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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mai 2009



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009

 

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Journal « l’Union » - 090602c

Médiathèque Croix-Rouge : Muriel Masini s’en va

 

Muriel Masini, conservateur de la médiathèque Croix-Rouge depuis onze ans, a eu envie de changement et a quitté son poste pour Le Havre, une étape un peu difficile car assez déchirante.

« Pendant toutes ces années passées à Reims, les bibliothèques rémoises ont beaucoup évolué et j’ai été très heureuse de participer à cette aventure.

C’est parce qu’il était situé dans un quartier comme Croix-Rouge et que je pensais pouvoir y mener des actions utiles que ce poste m’avait attirée. Il m’a apporté beaucoup de satisfactions personnelles et professionnelles.

J’y ai travaillé dans de très bonnes conditions, entourée de collègues dynamiques et inventifs et soucieux d’être utiles aux habitants. »

Le remplacement de Muriel Masini est en cours. L’équipe de la médiathèque reste mobilisée et continuera à travailler avec le même enthousiasme au service du public : « J’ai toute confiance dans mes collègues pour que ce départ n’affecte pas le fonctionnement du service. »

 

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Journal « l’Union » - 090602b

Festival Croix-Rouge s’affiche : Une fin en apothéose

La troupe de José Mendès a fait un tabac.
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José Mendès, directeur artistique du Festival Croix-Rouge s’affiche 2009, a réussi, avec Franck Settier, un coup d’« Éclats de quartier », avec une création fort réussie, fruit de longs mois de répétitions et de mise en scène.

Son thème directeur était simple : c’est une série de rencontres. Chacune d’elles suit un fil, un chemin tissé par les liens des uns avec les autres. Chaque personnage, Abdel, Kelly, Jérémy, Loïc et les autres, entraîne le spectateur à l’intérieur de sa vie, sur une trame slamée, avant de passer le relais à un autre.

Et cela a merveilleusement bien fonctionné : Esteban, Léa, Pauline, Franck,… ponctuent leur passage d’une expression corporelle de haute volée en hip-hop, break, mais aussi reggae, charleston, danse rock acrobatique, jazz, danse du ventre. On reste pantois devant les prestations de David Moyen, Malik, et de l’incroyable Monsieur Personne !

« 25.000 : ils y sont tous ! » : chaque spectateur a pu se reconnaître dans la vie de l’un ou l’autre des artistes, Mélia, Loubna, Elvida ou encore Malik. Le spectacle va maintenant partir en tournée et faire le bonheur de nombreux autres spectateurs.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090602a

Exposition

 

 

 

Le sculpteur Zemanel a profité du Festival Croix-Rouge s’affiche pour présenter au Crous, sur le passage vers la salle de théâtre, une exposition de ses œuvres, réalisées autour des personnages de contes, un travail à base de bois et de métaux récupérés.

Un travail intéressant à redécouvrir lors d’une prochaine exposition de l’artiste

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090531a

Pompiers de sortie

Deux voitures ont brûlé avant-hier soir dans l’agglomération rémoise.

A minuit, les pompiers sont intervenus 3, allée Edgar-Degas, dans le quartier Croix-Rouge.

A 3 h 30, samedi, nouvelle intervention pour une voiture en flammes. Plus précisément au 60, rue Géruzez, quartier Clairmarais.

Pour l’instant, les causes de ces incendies restent à déterminer mais il demeure de fortes présomptions quant à deux actes criminels.

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Journal « l’Union » - 090530g

Feux, fuites de gaz, accidents : Les pompiers sur tous les fronts

L’incendie qui a détruit trois véhicules jeudi soir allée des Landais est probablement d’origine criminelle.
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Incendies, fuites de gaz, accidents… Les pompiers ont multiplié les interventions ces derniers jours.

JEUDI vers 21 heures, trois véhicules ont brûlé allée des Landais, sur le parking faisant face à l’entrée de la piscine du Château-d’Eau (l’union d’hier).

Le feu s’est déclaré sur un fourgon Renault Master avant de se propager à une Renault Laguna et une Renault 21. Si l’origine de l’incendie reste indéterminée, elle n’en demeure pas moins suspecte. Des véhicules sont régulièrement détruits par le feu sur ce parking.

Au même moment, tout près de là, d’autres pompiers sont intervenus avenue Bonaparte pour un feu de détritus dans le local à vide-ordures du n°7.

Hier à 8 h 45, les fourgons rouges sont revenus avenue Bonaparte, cette fois-ci pour une fuite de gaz provoquée par la dégradation d’une conduite sur le chantier du tramway. Un ouvrier a pu l’obturer avant l’arrivée de GDF.

Mercredi midi, une fuite de gaz sur chantier s’était déjà produite rue de Madrid. Ce même jour, appelés à 14 h 45 pour une odeur de gaz dans un immeuble de la rue du Mont-Cornillet, les pompiers ont découvert une bouteille de propane laissée ouverte par accident dans un appartement.

Deux heures plus tard, appel similaire dans un immeuble rue de Rilly-la-Montagne, au n°20.

En fait, il ne s’agissait pas d’une odeur de gaz mais d’une odeur de résine provenant d’un laboratoire dentaire.

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Journal « l’Union » - 090530f

Conseils de quartiers

Le conseil de quartier de Croix-Rouge-Hauts de Murigny se déroulera le mardi 9 juin à 19 heures, salle François-Mauriac.

À l’ordre du jour : nominations de nouveaux membres du conseil, suivi des actions sur le quartier, incidence du tramway sur le quartier, signalétique et sécurité, validation du règlement intérieur.

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Journal « l’Union » - 090530e

Brocante à Croix-Rouge

Dimanche 31 mai, de 9 à 18 heures, une brocante sera organisée sur l’esplanade Eisenhower.

De 14 à 17 heures, cette brocante sera agrémentée de prestations artistiques proposées par des associations, maison de quartier. ..

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Journal « l’Union » - 090530d

Les marcheurs de Croix-Rouge

A l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature bol d’air ce week-end du 30 mai au 1er juin.

Renseignements au 14, rue Pierre-Taittinger.

Tél 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » - 090530c

Grand Prix des Jeunes Lecteurs : Pluie de récompenses

Les jeunes lecteurs ont été récompensés.
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C’est au sein du collège Pierre-de-Coubertin que l’association des parents d’élèves de l’enseignement public de Reims (PEEP Reims) a remis leurs récompenses aux lauréats du Grand Prix des Jeunes Lecteurs en présence de Mme Peultier, proviseur vie scolaire ; Véronique Lhuillier, présidente de l’association Peep Reims et Bernadette Held, directrice.

Ce sont 11.600 enfants qui ont participé à ce 25e concours au plan national.

Parmi ceux-ci, 1.540 Champardennais dont 1.022 Marnais et 792 Rémois. Au plan local, cette année, 216 bulletins émanaient d’écoles élémentaires et 576 de collèges (10 collèges sur 13 ont participé).

Des bons d’achat

Les collèges Université, Colbert, Léonard-de-Vinci, Robert-Schuman, Paul-Fort, Saint-Remi, Paulette-Billa, Joliot-Curie et Raymond-Sirot ainsi que les écoles élémentaires Jard, Croix-Bonhomme, Sully, Ruisselet et Zola ont été récompensés pour leur participation.

Ils ont reçu des bons d’achat qui leur permettront d’enrichir les fonds des CDI et des bibliothèques scolaires.

Des enfants ont également été récompensés : Pour les élèves de CM2 : Laurène Lopez (école Jard, 1re CM2), Clémence Castagnos, (école Jard, 2e CM2) ; Elisa Viton (école Jard, 3e CM2), Benoît Baudart (école Jard, 4e CM2). Pour les élèves de 6e : Arielle Senah (collège Pierre-de-Coubertin, 1re 6e), Mathilde Marsan (collège Université, 2e 6e), Chiara Moras (collège Université, 3e 6e), Jeanne Devos (collège Saint-Remi, 4e 6e et première régionale).

A la suite de cette remise de prix, les 200 enfants présents dans l’amphithéâtre du collège ont dialogué avec Michel Piquemal, auteur du livre « Le Jobard » paru chez Milan poche. Les questions des enfants ont été suivies par une séance de dédicace.

L’association Peep Reims a offert ce livre aux 792 participants rémois, ainsi qu’à leurs établissements, professeurs et documentalistes.

L’après-midi s’est terminée par un goûter pour les plus jeunes et le verre de l’amitié pour leurs accompagnateurs.

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Journal « l’Union » - 090530b

Stupéfiant ! : Le cannabis pousse dans les champs

Lundi soir, sur la route de Bezannes, des policiers ont vu un Rémois qui se débarrassait d’un paquet de cigarettes à leur arrivée. Dans le paquet, il y avait quelques morceaux de résine de cannabis d’un poids total de 2,5 grammes.

Le jeune homme détenait également un sac plastique rempli de tout le nécessaire pour emballer des « joints ».

A l’écouter, il venait de trouver le paquet de cigarettes dans un chemin de champs de Bezannes.

Quant au sac, il l’a ramassé dans la cave de son immeuble à Reims. Il a gardé l’un et l’autre sans trop savoir pourquoi…

Il ira raconter son histoire le 25 juin chez le délégué du procureur.

Mardi vers 17 h 10, avenue Bonaparte cette fois-ci, la police a repéré un échange suspect entre un automobiliste et un passant.

Contrôlé, le conducteur avait sur lui 4,7 grammes de résine qu’il venait d’acheter au piéton (celui-ci est en fuite).

Le jeune homme âgé de 28 ans affirme ne pas le connaître. Il a fait l’objet d’une composition pénale.

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Journal « l’Union » - 090530a

TROYES / Assises d’appel de l’Aube : Viols sur deux Rémoises âgées : Dif condamné à 20 ans

À l’issue des trois jours d’audience, les jurés aubois n’ont pas fait dans la demi-mesure. Nordinne Dif, déclaré coupable des viols reprochés, a été condamné à la peine maximale. « ESSAYEZ de faire autre chose que de l’humour noir et grinçant », lance à l’accusé le président Gilles La tapie. Avec patience et force de persuasion, il tente d’engager un vrai dialogue, lui tendant maintes perches. L’accusé se montre inébranlable.

Le président revient sur les agressions sexuelles de Charleville-Mézières que Nordinne Dif a reconnues tout en précisant « ne se souvenir de rien », « peut-être à cause du mélange d’alcool et de Viagra ». « Que s’était-il passé auparavant ? », interroge le président. « J’étais avec ma copine et ça n’avait pas marché à cause de mon handicap (NDLR la petite taille de son sexe, voir notre édition d’hier).

« Pourquoi vous être alors attaqué à une femme de 79 ans ? », poursuit le magistrat. Réponse : « Je ne sais pas. »

« N’êtes-vous pas amené à disjoncter quand il y a des moments difficiles, quand vous êtes en proie à une angoisse trop forte, suite à un échec avec une femme ou quand vous avez peur d’un nouvel échec ? », suggère le président La tapie.

« On veut faire de moi un coupable idéal mais je suis innocent », se braque Nordinne Dif. L’avocat général se lève : « Comment expliquez-vous que les victimes de Reims vous mettent en cause ? »

« C’est un malheureux concours de circonstance », répond l’accusé. « Et la ressemblance étrange entre les affaires de Charleville-Mézières et celles de Reims ? », enchaîne l’avocat général. « Il y a aussi des dissemblances », rétorque Nordinne Dif.

Des victimes absentes

Les deux femmes « particulièrement vulnérables » qu’il est accusé d’avoir violé n’étaient pas là mais plusieurs de leurs enfants et petits-enfants sont venus se faire l’écho de leur drame. Jacqueline, 66 ans au moment de son agression, est décédée en avril 2006.

Me Ammoura, avocat de sa famille, a évoqué cette femme, veuve, mère de 6 enfants et qui se remettait lentement d’un cancer du sein.

A 1 heure du matin, quand elle a entendu frapper à sa porte, elle attendait un de ses petits-fils. Elle a demandé « Mickaël, c’est toi ? ». Une voix a répondu « Oui ». Suivit ce qu’elle décrivit comme « quelque chose d’incroyable et d’inacceptable ».

« Ensuite, cette femme courageuse, souriante est devenue angoissée, paniquée, déprimée… Le courage n’y était plus, la maladie a repris le dessus et l’a emportée », a souligné l’avocat. Si Elisabeth, aujourd’hui âgée de 88 ans est toujours bien vivante, elle n’a pas eu la force d’assister à ce procès.

Son calvaire a été, en bien des points, comparable à celui de Jacqueline, lorsque, malvoyante, elle a ouvert à celui qu’elle a cru être « le facteur remplaçant ». Mère de huit enfants, elle vivait alors avec son mari handicapé des jambes.

« Serial violeur de mamies »

« Quand il a entendu ses cris, lui qui n’avait pas pu se lever depuis des mois a réussi à atteindre son déambulateur pour découvrir une scène hallucinante », a rappelé Me Rahola avant de confier : « Depuis elle se sent terriblement coupable d’avoir ouvert la porte et elle culpabilise d’avoir fait vivre ça à son mari. »

Pour les avocats des parties civiles, l’agresseur ne peut qu’être Nordinne Dif. S’il a bénéficié d’un acquittement à Reims en février 2007, « c’est à cause d’un procès bâclé en une seule journée ».

Même analyse du côté du ministère public : « Le week-end, quand il boit, Nordinne Dif est un familier de la violence. » Réfutant en quelques mots l’argument de défense du « micropénis », l’avocat général rappelle les deux agressions de novembre 2008 à Reims dans lesquelles l’accusé est à nouveau impliqué. « C’est agresseur sexuel pervers de femmes âgées, un serial violeur de mamies, un individu dangereux contre lequel la société doit se protéger en appliquant la peine prévue : vingt ans de réclusion. »

Avec tout autant de conviction, Me Fanny Quentin a rappelé « la souffrance », « la solitude » et le « désespoir » de l’accusé. Pour plaider l’acquittement, elle s’est appuyée sur « les incohérences du dossier » : « L’enquête ? C’est du ni fait ni à faire. Le juge d’instruction ? Il est resté complètement inerte », a-t-elle déploré.

Mais cette fois, au lieu de l’acquittement, Nordinne Dif a écopé de la peine requise, après des délibérations bouclées en une heure et demie.

Compte rendu d’audience
Valérie ALANIECE

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Journal « l’Union » - 090529k

Salons de musique

Invitée en résidence par Césaré, Centre national de création musicale, la chanteuse Valérie Joly s’installera en juin dans trois lieux du quartier Croix-Rouge, afin d’y rencontrer les habitants par l’intermédiaire de ses chants.

Ces « salons de musique » qu’elle propose ne sont pas des concerts, niais des moments de rencontre conviviale autour d’un thé, de petits gâteaux, de contes et de chants : des petits voyages sonores et gustatifs, en préfiguration des ateliers de chant qu’elle animera à la rentrée prochaine.

Rendez-vous jeudi 4 juin à l’espace Billard, de 14 à 16 heures, vendredi 5 juin à l’espace Pays-de-France, de 14 à 16 heures et jeudi 11 juin à la médiathèque Croix-Rouge, de 14 à 16 heures.

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Journal « l’Union » - 090529j

Médiathèque Croix-Rouge : Ça bouge en juin

L’espace de lecture de Clémentine Treu.
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L’espace de lecture

Un espace de lecture est dédié aux tout-petits et installé à la médiathèque Croix-Rouge pendant toute la durée de la manifestation Grandes histoires pour petites oreilles jusqu’en juillet. Il a été conçu et réalisé par l’artiste plasticienne Clémentine Treu : « Un espace, une bulle, un lieu dédié à la lecture, l’écoute, le repos, le jeu. Il accueille les jeunes enfants de 3 mois à 3 ans, pour écouter ou entendre des histoires. Cette bulle est douce, ronde, chaleureuse, ludique, poétique et colorée. »

Julie raconte

Mercredi 3 juin à 15 heures, Julie évoquera « Le joueur de flûte de Hamelin », extrait des Légendes des cités européennes (En l’an 1284, la ville de Hamelin fut la proie d’un véritable fléau). Cette séance sera suivie d’une ribambelle de mots européens, proposée par les PIJ (Points information jeunesse) Nacelle et Ethnic’s de la maison de quartier Croix-Rouge. Pour tous, à partir de 6 ans.

L’heure des bébés

« L’heure des bébés », mercredi 10 juin à 9 h 30, c’est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans accompagnés de leurs parents. La séance dure environ une demi-heure. Elle est suivie d’un petit théâtre d’images.

Contes et comptines

Samedi 27 juin : spectacles de contes et comptines par la conteuse Cécile Bergame (enfants de 1 à 3 ans accompagnés d’un adulte. Durée 30 min).

À 10 heures, « Les ruisseaux font du pédalo ». C’est la chanson des poissons. Elle nous plonge dans l’univers de l’eau dans laquelle le petit aime tant barboter.

À 14 heures, « Contes et fleurettes » : la conteuse raconte des histoires de printemps, de petites bêtes qui montent…. et qui font pipi sur le gazon.

Activités gratuites, médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Renseignements et inscriptions au 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » - 090529i

Education des enfants

Éduquer son enfant dans une société qui va de plus en plus vite, qui impose une image de l’enfant parfait, forcément précoce, est un pari bien compliqué parfois ! Les enfants en 2009, comme il Y a 50 ans, ont besoin de temps pour grandir.

La rencontre avec Catherine Jousselme, pédopsychiatre, mercredi 3 juin à 18 heures, sera utile aux parents qui s’interrogent. Elle est l’auteur de nombreux articles et de divers ouvrages, dont « Du biberon au cartable » et « rien ne sert de courir ». Elle écrit régulièrement pour la collection « Comment l’aider à … » qui aborde des thèmes d’éducation de façon précise, pour aider les parents, ainsi que des livres pour enfants comme « Mon tout premier livre des formes ».

Entrée libre pour cette séance de dédicace à la médiathèque Croix-Rouge -19, rue Jean-Louis Debar (03.26.35.68.51.).

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Journal « l’Union » - 090529h

Patinage

 

 

Le gala de fin de saison organisé par le Reims Acrap patinage, se déroulera samedi 30 mai à partir de 20 heures à la patinoire Bocquaine.

L’occasion de voir les prestations des petits et grands qui se distinguent toute l’année sur les patinoires de France.

RAP - 11 avenue du président Kennedy (03.26.06.39.54.).

 

 

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Journal « l’Union » - 090529g

Reims / Dans un hall d’immeuble : Il l’embrasse de force : un mois de prison ferme

Pour avoir coincé dans un hall d’immeuble et tenté d’embrasser de force une jeune fille, un Rémois de 20 ans a écopé d’un mois de prison ferme.

STEVEN MICHEL était absent à l’audience du tribunal correctionnel qui l’a condamné à trois mois de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de se soigner. Le 21 janvier, le jeune homme de 20 ans a commis une agression sexuelle sur une jeune femme, sur laquelle il a littéralement flashé.

Selon ses déclarations, il avait avalé plusieurs vodkas le jour des faits. Peut-être pour se donner du courage, peut-être pour accentuer sa lâcheté. Toujours est-il qu’il a aperçu une jeune femme et a décidé de la suivre. La jeune fille est entrée dans son immeuble, lui s’est faufilé derrière elle, l’a immédiatement plaquée contre un mur, tentant de l’embrasser et de lui caresser la poitrine. La jeune femme s’est débattue, lui a demandé à plusieurs reprises d’arrêter. En vain.

Elle s’est mise à crier et heureusement, Steven Michel a pris peur et la fuite par la même occasion. « Je ne voulais pas lui faire de mal », a expliqué le jeune homme aux policiers. « Je voulais l’embrasser. »

« Marquée à vie »

La mère de la jeune fille est venue dire comment cette dernière « est marquée à vie par cette agression. A chaque fois qu’il y a quelqu’un derrière elle, elle se met à pleurer… »

La présidente donne lecture de l’expertise réalisée par un psychiatre qui a examiné Steven Michel : « Selon l’expert, ce jeune homme est tout à fait normal, il n’a pas de troubles sexuels et est en contact avec la réalité ». Relevant une « intolérance à la frustration » et une « dépendance à l’alcool », l’expert conclut à une « responsabilité entière » du prévenu.

Pour la substitut du procureur de la République, « la gravité des faits se ressent dans les conséquences sur la victime. Il faut prévenir tout renouvellement de ce type d’infraction ». Elle requiert six mois de prison dont quatre avec sursis et mise à l’épreuve pendant 18 mois, avec obligation de soins.

Le tribunal a prononcé une peine de trois mois de prison dont deux avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de soins. Il devra verser 1 000 euros de dommages et intérêts à la victime.

P.B.

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Journal « l’Union » - 090529f

Reims Champagne hockey : 3 questions à… Emmanuel Clergue

« Un temps fort comme celui-ci permet de colporter une image dynamique du RCH. »
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Vous êtes responsable du hockey mineurs au Reims Champagne hockey (RCH). Quel est le sens du tournoi que vous vous apprêtez à organiser du 30 au 31 mai à la patinoire Jacques-Barot ?

« C’est un hommage à Charles Marcelle qui a beaucoup apporté au hockey rémois. Ancien président des Flammes bleues, il est décédé l’année dernière. Ce trophée est reproduit chaque année à la même période (quatrième week-end du mois de mai). La saison écoulée, il a été remporté par l’équipe benjamins du RCH. Seront invitées : les équipes de Lyon, Rouen, Strasbourg, Amnéville, Boulogne. Cette compétition clôture également notre saison sportive. »

Comment se dérouleront les différents matches ?

« On a opté pour deux poules de quatre équipes. Et selon le classement de poule, la formation la mieux placée rencontrera la deuxième de l’autre poule jusqu’à la finale. Les rencontres s’effectueront en deux fois quinze minutes. En sachant qu’il y a arrêt de chrono sur une pénalité ou un but. Il y aura aussi une buvette pour permettre aux parents et spectateurs de se restaurer. »

Quel est l’impact d’une telle manifestation ?

« Un temps fort comme celui-ci permet de colporter une image dynamique du RCH. On a envie de redevenir un grand club. La formation des jeunes est quelque chose qui nous tient à cœur. Il n’y a pas que l’équipe une. »

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Journal « l’Union » - 090529e

Roller hockey : Ce week-end, place au tournoi Mini Rookies

Premier tournoi pour ces jeunes Rapaces.
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Les jeunes Rapaces du Roller hockey Reims participeront à la troisième édition du tournoi Mini Rookies organisée par le RHR au gymnase François-Legros les samedi 30 et dimanche 31 mai.

Les clubs de Paris, Épernay, Troyes, Moreuil, Rethel et RHR seront présents. Ce sera, pour ces joueurs de 4 à 8 ans, l’occasion de jouer leurs premiers matchs.

Pour plus d’informations, appeler au 06.72.79.51.51 ou consulter le site du club : (->rollerhockeyreims.com]

Tournoi Mini Rookies au gymnase François-Legros à Reims, samedi de 18 h 30 à 21 heures et dimanche de 9 heures à 16 h 30.

 

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Journal « l’Union » - 090529d

Incendies : Trois véhicules en feu hier soir

L’origine de l’incendie reste à déterminer.
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Hier, vers 21 heures, une violente détonation a secoué les environs de la piscine Château d’eau à Croix-Rouge. L’explosion provenait d’une voiture en feu sur le parking situé devant l’entrée de la piscine, allée des Landais. L’incendie, très virulent, s’est propagé à un fourgon et à une autre voiture avant d’être éteint par les pompiers. Son origine n’était pas connue à l’heure où nous écrivions ces lignes.

Au cours de la nuit de mercredi à jeudi, trois autres voitures ont brûlé à Reims : une Renault Twingo rue du Docteur-Lucien-Bettinger à 0 h 30 ; une Renault 19 rue du Général-Carré à 0 h 50 ; une Renault 5 avenue Bonaparte à 1 heure. Tous ces feux sont d’origine douteuse.

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Journal « l’Union » - 090529c

Tribunal, Correctionnel : Réservoirs siphonnés
Le voleur d’essence s’était … enfermé dans le garage !

Il n’avait « pas les moyens » de payer l’essence pour son 4x4. . Cet homme a donc décidé de siphonner une voiture.

Il a été pris à son propre jeu !

« J’ai eu très peur. » Cette femme a eu, le 6 septembre dernier, la « peur de sa vie » selon ses propres termes. Ce matin-là vers 5 heures, elle descend dans le garage de son immeuble, au groupe Eisenhower, en allumant la lumière. Elle ne sait pas qu’un voleur est en pleine action dans le box. Gilbert (49 ans) s’est introduit peu auparavant dans le sous-sol, dans l’intention de voler de l’essence, a-t-il reconnu devant les policiers qui l’ont entendu. Il a expliqué aux enquêteurs qu’il possède un 4x4 et n’a pas les moyens d’acheter de l’essence.

Les jambes tremblantes

Du coup, ce 6 septembre, il décide de siphonner des voitures dans le parking souterrain de son propre immeuble. « J’ai donné un coup de pompe dans la porte de ce garage, il s’est ouvert. » Gilbert, en parfait siphonneur, s’était muni d’un tournevis, d’une lampe et même d’une petite couverture pour ne pas se salir quand il s’allongerait sous la voiture !

Quand la propriétaire du garage a allumé la lumière, l’homme a pris peur. Il a très vite rabattu la porte du garage et s’y est retrouvé pris au piège ! La propriétaire a saisi la situation en un clin d’œil. « J’avais les jambes tremblantes, j’ai eu très peur. J’ai pris mon portable et j’ai appelé la police. » Qui n’a plus eu qu’à cueillir le voleur !

La propriétaire, elle, a eu du mal à se remettre de ses émotions. « J’ai rendu le garage », confie-t-elle au juge. « Pourtant, cela faisait vingt ans que je l’avais ! » Elle précise aussi que le voleur, outre un 4x4, possède aussi « une camionnette Mercédès ». On comprend mieux dans ces conditions, pourquoi il a du mal à payer l’essence de ses véhicules !

En réparation de « la peur de sa vie », la propriétaire a réclamé 6 à 700 euros de dommages et intérêts. Tenant compte de l’absence d’antécédents du prévenu - qui était absent à l’audience -la substitut du procureur de la République a requis un mois de prison avec sursis et 80 euros d’amende à l’encontre de Gilbert.

Le tribunal a condamné Gilbert à un mois de prison avec sursis et 80 euros d’amende. Il devra verser 700 euros de dommages et intérêts à la propriétaire du garage.

P.B.

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Journal « l’Union » - 090529b

Chutes

Hier midi, Une dame a chuté rue Chanzy à la suite d’un malaise. Blessée au visage, elle a été transportée au centre hospitalier universitaire de Reims par les pompiers.

Même destination pour un retraité de 80 ans tombé dans les escaliers d’un immeuble rue de Rilly-la-Montagne à 16 h 15.

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Journal « l’Union » - 090529a

Assises D’appel de l’Aube / Femmes âgées violées
Le « micropénis » de l’accusé : à décharge ou à charge ?

Au 2e jour du procès en appel, l’étau des charges paraît se resserrer autour de Nordinne Dif, accusé de viols à l’automne 2005 sur deux Rémoises de 66 et 84 ans. Le Dr Frichet, médecin légal, est resté plus d’une heure et demie sous le feu des questions. Son rapport était attendu au tournant par l’accusation. Comme l’a lancé Patrice Petitjean, avocat général à Me Fanny Quentin, avocate de la défense qui lui reprochait de malmener l’expert : « C’est le cœur du débat ! C’est là-dessus que vous avez emporté l’acquittement à Reims, vous ne l’emporterez pas cette fois ! » Le ton est donné. Au « cœur du débat », le pénis de Nordinne Dif. Plus précisément, sa longueur. « Extrêmement court, il correspond à ce qu’on qualifie de micropénis : 5, 5 cm de l’os du pubis jusqu’à l’extrémité de la verge », indique l’expert, affirmant : « C’est trois fois rien ». La constatation atteint néanmoins rapidement ses limites : « J’ai mesuré un sexe flacique, je suis incapable de dire quelle est sa longueur en érection.

