers populaires ne donne vraiment pas une bonne image. La grogne qui enfle à Pays de France devait trouver une réponse apaisante. Une réunion a donc eu lieu la semaine dernière et elle a débouché sur une solution qui devrait soulager les automobilistes.

150 places temporaires

Remède évident et pratique l’instauration de parkings provisoires, d’une capacité totale de 150 places, pendant la durée des travaux.

- Sur une partie du parking en cours de démolition, le long de la rue Joliot-Curie, ouverture prévue dans un mois.

- Sur le parking Arago, à l’arrière des constructions neuves, dans deux semaines.

- Le long de l’avenue Bonaparte, à l’issue de la démolition du parking.

- Entre la rue Lavoisier et le 7, allée des Limousins, à partir du premier semestre 2011.

Une police municipale moins tatillonne

Même si Eric Quenard, premier adjoint à la Ville de Reims, affirme qu’il n’y a pas d’inflation du nombre de PV à Pays de France, ce dernier ne nie pas les problèmes rencontrés.

« Il ne peut pas y avoir de tolérance zéro, par exemple si des voitures se garent sur des stationnements réservés aux handicapés ou s’il y a une gêne pour la sécurité.

Mais il est vrai qu’il peut y avoir de la part de la police municipale un regard plus modéré, plus de souplesse dans d’autres cas », commente l’élu, qui se refuse toutefois à accorder un droit à l’anarchie routière.

D.L-T.


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Union101009c
A Croix-Rouge : Les voitures brûlent

La première des trois voitures incendiées jeudi était garée sur un parking de l’allée des Landais.
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Trois feux de voitures ont été allumés jeudi au quartier Croix-Rouge.

Le premier véhicule a brûlé vers 15 h 30 sur le parking de la piscine Château-d’Eau, allée des Landais (l’union d’hier).

En début de soirée, à 20 h 30, une Renault 19 volée depuis le 28 août a été abandonnée allée Yves-Gandon.

Un témoin a vu les occupants mettre le feu à la voiture avant de s’enfuir.

L’incendie s’est propagé à une Toyota Yaris et à un Renault Kangoo.

Vers 21 heures, une Fiat Multipla a été mise à feu allée des Tourangeaux, devant le n° 16. Le pare-chocs et les feux arrière d’une Citroën Xantia ont été endommagés par les flammes.

 


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Union101009b
Concours de belote

Le prochain concours de belote de l’Étoile Croix-du-Sud se déroulera demain, dimanche 10 octobre.

Inscriptions (16 € par équipe) à 13 h 30, début du jeu à 14 heures. Nombreux lots.

Renseignements à l’Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66.).


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Union101009a
Sciences Po, campus rémois, soutien à l’université : La maire tance le président de l’université


Dans un courrier adressé à Richard Vistelle, la maire ne mâche pas ses mots : « J’estime que vous dépassez l’acceptable de ce que l’on peut attendre du responsable d’une institution. »

Lors d’une conférence de presse de rentrée, Richard Vistelle, président de l’Université, a en plusieurs occasions mis en cause la Ville de Reims (NDLR : mais pas seulement) en évoquant la création de Sciences Po, l’état des campus et leur regroupement. A quelques jours d’une réunion du conseil d’administration de l’Urca, Adeline Hazan, maire et présidente de l’agglo, vient de lui écrire pour lui exprimer son plus profond mécontentement.

« À propos de l’arrivée de Sciences Po dont vous dénoncez la réalisation rapide du dossier tout en se félicitant de sa finalité, je vous ai consulté et associé dès l’ébauche du projet. Sans votre accord, il n’aurait pu se réaliser. Sa mise en œuvre soi-disant rapide est relative puisque les premiers contacts ont été pris en juillet 2008 avec Sciences Po pour une première promotion en septembre 2010 et les collectivités ont fait preuve de réactivité après un examen approfondi. »

Sur l’étude du regroupement des campus, la maire est d’accord avec M. Vistelle pour dire que cela a pris beaucoup de retard. « Bien que nous l’ayons co-financée avec la Caisse des dépôts, elle est sous votre seule responsabilité. Vous l’avez présentée à nos services en juin mais les montants financiers présentés en septembre n’étaient plus les mêmes. De plus, le conseil d’administration de l’Urca ne s’est prononcé par vote sur votre projet que le 20 septembre dernier. Le retard du dossier vous est totalement imputable. »

La Ville aide l’université

Dans son courrier, la maire rappelle que la Ville apporte chaque année 750.000 € de subvention à l’université. La Ville a aussi soutenu le projet de construction et d’extension de l’Esiec (Ecole supérieure d’emballage et de conditionnement) en budgétant la somme de 3,4 M€. Or à la demande expresse de l’université, le projet a été abandonné en 2009. Ce qui a coûté 700.000 € de dédit à la ville.

« Arrêtez de dénigrer l’université »

Enfin, Adeline Hazan demande à Richard Vistelle, qui affirme que 95 % de son campus scientifique est délabré et qu’il vaut mieux faire ses études de droit dans une autre ville, d’arrêter de dénigrer l’université. « Lorsque vous parlez de verrue, ce qui en bon français et dans son acception non médicale signifie excroissance qui enlaidit ou dépare un site ou une construction, j’estime que vous dépassez l’acceptable de ce que l’on peut attendre du responsable d’une institution. Attachée au devenir de notre université, je vous rappelle que ce secteur est entièrement de la compétence de l’État. La Ville à son niveau ne ménage ni sa peine ni ses soutiens financiers. » C’est dit.

Alain MOYAT


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« On appelle de nos vœux un grand pôle universitaire »

Sur les états d’âme du président de l’université Richard Vistelle, qui estime en substance qu’il serait souhaitable de faire autant d’effort pour l’université que pour Sciences Po, Olivier Nys ne mâche pas ses mots non plus.

« Si M. Vistelle a un projet de regroupement de toutes les universités rémoises, sachez bien que beaucoup d’élus le souhaiteraient aussi et que l’agglo le soutiendrait, j’en suis sûr. La maire appelle de tous ses vœux un grand pôle universitaire qui pourrait être sur Croix-Rouge et la Zac de Bezannes. Il y a là de beaux enjeux de recomposition urbaine. On est à la croisée des chemins. Au moment où les universités se font concurrence, on ne doit pas rester au bord de la route car l’université de Reims n’est pas en première division. Elle doit mettre le paquet pour conserver sa place de belle université de province. C’est en fait un grand enjeu pour toute la Région. »

A.M.


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L’hebdo du vendredi- n° 184 - 101008g

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 184 - Semaine du 08 au 14 octobre 2010

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Tramway : En terre inconnue

Après les premiers essais débutés cet été au coeur du quartier Croix-Rouge, puis d’autres menés plus récemment jusqu’au centre-ville, les rames hautes en couleurs du tramway se baladent depuis peu sur l’intégralité de la ligne.

Depuis quelques jours, le tramway parcourt l’ensemble de la ligne entre les terminus CHU-Bezannes et Neufchâtel, effectuant ses premiers essais au-delà du centre-ville jusqu’au nord de Reims. Cette première traversée s’est déroulée mercredi 6 octobre sous bonne escorte. Encadrée par des véhicules de police, mais surtout par une armée de techniciens, la rame a traversé sans encombre le pont de Laon, rejoignant la 4ème et dernière zone du tracé jusqu’alors restée inexplorée. « L’ouverture des trois premières zones s’est parfaitement déroulée, a rappelé Christian Messelyn, président de la société MARS, notamment celle comprise entre les stations Comédie et Opéra. C’était une phase importante car c’est à partir de la station Comédie que le tramway change d’alimentation ».

