Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juin 2012.
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Les habitants pensent-ils trouver du travail uniquement à Croix-Rouge ? (Ici un chantier rue Pierre-Taittinger). D’après le conseil de quartier, un des handicaps serait un manque de mobilité géographique.
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Les habitants pensent-ils trouver du travail uniquement à Croix-Rouge ? (Ici un chantier rue Pierre-Taittinger). D’après le conseil de quartier, un des handicaps serait un manque de mobilité géographique.
REIMS (Marne). Sous forme de jeux, ateliers ou visites, la Ville va tenter de stimuler les démarches menant à l’emploi dans ce grand quartier aussi peuplé qu’Epernay.
TROUVER du travail par les temps qui courent, ce n’est pas évident. Et ça pourrait l’être encore moins quand on habite Croix-Rouge : pour cause de problèmes de garde d’enfant, de manque de mobilité, de déscolarisation précoce, voire de discrimination. Autant de handicaps pointés par la Ville à travers son conseil de quartier. Pour essayer de faire bouger les choses (dans le bon sens, cela s’entend), la municipalité, via la Maison de l’emploi et des métiers, va faire un effort spécial dans ce grand composant de la ville, un composant équivalent à la population d’Epernay, fut-il rappelé cette semaine à l’occasion de la présentation à la presse de l’événement en question.
Cet événement s’intitule « Mod’emploi », et pendant trois semaines après les grandes vacances, du 17 septembre au 5 octobre, il va multiplier les activités et propositions visant, non pas à décrocher des CDI à tout va - bien sûr, la Ville est consciente de ses limites dans ce domaine -, mais au moins à stimuler les démarches menant à l’emploi. Cela prendra la forme de visites par exemple : d’entreprises, ou de la médiathèque du quartier. Cela se présentera aussi sous la forme d’ateliers : les bons vieux classiques « Comment rédiger ou valoriser son CV », ou « Comment se présenter à un entretien »…
Cela sera encore l’occasion de rencontrer des acteurs intéressants pour éviter l’inactivité, comme les agences d’intérim, ou encore les représentants du service civique ; une sorte de grand jeu de l’oie, invitant les participants à se déplacer d’une structure à l’autre, est même prévue, « pour que les habitants sachent au moins ce qu’on peut trouver à la Mission locale par exemple, et comment on peut s’y rendre… »
Cette opération, bien que géographiquement ciblée, reste ouverte à tous, et suppose, pour certains rendez-vous, des inscriptions préalables*.
Elle avait déjà été organisée, en 2010 à Orgeval, et l’an dernier à Wilson. L’adjoint au maire Eric Quénard reconnaît que les résultats tangibles en restent limités : en dehors d’un sentiment de satisfaction largement partagé par les participants, il cite, pour Wilson, deux stages en entreprise décrochés et c’est à peu près tout. Pas de quoi se rouler par terre. Mais on dira - à raison - que c’est mieux que rien.
Antoine PARDESSUS
*Fin août, à la Maison de l’emploi et des métiers, place Stalingrad, ou par téléphone au 03.26.07.87.12 ; dates précises des animations à venir ultérieurement.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus une nouvelle fois au 41, rue Pierre-Taittinger dans le quartier Croix-Rouge pour un important dégagement de fumée en provenance du sous-sol.
Après une reconnaissance, les sauveteurs munis de leurs appareils respiratoires isolants ont identifié un incendie dans le local vide-ordures.
Il a été éteint au moyen d’une petite lance.
L’aquabike : il s’agit de pédaler dans l’eau pendant 30 minutes de forte intensité.
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REIMS (Marne). Les six piscines rémoises seront ouvertes tout l’été, comme la Ville en a pris la bonne habitude chaque année. Il y aura plusieurs nouveautés : d’abord une « nocturne » de plus que pendant l’année, l’aquabike, l’aqualatino et le watersculpt.
Cette dernière activité est un renforcement musculaire aquatique en déplacement. L’aquabike a connu un beau succès toute l’année : il s’agit de pédaler dans l’eau pendant 30 minutes de forte intensité.
L’aqualatino est la déclinaison aquatique d’une activité à la mode, la Zumba, dans les salles de fitness.
Seront toujours à l’affiche : le baby-club (samedi matin aux Thiolettes), l’aquagym, les futures mamans et l’apprentissage de la natation et l’aquapalmes. Il sera possible de s’inscrire « à la séance » aux activités d’aquabike, d’aqualatino, de watersculpt, d’aquagym, d’aquapalmes, du baby club ou des futures mamans.
Concernant l’apprentissage de la natation, l’inscription s’effectue « au forfait semaine » (4 ou 5 séances par semaine selon les piscines).
Tous les horaires exacts sont disponibles sur le www.rems.fr ou par téléphone : Nautilud (03.26.82.60.00) ; Thiolettes (03.26.05.04.25) ; Talleyrand (03.26.47.56.18) ; Orgeval (03.26.77.49.60) ; Louvois (03.26.82.29.39) ; Château d’eau (03.26.86.18.38).
Quant aux nocturnes, le public était demandeur de séances plus « calmes » où ils pourraient bénéficier de tous les bassins et surtout où ils auraient tout loisir d’enchaîner les longueurs. En juillet, les nocturnes sont prévus le mardi de 19 heures à 21 h 30, à la piscine du Château d’eau, le mercredi de 18 h 15 à 21 h 30, à la piscine Talleyrand, le jeudi de 19 heures à 21 h 30, à la piscine des Thiolettes.
En août : le mardi de 19 heures à 21 h 30, à la piscine du Château d’eau, le mercredi de 18 heures à 21 h 30, à la piscine Louvois, le jeudi de 19 heures à 21 h 30, à la piscine des Thiolettes.
Avec la direction technique, l’accent est mis sur la maîtrise des fondements techniques.
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Dans quelques jours, ce sera la fin de la saison sportive. La direction technique de l’AS Croix-Rouge judo en profite pour livrer une réflexion sur les dix mois qui viennent de s’écouler. Axés sur les fondements techniques, ceux-ci auront permis d’engranger plusieurs ceintures noires et dans. « La ceinture noire d’expression technique est la voie royale pour ceux qui commencent le judo tard ou pour les plus jeunes qui ne prennent pas la voie de la compétition. Et c’est pourquoi, nous avons choisi de nous spécialiser dans la préparation de grades techniques du 1er au 5e dan », souligne Jean Dressayre, directeur technique.
« Cela est d’autant plus important que le cours des adultes débutants compte aujourd’hui près de 40 adhérents dont la plupart dans les trois ans à venir présenteront leur ceinture noire d’expression technique, et d’autres leur 2e, 3e et même leur 4e dan technique. »
Soucieuse d’être au fait des nouvelles orientations fédérales notamment celles qui touchent les katas « kodokan « , l’AS Croix-Rouge judo participera, en juillet, à Boulouris, à un stage national. « Nous savons que la qualité du travail technique est la base sur laquelle nous devons appuyer l’avenir du judo-club, car, c’est cette base qui permet aux judokas de tout âge de prendre un réel intérêt dans la pratique du judo et du jiu-jitsu et dans leur évolution vers les grades supérieurs », conclut Patrick Launois, président de l’AS Croix-Rouge judo.
Météo au beau fixe pour les sociétaires du CRECF qui, petit à petit, commencent à rouler au super.
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A la rentrée prochaine, le CRECF et le lycée Arago de Reims vont accueillir de nouveaux pensionnaires parmi lesquels un Nordiste (Gabin Sénéchal) et un Picard (Guillaume Millaseau) qui sont de réels espoirs.
PERMETTRE aux meilleurs cadets et juniors de la région de concilier les études (au lycée Louis-Arago) et le vélo : l’idée était excellente mais ce n’était pas évident de la concrétiser.
Lancé en 2008 avec une douzaine de coureurs, le Centre Régional d’Entraînement Cycliste et de Formation est devenu un réel outil, dont la réputation de sérieux a dépassé le cadre champardennais. A la prochaine rentrée, un Nordiste et deux Picards vont rejoindre la structure.
Gabin Sénéchal (VC Roubaix) a remporté l’Interrégions cadets à Eu et Guillaume Millasseau (CC Nogent-sur-Oise) a terminé 2e des récents championnats de Picardie. Son coéquipier, Guillaume Landru a été « choisi » pour son potentiel.
En septembre, le Centre accueillera, au total, neuf nouveaux dont un voisin meusien Guilhem Guinet.
Les places sont devenues chères. Jusqu’à des Fédérations de pays émergents comme l’Algérie et le Togo qui ont manifesté leur intérêt pour une structure qui repose à la fois sur le bénévolat des encadrants et un financement privé « à hauteur de 80 % ».
« Nous sommes évidemment affiliés à la FFC mais nous ne sommes pas un Pôle France », souligne en substance Guillaume Arethens, responsable du Centre.
Si le CRECF n’a pas le label, il en a le fonctionnement autour d’une équipe qui compte un coordinateur, un superviseur des études (Loïc Janson), un responsable sportif (David Dalla Libera), un directeur sportif (Michel Piermay), un médecin (Bruno Brazier, actuellement sur le Tour de France) et un ergonome (Jean-Claude Gouard).
L’esprit d’équipe est au cœur de ce projet sportif : « On forme vraiment une équipe. Lors du Tour d’Ile-de-France, par exemple, Romain Magny (l’Ardennais de Carignan et du VC Vouziers) s’est mis au service de Loïc Gauthier ».
Rouler en peloton, savoir gérer une descente, appliquer des tactiques de course : les pensionnaires du CRECF travaillent les fondamentaux au rythme de 6 heures hebdomadaires pour les cadets et 8 heures pour les juniors, planning auquel s’ajoutent les courses du week-end.
Aucun aspect n’est négligé : « On les sensibilise aussi à la lutte contre le dopage ».
Le passage des cadets aux juniors reste un palier difficile à négocier. Ne serait-ce qu’au niveau du kilométrage : « On ajuste les charges de travail pour passer de 80 à 130 km ».
Les Régionaux de l’Avenir, dimanche dernier à Crugny, ont mis en exergue le travail effectué au CRECF. Chez les juniors, Maxime Cabot (champion de Champagne-Ardenne et vainqueur d’une étape au Challenge de l’Est), Victor Guerdin et Guillaume Mouchard ont réussi un tir groupé : 1er, 2e et 4e. En cadets, le Mosellan du Centre, Loïc Gauthier, est allé chercher le titre au sprint. En même temps qu’il a décroché sa place pour les France Avenir.
Nicolas Legras, l’un des Marnais (Mardeuil) du CRECF, s’est fait piéger à Crugny mais sa 2e place au classement national, parle d’elle-même.
Jean-Pierre PRAULT
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REIMS (Marne). Une nouvelle médaille de bronze pour le Reims haltérophilie musculation qui vient de participer à Comines au championnat de France des jeunes par équipes.
« C’était une compétition à plusieurs tours, où nous avons réussi à accéder à la finale qui était composée des six premières équipes françaises. La nôtre (forte de Ludwig Colombo, Florentin Ducourty et Chems Touti) a été impeccable. Pour elle, ce sont l’aboutissement de beaucoup de travail et la récompense d’une certaine motivation. Tous ces jeunes possèdent le niveau international. En tout, on a totalisé 157,8 points derrière Saint-Paul-sur-Mer et Clermont-Sports », commente Romain Dijoux, entraîneur.
Et chose importante : le derby régional Reims-Langres a été remporté par les Rémois.
Limité cette année à 15/1, le tournoi d’été du Cormontreuil TC a enregistré un palmarès conforme à la logique.
Ainsi, le tableau masculin a débouché sur une finale attendue à 15/1 entre le local François Bednarek et le récent champion de Champagne des 3e séries, Guillaume Roger (Géo-André, photo ci-contre).
Très accrochée, la première manche voyait l’expérimenté Cormontreuillois virer en tête (7-5). De quoi affecter moralement le sociétaire de Géo-André qui concédait un 6-0 dans le set suivant !
Privé de demi-finale pour cause de forfaits, le tableau féminin a logiquement consacré la tête de série n° 1 Marie Pithois (15/1, URT) qui, au stade ultime, a dominé Leslie Lancelot (15/2, TC Reims) sur le score de 6-3, 6-4.
Quarts de finale z Bednarek (15/1, Cormontreuil) bat Devie (15/2, Cheminots Reims) 6-4, 6-0 ; Bylicki (15/3, Cormontreuil) bat Delarme (15/3, Reims Europe Club) 7-5, 6-3 ; Roger (15/1, Géo-André) bat Collot (15/2, Cormontreuil) 6-0, 6-3 ; Frognet (15/2, Verzenay) bat Vicaire (15/1, Cormontreuil) 4-6, 6-3, abandon. Demi-finales : Bednarek bat Bylicki par WO ; Roger bat Frognet 6-2, 6-2. Finale : Bednarek bat Roger 7-5, 6-0.
Quarts de finale : Delphine Drochon (15/4, Bétheny) bat Nathalie Picavet (15/4, Cormontreuil) 6-1, 6-4 ; Soizic De Baets (15/5, Cormontreuil) bat Anaïs Durant (15/3, Cormontreuil) 6-4, 6-1. Demi-finales : Leslie Lancelot (15/2,TC Reims) bat Delphine Drochon par WO ; Marie Pithois (15/1, URT) bat Soizic De Baets par WO. Finale : Marie Pithois bat Leslie Lancelot 6-3, 6-4.
Ouverte jusqu’à 15, la 12e édition du tournoi du TC Suippes a vu les favoris s’imposer sur les installations du Parc Buirette.
Chez les messieurs, seul engagé à 15, le banlieusard roannais Louis Frémin (Mably) est venu à bout de Mathieu Lalire (15/2, Saint-Memmie) lors d’une finale pourtant mal engagée. L’ancien sociétaire du TC Grandpré avait bien du mal à maîtriser les balles liftées du Mengeot. Résultat, ce dernier empochait le set initial (6-2) mais Frémin trouvait ensuite la parade pour faire respecter la hiérarchie en s’adjugeant nettement les deux autres manches (6-0 et 6-1).
Du côté des dames, la Bragarde Laurence Tryhoen (15/4) a créé la surprise en éliminant en demi-finale Stéphanie Abraham (15/2, Cormontreuil). Sur sa lancée, elle débutait la finale de façon tonitruante contre l’autre 15/2 cormontreuilloise Mélissa Noizet en signant un 6-0 dans la première manche ! De quoi piquer au vif la pensionnaire du CTC qui s’empressait de renverser la situation en remportant logiquement les deux autres sets sur le même score (6-2).
Quarts de finale : Lalire (15/2, Saint-Memmie) bat Noizet (15/1, Suippes) 6-4, 6-4 ; Mansart (15/1, Dormans) bat Phamtan (15/4, Courtisols) 6-2, 6-4 ; Lebée (15/1, Revigny-sur-Ornain) bat Pastrès (15/2, ASPTT Châlons) 6-2, 6-3 ; Frémin (15, TC Mably) bat Amiot (15/1, Géo-André) 6-1, 6-0. Demi-finales : Lalire bat Mansart par WO Frémin bat Lebée 6-4, 6-7, 6-4. Finale : Frémin bat Lalire 2-6, 6-0, 6-1.
Quarts de finale : ’Laurence Tryhoen (15/4, Saint-Dizier) bat Aurélie Jacquot 15/4, TC Ménéhildien) 6-2, 3-6, 4-1 abandon ; Amélie Bossus (15/3,TC Ménéhildien) bat Delphine Jacquot (15/4,Vitry) 6-3, 6-3. Demi-finales : Laurence Tryhoen bat Stéphanie Abraham (15/2, Cormontreuil) 7-6, 6-2 ; Métissa Noizet (15/2, Cormontreuil) bat Amélie Bossus 6-7, 6-2, 6-2. Finale : Mélissa Noizet bat Laurence Tryhoen 0-6, 6-2, 6-2.
« J’espère qu’elle n’a pas menti car sinon, c’est un procédé scandaleux. » Comme plusieurs de ses voisines, cette dame s’interroge sur le démarchage d’une inconnue passée mercredi dernier dans leur tour de la rue Pierre-Taittinger.
« Elle demandait de l’argent pour l’enterrement de quelqu’un qui habitait les immeubles voisins. Je connais trois ou quatre retraitées qui ont donné quelques euros. Par la suite, on a eu des doutes car nous n’avons eu connaissance d’aucun mort dans le voisinage. »
Ces doutes se sont transformés en lourds soupçons lorsque le soir même, « cette même femme a été vue en train d’acheter des ciga¬rettes au centre commercial en face ». Et à ce moment-là, elle n’avait pas l’air particulièrement triste.
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L’association de promotion de Pays-de-France vient de perdre l’un de ses membres les plus représentatifs en la personne de Gilberte Durant, décédée le 25 juin à l’âge de 75 ans.
Pour Christiane Monflier, présidente : « Gilberte est l’une des plus anciennes adhérentes, elle est devenue notre trésorière, gérant nos ressources avec une prudence remarquable. Mais elle était surtout connue dans le secteur Pays-de-France, malgré les vicissitudes de sa vie, par ses qualités d’infatigable bénévole, toujours disponible et toujours souriante. Les enfants de notre association, ainsi que la section temps libre des seniors vont la regretter car elle était omniprésente à toutes nos manifestations. C’est une très grande perte pour le quartier Croix-Rouge. »
Gilberte Durant sera inhumée ce mardi 3 juillet après une cérémonie en l’église Saint-Bruno de Croix-Rouge. A ses enfants et à sa famille, l’union présente ses sincères condoléances.
Tous les enfants des six classes de l’école maternelle Galilée-Newton bénéficient de la présence, toutes les semaines et toute l’année, de deux lectrices bénévoles retraitées de l’association « Lire et faire lire dans la Marne », dont l’objectif est de promouvoir le plaisir de la lecture. L’ensemble des élèves a participé à l’opération « Un enfant, un livre », cette année sur le thème du voyage.
Chacun d’entre eux a reçu un livre, des mains des bénévoles, lors d’une sympathique petite manifestation.
En s’imposant dans leurs classements lors du National Tennis Cup de Guignicourt, plusieurs Marnais ont décroché leurs billets pour la phase finale du Cap d’Agde : Claire Fiaschi (30/2, URT), Hira Rakotomahanina (15/4, Bétheny), Leslie Lancelot (15/2, TC Reims), Lisa-Marie Habert (Géo-André, 15) ; Cédric Fournaise (30/4, Cauroy-lès-Hermonville), Christophe Gaignon (30/3, La Muire), Jérémy Lesur (30, Reims Sacré-Cœur), Bertrand Couillet (15/5) et Bertrand Loppin (15/4) de Warmeriville, Roman Hivet (15/1, Reims Europe Club), Christophe Masson (4/6, Saint-Memmie).
REIMS (Marne). Le 3 juin, trois policiers ont été caillassés alors qu’ils procédaient à une interpellation avenue Bonaparte à Croix-Rouge. Pour cette affaire, deux jeunes du quartier incarcérés depuis les faits ont été condamnés la semaine dernière à huit mois de prison ferme (l’union de vendredi).
L’interpellation initiale visait le premier prévenu, Julien Vautier, 22 ans, recherché en vertu d’un extrait de jugement. Refusant de suivre la patrouille, il a appelé ses camarades à l’aide. Une vingtaine d’individus ont alors surgi de tous les côtés pour s’en prendre aux fonctionnaires et leur jeter des pierres (un policier a été légèrement blessé à la tête, le véhicule cabossé).
Un seul des caillasseurs fut formellement identifié. Il s’agit du second prévenu, Nacim Ferri, 19 ans. Pendant la mêlée, les agents ont également reconnu une troisième personne mais elle avait réussi à prendre la fuite. Les enquêteurs l’ont finalement retrouvée il y a quelques jours.
Agé de 23 ans, Khatib Sahraoui est accusé d’avoir tenté de libérer Julien Vautier en le tirant par le bras. Il n’y est pas parvenu, comme ses camarades d’ailleurs, et réside désormais à la maison d’arrêt de Reims. Jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel, le jeune homme a été condamné à quatre mois de prison ferme.
Ce 3 juin, pour disperser les assaillants et repartir de l’avenue Bonaparte avec leur prisonnier, les policiers avaient d’abord fait usage de leurs tonfas (« bâtons de défense »), puis d’une bombe lacrymogène, avant de tirer à trois reprises avec leur Flash-Ball.
F.C.
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Une fresque humaine représentant le logo de l’association des maisons de quartier a été organisée.
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La journée des maisons de quartier s’est déroulée, samedi, au parc Léo-Lagrange. Une fête simple et conviviale qui aura eu le mérite de rassembler les adhérents, bénévoles et professionnels
L’ASSOCIATION des maisons de quartier de Reims (MQR) a organisé, samedi, sa journée festive au parc Léo-Lagrange.
Si pour l’édition 2010, de nombreuses activités et structures gonflables avaient été proposées aux visiteurs, et que l’an dernier, une scène avait été installée dans le parc de la Patte-d’Oie, c’est un tout autre concept qui a été adopté cette année par les têtes pensantes de la structure : la fête était, certes, moins longue, mais bien plus conviviale.
« C’est différent des années précédentes mais pour ma part, je préfère largement ce côté familial », expliquait Élise, venue avec ses enfants.
Après le discours de Jean-Pierre Eiffel, président des MQR, une fresque humaine, composée de bénévoles, de salariés, d’adhérents et de simples visiteurs, représentant le logo de l’association, a été organisée.
« Une photo arienne a été prise, j’ai vraiment hôte de voir le résultat final », précisait un salarié de l’association.
Autre temps fort de cette journée, la galerie artistique où étaient exposées de nombreuses silhouettes sous forme de grande toile.
« Ce sont bien les adhérents qui ont posé et réalisé toutes ces silhouettes. Ce projet a été réalisé en lien avec la charte des maisons de quartier », précisait Lou, plasticienne qui pilotait le projet.
Pour le côté convivial, les participants avaient été invités à apporter un pique-nique afin que chacun puisse partager un repas. Pour ce faire, de grandes tables avaient été installées.
C’est plutôt original comme idée et pour ceux qui passaient et qui n’étaient pas forcément au courant, il y avait une buvette avec frites, merguez et boissons.
La journée s’est achevée avec « Coloricocol », un concert interactif proposé par l’artiste Brice Kapel où le public était invité à participer.
Une bien jolie fête ! Si l’association cherchait à réaliser un événement simple et convivial, ce fut vraiment réussi.
Textes T.A. F.
