Article publié Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - septembre 2012.
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Limitée à 2/6, la 5e édition du tournoi du TC Saint-Memmie a délivré dimanche un palmarès conforme à la logique puisque les favoris se sont imposés.
Ainsi, dans un tableau masculin marqué par le superbe parcours du 15 de Géo-André Mikolaj Woynar (cinq tours passés avec plusieurs « perfs » dont une à 4/6), la finale a opposé les deux têtes de série à 2/6, à savoir Vincent Betbeze (TC Reims) et Romain Cabrillon (Saint-Dizier).
Et, au terme de 2 h 30 d’efforts intenses, le pensionnaire de la Rue Lagrive a pris le meilleur, en trois sets (6-3, 3-6, 6-4), sur un Bragard décidément pas en réussite sur les courts mengeots puisque déjà battu en finale l’an passé.
Du côté des dames, la tête de série n° 1 Fanny Jarles (3/6, Saint Dizier) a fait respecter la hiérarchie en dominant logiquement la n° 2 Amélie Zarev (4/6, Reims Europe Club) sur le score de 6-3, 6-3.
Quarts de finale : Gilles (3/6, TC Reims) bat Henry (5/6, Géo-André) 6-1, 7-6 ; Woynar (15, Géo-André) bat Masson (4/6, Saint-Memmie) 7-6, 2-6, 6-3.
Demi-finales : Cabrillon (2/6, Saint-Dizier) bat Gilles 6-1, 6-3 ; Betbeze (2/6, TC Reims) bat Woynar 6-4, 6-1.
Finale : Betbeze bat Cabrillon 6-3, 3-6, 6-4.
Quarts de finale : Alice Grillon (15, Saint-Memmie) bat Claire Sandre (15/2, TC Reims) 6-0, 6-2 ; Flora Calcagno (5/6, Montmirail) bat Mélissa Noizet (15/2, Cormontreuil) 6-2, 6-1.
Demi-finales : Amélie Zarev (4/6, Reims Europe Club) bat Alice Grillon 6-3, 6-0 ; Fanny Jarles (3/6, Saint-Dizier) bat Flora Calcagno 6-2, 6-2.
Finale : Fanny Jarles bat Amélie Zarev 6-3, 6-3.
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Conseil municipal de Reims, toujours, des dizaines de milliers d’euros de subventions ont été distribuées à tout un tas d’associations, évidemment utiles, mais dont certaines semblent bénéficier de facilités un peu surprenantes. Ainsi, il apparaît, au fil des questions posées par l’opposition menée par Mme Vautrin, et des réponses fournies par Eric Quénard, que lorsqu’une association est particulièrement mal gérée, que l’argent public qui lui est délivré se retrouve absorbé sans justification sérieuse de ce qu’il a servi à financer les actions prévues par l’objet associatif, eh bien, ce n’est pas grave. Ainsi, l’association « Deux mains » qui servait de tuteur au Bistroquet (Croix Rouge), s’est-elle plantée, embarquant avec elle 50 emplois aidés qui ne l’ont pas été tant que ça ! Pour pallier la disparition du fameux Bistroquet, Eric Quénard suscite l’ouverture d’un café associatif, et le financement de « l’Assos’Café » à hauteur de 12.000 euros pour le budget 2012. De fait, pour le dernier trimestre 2012. Et pour hâter le mouvement - ouverture nécessaire en novembre - demande incontinent le versement à la nouvelle association de 80 % de sa subvention annuelle, sans condition, ni objectifs ; donc sans possibilité de contrôle réel de l’emploi de ce financement.
Interpellé sur ce risque renouvelé suite au crash de l’association « Deux mains », Eric Quénard a expliqué qu’il y aurait une convention, à partir de 2013, et des réunions de partenaires au moins une fois par an… Draconien !
Le même problème est soulevé avec le financement de l’Association des travailleurs maghrébins de France-Marne, créditée de 7.000 euros, dont la mairie est le seul financeur. L’opposition a souligné que la précédente municipalité avait été contrainte de cesser l’aide à cette association qui ne rendait pas compte de l’utilisation des subventions qui lui étaient attribuées. Eric Quénard a convenu de la réalité du problème et pieusement expliqué qu’à l’avenir elle bénéficierait du dispositif local d’accompagnement pour monter des budgets financiers. Cette association donnerait dans l’alphabétisation, l’aide aux étrangers, sans oublier de nombreuses fêtes sur Croix Rouge. Il a oublié de rappeler que cette même association s’était associée, début 2010, aux côtés du conseiller Ali Aissaoui (chargé de centraliser les contacts et l’information des médias locaux pour l’organisation d’une conférence de presse), à l’organisation sur Reims de l’événement - sans doute culturel - 24 Heures sans Immigrés, avec le Collectif antifasciste, et l’Association France Palestine Solidarité. L’objet du comité rémois : « La stratégie consiste donc au vu des prochaines échéances électorales de faire pression sur les têtes de liste pour qu’ils se déterminent politiquement dans ce débat sur la politique de l’immigration, l’entrée et le séjour des étrangers, les sans-papiers… » Mais il n’y avait strictement rien de politique dans tout ça, juste une démarche de bonnes « relations avec les quartiers », l’intitulé du chapitre donnant droit aux subventions municipales. Or donc, M. Quénard, 1er adjoint, a expliqué que pour éviter tout problème de fonds, il faudrait professionnaliser l’association.
Le même esprit prévaut dans le discours tenu par ailleurs à l’endroit du « collectif libertaire » qui squatte une maison au 4 rue de la Cerisaie, incité à se constituer en association par les « cultureux » rémois, quand Reims Métropole cherche à l’expulser. Las, explique Arnaud Robinet, quand bien même le collectif passe sous loi 1901, la maison qu’il occupe sous prétexte d’en faire un centre social autogéré se mue en Etablissement recevant du public (ERP) ce qui implique d’importants travaux de mise aux normes ; et pour Reims Métropole, le devoir de supporter transfert la responsabilité pénale qui va avec, en cas d’accident. Fait plaisant c’est Mme Hazan qui est concernée tant par Reims Métropole qu’au titre de la ville… Enfin, régulariser de la sorte un squat porte en soi un drôle de sens, car cela signifie quelque part que le droit de propriété est désormais nul et non avenu. Et si on squattait l’hôtel de ville de Reims, ce serait cool, non ?
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La compagnie « Les majorettes de Reims » représentent la Ville dans toute la région et même au-delà.
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Les activités ont repris dans les 18 sections sportives, culturelles et de loisirs de l’Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (Acrap).
LES activités ont repris dans les 18 sections sportives, culturelles et de loisirs de l’Association Croix-Rouge pour l’Animation et la Promotion (Acrap). Le point sur les activités sportives.
Badminton : le jeudi de 20 à 22 heures au gymnase Jean-Jacques-Lapique, près du lycée Arago. Responsable : Vincent Lapauw. Pour adultes et adolescents, garçons et filles, de 16 ans et plus.
Fitness/Step, aérodanse, fitness/gym douce : activité (ados et adultes) avec Isabelle Béchet, titulaire d’un brevet d’Etat en fitness. L’activité se déroule à l’Acrap : fitness/step le jeudi de 20 heures à 21 h 30, gym douce le jeudi de 10 à 11 heures, aérodanse le vendredi de 19 à 20 heures et le samedi de 10 h 15 à 11 h 15.
Football adultes : par S. Raux, activité qui se déroule au complexe sportif Géo-André. Foot loisir le mardi de 18 à 20 heures.
Football enfants : « Nous vous informons que nous ne pouvons pas cette année proposer de football (seniors et école de foot). Tout est mis en œuvre pour que la saison prochaine, la section puisse de nouveau accueillir les adhérents », précise le président Bordes.
Danse classique, moderne et folklorique : activité avec Virginie Delauzun (à partir de 6 ans). Cours le mercredi de 10 à 12 heures et de 14 à 20 heures suivant l’âge.
Danse orientale : pour adultes et enfants à partir de 8 ans, activité animée par Fiona Verdonk le mardi de 16 h 45 à 17 h 45.
Karaté shorin et Kobudo d’Okinawa : avec Théodore Lê, cours pour adultes, lundi de 20 à 22 heures (kobudo) et mercredi de 20 à 22 heures (karaté). Cours pour enfants, samedi de 13 h 30 à 18 heures, selon le grade.
Pétanque : toute l’année, par Christian Gérard, à partir de 16 ans, le mardi et le jeudi de 14 h 30 à 19 h 30, sur le parking de l’hippodrome et sur le nouveau boulodrome de l’Acrap. Participation possible à des compétitions (volontaires). Accueil des jeunes en période scolaire mardi et jeudi après la fin des cours.
Natation : à partir de 6 ans. Responsable : Jeannine Catry. A la piscine du château d’eau, le samedi entre 18 et 20 heures. La réglementation de la Rems impose que les enfants de moins de 8 ans soient obligatoirement accompagnés d’une personne majeure. L’accompagnateur, muni de sa carte personnelle, n’est pas autorisé à nager. L’accès aux bassins n’est autorisé qu’aux adhérents en maillot de bain. Bonnet obligatoire, chaussures interdites au-delà des cabines. Il existe une section enfants jusque 11 ans, une section plus de 11 ans et une section adultes.
Tennis : le vendredi de 18 à 19 heures ou de 19 à 20 heures à Géo-André (courts couverts) et le dimanche de 9 à 10 heures, de 10 à 11 heures ou de 11 à 12 heures, au gymnase Ruisselet. Renseignements auprès d’Alain Lommé au 03.26.84.19.41 du lundi au vendredi de 18 heures à 19 h 30.
Vovinam Viet Vo Dao : art martial vietnamien, à partir de 12 ans, animation par Frédéric Schmit, dans la salle polyvalente de l’Acrap, le mardi, le vendredi et le samedi de 20 à 22 heures.
Zumba : « Pour cette nouvelle saison, nous proposons une nouvelle activité : la zumba, basée sur du fitness avec des chorégraphies de danses latines », précise le président Romuald Bordès. Cette section fonctionne le mardi de 12 h 30 à 13 h 30, le vendredi de 18 à 19 heures et le samedi de 11 h 15 à 12 h 15.
Il reste encore de la place dans plusieurs sections. Pour tout renseignement, contacter l’association par téléphone au 03.26.06.39.54, par mail à contact@acrap.fr ou se rendre à l’Acrap, 11, avenue du Président-Kennedy, le long de l’hippodrome de Champagne. Visiter également le site www.acrap.fr
Majorettes : la section s’adresse aux filles à partir de 5 ans. Les « Majorettes de Reims » reprennent leurs entraînements avec Magali Macadré le mardi et le jeudi de 17 h 45 à 19 h 45 à l’Acrap. Les costumes, les bottes et le survêtement sont prêtés contre une caution de 92 euros.
Travaux manuels : à partir de 4 ans et adultes, par Bernadette Canu. L’activité se pratique dans le club de l’Acrap. Pâte à sel, personnages en mousse, pyrogravure, dessins, etc. Adultes, le lundi de 14 à 18 heures, enfants le mercredi de 9 à 11 heures.
Balade pédestre : objectif, « se balader tranquillement sur des distances adaptées aux participants dans les environs immédiats et en extérieur ». Avec Bernadette Canu. Horaires : vendredi de 10 heures à 11 h 30.
Couture : activité (adultes et enfants) avec Bernadette Canu : « possibilité de réaliser jupes, robes, tailleurs,…. suivant les désirs des adhérents en initiation ou perfectionnement dans le club de l’Acrap. » Adultes : lundi et vendredi de 14 à 20 heures par créneaux de 2 ou 4 heures selon l’adhésion, jeudi de 9 à 11 heures. Enfants : mercredi de 9 à 11 heures.
Informatique : avec Romuald Bordes, pour débutants, une heure par semaine, dans le club de l’Acrap, samedi de 9 h 30 à 10 h 30 (1er groupe) et de 10 h 30 à 11 h 30 (2e groupe). Ordinateurs portables personnels recommandés.
Temps libre : la section se réunit tous les mercredis au club de l’Acrap autour de Bernadette Canu, de 13 h 30 à 17 h 30. Des jeux de société sont proposés, ainsi que des sorties, des spectacles et des repas. La section accueille toutes les personnes à la retraite qui désirent lier des liens d’amitié, rompre l’isolement et se distraire.
Yoga : « Pratiquer le yoga, c’est s’accorder un moment à soi. Par des mouvements lents, associés à la respiration, retrouvez une sensation d’apaisement et d’harmonie entre le corps et l’esprit ». Ce cours de yoga est accessible à tous. Séances chaque mardi de 10 h 30 à 11 h 30, sauf pendant les vacances scolaires. Inscriptions et renseignements auprès d’Agnès Legrand (tél. 09.62.02.29.50).
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La ville de Reims et l’équipe de la Bibliothèque municipale proposent au public de découvrir une nouvelle artiste qui mérite qu’on s’y attarde : Paulette Wright (folk).
Mercredi 3 octobre à 19 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge, un concert gratuit sera suivi d’un temps d’échange avec le public, dans le cadre de l’opération « Les quadrimusicales », un rendez-vous proposé pour découvrir ce nouveau talent.
Présente depuis plusieurs années sur la scène locale, Paulette Wright s’affirme aujourd’hui comme une artiste à suivre. Compositrice, interprète et auteur de ses chansons, elle construit patiemment son univers folk, teinté de poésie onirique, le tout enveloppé d’une voix profonde qui capte l’attention et hypnotise l’auditeur.
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La journée de dimanche dernier fut rude mais le plaisir total, lors de la convention qui a réuni au Creps environ 80 sportifs venus de toute la région.
Lionel, Jérémy et Alex ont assuré les cours de fitness en LIA et step. Natacha quant à elle a entraîné la salle sur les rythmes de la zumba.
Un tarif spécial était d’ailleurs mis à l’essai pour ce cours qui touche un public plus orienté vers la danse.
L’association Dance Fit, satisfaite de l’événement, a laissé entendre qu’une nouvelle date serait proposée en janvier et qu’elle souhaitait conserver ainsi la fréquence des rendez-vous.
Hier vers 13 heures, une voiture s’est retrouvée en mauvaise posture dans un champ près de Taissy et Sillery… Patricia BALLIGAND
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Les chaussées rendues glissantes par la pluie sont à l’origine de plusieurs accidents survenus hier dans la région rémoise.
VERS 8 h 30, une automobiliste qui circulait entre Cernay-lès-Reims et Nogent-l’Abbesse est partie en aquaplaning dans un virage. Les pompiers l’ont transportée au centre hospitalier pour une visite de contrôle.
Peu avant 13 heures, une autre conductrice a effectué deux tonneaux sur la RD8, à la sortie de Taissy vers Sillery. Sa voiture s’est immobilisée dans un champ, les quatre roues en l’air. Comme elle avait eu la bonne idée de s’attacher, la dame n’a pas été blessée.
Vers 16 h 40, la série des dérapages incontrôlés s’est poursuivie sur l’A26, au péage d’Ormes, dans le sens Troyes/Calais. En raison d’une vitesse manifestement inadaptée aux conditions de circulation, une retraitée de 80 ans originaire d’Allemagne n’a pu stopper en temps utile à la barrière. Elle a glissé et tamponné la voiture qui précédait. A l’arrière se trouvait une octogénaire que les pompiers ont préféré conduire à l’hôpital par mesure de précaution.
A 19 h 30, nouvel accident, cette fois-ci sur la RD88 entre Berru et Witry-lès-Reims. A la sortie d’un virage, une voiture qui circulait vers Witry a mordu l’accotement et percuté de face l’auto d’une habitante de Berru et de sa fille. Le premier véhicule s’est immobilisé sur la chaussée, l’autre s’est renversé sur le bas-côté. Heureusement, plus de peur que de mal : légèrement blessées, deux des trois personnes impliquées ont été prises en charge par les pompiers.
Trois autres accidents sans gravité ont été signalés dans les rues de Reims, le premier à 7 h 45 rue Cérès où une fillette de 12 ans a été renversée par une auto. Vers 16 heures, le pilote d’un deux-roues s’est fait mal en tombant boulevard Saint-Marceaux, au niveau de la station-service. Enfin, à 18 h 30, un motard de 24 ans a lui aussi fait une chute avenue du Maréchal-Juin.
Numéro 7465 du 24 au 30 septembre 2012.
Aux termes d’un acte sous seings privés en date du 13 septembre 2012 à REIMS, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : Société à responsabilité limitée.
DENOMINAITON : MAN TRANSPORT.
SIEGE SOCIAL : REIMS (51), 21 rue des Savoyards.
OBJET : Transport de marchandises moins de 3,5 tonnes.
DUREE : 50 années à compter de son immatriculation.
MONTANT CAPITAL : 5.000 €.
_GERANCE : Monsieur NEHAR Mounir, demeurant 21 rue des Savoyards - 51100 REIMS.
IMMATRICULATION : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS
Pour avis : Le représentant légal,
109114 M. NEHAR Mounir.
Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 15 septembre 2012, il a été constitué la société à res-ponsabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : S.A.R.L. DENOMINATION : S.T.O. ETANCHE.
CAPITAL : 5.000 €, divisé en 250 parts de 20 € chacune entièrement souscrites et libérées.
OBJET : Travaux d’étanchéité, bâtiment général, tous travaux liés à l’étanchéité et isolations.
DUREE : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.
SIEGE : 16 avenue du Général Eisenhower ¬51100 REIMS.
GERANCE : Monsieur OZTURK Turkes, 50 rue de Bretagne 51350 CORMONTREUIL.
DEBUT D’ACTIVITE : A compter du 1er octobre 2012, la société sera immatriculée au R.C.S. de REIMS (Marne).
108946
Pour avis : Le gérant.
APPARTEMENT : Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 14 allée des Tourangeaux à REIMS, 2° étage, porte A - Classement énergétique "C" ¬70.875 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).
Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.
109096
L’activité « Les après-midi de Croix-du-Sud » (belote - tarots ¬jeux de dames - etc) a repris le jeudi à 13 h 30 dans les locaux asso¬ciatifs du 5, avenue Léon-Blum.
Adhésion 8 euros pour l’année.
Pour plus de renseignements, s’adresser à Jean-Michel Gauthier au secrétariat au 03.26.06.56.66.
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Les Axonais Raphaël Garez (à gauche) et Lucas Brochart ont choisi d’émigrer dans la Marne.
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REIMS. (MARNE). Après quatre ans d’existence : le succès de la formule (sports et études au lycée Arago de Reims) du CRECF dépasse les frontières de la région.
C’est un signe après quatre ans d’existence : le succès de la formule (sports et études au lycée Arago de Reims) du CRECF (Centre régional d’entraînement cycliste et de formation) dépasse les frontières de la Champagne-Ardenne.
A la rentrée, neuf coureurs de comités extérieurs sont venus s’ajouter au noyau 2011-2012, pour un total de 15 stagiaires. « Même des clubs comme le CC Nogent-sur-Oise ou le VC Roubaix font peu de formation. On passe directement des juniors à la Division Nationale », constate Guillaume Arethens pour expliquer que deux espoirs comme Guillaume Millasseau (CCN) - champion de Picardie minimes en 2011 et vice-champion cadets en 2012 - et Gabin Sénéchal (VCR), vainqueur de l’Interrégion à Eu, ont rejoint le Centre.
« Nous avons déjà des demandes pour 2013. Ce n’est pas nous qui sommes demandeurs, nous ne démarchons pas les coureurs. » Rançon de ce succès, la sélection est la plus stricte possible. En janvier, les dossiers sont à télécharger sur le site du CRECF (www.crecf.com) : « Ces dossiers comprennent les résultats sportifs, un bilan médical et le niveau des études. »
Dans un deuxième temps, une commission d’une dizaine de personnes se réunit en mai : « Il y a des techniciens comme David Dalla Libera ou Michel Piermay, jusqu’à des chefs d’entreprise. » Dans l’Aisne, autour de Francis Moreau et du VCA Saint-Quentin, un Centre est également en train de voir le jour mais c’est Reims qu’ont choisi le Farnois de La Cherizienne, Lucas Brochart, et le Laonnois Raphaël Garez (voir par ailleurs).
Jean-Pierre PRAULT
« Il a envie de progresser et c’est une qualité primordiale : il est à l’écoute. Il reste modeste aussi. » Le président du VC Laon, Alain Midelet, est convaincu que Raphaël Garez possède une « marge de progression importante ». Le week-end dernier, sur le Vélodrome de Saint-Quentin, le désormais stagiaire rémois a « su renverser la vapeur dans la dernière manche du Challenge de l’Aisne » et l’emporter.
« Ça l’a mis en confiance. » Ce travail sur la piste a élargi la palette du Laonnois, « capable d’adopter plusieurs stratégies dans les arrivées » : « S’il n’est pas le plus rapide au sprint, il peut partir au kilomètre. Ce week-end, il a attaqué dès le premier. Il y a deux ans, il n’aurait pas osé. »
Point qui a son importance, Raphaël Garez sera pensionnaire à Reims mais restera licencié au VC Laon : « Il a ses marques et son frère, Benjamin, y est licencié aussi. Quand j’emmènerai ma fille Alphanie sur la nouvelle piste de Roubaix, je lui proposerai de venir avec nous », explique Alain Midelet.
Même propos élogieux pour Ludovic Novak concernant Lucas Brochard : « C’est un passe-partout. Il est bon en côte, sur le plat et au sprint. Des mordus comme lui, je n’en connais pas beaucoup ! Sa progression est constante. Intégrer le CRECF est un plus pour lui. »
Sous le coup d’un mandat d’arrêt délivré le 28 août par le tribunal correctionnel de Reims, un multirécidiviste du vol par effraction vient d’être retrouvé par la police.
Rémois de 37 ans déjà condamné une bonne quinzaine de fois, Mourad Imrazene s’était blessé lors du cambriolage d’une habitation, rue de la Neuvillette à Reims, le 19 mars 2011.
Profitant de l’absence des occupants, l’homme s’était introduit dans la cuisine après effraction du carreau. Il était reparti les mains vides… mais en sang après s’être coupé en cassant la vitre. Les prélèvements effectués par la police technique et scientifique permettaient de le confondre grâce à son profil ADN enregistré dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques.
Les enquêteurs ont retrouvé Mourad Imrazene en début d’année… à la maison d’arrêt de Reims où il était incarcéré pour une autre affaire. Il a reconnu l’effraction (difficile de faire autrement), tout en précisant avoir sévi avec deux autres personnes dont il a gardé jalousement l’identité.
L’audition terminée, une convocation en justice lui fut remise pour l’audience du 28 août sauf que le prévenu, libéré entre-temps, a choisi de ne pas venir. Grave erreur ! Indisposés par sa défaillance et son lourd casier judiciaire, les magistrats ont prononcé la peine plancher dans toute sa rigueur : trois ans de prison ferme, mandat d’arrêt.