Seul un sexologue aurait pu le mesurer. Il n’existe pas de règle de calcul », martèle l’expert quand l’accusation réclame une estimation. L’expert s’étonne qu’aucune des deux victimes n’ait fait état de cette petite taille qui devait, selon lui, rester caractéristique, même en érection. L’accusé, à cet instant, boit les paroles de l’expert. Jusqu’à ce que Me Rahola, conseil des parties civiles, rappelle que les deux femmes victimes, en 2001 et 2002, de Nordinne Dif à Charleville-Mézières - faits qu’il a reconnus - n’en avaient pas fait mention non plus. « Mme Pourchasse a bien parlé d’un petit sexe », s’insurge Me Ammoura, avocat des enfants de la victime. Le débat fut ensuite de savoir si, pour petit qu’il soit, le sexe de Nordinne Dif pouvait ou non avoir « un fonctionnement physiologique normal ». Le Dr Frichet est clair : « Avec un sexe aussi court, il est impossible de pratiquer une pénétration vaginale totale ». Les deux Rémoises agressées à l’automne 2005 ont évoqué des tentatives de pénétrations, mais elles ont principalement dénoncé des fellations exigées avec force menaces et brutalités. Là, l’expert le confirme : la longueur du pénis n’entre pas en ligne de compte. Nordinne Dif, toujours très attentif aux débats et ne manquant jamais d’y intervenir, affirme : « Je suis impuissant. Même le viagra est sans effet ». De quoi couper court aux débats, si Nordinne Dif n’avait pas lui même confié, à deux des experts, avoir déjà eu des relations sexuelles normales.

Se venger du « féminin » ?

« Il est sûr que cette anomalie anatomique torture Nordinne Dif depuis des années et elle l’envahit tout entier », commente l’expert psychologue. Il décrit un homme « atteint de troubles du comportement précoces » dus à « d’importantes blessures narcissiques » - dont l’anomalie pelvienne -, aggravées par un lourd problème d’alcool. Quand l’expert fait un lien de cause à effet entre la petite taille du sexe de l’accusé et les faits qui lui sont reprochés, ce n’est pas pour disculper l’accusé. Au contraire : « Justement cette anomalie anatomique peut expliquer de tels passages à l’acte agressifs sur des femmes âgées ». Il y voit une façon facile pour l’accusé de se rassurer sur sa virilité, mais, surtout, une manière de « se venger du féminin » : « Ce choix de victimes âgées est atypique. Or même si c’est inconscient, Nordinne Dif nourrit, pour plusieurs raisons, une grande rancœur à l’encontre de sa mère. Il lui en veut d’abord de l’avoir fait naître avec cette anomalie pelvienne. Si les faits sont avérés, ces femmes âgées ont été des substituts de sa mère qu’il ne pouvait pas agresser directement puisqu’elle est sa mère. D’ailleurs sa première motivation n’était pas sexuelle, il s’agissait d’abord d’agresser physiquement, de se venger ». D’où, selon l’expert, un important risque de récidive.

Valérie ALANIECE

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L’hebdo du vendredi- n° 125 - 090528f

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 125 - Semaine du 03 juin au 2009

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FUTSAL

Un tournoi de futsal se tiendra le lundi 1er juin à la halle des sports de Croix-Rouge. Ouvert à tous (certificat médical requis pour les non licenciés).

Participation : 40€ par équipe (8 joueurs).

Renseignements et inscriptions au 06 72 05 92 76.


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JUSQU’AU 30 MAI : « Le cinéma des origines »

Du pré-cinéma jusqu’au cinéma sonore.

Médiathèque Croix-Rouge, Jean Falala et Laon-Zola

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Journal « l’Union » - 090528e

Festival Croix-Rouge s’affiche : le programme du jour

Voici le programme de ce jeudi 28 mai pour le dernier jour du festival Croix-Rouge s’affiche. Les manifestations se dérouleront dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.

- 19 h 30, MissetNein, chanteuse compositeur du quartier, interprétera ses œuvres de Rn’B.
- 20 h 30, création du festival : « Éclats de quartier », un texte et une mise en scène de José Mendès, sur une chorégraphie de Franck Settier, assisté de David Moyen et Malik : un mélange de théâtre, danse et musique invite le spectateur à un parcours au sein du quartier avec des rencontres. Chaque rencontre suit un fil, un chemin tissé par les liens des uns avec les autres.

Chaque personnage emporte le public dans l’intérieur de sa vie avant de passer le relais à un autre. « Éclats de quartier » sera suivi d’un pot de fin de festival offert.

Tout public (60 minutes). Entrée libre. Réservation conseillée au 03.26.49.47.07. (secrétariat de l’espace La Nacelle) .

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Journal « l’Union » - 090528d

Peine moins sévère en appel pour l’ex-directrice de l’Opac

Relaxe partielle, peines confirmées mais d’autres allégées…L’ancienne directrice de l’Opac de Reims s’en sort mieux devant la cour d’appel que devant le tribunal.

La cour d’appel a rendu son arrêt, hier, dans l’affaire dite de l’Opac de Reims. Jugée pour « délit de favoritisme », « prises illégales d’intérêts » et « détournements de fonds dans le cadre des logements de fonction », la principale prévenue, Élisabeth Chéry, 57 ans, ex-directrice générale, a vu sa peine de six mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende confirmée, avec cependant une relaxe partielle concernant les détournements. Son ancien directeur général adjoint, Patrick Schenk, 54 ans, avait écopé de la même peine. Elle est confirmée.

Le « délit de favoritisme » reproché aux deux prévenus reposait sur le « saucissonnage » d’un marché informatique, en 1999 et 2000, pour éviter de lancer un appel d’offres alors obligatoire pour tout marché supérieur à 600 000 francs de l’époque (le montant du marché attribué à la société Syllogis était de 650 000 F). Les « détournements de fonds dans le cadre des logements de fonction » correspondaient pour l’essentiel à des « travaux d’embellissement » de l’appartement de Mme Chéry pris en charge par l’Opac pour un montant de 19 400 € entre 2000 et 2004.

Le tribunal correctionnel avait jugé que ces travaux auraient dû être payés par la directrice générale, et l’avait condamnée à rembourser cette somme, mais la cour d’appel a estimé le contraire, prononçant une relaxe partielle de ce chef. Le délit se limite donc à 900 € de travaux d’électricité indûment payés par l’Opac, et que la prévenue va devoir reverser à Reims Habitat (le nouveau nom de l’organisme logeur). Si les dommages-intérêts sont réduits à 1 724 € pour Patrick Schenk, les faits de « détournements » le concernant sont confirmés (l’Opac avait notamment réglé à sa place l’achat d’une plantation de bambous).

Une affaire de famille

La troisième série d’infractions – « prises illégales d’intérêts » – faisait entrer en scène le fils et le mari d’Élisabeth Chéry, Ronan, 29 ans, et Albert, 62 ans. L’Opac de Reims avait choisi de recourir à AC Construction, une association spécialisée dans la construction sur structure métallique, mais dont le coût du matériau utilisé était bien supérieur aux autres disponibles sur le marché (la perte pour l’Opac fut estimée à 900 000 F par un architecte). S’il n’était donc pas dans l’intérêt de l’Opac d’y recourir, c’était en revanche le cas de la présidente et du trésorier de l’association, respectivement… Élisabeth Chéry et Patrick Schenk.

Le même mélange des genres est apparu avec des marchés attribués aux sociétés Service câbles et Atmos’fair dirigées par Ronan Chéry, lequel travaillait avec son père. Leurs condamnations pour « recel d’une prise illégale d’intérêts » ont été confirmées : trois mois de prison avec sursis, 5 000 € d’amende. Les avocats des quatre prévenus sont déçus. Tous avaient plaidé la relaxe mais, comme l’a répété hier l’un d’eux, Me Simon Miravete, « cette affaire, c’est la montagne qui accouche d’une souris ». Au début de l’instruction en 2004, se souvient-il, on parlait d’un scandale gigantesque portant sur des dépenses pharaoniques. La vérité judiciaire est plus mesurée aujourd’hui.

Fabrice CURLIER

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Journal « l’Union » - 090528c

Projection en 2011 / Un jour mon tram viendra…

Carrefour Franchet-d’Esperey
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Parc Saint-John-Perse
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Avenue Taittinger
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Carrefour Kennedy
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Avenue Bonaparte
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Avenue Léon-Blum
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Travaux, bruits, routes coupées… un jour tout cela sera terminé. Apparaîtra alors le nouveau tramway de Reims qui redessinera la ville.

SI si, la ville ne sera pas toujours le grand chantier que l’on connaît actuellement. Alors pour une fois laissons nous transporter en avril 2011 à travers une série d’images de synthèse reprenant fidèlement ce que ce que sera Reims quand le tramway entrera en service.

Terminus Neufchâtel : C’est à Orgeval que se trouvera le terminus nord de la ligne, à l’angle des rues Laberte et Neufchâtel. A proximité se trouvera un parking relais de 190 places.

Place des Belges : Après avoir traversé Orgeval via les stations Colbert, Fermat et Jean-Macé, le tram tournera place des Belges pour s’engouffrer dans l’avenue de Laon (stations Belges, puis Danton, Saint-Thomas).

Place de la République : Au bout de l’avenue de Laon, le tramway tournera place de la République (Station Boulingrin pour se diriger vers la gare).

Parvis de la gare : C’est sans conteste l’un des sites qui va le plus évoluer avec une refonte complète du parvis. Le boulevard Joffre passera en effet en dessous laissant place à un vaste secteur piéton. La ligne du tramway tournera à hauteur de la gare pour rejoindre ensuite le cours Langlet via la rue Thiers la place Jules-Lobet. La station Langlet se trouvera au milieu du cours, juste avant les rues du Cadran Saint-Pierre et de l’Arbalète.

Théâtre : Situé juste en face du théâtre, cet arrêt marque la transition vers la partie sud de la ville via la rue de Vesle (un arrêt entre la rue des Poissonniers et la rue Jeanne-d’Arc).

Place Stalingrad : Le tramway quitte le centre par la place Stalingrad et se dirige vers son prochain arrêt (Comédie). Il bifurque ensuite pour prendre la chaussée Bocquaine, puis l’avenue Charles-de-Gaulle avec un arrêt à hauteur de Courlancy.

Franchet d’Esperey : Une station stratégique car elle se situe à proximité de la nouvelle halte ferroviaire du même nom. C’est aussi à ce niveau l’entrée vers les facs et le secteur Croix-Rouge. Suit ensuite la station Saint-John Perse.

Pierre Taittinger : La station Campus se trouve, elle, à quelques encablures des fameuses coquilles de la fac.

Le tramway prend ensuite la direction de l’hôpital via les haltes Arago et Château d’eau.

Une petite bifurcation sera possible pour rejoindre la gare TGV Champagne-Ardenne via la station Blum.

Pour l’instant le tram s’arrêtera en bas de la butte de la gare, mais une étude est en train d’être menée pour le faire monter à raison de plus de 20 millions d’euros en plus…

G. A.-T.

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Quelques chiffres…

Mais tout cela ne sera effectif qu’en avril 2011. Pour mémoire, le tramway aura un tracé de 11,2 km avec 23 stations, une fréquence de 6 minutes maximum aux heures pleines et 8 à 10 minutes aux heures creuses. Le service sera assuré par 18 rames de 5 h 30 à 0 h 30. Plus de 70.000 habitants sont desservis par ce tracé, soit près d’un tiers de la population.

Concernant la phase des travaux, celle-ci devrait se terminer comme prévu courant 2010 pour laisser la place ensuite à une période d’essai durant laquelle les rames circuleront à blanc (à partir d’août 2010 si le planning est respecté). On aura alors déjà un petit aperçu de ce à quoi ressemblera la vie avec le tramway.

Pour ce qui est du coût de l’ensemble du projet, il s’élève à plus de 300 millions d’euros (sans parler de la montée de la butte à Bezannes).

Source des photos : http://www.tramwaydereims.fr/start.html

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Journal « l’Union » - 090528b

Collision au carrefour : Deux blessés légers

Hier vers 9 h 30, une collision impliquant trois véhicules s’est produite au carrefour du boulevard Carteret et de la rue de Cernay.

Vers 14 h 15, un piéton a été percuté par une voiture rue Pierre-Taittinger …

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Journal « l’Union » - 090528a

L’acquittement de Nordinne Dif remis en question

Accusé de viols sur deux femmes âgées, Nordinne Dif avait été acquitté à Reims en février 2008. Il est rejugé depuis hier à Troyes suite à un appel du parquet général.

SOURCILS et regard noirs, cheveux ras, Nordinne Dif, maçon de 38 ans, rondouillard, se tient debout les bras croisés et calés sur le ventre. Il ne perd pas une seconde des débats et soigne ses réponses, courtois envers le président Gilles Latapie mais prenant un plaisir évident à renvoyer les avocats des parties civiles dans leur but et se montrant immédiatement exaspéré par les questions de l’avocat général, Patrick Petitjean.

A la cour d’assises d’appel de l’Aube où son procès s’est ouvert hier après-midi, Nordinne Dif joue gros et il le sait. Défendu par Me Fanny Quentin, il est accusé de viols — principalement des fellations — sur deux Rémoises. Des faits, qu’il a toujours niés et pour lesquels il encourt vingt ans de réclusion.

A quelques semaines d’intervalle, le 10 septembre et le 8 octobre 2005, Jacqueline, 66 ans, résidant dans le même immeuble que l’accusé à Croix-Rouge, et Elisabeth, 84 ans, habitante d’un quartier proche, ont été sauvagement agressées chez elles, abondamment insultées et durement frappées avant de subir de graves violences sexuelles. Toutes deux avaient identifié Nordinne Dif.

Pour ce premier jour du procès, c’est surtout l’histoire de l’accusé qui a été sous les projecteurs.

La circoncision : « une charnière »

Nordinne Dif semble se résoudre à parler de son enfance comme on remet le couteau dans une plaie encore douloureuse.

Il décrit un père, ouvrier métallurgiste dans les Ardennes, buveur et « violent avec ma mère que j’essayais toujours de défendre ». Il confie avoir lui-même commencé à s’alcooliser à neuf ans : « au rouge ».

Mais à ses yeux, « l’élément charnière » de sa vie aurait été la circoncision que ses parents avaient organisée à l’occasion de vacances, au bled, en Algérie, « selon les méthodes traditionnelles » : « J’avais 5 ans mais je m’en souviens comme si c’était hier ».

Sa mère et une de ses sœurs ont expliqué qu’il était « comme une bête qu’on mène à l’abattoir » et qu’il était ensuite « resté plusieurs jours sans manger ni parler ».

« Depuis, ça m’a toujours chamboulé. C’est à cause de ça que j’ai jamais pu avoir de relation sexuelle avec ma copine et qu’en prison, à la douche, on se moque de moi », insiste Nordinne Dif.

Quand il est question de son casier judiciaire, il se fait spécialiste des digressions ou s’affirme victime d’erreurs judiciaires. Mais l’avocat général et le président se désarment pas à propos de la condamnation prononcée en 2004 à Charleville-Mézières : quatre ans de prison pour des agressions sexuelles en 2001 et 2002, sur des femmes de 76 et 80 ans. De question en question, Nordinne Dif a confirmé hier à l’audience avoir tenté de violer l’une et s’être masturbé au-dessus du visage de l’autre.

De nouveau mis en examen

Reste que cette audience où les débats s’enflamment vite entre l’avocat général et l’avocate de la défense, a été essentiellement sous-tendue par une question qu’avait d’emblée posée l’avocat général : « Pourquoi comparaissez-vous détenu puisque vous avez été acquitté ? » « Je n’ai pas à répondre à ça », s’énerve l’accusé.

« C’est une affaire qui est à l’instruction et dans laquelle il est présumé innocent », se borne à rétorquer Me Quentin. Un peu plus tard, Patrick Petitjean revient à la charge : « Pour informer les jurés, je vais au moins lire la fiche pénale et les motifs de son placement en détention, le 6 décembre 2008 ».

Me Quentin bondit. C’est l’incident. La cour se retire, délibère et finalement, empêche l’avocat général d’en dire plus… Et puis en toute fin d’après-midi, alors que Michelle, une des filles de Jacqueline, décédée en 2006, relate le traumatisme et le drame vécus par sa mère, elle explose quand le président lui demande son « sentiment » : « Evidemment qu’on est en colère. Il a été acquitté à Reims. Alors, quand on a lu dans les journaux en décembre, qu’il avait recommencé sur deux autres femmes âgées et qu’il était confondu par son ADN, on a trouvé que c’était intolérable ».

Me Quentin, se lève, s’agite, brandit la menace d’un nouvel incident. Trop tard.

Valérie ALANIECE

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Journal « l’Union » - 090527f

Ecole des Provençaux : Le vilain petit lascar a fait un tabac

Ce spectacle a été parfaitement interprété devant un public d’élèves et deux fois devant un public d’adultes, dans le cadre du festival Croix-Rouge s’affiche.
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C’est un véritable petit chef-d’œuvre qu’ont réussi les élèves de CM2 de l’école des Provençaux, en écrivant, jouant et chantant, avec l’aide de leurs maîtresses Gaëmme Guedon et Caroline Péronne la comédie musicale « Le vilain petit lascar », mise en scène et en musique par Hervé Akrich assisté, pour les répétitions, de Rémi Leclère.

Hervé Akrich a trouvé la bonne formule pour réaliser un succès populaire : des petits acteurs et un public du quartier.

Les jeunes comédiens connaissent parfaitement leurs textes qu’ils articulent à la perfection et qu’ils jouent avec beaucoup de maîtrise.

Du grand art qui a été apprécié par Patrick Gobin, animateur du club théâtre adultes de la Maison de quartier Nacelle, admiratif devant la maîtrise des petits acteurs : « la relève est assurée ! »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 090527e

Croix-Rouge s’affiche

Voici le programme du festival Croix-Rouge s’affiche de ce mercredi 27 mai

Dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne. Exposition de sculptures de Zemanel, autour de personnages de contes (travail à base de bois et métal récupérés).

À 14 h 30. « De l’autre côté des rochers qui penchent », un conte tout public de José Mendès (45 minutes).

Mercredi 27 en soirée : buvette et vente de gâteaux cuisinés par les habitantes du quartier.

À 19 h 30, en première partie de soirée : « La morsure des Hyènes », sur un texte et une mise en scène de Zemanel , par la troupe de l’Atrac de Sillery (60 minutes).

À 21 heures, en deuxième partie de soirée : création du festi val : « Éclats de quartier », un texte et une mise en scène de José Mendès, sur une chorégraphie de Franck Settier, assisté de David Moyen et Malik : un mélange de théâtre, danse et musique invite le spectateur à un parcours au sein du quartier avec des rencontres.

Entrées libres.
Tout public (60 minutes).
Réservations conseillées au 03.26.49.47.07 (secrétariat de l’espace La Nacelle).

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Journal « l’Union » - 090527d

Réactions des lecteurs : Moins de monde au festival Croix-Rouge s’affiche (Reims)

celdong : « Eh oui, c’est normal les années précédentes on avait des affiches, il y a trois ou quatre ans, il y avait même des flyers à prendre dans le bus avec les programmes. Et cette année ? Il fallait deviner où ça allait se tenir et quand ? Je suis passée toute la semaine précédente à Croix-Rouge, et je n’ai rien vu … La communication sur l’événement est à revoir pour l’année prochaine ! »,

bibou51 : « Il y a un manque de communication car je n’étais pas au courant que c’était en ce moment ! ».

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Journal « l’Union » - 090527c

Retraitées violées à Reims : l’acquitté rejugé sur trois jours

Troyes / Il avait échappé à la prison grâce à son « micropénis »

C’est aujourd’hui au palais de justice de Troyes que doit s’ouvrir devant la cour d’assises d’appel de l’Aube le procès de Nordinne Dif, un Rémois de 38 ans accusé du viol de deux retraitées en 2005.

Comme rappelé dans notre édition du 13 mai, son précédent procès devant les assises de la Marne s’était soldé en février 2008 par un spectaculaire acquittement. L’homme avait échappé aux vingt ans de réclusion criminelle réclamés par l’accusation grâce à son petit sexe, « un micropénis » selon les experts, trop minuscule pour lui permettre de pratiquer une pénétration. Le parquet général avait aussitôt fait appel de l’acquittement.

Déjà peu banale, l’affaire devient plus surprenante encore quand on sait que Nordinne Dif est reparti en prison cet hiver après avoir été mis en examen suite aux viols de deux octogénaires rémoises le 29 novembre à une heure d’intervalle, la première chez elle rue Brûlé, la seconde dans le hall de son immeuble rue Cérès.

Dans cette nouvelle affaire toujours à l’instruction, Nordinne Dif a été mis en cause par son ADN, ce qui n’est pas le cas du précédent dossier jugé à Troyes (il avait refusé à l’époque tout prélèvement génétique et aucune analyse des surfaces ou objets éventuellement souillés n’avait été réalisée).

Un témoin en chaise roulante

Le premier viol reproché à l’accusé est celui d’une dame de 66 ans place Jean-Fragonard, le 10 septembre 2005. Vers 1 heure du matin, un homme encagoulé, pieds nus et seulement vêtu d’un slip avait prétexté être le petit-fils pour se faire ouvrir la porte. Saisissant la victime par la gorge, il l’avait frappée et entraînée dans sa chambre où il lui avait imposé une fellation. La victime, malade, était morte sept mois plus tard.

La seconde retraitée âgée de 84 ans fut attaquée le 8 octobre 2005 avenue d’Epernay. Prétextant venir relever le compteur d’eau, l’agresseur avait conduit de force l’octogénaire dans son lit.

Il l’avait giflée, frappée et violée avant de s’enfuir au moment où le mari de 85 ans, alerté par le bruit, était arrivé dans la chambre en chaise roulante.

Originaire de Charleville-Mézières, Nordinne Dif avait été condamné dans cette ville, en 2002, à quatre ans de prison ferme pour les agressions sexuelles de deux voisines de 76 et 80 ans.

Sa peine purgée, il était venu s’installer à Reims. Il habitait dans le même immeuble que la dame violée place Jean-Fragonard. Autant d’éléments qui ont conduit à son arrestation mais après vingt-neuf mois de détention provisoire, il était acquitté après une seule journée de procès durant laquelle la taille de son pénis fut au centre des débats.

Nordinne Dif a toujours contesté être le violeur des deux retraitées. Il reste sur cette position. Comme à Reims, la défense va plaider l’acquittement.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090527b

TENNIS / Interclubs (4e journée) : La montée pour les Européens

S’ils ne sont pas battus à Nantes, les Cormontreuillois accéderont en N2.
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L’Europe Club a décroché son billet pour la N3 et Cormontreuil jouera la « finale » à ce niveau à Nantes lors de la dernière journée.

COMME on pouvait s’y attendre, la 4e journée a clarifié la situation. Cormontreuil a dominé Dijon et disputera le 7 juin - il y a relâche ce dimanche en raison des championnats de ligue individuels - sa finale sur la terre battue nantaise sachant qu’un nul serait suffisant.

En N4, l’Europe Club a décroché la montée en s’imposant brillamment à Tremblay. Pourtant menés 3-2 à l’issue des simples, les Européens ont démontré leurs gros progrès en double - exercice qui leur avait été fatal l’an passé - avec un carton plein grâce à une partie acharnée de Mathieu Roy et Florent Seuret.

A domicile, le TC Reims a, de nouveau, connu la défaite mais inscrit son premier point (!) grâce à une belle perf de Cyril Pusset (5/6) à 3/6. Le TC Géo-André s’est logiquement incliné contre le favori de la poule Gambsheim mais conserve ses chances pour le maintien à condition de battre l’AS Mantaise.

Chez les dames, le TC Géo-André est passé tout près de l’exploit face à Noisy-le-Grand qui présentait une 30/1 et une 30/5 ! Il faudrait maintenant un miracle - victoire 8-0 à Niort ! - pour que Géo renouvelle son bail à ce niveau. Enfin, les filles de l’Europe Club, encore amoindries (blessure de Marie Menacer, absences d’Alice Hall et Emilie Gaillot) n’ont rien pu faire contre Saint-Raphaël. Le déplacement à Toulouse sera décisif. « C’est encore jouable », annonce, très motivée, la capitaine Muriel Legué.

NATIONALE 3

CORMONTREUIL. Cormontreuil TC bat ASPTT Dijon 7-1.

S. Neveu (- 4/6) bat Beuque (- 15, Cormontreuil) ; Robert (- 4/6, Cormontreuil) bat Meunier (1/6) 0-6, 6-4, 6-0 ; Jolly (- 4/6, Cormontreuil) bat Charret (1/6) 6-4, 6-2 ; Leveque (- 2/6, Cormontreuil) bat Errard (15/2) 6-0, 6-1 ; Pilliet (- 2/6, Cormontreuil) bat J.-E. Neveu (30) 3-0 abandon.

Beuque - Robert battent Meunier - Charret 6-4, 6-1 ; Jolly- Pilliet battent S.Neveu - Errard 7-5, 6-4.

NATIONALE 4

REIMS. - Neuilly Plaisance Sports batTC Reims 7-1.

Allaf (1/6) bat Wauthier (4/6,TC Reims) 6-1, 6-3 ; Lescallier (1/6) bat Aubry (5/6, TC Reims) 6-3, 6-4 ; Adjenak (2/6) bat Cailleux (5/6, TC Reims) 6-1, 6-2 ; Martelet (3/6) bat Bertaux (5/6,TC Reims) 6-3, 6-4 ; Pusset (5/6, TC Reims) bat Lavie (3/6,) 6-2, 5-7, 6-3.

Lescallier - Adjenak battent Wauthier - Bertaux 6-4, 6-3 ; Allaf -Martelet battent Pusset Cailleux 3-6, 6-1, 2-0 abandon.

TREMBLAY-EN-FRANCE - Reims Europe Club bat TC Tremblay 5-3.

Roy (- 4/6, Europe) bat Bozek (- 4/6) 6-2, 6-4 ; Juan (0) bat Castelhano (0, Europe) 6-2, 6-1, Duprat (1/6) bat Seuret (0, Europe) 7-6, 6-3 ; Djenadi (2/6) bat Bonnet (2/6, Europe) 6-4, 6-4 ; Clausse (4/6, Europe) bat D’Angelo (3/6) 6-1, 6-2.

Roy - Seuret battent Bozek - Djenadi 7-6, 3-6, 7-5 ; Castelhano -Bonnet battent Juan - Duprat 6-3, 6-3.

GAMBSHEIM. -TC Gambsheîm batTC Géo-André 5-2.

Vogt (- 4/6) bat Balles (1/6, Géo-André) 6-0, 6-2 ; Cors Pares (- 4/6) bat Pacanowski (2/6, Géo-André) 6-3, 6-0 ; Bello Rodo (0) bat Pignon (2/6, Géo-André) 6-4, 7-5 ; Leroy (4/6, Géo-André) bat Cvetek (5/6) 6-4, 6-4 ; Defosse (4/6, Géo-André) bat Kress (5/6) 4-6, 6-4, 6-2.

Cors Pares - Bello Rodo battent Balles - Pacanowski 6-0, 7-6 ; Vogt - Kress battent Pignon - Leroy 5-7, 6-2, 6-3.

NATIONALE 2 FEMININE

REIMS. RTC Noisy-le-Grand batTC Géo-André 4-3.

Nelly Ciolkowski (-15) bat Mylie Gillet (0,TC Géo-André) 5-7, 6-2, 6-1 ; Marie-Périne Baudoin (-15) bat Claire-Hélène Genin (3/6, Géo-André) 6-1, 6-0 ; Magali Agussol (- 2/6) bat Sophie Bousquet (5/6, Géo-André) 6-0, 6-0 ; Anne-Sophie Rose (15, Géo-André) bat Flora Grcman (30/1) 6-0, 6-1 ; Audrey Sarrazyn (15, Géo-André) bat Nadine Gustave (30/5) 6-0, 6-0.

Marie-Périne Baudoin - Magali Agussol battent Mylie Gillet Anne-Sophie Rose 6-0, 6-1 ; Claire-Hélène Genin - Sophie Bousquet battent Nelly Ciolkowski - Flora Grcman 6-2, 3-6, 7-5.