En effet, comme à Bordeaux, la rame bascule de l’alimentation aérienne de contact à l’alimentation par le sol lors de son passage en centre-ville. Les essais vont maintenant se poursuivre jusqu’en février. Entre temps, près de 1 200 arbres auront été plantés tandis que plus de 80 conducteurs auront été formés à la conduite du tram. Autant dire que dans les prochaines semaines, la cohabitation avec ce nouveau mode de transport va s’intensifier. L’occasion pour les riverains, automobilistes, deux roues et piétons de se familiariser progressivement avec le tramway avant sa mise en route commerciale programmée en avril 2011.


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Conseils de quartier : La maire fait sa tournée

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Adeline Hazan et l’ensemble de l’équipe municipale seront présents lors des conseils de quartier suivant :

Laon- Zola/Neuchâtel/Orgeval, vendredi 8/10 à 19h (salle municipale Goulin) – Bois d’Amour/Courlancy/Porte de Paris, lundi 11/10 à 19h (stade Auguste Delaune) – Murigny, mercredi 13/10 à 19h (gymnase Richelieu) – La Neuvillette/Trois Fontaines, vendredi 15/10 à 19h (collège Trois Fontaines) – Cernay/Epinettes/Jamin/ Jaurès, lundi 18/10 à 19h (collège Maryse-Bastié) – Charles- Arnould/Clairmarais, vendredi 22/10 à 19h (salle municipale Saint-Thierry) – Centre-ville, mercredi 3/11 à 19h (salle des fêtes de l’Hôtel de Ville) – Maison-Blanche/Ste-Anne/Wilson, lundi 8/11 à 19h (salle municipale Rossini) – Châtillons, mercredi 10/11à 19h (maison de quartier Châtillons) – Croix-Rouge/Hauts de Murigny, mercredi 17/11 à 19h (salle municipale François Mauriac) – Cheminvert/ Clemenceau/Europe, jeudi 18/11 à 19h (maison commune du Chemin-Vert)


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Volley : Tournoi de l’avenir

Le club du Reims Avenir Sport Volley-ball organise le tournoi de l’avenir dimanche 10 octobre à la halle des sports universitaires à Croix-Rouge.

Réservé aux filles et garçons âgés de 16 à 25 ans, ce tournoi opposera 16 équipes en 3 contre 3 et sur terrain réduit.

Renseignements et inscriptions : www.tournoidelavenir.sitew.com


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Venez découvrir les services de l’Espace Métiers.



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Union101008f
Dans les maisons de quartier : Le charme de l’Orient avec Houria

Houria réussit chaque année un merveilleux spectacle en fin de saison.
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Les cours de danse orientale ont repris dans les maisons de quartier de Reims avec Houria Gauzelin .

Pour les enfants et les débutants, Houria propose une initiation à la musique et la culture orientale, apprendre à exprimer ses émotions à travers la danse, développer les capacités expressives du corps. Apprendre des pas de base et mémoriser une chorégraphie simple.

Pour les mordues et les confirmées, Houria propose d’appréhender différents styles, du classique Raks Sharky égyptien au folklore baladi, en passant par le bollywood, le flamenco arabe, le fusion tribal… une constellation de techniques et d’ambiances à découvrir.

Pratiquer la danse orientale accompagné d’un professeur permet d’en découvrir les multiples facettes.

« Loin du cliché réducteur de simple danse du ventre, elle permet l’évasion et est un chemin vers l’épanouissement personnel » explique Houria. Sous ses abords ludiques elle n’en demeure pas moins une discipline très complète. « Grâce à la danse orientale, chacune peut exprimer la féminité qui est en elle ».

Houria Gauzelin enseigne la danse orientale depuis un dizaine d’années sur la région rémoise dans les maisons de quartier Apollinaire, Billard, Clairmarais et à l’ESCAL de Witry-les-Reims.

Elle a organisé deux festivals internationaux à Reims en 2008 et 2010 et participe régulièrement a différents festivals de danse orientale en Europe. Elle est présidente de la Compagnie les orientales en couleurs, association de danse orientale créée a son initiative en 2003 qui propose des stages, concours et activités annexes complémentaires de ses cours.

Renseignements : tél. 06.67.73.98.36 ou www.houria.fr

Les Orientales en couleurs, 10 rue professeur-Franquet , 51100 Reims.


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Union101008e
Bourse aux vêtements

Une bourse aux vêtements sera organisée par l’association Étoile Croix-du-Sud vendredi 8 octobre, de 8 à 18 heures, dans ses locaux associatifs.

Par ailleurs, le prochain concours de belote de l’Étoile se déroulera dimanche 10 octobre.

Inscriptions (16 euros par équipe) à 13 h 30, début du jeu à 14 heures. Nombreux lots.

Renseignements à l’Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum (Tél. 03.26.06.56.66.).


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Union101008d
« M’auteurs, essence des mots » avec Nova Villa : Lectures pour tous les goûts

Pascal Brullemans propose une lecture publique samedi à 15 heures à la bibliothèque Carnégie.
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Une quinzaine d’écrivains ont été rassemblés par l’association Nova Villa, pour un week-end de lecture, à la fois à l’école, en famille et pour tout public. « M’auteurs, essence des mots » propose aux jeunes de découvrir des auteurs, des textes de théâtre.

Cela commence aujourd’hui dans les écoles Ravel, Conio à Witry et à Courcy pour les primaires, dans les collèges Trois-Fontaines, Legros et Billa à Tinqueux, et dans les lycées Chagall, Libergier, Roosevelt, sans oublier une lecture au café associatif Croix-Rouge, et deux lectures dans les familles du quartier.

Ce soir, ouverture à tous, à partir de 8-9 ans, avec « Femmes de parloir…, traces de vie détenues », par Hélène Castel et Brigitte Patient (Palais du Tau, 19 h 30, entrée libre). Ce projet commence quand Brigitte retrouve Hélène, amie d’adolescence qu’elle n’a pas vue depuis 20 ans, à Fleury-Mérogis. C’est une plongée forte et émouvante dans les réalités de l’univers carcéral.

Samedi et dimanche, Nova Villa organise pour la 5e année des lectures dans les familles : celles-ci accueillent gratuitement un auteur, metteur en scène ou comédien pour découvrir un texte de théâtre, avec « obligation » d’inviter famille, voisins, amis.

A 14 h 30, Julie Annen, artiste belge, lira au Palais du Tau en partenariat avec le Croix-Rouge français, le centre d’accueil pour les demandeurs d’asile et les étudiants de l’Afev. Lecture publique ensuite à 15 heures à la bibliothèque Carnégie, « La balade de Vipérine », par Pascal Brullemans (à partir de 8 ans, entrée libre). Ce conte fantastique raconte la quête d’une fillette pour libérer l’esprit de sa sœur prisonnière de l’arbre aux rubans.

Deux lectures dimanche 10 octobre, avec « PP Les p’tits cailloux », à trois voix autour d’un récit, le Petit Poucet (à partir de 8 ans, médiathèque Cormontreuil, 10 h 30, entrée libre) et « Les ours dorment enfin », par Geneviève Billette, à partir de 8 ans, à 19 h 30 sur réservation.

Les auteurs : Karine Serres, Corinne Méric, Brigitte Patient, Hélène Castel, Annabelle Sergent, Eve Ledig, Geneviève Billette, Luc Tartar, Christophe Laparra, Pascal Brullemans, Julie Annen, Anton Tarradellas, Pascale Daniel-Lacombe et Françoise Jimenez.

Renseignements Nova Villa, tel : 03.26.09.33.33.


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Union101008c
De la maternelle au CM2 : La prévention routière à l’Institut Michel-Fandre

Les enfants ont mis beaucoup d’application dans ce premier apprentissage.
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Fin septembre, les élèves de l’Institut Michel-Fandre, établissement de rééducation et d’éducation, spécialisé dans le handicap sensoriel, ont participé à une journée de sensibilisation à la prévention routière.