Restait à lui mettre la main dessus. Ce fut chose faite lundi après-midi lorsqu’une patrouille de la brigade anticriminalité l’a repéré rue Pierre-Taittinger. Il a été écroué après notification du jugement.
Deux autres condamnés ont pris le chemin de la maison d’arrêt. Lundi à 18 h 30, les policiers ont reconnu Aomar Ben Bella, 40 ans, au volant d’une voiture avenue d’Epernay. Il était recherché pour purger une peine de deux mois ferme récoltée loin de Reims, à la Rochelle.
Mardi à 13 h 30, lors d’un contrôle dans le TGV, les agents de la brigade des chemins de fer de Metz ont mis la main sur un Tourangeau qui faisait l’objet de trois extraits de jugements : quatre mois ferme à Tours pour un vol avec dégradation, huit mois ferme à Nancy pour un vol avec effraction, deux ans ferme à Perpignan pour une tentative de vol avec effraction.
Récupéré en gare de Reims par les policiers, Salah Mahdi, 36 ans, ne pourra plus voyager pendant un certain temps. Il a fait connaissance avec la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne.
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Ils seront quinze stagiaires cette saison. Avec une majorité de nouveaux issus de comités voisins.
C’est un signe après 4 années d’existence : le succès de la formule (sports et études au lycée Arago de Reims) du CRECF (Centre régional d’entraînement cycliste et de formation) dépasse les frontières de la Champagne-Ardenne.
A la rentrée, neuf coureurs de comités extérieurs sont venus s’ajouter au noyau 2011-2012, pour un total de 15 stagiaires. « Même des clubs comme le CC Nogent-sur-Oise ou le VC Roubaix font peu de formation. On passe directement des juniors à la Division Nationale », constate Guillaume Arethens pour expliquer que deux espoirs comme Guillaume Millasseau (CCN) - champion de Picardie minimes en 2011 et vice-champion cadets en 2012 - et Gabin Sénéchal (VCR), vainqueur de l’Interrégion à Eu, ont rejoint le Centre.
« Nous avons déjà des demandes pour 2013. Ce n’est pas nous qui sommes demandeurs, nous ne démarchons pas les coureurs. » Rançon de ce succès, la sélection est la plus stricte possible. En janvier, les dossiers sont à télécharger sur le site du CRECF (www.crecf.com) : « Ces dossiers comprennent les résultats sportifs, un bilan médical et le niveau des études. »
Dans un deuxième temps, une commission d’une dizaine de personnes se réunit en mai : « Il y a des techniciens comme David Dalla Libera ou Michel Piermay, jusqu’à des chefs d’entreprise. »
Dans l’Aisne, autour de Francis Moreau et du VCA Saint-Quentin, un Centre est également en train de voir le jour mais c’est Reims qu’ont choisi le Ternois Lucas Brochart et le Laonnois Raphaël Garez, qui vient « de remporter le Challenge de l’Aisne » sur la piste saint-quentinoise. La possibilité de concilier le sport et le cyclisme constitue un argument majeur pour la structure loi de 1901 qu’est le CREFC : « Nous travaillons en collaboration avec le Comité de Champagne-Ardenne », souligne Guillaume Arethens. 2012 restera un exercice brillant, dont le bilan au Tour de l’Ain restera le point d’orgue. Les stagiaires ont cueilli « 45 bouquets sur 50 en jeu » et fini avec deux succès d’étape et le maillot rose (de cette course par équipe).
Nicolas Legras a été longtemps le n° 1 cadet du classement FFC avant d’être détrôné par le Boulzicourtois Valentin Ortillon, champion de France sur route.
La teneur des programmes ne va pas varier, vont s’ajouter seulement des entraînements de cyclo-cross supervisés par Michel Piermay.
Jean-Pierre PRAULT
La descente est pour Ludovic Oget et ses trois médailles de champion de France la meilleure façon de tutoyer les sommets.
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Malgré pas mal de soucis, Ludovic Oget est monté sur le podium (3e) de la Coupe de France VTT scratch. « C’est un peu Lucky Luke qui s’éloigne avec un nuage noir au-dessus de la tête. » Pour rendre compte de ce qu’a été la saison de Ludovic, sa mère, Isabelle Oget, emploie une parabole à considérer au propre comme au figuré.
A Pila (Italie), à Val-d’Isère aussi, de vrais orages sont tombés sur la tête du Sud-Axonais de Bazoches-sur-Vesle, pas épargné non plus par les blessures, avec une entorse de la cheville droite qui l’a privé des championnats de France de descente.
En 2009, déjà, le triple maillot tricolore (deux fois en cadet, une fois en junior) avait été victime d’une fracture au niveau des épines tibiales. Un lourd tribut, certes, mais pas de quoi émousser une passion quasi exclusive qu’il doit à son père, Pascal, et à celui qui l’a « lancé » Vincent Ancelin. Deux historiques auxquels est venu s’ajouter Simon Rogier, le préparateur de BikeEnergy.
Entre la route (« Ça ne me fait pas rêver »), le cyclo-cross (discipline où il a aussi des attitudes et des résultats) et le VTT, le licencié à l’AC Bazancourt-Reims a tranché : « En descente, c’est plus dur de passer de juniors à Elites (il n’y a pas de catégorie Espoir) mais c’est dans cette spécialité, avec le cyclo-cross, que j’éprouve le plus de plaisir », explique-t-il.
« Mon ancien Team a repris le vélo qu’il m’avait confié. Je n’ai eu mon nouveau qu’en juin. » La saison 2012 n’a vraiment commencé « qu’en avril ». Le bilan reste positif, au final, avec une 7e place lors de la dernière manche de Coupe de France (à Méribel) et une 3e au général derrière Mickaël Pascal (champion du monde juniors en 1997 et toujours n° 12 UCI, à 33 ans) et Guillaume Cauvin.
Cette vocation précoce - il a remporté le Trophée de France des Jeunes Vététistes (trial) en minimes 2 - est d’autant plus remarquable que le bas de l’Aisne n’offre pas de reliefs « propices à pratiquer la descente ».
A Fismes, Ludovic Oget et quelques copains ont fait avec les moyens du bord en aménageant un terrain baptisé « le champ de bosses ».
« Je fais aussi de la moto trial à Hermonville. » Le niveau atteint par l’élève de terminale s’explique aussi par les « horaires aménagés » dont il bénéficie au lycée Arago de Reims, « par le biais de Loïc Janson ».
Le Team Dagg Racing apporte un soutien « au niveau du matériel et des déplacements en Coupe de France ». L’investissement familial n’en reste pas moins indispensable quand il s’agit de sortir de l’Hexagone : « Nous avons créé une association(*) pour trouver des personnes, des sponsors, susceptibles d’aider Ludovic », explique la maman. Le soutenir, par exemple, dans son projet, de se rendre en Angleterre durant l’hiver : « Il y a beaucoup de choses à apprendre là-bas », constate Pascal.
Ces deux dernières semaines, Ludo a enchaîné deux sorties internationales : à Hafjell (Norvège) en Coupe du monde (52e) puis à Todtnau (Allemagne) pour l’European Downhill Cup (8e).
Jean-Pierre PRAULT
(*) Contact : champaisnebike@orange.fr
Lundi soir lors de la réunion de conseil, ce sont 214 302 € de subventions qui ont été attribués à certaines associations et personnes morales. En voici le détail.
Subvention d’équipement. 10 000 € pour l’espace fumeur de la Régie des équipements musiques et cultures actuelles.
Subvention pour une animation. 15 000 € pour la manifestation « La campagne à la ville. »
Assemblées générales et congrès.
800 € pour l’assemblée générale du Service universitaire d’éducation permanente Champagne-Ardenne IUTL ; 1 200 € pour la 29e journée du centre d’accueil et de soins pour les toxicomanes ; 320 € pour l’assemblée générale d’Arts loisirs et culture Reims ; 2 500 € (congrès international de la meunerie et des industries céréalières).
Projet européen.
250 € pour le 3e concert européen organisé par le comité régional du Parlement européen des jeunes.
Projets touristiques.
8 800 € de participation aux frais d’éclairage intérieur de la cathédrale pour la société des Amis de la cathédrale ; 1 000 € pour le 28e rallye des vendanges organisé par l’association des véhicules d’époque de l’Automobile club de Champagne ; 5 000 € pour l’accueil et l’animation au Centre international de séjour.
Association de jeunesse.
10 000 € pour l’association de la fondation étudiante pour la ville.
Projets étudiants.
2 950 € pour l’association pour l’accueil des étudiants étrangers à Reims ; 1 000 € pour la corporation des étudiants infirmiers (pour le 12e congrès national de la Fédération) ; 1 000 € pour le championnat inter-universitaire de basket-ball féminin à Cordoue.
Egalité des chances.
5 350 € pour Reims management school (cordées de la réussite).
Fonctionnement association sportive. 4 000 € de complément pour le Reims métropole volley.
Projets associations sportives.
3 500 € pour l’association de badminton champenois (17e tournoi international) ; 600 € pour l’association gymnique rémoise ; 500 € pour le club des modélistes de la Goutte d’Or (championnat de France avion de voltige indoor) ; 500 € pour les Régates rémoises (pour The Raynald Race) ; 2 670 € pour le Reims enduro model car (championnat de France piste 1/5 et championnat d’Europe tout terrain élite). Equis Reims
Champagne équitation :
6 400 € pour la tournée des As CSO poney. 927 € pour le Reims roller skating.
Projets sports santé.
Association de badminton champenois : 930 €. Reims Europe club : 1 860 €. Reims natation 89 : 2 790 €. Entente family stade de Reims athlétisme : 2 790 €. Régates rémoises : 2 790 €. Vélo-club rémois : 930 €. Comité départemental entraînement physique dans le monde moderne : 930 €. Rando évasion : 930 €. Elo forme et détente : 930 €.
Associations culturelles.
Art création sculpture : 300 €. Ageasse théâtre : 2 000 €. 3 000 € pour le Jardinet (aide à la réalisation d’expositions créations). 2 500 € pour l’association Velours (Reims hip-hop festival). Compagnie Noob : 1 000 €. Fondation Alfred-Gérard : 1 000 € pour les rencontres du goût 2012. Société des Amis du vieux Reims : 1 500 € pour l’exposition J.-B. Colbert. 2 000 € pour l’association pour le développement de l’activité culturelle du Conservatoire (concert Requiem Berlioz).
Réconciliation franco-allemande.
Comité de jumelage Reims/Aix-la-Chapelle : 4 000 € pour l’accueil des délégations. Fondation Charles De Gaulle : 1 500 € pour l’accueil des familles Adenauer et de Gaulle.
Egalité femmes-hommes.
525 € pour la marche urbaine octobre rose.
Relation avec les quartiers.
Association des travailleurs maghrébins : 7 000 €. 500 € pour Jardins, balcons, terrasses fleuries (Noël au Chemin Vert).
Associations à caractère sanitaire.
Voir ensemble : 2 200 €. Visite des malades dans les établissements hospitaliers : 2 000 € ; Aides délégation Marne : 4 000 €. Alliance maladies rares : 500 €. Association amitié : 400 € pour des ateliers slam culture à l’hôpital. Association des sourds de Reims et de la région : 3 000 € (tricentenaire de la naissance de l’abbé de l’Epée). Part/âges 51 : 1 500 €. Centre psychanalytique de consultation et de traitements : 12 000 € (séances avec un psychanalyste pour les personnes en difficultés). Comité départemental d’éducation pour la santé de la Marne : 1 500 € (formation au repérage de la crise suicidaire chez les jeunes). Les choristes de l’Espoir : 400 €.
Animation commerciale.
Association des commerçants de la rue de Cernay : 13 000 €.
Subventions diverses.
Étoile Croix du Sud : 980 €. Association Vente Yser : 1 610 € (Les lycéens ont la parole). Le Sourire de Reims : 10 000 € (centre de loisirs). L’espace Rencontre Le Creuset : 11 500 € + 1 500 € pour une armoire et un disque dur pour l’archivage). Planète parents : 240 €.
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Les basketteurs de l’Ufolep, après s’être réunis avec la commission technique, vont enfin se retrouver sur les terrains, avec une équipe de plus dans l’aventure, issue de l’Amicale Jamin.
Cette réunion a été l’occasion de récompenser les leaders du championnat passé qui fut fort disputé.
En effet dans le groupe B, le CA Beine, l’ARBA et le RCBA a égalité de points n’ont pu être départagés qu’au panier average : c’est le RCBA qui décroche le titre 2011/2012. Dans le groupe A, même cas de figure avec Europe Club qui perd de peu le trophée face au RCC.
Ainsi ces modifications du championnat sont de nouveaux paramètres à prendre en compte dans le déroulement des matches. Il est d’autant plus important de suivre de près les résultats de chaque journée car désormais tous les pronostics sont possibles. Si le RCC a été gagnant la saison passée, en sera-t-il de même pour la saison à venir ? Les autres équipes mettent d’ores et déjà en place leur stratégie pour rendre la tâche plus difficile à ce leader…
Le lancement des compétitions aura lieu début octobre avec le premier tour de la Coupe Saint Remi-Sport, il est encore grand temps de rejoindre l’une des 15 équipes de basket loisir Ufolep !
Renseignements : Ufolep, tél. 03.26.84.32.26. Site : www.ufolep51.org
Les membres de l’Ufolep ont remis leurs coupes aux vainqueurs des quatre séries de la saison dernière.
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L’Ufolep de la Marne a récemment convié les représentants de sa quarantaine d’équipes de volley-ball à la réunion de rentrée précédant la reprise des activités. L’occasion comme à l’habitude d’échanger sur la pratique, de décider ensemble du déroulement de la saison. Le moment aussi de récompenser les équipes premières du championnat 2011/2012 : Série 1, AS CANE ; série 2, VB Pontfaverger ; série 3, ASL Ay ; série 4, CRNA 3.
Les membres bénévoles de la commission technique départementale ont donc eu du pain sur la planche pour organiser et dresser le calendrier du championnat. Trois poules ont été constituées pour cette nouvelle saison, permettant à chacun de pratiquer le volley-ball selon son niveau de jeu. Cette redistribution des cartes donnera aux équipes un calendrier un peu plus étoffé variant le panel des rencontres.
Comme toujours, la saison commence début octobre (semaine du 8) avec un tour de coupe départementale dont le tirage au sort est accueilli par le magasin Saint-Remi Sports, partenaire de la compétition.
Tous les tirages et calendriers sont désormais disponibles sur le site Internet Ufolep 51, comme toutes les coordonnées des clubs marnais : avis aux amateurs de pratique sportive accessible mixte et conviviale !
Ufolep 51 : tél. 03.26.84.32.26. Site : www.ufolep51.org
Glynis (ici recevant son diplôme) était chargée l’an dernier de promouvoir les activités socioculturelles à la maison de quartier des Châtillons.
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Vivre de nouvelles expériences et se rendre utile par un engagement citoyen reconnu et valorisé : c’est ce que propose le Service civique aux jeunes Rémois.
VOUS êtes âgé de 16 à 25 ans ? Le Service civique vous intéresse ? L’association des maisons de quartier recherche onze jeunes volontaires pour effectuer des missions à travers ses différentes structures.
Ce dispositif d’Etat existe depuis 2010. Le jeune peut être indifféremment étudiant, salarié, demandeur d’emploi. « L’important est qu’il souhaite venir en aide à des associations en s’engageant à accomplir différentes missions qui seront déterminées par les lieux d’accueil », expliquent les responsables de ce dispositif pour les maisons de quartier (MQ) rémoises.
Une liste de huit missions a été établie (détail sur le site de l’AMQR). Elles relèvent des domaines sportifs, culturels et socio-éducatifs, et s’adressent à des publics de tous âges.
Les jeunes sélectionnés se verront confier des missions variant de 9 à 10 mois, et percevront une indemnisation mensuelle de l’Etat de 457,25 euros à laquelle s’ajoutera une participation des MQ de 100 euros.
Ils effectueront 24 heures par semaine, dont une journée de 6 heures de formation citoyenne et civique (dispensée par Jean-Marie Dogué) et ils bénéficieront d’un tutorat géré par Tassadit Aslouj.
Les volontaires participent aussi à un projet collectif dans le cadre de leur formation citoyenne. « L’an dernier, ils avaient inventé un jeu, sous forme d’un « Code de la bonne conduite », ayant pour thème les discriminations ».
Glynis Agbessi, volontaire de l’année passée, garde un bon souvenir de cette période : « Ma mission ? Promouvoir les activités socioculturelles à la MQ des Châtillons. J’ai aidé à la mise en place de projets : affichage, communication. Je m’occupais d’organiser des sorties, avec l’équipe d’animation. C’était pour moi une bonne expérience : j’ai été très bien accueillie et encadrée. A présent, j’ai repris mes études en BTS Economie sociale et familiale ».
Site national : www.service-civique.gouv.fr - Contact Espace Billard : tél. 03.26.08.08.78. Ou Espace Ludoval : tél. 03.26.36.21.05 ou www.maisondequartier-reims.fr
Affichant complet avec près de 200 inscrits, le 9e tournoi des Cheminots de Reims s’est achevé dimanche en apothéose avec des finales de qualité. Ainsi, dans un tableau masculin limité à 15/1, la finale a opposé deux des principaux favoris, les 15/1 Stéphane Villeger (TC Reims) et Simon Pierre (Reims Europe Club). Une rencontre qui a tenu toutes ses promesses avec plus de trois heures de bagarre acharnée. Le gaucher du TCR, après avoir concédé le set initial (7-5), a mis tout en œuvre pour conserver son titre. S’appuyant comme toujours sur un service puissant et un solide jeu de fond de court, il ne lâchait rien pour empocher le tie-break de la deuxième manche avant de gérer au mieux la « belle » (6-3).
En +45 ans, éreinté par sa demie à rallonge, Jean-Marc Visy (15/1, TC Reims) a dû déclarer forfait, laissant le titre au… lauréat 2011 Jean-Christophe Cuinet (15/1, Château-Thierry).
Enfin, chez les dames, la finale était tout simplement un remake de celle de l’an passé entre pensionnaires de l’URT, Charlotte Becret (15) prenant sa revanche sur Marie Pithois (15/1).
MESSIEURS
Quarts de finale. - Pierre (15/1, Reims Europe Club) bat Benhayoun (15/1, Géo-André) 7-6, 6-2 ; Baudinet (15/3, La Vaure) bat Lepretre (15/2, Saint- Memmie) 6-4, 7-5 ; Delarme (15/1, Reims Europe Club) bat Gomez (15/3, Cormontreuil) 6-4, 6-1 ; Villeger (15/1, TC Reims) bat Gosse (15/1, Soissons) 6-2, 4-6, 6-3.
Demi-finales. - Pierre bat Baudinet 4-6, 7-5, 6-3 ; Villeger bat Delarme 6-1, 6-4. Finale.- Villeger bat Pierre 5-7, 7-6, 6-3.
+ 45 ANS
Demi-finales. - Visy (15/1, TC Reims) bat Benoit (15/1, ASPTT Charleville) 6-3, 3-6, 6-2 ; Cuinet (15/1, Château-Thierry) bat Quenot (15/3, URT) 6-3, 6-2. Finale. - Cuinet bat Visy par WO.
DAMES
Quarts de finale. - Florence Tirand (15/5, URT) bat Pauline Thiery (15, Saint-Thierry) 6-0, 6-1 ; Marie Pithois (15/1, URT) bat Estelle Levasseur (15/2, ASPTT Epernay) 6-1, 6-3 ; Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims) bat Chloé Pérou (15/5, URT) 6-3, 7-6 ; Charlotte Becret (15, URT) bat Leslie Lancelot (15/2, TC Reims) 6-4, 7-5. Demi-finales. - Pithois bat Tirand 7-5 abandon ; Becret bat Plodzien 6-2, 6-2. Finale. - Bécret bat Pithois 4-6, 6-3, 6-2.
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Elles sont toutes jeunes, elles sont originaires de Reims, de Prunay, de Bétheny, et elles aiment le ballon rond. « Elles », ce sont ces vingt et une filles qui ont participé, samedi, au stade de Géo-André, à l’invitation du District Marne de football, à une journée d’accueil qui leur était dédiée.
« Ce que nous voulons, c’est que ces filles jouent, qu’elles essaient d’encourager certaines de leurs amies qui n’ont pas de licence à pratiquer le football dans un club, et permettre à celles qui ont une expérience associative de se rencontrer. Nous croyons beaucoup au développement du football féminin. Cette année, on aimerait organiser un grand match de l’élite française dans la Marne et créer des compétitions futsal féminin », a signalé Frédéric Buridant, membre de la Commission de féminisation du foot marnais.
Un après-midi plutôt agréable pour ces footeuses qui ont enchaîné ateliers pédagogiques et petits matches cinq contre cinq.
Un temps de recueillement pour tous les combattants du fort à l’occasion de sa reprise par les Français le 23 septembre 1914
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Ce dimanche 23 septembre a été officialisé le lancement d’un travail de recherches mené par des élèves de collèges et de lycée qui, avec leurs professeurs, vont se réapproprier l’histoire des villages sacrifiés dans le grand périmètre du fort de La Pompelle.
C’est lors de la célébration du 98e anniversaire de l’ouvrage, l’un des treize construits entre 1875 et 1885 pour constituer la ceinture fortifiée de Reims que l’information a été donnée. Un beau challenge alors que se prépare l’évocation du centenaire de la Première Guerre mondiale.
Le 23 septembre 1914, les troupes françaises ont repris pied à La Pompelle au prix de lourdes pertes et y sont restées jusqu’à l’armistice du 11 novembre 1918. Les soldats ont opposé une résistance farouche ce qui a interdit aux Allemands la reprise de Reims lors des combats effroyables qui se sont déroulés en 1918. L’occasion était aussi bien choisie pour rappeler que le 19 septembre 1914, les obus allemands avaient embrasé la cathédrale Notre-Dame de Reims.
Pendant quatre ans, le fort a subi d’intenses bombardements et de nombreux poilus y sont tombés les armes à la main pour repousser les assauts rageurs de l’ennemi. Il suffit de se rendre au cimetière militaire français de Sillery pour mesurer l’ampleur des sacrifices. Les pèlerins de la mémoire n’ont pas manqué de s’y recueillir.
Reims ville martyre qui a subi d’intenses destructions n’a pas été la seule agglomération à connaître la dévastation provoquée par les bombardements. De nombreux villages du périmètre du Mont de Berru et des Mont de Champagne ont été ravagés. Les familles ont été obligées d’abandonner leurs exploitations, leurs maisons, ont perdu leurs récoltes, leurs bétails et leurs biens, contraintes à un exode de plusieurs années.
À leur retour, elles ont vécu dans des baraquements le temps de redonner un visage paisible à leur village et de reprendre leur travail pour contribuer au retour de la prospérité dans le pays. Après un rappel historique de M. Clément, Hubert Walbaum, président des Amis du fort de la Pompelle, a profité de ce temps mémoriel pour confirmer une heureuse initiative relayée par l’Education nationale : un travail qui va être conduit pendant deux ans par des élèves du collège Georges-Braque et du lycée François-Arago de Reims, des collèges de Verzy et de Pontfaverger.