REIMS. - Saint Raphaël CC bat Reims Europe Club 5-2.

Nathalie Mohn (- 30, Europe) bat Sandra Denis (- 4/6) 7-6, 7-6 ; Mélissa Laharrague (- 2/6) bat Mélanie Roy (4/6, Europe) 6-4, 3-6, 6-4 ; Emilie Logiacco (- 2/6) bat Muriel Legué (5/6, Europe) 6-2, 6-3 ; Sandrine Copillet (0) bat Constance Varin (5/6, Europe) 6-0, 6-1 ; Emilie Bouzeza (0) bat Solène Chauvin (15/5, Europe) 6-0, 6-0.

Nathalie Mohn - Muriel Legué battent Sandra Denis - Mélissa Laharrague 6-2, 4-6, 6-3 ; Sandrine Copillet - Emilie Bouzeza battent Mélanie Roy - Solène Chauvin 6-1, 6-0.

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Journal « l’Union » - 090527a

Petit à petit, le tram fait son chemin

Achèvement des travaux de déviations de réseaux, poursuite des travaux de plate-forme, basculement des voies de circulation… cette semaine est marquée par plusieurs modifications dans les travaux du tramway.

Le planning général des déviations de réseaux est respecté. Lancées, il y a tout juste un an, elles sont réalisées à 98 %. Cours Langlet, en raison de la poursuite des déviations du réseau d’eaux pluviales, la circulation est fermée depuis hier sur le tronçon de la place des Boucheries à la rue du Cadran-Saint-Pierre jusqu’à la fin du mois de juin. Une déviation est mise en place par la rue des Telliers.

Pose des rails

Travaux de plate-forme du tramway.-Plus de la moitié des chantiers de plate-forme sont en cours. L’ensemble de la rue du Docteur-Schweitzer est en travaux de plate-forme avec une circulation dans le sens boulevard des Belges vers Orgeval. Au niveau du carrefour des Belges, des rails ont été posés sur le premier quart et les travaux se poursuivront début juin sur le quart Sud/Est avec le maintien de la circulation.

Avenue de Laon, le chantier du dernier tronçon entre boulevard des Belges et la rue Goussiez ouvrira début juin avec la réalisation d’une voirie provisoire côté droit.

La circulation automobile empruntera ensuite cette voirie provisoire à partir de début juillet pour laisser la place à la réalisation de la voirie définitive côté gauche. La démolition de l’ancienne usine Fossier s’achève et le parking sera ouvert avant l’été et fonctionnera en zone bleue.

Au niveau de la trémie, les travaux de parois moulées se sont achevés avec un peu d’avance sur le planning. Début juin, la dalle de couverture de la trémie commencera à être coulée. Cette opération devrait se poursuivre jusqu’à la rentrée de septembre.

Des voies prémontées

Secteur Promenades et Thiers les travaux sont dans les temps.

Rue de Vesle, 145 mètres de voie prémontée viennent d’être posés sur une voie, entre la rue Chabaud et la rue Clovis. La seconde voie sera posée fin juin.

Depuis le début de la semaine, la circulation a basculé avenue Charles-de-Gaulle entre Chaussée Bocquaine et rue de Courlancy sur la voirie définitive. Les places de stationnement sont également achevées et délimitées par des bordures.

Secteur Franchet-D’Esperey : les travaux du carrefour progressent normalement. La circulation est améliorée depuis le dernier basculement. Le carrefour est proche de la configuration définitive.

La circulation a également basculé avenue Léon-Blum et l’accès aux commerces et notamment à la pharmacie se fait par le parking.

Avenue Bonaparte, la circulation se fait désormais et ce jusqu’en février prochain, sur une voie dans le sens Nord/Sud.

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Journal « l’Union » - 090526e

Travaux du tramway : double peine pour les aveugles

La passerelle fixe débouche sur un tronçon en bitume qui n’est plus bordé de palissades.
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Hier matin, un aveugle s’est perdu sur le chantier du tramway à quelques pas de l’institut Michel-Fandre. Le ton est monté entre les différents acteurs.

« C’EST une accumulation. Aujourd’hui, c’est la grosse goutte d’eau qui a fait déborder le vase. On en a marre. » Il était furieux, hier, Philippe Chabanneix, le directeur de l’institut Michel-Fandre. Car le professeur de braille de l’institut s’est égaré sur le chantier du tramway, à un emplacement qui aurait dû être sécurisé. Or, le professeur en question est aveugle, et la population de l’institut est constituée de 130 déficients visuels, auditifs ou de langage, et de 90 salariés, dont certains sont handicapés.

L’institut est situé en bordure d’un point stratégique du tramway, non loin de l’intersection de l’avenue d’Épernay et de l’avenue du Général-Eisenhower.

Comme partout ailleurs, des cheminements protégés sont organisés pour les piétons. Mais c’est un chantier qui bouge beaucoup. Aussi, ces cheminements sont-ils toujours provisoires. Ce qui est préjudiciable pour les personnes à mobilité contrariée. Par ailleurs, l’institut Michel-Fandre donne sur une petite rue (Léon-Mathieu), dont l’extrémité a été fermée à la circulation. Un passage a été laissé ouvert pour les piétons.

Coup de gueule du directeur

Récemment, une passerelle fixe a été placée au-dessus de la future voie du tram, qui donne ensuite sur un petit tronçon en bitume et débouche sur l’avenue Eisenhower. Cette passerelle n’est pas encore en service. Hier matin, quand le professeur de braille l’a empruntée, elle n’était plus bordée de palissades. Aussi, le professeur aveugle s’est-il égaré dans le chantier.

Très en colère, il a alerté son directeur, qui a immédiatement photographié le contexte de l’incident. M.Chabanneix a ensuite appelé « Mars », le groupement d’entreprises chargé des travaux.

Une voix féminine lui a assuré que quelqu’un était sur place pour aider les piétons à franchir cet espace. Or, jusqu’à plus de 11 heures, les responsables de l’institut n’ont vu personne.

« Nous considérons que notre interlocuteur, c’est la mairie, responsable de l’espace public », estime le directeur. Qui affirme avoir alerté « 40 fois » la mairie sur les problèmes de traversée du chantier par les usagers de l’institut et par les riverains. La mairie est forcément informée puisque la 16e adjointe siège au conseil d’administration, et répercute vers « Mars ».

Mais visiblement, entre les demandes des uns et les bonnes intentions des autres, il y a une réalité pénible à vivre, surtout quand on ne voit ou n’entend pas bien et qu’on perd ses repères par des changements réguliers.

D’où le coup de gueule du directeur qui espère une « attention particulière » de « Mars ». En revanche, pas question pour lui de déléguer un agent pour aider ses « usagers » : « ce n’est pas à nous de le faire », conclut-il.

J.-F.SCHERPEREEL

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« La passerelle n’est pas en service »

L’incident d’hier est lié à un malheureux concours de circonstance, estime Mars. Car la passerelle n’est pas encore en service. Elle le sera mercredi, quand le directeur de l’Institut sera informé, comme il l’est chaque fois, deux jours avant tout changement de cheminement. Changements qui s’accompagnent de la présence d’un « ambassadeur » sur le terrain le jour du changement. D’après « Mars », l’incident d’hier peut s’expliquer par le fait que « pendant le week-end, des plaisantins ont enlevé les palissades ».

Plus généralement, le directeur admet que « Mars » a délégué l’un de ses agents, ce qui a amélioré les choses. Malheureusement, ce dernier est en vacances ces jours-ci.

Enfin, « Mars » affirme que le chef du chantier est « très sensibilisé » aux problèmes des usagers de l’institut M.Fandre.

Ce dernier sait notamment que le bruit et le bouleversement des repères constituent des problèmes pour les malvoyants ou les aveugles.

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Journal « l’Union » - 090526d

Croix-Rouge s’affiche

 

Beaucoup de théâtre à l’affiche du Festival 2009.

Dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne, la comédie musicale d’Hervé Akrich « Le vilain petit lascar » sera jouée deux fois.

À 14 h 30, en séance scolaire (1 heure), comédie musicale écrite, jouée et chantée par les élèves de CM2 de Gaëlle Guedon et Caroline Péronne, de l’école Provençaux.

À 19 heures, séance tout public, Le petit lascar n’a pas laissé les autres petits durs J’influencer. Il a trimé par ses propres moyens pour sortir de l’engrenage qui sévit dans les cités-dortoirs. A partir de maintenant, c’est lui qui sera toujours là pour écouter et pour aider les enfants du quartier …

Entrée libre. Réservations conseillées au 03.26.49.47.07. (secrétariat de l’espace La Nacelle).

 

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Journal « l’Union » - 090526c

La fête à Eisenhower

Le Collectif de défense des locataires Croix-Rouge (CDL.CR) organise une manifestation festive liée à une brocante le dimanche 31 mai de 9 à 18 heures, sur l’esplanade Eisenhower.

« Cette manifestation se composera d’une brocante où figureront des stands de particuliers et des stands associatifs de divers quartiers de Reims. Des prestations artistiques seront proposées par des associations et la maison de quartier, de 14 à 17 heures : chorale, fanfare, danse orientale, hip-hop JJ, précise le président, Fabrice Lopez. « Nous avons mis en place cette manifestation afin de promouvoir la mixité et la cohésion sociale dans notre secteur, et faire connaître également la diversité du monde associatif auprès de la population. » Tous renseignements : CDL.CR, 23, cour Eisenhower (03.51.00.27.69.)

Internet : http://cdlcr3.spaces.live.com

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Journal « l’Union » - 090526b

Les marcheurs de Croix-Rouge

À l’espace Billard, Sylvie Brin, guide accompagnatrice, propose une sortie nature Bol d’air d’un week-end du 30 mai au 1 er juin.

Conditions d’inscription particulières. Renseignements au 14, rue Pierre-Taittinger. Tél. 03.26.08.08.78.

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Journal « l’Union » - 090526a

AVIS DE CONSTITUTION

Dénomination sociale : E.U.R.L. TK’ENERGY
Forme sociale : E.U.R.L.
Siège social : 5, rue Joliot-Curie, 51100 Reims.
Capital social : 2.000 euros.
Objet social : électricité générale.
Durée : 99 ans.
Gérant : MonsieurTOBJI Khalid, 5, rue Joliot-Curie, 51100 Reims.

La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.

Pour avis.

51L1659347

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Journal « l’Union » - 090525c

Festival Croix-Rouge s’affiche

Voici le programme proposé aujourd’hui dans le cadre du Festival Croix-Rouge s’affiche.

Dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne, à 19 h 30 et à 20 h 45, ponctuation de lectures « Parler à quelqu’un ou à quelque chose ) par les habitants de Croix-Rouge et des autres quartiers rémois, les textes sont issus des ateliers d’écriture d’Eddy Pallaro (en partenariat avec la Comédie de Reims).

À 14 h 30, « Eh bien, jouez maintenant ! II de José Mendès par la Compagnie AgeasseThéâtre (1 h 15). séance scolaire.

En soirée : buvette et vente de gâteaux confectionnés par les habitantes du quartier.

À 19 h 30, en première partie de soirée : « F … II de la Compagnie Aldente Théâtre, en collaboration avec le Ballet du Hainaut, compagnie belge invitée dans le cadre du Festival « Brut de Scène II (1 h 10).

À 20 h 45, en deuxième partie de soirée : « Les neuf pensées du soleil quand il fait nuit sur Reims », par l’atelier théâtre de Catherine Brion, en partenariat avec la Comédie de Reims.

Spectacles gratuits. Réservations conseillées au 03.26.49.47.07. (secrétariat de l’espace La Nacelle).

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Journal « l’Union » - 090525b

Avenue Bonaparte / Deux jeunes incendiaires arrêtés en flagrant délit

Deux jeunes gens de 16 et 18 ans impliqués dans certains des incendies allumés ce week-end dans le quartier Croix-Rouge à Reims ont été arrêtés en flagrant délit par la police.

A l’image des nuits précédentes, celle de vendredi à samedi fut animée avenue Bonaparte avec une succession de feux de poubelles entre 23 h 15 et 0 h 10, devant les immeubles des numéros 1, 3 et 7 (l’union d’hier).

Les auteurs courent toujours. D’après leurs déclarations, les deux jeunes interpellés se trouvaient au balcon quand ils ont vu que ça brûlait en bas. Ils n’ont pu résister à la tentation de s’y mettre eux aussi, d’autant que le mineur est un spécialiste des incendies. Il est déjà connu de la justice pour de tels faits. Peu après minuit, samedi, il est donc descendu en bas de l’immeuble, accompagné du majeur et d’un petit de huit ans dont l’absence du domicile familial en cette heure pourtant tardive n’a pas ému outre mesure les parents…

Le bambin est cependant resté à l’écart des deux grands, se contentant d’assister passivement à leurs « amusements ».

Direction la prison

Les deux acolytes affirment avoir trouvé par terre une bouteille remplie d’un liquide inflammable et abandonnée là par d’autres incendiaires. Ils l’ont utilisée pour tenter de mettre le feu à des WC de chantier. Echec !

Ils ont ensuite brûlé un sac-poubelle dans les buissons avant d’incendier des papiers contre la porte en fer d’un parking souterrain. La police les a surpris à ce moment-là. Il était 1 heure du matin. Au terme des gardes à vue, les deux jeunes ont été présentés hier au parquet. Sous le coup d’un mandat d’arrêt délivré dans le cadre d’une autre affaire, l’adolescent a été écroué pour une durée d’un mois. Une procédure supplémentaire va être engagée à son encontre.

Inconnu de la justice, son copain de 18 ans a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel. Quant au gamin de huit ans, il a été remis à ses parents, lesquels ont été auditionnés par la police. Ils s’exposent à des poursuites pour défaut de surveillance parentale. Les investigations se poursuivent pour tenter de résoudre les autres incendies déplorés ces dernières nuits avenue Bonaparte : deux voitures samedi, deux autres voitures et un tractopelle jeudi, un engin de chantier type compresseur dimanche, sans oublier les feux de poubelles.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090525a

Suicide : Chute mortelle

Vendredi vers 15 h 45, une femme est mortellement tombée du onzième et dernier étage d’un immeuble du groupe Eisenhower (l’union de samedi).

L’enquête de police a confirmé la thèse du suicide. De nationalité portugaise, la victime âgée de 42 ans était dépressive. Elle avait quitté une maison de repos au Portugal pour venir en vacances chez une personne domiciliée au groupe Eisenhower. Vendredi, le locataire s’était absenté lorsque son amie a soudain décidé de mettre fin à ses jours. Tombée du balcon, elle a fait une chute de près de trente mètres.

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Journal « l’Union » - 090524d

TENNIS / Interclubs Confirmation attendue

Si l’avenir des Marnais est déjà largement dessiné, la 4e journée devrait être, aujourd’hui, celle des confirmations.

Ainsi, en N3 garçons, Cormontreuil, fort de trois succès 7-1, s’attachera, à domicile, à éviter le piège tendu par l’ASPTT Dijon. Le leader se garantirait alors le droit de jouer l’accession lors de l’ultime match, à Nantes.

En N4, le sort du TC Reims est scellé. La réception de Neuilly Plaisance, formation qui a également perdu tous ses matches, sera l’occasion d’enfin inscrire un ou plusieurs points…

Pour sa part, le Reims Europe Club se déplacera à Tremblay en conquérant. Une victoire voir un nul lui ouvrirait les portes de la N3. Quant au TC Géo-André, la virée au TC Gambsheim ne s’annonce pas de tout repos car les Alsaciens sont leaders.

Du côté des dames, Géo-André ne s’attend pas à des miracles contre le solide Noisy-le-Grand et ses deux -15. Enfin, avec encore une équipe amoindrie (absence d’Alice Hall et blessure de Marie Menacer), le Reims Europe Club accueillera aux Thiolettes Saint-Raphaël.

AUJOURD’HUI (9 heures) :

MESSIEURS.- N3 : Cormontreuil TC - ASPTT Dijon ; N4 : TC Reims - Neuilly Plaisance Sports, TC Tremblay - Reims Europe Club, TC Gambsheim - TC Géo-André.

DAMES.- N2 : TC Géo-André - RTC Noisy le Grand ; Reims Europe Club - Saint Raphaël CC.

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Journal « l’Union » - 090524c

Festival Croix-Rouge s’affiche : Le programme du jour

Comment dire ses mots cachés, ses maux enfouis ?
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Toute la journée : brocante de l’Acrap et exposition « Artistes de Croix-Rouge » sur le parking de l’hippodrome.

Dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne : à 14 heures, exposition « Fables sculptées » de Zemanel

Toujours dans la salle du Croux : théâtre avec « Des mots dans le brouillard » par la troupe de l’Atrac de Sillery (section adultes), auteur et mise en scène : Zemanel.

« Les situations extraordinaires bousculent les mots et les idées. Elles nous poussent parfois à révéler aux autres et à nous-mêmes, ce qui nous encombre depuis de longues années. Nous avons les mots pour le dire et pourtant la parole nous fait défaut. Les non dits s’entassent, parfois de manière inconsciente, et attendent tapis dans les méandres de la mémoire, le jour où ils pourront remonter à la surface. Patricia, Jeanne, Norbert et les autres viennent de vivre un accident d’avion. Et si c’était pour eux la situation qui pourra les conduire à dire leurs mots cachés, leurs mots ou maux enfouis ? »

Dans le même temps, ponctuation de lectures « Parler à quelqu’un ou à quelque chose » par les habitants de Croix-Rouge et des autres quartiers rémois, les textes sont issus des ateliers d’écriture d’Eddy Pallaro (en partenariat avec la Comédie de Reims).

Tout public. Réservation conseillée au 03.26.49.47.07. (secrétariat de l’espace La Nacelle).

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Journal « l’Union » - 090524b

Vengeance : Il incendie la voiture de son ex

Les feux de voitures dissimulent parfois des règlements de comptes ou des dépits amoureux. Mercredi soir, un Rémois de 31 ans se rend esplanade Paul-Cézanne au quartier Croix-Rouge pour discuter avec son ex-compagne. Sauf qu’il est 22 h 30 et qu’elle ne veut pas le voir. Elle refuse de lui ouvrir la porte malgré ses appels incessants à l’interphone.

Excédée, la locataire débranche l’appareil. L’homme parvient à entrer dans l’immeuble. Il s’annonce devant l’appartement à grands coups de pied dans la porte accompagnés d’injures. Puis il s’en va.

Vers 3 heures du matin, il revient sur le parking où est garée la Citroën ZX de la victime. Il tape dedans, saute dessus et finit par sortir un briquet avec lequel il enflamme le pare-chocs arrière. La voiture prend feu partiellement.

L’incendiaire s’enfuit vers la place Georges-Braque mais des policiers l’interpellent. Il est complètement saoul. D’après ses déclarations, il était en colère car son ex l’a éconduit alors que trois jours plus tôt, elle l’avait accueilli à bras ouverts.

Malgré un casier judiciaire vierge, le parquet de Reims a fait juger l’individu en comparution immédiate pour lui délivrer un sévère avertissement.

Il a été condamné à quatre mois de prison assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de suivre des soins psychologiques, d’indemniser la victime et de ne plus la rencontrer, sauf lors des droits de visite fixés par le juge aux affaires familiales (le couple a eu un enfant dont la garde est confiée à la mère).

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Journal « l’Union » - 090524a

La police enquête : Une quinzaine d’incendies en 24 heures

Les pompiers de Reims n’ont pas eu le temps de souffler dans la nuit de vendredi à samedi. La faute aux incendiaires qui ont sévi un peu partout dans l’agglomération.

A partir de 23 h 15, comme les nuits précédentes, des incendies ont été allumés avenue Bonaparte à Croix-Rouge. Une poubelle a brûlé devant le n°1, puis une deuxième à 23 h 30 devant le n°3, une troisième à 0 h 10 devant le n°7. A 0 h 55, des papiers ont été incendiés devant le parking souterrain.

La police enquête sur ces feux à répétition. Jeudi, deux voitures ont brûlé au même endroit vers 4 heures du matin, puis un tractopelle vers 22 h 30 (une dizaine d’individus se trouvaient autour). Un engin de chantier de type compresseur était déjà parti en fumée dimanche soir avenue Bonaparte.

A 3 h 15, ….

Vingt minutes plus tard, retour au quartier Croix-Rouge où une Citroën Xsara a été incendiée rue Joliot-Curie. Le sinistre s’est propagé à une Renault 21.

A 13 h 30 hier, un nouveau « feu d’appartement » fut signalé dans un immeuble de l’allée des Savoyards. Venus en nombre, les pompiers ont découvert un feu de friteuse d’ailleurs éteint avant leur arrivée. Ils ont procédé à la ventilation de la cuisine.

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Journal « l’Union » - 090523d

Croix-Rouge s’affiche : Le public boude les rendez-vous

Le groupe Kerjo and The Mothafonk.
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Les spectacles n’ont pas attiré la foule comme par le passé.
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Belles préstations des associations locales.
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Un hommage a été rendu à la musique d’artistes algériens exilés en France.
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On est loin du succès des années antérieures. Les spectacles de Croix-Rouge s’affiche ne déplacent pas les foules cette année. A qui la faute ?

POUR le concert d’ouverture, le groupe Kerjo and the Mothafonk, pourtant plein d’entrain a dû attendre trente minutes, faute de public, avant de jouer finalement devant cinquante personnes une bonne musique hip-hop et rap, nourrie de jazz, soul et rock.

Heureusement au fil de la soirée, en deuxième partie, Mouss et Hakim, du groupe Toulousain « Origines contrôlées » a mobilisé d’avantage les habitants et ce sont finalement 300 spectateurs, pas plus, qui ont participé à un hommage à la musique d’artistes d’Algérie exilés en France.

Comme en parlaient les spectateurs, « on était loin des concerts d’ouverture des années précédentes de 2005 à 2008 qui regroupaient entre 2.000 et 5.000 personnes avec des têtes d’affiche prestigieuses et surtout une musique rai qui a bien fait défaut cette année à cette édition 2009. »

Jeudi

Jeudi, place aux associations de quartiers et belles démonstrations toute l’après-midi de formations de Croix-Rouge mais pas seulement, clôturée par la prestation de Casareccio.

Le programme d’aujourd’hui

Ce soir au théâtre, dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.

À 18 h 30, « Liou tsou et les arbres nains » par la Compagnie Artaïs (auteur : Louis Hugonnier ; metteur en scène : Suzanne Cloutier ; comédiens : Anne Mathilde Ritzu, Vincent Bouré et Aymeric Ébrard). Cette pièce a été créée à l’espace Le Flambeau dans le cadre de « Brut de scène ».

« Au Pays de Liou Tsou, derrière le dernier volcan, les arbres sont nains. Et les légendes immenses. Liou Tsou va bientôt ranger sa flûte mais le vent se lève et le décoiffe. Il n’a pas dit son dernier mot. D’autant qu’on ne sait toujours pas où sont passés les trois sabres de Kinhjo, que personne n’a vu danser les trois tantes, ni courir le sumo, ni voler les poissons, ni fanfaronner les rats. Seul Liou Tsou sait ce qui s’est vraiment passé. Et comme il n’a pas pris le temps d’écrire et que l’on ne peut trouver son livre dans les librairies, alors il faut simplement prendre le temps de l’écouter, lui, le vieil homme à la flûte d’argent, assis au pays des arbres nains. »

Dans le même temps, ponctuation de lectures « Parler à quelqu’un ou à quelque chose » par les habitants de Croix-Rouge et des autres quartiers rémois, les textes sont issus des ateliers d’écriture d’Eddy Pallaro (en partenariat avec la Comédie de Reims).

Tout public (1 h 15). Entrée libre. Réservation conseillée au 03.26.49.47.07 (secrétariat de l’espace La Nacelle).

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090523c

Jusqu’au samedi 13 juin : Inscriptions scolaires

Les inscriptions scolaires pour l’année scolaire 2009-2010 se déroulent jusqu’au samedi 13 juin.

Antennes municipales

Le lundi, de 14 heures à 17 h 30 , du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 et le samedi, de 8 h 30 à 12 heures :

- Antenne Châtillons, avenue C. Colomb, 03.26.06.25.96 .
- Antenne Croix-Rouge, rue Joliot Curie, 03.26.35.60.20.
- Antenne Europe, place Jean Moulin, 03.26.35.60.00.
- Antenne La Neuvillette, avenue Nationale, 03.26.35.60.05.
- Antenne Murigny, place René Clair, 03.26.85.44.44.
- Antenne Orgeval, place Pierre de Fermat, 03.26.35.60.10 (antenne ouverte le lundi matin de 8 h 30 à 12 heures et fermée le samedi matin)
- Antenne Mobile, 06.16.39.21.02.

Service éducation

Au service éducation : 4, rue Jovin du lundi au jeudi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 ; le vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures.

Documents à présenter

Carnet de santé de l’enfant (pour le contrôle des vaccins), livret de famille, justificatif récent du domicile (quittance de loyer ou d’EDF), éventuellement extrait de jugement de divorce ou de séparation précisant le lieu de résidence de l’enfant et l’autorité parentale ; certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé).

Passage en cours préparatoire : Il se fera en mai par l’intermédiaire de l’école maternelle dans laquelle est scolarisé l’enfant.

Pour tout renseignement : Tél. 03.26.77.76.33 ou 03.26.77.76.34 ou 03.26.77.76.31.

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Journal « l’Union » - 090523b

Suicide ? : Chute mortelle du 11e étage

 

Hier vers 15 h 45, une femme est tombée du onzième et dernier étage d’un immeuble du groupe Eisenhower.

Arrivés sur les lieux, les pompiers et l’équipe du Smur n’ont pu que constater le décès de la victime qui s’est écrasée sur une dalle en béton (elle a fait une chute d’environ trente mètres). Il y avait beaucoup de monde sur l’esplanade. Les services de police ont mis en place un périmètre afin d’écarter les passants et de permettre aux enquêteurs de procéder aux constatations.

Hier soir, l’enquête s’orientait vers l’hypothèse du suicide. Des témoins auraient vu la dame seule, au balcon, hurlant qu’elle allait se suicider avant d’enjamber la rambarde et de mettre sa menace à exécution.

De nationalité portugaise, la victime âgée d’une quarantaine d’années avait récemment emménagé dans l’immeuble.

 

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Journal « l’Union » - 090523a

Feux à volonté : Chronique incendiaire

Jeudi vers 22 h 30, un tractopelle a été incendié sur un chantier de l’avenue Bonaparte. L’origine est manifestement criminelle. Un témoin a vu une dizaine d’individus rôder autour de l’engin avant qu’il ne prenne feu (jeudi à 4 heures du matin, une voiture avait déjà brûlé avenue Bonaparte).

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Journal « l’Union » - 090522f

Fin des travaux octobre 2010

Après la cérémonie de la soudure symbolique du premier rail du tramway, Christian Messelyn, président de Mars, a dressé l’état de l’avancement des travaux du tramway :

« Les délais sont respectés ; nous enregistrons à Reims dix fois moins d’incidents sur les réseaux que sur le reste de la France ; les Rémois vont prendre de plus en plus conscience de ce que sera leur futur tramway. 500 personnes sur les chantiers et 200 dans les bureaux et l’ingénierie sont mobilisés et 982 aménagements et travaux de voirie seront terminés en mai 2010. Les premières rames sortiront des ateliers de La Rochelle en mars 2010 ».

Adeline Hazan, présidente de la communauté d’agglomération de Reims a précisé : « Le projet prend corps, au-delà des désagréments inhérents subis par les habitants et les commerçants : la fin des travaux aura bien lieu en octobre 2010. »

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090522e

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7290 du 18 au 24 mai 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS

BMJ
Société à responsabilité limitée
au capital de 7.622,45 €uros
Siège social :
5 rue Marie Dominique Maingot
51100 REIMS
Reims
B 415 007 921

L’assemblée générale extraordinaire réunie en date du 20 avril 2009 a décidé d’augmenter le capital social, à effet rétroactif au 31 janvier 2009, de 92.378 € par l’incorporation directe de réserves au capital, ce qui rend nécessaire la modification de l’article 7 des statuts et la publication des mentions suivantes :

ANCIENNE MENTION : Le capital social est fixé à sept mille six cent vingt deux €uros (7.622 €).