Tous les enfants, de la maternelle au CM2, ont découvert un parcours installé par les personnels d’une société d’assurances. Une heure durant, chaque petit groupe d’une quinzaine d’élèves a pris contact avec la piste routière et s’est confronté aux règles élémentaires de la sécurité routière. Tour à tour, les enfants ont endossé le rôle de piéton ou de conducteur (tracteurs, trottinettes et vélos…) et ils ont vérifié leurs connaissances, encadrés par deux policières municipales « aimables, particulièrement souriantes et très pédagogues », précise Jean-Marie Pilliet, directeur pédagogique de l’Institut Michel-Fandre.

Cet accompagnement par des enseignants, des éducateurs et les différents intervenants a fait vivre une belle expérience et permis une réelle prise de conscience des risques encourus en se déplaçant à l’extérieur de l’établissement.

« Cette journée va se poursuivre par un travail dans les classes et à travers d’autres projets », continue Jean-Marie Pilliet. « Enfin, les différentes sorties scolaires et éducatives permettront de mesurer l’impact de cette première approche. »

 


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Union101008b
L’association Mutes en assemblée : Echanges de services

La présidente et le trésorier présenteront leurs bilans.
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L’association Multi-Échanges services (MUTES) tiendra son assemblée générale annuelle aujourd’hui vendredi 8 octobre à 18 h 30 à son siège social, l’espace Billard de la maison de quartier, 14 rue Pierre-Taittinger.

Tous renseignements auprès de la présidente Martine Massart au 03.26.84.76.31.

 

 

 


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Union101008a
Voiture incendiée

Hier vers 15 h 30, une voiture a été incendiée sur un parking de l’allée des Landais, près de la piscine du Château-d’Eau. Les pompiers ont éteint les flammes avec une lance à mousse. L’origine du sinistre est suspecte.


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Union101007a
Quatre poubelles brûlées : Trois incendiaires pris la main sur le briquet

Dans la nuit de dimanche à lundi, un feu de poubelle s’est déclaré allée des Gascons, puis un deuxième, allée des Tourangeaux au n° 1, puis un troisième au n° 13.

Confrontée à cette série, la police a mis en place une surveillance des lieux dans l’espoir de surprendre les auteurs. Sa patience a été récompensée.

Vers 1 h 10, une quatrième poubelle a pris feu dans un immeuble de l’allée des Tourangeaux, au n° 12. Aussitôt après, la brigade anticriminalité a vu trois jeunes gens sortir du hall, briquet à la main.

L’arrestation a suivi. L’enquête a permis d’établir qu’ils étaient à l’origine des précédents incendies. Aucune explication à leurs agissements, si ce n’est une consommation excessive d’alcool.

Deux des vandales, âgés de 17 ans, sont convoqués le mois prochain devant le juge des enfants aux fins d’être mis en examen. Le troisième larron, un garçon de 18 ans notamment connu pour de multiples tags (il signait Zonar), est cité à comparaître le 23 novembre devant le tribunal correctionnel.

Lundi matin, vers 6 heures, un ou plusieurs incendiaires ont sévi rue de la Maison-Blanche (cinq ou six poubelles ont brûlé) mais ceux-là courent toujours. Un feu de local à vide-ordures s’est également déclaré lundi à 10 h 30 allée des Bourguignons, au n° 4.

Hier, une poubelle a flambé à 0 h 15 rue de l’Espérance à Tinqueux, puis une autre rue des Capucins à Reims vers 1 h 50.


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Union101006a
Renouvellement urbain et tramway : « Quel chantier ! »

Plusieurs actions seront menées pour accompagner la transformation de Croix-Rouge.
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REIMS (Marne). Le projet « Quel chantier ! » est la phase 2 d’un vaste projet prévu sur 3 ans, qui accompagne le programme ANRU et l’arrivée du tramway sur le quartier Croix-Rouge.

En 2009, l’État et la Ville avaient cofinancé la première phase (4 700 euros) de mise en place avec tous les acteurs locaux. L’année 2009 a ensuite été consacrée à redéfinir, avec l’ensemble des partenaires financiers, les coûts d’intervention qui ont été recalibrés au plus juste.

En 2010, L’État finance ce projet dans le cadre du volet habitat et cadre de vie du contrat urbain de cohésion sociale (CUCS) de Reims à hauteur de 15 000 euros (plus 3 700 euros de reports 2009). L’État a également accordé 5 000 euros à ce projet dans le cadre de l’appel à projets national : dynamique espoir banlieues. La Ville de Reims est le principal cofinanceur du projet, et les trois bailleurs de Croix-Rouge apportent également une contribution de 1 000 euros chacun. Soit au total, une tirelire de 45 400 euros !

Le ressenti des habitants

Le quartier Croix-Rouge se transforme, de gros travaux sont engagés, avec la construction du tramway et le renouvellement urbain qui touchent les trois secteurs, changeant la physionomie des lieux. Ce projet propose d’accompagner les habitants dans cette période stressante de changement.

À la maison de quartier Croix-Rouge, c’est la directrice Marie-Élisabeth Causin, animateur global, qui porte ce projet, dont la direction artistique a été confiée à Mireille Lamiral-Dupouy, qui a déjà conduit ce type de projet sur d’autres communes.

Un de ses axes fondamentaux est la phase de recueil des expressions et des récits d’habitants pour témoigner de leur vécu, leurs désirs et leur devenir. Cette phase a débuté depuis quelques mois. Trois animateurs du Point-Cyb de la maison de quartier vont à la rencontre des habitants. Lors de ces rencontres, des textes et photos sont récoltés pour enrichir un blog, pour maintenir le lien avec le public. Enfin, un livre sera préparé, dont la publication est prévue en 2011.

Un CD et une stèle

Le deuxième axe du projet réside dans la création d’une douzaine de chansons, avec le guitariste Manuel Ducros, lors de rencontres avec des groupes constitués (écoles, associations du quartier, ateliers de la Maison de quartier, accueils de loisirs, professionnels intervenant sur Croix-Rouge…). Plusieurs chansons ont d’ores et déjà été écrites et mises en musique. La parution d’un CD est prévue pour fin 2010, il est envisagé de l’accompagner d’un concert.

La réalisation d’une stèle en pierre est programmée, comme un élément emblématique du projet, un monument aux vivants qui sera érigé dans un endroit principal du quartier. Il est prévu de la mettre en valeur à l’occasion de l’inauguration du tramway.

Ce projet se veut fédérateur et largement ouvert à tous. Il s’inscrit dans la durée. Démarré concrètement en 2010, il n’aboutira qu’en 2011, avec des étapes intermédiaires, comme la parution du CD.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 101005f
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7362 du 04 au 10 octobre 2010.


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Reims Habitat : DEUX SUCCURSALES DU BAILLEUR ONT ÉTÉ RÉNOVÉES.

Afin d’offrir à ses locataires un accueil de qualité au cœur des quartiers, Reims habitat a entrepris des travaux de réaménagement de ses succursales de Murigny et de Centre Est. Ces succursales sont désormais rénovées, agrandies et permettent d’accueillir les visiteurs de façon plus agréable, tout en restant à proximité immédiate des locataires.

A Murigny, les travaux se sont élevés à 208 000 euros.

L’extension de la succursale Centre Est a commencé a coûté 71 200 euros.


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MODIFICATION DE STATUTS

Aux termes d’une assemblée générale extraordinaire en date du 28/09/2010 à REIMS, il a été décidé de procéder aux modifications des statuts de la S.A.R.L. CHAMPAGNE P.V.C., au capital de 8.000 €, R.C.S. REIMS 448 799 452.

SIEGE SOCIAL A compter du premier octobre deux mil dix, le siège social est fixé au 43 esplanade Eisenhower à REIMS (Mante).

Modifications au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

89235 Pour avis.


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LIQUIDATION JUDICIAIRE

SALMANAZAR

Société à responsabilité limitée en liquidation au capital de 3.000 €uros

Siège : 43 rue Pierre Taittinger51100 REIMS

477 721 310 R.C.S. Reims

L’assemblée générale extraordinaire réunie le 17 septembre 2010 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter de ce jour et sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée.