Photos : Christian LANTENOIS
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A Reims et Muizon…
Samedi vers 19 h 30, un ou plusieurs individus ont cassé un hublot de la piscine du Château-d’Eau à Croix-Rouge, allée des Landais. La fenêtre donnait du côté de l’accueil, et de sa caisse. Est-ce celle-ci que les cambrioleurs convoitaient ? Après avoir déplacé le hublot, ils ont pénétré à l’intérieur de la piscine mais en sont ressortis presque aussitôt sans avoir eu le temps d’emporter un quelconque butin. L’alarme intrusion s’étant déclenchée, il y avait urgence pour eux à filer.
Bredouilles
Vu les dégâts occasionnés au hublot, pourtant doté d’un épais vitrage, un outil genre marteau ou masse a dû être utilisé.
A une heure indéterminée de la nuit, une tentative de cambriolage a également eu lieu à la « ferme cueillette » de Muizon, entre la RN 31 et la zone artisanale.
Entrés par effraction d’une porte au pied-de-biche, les auteurs cherchaient manifestement du liquide mais ils sont repartis bredouilles.
Les faits ont été constatés hier matin à l’arrivée du personnel. La brigade de Gueux a enregistré la plainte.
REIMS (marne). Vendredi soir, vers 22 h 30, un différend familial a dégénéré dans les immeubles de l’esplanade Eisenhower. Sous l’emprise de l’alcool, un homme de 35 ans a menacé de mort et frappé à plusieurs reprises sa concubine.
Celle-ci a pu téléphoner au commissariat mais l’arrivée des policiers n’a pas calmé l’agresseur, bien au contraire. Sommé de les suivre hors de l’appartement, il s’est précipité dans la cuisine pour s’emparer d’un couteau qu’il a pointé vers eux. La patrouille, heureusement, a réussi à le désarmer.
Présenté hier au parquet, l’homme a été écroué dans l’attente d’une comparution immédiate ce lundi devant le tribunal correctionnel. Les coups infligés à la concubine ont occasionné deux jours d’incapacité totale de travail.
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Jean Chabaud a été fait officier dans l’ordre national du Mérite par Yvette Lundy.
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CHALONS-EN-CHAMPAGNE (Marne) Quarante-sept élèves, lauréats marnais du Concours national de la Résistance et de la déportation, représentant 12 collèges, 9 lycées et lycées professionnels, ont reçu à la préfecture de région le prix récompensant leur travail de mémoire sur la période douloureuse de la déportation.
CETTE année, le thème choisi était « Résister dans les camps nazis ». Avant la prise de parole de Michel Guillot, préfet de la région Champagne-Ardenne, une autre cérémonie émouvante a permis à Yvette Lundy, ex-résistante et déportée du camp de concentration de Ravensbrück, de remettre à Jean Chabaud, président des combattants volontaires de la Résistance, la croix d’officier dans l’ordre national du Mérite.
Très ému, Jean Chabaud a remercié la République « de s’être souvenu de son fidèle serviteur ».
L’objectif du concours national avait pour but de perpétuer chez les jeunes français, collégiens ou lycéens, la mémoire de l’engagement des résistants et des victimes de la déportation. Un devoir d’histoire pour permettre d’en tirer des leçons civiques dans leur vie d’aujourd’hui.
Les lauréats marnais pour le jury national
Lisa Bouvy (Léonard de Vinci) de Witry-lès-Reims, désignée pour le jury national, catégorie collèges, au titre de la rédaction individuelle ; Jean Bernard, du lycée Clemenceau de Reims, désigné pour le jury national au titre de la rédaction individuelle ; Nina Bedet ; Marie Choisy et Romane Cossenet du collège Notre-Dame Perrier de Châlons, désignées pour le jury national, au titre du mémoire collectif ; Mathilde Marchal et Anaïs Forme du lycée Ozanam de Châlons, au titre du mémoire collectif.
Lauréats marnais classés à l’échelle départementale par le jury
Collège Yvette Lundy d’Aÿ Champagne : Adrien Hemard ; Laura Henry ; Thomas Nizet ; Marie-Camille Paillard ; Manon Ragouilliaux ; Marion Thurot ; Lucas Toussaint ; Solins Trigo. Collège Notre-Dame Perrier de Châlons : Maurine Creusel ; Héloïse Flour-Kapornyai ; Patrice Menard. Yohann Jolain du collège Marcel-Alin de Frignicourt. Collège François-Legros de Reims : Sophie Gaillard ; Cécile Marion ; Gayané Namoyan. Collège Saint-Joseph de Reims : Antoine Chatard ; Marie-Edmée De Massary. Collège Saint-Jean-Baptiste de la Salle de Vitry-le-François : Anaïs Laumond. Collège Léonard de Vinci de Witry-lès-Reims : Brieuc Erre.
Catégorie lycée au titre de la rédaction individuelle
Lycée Léon-Bourgeois d’Epernay : Sarah Ortonovi ; Victoria Pongnot. Lycée Ozanam de Châlons : Anthony Lambert. Lycée Jean-Jaurès de Reims : Pauline Lange ; Jules Maillot ; Mélody Pierret ; Rachel Pommet. Lycée professionnel François 1er de Vitry-le-François : Elodie Lequeux.
Catégorie collège au titre du mémoire collectif
Collège Notre-Dame Perrier de Châlons : Zacharie Baudot ; Thomas Guyon-Veuillet et Anthony Large ; Nicolas Manzano et Boris Rouillon ; Léa Cunin et Marie-Gabrielle Ollier. Collège Jean-Moulin de Saint-Memmie : Océane Montel-Marquis et Victor Savary ; Maxime Delcourt, Corentin Moula et Jordan Morlet.
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REIMS (Marne) Le concert d’été de Croix-Rouge a rassemblé sur l’hippodrome un public venu de toute la ville au cœur du plus grand quartier rémois.
VINGT heures dans les coulisses : Philippe Hiraux, de l’association Trac et Abdel Errafii, chargé de la programmation, accueillent les artistes.
Arrivent les musiciens d’Afrokan Musik Ensemble, qui jouent en ouverture : « On a souhaité proposer cette belle scène à un groupe local », précisent les deux organisateurs. « On joue de la musique pour l’exaltation de l’âme, dans l’esprit du bal africain », explique Christian Levry, le batteur.
Cheba Nadia, qui suivra et interprète un « Raï medahate », apporte quelques précisions sur ce style musical : « C’était surtout des chansons qu’on interprétait entre femmes uniquement, dans les mariages. Des chansons qui parlent surtout de leur vie amoureuse ». « Le raï, c’est une musique régionale, qui vient de l’ouest algérien. C’est l’expression de la vie de tous les jours », insiste Cheb Redwan. Très apprécié pour sa voix exceptionnelle, le chanteur rayonne dans toute l’Europe et le Maghreb. Sur la scène, la voix de Cheba Nadia donne envie de danser à toute l’assistance : dans la foule, des bras et des pieds s’agitent.
Un coin jeux à l’ancienne pour enfants a été aménagé par la Trac : « C’est une excellente idée, ça soulage les parents, qui peuvent surveiller du coin de l’œil », apprécie Djamila, maman d’une petite Louna de 3 ans.
Le projet est entièrement financé par la Ville à hauteur de 50 000 euros, avec le soutien de La Cartonnerie et le mécénat de l’entreprise Pertuy, qui travaille actuellement à la rénovation du quartier : « Cela s’accompagne d’inévitables nuisances, et le fait que cette entreprise participe démontre son souci de s’investir », précise Eric Quénard, premier adjoint, qui ajoute : « On souhaite aussi que cette fête populaire pour les habitants du quartier s’ouvre sur toute la ville ». 22 h 30 : la nuit est tombée, la foule est de plus en plus dense. Juste avant l’entrée en scène de l’Orchestre National de Barbès, petit entretien avec Michel Petry, le batteur : « Notre musique ? A la base, c’est la tradition du Maghreb, qui se mélange avec le courant moderne et électronique ». Treize musiciens qui transmettent au public leur bonheur de jouer et leur tempérament festif. Des musiques du monde pour un public venu du monde : une belle image…
Après un week-end prolifique (4 tournois), celui qui se dessine ne l’est surtout pas moins…
SAINT-MEMMIE. - Epreuve disputée par classement, le Nestea Cup fait étape à Saint-Memmie. Avec 92 inscrits, soit une dizaine de plus que l’an passé, le maître de cérémonie, Samuel Leprêtre, a établi 23 tableaux pour une compétition limitée à 2/6 et surtout qualificative à la phase finale au Cap d’Agde (28 octobre au 3 novembre).
Chez les messieurs, l’opposition à 4/6 entre le local, Christophe Masson, et le nouveau CSD de la Marne, Ludovic Reinhardt (Saverne), retiendra toutes les attentions.
A suivre également, en 5/6, la rencontre entre Benjamin Leveque (Saint-Memmie) et Alban Lalouette (Cormontreuil) et, à 15, entre Mikolaj Woynar (Géo-André) et Sébastien Choiselat (Marigny-le-Chatel). Du côte des dames, Mathilde Jacquin (Saint-Memmie) et Claire Duter (Sedan) en découdront à 3/6 dans un match qui s’annonce passionnant. Idem à 15 entre Alice Grillon (Saint-Memmie) et Charlotte Becret (URT).
Dernière finale à 16 h 30.
SUIPPES. - Limitée à 15, la 12e édition du tournoi de Suippes a connu une nette hausse de la participation avec 62 inscrits contre 47 en 2011. Seul 15 engagé, Louis Frémin (TC Mably) sera favori mais aura fort à faire avec les 15/1, Mathieu Lebée (Revigny-sur-Ornain), Maxime Mansart (Dormans), Valentin Amiot (Géo-André) et, surtout, le local Yann Noizet (Suippes), finaliste l’an passé et vainqueur 2010.
Sans oublier le toujours coriace, Grégoire Pastrès (15/2, ASPTT Châlons), qui atteint la finale en 2010. Moins dense, le tableau féminin devrait se régler à 15/3 entre Cormontreuilloises : Stéphanie Abraham et la tenante, Mélissa Noizet. A moins que la finaliste 2011 Amélie Bossus (15/3, TC Ménéhildien) ne bouscule l’ordre établi.
Aujourd’hui, 13 heures et 14 h 30 : demi-finales dames. Demain, 9 heures et 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.
CORMONTREUIL.- Autrefois étape du feu circuit de Champagne et récemment limité à 4/6, le tournoi d’été du Cormontreuil TC est, cette année, ouvert jusqu’à 15/1. Avec, comme conséquence immédiate, une baisse de la fréquentation puisque 82 engagements ont été dénombrés contre 110 l’an passé ! Chez les messieurs, il est quasiment acquis que le lauréat 2012 se trouve à 15/1 entre Thomas Delarme et Roman Hivet (Reims Europe Club), le récent champion de Champagne des 3e séries, Guillaume Roger (Géo-André), ainsi que le trio cormontreuillois François Bednarek, Nicolas Gati et Cécric Vicaire.
Du côté des dames, Leslie Lancelot (15/1, TC Reims) sera favorite devant, notamment, Anaïs Durant (15/3, Cormontreuil).
Demain, 10 heures : demi-finales dames et messieurs ; 15 heures : finales dames et messieurs.
OIRY. - Deuxième étape (après Vertus et avant Pierry, Mareuil-sur-Aÿ et Mardeuil) du circuit Champagne Energies qui récompense les sans grade, des non-classés aux 30, le tournoi du TC Oiry a tout simplement battu son record d’engagement avec 152 inscrits (contre 110) l’an passé !
La décision devrait donc se faire à 15/4 entre Charles Edler (TC Reims), Sébastien Bukwa (Côte-des-Blancs), Denis Henrot (Asca Châlons), le brillant vainqueur de l’ASPTT Epernay, Fabien Machicotte (Reims Europe Club) et surtout le tenant, David Poittevin (Cumières).
Ouvert jusqu’à 15/2, le tableau féminin devrait revenir à la tête de série n° 1, Estelle Levasseur (15/2, ASPTT Epernay). Reste qu’elle aura fort à faire avec les 15/3, Céline Japin (ASPTT Epernay), Catherine Départ (Chouilly) et la redoutable Catherine Decure (Cumières).
Aujourd’hui, 16 h 30 : demi-finales dames. Demain, 9 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.
JEUNES. - Les tournois jeunes du CT Philippe à Dormans et de Bergères-les-Vertus livreront également leurs palmarès demain.
FFT. - Les finales régionales FFT ont lieu ce week-end au Centre de Ligue à Reims, aujourd’hui pour les adolescents, demain pour les seniors.
L’enquête menée à bien par les services de police a permis de confondre les deux auteurs présumés d’un cambriolage en décembre dernier, place Auguste-Rodin, dans le quartier Croix-Rouge.
Une serrure avait été forcée ; deux ordinateurs, deux appareils photo et une console de jeu s’étaient envolés clans la nature.
Pas malins, les deux auteurs présumés avaient laissé des mégots de cigarettes derrière eux. Et c’est par ce biais que la police est venue les cueillir, chez eux, jeudi. Ils passeront devant le tribunal des mineurs.
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Le vendredi 22 juin, dans le cadre du projet du réseau éclair, deux classes de moyenne et grande sections de l’école maternelle Joliot-Curie sont venues au collège du même nom pour écouter des collégiens leur conter des histoires qu’ils ont entièrement produites.
Cette rencontre est l’aboutissement du projet « Un livre délivre », mené tout au long de l’année par un professeur de la Segpa, Mme Chaucesse, et Mmes Klein et Desmettre, professeurs à l’école Joliot-Curie. Les élèves ont été répartis dans plusieurs groupes en fonction de leurs compétences en lecture. Ainsi, en début d’année, les élèves du collège sont allés rencontrer les enseignantes de l’école maternelle. Ils ont raconté une histoire dans les classes, afin de savoir comment s’y prendre pour lire un livre à ce type de public. Puis ils ont étudié ensemble pendant plusieurs semaines des ouvrages pour enfants empruntés à la médiathèque Croix-Rouge, et sont retournés à l’école maternelle pour lire ces albums de manière expressive et adaptée aux élèves de cet âge.
Pendant la deuxième partie de l’année scolaire, ils ont eux-mêmes imaginé et créé des histoires à destination de ce jeune public. Ils ont également choisi des illustrations adaptées sur internet, et finalisé la mise en forme de chacun des albums.
Le jour de la rencontre, après avoir écouté les différentes histoires lues par les collégiens, les élèves de maternelle ont, à leur tour, raconté deux albums créés en classe avec leurs enseignantes.
Ce temps fort s’est terminé autour d’un goûter servi par les collégiens ; cette action sera reconduite l’an prochain
« Ils nous ont enterrés vivants ! », lance Marie-José, qui est en train de perdre son auto-école.
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LES travaux de rénovation urbaine battent leur plein à Croix-Rouge. Que ce soit avec l’Effort rémois sur Croix-du-Sud, avec le Foyer rémois sur Pays-de-France ou avec Reims habitat sur Eisenhower-Université, démolitions, reconstructions et réaménagements sont en cours depuis plus d’un an et avancent régulièrement.
Hélas, des entreprises riveraines (auto-école Marie-José et Tif-Coiffure) souffrent énormément des nuisances causées par les engins de chantier, les véhicules d’entreprises et les camions qui provoquent un véritable blocus, une barrière infranchissable pour les clients qui ne trouvent même plus de porte d’entrée.
Ainsi, l’auto-école Marie-José est pratiquement condamnée : « Mon enseigne a été décrochée. Je n’ai reçu que huit inscriptions depuis le début de l’année ! J’ai été obligée de me séparer de mon personnel, d’abord la secrétaire, puis les deux moniteurs. Je reste au poste pour essayer de maintenir l’entreprise, sauvegarder les inscriptions en cours et payer mes charges », regrette-t-elle. « Je vais devoir restituer mes véhicules d’auto-école à la maison de location qui me les reprendra à perte ! »
Cette mort annoncée ne semble intéresser personne : « C’est à moi de justifier le préjudice subi. Comment faire ? J’ai fait constater les troubles par un huissier de justice qui m’a souhaité bonne chance… Le Foyer rémois ne se sent pas concerné, j’ai écrit à la Ville de Reims, on m’a promis l’envoi d’un élu : je l’attends toujours ! Je me suis adressée au conseil général : aucune réponse. »
Sans aide à l’horizon, il lui a été conseillé d’attaquer le Foyer rémois devant le tribunal administratif et la Ville de Reims devant le tribunal de Grande Instance : « Onze ans que je suis installée ici, il ne me reste plus que le dépôt de bilan ou le redressement judiciaire ! »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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Aujourd’hui vendredi 29 juin, sur le parking de l’hippodrome, de 20 heures à minuit, des milliers de spectateurs sont attendus pour le concert d’été de Croix-Rouge. Cette année, une soirée orientée vers les musiques du monde est proposée au public avec, en tête d’affiche, l’Orchestre National de Barbès.
Dans le plus grand quartier de Reims, Trac (Toutes Recherches Artistiques Confondues) co-organise avec le soutien de la Ville de Reims, de la Cartonnerie et de l’entreprise mécène Pertuy, l’un des temps forts de l’opération « Un été dans la ville ». Au programme de cette soirée musicale gratuite : folklore, tubes africains et créations avec Afrokan Muzik Ensemble, raï avec Cheba Nadia puis Cheb Redwane et, en clôture, les treize membres de l’Orchestre National de Barbès, ces derniers interprétant des standards traditionnels raï sur des musiques aux influences métissées.
C’est un groupe de la scène rémoise, des voix, de la guitare et des percussions pour des musiques africaines. Il regroupe des musiciens venus de France et de plusieurs pays d’Afrique (Sénégal, Madagascar, Gabon, Côte d’Ivoire, Iles du Cap Vert), jouant le folklore africain, des tubes et des compositions riches de l’identité musicale propre à chacun.
Cette artiste qui rayonne en France et en Algérie interprète un raï traditionnel algérien et plus particulièrement le raï medahate. Née en Algérie à Sidi-Bel-Abbès, l’un des berceaux du raï, Cheba Nadia rejoint Paris à l’âge de 22 ans. Aujourd’hui, à 34 ans, elle a, à son actif, cinq albums.
Cet artiste se produit en Afrique du Nord et en Europe. À l’âge de 21 ans, il a conquis le public pour la beauté de sa voix qui chante tous les standards du raï. Son coup d’éclat date de 1999, lorsqu’il propose, en raï, une reprise d’un tube de notre star française de rock : « Que je t’aime » de Johnny Hallyday.
Symbole du creuset musical que représente le quartier Barbès, convergence des cultures du Maghreb et de l’Occident, cet orchestre réunit depuis 1996 des musiciens chevronnés originaires de France, d’Algérie, du Maroc ou du Portugal. L’Orchestre National de Barbès est un ensemble qui fédère tous les publics par le métissage musical qu’il propose. Ainsi, Boukella précise : « On a mélangé musique kabyle, chaâbi, raï, chanson marocaine et influences occidentales », entendez jazz, rock, chanson française, reggae et ska. Dans tous leurs concerts, leur côté festif séduit le public international.
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Une fois par an, les équipes des Maisons de quartier rémoises se retrouvent pour partager leurs valeurs autour d’un thème commun.
DEMAIN, tous les acteurs des Maisons de quartier se rassemblent. Pourquoi cette fête ? « C’est d’abord afin de créer du lien entre les différentes structures. Ensuite, parce que cette année est celle de la rénovation des statuts de l’association. La charte associative, c’est le socle commun à toutes les Maison de quartier », explique Benoît Guinet, directeur adjoint de l’association.
Cette journée représente un temps fédérateur et de rencontres et se décomposera en deux parties.
La première concernera plus directement les « forces vives » des Maisons de quartier : à 11 h 30, la « fresque humaine ». « On invite tous les acteurs des Maisons de quartier, adhérents, administrateurs, bénévoles, salariés, à se rassembler sur l’Agora du parc Léo-Lagrange pour constituer un logo géant de l’association. » Ils attendent plusieurs centaines de personnes pour réaliser ce regroupement festif et symbolique, qui sera photographié à l’aide d’un ballon radioguidé. Un exemplaire sera remis à chaque participant.
À 12 heures, sera inaugurée la « galerie artistique » composée de silhouettes préparées dans chaque Maison de quartier avec l’aide et les conseils de « Lou », plasticienne, et qui représentent la diversité des adhérents. Elle va assembler ces silhouettes pour en faire un totem qui symbolisera la rencontre des diverses équipes.
À 12 h 30, pique-nique tiré du sac ou petite restauration légère accessible sur place. La seconde partie est un concert qui débute à 14 heures. Tous les Rémois sont invités à assister au spectacle « Coloricocola » de Brice Kapel et de ses musiciens. Il s’agit d’un voyage initiatique interactif où chaque rencontre est une nouvelle étape. Enfants et parents doivent réussir, au cours du spectacle, les jeux qui leur sont proposés par le chanteur. À chaque jeu, ils se voient attribuer des kilomètres… pour arriver dans le monde de Coloricocola !
Demain samedi 30 juin, à 14 heures, au parc Léo-Lagrange. Gratuit et tout public.
Un volet soulevé et tout l’attirail du petit cambrioleur : deux jeunes ont été interpellés par la police.
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Les habitants du quartier avaient repéré deux individus un peu louches. La police a trouvé sur eux un équipement digne des adeptes du cambriolage.
« NOUS, avoir violé un domicile ? Jamais de la vie ! » Voilà ce que ces deux jeunes garçons ont répondu en substance à la police qui venait de les interpeller, mardi dernier après-midi, du côté de la rue Garcia-Lorca dans le quartier Croix-Rouge à Reims.
Et pourtant, les agents ne leur étaient pas tombés dessus par pur hasard : alertés par le voisinage qui avait repéré ces deux rôdeurs à l’allure suspecte, les agents les avaient vus sortir d’un jardin… en escaladant le muret d’enceinte. Pas forcément très bon signe.
Par ailleurs, ces mêmes policiers découvrirent que leurs clients - des mineurs d’environ 16 ans - détenaient sur eux un matériel pas si anodin que ça : une clef à molette, un tournevis, des gants… bref, de quoi leur donner le profil de bricoleurs passionnés… ou bien de parfaits petits cambrioleurs. Les policiers, curieusement, penchèrent plutôt pour la deuxième option.
Enfin, dernier indice défavorable, il apparut qu’un volet de l’habitation du jardin duquel nos deux oiseaux sortaient avait été soulevé, sans trace de dégradation toutefois. Seulement les enquêteurs parvinrent à joindre la propriétaire des lieux, absente à ce moment-là, et celle-ci affirma catégoriquement que tous ses volets avaient été soigneusement baissés à son départ.
Quoi que les deux interpellés en disent, la présomption de violation de domicile est donc plutôt forte, d’autant que les deux garçons étaient déjà connus des services pour des… vols par effraction. Réussiront-ils à convaincre le juge que ce sont les policiers qui se trompent ? Ils ont jusqu’au 25 juillet, date de leur confrontation avec lui, pour préparer leur argumentation.