Il s’agit de réaliser des recherches sur la vie des villages, les familles et d’en relater l’histoire dans un ouvrage qui sera publié à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre et destiné aux habitants d’aujourd’hui qui ont eu des aïeux s’étant battus dans les tranchées et ayant donné leur vie pour la France. Cette initiative bénéficie du soutien de la Ville de Reims et des villages concernés mais aussi de la Fédération André-Maginot qui tiendra son congrès national les 17 et 18 septembre 2014 à Reims.
Cette association des générations pour préparer une commémoration enrichie d’une nouvelle réflexion sur la Grande Guerre et ses conséquences est un défi d’autant plus passionnant qu’il y a des volontaires pour y participer. Cette histoire de proximité est nécessaire pour mieux relire la terrible réalité des combats meurtriers conduits sur le front pendant quatre ans.
Hervé CHABAUD
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Rendez-vous incontournable de la fin de saison du tennis champardennais, l’Open du Reims Europe Club, 11e de la nouvelle version, a, cette année, encore été remporté par Sébastien Jolly (- 2/6, Cormontreuil).
Tête de série n°1 et pourtant en difficulté le matin en demie contre Cédric Leroy (3/6, Géo-André), le Cormontreuillois, habitué et multiple vainqueur de l’épreuve, a su faire jouer son expérience et sa maîtrise pour venir à bout en finale, sur le score de 7-5, 7-5, du toujours fougueux Gabriel Andruejol (0, Saint-Dizier).
« Je suis bien sûr satisfait d’avoir gagné mais le jeu que je propose actuellement n’est pas solide. C’est même très souvent désuni. Je mène d’ailleurs 4-1 dans le deuxième set et je n’arrive pas à serrer le jeu », analysait le lauréat 2012.
En +35 ans, la logique a été respectée avec le succès attendu du chauve du TC Reims, Hervé Szymanski (15), qui, avec sa légendaire réussite, a dominé son camarade de club Stéphane Villeger (15/1, TC Reims,) sur le score de 6-1, 6-3.
Annoncé comme passionnant, le tableau féminin a quelque peu fait flop ! Déjà l’absence des - 2/6 Claire Makhloufi et Anastasia Wagner a dû contraindre le président Thierry Ales à recomposer le tableau. La finale entre Chayenne Ewijk (- 30, Orléans) et Alexandra Rey (- 2/6, ASPTT Metz) a laissé comme un goût bizarre.
En effet, jusqu’à 4-1, la Néerlandaise rentrait presque tout mais s’est subitement arrêtée de jouer. Laissant ainsi le champ libre à la « postière » messine qui s’imposait finalement 6-4, 6-4. Impossible d’avoir une explication même si d’aucuns pensaient tellement fort à un arrangement sur les primes et une grosse « perf » à la clé…
Enfin, rien de cela en +35 ans avec le titre, prévisible, de Béatrice Plodzien (15/2, TC Reims).
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Maître d’œuvre conception : SOPRIM – M. D. BOCQUET – Tél. 06.72.89.14.70
Objet : Démolition d’un immeuble R+7 35 logements + sous-sol + 7 commerces, d’une place sur parkings en sous-sol, d’une pharmacie, de locaux associatifs et d’un pôle médical – 15, Place Rodin & Avenue Léon Blum à Reims (51100)
Procédure : Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Le marché est composé de 2 lots :
LOT 01 : DEPOSE DE MATERIAUX CONTENANT DE L’AMIANTE
LOT 02 : DECONSTRUCTION/DEMOLITION/VRD/ESPACES VERTS
Visite explicative sur site : Les visites se tiendront uniquement :
le jeudi 11 octobre à partir de 14h00
le jeudi 18 octobre à partir de 14h00
à l’Agence Effort Rémois Av. Léon Blum – Reims. Contacter Mr BOCQUET pour la prise de rendez-vous.
Délai d’exécution :
1 mois de préparation + 6 mois de travaux pour la tranche ferme
__ 1 mois de préparation + 2 mois de travaux pour la tranche conditionnelle
Date limite de réception des candidatures et des offres :
Vendredi 2 novembre 2012 avant 12 heures, dépôt ou envoi des dossiers à L’EFFORT REMOIS - Service Marchés - 7 rue Marie Stuart – BP 324 - 51061 REIMS CEDEX.
Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 25 septembre 2012, auprès de :
Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr, sous la référence du marché : MA-130912
Renseignements techniques : Sce Maintenance : H. Lhermitte au 03.26.04.99.89 ou D. Bocquet au 06.72.89.14.70
Renseignements administratifs : Sce Marchés Mme Gallois au 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33
Date d’envoi du présent avis à la publication : le mercredi 19 septembre 2012 au Journal L’UNION ECO (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Moniteur.
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REIMS (Marne). L’exposition « Comics Vinyls » à la médiathèque Croix-Rouge est visible jusqu’au 6 octobre. On y présente « 50 ans de complicité entre la bande dessinée et la musique ». En effet, depuis plus de 50 ans, la pochette vinyle offre un support de rêve à d’innombrables artistes, photographes et dessinateurs.
Du jazz au punk, de la variété à l’opérette, du cinéma au théâtre, les auteurs de bandes dessinées ont souvent été invités à « illustrer » un album, faisant de la pochette un souvenir parfois aussi mémorable que le disque qu’elle contient.
L’exposition, constituée en grande partie de reproductions issues de la collection de Christian Marmonnier - journaliste, auteur et éditeur - nous plonge dans un univers haut en couleurs dans lequel se côtoient entre autres Batman, Jimi Hendrix, Robert Crumb, Dick Tracy ou Iggy Pop… A ne pas manquer non plus, une conférence de Christian Marmonnier vendredi 28 septembre à 18 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar
(03.26.35.68.40.). Tramway : ligne A, station Médiathèque.
L’une des deux nouvelles résidences situées dans le secteur « Université » en face de la fac des lettres.
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Le nouveau parking de Croix-du-Sud, avec design moderne, a été bâti sur cinq niveaux.
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Pays-de-France qui a vu arriver de nouveaux commerces en accueillera d’autres dans les prochains mois.
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Les rénovations urbaines sur le quartier Croix-Rouge continuent leur petit bonhomme de chemin, petit à petit les nouvelles constructions sortent de terre.
CROIX-ROUGE fait peau neuve, il n’y a qu’à s’y rendre pour constater que le visage du plus grand quartier rémois (un peu moins de 25 000 habitants) change au fur et à mesure des avancées des rénovations urbaines, en cours depuis 2009.
L’Effort rémois qui détient de nombreux logements dans le secteur de Croix-du-Sud, l’une des trois parties qui composent ce quartier, a réhabilité dans un premier temps certains de ses immeubles de l’allée Edgar-Degas et de la rue Auguste-Rodin soit un total de 451 logements. Quant à la résidentialisation, les travaux vont débuter dans les prochaines semaines. Idem pour l’îlot comprenant les rues Paul-Cézanne, l’allée des Fragonard et les bâtisses composant la place Dominique-Ingres ainsi 550 autres logements en cours actuellement. La fin de chantier est prévue pour l’été 2013, résidentialisation comprise.
En ce qui concerne l’îlot Georges-Braque et l’autre partie de la rue Paul-Cézanne (557 logements) les rénovations commenceront au milieu de l’année 2013 pour finir en 2016.
À noter que les travaux concernent aussi bien l’intérieur des logements (chauffage, électricité, sanitaires…) que les façades (isolation par l’extérieur, création de balcons, panneaux photovoltaïques…) ou encore les abords (résidentialisation des immeubles, création de voiries, aménagements de places…) avec pour objectif l’amélioration du cadre de vie des habitants et le confort thermique synonyme d’économie sur les charges des locataires. Un nouveau parking, esthétiquement impressionnant, a aussi vu le jour sur Croix-du-Sud.
Le Foyer Rémois implanté dans la partie centrale de Croix-Rouge, Pays-de-France, a également rénové de nombreux immeubles mais aussi construit de nouvelles habitations et des cellules commerciales aux pieds de ces nouveaux immeubles sur l’avenue du Général-Bonaparte. Les travaux concernant les habitations des 3 et 5 allée des Picards, tous les locaux commerciaux et un nouveau grand parking remplaçant l’ancien G9 seront terminés au courant du mois d’octobre. La totalité des autres travaux prendra fin en 2013. Le programme de réhabilitation concerne plus de 530 logements pour un budget avoisinant les 30 M€. Tout ce vaste projet devrait permettre aux locataires de voir immédiatement diminuer leurs charges.
Reims habitat construit actuellement deux résidences. La résidence Saint-John Perse et la résidence Robert de Sorbon, dans la troisième partie du quartier appelé « secteur Université », après avoir redonné un look moderne à ses immeubles existants, situés avenue du Général-Eisenhower.
L’originalité de ces constructions réside dans le choix des matériaux et des couleurs retenus pour ces nouvelles résidences au pied du tramway. Par ailleurs et pour donner un coup de fouet à la vie sociale dans le quartier, le parti a été pris de créer en pied d’immeubles des locaux commerciaux qui viendront donner une vie et tout leur sens à ces nouvelles résidences. La déconstruction précédant la démolition complète du 49-51 Eisenhower a également débuté, la fin des travaux est prévue début 2013.
Une offre nouvelle de stationnement sera également proposée aux habitants ayant vu disparaître les anciens parkings souterrains, notamment ceux situés sous la place Eisenhower qui a également été entièrement redessinée.
D’autres travaux ont été achevés sur l’ensemble du quartier au courant de cette année 2012 et de nouvelles constructions vont également démarrer. Le visage définitif de Croix-Rouge sera visible en 2016, même si ses plus grands traits sont d’ores et déjà bien dessinés, permettant vraiment de voir la mutation depuis que les rénovations ont débuté.
Thierry ACCAO FARIAS
Photos : H. OUDIN
« Nous arrivons, la Ville mais aussi les trois bailleurs présents sur le quartier Croix-Rouge, à un moment important de ces rénovations. Durant les prochains mois de nombreuses choses vont être livrées notamment en ce qui concerne les commerces mais aussi les services proposés aux habitants. La dimension économique est conséquente puisque 12 000 m2 de surface commerciales ont été réalisés, 6 000 seront réservés aux commerces existants qui seront transférés et 6 000 autres pour de nouveaux magasins et autres services à la population. Pour ce qui est des services, nous aimerions mettre en place un guichet unique où les locataires pourront trouver pas mal de choses sur Pays-de-France, l’annexe de la mairie sera également transférée pour une meilleure visibilité. Une supérette ouvrira sur ce secteur, le but étant vraiment de créer des commerces de proximité.
À Croix-du-Sud, un pôle médical, gravitant autour de la pharmacie proposera de nombreux services. Sur le secteur Université, un restaurant va s’installer. Voici quelques exemples de ce que les habitants pourront trouver sur Croix-Rouge dans les prochains mois, d’autres viendront bien sûr se greffer à tout ce projet car nous voulons vraiment mettre en place, en plus de l’amélioration du cadre de vie des personnes qui y résident, des services et commerces de qualité sur Croix-Rouge. Des inaugurations ainsi que des débuts de chantier vont démarrer au cours des prochaines semaines », précise Éric Quénard, premier adjoint au maire de Reims qui connaît ce dossier sur le bout des doigts.
TAF
Dimanche matin, vers 4 h 15, les sapeurs-pompiers de Reims se sont déplacés dans le quartier de l’Europe devant le 1, avenue du maréchal de Lattre de Tassigny pour éteindre un incendie qui ravageait cinq conteneurs à ordures placés le long de la façade de l’immeuble.
Le sinistre a été maîtrisé par les secours. L’acte criminel ne fait guère de doutes pour les enquêteurs saisis.
Peu de temps après, rue Taittinger, quartier Croix-Rouge, les pom¬piers ont été appelés pour un début d’incendie dans le hall d’un immeuble.
Le sinistre n’a pas fait de dégât. Il s’agissait d’un sim¬ple feu de feuille de papier.
Avec des effectifs stables (172 inscrits), l’Open du Reims Europe Club, 11e de la nouvelle version, s’annonce passionnant chez les dames. Le tableau est relevé avec, comme tête de série n°1, la Néerlandaise de l’US Orléans Chayenne Ewijk (- 30). Mais la concurrence est sévère avec les - 2/6 Alexandra Rey (ASPTT Metz), Anastasia Wagner (Mont-Saint-Martin) ainsi que les locales Claire Makhloufi (Géo-André) et Nathalie Mohn (Reims Europe Club). A suivre également Chloé Helbringer (0, FC Kronenbourg).
Du côté des messieurs, le titre se jouera entre Sébastien Jolly (- 2/6, Cormontreuil) et les 0, Gabriel Andruejol (Saint-Dizier) et Benjamin Pilliet (Guignicourt). A moins que Vincent Betbeze (2/6, TC Reims) ou Nicolas Birot (2/6, TC Frouzins) ne créent la surprise.
DEMAIN. - 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 13 h 30 : finales + 35 ans messieurs et dames ; 15 heures : finale dames ; 15 h 30 : finale messieurs.
REIMS (Marne). Condamné il y a seulement six semaines pour avoir frappé son ex, un Rémois est revenu de force chez elle pour récupérer des lunettes de soleil. Direction la prison.
SORTI de la clinique médico-psychologique Henri-Ey après sept années d’hospitalisation d’office, Abdelkader Abdelkrim, 43 ans, n’a pas mis longtemps à retrouver le tribunal correctionnel de Reims qu’il avait fréquenté assidûment de 1988 à 2005. Son casier judiciaire en porte encore la trace avec 26 condamnations pour des vols, des violences, des dégradations et autres délits routiers.
Le 5 août, six jours seulement après la levée de l’hospitalisation, il s’en prend à sa concubine rencontrée neuf mois plus tôt dans l’établissement.
Il lui porte des coups de poing au visage, la jette à terre, s’assoit sur elle. Il est occupé à lui cogner la tête contre le sol quand la police arrive.
Jugé en comparution immédiate, Abdelkader Abdelkrim est averti par une peine de six mois de prison assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve. Il ressort libre, trouve un hébergement dans une chambre d’hôtel.
Mercredi matin, l’homme revient au domicile de son ex, allée des Tourangeaux. « Je croyais que c’était quelqu’un d’autre qui frappait à la porte », explique la jeune femme. « J’ai refermé en voyant que c’était lui car j’en ai peur. Nous ne sommes plus ensemble depuis quinze jours. »
« C’est pas vrai ! Je suis chez elle tous les soirs. »
Toujours est-il qu’Abdelkader saisit une pierre qu’il balance dans les carreaux de la cuisine. Le logement est au premier étage. Il escalade le parapet, passe par la fenêtre, insulte l’ex qui court se réfugier chez une voisine tandis que l’intrus prend ses aises dans l’appartement.
Les policiers le retrouvent assis dans le canapé, une cigarette à la bouche, un verre à la main. Il n’oppose aucune résistance.
Six semaines après sa dernière condamnation, le revoilà donc jugé à l’audience des comparutions immédiates pour la dégradation du carreau et la violation de domicile.
« Vous êtes passé il n’y a pas longtemps. C’était pour quel type de faits ? », s’enquiert la présidente.
« Je ne me souviens pas.
Quelle avait été la décision du tribunal ?
Je ne sais plus. »
Les souvenirs sont plus précis concernant la nouvelle affaire.
« Elle m’a téléphoné pour que je vienne récupérer mes lunettes de soleil chez elle car elle allait partir en psychiatrie pour deux semaines. Quand je suis arrivé, elle ne voulait plus m’ouvrir. » Pourquoi avoir insisté en passant par la fenêtre ?
« Je voulais absolument récupérer mes lunettes. Je les ai achetées 175 €. »
Le parquet réclame six mois de prison, cette fois-ci sans sursis. Pour Me Nicolas Brazy, la place de son client « n’est plus en maison d’arrêt mais dans un établissement spécialisé en raison de son lourd passif psychiatrique ». « Sa personnalité vaut autant à décharge que son casier à charge. Tous les matins, il continue de se rendre à l’hôpital pour recevoir sa piqûre quotidienne. »
L’avocat redoute qu’une incarcération provoque une rupture des soins, même temporaire, avec des conséquences préjudiciables.
Le tribunal s’est lassé de revoir Abdelkader pour la seconde fois en six semaines. Il part en prison, condamné à y purger une peine de quatre mois.
Son ex ne s’est pas constituée partie civile.
F.C.
REIMS (Marne). Il a le vin mauvais. Il le reconnaît lui-même. Vendredi dernier, Pierre F., 47 ans, a dépassé les bornes. A la suite d’une énième dispute avec sa compagne, il a tenté de l’étrangler, la menaçant avec un tesson de bouteille.
Ce n’était malheureusement pas la première fois qu’il la menaçait ainsi. Il aurait d’ailleurs dû comparaître le 26 octobre prochain pour répondre de menaces de mort à son encontre. Son comportement de vendredi n’a fait qu’accélérer le processus. Lundi, c’est sous le régime de la comparution immédiate qu’il a été déféré devant le tribunal.
Penaud, il a reconnu l’intégralité des faits, regrettant d’en être arrivé là. Le 19 août dernier, il avait été interpellé une première fois, rue Pierre-Taittinger, dans le quartier Croix-Rouge, alors que, sous l’emprise de l’alcool, il venait de menacer de mort sa compagne en lui mettant un couteau sous la gorge. Il y avait d’ailleurs déjà eu un précédent en juin dernier.
À l’issue de cette première garde à vue et de son renvoi devant le tribunal en octobre prochain, sa compagne avait pourtant accepté de l’accueillir de nouveau à la condition qu’il cesse sa consommation d’alcool.
Vendredi soir, Pierre a malheureusement failli à sa promesse. Sa compagne a alors saisi et brisé la bouteille d’alcool… Ce qui lui a fait voir rouge. Il a saisi un tesson et l’a, une nouvelle fois, menacée de mort, tentant de l’étrangler de l’autre main. Il avait été interpellé à proximité des lieux par les policiers et placé en détention préventive jusqu’à son procès qui s’est tenu lundi en comparution immédiate.
Au regard de la gravité des faits, d’autant que cette dernière altercation s’était produite sous les yeux des enfants, le parquet avait requis 8 mois de prison dont 4 avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec un maintien en détention.
Le tribunal n’a pas suivi. Pierre F. a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec une obligation de soins. Cette fois, sa compagne a indiqué qu’elle ne le reprendrait pas…
C.G.
Les Rapaces, redescendus en N1, reprennent du service demain soir, au gymnase Legros. A nouvelle saison, nouveau groupe et nouvelles problématiques. Pour la seconde fois consécutive, le RHR a vu son effectif bouleversé pendant l’été. Les Canadiens French et Rhodes repartis en Amérique du Nord, les jeunes Tran et Basset restés en Elite, respectivement avec Rethel et Amiens, Naud et Beaudouin-Page partis chez le voisin sparnacien, le début de saison des Rémois se trouve marqué du sceau de l’incertitude.
« On part de nouveau dans l’inconnu, souligne le capitaine Thomas Rogé, mais c’est aussi intéressant de construire quelque chose de toutes pièces. On va mettre en avant nos jeunes. On enregistre quelques retours qui font plaisir. Il y a beaucoup de travail mais avec une bonne base ». Sous les ordres de Jordane Cheffre, le nouvel entraîneur qui se réjouit des retours de Vincent Menut (Epernay), formé à Reims, ainsi que de Florian Fayault (Rethel). Le groupe ne devrait pas être au complet demain pour la venue de Maisons-Laffitte.
Mercredi vers 17 heures, à la vue d’une patrouille de police rue Pierre-Taittinger, un jeune homme de 19 ans a prestement dissimulé une substance brunâtre dans sa poche.
Vérifications faites, il s’agis¬sait d’un morceau de résine de cannabis de 2,3 grammes.
Le garçon détenait également un poing américain.
Il a été remis en liberté avec une ordonnance pénale (200 € d’amende à payer).
Garée rue Kerguelen, une Mercedes a brûlé hier vers 2 h 30 du matin. L’incendie est suspect.
A 9 h 50, appelés pour de la fumée dans un immeuble de la rue Jean-Louis-Debar, les pompiers en ont découvert l’origine dans un regard où se consumaient des papiers.
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Deux ateliers supplémentaires cette année, pour les étudiants qui veulent occuper leurs loisirs de façon aussi intelligente qu’artistique (ou assimilée) : le cinéma et la musique électro.
L’atelier cinéma leur apprendra à écrire un scénario, à tourner, à monter les plans…, jusqu’à la réalisation totale d’un court-métrage ; l’atelier électro pour sa part sera animé par le centre de création Césaré, et inculquera l’art et la manière d’enregistrer, capter et transformer les sons, de façon à réaliser une pièce musicale. D’après les concepteurs de l’activité, pas besoin d’avoir de grandes notions de musique pour s’inscrire.
Ces deux nouveautés ainsi que les piliers du programme du BVE (bureau de la vie étudiante), chorégraphie, théâtre, orchestre, œnologie… seront présentés le lundi 24 septembre dans les murs du centre culturel du Crous (campus Croix-rouge) à 19 heures. Chacun pourra alors « faire son marché », à des prix défiant toute concurrence comme d’habitude, les prix des ateliers allant de 30 à 60 euros pour l’année. E t pour ceux qui ne pourraient assister à cette séance de présentation, il est toujours possible de s’inscrire par courriél auprès du BVE à l ’adresse : bve@univ-reims.fr (tél. 03.26.91.81.48).
A.P.
NB : Une coquille s’est glissée dans le dépliant du programme 2012-2013 du BVE concernant l’atelier œnologie : les bonnes dates pour la première session sont les lundis 19 et 26 novembre, 3 et 10 décembre.
Une voiture - une de plus - a été incendiée sur le parking de la piscine Croix-Rouge.
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REIMS (Marne). Encore une ! Stationnée sur le parking de la piscine Croix-Rouge, allée des Landais, une Lancia est partie en fumée dans la nuit de mardi à mercredi, juste avant minuit.
Ce n’est pas la première voiture qui flambe à cet endroit. Des véhicules laissés en stationnement y sont régulièrement brûlés. Vers midi, une Renault Clio a été mise à feu dans les bois de Berru, près du site hertzien. Elle est volée mais reste à identifier car elle n’a plus ses plaques. Les gendarmes cherchent à déterminer si elle n’aurait pas servi à commettre quelque mauvais coup.
Un autre incendiaire a sévi à Reims, dans le quartier Zola. Après avoir brûlé une poubelle, rue des Trois-Piliers, hier à 0 h 55, il a récidivé cinq minutes plus tard, impasse Duruy, où les flammes ont endommagé une Peugeot 307.