Elle a nommé comme liquidateur Monsieur Marian GEOFFROY, demeurant 1 impasse du Puit Gras - 51170 SAVIGNY SUR ARDRE, pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif, et l’a autorisé à continuer les affaires en cours et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation.

Le siège de la liquidation est fixé 43 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS. C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés. Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

39167 Pour avis Le liquidateur.


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SALMANAZAR

Société à responsabilité limitée en liquidation au capital de 3.000 €uros

Siège : 43 rue Pierre Taittinger51100 REIMS

477 721 310 R.C.S. Reims

L’assemblée générale réunie le 17 septembre 2010 a approuvé le compte définitif de liquidation, déchargé Monsieur Marian GEOFFROY de son mandat de liquidateur, donné ce dernier quitus de sa gestion et constaté la clôture de la liquidation à compter du jour de ladite assemblée. Les comptes de liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

89168 Pour avis Le liquidateur.


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Reims Habitat

DEUX SUCCURSALES DU BAILLEUR ONT ÉTÉ RÉNOVÉES.

Afin d’offrir à ses locataires un accueil de qualité au cœur des quartiers, Reims habitat a entrepris des travaux ce réaménagement de ses succursales de Murigny et de Centre Est.

Ces succursales sont désormais rénovées, agrandies et permettent d’accueillir les visiteurs de façon plus agréable, tout en restant à proximité immédiate des locataires. A Murigny, les travaux se sont élevés à 208 000 euros. L’extension de la succursale Centre Est a commencé a coûté 71 200 euros.


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Université.

Richard Vistelle (à gauche), en compagnie d’Alexandre Steyer, recteur de l’académie.
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A l’occasion de la rentrée universitaire, le président Richard Vistelle est revenu sur les projets déterminants pour l’avenir de I’URCA.

Le PRES et le transfert du campus : deux dossiers majeurs pour I’URCA

Le Pôle de Recherche et d’enseignement supérieur (PRES) en construction avec la Picardie et la Wallonie doit marquer une nouvelle dimension pour l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Si son président, Richard Vistelle, reconnaît un peu de retard sur d’autres universités concurrentes, il estime que cela devient un avantage. « Les premiers PRES mis en place vivent isolément et ne satisfont pas le ministère.

D’emblée, nous mutualisons les moyens et formons un PRES de deuxième génération interrégional et international qui comptera près de 50 000 étudiants ».

Mieux même, le président de l’URCA imagine une fusion avec le PRES du Nord-Pas-de-Calais. Un rapprochement qui serait possible par les nombreuses relations déjà existantes entre les Champenois, les Picards et les Nordistes. Ainsi, sur le plan de la recherche par exemple, l’URCA est impliquée dans un projet de société d’accélération du transfert de technologies (SATT) avec ces deux régions. Un dossier qui s’appuie sur le Grand Emprunt (plus de 20 milliards d’euros pour la recherche) pour lequel l’URCA travaille également sur quatre projets d’équipements d’excellence et sur la création d’un Institut de Recherche Technologique (IRT) lié au Pôle Materalia. Le PRES devrait être finalisé début 2011 et constituer un grand pas en avant pour l’URCA qui, dès le 1er janvier, verra ses responsabilités et compétences élargies. Une souplesse de fonctionnement qui s’accompagne d’une autonomie financière avec un budget pratiquement multiplié par trois.

LE TRANSFERT DU CAMPUS, UNE QUESTION DE SURVIE

« Une réunion générale avec l’ensemble des partenaires (Ville, agglomération, Conseil général et Conseil Régional) est prévue fin octobre pour une prise de décision sur le transfert du campus du Moulin de la Housse (et de l’ESIEC et de l’IUFM) vers Croix-Rouge. Si ce projet n’aboutit pas, ce sera la mort programmée de l’URCA », affirme Richard Vistelle.

Pour le président, il ne faut pas perdre de temps en sachant qu’avec le montage financier et la finalisation du projet (deux ans), le transfert effectif ne serait pas possible avant sept ans.

Ce chantier est présenté comme vital en raison de la vétusté des installations rémoises. « En ce moment, le site de Reims devient moins attractif que ceux de Châlons, Troyes, Charleville (fort potentiel de développement avec le PRES) et Chaumont (précieux pour concurrencer la Bourgogne et la Franche-Comté). Au Moulin de la Housse, 95 % des bâtiments sont à détruire. Reconstruire au même endroit coûterait plus cher, tandis que le projet de Croix-Rouge est intégré dans Reims 2020, avec notamment la présence du tramway », ajoute Richard Vistelle.

Concernant le coût, le président de l’URCA annonce 70 M€. Une somme qu’il compare avec les efforts réalisés en faveur de Sciences-Po… « L’arrivée de grandes écoles est intéressante pour le territoire, mais ce serait une faute grave de ne pas faire la même chose pour l’URCA ou pour Reims Management School ».

UNIVERSITÉ ET ENTREPRISES

Richard Vistelle a également effectué le bilan des actions de l’URCA, ne manquant pas de citer les efforts liés avec le monde économique : professionnalisation des formations, création d’un bureau d’insertion professionnelle et d’un observatoire pour mesurer les résultats.

Il annonce également « le projet Entrepreneuriat étudiant retenu et soutenu par le ministère » ou encore la création d’un « Master droit du vin et des spiritueux avec le soutien de Möet & Chandon ».

PHILIPPE DEMOOR


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Union101005e
Croix-Rouge et Hauts-de-Murigny / Le conseil de quartier chahute l’élu Jacques Meyer

Cette fois-ci, les habitants ont pu s’exprimer longuement.
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Le Conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny s’est réuni jeudi 30 septembre en présence d’environ 70 personnes.

LA première partie a été animée par l’adjoint au maire Jacques Meyer, chargé des questions d’éducation. Alors que le thème annoncé était l’actualité scolaire de Croix-Rouge, l’élu s’est lancé dans un long exposé, fort bien documenté par ailleurs, sur la politique éducative de la ville de Reims.

« À chaque fois, c’est la même chose », constatait Yves Menu, un habitant de Bonaparte : « Ils noient le poisson ! »

Mais cela n’a pas duré, car plusieurs mamans irritées ont interpellé l’adjoint : « Ici, c’est le conseil de quartier de Croix-Rouge, et nous sommes venues pour vous entendre parler des écoles et des élèves de notre quartier ! »

Changement de cap donc de Jacques Meyer avec les questions du public. « La cour de l’école Gilberte-Droit a été livrée aux jeunes cet été. Il était convenu que cet espace serait remis en état, il n’en a rien été, il est dans un triste état avec des tessons de bouteilles au sol et les enfants ne peuvent plus en profiter ! », a protesté Caroline Barre, d’Eisenhower. Autres problèmes : « Le grillage de l’école Joliot-Curie est troué depuis la rentrée. Le réparera-t-on un jour ? », « Que faire contre le problème des véhicules qui se garent devant les maternelles ? », « À l’école Galilée, il y a d’énormes déperditions de chaleur autour des portes du rez-de-chaussée qui sont à refaire… », « Faute de protections piétons, les élèves des Polygones, qui se rendent à l’école doivent subir un vrai parcours du combattant avec de gros risques… », etc.

Rien de nouveau

Le deuxième sujet à l’ordre du jour était l’antenne Croix-Rouge et ses partenaires. C’est David Chatelin, responsable des antennes municipales, qui s’y est collé, développant le concept « trouver en un même lieu les différentes prestations de la gamme des services publics ».

En clair, rien de bien nouveau pour les habitants qui connaissent parfaitement l’endroit et ses multiples partenaires, avec 10 845 usagers accueillis en 2009 ! Peu de questions sur ce sujet.

« Pourquoi ne recevons-nous plus le magazine Vri ?, a demandé Jean-Pierre Bauwens, de Pays-de-France. Il y a deux sortes de contribuables à Reims, ceux qui le reçoivent, et les autres… ». « La Ville ne peut pas le distribuer », a répondu Alain Bisteur.