NOUVELLE MENTION : Le capital social est fixé à cent mille €uros (100.000 €).

74905 La gérance

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Journal « l’Union » - 090522d

Croix-Rouge s’affiche

 

Rascal, le « vilain petit lascar », sait que les jeunes ne disposent souvent pas d’assez d’informations, et qu’ils ne bénéficient pas vraiment de l’aide et du soutien dont ils auraient besoin. Alors ce banlieusard au grand cœur, que les gamins de son quartier méprisaient dans sa jeunesse, va finalement se retrouver à aider leurs gamins …

Hervé Akrich présente cette comédie musicale (1 heure de spectacle) dans la salle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.

À 14 heures, séance scolaire (école élémentaire des Provençaux).

À 19 heures, séance tout public. Entrée libre. Réservation conseillée au 03.26.49.47.07. (Secrétariat de l’espace La Nacelle).

 

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Journal « l’Union » - 090522c

Afrique Conseil

L’association Afrique Conseil, animée par des psychologues, organise dans le quartier Croix-Rouge des groupes de parole ouverts aux parents et aux jeunes.

« Ces rencontres ont pour objet de soutenir les parents dans leur mission éducative, ,leur donner des repères sur les étapes du développement psychologique de leurs enfants, leur donner la parole afin qu’ils évoquent leurs difficultés, leurs réussites éducatives, aider les adolescents à se réconcilier avec eux-mêmes ou avec leurs parents » précise Rose Sita,l’une des animatrices.

Les réunions se dérouleront à l’espace La Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge (3. rue du docteur-Billard) mardi 26 mai et mardi 30 juin, de 18 à 20 heures.

Renseignements au 06.61.50.03.30. (Entrée libre).

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Journal « l’Union » - 090522b

Nuit agitée pour les pompiers : Pas de fumée sans feu !

Hier matin, les soldats du feu sont intervenus à plusieurs reprises dans divers secteurs de la ville pour des incendies de voiture.

Récit d’une nuit agitée.

2 h 45, 6 esplanade Paul-Cézanne à Croix-du-Sud dans le quartier Croix-Rouge, ils interviennent pour un premier feu de voiture, le véhicule a été éteint avant leur arrivée.

4 h 17, retour dans le quartier Croix-Rouge au 7 avenue Bonaparte, pour cette fois-ci deux voitures en flamme, ils en sont arrivés à bout en quelques minutes à l’aide d’une petite lance.

La nuit aura été pas mal agitée pour les pompiers mais aussi pour les propriétaires des voitures incendiées qui n’ont plus que leurs assurances pour pleurer.

TAF

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Journal « l’Union » - 090522a

Au feu !

Ordures et matelas. Un feu dans un local vide-ordures s’est déclaré mercredi peu après 16 heures dans un immeuble de l’allée des Bourguignons (Croix-rouge), obligeant les pompiers à sortir une lance

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L’hebdo du vendredi- n° 124 - 090521c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 124 - Semaine du 21 au 28 mai 2009

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Tramway : le chantier à mi chemin !

Après l’achèvement des déviations de réseaux d’ici à la fin mai, le chantier du tramway va entrer dans une nouvelle phase avec le démarrage des travaux de plate-forme.

Afin de marquer cette étape, une soudure symbolique d’un rail s’est déroulé vendredi dernier à proximité de la faculté de Droit et Lettres : l’occasion idéale pour l’entreprise MARS (Mobilité Agglomération Rémoise) de rappeler que les travaux, débutés en2008, seraient bien achevés à l’automne 2010, pour une mise en service du tramway au printemps 2011.


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Spectacle

Apparitions/Disparitions - Les Souffleurs commandos poétiques, samedi 23 mai à 11h, médiathèque Jean Falala/ 15h médiathèque Croix- Rouge/ 19h Centre culturel Saint- Exupéry.

Gratuit


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JUSQU’AU 28 MAI : Festival : « Croix-Rouge s’affiche »

16ème édition avec de la musique, de la danse et du théâtre.

Le programme complet sur festivalcroixrouge2009.blogspot.com

Entrée libre – Rens. : 03 26 49 47 07

Au Crous, rue de Rilly-la-Montagne


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JUSQU’AU 30 MAI : « Le cinéma des origines »

Du pré-cinéma jusqu’au cinéma sonore.

Médiathèque Croix-Rouge, Jean Falala et Laon-Zola

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Journal « l’Union » - 090521b

Une belle fête à venir à Croix-Rouge : Les voisins seront chouchoutés

L’association At’Hom réunit les voisins dans un hall d’immeuble faute de salle associative.
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Tout est prêt pour faire de la fête des voisins 2009 un grand cru dans le quartier Croix-Rouge.

Rafale-Université

Le Collectif des locataires de Croix-Rouge fête les voisins mardi 26 mai dès 19 heures, devant les 23 et 21, cour Eisenhower.

Pays-de-France

L’Association de promotion de Pays-de-France organise la fête des voisins mardi 26 mai à partir de 19 heures au 5, allée des Picards (06.31.61.16.10.).

L’association « Et Croix-Rouge, comité Pays-de-France » donne rendez-vous aux habitants au niveau du Cref, à partir de 18 h 30. « Chacun apportera un petit quelque chose et nous partagerons. »

Hauts-de-Murigny

L’Amicale des Hauts-de-Murigny précise : « Dans notre quartier, chaque entrée gère cette manifestation ».

At’Hom

L’Association des locataires At’Hom fêtera les voisins, non pas le mardi 26 mai, mais le vendredi 29 mai : « Beaucoup de locataires préfèrent le vendredi au mardi. Nous envisageons l’organisation d’un barbecue, chaque participant apportant sa viande et les desserts et la boisson. » Rendez-vous dans le petit parc au centre des immeubles, entre les allées Jacques-Simon et Yves-Gandon, à partir de 19 heures : « Nous aurons un petit chapiteau en cas de mauvais temps ». Renseignements : 03.26.86.10.03.

Polygones

La fête des voisins se déroulera début juin, à une date qui reste à définir.

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Journal « l’Union » - 090521a

Festival Croix-Rouge : à l’affiche aujourd’hui

C’est aujourd’hui le deuxième jour de concert sur le parking de l’hippodrome.

De 14 à 18 heures, scène « Culture de quartier » programmée par Magali Garcia. Des talents du quartier, mais aussi d’autres quartiers.

Le programme « concert et danses » de l’après-midi a été préparé par Younes et Larissa :

Allaoui Bensad, Miss et Nine (Croix-Rouge), Pocket Girl/Fatal Crew (Wilson), TCB (Croix-Rouge), MLAN (Bonaparte), Dreamers Crew (Croix-Rouge), Da Bomb Squad (Cernay-Europe), Les Perles d’Orient (Suas), Temps Dance (Clairmarais), Gflex et Matis, Quintessence (Le Flambeau), Démo Taekwendo (Ibrahima Diouf), African 10 Crew (Maison-Blanche), Les Fées du Désert (Croix-Rouge), X.Trem Team (Croix-Rouge), Koreen Klay, Unit Twelves (Château-Thierry), Black Industrie (Croix-Rouge), Meltin Crew (Croix-Rouge), Frenezy Officiel (Logobi-Paris), Élégant Vibes et KMR. (Wilson). À 19 h 30, « Casareccio » chanson rock et cabaret groove : créé en 2000, le groupe a donné 150 concerts en Champagne-Ardenne, Lorraine et Bretagne. Il a été finaliste du Trophée France Bleu en 2004.

Depuis 2006, il évolue en quintet : batterie, contrebasse, vents, guitares, chant et chœurs. L’ensemble des activités du festival est ouvert et offert à tous sans contrepartie financière.

Infos Nacelle : 03.26.49.47.07. Blog : http://festivalcroixrouge2009.blogs...

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Journal « l’Union » - 090520e

Programme du mercredi 20 mai Festival Croix-Rouge s’affiche

Mouss et Hakim revisitent des titres d’artistes algériens exilés en France
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Aujourd’hui, c’est l’ouverture du Festival avec un premier jour de concerts sur le parking de l’hippodrome.

Au programme,
- à 19 h 30, « Kerjo and the Mothafouk » Hip Hop, jazz soul et rock.
- À 21 h 30, « Origines contrôlées » Mouss et Hakim, chants berbères de Kabylie.

Mouss et Hakim Amokrane, sont frères et toulousains, musiciens, auteurs, compositeurs et interprètes.

Ils furent deux des membres du groupe Zebda. Puis ils participèrent à l’opération 100 % collègues, s’impliquèrent dans le collectif Motivés, mi-musique mi-politique, et ont collaboré avec de nombreux artistes, de Tiken Jah Fakoly jusqu’à Brigitte Fontaine, en passant par Cheb Mami.

Dans « Origines contrôlées », ils revisitent des titres d’artistes algériens exilés en France depuis 40 ans.

L’ensemble des activités du festival est ouvert et offert à tous sans contrepartie financière. Infos Nacelle : 03.26.49.47.07. Blog : http://festivalcroixrouge2009.blogs…

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Journal « l’Union » - 090520d

Cour d’appel : Opac nouveau report

Décidément, le dossier de l’ancienne directrice de l’Opac de Reims, Elisabeth Chery, doit être plus compliqué que prévu. La cour d’appel de Reims devait initialement rendre son jugement le concernant le 16 avril, et avait finalement repoussé cette date au 19 mai. Le 19 mai c’était donc hier, et hier, la cour a prononcé une nouvelle mise en délibéré, à la date du 27 mai cette fois-ci.

Rappelons qu’il était reproché à Chery des pratiques douteuses dans la gestion de l’organisme logeur (devenu depuis Reims habitat), par exemple des travaux effectués aux frais de l’office pour son logement personnel, ou une forme de favoritisme pour l’attribution d’un marché informatique.

Mais au cours du procès on avait eu deux conclusions radicalement différentes. Aux yeux de la partie civile, les infractions pénales étaient bel et bien constituées. Pour la défense, en revanche, s’il y avait bien eu fautes de gestion, rien ne ressemblant à un délit pénal ne pouvait être reproché à l’ancienne directrice, et ce malgré des apparences propices à la suspicion : alors que Mme Chery dirigeait l’Opac, son fils, lui, dirigeait plus ou moins directement plusieurs entreprises, entreprises qui avaient contracté comme par hasard des marchés avec ce même Opac. Troublant bien sûr, mais pas assez pour que la justice en tire des conclusions hâtives.

A.P.

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Journal « l’Union » - 090520c

Mauvaise journée pour les filles de l’Europe Club.

La 3e journée des interclubs a connu un bilan identique à celui de la semaine passée avec trois victoires pour autant de défaites. Mais ces succès s’avèrent quasi décisifs pour la suite. A commencer par le Cormontreuil TC qui, fidèle à ses habitudes, s’est imposé sur le score de 7-1 contre l’ASPTT Marseille. Reste désormais à battre Dijon pour aller défier Nantes dans la finale attendue de la poule.

En N4, le TC Reims est toujours abonné au même tarif à savoir une défaite 8-0. Cette fois, au Perreux, c’est l’Alsace Lorraine Paris qui a corrigé le TCR.

Pour les autres formations rémoises de cette division, l’horizon est nettement plus dégagé. Vainqueur (7-1) de la réserve du TC Lille emmenée par Maxime Boyé, l’Europe club s’est ouvert le chemin de la montée. Un succès voire un nul lors des deux prochaines rencontres suffirait à leur bonheur. Quant aux sociétaires du TC Géo-André, certes avantagés de jouer à l’intérieur, ils ont réussi la performance de battre Beauvais (4-3) avec notamment une belle « perf » de Vincent Pacanowski (2/6) sur un espagnol à -2/6. De quoi maintenant envisager sereinement le maintien. Ce qui malheureusement n’est pas le cas des filles de « Géo » qui, en N2, à domicile, ont subi la loi des joueuses Mondevilloises. La belle « perf » d’Anne-Sophie Rose (15) à 2/6 restera ainsi anecdotique face au favori de la poule. Enfin, privé de Nathalie Mohn (-30) en tournoi à Strasbourg et d’Alice Hall (-2/6) partie aux Etats Unis puis subissant l’abandon de Marie Menacer (-4/6) - sa blessure à la main droite s’étant réveillée -, l’Europe Club n’a pas pesé lourd au TC Lyon.

MESSIEURS

- NATIONALE 3

    • CORMONTREUIL. - Cormontreuil TC bat ASPTT Marseille 7-1

Roggi (- 15) bat Beuque (- 15, Cormontreuil) 6-3, 7-5 ; Robert (- 4/6, Cormontreuil) bat Castilon (- 2/6) 6-0, 6-0 ; Jolly (- 4/6, Cormontreuil) bat Costes (2/6) 6-2, 6-0 ; Leveque (- 2/6, Cormontreuil) bat Durand (3/6) 6-1, 6-1 ; Pilliet (- 2/6, Cormontreuil) bat Bredel (30) 6-0, 6-0. Beuque - Robert battent Roggi - Costes 6-2, 6-1 ; Jolly - Pilliet battent Castillon - Durand 5-7, 6-3, 6-2.

- NATIONALE 4

    • LE PERREUX. - Alsace Lorraine Paris bat TC Reims 8-0

Leboucher (- 2/6,) bat Wauthier (4/6) 7-5, 6-1 ; G. Dubourdieu (1/6) bat Aubry (5/6) 7-6, 1-0 abandon ; Remy (1/6) bat Cailleux (5/6) 6-1, 6-2 ; Barrere (1/6) bat Bertaux (5/6) 6-1, 6-3 ; D.Dubourdieu (2/6) bat Pusset (5/6) 6-2, 6-3.

Barrere - D.Dubourdieu battent Wauthier - Bertaux 6-0, 6-3 ; Leboucher - C.Dubourdieu (15) battent Cailleux - Pusset 6-1, 6-0.

    • REIMS. - Reims Europe Club bat TC Lille (2)

7-1 Roy (- 4/6, Europe Club) bat Bocaert (- 2/6) 6-3, 6-1 ; Boyé (0) bat Seuret (0, Europe Club) 6-4, 6-1 ; Castelhano (0, Europe Club) bat Floridia (2/6) 6-0, 6-4 ; Bonnet (2/6, Europe Club) bat Dieulouard (2/6) 6-4, 3-6, 6-3 ; Clausse (4/6, Europe Club) bat Lasseron (4/6) 7-5, 6-2. ; Roy - Seuret battent Bocaert - Boyé 6-3, 6-4 ; Castelhano - Bonnet battent Floridia - Dieulouard 6-3, 6-3. REIMS. - TC Géo-André bat Beauvais Oise Tennis 4-3

Valls Campos (- 2/6) bat Balles (1/6, Géo-André) 6-4, 6-2 ; Pacanowski (2/6, Géo-André) bat Garcia Gimeno (- 2/6) 6-4, 6-4 ; Pignon (2/6, Géo-André) bat Paillard (1/6) 6-3, 6-3 ; Leroy (4/6, Géo-André) bat Croc (4/6) 6-3, 1-6, 7-5 ; Rondeau (4/6) bat Defosse (4/6, Géo-André) 6-2, 7-6. Balles - Pacanowski battent Garcia Gimeno - Rondeau 6-4, 6-1 ; Valls Campos - Croc battent Pignon - Defosse 6-4, 6-2.

DAMES

- NATIONALE 2

    • REIMS. - USO Mondeville bat TC Géo-André 7-1

Emilie Bacquet (- 30) bat Mylie Gillet (0, Géo-André) 6-4, 6-3 ; Stéphanie Léger (0) bat Claire-Hélène Genin (3/6, Géo-André) 6-3, 6-4 ; Gabrielle De Beaucoudray (1/6) bat Sophie Bousquet (5/6, Géo-André) 6-4, 6-3 ; Anne-Sophie Rose (15, Géo-André) bat Emmanuelle De Beaucoudray (2/6) 7-5, 6-4 ; Laura Legoupil (4/6) bat Audrey Sarrazyn (15, Géo-André) 6-2, 6-1.

Emile Bacquet - Gabrielle De Beaucoudray battent Mylie Gillet - Claire-Hélène Genin 6-2, 6-2 ; Stéphanie Leger - Emmanuelle De Beaucoudray battent Anne-Sophie Rose - Sophie Bousquet 6-2, 6-4.

    • LYON. - TC Lyon bat Reims Europe Club 7-1

Chloé Gambey (- 2/6) bat Marie Menacer (- 4/6, Europe Club) 3-0 abandon ; Emilie Gaillot (4/6, Europe Club) bat Laura Fernandez (1/6) 6-0, 6-3 ; Anne Le Gall (1/6) bat Mélanie Roy (4/6, Europe Club) 6-2, 6-1 ; Amandine Revol (1/6) bat Béatrice Mohn (15/1, Europe Club) 6-2, 6-0 ; Céline Martin (3/6) bat Clémence Krug (15/4, Europe Club) 6-2, 6-0. Chloé Gambey - Céline Martin battent Mélanie Roy - Emilie Gaillot 6-0, 6-1 ; Anne Le Gall - Amandine Revol battent Béatrice Mohn - Clémence Krug 6-1, 6-0.

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Journal « l’Union » - 090520b

Les judokas en compétition : Les filles au top !

Les compétiteurs de I’ASCR.
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La section judo de l’association sportive Croix-Rouge a présenté quatre compétiteurs aux rencontres régionales, catégorie seniors, Bar-sur-Aube.

Si Mickael Jourdan en - de 73 kg et Aurélien Troiano en - de 90 kg sont non classés, Constance Leroy termine 1re en moins de 48 kg et Emmanuelle Jourdan 3e en - de 78 kg.

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090520a

Feux d’appartements

Les pompiers ont reçu hier deux appels pour des feux d’appartement. Le premier, vers 13 h 30, provenait du boulevard Pommery. Au 276 était apparue une fumée, qui s’avéra finalement provenir d’un court-circuit sur la machinerie d’un ascenseur. Il n’y avait pas de feu proprement dit, les pompiers n’ont pas eu à sortir leur lance.

En revanche un peu plus tard vers 14 heures, un autre appel intervenait pour signaler un feu de friteuse dans un appartement du 6 de la place Dominique-Ingres (Croix-du-sud). Là les choses ont été plus sérieuses. Il a vraiment fallu arroser, et si les dégâts sont restés limités, en raison de la fumée l’appartement s’est cependant trouvé inhabitable ; trois personnes ont dû être relogées.

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Journal « l’Union » - 090519d

Musique, théâtre et danse, du 20 au 28 mai / Croix-Rouge va vivre au rythme de son festival

Yves Pringault (au micro) et José Mendès présentent le festival.
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Les habitants du quartier Croix-Rouge de Reims et la maison de quartier présentent la seizième édition de leur festival.

Musique, danse et théâtre seront à l’honneur du 20 au 28 mai.

« Au milieu des immeubles grisonnants et des voiries éventrées par les travaux, nous avons la ferme volonté de faire jaillir l’énergie du quartier pour l’offrir au regard et aux oreilles de tous les curieux » précise Yves Pringault, directeur des activités jeunesse à la maison de quartier.

Les 20 et 21 mai, l’hippodrome verra s’installer sur son parking une scène.

« Une scène sur laquelle musiques et danses rythmées battront l’appel. L’appel de tous ceux qui usent leurs vies derrière des murs et des fenêtres, l’appel de ceux qui passent, de ceux qui, loin du quartier, viendront en nombre participer et partager des rythmes et des rencontres », ajoute José Mendès, directeur artistique du festival.

Plus tard, du 22 au 28 mai, c’est le Crous, rue de Rilly-la-Montagne, qui abritera d’autres expressions sous la lumière des projecteurs : le théâtre fera parfois alliance à la danse et à la musique pour une semaine où tous les publics, des plus jeunes aux plus grands, seront invités à découvrir des spectacles.

« Lorsque viendra le temps de replier les tréteaux, nous nous inviterons au-delà du quartier : un bout de décor sous le bras, la musique dans la tête et la danse dans le corps, le quartier Croix-Rouge propose en effet une création, Éclats de quartier, qui suivra un itinéraire de tournée dans différentes salles de la région », révèle José Mendès qui en est le créateur.

L’ensemble des activités du festival sera ouvert et offert à tous, sans contrepartie financière.

Infos Nacelle : 03.26.49.47.07. Blog : http://festivalcroixrouge2009.blogs...

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Journal « l’Union » - 090519c

Brocante

 

 

 

La prochaine brocante de l’association Croix-Rouge animation et promotion se déroulera dimanche 24 mai, de 9 à 18 heures, sur le parking de l’hippodrome.

À partir de 10 heures, des habitants du quartier qui ont un don artistique exposeront leurs réalisations (peinture, modelage, décoration florale, sculpture sur bois, sculpture sur pierre, etc.) dans la salle polyvalente Jean-Jacques-Lapique : « Ils ont une passion, venez la partager ! » (entrée libre).

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090519b

Commandos poétiques

 

 

 

 

Samedi 23 mai à partir de 15 heures, dans tous les espaces publics, halls, entrées et salles de la médiathèque Croix-Rouge, « Les Souffleurs », commandos poétiques de l’association « Brise-Glace, traversée transartistique », avec leurs grandes cannes creuses nommées rossignols, chuchotent à vos oreilles des secrets philosophiques, littéraires et poétiques…

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge — 19, rue Jean-Louis-Debar.

Renseignements et inscriptions au 03.26.35.68.51.

 

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090519a

Feux nocturnes : Deux voitures et un compresseur

Une Mégane a brûlé dans l’allée des Landais (et une autre dans le quartier Europe).
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Les pompiers sont intervenus deux fois au cours de la nuit de dimanche à lundi sur des feux de voitures : le premier s’est produit rue de Madrid dans le quartier Europe vers une heure et demie du matin et a eu pour victime une Renault Laguna.

Coïncidence ou pas ? C’est encore une Renault, Mégane cette fois, qui a pris feu un peu plus tard, vers deux heures et quart, cette fois dans l’allée des Landais du quartier Croix-Rouge.

Un peu plus tôt dans la soirée déjà, vers 21 h 30, un premier feu suspect avait pris sur un engin de chantier (un compresseur) dans l’avenue du Général-Bonaparte.

A.P.

 

 

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Journal « l’Union » - 090518a

Ça brûle rue des Savoyards

Un feu de voiture a été signalé hier, vers 2 heures du matin, rue des Savoyards.

À leur arrivée, les sapeurs-pompiers ont trouvé la voiture entièrement embrasée. Le feu a été rapidement maîtrisé.

Ils avaient déjà été appelés samedi dans cette même rue pour un petit feu de poubelles. Le feu avait été rapidement éteint à l’aide d’une lance.

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Journal « l’Union » - 090516f

TENNIS / Interclubs : Une journée vraiment déterminante

Moment clé de la saison des Interclubs, la troisième journée sera déterminante.

Chez les messieurs, en N3, le Cormontreuil TC devrait tranquillement poursuivre sa route face à l’ASPTT Marseille, dernière de la poule et nettement inférieure sur le papier.

Deux Espagnols à Beauvais

En N4, en déplacement au Perreux contre l’Alsace-Lorraine de Paris, le TC Reims cherchera simplement à inscrire le plus de points possible contre une formation certes plus forte mais qui ne fait pas figure d’épouvantail.

De son côté, le Reims Europe Club jouera, aux Thiolettes, une (très) grande partie de son accession contre la réserve du TC Lille alors que Géo-André est quasiment dans l’obligation de battre Beauvais - et ses deux Espagnols à - 2/6 - pour renouveler son bail à ce niveau.

Chez les dames, le TC Géo-André ne se fait guère d’illusions avec la réception du leader invaincu et favori de la poule, Mondeville, qui présente une - 30 et une - 15.

Quant aux « Européennes », elles se déplaceront au TC Lyon dans un match quasi capital pour le maintien avec une équipe, a priori, fortement amoindrie.

DAMES. - N2 : TC Géo-André - USO Mondeville, TC Lyon - Reims Europe Club.

MESSIEURS. - N3 : Cormontreuil TC - ASPTT Marseille ; N4 : Alsace Lorraine Paris - TC Reims, Reims Europe Club - TC Lille 2, TC Géo-André - Beauvais.

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Journal « l’Union » - 090516e

Bibliothèques de Reims : 10.000 documents bradés

La vente se fera sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.
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Dans la mouvance d’autres villes comme Angers, Annecy, Bègles, Bordeaux, Brest, ou encore Mulhouse, et afin de réserver un sort plus heureux à ces documents encore en bon état, Reims se lance dans une grande vente publique de 10.000 documents issus des bibliothèques rémoises.

L’opération se déroulera le dimanche 28 juin de 10 à 18 heures sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. Sur les différents stands de vente installés, le public pourra chiner des documents pour tous les âges et pour tous les goûts.

Les documents proposés seront de tous les genres : documentaires, bandes dessinées, romans, polars, ouvrages pour enfants, magazines et CD.

Chaque personne pourra acheter jusqu’à dix documents (dont 2 CD maximum) pour la somme unitaire de 1 ou 2 € (2 € pour les beaux livres, les CD ou les ouvrages les plus récents). Leur revente est interdite.

Un don est aussi proposé aux associations qui souhaitent disposer de livres à d’autres fins que la revente. Cette année, Adiflor et Culture et Bibliothèques pour Tous sont intéressées.

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Journal « l’Union » - 090516d

Reims / Chantier du tramway : Premier rail soudé

Cérémonie symbolique pour un chantier à mi-parcours.
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- Voir toutes les photos.

 

Hier à Reims, dans le quartier Croix-Rouge, a eu lieu la soudure du « premier rail symbolique » du tramway. Pour le Rémois de base, cet événement n’est pas si anodin qu’il pourrait y paraître. Il marque le milieu du gué pour le grand chantier : les premiers coups de pelleteuse (pour les déviations de réseaux, on ne compte pas les fouilles archéologiques) avaient été donnés il y a un an ; et dans un an, la quasi-totalité (98 %, disait, hier, Christian Messelyn, président de Mars, la structure responsable de l’exécution) des travaux de voirie sera achevée. La vraie fin des travaux étant toujours prévue pour octobre 2010, comme le rappelait la présidente-maire, Adeline Hazan.

Pour aider la population à continuer à prendre son mal en patience, le président Messelyn indiquait que dès la semaine prochaine, on commencerait à voir certaines portions de voirie rendues aux usagers dans leur version définitive, et ceci commencera par les abords du stade Delaune.

A.P.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 090516c

Reims / Drame passionnel : L’auteur des 39 coups de couteau écroué pour tentative de meurtre

Junior Codevelle, 21 ans, a exprimé des regrets hier soir devant le juge des libertés et de la détention. Hervé Oudin
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L’homme s’est jeté dans le vide avec la victime, du 7e étage (fenêtre éclairée tout à gauche), au moment où les policiers pénétraient dans l’appartement. Ils ont réussi à rattraper le couple par les chevilles. Gérard PÉRON
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L’étudiante poignardée à 39 reprises mercredi à Reims est toujours dans un état très grave. Son ami a été écroué, hier, pour tentative de meurtre.

PRÉSENTÉ, hier, au parquet de Reims, Junior Codevelle, 21 ans, a été mis en examen pour « tentative d’homicide volontaire » et placé sous mandat de dépôt. L’homme est l’ami de la jeune femme grièvement blessée mercredi soir de trente-neuf coups de couteau dans son appartement de l’allée des Bourguignons au quartier Croix-Rouge (nos précédentes éditions). Il avait ensuite tenté de se défenestrer avec elle du septième étage.

Etudiante en droit de 19 ans, la victime, Sélima, est toujours hospitalisée dans un état très grave, mais « stabilisé et stationnaire » selon les dernières informations communiquées. De nationalité française (et non marocaine comme écrit précédemment), la jeune fille dont les parents demeurent à Epernay résidait fréquemment dans l’appartement de Junior Codevelle, allée des Bourguignons.