A.P.
REIMS (Marne). Début juin à Croix-Rouge, trois policiers avaient été caillassés par une vingtaine d’individus appelés à l’aide par la personne qu’ils interpellaient. Le tribunal a prononcé deux peines de huit mois ferme.
AVENUE Bonaparte, quartier Croix-Rouge… Une adresse qui revient souvent dans les procédures de la police rémoise.
Drogue, vols, agressions ou dégradations, longue est la liste des méfaits commis à l’ombre de ces grands immeubles tristes et défraîchis. Les affrontements avec les forces de l’ordre y sont également une réalité, comme en cette soirée du 3 juin dernier.
Vers 20 h 30, de passage avenue Bonaparte, une patrouille repère Julien Vautier, 21 ans, recherché pour purger l’une de ses douze condamnations (trois mois d’emprisonnement à la suite d’une fausse alerte téléphonique auprès des pompiers).
Le jeune homme refuse de suivre les policiers. « Laissez-moi ! Vous n’avez pas le droit ! » Il se rebelle, ameute le quartier : « Au secours ! Aidez-moi les gars ! ».
Aussitôt, une vingtaine d’individus surgissent de partout pour s’en prendre à la patrouille composée de trois fonctionnaires. Ils tentent de libérer leur camarade, balancent des pierres. Un agent est touché à la tête (sans gravité), deux autres projectiles endommagent le toit et le pare-brise du véhicule.
L’équipage fait usage de ses « bâtons de défense », d’une bombe lacrymogène puis de son Flash-Ball, à trois reprises, pour disperser le cercle des assaillants et s’en extraire avec Julien Vautier.
Lors du caillassage, plusieurs visages connus ont été repérés mais, interrogés sur les individus qu’ils ont formellement vus en train de jeter des pierres, les policiers n’ont pu en citer qu’un seul tant la confusion était grande : Nacim Ferri, 19 ans.
Interpellé le lendemain, puis écroué, Nacim Ferri a comparu ce mardi avec Julien Vautier devant le tribunal correctionnel de Reims, le premier pour les violences et la dégradation du véhicule de police, le second pour la rébellion et la provocation à l’émeute.
Les deux prévenus contestent. Nacim serait parti avant le caillassage, Julien n’aurait opposé aucune résistance. Une ligne de défense fustigée par l’avocate des policiers : « C’est facile de faire le malin dans son quartier devant les copains. C’est autre chose que d’assumer sa responsabilité à la barre du tribunal ».
Le représentant du parquet se lève. « Sous les airs innocents des prévenus, se cache un enjeu d’ordre public très important », annonce Jocelyn Poul. « Dans le quartier Croix-Rouge, il y a des habitants qui n’ont pas forcément choisi de vivre là-bas, qui sont dans ces immeubles car ils n’ont pas les moyens d’être logés ailleurs et qui doivent subir au quotidien les agissements d’une poignée de jeunes qui veulent s’approprier le quartier, y faire régner leur loi. Ils y sont tellement bien parvenus que lorsque des délits sont commis, la population se tait par peur des représailles. Ils veulent rester dans leur territoire sans subir le courroux de l’autorité, et adoptent une logique de guerre dès que la police intervient : se rassembler et faire front pour la chasser de ce territoire. »
Déclarés coupables, les deux prévenus écopent chacun de huit mois ferme, la peine requise à l’encontre de Julien Vautier. Contre Nacim Ferri, le parquet avait réclamé deux ans en raison d’une précédente condamnation pour des violences lors d’un attroupement armé.
Fabrice CURLIER
Un été dans la Ville - Concert : Une soirée aux couleurs du monde
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Vendredi 29 juin, (re)découvrez des musiques du monde à l’occasion du grand concert d’été du quartier Croix-Rouge qui aura lieu au parking de l’hippodrome à Reims. Plusieurs groupes de diverses influences seront présents : Afrokan Muzik Ensemble, Cheba Nadia, Cheba Rewane et l’Orchestre National de Barbès.
Afrokan Muzik Ensemble, regroupe des musiciens venus de plusieurs pays d’Afrique qui interprètent le folklore africain, des tubes et des compositions riches de l’identité musicale propres à chacun grâce à des voix, de la guitare et des percussions. Le raï sera également de la fête avec Cheba Nadia et Cheba Rewane. Le premier interprète du raï traditionnel et plus particulièrement le raï medahate, tandis que le second est connu notamment pour sa reprise raï du tube « Que je t’aime » de Johny Halliday.
La soirée se clôturera avec l’Orchestre National de Barbès, qui fédère tous les publics par le métissage musical qu’il propose, mélangeant raï, jazz, rock, reggae et ska.
Le grand concert d’été, qui devrait accueillir des milliers de spectateurs, s’inscrit dans le cadre d’un été dans ma ville. Il est organisé par TRAC (Toutes Recherches Artistiques Confondues) et est soutenu par la Ville de Reims, la Cartonnerie et la société mécène, Pertuy.
Rendez-vous donc vendredi 29 juin, à partir de 20h sur le parking de l’Hippodrome, situé avenue du président Kennedy à Reims, pour une soirée qui devrait transporter le public à l’autre bout du monde. Entrée libre.
A.B
Pour vous faire une idée des différents univers musicaux avant le concert, rendez-vous sur les sites : afrokanmuzikensemble.skyrock.com www.orchestrenationaldebarbes.com
Liens :
afrokanmuzikensemble.skyrock.com
www.orchestrenationaldebarbes.com
Hippodrome de Reims : rénovation prévue pour 2014
Mercredi 20 juin, à l’occasion du Grand National du Trot, Adeline Hazan, maire de Reims, a annoncé la rénovation de l’hippodrome de Reims.
Il restera bien dans le quartier Croix-Rouge, avenue Robert Schuman, mais sera modernisé d’ici 2014.
Trois millions d’euros seront investis par la société des courses de Reims pour reconstruire les tribunes et rendre plus agréables les abords de l’hippodrome.
Liens :
www.hippodromedereims.com
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Vous avez un enfant âgé de 4 à 11 ans et vous ne savez pas forcément comment l’occuper durant les grandes vacances. Et bien sachez que l’opération Ludosports, initiée par la Ville est à nouveau, mis en place cet été du 9 juillet au 17 août (du lundi au vendredi sauf le 15 août). Si le dispositif est gratuit, il est obligatoire de s’inscrire avant samedi prochain, le 30 juin.
Les centres Ludosports proposent des activités adaptées à l’âge des enfants et encadrés par des éducateurs territoriaux des activités physiques sportives de la Ville. Pour les 4-5 ans de 10 à 12 heures ; et pour les 6-11 ans de 9 h 30 à midi et/ou de 14 heures à 16 h 30.
En juillet, des ludostages sont proposés à toutes celles et ceux qui préféreront s’adonner entièrement à leur passion, le plus souvent en partenariat avec des clubs rémois : les matins, BMX (Bike Energy), handball (RCH), natation (RN89), tennis (TC Géo André), vélo (Ville) ; les après-midi, arts du cirque (Trac), athlétisme (EFSRA), football (Ville), vélo (Ville).
Les matins : quartier Neufchâtel, gymnase Desbureaux*, 6-11 ans ; quartier Croix-Rouge, gymnase François-Legros, 4-5 ans et gymnase Géo-André*, 6-11 ans ; quartier Europe, gymnase Saint-Exupéry, 4-5 ans ; quartier Saint-Remi, gymnase Ruisselet, 6-11 ans.
Les après-midi : quartier Clairmarais, gymnase Courcelles*, 6-11 ans ; quartier Orgeval, gymnase Gallieni, 6-11 ans ; quartier Europe, gymnase Europe, 6-11 ans ; quartier les Châtillons, gymnase Vasco-de-Gama*, 6-11 ans ; quartier Croix-Rouge, gymnase François-Legros, initiation roller et roller hockey, 6-11 ans.
Renseignements au 03.26.79.19.90 ou sur internet : www.reims.fr, ludosport.reims.fr.
* Également au mois d’août.
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Aider ; former ; intégrer : trois mots pour résumer le rôle du Cref qui vient de se doter d’un nouveau bâtiment pour que ses actions puissent se dérouler dans les meilleures conditions.
« POUR ceux qui ont connu le Cref avant, on passe du Moyen-Âge au XXIe siècle ! » a lancé en introduction de son discours d’inauguration Jean-Claude Adjizian, président du centre de recherche, d’étude et de formation (Cref). Il est vrai qu’entre les locaux étroits et inconfortables du quartier Croix-Rouge et la superbe réalisation de Gérard Batalla située à Cormontreuil, il n’y a aucune comparaison possible.
« Travailler à Croix-Rouge, ce n’était pas une petite affaire : Des fuites partout ! On pensait que les murs allaient nous tomber dessus ! » D’abord implanté dans le quartier Wilson, le Cref est resté trente-cinq ans à Croix-Rouge, jusqu’à ce que le Foyer rémois décide de déconstruire les bâtiments. Mis devant la nécessité de rester locataire d’un nouvel espace, toujours réduit et sur deux niveaux, ou de devenir propriétaire, l’association a opté pour la seconde solution.
Grâce à la Ville de Cormontreuil et à Reims-Métropole qui leur ont proposé un terrain, une superbe structure de 1 300 m2 sur un seul niveau a été édifiée, pour un coût global d’environ 3 millions d’euros. « Le conseil général et le conseil régional ont apporté 50 000 € chacun. Les villes de Reims et Cormontreuil ont cautionné notre projet pour l’obtention de notre prêt », précise Jean-Pierre Chemla, vice-président et cheville ouvrière du Cref.
Il en rappelle les missions : animation de congrès et colloques ; stages de formation pour différentes catégories de personnes, notamment celles souffrant d’un handicap physique ou psychique ou bénéficiaires du RMI ; lutte contre l’illettrisme ; accompagnement de personnes âgées. L’effectif est de dix-huit salariés, sans compter les intervenants ponctuels et les bénévoles.
« C’est quelque chose de très noble que d’intégrer les gens et d’assurer cette intégration dans les meilleures conditions. C’est un rôle social majeur. J’espère qu’avec ce nouveau tremplin, cette base de lancement sera encore plus importante », a insisté le président. « Vous vous êtes, depuis quelques mois, parfaitement intégrés dans cette zone à vocation médico-sociale. Je souhaite que votre implantation soit le point de départ d’une nouvelle collaboration avec la commune », a ajouté le maire de Cormontreuil Jean Marx.
Le Cref, 2bis rue Pierre-Bérégovoy à Cormontreuil.
Le bâtiment de 1 300 m2 a été construit sur un terrain assez vaste, mais comportant une grande déclivité. Gérard Batalla, architecte, a dû absorber cette déclivité : « J’ai conçu le plateau de travail au niveau de la rue et installé tous les parkings sous le bâtiment, ce qui a évité des fondations compliquées et à permis de coller au terrain. »
Très attentif au côté humain, il explique avoir imaginé la construction « comme une sorte de tortue qui promènerait sur son dos le jardin intérieur et emmènerait les gens, doucement, dans un autre monde que celui dans lequel ils sont ». L’architecte n’a pas oublié pour autant la fonctionnalité : les locaux sont éclairés naturellement par de grandes baies vitrées, qui donnent sur de superbes points de vue de la ville de Reims avec au loin la cathédrale et, plus près, sur des espaces verts entourant le bâtiment central.
Ergonomie dans la circulation intérieure, avec « des venelles, des chemins, qui tournent autour d’un anneau, avec au centre le jardin intérieur ». Économie aussi : le bâtiment est basse consommation. « Parfaitement isolé, plaqué au sol, il bénéficie de sa chaleur. L’hiver, il est chauffé par le sol avec seulement deux petites chaudières de 40 kilowatts chacune. »
Le nouveau local dispose de six salles de formation, d’une grande salle de réunion de 140 m2. Treize petits espaces de « face à face » permettent de recevoir individuellement les bénéficiaires des prestations.
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Avec Constant de la Bassetière et Cindy Castille, la Champagne-Ardenne peut voir l’avenir en 2 D.
LA Champagne-Ardenne est passée à deux points (notre édition de mardi) d’une étonnante passe de deux aux championnats de France de double (13-14 ans), à Roland-Garros.
Associé à l’Azuréen Louis Tessa, Constant de la Bassetière (n° 94 au classement Europe junior) est allé jusqu’au bout en prenant, en passant, sa revanche sur Geoffrey Blancaneaux (n° 25 Europe junior) qui l’avait battu en quart. Défaite qui peut laisser des regrets au Cormontreuillois : « Il a une balle de 3-1 dans le premier set. Il a eu du mal à s’en remettre. Il s’est peut-être mis la pression tout seul », rappelle l’entraîneur régional Emmanuel Castille, qui coachait la délégation (*).
Pour Cindy Castille, appariée avec Lucie Wargnier, le sort de la finale s’est joué à 9-9 (9-11 à l’arrivée) dans le super tie-break : « L’état de la surface a pas mal joué. Avec la pluie et le vent, la terre battue était assez lourde. Les conditions étaient changeantes ».
Ces performances situent Constant et Cindy dans le Top 5 ou 6 de leur catégorie d’âge : « Il fallait être en demi-finales des simples pour être sélectionné en équipe de France ».
Si le Cormontreuillois comme la Rémoise de Géo-André (sacrée en double en 2010, en 12 ans) sont dans les temps de passage, les France ne sont qu’un tremplin pour eux.
Constant de la Bassetière (n° 94 au classement Europe U14) a été retenu pour effectuer la tournée fédérale d’été qui passera par la BNP Paribas Cup (14 ans), les Hauts-de-Seine et des tournois adultes « pendant dix jours ».
Au terme de cette tournée, l’élève de Sébastien Jolly saura s’il intégrera ou non le Pôle de Poitiers. Après, il sera temps de s’accorder un break de deux semaines début août.
Cindy Castille était pressentie pour disputer des tournois ITF (17-18 ans). Problème, elle ne compte pas de points ITF et ne peut être engagée. On la verra donc aux Pays-Bas à l’Amstelpark Zuiver Trophy (Amsterdam) sur le circuit Junior Europe (14 ans, catégorie 3) et dans des tournois adultes : « Ce n’est pas facile de gérer le classement français en même temps que ceux du Tennis Europe junior et de l’ITF », souligne Emmanuel Castille.
Constant de la Bassetière - qui a déjà beaucoup donné - ne s’alignera pas à cet Amstelpark. En revanche, il est possible qu’il dispute un tournoi Tennis Europe Junior au Luxembourg ; deux sont au programme fin août et début septembre.
Jean-Pierre PRAULT
(*) Les 12 ans Elvire Prault et Gauthier Henry, de Géo-André, étaient encadrés par Bruno Dagnée.
Michel Guillaudeau est très satisfait que l’hippodrome soit pérennisé à Croix-Rouge, car contrairement à ce que nous avons écrit, il n’était pas favorable au projet de 900 logements proposé par Jean-Louis Schneiter en 2007.
« Le maire de l’époque voulait 900 logements, de la voirie, et un petit îlot vert. Or, c’est important pour Croix-Rouge d’avoir un poumon vert. Les organismes logeurs ont d’ailleurs construit les habitations autour de l’hippodrome pour que les habitants puissent avoir une vue dessus ». L’élu communiste trouvait absurde de déplacer cette enceinte de 2 km (il était prévu de le faire à Bezannes) pour 20 millions d’euros. « Nous avions alors lancé une pétition qui a fort bien marché et fait reculer la mairie ».
Michel Guillaudeau précise aussi que cet espace a souvent été utilisé par les habitants du quartier. « Il y avait avant un tunnel qui menait au centre, et nous avons même fait de l’initiation au golf ! »
Eloi Coly (en costume traditionnel) avait reçu de jeunes rémois au Sénégal en 2011.
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L’an dernier, un groupe de jeunes Rémois, dans le cadre d’un partenariat entre la Ville de Reims et l’association Acao, partait au Sénégal, rencontrer de jeunes lycéens de M’Bour. Eloi Coly, conservateur de la Maison des Esclaves de Gorée, les avait reçus.
Cette année, à l’initiative de la mission « lutte contre les discriminations » d’Acao et du CIAM, Eloi Coly est l’invité d’une série de conférences qui s’inscrivent dans un cycle intitulé « Esclavage et traite négrière, la nécessaire démarche de mémoire ».
Des interventions où les thèmes se croiseront et apporteront des éléments d’information et de réflexion complémentaires.
Le programme :
Mercredi 27 juin à 18 h 30, à l’Hôtel-de-Ville : lecture de poèmes d’Aimé Césaire, David Diop et Bernard Dadie, par Amdy Seck, Renault Collet et Mickaël Demazure. A 19 heures : conférence d’Eloi Coly : « Gorée, l’île symbolique, liée au travail de mémoire de l’esclavagisme et son histoire en partie oubliée ».
Jeudi 28 juin à 9 heures à la Villa Douce, boulevard de la Paix : lecture conférence. Thème : « Après l’expérience de l’esclavagisme, le devoir de mémoire, dynamique vers la réconciliation ».
Vendredi 29 juin à la médiathèque Croix-Rouge : l’histoire de Gorée et sa place dans l’histoire de l’esclavagisme.
Entrée libre.
Ce mardi à 7 h 30, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus au quartier Croix-Rouge à Reims, allée des Auvergnats pour une voiture en flammes. Les sauveteurs ont maîtrisé le sinistre au moyen d’une petite lance.
Numéro 7452 du 25 juin au 01 juillet 2012.
CLOTURE DE LIQUIDATION
Reims Trans Logistique, EURL au capital de 10.000 €, siège social 17 rue Alphonse Daudet - 51100 REIMS, R.C.S. REIMS 535 100 564. L’associé unique réuni en AGO en date du 05/06/2012, a décidé de la dissolution anticipée de la société à compter de ce jour. Nommé comme liquidateur M. BOUAKLINE Zouheir, demeurant 17 rue Alphonse Daudet REIMS. Le siège de la liquidation est 17 rue Alphonse Daudet - 51100 REIMS. 106745
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
LIQUIDATION JUDICIAIRE
Par jugement en date du 19/06/2012, le tribunal de commerce de REIMS a décidé la résolution de plan de redressement, a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’encontre de : Société à responsabilité limitée à associé unique REMY SARL, 45 av. du Général Eisenhower - 51100 REIMS. R.C.S. REIMS : 2004 B 7 - 451 482 715. Activité : L’exercice de la profession d’architecte et d’urbanisme.
Mandataire judiciaire : SCP DARGENTTIRMANT RAULET (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.
Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus désigné.
106764 Le Greffier : B. DELPY.
S.M. FINANC[ERE
Société à responsabilité limitée au capital de 10.900 €uros Siège social : 5 rue Marie Dominique Maingot 51100 REIMS
Reims 449 618 693
Aux termes d’une délibération en date du 15 mars 2012, l’assemblée générale extraordinaire a décidé :
De transférer le siège social du 5 rue Marie Dominique Maingot à REIMS 51100, au 74 rue Vernouillet à REIMS 51100, et ce à compter du 15 mars 2012.
De modifier en conséquence l’article 4 des statuts.
106343 La gérance.
Dimanche vers 18 heures, une personne a été foudroyée par un malaise alors qu’elle se trouvait à une station de tramway de l’avenue du Général Eisenhower.
Malgré l’intervention des pompiers et du Samu, la victime n’a pu être réanimée.
Le tournoi du TC Ménéhildien a vu, pour sa 9e édition, les Meusiens de Revigny-sur-Ornain triompher sur le béton poreux argonnais.
En effet, le tableau masculin a proposé, comme prévu, une finale entre favoris à la limite des inscriptions (5/6), entre Vincent Pottellette (Revigny) et Eric Renaud (ASPTT Châlons). Entre joueurs poussés au troisième set en demi et donc émoussés, le Lorrain a rapidement su prendre la mesure du Châlonnais pour s’imposer 6-1, 6-4.
Idemdu côté des dames où, dans une finale à 15, Stéphanie Burgain (Revigny) a dominé Charlotte Becret (URT) qui a commis trop de fautes…
MESSIEURS. - Demi-finales : Pottellette (5/6, Revigny-sur-Ornain) bat Zymek (15/2, Suippes) 2-6, 6-4, 7-6 ; Renaud (5/6, ASPTT Châlons) bat Fremin (15, Roanne) 4-6, 6-3, 6-3 ; finale : Pottellette bat Renaud 6-1, 6-4.
DAMES. - Demi-finales : Charlotte Becret (15, URT) bat Delphine Jacoillot (15/4, Vitry) 6-4, 6-3, Stéphanie Burgain (15, Revigny-sur-Ornain) bat Amélie Bossus (15/3, TC Ménéhildien) 6-1, 6-2 ; finale : Stéphanie Burgain bat Charlotte Becret 6-3, 6-2.
Après deux ans d’arrêt, le tournoi du TC Taissy a repris vie dans la bonne humeur. Limité à 15/3 (meilleur classement du club), l’épreuve taissotine a connu une surprise dans le tableau masculin avec le succès d’Eddy Lisima (15/4, ASPTT Reims). Pongiste à l’ORTT avec un classement de n° 461 français (un des tout meilleurs régionaux), ce dernier maîtrise parfaitement la petite balle jaune comme en témoigne sa victoire (7-5, 6-0) au stade ultime face à l’espoir taissotin Guillaume Tonnel (15/3)
Du côté dames, il ne faisait pas bon être favorites à 30/1 puisque Louise Chardonnet (Géo-André) et Camille Vadin ont subi de sévères revers contre des Taissotines, Céline Catillon (30/3) et Géraldine Gauthier (nc). En finale, Céline Catillon a fait respecter la hiérarchie .
MESSIEURS. - Demi-finales. - Lisima (15/4, ASPTT Reims) bat Dehu (15/3, URT) 7-5, 6-1, G.Tonnel (15/3, Taissy) bat Michalski (15/3, Taissy) 6-1, 7-5 ; finale : Lisima bat G.Tonnel 7-5, 6-0.
DAMES. - Demi-finales : Céline Catillon (30/3, Taissy) bat Louise Chardonnet (30/1, Géo-André) 6-0, 6-0, Géraldine Gauthier (nc) bat Camille Vadin (30/1, URT) 6-3, 6-2 ; finale : Céline Catillon bat Géraldine Gauthier 6-2, 6-3.
Désormais ouvert jusqu’à 15/1, le tournoi du TRC Muire a su s’appuyer sur une hausse des inscriptions (149 contre 103) pour proposer une édition 2012 de qualité. Sans surprise, la finale messieurs a opposé deux des neuf 15/1 engagés. Avec la particularité que Simon Pierre et Robin Bernard sont du même club (Reims Europe Club), gauchers et d’anciens 5/6 !