Autre question, « Pourquoi n’y a-t-il plus de bennes pour les déchets encombrants ? » Réponse : « C’était toutes les six semaines auparavant, maintenant tous les trois mois seulement. »


……….

Stationnement l’explosion de la colère

Les membres du conseil n’ont pas été déçus par une levée de boucliers massive à propos du stationnement à Croix-Rouge.

Aux Polygones, Mme Chevalot soulève « un énorme problème de stationnement à cause des étudiants (Université et RMS) qui se garent n’importe où. Un stationnement sauvage et anarchique. Ils vont jusqu’à se garer moitié sur le trottoir, moitié sur la route. Cela s’ajoute au mépris affiché envers les piétons valides et handicapés, quand il y a des travaux ! »

Aux Savoyards : « Nous n’avons plus du tout de parkings. Où se gare-t-on ? Nos deux parkings sont fermés pour destruction ! On vit vraiment dans la m…. aux Savoyards. »

À Joliot-Curie : « Sept étages de parkings vont disparaître, on se gare où ? »

À Pays-de-France, « à 7 h 30 du matin, la police municipale débarque et aligne tout le monde ! Aucune discussion n’est possible, carte d’invalidité ou non ! »

Rue de Rilly-la-Montagne : « C’est ahurissant ! Il n’y a pas de place pour se garer, on se met où l’on peut, et la police municipale verbalise à tour de bras ! »

Dans le secteur Arago, « faute de mieux, les automobilistes se garent carrément sur la pelouse ! »

Si Éric Quénard, responsable de la police municipale, avait été présent (il était retenu à Strasbourg), nul doute qu’il en aurait pris pour son grade. Représentant la ville, Alain Bisteur admet que cette situation est inadmissible : « Je vais engager une réflexion profonde sur le problème du stationnement à Croix-Rouge ».

Rendez-vous donc pour une prochaine réunion, probablement en novembre : « La maire viendra aborder elle-même ces problèmes et en particulier celui du chauffage à Croix-Rouge ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union101005d
Square Jacques-Simon : De nouvelles aires de jeux

Le coin des plus petits.
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Dans l’un des poumons verts de Croix-Rouge, composé du parc Raoul-Dufy et du square Jacques-Simon, deux aires de jeux, neuves et adaptées à un public de 2 à 14 ans, ont été installées dans le square Jacques-Simon.

Le budget global incluant la remise en état des abords des équipements dans ce square s’élève à 81 900 euros TTC.

L’aire pour enfants a été renouvelée, avec l’implantation sur un sol amortissant de 79 m2, d’équipements neufs (une structure de jeux avec tour, passerelle et toboggan ; une bascule à ressort, deux jeux à ressort individuels).

Sur l’aire des pré-adolescents, sur une surface gravillonnaire de 85 m2, une structure d’équilibre a été installée. À deux pas de là, la table de ping-pong a également été retapée.

Avec l’aire de jeux, située en face du gymnase Léo-Borgniet sur le parc public Raoul-Dufy, et celle du parc Saint-Bruno, les 4-12 ans du secteur sont gâtés. « Ici, il y a vraiment ce qu’il faut pour les petits et c’est en bon état ! », confirme cette maman qui surveille ses enfants du coin de l’œil, assise sur un banc près de son chien.

Quant aux plus grands, les 12-16 ans disposent du plateau multisport voisin, très fréquenté et d’un stade en gazon à deux pas. Reste le problème des 16-25 ans… Comment les occuper ? La réponse officielle se trouve dans la brochure de la maison de quartier Croix-Rouge : direction l’espace Ethnic’s !

Mais là, c’est une autre paire de manches, car l’avenir de cette structure semble bien compromis.

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Union101005c
Médiathèque Croix-Rouge : Tout savoir sur les métiers

En partenariat avec les acteurs de l’insertion professionnelle, la médiathèque Croix-Rouge, dans son secteur emploi-formation, propose de faire découvrir un corps de métiers de manière régulière tout au long de l’année 2010.

La 5e rencontre, le mercredi 13 octobre de 14 à 17 heures, sera consacrée à la découverte des métiers du graphisme et de l’infographisme, avec une information sur le régime d’artiste/auteur.

Pour être mieux informés et orientés, les visiteurs pourront rencontrer des professionnels qui exercent et des intervenants, qui travaillent dans les organismes de formation.

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar. Entrée libre.


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Union101005b
Médiathèque Croix-Rouge : Kobudo et arts martiaux

Théodore Lê (à droite) fera la promotion du kobudo d’Okinawa.
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Théodore Lê, double médaillé d’or aux championnats du monde de Kobudo à Mont-Tremblant (Canada) en 2009, est professeur diplômé d’Etat, 5e dan (Jun Renshi) en karaté et 4e dan (Shihan) en kobudo de la World Oshukaï Fédération (Wof), et professeur à l’école Oshukai de Reims.

Il enseigne également sur le dojo de l’Acrap.

Théodore Lê propose une démonstration de kobudo, art martial de l’archipel d’Okinawa au Japon, samedi 9 octobre, à partir de 15 h 30, au rez-de-chaussée de la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar.

Entrée libre.

oshukai.reims.free.fr

 

 


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Union101005a
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS – 7, rue Marie Stuart 51100 REIMS

Affaire : Réhabilitation de 16 immeubles Quartier Croix du Sud à REIMS (Ilôts Fragonard, Cézanne, Ingres) REF. : MA-130410

Attributaires :


LOTS

CORPS D’ETAT

Entreprises

MONTANTS € HT

01

VETURE DE FACADES

GROUPEMENT GAYET

2 891 093,93 (avec options n° 6 + 8)

02

OSSATURE & BALCONS METALLIQUES

AUER

1 659 800,00

03

METALLERIE & MENUISERIES EXTERIEURES PVC

ARTI

2 125 845,00 (variante incluse)

04

ETANCHEITE

GAYET AGENCE WAGNER

454 909,74 (variante incluse)

05

GROS ŒUVRE

SAC

1 134 000,00 (variante incluse)

06

CLOISONS

AGNESINA

427 554,06 (variante incluse)

07

ELECTRICITE

FME

430 788,70 (variante incluse)

08 ZONE A

CHAUFFAGE

CONRAUX

1 371 423,90

08 ZONE B

CHAUFFAGE

FORCLUM

1 200 000,00

09

PLOMBERIE

SCHANUS

718 000,00

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Montant total du marché : 12 413 415,33 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés : Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82

Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 27 septembre 2010 au JOUE, Le Moniteur et aux Journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), L’EST ECLAIR (Aube), L’EST REPUBLICAIN (Meuse), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (52), LE PARISIEN (Oise et Seine et Marne).


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Union101004e
Reims / Violences avec arme : La beuverie s’achève par un coup de couteau à la gorge

Dans la nuit de mardi à mercredi, une beuverie a failli tourner au drame dans un appartement de l’allée des Landais à Reims. L’un des ivrognes s’est pris un coup de couteau à la gorge, à seulement un centimètre de la carotide.

Sans emploi, vivotant de foyer en foyer, l’auteur des violences, Jean-Marc Durmort, 53 ans, avait 2,08 grammes d’alcool par litre de sang. La victime, un certain Jacky, était encore plus avinée : 2,86 grammes.

Les deux hommes ont commencé à boire ensemble mardi après-midi, dès 17 heures, d’abord chez Jean-Marc, puis chez la copine de Jacky. Le rosé venant à manquer, Jacky propose de continuer les libations à son domicile.

Un premier incident se produit en chemin, lorsque le couple s’attrape dans le bus. Jean-Marc Durmort prend la défense de la dame en se bagarrant avec Jacky à l’arrêt Sainte-Anne. L’altercation est brève, aussitôt suivie d’une réconciliation.