L’homme n’a pratiquement rien dit en garde à vue. Le drame passionnel ne fait cependant aucun doute. Après plusieurs ruptures sans incidence, suivies à chaque fois d’une reprise de la vie commune, Sélima a voulu rompre de nouveau.

Mercredi soir, elle s’est rendue dans l’appartement avec une copine pour récupérer ses affaires. Le face-à-face a dégénéré. Effrayée, la copine est sortie prévenir les secours pendant que le jeune homme s’emparait d’un couteau de cuisine avec lequel il a poignardé l’étudiante à 39 reprises, principalement au torse et au visage, avant d’être secouru in extremis par la police et les pompiers au moment où il se jetait dans le vide avec la victime inconsciente (lire par ailleurs).

Un garçon sans histoires

Ce déchaînement de violence est d’autant plus incompréhensible que Junior Codevelle n’avait pas d’antécédents judiciaires. D’après l’enquête menée par la sûreté départementale de Reims, il n’avait jamais frappé son amie ni ses précédentes relations.

Arrivé à Reims il y a deux ans (il a grandi à Paris), le jeune homme décrit par le voisinage comme « correct », « courtois », avait trouvé un emploi de vendeur dans une boutique de vêtements du centre-ville. Avec son amie, il menait une existence discrète allée des Bourguignons. Les habitants qui les connaissent de vue ont le souvenir d’un couple paisible et sans histoire.

Lui-même ne comprend pas. Hier soir, Junior Codevelle a fondu en pleurs devant le juge des libertés et de la détention. « Je ne sais pas quoi dire. Je ne sais pas ce qui m’a pris à faire ça. » Son avocate, Me Marie-Line Place, est atterrée. « J’ai lu les articles dans la presse. Je m’attendais à rencontrer un monstre, quelqu’un de désagréable. Pas du tout ! C’est un jeune homme bien intégré dans son immeuble, qui travaille, qui n’a jamais posé de problème. Il avait des projets professionnels et des projets personnels avec son amie. Il aime cette fille. Il l’aime à mourir. Il ne comprend pas comment il a pu lui faire autant de mal. Il y a eu un flash dans sa tête, un accident. Il ne s’est même pas rendu compte qu’il l’avait blessée à ce point. Il pensait lui avoir donné quelques coups, pas plus, mais 39 coups de couteau ! C’est incompréhensible. »

Poursuivi pour tentative de meurtre, Junior Codevelle encourt trente ans de réclusion criminelle.

Fabrice CURLIER

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Un incroyable sauvetage

De mémoire de policiers rémois, rarement une intervention aura été si spectaculaire et périlleuse avec deux vies en suspens à 20 mètres au-dessus du sol. Celle de la victime mais aussi de son ami qui voulait mourir avec elle en se jetant du septième étage après l’avoir poignardée de 39 coups de couteau.

Les circonstances exactes du sauvetage ont été révélées, hier, par la police. Elles sont ahurissantes. « Quand les secours sont arrivés, l’homme était déjà à cheval sur la fenêtre avec une jambe dans le vide, son amie inconsciente sur les épaules », raconte un enquêteur de la sûreté départementale de Reims. « Il s’était enfermé à clef dans la chambre. Nos collègues ont d’abord essayé d’établir le dialogue par un balcon voisin. Il menaçait de sauter avec la fille si on intervenait. »

Le couple suspendu dans le vide

Positionnés 20 mètres plus bas allée des Landais, les pompiers ont commencé à faire monter vers la fenêtre leur grande échelle surmontée d’une nacelle. Voyant cela, le forcené a réitéré ses menaces. « Je préfère sauter avec elle plutôt que d’aller en prison », a-t-il hurlé (et non « retourner en prison » comme ont cru l’entendre certains témoins).

La nacelle est redescendue pour se stabiliser à hauteur du cinquième étage. La situation était critique. « L’officier de nuit du commissariat central a coordonné l’ensemble des effectifs pompiers et policiers », explique l’enquêteur. « La décision a été prise d’enfoncer la porte de la chambre. Au top départ donné par l’officier, la nacelle est remontée brusquement vers la fenêtre pendant que la porte était défoncée. Quand il a vu les trois policiers de la section d’intervention se précipiter sur lui (NDLR : une femme, deux hommes), l’individu s’est laissé tomber avec la victime. La nacelle n’était pas suffisamment centrée pour réceptionner la jeune femme. Il manquait un mètre. C’est la policière qui l’a rattrapée in extremis par la cheville. Elle a d’ailleurs failli partir avec elle en se penchant. Elle a heurté le rebord de la fenêtre, se blessant à la poitrine. »

L’étudiante pendait dans le vide, uniquement retenue à la force du poignet. La nacelle s’est portée à sa hauteur pour permettre à la policière de la déposer à l’intérieur. Pendant ce temps, Junior Codevelle était lui aussi suspendu dans les airs. « Les deux autres policiers ont réussi à le saisir par la cheville et la ceinture au moment où il tombait. Il se débattait. Il voulait se suicider. L’un des fonctionnaires a pu donner une menotte au pompier sur la nacelle. Celui-ci a menotté une main. Avec ces trois prises au poignet, à la cheville et à la ceinture, l’individu a pu être remonté dans l’appartement. »

Se retournant, il a frappé d’un coup de poing au visage l’un des policiers, le blessant légèrement (trois jours d’incapacité totale de travail), avait d’être maîtrisé définitivement. Les plus longues minutes de la vie de ces trois fonctionnaires de police venaient enfin de s’achever.

Ils ont d’ores et déjà reçu les félicitations officielles de leur hiérarchie et vont être proposés à l’attribution de la médaille pour acte de courage et de dévouement. Le pompier de la nacelle devrait être associé à cet hommage.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090516b

Record du monde

Appitrack … tel est le nom du système de construction accélérée et automatisée de voies mis au point par Alstom.

Et c’est à Reims, dans le cadre des travaux du tramway, qu’il est utilisé pour la première fois en France. Il a déjà fait ses preuves à Alger et à Jérusalem. A Reims, il sera mis en œuvre sur près de 60 % du tracé.

Ce système permet de diviser par trois le temps de pose des voies. Après être intervenu sur le site de Bezannes, Appitrack fait son entrée à Reims, sur l’ancien site propre de bus, avenue du Général Eisenhower. Un « record du monde » de pose de voies a déjà été battu avec la pose de 300 m de voies en une journée.

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Journal « l’Union » - 090516a

Elle arrive enfin

Les habitants du quartier la Rafale n’ont plus de boîte aux lettres depuis plusieurs mois.

Alertée par un article dans l’union, la direction de La Poste avait promis, en janvier dernier, qu’elle allait remédier à ce problème. Cinq mois plus tard, les habitants n’ont toujours rien à se mettre sous la dent.

Mais qu’ils ne désespèrent pas. Le 25 mai prochain, une petite boîte jaune devrait enfin voir le jour devant le centre commercial de l’Hippodrome. ’

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Journal « l’Union » - 090515d

Taxe sur les ordures ménagères : Réduire la douloureuse

L’idée est qu’une part variable soit rapidement mise dans les bases de calcul de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.
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Les élus Rémois se mobilisent, toutes tendances politiques confondues, pour essayer de réduire les effets de la mise en place de la taxe sur les ordures ménagères. Objectif, à gauche comme à droite : la mise en place rapide d’une part variable dans les bases de calcul de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Si cette réforme est bien prévue dans le cadre du Grenelle de l’environnement, son application n’est pas programmée avant cinq ans pour les logements individuels et dix ans pour l’habitat collectif.

L’objectif des élus rémois est de ramener à deux ans ce délai d’application de la réforme, quel que soit le type d’habitat concerné. Cela permettrait de moduler ainsi les sommes en fonction notamment du nombre de personnes vivant dans chaque logement et qui sait, à terme de la quantité de déchets produits. La députée UMP, Catherine Vautrin, a déposé, hier, un amendement à l’assemblée dans ce sens. Lundi dernier, c’est le conseil municipal qui à l’unanimité a voté un vœu également dans ce sens, tandis que le 27 avril, Adeline Hazan avait directement écrit à Jean-Louis Borloo pour lui demander de réduire le délai de la réforme.

Reste maintenant à espérer que cette mobilisation soit suivie d’effet.

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Journal « l’Union » - 090515c

Secteur Eisenhower : L’insécurité au quotidien

Les locataires du secteur Eisenhower, réunis par Claude Stoltz (Union des locataires de Croix-Rouge) ont évoqué avec force la dégradation de leurs conditions de vie journalières : « Les nuisances causées par les motos et autres deux roues à moteur qui circulent sur l’esplanade malgré les barrières, les dégradations quasi journalières dans les immeubles, occasionnées par des jeunes qui trouvent cela amusant : tags injurieux, urine dans les escaliers, emballages d’aliments, de canettes de bière ou de coca qui jonchent le sol dans les halls ou les escaliers, carreaux cassés, portes d’entrée défoncées, squatteurs dans les halls qui saccagent dès qu’une réflexion leur est faite,… »

L’association est intervenue à plusieurs reprises auprès de Reims habitat, du commissariat de police et de la procureure de la République « pour dénoncer les trafics de drogue qui se déroulent en toute impunité dans les halls de certains immeubles, parfois dans les caves,…/… par des dealers qui, pour la plupart, n’habitent pas le quartier ».

Pour Claude Stoltz, « l’association, les membres et bon nombre de locataires constatent malheureusement qu’aussi bien le bailleur, la police ou la municipalité ne se sentent absolument pas concernés par ces problèmes récurrents qui pourrissent la vie au quotidien des locataires désireux de vivre en paix ! »

Des locataires témoignent : « Au 49, 51 et 55 Eisenhower, on ne peut pas dormir avant 3 heures du matin à cause des motos et mini-motos ! », « Trois heures durant, un jeune de 12 ans sans casque et avec un petit bébé sur le guidon de sa mini-moto, a fait le rodéo au parc Saint-John-Perse en toute impunité », « Parfois, on voit des policiers dans ce parc, mais ils se contentent de rouler en voiture sur les allées, sans s’arrêter… »,…

Le plan municipal

Le premier adjoint Éric Quénard a présenté aux locataires irrités les plans de la mairie en matière de sécurité de quartier. Une nouvelle mission va être dévolue aux forces de police qui travailleront désormais de concert : « Police nationale, police municipale et même ASVP (agents de surveillance de la voie publique : les « verbalisateurs du stationnement ») concentreront prioritairement leurs efforts ensemble vers les parcs publics et les centres commerciaux ». Dans le même temps, « le dispositif « médiateurs de quartiers » : médiation sociale, vigie, observation et interventions, sera élargi en partenariat avec les bailleurs, et sera prolongé jusqu’à 23 heures au lieu de 20 heures actuellement. » Enfin, un bilan de la vidéosurveillance rémoise va être établi : réduction, maintien ou extension seront alors étudiés.

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Journal « l’Union » - 090515b

Tramway : soudure du premier rail

C’est aujourd’hui, à 14 heures sur l’esplanade de la faculté de Droit et Lettres, qu’aura lieu la soudure du premier rail du tramway.

Cette cérémonie se veut avant tout symbolique car comme on a pu le constater à plusieurs endroits du tracé, les rails ont déjà été posés. C’est le cas notamment sur le secteur entre la gare de Bezannes et Croix-Rouge ou encore sur une partie du cours Langlet. Sur ce dernier axe, la pose avait été anticipée, il y a quelques semaines, dans le cadre de la réorganisation du réseau de bus et de la fermeture de la place du Théâtre pour les travaux du tramway.

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Journal « l’Union » - 090515a

Lâchée dans le vide après avoir reçu plus de 30 coups de couteau

Eric Quénard répond aux inquiétudes des locataires.
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Les deux jeunes gens avaient récemment emménagé dans cet immeuble.
Ils donnaient l’impression d’un couple paisible et sans histoire. Jusqu’à la dramatique soirée de mercredi.

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L’homme qui a lâché son amie du 7e étage mercredi à Reims l’a poignardée d’une trentaine de coups de couteau. Elle est toujours hospitalisée dans un état grave. Malgré les trombes d’eau de la nuit et de la journée d’hier, de larges taches de sang maculent toujours la façade et la fenêtre de l’appartement du quartier Croix-Rouge où une jeune femme a été poignardée mercredi soir par son concubin (notre précédente édition).

D’après les dernières informations disponibles, la victime se trouvait toujours dans un état critique mais stationnaire. Il s’agit d’une étudiante originaire du Maroc. Nous ignorions hier son identité. Son ami s’est acharné sur elle avec une rare violence : il lui a porté une trentaine de coups de couteau.

Le drame s’est produit vers 21 heures au septième étage d’un immeuble de l’allée des Bourguignons, au n° 18. À l’arrivée de la police et des pompiers, l’homme avait enjambé la fenêtre donnant sur l’allée des Landais, l’étudiante inconsciente portée sur une épaule. Comme relaté dans l’union d’hier, il menaçait de sauter avec elle dans le vide en cas d’intervention des secours. Postés sur un balcon voisin, les policiers tentaient de le raisonner avec l’aide d’un ami, sans succès.

« Quand les pompiers ont commencé à monter la nacelle vers lui, il a dit qu’il allait la lâcher », témoigne une dame du rez-de-chaussée. « Les pompiers ont redescendu la nacelle tout doucement, puis ils l’ont remontée d’un coup. Il a lâché la femme à ce moment-là. Tout le monde a crié. Elle est tombée dans la nacelle qui se trouvait juste en dessous. »

En garde à vue pour tentative de meurtre

L’homme a-t-il jeté sa compagne dans le vide pour l’achever, ou bien a-t-il lâché le corps involontairement ? « Cela reste à déterminer. Il ne parle pas beaucoup en garde à vue mais de toute façon, les nombreux coups de couteau infligés à la victime suffisent à caractériser l’intention homicide », indique Madeleine Simoncello, procureur de la République de Reims.

Les policiers sont entrés dans l’appartement en cassant la porte. Surexcité, l’individu s’est débattu. Il a frappé un gardien de la paix, a craché sur les pompiers, a insulté tout le monde puis a fini par faire un malaise qui a nécessité son transport au CHU.

Âgé d’une vingtaine d’années, Junior C. a ensuite été placé en garde à vue au commissariat de Reims dans le cadre d’une enquête pour « tentative d’homicide volontaire ».

Décrit comme « quelqu’un de poli, courtois », il ne s’était jamais fait remarquer du voisinage. À vrai dire, peu d’habitants de la tour connaissent le jeune homme et son amie. Ils avaient emménagé récemment. Lui est arrivé à Reims il y a environ deux ans (il venait de Paris) tandis que la famille de l’étudiante serait au Maroc. Leur couple donnait l’impression d’être sans histoire.

« J’ai le souvenir d’un gamin tranquille, correct, qui cherchait du travail », indique un intervenant social qui l’avait rencontré du temps où il séjournait dans un foyer. « Il n’y a qu’une histoire d’amour qui peut faire disjoncter comme ça. » L’hypothèse d’un drame passionnel est confirmée par le procureur. D’après certains, il n’aurait pas supporté de surprendre sa compagne avec un homme au centre-ville de Reims.

Fabrice CURLIER

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L’hebdo du vendredi- n° 123 - 090514f

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 123 - Semaine du 14 au 21 mai 2009

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Lecture et fantaisie pour les tout-petits

La bibliothèque municipale de Reims organise pour la 3ème fois l’opération « Grandes histoires pour petites oreilles ». Cette manifestation, qui se déroule de mai à juillet, décline un programme riche et varié en direction des tout-petits (3 mois à 3 ans) et de leurs parents : spectacles, ateliers, conférences et lectures. Particularité de cette année, la médiathèque Croix-Rouge accueille un nouvel espace de lecture entièrement dédié aux tout-petits.

Conçu par l’artiste plasticienne rémoise Clémentine Treu qui a notamment participé à la décoration des loges de la Cartonnerie, cette création ludique et colorée semble tout droit sortie d’un conte pour enfants.

Le programme de « Grandes histoires pour petites oreilles » est à découvrir dans toutes les bibliothèques de Reims et sur www.bm-reims.fr

Plus d’infos sur le travail de Clémentine Treu sur www.clementinetreu.com


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Festival : Le quartier Croix-Rouge soigne son image

Derrière les travaux, un festival. Pendant neuf jours, du 20 au 28 mai prochain, la 16e édition du festival « Croix-Rouge s’affiche » va s’efforcer de redonner des couleurs à son quartier.

Ces festivités, entièrement gratuites, ont pour objectif de toucher le public le plus large possible, le but étant « l’acceptation de l’autre, en général, qu’il soit de Croix-Rouge ou d’un autre quartier », souligne Yves Pringault, directeur de la partie jeunesse de la maison de quartier.

Le festival s’ouvrira sur deux jours de concert, les 20 et 21 mai, sur le parking de l’Hippodrome. Hip hop, jazz soul et rock, chants berbères et cabaret groove, les sons seront divers parce que « le quartier Croix-Rouge, de 25 000 habitants, est pluri-culturel », rappelle Yves Pringault.

Le public rémois pourra par la suite assister à de nombreux spectacles, tous au CROUS. À ce sujet, le directeur de la partie jeunesse de la maison de quartier déplore « l’absence d’un vrai lieu culturel sur le quartier qui permettrait de créer une habitude culturelle ».

Comme son nom l’indique, le festival a également l’ambition de mettre en valeur les acteurs locaux. Cela passe notamment par une création exclusive, « Éclats de quartier », écrite et mise en scène par José Mendès. De nombreux jeunes de Croix-Rouge jouent dans cette création qui sera présentée les 27 et 28 mai.

« Éclats de quartier », c’est l’histoire de rencontres, de joies, de souffrances, contées au rythme entraînant et haletant de danses urbaines. De quoi donner l’envie de se bouger.

Rémi Laporte

Programme détaillé sur http://festivalcroixrouge2009.blogs... ou au 03 26 49 47 07.


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SORTIES

DU MERCREDI 20 AU JEUDI 28 MAI : Festival : « Croix-Rouge s’affiche

16ème édition avec des concerts à l’hippodrome (mercredi 20 et jeudi 21 mai) et de la danse et du théâtre au CROUS (à partir du vendredi 22 mai.

Entrée libre – Infos au 03 26 49 47 07

JUSQU’AU 30 MAI : « Le cinéma des origines »

Conçues par l’association « le cinéma s’expose », les 3 expos dévoilées à Reims retracent de manière chronologique l’histoire du pré-cinéma jusqu’au début du cinéma sonore.

Médiathèques Croix-Rouge, Jean Falala et Laon-Zola

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Journal « l’Union » - 090514e

Des efforts de réhabilitation à Croix-Rouge : Les locataires apprécient

CINQUANTE locataires ont répondu à l’invitation de Claude Stoltz, présidente de l’Union des locataires de Croix-Rouge, et des membres de son bureau, pour l’assemblée générale.

On a remarqué dans la salle Édouard-Baron, les représentants du député Arnaud Robinet et des associations du quartier : locataires des Polygones, locataires du secteur At’Hom, locataires de Pays-de-France, collectif Croix-Rouge accueil et espace Billard de la maison de quartier.

C’est en présence de Philippe Bréjard et d’Hervé Payen, de l’organisme bailleur Reims habitat, qu’ont été évoquées les réhabilitations et les améliorations apportées au cours de la dernière saison : « L’association reconnaît les efforts de la direction de la succursale de Reims habitat et du personnel du siège social » déclarait Caroline Barre, « même s’il reste encore beaucoup à faire ! ».

La liste des travaux programmés dans le secteur a été fournie par Philippe Bréjard : elle est impressionnante ! Depuis deux ans, des réalisations concrètes améliorent le quartier.

Citons l’isolation de la tour, l’élagage des arbres, la réfection des cages d’escaliers, la pose de poteaux en bois anti-intrusion, le début des travaux à la résidence pour personnes âgées Arfo, l’habitat, les ascenseurs : « Voir les premières cabines d’ascenseurs neuves donnerait presque envie de déménager : ça laisse rêveur, on se croirait dans une résidence ! »

A propos de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères, le conseiller municipal Michel Guillaudeau a souligné que « faire la grève du tri serait stupide, car cela aboutirait à une augmentation des coûts et donc de la TOEM ! »

« Pour vous aider face aux embûches et aux obstacles du quotidien, une permanence est assurée dans le local situé au 52, esplanade-Eisenhower (rez-de-chaussée) tous les mardis de 14 à 16 heures », a rappelé la présidente.

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Journal « l’Union » - 090514d

Reims Acrap patinage : En piste pour le gala

 

 

 

C’était l’ultime compétition de la saison pour la jeune Lili-Rose Plomion du Reims Acrap patinage ce samedi à Compiègne. Cette « coupe des jeunes » rassemblait le patinage synchronisé ainsi que l’artistique pour les moins de 12 ans. En catégorie « Jeunes Talents », elle s’est emparée de la 7e place dans un groupe de 14.

Pendant ce temps, les autres patineurs du club sont en pleine préparation du gala de fin d’année qui aura lieu le samedi 30 mai à 20 heures à la patinoire Bocquaine sur le thème « Saturday Night Fever ».

Renseignements et réservations au Reims Acrap patinage (11, avenue du Président-Kennedy) Tél. 03.26.06.39.54.

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090514c

Médiathèques et bibliothèques municipales : Grandes histoires pour petites oreilles

Pendant un peu plus de deux mois, les bibliothèques et médiathèques de Reims organisent de nombreuses manifestations pour les enfants et parents.

FAIRE découvrir aux tout-petits les richesses des bibliothèques et médiathèques de Reims, les familiariser au livre pour développer leur imaginaire et les ouvrir à la pratique culturelle dès leur plus jeune âge : tel est le but de l’opération Grandes histoires pour petites oreilles lancée officiellement ce soir. Organisée par la bibliothèque municipale de Reims pour la troisième année consécutive, l’opération propose aux tout-petits, de 3 mois à 3 ans, des animations variées de mai à juillet.

Au programme, des spectacles, contes, lectures, ateliers musicaux ou courts-métrages, dans l’ensemble des bibliothèques et médiathèques de Reims.

Pour les grands aussi

Il y en aura pour tous les goûts… et pour tous les âges, puisque des conférences seront organisées à destination des parents. Avec notamment : Marc Caillard (fondateur de l’association Enfance et musique) et Annie Avenel (responsable du centre de formation Enfance et Musique) le jeudi 28 mai à Jean-Falala ; Catherine Jousselme, pédopsychiatre, qui abordera mercredi 3 juin à Croix-Rouge le thème de l’éducation dans une société qui va de plus en plus vite et qui impose souvent l’image d’un enfant parfait ; ou encore Catherine Dolto-Tolitch, haptospychothérapeute, fille de Françoise Dolto, pour une conférence autour de l’école maternelle, samedi 20 juin à Jean-Falala.

Pour les plus petits, impossible de passer à côté de l’espace de lecture installé à la médiathèque Croix-Rouge pendant toute la durée de la manifestation.

Bulle ludique à Croix-Rouge

Conçu par l’artiste plasticienne Clémentine Treu, diplômée de l’Esad, cet espace en forme de bulle ludique, poétique et colorée, dédiée à la lecture, à l’écoute, au repos et au jeu accueillera les petits de 3 mois à 3 ans.

Ateliers lecture

Dans l’ensemble du réseau auront également lieu des séances de lectures, ateliers et spectacles. Côté ateliers, ils seront plutôt dédiés à la musique : Amdy Seck, percussionniste de l’association Arts et Cultures de l’Afrique de l’Ouest, originaire du Sénégal, proposera en mai-juin des séances d’éveil musical à Jean Falala, Croix-Rouge et Chemin-Vert. Côté spectacles, Mado Lagoutte, conteuse qui « écoute le silence », propose plusieurs moments à Holden, Chemin-Vert ou Laon-Zola jusqu’au 16 mai. Dans le cadre du « Cinéma des Origines », un conte sera proposé le 16 mai par Jean-Louis Esclapès à Croix-Rouge. La conteuse Florence Férin interviendra elle-aussi à Croix-Rouge avec l’histoire des deux personnages : Ribambelle et Ritournelle. Cécile Bergame, conteuse, initiée à la danse afrocontemporaine et au « Bharata Nathyam », danse sacrée indienne, sera présente à Chemin vert, Laon-Zola, Croix-Rouge, et Jean-Falala les 26 et 27 juin. En clôture, la Compagnie du Chat Bada proposera son spectacle musical « Histoires de p’tites bêtes » à Croix-Rouge, le 4 juillet. Mais c’est sans compter encore, les multiples séances de lecture ou de dédicaces…

Enfin, plusieurs séances seront réservées aux structures de la petite enfance : écoles maternelles, crèches et halte-garderies, mais également nourrices.

Renseignements au 03.26.35.68.51 ou sur www.bm-reims.fr

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Journal « l’Union » - 090514b

Croix-Rouge : Il poignarde son amie et tente de se jeter avec elle dans le vide

De nombreux policiers et sauveteurs ont été mobilisés sur les lieux. Il y a un blessé grave, peut-être deux.
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Le drame s’est produit au septième étage de cet immeuble, dans l’appartement éclairé visible tout à gauche.
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Hier soir, après avoir grièvement blessé son amie à coups de couteau, un Rémois a voulu se jeter avec elle du 7e étage. Les pompiers sont arrivés in extremis.

UN violent différend conjugal a fait un blessé grave à l’arme blanche, peut-être deux, hier soir au quartier Croix-Rouge à Reims. Il a éclaté vers 21 heures dans l’appartement d’un jeune couple domicilié au septième étage d’un immeuble de l’allée des Bourguignons.

Le bilan aurait pu être plus dramatique encore sans l’intervention in extremis des pompiers qui ont rattrapé au vol la femme lâchée dans le vide par son concubin.

Tout a commencé par des cris provenant de l’appartement. Des voisins ont alors vu le couple à la fenêtre, comme si une lutte les opposait. La femme était assise sur le rebord de la fenêtre, l’homme avait une jambe dans le vide.

A cet instant, voulait-il jeter sa concubine dans le vide ou au contraire, cherchait-il à la retenir ? L’interprétation des témoins diverge. Lorsque la police et les pompiers sont arrivés, la femme ne bougeait plus. Elle avait perdu connaissance.

« Il avait enjambé la fenêtre en tenant sa copine sur l’épaule. Elle était inerte, toute molle, comme un pantin », raconte une voisine. « La porte de l’appartement était fermée. Il n’a pas voulu l’ouvrir aux policiers. Ils sont allés sur un balcon à côté pour tenter de le raisonner mais il ne voulait rien savoir. Il les a insultés. Je l’ai entendu dire : « Ne rentrez pas, sinon je la lâche ! Je préfère sauter avec elle plutôt que de retourner en prison ! » Les pompiers étaient en bas. Ils ont déployé leur grande échelle. Un premier pompier est monté, puis un deuxième a grimpé les marches à toute vitesse. Je n’ai pas vu ce qui s’est passé au-dessus à ce moment-là. »

Un drame de la jalousie ?

Cet autre témoin a vu. « Le gars tenait la fille sur son épaule. Elle était tête en bas quand la nacelle des pompiers est arrivée. Est-ce qu’il l’a jetée volontairement ou bien a-t-il lâché prise ? La seule chose dont je suis sûr, c’est qu’elle est tombée tête la première dans la nacelle arrivée in extremis. Les pompiers sont redescendus avec la dame. Elle était inconsciente. Elle avait le visage en sang. »

La suite est confuse. Pour les uns, le concubin serait tombé à son tour dans la nacelle. Pour les autres, il serait resté dans l’appartement dont la porte a finalement été défoncée par les sauveteurs. Un deuxième blessé y a été secouru, présumé grave selon des informations non confirmées.

S’agirait-il du concubin ? Confusion ambiante et mutisme des autorités empêchaient hier soir de répondre à cette question. Les deux victimes ont été prises en charge par les pompiers et une équipe du Samu tandis que de nombreux policiers s’activaient dans l’immeuble et aux alentours.

Ils étaient toujours présents sur les lieux à l’heure où nous écrivions ces lignes.

D’après les premiers renseignements recueillis, il pourrait s’agir d’un drame de la jalousie. Le concubin aurait aperçu son amie avec un autre homme au centre-ville. Il n’aurait rien dit sur le moment, préférant en découdre avec elle lors de son retour à l’appartement.

