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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - septembre 2010.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010.

 

 

 


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Union100930c
Rue des Savoyards : Il se masturbait sous les fenêtres

Il y a des témoignages qui vous plombent, il y en a d’autres qui vous sauvent. Même s’ils sont peu orthodoxes.

Mardi, à 0 h 30, un homme d’une trentaine d’années déambule rue des Savoyards, non loin du lycée professionnel Joliot-Curie.

Sous la fenêtre d’une riveraine, notre homme s’arrête, levant les yeux vers les fenêtres encore éclairées des riverains. Il commence à se masturber sous les regards déconfits de plusieurs témoins.

Notre jeune homme a la peau dure puisque les témoins parleront d’un onanisme qui durera plus d’une quarantaine de minutes.

« Ce n’est pas possible ! »

Une performance physique certes à souligner. Mais lorsque cela se passe sur la voie publique, c’est un peu plus gênant et tombe forcément sous le coup de la loi. Les policiers, alertés par les riverains, appréhendent le trentenaire et le place en garde à vue.

Lors de son audition, l’homme accusé d’attentat à la pudeur ne se laisse pas refroidir par les fonctionnaires de police et leurs questions.

Il ne reconnaît pas les faits et martèle qu’il n’a rien à se reprocher.

Auditionnée dans la foulée, le témoignage de la compagne de cet homme laissera plutôt perplexe les policiers.

« Le contentement était grand »

Elle a, en effet, déclaré aux fonctionnaires que les actes pour lesquels son mari avait été placé en garde à vue étaient tout bonnement ubuesques.

Et la femme de continuer en martelant que « compte tenu de l’intensité et la fréquence de leurs rapports sexuels, il n’était pas possible que son mari ait pu se masturber sur la voie publique tant le contentement de son mari était grand ».

À l’issue de la garde à vue, le dossier sera classé sans suite. Pas de poursuites. L’homme et sa compagne quitteront les locaux du commissariat ensemble. L’histoire ne dit pas s’ils ont fêté la libération.

Th.D.


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Union100930b
Deux voitures en feu à Croix-Rouge

Mardi soir, peu après 20 h 30, une Renault Clio stationnée le long de l’avenue Bonaparte a été totalement détruite par les flammes.

Le feu s’est ensuite propagé à un autre véhicule, une Citroën Xantia qui, elle aussi, a été totalement calcinée.

Le premier véhicule n’était pas déclaré volé.

Si aucune victime n’est heureusement à déplorer, il ne fait quasiment pas de doutes que les causes de l’incendie ne sont pas accidentelles.


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Union100930a
Voiture contre vélo : un cycliste blessé

Hier après-midi, un jeune homme de 14 ans qui circulait à vélo rue Pierre-Taittinger a été renversé par une voiture.

Choqué et légèrement blessé, le jeune homme a été transporté par les sapeurs-pompiers au centre hospitalier pour une simple visite de contrôle.


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Union100929c
Chaufferie de Croix-Rouge : Tout va rentrer dans l’ordre

Suite à une fuite sur le réseau de la chaufferie de Croix-Rouge cet été, la Socram était intervenue pour réparer. Le problème venait d’un dépôt de calcaire. Mais les agents de l’entreprise ont vu que la réparation ne tiendrait pas longtemps.

Eric Quénard a donc tenu une réunion de crise, « de façon à prendre toutes les mesures pour que la saison de chauffe se passe bien », explique le 1er adjoint.

Trois chaufferies temporaires ont donc été installées depuis dix jours, pour que tout le monde ait de l’eau chaude. « Le réseau a donc été détourné sur ces machines. La réparation a été effectuée définitivement, et tout sera rentré dans l’ordre d’ici demain. »


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Union100929b
Tennis / Pierre et Plodzien au palmarès

Formidable succès avec des inscriptions limitées à 15/1 et bloquées à 200 (!), la 7e édition, du tournoi de l’US Cheminots Reims a délivré, dimanche, un palmarès logique.

Ainsi, dans un tableau masculin dense et homogène à souhait, la finale a opposé Frédéric Sadouet (15/1, Géo-André) à Simon Pierre (15/2, CS Marseille). Ancien 5/6 (en 2003), ce dernier - qui rejoindra son club formateur le Reims Europe Club la saison prochaine - a fait admirer ses accélérations de coups droits. Résultat, à 5 partout dans la manche initiale, il « breakait » et confirmait ensuite (7-5).

Dans la 2e manche, après un début hésitant, Simon Pierre s’emparait du jeu de service du Rémois sur une nouvelle attaque de coup droit (3-2). Dès lors, le gaucher marseillais gérait les débats pour s’imposer 6-3.

Enfin, du côté des dames, les têtes de séries n°1 et 2 à 15/1, à savoir Béatrice Plodzien (TC Reims) et Pauline Thiery (Witry-les-Reims) se sont retrouvées au stade ultime. Plus puissante, la Witryate dominait nettement le début de partie. Au point de s’adjuger le premier set 6-0 et de mener 2-0, 40-0 dans le 2e. Le temps pour la Rémoise de ne plus accorder des balles d’attaques à son adversaire.

La situation s’inversait. Pauline Thiery multipliait les fautes et Béatrice Plodzien alimentait le tableau d’affichage pour remporter la deuxième manche 6-4 puis la « belle » 6-3.

MESSIEURS

Quarts de finale : Pierre (15/2, CS Marseille) bat Noyon (15/1, La Vaure) 7-6, 6-2 ; Goujon (15/1, Parques Cormontreuil) bat Frognet (15/3, Verzenay) 6-1, 6-3 ; Bouchet (15/1, Reims Europe Club) bat Baudinet (15/1, Marcq en Baroeul) 6-3, 4-6, 6-4 ; Sadouet (15/1, Géo-André) bat Vadin (15/1, URT) 6-4, 6-2.
Demi-finales : Pierre bat Goujon 4-6, 6-2, 6-2 ; Sadouet bat Bouchet 6-4, 7-5.
Finale : Pierre bat Sadouet 7-5, 6-3.

4e série

Leautaud (40, Cheminots Reims) bat Hulot (30/2,Witry-lès-Reims) 6-4, 6-1.

+ 45 ANS

Demi-finales  : Baudinet (15/4, TC Reims) bat Sarrazyn (15/5, Cheminots Reims) 3-6, 6-2, 6-1 ; Quenot (15/3, URT) bat About (15/4, TC Reims) 6-3, 6-2.
Finale : Quenot bat Baudinet 6-3, 6-4.

DAMES

Demi-finales  : PaulineThiery (15/1,Witry-les-Reims) bat Stéphanie Abraham (15/2, Cheminots Reims) 6-2, 6-0 ; Béatrice Plodzien (15/1, TC Reims) bat Charlotte Becret (15/3, Reims Europe Club) 6-4, 7-5.
Finale : Béatrice Plodzien bat PaulineThiery 0-6, 6-4, 6-3.


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Union100929a
Université / Le coup de gueule du président

Le campus du Moulin de la Housse est dans un état déplorable, de l’avis de tous.
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La conférence de rentrée du président de l’université a forcément tourné autour du déménagement du pôle Moulin de la Housse vers le campus Croix-Rouge. En 2018 ?

LE tramway arrive, Sciences Po a ouvert, Centrale à Pomacle ne devrait plus tarder, AgroParisTech est là : où est la place de l’université Champagne-Ardenne dans toutes ces évolutions ?

C’est la question qu’a posée Richard Vistelle, le président de l’Urca, lors de sa conférence de rentrée. Il a aussi donné des « coups de gueule » en espérant que les 19 000 étudiants concernés ne soient pas les oubliés des années futures.

« Ce projet de transfert (Ndlr : quitter le pôle Moulin de la Housse pour le campus Croix-Rouge) est le moins cher, 55 millions d’euros plutôt que 70 ou même 100 millions ! S’il n’aboutit pas, c’est la mort de l’Urca. » Et pan ! Pourtant, sur le campus unique à Croix-Rouge, toutes les parties sont d’accord : Etat, Ville de Reims, conseils régional et général. Alors ?

« Cela remet en cause le contrat de plan Etat-Région », explique Alexandre Steyer, le recteur. N’empêche, « pas besoin d’études pour que toutes les collectivités payent pour Sciences Po, en moins d’un mois ! », relance un Richard Vistelle remonté, moustaches flamboyantes.

C’est justement cette étude qui a semblé traîner en longueur. « Elle a duré 18 mois, et a été présentée à la Ville le 16 septembre. Nous avons trouvé que c’était un projet intéressant, sans pour autant pouvoir dire combien nous pourrons y investir. Nous attendons d’ailleurs de savoir ce que l’Etat va faire », explique Jacques Meyer, adjoint à l’Education.

"200 étudiants qui pètent dans la soie et 19.000 qui sont dans des tôles"

Richard Vistelle précise qu’il est enthousiaste et applaudit à l’arrivée des nouvelles et prestigieuses écoles. « Remarquez qu’il y a 11 profs de l’université à Sciences Po, que nous allons travailler avec Centrale, c’est déjà acquis. » Ce qu’il reproche, c’est « un gros coup pour elles et rien pour nous ».

Avant de reprendre son langage imagé et tellement parlant : « Les trois écoles nouvelles, c’est bien, ça brille, mais on a 200 étudiants qui pètent dans la soie et 19 000 qui sont dans des tôles ». Richard Vistelle n’a d’ailleurs pas manqué de faire le parallèle entre un projet à 55 millions, voire 70, et ce que coûte Sciences Po (75 millions).

Sauf que Jacques Meyer nous précise que le projet est en fait de l’ordre de 200 millions d’euros, l’écart étant dû à la vente des terrains du Moulin de la Housse, qui ramènerait la dépense à 70 millions.

« Soucieux de l’argent public », l’adjoint d’Adeline Hazan revient sur la récente inauguration du bâtiment du Staps, la rénovation de résidences étudiantes… « Il ne faudrait pas que ce soit de l’argent mis à la poubelle. »

Un campus délabré à 95%

Pour Richard Vistelle, « il faut bien prendre une décision à un moment, mais cela va durer longtemps, il faut bien aussi assurer des conditions décentes de travail ». Selon lui, « 95 % des bâtiments du campus du Moulin de la Housse sont à détruire. Au passage, je vous indique que cela coûterait 20 millions de plus de reconstruire sur site ». Pour le président de l’Urca, le transfert est d’autant plus logique « que le tram n’ira jamais jusque là-bas et qu’il y a trois lignes de bus mais à faible cadencement ».

Ce campus, « où les conditions sont déplorables », est véritablement très isolé. « Alors qu’à Croix-Rouge, il y a les installations sportives avec le Creps, la patinoire, la piscine, même un golf 18 trous en projet à Bezannes, un hôtel, le TGV, le tram, et des hôtels d’entreprises à venir. » La décision doit être prise rapidement, car il faudra à peu près sept ans pour que le transfert soit finalisé. L’essentiel du campus Croix-Rouge sera de toute façon conservé, notamment les fameuses coquilles, « qui sont l’emblème de l’Urca, même s’il faut voir le coût du pétale… »

Car l’université rémoise est « surdimensionnée de 40 %, suivant le calcul de l’Etat. Il faut donc réduire la surface ». En faisant donc plus efficace.

Guillaume FLATET


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Un grand pôle avec le Nord et la Belgique ?

Richard Vistelle, président de l’université.
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En même temps que l’autonomie, l’Urca va créer début 2011 le pôle de recherche et d’enseignement supérieur (Pres), qui donnera « une forte visibilité à l’international ». Il s’agit de travailler avec la Picardie (Jules-Verne à Amiens) et la Wallonie, de mettre en place des structures fédératives qui concernent 250 à 300 chercheurs.

« On nous a reproché d’être trop attentistes, mais on a bien fait, car nous allons mettre en place un Pres 2e génération, où les moyens seront mutualisés » explique Richard Vistelle.