Le premier set fut disputé mais Simon Pierre, en pleine confiance après son succès à Gueux, se montrait efficace pour empocher le jeu décisif.
Affecté, Robin Bernard laissait ensuite son camarade de club boucler à 6-2.
MESSIEURS. - Demi-finales : Pierre (15/1, Reims Europe Club) bat Gosse (15/1, Soissons) 6-3, 6-0 ; Bernard (15/1, Reims Europe Club) bat Pastres (15/2, ASPTT Châlons) 6-2, 6-4 ; finale : Pierre bat Bernard 7-6, 6-2.
+ 45 ANS. - Demi-finales : Floquet (15/3, TC Reims) bat Liegeois (15/4, Villers Marmery) 6-3, 6-4, Desautez (15/3, URT) bat Rambaut (15/5, Géo-André) 6-2, 6-0 ; finale : Floquet bat Desautez 6-1, 6-3.
Limité à 3/6, la 22e édition du tournoi du TC La Vaure a enregistré des résultats conformes à la logique. Ainsi, chez les messieurs, le favori - car seul 3/6 engagé - Julien Evrard (URT) s’est-il imposé face au solide postier troyen Marc Goussin (4/6).
Pourtant, dans la manche initiale, ce dernier menait 4-2 et comptait même des balles de 5-2. Le gaucher rémois haussait le ton pour aligner cinq jeux d’affilée !
Scénario presque inverse dans le set suivant où Evrard faisait la course en tête (4-1) avant de voir son adversaire recoller pour le pousser au jeu décisif. Le sociétaire de l’URT sut alors forcer la décision.
Petite surprise en + 35 ans où Thierry Croix (15/5, Montmirail) a encore démontré que les « footeux » possèdent de fortes capacités de résistance. Résultat, au terme d’un marathon de trois heures, l’entraîneur-joueur du SA Sézanne est venu à bout de la tête de série n° 1, Bruno Calcagno (15/3, Montmirail).
MESSIEURS. - Demi-finales : Goussin (4/6, ASPTT Troyes) bat Boulard (5/6, La Vaure) 7-6, 6-1, Evrard (3/6, URT) bat Doffemont (4/6, Montmirail) 6-2, 7-6 ; finale : Evrard bat Goussin 6-4, 7-6.
+35 ANS. - Demi-finales : Croix (15/5, Montmirail) bat Barthod (15/5, TC Plancéen) 5-7, 6-2, 6-2, Calcagno (15/3, Montmirail) bat Lefevre (15/5, La Vaure) 6-2, 6-1, finale : Croix bat Calcagno 4-6, 6-2, 7-5.
DAMES. - Demi-finale. :Carole Berthier (15/3, Romilly) bat Catherine Depaquy (15/4, Sézanne) 6-1, 6-4 ; finale : Fabienne Carquin (15/3, ASPTT Troyes) bat Carole Berthier 6-3, 6-1.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS N° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, 51000 Reims.
Objet : Marché d’entretien chauffage individuel, ECS, ventilation / MA-110612
Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005
Le marché est composé de 5 lots :
Lot 01 – Secteur Reims Châtillons, Châlons en Champagne, Vitry le Francois et Saint Dizier
Lot 02 – Secteur Reims Centre et Croix du Sud
Lot 03 – Secteur Reims avenue de Laon
Lot 04 – Secteur Tinqueux, Epernay, Sézanne et Montmirail
Lot 05 – Secteur Région Parisienne
Délai d’exécution : 5 ans avec période probatoire renouvelable 5 fois 1 an.
Retrait du dossier : Le dossier est disponible gratuitement en téléchargement sur notre site : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr / Réf. : MA-110612
Date limite de réception des offres : Vendredi 10 Août 2012 à 12 heures, par envoi ou dépôt à L’Effort Rémois, Service Marchés, 7 rue Marie Stuart à Reims, avant la date limite de réception.
Renseignements techniques : Mr. Holvoote 03.26.04.98.34 / Mr. Hermant 03.26.04.98.33
Renseignements administratifs : Mme Forray 03.26.05.92.33 / Mme Gallois 03.26.04.99.05
Date d’envoi à la publication le 21 juin 2012 aux JOUE, Le Moniteur et JAL L’UNION (Marne)
Le conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny se réunira en séance publique, mercredi 27 juin à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, 4, avenue François-Mauriac.
Les présidents, Alain Bisteur et Alain Boudroit, précisent l’ordre du jour : les travaux des commissions (animations, balades urbaines, emploi, jeunesse, tranquillité) ; schéma des nuisances de l’agglomération, niveau de pollution et des nuisances sonores :zoom sur le quartier ; choix de l’aire de jeux du square des Droits-de-l’Enfant ; expression publique.
Liliane Feige siège régulièrement au conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny.
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La conseillère Liliane Feige, qui est présente à la table officielle à chaque réunion du conseil de quartier de Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny, est également connue comme « la poète du quartier ».
Son espoir en la nature humaine vient d’être sérieusement ébranlé après une effraction de son domicile, allée Edgar-Degas à Croix-du-Sud. Elle est déstabilisée et démoralisée : « Pour moi, la confiance ne règne plus. Les poètes seraient-ils des exclus et des mal aimés ? »
Elle a écrit un texte intitulé « Pour sauver mon quartier », dans lequel elle incite les jeunes à venir assister aux réunions du conseil de quartier et dont voici quelques extraits : « Jeunesse de Croix-Rouge, construisons tous ensemble pour un monde meilleur, pour retrouver la lumière dans nos cœurs et l’allégresse dans l’espérance. Dans votre quartier - notre quartier -, votre poétesse vous invite à venir aux réunions salle Mauriac. Jeunesse, avec un peu de volonté, nous ferons des miracles. Nos conseillers, pleins de sollicitude, vous attendent, vous serez les bienvenus. […] Nous croyons en vous. Partageons cet espoir étoilé de mieux vivre dans le partage et de dissiper le mal de vivre pour le bonheur du quartier enfin en paix. »
Ce poème a été affiché à l’entrée du magasin d’alimentation Huit à Huit.
Rappelant que la prochaine réunion du conseil de quartier se tiendrait ce mercredi 27 juin à 19 heures dans la salle municipale Croix-Rouge, 4, avenue François-Mauriac, Liliane Feige conclut en guise de signature : « Habitants de mon quartier, qui que vous soyez, je vous aime toujours, tout simplement ! »
Depuis, les choses ont évolué : « Je suis allée à la rencontre des jeunes du quartier », raconte-t-elle, « je n’ai pas eu peur. Ils m’ont bien parlé et m’ont promis de venir à la prochaine réunion du conseil de quartier. Ils demandent qu’on les aide ! »
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Autour de M. Pous (en uniforme) : Nicolas Quinquis, Cédric Benadjaoud et Alban Strozykowski, intervenants.
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Les différents partenaires (Reims habitat, Effort rémois, Service départemental de prévention), associés dans le cadre du projet « Se responsabiliser vis-à-vis de son cadre de vie et du patrimoine », poursuivent leurs actions auprès des élèves du collège Georges-Braque.
Quatre classes de 4e ont parcouru le quartier Hauts-de-Murigny - Croix-du-Sud avec Nicolas Quinquis (l’Effort rémois) et Cédric Benadjaoud, éducateur départemental de prévention. Une nouvelle rencontre a été organisée le lundi 18 juin avec la Police nationale, en présence de Christian Pous, chef du poste de police de Croix-Rouge et référent avec l’Éducation nationale pour le quartier.
Sensibilisés aux thématiques de la vie du quartier, les élèves ont joué le jeu et ont librement échangé avec M. Pous. Les jeunes ont abordé de très nombreux problèmes tels que le squat, l’occupation des halls d’immeubles, les dégradations (lumières, boîtes aux lettres…) et leur coût, le tabac, l’alcool, les tags, les incendies, les bagarres, la circulation des motos et autres deux roues, les trafics divers… « Des rencontres toujours enrichissantes », commente Alban Strozykowski, chargé de développement social à Reims habitat.
« À l’issue de cette intervention, nous avons remis les récompenses (bons d’achat dans une grande enseigne) aux élèves ayant le mieux répondu aux questionnaires distribués en mai. »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Deux feux : Les nuits d’été se suivent et se ressemblent dans la cité des sacres, avec, dans la nuit de vendredi à samedi, deux nouvelles dégradations.
Dans le quartier Croix-du-Sud, une haie a été mise à feu samedi vers 1 heure du matin. Les pompiers ont pu éviter la propagation.
Peu avant 3 heures, les soldats du feu ont ensuite pris la direction de l’avenue du général Eisenhower pour une voiture qui venait de s’embraser. Toute propagation a été évitée mais le véhicule est totalement détruit.
Outrages : Samedi, vers 13 heures, un homme d’une trentaine d’années s’en est pris à un contrôleur SNCF à la gare centrale alors que ce dernier ne voulait faire que son métier. Il s’est fait copieusement insulter durant de longues minutes avant que l’homme ne soit interpellé et entendu sur les faits. Il les a reconnus sans difficulté et s’expliquera devant le tribunal le 8 octobre prochain.
Nez rouge : Dimanche matin, vers une heure, un homme d’une quarantaine d’années a été contrôlé avec 0.55g d’alcool, le long de l’avenue Jean Jaurès. Il aura droit à une belle amende.
Port d’arme : Un jeune homme a été interpellé après un simple contrôle d’identité, samedi, vers 19 heures. Sur lui, les policiers ont retrouvé un couteau, une arme de 6e catégorie aux yeux de la loi. Cet homme a été condamné à 200 euros d’amende et a vu son couteau être détruit.
Stups : Samedi après-midi, un jeune homme a été arrêté au niveau de l’Avenue d’Epernay, dans le quartier Croix-Rouge. La fouille a été fructueuse pour les fonctionnaires de police qui ont retrouvé près de 20 grammes de résine de cannabis sur lui. Ce jeune homme passera devant le délégué du procureur.
La main dans le sable : Drôle de tentative de vol, dans la nuit de samedi à dimanche. Deux hommes ont été pris par une patrouille de fonctionnaires de police en train de se servir dans le tas de sable d’un chantier jouxtant la place Georges Braque, au coeur du quartier Croix-Rouge. Placés en garde-à-vue, ils ont tous les deux reconnus les faits.
Thomas Duprat
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Le concert de l’été organisé chaque année dans le plus grand quartier de Reims, Croix-Rouge, est placé cette année sous le thème des musiques du monde. Au programme de cette soirée musicale gratuite qui aura lieu le vendredi 29 juin sur le parking de l’hippodrome de Reims, folklore, tubes africains et créations avec tout d’abord le groupe rémois Afrokan Muzik Ensemble. Suivra sur scène Cheba Nadia pour du raï traditionnel algérien puis Cheb Redwane dans divers styles de raï.
Ce dernier s’était notamment fait connaître il y a quelques années par une reprise en raï du tube de Johnny Hallyday « Que je t’aime ».
C’est l’orchestre national de Barbès (photo) qui clôturera la soirée. Cette formation qui vient de sortir un album live pour ses 15 ans de scène, réunit des musiciens chevronnés originaires de France, d’Algérie, du Maroc et du Portugal.
Elle propose un mélange de musique kabyle, chaâbi, raï, chanson marocaine avec des influences occidentales allant du jazz au ska en passant par le rock, la chanson française ou le reggae. Ambiance festive garantie !
Concert de l’été, vendredi 29 juin, parking de l’hippodrome à Reims. De 20 heures à minuit. Entrée gratuite.
En 13-14 ans, Constant de la Bassetière (Cormontreuil) n’a pas passé le cap des quarts des France, hier à Roland-Garros.
4/6, le champion de Champagne s’est incliné 3-6, 1-6 devant un 3/6, Geoffrey Blancaneaux.
Ces deux-là risquent de se retrouver en finale du double s’ils passent les demi. Associé à Louis Tessa, Constant de la Bassetière affrontera la paire Benchetrit-Bugeaud.
L’enjeu sera exactement le même pour Cindy Castille (Géo-André). En duo avec la Picarde Lucie Wargnier, la Rémoise, sacrée en 12 ans en 2010 avec Emmanuelle Salas, affrontera le binôme Boch-Elhadj.
Comme redouté, en 12 ans, guère épargnée par le tirage, Elvire Prault (Géo-André, 15/4) a juste sauvé l’honneur face à une 5/6 (l’un des meilleurs classements dans le tableau), Tiphanie Fiquet : 1-6, 0-6.
Chez les garçons, Gauthier Henry (Géo-André, 15/3) s’est accroché mais la logique des classements a parlé en faveur de Romain Arnaud (15/1) : 3-6, 3-6.
J.-P.P.
Avec une cinquième et dernière journée conforme aux prévisions, la Division Qualificative à la Division Nationale 4 a rendu son verdict. Chez les messieurs, bien que bousculés par la réserve du Reims Europe Club, les Givetois ont décroché leur billet pour affronter en barrage… l’équipe 1 du Reims Europe Club !
Avec les descentes du TC Reims, du CO Saint-Dizier et de l’ASPTT Troyes de N4, les deux derniers de chaque poule, à savoir les réserves de Géo-André, Cormontreuil et Reims Europe Club ainsi que Langres, évolueront la saison prochaine en honneur..
Chez les dames, Saint-Memmie a dû s’employer pour battre Sedan. Résultat, les Mengeottes seront favorites pour le barrage devant Romilly.
Pour la relégation, même cas de figure que pour les messieurs, les descentes de N4 de Chaumont, Saint Dizier et ASPTT Troyes envoyant Géo-André 2, le TC Sancéen, Montmirail et Vitry à l’échelon inférieur.
Organisés au centre de Ligue des Thiolettes, ces barrages d’accession en N4 opposeront chez les messieurs le Rec à Givet. Avec Théophile Castelhano (1/6), les 2/6 Florent Seuret, Pascal Bonnet, Alexandre Gajanovic et Jérôme Clausse (15) chez les Rémois, on voit mal comment les Givetois, avec un meilleur classement à… 15, pourraient faire pour s’imposer.
En revanche, du côté des dames, la rencontre entre Saint-Memmie et Romilly s’annonce beaucoup plus équilibrée.
Toutefois, les Marnaises seront, sur le papier, favorites puisque le poids des classements est en égalité parfaite sur les matches 1 (3/6), 2 (4/6) et 3 (5/6) mais favorable aux Mengeottes sur les 4 et 5 (15 contre 15/2).
Reste qu’une « perf » demeure, bien sûr, toujours possible et que les doubles seront cruciaux.
Pour la victime, le cauchemar a commencé sur un bancde l’allée des Tourangeaux, avant de se poursuivre pendant près de deux heures dans un appartement voisin.Christian LANTENOIS
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REIMS (Marne) Une Rémoise attirée dans un traquenard a été tabassée, séquestrée et torturée par un groupe de six jeunes filles, mardi, pendant près de deux heures. Récit d’un cauchemar.
GIFLES, coups de poing, bouteille fracassée sur la tête, brûlures de cigarettes, morsure de chien… C’est un véritable calvaire qu’une Rémoise de 28 ans a subi mardi après-midi au quartier Croix-Rouge, séquestrée pendant près de deux heures par un groupe de six jeunes filles saisies d’une rage destructrice au seul motif d’une prétendue rivalité amoureuse.
La victime est arrivée récemment dans le quartier. Son premier contact avec celle qu’elle désigne comme la meneuse remonte au début du mois. Elles ont sympathisé, jusqu’au moment où sa nouvelle amie l’aurait tenue responsable du départ de son copain. Protestation de l’intéressée.
Mardi après-midi, l’amoureuse éplorée lui téléphone pour s’excuser de son comportement. Elle lui donne rendez-vous à 15 heures, allée des Tourangeaux, pour s’en expliquer. La jeune femme s’y rend sans se méfier. Son « amie » est là, assise sur un banc avec cinq copines. Elle s’assoit. C’est alors que les violences commencent, subitement.
La demoiselle reçoit un coup de poing au visage. Elle est giflée, tirée par les cheveux, jetée à terre, frappée sur le corps. Le groupe l’emmène ensuite au domicile de la prétendue rivale pour soigner son nez qui saigne, lui dit-on. On ferme les volets, on verrouille la porte d’entrée, on l’amène dans la cuisine où les violences repartent de plus belle.
La victime se prend un coup de verre dans l’œil, on lui casse une bouteille d’alcool sur le front, on la brûle avec une cigarette sur un sein, dans le cou et dans le dos. Un American staffordshire est enfermé dans un placard. On sait que l’odeur du sang l’excite. Il est sorti du cagibi, amené vers la victime. « Bouffe-la ! » Le molosse mord la malheureuse à la cuisse, qui commence à se sentir mal. Elle est prise de vertiges.
L’inquiétude gagne la bande. On décide de l’emmener à la pharmacie de l’avenue Bonaparte. Deux des filles s’en chargent. Elles tentent de la faire passer pour une cousine victime d’un vol avec violence, mais la blessée supplie le pharmacien de lui venir en aide. Il la met en sécurité dans l’arrière-boutique, le duo s’enfuit, la police arrive. Fin du cauchemar. Il est 17 heures.
Saisis de l’enquête, les policiers de la sûreté départementale de Reims ont rapidement retrouvé toute l’équipe. Deux sont âgées de 12 (!) et 15 ans. Présentées hier soir au parquet, la première a été relâchée avec une convocation devant le juge des enfants, la seconde envoyée dans un foyer d’Épernay.
Les quatre majeures, elles, ont défilé dans le cabinet du juge d’instruction, puis devant le juge des libertés et de la détention qui a décidé de placer sous contrôle judiciaire deux d’entre elles, au motif que leur participation aux faits les plus graves paraît « peu active » ou « peu évidente ».
En revanche, mises en examen pour « séquestration » et « actes de torture et de barbarie en réunion », Alisson Elhadef, 22 ans, et Hélène Collard, 23 ans, ont été écrouées. Déjà connues de la justice pour quelques petites affaires, elles n’ont pu réprimer des larmes au moment de partir en détention.
Devant une cour d’assises, les agissements qui leur sont reprochés sont passibles de vingt années de réclusion criminelle.
Fabrice CURLIER
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TC TAISSY. - Après une coupure de deux années, le tournoi du TC Taissy renaît de ses cendres avec une limite à 15/3 et 66 engagés. Chez les messieurs, le titre devrait se jouer à 15/3 entre les Taissotins Romain Michalski et Guillaume Tonnel, Florent Dehu (URT) et Clément Bonot (Manin Sports). Du côté des dames, les demies sont connues. Elles opposeront Louise Chardonnet (30/1, Géo-André) à Céline Catillon (30/3, Taisy) et Géraldine Gauthier (NC, Taissy) à Camille Vadin (30/1, URT).
Aujourd’hui, 9 h 30 et 15 heures : demi-finales dames ; 16 h 30 : demi-finales messieurs. Demain, 14 h 30 : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.
Jeudi vers 19 h 45, une rame du tramway est entrée en collision avec une voiture, avenue du Président-Kennedy. Seuls des dégâts matériels ont été déplorés (sur l’auto principalement).
Ce même soir à 19 heures, une dame de 46 ans a été légèrement blessée lors d’un accrochage entre deux voitures rue de Bezannes.
Hier vers 10 h 30, une automobile a échappé au contrôle de sa conductrice sur la RD26, près du carrefour de la RD944 à Courcy. La voiture s’est immobilisée dans un champ, sans trop de dommage pour son occupante.
Hier vers 2 h 45, une Renault Laguna a pris feu rue Denis-Papin. À la même heure, mais à l’autre bout de la ville, un Renault Espace a lui aussi brûlé rue jean-d’Aulan. Ces deux sinistres sont suspects, contrairement au débit d’incendie qui s’est déclaré jeudi à 20h 30 dans le moteur d’une voiture à Beaumont-sur-Vesle. Son propriétaire s’apprêtait à rentrer chez lui, rue Saint-Vincent, lorsqu’une odeur de brûlé l’a alerté. Les pompiers ont étouffé l’incendie dans neuf.
Toujours jeudi, à 19 h 40, une poubelle a brûlé rue Pierre-Mougne à Reims. Vers 22 h 30, des papiers ont été incendiés dans une bouche d’égout du boulevard Foch tandis qu’à 4 h 30 hier matin, des détritus ont pris feu boulevard des Phéniciens.
Exposition - Musée des Beaux-Arts : Le graff fait son entrée au musée
Graff de Rémi Mercier inspiré de l’oeuvre "Les Grands chemins traversent le jardin du géomètre" de Michel Seuphor.
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Le musée des Beaux-arts de Reims accueille du 18 au 24 juin des oeuvres de graff réalisées par des jeunes dans le cadre d’ateliers de création menés à la Maison de Quartier Croix-Rouge. Quatre grands formats et une douzaine de formats plus petits sont exposés au sein de l’accueil du musée et dans la salle dédiée au XXe siècle. Avec cette exposition, le projet "cultures urbaines" porté par les Maisons de Quartier rémoises place le graff, un art urbain émergent, dans un lieu académique et lui donne ainsi une résonance particulière. C’est l’aboutissement d’une série d’ateliers qui visaient la transmission du savoir-faire d’une équipe de jeunes graffeurs expérimentés à d’autres jeunes débutants. Agés de 17 à 28 ans, Rémi Mercier, Samuel Huynh (Eskinter), Corentin Spodymek (Wipe) et Félix Terrien (Ponk) pratiquent le graff depuis une dizaine d’années. Ils ont participé au projet avec des groupes de jeunes de 10 à 17 ans. Najime Hocini, graffeur professionnel, a pu associer à sa pratique créative et encadrer les différents groupes de travail avec l’équipe d’animation des ateliers d’art graphique de la maison de quartier. Leurs travaux ont été nourris par la découverte des oeuvres du musée des Beaux-Arts. Une visite interactive en juin 2011 et une exposition à la médiathèque Croix-Rouge de janvier à mars 2012 ont permis aux jeunes artistes de découvrir des oeuvres de Bourdon, Marcoussis, Shmied ou Seuphor et de s’en inspirer dans leurs créations. Le résultat est directement visible en salle XXe du musée où deux créations graff sont présentées en vis-à-vis de l’oeuvre qui les a inspirées.
Marie-Elise Poittevin
Musée des Beaux-Arts, 8 rue Chanzy à Reims. Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10h à 12h et 14h à 18h. Entrée payante.
Avec l’envolée du prix de l’or, certains voleurs à l’arraché préfèrent maintenant cibler les bijoux des passantes plutôt que leurs traditionnels sacs à main.