Fabrice CURLIER

Photos Gérard PERON

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Journal « l’Union » - 090514a

Passeports : Sept stations biométriques

La mise en place des passeports biométriques dans la Marne est effective à partir d’aujourd’hui. La présentation en a été faite mardi par le sous-préfet à Fismes (notre édition d’hier).

Reims dispose de sept stations : trois affectées à l’hôtel de ville et une dans chacune des antennes Orgeval, Europe, Croix-Rouge et Murigny. Les autres antennes de la Ville (Châtillons, La Neuvillette et l’antenne mobile) ne pourront traiter que des demandes de renseignements relatives à cette formalité.

Le dépôt des demandes s’effectuera du lundi au vendredi sans rendez-vous :
- à l’hôtel de ville : de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 heures à 16 h 30 ;
- à l’antenne Orgeval de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures ;
- dans les antennes municipales Croix-Rouge, Murigny et Europe de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures sauf le lundi matin.

Le samedi matin, le dépôt des demandes s’effectuera uniquement sur rendez-vous dans les antennes Croix-Rouge, Murigny et Europe de 8 h 30 à 11 h 30 (dernier rendez-vous : 11 h 30).

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090513d

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7289 du 11 au 17 mai 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS

L’AGENDA MÉDICAL
Société à responsabilité limitée
au capital de 1.600 €uros

Siège social : 27 rue Pierre Taittinger - REIMS (Marne)

R.C.S. Reims : 456 227 498

Aux termes d’une délibération en date du 23 avril 2009, l’assemblée générale extraordinaire prend acte de :

- La démission de Madame Anny CHARLES, demeurant à REIMS (Marne), 43 rue de Pargny, de ses fonctions de cogérante de la société et ceci à compter du 26 mars 2009

- Réduire le capital social de la société de 8.000 (huit mille) €uros à 1.600 (mille six cents) €uros, par remise aux associés de l’intégralité des sommes qu’il restait devoir à la société au titre de la fraction non libérée du capital social.
Cette réduction de capital a été effectuée au moyen de la diminution de la valeur nominale des parts sociales.

- Et de modifier en conséquence les articles 6 et 7 des statuts.

Mention en sera faite au R.C.S. de REIMS.

75117
Pour avis : Le gérant.


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TRIBUNAUX DE COMMERCE

Par jugement en date du 05/05/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :

SARL INSTINCT,
14 avenue Eisenhower - 51100 REIMS.

Activité : Vente sur marchés d’articles textiles, de bibelots, de divers objets de décoration, de matériel informatique, ainsi que l’achat en vue de la revente de ces mêmes produits à d’autres professionnels, import export.

R.C.S. : REIMS B 507 992 204 (2008 B 00639).

Ledit jugement a désigné :

Juge commissaire : M. Christope BOMBARON.
Liquidateur : SCP CROZAT-BARAULT-MAIGROT, en la personne de Maître CROZAT Jean-François, 17 quai de la Villa - 51200 EPERNAY.

Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.

75096
Le greffier : Bernadette DELPY

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Journal « l’Union » - 090513c

Croix-Rouge : Les dernières nouvelles du quartier

Pigeons

À la suite de démolitions prévues à Tinqueux, il faut s’attendre, selon des spécialistes, à une arrivée importante de pigeons sur Croix-Rouge… « C’est simple », répond le premier adjoint Éric Quénard, « il faut arrêter de leur donner à manger ! »

Résidence

Le Foyer rémois prépare activement la construction d’une résidence étudiante de 212 chambres au lieudit La Rafale, entre le Resto U et la rue Pierre-Taittinger. C’est un projet qui devrait voir le jour dans les deux ans à venir. Des logements pour étudiants à deux pas de la Fac, c’est simplement génial !

Déménagement

Le Foyer rémois, encore lui, recherche une entreprise qui pourra se charger du déménagement de 334 locaux (estimation) situés dans les quartiers Croix-Rouge et Orgeval et des onze chambres d’un foyer d’accueil de Pays-de-France.

Les démolitions d’immeubles pourront intervenir après tous ces départs.

Boîte aux lettres

Avec humour, l’union des locataires de Croix-Rouge annonce : « Nous allons lancer une souscription pour offrir une boîte aux lettres à La Poste.

Un bel exemple du « pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? » : qui de la mairie ou de La Poste doit installer une boîte aux lettres ? (NDLR : au niveau du centre commercial de l’hippodrome)

Vaste débat, mais en attendant, les habitants du quartier sont pénalisés ! »

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Journal « l’Union » - 090513b

Lecture, musique, comptines… : Les animations de la médiathèque

La médiathèque … un espace de découverte pour les petits aussi.
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Voici les animations que la médiathèque Croix-Rouge propose dans les semaines à venir :

La ronde des albums. Aujourd’hui à 11 heures, à la découverte de quelques livres et comptines en langues étrangères, pour enfants de 4 à 8 ans.

Julie raconte. Aujourd’hui à 15 heures, Cliko le cafard et Le coq chauve : deux histoires sur l’intégration et la tolérance, imaginées par Valérie Bonenfant.

Théâtre d’images. Mercredi 20 mai à 15 heures, « Je m’appelle Heu et j’adore les mensonges », pour enfants à partir de 5 ans.

Heure des bébés. Samedi 23 mai à 9 h 30, un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans accompagnés de leurs parents. La séance, qui dure 30 minutes, est suivie d’une projection de « Petits courts métrages pour petits bouts ».

Diapositives. Mercredi 27 mai à 16 h 30, « Au pays des chenilles » de Françoise Clairet, illustrations de Dominique Fourdrinier. Dans le vaste pays des chenilles, on peut voir des chenilles de toutes sortes… oui mais la petite Lolita est différente…

Éveil musical. Samedi 30 mai à 10 heures, une séance d’éveil musical avec instruments de musique à disposition des petites mains est proposée aux petites oreilles, par le percussionniste Amdy Seck de l’association Acao (Arts et Cultures de l’Afrique de l’Ouest). Pour enfants de 8 mois à 3 ans (durée 45 minutes.).

Entrée libre.

Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.

Inscriptions préalables au 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » - 090513a

Cour d’assises / Retraitées violées : acquitté à Reims, rejugé à Troyes

Acquitté du viol de deux retraitées début 2008, un Rémois est rejugé à Troyes. Il comparaîtra détenu car mis en examen fin 2008 pour le viol de deux autres vieilles dames.

RETOUR aux assises pour Nordinne Dif. Au palais de justice de Reims, personne n’a oublié le spectaculaire acquittement que ce Rémois de 38 ans natif de Charleville-Mézières a obtenu en février 2008.

Accusé du viol de deux retraitées, ce qu’il a toujours contesté, l’homme avait échappé aux vingt ans de réclusion criminelle réclamés par l’accusation grâce à son petit sexe, trop minuscule selon les experts pour lui permettre de pratiquer une pénétration.

Le parquet général avait interjeté appel, d’où un nouveau procès prévu du 27 au 29 mai devant la cour d’assises de l’Aube. La tâche s’annonce ardue pour ses avocats, Mes Denis Decarme et Fanny Quentin, car Nordinne Dif a refait parler de lui depuis. Il va comparaître détenu en raison d’une nouvelle mise en examen fin 2008 pour le viol de deux octogénaires au centre-ville de Reims (lire par ailleurs).

L’affaire rejugée à Troyes remonte à 2005 avec un premier viol commis le 10 septembre place Jean-Fragonard, au quartier Croix-Rouge. Cette nuit-là vers 1 heure, une femme de 66 ans ouvre la porte à un homme qui se fait passer pour son petit-fils. Il est encagoulé, pieds nus et ne porte qu’un slip. Il saisit la victime par la gorge et l’entraîne dans la chambre en la frappant. Il veut la pénétrer mais renonce grâce à un mensonge de la dame qui lui dit qu’elle a le sida. Il l’oblige alors à lui faire une fellation puis s’enfuit (la victime, malade, est morte sept mois plus tard).

Un problème de taille

La seconde retraitée âgée de 84 ans est attaquée le 8 octobre 2005 avenue d’Epernay. Prétextant venir relever le compteur d’eau, le violeur repousse violemment la porte d’entrée et conduit de force l’octogénaire dans son lit. Elle est giflée, frappée, contrainte à une fellation. Il la pénètre ensuite.

Le mari de la victime — un grabataire de 85 ans — se trouve dans une pièce à côté. Alerté par le bruit, il se rend en chaise roulante dans la chambre et découvre sa femme à moitié nue sur le lit avec l’agresseur. Celui-ci décampe aussitôt.

Très vite, l’enquête va s’orienter vers Nordinne Dif, un homme trapu légèrement enrobé. En 2002, le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières l’avait condamné à quatre ans de prison ferme pour les agressions sexuelles de deux voisines de 76 et 80 ans. Il avait donc le profil idéal, d’autant qu’il habitait le même immeuble que la retraitée violée place Jean-Fragonard. Trois semaines plus tôt, il l’avait d’ailleurs importunée sur son palier en venant la voir uniquement vêtu d’un slip.

Les charges apparaissaient accablantes mais au terme d’une seule journée de procès, la cour d’assises de la Marne a pourtant acquitté Nordinne Dif. La taille de son sexe fut au centre des débats, un « micropénis » l’empêchant de pratiquer une pénétration, selon les experts. Le témoignage des victimes ne correspondait pas à cette anomalie anatomique. Elles avaient seulement identifié leur agresseur à la corpulence et à sa voix, « insuffisant » pour la défense. « M.Dif n’a pas changé de position : ce n’est pas lui qui a violé ces deux personnes. Comme à Reims, nous allons plaider l’acquittement » déclare Me Quentin.

Fabrice Curlier

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Journal « l’Union » - 090512j

Premier rail

Ça phosphore dur à Reims métropole.

Alors qu’il était question de poser symboliquement le premier rail du tramway début mai, vers la place des Belges, Mars et les élus se tâtent.

Cela pourrait finalement se faire du côté de Saint-John-Perse (quartier Croix-Rouge).

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Journal « l’Union » - 090512i

PAYS-DE-FRANCE : Loisirs : c’est mieux l’après-midi

Les jeunes de Pays-de-France chez les pompiers.
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Pendant les vacances scolaires, le centre de loisirs de l’association de promotion de Pays-de-France a accueilli une vingtaine d’enfants de 6 à 12 ans, tous les après-midis de 14 à 17 heures.

Animatrices et bénévoles ont proposé plusieurs activités : sorties de plein air, activités créatives, informatique, sortie chez les pompiers et deux journées d’initiation au cirque clôturées par une représentation devant les parents.

Le centre de loisirs de l’APPF est ouvert tous les mercredis après-midi et pendant les vacances scolaires.

Renseignements : 5, allée des Picards. Tél. 03.26.36.65.71. ou 06.31.61.16.10.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 090512h

Croix-Rouge : La crise et l’emploi en débat

Mohamed el haddaoui (au micro) présente Fabien Tarrit maître de conférence à l’université.
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A l’initiative de l’association des travailleurs maghrébins de France, une réunion publique était organisée mercredi 6 mai, salle Mauriac, sur le thème de « la crise et l’emploi ».

« Cet après-midi de débat autour de l’influence de la crise sur l’emploi fut riche en dialogues et en partage du savoir » apprécie Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF : « Notre invité, Fabien Tarrit, maître de conférence à l’université, a démontré toutes ses capacités et ses compétences dans le domaine des sciences économiques. »

85 personnes, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes de diverses origines étaient présentes, parmi lesquelles on remarquait le député Arnaud Robinet et son attaché parlementaire et plusieurs responsables associatifs.

« Il est important que cette action se soit déroulée dans le quartier Croix-Rouge où réside une population fragile et précaire, qui a découvert que la crise touche tout le monde (travailleurs et patrons) et tous les secteurs (privé et public). »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Journal « l’Union » - 090512g

L’Unicef lance un appel : Cherche bénévoles et local

L’UNICEF oeuvre pour les droits de l’enfant et la protection de l’enfance. Elle mêne des actions dans 155 pays.
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« Nous manquons cruellement de bénévoles. Nous avons besoin de personnes qui pourraient venir nous aider à plaider la cause de l’Unicef dans les écoles, collèges et lycées » explique Marie-Annick Roger, présidente du comité Marne de l’Unicef : « Toutes les personnes aimant le contact humain seront les bienvenues pour nous aider à tenir les stands que nous mettons en place régulièrement dans les hypermarchés, les brocantes, les marchés de Noël, etc. »

« Par ailleurs, l’opération « Villes amies des enfants » existe depuis longtemps, mais nous voudrions mettre en place « Entreprises amies des enfants ». C’est pourquoi nous cherchons un jeune retraité qui aurait une bonne connaissance du monde économique. Il devrait rencontrer des chefs d’entreprise qui bénéficieraient du logo Unicef, pour leur proposer un projet : construire une école ou un dispensaire, parrainer une campagne de vaccination », poursuit Mme Roger.

Enfin, l’Unicef Marne est toujours à la recherche d’un local : « en centre-ville si possible, avec une vitrine, et bon marché bien entendu ! »

Comité Marne Unicef , 12, place Georges-Braque. Tél. 03.26.05.80.10.

 

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Journal « l’Union » - 090512f

Alcool, tabac, drogue, jeux …

Mercredi 13 mai, de 10 à 12 heures, et jeudi 14 mai, de 14 à 18 heures, les étudiants infirmiers, en partenariat avec le CHU, seront présents dans tous les halls et espaces publics de la médiathèque Croix-Rouge, sur le thème : « Boire, fumer et jouer, alcool, cannabis, jeux vidéos, où en êtes-vous ? »

Rencontrez les étudiants infirmiers de 2e année autour d’animations, d’activités ludiques et préventives sur ces thèmes toujours d’actualité.

Pour tous.
Entrée libre.
Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis Debar.

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Journal « l’Union » - 090512e

Festival Croix-Rouge

Le Festival Croix-Rouge s’affiche se déroulera du 20 au 28 mai. Le programme est disponible dans tous les espaces de la Maison de quartier.

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Journal « l’Union » - 090512d

Brocante et artistes

La brocante de l’Acrap sera ouverte dimanche 24 mai, de 9 à 18 heures sur le parking de l’hippodrome.

La salle polyvalente accueillera une expo d’artistes dès 10 heures.

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Journal « l’Union » - 090512c

TENNIS / Interclubs : Cormontreuil et Europe en pole

Comme on pouvait s’y attendre, la 2e journée a été plutôt mitigée pour les clubs marnais qui ont, toutefois, réussi à équilibrer le bilan avec trois succès pour autant de défaites.

En déplacement à Besançon, le Cormontreuil TC (N3) a réalisé une très bonne opération en s’imposant sur le même score que la semaine passée (7-1). Désormais, à condition d’éviter le piège dijonnais, la troupe de William Leveque peut entrevoir sereinement la « finale » contre Nantes lors de la dernière rencontre, d’autant qu’avec ces larges succès, un nul pourrait lui suffire….

En N4, le TC Reims est abonné au tarif 8-0… pour ses adversaires. « Je paie le champagne au premier joueur qui gagne un match ! » ironise d’ailleurs le président Yves Aubry. Reste que ses protégés ont marqué plus de jeux que contre Yutz.

Le TC Géo-André a cartonné (8-0) devant la faible équipe jurassienne du TC Champagnole qui aligne trois 15 et deux 15/2. Le Reims Europe Club a fait respecter la hiérarchie en s’imposant au SMEC Metz (5-2).

Chez les dames, la journée a été bien triste. Aux Thiolettes, le Reims Europe Club, privé de Marie Menacer (-4/6) blessée à la main, a été submergé par le grand favori de la poule le Stade Clermontois.

Enfin, il n’y a pas eu de second miracle pour les filles de Géo-André qui, dans le Var, au TC La Garde, ont subi la loi de la très homogène formation locale (7-1). Seule la capitaine Mylie Gillet (0) s’est imposée, les autres rencontres étant souvent rapidement soldées…

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Journal « l’Union » - 090512b

GREFFE DU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE REIMS

Dossier n° 08/02048

Par jugement en date du 14 avril 2009, le tribunal de grande instance de Reims a a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif des opérations de la liquidation judiciaire de :

Monsieur Bernard Georges Antoine GEORGE, né le 16 août 1958 à Valenciennes (59), demeurant 57, esplanade Eisenhower, 51100 Reims, ayant exercé l’activité d’agent commercial a ordonné la publicité dudit jugement.

Pour extrait, fait à Reims, le 30 avril 2009 :

Le greffier

02L1656464

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Journal « l’Union » - 090512a

Cour d’assises : Une équipe de braqueurs condamnée

Une équipe de Rémois impliquée dans cinq vols à main armée a été jugée aux assises. L’auteur principal a pris 12 ans de réclusion, deux complices 7 ans et 30 mois ferme.

Achaque braqueur sa spécialité ! Une équipe de jeunes rémois qui avait un faible pour les magasins de hard discount a comparu devant les assises de la Marne.

La plus lourde peine - douze ans de réclusion criminelle - est revenue au principal accusé, Bamba Touré, le seul de la bande à avoir participé à tous les braquages (cinq au total). Les faits remontent à l’hiver 2003-2004. Le 4 décembre 2003 à 6 h 30, un premier hold-up est perpétré au magasin Ed de l’avenue d’Epernay à Reims. Trois hommes encagoulés braquent avec un fusil l’employée venue faire l’ouverture. Ils se font conduire au coffre-fort mais la victime n’a pas les clefs. Les malfaiteurs doivent se contenter d’un fond de caisse de 125 €.

Trahi par sa grande taille

Le besoin d’argent se fait sentir car le lendemain à 6 h 40, trois individus s’attaquent au Leader Price du centre commercial Murigny. Ils surgissent au moment où le directeur ouvre le rideau métallique. Il est jeté au sol, roué de coups. Sous la menace d’une carabine, il est ensuite conduit à la salle des coffres où il est séquestré une demi-heure, délai nécessaire à l’ouverture des systèmes de sécurité. Butin : 3.180 €. Les agresseurs s’enfuient avec la voiture du directeur qu’ils abandonnent avenue Georges-Hodin aux Châtillons.

Le 27 janvier 2004 à 6 h 30, c’est le Lidl des Hauts-de-Murigny qui se fait braquer à son tour. Deux hommes masqués attendent l’arrivée de la chef-caissière. Menacée d’une arme sur la tempe, elle est emmenée au coffre. Butin : 5.300 €.

Dès le lendemain, un vaste coup de filet est lancé par le SRPJ de Reims. Depuis quelque temps déjà, les policiers avaient ciblé l’équipe, et notamment Bamba Touré, un jeune de Croix-Rouge alors âgé de 20 ans et au solide passé de délinquant. Les investigations n’étaient pas terminées mais la nouvelle attaque au Lidl a eu pour effet d’accélérer les interpellations. Non seulement une partie du butin et trois armes à feu ont été saisies, mais les auditions ont également permis d’imputer à la bande un quatrième braquage commis le 4 janvier 2004 dans un bar-tabac de Saint-Brice-Courcelles.

Chez Ed et Leader Price, Bamba Touré avait sévi avec son homonyme Fodé Touré, 27 ans, et Jesly Amory, 24 ans. Fodé Touré l’avait également accompagné au bar-tabac. Ses autres complices n’ont pu être identifiés.

La cour d’assises a condamné Fodé Touré à sept ans d’emprisonnement, Jesly Amory à cinq ans d’emprisonnement dont 30 mois ferme couverts par la détention provisoire.

Egalement jugé pour le braquage d’un autre Lidl à Epernay en 2006 (lire par ailleurs), Bamba Touré a été trahi par son physique. Toutes les victimes avaient désigné parmi les agresseurs un Noir de grande taille, quasiment un géant. Or, comme le confirme ce policier rémois, « des Noirs de grande taille connus à Reims pour être des délinquants d’habitude, on les compte sur les doigts d’une main ».

Autant dire qu’avec ses 2m14, Bamba Touré s’était rapidement retrouvé sur la liste des suspects.

Fabrice CURLIER


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Un casse à quatre au bar-tabac

Les braqueurs ne faisaient pas que leurs courses dans les magasins de hard-discount. L’un des cinq vols à main armée imputés au principal accusé, Bamba Touré, a visé le bar-tabac le Saint-Fiacre, rue Jean-Baptiste-Vaillant à Saint-Brice-Courcelles.

C’était le 4 janvier 2004, vers 8 h 45. Comme tous les matins, le gérant venait d’ouvrir le rideau métallique lorsqu’un homme encagoulé a surgi pour le menacer d’une arme de poing et l’asperger en même temps de gaz lacrymogène.

Déséquilibré, le buraliste est tombé en arrière sur le sol. Un deuxième individu est arrivé avec un sac. Il a volé le fonds de caisse, des cartes téléphoniques, des timbres, des carnets de tickets de bus et 20 à 30 cartouches de cigarettes pendant que le complice continuait de menacer le commerçant avec son arme (il lui a donné des coups dans le dos).

Les braqueurs l’ont ensuite contraint à ouvrir le coffre-fort (6.500 € de butin). Avant de s’enfuir, ils l’ont gazé une nouvelle fois au visage, lui brûlant les yeux. Malgré tout, le buraliste a pu apercevoir un troisième individu resté à l’extérieur pour faire le guet. Il était armé d’une carabine.

Les agresseurs ont pris la fuite à bord d’un véhicule conduit par un quatrième comparse. Parti en trombe, il a grillé un feu rouge, manquant alors de percuter la voiture… d’un policier en repos !

Seuls Bamba Touré et Fodé Touré ont été condamnés pour ce vol à main armée. Un ami renvoyé avec eux devant la cour d’assises a été acquitté (défendu par Me Pascal Ammoura, il avait effectué un an de détention provisoire).

Egalement mise hors de cause : une jeune femme au domicile de laquelle Bamba Touré avait déposé des sacs contenant des armes et du butin. Son avocate, Me Fanny Quentin, a soutenu qu’elle en ignorait le contenu. Elle a été acquittée des faits de recel et de complicité de vols à main armée.

F.C.


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Libéré sous contrôle judiciaire, il s’attaque à un Lidl d’Épernay

Incarcéré le 30 janvier 2004, Bamba Touré a été remis en liberté sous contrôle judiciaire le 11 juillet 2006. Un mois plus tard, le 7 août, accompagné d’un complice non identifié, il braque un automobiliste à Reims pour lui voler sa Ford Fiesta. Les deux hommes se rendent alors à Epernay où ils ont prévu d’attaquer le magasin Lidl de la rue Jules-Lobet.

Ils passent à l’action à 7 h 45, au moment où arrive la deuxième employée. Ils la braquent avec un pistolet sur l’épaule, entrent avec elle dans le magasin, menacent sa collègue et les conduisent toutes les deux dans la salle du coffre. Les malfaiteurs volent 1.175 € puis enferment les deux victimes dans le local.

Le 93 l’oblige à braquer

Ils repartent avec la Ford rapidement repérée par une patrouille du commissariat d’Epernay. Pris en chasse, les braqueurs crèvent deux pneus en heurtant un trottoir près de la rue de Verdun. Ils tentent leur chance à pied mais l’un des fuyards, Bamba Touré, ne court pas assez vite. Le butin est retrouvé en sa possession.

Evidemment, suite à cette affaire, son contrôle judiciaire a été révoqué et le jeune homme de nouveau écroué. Selon son avocat, Me Simon Miravete, il a été contraint de commettre ce braquage par des individus de Seine-Saint-Denis à qui il devait de l’argent. « Il faisait l’objet de pressions. On a tiré dans la porte de sa famille. Sa sœur a été agressée à coups de poing. De l’essence a été déversé sur le boubou de sa mère. » Il se serait donc résigné à aller braquer le Lidl pour rembourser sa dette avec le butin.

Fodé Touré fut également remis en liberté sous contrôle judiciaire après 31 mois de détention provisoire mais lui aussi a comparu détenu devant la cour d’assises. Il est incarcéré pour une autre affaire. L’été dernier, il a braqué à deux heures d’intervalle deux personnes qui venaient de retirer de l’argent à un même distributeur à billets de la place d’Erlon. Jugé en comparution immédiate, il avait pris dix-huit mois de prison ferme.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090511b

Lignes P, S, H et 4 : attention aux changements

Dans le cadre des travaux du tramway, une importante modification du réseau de bus démarre aujourd’hui sur le secteur Bonaparte.

A partir du lundi 11 mai, et ce, jusqu’à la fin du mois d’août 2010, des modifications partielles d’itinéraires des lignes de bus P, S, H de journée et de la ligne 4 de soirée seront mises en place.

- pour la ligne P en direction de la Faculté Droit et Lettres, à partir de l’arrêt Georges-Braque, les bus emprunteront les rues Adrien-Sénéchal, Joliot-Curie, puis l’avenue Bonaparte. Ils desserviront les arrêts Fragonard, Tourangeaux et Lavoisier et reprendront leur itinéraire normal. En direction du Val-de-Murigny, l’itinéraire reste inchangé.

- pour la ligne S en direction de Tinqueux Isle-de-France, à partir de l’arrêt Hôpital Debré, les bus emprunteront l’avenue du Maréchal-Juin, les rues Adrien-Sénéchal, Joliot-Curie puis l’avenue Bonaparte. Ils desserviront les arrêts Fragonard, Tourangeaux et Lavoisier et reprendront leur itinéraire normal. En direction de Cormontreuil Louvois, l’itinéraire reste inchangé.

- pour les lignes H et 4 en direction de Croix-Rouge, l’itinéraire reste inchangé ; cependant la ligne sera prolongée jusqu’à l’avenue d’Epernay afin d’y effectuer son nouveau terminus Faculté de Médecine. En direction du Théâtre, à partir du nouveau terminus Faculté de Médecine, les bus emprunteront les avenues d’Epernay et Robert-Schuman puis reprendront leur itinéraire normal.

- pour la ligne H le dimanche en direction du Théâtre, à partir de l’arrêt Hôpital Debré, les bus emprunteront les avenues Maréchal-Juin, d’Epernay, Robert-Schuman puis reprendront leur itinéraire normal. Ils desserviront le nouvel arrêt Faculté de Médecine situé rue avenue d’Epernay. En direction de Christophe-Colomb l’itinéraire reste inchangé.

Pour en savoir plus : site internet www.tur.fr

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Journal « l’Union » - 090511a

Tentative de suicide : Il saute du troisième étage

Hier vers 6 heures du matin, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, une habitante de la place Jean-Fragonard a entendu un hurlement provenant de l’extérieur.

Regardant par la fenêtre, elle a vu un homme allongé au pied de la tour. Il venait de se jeter du troisième étage.

Malgré une chute de près de neuf mètres, le suicidaire était toujours en vie. Blessé à la tête (il souffre d’un traumatisme crânien mais sans perte de connaissance), il a été évacué sur le CHU par les sapeurs-pompiers avec le concours d’une équipe du Samu.

Les services de police ont ouvert une enquête qui ne contredit pas l’hypothèse d’une tentative de suicide. La victime est passée à l’acte après avoir passé une partie de la nuit en discothèque à Châlons-en-Champagne.

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Journal « l’Union » - 090510b

Le rap du 5-1 a écrit sa propre histoire
Bilan.

Kerjo & Tha Mothafunk
Son rap sent la rue sans pour autant en être un cliché, il a l’instinct des années de gloire du vrai hip-hop.
Le tout orchestré par un groupe de zickos qui ouvre l’univers du rappeur aux fans d’autres horizons.
www.myspace.com/kerjostyle

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Twister
Membre du groupe Marchands 2 Lyrics, il a déjà deux albums à son actif. Il travaille en ce moment sur la création d’une compilation qui devrait voir le jour très prochainement.
www.myspace.com/twister51100

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Starlion
Sa particularité est l’éclectisme de son répertoire mêlant le jazz et l’électro, le rap et le reggae. Il est accompagné de musiciens. Son album « La cave se rebiffe » est prévu pour cette année. www.myspace.com/starlionmusic

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Black Industrie
Originaires du quartier Croix-Rouge è Reims, les membres de ce groupe proposent un rap qui sonne entre hip-hop actuel et musique made in Africa. Leur street album est prévu pour le courant de l’année.
www.myspace.com/blackindustrie51

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La Marne est riche « hip-hopement » parlant.
Et depuis 20 ans, les groupes de rap sont légion.