Si les universités wallones et champardennaise ne peuvent pas fusionner, elles vont adopter un fonctionnement confédéral. Il y aura notamment des cartes de formations complémentaires. Deux équipes de recherche sont déjà finalisées : dans la santé et les agro-ressources, en lien direct avec l’IAR de Pomacle. Deux autres sont en cours, dans le domaine des sciences pour l’ingénieur et des Stic et celui des sciences humaines et sociales.

Le président de l’Urca va même jusqu’à extrapoler un Pres commun avec celui du Nord-Pas-de-Calais. « Ce n’est pas incohérent, on travaille déjà avec les Picards et les Wallons. » L’Urca s’est d’ailleurs engagée dans un projet de société d’accélération de transfert de technologies, porté par le Pres Nord-Pas-de-Calais.

Quant aux Walllons, des représentants de l’université de Mons seront à Reims dans les jours qui viennent pour finaliser les projets.

Le fameux Pres sera « une structure ouverte », qui pourra donc accueillir d’autres facs ou universités. Une fondation sera également créée


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Au fil de la conférence

Reims moins attractif. Selon Richard Vistelle, le site rémois de l’Urca est le moins attractif de Champagne-Ardenne. « Si je devais faire du droit, j’irais à Troyes plutôt qu’à Reims. » Il a également parlé de Châlons, qui monte en puissance. « Bruno Bourg-Broc en veut même trop… »

RMS. Pour le président, il ne faut pas oublier RMS. « C’est une faute politique grave de ne pas faire monter plus cette école, comme pour l’Urca d’ailleurs. »

Autonomie. Le passage aux responsabilités et compétences élargies, c’est-à-dire l’autonomie, c’est pour le 1er janvier 2011. « Cela fait deux ans que nous le préparons, notamment en apurant les comptes. » Le budget de l’Urca sera alors multiplié par trois, soit 200 millions d’euros.

Communication. Pour cette rentrée, l’Urca fait de la communication un « enjeu stratégique », avec notamment un nouveau site web, a priori apprécié des visiteurs, bien plus nombreux qu’avant.

Cachotteries. Richard Vistelle n’a pas manqué de préciser que les collectivités locales lui faisaient des cachotteries, pour ce qui concerne les venues de Centrale et AgroParisTech. « Quant à Sciences Po, cela s’est fait tellement vite… »

Label. L’Urca a reçu un label européen de supplément au diplôme Europass. « Nous sommes la seule université, avec Bordeaux III, à l’avoir obtenu », se réjouit le président..


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Union100928d
Une sortie familiale à Amnéville

Dans le cadre des loisirs de proximité, Elham Kouch, animatrice familles à la Maison de quartier Croix-Rouge, organise une sortie familiale au zoo d’Amnéville le samedi 9 octobre.

Tarifs adultes 12 €, enfants 10 euros + adhésion familiale 2 €. Le départ est prévu à 7 h 45 avec retour vers 19 h 30. Lieu de départ : sur le parking des Provençaux. Prévoir le pique-nique et le goûter.

Renseignements à l’espace Pays-de-France, 1 allée des Béarnais (Tél. : 03.26.82.53.48.).

Inscriptions avant le 6 octobre.


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Union100928c
Croix-Rouge : Le conseil de quartier en réunion

Les deux co-animateurs du conseil de quartier.
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La prochaine réunion du Conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny se déroulera jeudi 30 septembre à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

A l’ordre du jour : rentrée scolaire sur le quartier avec l’adjoint chargé de l’éducation, le pôle multiservices de l’antenne Croix-Rouge, questions diverses et expression publique.

Les habitants qui ne pourraient pas se déplacer à cette occasion peuvent transmettre leurs observations ou leurs questions à l’un des responsables suivants : Fadhila Aboura, Urbain Avaligbe, Youssef Bargane, Saïda Berthelot, Alain Bisteur, Danielle Bonfils, Alain Boudroit (03.26.06.26.72.), Hicahm Boussoufi, Salah Byar, Jean-Pierre Chemla, Jean-Pierre Destrimont, Odette Destrimont, Pascale Écremont, Bernadette Érard, Liliane Feige, Corinne Foulon, Angélique Gallet, Vincent Girardin, Geneviève Kaczowka, Abdallah Kamar Eddine, Nordine Lakbachi, Martine Massart (03.26.84.76.31.), Rebecca Mioko, Yves Monflier (03.26.86.16.87.), Veli Ozturk (06.28.81.30.52.), Éric Quénard, Laurence Van Kalck, Élizabeth Vasseur ou Jérôme Weiler.

 

 


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Union100928b
Médiathèque Croix-Rouge : Les activités jeunesse en octobre

II était une fois un gros turbot qui se mit à parler…

Pour tous à partir de 5 ans.

Langue des signes

Mercredi 6 octobre à 10 h 30, dans la salle du conte de la médiathèque Croix-Rouge, Julie raconte « Le pêcheur et sa femme », un conte extrait de Mille ans de conte aux éditions Milan Jeunesse, interprété en langue des signes française (LSF) par Cyril Schuer « II était une fois, un pêcheur qui vivait avec sa femme dans une petite cabane. Un jour à la pêche, il remonta un gros turbot qui se mit à lui parler… »

Pour tous à partir de 5 ans.

Ronde des albums

Mercredi 13 octobre à 11 heures, dans la salle Heure du conte, la Ronde des albums,

pour les enfants à partir de 4 ans, aura pour thème les dragons.

Entrée libre mais inscription préalable auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

Médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar.


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Union100928a
Séances de vaccination

Le Service communal d’hygiène et de santé organise deux séances gratuites de vaccinations le mercredi 6 octobre à la Maison de quartier Croix-Rouge :

- de 9 h 30 à 10 h 30, à l’espace Pays-de-France, 1, allée des Béarnais (tél. 03.26.82.53.48.)
- et de 14 à 15 heures, à l’espace Billard, 14, rue Pierre-Taittinger (tél. 03.26.08.08.78.).

Pour tout renseignement, on peut s’adresser au Service commual d’hygiène et de santé, du lundi au vendredi, au 03.26.35.68.78.


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Union100927a

Animations de quartier / Foot, graff et rap à Croix-Rouge

Les jeunes ont pu s’essayer au graff cet été.
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Vendredi soir, des adolescents du quartier Croix-Rouge, ayant participé à l’opération au fil du graff, organisée par la maison de quartier, en partenariat avec la ville de Reims, ont présenté leur travail à de nombreux invités dont Eric Quénard, premier adjoint de la ville de Reims, et Jean-Pierre Eittel, président de l’association des maisons de quartier de Reims.

Ces jeunes encadrés, par le graffeur professionnel Najim Hocini, ont peint durant les vacances de juillet/août plusieurs panneaux, qui pour cette présentation ont été installés sur l’aire de jeux du secteur Croix-du-Sud. « J’ai participé à l’atelier avec Najim et aussi au tournoi de foot. J’ai vraiment bien aimé faire tout cela », explique Jason, 12 ans, collégien à Georges Braque.

Pour cet événement, cette aire de jeux a été aménagée en véritable petit lieu d’exposition, avec des animations comme une performance de graffeur et un tournoi de foot freestyle, le tout sur fond de musique urbaine. « Je m’entraîne beaucoup dans mon club, dans la rue et même chez moi. C’est sûrement pour cela que j’ai gagné ce tournoi », ajoute Ange, un autre ado du quartier.

Ce moment festif a également été l’occasion pour les élus et les différents partenaires comme l’Effort Rémois ou ERDF de découvrir la nouvelle aire de jeux installée dans le square Jacques Simon.

TAF

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100926c
TENNIS : Open de Vitry-le-François : Karla Mme la « présidente » !

Kévin Berranger, l’arbitre vitryat, a officié sur la première demi entre Violette Huck (TC Paris) et Yulia Fedossova (Levallois). Eric JORIS
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Responsable de Pro Elle, Karla Mraz assurera elle-même la promotion du tennis féminin ce matin en finale contre Youlia Fedossova.

L’AMBIANCE, hier soir sur les courts vitryats, était à la mesure de l’intensité du dernier set disputé entre Klara Mraz et Julia Vakulenko.

A 2-5, la n° 23 française a retrouvé sa première balle de service pour renverser la situation (7-5) et confirmer une manche initiale remportée 6-4 : « Mon adversaire était assez fatiguée. Elle avait eu un quart plus compliqué que moi ».

Du haut de son mètre 83, l’Ukrainienne (n° 32 mondiale en 2007 et 8e de finaliste de l’US Open) a donc « craqué », offrant à Karla Mraz une finale qui s’annonce au moins aussi indécise.

De Julia à Yulia

Dans sa demi, à la différence d’un scénario inverse, Yulia Fedossova a dû elle aussi se reprendre dans le 1er set (7-6) avant de s’imposer 6-3 devant Violette Huck (n° 19).

La succession de Capucine Rousseau (n°29), lauréate 2009 de l’Open (1) devant Audrey Bergot (n° 35), se jouera au mental. Outre 8 places au classement national, Karla Mraz devra surmonter un petit han-dicap psychologique. Jamais, elle n’a battu Fedossova et le dernier head to head en octobre 2009 à Joué-les-Tours s’est conclu en deux sets 4-6, 2-6.

C’était en 16e et pour la petite histoire, la Franco-Russe avait sorti au tour précédent une certaine Audrey Bergot : 6-7 (5), 6-3, 6-3.

Sur le CV de Fedossova (22 ans) figure également un titre de championne de France 1re Division remporté avec le Team Lagardère face au Cormontreuil TC.

En parallèle à sa carrière, Klara Mraz (28 ans) a entamé sa reconversion comme responsable de l’Union du tennis féminin et de Pro Elle. La semaine dernière, elle a suivi, à ce titre, l’Open de la Baie de Somme.

Le président vitryat Michel Lagneaux ne peut que se réjouir de la présence en finale de la Levalloisienne : « C’est ma favorite de coeur. De par ses fonctions, dans la lignée de Sarah Pitkowski, elle nous a bien aidés à monter le plateau. C’est d’ailleurs elle qui nous a mis en contact avec Vakulenko. On peut dire que c’est notre marraine ».

Marraine et reine de l’Open ? : « Ce sont deux jeux différents mais c’est du 50-50.

Avec son travail, Karla est moins libre mais elle s’entraîne tous les jours à Roland-Garros où elle travaille ».

La perf de Karla Mraz a quelque part valeur d’exemple pour quelques jeunes filles qui zappent ce type de confrontations toujours formatrices : « Ludivine Choisel (2), qui est originaire d’Angers, s’étonne que les régionales ne soient pas présentes. Dommage que les 2’ séries ne s’inscrivent pas, ça crée un fossé dans le tableau », regrette Michel Lagneaux.

Jean-Pierre PRAULT

(1) Capucine Rousseau venait d’être sacrée championne de France 2e série.

(2) Parvenue en quart, Ludivine Choisel — qui s’entraîne à l’Europe — a été finaliste le week-end du tournoi de Reims-Europe.

Demi-finales. —Yulia Fedossova bat Violette Huck 7-5, 6-3 ; Karla Mraz bat Julia Vakulenko 6-4, 7-5.
Finale. — Aujourd’hui à 11 heures.


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Union100926b
tennis / Villeneuve-Saint-Germain : La revanche de Mitouart ?

La Chaunoise Micheline Mistrali en lice à Tergnier.
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Après s’être incliné en finale l’an dernier contre Thibaut Larduinat-Descous (3/6), le Vivaisien Xavier Mitouart peut aller au bout, ce matin, dans la banlieue soissonnaise…

Gosse en ligne de mire…

La 4e édition depuis la « reprise », conséquence du fâcheux incendie dont a été victime le club villeneuvois, est plus que jamais… « Open » aux 2e série. Le quatuor à l’organisation - Jean-Pierre Bracon entouré de trois dames Cécile Bourdet, Virginie Doublet et Arlette Lestrat - propose trois tableaux principaux : simples dames et messieurs, ainsi que celui des plus de 35 ans messieurs. Hier soir, se disputaient les demi-finales. La finale masculine était déjà connue. D’un côté, la jeunesse a triomphé.