Mercredi midi, l’un de ces malfrats a sévi sur l’esplanade Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Il s’est attaqué à une retraitée de 76 ans en lui arrachant son collier. La dame est tombée à la renverse, heurtant avec sa tête les escaliers de l’esplanade, tandis que l’agresseur s’enfuyait à pied avec son butin. Il n’a pu être retrouvé.
Blessée, la septuagénaire a dû être évacuée en ambulance au centre hospitalier. Les services de police enquêtent activement, d’autant qu’une série de vols à l’arraché est actuellement en cours à Croix-Rouge.
Il ne s’agit pas du seul quartier concerné par les « arracheurs de colliers ». Du 30 mai au 8 juin, deux Rémois de 17 et 18 ans ont fait une dizaine de victimes dans les rues des quartiers des Châtillons et de Saint-Remi.
Se déplaçant en voiture, l’un des individus restait au volant tandis que l’autre jaillissait sur les passantes, d’un certain âge pour la plupart.
Interpellés lors d’une surveillance, ils ont été mis en examen et écroués.
Mercredi, vers 20h30, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré place Maurice Utrillo.
Avis est donné de la constitution de la S.A.S. suivante :
Dénomination : KYNGK ELECTRICITE - Capital social : 2 000 euros,
Siège social : 9, rue André-Pingat 51065 Reims Cedex,
Objet : le conseil, la conception et les réalisations de travaux d’installation électrique dans tous les locaux,
Durée : 99 ans,
Président : NDIAYE Ali demeurant 16, espace Paul-Cézanne, 51100 Reims.
Condition d’admission aux assemblées d’actionnaire et d’exercice du droit de vote : chaque action donne droit au vote et à la représentation dans les consultations collectives ou assemblées générales.
Clause particulière pour cession d’actions : soumise à l’agrément préalable de la collectivité des associés.
Immatriculation au R.C.S. de Reims.
Jardins du cryptoportique : soirée Pôle musique avec quatre concerts à partir de 19 heures. Avec Modern times (groupe rémois de pop), Kerjostyle and The Mothafonk (hip-hop), Amphetamin (post-rock), Olivier Marais (chanson d’humeur) Aido Music System (rock)
Place Brouette (quartier Jean-Jaurès) : à partir de 19 h 30, La villa Ginette (groupe rémois chanson/swing/hip-hop) ; Night Rate (le retour d’un ancien groupe des années quatre-vingts).
Place Saint-Thomas (faubourg de Laon) : à partir de 20 h 30, Eddy Louis (chanson française-rock).
Place Museux (quartier Saint-Remi) : à partir de 18 heures, concert d’une formation à vent de 60 musiciens issus de trois orchestres de jeunes musiciens avec l’orchestre à vent 2e cycle du Conservatoire de Reims, l’orchestre 2e cycle de l’école de l’Harmonie de Reims et celui de l’école de l’Harmonie de Witry-lès-Reims. Ensuite concert de l’Harmonie du 3e canton de Reims.
Théâtre de verdure allée Sébastien Bach (quartier Wilson) : de 18 à 22 heures, Radio Jeunes Reims anime un podium destiné à valoriser les talents du quartier et les préprofessionnels de Reims avec une approche très variée du hip-hop.
Espace Louise-Michel : concert des amateurs des studios son des maisons de quartier Wilson et Maison-Blanche. Plusieurs autres concerts suivront avec Contrast, groupe de quatre jeunes rappeurs rémois (Kamer, Dave-K, Black Sheep, et Prométhée) ; Samir (artiste rémois) ; B.E.S (hip-hop, rap et RnB) ; Kam’rod (artiste rémois).
2e partie avec des groupes en voie de professionnalisation issus des quartiers : Musica Lova (collectif de cinq artistes - Park Dem, Arkor, Krapule, Lil’jack, Kapich et Arkor) ; Architect Music Produxion avec les rappeurs Precept et Trakeur ; Black Industrie (avec Démi, A.R.D. et Oméga, jeune crew prometteur.
3e partie avec Suluk (groupe rémois de trip-hop oriental).
Place Jules-Lobet (centre-ville) : à partir de 19 heures (à proximité du cours Langlet et de la rue Thiers), la chorale rémoise Tutt’i Canti (traditionnel) sous la direction de Marjolaine Fagot ; les Citrons bleus (gospel).
Cour du Palais du Tau : à partir de 19 heures, la chorale Cantabile dirigée par Daniel Suisse (traditionnel) ; Les Mâles de Mer (chants marins).
Conservatoire : musique en mouvement de 18 h 30 à 20 h 30.
Dans le tramway : prestation de la formation Nous, on attend Paulette. Avec des arrêts musicaux d’une vingtaine de minutes à la médiathèque Croix-Rouge, place Franchet-d’Espérey, au parvis de la gare Reims centre et place Saint-Thomas.
Le Temps des Cerises (rue de la Cerisaie) : à partir de 19 heures sous chapiteau, Les Luciennes (chanson française), Beyond Assfard (folk blues chamanique), Le cercle des Mallissimalistes (art malissimal) et Bau-Men (post-punk).. Bœuf.
Appart café (avenue de Laon) : à partir de 20 heures, Giraffe in flames, nouveau groupe rémois de pop rock ; Hamstéroïdes ; Diskorde et Tucket.
Place de la République (centre-ville) : concert de Tree Kong Donc en premier partie et, en seconde partie, dj Gregdainon (électro/clubin).
Place de l’Hôtel de Ville : à partir de 17 h 30, concert de musique et chants du monde (Altaï, Cuba, Macédoine) puis, concert de l’Harmonie du 3e canton suivi, à 20 h 45, du spectacle d’ouverture du festival des Sacres du folklore organisé par Les Jolivettes (Altaï, Cuba, Champagne, Macédoine et Malaisie). Le groupe Arrière-pays clôturera la soirée avec le traditionnel bal folk à 23 heures.
Les tribunes ultra-modernes verront le jour en 2014, un énorme plus pour le pôle régional de l’Est des courses.
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Toujours aussi jovial et disponible, Jackson Richardson a signé nombre d’autographes hier à Reims.
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REIMS (Marne) Annoncé à Bezannes puis à la BA 112, l’hippodrome restera finalement à Croix-Rouge, avec des tribunes reconstruites pour 2014.
VOILA dix ans qu’il est président, dix ans qu’il y travaille ! Facile d’imaginer la joie de Gilles Jeziorski, président de la société de courses de Reims, hier midi, lorsqu’Adeline Hazan a confirmé l’accord entre la Ville et la société, pour le renouveau de l’hippodrome.
Le bail emphytéotique qui liait la municipalité, propriétaire des lieux, jusqu’en 2017, a donc été resigné pour de longues années. « Nous restons donc sur ce site de Croix-Rouge, et nous allons investir trois millions d’euros pour la reconstruction des tribunes. »
Les travaux devraient démarrer au deuxième semestre 2013, et courront jusqu’en 2014. « L’hippodrome devrait délocaliser ses courses seulement de septembre à novembre 2013 », note le président. Dans le calendrier prévu souvent longtemps à l’avance, le Quinté couru à Reims serait avancé au mois de mai, avec un échange avec La Capelle. Entre juin et novembre, les épreuves devraient être programmées à Nancy, Strasbourg (pour les « premium »), à Châlons-en-Champagne et Montier-en-Der pour celles à enjeux PMH (paris sur l’hippodrome).
« Tout était devenu obsolète, et rien n’était aux normes, notamment au niveau de l’accessibilité. Nous n’avions fait que des travaux de rafistolage. » Il est vrai que déjà sous la mandature de Jean-Louis Schneiter, le déménagement de l’hippodrome était déjà évoqué. Il devait aller sur le territoire de Bezannes. Gilles Jeziorski lui-même avait souhaité ce transfert, en juin 2008.
« Les choses ont changé, car la crise est là, les finances publiques et privées ne sont évidemment plus les mêmes. Alors, entre un hippodrome neuf à 15 millions d’euros et des tribunes neuves à 3 millions, le choix a été vite fait. » Surtout que l’hippodrome de Croix-Rouge bénéficie d’une excellente piste, d’un très bon éclairage, et est évidemment très bien situé, notamment avec le tramway juste à côté.
Mais l’hypothèse d’un déménagement avait été relancée lors de l’annonce par l’Etat de l’abandon de la BA 112. La cité du sport et du cheval avait même été l’un des dossiers présentés au comité de site, incluant un nouvel hippodrome. Mais quand on voit la lenteur de l’avancement du projet du Stade de Reims, pourtant rapide à mettre en place, et qui ne coûtera pas grand-chose aux collectivités locales, la société de courses rémoise peut se féliciter d’avoir trouvé cet accord qui lui permet de prendre un nouveau départ à Croix-Rouge.
Au grand dam de certains, puisque des élus, Michel Guillaudeau surtout, espéraient bien que cet espace puisse être récupéré pour la construction de 900 logements, d’une zone artisanale…
Les chevaux et les jockeys vont garder leur « pré » finalement, avec un confort certain à la fois pour les spectateurs, les utilisateurs… Il y aura un restaurant de 150 places, qui pourrait d’ailleurs être ouvert pourquoi pas aux voisins étudiants, et l’hippodrome sera ouvert plus facilement aux habitants du quartier. Tout bonus pour Croix-Rouge… et Reims !
Guillaume FLATET
Avant l’hippodrome, c’était un aérodrome sanitaire proche de l’hôpital Maison-Blanche. En 1952, 15 000 Rémois ont assisté à l’inauguration de cette enceinte qui compte deux pistes, dont une cendrée, très rare à l’époque, et paraît-il aussi rapide que celle de Milan !
La société des courses est alors présidée par le prince Louis de Polignac. La Ville a prêté 8 millions, mais le maire, Roger Jardelle, assure que cela ne coûtera rien au contribuable. Un autre prince viendra quatre ans plus tard, Ali Khan, mais pour courir.
C’est en 1976 que l’hippodrome rémois change de look, avec un tunnel creusé sous les pistes, et des tribunes couvertes en 1982 (selon « 50 ans de vie rémoise », d’Alain Moyat, aux éditions Fradet).
Mais il fallait une grande rénovation, ce sera donc une reconstruction, et une grande baie vitrée permettra aux parieurs de jouer tout en regardant les courses, ce qui n’est pas possible actuellement.
La Ville est propriétaire du terrain, et l’accord conclu avec la société des courses comprend un aménagement des environs de l’hippodrome, avec même peut-être une rétrocession de terrain pour le quartier.
Il y avait du monde pour les trente ans du Grand national du trot hier à Reims (voir en page courses). Et les organisateurs avaient invité une sacrée vedette, en la personne de Jackson Richardson, le fabuleux joueur de handball, multiple champion planétaire.
« Alors Lucas, tu as joué, tu as gagné ? » Non, a répondu le jeune garçon, impressionné par cet athlète qui a non seulement accumulé les médailles, mais a toujours fait preuve d’un esprit sportif remarquable.
Il est l’une des stars, avec notamment le nageur Camille Lacour et l’ex footballeur Jean-Pierre Papin, à participer ainsi aux animations lors des réunions GNT du PMU.
« C’est pour mes élèves de CM2 » ; « Moi, c’est pour un vieux handballeur, qui a commencé à l’Assu ! » L’ancien nom des associations sportives de collège, NDLR.
Ensuite, pour Céline, Jackson fera un sourire, puis un autre : « Allez, souris ! », lance-t-il à la jeune fille intimidée. A une autre plus jeune, il lui demandera en quelle classe elle est, et la félicitera pour son passage en 6e. « Moi, je voudrais deux dédicaces, une pour une joueuse, Valérie, et l’autre, c’est pour Elodie, elle est arbitre. » « Pas de chance », lui répond, avec plein d’humour, Jackson Richardson. Les « Bravo pour votre carrière » s’enchaînent, avec aussi un « Je cherche un tuyau pour la prochaine course ! »
Après avoir assisté au déjeuner officiel, à quelques courses et à cette séance de dédicaces, le champion est reparti vers Paris, pour d’autres aventures, et notamment le commentaire des JO à la télé.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS N° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, 51000 Reims.
Objet : Marché mixte d’entretien et de travaux de 477 ascenseurs (+/- 5%) - Départements 51, 52 et 91 / MA-100612
Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005
Le marché est composé de 5 lots :
Lot 1 - Secteurs Reims Châtillons et Croix du Sud (130 appareils)
Lot 2 - Secteur Reims Centre (130 appareils)
Lot 3 - Secteurs Reims avenue de Laon et Tinqueux (133 appareils)
Lot 4 - Secteurs Châlons en Champagne, Saint Dizier, Sézanne et Vitry le François (58 appareils)
Lot 5 - Secteur Région Parisienne (26 appareils)
Délai d’exécution : 12 mois pour les lots 1/2/3/4 avec possibilité de 2 reconductions de 2 ans et 12 mois pour le lot 5 avec possibilité de 3 reconductions de 1 an.
Retrait du dossier : Le dossier est disponible gratuitement en téléchargement sur notre site : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr / Réf. : MA-100612
Date limite de réception des offres : Vendredi 7 Septembre 2012 à 12 heures, par envoi ou dépôt à L’Effort Rémois, Service Marchés, 7 rue Marie Stuart à Reims, avant la date limite de réception.
Renseignements techniques : Service Maintenance Mr Maillard 03.26.04.98.35 ou 06.10.76.26.23
Renseignements administratifs : Service Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33
Date d’envoi à la publication le 14 juin 2012 aux JOUE et JAL L’UNION (Marne).
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En marge des championnats de Champagne-Ardenne individuels 2e série, qui ont focalisé toutes les attentions, la compétition des 3e et 4e série a délivré son palmarès au Centre de Ligue à Reims. Malgré trois finalistes, le Comité des Ardennes n’a empoché aucun titre.
« J’étais très fatiguée de mon match du matin, où j’ai joué deux heures et demi, explique ainsi Emelyne Barré (15, ASPTT Charleville-Mézières), dominée par Marine Jumelet (15/1, Vitry) en 3e série. C’est ce qui a fait la différence, car je ne suis pas habituée à disputer deux matches en une journée. »
Tout comme Alexandre Aernout (15/1, Nouzonville), vaincu par Guillaume Roger (15/1, Géo-André Reims) en 3e série, Frédéric Brau (15/5, Poix-Terron) est déçu de sa défaite contre Rodolphe Tonnel (30/1, Taissy) en 4e série : « J’ai laissé passer ma chance. J’avais le match en main en menant 6-3, 3-1, mais mon adversaire a su s’accrocher. Après, ce fut dur physiquement et il a mérité sa victoire ».
MARNE. Les « 51 » n’ont laissé que des miettes à leurs rivaux. Ils seront majoritaires à Roland-Garros.
EN marge des championnats de Ligue individuels 2e séries, ceux des 3e et 4e séries ont également délivré leurs palmarès au Centre de Ligue de Reims. A noter que sur quatre titres, la Marne en a raflé trois !
Ainsi, en Espérance (3e série), les Marnais Guillaume Roger (15/1, Géo-André) et Marine Jumelet (15/1, Vitry) ont décroché leur billet pour Roland-Garros face à des Ardennais, Alexandre Aernout (15/1, Nouzonville) et Emelyne Barré (15, ASPTT Charleville) quelque peu émoussés physiquement par leur demi-finale matinale à rallonge.
En Omnium (4e série), l’ancien footeux Rodolphe Tonnel (30/1, Taissy) a démontré ses capacités à ne rien lâcher contre le favori ardennais Frédéric Brau (15/5, Poix-Terron). Enfin, l’Auboise Anne Gazeau (15/5, Espérance Nogent) a confirmé sa progression - 30/5 en début de saison et rectifiée 30/1 puis 15/5 aux intermédiaires ! - en dominant nettement la Troyenne Marie Jolly (30/1) au stade ultime.
CLÉMENCE KRUG RÉTABLIE. - Lors de la remise des prix, le président de la Ligue, Roger Moreaux, a tenu a rétablir la sociétaire du Reims Europe Club, Clémence Krug, à sa place de finaliste lors des championnats de Champagne des jeunes en catégories des 15/16 ans.
MESSIEURS
Demi-finales : Roger (15/1, Géo-André) bat Folope (15/2, Essoyes) 7-6 (7/4), 6-0 ; Aernout (15/1, Nouzonville) bat Houard (15/2, La Rivière-de-Corps) 6-4, 0-6, 6-4. Finale : Roger bat Aernout 6-4, 6-2.
DAMES
Demi-finales : Marine Jumelet (15/1, Vitry) bat Cécile Guénard (15/1, TC Troyes) 6-4, 6-1 ; Emelyne Barré (15, ASPTT Charleville) bat Marie Pithois (15/1, URT) 3-6, 6-1, 7-6 (7/4). Finale : Marine Jumelet bat Emelyne Barré 6-3, 6-0.
Demi-finales : Tonnel (30/1, Taissy) bat Nicolas (30/2, Bar-sur-Aube) 6-1, 6-4 ; Brau (15/5, Poix Terron) bat Drouin (30/2, Foyer Barséquanais) 6-3, 6-0. Finale : Tonnel bat Brau 2-6, 6-3, 7-5.
Demi-finales : Marie Jolly (30/1, TC Troyes) bat Marie Leclef (30/1, TC Pirisien) 6-2, 6-1 ; Anne Gazeau (15/5, Espérance Nogent) bat Anne Brissart (30/1, Nouzonville) 6-3, 6-0. Finale : Anne Gazeau bat Marie Jolly 6-3, 6-1.
Numéro 7451 du 18 au 24 juin 2012.
CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF
Par jugement du 12/06/2012, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : A.I.D. - Nom commercial : ARCHITECTURE INTERIEUR DESIGN (SARL), 41 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS. Activité : Bureau d’études en architecture intérieure création de mobilier, et de manière accessoire, l’extension ou la création de bâtiments. R.C.S. REIMS : B 395 348 089, pour le Greffe 94 B 263.
106484
Le Greffier : B. DELPY.
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Engagé dans le programme Eclair, le collège Joliot-Curie propose à l’ensemble des élèves une immersion linguistique. L’anglais, l’espagnol et l’allemand sont parlées hors de la classe à l’occasion de différentes activités planifiées sur l’année scolaire.
Après la journée des langues et la célébration de Noël, les élèves de 5e sont partis pour une journée à Canterbury en Angleterre et ont visité la cathédrale et le Canterbury Heritage Museum ; un travail conjoint entre l’histoire géographie et l’anglais a été mené en amont.
Les élèves de 5e ont pu se mettre dans la peau d’un ambulancier, d’un soldat de la Première Guerre mondiale ou une femme de l’époque Tudor lors de la visite du musée. Ils ont également découvert les décorations pour le Jubilée de la reine Elisabeth II et pour les Jeux Olympiques qui auront lieu cet été en Angleterre.
Une journée bien ensoleillée qui a permis aux élèves d’aller à la rencontre des Anglais et de mettre en pratique leurs compétences dans la maîtrise de la langue à l’occasion d’un rallye dans la vieille ville et lors d’un temps libre.
A noter qu’en amont de la sortie, les élèves ont participé activement à l’équilibre budgétaire en proposant des objets à la vente.
Quant aux 4e et 3e, ils sont allés voir « Frankenstein Follies » au théâtre du Chemin-Vert à Reims. Une comédie musicale en anglais adaptée par la compagnie OZ. Ils en sont ressortis conquis.
La dernière impro où mère et fille en étaient presque à se crêper le chignon a beaucoup intrigué.
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« Ailleurs », ou plutôt pas loin, sur le parking d’Intermarché, les élèves de l’Irts de Reims ont réussi, avec panache, à passer entre les gouttes, et présenté une succession d’improbables saynètes, dans une sympathique mise en scène mitonnée par Guillaume Laurent, directeur artistique de la compagnie des Mangeurs de Cercle.
La représentation a démarré avec une déambulation sur échasse d’un petit groupe, pas morts et bel et bien vivants, façon « Thriller », avec des béquilles !
Puis, vint un couple de technicien complètement déjanté, barrer la route et mettre en place un périmètre de sécurité autour du triangle des Bermudes déplacé spécialement pour l’occasion à la Bouverie ! Loin d’être au bout du rouleau, ils ont même été jusqu’à enrubanner une passante !
L’ordre est rapidement revenu avec une brigade de choc, alignant les passants et les conducteurs pour toutes sortes d’infractions aussi saugrenues les unes que les autres : caddies mal garés, créneau mal négocié, décoration intérieure d’automobile en vraie fausse peau de vache inappropriée…
Enfin, les échanges bluffant parce que pas forcément si irréalistes que ça, entre une fille et sa mère, la première poussant un landau aux roues fort capricieuses, ajoutant au burlesque de la situation, sans parler du bébé, Jason, joué magistralement par une poupée désarticulée.
Un spectacle qui a suscité parfois de drôles de réactions, mais dans l’ensemble qui a bien amusé les spectateurs et surtout les enfants.
Et voilà, snif, le rideau est tombé sur la dix-septième édition du festival des arts de la rue Contrebande. Rendez-vous pour les 18 ans, l’an prochain !
Située dans le quartier Croix-Rouge, l’avenue Bonaparte est connue des autorités judiciaires pour être un lieu de transaction de produits stupéfiants. La drogue y change de mains dans les halls ou les caves de ces grands immeubles occupés par des locataires qui n’ont d’autres solutions que de laisser faire pour éviter les ennuis.
La police, elle, est bien décidée à perturber le business des dealers. La semaine dernière, lors d’une surveillance exercée en début d’après-midi, la brigade anticriminalité a ainsi repéré un attroupement suspect dans le hall d’entrée du 7, avenue Bonaparte.
Visages dissimulés, deux individus semblaient s’adonner au trafic de stupéfiants. Ils n’avaient pas la conscience tranquille car dès l’irruption des policiers, les deux personnages ont pris leurs jambes à leur cou.
Une course-poursuite s’est engagée dans les immeubles. De couloirs en escaliers, les policiers ont finalement rattrapé une personne cachée dans un local technique au 12e étage.
Au moment de l’arrêter, ils ont découvert par terre une sacoche se révélant contenir vingt doses de cocaïne prêtes à la revente (poids total : seize grammes). D’après les policiers, cette sacoche venait d’être jetée par le suspect.
Placé en garde à vue, celui-ci a contesté toute participation à un éventuel trafic de stupéfiants. Il affirme ne pas être l’un des deux individus poursuivis. Quant à la sacoche, sa présence à côté de lui résulterait d’une malheureuse coïncidence.
Sur décision du parquet, Karim Ferri, 19 ans, a cependant fait l’objet d’une comparution immédiate. Poursuivi pour la détention des 16 grammes de cocaïne, il a été écroué dans l’attente de son procès renvoyé au 9 juillet, à sa demande, pour lui permettre de préparer sa défense.
F.C.