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Cela fait déjà vingt ans que le rap existe dans la Marne. Il est toujours bien présent grâce aux groupes qui font vivre ce courant musical.

Nombreux sont les groupes de rap dans la cité des sacres et dans le département. Il y a ceux qui tiennent la route et ceux qui existent mais ne sortent pas du lot.

Le rap à Reims est apparu à la fin des années 80 avec un groupe précurseur dans la région, « BCBG », qui deviendra ensuite « Les Biens Cool ». À l’époque, plusieurs de ses membres étaient animateurs au Château d’Eau, le temple du hip-hop rémois, connu aussi sous le nom de « Ethnic’s ».

LES PRECURSEURS

Ils sont les tout premiers à avoir importé à Reims ce nouveau style musical venu d’ailleurs, mais aussi les techniques nécessaires à la création des musiques qui vont avec. De là, le rap dans la région a commencé à prendre une certaine ampleur quantitative et qualitative avec la naissance de plusieurs groupes.

Les New Sound Generation, les JME (Jeunes mais Efficace), les Châlonnais de CIA (qui deviendra Le Cercle puis Alchimystik), Possé Hostile du Quartier Châtillons, CR Click avec un certain Alpha 5.20 dans ses rangs, O.P.P, Krash Lyrics de Wilson, Caos Locos (ex-Cartel 2 Croix-Rouge), 100 scrupules (Athit & Starlion) et Don G Black de Croix-Rouge, La Conspiration qui plus tard s’appellera Fovea d’Orgeval, Dread Smoke (3e Type) et les deux meilleurs groupes que la région connus : Larme-dedom et son emblématique Mc Toupa et Alchimistyk et son producteur de beat inégalable, Byron alia s B-Y.

Il y avait aussi les Châlonnais de Pas Da Ran et de Crew 2 Fu et Deimos de Vitry-le- François.

Il y avait également de nombreux 01 : Dj Defwa, Dl Sedami, Dj Foudil, Dj Bara et le plus fort de tous Dj Salim. D’autres groupes verront le jour quelques années plus tard, Maestria, Marchands 2 Lyrics, La Relève, Koikondiz, Black Industrie, 6 Theme D.

LES CONCERTS

A l’époque, il existait peu de lieux où ces groupes pouvaient s’exprimer sur scène. Il y avait bien sûr L’Usine et le festival Octob Rock que les Rémois regrettent tant, qui ont été le théâtre de nombreux concerts de rap (Afrika Bambaataa, NTM, Expression direct…) mais aussi le festival Croix-Rouge s’affiche qui était la scène que tous les groupes voulaient faire, et le parc des expositions qui a reçu le groupe IAM lors de la tournée de leur album culte « L’école du micro d’argent ».

Malheureusement durant plusieurs années, la cité des sacres a tout simplement boycotté les grandes tournées des rappeurs de l’Hexagone avec comme simple prétexte la peur du débordement.

Puis avec l’arrivée de la Cartonnerie, le rap est réapparu avec la soirée d’ouverture où le rappeur américain membre du Wu Tan Clan, RZA , était la tête d’affiche puis Sinik, Sniper, Psy4, Kery James et Medine la semaine dernière.

LES GROUPES DU MOMENT

Aujourd’hui, il y a toujours beaucoup de groupes dans la région, certains sont arrivés avec de nouveaux concepts et d’autres suivent la tendance actuelle du rap version 2009. Kerjo (Crew 2Fu) et Tha MothaFunk et Starlion (100 Scrupules) ont opté pour un hip-hop acoustique, très efficace sur scène.

Une autre formation fait parler d’elle dans le coin, les Black Industrie qui suivent une voie plus actuelle dans un rap plus à la mode. Dans la même tendance il y a aussi Reuf II sang et le groupe de Parfait Scorcrym, ce jeune Rémois décédé en février dans un terrible accident de voiture, et le rappeur de M2L Twister.

QUE SONT-ILS DEVENUS ?

Que sont devenus les membres des « Biens Cool » ? Et bien la plupart d’entre eux ont toujours le pied dans la musique. Nabil« Zen » Ghrib travaille depuis des années pour les Psy 4 de la rime, célèbre groupe marseillais. Il a aussi produit un paquet de sons pour Freeman d’Iam, la bande original de Taxi, une compile intitulée « Electro Cypher », le single « Elle danse » de Nuttea. Il est devenu un incontournable acteur du hip-hop français. Jamal et Slim, eux, sont tourneurs d’artistes reggae (Gladiators, Jimmy Cliff…). Quant à Hector, la voix du groupe, il a animé un temps des ateliers hip-hop pour la ville. Dj Sedami est devenu manager de Khondo.

En terme de rap, Reims et la région ont dessiné leur propre histoire depuis près de 20 ans, et pour les acteurs de cette musique devenue incontournable, le meilleur reste à venir.

THIERRY ACCAO FARIAS

redac-reims@journal-lunion.fr

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090510a - VRI mai 2009

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 256 de mai 2009

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SOLIDARITÉ : Le dispositif de réussite éducative s’étend aux Châtillons et à Wilson


Le dispositif de réussite éducative s’étoffe et ouvre une permanence dans les quartiers Châtillons et Wilson.

Ce dispositif soutenu par le Centre communal d’action sociale de la Ville de Reims, le Conseil général de la Marne et l’Etat met à disposition des outils d’écoute et de soutien pour accompagner des enfants et des adolescents présentant des signes de fragilité dus à un environnement social ou familial difficiles.

Le Dred (dispositif de réussite éducatif à Reims) existe déjà depuis plusieurs années dans les quartiers Croix-Rouge, Orgeval et Epinettes. Son principe est simple, tout acteur socio-éducatif repérant un enfant en difficulté peut saisir le comité de pilotage du Dred. « Dès que nous sommes saisis de la demande, nous veillons aux conditions d’admissibilité en veillant à ce que l’enfant soit âgé entre 2 et 16 ans et qu’il habite soit dans en zone urbaine sensible ou qu’il soit scolarisé dans un établissement situé en zone d’éducation prioritaire », explique Mohammed Es Saïdi, coordinateur du Dred à Croix-Rouge.

Une fois la demande jugée recevable, un programme d’accompagnement individuel et personnalisé pour chaque enfant est établi. « Les actions d’accompagnement peuvent aller d’une aide psychologique à la mise en place d’ateliers culturels ou sportifs.

Toutes ces actions sont menées grâce à des partenariats associatifs, municipaux ou d’acteurs sociaux », explique Mohammed Es Saïdi. En quatre ans, l’antenne du Dred à Croix-Rouge a mené à bien 420 parcours d’accompagnement pour les enfants. Dès que la situation d’un enfant est jugée satisfaisante, son parcours est interrompu. 180 enfants scolarisés ou domiciliés à Croix-Rouge ont ainsi été sortis du dispositif après des résultats jugés concrets et satisfaisants. « Devant le succès du dispositif et les besoins constatés dans les quartiers Châtillons et Wilson, la municipalité a voulu étendre le dispositif », explique Stéphane Joly, adjoint à la maire, en charge des Solidarités et de l’Administration générale

H. C.

> Où s’adresser aux coordinateurs du dispositif de réussite éducative

• A Croix-Rouge, 7, rue Joliot-Curie, Reims. Tél. 0326500319.

• A Orgeval-Epinettes, 47, rue du docteur Schweitzer, Reims. Tél. 03 26507434.


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LA VILLE CHANGE AVEC VOUS : Des "Points infos quartier" pour tout savoir sur la Rénovation urbaine


Dans la continuité de l’information et de la concertation avec les habitants, voulue par la collectivité, la Ville va ouvrir des lieux d’informations dans tous les quartiers concernés par la Rénovation urbaine.

Dans les quartiers Orgeval et Croix-Rouge, ces "Points infos quartier" informeront aussi de l’avancement du chantier du tramway.

Concernant le programme de rénovation urbaine, nous avons déjà organisé en février et mars dans les quartiers six réunions publiques » rappelle Eric Quénard, 1er adjoint, en charge du logement et de la politique de la ville. « Le projet d’ouverture de “Points infos quartier” s’inscrit dans cette continuité. Avec la volonté de la collectivité d’apporter toutes les informations nécessaires aux habitants du quartier dans un souci de transparence conformément à nos engagements. » Ces Points Infos seront installés place Pierre de Fermat (quartier Orgeval), esplanade Eisenhower (quartier Croix-Rouge), Place Mozart (quartier Wilson) et dans l’école Paul Bert (quartier des Epinettes). Les différents interlocuteurs de la rénovation urbaine y tiendront régulièrement des permanences : Chefs de projets territoriaux du Contrat urbain de cohésion sociale, médiateurs du quartier, Chefs de projets Anru. Il sera aussi possible de s’informer sur les questions de relogement, sur la charte locale d’insertion et, dans les quartiers Orgeval et Croix-Rouge, sur l’avancement des travaux du tramway « deux projets parfaitement complémentaires dans l’aménagement de la ville ». Dans le centre, le Point d’information tramway situé place Myron T. Herrick sera également partagé avec un point d’information sur la rénovation urbaine « parce que la rénovation urbaine intéresse tous les habitants. Tout le monde est concerné par le nouveau Reims et le mieux vivre ensemble. Ces différents points infos seront très utiles pour les conseils de quartier en vue d’un dialogue avec les habitants sur les problématiques de leur quartier » ajoute Eric Quénard. Le premier "Point infos quartier" ouvrira dans le quartier Orgeval au cours de la 2e quinzaine de juin. Une agence va être désignée pour proposer une signalétique extérieure et une panneautique intérieure permettant d’identifier et de faciliter l’utilisation de ces nouveaux lieux d’information et de concertation ouverts aux habitants.

A. C.


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7eART : De Méliès au cinéma parlant


La grande manifestation Le cinéma des origines, du précinéma jusqu’au début du cinéma sonore, proposée depuis le 1er avril dans les médiathèques Jean Falala, Croix-Rouge et Laon-Zola, se poursuit jusqu’au 30 mai.

Au programme :

• Des expositions : Le pré-cinéma ou l’illusion du mouvement à la Médiathèque Croix-Rouge se présentant comme un cabinet de curiosités avec lanternes magiques et autres praxinoscopes. Le cinéma muet : la technique au service de l’art à la Médiathèque Jean Falala avec en guest star la caméra Bell & Howell 35 mm, utilisée par Charlie Chaplin, et Les prémices du cinéma sonore à la Médiathèque Laon-Zola qui se penche sur les techniques de bruitages déjà d’actualité au temps du muet.

> Jusqu’au 31 mai. Entrée libre.


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Etats généraux du sport


Durant un mois et demi, plus de 150 dirigeants du mouvement sportif rémois ont pris part aux travaux thématiques qui ont rythmé les Etats généraux du sport initiés par la Ville de Reims.

Si la concertation se poursuivra notamment pour aboutir, en juin prochain, à la signature d’une charte d’utilisation des équipements sportifs, le fruit des réflexions communes, exposé le 11 avril, devant 200 participants, est déjà une contribution précieuse pour la mise en oeuvre d’une politique sportive forte et durable.

Jean-Marc Logeard, président de l’AS judo Croix- Rouge

Les débats ont été très ouverts.

On a maintenant une idée des orientations de la Ville en matière de sport, elle semble aller vers des publics éloignés de la pratique sportive, ce qui colle complètement avec notre projet sportif.


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LES CONSEILS DE QUARTIER A VENIR


Mardi 9 juin, 19 h :

Croix-Rouge-Hauts de Murigny, Salle François Mauriac

A l’heure du bouclage de VRI, certaines dates ou lieux n’avaient pas encore été arrêtés par les collectifs d’animation de plusieurs conseils de quartier.

Pour connaître les dates et lieux de séances manquantes, se reporter au site de la Ville de Reims www.reims.fr ou appeler le Pôle Démocratie Locale au 0326777679.


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Le C.R.E.F à votre service


Association régie par la loi du 1er juillet 1901, le Centre de Recherche d’Etude et de Formation se veut « un espace de rencontre des hommes, des associations et des philosophies les plus diverses dans l’esprit de la plus profonde tolérance mutuelle ».

Installé au 9 allée des Limousins sur Croix-Rouge, le C.R.E.F développe un Centre de Proximité au service des habitants du quartier comme de l’ensemble de la ville.

Il se tient ainsi à disposition de tous.

Il accueille également différents types de publics, suivant des actions qui lui sont confiées en direction des bénéficiaires du R.M.I, des chômeurs de longue durée, des demandeurs d’emploi, des personnes reconnues travailleurs handicapés.

Il intervient aussi dans la remédiation scolaire et l’insertion professionnelle.

Contacts au 0326062235 et cref.reims@wanadoo.fr


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Entrepreneurs ? L’A.D.I.E vous conseille


L’Association pour le Droit à l’Initiative Economique tient des permanences à l’antenne municipale Châtillons le premier mercredi de chaque mois de 8h30 à 12 h et à l’antenne municipale Croix-Rouge tous les vendredis de 14 h à 17 h.

L’objectif est de renseigner les personnes ayant besoin d’argent pour créer ou développer leur entreprise sur les solutions de financement adaptées à leurs besoins et les services pouvant les aider à bien démarrer ou poursuivre leur activité.


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Multimédia, la passion à tout âge


Comment passionner et impliquer plusieurs générations, jeunes, adultes et seniors ? La Maison de quartier Clairmarais, en partenariat avec l’Espace La Nacelle (Maison de quartier Croix- Rouge) développe son projet PEM (Plan Education Multimedia).* Qu’il s’agisse de diaporama, de création de blog, de la réalisation de reportages vidéo et de films d’animation, chaque groupe a participé à l’ensemble des propositions sur les deux structures concernées. De quoi trouver de nouveaux centres d’intérêt et se déplacer d’un quartier à l’autre en allant au-devant de lieux d’animation.

Les réalisations sont visibles sur le blog spécialement conçu par les participants : créablogpem.blogspot.com. On parle aussi d’une valorisation du projet en juin prochain au moyen d’une large diffusion à l’ensemble des partenaires et d’une mise en lien sur le site des Maisons de quartier pour le début de l’été.

*Avec le soutien financier de la Ville de Reims et de la DDRJS.


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LA VIE DES QUARTIERS


Dans les coulisses de Croix-Rouge s’affiche : Une semaine théâtre

Le festival Croix-Rouge s’affiche s’exprime habituellement en plein air.

En 2008, une série de spectacles en salle ont été proposés avec le concours du CROUS.

Le succès était au rendez-vous et ce qui n’était qu’une expérience, est reconduit cette année. Une semaine sous les projecteurs succède donc aux concerts en plein air des 20 et 21 mai.

Neuf spectacles, des lectures et de la danse attendent tous ceux qui auront le temps et l’envie de se rendre dans la salle du CROUS du vendredi 22 au jeudi 28 mai.

La programmation s’ouvre à tous les publics et vous pourrez applaudir successivement :

• Une comédie musicale • Un classique du théâtre humoristique grinçant et décapant avec “Cuisine et dépendances” • Des spectacles jeune public comme “De l’autre coté des rochers qui penchent” • Des créations mixtes mêlées de danse, musique et théâtre.

Les compagnies présentes viennent de Reims pour la plupart hormis la compagnie “Al dente” qui fait le voyage de Belgique.

La création du festival “Eclats de quartier”, qui porte en elle toute la richesse de la culture urbaine, clôturera le festival jeudi 28 avant d’entamer une tournée dans la région.

Les journées seront ponctuées de lectures et de pauses SLAM.

Il ne vous suffira que de votre bonne volonté et d’un appel téléphonique pour réserver afin de découvrir les spectacles.

Tous ces spectacles sont offerts. Alors par ce temps de crise, ne vous en privez pas.

Le détail de cette semaine est disponible auprès des espaces de la Maison de quartier Croix-Rouge.

Une création : “Eclats de quartier”

Croix-Rouge s’affiche exprime une volonté : celle de mettre à l’honneur les richesses artistiques qui sommeillent au sein du quartier même.

C’est l’objectif premier de la création du festival intitulée cette année “Eclats de quartier”.

La mise en scène est portée par José Mendes, directeur artistique du festival et épaulée par une figure régionale de la danse Hip-hop : Franck Settier. Le spectacle se présente comme une fenêtre ouverte sur des vies, sur des individus rattachés les uns aux autres par des liens, des histoires communes, des rêves, des envies. Des gens comme il y en a partout ailleurs. A la fois très différents et très semblables.

Le spectacle vous invite à partager ces vies par le biais d’une performance chorégraphique.

Fête et brocante sur l’Esplanade

Le collectif de défense des locataires Croix-Rouge (CDL CR) organise une manifestation festive dimanche 31 mai de 9 h à 18 h sur l’Esplanade Eisenhower.

Cette manifestation se composera d’une brocante où figureront des stands de particuliers et des stands associatifs de divers quartiers de Reims. Des prestations artistiques organisées par des associations et la Maison de quartier (chorale, fanfare, danse orientale, hip-hop) auront également lieu de 14 h à 17 h. « Nous avons voulu mettre en place de rendez-vous afin de promouvoir la mixité et la cohésion sociale sur notre secteur tout en faisant connaître à la population la diversité du monde associatif » indique Fabrice Lopez, Président du collectif.

Votre marché

Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 6 h à 13 h.

Brocante de l’ACRAP

Ouverte à tous les particuliers, elle aura lieu dimanche 24 mai 2009 de 9 h à 18 h sur le parking de l’hippodrome. L’ACRAP propose aux habitants du quartier la possibilité d’exposer leurs réalisations artistiques dans la salle polyvalente Jean-Jacques Lapique.

Renseignez-vous vite ! Tél./fax : 0326063954.

Entrepreneurs ? L’A.D.I.E vous conseille

L’Association pour le Droit à l’Initiative Economique tient des permanences tous les vendredis de 14 h à 17 h à l’antenne municipale Croix-Rouge.

L’objectif est de renseigner les personnes ayant besoin d’argent pour créer ou développer leur entreprise sur les solutions de financement adaptées à leurs besoins et les services pouvant les aider à bien démarrer ou poursuivre leur activité.

Permanences de l’antenne mobile

L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17 h rues Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h a 11h30 sur le Marché Croix du Sud.

Contact : 0616392102.

Votre antenne municipale

C’est la Mairie à proximité de votre domicile.

Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.

Jours et heures d’ouverture :

• le lundi de 14 h à 17h30 • du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30 • le samedi de 8h30 à 12 h.

Actifs !

Le collectif des Maisons de quartier et des associations de Croix-Rouge s’organisent pour animer la fête du quartier samedi 13 juin 2009.

Sports de proximité… Un support éducatif

« Nous allons bientôt atteindre les 150 adhérents. Le projet "Sports de proximité" a pris de l’ampleur sur Croix-Rouge » se réjouit Tarek Maanoun, éducateur sportif responsable du projet au sein de la Maison de quartier Croix-Rouge. En captant tous les jeunes qui ne se reconnaissaient pas ou plus dans l’offre sportive traditionnelle, on leur a proposé de pratiquer le futsal, la remise en forme, l’initiation aux sports de combat. « C’est ainsi qu’on fait naître des vocations, des habitudes sportives et des règles de vie. Accompagner les jeunes, échanger avec eux, les valoriser, ne pas s’en tenir au sport comme passe-temps. Le sport utilisé à bon escient peut être un support éducatif et un outil de socialisation intéressant » dit Tarek qui salue au passage l’appui de la Ville de Reims (ce projet est soutenu dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale) dont la Direction des Sports a facilité au quotidien l’accès aux équipements du quartier

Gala et spectacle de fin de saison

Le gala du RAP (Reims ACRAP Patinage) est annoncé pour le 30 mai prochain.

Côté ACRAP, le spectacle de danse rythmique sportive modern jazz se déroulera dimanche 7 juin 2009 dans le théâtre de la Maison Commune du Chemin Vert à partir de 15h30. Entrées : 7 euros pour les adultes et 4 euros pour les enfants de moins de 10 ans.

Les réservations s’effectuent auprès du secrétariat de l’ACRAP, tél./fax 0326063954.

A l’école maternelle en septembre ? Bienvenue aux ateliers de préparation !

C’est pour de bon, votre enfant entre pour la première fois à l’école maternelle à la prochaine rentrée… L’espace Watteau vous propose de vous y apprêter les vendredis de 9h45 à 11 h, jusqu’en juin. Les ateliers reposent sur une sensibilisation à la vie en collectivité et préparent à la séparation parents/enfants.

Tout se déroule en trois phases : animations parents/enfants, séparation progressive avec présence des parents sur le lieu même et accueil des enfants au sein de l’école maternelle du quartier.

Pour de plus amples informations, contacter Alexandra au 0647715300.

Maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau, tél. 0326360350.

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Journal « l’Union » - 090509c

Un problème ? : Jobs’51 fait l’intermédiaire

Particulier : vous avez besoin du « coup de main » d’une personne compétente en bricolage, débarras de locaux, entretien courant de la maison, entretien du jardin, repassage, ménage ou encore petit déménagement ?

Entreprise, artisan, commerçant, agriculteur : vous recherchez une personne compétente pour nettoyage, entretien des espaces verts, manutention (cariste), bricolage, entretien, secrétariat, archivage, aide à la vente ?

Une démarche d’insertion

L’association « intermédiaire » Jobs’51 est à votre disposition sur un simple coup de fil au 03.26.06.18.26. et elle prend en charge toutes les démarches administratives ! Créée en 1993 et agréée par la préfecture, Jobs’51 a pour objet d’aider les personnes sans emploi à retrouver du travail pour des missions plus ou moins longues, auprès de particuliers, de collectivités ou d’entreprises, dans une optique d’insertion. Les personnes qu’elle emploie sont des salariés, avec contrat de travail et rémunération au Smic des heures travaillées.

Mais son rôle ne s’arrête pas là, l’association propose également à ces personnes un accompagnement socioprofessionnel, une écoute de leurs projets, une information sur leurs droits et demandes vis-à-vis des administrations : CPAM, Assedic, Pôle emploi, Caf…). Jobs’51, 3 avenue du Général-Bonaparte.

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Journal « l’Union » - 090509b

Conseil municipal : Non à la carte scolaire

Le conseil municipal se réunira lundi soir. Parmi les thèmes à l’ordre du jour, celui de la carte scolaire devrait susciter des réactions.

QUATRE-VINGT-NEUF questions et un vœu touchant à la taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères animeront lundi soir les débats du conseil municipal à partir de 18 h 30 en mairie. Parmi les sujets abordés, la présentation des mesures préconisées par l’Inspection académique pour la prochaine rentrée scolaire 2008/2009 va sans aucun doute recueillir un avis défavorable de la majorité des élus.

Outre que la municipalité accepte mal les suppressions de classe qui ont le plus souvent pour conséquence de voir les effectifs augmenter dans les classes restantes, c’est surtout la suppression de huit postes spécialisés E et G dans des établissements qui en ont le plus besoin qui provoque l’ire de la maire.

Sept suppressions et huit créations

Sept suppressions de classes sont prévues à la rentrée : trois en maternelle (Mazarin, Général-Carré et Charbonneaux) et quatre en élémentaire (Sculpteurs-Jacques, Gallieni, Desbureaux, Jard/Guillaume-de-Machault).

Huit créations de classes sont prévues. Quatre en maternelle : Anquetil, Martin-Peller, Les Auvergnats-Provençaux, Cook/Vasco-de-Gama et trois en élémentaire : Danube, Gerbault, Martin-Peller. Par ailleurs deux créations supplémentaires de postes sont prévues : un poste de classe d’intégration scolaire (Clis) à l’école élémentaire Jean-Macé et un poste spécialisé option D à l’IME de la Cerisaie.

Sale coup pour les élèves en difficultés

Si bon an mal an, la Ville accepte ces mouvements, par contre, l’annonce, par souci d’économie, du retrait de postes spécialisés communément appelés Rased à l’école Jamin, Joliot-Curie, Jules-Ferry et La Neuvillette (Maître G) et à l’école Pommery et Thillois (Maître E) est fort mal vécue.

Mis en place par le ministère de l’Éducation nationale, le dispositif Rased est fort utile, selon la Ville.

Il permet à des enseignants spécialisés de mener des actions spécifiques pour réduire les difficultés rencontrées par des élèves lorsque l’aide apportée en classe ou sur le cycle ne permet pas d’atteindre les objectifs visés.

Le maître E chargé de l’aide à dominante pédagogique s’occupe des élèves qui présentent des difficultés dans les apprentissages fondamentaux et le maître G s’adresse plutôt à des enfants en difficultés scolaires et relationnelles, ceux pour lesquels la seule réponse pédagogique apparaît inefficace et à des enfants qui n’arrivent pas à s’adapter à l’école.

Vouloir à terme supprimer 3.000 postes de ce type pour les ventiler autrement (moitié dans les classes difficiles et moitié dans les classes ordinaires) ne semble pas une mesure adéquate, vont dire les élus de la majorité.

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 090509a

Incendies : Feux de poubelles

Jeudi vers 21 h 30, un feu de poubelle s’est déclaré dans un local à vide-ordures de l’allée des Tourangeaux, un autre hier à 18 h 45 rue de l’Adriatique.

Entre-temps, à 3 heures du matin, une poubelle a brûlé devant un immeuble place Toulouse-Lautrec. Les flammes ont noirci le volet d’un appartement.

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Journal « l’Union » - 090508a

tennis / Interclubs : Cormontreuil au révélateur

Après une entame plutôt convaincante, les équipes marnaises vont devoir confirmer dimanche lors de la 2e journée des Interclubs.

Ainsi, en N3, candidat avoué à la montée, le Cormontreuil TC passera un test significatif au TG Besancon emmené par Nicolas Guillaume (- 15), vainqueur cette année à l’URT.

Logiquement, la troupe de Sebastien Jolly a les moyens de s’imposer à condition de gagner, au moins, un double.

En N4, le TC Reims risque fort, sur sa terre battue de la rue Lagrive, de poursuivre son chemin de croix puisque, l’adversaire, l’AS Meudon - club de Tarek Benhabiles qui, selon toute vraisemblance, ne sera pas là - a sévèrement battu (8-0), lors de l’ouverture, Neuilly Plaisance qui, sur le papier, présente une équipe supérieure aux Rémois ! De son côté, le Reims Europe Club se déplace au SMEC Metz avec la ferme intention de s’imposer. Les Lorrains sont considérés comme les maillons « faibles » de la poule.

Quant au TC Géo-André, après la déconvenue en terre messine, l’heure de la révolte a sonné. Et le TC Champagnole avec ses trois 15 et deux 15/2 va assurément souffrir.

Européennes sur le gril !

Chez les dames, vainqueurs surprises la semaine passée, les Rémoises de Géo-André seront en difficulté au TC La Garde. Toutefois, si les partenaires de Mylie Gillet veulent se maintenir, un succès est obligatoire dans le Var.

Enfin, il va y avoir du spectacle aux Thiolettes car les « Européennes » reçoivent le favori de la poule, le Stade Clermontois, qui aligne une numérotée (35), une - 15, une - 4/6 et deux 0. Pour le Rec, il s’agira de limiter la casse…

DAMES.
- N2 : TC La Garde - TC Géo-André, Reims Europe Club - Stade Clermontois, Chassieu Tennis - CO Saint Dizier ;
- N4 : TC Troyes - AJ Blois, ASC Cormeillais - La Macérienne, TCSM Le Chatelet - TC Sedan, TC Freyming Merlebach - TC Sancéen, TC Saint Just Saint Rambert - ECAC Chaumont.

MESSIEURS.
- N3 : TG Besancon - Cormontreuil TC, CO Saint Dizier - TC Chateau Renard ;
- N4 : TC Reims - Meudon, ASPTT Troyes - TC Saint Dié, SMEC Metz - Reims Europe Club, TC Géo-André - TC Champagnole.