Le Virois de 16 ans, Thomas Naert (5/6), mettait fin au joli parcours du Rémois de Géo-André, Enzo Wallart (15/1). Et de l’autre, Xavier Mitouart (4/6) se défaisait logiquement du second Villeneuvois, Alexis Soupizon (15/2). Le finaliste 2009 et Vivaisien, 41 ans, devra contenir la fougue de l’ancien Soissonnais…

Chez les dames, LA favorite se nomme Perrine Gosse (3/6, Soissons). Mais la voisine et n°1 de l’Aisne se trouve en ligne de mire… des trois autres 2e série composant le dernier carré.

 

 


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Union100926a
Pâtes sur le feu

Les pompiers ont été appelés hier vers 1 h 30 du matin pour un feu dans une cuisine de l’allée des Bourguignons (Croix-Rouge) ; rien de bien méchant à vrai dire : une casserole de pâtes avait simplement été oubliée sur la cuisinière, et le feu a été coupé par un locataire.


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Union100925f

Nécrologie : Le Pr Michel Legros nous a quittés

Le Pr Michel Legros a toujours consacré sa vie aux autres.
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Ancien chef de service ORL au CHU de Reims (médecin spécialisé dans la chirurgie de la face et du cou en cancérologie, président du comité Marne de la Ligue contre le cancer et du réseau de cancérologie champardennais, cofondateur de l’Institut Michel-Fandre), le professeur Michel Legros qui a toujours consacré sa vie aux autres s’est éteint dans sa 75e année.

Fils de paysans bretons qui « lui avaient donné », disait-il, « le sens du devoir », tout comme ses professeurs du Lycée de Reims, Michel Legros avait décidé de faire des études de médecine puis de se spécialiser pour « se dévouer pour les autres. »

Chef de service au CHU dès 1975 il pestait déjà en constatant que le délai pour obtenir un scanner était plus élevé à l’hôpital que dans les cliniques privées.

« Il aimait les autres », tout simplement, témoigne un de ses collaborateurs de l’Institut Michel-Fandre qu’il a porté sur les fonds baptismaux afin d’accueillir des enfants déficients visuels, auditifs et atteints de troubles du langage.

Michel Legros s’est aussi investi dans le milieu associatif paramédical, à la société d’oncologie, dans une association de prévention de l’alcoolisme. Il a aussi apporté son concours au club 41, au ciné-club de Champagne, aux élèves de primaire et à l’accueil des réfugiés du Sud-Est asiatique à Gueux. Marié, père de quatre enfants, il a longtemps milité au RPR sans décrocher de mandat électif. Il est notamment titulaire de la Légion d’honneur, des Palmes académiques, de la médaille de la Ville de Reims.

Une cérémonie religieuse sera organisée pour lui ce lundi 27 septembre à 9 h 45 en l’église Saint-Jacques de Reims.

À sa famille l’union présente ses condoléances attristées.

Alain MOYAT


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Union100925e

TENNIS / Open Femmes actives de Vitry-le-François : Du monde et du beau

Charline Braidy porte les espoirs de tout un département.
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ELLES sont plusieurs à espérer que la résine du parc omnisports de Vitry-le-François leur sourie davantage que les courts de l’Open de la Baie de Somme fréquentés il y a huit jours.

Youlia Fedossova (n° 15 française), Violette Huck (n° 19), Nadège Vergos (- 15) ou encore Florence Haring (n° 29), dominées au Crotoy, savent pourtant qu’elles devront exprimer tout leur talent pour effacer leur déception picarde. Certaines d’entre elles se retrouveront dès les quarts de finale et devront rapidement remiser leurs espérances (Fedossova - Vergos). D’autres verront de sacrées clientes se dresser sur leur route, comme Haring, qui sera soumise aux assauts de Julia Vakulenko dès les quarts.

L’expérience de Vakulenko

Les heureuses élues des quarts, programmés ce matin par les juges-arbitres Serge Rothier, Arnaud et Gérard Lalouette, n’en auront pas fini avec leurs travaux forcés du jour, les demies étant prévues en fin d’après-midi.

Le dernier carré devrait combler les amoureux de la petite balle jaune. La logique (mais existe-t-elle en sport ?) voudrait que les numérotées 13, 15, 19 et 23 se disputent les billets pour la finale.

De quel côté penchera la balance ? L’Ukrainienne - naturalisée espagnole - de Levallois-Perret Julia Vakulenko (27 ans) possède l’expérience des tournois du Grand chelem (elle a disputé entre autres les huitièmes de finale à l’US Open en 2007).

Hiérarchie bafouée

Mais, elle n’est pas la seule à pouvoir se targuer d’un tel cursus. La grande (1,81 m) et jeune (22 ans) Parisienne Youlia Fedossova s’est hissée au stade des 32es du tournoi d’Australie en 2007.

Cela commence à dater… et pourrait ne pas être suffisant si, par exemple, la gauchère Violette Huck et Julia Vakulenko s’affrontaient, la première ayant déjà bafoué la hiérarchie et battu la seconde (la saison dernière à Denain).

Les chances marnaises reposent sur les épaules de la Rémoise, sociétaire de Géo-André, Charline Braidy, qui, à la faveur de sa victoire sur la Nordiste Louise Lampla hier soir, se mesure ce matin à la Parisienne Violette Huck.

Yves DOGUÉ


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Union100925d

Agressé dans le bus

Jeudi à 17 h 40, un homme de 68 ans qui se trouvait dans un bus des Tur a demandé à un groupe de jeunes de baisser leur musique. En réponse, ils l’ont frappé au visage avant de descendre à l’arrêt Arago.

Légèrement blessée, la victime souffre d’ecchymoses à la pommette, au nez et au front.


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Union100925c

Feu de cuisine

Mercredi soir, à 23 heures, les pompiers ont été appelés pour un feu de cuisine allée Edgar-Degas.

Il s’agissait en fait d’une bassine d’huile enflammée éteinte avant leur arrivée.


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Union100925b

Le cirque et la magie s’emparent de l’hippodrome !

 

Numéros de jonglerie, portés, magie… à vous couper le souffle !

Dîner-spectacle au restaurant panoramique, réservation au 03.26.82.21.22.

Entrée 5 euros, gratuite pour les moins de 18 ans.

Animations sous réserve de modifications.

 


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L’hebdo du vendredi- n° 1812 - 100925a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 182 - Semaine du 24 au 30 septembre 2010

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Lycée Professionnel Joliot—Curie : Lycée des Métiers Administratifs et Commerciaux

Nos formations

- Formations proposées aux élèves : sortants de 3eme de 2nde générale ou technologique(dans le cadre d’une réorientation)

    • Métiers des Services Administratifs
      • Bac pro Comptabilité
      • Bac pro Secrétariat
    • Métiers de la Relation aux Clients et aux Usagers
      • Bac pro Commerce
      • Bac pro Vente
      • Bac pro Accueil Relation Clients et Usagers
      • CAP Employé de Vente en Librairie Papeterie Presse
    • Métiers de la Sécurité
      • Bac pro Sécurité Prévention

- Formations proposées aux élèves : Bacheliers professionnels tertiaires, Bacheliers technologiques, Bacheliers enseignement général

    • BTS Négociation et Relation Client
    • Réalisation de projets en entreprise

- Formations proposées aux élèves : Sans diplôme ou titulaire d’un diplôme de niveau V ou IV

    • Cadets de la République

4 rue Joliot-Curie - Reims - 03 26 06 03 11
http://xxi.ac-reims.fr/lyc-joliot-curie Un enseignement adapté aux besoins des élèves et aux exigences du monde du travail.

Des partenariats privilégiés avec le monde de l’entreprise : pratique de l’alternance sous statut scolaire, stages de Formation en milieu professionnel, manifestations Ecole – Entreprises


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IRTS CHAMPAGNE ARDENNE « Acteur de la solidarité et de la citoyenneté »

IRTS Champagne-Ardenne Devenez travailleur social

- L’IRTS Champagne-Ardenne vous prépare aux métiers du social

    • Assistant de service social
    • Educateur spécialisé
    • Educateur de jeunes enfants
    • Educateur technique spécialisé
    • Moniteur éducateur
    • Technicien de l’intervention sociale et familiale

Prochain forum des métiers du social 15 octobre 2010

Conditions d’accès sur www.irts-ca.fr

Institut Régional du Travail social
8, rue Joliot-Curie 51100 REIMS
Tél. 0326062288
Fax : 0326068256
Email : irts@irts-ccr.fr
Site Web : www.irts-ccr.fr


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L’Europe des étudiants

Le mercredi 29 septembre, l’association Jeunes Engagés avec ses partenaires : le Parlement Européen des Jeunes, Etudiants pour une Société Durable , vous proposent à l’occasion de la rentrée une journée européenne sur le Campus Croix-Rouge, 20 rue Rilly la Montagne à Reims.

Une exposition photo sur le thème de l’immigration par l’Association des Jeunes Journalistes Européens sera présentée au Restaurant Universitaire Croix-Rouge jusqu’au 5 octobre.

Ce même mercredi, à partir de 17h30 au Centre Cuturel du CROUS, se tiendra une conférence sur le thème "Quelles politiques d’immigration et d’intégration pour l’Europe ?" suivie d’un concert de John Grape (pop/folk).

Renseignements au 06 78 23 79 95.


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« LE FILM D’ARTS MARTIAUX »

Des films de kung-fu et de sabre chinois

jusqu’à son influence dans la production internationale actuelle en passant par les films de samouraïs, une invitation à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques Horaires d’ouverture habituelle

Entrée libre
Médiathèque Croix-Rouge et Jean Falala


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Union100924f

INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du Code des Marchés Publics.

REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché : réfection des faux plafonds et de l’électricité de 13 halls d’entrée dans les immeubles situés 11 à 23 et 33 à 43, esplanade Eisenhower à Reims.

4) Lots, Désignation :
Lot 1. - Menuiserie - Faux plafonds.
Lot 2. - Electricité.

5) Retrait du dossier de consultation le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du Service Commande Publique, tél : 03.26.48.62.30, Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat.fr

6) Date limite de réception des offres : le 19 octobre 2010 à 17 heures.

7) Date d’envoi à la publication : le 21 septembre 2010.


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Union100924e

Performance artistique à Croix-Rouge : Les habitants jouent aux cubes de lumière

Des enfants très attentifs, pour une œuvre collective.
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- Voir toutes les photos.

« Les cubes de lumière », c’est une performance artistique grand public que Jérôme Toq’r réalise sur les quatre grands quartiers de Reims et dont la production fera l’objet d’une exposition sur le parvis de la cathédrale à la mi-novembre 2010.

L’artiste croise les pinceaux avec la population pour réaliser des œuvres coopératives, « une aventure humaine et artistique unique pour la réalisation d’une œuvre intergénérationnelle ».

Jérôme Toq’r est ainsi intervenu à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge et sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge pour peindre avec les habitants, jeunes et adultes, des toiles (les plus petites font 1,5 m de côté et les plus grandes 2,2 m) qui seront assemblées en cubes.

Sur le parvis de la cathédrale

Il a accueilli plusieurs centaines d’enfants venus des centres de loisirs du quartier, mais aussi des mamans avec leur enfant, venus jouer du pinceau et de la peinture acrylique : un vrai régal ! À l’issue de ces ateliers de proximité, les cubes (entre 40 et 50) seront installés sur le parvis de la cathédrale de Reims pour une semaine et feront l’objet d’une présentation à l’ensemble des habitants de la ville. Le soir, une mise en lumière avec des technologies Led offrira une œuvre toute en nuance, en transparence et en lumière aux visiteurs, « comme des vitraux » précise l’artiste.