Vers 17 heures, une voiture a pris feu le long de la RD 26 entre Trépail et Ambonnay, sur un campement des gens du voyage, mais l’incendie est d’origine accidentelle. C’est un barbecue mal éteint qui a communiqué le feu au véhicule. Les pompiers l’ont éteint avant qu’il ne se propage à une caravane.
Vers 15 heures, un feu de poubelle s’est déclaré dans le square de la rue des Moulins à Reims, tandis qu’à la même heure, un feu de végétaux allumé rue Gambetta à Mailly-Champagne s’est propagé à des sapins, près d’un pressoir. Une cave de 200 m2 a été enfumée.
La veille, vers 17 heures, trois incendies avaient été allumés dans des champs de Sarcy, près de la RD 386. Les pompiers ont dû intervenir pour les maîtriser.
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Le conseil municipal de Tinqueux se réunira en mairie le lundi 24 septembre à 20 h 30.
A l’ordre du jour : taxe communale sur la consommation finale d’électricité :
• coefficient multiplicateur ;
• signature de la convention avec l’ACRAP (Association Croix Rouge pour l’Animation et la Promotion) ;
• détermination du taux de promotion pour l’avancement à l’échelon spécial ;
• écoles et bâtiments communaux : tableau des emplois saisonniers ;
• tableau du personnel ;
• reconduction du Contrat éducatif local (CEL) ;
• subvention à l’école Marcel-Pagnol - classe de découverte à Commétreuil ;
• subventions - arbres de Noël/écoles maternelles - année 2012 ;
• conclusion d’une convention d’objectifs et de moyens d’une durée maximale d’un an avec les associations ;
• modification du règlement de la bibliothèque ;
• acquisition de la propriété 23 B, avenue Gabriel-Péri ;
• dénomination de voirie - rue Guy-Bazard ;
• intégration dans le domaine public communal de la rue Guy-Bazard ; communications - délégation du conseil municipal au maire ;
• communication au conseil - majoration des droits à construire.
Numéro 7464 du 17 au 23 septembre 2012.
Par jugement du 11/09/2012, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : AFM (SARL), 12 rue du Général Eisenhower - 51100 REIMS.
Activité : Commerce de détail d’équipe¬ment du foyer et de l’entreprise, vente et mise en service de matériel électronique, alarme, vidéo, matériel de sécurité, matériel informatique, domestique, amélioration de l’habitat, aide dans l’exploitation, la direction des affaires, formation du personnel, transfert du savoir, et concession de licences.
R.C.S. REIMS : B 490 526 431, pour le Greffe 2006 B 378.
108867 Le Greffier : B. DELPY.
Une finale masculine non jouée, seulement six dames, soit trop peu pour établir un tableau, et quatre tableaux jeunes…
Vivement 2013, devait penser Véronique Marin dimanche soir. L’an prochain, le tournoi 3e série préfectoral aura d’ailleurs lieu une semaine plus tard.
Pourtant, avec un quatuor de 15/1 dans le dernier carré, tout se présentait au mieux jusqu’à ce que le Virois Emmanuel Busin ne doive choisir entre Laon et Marle (lire par ailleurs) où il s’était qualifié pour les deux finales, prévues à la même heure… Il optait pour Marle, là où il était tenant du titre, laissant un goût d’inachevé à la juge-arbitre : « Je n’aurais pas dû le prendre et je ne le prendrai plus. En plus, il n’a pas le droit de faire deux tournois en même temps. »
BYE, BYE EMY… - Sacrée deux fois d’affilée championne de Picardie en 9 et 10 ans, la Laonnoise Emy Pineau est partie le mois dernier à Saint-Jean-de-Monts (Vendée), là où ses parents ont repris un hôtel-restaurant. Une espoir s’envole et le désespoir s’empare du TCL et du département…
FILLES. - 10 ans : Sarah Leroy (30/4, Laon) bat Clotilde Lantz (30/4, Bucy) 5-2, 5-2.
GARÇONS. - 10 ans : Clément Chauvin (30/1, Villeneuve-Saint-Germain) bat Quentin Baillon (30/3, Guise) 5-1, 5-4 ; 11/12 ans : Antoine Lantz (15/5, Bucy-le-Long) bat Rémi Sauvage (30, Viry-Noureuil) 6-3, 6-3 ; 13/14 ans : Yvan Prault (15/3, Géo-André Reims) bat Mathis Tétart (15/5, Viry) 6-0, 6-1.
Seniors, demi-finales : Fourdrinier (15/1, Muizon) bat Guyot (15/1, Laon) 6-7, 7-5, 6-1 ; Busin (15/1, Viry) bat Desferet (15/1, Vivaise) 6-4, 6-4 ; finale : Fourdrinier bat Busin par WO.
Hier vers 10 h 45, une collision impliquant deux fourgons s’est produite, avenue François-Mauriac.
L’accident a fait un blessé léger.
Dans la nuit de lundi à mardi, vers 3 h 30, une benne remplie de gravats a pris feu sur un chantier de la rue François-Arago.
Un acte malveillant n’est pas à exclure.
REIMS (Marne). Très tôt ce mercredi, les sapeurs-pompiers de Reims se sont rendus au quartier Croix-Rouge, allée des Landais où un véhicule en stationnement sur le parking de la piscine du Château d’eau était totalement embrasé.
Les sauveteurs ont maîtrisé le sinistre dont l’origine reste à déterminer au moyen d’une petite lance.
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Les jardiniers récompensés présentent leurs coupes avec fierté.
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REIMS (Marne). Jardins familiaux de Croix-du-Sud…
La proclamation des résultats et la remise des prix et des coupes du concours annuel des plus belles parcelles de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud se sont déroulées devant un public venu en nombre.
Une minute de silence a été respectée à la mémoire de Jean-Pierre Malissart, bénévole et ancien administrateur : « Adhérent depuis la création de l’association en 1986, il fut notre trésorier pendant cinq ans et ce très bon jardinier s’est toujours classé dans les dix premiers », précisait Evelyne Nkounkou, la présidente. « Cette année encore, sa parcelle est classée 7e ».
Avant la lecture du palmarès 2012, la présidente constatait : « Malgré un temps peu favorable, nous avons quand même produit des légumes, sauf pour les tomates : personne n’en a eues, même sous serre ! »
Deux surprises agréables pour cette cuvée 2012 : « Pour la première fois, les parcelles pédagogiques mises à disposition des enfants des associations Promotion de Pays-de-France et Etoile Croix-du-Sud ont réussi à être classées parmi celles des jardiniers adultes ».
Par ailleurs, chez ces derniers, les jardiniers gagnants sont des nouveaux venus, Frédéric et Claire Bongrain, qui ont réalisé une petite merveille à partir d’une parcelle livrée dans un triste état.
Eric Quénard, premier adjoint, a félicité tous les jardiniers, rappelant que « si Reims est très fleurie au concours national du fleurissement, vous y êtes pour beaucoup, votre participation est en effet essentielle ! »
Après la distribution des prix en espèces offerts par Alain Chevallier, représentant Alpha-Logement/l’Effort rémois et des coupes, un méchoui alléchant préparé par des bénévoles attendait les participants dans une ambiance chaleureuse.
1. Frédéric Bongrain, parcelle 86 ; 2. Evelyne Nkounkou, parcelle 62 ; 3. Eric Dousset, parcelle 18 ; 4. Jean Prime, parcelle 61 ; 5. Jean Dugué, parcelle 17 ; 6. Régis Luce, parcelle 95 et Jean-Pierre Malissart, parcelle 33 ; 8. Daniel Plagne, parcelle 84 et Jérôme Weiler, parcelle 34 ; 10. Serge Gilbert, parcelle 78 ; 11. Catherine Graffin, parcelle 8 ; 12. Jacqueline Guiot, parcelle 14 ; 13. Sylvie Lecomte, parcelle 77 ; 14. Messaoud Madadi, parcelle 13 ; 15. Jean Dubuis, parcelle 46. Le classement des 19 parcelles primées suivantes est visible sur le panneau d’affichage de l’association.
Parcelles pédagogiques : 28. Jardin pédagogique de l’association de promotion de Pays-de-France, parcelle 68 ; 32. Jardin pédagogique de l’association Etoile Croix-du-Sud, parcelle 44.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Samedi, la première journée concernait les U13 qui se préparent à disputer la première phase du championnat d’Excellence.
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Afin d’organiser ses championnats et de sélectionner les équipes participantes, le District Marne de football organise actuellement des journées de « brassage » sur différents sites.
Samedi, la première journée concernait les U13 qui se préparent à disputer la première phase du championnat d’Excellence. Accueillies par l’Association sportive de Taissy et Saint-Léonard, quatorze équipes se sont retrouvées sur les installations du stade Jules-Vastag. Une sorte de petit tournoi qui, à l’issue des matches de classements de quinze minutes, devait définir les douze équipes retenues.
Pour ce faire, Jean-François Vinandy, responsable des U13 au niveau du District, et Bernard Curel, conseiller technique départemental, assuraient le bon déroulement de la journée.
A l’issue de cette journée, les douze clubs sélectionnés sont donc : Tinqueux, Sainte-Anne, Epernay, Muizon, Ay-Ambonnay, Saint-Martin, PTT Châlons, La Neuvillette, Stade de Reims, Sézanne, AS Murigny et Taissy.
Le samedi 22 septembre, place sera faite aux U10/U11 (enfants de 9 à 10 ans) ainsi qu’aux féminines. Ainsi ce 22 septembre (puis le 29), le District Marne convie toutes les filles volontaires âgées de 6 à 14 ans, licenciées ou non, à venir jouer entre elles et s’amuser à travers des ateliers ludiques. L’opération vise à rassembler les pratiquantes sur un site proche de leur domicile pour vivre un après-midi convivial entièrement dédié au football. Les sites sont à : Géo-André, La Neuvillette, Fismes, Châlons et Sézanne.
Enfin, le samedi 29 septembre, ce sera au tour des plus jeunes (5, 6, 7 et 8 ans), de se rencontrer.
REIMS (Marne). Ce mardi vers 3 h 30, les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus dans le quartier Croix-Rouge, avenue Bonaparte près du lycée Arago pour une grande benne à ordures qui était la proie des flammes.
Le sinistre dont l’origine est indéterminée a été éteint au moyen d’une petite lance.
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REIMS (Marne). Le dispositif Mod’Emploi version 2012 posera ses valises dans le quartier Croix-Rouge afin de proposer des animations et des services autour de l’emploi dans un quartier prioritaire de la Ville. Ce dispositif s’adresse à tous les publics et permet de réunir différents acteurs.
COMME ce fut le cas en 2010 à Orgeval et en 2011 dans le quartier Wilson, Croix-Rouge aura droit aussi à ses quatre semaines consacrées à l’emploi par le biais de Mod’Emploi.
Cette opération, qui se tiendra dès aujourd’hui et jusqu’au vendredi 5 octobre dans le plus grand quartier rémois, consiste à mettre en place une série d’ateliers et de visites destinés aux personnes en recherche d’emploi et aux futurs créateurs d’entreprise afin de réduire les obstacles culturels et sociaux rencontrés par les habitants et les créateurs d’emplois potentiels des quartiers. En organisant sur place une permanence d’information en dehors de ses locaux ainsi que des ateliers, la Maison de l’emploi s’associe aux acteurs locaux de l’emploi (Maisons de quartier Croix-Rouge, Mission Locale, Pôle emploi, Association Noël Paindavoine, Médiathèque Croix-Rouge, Jobs 51) qui iront également au-devant des habitants.
Si Mod’Emploi s’installe à Croix-Rouge, c’est en grande partie grâce au conseil de quartier qui en avait fait la demande l’an dernier à la Ville afin de répondre aux besoins des habitants d’un quartier fortement touché par le chômage.
Plusieurs moments forts se dérouleront dans des lieux phares de la vie du quartier. Le forum « A la rencontre des agences intérim » se tiendra le jeudi 20 septembre, de 14 à 18 heures, à l’hippodrome de Reims. De nombreuses agences d’intérim seront présentes sur ce même lieu pour recevoir et échanger avec le public sur les opportunités de recrutement mais aussi pour préparer des entretiens d’embauche ou encore un atelier de conseils à la rédaction d’un CV.
Autres moments forts, les ateliers « Mesures jeunes et contrats de travail » et « Service civique » qui auront lieu quant à eux le mardi 25 septembre, à 14 heures, et le mercredi 26 septembre, à 14 heures, ce dernier étant réservé au public âgé de moins de 26 ans à la recherche d’un emploi ou d’une formation.
Le lundi 24 septembre, à 14 heures, pour le public ayant un projet de création d’entreprise, Mod’emploi Croix-Rouge proposera une réunion d’information en deux temps. Durant la première partie, la Chambre de commerce et d’industrie de Reims et d’Epernay et la Chambre de métiers et de l’artisanat viendront informer les participants sur les démarches à suivre pour créer son entreprise, sur les accompagnements à la création et les aides qui existent.
Puis lors de la seconde partie, la Ville de Reims présentera les locaux commerciaux disponibles à la location sur le quartier puisque de nouvelles cellules seront très prochainement libres. Celles-ci sortent de terre petit à petit dans le cadre des rénovations urbaines.
Une page Facebook, pour être au plus près du public, a été créée afin que les futurs participants puissent rester informés sur les forums et ateliers à venir durant ces quatre semaines. Il est aussi possible d’y trouver le programme de ce long mois pendant lequel Croix-Rouge se mettra aux couleurs de l’emploi.
Thierry ACCAO FARIAS
www.facebook.com/pages/Modemploi?Cr...
La reprise des cours d’alphabétisation est effective au siège de l’association des travailleurs maghrébins de France, au 6, allée des Picards à Reims.
Cet atelier gratuit fonctionne deux fois par semaine, le lundi et le jeudi, de 14 à 16 heures.
« C’est une action en direction des femmes », précise le président de l’ATMF, Mohamed El Haddaoui. « L’apprentissage du français, lu, parlé et écrit, vise l’intégration sociale et professionnelle dans le pays d’accueil, la France, et ce d’autant plus que la femme joue un rôle central dans la relation enfant/parents ».
Renseignements sur place ou par téléphone au 03.26.36.68.43.
REIMS (Marne). Deux Rémois doivent être jugés aujourd’hui dans le cadre d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.
Le premier est poursuivi pour insultes, menaces, violences volontaires sur une personne dépositaire de l’autorité publique et conduite sous l’empire d’un état alcoolique.
Déjà connu de la Justice pour des faits similaires, il a été interpellé samedi, vers 7 h 50, lors d’un contrôle de routine effectué rue des Romains par les policiers rémois. Celui-ci venait de s’engager dans la rue au volant de son véhicule sans faire l’usage du clignotant. Mais le contrôle qui a suivi a rapidement dégénéré. En état d’ébriété manifeste (1,06 g d’alcool par litre de sang), l’homme n’aurait en effet pas apprécié qu’on lui réclame ses papiers.
Tombant rapidement dans un accès de colère, celui-ci a aussitôt proféré des menaces et des insultes à l’endroit des fonctionnaires de police. L’un d’eux a même fini par essuyer un coup de poing.
Au cours de sa garde à vue, le mis en cause a cependant persisté à nier les faits, à l’exception des outrages, allant jusqu’à fournir une fausse identité et prétendre s’être retrouvé au volant de sa voiture à la demande des policiers, qui l’auraient obligé à la garer ailleurs.
Déféré hier devant le parquet, il a été remis en liberté dans l’attente de son jugement.
Le second individu qui devra lui aussi se présenter aujourd’hui à la barre du tribunal correctionnel, n’en est pas non plus à son coup d’essai.
Au mois d’août dernier, il avait déjà été interpellé pour des faits identiques qui devaient être prochainement examinés par la même juridiction.
En l’occurrence, des violences volontaires sur sa conjointe. Interpellé en état d’ivresse (0,86 g d’alcool par litre de sang), vendredi, peu après 22 heures, rue Pierre-Taittinger, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims, on lui reproche d’avoir, lors d’une dispute, serré le cou de sa compagne et l’avoir menacée d’un tesson de bouteille qu’il brandissait dans l’autre main (3 jours d’ITT). Après s’être lui-même blessé à la main, il avait pris la fuite avant d’être appréhendé à proximité des lieux par les policiers. Âgé de 47 ans, il a reconnu les faits au cours d’une confrontation avec sa victime.
Déféré hier au parquet, il a lui aussi été remis en liberté dans l’attente de sa comparution. Mais il sera jugé à la fois pour les faits commis vendredi et ceux perpétrés en août.
F.B.
Mercredi vers 18 heures, de passage ave¬nue Bonaparte à Reims, les policiers ont con¬trôlé une automobiliste qui conduisait une Peugeot 205 sans être assurée ni titulaire du permis.
De plus, il s’est avéré que le véhicule ne lui appartenait pas. Soupçonnée de l’avoir volé, la jeune femme connue pour se prostituer sur la place de Reims a déclaré l’avoir obtenu d’un client en paiement d’une passe. Et d’ajou¬ter que le monsieur avait confirmé cet accord par une note manuscrite effectivement retrouvée au domicile de la dame lors de la perquisition.
Au terme des vérifications, il s’est avéré que la 205 fut bien donnée en échange d’une faveur sexuelle, ce qui, à raison de 40 € la prestation orale ou « 60 € l’amour », comme on dit dans le milieu, ne fait pas cher la voiture, même si c’est un vieux modèle.
A moins qu’il n’ait remboursé d’un coup plusieurs créances.
Remise en liberté, la prostituée ne sera poursuivie que pour le défaut d’assurance et la conduite sans permis.
Hier vers 1 heure du matin, une Renault Laguna a pris feu rue Pierre-Taittinger à Reims, devant le n°45.
L’origine du sinistre est éminemment suspecte.
REIMS (Marne). Recherché depuis sa condamnation le 6 septembre à trois ans de prison ferme par la cour d’appel de Reims, le cogérant d’un « supermarché de la drogue » s’est fait prendre jeudi. Lors de son arrestation, il avait du cannabis dans la poche.
ON prend le même et on recommence ! Recherché depuis la semaine dernière après sa condamnation à trois ans de prison ferme pour avoir tenu un « supermarché de la drogue » dans un immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims (l’union de mercredi), Antar Noui vient d’être retrouvé par la police… avec 8,5 grammes de cannabis dans les poches.
D’abord condamné en avril à dix-huit mois de prison dont six avec sursis par le tribunal correctionnel de Reims, jugement frappé d’appel par le parquet, le jeune homme de 21 ans laissé libre sous contrôle judiciaire ne s’était pas rendu au délibéré de la cour rendu jeudi 6 septembre.
Un mandat d’arrêt fut donc décerné à son encontre. Jeudi vers 21 heures, des policiers ont repéré Antar Noui sur un banc de la rue Joseph-Haydn à Wilson, quartier où il est parti s’installer après son affaire de Croix-Rouge. L’interpellation a suivi, puis la découverte, lors de la fouille, d’un sachet contenant les 8,5 grammes de résine de cannabis.
D’après ses déclarations, le garçon se réservait cette petite provision pour sa consommation personnelle et avait prévu de se constituer prisonnier le lendemain matin, soit hier, après une dernière nuit de liberté. Interrogé sur la provenance de la drogue, il affirme qu’elle lui a été donnée par un inconnu qu’il décrit comme « un Français aux yeux bleus » coiffé d’une casquette Lacoste, ce qui ouvre une large perspective de recherches pour les services de police…
En soi, l’infraction reprochée au prévenu est banale mais ses antécédents ont conduit le parquet à le faire juger en comparution immédiate. Il a pris quinze jours de prison ferme (pour trois mois requis), une broutille au regard des trois années d’emprisonnement qui ont été mises à exécution hier.
Dans son arrêt du 6 septembre, la cour d’appel de Reims a reconnu Antar Noui coupable d’avoir fourni en cannabis, héroïne et cocaïne plusieurs dizaines de clients reçus dans le hall d’immeuble du n°2 de l’allée des Béarnais, de l’été 2011 au printemps 2012. Il y avait une telle affluence, certains jours, que la clientèle faisait la queue, d’où l’expression de « supermarché de la drogue » utilisée par l’accusation lors du procès en correctionnelle. Antar n’était pas le seul à gérer cette affaire.
Un camarade est tombé avec lui, Djallal Sahraoui, dit Nino, 25 ans, relaxé par le tribunal mais condamné à quatre ans de prison ferme par la cour en raison de deux précédentes mentions sur son casier judiciaire pour trafic de stupéfiants.
Lui aussi s’était fait porter pâle le jour du délibéré. Sans doute avait-il pressenti qu’il risquait fort de repartir de la salle d’audience menottes aux poignets. Sous le coup d’un mandat d’arrêt, comme son ami, Nino, hier soir, se trouvait toujours dans la nature.
Fabrice CURLIER
Le club de roller hockey rémois organise une bourse au matériel de hockey, au gymnase Fran¬çois-Legros de 8 à 18 heures, demain, dimanche 16 septem¬bre.
Pour tout renseignement, contacter le 06.76.78.50.95.
Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journaloffi ciel.gouv.fr/MarchesPublics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005. REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : remplacement de faux-plafonds frises des halls. Immeubles sis n° 32 à 47, esplanade Eisenhower et n° 1 à 45, rue Pierre-Taittinger à Reims.
4) Lots :
Lots - Désignation.
Lot 1 : menuiserie ; faux-plafond.
Lot 2 : électricité.
5) Options :
Pour le lot 1 : option 1. Création de plafonds sur les sorties
arrières non pourvues, situé rue Pierre-Taittinger à Reims.
Pour le lot 2 : option 1. Création de plafonds sur les sorties
arrières non pourvues, situé rue Pierre-Taittinger à Reims.
Les options sont obligatoires. Pour chaque lot concerné, les
candidats ont l’obligation de chiffrer sur l’acte d’engagement et
la DPGF, les options demandées sous peine de rejet de leur offre.
6) Critères de jugement des offres :
Critères - Pondération.
1. Prix des prestations : 70 %.
2. Valeur technique : 30 %.
7) Variantes : les variantes sont autorisées. Les candidats devront présenter une offre entièrement conforme au dossier de consultation.
8) Délai d’exécution : le délai d’exécution de l’ensemble des lots est de 5 mois (2 halls simultanément), avec une période de préparation de 4 semaines non comprise dans ce délai. Par ailleurs, les intempéries et les congés payés ne sont pas prévus.
9) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www. reims-habitat.fr
10) Renseignements complémentaires : Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du bureau d’études de REIMS HABITAT : Monsieur POULAIN, tél. 03.26.48.43.16, fax : 03.26.48.43.40.
11) Date limite de réception des offres : le 11 octobre 2012 à 17 heures.
12) Date d’envoi à la publication : le 11 septembre 2012.
51AO1945692
Le club de roller hockey rémois organise une bourse au matériel de hockey, au gymnase François-Legros, de 8 à 18 heures, le dimanche 16 septembre.