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Journal « l’Union » - 090507a

Culture : La maire fait sa révolution

Hier, en prélude à dix « rencontres culture », la maire et l’adjointe à la culture ont énoncé de nombreux projets qui seront discutés, modifiés et amendés.

COURS de musique dans les quartiers, développement du cinéma en plein air, nuit du raï, mise en place d’une ou plusieurs friches pour jeunes artistes, d’un lieu de fabrique de spectacles pour Méli’môme, pass culture, etc. : hier matin, la maire Adeline Hazan, son adjointe à la culture Sarah Ouaja-Ok et Thierry Wippler, délégué à la culture émergente, ont réuni les responsables du monde culturel rémois pour les inviter à participer de septembre à décembre à dix « rencontres culture » destinées, à partir d’une trame dessinée par la Ville, « mais surtout pas figée », à rendre plus lisible et visible la politique culturelle de la Ville. L’occasion de développer les objectifs de la Ville.

La culture facteur de cohésion sociale

« Ce n’est pas parce que c’est la crise économique que la culture doit être oubliée », a d’entrée affirmé la maire. « Au contraire, il faut la mettre au premier plan car c’est ce qui fait sens, c’est un facteur de cohésion. » Faisant le constat qu’à Reims il y a une importante offre culturelle appuyée par 30 M€ de subventions de la Ville, mais que « malgré cela les gens ont l’impression qu’il ne se passe pas grand-chose », la Ville a décidé de réagir.

Faisant le pari de « faire de Reims une métropole culturelle européenne tout en améliorant le bien-être des Rémois », la maire a explicité sa méthode. Elle a avancé des pistes en insistant bien pour dire que « la culture n’existe que si elle est mise en partage. »

Accompagner la création

Afin de faire émerger et de soutenir les jeunes créateurs, la Ville se donne un an avec sa chargée d’études pour créer une ou plusieurs friches, « style squat de Berlin » destinées à créer un pôle de création autour de la BD et du multimédia, mais aussi à développer un pôle autour du graff, des arts numériques. Créations aussi de résidences d’artistes locaux et étrangers dans des locaux demandés à des organismes logeurs.

Pour le plus grand nombre

Partenariat avec l’université, soutien à un projet d’institut culturel européen, la Ville veut aussi aller plus vers les quartiers en développant les arts dans la rue, en augmentant des projections cinématographiques en plein air, en favorisant l’enseignement artistique du Conservatoire dans le quartier Orgeval à la rentrée.

Afin de rendre la culture encore plus visible, après avoir aménagé l’entrée du cryptoportique en scène place du Forum, la Ville va demander à des artistes, en liaison avec les habitants d’installer une œuvre contemporaine par quartier. La Ville s’attachera à ce qu’il y ait un meilleur maillage des équipements culturels, à la mise en place sur un week-end d’un grand événement à la fois culturel et populaire style « Folles journées de Nantes » et à la mise en place d’un kiosque pour regrouper toute l’offre culturelle rémoise.

Enfin la maire a insisté : elle veut que Reims soit mieux identifiée au niveau international. Si le festival Méli’môme l’a permis grâce à ses coopérations, la ville de Reims entend mettre le paquet sur le festival Reims scènes d’Europe et organiser d’autres grandes expositions pour asseoir sa notoriété hors les murs.

Des rencontres

Dix rencontres culture sont prévues : la première aura lieu le mardi 8 septembre sur le thème « Culture et quartiers », la deuxième le mardi 15 septembre sur le thème « Culture et handicap » dans le cadre des journées du Patrimoine.

Alain MOYAT

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Des problèmes, des commissions

Toutes les interrogations ne sont pas levées
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Le projet de la maire d’« inventer une politique culturelle globale partagée » a été bien accueilli. Il a toutefois suscité plusieurs questions.

Salle Jean-Pierre-Miquel.

- Des artistes ont regretté la perte prochaine de la salle Jean-Pierre-Miquel qui pourrait devenir salle de conférence pour les étudiants de sciences Po. La mairie a assuré que si cela se faisait, « pas avant octobre 2010 », une autre salle serait mise à la disposition des compagnies. « Si la galerie du Frac restera à moyen terme dans les locaux de l’Ancien collège des Jésuites, des salles d’arts plastiques seront proposées dans divers lieux de la ville. »

Et les vieux artistes.

- « Aider les jeunes artistes émergents, c’est bien, mais qu’on n’oublie pas les vieux artistes », a plaidé une comédienne. « Je suis du collectif artistique Eutectic et on a du mal à avoir un rendez-vous alors que notre siège social est voué à la démolition ! » Sarah Ouaja-Ok a promis qu’il n’y en aurait pas que pour les jeunes créateurs. En ce qui concerne Eutectic : « J’ai déjà rencontré des membres de la troupe mais je peux aussi vous rencontrer… »

Cryptoportique.

- « Il y a des dérives et on a parfois eu l’impression qu’il s’agissait plus d’animations destinées aux cafetiers. Les groupes ont été payés par qui ? » a demandé un participant. Réponse : « Barcella a été payé par la Ville qui n’est pas là pour exploiter les artistes. Le bal littéraire de la Comédie a fait danser des gens, mais le but de la Comédie n’est pas de faire plaisir aux cafetiers. Ce ne sont pas les cafetiers qui ont payé les concerts. »

Musée des Beaux-arts.

- La présidente d’un Grand Musée au Boulingrin a demandé où en était le dossier. Fin 2009, le cahier des charges du projet finalisé devrait être terminé pour lancer l’étude de faisabilité et lancer le concours d’architecte. « La livraison du musée devrait être faite en 2015 », a assuré Adeline Hazan.

Salle de spectacle.

- « Il y a 22.000 habitants à Croix-Rouge et pas de salle disponible hormis le Crous », a regretté un représentant d’une maison de quartier. « Dans ces conditions, il est difficile de créer des habitudes culturelles pour les habitants. »

« On a demandé aux organismes logeurs des salles », ont répondu les élus qui ont aussi proposé la constitution de deux commissions pour régler les problèmes : une consacrée aux compagnies et au spectacle vivant et l’autre aux relations de travail avec l’université.

A.M.

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L’hebdo du vendredi- n° 122 - 090506a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’Hebdo du Vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 122 - Semaine du 07 au 14 mai 2009

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JUSQU’AU 30 MAI : « Le cinéma des origines »

 

Conçues par l’association « le cinéma s’expose », les 3 expos dévoilées à Reims retracent de manière chronologique l’histoire du pré-cinéma jusqu’au début du cinéma sonore.

Qui avait-il avant le cinématographe ? C’est ce que propose de nous faire découvrir une première expo, à la médiathèque Croix- Rouge, consacrée au pré-cinéma et présentée comme un cabinet de curiosités.

La médiathèque Jean Falala prend le relais et aborde la naissance du cinéma muet.

Le voyage dans le temps se termine à la médiathèque Laon-Zola avec les prémices du cinéma sonore.

À l’heure de la HD et du passage programmé au tout numérique, ces trois expos rendent un nécessaire hommage aux racines du 7ème art.

Médiathèques Croix-Rouge, Jean Falala et Laon-Zola

 

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Journal « l’Union » - 090505h

MODIFICATIONS

51L1654874

Réunis en assemblée le 15 mars 2009, les associés de la S.A.R.L. INFOTEQ, R.C.S. de Reims 508751518 ont décidé de transférer le siège social de la société au 7, rue Joliot-Curie, 51100 Reims et d’adopter la nouvelle dénomination commerciale suivante : FLOTEC INFORMATIQUE à compter de ce jour.

En conséquence les articles 3 et 4 des statuts ont été modifiés.

Dépôt légal au Greffe du tribunal de commerce de Reims

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Journal « l’Union » - 090505g

Championnats de France de patinage artistique : L’excellence s’allie à la grâce

Elles ont affronté le très haut niveau de la danse sur glace française
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Le Reims Acrap patinage a enregistré de très bons résultats les 24,25 et 26 avril, pour le championnat de France Solos de danse sur glace. Sélectionnées avec leurs excellents résultats en tournoi de France au cours de la saison, classées dans les dix meilleures patineuses françaises, Mélanie Carrie, Juliette Wary, Margaux Abib-Gruet, Camille Renault et Solène Manceaux (novices 2) ont concouru avec beaucoup de grâce sur la glace de la patinoire Lafayette de Besançon.

Cette compétition particulière par sa durée (3 jours), son programme (2 danses imposées et un programme libre), et son envergure (28 clubs représentés), a permis aux jeunes Rémoises d’affronter le très haut niveau de la danse sur glace française.

- En novice 2, Solène Manceaux s’empare de la 5e place.
- En minime 2, Camille Renault, avec un beau programme libre remonte dans le classement et termine 4e.
- En minime 1, Margaux Abib-Gruet obtient la 6e place.
- Pour leur première participation aux championnats de France, Juliette Wary (benjamins 2) face à de redoutables patineuses toulousaines gagne la 8e place et
- Mélanie Carrie (benjamins 1) termine 10e malgré une bonne place au programme libre.

Par ces résultats, elles ont su confirmer l’excellence de l’enseignement de Ludivine Lemaire, leur entraîneur, ainsi que la place du Reims Acrap patinage au 5e rang des clubs français de danse sur glace cette saison (classement national établi avec les résultats de tous les patineurs engagés en tournoi de France).

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Journal « l’Union » - 090505f

La poésie de Liliane Feige

 

Infatigable dans sa croisade de promotion d’une poésie populaire jusqu’au cœur des quartiers, Liliane Feige n’en finit pas de se déplacer pour apporter sa bonne parole.

Les habitants pourront la rencontrer à l’exposition « Artistes de Croix-Rouge » organisée par l’Acrap le jour de sa brocante de printemps, dimanche 24 mai de 10 à 18 heures : elle n’a jamais manqué ce rendez-vous.

- Des photographies de l’exposition du 20 mai 2007 sont disponibles dans notre galerie d’images

- Des photographies de l’exposition du 23 septembre 2007 sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Journal « l’Union » - 090505e

A vos chaussures !

 

 

 

Voici les prochains rendez-vous des Marcheurs du dimanche, à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge :

- dimanche 10 mai, choix entre deux parcours,« Saint-Martin d’Ablois » (11 km) ou Verzenay (14 km). Départ à 8 h 15.

Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03.50.) ou auprès de Vincent Girardin (06. 1 2.99.83.09.).

 

 

 

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Journal « l’Union » - 090505d

Recherche d’emploi : Tout pour trouver un job

Les responsables des points information jeunesse, Tassadit Asloudj pour l’espace Ethnic’s et Sahdia Idami pour l’espace La Nacelle, ont organisé, en partenariat avec Estelle Derouillat, de la médiathèque Croix-Rouge une journée info-jobs pour tous publics, mercredi 29 avril.

« Nous voulions, dans le même temps, fédérer l’ensemble des professionnels du quartier qui œuvrent tous avec le même objectif : l’emploi », précise Sahdia Idami : « Fini le temps du chacun pour soi ! » Dans la salle, les visiteurs pouvaient rencontrer au choix les représentants de l’association Job’s 51, ceux du Crij, de l’association 2 Mains, du service départemental de prévention, de la mission locale et de la Maison de quartier Croix-Rouge (Nacelle et Ethnic’s).

De nombreuses propositions d’emploi, des conseils d’orientation, un accompagnement à la réalisation de CV et une aide à l’écriture de lettres de motivation leur étaient proposés.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090505c

Grandes histoires pour petites oreilles

Les styles graphiques s’exposent dans les couloirs de l’UFR Staps.
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Temps fort d’une politique en direction des tout-petits, l’opération « Grandes histoires pour petites oreilles » leur propose des animations variées, de mai à juillet.

DES spectacles, des contes, des lectures, des ateliers musicaux et des courts-métrages seront proposés aux plus jeunes dans toutes les bibliothèques et médiathèques du réseau municipal, sans oublier les adultes, parents ou professionnels de la petite enfance, à qui des conférences sont spécialement destinées.

Espace de lecture

Un espace de lecture conçu par l’artiste plasticienne Clémentine Treu et dédié aux tout-petits est installé à la médiathèque Croix-Rouge pendant toute la durée de la manifestation. C’est-à-dire de mai à juillet.

« Comme un espace, une bulle, un lieu dédié à la lecture, l’écoute, le repos, le jeu… Il accueille les jeunes enfants de 3 mois à 3 ans, pour écouter ou entendre des histoires. Cette bulle est douce, ronde, chaleureuse, ludique, poétique et colorée. »

Clémentine Treu est une artiste plasticienne rémoise, diplômée de l’Esad et connue notamment pour avoir décoré les loges de la Cartonnerie et pour son Espace hibernation actuellement visible au centre culturel Saint-Exupéry.

Toutes les activités sont gratuites mais une inscription préalable est conseillée (03.26.35.68.51.). Pour la médiathèque Croix-Rouge, le programme est disponible au 19, rue Jean-Louis-Debar.

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Journal « l’Union » - 090505b

Le lycée Arago s’exporte en Tunisie

L’expertise et le savoir-faire du lycée des métiers François-Arago sont mis à contribution dans un projet de centre de formation des métiers du bâtiment en Tunisie.

Des enseignants pourraient effectuer des missions ponctuelles en Tunisie, et des « transferts d’organisation et de management » sont d’ores et déjà évoqués par l’Agence française de développement (porteur du projet) qui s’est rendue à Reims mercredi dernier en compagnie d’une délégation tunisienne.

Le centre de formation pourrait voir le jour en 2010. Le gouvernement français le financera à hauteur de 7,2 M€ sur un budget global d’environ 10 M€.

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Journal « l’Union » - 090505a

La taxe sur les ordures ménagères à Reims : Les réactions de nos lecteurs

MYG :

« Voilà, c’est raté ! La nouvelle équipe municipale avait cru faire passer « en douce » une augmentation importante de l’impôt local, en la déguisant de la couleur du vent. Mais les citoyens ne sont pas aussi stupides que leurs élus veulent bien le croire, et il leur arrive de lire leur quittance de loyer ou leur avis d’imposition. Et là, ils sont absolument ravis de voir, et de savoir, qu’ils paient deux fois pour la même chose. Et qu’en plus, « on » les prend pour des demeurés. Allez, que va-t-on nous inventer pour l’année 2010 ? Une taxe-tramway, malgré la subvention exceptionnelle versée par l’Etat, sur l’intervention de madame VAUTRIN, députée de la Marne, et néanmoins prétendante à la mairie ? L’avenir le dira. En attendant, les citoyens paient. Ils payent pour la désastreuse gestion de l’équipe SCHNEITER, et pour les promesses démagogiques, et intenables, de l’équipe HAZAN. »

denisdereims :

« Et si c’était une taxe qui a plus à voir avec notre mode de consommation hyper productif de déchets inutiles. Exemple : pourquoi les commerçants qui vendent les concombres sous plastique ne sont pas taxés sur cet emballage complètement inutile ? Pourquoi ceux qui vous vendent des légumes ou des fruits préconditionnés dans des barquettes en plastique, ce qui oblige à acheter peut-être plus que nécessaire et crée un emballage supplémentaire, ne sont pas taxés ? Comme toujours, on ne s’attaque pas aux vrais problèmes, mais cela, ce sont les députés UMP qui ne veulent pas mettre en place les recommandations du Grenelle de l’Environnement (et cette mesure de taxation des emballages inutiles par les professionnels irresponsables en faisait partie), mais l’UMP préfère faire payer les consommateurs que les actionnaires. Un conseil : les emballages inutiles, laissez-les dans les magasins où vous vous approvisionnez et vous verrez que votre poubelle sera plus légère. »

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Journal « l’Union » - 090504b

Formation : Comprendre les charges locatives

Conséquence de la crise, beaucoup de chantiers de construction étaient plantés. La Ville a saisi plusieurs opportunités pour aider à en relancer.
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Tous les locataires des principaux organismes logeurs viennent de recevoir leur « régularisation de charges 2008 »… Mais beaucoup ont du mal à les comprendre et encore plus à les contrôler !

Les amicales de locataires de la Confédération nationale du logement (CNL) font beaucoup parler de ces contrôles dans les trois organismes HLM de Reims : « D’abord, pour comprendre ce qu’ils paient et ensuite pour corriger les erreurs que font ces organismes dans la répartition ou la facturation car tout n’est pas à payer par les locataires dans les charges et les réparations », explique Michel Roquier. « Chaque année, nous faisons rembourser plusieurs centaines d’euros pour les locataires dans les différents quartiers de Reims. » Pour effectuer ces contrôles de façon efficace, il est nécessaire d’être compétent. C’est pourquoi la CNL vient d’organiser deux soirées de formation pour les responsables des amicales CNL.

Ils étaient 25 à y participer, représentant 10 amicales. Comment se fait la répartition des charges, qui paie quoi, quelles réparations sont à payer par les locataires, quelles sont les charges récupérables… Voici quelques-unes des questions que les responsables ont essayé d’assimiler durant ces deux soirées.

Ces formations sont d’autant plus importantes que la législation évolue et que les HLM changent la présentation des régularisations.

D’après l’avis des participants, ils en sont ressortis « plus forts pour faire ces contrôles et ainsi mieux défendre les locataires ».

Tous les locataires peuvent contacter la CNL : BP 465, 51066 Reims Cedex ou au 03.26.07.25.52.

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Journal « l’Union » - 090504a

Relance dans le bâtiment : La Ville exploite les opportunités

Conséquence de la crise, beaucoup de chantiers de construction étaient plantés. La Ville a saisi plusieurs opportunités pour aider à en relancer.
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LA crise financière de la fin 2008 a bien failli torpiller sérieusement plusieurs projets immobiliers à Reims, notamment sur la Zac Jeanne-D’Arc et la Zac Dauphinot. Mais pas seulement. Grâce à la mobilisation locale des partenaires Ville/Reims Métropole/organismes logeurs, rendue possible par des coups de pouce financiers de l’État, des chantiers ont pu reprendre et/ou des équilibres financiers de dossiers ont pu être assurés. Premier adjoint, Éric Quénard - chargé du logement - s’en explique.

Une concertation efficace

« Début janvier, l’agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) nous a demandé de regarder s’il n’y avait pas d’opérations immobilières bloquées par absence de moyens ou qui pouvaient être relancées en 2009. On a fourni une liste au préfet le 26 mars dernier et le comité national de l’Anru a arrêté une enveloppe maximum de crédits de 1,6 M€ pour accélérer le démarrage d’opérations. »

En mai et juin, la Ville et Reims Métropole vont entériner plusieurs opérations qui devront obligatoirement être engagées cette année :

Wilson (maître d’ouvrage Ville/Car) : 246.000 € d’aides pour des surcoûts de travaux d’aménagement de voirie et réseaux non prévus initialement.

Croix Rouge-Université (Reims habitat) : 481.250 € pour la réhabilitation de 275 logements avenue du Général Eisenhower.

Orgeval (Reims habitat) : 113.750 € pour la réhabilitation de 65 logements rue Poincaré et rue Schweitzer.

Épinettes (Effort rémois) : 51.250 € pour la réhabilitation de 41 logements rue René-Hanriot, rue Jean-Fabre et rue Sainte-Thérèse.

Et une somme de 707.750 € pour un chantier du Foyer rémois concernant la réhabilitation de 191 logements de l’ancien patrimoine Vitry Habitat, allée des Grives, place des Mouettes et allée des Perdrix.

Au secours des promoteurs privés

Au dernier trimestre, face à la difficulté rencontrée par certains promoteurs privés pour débloquer leur chantier, mais aussi à la forte demande de logements en attente à Reims (4.000 par an), l’État a lancé un programme exceptionnel d’acquisition de 30.000 logements en vente en l’état de futur achèvement (VEFA).

Une enveloppe de 300.000 € accordée pour la seule Ville de Reims va permettre le financement de 248 logements (21 PLAI, prêts très sociaux), 122 PLUS (social traditionnel) et 95 PLS (logement social plus haut de gamme). Concrètement, l’Effort rémois et Habitat Champagne vont acquérir 39 logements d’HSM sur le site Parchimy, 57 de Bouygues aux Crayères et 26 de la Compagnie immobilière de Champagne sur la Zac Dauphinot. L’Effort rémois Saclo reprend 10 logements de Berdin sur l’îlot Folle Peine et Habitat de Champagne acquiert 22 logements de la SF Prom sur la City Clairmarais.

Reims habitat reprend 20 logements des Jardins d’émeraude de la Compagnie immobilière de Champagne et 20 de PBM rue Cognacq-Jay.

Le Foyer rémois acquiert 11 logements de la SARL du jardin, rue des Tondeurs, et 43 logements de l’immo PBM : 19 rue des Champs, autant rue de Saint-Thierry et 5 rue Edmond-Rostand. « Et les opérateurs ont bien dû baisser leur prix de vente », explique l’adjoint. « De 3.000, 3.500 € le m2, on arrive finalement à 2.200 €, 2.300 € le m2. »

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 090503a

Unicef : le comité Marne fait le point

Les enfants ont montré leurs talents.
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Le comité Unicef de la Marne a réuni 87 % de ses adhérents pour son assemblée générale.

En 2008, le comité a participé à la nuit de l’eau, au Sidaction, au salon du livre de Cormontreuil et à « Reims, ville amie des enfants » : cinq classes de différentes écoles et une classe d’enfants malentendants et malvoyants de l’Institut Michel-Fandre étaient réunies pour une journée conviviale sur les droits des enfants, avec l’association Artisans du Monde, et un accompagnement musical d’Amdi Seik de l’association Acao.

Quatre élèves de l’IUT ont axé leur mémoire de fin d’année en faveur de l’Unicef. Ils montent le projet d’organiser un grand concert à la Cartonnerie avec un chanteur connu et soutenant la cause des enfants.

De nombreux stands

Mais surtout, on a vu les stands fleurir un peu partout à la moindre occasion, tenus par des bénévoles au grand cœur. « Nous avons également déposé des présentoirs de cartes de vœux aux Assedic, à l’hôtel de ville, à l’office de tourisme, chez les Rotary, à la clinique vétérinaire de la Haubette à Tinqueux, à la Maison du commerce et de l’artisanat, dans une bijouterie et dans les collèges Paul-Fort, Pierre-de Coubertin et Georges-Braque ; mais avec très peu de réussite, malheureusement. »

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L’association cambriolée

Grâce à une comptabilité rigoureuse, la section Marne ne consacre que 5,45 % de ses 30 099,63 euros de recettes à son fonctionnement associatif. Les ressources viennent, dans l’ordre croissant, des adhésions (240 euros), des subventions (363 euros), des entreprises (1 529 euros), des dons (3 200 euros), des ventes au local (6 800 euros), des dépôts (7 901 euros) et surtout des stands (8 600 euros) : Cora-Nord, Cora-Cormontreuil, Leclerc-Champfleury, Champion, Intermarché, sur le marché des Châtillons, sur les marchés de Noël, à Reims, Cormontreuil et Tinqueux.

La section a mal terminé l’année puisque « fin décembre, nous avons été cambriolés. On nous a volé l’ordinateur et la recette de Cora Nord, soit près de 800 euros. Nous avons du mal à comprendre comment on peut cambrioler une association à but humanitaire telle que la nôtre ! »

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Journal « l’Union » - 090502b

L’ULCR déplace sa réunion

L’Union des locataires de Croix-Rouge a décidé de changer de lieu pour son assemblée générale du mardi 5 mai. Elle ne se tiendra pas au local associatif du 52, esplanade Eisenhower, mais à l’espace Billard, 12/14, rue Pierre-Taittinger à 18 h 30.

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Journal « l’Union » - 090502a

Croix-Rouge : Heureux sous le chapiteau du bonheur

Les enfants ont montré leurs talents.
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Une partie des organisateurs.
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Au terme de plusieurs jours passés à découvrir les joies et difficultés du cirque, du fil, de la boule ou du jonglage sous le joli chapiteau de l’association Trac, planté au bout de la rue Duffy dans le cadre d’un chantier d’harmonie urbaine, les enfants ont pu montrer leurs progrès, hier, à leurs parents et leurs copains.

En effet, profitant de la présence de l’équipe de Philippe Hiraux et de la Compagnie Bloody Macadam sur le quartier, plusieurs associations ont conjugué leurs efforts pour prolonger ce moment par un grand rendez-vous festif ouvert à tous. Et c’est ainsi que l’équipe de l’Étoile Croix du Sud de Jean-Michel Gauthier tenait la buvette, les excellentes cuisinières de Femmes d’ici et d’ailleurs avec Elham Kouch avaient préparé des sandwiches, des boules de coco et du thé à la menthe pendant que les enfants s’amusaient gentiment aux jeux du cirque après un pique-nique improvisé par chaque famille.

Après cette mise en bouche, place aux spectacles avec du burlesque proposé par la compagnie Bloody macadam et « la vie aventureuse… mais digne de Mister Boones ». Ensuite jusque fort tard dans la nuit, c’est à partir d’une programmation soignée élaborée par Abdel Erafi de l’association « Demain » que les habitants ont pu terminer la journée en assistant au cabaret sauvage, cocktail réussi de prestations rai, rap et Rnb, de danses orientales et de chaâbi.

A.M.

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Journal « l’Union » - 090430c

Avec la Caisse des écoles : L’Europe à toutes les sauces !

Depuis plusieurs années maintenant, la caisse des écoles sensibilise les petits Rémois à l’Europe. Cette année, le programme est très fourni.
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DE nombreuses animations ou séjours sont organisés par la caisse des écoles autour du thème de l’Europe.

Ainsi, en mars, des petits Rémois (école Provençaux élémentaire) sont-ils allés à Transinne en Belgique ; et un groupe de Florentins est venu sur le site de « la Volière » à Villers-Allerand, pour des visites culturelles et des échanges sportifs sont au programme.

Début mai, des petits Rémois se rendront aux Pays-Bas (école Blanche-Cavarrot et école Sculpteurs-Jacques) ; d’autres iront en Espagne (école Anquetil élémentaire). D’autres séjours à l’étranger sont également programmés en Angleterre.

Dans les cantines

Jeudi 7 mai : l’Europe dans l’assiette des écoliers : un menu européen allemand sera fabriqué, livré et servi par l’Unité centrale de production alimentaire de la Caisse des écoles aux 6.300 enfants fréquentant les restaurants scolaires, décorés « européens » avec la collaboration du Crij de la Ville de Reims. Au menu : salade bavaroise, blanquette de porc au raifort, spätzle… Des étudiants, venus de toute l’Europe, pour des « rencontres » dans les restaurants scolaires de la Caisse des écoles !

Des échanges avec les élèves de nos écoles élémentaires pour mieux comprendre l’autre ! Ces jeunes Européens partageront, commenteront le repas allemand et pourront ainsi discuter en direct avec les jeunes Rémois.

Ce même jour, à l’école Vasco-de-Gama, l’équipe enseignante a décidé d’aller encore plus loin.

Les élèves de CE2, CM1 et CM2 vont fêter l’Union Européenne pendant toute la journée. Alternant moments éducatifs et moments ludiques, les enfants vont voyager à travers les 27 pays de l’UE.

Des ateliers éducatifs seront mis en place. Des chants d’Europe, des jeux viendront agrémenter cette belle journée.

Des étudiants européens allemands viendront parler de leur pays autour d’un apéritif local, puis partageront le repas allemand avec les enfants fréquentant le restaurant scolaire.

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Journal « l’Union » - 090430b

Débat : l’emploi et la crise

L’Association des travailleurs maghrébins de France, section Marne, organise une rencontre-débat sur le thème de « L’emploi et la crise », dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac, mercredi 6 mai à 14 h 30.

Le président Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF, a invité à cette occasion Fabien Tarrit, professeur de sciences économiques à l’Université de Reims en qualité d’intervenant animateur.

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Journal « l’Union » - 090430a

Ludosports : Sport et vacances pour les jeunes

Au gymnase François-Legros, pas question de se chercher des crosses, mais la découverte d’un sport passionnant.
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Pas la peine de se battre pour avoir le ballon au gymnase Léo-Borgniet
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Organisée gratuitement par la Ville pendant les petites vacances, l’opération Ludosports a encore connu un beau succès chez les enfants âgés de 4 à 11 ans. Images

 

 

 

 


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