L’un des objectifs de l’opération était d’associer les habitants à un événement culturel grand public innovant et de les valoriser dans ce quartier en pleine période de changement avec les travaux de rénovation urbaine et l’arrivée du tramway.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100924d

Classement / Reims Management School toujours parmi l’élite mondiale

François Bonvalet, ingénieur agronome de formation, a dirigé de 2001 à 2004 le programme Sup de Co, avant de devenir directeur général de RMS.
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REIMS (Marne). Si la place est moins bonne, 21e, soit deux de moins qu’en 2009, la filière Sup de Co de Reims Management School figure toujours au sein des 65 meilleures écoles de commerce au monde, d’après un quotidien économique britannique.

LE classement de nos confrères du Financial Times, quotidien économique et financier britannique, sur les meilleures écoles de commerces au monde vient tout juste de paraître. Un tableau attendu et regardé à la fois par les lycéens, à la recherche d’une formation de qualité, les étudiants, mais aussi par les services des ressources humaines des grandes entreprises, qui y voient un des moyens de dénicher leurs futurs cadres. Parmi les 65 établissements classés, on trouve dix-sept écoles françaises, dont Reims Management School (RMS), à la 21e place. Rencontre avec François Bonvalet, directeur général de RMS.

Dans ce classement 2010, RMS chute de deux places et se retrouve en 21e position. C’est une déception ?

FRANÇOIS BONVALET : « Il est évident qu’il est toujours plus agréable de grimper dans un classement que d’y descendre. Cependant, notre objectif est de figurer dans les vingt-cinq premières écoles, ce qui est toujours le cas. Vous savez, la compétition est tellement rude que perdre deux places se joue à presque rien. D’ailleurs, j’ai tout de même reçu une trentaine de courriels de félicitations de différents partenaires à travers le monde. »

Que vous apporte ce type de classement ?

« C’est une sorte d’image de marque, une de nos cartes de visite au niveau international. Se retrouver à la 21e place est la preuve concrète que lorsque nous clamons être une école internationale, c’est une réalité qui est reconnue. C’est également une satisfaction pour nos partenaires. Cela nous permet aussi d’avoir une meilleure visibilité auprès de nos futurs étudiants qui recherchent une formation de qualité. »

20 % d’étudiants étrangers

Justement, avez-vous beaucoup d’étudiants étrangers et la formation internationale est-elle primordiale au sein de votre établissement ?

« Sur les 4 400 étudiants scolarisés à RMS dans nos différentes formations (Sup’TG, Cesem, Tema, Sup de Co, le MBA et nos dix Masters 2), 20 % sont des étrangers. Nous avons aussi des partenariats avec d’autres écoles à travers le monde. De plus, dans certaines filières, les cours se font uniquement en anglais. »

Quelles priorités accordez-vous à l’enseignement ?

« Enseignement et recherche vont de pair. Nous continuons à en améliorer la qualité. Désormais, nous avons 88 professeurs à plein temps. C’est-à-dire qu’ils donnent des cours aux étudiants, mais qu’ils font également de la recherche, en plus de nos 550 professeurs vacataires. L’objectif est d’arriver rapidement à 100 enseignants titulaires. »

Quelles sont vos nouveautés pour rester au sein des meilleures écoles de commerce au niveau mondial ?

« L’an dernier, nous avons ouvert une nouvelle filière, qui va véritablement tourner à plein régime en 2010. Il s’agit d’une licence 3 où tous les cours se font en anglais. Cela nous permet d’accueillir plus facilement des étudiants étrangers d’écoles partenaires. Enfin, avant fin 2010, nous devrions ouvrir deux nouvelles chaires d’enseignement et de recherche, dont une sur le pôle de compétitivité de Bazancourt. »

Propos recueillis par Damien LE-THANH

4 400 étudiants et 88 professeurs

L’histoire de Reims Management School remonte à 1928. À cette époque est créé l’Ecole supérieure de commerce de Reims, avec une première promotion de 17 élèves. En 1970, RMS quitte le centre-ville. Au fil des années, le nombre de filières va considérablement augmenter. Aujourd’hui, RMS c’est 4 400 étudiants (dont 20 % d’étrangers), 88 professeurs permanents et 550 professeurs vacataires, quatre chaires de recherche et d’enseignement et plus de 130 partenariats académiques à l’étranger.


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Union100924c

Tennis/Sarry : Une 21e bien indécise

Cédric Mouton parmi les candidats au titre sarrysien.
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Limitée à 5/6, la (déjà) 21e édition du tournoi du CO Sarry a rassemblé quelques 158 participants soit une hausse de 15% par rapport à l’an passé.

« Ce fut différent cette année avec nettement plus de 4e série que de 3e », notait le maître de cérémonie, Jacques Mariet, toujours aux manettes de l’épreuve sarrysienne.

Chez les messieurs, pas facile de trouver le successeur de Jérémy Solivellas, entre les trois 5/6, Maxime Puberl (TC Reims) et les sociétaires de l’ASPTT Châlons, Cédric Mouton et Eric Renaud.

A moins que les 15, Thibault Deglave (Guignicourt) et Guillaume Thierus (Géo-André), ne parviennent à bousculer la hiérarchie.

En +35 ans, l’ancien moniteur local, Hervé Martinot (15, TC Nogent), fera figure de logique favori devant les 15/1, Richard Vanier (Charly-sur-Marne) et Philippe Genty (Betheny).

Weber se souvient

Enfin, côté dames, le titre devrait logiquement se jouer entre les 5/6, Lucie Grigielski (Sillery) et Lucie Varenne (La Macérienne). Toutefois, la finaliste malheureuse de l’an passé, Cathy Weber (15, ASPTT Châlons), aura à cœur de ne pas renouveler l’expérience.

Quant à sa nièce, Clémence Weber (15, ASPTT Châlons), et Laetitia Puissant (15, Vitry), elles chercheront à tirer leurs épingles du jeu.


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Union100924b

roller hockey / Nationale 1 : Les Rapaces prêts à mordre

A l’heure de la rentrée, le mot d’ordre est déjà clair du côté des Rapaces. Seule la victoire est attendue demain soir du côté du gymnase Legros pour la première journée de N1 et la réception de Maisons- Laffitte.

La formation francilienne, promue mais néanmoins expérimentée, suscite la méfiance du technicien rémois

Objectif play-offs

Laurent Lexcellent, qui redoute un jeu « typiquement parisien », basé sur le mouvement et quelque peu « rentre-dedans ». Mais l’entraîneur est également sûr de ses forces.

« Nous serons au complet, les trois blocs sont homogènes et ce que je vois à l’entraînement me plaît. Je nous trouve en avance par rapport à l’an dernier », se réjouit Lexcellent, avant toutefois de nuancer son propos.

« Nous sommes capables du meilleur, mais aussi du pire. Nous devons imposer notre jeu et ne plus uniquement nous adapter ».

Cela pourrait s’avérer indispensable si le RHR souhaite enfin atteindre son objectif numéro un, disputer les playoffs. « C’est le genre de matchs que nous devons gagner. A nous de concrétiser notre bonne préparation pour lancer la saison ».


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Union100924a

A Reims et dans l’arrondissement : Des accidents partout

Une bonne dizaine d’accidents, tous sans gravité heureusement, ont été signalés ces dernières 48 heures à Reims et dans les environs.

Mercredi matin, une collision en chaîne impliquant un camion et deux voitures s’est produite quai du Pré-aux-Moines. Seuls des dégâts matériels ont été déplorés.

Constat identique rue François-Legros, ce même jour à 13 h 30, où un automobiliste américain a percuté une voiture en stationnement.

A 18 heures, les pompiers ont secouru deux personnes après un choc opposant deux véhicules sur la RD22, entre Nanteuil-la-Forêt et Presles. Vers 19 heures, retour à Reims, boulevard Pommery, où le chargement d’une camionnette en stationnement qui débordait du toit a éventré la bâche d’un poids lourd à son passage.

Une demi-heure plus tard, un ado de 16 ans a été renversé par une auto rue Chanzy. Toujours mercredi, vers 21 h 10, une automobiliste de 24 ans a percuté le muret central de la RN31, près de Jonchery-sur-Vesle. Elle est légèrement blessée.

La série d’hier a démarré à 7 h 20, avec un piéton renversé rue Gabriel-Péri à Tinqueux. Une heure plus tard, les deux occupants d’un scooter ont chuté place du Nord à Reims.

L’un d’eux, blessé, a été pris en charge par les pompiers tandis que le second… a pris la fuite à pied !

Vers 10 heures, un automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture sur l’A34, au niveau de Pomacle, dans le sens Reims/Rethel. Indemne, il s’est immobilisé sur l’accotement après avoir tapé le rail central.

A 17 heures, une voiture et une moto sont entrées en collision boulevard Rœderer (un blessé léger), tandis qu’au même moment, deux autres personnes ont été secourues après un accident entre deux véhicules, avenue Nicephore-Niepce.


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Union100922c

Insécurité au centre commercial Pays-de-France : Les voleurs de tabac cassent la boulangerie

VOLS, insultes, voire braquages… Pour les employées de la boulangerie du quartier des Pays-de-France, l’insécurité n’est pas ce prétendu fantasme qu’on aime moquer dans les beaux salons parisiens. Elles en perçoivent la réalité presque tous les jours.

Dernier incident en date : un cambriolage dans la nuit de dimanche à lundi.

Exploitée à l’enseigne « Aux fruits de la moisson », la boulangerie a déménagé l’hiver dernier dans le nouveau centre commercial Arago, avenue Bonaparte. Un tabac-presse se trouve à côté.

A coups d’extincteur

« Ils voulaient sûrement voler le stock de cigarettes nettement plus rentable que nos baguettes ou pains au chocolat », ironise le patron, Bernard Verquerre. Les constatations lui donnent raison.

Les malfaiteurs se sont introduits dans la boulangerie par une armoire technique donnant dans les communs d’un immeuble. Le mur en placoplâtre n’a pas longtemps résisté à leurs assauts. Preuve d’une certaine expérience dans la délinquance, ils ont su couper l’alarme et débrancher la caméra de surveillance.

Après avoir traversé l’arrière-boutique, ils ont tenté d’accéder au bureau de tabac en trois endroits différents : par un couloir de service, par le local du vestiaire et les toilettes, mais ils ont buté à chaque fois sur le même mur de parpaings.

Dans le couloir, ils ont démonté trois dalles du faux-plafond. Dans le vestiaire, ils ont grimpé sur un lavabo qui a cédé sous leur poids. Le lave-mains est parti avec. Dans les toilettes, après avoir démoli le placoplâtre, ils ont attaqué les parpaings à coups d’extincteur mais n’ont pas réussi à les percer. En repartant, ils ont volé… un grill à panini, un grill à steak et un présentoir contenant 100 € de sucettes et de faux téléphones portables.

« La peur au ventre »

Les faits ont été constatés à 5 heures par la première employée venue prendre son service. « Ça venait de se produire car l’arrivée d’eau cassée avec le lavabo n’avait pas encore trop inondé l’arrière-boutique », commente une collègue. « Que se serait-il passé si elle avait surpris les voleurs ? Est-ce qu’ils l’auraient frappée ? C’est le genre de questions qu’on se pose et qui font qu’on a mal au ventre quand on vient travailler. Moi, en 13 ans, j’ai été braquée six fois pour la caisse, la dernière fois en juin 2008. Les vols, c’est presque tous les jours. Ils viennent à deux ou trois, ou tout seul, pour se servir dans les rayons. Et puis il y a les insultes, les gens qui nous crient dessus quand on ne les sert pas assez vite aux heures d’affluence. On ne peut rien faire, juste se fâcher en soi et attendre que le palpitant décompresse. »

Dehors, des ouvriers s’activent sur le chantier du tramway. « C’est bien joli, le tramway. On entend de beaux discours dessus mais en quoi ça va changer notre vie si on continue d’être embêtés comme ça au travail ? »

F.C.


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Union100922b

Stage des Francas

Les Francas organisent une session de formation perfectionnement ou renouvellement dans le cadre du BAFD (Brevet d’aptitude à la fonction de directeurs) : du 15 au 20 octobre à I’ADHAJ, résidence les Abeilles - Le Normandie, 20, rue Emile-Gallé, 54000 Nancy (en demi-pension).