Riposte à la hache

Allée des Landais, plus la soirée avance, plus le rosé dévale les gosiers. Il est minuit lorsqu’un nouvel orage éclate pour un motif dont l’origine se perd dans les brumes alcoolisées.

Jean-Marc Durmort sort un couteau qu’il porte dans un étui à la ceinture. Il déplie la lame. « Je vais te planter ! », dit-il en s’avançant vers Jacky assis face à lui.

Ce dernier ne bouge pas de sa chaise. Il reçoit le coup de couteau à la gorge.

Une scène surréaliste a alors suivi. D’après la dame (les deux hommes ne s’en souviennent plus), Jacky se lève pour aller chercher une hache, pose la tête sur une table et propose à son « ami » de venir le décapiter ! Lancée sur le ton de la provoc’, cette invitation reste heureusement sans suite. La police arrive, les pompiers aussi. Transporté à l’hôpital, Jacky s’en tire avec une plaie saignante entraînant une incapacité totale de travail de deux jours.

Déjà condamné en 2008 à trois mois de prison avec sursis pour des violences avec un couteau, Jean-Marc Durmort a été jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel.

Il a pris deux ans de prison dont quatorze mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de suivre des soins alcoologiques, d’indemniser la victime, de travailler ou de trouver une formation.

Il a été écroué pour purger ses dix mois ferme.

F.C.


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Union101004d
Reims / Disparu lors d’une permission : Un évadé retrouvé après 19 mois de cavale

Alors qu’il purgeait une peine à la maison d’arrêt de Reims, un détenu de 30 ans, Christophe Person, avait profité d’une permission de sortie pour prendre la clef des champs. C’était en mars 2009 !

Depuis, il avait échappé à toutes les recherches, jusqu’à la semaine dernière. Un renseignement parvenu aux policiers rémois laissait à penser qu’il pouvait se trouver dans un appartement de la place Jean-Fragonard, au quartier Croix-Rouge.

Ils y sont allés. Il était bien là.

Christophe Person est retourné à la maison d’arrêt de Reims mais dans l’intervalle, il est passé par le tribunal, case comparution immédiate, pour répondre du délit d’évasion. Il a pris six mois de plus.


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Union101004c
Drogue : Un vendeur de cannabis arrêté

Alors qu’ils faisaient signe à un automobiliste de s’arrêter, lors d’un contrôle routier avenue du Maréchal-Juin, jeudi soir, les policiers ont eu la surprise de voir le passager s’enfuir à pied.

Rattrapé, l’homme avait cent grammes de résine de cannabis sur lui, ainsi qu’une somme en liquide de 840 euros. Il a reconnu se livrer à la revente pour financer sa propre consommation.

Deux clients identifiés

Deux clients - des étudiants - ont été identifiés. Ils devront payer une amende et suivre un stage de sensibilisation sur les dangers des produits stupéfiants, tandis que le vendeur, un SDF de 20 ans, est convoqué au tribunal dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.

Lors d’un autre contrôle, avenue de Champagne, les policiers ont arrêté un automobiliste qui circulait sans permis mais avec un couteau.

Son passager détenait six grammes de résine de cannabis (il a déclaré fumer trois « joints » par jour).

Les deux jeunes gens seront sanctionnés par une composition pénale.


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Union101004b
Incendies : Les voitures brûlent

Hier vers 6 h 30 du matin, une Audi A3 a pris feu rue Edmond-Rostand.

L’incendie s’est propagé à trois autres véhicules (un Renault Scénic, une Twingo, une Fiat).

Deux volets roulants d’un appartement situé au premier étage de l’immeuble voisin ont été noircis.

Vendredi à 22 h 10, un fourgon Renault Trafic s’est enflammé rue Curie à Saint-Brice-Courcelles.

Le feu s’est communiqué à une Renault 21 et une Citroën C3.

Ces incendies, s’ils restent indéterminés, n’en demeurent pas moins suspects.

Les deux véhicules qui ont brûlé en premier n’étaient pas volés (ils appartenaient à des riverains).

Vendredi à 19 h 30, un feu de détritus s’est déclaré dans un bâtiment en démolition de la rue Vernouillet.

Hier à 13 h 30, les pompiers ont été appelés pour un feu de local à vide-ordures place Maurice-Utrillo, au n° 22.

Une heure plus tard, une poubelle a pris feu rue Auguste-Walbaum, dans le hall du n°3.


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Union101004a
Où sont les femmes

Avec la marraine Sarah Pitkowski, Charline Braidy est devenue le symbole du tournoi vitryat. Et la Carolo n’a pas à s’en plaindre.
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Avec la marraine Sarah Pitkowski, Charline Braidy est devenue le symbole du tournoi vitryat. Et la Carolo n’a pas à s’en plaindre.

EN dehors du championnat de France de Nationale 1 à Cormontreuil, l’Open de Vitry-le-François est ce qui se fait de mieux en matière de tennis féminin en Champagne-Ardenne.

Dimanche dernier, cette étape du Circuit national des grands tournois s’est conclue par la victoire de la n° 15 Yulia Fedossova (22 ans) face à Karla Mraz n° 23 et nouvelle ambassadrice de Pro Elle.

Une locomotive

Michel Lagneaux se satisfaisait forcément du niveau de son tableau final. Mais le président vitryat ne cachait pas une pointe de frustration : « Il y a malaise à ce niveau-là ».

Le malaise en question ? « Un problème qui n’est pas nouveau » et qui concerne l’absence en général de quelques bonnes 2e séries et en particulier des demoiselles a priori ambitieuses de la région : « Une fille comme Ludivine Choisel (*) s’en est elle-même étonnée ».

« C’est dommage. Ce tournoi pourrait être l’occasion d’échanger, de partager notre expérience ». Le constat n’a pas non plus échappé à Karla Mraz, doublement concernée au titre de joueuse et de responsable de l’Union du Tennis Féminin (UTF).

« Il n’y a pas d’esprit de compétition », constate Michel Lagneaux déçu que son rendez-vous ne soit pas le pôle d’attraction ni la locomotive qu’il a tout pour être. Le dirigeant s’en est ouvert aux instances régionales : « J’ai sollicité la création d’une cellule de réflexion », assure-t-il.

Une date à revoir

La synergie fonctionne au moins avec le CO Saint-Dizier, le voisin de la Haute-Marne, avec la participation de quatre Bragardes à cette édition mais aussi et surtout un projet de Tournoi ITF de 10 000 dollars, sur le modèle du Future (masculin) de Saint-Dizier remporté en son temps par Wilfried Tsonga : « Avec un petit appui, on aurait pu commencer dès 2011 ». Les absentes ont-elles, au moins des excuses ? Entre des problèmes de date, de timing (la Carolo Marie Menacer) ou de blessures (la Rémoise de l’Europe, Nathalie Mohn) - sans parler de la peur de la contre-performance à un moment crucial de l’établissement des classements - c’est le cas visiblement, même si Michel Lagneaux constate que « tous les ans, c’est la même chose ».

« Il y a bien un problème de calendrier ». Pheng, l’entraîneur de l’Europe, insiste et développe : « Derrière, il y a l’ITF de Clermont-Ferrand (25 000 dollars) où il y a des points à prendre. Et les filles dont on parle doivent passer par les qualifications contrairement aux numérotées, ce qui les empêche d’être présentes à Vitry-le-François ».

Michel Lagneaux en est si conscient qu’il a décidé d’opter pour une date plus tardive et proche des championnats de France par équipes : « Comme ça, les filles pourront venir préparer les Critériums ».

Ainsi, les excuses - recevables - n’auront plus lieu d’être.

Jean-Pierre PRAULT

(*) La - 4/6, licenciée à l’Entente Yonnaise, s’entraîne au Reims Europe Club.