Renseignements au 06.76.78.50.95.
Numéro 7463 du 11 au 16 septembre 2012.
Avis est donné de la constitution de la SARL : "STUDIO SWING", au capital de 3.000 €. SIEGE SOCIAL : 6 allée du Vignoble - 51100 REIMS.
OBJET : L’enseignement et les activités liés à la danse de couple.
DUREE : 50 ans à compter de l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
GERANT : M. Pierre JEREMITA, demeurant 5 rue Jean de la Bruyère ¬51100 REIMS, nommé pour une durée indéterminée.
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Jean-Pierre Malissart, une personnalité associative du secteur Croix-du-Sud, est décédé à 68 ans des suites d’une douloureuse maladie.
Un hommage lui a été rendu lors du concours des plus belles parcelles des jardins familiaux de Croix-du-Sud. Après une minute de silence, la présidente Evelyne Nkounkou a précisé : « Bénévole depuis la création des jardins en 1986, trésorier cinq ans durant et toujours administrateur, Jean-Pierre Malissart était un très bon jardinier, toujours classé dans les dix premiers au concours des plus belles parcelles. Cette année encore, son jardin était classé 7e sur 92 parcelles ».
De son côté, Jean-Michel Gauthier, directeur de l’association Etoile Croix-du-Sud, témoigne : « Adhérent de longue date, Jean-Pierre Malissart participait à toutes nos activités. Très serviable, il a rendu de grands services à la collectivité. Il sera regretté par tous ». Joueur passionné de pétanque, il était détenteur du Trophée de Croix-du-Sud.
Habitant la rue Jacques-Simon, « M. Malissart était adhérent à l’Amicale des locataires du secteur At’Hom et membre de notre conseil d’administration », commente Danielle Bonfils, la présidente : « Il participait régulièrement à nos réunions où il ne manquait pas de livrer ses idées et ses réflexions. Il s’investissait surtout lors de la fête des voisins puisqu’il s’occupait activement de l’installation d’un petit chapiteau pour recevoir les locataires, tout en surveillant le barbecue. Nous le regretterons. Sa compagne est la vice-présidente de l’association ».
Représentant l’organisme logeur Alpha logement/l’Effort rémois, Alain Chevallier rappelle que « Jean-Pierre Malissart est quelqu’un qui a beaucoup investi dans le secteur des jardins familiaux, très actif dans le bureau sous la présidence de Pierre Gros ».
Enfin, au nom de la ville de Reims, le premier adjoint Eric Quénard « salue sa mémoire et son engagement dans le quartier Croix-Rouge, l’accessibilité et le dévouement d’un homme qui ne comptait pas ses heures ».
REIMS (Marne). Lundi, les parents d’élèves s’étaient mobilisés contre la fermeture annoncée de deux classes de maternelle et de primaire.
Finalement, l’Académie sous la pression des parents et des élus de la majorité municipale a reconsidéré sa décision.
Les deux classes seront donc maintenues pour cet exercice 2012/2013 dans le quartier Croix-Rouge.
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Les sportifs de l’Ufolep et notamment les footballeurs ne se sont pas fait attendre pour organiser leur nouvelle saison : dès le 5 septembre le comité départemental Ufolep a réuni les clubs, et dès le 16 septembre les équipes joueront leur premier match de championnat. Comme à l’accoutumée, les clubs ont pu débattre et échanger sur leur pratique, l’organisation des compétitions, les règlements, et valider ensemble le déroulement de la saison. Les représentants des 36 équipes vétérans ont choisi d’organiser leur championnat en trois groupes.
Les gagnants de la saison 2011/2012 ont été récompensés : groupe A : 1. AS Berru Lavannes, 2. Les amis de Fabien Duquesne. Groupe B : 1er SL Organismes sociaux, 2. AS Beaumont-sur-Vesle 1. Groupe C : 1. AS Champignyr, 2. Soc. Sport. Sept-Saulx. Dans chaque groupe, les clubs ont élu deux représentants siégeant à la commission technique départementale.
Celle-ci assure l’organisation et le suivi des compétitions ainsi que le développement de l’activité.
Outre les championnat et coupe sur le département, les clubs peuvent élargir l’horizon des rencontres à la région, avec la coupe champardennaise vétérans, et à l’échelon national avec les rassemblements « Foot à 7 » et « Vieux crampons ». 36 équipes parient encore cette saison sur l’ Ufolep pour s’affronter mais surtout retrouver leurs partenaires et partager une matinée de bonne humeur où priment la convivialité et le fair-play.
Pour les personnes intéressées : renseignements : Ufolep 51, tél. 03.26.84.32.26.
Site : www.ufolep51.org
Mail : ufolep51@wanadoo.fr
Vainqueurs et finalistes du tournoi « jeunes », félicités par le maire de Tinqueux et le président de la commission des sports.
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Le tournoi « Jeunes » organisé par le Tennis Racing club de la Muire du 29 août au 9 septembre, s’est terminé dimanche après-midi. Il était ouvert à 10 catégories filles et garçons de 9 à 18 ans. 144 joueurs ont participé à cette compétition sous la responsabilité d’Etienne Bertrand, responsable de l’école de tennis. La présidente du club, Martine Ruggiero, avait convié Jean-Pierre Fortuné, maire de Tinqueux et conseiller général de la Marne, son adjoint aux sports, Eric Mériot, le président du comité des sports de Tinqueux, Guy D’Argent et Mme de la Bassetière, du Champagne De Venoge, pour la remise des prix et des coupes.
Pour les 9/10 ans filles. Finaliste : Sibylle Pierlot, TC Muizon. Vainqueur : Marie-Amelie Comarlot, TC Saint- Memmie.
Pour les 9 ans garçons. Finaliste : Baptiste Berquet (TC Gueux). Vainqueur : Corentin Couvreur (TC Taissy).
Pour les 10 ans garçons. Finaliste : Paul Schacherer (TC Bezannes). Vainqueur : Arthur De La Bassetière, (TC Cormontreuil).
Pour les 11 ans garçons. Finaliste Victor Dumont : (TC Cormontreuil). Vainqueur : Arthur Lerat (TC Muizon)
Pour les 12 ans garçons. Finalistes : Baptiste Breton (, Europe Club). Vainqueur : Arnaud Floucaud (TC Géo-André).
Pour les 13/14 ans filles. Finaliste : Margaux Caron (US Guignicourt) - Vainqueur : Elvire Prault (TC Géo-André). Garçons. Finaliste : Hippolyte Bonnet (TC St Martin/Pré). Vainqueur : Yvan Prault (TC Géo-André).
Pour les 15/16 ans garçons. Finaliste : Diary Ramanitra (TC Dormans). Vainqueur : Paul Chardin (Europe Club).
Pour les 17/18 ans filles. Finaliste : Agathe Lambert (TRC Muire). Vainqueur : Marie Doussiere (TC Gueux).
Garçons. Finaliste : Charles Edler (Tennis Club de Reims). Vainqueur : Marion Renard (Europe Club).
TRC de la Muire : 12, avenue du 29-Août-1944 à Tinqueux, tél. 03.26.08.64.95. trcmuire.com
REIMS (Marne). Le samedi 1er septembre en fin d’après-midi, vers 18 heures, une bagarre amplifiée par le mouvement de foule de plusieurs dizaines de jeunes avait éclaté place du Théâtre, en plein centre-ville de Reims (notre édition des 2 et 3 septembre).
Secouru par les pompiers après s’être réfugié dans le fast-food situé à l’angle de la rue de Talleyrand, un adolescent de 14 ans, originaire du quartier Wilson, s’était vu prescrire cinq jours d’incapacité totale après avoir reçu un coup au visage.
L’enquête ouverte par les services de police a permis d’identifier quatre de ses adversaires. Agés de 13 à 16 ans, les uns domiciliés à Croix-Rouge, les autres à Maison-Blanche, ils ont été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants.
D’après les auditions, la bagarre n’était pas préméditée. Elle a commencé entre deux jeunes dont l’un n’a pas supporté les moqueries de l’autre sur les pas de danse qu’il effectuait lors d’un rassemblement entre potes aux abords de la cathédrale…
La majorité silencieuse de cet immeuble de Croix-Rouge est débarrassée pour longtemps du « supermarché de la drogue » qui empoisonnait son quotidien.
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COUR D’APPEL. Dix-huit mois de prison dont six avec sursis et une relaxe : en avril, le tribunal correctionnel de Reims avait fait montre d’une stupéfiante clémence envers les gérants d’un « supermarché de la drogue ». Jeudi, la cour d’appel a infligé trois et quatre ans de prison ferme aux deux dealers.
À l’été 2011, un groupe de jeunes joue aux petits caïds dans l’entrée de l’immeuble situé 2, allée des Béarnais à Croix-Rouge. Ils squattent le hall pour mieux en contrôler les allées et venues au grand dam des habitants que la crainte de représailles mure dans le silence.
Quand l’agent en charge de la sécurité du bâtiment se présente, l’un des voyous lui conseille de déguerpir « pour sa sécurité ». Comme il insiste, deux encagoulés le chassent. Les curieux ne sont pas les bienvenus. Car la petite bande a fait de l’immeuble un « supermarché de la drogue ». Cannabis, héroïne et cocaïne… Il y en a à gogo pour tous les goûts et pour toutes les bourses à partir de 10 euros le morceau de shit.
Le scénario que rapportent les clients aux policiers est immuable. « Quand on arrive devant le hall, il y a un petit jeune qui nous ouvre la porte. Il nous fait rentrer et il nous demande ce que l’on veut », explique l’un. « Le portier » passe le relais au « vendeur » tandis qu’un « guetteur » couvre leurs arrières. « Il nous a laissés derrière l’ascenseur », poursuit un autre. « Dans le noir », précise nombre de consommateurs. « Un livreur » récupère la commande. Par exemple, « un gramme de marron » pour de l’héroïne. A raison de 30 euros la dose conditionnée en képa. Le tarif passe à 70 euros pour un « pochon de poudre ». « La blanche » reste un petit luxe.
Au fil des auditions, les noms de Antar Noui et de Djallal Sahraoui, des Rémois de 20 et 25 ans, reviennent en boucle. Ce n’est pourtant pas faute de se dissimuler à l’ombre d’une visière de casquette, en complément d’un cache-nez ou d’un bandeau. Le premier est d’autant plus prudent qu’il réside dans l’immeuble. Quand au second, il œuvre dans l’immeuble voisin pour le compte de l’association « Jeunesse et espoir Pays de France » dont il est une figure emblématique et accessoirement le trésorier.
À l’heure des perquisitions, les policiers ont la confirmation que l’association n’est pas qu’une simple couverture pour Djallal Sahraoui, alias Nino. Car cette structure réservée aux enfants de 13 ans - soucieux de faire leurs devoirs ou de jouer à la Play Station - sert aussi de base arrière au juteux business de Nino. Pour preuve, on y découvre une balance électronique et un couteau à la lame noircie par le cannabis. Plus deux Talkies-Walkies comme en utilisent le vendeur et le gérant du stock qui se méfient des écoutes.
Les encagoulés et des dizaines de clients se livrent à un chassé-croisé d’un immeuble à l’autre. Ils font parfois la queue dans le hall de l’immeuble, transformé en « coffee-shop », illustre un témoin. C’est pour partie grâce aux acteurs de ce stupéfiant ballet que les policiers vont « habiller » les trafiquants. Pas moins de quinze clients mettent formellement en cause Antar Noui.
Plusieurs surveillances policières témoignent de sa présence alors qu’une soixantaine de clients achètent de la marchandise. Et puis il est arrêté avec une plaquette de 100 grammes de cannabis sur lui et 7 150 euros dans son appartement. « Consommation personnelle et économies », dira-t-il. Djallal Sahraoui, « l’homme au masque de paint-ball », n’est pas en reste puisqu’il apparaît avec la même régularité au cours des planques. L’homme est confondu par quatre clients et interpellé avec un cache-nez façon cagoule à ses pieds.
Le trafic ainsi démantelé paraît juteux, même si les policiers ne découvrent que 116,9 grammes de résine de cannabis, 19,6 g de cocaïne et 35,7 g d’héroïne dans un appartement vide, situé au-dessus de la cage d’ascenseur.
« C’est lui qui m’a vendu une dizaine de fois de l’héroïne » ou par exemple « Ils indiquaient acheter de l’héroïne tous deux depuis un mois, une trentaine de grammes chacun… »
Eric LAINE elaine@journal-lunion.fr
En avril dernier, Antar Noui est reconnu coupable des faits. Il écope de dix-huit mois de prison dont six avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans devant le tribunal correctionnel de Reims, « compte tenu de son casier judiciaire qui porte trace d’une seule condamnation ».
Camouflet de la cour d’appel de Reims, le 6 septembre dernier. Elle estime que le prévenu apparaît tantôt « guetteur » et tantôt « vendeur » d’un trafic d’ampleur parfaitement bien huilé. « La gravité des faits, s’agissant d’un trafic de plusieurs produits stupéfiants parfaitement organisé dans une cité et ayant perduré plusieurs mois, justifie le prononcé d’une peine ferme fixée à trois années », assortie d’une peine d’amende de 10 000 euros.
Le grand écart de la justice est encore plus flagrant concernant Djallal Sahraoui pour lequel le procureur de Reims a également interjeté appel. Car celui-ci avait été purement et simplement relaxé par les juges du tribunal correctionnel de Reims qui balayaient d’un revers de manche les témoignages et les surveillances policières. « Les services de police se limitent à affirmer la mise en cause de M. Dajallal Sahraoui sans qu’aucun élément du dossier ne viennent corroborer ces affirmations (..) Les nombreux consommateurs de produits stupéfiants (le) mettant en cause formellement ne l’ont en revanche pas identifié au CANONGE (Ndrl : fichier photo de la police) », soutenaient les magistrats.
La cour d’appel considère tout au contraire que Djallal Sahraoui est « mis en cause par quatre témoins et identifié par les enquêteurs à partir du croisement des déclarations de clients et des comptes rendus de surveillance à sept reprises pour des cessions de cannabis (2 fois), de cocaïne (1) et d’héroïne (6), » et qu’il « ne peut expliquer sa présence dans les surveillances, le manège auquel il se livre, les déguisements et changements de tenue opérés depuis l’association ».
Les faits, aggravés par deux condamnations antérieures pour trafic de stupéfiant, « justifie le prononcé d’une peine ferme qu’elle fixera à quatre années (..), et d’une peine d’amende de 5 000 euros », a conclu la cour d’appel. Venu libre au procès, puisque relaxé au premier tour, Djallal Sahraoui, alias « Nino », sera incarcéré sur le champ pour « acquisition, détention, transport, offre ou cession de cannabis, cocaïne et héroïne ».
Florilège de petites phrases glanées par les policiers chargés d’interroger « les clients » du « supermarché de la drogue » de Croix-Rouge.
RSA : « Je vais en acheter en début de mois dès que j’ai mon RSA. »
Trace : « J’étais en train de préparer une trace de cocaïne lorsqu’on s’est fait arrêter. »
Pétards : « Il y a toujours deux mecs qui sont là. La plupart du temps, ils sont même en train de fumer des pétards. »
Caves : « Les jeunes qui dealent dans le hall ont les clés des caves. Ils disent que les caves ne sont pas à nous mais à eux. De toute façon, ils ont changé tous les barillets. »
Encagoulées : « Depuis le mois de février, il y a deux personnes dans le hall qui ont des cagoules. Un attend sur la chaise et ouvre la porte. L’autre attend à l’intérieur. »
Paint-ball : « L’un d’eux avait un masque noir sur le visage, type paint-ball. »
Rois : « Ils se prennent pour des rois et nous prennent pour des larbins. Tout ça parce qu’ils ont ce dont on a besoin. »
Lieu d’achat : « Tout le monde est courant de ce lieu d’achat de drogues, même les jeunes habitant les autres quartiers de Reims. »
Une fois par jour : « J’allais là-haut régulièrement pendant trois mois, presque une fois par jour. Lorsque j’allais acheter ma cocaïne, je me dirigeais aussitôt dans l’immeuble du 2 allée des Béarnais. »
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Samedi 22 septembre, puis le 29, le District Marne convie toutes les filles volontaires, âgées de 6 à 14 ans - licenciées ou non - à venir jouer entre elles et s’amuser à travers des ateliers ludiques.
L’opération vise à rassembler les pratiquantes, sur un site proche de leur domicile, pour vivre un après-midi convivial entièrement dédié au football.
Dans la Marne, ces rassemblements se feront à : Fismes, contact : Julien Fourcart 06.50.61.08.95 - Dizy : Alexis Rouquette 06.63.94.70.37 - Dormans : Jocelyn de Chadirac 06.07.73.99.89 - Vitry-le-François : Olivier Desanlis 06.67.91.59.03 - Reims Géo-André : Cassandra Tribout 07.77.00.15.27 - Reims La Neuvillette : Jean-François Vinandy 06.81.23.21.80 - Châlons-en-Champagne (terrain Claude-Jacques) : Béatrice Merle Gauthier 06.87.06.00.33.
La « Rentrée du football » a, au-delà de la simple pratique, une vraie dimension éducative. En dehors des matches et ateliers, les filles pourront être sensibilisées à l’environnement, ou encore la conduite citoyenne.
Le rendez-vous est donné à 14 heures, le rassemblement se terminera à 16 h 30. La même action se poursuivra samedi 29 septembre, sur les mêmes lieux aux mêmes horaires.
Contact : District Marne : Kévin Surray au 06.45.31.01.28. footanimation@marne.fff.fr
La 19e édition du tournoi du TC Sillery a vu Cédric Leroy (3/6, Géo-André) conserver son titre. Opposé en finale à Jules Latour (4/6), jeune sociétaire du TC Guignicourt qui avait brillamment enchaîné les « perfs » à 3/6, le Rémois a multiplié les fautes directes dans le set initial pour le concéder (4-6).
Plus expérimenté, Cédric Leroy s’appliquait ensuite pour mener 4-1 dans la deuxième manche. Seulement, il retombait rapidement dans ses travers et devait s’employer pour boucler à 7-5. De quoi atteindre psychologiquement et physiquement l’Axonais qui n’existait pas dans la « belle » (6-2).
En finale des + 35 ans, le favori Stéphane Villeger (15/1, TC Reims) a survolé les débats en dominant nettement le Suippas Sébastien Zymek (15/2) sur le score de 6-2, 6-3.
Chez les féminines, la finale a, comme prévu, mis aux prises les jeunes 4/6 Amélie Zarev (Reims Europe Club) et Maêva Spooner (Géo-André). Impériale en n’abandonnant que six jeux en trois matches, l’« Européenne » n’a laissé aucune chance à son adversaire (6-3, 6-1).
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Philippe, Véronique, ses enfants ;
Yvette BREHAUT, sa compagne ;
Morgane, Orlane, Jason, ses petits-enfants ;
Hieng, Gilles et Genevièvre, Patrick et Edith, Patricia, Gisette et Christian, Dominique et Sylvie, Martine et Alain, ses frères, soeurs, beaux-frères, belles-sœurs ;
Ses neveux et petits-neveux,
Ses nièces et petites-nièces
ont l’immense tristesse de vous faire part du décès de
survenu le 5 septembre 2012 dans sa 68e année.
La cérémonie religieuse aura lieu le mardi 11 septembre 2012 à 10 heures, en l’église Sainte-Bernadette de Tinqueux, suivie de la crémation â 15 heures, au crématorium de Reims.
Un registre à signatures tiendra lieu de condoléances.
Monsieur MALISSART repose à la Maison Funéraire, 7, rue Roger-Aubry à Reims.
Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.
PFG Reims 7, rue Roger-Aubry 03.26.86.11.251120085161.
Maxence, 14 ans, collégien de Paulette-Billa à Tinqueux, est très à l’aise au guidon de son BMX. Y compris quand il s’envoie en l’air ! Pourtant il ne fait pas partie d’un club : « On s’entraîne et on progresse entre copains ». Ils ont l’habitude de se retrouver au skate-parc de Saint-Remi : « C’est pas top car il y a beaucoup de vols là-bas. On attend avec impatience celui qu’ils vont aménager ici au parc Léo. Normalement, ils commencent les travaux en septembre ».
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Théodore Lé et ses élèves font une démonstration de Kobudo. Un art martial et tout un contexte historique.
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Premières foulées de rugby pour Capucine. L’écolière de CE1 de saint-jo, agée de 6 ans, est venue faire un essai sur le stand du RUC : « je suis venue parce que mon frère en fait. Je trouve ce sport rigolo mais je préfère quand-même la danse et le poney. »
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REIMS (Marne). De nombreux Rémois sont venus faire du sport au parc Léo ce week-end. L’occasion de se bouger et de découvrir de nouvelles activités.
BEAU succès pour Faite du sport au parc Léo. Petits et grands sont venus tout le week-end essayer un sport ou tout simplement regarder des démonstrations.
« C’est très bien comme animation parce que ça donne envie de se bouger. Je crois avoir visité tous les stands. Il y avait toujours quelqu’un pour me donner des renseignements ou même pour me faire essayer », témoigne Marie-Odile Millet, employée d’assurance.
« J’ai même découvert des sports que je ne connaissais pas du tout, c’est peut-être cela le plus intéressant. » Marie-Odile a notamment découvert le Kobudo, un art martial japonais.
Théodore Lé, ceinture noire, et ses élèves ont offert des démonstrations au public : « Ce sport est précisément originaire de l’île de Okinawa. Les habitants de cet archipel étaient régulièrement envahis par les Chinois ou les Japonais. L’occupant leur interdisait de détenir des armes mais ils avaient souvent besoin de se défendre contre des bandits qui venaient piller les récoltes. C’est ainsi qu’ils ont appris à se servir de leurs différents outils de travail comme d’une arme. Le long bâton des pécheurs, la serpe qui sert à couper le riz, la broche utilisée pour cuire la viande, tout servait à combattre dès qu’un ennemi arrivait ».
Cela se passait aux XVe et XVIe siècles. « Petit à petit, ils ont codifié les mouvements et un sport a fini par naître. » Les élèves de Théodore perpétuent la tradition mais manient davantage le bâton que la serpe. « La serpe est réservée aux ceintures noires ! » Il n’y a pas de contact entre les combattants avec les armes : « C’est un affrontement codifié, pas un combat ». Le sport est réservé aux adultes, filles comme garçons : « Les filles sont en général meilleures car l’homme agit tout de suite en force ». Ils s’entraînent le lundi soir à l’Acrap près du centre commercial de l’hippodrome (station Kennedy). Marie-Odile hésite encore : « Pourquoi pas. Je suis tentée par le karaté aussi, ou peut-être l’aviron. J’hésite. Finalement, il y a trop de choix ! »
C.F.