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Thibaut Visy et Marie Menacer ont enrichi leur palmarès hier sur les courts rémois du Centre de Ligue. Bernard SIVADE
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Le millésime 2012 des championnats de Champagne individuels 2e série a été marqué par le premier sacre de Thibaut Visy et la conservation du titre féminin de Marie Menacer.
SI la logique sportive a été respectée sur les courts du Centre de Ligue aux Thiolettes, ces championnats ont néanmoins innové chez les messieurs avec le premier titre de Thibaut Visy (- 2/6, Cormontreuil) et l’absence en finale pour la première fois depuis 17 ans de Sébastien Jolly (- 2/6, Cormontreuil).
Pensionnaire de l’Université de San Diego où il évolue en D1 tout en réalisant un Bachelor de finances, Visy a confirmé sa solidité dans une rencontre quelque peu tendue.
« J’ai été beaucoup plus relâché dans le deuxième set ce qui m’a permis de rentrer des points », expliquait Robert. Certes, mais il devait s’incliner au jeu décisif face à la puissance de son partenaire. De quoi satisfaire Visy qui décrochait son billet pour Roland-Garros : « Je connais bien Jean-Charles, je sais qu’il a un très bon coup droit. J’ai donc cherché à être agressif côté revers et à conclure au filet ».
En l’absence des blessées Servane Delobelle (1/6, Géo-André) et Charline Braidy (- 2/6, Cormontreuil), la finale féminine a opposé les favorites Marie Menacer (- 4/6, Reims Europe Club) et Claire Makhloufi (- 2/6, Géo-André). Fatiguée de sa demie matinale et souffrant de maux de ventre, la pensionnaire de Géo s’adjugeait toutefois la première manche (6-4) contre une Européenne se plaignant du bras. « Elle est touchée dans son orgueil. Elle ne va pas vouloir se laisser battre par une petite jeune », annoncait Pheng Xayphengsy à l’entame du deuxième set. Son coach avait vu juste puisque Marie Menacer s’employait à trouver des angles et à limiter les fautes directes. Résultat, l’Ardennaise du REC alignait les jeux pour gagner les deux autres manches 6-0 puis 6-1.
« Ce ne fut pas un match terrible. L’essentiel est d’avoir gagné et d’aller aux championnats de France », concluait Marie Menacer.
Quarts de finale : Jolly (- 2/6, Cormontreuil) bat Grand-veau (4/6,TCTroyes) 6-1, 6-1 ; Robert (0, Cormontreuil) bat Gilles (3/6,TC Reims) 6-0, 6-1 ; Andruejol (0, Cormontreuil) bat Seuret (2/6, Reims Europe Club) 6-1, 7-6 ; Visy (- 2/6, Cormontreuil) bat Lalouette (1/6, Vitry) 6-1, 6-3. Demi-finales : Robert bat Jolly 6-2, 7-6 (7/3) ; Visy bat Andruejol 6-0, 6-3. Finale : Visy bat Robert 6-2, 7-6 (8/6)i
Quarts de finale : Laure Chardin (3/6, Romilly) bat Charline Braidy (- 2/6, Cormontreuil) par WO ; Claire Makhloufi (-2/6, Géo-André) bat Mathilde Jacquin (3/6, Saint-Memmie) 6-2, 6-3 ; Audrey Sarrazyn (5/6,TC Reims) bat Servane Delobelle (1/6, Géo-André) par WO ; Marie Menacer (- 4/6, Reims Europe Club) bat Claire Duter (3/6, Sedan) 6-1, 6-1. Demi-finales : Claire Makhloufi bat Laure Chardin 6-2, 4-6, 6-0 ; Marie Menacer bat Audrey Sarrazyn 6-0, 6-1. Finale : Marie Menacer bat Claire Makhloufi 4-6, 6-0, -6-1.
Deux voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de samedi à dimanche, à seulement quelques minutes d’intervalle.
Les pompiers ont d’abord été appelés à 22 h 50 pour l’incendie d’une Peugeot 207 avenue du 132e R.I., au quartier du Chemin-Vert.
Trois minutes plus tard, nouvel appel pour un feu de véhicule à Croix-Rouge, allée des Bourguignons. L’incendie y a détruit un 4x4 Aro. Peu après minuit, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré place des Argonautes. Il a entraîné une panne de courant (et l’arrêt d’un ascenseur).
Tous ces sinistres sont d’origine indéterminée.
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C h a q u e d é b u t d’été, le q u a r t i e r C r o i x -Rouge de Reims accueille un i m m e n s e c o n c e r t gratuit sur le parking de l’hippodrome.
Cette année, rendez-vous est donné le vendredi 29 juin à partir de 20 heures pour une soirée orientée vers les musiques du monde avec, en tête d’affiche, l’Orchestre national de Barbès.
Auparavant le groupe rémois Afrokan Muzik Ensemble se produira dans une ambiance de folklore et tubes africains.
Suivra sur scène Cheba Nadia pour du raï traditionnel algérien puis Cheb Redwane dans divers styles de raï.
En clôture de cette soirée, les treize membres de l’Orchestre national de Barbès investiront l’espace pour interpréter des standards traditionnels raï sur des musiques aux influences métissées (jazz, rock, chanson française, reggae, ska…).
Les championnats régionaux ont débuté, hier, au Centre de Ligue, à Reims. En 2e série, Claire Makhloufi (Géo-André) s’est logiquement qualifiée en battant Mathilde Jacquin (Saint-Memmie). En demi-finale, ce matin, à partir de 10 h 30, elle affrontera Laure Chardin (Romilly).
Dans l’autre partie du tableau, Marie Menacer (Reims Europe) a dominé Claire Duter (Sedan) 6-1 - 6-1 et sera confrontée à Audrey Sarrazin (TC Reims).
Chez les garçons, Sébastien Joly (Cormontreuil) et Jean-Charles Robert (Cormontreuil) se retrouveront en demie après leurs victoires respectives contre François Gland-veau (Troyes) et Charles Gilles (TC Reims). Dans l’autre demie, Thibaut Visy (Cormontreuil), vainqueur d’Arnaud Lalouette (Vitry), affrontera Gabriel Andruejol (Saint-Dizier).
Les finales auront lieu en même temps cet après-midi, à partir de 15 heures (13 h 30 pour les 3e et 4e séries).
Malgré la pluie, deux voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de vendredi à samedi.
La première est une Renault stationnée sur un parking de l’allée des Provençaux à Croix-Rouge. Elle est partie en fumée vers 23h 45. D’origine indéterminée, mais néanmoins suspecte, le sinistre a endommagé un 4x4 par propagation.
Vers 3 heures, c’est une Ford Sierra qui s’est embrasée rue de Solferino, dans le quartier Chalet/Tunisie. REIMS / Précisions
On en sait un peu plus sur un vol avec violence commis mercredi après-midi dans le tramway de Reims, au préjudice d’un garçon de 16 ans pris à partie par cinq autres adolescents alors qu’il se trouvait à la gare Franchet-d’Espérey.
Sous la menace, le groupe l’a dépouillé de son blouson et de son téléphone portable avant de repartir à bord de la rame.
Grâce au signalement, la police a retrouvé l’un des agresseurs avenue de Laon. Difficile pour lui de nier toute participation à l’affaire : le blouson qu’il portait était celui de la victime !
Âgé de 17 ans, il était accompagné de son frère de 15 ans interpellé le lendemain par les enquêteurs. Les trois autres comparses restent à identifier. Quant au téléphone portable, il n’a pas été retrouvé.
Les deux frères ont été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants.
Les nuits se suivent et se ressemblent rue Pierre-Taittinger, au coeur du quartier Croix-Rouge. En effet, dans le sous-sol du numéro 41 de cette rue, le local vide-ordures a été mis à feu volontairement. Comme la nuit précédente, d’importantes fumées se sont dégagées mais le sinistre n’a nécessité aucune évacuation de personnes. Les soldats du feu sont restés un longtemps sur place pour effectuer une imposante ventilation.
Plusieurs gamins ont pris pour cible un autre adolescent, à hauteur de la gare Franchet-d’Esperet. Ce jeune homme a été dépouillé de son blouson et de son téléphone portable. Les menaces ont duré un moment avant que les deux jeunes agresseurs se fassent interpeller. Ils comparaîtront devant le tribunal pour enfants.
Les championnats vont déménager du Creps au Centre de Ligue mais la logique voudrait que Sébastien Jolly retrouve son rang de n° 1 régional.
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Le tableau féminin a souffert. Le titre devrait se jouer entre Marie Menacer et Claire Makhloufi. Chez les garçons, Sébastien Jolly reste incontournable.
LE championnat régional des 2e série - avec les billets qu’il délivre pour les France à Roland-Garros - aurait pu être un temps fort de la saison, ce week-end au Centre de Ligue, aux Thiolettes.
Hélas, les blessures sont passées par là. Finaliste malheureuse devant Marie Menacer l’an dernier, Charline Braidy (Cormontreuil TC) a mis un peu le tennis de côté. Elle en a profité pour soigner une douleur à l’épaule droite qui la taraudait depuis quelques années : « J’ai été opérée il y a trois semaines. Je vais reprendre en octobre mais je ne disputerai des tournois qu’à partir de janvier ».
Servane Delobelle, qui avait un rôle d’outsider à jouer, a dû, elle aussi, déclarer forfait. Déjà affaiblie par une mononucléose, la diplômée de Géo-André souffre d’une déchirure à la limite du claquage à l’ischio gauche.
Au milieu de ce bulletin médical, il y a au moins une bonne nouvelle. A l’arrêt aussi après une blessure musculaire, Claire Makhloufi a repris l’entraînement à temps, lundi, et pourra effectuer sa rentrée.
L’espoir de la Ligue de Champagne et de Géo-André Reims est en lice pour un remake de la demi-finale 2011 perdue (en deux sets) face à une autre Ardennaise de retour au Reims Europe, Marie Menacer. L’intéressée met d’elle-même un bémol : « Je suis déjà contente de rejouer. Pour moi, ce sera du match par match ».
Par rapport à la saison dernière, la Givetoise a pris deux classements (de 1/6 à - 2/6) et a remporté le tournoi cadet de Grenoble. Même si elle risque de ne pas jouer à son meilleur niveau, son comportement sera intéressant à suivre.
D’autant que Marie Menacer (- 4/6) n’est pas au mieux non plus : « Elle a enchaîné les blessures toute la saison. Des problèmes récurrents chez elle. Elle a joué les interclubs mais elle reprendra vraiment pour ces championnats. Après, elle a une quinzaine de tournois prévus », explique son coach, Pheng Xayphengsy.
Le tableau fera une place aux qualifiées du pré-tour : Laure Chardin (Romilly, 3/6), Mathilde Jacquin (Saint-Memmie, 3/6), Aurélie Marchal (Géo-André, 3/6) et Claire Duter (Sedan, 3/6).
Chez les garçons, d’une saison à l’autre, les forces en présence seront les mêmes avec, à - 2/6, Sébastien Jolly, qui a un titre à reprendre, et Thibaut Visy ; et à 0 Jean-Charles Robert et Gabriel Andruejuol. A ce quatuor s’ajouteront les qualifiés du pré-tour : Florent Seuret (Europe, 2/6), Gilles Charles (TC Reims, 3/6) François Grandveau (Troyes, 4/6) et Arnaud Lalouette (Vitry, 5/6). Jean-Pierre PRAULT
Avec trois tournois au programme, la saison estivale débute en fanfare dans le département.
TC SAINT MARTIN SUR LE PRÉ. - Limité à 5/6, le tournoi du TC Saint-Martin-sur-le-Pré a connu des effectifs stables (108 participants) pour sa 20e édition. Chez les messieurs, le titre devrait en toute logique se jouer entre Laurent Guillemart (5/6, Cormontreuil) et le moniteur local Maxime Puberl (5/6, TC Reims). A moins que les 15, Sébastien Choiselat (Marigny-le-Chatel), Corentin Fazilleau (La Vaure) et Fabrice Martin (URT) ne bousculent la hiérarchie. En + 35 ans, Yann Noizet (15/1, Suippes) fait figure de favoris devant les 15/2, Dimitri Andrieu (Saint Memmie) et David Collot (Cormontreuil).
Enfin, du côté des dames, Charlotte Becret (15, URT) devrait dicter sa loi face à Cathy Weber (15/1, ASPTT Châlons) ou Mélissa Noizet (15/2, Cormontreuil).
TC SÉZANNE. - Momunent du tennis sud-marnais, le tournoi du TC Sézanne a également fait le plein pour sa 29e édition avec 105 inscrits. Ouvert jusqu’à 4/6, le tableau masculin aura comme favori Sébastien Doffemont (4/6, Montmirail). Celui-ci devra néanmoins se méfier de son camarade de club Thomas Delaballe (5/6, Montmirail), de l’ancien sociétaire de Géo-André Pierre Laurent (5/6, ASPTT Troyes) voire du jeune et prometteur Corentin Fazilleau (15, La Vaure). En + 35 ans, le titre se disputera à 15/3 entre José Sanchez (Romilly), Claude Jaegle (Bré-sur-Seine), Laurent Montmart (Sézanne) et Thierry Delozanne (La Vaure).
Limité à 15/3, le tableau féminin est moins fourni avec Muriel Sahran (15/5, Montmirail) comme tête de série n° 1 et les Sézannaises Aurélie Fort (30) ou Aude Banasiak (30/1) comme outsiders.
TC GUEUX. - Autrefois ouvert aux 2e séries, le tournoi du TC Gueux est désormais limité à 15/1. Pas de nature à gêner le duo Philippe Gayet - Claude Grimont qui ont bloqué les inscriptions à 215 pour cause de critériums tardifs.
Résultat, le tableau masculin a fière allure avec huit 15/1 sur la ligne de départ : Guillaume Thierus (Sillery), Simon Pierre et Thomas Delarme (Reims Europe Club), Maxime Fourdrinier (Muizon), Paul Benayoun (Géo-André), Thomas Griffon (Gueux), Nicolas Gatti (Cormontreuil) et Jean-Marc Visy (TC Reims). Si de nombreux anciens 2e séries figurent parmi cette liste, un autre ex-glorieux, Laurent Pacanowski (15/2, Gueux), tenant du titre, pourrait bien mettre tout le monde d’accord et réaliser un improbable doublé !
Enfin, chez les dames, la tête de série n° 1 et seule engagée à 15/1 n’est autre que Marie Pithois (URT), la vainqueur de l’an passé. Bien sûr, elle cherchera à garder sa couronne devant la finaliste 2011 Amélie Charpentier (15/2, Betheny) ou Mélissa Noizet (15/2, Cormontreuil).
SAINT-MEMMIE DÉCALÉ. - En raison des conditions climatiques, les finales du tournoi jeunes du TC Saint Memmie ont été déplacées de dimanche à mercredi prochain. Avec 89 jeunes sur huit tableaux, l’épreuve mengeotte est déjà un succès.
Croix-Rouge : déménagement « temporaire » de l’agence de proximité du Foyer Rémois
Les travaux de renouvellement urbain du quartier Pays de France, entrepris par Le Foyer Rémois, avancent à grands pas…
Les échafaudages, qui ont récemment fleuris, notamment sur l’immeuble situé au 1, avenue du Général Bonaparte à Reims, au sein duquel se trouve l’agence de proximité du Foyer Rémois, annoncent de longs mois de travaux qui pourraient éventuellement perturber l’accès des locataires à ce point d’accueil.
Aussi, soucieux d’offrir une qualité d’accueil optimale à ses clients, Le Foyer Rémois a décidé de transférer, dans un premier temps, les locaux de son agence au 10, avenue du Général Bonaparte à Reims.
Ce lieu d’accueil « provisoire » sera ouvert dès le 23 juillet2012.
A noter que les coordonnées et horaires d’ouverture restent inchangés.
Fête de la musique : Le programme de la soirée
…
• Dans le tramway (de 18h30 à 20h30)
Nous on attend Paulette : Ce groupe effectuera des arrêts musicaux d’une vingtaine de minutes : à la médiathèque Croix-Rouge, place Franchet d’Espérey, au parvis de la gare Reims centre et place Saint-Thomas.
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REIMS (Marne). Décidément, il n’est pas toujours facile de travailler dans les immeubles du quartier Croix-Rouge à Reims. Le 16 avril, un électricien s’est fait tabasser par une bande de jeunes après avoir refusé d’installer une troisième prise télé dans un appartement de l’allée des Picards, alors qu’il n’était pas là pour ça. Soupçonné d’avoir activement participé à l’agression, ce qu’il conteste, Mohamed Sahraoui, 29 ans, a été écroué dans l’attente de son procès le 9 juillet (l’union de lundi).
A la même audience comparaîtra Stéphane Guillo, 42 ans, lui aussi écroué après des violences commises dans un immeuble de Croix-Rouge. Jeudi dernier, vers 20 h 30, deux agents de médiation - un homme, une femme - sont intervenus esplanade Eisenhower pour lui demander de déplacer sa moto qu’il avait montée au dixième étage et gênait le passage des gens.
Stéphane Guillo rendait visite à une copine. Il avait bu (1,68 gramme d’alcool par litre de sang). Il aurait insulté et frappé les médiateurs, s’en prenant tout particulièrement à l’homme saisi au col puis projeté à terre et traîné sur quelques mètres.
C’est à la demande du prévenu, déféré en comparution immédiate, que le procès a été renvoyé pour lui permettre de préparer sa défense. Son casier judiciaire est déjà lourd de quatorze condamnations.
F.C.
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Le championnat régional des 2e série - avec les billets qu’il délivre pour les France à Roland-Garros - aurait pu être un temps fort de la saison, ce week-end au Centre de Ligue.
Malheureusement, les blessures sont passées par là. Finaliste malheureuse l’an dernier, Charline Braidy (Cormontreuil TC) a mis un peu le tennis de côté. Elle en a profité pour soigner une douleur à l’épaule droite qui la taraudait depuis quelques années : « J’ai été opérée il y a trois semaines. Je vais reprendre en octobre mais je ne disputerai des tournois qu’à partir de janvier ».
Servane Delobelle, qui avait un rôle d’outsider à jouer, a dû, elle aussi, déclarer forfait. Elle souffre d’une déchirure à la limite du claquage à l’ischio gauche : « Je me suis blessée lors des Interclubs de N2. J’ai ressenti une douleur en servant ».
Au milieu de ce bulletin médical, il y a au moins une bonne nouvelle. A l’arrêt aussi après une blessure musculaire, Claire Makhloufi a repris l’entraînement à temps, lundi, et pourra effectuer sa rentrée.
L’espoir de la Ligue de Champagne et de Géo-André est en lice pour un remake de la demi-finale 2011 perdue (en deux sets) devant une autre Ardennaise, Marie Menacer (qui s’est à nouveau rapprochée du Reims Europe Club). L’intéressée met d’elle-même un bémol : « Je ne me mets pas la pression. Je suis déjà contente de rejouer. Pour moi, ce sera du match par match ».
Par rapport à la saison dernière, la Givetoise a pris deux classements (de 1/6 à - 2/6) et a remporté le tournoi cadets de Grenoble. Même si elle risque de ne pas jouer à son meilleur niveau, le comportement de Claire Makhloufi sera intéressant à suivre.
Le tableau fera une place aux qualifiées du pré-tour : Laure Chardin (Romilly, 3/6), Mathilde Jacquin (Saint-Memmie, 3/6), Aurélie Marchal (Géo-André, 3/6) et Claire Duter (Sedan, 3/6).
Chez les garçons, d’une saison à l’autre, les forces en présence seront les mêmes avec à - 2/6 Sébastien Joly, qui a un titre à reprendre, et Thibaut Visy ; et à 0 Jean-Charles Robert et Gabriel Andrejuol.
A ce quatuor s’ajouteront les qualifiés du pré-tour : Florent Seuret (Europe, 2/6), Gilles Charles (TC Reims, 3/6) François Grandveau (Troyes, 4/6) et Arnaud Lalouette (Vitry, 5/6).
Jean-Pierre PRAULT
CE WEEK-END. - Au Centre de la Ligue à Reims : demain, à partir de 9 heures ; dimanche : demi-finales 2e série vers 10 h 30 ; finales 13 h 30 (F) et 15 heures (H).
On n’est jamais mieux servi que par soi-même ! Vainqueur l’an dernier sur les quick extérieurs, Benjamin Landrieu (4/6, TC Reims) a récidivé lors de ce 24e tournoi d’été. Sur les trois 4/6 en lice à cette « limite », le Marnais avait le « privilège » de jouer une demi-finale facile et surtout pas fatigante tandis qu’ Yvan Ruelle parvenait à ses fins après une sacrée « bourre » tirée avec le Guignicourtois Thibault Deglave…
De fait dans l’après-midi, Landrieu et Ruelle n’étaient pas dans le même état physique mais se rendaient quand même coup pour coup pendant 2 h 45.
L’ancien 0 « bissait » à l’expérience au terme d’une belle et d’un jeu décisif au cordeau (7-2) ! Le voisin de Soissons, qui s’entraîne aux Etats-Unis, progresse dans son jeu.
La finale féminine, inédite, opposait deux outsiders à 15/1. L’ancienne locale et Sedanaise Caroline Berdjugin (15/1) rencontrait la jeune Villeneuvoise Léna Ladjmi. Vainqueur à Bucy « il y a au moins cinq ans », l’œnologue de 28 ans avait du « nez » en gagnant en deux petits sets et en effectuant un retour gagnant… La petite amie du double vainqueur, ancienne 4/6, retiendra forcément ce millésime !
DAMES. - Demi-finales : Caroline Berdjugin (15/1, Bucy-le-Long) bat Inès Goguet (15, Villeneuve-Saint-Germain) 6-2, 6-0 ; Léna Ladjmi (15/1, Villeneuve) bat Lisa-Marie Habert (15, Géo-André Reims) wo. Finale : Caroline Berdjugin bat Léna Ladjmi 6-0, 6-2.
MESSIEURS. - Demi-finales : Landrieu (4/6, TC Reims) bat Pierre (15, GAR) 6-0, 6-2 ; Ruelle (4/6, Soissons) bat Deglave (4/6, Guignicourt) 5-7, 6-2, 6-4. Finale : Landrieu bat Ruelle 7-6, 5-7, 7-6 (7-2). Finale + de 35 ans : Pillin (15/1, Bucy) bat Da Silva (15/2, ASPTT Soissons) 6-0, 6-1. Finale + de 45 ans : C. Juhlès (15/3, Crouy) bat Guillemin (15/5, Vivaise) 6-2, 6-0. Finale double : Soupizon (15)/Lautout (15/1, Villeneuve) battent Mouton (15)/Bertin (15/1, Soissons) 6-4, 6-2.