Des places sont encore disponibles, pour tout renseignement ou dossier d’inscription, s’adresser aux Francas

- LCA - 29, rue Pierre Taittinger.
- Tél. 03.26.85.55.18 -
- par mail : francas.champagne.ardenne@wanadoo.fr
- ou 58 bis, rue de la Commanderie 54000 Nancy (03.83.29.37.23) - par mail : lesfrancasdelorraine@wanadoo.fr


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Union100922a

Croix-Rouge : Atelier informatique à la médiathèque

 

Vous avez un appareil photo numérique ? Vous voulez apprendre à transférer vos photos sur votre ordinateur pour les classer et les retoucher ?

Venez participer à l’atelier informatique de la médiathèque Croix-Rouge, demain, jeudi 23 septembre, de 14 à 16 heures.

N’oubliez pas d’apporter votre appareil photo et le câble pour le relier à l’ordinateur. Activité gratuite.

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.

 


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100921c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7360 du 20 au 26 septembre 2010.

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Cinéma : EXPOSITION SUR LES FILMS D’ARTS MARTIAUX JUSQU’AU 30 OCTOBRE, À LA MÉDIATHÈQUE CROIX-ROUGE, À REIMS

 

Des films d’arts martiaux, on ne retient souvent que quelques clichés ainsi qu’une légende nommée Bruce Lee.

C’est surtout l’histoire d’un genre cinématographique populaire avec ses codes, son esthétique et ses techniques de combat, qui divergent suivant les studios et les pays de production.

www.ville-reims.fr


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CONSTITUTION DE SOCIETE

CONSTITUTION

Suivant acte reçu par Maître Roland CALSAC. Notaire associé à REIMS (Marne), 15 rue Clovis, le 4 août 2010, il a été régularisé les statuts d’une association syndicale libre dont les caractéristiques sont :

DENOMINATION : ASSOCIATION SYNDICALE LIBRE DU GROUPE EISENHOWER.

FORME : Association syndicale libre régie par la loi du 21 juin 1865, les lois qui l’ont modifiée, les décrets d’application et les articles R 315-6 et 315-8 du code de l’urbanisme.

SIEGE : REIMS (51100), 71 avenue d’Epernay.

OBJET : L’association syndicale a polir objet :

- La gestion, l’entretien des biens situés dans son périmètre, au profit de tous les propriétaires de l’ensemble immobilier ; Ladite gestion s’entendant savoir :
• La police desdits biens nécessaires ou utiles à la bonne jouissance des propriétaires dès leur mise en service et la conclusion de tous contrats et convention y relatifs ;
• La répartition des charges d’entretien desdits biens ;

- La répartition des seules charges qu’un des membres de l’association devrait supporter du chef de sa propriété et qui profiterait aux autres membres :
Ladite répartition s’entendant des Charges liées aux espaces verts et extérieurs, aux portes automatiques des garages ou barrières de parkings, aux chemins piétons et voies privées. aux canalisations et réseaux, ouvrages ou constructions nécessaires au fonctionnement ou à l’utilisation des réseaux et plus généralement sans que cette liste ne soit exhaustive à l’entretien au remplacement, à la reconstruction de tous biens profitant aux autres membres ;

- La répartition des frais, dépenses et honoraires de gestion de ladite association entre ses membres et leur recouvrement.

DUREE : Illimitée.

MEMBRES DE L’ASSOCIATION : 2° – L’adhésion à l’association résulte soit de la participation du propriétaire à l’acte portant constitution de l’association, soit de tout acte de mutation à titre onéreux ou gratuit de tout ou partie desdits immeubles, soit un ou plusieurs lots les composant.

ASSEMBLEE GENERALE : Composée des membres de l’association, se réunit une fois par an et, sauf exception, statue à la majorité des voix exprimées par les propriétaires présents ou représentés.

MODE D’ADMINISTRATION : Un président et un secrétaire général nommé par l’assemblée générale, pour 3 ans et ayant les pouvoirs les plus étendus dans le cadre et pour la réalisation de l’objet de l’association.

Pour avis
88672
Le Notaire.


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TRIBUNAUX DE COMMERCE

SARL A.I.D. (ARCHITECTURE INTERIEUR DESIGN)

SA.R.L. au capital de 7.622,00 €uros

Siège social : 51100 REIMS 41 rue Pierre Taittinger

395 348 089 R.C.S. Reims

Par ordonnance du 02/08/2010, Monsieur le président du tribunal de commerce de REIMS, a désigné la SELARL J. CABOOTER, représentée par Maître Jérôme CABOOTER, Résidence du Palais, 55 rue Aristide Briand - 77100 MEAUX, aux fonctions d’administrateur provisoire de la société avec mission de gérer, diriger et administrer la société en tous actes courants.

88679, Pour avis.


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Union100921b
Le futur réseau de bus et de tram en avant-première

Le nouveau réseau de bus s’articulera autour de cinq lignes fortes.
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REIMS (Marne). À partir d’avril, le réseau de bus va être chamboulé. Les chiffres vont remplacer les lettres. Voici en exclusivité ce qui attend les usagers.

C’EST le résultat d’un an et demi de réflexion. La mise en service du tram en avril prochain va bouleverser les lignes de bus qu’il a fallu redessiner.

C’est chose faite en espérant que les usagers y trouveront leur bonheur. Il y aura 18 lignes en plus des Citadines et des 18 rames de tram. Ce qui correspond à une hausse de l’offre de transport de 5,5 %, soit 400 000 km par an en plus. « Cela n’a pas été évident car tout le monde voudrait avoir un arrêt, non devant chez lui, mais devant chez son voisin », remarque Christian Messelyn, président de Mars.

« Nous avons travaillé avec les associations d’usagers, avons étudié toutes les remarques que les usagers nous ont fait parvenir par courrier et enfin avons tenu compte des projets de l’agglomération. »

Clairmarais mieux desservi

Le nouveau réseau a été construit autour de cinq lignes fortes, numérotées de 1 à 5 (il faudra oublier les lettres actuelles). Ces cinq lignes fonctionneront de jour comme de nuit avec un dernier départ à 0 h 30, ainsi toutes les villes de l’agglomération seront desservies de nuit. La ligne 1 ira de Tinqueux à Europe (via Cernay), la ligne 2 ira de Cormontreuil à la gare (via Wilson), la ligne 3 ira de Orgeval à Moulin de la Housse (via Clairmarais, Clemenceau), la ligne 4 ira de la Neuvillette à l’hôpital (via Robespierre, Sainte-Anne, Wilson). La gare TGV sera desservie par le tram (une rame toutes les 18 minutes qui se calera sur les horaires TGV après 21 heures) et par la ligne 13 (un bus toutes les 10 minutes).

Parmi les nouveautés, il y aura de nouvelles liaisons inter-communes : Saint-Brice va être relié à Bezannes via Tinqueux par la ligne 13, Murigny sera relié à Cormontreuil par la ligne 12, il y aura des liaisons entre Bétheny, le tram, Orgeval et Saint-Brice grâce à la ligne 14. Thillois sera desservi par la ligne 8.

Des liaisons inter-communes

Quelques quartiers seront mieux desservis qu’avant dont celui de Clairmarais grâce à la ligne 4 qui passera par les rues Mignot et Pingat (elle deviendra à double-sens pour les bus). Le quartier Robespierre, Saint-Benoît et la Cartonnerie y gagnent également ainsi que Val de Murigny (ligne 5).

Pas de gros changement au centre-ville : la rue de Talleyrand et le théâtre (qu’il faut maintenant appeler opéra) resteront le royaume des bus. Le deuxième gros pôle d’échange se situera des deux côtés de la gare. Il y aura 7 dessertes pour la gare dont le tram.

Il avait été prévu de créer une ligne express vers Farman en empruntant l’autoroute qui va devenir un boulevard. Ce projet a été abandonné car pas assez rentable économiquement. Il faut que ça plaise mais il faut aussi que ça rapporte.

Catherine FREY

Les A, C et H se volatilisent

Là où passe le tram ne passeront plus les bus. La ligne H qui dessert aujourd’hui Croix-Rouge va complètement disparaître mais le quartier sera desservi par la ligne 4 qui passera au Château d’eau. La 10 desservira Croix-du-Sud, Tourangeaux, Joliot-Curie et le Creps avant de filer vers le centre via François-Dor.

La ligne C telle qu’elle existe va disparaître mais pas tout son tracé. La ligne 4 qui passera par le boulevard des Belges, la place Luton et tournera vers Robespierre la remplacera en partie. Dans sa partie sud, elle sera remplacée par la ligne 1 qui desservira Europe via Saint-André et Cernay. Rue de Neuchâtel circulera la ligne 3 qui ira au centre-ville via Clairmarais.

Le tracé de la ligne A sera couvert de la Neuvillette à l’hôpital par la ligne 4 qui ne passera plus avenue de Laon mais par Robespierre, Lesage, Mignot et gare.

Le nouveau plan « Futur réseau bus-Tram 2011 » est disponible à la boutique TUR-Transdev rue Chanzy


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Union100921a
Quadrimusicales dans les médiathèques

Pour sa 6e édition, le rendez-vous « Musique » des médiathèques de Reims, les Quadrimusicales, a pour ambition de promouvoir des groupes ou des artistes issus de la scène musicale régionale.

Le public est convié à quatre soirées, dédiées chacune à un style musical particulier, pour découvrir un groupe, sa musique et son univers.

Au programme : La famille Adam (Jean-Falala, 21 septembre) ; John Grap (Croix-Rouge, 22 septembre) ; Musique quantique, DJ Ludal et VJ El Lud (Laon-Zola, 23 septembre) ; The Woodsenders (Jean Falala, 24 septembre). Médiathèque Jean-Falala : 2, rue des Fuseliers - 03.26.35.68.00 ; Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue Jean-Louis Debar - 03.26.35.68. 40 ; Médiathèque Laon-Zola : 2, rue de la Neuvillette - 03.26.47. 79.41.


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Union100920d
« Croix-Rouge au fil du graff » : Des couleurs au parc Dufy

Des panneaux réalisés par les habitants de Croix-Rouge.
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Au cours du « lever de rideau » de l’opération « Croix-Rouge au fil du graff », seront dévoilés des panneaux réalisés par Najime Hocini avec les habitants de Croix-Rouge et destinés à ponctuer l’espace urbain à Croix-Rouge dans le secteur Croix-du-Sud au parc public Raoul-Dufy.

Cette œuvre a été conçue lors des ateliers graff 2010 de Croix-du-Sud, un projet « Cultures urbaines », porté par les Maisons de quartiers et soutenu par le Contrat urbain de cohésion sociale (Cucs).

Des jeux aussi

Grâce à ces ateliers mis en place récemment et à venir dans divers quartiers de Reims, des jeunes amateurs peuvent s’exercer sous la conduite de professionnels pour embellir l’espace urbain. L’événement sera précédé de la visite inaugurale des nouveaux jeux installés par la ville de Reims dans le parc public Raoul-Dufy.

Rendez-vous vendredi 24 septembre à 17 h 30 devant le plateau multisport, allée Jacques-Simon, en face du groupe scolaire Blanche-Cavarrot.


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Union100920c
Secteur Chanoine-Lallemant à Croix-du-Sud : Des places en plus pour jardiner

Alain Chevallier (Effort rémois), ici avec la présidente de Croix-du-Sud, est très favorable aux jardins familiaux.
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Alain Chevallier, au nom de Pluri-Habitat, l’a annoncé aux jardiniers de Croix-du-Sud réunis pour leur concours de belles parcelles.

Devant l’engouement provoqué par les jardins familiaux existants, et notamment ceux de Croix-du-Sud, générateurs de convivialité et de lien social, « l’Effort rémois travaille en ce moment à la possibilité de créer une nouvelle petite structure associative de jardins familiaux sur le secteur Chanoine-Lallemant ».

Une bonne nouvelle qui réjouira les nombreux amateurs de jardinage.