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Charline le bon exemple

Rendez-vous en 2011 pour Marie Menacer qui a des excuses, comme en témoigne Stéphane Limouzin.
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Charline Braidy est le contre-exemple ou plutôt le bon exemple. Comme a coutume de le rappeler Michel Lagneaux, la Sedanaise, licencié à Géo-André Reims, a grandi avec l’Open. Cette année, la - 4/6 a atteint les quarts où elle s’est confrontée à la numérotée 19 Violette Huck, lauréate d’un ITF en 2007 à Varsovie et vue au 1er tour de Roland-Garros en 2005. Score final (honorable) : 3-6 ; 3-6 et une expérience enrichissante : « La balle revient plus vite et plus souvent. Tous les points sont plus durs à gagner. Il faut aller les chercher ».

« Je suis montée à la volée plutôt que d’attendre la faute ». En se lâchant sans la pression, la vice-championne de Champagne des 2e séries s’est rapprochée de « ce cap à franchir » : « C’était mon dernier tournoi. Comme je n’avais pas fait de très bons résultats, c’était un peu mon ultime chance. Il est simplement dommage que faute d’engagées, ça passe trop vite sans matches intermédiaires ».


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Marie à un tournant

Espoir de sa génération (championnat d’Europe et du monde avec l’équipe de France), un moment pensionnaire du Centre national de Roland-Garros, Marie Menacer (- 4/6) est à un tournant de sa jeune carrière.

La Carolo a quitté Pheng pour rejoindre Stéphane Limouzin : « Elle s’entraîne à La Macérienne mais reste licenciée à l’Europe pour disputer les championnats par équipe. Tout s’est fait dans les règles. Le fait de devoir habiter à Reims n’était pas simple pour elle ».

Participer à l’Open de Vitry-le-François, malgré une tournée estivale régénératrice en Ile-de-France, n’aurait rien apporté à une joueuse en train de se « reconstruire physiquement, techniquement et mentalement ».

L’intérêt de l’étape vitryate n’échappe pas à Stéphane Limouzin : « J’y ai emmené Charline Braidy quand je m’occupais d’elle et l’année prochaine, Marie y participera. C’est le meilleur tournoi de filles de la région et j’apprécie beaucoup cet événement ».


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Violences : Un prof insulté et agressé par un ancien élève

RETROUVER par hasard un ancien professeur renvoie généralement aux bons souvenirs de sa jeunesse. C’est l’occasion de discuter avec lui pour raconter ce que l’on est devenu, échanger des souvenirs. Rien de tel, lundi dernier à Reims, où un enseignant en comptabilité du lycée Joliot-Curie n’a eu droit qu’à des insultes, des coups et des menaces de mort.

Les faits survenus dans un cadre privé, en dehors du travail, se sont produits rue des Bons-Malades. « Il était environ 18 h 30. En faisant un créneau pour me garer, j’ai légèrement percuté la voiture à l’arrière. Il n’y avait pas de dégâts mais le propriétaire est apparu furieux à sa fenêtre. Il a commencé à proférer des injures. Il m’a menacé : « T’es mort ! T’es mort ! » Il savait qui j’étais car je l’ai entendu dire « Couillon de prof ! ». Moi, sur le coup, je ne l’ai pas reconnu. »

Injures racistes

L’excité est descendu dans la rue. « Là, il a eu des injures racistes », témoigne l’enseignant d’origine marocaine. « Il m’a dit « Nique ta race ! » D’après un témoin, mais ça, je ne me souviens pas de l’avoir entendu, il m’a traité de « sale Arabe ». Il m’a sauté au cou. J’ai un peu vacillé. Je l’ai repoussé. Il a tenté de me donner des coups de poing au visage. J’ai réussi à les éviter. Il est remonté et m’a encore insulté par la fenêtre. »

L’incident a pris fin avec cette dernière bordée d’injures.

Dignité bafouée

« Pendant 48 heures, je me suis dit : ce gars-là, je le connais, mais impossible de me rappeler qui il était. Puis j’ai eu un flash. Je pense que c’est un élève que j’ai eu il y a 8-10 ans dans une classe de 3e. Il n’était pas de Joliot-Curie mais venait d’un autre établissement car nous avons des partenariats pour recevoir des élèves extérieurs. »

Prudent, et pour n’accuser personne à la légère, le prof a porté plainte « contre X. » au commissariat. L’enquête est en cours pour identifier l’agresseur, le convoquer et l’interroger sur les faits reprochés.

L’enseignant vit très mal cette histoire. « Je suis très affecté psychologiquement. Cette personne a touché à mes origines, à ma dignité de professeur, à ma dignité de Français qui s’est parfaitement intégré dans ce pays. J’ai 52 ans. Cela fait 32 ans que je vis à Reims. J’enseigne à Joliot-Curie depuis 1991. Je suis quelqu’un de pondéré qui compose avec les élèves. Me faire ça est difficile à supporter. Il faut que je remonte la pente. »

Un médecin l’a examiné le soir des faits. Il a relevé une « éraflure cervicale », « une plaie à l’index » ainsi qu’un « choc psychologique avec tremblement et pic tensionnel ». Le professeur s’est vu délivrer un arrêt de travail jusqu’au 9 octobre.

F.C.


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L’hebdo du vendredi- n° 183 - 101001b

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 183 - Semaine du 01 au 07 octobre 2010

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Rentrée universitaire : Un discours musclé

Richard Vistelle, président de l’URCA, n’a pas fait dans la langue de bois.
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Effectif, partenariats ou nouveaux diplômes, Richard Vistelle, président de l’URCA, a fait le point sur les dossiers chauds de la rentrée et notamment sur celui concernant la création d’un campus unique à Croix-Rouge.

Après avoir évoqué calmement les traditionnels sujets de la rentrée (lire encadré), Richard Vistelle, président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne, a haussé le ton quand est venu le moment d’aborder l’avenir de l’URCA. Alors que Sciences Pô, AgroParisTech et Centrale s’installent progressivement dans le paysage, le président se demande quelle est la place réservée à son Université ?

Il fait ici référence au projet de transfert du campus Moulin de la Housse, « dont 95% des locaux sont à détruire », à destination du campus Croix-Rouge. Un dossier qui, semble-t-il, traînerait un peu trop en longueur… Pour le président, ce projet est même une question de survie : « S’il n’aboutit pas, c’est la mort programmée de l’URCA. Ne rien faire, c’est décider qu’elle n’existera plus ».

En regroupant l’ensemble de ces activités rémoises dans le quartier Croix-Rouge, l’URCAentend grandement améliorer son efficacité et son attractivité en proposant à ses étudiants et à ses personnels un meilleur cadre de vie. Avec l’arrivée prochaine du tramway, la présence de nombreux commerces, la proximité des gares TGV et haltes TER et demain le développement de la zone d’activités de Bezannes, le site de Croix-Rouge semble idéal pour assurer l’avenir de l’URCA. Selon RichardVistelle, « le coût de ce transfert serait d’environ 70 millions d’euros contre 100 millions pour une reconstruction du site du moulin de la Housse ».

En fait, s’il se réjouit de l’arrivée de Sciences Pô, il s’étonne que les collectivités locales puissent débloquer aussi rapidement plus de 70 millions d’euros sur sept ans et pour 1 800 étudiants (en 2015) quand il faudrait un investissement comparable pour les 10 000 étudiants de l’URCA. Richard Vistelle est même allé plus loin affirmant que le site rémois était actuellement le moins attractif de toute la région. « Reims est une verrue pour l’URCA. Si je devais aujourd’hui faire mon droit, je choisirais plutôt d’aller à Troyes ». Le président en a d’ailleurs profité pour se féliciter du travail réalisé avec la préfecture auboise, mais aussi avec Châlons et Chaumont, « des villes qui suivent l’URCA dans ses projets »

Les propos de Richard Vistelle sont cinglants mais c’est surtout une manière pour lui de mettre la pression sur les collectivités locales. En effet, une réunion capitale est prévue avec elles fin octobre. A cette occasion, l’ensemble des partenaires devrait prendre une décision définitive sur la création d’un campus unique à Croix-Rouge.