Les amateurs d’exotisme musical noteront que le grand concert de l’été de Croix-Rouge est cette année programmé le vendredi 29 juin (gratuit, de 20 heures à minuit, parking de l’hippodrome à Reims) avec, en tête d’affiche, l’Orchestre national de Barbès.
Egalement au menu : folklore, tubes africains et créations avec Afrokan Muzik Ensemble, ainsi que du raï avec Cheba Nadia et Cheb Redwane.
La cinquième et dernière journée s’est très mal terminée pour les équipes masculines marnaises qui ont toutes connu les affres de la relégation.
En N3, le Cormontreuil TC a partagé les points en Moselle, à Marly (4-4). Encore une fois, les éléments n’ont pas tourné en faveur des Cormontreuillois qui étaient menés 4-1 à l’issue des simples en raison des défaites inattendues à 0 des - 2/6 Camille Salomon et Thibault Visy. Assurés du maintien, les Lorrains relâchaient la pression et cédaient les doubles.
Vitry prend une rouste
Au même niveau, le TC Vitry a été sévèrement battu à domicile par les Rhodaniens de Chartonnière (6-1). Ayant volontairement choisi de se priver de leurs étrangers pour raisons financières, les Vitryats ont hérité, compte tenu des autres résultats et au match-average, de l’avant-dernière place synonyme de descente. De son côté, le TC Reims n’a rien pu faire contre Bussy (8-0). Comme prévu, les pensionnaires de la rue Lagrive n’auront fait qu’un court passage en N4.
La satisfaction de cet exercice 2012 est donc venue des dames. En N1B, le Reims Europe Club a validé son ticket d’accession en s’imposant logiquement à Kronenbourg (6-2), malgré une incroyable « contre » à 0 de la n° 30 Anja Prislan !
Enfin, en N2, le TC Géo-André, privé de ses leaders, Claire Makhloufi et Servane Delobelle (blessées), a présenté une équipe bien trop tendre à Gueugnon où évolue désormais l’ancienne Carolo, Julie Gervais. Une large défaite (7-1) - à noter toutefois la superbe « perf » à - 4/6 de Jackie Lassaux (1/6) - anecdotique puisque les Rémoises ont renouvelé leur bail dans cette division.
REIMS (Marne). Dans la nuit de mercredi à jeudi vers 23 h 30, les sapeurs-pompiers ont reçu plusieurs appels pour une présence anormale de fumée au 41, rue Pierre-Taittinger dans le quartier Croix-Rouge de Reims. Les sauveteurs ont découvert un feu dans les sous-sols, dans le local vide-ordures de l’immeuble. Le sinistre a été éteint au moyen d’une petite lance et les communs ont été ventilés pour évacuer les fumées en stagnation. Il n’y a pas eu de blessé.
En chorégraphie, les organisateurs ont voulu privilégier le collectif sur la performance individuelle.
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Vendredi dernier, la patinoire Bocquaine était en fête. Le Reims Acrap patinage avait réuni à l’occasion de son traditionnel gala annuel pas moins de 130 patineurs. Le thème de cette année était « Paris sur glace ».
« Cette édition est particulière pour nous. Puisque nous célébrons les dix ans de notre section danse sur glace. Et du point de vue des chorégraphies, on a voulu privilégier le collectif sur la performance individuelle. Les tableaux sont très harmonieux. Chaque patineur a sa place en fonction de son niveau. Quelle joie également d’avoir pu intégrer quelques handicapés des Ateliers de la forêt ! », a confié Jean-Luc Ployé, président du Reims Acrap patinage.
A 14 ans, Renan faisait partie de ces jeunes talents ayant ébloui le public : « J’ai bien aimé faire les peintres, les petits rats de l’opéra. De plus, c’était chouette de voir les rentrées successives des patineurs de différents niveaux. La préparation n’a pas été facile : on a fini une semaine avant le jour J », a-t-il souligné.
En chorégraphie, les organisateurs ont voulu privilégier le collectif sur la performance individuelle.
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La section féminine de football de Reims management school termine sa saison sportive. Celle-ci aura été marquée par une série de qualifications notamment aux finales fustsal national et foot à 7 extérieur. « En effet, tous nos challenges ont été atteints, même si on a fini mal classés. Les filles se sont améliorées sur le plan technique, de l’agressivité et de rapidité dans le jeu. Et ces éléments, nous les avons décelés lors du trophée Ecricom, où elles sont restées invaincues jusqu’en finale », analyse Yannick Cadart, entraîneur.
La seule chose « qu’on peut regretter, c’est le recrutement des joueuses. On a joué avec un effectif qui était très réduit. Mais, avec la détermination, on a réussi à aller très loin. Il régnait une bonne ambiance ; on se soutenait beaucoup dans les moments difficiles. L’année prochaine, il faudra garder cette unité et cette excellente humeur : nous sommes capables d’avoir une grande équipe », insistent Alexandra Pedronno et Emma Dawe-Coz, responsables de la section.
Benoît Guinet, directeur adjoint ; Marc Flamant, trésorier ; Gabriel d’Elloy, secrétaire ; Eric Tournet, directeur général ; et Jean-Pierre Ettel président de l’association des Maisons de quartier de Reims.
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Plus de 150 personnes ont assisté à l’assemblée générale annuelle de l’association des Maisons de quartier qui s’est tenue à la maison de quartier « Les sources ». La première depuis la rénovation de ses statuts.
NOUVEAUX statuts et nouvelle convention d’objectifs : 2012 s’ouvre sur de nombreux chantiers pour l’association des Maisons de quartiers de Reims.
Les plus importants ont été abordés le jeudi 31 mai, lors de son assemblée générale à la maison de quartier « Les sources ». Une réunion à laquelle ont participé plus de cent cinquante personnes, membres des treize maisons que compte la ville.
Ainsi a-t-il été question de la place des habitants dans ces infrastructures : comment les accueillir et les impliquer davantage dans leur fonctionnement ? Mais aussi comment améliorer la coopération entre bénévoles et salariés ? Jean-Pierre Etell, le président de l’association des Maisons de quartier, a d’ailleurs souligné qu’il fallait passer d’une logique de « faire pour » à « faire avec » les habitants, leur donner plus de responsabilités pour qu’ils s’approprient les projets.
Autre point soulevé ce soir-là : la difficulté à communiquer des maisons de quartier.
« Le souci c’est que nous avons beaucoup d’activités. Par exemple de mai à juillet, sur ces trois mois et uniquement dans l’événementiel, nous avons cent manifestations », faisait remarquer Éric Tournet, directeur général de l’association. Il s’agit donc d’améliorer la lisibilité de ces informations en externe. Mais pas seulement : l’association des maisons de quartier entend aussi se pencher sur la communication en interne et créer une cohésion entre les maisons de quartier, « créer de la transversalité » et développer certains projets en commun. À l’image de la récente collaboration entre les maisons de quartiers des Épinettes et de Verrerie, autour des Fêtes johanniques. « Les habitants ont fait des costumes et défilé ensemble. C’était de leur propre initiative. Or, on trouve ça formidable. »
Enfin le bilan financier 2011 et le budget 2012 ont bien évidemment été présentés à ses adhérents. Baisse de la masse salariale, des activités financées dans le cadre de la politique de la ville et compression des charges logistiques dues à la conjoncture économique : si le budget 2011 a stagné voire diminué la gestion drastique des dépenses a permis de conserver une structure financière saine. Néanmoins l’association des Maisons de quartiers de Reims, subventionnée par la Ville et la Caisse d’allocation familiale (Caf) de la Marne, est aujourd’hui en quête de nouvelles sources de financement pour faire face à ses grands travaux.
Lélia BALAIRE
L’association des Maisons de quartier c’est :
12 054 600 € de budget en 2012
349 salariés
7 680 adhérents
45 000 heures de bénévolat soit 24,5 équivalents temps plein
230 associations hébergées
1 650 enfants en multi-accueil et 67 506 en centre de loisirs, 100 jeunes de 11 à 18 ans en futsal et 60 de 8 à 11 ans
140 activités différentes avec 12 800 participants, 83 sorties familiales, 95 spectacles et 9 629 spectateurs
120 événements et 25 691 visiteurs.
35 330 visiteurs sur le site internet.
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Des mauvaises herbes atteignent plus d’un mètre de hauteur. Ici, le cimetière du Nord.
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REIMS (Marne) L’état de trois cimetières de Reims indigne les visiteurs. Face à l’accumulation des plaintes, les élus ont décidé de rehausser le budget consacré à l’entretien.
RACHEL, 78 ans, se rend régulièrement au cimetière du Sud. En rentrant de vacances, il y a un mois, elle ne s’attendait pas à le retrouver dans cet état : mauvaises herbes sur les abords, chardons de plus d’un mètre de hauteur, herbes folles entre les tombes… « Depuis trois semaines, le cimetière est dans un état atroce, s’indigne-t-elle. J’y étais encore ce matin, les poubelles n’étaient même pas vidées. »
Comme elle, les personnes qui fréquentent les cimetières de l’Est, du Sud et du Nord ne décolèrent pas. L’un des employés dit recevoir une vingtaine de plaintes par jour, mettant en cause l’entretien.
La mairie vient enfin de donner raison aux plaignants. Elle renouvelle cette semaine l’appel d’offres du marché de l’entretien de ces lieux de recueillement. L’opération devrait voir doubler la somme allouée à l’Association d’aide aux infirmes moteurs cérébraux de Champagne-Ardenne (AAIMCCA). L’association a obtenu le marché, l’année dernière, en proposant un prix très bas. Trop bas. La direction admet s’être laissée surprendre par la charge de travail et par un mois d’avril très pluvieux.
« Ils ont été défaillants, tranche Raymond Johannesse, conseiller municipal délégué aux espaces verts de Reims, en charge de l’entretien critiqué. Mais nous ne voulons pas employer de boîte privée, afin de favoriser l’insertion par le travail. »
L’AAIMCC devrait sans surprise remporter à nouveau le marché, mais à un prix plus approprié, ce qui devrait permettre à l’association d’investir. Optimiste, celle-ci vient d’ailleurs de signer pour 60 000 € de matériel supplémentaire.
Son vice-président Jean-Pol Pertus reconnaît le mauvais entretien : « Les plaintes sont justifiées, à l’heure actuelle, c’est pour ça que j’ai tiré la sonnette d’alarme, clame-t-il. Notre objectif, c’est de régler le problème avant la fin du mois de juin, avec un retour à la quasi normale. »
Une décision des élus a amplifié le phénomène. Depuis quelques années, la Ville a décidé de ne plus utiliser de produits phytosanitaires ou pesticides pour entretenir ses cimetières. Sur le principe, cette mesure « est une bonne idée, consent Rachel. Mais il faut qu’ils nettoient plus souvent ».
« Sans ces produits, il faut être constamment sur place, déplore M. Pertus. Nous avons dû louer du matériel supplémentaire à des entreprises externes, l’association a perdu une somme considérable. » « L’AAIMCCA ne s’attendait pas à avoir autant de travail, explique le conservateur du cimetière de la Neuvillette, dont les Espaces verts de la Ville de Reims assurent l’entretien. Mais ils travaillent dur et ce sont des gens compétents », ajoute-t-il. Roger Plistat, lui, retraité à Reims, observe un manque d’entretien depuis « plusieurs années ». Il trouve la solution des élus insuffisante : « Il faut mettre plus de moyens humains ». Un autre usager du cimetière du Sud approuve : « On trouve bien de l’argent pour le foot ou le tramway ! »
Gageons que seuls des changements vite visibles feront retomber la colère.
Xavier TERRIEN
Lundi midi, un feu de cuisine provoqué par une friteuse s’est déclaré dans un appartement de l’allée Jacques-Simon.
La cuisine est dégradée, les autres pièces noircies, nécessitant un relogement des occupants (tous indemnes).
Peut-être… lui-même ! En demi-finales, le nouveau licencié du Tennis Club et ancien de Géo-André a battu Simon Pierre (5/6, Europe Reims) en deux manches. Il en a fallu, en revanche, une troisième au Soissonnais Yvan Ruelle (4/6) contre le Guignicourtois Thibault Deglave, au même classement.
Programmé avec une conclusion aujourd’hui, le 24e tournoi bucyquois passe ainsi de 139 inscrit(e)s en 2011 à 117 cette année : « Nous avons moins de filles (en 2e série) car elles jouent en équipe aujourd’hui… », regrettait le président Olivier Ferté.
La finale féminine opposait l’ancienne locale et Sedanaise(15/1), Caroline Berdjugin - sa maman Dominique est vice-présidente - à la Villeneuvoise Léna Ladjmi, également classée à 15/1.
Aujourd’hui, 10 h 30 : finale double messieurs : Soupizon (15) / Lautout (15/1, Villeneuve-Saint-Germain) - Mouton (15) / Bertin (15/1, Soissons) ; demain, 19 h 30 : finales plus de 35 ans et 45 ans messieurs.
Douze mentions à son casier dont deux pour rébellion en état de récidive. Trois sursis révoqués… Julien Vautier, un Rémois d’à peine 20 ans, n’a pas trouvé de meilleure idée que de résister avec violence aux trois fonctionnaires de police venus l’interpeller, dimanche dernier, avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge, afin de le conduire à la maison d’arrêt pour y purger une peine de trois mois ferme.
Pour tenter de faire diversion, il a ameuté tout le quartier en poussant des cris et en incitant les passants à s’opposer à son interpellation.
Mardi, il a été présenté devant le tribunal correctionnel de Reims selon la procédure de comparution immédiate aux côtés de Nacim Ferri, 18 ans, et déjà trois condamnations à son actif, accusé pour sa part d’avoir volontairement dégradé le véhicule des policiers en jetant une pierre et d’avoir commis des violences à l’encontre d’un policier. Mardi, Julien Vautier a demandé un délai pour préparer sa défense. Nacim Ferri, qui nie les faits, voulait être jugé de suite. Ne pouvant disjoindre l’affaire, les deux prévenus ont été maintenus en détention dans l’attente de leur procès renvoyé au 26 juin. C.G.
Les pompiers ont eu plusieurs feux nocturnes à éteindre entre vendredi et samedi à Reims : un peu avant 23 heures dans la rue Henri-Lecompte (secteur Albert-1er), celui d’un banc. Ce sinistre pour le moins suspect (on ne voit pas un banc faire de l’auto-allumage) a donné lieu à une interpellation.
Presque au même moment, c’est une Alfa-Roméo, volée selon les éléments de la police, qui s’enflammait dans la rue Roger-Salengro de Tinqueux ; par propagation, une Mégane était également endommagée.
Peu après une heure du matin samedi, dans l’allée des Bourguignons (Croix-Rouge), une Citroën ZX subissait un sort analogue, et les flammes atteignaient aussi deux autres Renault stationnées à côté.
Autour de trois heures et demie, une poubelle prenait feu à son tour dans la rue de Solférino (secteur Chalet-Tunisie), tandis qu’aux Châtillons, dans la rue Cook, c’était une Mégane, dont les flammes allaient aussi atteindre une Opel voisine.
Vers quatre heures du matin, une ultime poubelle allait clore la série dans l’avenue du Général-Eisenhower (Croix-Rouge).
Hier vers 13 h30, un accident de la circulation s’est produit rue Voltaire. Une automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule après avoir été victime d’un accident vasculaire cérébral. Son état a nécessité l’intervention d’une équipe médicale du Samu et des sapeurs-pompiers.
Vers 17 heures, un accident matériel impliquant une seule voiture s’est produit avenue du Maréchal-Juin.
A 19 heures, un cyclomotoriste s’est blessé en tombant rue des Poissonniers.
Mercredi vers 18 heures, un feu de détritus s’est déclaré allée des Bourguignons.
Avenue du Général-Bonaparte, des silhouettes géantes sont apposées sur certains immeubles.
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Le projet « Souvenirs du futur », à Croix-Rouge, est conduit, au plan artistique, par l’artiste Joseph Téron*. Il est soutenu par l’organisme logeur le Foyer rémois et par la Ville de Reims au titre du CUCS (contrat urbain de cohésion sociale).
C’est Agnès Bégusseau, à la maison de l’enfance, qui a accompagné l’artiste, les habitants et les associations du quartier et porté le projet de la conception à la phase opérationnelle. Dans le cadre de la rénovation urbaine de Croix-Rouge, le Foyer rémois ambitionne en effet de créer une résidence artistique au cœur du quartier, avec comme objectifs une sensibilisation aux travaux artistiques et la réalisation d’une œuvre collective réalisée avec des habitants.
C’est dans cette optique que Joseph Téron a proposé des ateliers aux membres d’associations du quartier. Déjà plus de cinquante participants se sont inscrits, de tous âges : enfants, adultes et seniors. Chaque participant devait dessiner ou peindre sa propre vision de ce que sera le futur proche ou lointain du quartier.
« Ma dernière réalisation, actuellement en cours de production, sera un ensemble de silhouettes agrandies à l’échelle de façades d’immeubles, dans les secteurs en réhabilitation, précise Joseph Téron. Elle témoigne de mon désir de donner à voir toujours plus d’espace en plus grand. » D’ores et déjà, on peut admirer, avenue du Général-Bonaparte, des silhouettes géantes d’habitants apposées sur certains immeubles.
Petit sniff mais grosse condamnation pour un toxicomane rémois interpellé avec 3,5 grammes de cocaïne et d’héroïne.
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REIMS (Marne). La police renforce ses surveillances dans les quartiers, notamment à Croix-Rouge, pour mettre la pression sur les acteurs du trafic de stupéfiants. Pris en flagrant délit, l’un d’eux, récidiviste, a écopé d’un an ferme.
LA lutte contre les stupéfiants est l’une des priorités érigées par le parquet de Reims. « Il convient de redoubler d’efforts à tous les niveaux, du deal de rue aux organisateurs du trafic », avait annoncé le procureur lors de l’audience solennelle de rentrée, en janvier dernier. De fait, la police exerce une surveillance renforcée dans les secteurs réputés pour être des lieux de consommation importante. Le quartier Croix-Rouge est l’un d’eux.
En une semaine, plusieurs personnes y ont été arrêtées en flagrant délit d’usage, détention ou vente de produits stupéfiants, et pour l’une d’elles, récidiviste, la sanction est tombée en comparution immédiate avec une peine d’un an de prison ferme.
Les faits remontent au 30 mai. Vers 16 heures, une patrouille de la brigade anticriminalité remarque deux individus qui sortent d’un hall d’immeuble de l’allée des Bourguignons.
L’un d’eux est déjà connu des policiers pour des affaires de drogue. Ils décident de le surveiller.
Les deux hommes rejoignent une voiture. Leur comportement paraît suffisamment suspect pour légitimer un contrôle. Bonne pioche ! Le passager, Ozden Yildirim, 39 ans, est trouvé en possession d’une boulette de cocaïne (1 gramme) et de trois boulettes d’héroïne (2,5 grammes).
Au domicile du conducteur, extérieur au quartier Croix-Rouge, la brigade des stupéfiants de la sûreté départementale de Reims retrouve deux boulettes vides. Analysées chimiquement, elles réagissent à la cocaïne.
Ozden Yildirim a contesté tout acte de revente. Qu’importe ! Jugé en état de récidive pour l’usage et la détention des 3,5 grammes de drogue, il a fait l’objet d’une comparution immédiate au cours de laquelle il n’a pas échappé à la peine plancher de quatre ans d’emprisonnement, cependant assortie du sursis à hauteur de trois ans. La condamnation prononcée, Ozden Yildirim est parti en maison d’arrêt pour purger ses douze mois ferme. L’automobiliste, quant à lui, est reparti libre du commissariat. Il est convoqué le 18 septembre devant le tribunal correctionnel.
F.C.
REIMS (Marne). Le flagrant délit réalisé le 30 mai, allée des Bourguignons, s’inscrit dans le cadre d’une occupation du terrain destinée à mettre la pression sur les différents acteurs du trafic de stupéfiants, petits ou grands. A Croix-Rouge, secteur réputé sensible en la matière, pas moins de neuf interpellations ont ainsi été réalisées ces derniers jours, la majorité d’entre elles par les équipages banalisés (et discrets) de la brigade anticriminalité.
Le 27 mai, un jeune homme se fait pincer avec un gramme d’héroïne et deux morceaux de résine de cannabis en limite de Croix-Rouge, avenue d’Epernay. Le 30 mai, outre le flagrant délit, allée des Bourguignons, une patrouille surprend deux individus qui s’échangent un sachet d’herbe de cannabis au parc Saint-John-Perse. Le premier reconnaît qu’il venait de conclure une transaction avec le second. Deux autres de ses clients occasionnels sont identifiés.
D’après ses déclarations, le vendeur traficotait depuis le début du mois de mai pour financer sa consommation personnelle. Il a été remis en liberté dans l’attente d’une décision judiciaire.
Le 1er juin, vers 20 h 30, la brigade anticriminalité intercepte un automobiliste pour un défaut de ceinture avenue Robert-Schuman, le long de l’hippodrome. Lors du contrôle, le passager tente de dissimuler un objet qui se révèle être un morceau de résine.
Le 3 juin, à 17 h 30, surveillance avenue Bonaparte. Elle se solde par l’interpellation d’un consommateur de 21 ans trouvé en possession d’un morceau de résine.
En plus de ces rondes quotidiennes destinées à faire du flagrant délit, des opérations « coup de poing » sont régulièrement organisées avec contrôles d’identités, fouilles des véhicules, des caves et des entrées d’immeubles sur réquisition du procureur de la République. Elles mobilisent de nombreux personnels, les policiers locaux recevant à l’occasion le renfort des sections de CRS quand celles-ci sont envoyées sur Reims dans le cadre de leur mission de sécurisation générale, ce qui fut le cas tout récemment avec la CRS 23 de Charleville-Mézières.
F.C.
La 4e journée des Interclubs Nationaux a été instructive et globalement favorable aux Marnais. Ainsi, chez les dames, le Reims Europe Club a-t-il fait le métier face à Mondeville (8-0).
De quoi poursuivre tranquillement sa route vers la montée. En N2, le TC Géo-André a quasiment assuré son maintien en prenant le meilleur sur Lyon. Déjà privées de Claire Makhloufi (blessée à la cuisse), les Rémoises ont perdu Servane Delobelle qui a dû abandonner à 5-5 (ennui musculaire).
Du côté des messieurs, en N3, Cormontreuil a échoué face à Montrouge dans une rencontre qui n’a jamais tourné dans le bon sens. Les Cormontreuillois étaient tout près de virer en tête mais Jean-Charles Robert (0) a cédé en trois sets face à un 1/6. Et les doubles ont été perdu de justesse. Reste désormais à gagner à Marly pour se maintenir. Un objectif qu’a brillamment atteint le TC Vitry en allant s’imposer à Sarreguemines (4-3). Enfin, la bonne surprise est venue du TC Reims qui a remporté sa première victoire de la saison face au TC Cheminot Vaugirard (4-3). Les Rémois peuvent encore rêver au maintien à condition d’aller battre Bussy.