 

 


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Union100920b
Plusieurs croix gammées aux abords du collège Legros

Tristes dessins …
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Stupeur, vendredi, en fin de journée, aux abords du collège François-Legros, où des riverains n’ont pas manqué d’être les témoins d’une scène on ne peut plus choquante. Alors qu’ils venaient de quitter les cours, deux collégiens scolarisés dans l’établissement, n’ont pas trouvé mieux, en effet, que de dessiner plusieurs croix gammées sur le chemin du retour.

Plusieurs symboles nazis souilleront ainsi la voie publique sur leur passage. Sur le compteur électrique du collège, sur le poteau d’un panneau publicitaire, face au 37 de la rue d’Epernay, sur un pilier situé à l’entrée du gymnase de l’établissement, avenue du président Kennedy, sans oublier quelques insultes au système inscrites au marqueur le long d’un grillage.

Dénoncés par des riverains, les deux comparses, âgés de 14 ans, ont rapidement été interpellés par les policiers. Conduits à l’hôtel de police pour y être entendus, ils ont fini par reconnaître les faits en expliquant que leur geste ne comportait aucune connotation antisémite.

Ils ont ensuite été remis à leurs parents, lesquels seront reconvoqués ultérieurement pour connaître les suites qui seront données par le parquet des mineurs. Les deux collégiens auraient probablement dû ouvrir leur livre d’histoire plus souvent…

F.B.


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Union100920a

Tennis Racing Club de la Muire : Une centaine de jeunes en tournoi

Les vainqueurs et finalistes du tournoi des jeunes et Etienne Bertrand, le moniteur et organisateur.
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Le Tournoi des Jeunes, organisé par le Tennis Racing club de la Muire, s’est terminé dimanche dernier.

Malgré l’organisation d’autres tournois en cette même période, plus d’une centaine de participants filles et garçons, 10 catégories de 9 ans à 18 ans, ont participé à cette compétition sous la responsabilité d’Etienne Bertrand, responsable de l’école de tennis.

- Pour les 9/10 ans : finalistes : Alexane Habert (Witry), Noa Lopez (Europe).
Vainqueurs : Elvire Prault (Bucy-le-Long), Clément Zarev (Europe).
- Pour les 11 ans : finalistes : Aurore Pierlot (TRCM), Nathan Bernard (Europe).
Vainqueurs : Charlotte Rejaud (Guignicourt), Baptiste Breton (Europe).
- Pour les 12 ans : finaliste : Yvon Prault (Bucy le Long).
Vainqueur : Bastien Villenet (Taissy).
- Pour les 13-14 ans : finalistes : Morgane Kerfriden (URT), Paul Chardin (Europe).
Vainqueurs : Hira Rakotomahanina (Bétheny), Diary Ramanitra (Dormans).
- Pour les 15-16 ans : finaliste : Louis Compas (Géo).
Vainqueur : Antoine Perez (Muizon).
- Pour les 17-18 ans : finaliste : Benoit Martin.
Vainqueur : Mikolaj Woynar.

TRC de la Muire, 12, avenue du 29-Août-1944 à Tinqueux, tél. 03.26.08.64.95. E-mail : trcmuire@wanadoo.fr


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Union100919c
Pour rappeler les droits de l’enfant : Concours international d’affiches

Les droits de l’enfant, des clés pour notre éducation
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L’association des Francas de la Marne sollicite les organisateurs de loisirs éducatifs, responsables associatifs, animateurs et directeurs de centres de loisirs, éducateurs, enseignants mais aussi les particuliers, pour participer au concours d’affiches international « Agis pour tes droits 2010 ».

Relayé dans une trentaine de pays, le concours d’affiches « Agis pour tes droits » a acquis une dimension internationale.

Lutter contre l’exclusion

Son objectif : promouvoir les droits inscrits dans la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), afin de valoriser le regard que les enfants, les jeunes et les adultes portent sur la réalité de ces droits.

Il est ouvert à toute personne mineure ou majeure, dans le cadre scolaire, comme dans les temps extrascolaires, participant de façon individuelle ou collective.

Pour 2010, le thème du concours porte sur la lutte contre l’exclusion, tout particulièrement en matière éducative, culturelle et de participation à la vie sociale.

Droits de l’Enfant : les 10 points principaux

- 1 - J’ai le droit à l’égalité, en particulier entre filles et garçons.
- 2 - J’ai le droit de rêver, de rire, de jouer et de participer à des activités culturelles et sportives.
- 3 - J’ai le droit d’avoir une éducation.
- 4 - J’ai le droit d’être soigné et de bénéficier de soins adaptés à mon handicap et à mon âge.
- 5 - J’ai le droit d’être nourri, logé et de grandir dans de bonnes conditions.
- 6 - J’ai le droit d’être aimé et respecté.
- 7 - J’ai le droit d’être protégé contre tous les mauvais traitements.
- 8 - J’ai le droit de penser, de m’exprimer et de donner mon avis.
- 9 - J’ai le droit d’avoir une identité, une famille, une vie privée.
- 10 - J’ai le droit de m’associer.

Prendre contact avec les Francas de la Marne, 29 rue Pierre-Taittinger, à Reims (03.26.85.55.18. ou 06.82.91.42.21.).

Inscription gratuite . Clôture définitive le 12 octobre.

Le règlement complet du concours est visible sur le site www.francas.asso.fr


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Union100919b
Reims / Passation de commandement Un nouveau chef à la CRS 33

Un nouveau patron a pris les rênes de la CRS 33 de Reims.

Après 17 années passées à la CRS 21 de Saint-Quentin, le commandant Patrick Chargelaigre a été installé dans ses fonctions lors d’une cérémonie officielle de passation de commandement avec son prédécesseur Michel Roehm, nommé à la CRS 35 de Troyes.

Natif du Béarn, Patrick Chargelaigre s’est engagé dans l’armée à l’âge de 19 ans pour aller servir dans l’Outre-Mer, lors des événements de Djibouti (1977).

Entré dans la police en 1987, il est passé par la CRS 25 de Pau, la CRS 51 de Saran et la CRS 21 de Saint-Quentin où il était arrivé en août 1993.

Il y a gravi de nombreux échelons : officier, lieutenant de section et capitaine, adjoint au commandement de la CRS 21. Décoré de multiples médailles civiles et militaires, le commandant Patrick Chargelaigre s’est spécialisé au cours de sa carrière dans l’expertise du maintien de l’ordre en espagnol, une langue qu’il maîtrise parfaitement.

A ce titre, il a participé à des missions de formation en Amérique latine et en Amérique centrale pour le service international de coopération de police, notamment en Argentine, en Equateur, au Mexique et au Salvador.


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Union100919a
Lille retrouve son musée

Pablo Picasso, Homme nu assis, 1908/1909. Donation Geneviève et Jean Masurel, LaM. Photo P. Bernard. © Succession Picasso, 2010
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Modigliani, Nu assis à la chemise, 1917. Donation Geneviève et Jean Masurel, LaM © P. Bernard
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Alexander Calder, Reims, Croix du sud, 1969. Dépôt du Centre Pompidou. © Adagp Paris, 2010
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Daniel Buren, Les trois cabanes éclatées aux trois peaux © Max Lerouge / LMCU
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REOUVERTURE. Après plus de quatre ans de travaux de rénovation et d’agrandissement, le musée d’art moderne Lille Métropole (Villeneuve-d’Ascq) rouvrira ses portes au public le 25 septembre sous un nouveau nom : le LaM.

Seul musée en Europe à présenter simultanément les principales composantes de l’art des XXe et XXIe siècles, le LaM (Lille métropole musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut) proposera au public, à partir du 25 septembre prochain, l’accès à une prestigieuse collection d’art moderne, à un ensemble d’art contemporain de référence et à une collection d’art brut sans égale en France. Ses trois collections réunissent près de 4.500 oeuvres.

Inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 2000, le musée a été conçu pour abriter la donation faite par Geneviève et Jean Masurel à Lille Métropole Communauté Urbaine en 1979. Cette collection est constituée de chefs-d’oeuvre cubistes de Georges Braque, Henri Laurens ou Pablo Picasso, ainsi que d’ensembles significatifs d’oeuvres de Fernand Léger, Joan Miró et Amedeo Modigliani. Le Fauvisme, le Surréalisme, l’École de Montparnasse, l’École de Paris, l’Art Naïf et les artistes du Nord de la France y sont également représentés.

La collection d’art contemporain, constituée au fil des ans, rassemble des oeuvres d’artistes français et étrangers tels que Lewis Baltz, Christian Boltanski, Daniel Buren, Allan McCollum, Annette Messager, Dennis Oppenheim, Pierre Soulages ou Jacques Villeglé. En 1999, ces collections se sont enrichies de la plus importante collection d’art brut en France, issue de la donation faite par l’association L’Aracine. Les plus grands noms de l’art brut y sont représentés : Aloïse Corbaz, Fleury Josep + h Crépin, Henry Darger, Auguste Forestier, Madge Gill, Jules Leclercq, Augustin Lesage, Adolf Wölfli ou bien encore Carlo Zinelli…

C’est l’ampleur de cette donation qui a nécessité la rénovation du musée et la construction de son extension.

LaM, 1 allée du Musée, Villeuve-d’Ascq.

Ouvert du mardi au dimanche de 10 à 18 heures.

Entrée : 5 et 7 euros.

Gratuit exceptionnellement jusqu’au 30 janvier, de 16 à 18 heures, en semaine.

Un week-end inaugural d’exception, en accès gratuit, le samedi 25 septembre de 10 heures à minuit et le dimanche 26 septembre de 10 heures à 18 heures.

Renseignements au 03.20.19.98.99.


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Union100918c
« L’été s’affiche à Croix-Rouge » : un bilan très positif : Les familles au rendez-vous

Elham Kouch, animatrice de proximité à la maison de quartier Croix-Rouge, est plus particulièrement chargée des relations avec les familles. C’est elle qui a coordonné toutes les animations mises en place pendant trois semaines sur le site de l’hippodrome au cours de l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».

Elle raconte : « Il fallait délimiter l’espace familles et nous avons donc réalisé une fresque géante décorée de 28 panneaux, représentant un aquarium géant. 39 adultes et 85 enfants ont participé à sa réalisation, dont un groupe d’adolescentes avec leurs mères, qui ont peint à elles seules 14 panneaux ! ».

Une fois cet espace bien dessiné, interdit aux animaux et surveillé tous les soirs par un vigile, Elham Kouch et ses partenaires l’ont « meublé » : un espace eau, avec des piscines vidées et nettoyées tous les soirs, un espace motricité, un espace jardin d’enfants, un espace petite enfance, une tonnelle partenaires, un espace jeux de sable, sous un grand marabout, un endroit couvert, dans lequel il n’y avait aucun risque de trouver des excréments d’oiseaux ou d’animaux, avec quatre coquilles de sable, des seaux, des pelles, des râteaux et des moules étant mis à la disposition des familles.

Créer du lien : objectif atteint !

A l’heure du bilan, Elham Kouch constate : « Cet espace a connu un franc succès au cours de « L’été s’affiche à Croix-Rouge ». L’espace familles a été le lieu le plus fréquenté sur le site de l’hippodrome. Les familles étaient heureuses d’arriver avec leurs enfants dans cet endroit sécurisé et propre : 557 personnes (166 adultes et 391 enfants) y ont été accueillies, c’est-à-dire un quart du nombre de personnes attendues ».

Lors des animations proposées sur l’espace famille, des liens se sont réellement créés. Certaines familles sortaient de chez elles tous les après-midi, d’autres aidaient les animatrices à installer et à ranger le matériel : « elles ont vraiment pris du plaisir à participer aux activités proposées. Ces trois semaines d’animations ont permis à des familles qui habitent le même quartier mais qui ne se connaissaient pas, de se rencontrer, de partager des loisirs avec leurs enfants, de sortir une journée ensemble en dehors du quartier ». Objectif atteint : rendez-vous à la prochaine édition !


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Union100918b
Photo numérique

La médiathèque Croix-Rouge propose une un atelier photo numérique le jeudi 23 septembre de 14 â 16 heures.