Le tournoi des jeunes de La Muire s’est terminé hier après-midi. En 10 ans, Pierlot blessée n’a pas pu défendre ses chances. La seule entorse à la hiérarchie est venue des 17-18 ans garçons avec la victoire en trois sets de Renard (15/5) devant Edler (15/4) après une dernière manche disputée.
Elvire Prault et son frère Yvan (Géo-André) se sont montrés expéditifs en 13-14 ans. Histoire de famille également, Arthus de la Bassetière (Cormontreuil), petit frère de Constant, a dominé son sujet devant Schacherer.
Autre pensionnaire du TC Géo-André, Arnaud Floucaud a bataillé pour l’emporter devant Breton.
FILLES.
10 ans : Comarlot (30/4) bat Pierlot (30/4) wo
13-14 ans : Elvire Prault (15/4) bat Caron (30/1) 6-0, 6-2
17-18 ans : Doussiere (40) bat Lambert (40) 6-2, 6-3
GARÇONS.
9 ans : Couvreur (NC) bat Berquet (NC) 5-1, 5-1
10 ans : De la Bassetiere (30/3) bat Schacherer (30/4) 5-0, 5-3
11 ans : Lerat (30/2) bat Dumont (30/2) 6-4, 6-2
12 ans : Floucaud (15/4) bat Breton (15/4) 2-6, 7-5, 6-2
13-14 ans : Prault (15/3) bat Bonnet (15/4) 6-0, 6-3
15-16 ans : Chardin (15/2) bat Ramanitra (15/2) 4-6, 6-4, 6-1
17-18 ans : Renard (15/5) bat Edler (15/4) 2-6, 6-0, 7-5
REIMS (Marne). Ce lundi à 0 h 50, les sapeurs-pompiers de Reims ont été appelés au 13, avenue Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge à Reims pour un feu de détritus qui a été rapidement maîtrisé.
Peu avant 1 heure, ils ont également été requis allée Georges-Morange pour éteindre un feu de scooter dans une maison inhabitée. Peu avant 2 h 30, ils sont sortis pour une voiture totalement embrasée sur la voie publique. A 6 heures, ils se sont rendus à l’intersection des rues Saint-Thierry et du Fossé-Julien pour un feu de conteneur à ordures qui a été éteint au moyen d’une petite lance.
Les finales du tournoi jeunes du Tennis Racing Club de la Muire auront lieu aujourd’hui, à partir de 9 heures pour les garçons, à Tinqueux.
9 HEURES. - 10 ans garçons : Arthur Lerat (30/2, TC Cormontreuil) - Paul Schacherer (30/4, TC Bezannes).
10 H 30. - 10 ans filles : Marie-Amelie Comarlot (30/4, TC Saint- Memmie) - Sibylle Pierlot (30/4, TC Muizon).
10 H 30. - 11 ans garçons : Arthur Lerat (30/2, TC Cormontreuil) - Victor Dumont (30/2, TC Cormontreuil).
11 H 30. - 9 ans garçons : Baptiste Berquet (TC Gueux) - Corentin Couvreur (TC Taissy).
11 H 30. - 17/18 ans filles : Agathe Lambert (40, TRC Muire) - Marie Doussiere (40, TC Gueux).
13 H 30. - 15/16 ans garçons : Paul Chardin (15/2, Europe Club) - Diary Ramanitra (15/2, TC Dormans).
13 H 30. - 13/14 ans filles : Margaux Caron (30/1, US Guignicourt) - Elvire Prault (15/4, TC Géo-André).
15 HEURES. - 12 ans garçons : Arnaud Foulcaud (15/4, TC Géo-André) - Baptiste Breton (15/4, Europe Club).
La finale des 17/18 ans garçons sera disputée à 9 h 30.
20 % des Rémois sont sous le seuil de pauvreté, avec un revenu moyen de 741 euros. Malheureusement, avec la crise, ces chiffres ont dû s’aggraver depuis 2009.
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La Ville et le logement
Les habitants qui tombent dans la précarité doivent d’abord garder un logement pour garder l’espoir. Et c’est un des leviers que peut utiliser une municipalité pour les aider. « Nous avons mis en place des dispositifs pour être un amortisseur. Nous faisons tout pour baisser les charges locatives », explique le premier adjoint chargé du logement, Éric Quénard.
Qui rappelle que les charges sont presque aussi importantes que le loyer. « Et les aides au logement ne prennent en compte que le loyer. Alors, pour baisser les charges, nous agissons sur le chauffage, que ce soit au nord de Reims ou à Croix-Rouge, Murigny avec les chaufferies à bois, biomasse… »
Deuxième axe : les reprises des espaces verts, pour 253 000 m2 à Verrerie, Europe, Pommery, Cernay, Châtillons et Maison-Blanche, l’équivalent de 735 000 euros. « C’est une économie qui se situe entre 50 et 200 euros par an. » Enfin, les fameux conteneurs enterrés, qui améliorent la sécurité, le tri et permettent de baisser les charges de 50 euros par an.
« Nous passons des conventions avec les bailleurs, et les locataires voient concrètement baisser leurs charges. S’ajoute la rénovation urbaine, qui permet une meilleure isolation, donc moins de chauffage, et l’Aide MI, qui permet pendant 4 ans d’amortir une hausse de loyer suite à l’Anru. »
Moins de leviers pour les travailleurs pauvres qui logent dans le privé. « Quand on regarde en détail, on s’aperçoit que beaucoup sont en cœur de ville. Il est à noter qu’il y a 43 % de logements sociaux à Reims, soit 40 000. Certains ne veulent pas y vivre, et préfèrent aller dans le privé. » Ẻric Quénard explique aussi que selon leur financement, les logements sociaux ne peuvent être loués à n’importe qui, il existe des plafonds de ressources.
Le privé, ce sont aussi les fameux marchands de sommeil, qui existent aussi à Reims. Ceux qui profitent de la paupérisation de certains ménages pour louer des chambres indignes à des prix sans rapport avec l’inconfort. La Ville, avec la police, peut aussi intervenir.
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La FFF organise à travers toute la France la « Rentrée du Football ».
L’opération vise à rassembler tous les pratiquants et pratiquantes âgés de 6 à 12 ans sur les terrains, pour vivre une journée conviviale entièrement dédiée au football.
Ouverte à tous, licenciés ou non, la « Rentrée du Football » est déclinée à l’échelon local dans tous les départements.
Dans le District Marne, les rassemblements se feront :
Samedi 22 septembre, à partir de 9 h 30, pour les 9/10 ans, à Fismes, Muizon, Espérance Rémoise (Géo André), Reims La Neuvillette (municipal La Neuvillette), Dormans, Dizy, ASPTT Châlons (Claude Jacques) et Vitry.
Samedi 29 septembre, à partir de 9 h 45, (5 ans), à Reims Stade (Thiolettes).
Samedi 29, à partir de 13 h 30, pour les 6/7/8 ans, à Fismes, Muizon, Espérance Rémoise (Géo André), Reims La Neuvillette (municipal La Neuvillette), Dormans, Dizy, ASPTT Châlons (Claude Jacques), Sainte-Ménehould et Vitry.
Depuis sa création en 2004, l’évènement connaît un vrai succès. Il est très attendu par les enfants, leurs parents, les éducateurs et les clubs. L’an dernier, plus de 250 000 enfants ont pris part à cette grande initiative à travers 2 452 sites.
Au-delà de la simple pratique, la « Rentrée du Football » a une vraie dimension éducative. Les matches et les exercices techniques sont accompagnés d’ateliers sur l’hygiène, l’environnement, ou encore la conduite citoyenne.
A cette occasion, chacun des participants reçoit le guide du jeune footballeur ou de la jeune footballeuse. Ce fascicule ludique prodigue des conseils en matière de transport et permet à l’enfant de consigner des notes sur son équipe.
On peut retrouver la liste complète des rassemblements sur www.fff.fr/rentreefoot2012 (cliquer sur le département de la Marne) et télécharger le guide et l’affiche de la « Rentrée du foot ».
Contact : Kévin Suray, CDFA District Marne, 06.45.31.01.28, footanimation@marne.fff.fr
Jean-Christophe Klein-Bonnet, le nouvel entraîneur rémois, va pouvoir tester son collectif.
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Quinze jours (pour les garçons), trois semaines (pour les filles) avant le début de leurs championnats, les Rémois vont effectuer une répétition grandeur plus que nature en organisant un tournoi.
Aujourd’hui et demain, le Reims Métropole Volley accueille dans quatre gymnases seize équipes masculines (N2 et N3) et douze féminines (de R1 à N1 belge).
A la Halle universitaire Croix-Rouge, à Géo-André, Roland-Bourgoin et Léo-Borgniet, les réceptions vont offrir des bons ballons aux passeurs, les smashes vont claquer et le public va se régaler.
Les Rémois, bons 3es, la saison dernière, de leur poule de N3, ont profité de la refonte des compétitions fédérales pour intégrer la N2. Aujourd’hui, les protégés du nouvel entraîneur Jean-Christophe Klein-Bonnet se frotteront à deux formations de N3 (Savigny et Besançon) puis demain, ils défieront une N2 (Pouilly-lès-Metz) avant de disputer des matches de classement.
Le schéma sera le même pour les demoiselles de Sophie Laurent : matches de poule contre des N3 (Waterloo, Besançon et Amiens/Longueau) puis matches de classement.
Ce sera l’occasion pour les fidèles de la salle Saint-Thierry de découvrir les nouvelles têtes rémoises. De fortes têtes, expérimentées telles Serge Edongo (ex Villers-Cotterêts) et Vladislav Mandic.
Y.D.
Avec des effectifs stables (130 inscrits), la 19e édition du tournoi du TC Sillery a poussé la limite des engagements à 2/6. Sans vraiment de réussite puisqu’aucun joueur n’a répondu à l’invitation sillerotine.
De fait, chez les messieurs, Cédric Leroy (3/6, Géo-André) cherchera à conserver son titre mais il aura très fort à faire avec les trois autres 3/6 Jérémy Solivellas (TC Reims), Julien Evrard (URT) et l’ex local Cédric Spitz (Mont Saint-Aignan). A suivre également les 4/6 Guillaume Durant (Bétheny), Jules Latour (Guignicourt) et Cyril Pusset (TC Reims).
En + 35 ans, Stéphane Villeger (15/1, TC Reims) est favori devant les autres 15/1 Yann Noizet (Suippes) et le moniteur de l’ASPTT Charleville, Philippe Benoît.
Enfin, du côté des dames, le titre se jouera en toute logique à 4/6 entre les jeunes Amélie Zarev (Reims Europe Club) et Maéva Spooner (Géo-André) ainsi que la Toulousaine Aurélie Deltour (Fenouillet) qui, l’an passé, avait triomphé au tournoi du TC Dormans.
DEMAIN. - 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demi-finales dames ; 13 h 30 : finale + 35 ans ; 15 heures : finales dames et messieurs.
BEACH TENNIS. - En parallèle de ce tournoi, les dirigeants sillerotins ont profité de leurs installations pour proposer une épreuve de beach tennis. Après la phase de poule d’aujourd’hui, les matches de classement auront lieu dès demain matin. Finale à 13 h 30.
LA MUIRE. - Le TRC La Muire a accueilli 142 filles et garçons de 8 à 16 ans sur 10 tableaux pour son tournoi jeunes dont les finales sont prévues demain de 9 à 16 heures.
Jeudi matin, la police a retrouvé une Peugeot 207 calcinée rue de l’Escaut. Elle était volée
. A 17 h 30, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré allée des Béarnais tandis qu’hier à 8 h 45, les pompiers ont éteint un feu de détritus route de Cernay-lès-Reims.
Mercredi vets 22 heures, les policiers sont intervenus sur l’esplanade Eisenhower pour calmer un perturbateur qui importunait le voisinage.
L’homme avait deux morceaux de résine de cannabis sur lui.
Déjà connu de la justice, il a été sanctionné en « plaider coupable » par une peine de six mois de prison avec sursis.
L’élémentaire Martin-Peller gagne une classe. C’est aussi le cas pour Jean-Macé, Jamin, La Neuvillette, Dauphinot, Ravel et la maternelle Clovis-Chezel.
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REIMS (Marne). Reims serait-elle en train de gagner à nouveau des habitants ? Peut-être. Elle gagne au moins en nombre d’écoliers et en postes d’enseignant.
LA courbe démographique de Reims est-elle en train de s’inverser ? L’inspection académique vient de décider d’ouvrir 7 nouvelles classes dans les écoles primaires de la Ville en plus des 4 annoncées en juin. Sont concernées les élémentaires Martin-Peller, Neuvillette, Jean-Macé, Jamin, Dauphinot, Ravel et la maternelle Clovis-Chezel.
Des ouvertures décidées pour cause d’effectifs en hausse. C’est la troisième année que le nombre d’écoliers augmente avec, cette rentrée, une arrivée de 350 enfants en plus.
Il faut remonter à 2005 pour trouver un niveau comparable d’effectifs.
« Ces créations de classes sont une bonne nouvelle pour Reims. Preuve sans doute que la population augmente à nouveau à Reims », se félicite Jacques Meyer, adjoint chargé de l’éducation.
« C’est le signe aussi d’une réactivité nouvelle de l’inspection académique. J’ai senti une meilleure écoute et la Marne a déjà gagné 5 postes d’enseignant. On dirait que le changement se fait déjà sentir ! » ne manque pas de claironner l’élu qui est aussi premier secrétaire fédéral du PS.
Sans vouloir gâcher la joie de Jacques Meyer, le changement est encore timide. En tout l’inspection académique aura ouvert 11 classes à Reims mais en a aussi fermé 9*. On se retrouve au final avec 2 classes en plus.
Soulignons aussi que l’ouverture de nouvelles sections n’est pas le résultat d’un coup de baguette magique de Vincent Peillon, ministre de l’Éducation. C’est une décision mécanique qui intervient après comptage des élèves le jour de la rentrée. S’ils sont plus de 25 par classe dans l’élémentaire, une ouverture est envisagée.
C’est ce qui s’est passé à Jean-Macé : « En réalité, nous savions depuis juin qu’une ouverture était probable à la rentrée si l’effectif se confirmait. Cela n’empêche pas que nous sommes très contents. Cela va nous permettre de travailler dans de bonnes conditions. Il est prévu d’ouvrir un CE2 dans les jours qui viennent », confie la directrice de l’établissement.
À Ravel, le directeur n’avait pas encore été officiellement informé quand nous l’avons appelé : « Je ne suis pas au courant mais cela semble logique puisque nous sommes à 26 élèves en moyenne par classe. On va pouvoir supprimer les classes à double niveau ». À la Neuvillette, la nouvelle est encore moins une surprise : « L’école des gens du voyage a été fermée donc nous avons récupéré une partie des élèves qui grossissent nos effectifs. D’où cette ouverture ».
Si les minots rémois sont plus à l’aise en CP, ils sont de plus en plus serrés en maternelle.
Les ouvertures conditionnelles que la Ville attendait dans les maternelles Desbureaux, Galilée, Mougne-Tixier, Trois-Fontaines et Martin-Peller ont été retoquées. Pas de nouveaux postes alors que les effectifs étaient annoncés chargés dans ces établissements et que plus de 200 enfants de moins de 3 ans ont été refusés faute de place.
C.F.
* Les fermetures concernent les maternelles Dauphinot, Edith-Pouply, Charpentier, Gallieni, La Neuvillette, Provencaux/Auvergnats et les élémentaires Provençaux, Gallieni et Prieur de la Marne.
L’école Mazarin a failli perdre une classe car il manquait 7 élèves à l’appel à la rentrée, finalement elle la garde.
L’aqualatino sera la grande nouveauté de l’année : elle a déjà remporté un franc succès cet été.
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REIMS (Marne). C’est demain samedi que les inscriptions seront lancées sur internet pour les cours de piscine et d’équitation de la Ville. Avec un système amélioré.
APRÈS la réussite 2011 des inscriptions par internet, la Régie des équipements municipaux sportifs remet ça demain matin : pour inscrire son enfant dans les écoles de natation et d’équitation de la Ville, il faudra surfer tôt le matin, ce samedi 8 septembre.
Aucun Rémois n’a évidemment la nostalgie des files d’attente dès 5 heures du matin devant René-Tys. Selon la Rems, « la très grande majorité des personnes qui ont souhaité s’inscrire a salué la qualité et les nombreux avantages de cette procédure ». Certains avaient tout de même râlé car il était très difficile de se connecter la première heure.
Des solutions ont a priori été trouvées pour remédier à ce souci, en « externalisant » le serveur par rapport à celui habituel. Et en ne donnant pas d’heure de départ. Il faudra se connecter tôt le matin, aux alentours de 6 heures, peut-être bien avant. Sinon, le système reste le même pour les utilisateurs. Il faut, d’ici demain matin, créer son « compte utilisateur » sur le www.rems.fr. Un compte utilisateur peut gérer plusieurs adhérents et permet d’inscrire plusieurs personnes.
Il ne reste plus, ce samedi matin, qu’à se connecter, s’identifier, choisir son créneau et se pré-inscrire. À noter qu’une permanence sera en place dans chaque piscine le 8 septembre pour les personnes qui n’auraient pas accès à internet.
Troisième et dernière étape avant de débuter les cours fin septembre : confirmer son inscription et régler entre le 10 et le 14 septembre, entre 8 h 30 et 19 heures, dans la piscine où a été effectuée l’inscription ainsi qu’au centre équestre pour les cavaliers. Une fois l’inscription sur le net validée, la place est bloquée jusqu’au 14 septembre à 18 h 30.
Ce système a permis d’accroître le nombre des inscrits (jusqu’à 10 % pour certains établissements). 5 600 places devraient ainsi être mises à disposition des Rémois cette saison. C’est aussi grâce aux nouvelles activités comme l’aquabike et le watersculpt que les nageurs sont plus nombreux. S’ajoute, pour cette rentrée, l’aqualatino, des exercices dans l’eau, une chorégraphie sur de la musique latine et le tout dans un esprit de fête.
G.F.
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Un nouveau rendez-vous qui marque le coup d’envoi de l’année universitaire. Le président Baillat et son équipe de vice-présidents y ont expliqué : « Nous ne sommes pas au classement de Shanghai, du moins pas encore… ».
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REIMS (Marne). D’après les premières estimations, l’université champardennaise attirerait cette année autour de 9 % d’étudiants en plus.
BONNE nouvelle pour la région champardennaise : son université, l’Urca, gagne en attractivité. C’est donc le contraire de ce qui se passe dans les écoles, collèges et lycées, qui eux, se dépeuplent (notre édition de mardi).
Alors, certes, il ne faut pas pavoiser trop vite, parce que ces chiffres sur l’université sont encore temporaires, les inscriptions et les désistements se poursuivant encore, mais le président Gilles Baillat a pu annoncer hier le chiffre de 9 % d’étudiants en plus par rapport à la même époque l’an dernier ; il l’a fait dans un amphi du campus Croix-Rouge, devant un abondant parterre d’enseignants, de membres du personnel et de nouveaux étudiants, à l’occasion de son discours inaugural lançant l’année universitaire.
Un rendez-vous solennel qui n’existait pas sous l’équipe précédente et qui a permis de rappeler que, eh bien oui, désormais c’est dès le début de septembre, comme les collégiens et écoliers, que le monde des études supérieures se remet en marche !
Et ce n’est pas le grain à moudre qui va lui manquer, ne serait-ce qu’avec le projet catégorie poids lourd du grand campus regroupé sur Croix-Rouge, projet qui va encore occuper une bonne demi-douzaine d’années (lire par ailleurs).
Mais revenons-en à l’attractivité chiffrée de notre Urca : si l’augmentation déjà pointée se confirme, ils devraient être en tout plus de 22 000 étudiants cette année en Champagne-Ardenne, contre 21 000 l’année dernière. Le président Baillat se félicite plus particulièrement de voir que « la hausse est de 11 % chez les néo-bacheliers », des jeunes qui choisissent donc de débuter leur parcours du supérieur chez nous.
Quant à l’attractivité internationale, elle n’est pas en reste, puisqu’elle a été multipliée par 3,5 en dix ans selon le président toujours, qui peut s’en féliciter même si le mérite en revient forcément à ses prédécesseurs. Cette progression ne suffit certes pas à faire en sorte que les étrangers représentent 10 % du total, mais le président semble croire ce palier significatif atteignable.
Du coup, fort de ces pourceWntages positifs, et des divers autres signes encourageants pour l’avenir, comme les multiples alliances ou partenariats déjà noués ou à venir avec des entités aussi prestigieuses que Sciences Po, Jules-Verne Amiens, RMS, Centrale-Pomacle ou l’UTT (université de technologie de Troyes), le président Baillat a pu se prendre à rêver tout haut : « Nous ne figurons pas au classement de Shanghaï (celui des meilleures universités du monde, selon des critères plutôt anglo-saxons, ndlr), enfin pas encore ! » Un jour peut-être ?
Antoine PARDESSUS
Le président Baillat n’a pas manqué d’évoquer le dossier, lourd parmi les lourds, du futur grand campus regroupé sur Croix-Rouge. Le chef de projet, même s’il n’a pas encore été présenté officiellement, est déjà à l’ouvrage, et cet ouvrage devrait l’occuper au mieux jusqu’en 2017 ou 18, ou bien, si les contraintes financières se font plus fortes, jusqu’en 2020.
Mais sans attendre, une douzaine de chantiers plus ponctuels, de réhabilitation ou de sécurisation, auront lieu cette année, dont celui de la corolle de Croix-Rouge (les coquilles), qui devrait être remise en état d’ici septembre 2014.
Le président Baillat n’y a fait qu’une brève allusion dans son discours, il n’empêche que la présence des gens du voyage sur le campus du Moulin de la Housse à Reims fait partie de ses soucis prioritaires du moment : « Depuis dimanche, nous confiait-il ainsi en substance, il y a eu un afflux supplémentaire (en provenance notamment du parc Lemaire évacué), ce qui fait que maintenant ils débordent largement de l’aire officiellement prévue pour eux, et nous souffrons de dégradations de leur fait. Mais que peut-on faire ? On ne peut pas les balader d’une périphérie à l’autre. C’est un vrai problème de fond… » Problème qui perturbe donc quelque peu la rentrée universitaire des scientifiques.
A.P.
Hier vers 16 h 40, un engin de chantier a endommagé une conduite de gaz allée Edgar-Degas.
La fuite a été rapidement col¬matée par les secours.
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Si les congés estivaux s’achèvent, le temps des réjouissances n’est pas pour autant révolu… Il est temps pour les sportifs et sportives de retrouver leurs loisirs favoris.