Effectif stable

Actuellement, 11 453 étudiants sont inscrits à l’URCA (Université de Reims Champagne-Ardenne) mais ce chiffre, proche de l’an passé est « à prendre avec précaution » a indiqué Richard Vistelle. En effet, les inscriptions sont en cours et les chiffres définitifs ne seront connus qu’en janvier 2011. Néanmoins, une forte hausse se dessine notamment pour les Masters (+38%). Au niveau des filières, la Santé (+6,4%), le Droit (+11,9%) et le STAPS (+43%) tirent leur épingle du jeu. En revanche, les effectifs en Sciences Exactes et Naturelles (-8,2%), en Sciences Humaines (-10,2%) et à l’IUFM (-36,4%) sont en diminution. Pour ce dernier, le président de l’URCA a estimé « que la baisse était liée aux aléas de la réforme le concernant ».

Accords internationaux

L’URCA poursuit son développement à l’international avec de nouveaux accords ERASMUS. Debrecen (Hongrie), Izmir (Turquie), Tarragone, Girone, Valence (Espagne) et Dublin (Irlande) sont les nouvelles destinations qui s’offrent aux étudiants de l’URCA. D’autres accords de programmes d’échanges extra-communautaires ont été signés avec des universités présentes notamment aux États-Unis (New- York et Kansas), en Chine (Beijïng), au Japon (Tokyo), au Sénégal (Dakar) ou encore au Brésil (Niteroi).

Nouvelles formations

L’URCA poursuit son adaptation aux besoins du marché de l’emploi en offrant de nouveau cursus. C’est le cas par exemple avec l’ouverture d’un DUT « Hygiène, Sécurité, Environnement » à Reims, Charleville et Châlons. Compte tenu du nombre de candidatures (près de 600), la ville préfecture accueille aussi un nouveau groupe pour le DUT « Carrières sociales ». Dans le domaine du droit, un master « Droit du vin et des spiritueux » a été créé avec le soutien du groupe LVMH. Par ailleurs, l’ESIEC verra à la rentrée 2011 une nouvelle filière baptisée « Génie thermique et énergétique ».

Recherche

L’URCA est, avec l’Université de Picardie, membre fondateur du PRES (pôle recherche et d’enseignement supérieur). Ce projet qui doit être finalisé début 2011 vise à regrouper le volet recherche de la Champagne-Ardenne, de la Picardie et de la Wallonie. L’objectif est de mutualiser les compétences et les moyens au sein de structures fédératives. A terme, le PRES doit également harmoniser l’offre de formation et de recherche sur le territoire de ces trois universités. A noter que dans le cadre du Grand Emprunt octroyé par l’Etat, l’URCA a vu son projet de création d’un Institut de recherche technologique sur les matériaux sélectionné.


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Volley : Tournoi de l’avenir

Le club du Reims Avenir Sport Volley-ball organise le tournoi de l’avenir dimanche 10 octobre à la halle des sports universitaires à Croix-Rouge. Réservé aux jeunes filles et garçons âgés de 16 à 25 ans, ce tournoi opposera 16 équipes en 3 contre 3 et sur terrain réduit.

Rens. : www.tournoidelavenir.sitew.com


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« LE FILM D’ARTS MARTIAUX »

Des films de kung-fu en passant par les films de samouraïs, une invitation à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques

Horaires d’ouverture habituelle – Entrée libre
Médiathèque Croix-Rouge et Jean Falala


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Bus / Les nouveauté de Tinqueux à Croix-Rouge

Les gares mieux desservies

- La ligne 8 dessert la commune de Tinqueux ainsi que La zone d’activités de Thillois/Millésime (ancienne Ligne B Tinqueux Boutréaux).
- La ligne 13 permet d’assurer une liaison notamment avec le campus Croix-Rouge, le tram A et B à cette station d’échanges et avec la gare TGV Champagne-Ardenne et donc de relier directement les communes de Bezannes, Tinqueux et Saint-Brice-Courcelles à cette gare.
- La halte ferroviaire Franchet-d’Esperey est desservie par la ligne de tram A et B mais également par les lignes de bus 7 et 11.

Côté campus

- Le campus Croix-Rouge, en plus du tram, bénéfice de la ligne 11 (ancienne R) et de la ligne 13. Le campus se trouve désormais relié par une ligne de rocade directement à Bezannes, la gare TGV Champagne-Ardenne, Tinqueux et Saint-Brice-Courcelles.

Mieux pour Murigny

- La ligne 7 offre un meilleur maillage du quartier Murigny et permet une connexion avec le tram A au terminus Hôpitaux.
- L’arrêt Comédie devient une station d’échanges importante : en plus du tram, quatre lignes de bus y ont un arrêt (lignes 1/7/8/10).
- La ligne 10 qui dessert Croix-du-Sud reprend pour partie les itinéraires des actuelles lignes K et M. Elle offre un contact avec le tram B à la station Léon-Blum. Ce plan est susceptible d’être encore légèrement modifié d’ici avril.

Demain, zoom sur Châtillons — Saint-Remi — Verrerie — Hauts-de-Murigny — Murigny — Farman Pompelle — Cormontreuil.


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Rue des Savoyards : Il se masturbait sous les fenêtres

Il y a des témoignages qui vous plombent, il y en a d’autres qui vous sauvent. Même s’ils sont peu orthodoxes.

Mardi, à 0 h 30, un homme d’une trentaine d’années déambule rue des Savoyards, non loin du lycée professionnel Joliot-Curie.

Sous la fenêtre d’une riveraine, notre homme s’arrête, levant les yeux vers les fenêtres encore éclairées des riverains. Il commence à se masturber sous les regards déconfits de plusieurs témoins.

Notre jeune homme a la peau dure puisque les témoins parleront d’un onanisme qui durera plus d’une quarantaine de minutes.

« Ce n’est pas possible ! »

Une performance physique certes à souligner. Mais lorsque cela se passe sur la voie publique, c’est un peu plus gênant et tombe forcément sous le coup de la loi. Les policiers, alertés par les riverains, appréhendent le trentenaire et le place en garde à vue.

Lors de son audition, l’homme accusé d’attentat à la pudeur ne se laisse pas refroidir par les fonctionnaires de police et leurs questions.

Il ne reconnaît pas les faits et martèle qu’il n’a rien à se reprocher.

Auditionnée dans la foulée, le témoignage de la compagne de cet homme laissera plutôt perplexe les policiers.

« Le contentement était grand »

Elle a, en effet, déclaré aux fonctionnaires que les actes pour lesquels son mari avait été placé en garde à vue étaient tout bonnement ubuesques.

Et la femme de continuer en martelant que « compte tenu de l’intensité et la fréquence de leurs rapports sexuels, il n’était pas possible que son mari ait pu se masturber sur la voie publique tant le contentement de son mari était grand ».

À l’issue de la garde à vue, le dossier sera classé sans suite. Pas de poursuites. L’homme et sa compagne quitteront les locaux du commissariat ensemble. L’histoire ne dit pas s’ils ont fêté la libération.

Th.D.


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Union100930b
Deux voitures en feu à Croix-Rouge

Mardi soir, peu après 20 h 30, une Renault Clio stationnée le long de l’avenue Bonaparte a été totalement détruite par les flammes.

Le feu s’est ensuite propagé à un autre véhicule, une Citroën Xantia qui, elle aussi, a été totalement calcinée.

Le premier véhicule n’était pas déclaré volé.

Si aucune victime n’est heureusement à déplorer, il ne fait quasiment pas de doutes que les causes de l’incendie ne sont pas accidentelles.


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Union100930a
Voiture contre vélo : un cycliste blessé

Hier après-midi, un jeune homme de 14 ans qui circulait à vélo rue Pierre-Taittinger a été renversé par une voiture.

Choqué et légèrement blessé, le jeune homme a été transporté par les sapeurs-pompiers au centre hospitalier pour une simple visite de contrôle.


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