Apporter son appareil photo et le câble pour le relier à l’ordinateur.


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Union100918a
Les samedis du sport, demain : Découverte en famille

Le basket est une des principales composantes de l’Ufolep.
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Comme à son habitude en cette période de rentrée, le comité départemental Ufolep, fédération sportive multisport, propose aux associations un large éventail d’activités sportives - disciplines traditionnelles, sports émergents, loisir ou compétition - mais aussi des formations autour de la pratique et de l’encadrement de ces activités…

Chacun y trouvera les moyens de pratiquer ou d’encadrer un ou plusieurs sports, quels que soient son niveau, ses objectifs, ses contraintes…

Football, VTT, volley-ball, cyclisme, badminton, athlétisme, tir à l’arc, basket-ball entre autres alimentent des calendriers d’ores et déjà fournis et des week-ends animés par les quelque 150 associations et près de 5 000 licenciés du département de la Marne. Par ailleurs, le comité apporte, au-delà des diverses activités physiques et sportives présentées, un soutien dans la construction des projets associatifs et un ensemble de ressources et d’informations utiles à la vie des associations.

Comité départemental Ufolep, 19-23, rue Alphonse-Daudet, 51100 Reims. Tél. 03.26.84.32.26. www.ufolep51.org

 


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Union100917b
Les samedis du sport, demain : Découverte en famille

Il sera possible de découvrir, entre autres sports, le roller au gymnase Roux.
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À la suite des Etats généraux du sport, la Ville et les clubs ont décidé de promouvoir le sport pour tous. Demain samedi 18 septembre, le quatrième rendez-vous des « Samedis du sport » permettra de pratiquer, gratuitement, une quinzaine de sports ou d’activités physiques et ce, dans l’ensemble de la ville.

Chaque activité proposée sera encadrée et animée par les bénévoles des clubs partenaires ou par des éducateurs territoriaux des activités physiques et sportives. Cette diversité des acteurs assure une large palette d’activités disponibles : Diagnoforme, aquagym, aqua-palmes, patinage, hockey, aviron, tennis de table, gymnastique du Corps et l’Esprit, roller, basket, activités du cirque, marche nordique, randonnée pédestre, badminton, tennis.

Pour l’instant, ces « Samedis du sport » n’ont pas encore rencontré leur public. Mais l’organisation récente de la fête du sport et les journées de la forme de ce week-end vont peut-être permettre aux Rémois de mieux connaître cette organisation.

Au programme

- Aquagym et aqua palmes, avec le RN89 et la Rems, à la piscine Orgeval.
- Tennis, avec l’Inter-tennis, rue du Mont-d’Arène et rue de Saint-Brice.
- Aviron aux Régates rémoises.
- Basket, tennis de table et gymnastique corps et esprit à René-Tys et esplanade Léo-Lagrange.
- Arts du cirque au gymnase Saint-Exupéry.
- Badminton au gymnase Richelieu.
- Randonnée en famille au gymnase Borgniet.
- Roller au gymnase Roux.
- Patinage, initiation hockey, à la patinoire Jacques-Barot.

Les activités sont accessibles à tous, parents et enfants. Il est nécessaire de s’inscrire au préalable auprès de la Direction des Sports de la Ville de Reims.

Le formulaire d’inscription est en ligne sur le site www.reims.fr (sports/événements sportifs).

Le bulletin d’inscription est également disponible dans les mairies annexes et à l’hôtel de ville de Reims. Les bulletins doivent être remplis et déposés ou envoyés à la Direction des Sports, stade Auguste-Delaune, chaussée Bocquaine, à Reims.

Renseignements au 03.26.79.86.40. Dispositif gratuit.


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L’hebdo du vendredi- n° 181 - 100917a

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 181 - Semaine du 17 au 23 septembre 2010

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MERCREDI 22 SEPTEMBRE : CONCERT POP : « JOHN GRAPE »

Mélodies envoûtantes et textes chantés en anglais pour ce petit frère des Bewitched.

Dans le cadre des 6èmes quadrimusicales.

A 19h30 – Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar


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« LE FILM D’ARTS MARTIAUX »

Des films de kung-fu et de sabre chinois jusqu’à son influence dans la production internationale actuelle en passant par les films de samouraïs, de yakusas ou de ninjas japonais, nous vous invitons à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques.

Horaires d’ouverture habituelle – Entrée libre

Médiathèque Croix-Rouge et Jean Falala


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Union100916a
Jardins familiaux de Croix-du-Sud : les prix du concours de la plus belle parcelle

Les jardiniers classés présentent fièrement leurs coupes.
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Il y avait beaucoup de monde aux jardins familiaux de Croix-du-Sud, à la rocade des Camélias, rue Joliot-Curie, samedi 11 septembre à 10 heures. L’association organisait la cérémonie de remise des prix du concours annuel de la plus belle des 92 parcelles (dont 2 pédagogiques), avant un bon méchoui préparé par les bénévoles et pris en extérieur sous la tente.

34 parcelles remarquées

La présidente, Évelyne Nkounkou, a commencé par rappeler les incidents qui ont terni cette saison de jardinage : « Huit cabanes de jardins ont brûlé l’an dernier et encore une cet été. Nous remercions la Ville qui nous les a remplacées et l’association 2 Mains qui nous les a montées et installées gratuitement ». Jean-Michel Gauthier, président de cette association, a reçu un cadeau à partager avec ses bénévoles.

Place ensuite à la lecture du palmarès du concours. « Cette année, nous avons classé l’ensemble des parcelles et nous récompensons les 34 premières », a déclaré la présidente.

Les heureux élus ont reçu une coupe et une enveloppe de 10 à 40 euros, offerte par le partenaire de toujours, Alpha Logement et remises par Alain Chevallier. « J’ai remarqué que les nouveaux jardiniers ont très rapidement rattrapé, en qualité, les anciens jardiniers ! », a affirmé ce dernier.

Éric Quénard, adjoint à la ville a lui aussi félicité l’ensemble des jardiniers : « Vous cultivez certes la terre, mais aussi le partage et la convivialité ! Quant à votre partenariat inter-associatif avec 2 Mains, il est exemplaire ! »

La présidente a encore félicité les animateurs des deux jardins pédagogiques, confiés à l’association de promotion de Pays-de-France (parcelle 68) et à l’association Étoile Croix-du-Sud (parcelle 44). Un lot de graines sera remis aux enfants, « sûrement de futurs jardiniers déjà expérimentés », en récompense de leur bon travail.

Le palmarès de 2010

1, Jérôme Weiler. 2, Mohamed Loumi. 3, Jean Dugué. 4, Christiane Maquin. 5, Évelyne Nkounkou. 6, Pierre Gros. 7, Michèle Dhez-Henry. 8, Pascal Petit. 9, Jean-Pierre Malissart. 10, Gemyk Salo. 11, Laurent Monflier. 12, Bernard Lefèvre. 13, Jivorak Sajik. 14, Catherine Graffin et Hocine Benaïche. 16, Serge Gilbert. 17, association Étoile Croix-du-Sud. 18, Messaoud Madadi. 19, Ahmed Assim. 20, Jacques Bidaut.

Les autres résultats sont affichés sur le panneau associatif


……….

Un vainqueur courageux

 

 

 

La surprise a été grande pour le vainqueur 2010. Jérôme Weiler. Ce jeune jardinier, s’est vu attribuer une parcelle dans un état catastrophique.

« Il a abattu un travail énorme ! », a déclaré Éric Quénard, adjoint à la ville.

« J’ai dû débroussailler une forêt d’arbustes et de plantes qui avaient envahi la parcelle, abattre et dessoucher des arbres, remettre en état de culture une terre quelque peu délaissée, redessiner tout le jardin », a commenté ce jeune homme courageux qui, en plus d’un potager bien fourni, a un grand sens de la décoration florale, ce qui ne gâte rien !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

 


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Union100915e
A Croix-Rouge le 22 septembre : Journée exceptionnelle à la médiathèque

Le Rémois Thierus n’a pu franchir l’obstacle Ladouce.
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Deux rendez-vous importants attendent les visiteurs à la médiathèque Croix-Rouge le mercredi 22 septembre : une performance artistique collective de 10 à 18 heures sur le parvis et un concert de John Grape en salle d’exposition à 19 h 30.

De 10 à 18 heures, sur le parvis, l’animation « Cubes de lumière », avec l’artiste Jérôme Toq’r, au cours de laquelle le public sera invité à réaliser des cubes de toile à peindre.

Les œuvres seront exposées durant le mois d’octobre sur le parvis de la cathédrale. Cette manifestation est organisée par la maison de quartier Croix-Rouge. Pour participer, il faut s’inscrire à l’espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau (tél. 03.26.36.03.50.).

A 19 h 30, le même jour, un concert dans le cadre des Quadrimusicales accueillera John Grape (Folk Rock/Alternatif/Pop), « petit frère des Bewitched et de Alb » qui est destiné à être la prochaine sensation pop venue de Reims.

Toujours au service de mélodies envoûtantes et de chansons aux harmonies vocales soignées, dont les textes chantés en anglais parlent inévitablement d’amours parfois déçues, parfois non… Chaque Quadrimusicale allie concert et temps d’échange avec le public, afin d’en faire un rendez-vous placé sous le signe de la convivialité, de l’échange et du partage.

Deux événements gratuits.

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100915d
TENNIS / Witry-lès-Reims : Quelle vitalité

Fort de 90 inscriptions, le tournoi jeunes du TC Witry-les-Reims a démontré, s’il en était encore besoin, la vitalité de l’école de tennis dirigée par Marie-Alix Boisseau. En parallèle à quelques surprises - en 10 ans garçons ou 11/12 ans filles -, il faut noter les victoires de Baptiste Breton (30/2, Reims Europe Club) et Bastien Villenet (30/1, Taissy), également titrés en terre muirienne.

Enfin, en raison de la pluie, les finales 10 ans filles et 15/16 ans garçons ont été reportées.

FILLES

11-12 ans : Amélie Lamons (30/3, Cheminots Reims) bat Sarah Hannoun (30/1, Guignicourt) 2-6, 6-3, 6-4.
15-16 ans : Lisa-Marie Habert (15/4, Witry-les-Reims) bat Caroline Deglave (15/4, Guignicourt) 6-2, 3-6, 6-2.

GARCONS

9 ans : Lopes (30/3, Reims Europe Club) bat Raphael Sanlis (40,Witry-les-Reims) 5-1, 5-0.
10 ans : Godart (30/4, La Macérienne) bat Joubert (30/2, Taissy) 5-1, 4-5, 5-2.
11 ans : Breton (30/2, Reims Europe Club) bat Demangeat (30/2, URT) 5-7, 6-0, 6-0.
12 ans : Villenet (30/1, Taissy) bat Bonnet (30/1, ASPTT Châlons) 2-6, 6-2, 6-2.
13-14 ans : Sutti Dodero (15/5, Géo-André) bat Rambaut (15/5, Géo-André) 6-4, 6-7, 6-1.
17-18 ans : Renard (15/4, Géo-André) bat Delarme (15/5, Reims Europe Club) 7-6, 6-4.


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Union100915c
TENNIS / La Muire : Sans surprise

La logique a très souvent été respectée avec notamment les succès des espoirs marnais Clément Zarev (30/2, Reims Europe Club) et Bastien Villenet (30/1, Taissy).

FILLES

10 ans : Elvire Prault (30/1, Bucy-le-Long) bat Alexane Habert (30/3, Witry-les-Reims) 5-1, 5-1.
11 ans : Charlotte Rejaud (30/2, Guignicourt) bat Oxane Pierlot (30/1, TRC Muire) 6-2, 6-1.
13-14 ans : Hira Rakotomanahina (30, Bétheny) bat Morgane Kerfriden (30/3, URT) 6-0, 6-0.