Comme à son habitude en cette période de rentrée, le comité départemental Ufolep, fédération sportive multisports, propose aux associations un large éventail d’activités sportives - disciplines traditionnelles, sports émergents, loisir ou compétition - mais aussi des formations autour de la pratique et de l’encadrement de ces activités…
Chacun y trouvera les moyens de pratiquer ou d’encadrer un ou plusieurs sports, quels que soient son niveau, ses objectifs, ses contraintes…
Football, VTT, volley-ball, badminton, athlétisme, tir à l’arc, basket-ball, entre autres, alimentent des calendriers d’ores et déjà fournis et des week-ends animés par les quelque 140 associations et 4 200 licenciés du département de la Marne. Il est ainsi utile de rappeler les dates des prochaines réunions de début de saison, auxquelles le comité départemental Ufolep convie toute personne ou association intéressée, en son siège à 19 heures :
en septembre, football le 5, basket-ball le 6, volley-ball le 10, tir à l’arc le 12, badminton le 18.
En octobre, VTT le 15, cyclosport le 17.
Par ailleurs, le comité départemental Ufolep apporte, au-delà des diverses activités physiques et sportives présentées, un soutien dans la construction des projets associatifs et un ensemble de ressources et d’informations utiles à la vie des associations.
Renseignements : comité départemental Ufolep, 23, rue Alphonse-Daudet, à Reims. Tél. 03.26.84.32.26. www.ufolep51.org ufolep51@wanadoo.fr
Tournoi international ce week-end halle universitaire
Ce ne sont pas moins de 16 équipes venues de France et des pays limitrophes comme la Belgique et le Luxembourg, qui vont envahir la halle universitaire (rue François-Mauriac), le temps d’un week-end : le tournoi organisé chaque année par le Reims Métropole Volley prend de l’ampleur. Pour la première fois en effet, toutes les équipes vont venir jouer sur deux jours.
Il y aura d’un côté un tournoi féminin, avec un bon niveau Nationale 3, et de quoi s’étalonner pour une équipe rémoise qui fait « peau neuve » cette saison, avec pas mal de cadres qui ont tourné la page, et des jeunes à intégrer. « Nous avons énormément de jeunes depuis 2 ans, et le volley est vraiment un sport idéal pour les filles » explique un des responsables du RMV, Thibault Happillon.
Du côté des garçons, ce sera la grande découverte puisqu’ils ont gagné en avril dernier le droit de jouer en Nationale 2. Il y aura des fortes équipes, et notamment les réserves des professionnels de Tours et Saint-Brieuc. On peut citer aussi des équipes venues de Rouen, du Vésinet, de Clamart, Pouilly-lès-Metz, Epinal, Villers-Cotterêts, Besançon, Saint-Dizier, Waterloo, Bartreng, Logne, Boulogne-Billancourt, Amiens, Asnière, Savigny…
Le Reims Métropole Volley veut frapper un grand coup avec ce tournoi, pour augmenter le nombre de ses supporters, et faire découvrir à la fois le club et le colley. Depuis deux ans, ce tournoi rencontre un franc succès, bien préparé par beaucoup de bénévoles et grâce aussi aux 142 licenciés au RMV.
G.F.
Tournoi de Reims, samedi 8 septembre de 13 h 30 à 20 h 30 et dimanche 9 septembre, de 10 heures à 17 heures, halle universitaire, rue François-Mauriac.
Entrée gratuite.
L’Éducation nationale demeurant largement ouverte à des évolutions, voire des améliorations, une nouvelle cogitation a été lancée au niveau national « pour la refondation de l’école ».
Dans ce cadre, et dans l’académie champardennaise, dix thématiques nationales ont déjà été abordées fin août par les personnels de direction ; on peut citer « une école plus juste pour tous les territoires », « la redéfinition du socle commun », ou encore « le renforcement de l’éducation artistique, culturelle et scientifique ».
Sont à venir, d’ici le 25 septembre, date à laquelle le recteur doit rendre sa copie au ministre, trois microcolloques et huit réunions publiques.
Thème des microcolloques (réservés aux spécialistes) : le numérique dans la formation des maîtres, la remobilisation des élèves en risque de décrochage, la télémédecine appliquée à la prévention et à la médecine scolaire.
Concernant les réunions publiques, notez qu’elles sont effectivement ouvertes à tout le monde.
Si vous avez des choses à dire, ce peut être une occasion à saisir… Elles sont programmées - à chaque fois de 18 à 20 heures - dans la Marne le mercredi 12 septembre au collège Joliot-Curie de Reims, sur le thème de l’amélioration de la réussite des élèves, et le jeudi 13 septembre au lycée Jean-Talon de Châlons, sur l’orientation.
Pour les Ardennes : mardi 11 au lycée agricole de Rethel (sur l’orientation) et jeudi 13 au lycée Bazin de Charleville (sur la réussite).
On ajoutera à ce déjà copieux remue-méninges les assises de l’enseignement supérieur, le 3 octobre à Reims.
Et la réforme des rythmes scolaires dans tout ça, sujet dont on risque aussi de beaucoup parler dans les mois ou les années à venir ? Eh bien « l’académie de Reims a déjà réfléchi sur le sujet, répond le recteur, et notre contribution est prête. »
A.P.
Quatre mois ferme : c’est la peine écopée dans le cadre d’une comparution immédiate par une toxicomane de 40 ans qui comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Reims pour avoir acheté de la résine de cannabis et de l’héroïne. Ayant agi en état de récidive légale, celle-ci encourrait cependant une peine beaucoup plus lourde, la peine plancher étant de quatre ans d’emprisonnement pour les délits d’acquisition et de détention de stupéfiants.
Dimanche, la mise en cause - une femme transsexuelle d’origine vietnamienne née de sexe masculin dans son pays - s’était rendue allée des Savoyards, dans le quartier Croix-Rouge, pour se procurer ses doses de drogue dans cette rue de la ville réputée pour le trafic de stupéfiants. Interpellée par les policiers en possession de 1,8 gramme de résine de cannabis et 0,7 gramme d’héroïne, elle avait alors reconnu être une consommatrice de longue date au cours de sa garde à vue. Au cours de l’audience, son avocate, Me Fanny Quentin, n’a cependant pas manqué d’évoquer à cela quelques circonstances atténuantes, répondant en outre au ministère public dont la voix s’est empressée de rappeler qu’il « n’y a pas de revendeurs s’il n’y a pas d’acheteurs ». « On ne devient pas toxicomane par choix » a en effet plaidé la défense, relatant ainsi le contexte difficile lié à la prévenue. Sans emploi, obligée de se prostituer, la drogue ne serait en l’occurrence pour cette dernière qu’un moyen d’oublier sa condition. Les quantités saisies tendent d’ailleurs à corroborer l’hypothèse d’une consommation personnelle.
Aussi le ministère public a-t-il préféré écarter l’application de la peine plancher dans ses réquisitions. Le tribunal l’a suivi sur ce point, portant cependant le quantum à quatre mois d’emprisonnement, soit le double des deux mois requis par le procureur de la République. La mise en cause a néanmoins quitté libre le tribunal de grande instance, aucun mandat de dépôt n’ayant été délivré à l’issue de l’audience.
F.B.
Samedi en fin de journée, vers 18 heures, plusieurs dizaines de jeunes en sont venus aux mains place du Théâtre, en plein centre-ville de Reims (l’union d’hier). Une personne a été légèrement blessée, en l’occurrence un adolescent d’une quinzaine d’années frappé au visage avec un objet que certains de ses camarades ont décrit comme une « matraque ».
Secouru par les pompiers après s’être réfugié dans le fast-food situé à l’angle de la rue de Talleyrand, le jeune homme s’est vu prescrire cinq jours d’incapacité. Une enquête a été ouverte après son dépôt de plainte enregistrée hier au commissariat.
Pour l’heure, aucune personne n’a été mise en cause. Un suspect appréhendé lors de la dispersion de l’attroupement, car porteur d’un mousqueton à sa ceinture, a été relâché sans suite judiciaire (il n’a pas été vu avec ce mousqueton à la main).
D’après les renseignements recueillis, les deux groupes antagonistes sont originaires l’un d’Orgeval, l’autre de Croix-Rouge (le tramway assure la liaison directe entre les deux quartiers).
Les adversaires se sont d’abord rencontrés sur le parvis de la cathédrale, pour régler un contentieux qui reste à déterminer, avant de se déplacer et d’en découdre place du Théâtre, entre chalands et touristes, près de la station de tramway située devant le palais de justice. Le blessé appartient au groupe de Croix-Rouge.
« Avec le tramway, on est habitué à voir des jeunes se retrouver place du Théâtre, mais c’est quand même la première fois que j’assiste à une bagarre de cette importance », témoigne une personne dont le commerce s’est transformé en refuge pour certains des protagonistes mis en difficulté et coursés par leurs adversaires. D’autres ont détalé par les rues adjacentes.
L’arrivée rapide de plusieurs patrouilles de police, suivie d’une présence discrète mais constante aux abords de la place, a permis de ramener le calme.
F.C.
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Un équipement flambant neuf pour ce nouveau laboratoire "énergie fioul" au lycée Arago.
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C’est la rentrée pour les classes du secondaire. Tour d’horizon des nouveautés au programme dans les lycées d’enseignement général et technologique du public à Reims.
Les 648 élèves du lycée François-Arago auront un nouveau proviseur, Yannick Tschens : un quatrième poste à la direction d’un établissement du secondaire pour cet ancien professeur de technologie, originaire des Ardennes. Un nouvel intendant, Abdeloifi Nejjari, rejoint également l’équipe de direction.
Les travaux de restructuration des ateliers et de la façade du lycée s’achèveront en 2014. La majorité des ateliers et des laboratoires, comme ceux des sections énergie fioul, climatisation ou chambre froide ont déjà été refaits à neuf. Certains seront livrés en octobre, comme les ateliers du pôle « énergie » et « enveloppe du bâtiment ». Les élèves pourront y apprendre des techniques de pointe en matière d’énergies renouvelables ou d’isolation des bâtiments.
1 600 lycéens et étudiants sont attendus au lycée Marc-Chagall. L’établissement enrichit son offre de formation de nouveaux enseignements de spécialité : « Droit et grands enjeux du monde contemporain » pour la série L, « Informatique et sciences du numérique » pour la série S, « Sciences sociales et politiques » pour la série ES. A partir de cette année, les élèves pourront également apprendre le russe en première langue.
Le self a été réaménagé pendant les vacances pour faciliter son accès. Michèle Sobaszek, proviseur de l’établissement, accueille un nouveau bras droit, Wilfried Winieski, ancien proviseur adjoint du lycée Pierre-Bayen, à Châlons.
Le lycée Clemenceau accueille 1 200 élèves au sein de ses classes du secondaire et de ses formations post-bac. Les élèves de la section scientifique pourront choisir un nouvel enseignement de spécialité : « Informatique et sciences du numérique ». Le proviseur, Maurice D’Angelo, annonce des places labellisées « internat d’excellence ». Elles sont destinées aux étudiants de classe préparatoire et sont attribuées sur critères sociaux. Le dispositif concerne actuellement six étudiants mais pourra être étendu à quatre étudiants supplémentaires. Les étudiants sélectionnés bénéficieront d’un accompagnement scolaire personnalisé.
A partir de la mi-octobre, le lycée sera doté d’un nouveau site internet où des documents multimédias et des vidéos rendront notamment compte de la production artistique des élèves de l’établissement. Les élèves seront bien chauffés cet hiver grâce aux travaux de réfection de la chaudière.
Des effectifs en hausse et un « lycée qui redevient attractif » selon son proviseur, Gérard Recoque. Les 500 élèves inscrits au lycée Colbert pourront profiter de l’acquisition récente par l’établissement d’un nouvel équipement informatique : ordinateurs, imprimantes et tableaux blancs numériques.
L’été a été l’occasion de quelques travaux de rénovation, notamment de travaux d’isolation thermique des bâtiments. Ce sera aussi la rentrée pour Arnaud Bourin, le nouveau proviseur-adjoint du lycée.
Le parking du lycée Europe a été rénové cet été. Des travaux d’extension du site se poursuivent à la rentrée, avec la livraison d’un bâtiment d’internat de 90 places à la fin du mois d’octobre et la livraison de cinq appartements de fonction à la fin du mois de septembre. L’établissement attend 700 élèves en formation initiale et continue ainsi que 75 professeurs (dont 18 nouveaux). Le proviseur, Annie Faurie, annonce la création d’une section d’apprentis en métier de la blanchisserie et du pressing. Le lycée souhaite s’ouvrir à l’international cette année et est à la recherche d’un établissement étranger avec lequel mettre sur pied un jumelage. La rencontre parents/profs aura lieu à la fin du mois de septembre autour d’un défilé de mode au cours duquel seront présentés les travaux des élèves.
Le lycée Georges-Brière est issu de la fusion des deux lycées du Val-de-Murigny et de Croix-Cordier (Tinqueux) en 2011. Depuis le 16 avril 2012, il a été rebaptisé du nom de Georges-Brière, un fusilier marin originaire de Reims, engagé volontaire en 1941 et décédé à l’âge de 22 ans, en novembre 1944, au cours de l’offensive d’Alsace. Le lycée sera officiellement inauguré d’ici la fin de l’année 2012. Le proviseur, Philippe Louges, aura les deux sites sous sa direction : 600 élèves pour le site de Murigny et 300 élèves pour le site de Tinqueux. Pour l’accompagner dans ses décisions : deux nouveaux proviseurs-adjoints, Thierry Wary et Ali Lassed.
Une section Bac pro « Electronique » ouvre cette année à Murigny et une section bac pro « Maintenance des équipements industriels » est inaugurée à Tinqueux. Le lycée a pour projet le lancement du dispositif « micro-lycée », une lutte contre le décrochage scolaire déjà à l’essai dans l’académie de Créteil. Il s’agira de ramener vers les études des jeunes qui ont quitté le système éducatif. Le lycée souhaite également mettre en route un partenariat avec le lycée viticole « Avyze Viti Campus » pour mettre en place des projets pédagogiques autour de la bouteille de champagne. Les élèves spécialisés dans l’imprimerie et les arts graphiques pourront entre autres s’essayer à la conception d’étiquettes.
Avec 630 élèves, les différentes sections du lycée Gustave-Eiffel sont bien remplies. L’établissement accueille un nouveau proviseur adjoint, Mourad Izhernali. Cette année, le lycée inaugure un baccalauréat professionnel en boulangerie-pâtisserie, unique dans la région, pour 24 élèves. Le proviseur a reçu plus de 84 demandes : « Ce nouveau Bac pro correspond à un vrai besoin dans la région », explique le proviseur, Dominique Cosson.
Peu de changements au lycée Libergier, excepté au sein de l’équipe de direction avec un nouveau proviseur-adjoint, Geneviève Delahaut, et un nouvel intendant, Christophe Girard. Plus de 1 500 élèves rempliront le quotidien des 200 professeurs et membres du personnel de l’établissement. Le lycée inaugure la deuxième année du BTS « Services et prestations sanitaire, social et santé » (SP3S).
1 000 élèves dans les classes du secondaire, 800 étudiants en classes préparatoires, les chiffres sont les mêmes que l’an dernier. L’établissement proposait déjà des cours de théâtre, les élèves qui le souhaitent pourront désormais suivre l’option « art et danse ». Musique, histoire, culture, en plus de la pratique, ce cours sera l’occasion d’en apprendre plus sur cet art millénaire.
Cette année, les soixante professeurs du lycée Yser devront faire cours à près de 600 élèves. Parmi eux, certains inaugureront le nouveau BTS géomètre-topographe. Le proviseur, Jean-Marc Edler, annonce également l’ouverture de la section CAP ébéniste qui remplacera progressivement l’actuel bac pro ébéniste. La section vente et commerce investira, quant à elle, les murs d’un nouveau bâtiment.
Sophia ANDREOTTI
Denis Vincenot, nouveau proviseur du lycée Jean-Jaurès. Photos Christian LANTENOIS
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Au lycée Jean-Jaurès, c’est Denis Vincenot qui reprend les rênes de l’établissement après le départ à la retraite de l’ancien proviseur, Dominique Montagne.
Originaire de Bourgogne, cet ancien professeur d’éducation physique et sportive a une expérience de chef d’établissement longue de 22 ans. A l’âge de 32 ans, il devient proviseur du lycée Chanzy à Charleville, un poste auquel il restera huit ans. Il devient ensuite principal dans un collège de Sedan avant de rejoindre la direction du lycée polyvalent de Bazeilles, dans les Ardennes.
Pas question de se mettre en avant pour Denis Vincenot : « Avec mon adjointe, Béatrice Denis, nous travaillons sur un pied d’égalité. Un proviseur se doit d’être à l’écoute et de favoriser le travail d’équipe. Je souhaite avant tout mettre en avant l’ensemble des enseignants. » Le nouveau proviseur compte bien maintenir l’identité du lycée Jean-Jaurès, réputé pour son esprit d’excellence et de travail et fort de 1 040 élèves (dont 131 en prépa littéraire). Cinq assistants de langues venus du Mexique, de Chine, d’Allemagne, d’Angleterre et de Russie sont attendus.
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Au lycée professionnel Joliot-Curie, le chef d’orchestre cette année, c’est Marie-Hélène Jacomme. A 57 ans, il s’agit d’un cinquième poste à la tête d’un établissement du secondaire pour cette ancienne professeur d’éco-gestion, originaire de Saint-Dizier. Titulaire d’un DEA de sociologie de l’éducation et d’un CAPET d’économie gestion, elle a depuis gagné ses galons.
En 1998, elle débute sa carrière comme proviseur-adjoint au lycée Libergier, un poste qu’elle occupe pendant trois ans. C’est ensuite au collège du Vieux-Port à Vitry-le-François et au collège de Colombey-les-deux-Eglises que Marie-Hélène Jacomme exerce la fonction de principal. Après trois années à la direction du lycée polyvalent Philippe-Lebon, à Joinville, Marie-Hélène Jacomme s’établit aujourd’hui dans la cité des sacres pour s’occuper du quotidien des 620 élèves du lycée Joliot-Curie, qui poursuit le projet des Cadets de la République qui prépare au concours de gardien de la paix.
Engagée sur plusieurs fronts, elle est présidente d’honneur de l’association régionale de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale (IHEDN). Dans son temps libre, cette passionnée de vieilles voitures est membre actif de l’Automobile club de la région Champagne-Ardenne. Marie-Hélène Jacomme a été décorée « Chevalier de la Légion d’honneur » en 2005. Le message que cet ancien officier de réserve souhaite faire passer à ses nouvelles troupes scolaires : « Courage et persévérance ! »
La nouveauté de cette rentrée pour les lycées, ce sont les deux heures par semaine pour aider les terminales de façon personnalisée.
« Comme dans tous les lycées de France, nous mettons en place à cette rentrée l’accompagnement personnalisé en terminale, explique le directeur de Jean-XXIII, Eric Persent ; cet accompagnement prend la forme de deux heures par semaine dans l’emploi du temps des élèves, couplé avec un système de permanence ; cet accompagnement, obligatoire, pourra se traduire selon les besoins par une aide méthodologique, un approfondissement des cours, ou encore une aide à l’orientation ; elle est assurée par des professeurs, ce qui suppose chez eux un changement de posture vis-à-vis des élèves. »
Sinon, l’établissement de la rue Andrieux offre cette année deux nouvelles spécialités en terminale : pour les littéraires « droit et grands enjeux du monde contemporain », qui est une forme d’initiation aux études juridiques ; et pour les scientifiques « ISN, informatique et sciences du numérique », une matière pour laquelle les élèves devront se déplacer à Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.
Pour ce qui est des effectifs, Jean-XXIII affiche une quasi-stabilité avec deux inscrits de plus par rapport à l’an dernier, pour atteindre un total de 584 élèves.
À Saint-Jo, les professeurs ont déjà fait leur rentrée, et certains élèves feront là ce lundi 3 septembre : les 6e et le primaire. L’établissement de la rue des Capucins anticipe sa rentrée pour se permettre de participer à un rassemblement d’établissements jésuites à Lourdes en octobre (du 25 au 28). Quant aux effectifs, le père directeur François-Xavier Boca les annonce en très légère baisse : 1 240 cette année, contre dix de plus l’an dernier. On notera aussi l’arrivée d’un nouveau responsable du lycée, Edouard Boutan, qui succède à Jean-Paul Baroux, parti dans l’Aube.
On ne parle plus de « lycée agricole de Thillois » depuis quelques années déjà, « parce que notre enseignement n’est pas uniquement agricole au sens strict, tous ceux qui sortent de chez nous ne deviennent pas agriculteurs », rappelle la directrice Corinne Zaetta, même si les formations proposées dans l’établissement dépendent du ministère de l’Agriculture. En l’occurrence à Reims-Thillois trois filières sont enseignées : production agricole et gestion, transformation alimentaire, aménagement du territoire. Cette année, 235 élèves seront accueillis (chiffre encore fluctuant), soit une vingtaine de moins que l’an dernier ; les demandes les plus fortes concernent les BTS, la baisse la plus sensible affecte les bacs professionnel et technologique.
A.P.
Saint-André
Pour le groupe scolaire de la rue Raymond-Guyot, les effectifs sont stables, tant au niveau du collège (575) que de l’école maternelle et primaire (463) dirigée par Annie Rosescou. Le directeur Joël Delatour accueillera trois nouveaux enseignants, et se réjouit des travaux effectués au niveau du self, une mise aux normes qui a coûté 100 000 euros.
Saint-Louis
La directrice Odile Cousin présentera deux nouvelles enseignantes pour cette rentrée, et accueillera environ 200 élèves, comme l’année dernière.
Nicolas-Roland
Pas de bouleversements à Nicolas-Roland, après l’arrivée à la rentrée 2011 de la nouvelle directrice Bénédicte Moutarde. L’équipe d’enseignants reste identique, tout comme les effectifs, un peu moins de 150 élèves. Qui verront se mettre en place au mois de septembre des ateliers, pendant le temps de la restauration scolaire. Une bonne façon d’occuper les enfants toujours nombreux à rester à la cantine.
Sainte-Madeleine
La directrice Sophie Muzerelle accueille une nouvelle institutrice, pour la grande section le vendredi. L’effectif de l’école reste stable à 201 élèves. A noter que la cour a été embellie avec les fresques réalisées par les élèves pour la kermesse 2011.
Groupe Notre-Dame
C’est le plus gros collège rémois, avec 756 élèves, en progression de 18 unités : le directeur de Notre-Dame, Richard Binninger propose encore une nouvelle option sportive aux collégiens, avec de l’aviron. La section européenne espagnole se poursuit désormais jusqu’en 3e.
Une classe Ulis est également créée, avec 8 élèves, touchés par des troubles des fonctions cognitives. Un brevet d’initiation aéronautique est lancé pour les 3e, avec l’aide de l’Apel, les parents d’élèves. Côté travaux, la restructuration du gymnase débutera à Pâques.
Ceux de l’école primaire sont en revanche terminés, pour les locaux administratifs et ceux de répétition pour la Maîtrise. Il y aura 442 élèves.