Lors de la quatrième journée de la division qualificative à la Nationale 4, chez les messieurs, le Reims Europe Club a tranquillement poursuivi sa route au Foyer Barsequanais. Dans l’autre poule, Givet devrait en toute logique accèder au barrage. Du côté des dames, la première place semble promise à Romilly dans la poule A et à Saint-Memmie dans la poule B.
L’union départementale des associations familiales de la Marne organise une journée portes ouvertes le mardi 19 juin de 10 à 17 heures dans les locaux de la maison relais, 11 avenue du Général-Bonaparte (6e étage).
Avant - propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-offi ciel.gouv.f...).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay B.P. 2720 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : le présent appel d’offres ouvert est soumis aux dispositions des articles 28 et 29 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Cette consultation sera passée en application de l’article 43 du décret 2005-1742 du 30 décembre 2005 relatif aux marchés à bons de commande.
3) Objet du marché : marché d’entretien et de menues réparations tout corps d’état situés en parties privatives des immeubles appartenant à REIMS HABITAT.
4) Lots : lot, désignation
01 : succursale Nord
02 : succursale Centre-Est
03 : succursale Murigny
04 : succursale Croix-Rouge Université
5) Critères de jugement des offres :
Critères, pondération
_1 - Prix des prestations : 54 %
2 - Moyens humains et techniques mis en oeuvre : 46 %.
6) Délai d’exécution : le marché est conclu pour une période initiale de 1 an à compter du 15/08/2012.
Le marché pourra être reconduit par période successive de 1 an pour une durée maximale de reconduction de 3 ans, sans que ce délai ne puisse excéder le 14 août 2016.
8) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
9) Demande de renseignements complémentaires : Des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.
Des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction location proximité de REIMS HABITAT tél. : 03.26.48.43.18, fax : 03.26.48.62.58.
10) Date limite de remise des offres : le 10 juillet 2012 à 17 heures.
11) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 30 mai 2012.
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Lundi vers 1 heure du matin, une Peugeot 307 a été incendiée boulevard Vasco-de-Gama, près de l’école maternelle.
Dix minutes plus tard, deux poubelles ont brûlé allée Blanche-Cavarrot.
Cette même nuit à 3 heures, un feu de poubelle allumé rue de la Bonne-Femme s’est propagé à une BMW.
Une sympathique fanfare a fait la parade de Pays-de-France à Croix-du-Sud.
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Dernièrement, une belle fête a animé la pelouse Saint-Bruno, entre Pays-de-France et Croix-du-Sud. Cette fête, organisée par la maison de quartier Croix-Rouge, fut une réussite totale. La fanfare « Il y a du monde aux Balkans » est partie du centre commercial Bonaparte pour une parade jusqu’à Croix-du-Sud, drainant au passage les jeunes du quartier. Et ils furent très nombreux à fréquenter les nombreux stands mis en place, en partenariat avec des associations du quartier : le collectif Croix-Rouge accueil, l’Association de promotion de Pays-de-France, l’association des jardins familiaux de Pays-de-France, la Maison de l’enfance et le centre La Marelle, l’entreprise Pertuis, chargée de rénovation urbaine dans le quartier, l’amicale des locataires de Pays-de-France,…
De 15 à 16 heures, un grand jeu rallye était lancé, incitant les jeunes à un passage par tous les stands proposés : lancer de comètes, morpion classique et morpion humain, pêche aux canards, chamboule-tout, tir à la sarbacane et tir à l’arc, un parcours à vélo pour les pédaleurs en herbe et un pour les cyclistes confirmés, stand jardinage, atelier maçonnerie construction où l’on se bousculait pour manier la truelle, atelier lecture de la médiathèque Croix-Rouge, stand atelier créatif, stand maquillage, stand silhouettes, stand tri sélectif. Ils pouvaient même passer par le stand du Conseil de quartier où les deux présidents Alain Boudroit et Alain Bisteur répondaient au public avec force documentations !
Pour la détente, des structures gonflables ont permis aux jeunes de se défouler, pendant que des parents jouaient le farniente, allongés sur le gazon sous les arbres. Buvette et pâtisseries-maison attendaient tout ce petit monde qui a passé, sous un soleil radieux, un après-midi mémorable.
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« Il est temps de découvrir de nouveaux chemins et de faire de nouvelles rencontres, alors n’hésitez pas à nous rejoindre », déclare Vincent Girardin, organisateur des sorties des marcheurs du dimanche à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge.
Le programme de l’année est établi : « A vos chaussures ! »
Dimanche 10 juin, promenade de Liry (10 km avec dénivelés). Rendez-vous à 8 h 30.
Dimanche 22 juin, balade parisienne. Prévoir pique-nique. Coût, environ 20 euros, inscription au mois de mai.
Rendez-vous à 7 h 30.
Dimanche 1er juillet, pique-nique.
Dimanche 8 juillet, en route pour Le Tréport (s’inscrire d’urgence).
Dimanche 9 septembre, le pont-canal à Bourg-et-Comun (12,5 km).
Rendez-vous à 7 h 30.
Dimanche 16 septembre, les Journées du patrimoine à Guise. Rendez-vous à 7 h 30.
Autant d’occasions pour les amoureux de la nature de se régaler d’un spectacle verdoyant, de découvrir des fleurs étonnantes, de croiser quelques sangliers vagabonds ou une biche apeurée.
Renseignements (transport, covoiturage,…) et inscriptions au secrétariat de l’espace Watteau, 3, allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50) ou auprès de l’animateur (Tél. 06.12.99.83.09).
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La Ville propose gratuitement des accueils périscolaires le matin, le midi et le soir.
L’animation et la gestion de l’ensemble de ces temps sont gérées par la Direction de l’Éducation, avec un relais et une organisation reposant sur l’animateur coordinateur dédié à chaque groupe scolaire municipal.
A partir du 4 septembre 2012, chaque élève des écoles maternelles et élémentaires des écoles publiques de Reims pourra bénéficier de ces services d’accueil le midi et le soir ; sous réserve d’une inscription pour la restauration scolaire auprès de la Caisse des écoles au 52, rue de Talleyrand à Reims.
A partir du 6 septembre 2012, l’accueil du matin sera ouvert.
Des justificatifs attestant des obligations des parents seront à fournir si ces derniers souhaitent un accueil le matin et le soir, afin qu’une dérogation soit examinée.
Dès ce lundi 4 juin, un dossier d’inscription sera disponible à l’école de votre enfant auprès de l’animateur coordinateur et en téléchargement libre sur le site Internet www.monecole-reims.fr
L’accueil d’un élève donné ne pourra être effectif qu’à réception du dossier d’inscription complet (fiche d’inscription et fiche sanitaire) par l’animateur coordinateur de l’école dans laquelle il est scolarisé.
Les parents pourront alors s’ils connaissent leurs besoins pour la rentrée scolaire 2012/2013, transmettre le dossier auprès de l’animateur coordinateur du groupe scolaire concerné. Attention, si des parents souhaitent que leur enfant soit accueilli à compter du premier jour de la rentrée, le 4 septembre, ils doivent impérativement inscrire leur enfant au plus tard le 30 août.
Des permanences seront assurées au sein de chaque groupe scolaire par l’animateur coordinateur aux dates et heures suivantes : 28 août de 9 à 13 heures et les 29 et 30 août de 14 heures à 18 h 30.
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REIMS (Marne). L’hippodrome a organisé, samedi, une fête sur le thème du « country ». Cow-boys, chevaux, rodéo étaient bien présents pour cet événement.
L’HIPPODROME de Champagne a organisé, samedi, son annuelle fête sur le thème du country, fête qui rencontre un énorme succès depuis des années maintenant. Si les habitués ont pu retrouver les animations qui ont fait le succès de l’événement, les nouveaux visiteurs ont pu les découvrir avec joie.
« Je viens pour la première année, c’est ma sœur qui m’avait fait part de cette fête et honnêtement je ne suis pas déçue d’être venue. Il y a tout ce qu’il faut ici pour passer un bel après-midi », expliquait Marion, venue de Sedan avec son ami et leurs deux enfants.
Il fallait d’ailleurs être armé de patience pour pouvoir accéder à certaines animations tant les files d’attente étaient grandes pour les baptêmes de sulkys, le rodéo mécanique ou encore les balades en calèches et diligences. « C’est long c’est sûr, mais cela vaut le coup d’attendre. Ce n’est pas tous les jours que l’on peut faire un tour de calèche », précisait Rudy, un Rémois de 35 ans.
Orchestré par un groupe de musique habillé pour l’occasion comme de véritables cow-boys, les spectateurs ont eu la chance de pouvoir assister à des démonstrations de danse country présentée par « The Country Compagny », un groupe originaire de Chamery. « J’espère que l’on va pouvoir danser avec eux », se demandaient Nicole et Claude. Leur souhait fut vite réalisé puisqu’au micro du speaker le responsable de la troupe invita les spectateurs à venir partager quelques pas de danse avec ses danseurs.
Les enfants étaient également aux anges puisque l’hippodrome avait installé plusieurs structures gonflables, organisé des balades en poney ce qui a, semble-t-il, plu aux sept enfants de Christelle venue de l’avenue de Laon pour la troisième année.
« On adore venir à cette fête. C’est vrai que l’hippodrome n’est pas un lieu où on voit beaucoup d’enfants, mais grâce à cette fête beaucoup de petits viennent avec leurs parents pour passer un bon moment », soulignait la Rémoise.
Logiquement, des courses ont été programmées, une majorité portant un nom lié au thème de cette journée. Les turfistes avertis ont donc pu parier sur des courses aux noms bien peu ordinaires pour eux : course « John Wayne », course « Les Mystères de l’ouest » ou encore course « Pour une poignée de dollars », certainement que cette dernière, au vu de son intitulé, a attiré de nombreux parieurs.
Une autre course portait le nom de l’union puisque notre journal est partenaire de plusieurs manifestations organisées par l’hippodrome.
La journée s’est achevée par un magnifique feu d’artifice.
Thierry ACCAO FARIAS
Après l’intermède des championnats de Ligue jeunes et seniors +, les Interclubs Nationaux reprennent leurs droits demain avec une quatrième journée décisive.
Chez les dames, en N1B, assurées de la deuxième place et donc de la montée, les « Européennes » reçoivent Mondeville qui aligne une équipe faible avec un meilleur classement à 1/6 ! De quoi permettre aux filles de Pheng Xayphengsy de dérouler.
En N2, le TC Géo-André joue son maintien contre le FC Lyon. Une mission difficile mais réalisable. Reste à savoir si la n° 1, Claire Makhloufi (- 2/6), sera remise de sa blessure à la cuisse et pourra conduire ses coéquipières vers le succès…
Du côté des messieurs, en N3, Cormontreuil accueille Montrouge avec la ferme intention de réaliser un gros coup. Enfin au complet, les Cormontreuillois peuvent en effet bousculer les Franciliens qui, toutefois, ont tous évolué à des classements supérieurs…
Relancés dans la course au maintien, les Vitryats se déplacent à Sarreguemines avec l’objectif de s’imposer. Les Lorrains présentent certes une formation homogène mais Vitry possède les atouts pour remporter les trois premiers simples et un double !
Enfin, en N4, le TC Reims est opposé, rue Lagrive, à l’équipe la moins forte de la poule, le TC Cheminot Vaugirard. A Jérémy Solivellas et ses camarades de sauver l’honneur…
Conseil Municipal d’Enfants et de Jeunes : Priorité au développement durable
 La maire de Reims, Adeline Hazan, s’est réjouie de voir les enfants jouer le jeu de la démocratie.
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 A quelques minutes de l’ouverture de la séance, la coordinatrice du Conseil donne les dernières instructions aux enfants.
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Après la séance d’installation le 2 février dernier, la seconde assemblée plénière du Conseil Municipal d’Enfants et de Jeunes (CMEJ) s’est tenue jeudi dernier dans la salle des conseils de l’Hôtel de Ville. Après avoir exposé leurs idées il y a quatre mois, l’heure était désormais à la présentation de l’avancement des projets pour les écoliers et collégiens d’une dizaine d’établissements publics rémois.
Et si chaque projet est unique, force est de constater qu’une thématique centrale semble lier les travaux des différentes classes : l’écologie et le développement durable. Pour l’école Galieni (quartier Orgeval), la priorité est d’abord de créer des aires de jeux proches des quartiers pour les enfants, ainsi que de nouveaux espaces verts pouvant accueillir diverses animations musicales et théâtrales.
Dans la même veine, l’école élémentaire Blanche Cavarrot (Croix-Rouge) s’est, elle, lancée dans le recyclage solidaire à travers une collecte de vieilles paires de lunettes et de vieux téléphones portables. Pour l’école Turenne (Murigny), l’important est ici de protéger les espaces verts environnants, en donnant une amende aux propriétaires de chiens ne ramassant pas les déjections de leur animal, en créant un mur à tags pour éviter les graffitis un peu partout ou en multipliant le nombre de poubelles.
A l’issue de la présentation des projets de chacun, Adeline Hazan, maire de Reims, n’a pas manqué de remarquer « l’intérêt évident des jeunes pour l’écologie et tout ce qui touche au développement durable. Ces enfants ont déjà bien conscience des droits et devoirs du citoyen responsable ». « Vous avez tout du futur élu ! » a souligné en conclusion l’édile de Reims à l’adresse des enfants de l’école du Jard, après les avoir écouté lui présenter leur projet de rénovation de la place du Chapitre. Un projet qu’ils avaient pris le soin de chiffrer pour limiter les dépenses…
Aymeric Henniaux
Energie renouvelable : Dernière ligne droite pour la chaufferie bois
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Prévue pour entrer en service à l’automne prochain, vraisemblablement en octobre, la construction de la future chaufferie bois suit son cours. Pour suivre l’avancement des travaux, une visite de chantier était organisée mercredi 30 mai en présence notamment d’Adeline Hazan, maire de Reims et Présidente de Reims Métropole, Eric Loiselet, candidat EELV sur la 3ème circonscription, Pascal Durand, porte-parole national d’EELV (et favori pour succéder à Cécile Duflot à la tête du mouvement) et Raymon Joannesse, vice-président au développement durable du Conseil régional.
L’adjonction de la chaufferie à l’Usine d’Incinération des Ordures Ménagères (UIOM) située tout à côté, et la chaleur qui en sera produite permettra, à terme, de diminuer la facture de chauffage de 10% pour près de 24 000 logements ou équivalents logements, et d’atteindre un seuil de 50% d’énergie renouvelable et récupérable (contre 36% actuellement). Principaux bénéficiaires : les habitants des quartiers Murigny et d’une partie de Croix-Rouge, mais aussi tous les services et collectivités (écoles, collège, CHU, commerces divers, école de Police…). Pour Georges Debrabandere, responsable d’unité de production sur le site, « cette nouvelle infrastructure est un vrai plus pour la ville de Reims car elle entraînera une baisse évidente du coût de la chaleur tout en respectant davantage l’écologie ». Moins chère et plus écologique, la chaufferie s’appuiera sur deux chaudières indépendantes qui chaufferont le bois (arrivé sous la forme de plaquettes) jusqu’à 1 100 °C. A cette température, il ne suffit que de quelques minutes pour transformer la matière première en énergie. A noter que lorsqu’il sera rempli, le silo de stockage (là-même où les chaudières viendront s’approvisionner) permettra une autonomie de quatre jours pleins.
Aymeric Henniaux
Les deux équipes finalistes Sainte-Anne de Fouad Jmaatou et Tinqueux de Cédric Macaire.
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Après les plus jeunes qui se sont rencontrés le 17 mai (l’union du 22 mai), c’était au tour des footballeurs U10-U11 de se confronter le week-end dernier sur les terrains du stade Jules-Vastag.
Deux jours durant lesquels un magnifique soleil a permis une organisation sans faille pour les vingt-quatre équipes engagées dans ce tournoi.
À l’issue de ce week-end, c’est finalement l’équipe de Reims Sainte-Anne A qui s’est imposée face à Tinqueux, et qui remporte ainsi le challenge Campanile. La coupe du fair-play a quant à elle été décernée au club ardennais de Tournes.
1er Sainte-Anne A, 2e Tinqueux, 3e PTT Châlons, 4e Rethel A, 5e Villers-Semeuse A, 6e Stade de Reims, 7e Taissy A, 8e Wilson.
Les autres clubs représentés étaient AS Murigny Reims, Prunay, Saint-Brice-Courcelles et Acrap.
À noter, le prochain tournoi qui concernera les U13, aura lieu les samedi 16 et dimanche 17 juin. Par ailleurs, les inscriptions pour la saison 2012-2013 vont débuter. Des permanences seront tenues le mercredi de 14 à 16 heures au terrain.
Les catégories représentées sont : U6 (2007), U7 (2006), U8 (2005), U9 (2004), U10 (2003), U11 (2002), U12 (2001) et U13 (2000). Un accueil spécial féminines aura lieu le mercredi 20 juin.
Pour les autres catégories et pour tout renseignement, tél. 06.03.70.76.10.
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Il se passe toujours quelque chose à l’hippodrome de Reims.
Après la journée pique-nique du lundi de Pentecôte qui a permis à bon nombre de familles de déjeuner tout en suivant les courses au plus près de la piste, les organisateurs donnent rendez-vous à tous les turfistes, mais pas seulement, pour la grande fête de l’hippodrome organisée demain samedi 2 juin à partir de 16 h 30.
Le thème du western country remportant à chaque fois un vrai succès, les organisateurs ont décidé de le conserver en 2012.
De nombreuses animations country seront proposées de 16 h 30 à 19 h 30 avec des baptêmes à sulky, du rodéo mécanique, des balades en calèche et diligence, de la musique et des danses country, des balades à poney et des structures gonflables.
Dès 19 heures, les plus affamés pourront profiter du barbecue géant sous la forme d’un bœuf à la broche. Du côté de la piste, sept courses (attelées) en nocturne (réunion PMH) seront proposées à partir de 19 h 30.
Entrée : 5 euros, gratuite pour les moins de 18 ans. Les invitations, inscriptions à la newsletter ainsi que les coupons Groupon ne seront pas acceptés. L’entrée restera payante jusqu’à la fin de la réunion.
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En 14-15 ans, la prestation d’Enzo Wallart (Géo-André) était attendue, lundi après-midi au Centre de Ligue à Reims.
S’il l’a emporté, le pensionnaire des Hauts-de-Nîmes a dû batailler ferme (7-5, 7-5) et même retourner la situation dans le deuxième set (3-5) face à son ami Marc Algéri (Bar-sur-Seine), inscrit, lui, à l’Académie Daniel Contet (à Villeneuve-Loubet).
« Le vent était un peu de travers et, comme les courts sont neufs, les balles étaient assez lentes. Je sais faire autre chose. D’un autre côté, ça m’a obligé à jouer avec ma tête », expliquait celui qui, dans le Gard, est entraîné par Christophe Camus et Julien Maes.
« Je n’étais pas loin mais Enzo a mieux joué les points importants », résumait Marc Algéri.
Les deux locomotives de la relève champardennaise, les 13-14 ans Cindy Castille (Géo-André) et Constant de la Bassetière, ont été exactes au rendez-vous. Même si le second estimait avoir livré « un match moyen » : « Ce n’est pas le jeu que je développe à l’entraînement. Nicolas (Jonasz) s’est un peu battu tout seul ».
Un tournoi - sur terre battue - du Circuit européen U14 attend le Cormontreuillois du 4 au 10 juin à Budapest (Hongrie). L’objectif de la saison restant les France à Roland-Garros où il s’agira d’atteindre les quarts : « Je dois être dans les sept premiers au classement national », calculait Constant de la Bassetière.
Preuve que le niveau régional est finalement relativement homogène, toutes les finales ont été disputées, notamment celle des 15-16 avec la victoire d’Aurélie Marchal qui s’est un peu perdue dans le deuxième set (6-2, 7-6) face à l’opiniâtre Clémence Krug (Reims Europe).
En 17-18 ans, le Mengeot Benjamin Lévêque a su, lui aussi, sortir par le haut de sa finale contre l’Aubois Jules Janin : 6-2, 7-5.
Dans ce qui était une revanche de la demi-finale 2011 de la saison passée en 10 ans, Elvire Prault a pu mesurer sa progression face à Ilona Lopes (Romilly) : « Son arrêt de deux mois sur blessure (genou) lui a peut-être fait du bien au niveau de l’envie et de la fraîcheur », constatait le CTR, Yannick Lemaire.
Mention également, dans la même catégorie d’âge à un autre licencié de Géo-André, Gauthier Henry. Lequel a fait oublier l’élimination, la veille, de son grand frère, Lucas.
J.-P.P.
Organisés sur trois jours à Saint-Dizier, les Régionaux des seniors + ont été dominés par les Marnais (9 titres) devant la Haute-Marne (5), l’Aube (3) et les Ardennes (1).
En + 40 ans, la blessure (au bras) de la tête de série n° 1 Nicolas Wauthier (4/6, TC Reims) en demie, a ouvert la voie au Châlonnais Sébastien Joly (5/6) alors que son camarade de club Eric Renaud (5/6), nouveau pensionnaire en + 45 ans, a logiquement glané son ticket pour Roland-Garros.
Les plus âgés (à partir de + 65 ans) ont évolué sur terre battue. Avec réussite pour Philippe Huet (15/4, Géo-André) ou Roger Gratiot (30/3, La Muire).
Du côté des dames, en + 45 ans, Marie-Christine Saint-Mard (15/1, ASPTT Charleville) a décroché le seul titre ardennais face à la Châlonnaise Cathy Weber (15/1). Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims) a fait respecter la hiérarchie en + 50 ans alors que Martine Carrieu (15/3, Saint-Memmie) s’est montrée toujours aussi déterminée en + 55 ans. La surprise est venue de l’Européenne Christiane Garrige (15/5) en + 60 ans face à Sylvie Jolly (15/4, Epernay).
Samedi 2 juin et dimanche 3 juin de 9 à 18 heures, portes ouvertes aux jardins familiaux Croix-du-Sud.
Vente de fleurs et plants de légumes.
Numéro 7448 du 28 mai au 03 juin 2012.
APPARTEMENTS :
— Appartement type III bis d’environ 75 m2, 14 allée des Tourangeaux à REIMS, 2° étage, porte C - Classe énergétique : "C" - 103.400 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).
Renseignement I-MMOCOOP, 03.26.97.67.37.
106032
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