En maternelle enfin, la directrice Catherine Brunet garde la même équipe enseignante pour instruire les 123 maternelles, un effectif pratiquement stable. L’été a été propice aux travaux de peinture, avec deux classes repeintes ainsi que la porte d’entrée, toute bleue.
Sacré-Cœur
Les 1 550 élèves de l’établissement (un effectif stable), qui va de la maternelle à la terminale, auront comme principale nouveauté la rénovation du grand bâtiment central, qui devrait être terminé dans les premiers jours de la rentrée. « Les travaux auront duré deux ans. Il s’agissait de rénovation et d’accessibilité, sur 3 000 m2. Les salles accueilleront l’administration, les labos de sciences, les salles de langue, etc. » explique le directeur.
Saint-Michel
Du côté de l’école maternelle et primaire, tous les professeurs repartent, et les effectifs augmentent de belle façon, surtout chez les maternelles, avec 378 élèves. La directrice, Liliane Allart, se réjouit de la réussite de la structure petite enfance, pour les 2 ans, créée l’année dernière. « Titou-Vincent » est une structure adaptée à l’enfant, avec une enseignante spécialisée petite enfance, une assistante maternelle, et des stagiaires venues du lycée. « Ce n’est pas encore l’école, les petits n’ont pas besoin d’être propres, mais c’est autre chose que la crèche. »
L’école Saint-Michel a également bénéficié de travaux d’entretien, notamment dans la salle de sieste, mais aussi une mise aux normes et une meilleure gestion de l’espace dans la salle de restauration.
Rappelons que le groupe Saint-Michel comporte aussi un collège et un lycée.
Saint-Jean-Baptiste de la Salle
Si les effectifs restent stables au lycée (environ 615 élèves), les inscriptions sont en augmentation au niveau de la seconde technologique. Une classe prépa va s’ouvrir en arts appliqués, hors contrat, avec 18 étudiants.
Jeanne-d’Arc
Entre l’école primaire, le collège et le lycée professionnel, le groupe Jeanne d’Arc approche doucement des 1 000 élèves, avec 930 pour cette rentrée. « Nous avons une hausse notamment dans le primaire et au collège, et une stabilité au lycée », souligne le directeur. Les travaux ont concerné surtout l’école, avec les bâtiments de l’élémentaire, qui seront totalement rénovés fin décembre. Rappelons que la maternelle a intégré ses nouveaux locaux en mars.
A noter pour les lycéens que le bac pro logistique sera désormais enseigné à Oehmichen Châlons pour la Marne, et que Jeanne-d’Arc ouvre, en remplacement, un bac Accueil-relations-clients-usagers.
G.F.
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Dans cet établissement du centre-ville, un tandem féminin succède à deux messieurs.
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Véronique Titeux (à droite) et son adjointe Hélène Thirault : un tandem féminin pour le collège Université.
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AU collège Université, ce sont des dames qui sont à la barre pour cette rentrée 2012 : le nouveau principal est une principale, elle s’appelle Véronique Titeux et son adjoint est une adjointe, Hélène Thirault. Elles succèdent à deux hommes, les deux Jean-Pierre, Moufflard et Broux.
Ce n’est pas la première fois que Mme Titeux, originaire des Ardennes et plus précisément de Revin, est nommée à Reims : « J’ai commencé ma carrière comme enseignante de biologie à Libergier, puis à Maryse-Bastié », se souvient-elle.
Mme Thirault, pour sa part, est d’origine laonnoise et c’est sa première affectation dans la cité des Sacres. « Au collège Université, ça tombe très bien, avec les classes à horaires aménagés pour la musique, puisque j’ai longtemps été professeur d’éducation musicale. »
Ce tandem féminin aura la charge de quelque 610 élèves (au moins, puisque des demandes continuent à arriver), ce qui constitue une diminution par rapport à l’an dernier puisqu’ils étaient alors 644.
« Le collège a perdu une classe, explique la principale, nous subissons comme ailleurs la baisse démographique. »
Cet établissement de centre-ville dispose pourtant d’atouts bien à lui : les classes musicales, comme on l’a vu, ainsi que l’allemand, qui se fait, semble-t-il de plus en plus rare dans notre ville : « Avec Colbert, nous sommes les seuls à Reims à le proposer en collège (public) », affirment les deux dames.
On notera enfin qu’à Université la rentrée sera fort échelonnée : dès lundi 3 seuls les nouveaux, les élèves de 6e, feront la leur ; ceux de 5e les rejoindront le lendemain après-midi ; enfin les autres niveaux, 4e et 3e, seront accueillis seuls le mercredi matin.
Antoine PARDESSUS
C’est la rentrée pour les 470 élèves et les 35 professeurs du collège Pierre-Brossolette. Pour la troisième année consécutive, l’établissement propose l’option art plastique, en partenariat avec le musée des beaux-arts. Un échange avec la Hartismere School de Castleton Way Eys dans le Suffolk, au sud du Royaume-Uni, est en projet et devrait aboutir cette année.
Rentrée le mardi 4 septembre. Les 6e rentreront à 9 heures tandis que les 5e, les 4e et les 3e feront leur rentrée à 13 h 30.
Le collège Colbert comptait déjà une section musique, une section arts plastiques et une section football, il propose désormais une section athlétisme. L’établissement accueillera 345 élèves pour 30 professeurs. Une nouvelle principale adjointe prendra ses fonctions au collège, Léontine-Yvonne Farraudière, qui vient de la Martinique.
Le principal, Christophe Georges, constate une hausse des effectifs cette année : 310 élèves feront leur rentrée au collège Joliot-Curie. L’établissement accueille six nouveaux professeurs et l’équipe d’histoire-géographie a été totalement renouvelée. Christophe Berrod, qui arrive de l’académie de Besançon, devient proviseur adjoint du collège. Autre nouveauté : les élèves du collège Joliot-Curie pourront commencer l’apprentissage d’une deuxième langue vivante dès la 5e. Un dispositif de découverte professionnelle permettra aux élèves des classes de 3e de travailler chaque semaine sur leur orientation. Enfin, cette année verra la mise en place des « cordées de la réussite », en partenariat avec Reims Management School. Treize élèves bénéficieront de ce dispositif qui vise à promouvoir les filières d’excellence dans les collèges classés zone d’éducation prioritaire. Rentrée sur deux jours, le mardi 4 septembre à 8 h 30 pour les 6e, à 13 h 30 pour les 3e et le mercredi 5 septembre à 8 h 30 pour les 5e, à 10 heures pour les 4e.
480 élèves sont attendus au collège Paul-Fort qui compte 45 professeurs. Au programme de cette année : un voyage en Provence pour les élèves latinistes et un projet artistique avec les comédiens de la Comédie de Reims.
L’établissement poursuit également le dispositif des « cordées de la réussite ». Le collège, classé en zone d’éducation prioritaire, travaille avec Sciences Po Reims. Une douzaine d’élèves, sélectionnés pour leurs bons résultats, accéderont au programme qui propose la découverte de filières prestigieuses. Chaque semaine, ils seront coachés par des étudiants de Sciences Po qui leur feront découvrir leur cursus. Il s’agira également de monter des projets, comme une sortie culturelle à Paris.
Rentrée le mardi 4 septembre. Les 6e seront accueillis de 9 à 12 heures et seront libres l’après-midi. Les parents qui le souhaitent seront reçus autour d’un café par l’équipe de direction à 9 h 15 pour répondre aux questions concernant la scolarité de leurs enfants. Les 5e seront accueillis de 13 h 30 à 15 heures, les 4e de 14 heures à 15 h 30 et les 3e de 14 h 30 à 16 heures. Pour tous les élèves, les cours débuteront le mercredi 5 septembre. La demi-pension sera ouverte dès le mardi 4 septembre.
L’heure de la rentrée a sonné pour les 522 élèves et les 37 professeurs du collège Saint-Remi. Des travaux auront lieu au premier trimestre pour permettre la remise aux normes des réseaux informatiques.
Une assistante d’espagnol, venue du Chili et âgée de 20 ans, viendra enseigner sa langue et partager sa culture à partir du mois d’octobre. Un séjour en Espagne sera également organisé cette année, ainsi qu’un séjour en Angleterre. Enfin, l’établissement est en train de finaliser les modalités d’un échange avec un collège de Cologne, en Allemagne.
Le principal du collège Maryse-Bastié a une nouvelle adjointe pour la Segpa, Valérie Gurgey. « Nous ouvrons deux divisions de plus, une en 6e et une en 3e. » Il y aura donc 21 classes à la rentrée mardi, pour 485 élèves, « dont 140 en 6e ! Nous mettons d’ailleurs en place une aide personnalisée et méthodologique, avec deux ou trois adultes dans la classe. »
Le collège, qui accueille beaucoup de Béthenyats, participe au projet européen Comenius, « sur le décrochage scolaire, avec sur deux ans un partage d’expérience et de solution. L’une d’elles, c’est de mettre le paquet en 6e. »
Il y a aussi l’aspect solidaire très développé à Maryse- Bastié, qui fait partie du club Unesco. « Nous poursuivons nos liens avec le Burkina Faso. Une classe entière de 4e se rendra à York en Angleterre, dont un élève avec un handicap lourd. Enfin, nous continuons à nous rapprocher des deux maisons de retraite qui sont proches du collège, pour développer une action intergénérationnelle, avec de la lecture, des portraits, des poèmes, de l’informatique. »
Deux arrivées au collège Trois-Fontaines : le principal adjoint s’appelle Jean-Claude Mikta, et Mme Busy sera la nouvelle conseillère principale d’éducation. L’effectif est stable, avec 419 élèves.
Les 5e feront un voyage en Allemagne dès la rentrée, à Barbelen. Ils avaient reçu les collégiens d’outre-Rhin l’année dernière, et les 4e recevront eux aussi des élèves allemands en avril, une opération en lien avec le collège Maryse-Bastié.
Toujours plus d’élèves au collège Georges-Braque : 380 contre 330 à la rentrée 2011. Pour combler un manque dans ce secteur rémois, une classe Ulis sera ouverte, avec 10 à 11 élèves en situation de handicap, ouverte non seulement aux Rémois mais aussi aux élèves de la campagne environnante.
Le collège a ouvert un nouvel espace numérique de travail et entre dans sa dernière année de test des rythmes scolaires. La 3e découverte professionnelle devient une classe préparatoire à la voie professionnelle. Il n’y a que trois collèges rémois à le faire.
Enfin, Georges-Braque poursuit son effort de relance de la langue allemande, qui a bien fonctionné l’année dernière, le badminton et le projet Comenius avec la Finlande et l’Angleterre.
La rentrée à François-Legros se fera sur deux jours, avec les 6e et 5e mardi 4 septembre.
Les 6e débuteront à 8 heures et tous les professeurs seront sous le préau à 9 heures pour se présenter aux parents, qui sont invités, à tous les niveaux, à rester une heure pour les échanges entre familles et direction. Les 5e rentrent à 13 h 30. Mercredi 5 septembre, rentrée des 4e à 8 heures et des 3e à 10 h 30.
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Les habitants des 245-247 de la rue de Neufchâtel bénéficient d’une belle rénovation et d’une « résidentialisation » de leurs immeubles. Ils auront aussi dans les jours qui viennent des conteneurs enterrés pour leurs poubelles. Un plus pour la sécurité et le confort, à moins de 50 mètres de leur logement, accessible aux personnes à mobilité réduite, et un coût des charges moindre. La Ville a payé 10 000 euros pour le mobilier, le bailleur social (ici le Foyer rémois) la même chose pour l’installer en profondeur.
Il devrait y avoir 600 conteneurs comme cela en 2016, contre 400 aujourd’hui.
L’accent a été mis sur Orgeval, Europe et les Châtillons cette année, Croix-Rouge en bénéficiera en 2013.
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Arrivée des tablettes numériques en classe, nouvelles fenêtres et un guide pour la garderie… La Ville a présenté hier les nouveautés de la rentrée 2012.
IL pourra geler tout l’hiver les écoliers Rémois n’auront pas froid. Environ 500 fenêtres ont été changées pendant l’été dans plusieurs établissements scolaires.
Hier matin, la maire Adeline Hazan et l’adjoint chargé de l’éducation, Jacques Meyer, sont allés voir le résultat des travaux à la maternelle Gilberte-Droit (Croix-Rouge) et au groupe scolaire Mazarin (Murigny).
« Tous les ans, nous dépensons autour de 4 millions d’euros dans les écoles. Les travaux sur les huisseries, outre l’apport en confort pour les enfants et les professeurs, nous feront économiser entre 30 et 35 % de chauffage », a précisé Adeline Hazan avant d’énumérer les nouveautés de la rentrée 2012. « Nous avons décidé d’étendre la distribution des kits scolaires aux élèves de maternelle. » Ils vont recevoir des crayons de couleur et un tablier noir qu’ils pourront ramener chez eux. Coût total de l’opération pour la Ville (maternelle et élémentaire) : un peu plus de 100 000 euros.
Exercices de maths tactiles
« Deux classes d’élémentaire des écoles Trois-Fontaines et Alfred-Gérard vont travailler sur des tablettes numériques. » Il y en aura 15 par classes (autant de Samsung que d’Apple !). Elles serviront à faire des exercices et à consulter des manuels sur écran. Une expérimentation en attendant, dans un futur plus ou moins proche, d’équiper chaque élève d’une tablette qui pourra remplacer livres et cahiers, et même crayons. Et qui allégera les cartables.
Le service périscolaire permet aux parents de confier gratuitement leur enfant dès 7 h 30 à l’école. Le service continue et s’enrichit d’un livret explicatif qui fera aussi office de carnet de correspondance extrascolaire. « Le but est de mieux informer les parents et de faciliter les relations entre les familles et les personnels d’accueil. » Il contient notamment des billets d’absence et des billets de retard.
A partir de cette année, les repas de la cantine pourront être payés par carte bancaire ou par prélèvement. Il n’est plus nécessaire d’aller au siège de la caisse des écoles rue de Talleyrand pour obtenir un dossier. Il peut être demandé par téléphone au 03.26.88.74.55 (de 8 h 45 à 16 h 30) ou peut être téléchargé depuis le site www.monecole-reims.fr
Enfin, trois nouveaux artistes ont été sélectionnés pour animer des ateliers tout au long de l’année. Il s’agit de BMZgd, Pei-Lin Cheng et Cynthia Lefbvre. Ils ont décroché un contrat de trois ans.
C.F.
L’Éducation nationale a programmé 9 fermetures de classes sur Reims (maternelles Dauphinot, Pouply, Charpentier, Gallieni, La Neuvillette, Provençaux et élémentaires Prieur-de-la-Marne, Gallieni et Provençaux). Elle a aussi prévu 4 ouvertures (maternel¬les Zola, Barthou et Ravel, élémentaire Roux). Il faut y ajouter 5 ouvertures probables en fonction des effectifs le jour de la rentrée (maternelles Desbu-reaux, Galilée, Mougne Tixier, Trois-Fontaines et Martin-Peller).
« Au final, le nombre de fermetures et d’ouvertures devrait s’équilibrer sur Reims », a précisé l’inspec-teur d’académie adjoint.
L’équipement des écoles en tableaux blancs inter¬actifs (TBI) se poursuit. Les TBI permettent de pro¬jeter l’écran d’un ordinateur sur un tableau blanc grâce à un vidéo-projecteur relié à un ordinateur. Il est complété par des ordinateurs portables sur les¬quels travaillent les enfants (et pour certains des tablettes, lire par ailleurs).
Ces équipements forment des classes mobiles. Il y en aura 7 de plus cette année dans les écoles Charles-Peguy, Zola, Dauphinot, Jules-Ferry, La Neu¬villette, Sculpteurs-Jacques et Thillois.
Antonin Gaignette : « Nous allons passer de neuf à quatorze spécialités de master. »
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Antonin Gaignette est le nouveau doyen de la fac de sciences économiques. Celle-ci élargira sensiblement son offre de formation dès la rentrée.
LA fac de sciences éco a un nouveau patron : Antonin Gaignette. Ce natif de Châlons, pur produit de l’Urca, était auparavant vice-doyen de cette faculté ; à 43 ans il en devient donc doyen tout court, succédant à Martine Guillemin, qui pour sa part préférait le titre de « directrice » (mais les deux sont équivalents).
Notre homme se retrouve ainsi à la tête de quelque 2 800 étudiants, « la plus grosse faculté de l’Urca avec celle de droit, commente-t-il. Avec nos formations en finances, ressources humaines, marketing ou logistique, nous sommes une vraie business school (école d’affaires), au même titre que RMS* ; nous avons à peu près la même taille qu’eux, le même niveau de diplômes, on peut juste leur envier leur réputation ».
Au nouveau capitaine des étudiants en sciences économiques, sociales et de gestion, selon l’intitulé exact, se présentent trois gros chantiers : le 1er, c’est la nouvelle offre de formation. Dès cette rentrée, cette offre sera sensiblement accrue « puisque nous allons passer de neuf à quatorze spécialités de master, un choc considérable pour nous ».
À titre de comparaison, la fac homologue, à Jules-Verne d’Amiens, ne propose que quatre spécialités. Parmi les créations rémoises dont se félicite notre doyen, « gestion du luxe et du goût, qui colle bien avec notre production régionale de champagne, et direction financière et contrôle de gestion ».
2e chantier, les relations internationales. La fac champenoise accueille actuellement 650 étudiants étrangers, « nous voulons les accueillir mieux » ; M. Gaignette souhaite aussi développer échanges et coopérations avec les pays d’ailleurs, et en particulier, allez savoir pourquoi, avec la Chine. Il espère bien envoyer dans deux ans des étudiants là-bas pour y valider leur master, ce qui entraîne la mise en place à la rentrée sur le campus Croix-rouge de cours de chinois (obligatoires) dans certains cursus, « et en attendant, nous allons déjà envoyer des enseignants », (qui eux seront dispensés d’apprendre la langue de Confucius, appelés à travailler dans celle de Molière).
Dernier gros volet de la politique du doyen : l’apprentissage. À développer aussi, car particulièrement favorable à l’insertion professionnelle. « Il existe déjà en banque et en finance, il faut l’étendre à d’autres domaines comme l’expertise comptable, la logistique ou le management des PME. » Avec tous ces fers au feu, Antonin Gaignette n’aura peut-être un jour plus besoin d’envier la réputation de RMS…
Antoine PARDESSUS
*Reims management school, l’école supérieure de commerce de Reims.
Parti d’un matelas, le feu probablement provoqué par une cigarette a ravagé la totalité de l’appartement.Photo : Hervé OUDIN
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Hier vers 5 heures du matin, un violent incendie s’est déclaré dans un immeuble de l’avenue Bonaparte à Reims, au huitième et dernier étage du n° 11.
Le feu a pris dans la chambre du locataire, un homme de 55 ans qui se serait endormi avec une cigarette allumée.
Réveillé par des flammes s’échappant du matelas, il s’est légèrement brûlé aux bras en tentant de le jeter par la fenêtre, avant de renoncer et fuir au plus vite l’appartement.
Malgré l’intervention des pompiers, l’incendie, attisé par l’appel d’air, a ravagé le logement ainsi que le balcon.
Trois lances ont été déployées pour en venir à bout. Le feu ne s’est pas propagé aux appartements voisins. En revanche, d’importants ruissellements d’eau sont à déplorer à l’étage inférieur.
Les pompiers n’ont quitté les lieux qu’après avoir procédé à l’assèchement. Le locataire a été relogé.
Numéro 7461 du 27 août au 02 septembre 2012.
APPARTEMENT :
— Appartement de type V d’environ 89 m2, situé au 1 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 2° étage, porte A - Classement énergétique "D" ¬87.750 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT)
— Appartement de type III d’environ 69 m2, situé au 5 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 3° étage, porte A - Classement énergétique "D" ¬54.600 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type III d’environ
69 m2, situé au 9 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 3° étage, porte A - Classement énergétique "D" -65.000 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type III d’environ
70 m2, situé au 9 avenue du Général Eisenhower à REIMS, rez-de-chaussée, porte A - Classement énergétique "D" - 65.000 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 81 m2, situé au 9 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 1° étage, porte C - Classement énergétique "D" ¬74.750 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type III d’environ 68 m2, situé au 7 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 1° étage, porte A - Classement énergétique "D" ¬65.000 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 81 m2, situé au 7 avenue du Général Eisenhower à REIMS, 3° étage, porte C - Classement énergétique "D" ¬74.750 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 76 m2, situé au 26 rue Rilly la Montagne à REIMS, 3° étage, porte A - Classe¬ment énergétique "D" - 74.100 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 76 m2 situé au 26 rue Rilly la Montagne à REIMS, 4° étage, porte B - Classe¬ment énergétique "D" - 74.100 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT).
Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.
108473
L’AGO du 27/07/2012, de I’EURL Reims Trans Logistique, au capital de 10.000 €, siège social 17 rue Alphonse Daudet - 51100 REIMS, R.C.S. REIMS 535 100 564, a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liqui¬dateur, l’a déchargé de son mandat et a constaté la clôture des opérations de liquidation. R.C.S. REIMS. 108100
Maîtres CROZAT, PIERLOT, ROGE Notaires associés
23 avenue de Reims - 51390 GUEUX
SARL "AGOLES"
Société au capital de 7.500,00 €uros
Siège social : 7 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS
SIREN 514 725 266 R.C.S. Reims
Aux termes d’un acte de cession de parts reçu par Maître Thibault PIERLOT, Notaire associé à GUEUX, Marne, te 26 juillet 2012, enregistré à REIMS NORD le 6 août 2012, bordereau 1311, case 3, les associés de la société "AGOLES" ont pris les décisions suivantes :
— Acceptation de la démission de Monsieur Grégory BOUANGA-KALOU, demeurant à REIMS, Marne, 50 rue de la Justice, de ses fonctions de gérant à compter du 26 juillet 2012 ;
— Nomination de Monsieur Gaël BOUANGA-KALOU, demeurant à REIMS, Marne, 50 rue de la Justice, en qualité de nouveau gérant à compter du 26 juillet 2012, sans limitation de durée ;
— Modification des statuts.
NOUVELLE MENTION GÉRANCE : Monsieur Gaël BOUANGA-KALOU est nommé gérant.
Pour insertion :
108480 Maître PIERLOT, Notaire.
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Yassine Ramdani, qui occupait les fonctions d’animateur permanent à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, a quitté le quartier : « Je suis désormais directeur adjoint sur deux mi-temps, à la Maison de quartier Arènes du Sud et à l’espace Sainte-Anne ».
Les bénévoles ont su lui faire comprendre leur tristesse de le voir partir, un sentiment partagé : « C’est avec regret que je quitte le quartier Croix-Rouge après sept ans de projets et de plaisir », précise-t-il.
On peut maintenant le joindre à l’espace Saint-Rémi, 12, rue Tournebonneau (Tél. 03.26.85.49.00.) ou à l’espace Sainte-Anne, 53 boulevard Wilson (Tél. 03.26.06.48.21.).
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