GARCONS

10 ans : Zarev (30/2, Reims Europe Club) bat Lopes (30/3, Reims Europe Club) 5-4, 5-3.
11 ans : Breton (30/2, Reims Europe Club) bat Bernard (30/1, Reims Europe Club) 4-5 abandon.
12 ans : Villenet (30/1,Taissy) bat Prault (30/1, Bucy-le-Long) 6-2, 6-2.
13/14 ans : Ramanitra (15/5, Dormans) bat Chardin (30, Reims Europe Club) 6-3, 6-1.
15/16 ans : Perez (15/3, Muizon) bat Compas (15/4, Géo-André) 6-3, 6-1.
17/18 ans : Woynard (15/4, Géo-André) bat Martin (15/3, Géo-André) 7-5, 3-6, 6-1.


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Union100915b
Feux de poubelles les incendiaires rodent

Hier vers 1 h 30, deux poubelles ont été incendiées rue Paul-Vaillant-Couturier, au niveau de la rue Devine.

Le même vandale est probablement à l’origine d’un troisième feu de poubelle allumé à 2 h 10 rue Roger-Jardelle.

Un autre incendiaire a sévi derrière l’hippodrome, avec deux conteneurs mis à feu entre 3 h 15 et 3 h 30 rues Jacques-Detré et Jean-Jacques-Désiron.

Lundi soir, une poubelle a brûlé à 21 h 30 près du magasin Retif, sur la RD966 à la sortie de Reims (zone commerciale de la Neuvillette), puis une autre encore rue Léopold-Charpentier à 22 h 15.


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Union100915a
Papiers grillés

Hier à 19 h 30, les pompiers ont été appelés place Georges-Braque, au no 19, pour une « odeur de brûlé ».

Ils ont découvert les restes d’un feu de papiers.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100914h
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7359 du 13 au 19 septembre 2010.

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Cinéma : EXPOSITION SUR LES FILMS D’ARTS MARTIAUX JUSQU’AU 30 OCTOBRE, À LA MÉDIATHÈQUE CROIX-ROUGE, À REIMS

 

Des films d’arts martiaux, on ne retient souvent que quelques clichés ainsi qu’une légende nommée Bruce Lee.

C’est surtout l’histoire d’un genre cinématographique populaire avec ses codes, son esthétique et ses techniques de combat, qui divergent suivant les studios et les pays de production.

www.ville-reims.fr

 


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Union100914g
Quartier Pays-de-France : la vie infernale des locataires de l’îlot H

Il s’en passe de belles dans les garages.
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L’environnement laisse vraiment à désirer.
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Dans le cadre de l’Agence nationale de renouvellement urbain (ANRU), un effort financier très important a été conclu entre le Foyer rémois et la SA Pertuy-construction pour engager un plan de réhabilitation et (ou) de résidentialisation des îlots A et B de Pays-de-France : 14 263 561 € pour l’îlot A et 15 128 820 € pour l’îlot B, de part et d’autre de l’avenue du général-Bonaparte.

530 logements sont concernés par ces projets qui devraient être terminés fin 2013.

Cette bonne nouvelle ne peut malheureusement pas être appréciée par les habitants de l’îlot H, qui se sentent oubliés et qui sont unanimes à se plaindre de leurs conditions de vie quotidiennes : cela ne peut pas durer ainsi !

À l’initiative d’une locataire, un cahier de doléances s’est constitué. Aucune observation n’est anonyme, mais les habitants ne souhaitent pas que leur nom apparaisse dans nos colonnes « par crainte des retombées… ».

92 personnes ont exprimé leur ras-le-bol, elles habitent l’îlot H : la rue Lavoisier, l’allée des Tourangeaux, l’allée des Gascons et la rue Joliot-Curie et leur bailleur est le Foyer rémois.

Extraits significatifs

- Les caves : « puanteur, crasse, pisse humaine, portes détériorées et taguées », « elles sont squattées le week-end », « les caves sont sales », « caves inutilisables car forcées régulièrement », « des remontées d’odeurs désagréables », « certaines personnes y font leurs besoins », « ma cave est prise pour un dépotoir », « les caves sont en libre accès »,…
- Les poubelles : « elles sont trop remplies », « le local des poubelles est rarement lavé ».
- Les conteneurs à ordures : « ils ne sont pas nettoyés ni désinfectés ».
- Les escaliers : « ils sont constellés de mégots ».
- Les parkings : « aucun entretien au niveau des parkings », « les véhicules sont dégradés », « des pneus sont crevés », « les familles ont peur de garer leurs véhicules à cause des casses permanents ».
- Le garage G15 : « sale, trop délabré, encombré par des voitures en réparation et des épaves », « beaucoup de voitures immobilisées ou en réparation », « le parking sert de garage pour réparation de voitures étrangères », « trop de voitures ne roulent pas. Ce n’est pas un garage pour véhicules cassés », « aucun entretien au niveau du garage », « comment se fait-il qu’il y ait un service de réparations de véhicules au G15 depuis presque un an, avec des plaques d’immatriculation étrangères ? »
- Boîtes aux lettres : « elles sont dégradées », « elles sont ouvertes à tout le monde », « vol de colis et de courrier ».
- Les portes d’entrée et les fenêtres : « tout est dégradé. Présence d’impacts de balles de carabine à plomb », « les portes d’entrée sont souvent grandes ouvertes ou claquent à tout vent », « serrures cassées non réparées ».
- L’environnement : « pelouses mal entretenues, chemins d’accès aux immeubles défoncés, nombreux trous et ornières », « le bitume abîmé cause des chutes », « bruit de boosters incessant ».
- La sécurité : « peur de sortir la nuit à cause de jeunes qui insultent les personnes », « un panneau de signalisation de voie pompiers a atterri sur mon balcon, jeté par des jeunes », « j’en ai marre de me faire insulter gratuitement ».
- La police : « la police n’est présente que quand le quartier est calme, jamais quand les quads et les motos font du cross dans le quartier ! »

En conclusion : « Une envie : quitter le quartier ! » déclare un locataire de la rue Lavoisier.

Le Foyer Rémois préoccupé

Les habitants qui se sont exprimés ici ne sont pas passés par l’intermédiaire de l’association de défense des locataires « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » qui avait, lors d’une précédente enquête, interrogé les locataires.

110 réponses avaient été collectées et remises au Foyer rémois. Alors que beaucoup de personnes parlent d’une « agence fantôme », à la question sur l’efficacité de cette agence, 79 % disaient « y avoir été bien reçus », 50 % trouvaient qu’ils avaient « été écoutés » et 44 % estimaient que l’agence avait « donné suite à leurs demandes ».

En revanche, seuls 4 % avaient vu le chef d’agence contrôler le travail des entreprises : « on ne le connaît pas » et « on ne l’a jamais vu » étaient les observations les plus courantes.

Ici, dans le cas présent, on relève les remarques suivantes : « L’agence ne prend pas en compte les doléances des locataires », « nos doléances ne sont pas prises en charge », « notre immeuble étant en vente, le Foyer rémois ne nous écoute plus ! », « il faudrait que la gérance assume de manière correcte ».

Rassurant…

Au siège de l’organisme logeur, Christophe Faber, directeur clientèle, tient un discours optimiste : « le Foyer rémois ne se désintéresse absolument pas de cette partie du quartier Pays-de-France. Avec la ville de Reims, nous sommes préoccupés par les conditions de vie de l’ensemble de nos locataires. Sur le secteur concerné par cette pétition, nous avons déjà réalisé la rénovation des façades et nous travaillons actuellement sur l’étanchéité des terrasses. À l’échéance 2012, nous aurons revu toute la partie électrique des appartements et des parties communes, ainsi que les contrôles d’accès des entrées. Enfin, le secteur Gascons sera résidentialisé pour un environnement plus agréable et plus sécurisé. On est loin d’un quartier délaissé ! »

Christophe Faber, précise par ailleurs que, s’il comprend que des locataires se plaignent, même par pétition, l’agence de Pays-de-France doit être la première informée, puis le siège à la direction de la clientèle : « comment répondre à des problèmes si nous n’en sommes informés que par la presse ? »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


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Union100914f
Nouveaux rythmes scolaires à Georges-Braque

Les matières traditionnelles en salle le matin…
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… et des activités sportives ou artistiques l’après-midi.
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Pour Alan ou Martin (à droite) : « Quatre heures de Cours le matin, ce n’est pas un problème. » A.P.
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Cours ordinaires concentrés le matin, activités physiques ou artistiques l’après-midi : ce programme ne pose pas de difficulté aux collégiens.

« CE matin on a eu français, anglais, histoire et SVT*, cet après-midi on va à la piscine. » Voilà un exemple d’une journée type d’Alan, 12 ans, collégien à Georges-Braque pour cette nouvelle année scolaire : cours généraux (les matières obligatoires, comme le dit le principal Olivier Leloux) le matin ; activités sportives ou artistiques l’après-midi. Alan fait en effet partie d’une des deux classes de 5e qui expérimentent à partir de cette rentrée les nouveaux rythmes scolaires, plus ou moins inspirés de ce qui se fait chez certains de nos voisins européens, allemands par exemple.

« Les familles ont été reçues au moment de la rentrée pour se faire expliquer cette nouvelle organisation des journées », explique le chef d’établissement, mais on comprend à l’entendre qu’elles n’ont guère eu le loisir d’opposer un éventuel refus. Comme ses camarades, Alan n’a pas eu le choix, c’est l’établissement qui a composé ses classes pilotes d’autorité, « en choisissant des élèves qui n’avaient tous aucune option spécifique, précise le principal : pas de latinistes par conséquent, pas de bilangues, pas de section sportive badminton… de façon à élaborer des emplois du temps qui ne soient pas surchargés. »

Pour Alan et ses camarades, comme Déborah, Océane ou Martin, cela veut donc dire des matinées de quatre heures de cours systématiquement entre 8 heures et midi. « Pas de trou dans leur emploi du temps », résume le chef d’établissement, contrairement à ce qui peut arriver aux autres qui suivent les rythmes traditionnels.

Savoir-être

Quatre heures de cours le matin ? Ça n’a pas l’air de poser problème à ces jeunes. « Le matin, on travaille dur, résume Martin, et l’après-midi on se détend. » Au cours de l’année, leur seront ainsi proposées, entre 13 h 30 et 15 h 30, diverses activités comme escrime, escalade, judo, canoë (sur des « dragon boats » de dix places), mais aussi chant choral ou diététique. « Ce ne sont que des activités de découverte, rappelle M.Leloux, c’est pour ça que les sports proposés sont de ceux qu’ils n’ont pas forcément la possibilité de pratiquer couramment. Et c’est de l’activité, pas de l’enseignement, ce qui veut dire qu’il n’y a pas au bout d’évaluation chiffrée, ce n’est pas noté ; l’intérêt est davantage de leur apporter un savoir-être qu’un savoir tout court. »

Si pour les élèves ces après-midi « différents » font effectivement penser à de la détente, pour les enseignants, « ce sont des heures en plus », indique leur principal (qui leur sont payées bien entendu). Mais à la différence des élèves, les profs ont eu le choix. Et heureusement, le collège n’a pas eu de mal à trouver des volontaires.

Antoine PARDESSUS

*Sciences de la vie et de la terre (les sciences naturelles d’autrefois).


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Union100914e
Lycée Joliot-Curie : En BTS avec l’envie de se surpasser

Ils entrent en 1re année de préparation au BTS Nrc.
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La rentrée des élèves inscrits en première année de préparation du BTS Nrc (négociations relations clients) au lycée Joliot-Curie s’est passée, cette année encore, sous les meilleurs auspices, avec une semaine de conférences données par des professionnels formateurs appartenant à des secteurs variés : banque, agence de location de matériel de travaux publics, bureautique, extincteurs et radio locale. Ils ont aussi rencontré Jean-Michel Loeb, président régional des Dirigeants commerciaux de France (DCF).

A l’issue de ces journées de sensibilisation - et à la veille d’une visite à Guise sur les pas de Godin - la promotion a été invitée, avec les élèves de 2e année, à une réception organisée par le nouveau chef d’établissement, Amadou Simal. Celui-ci a remercié les intervenants et les professeurs qui contribuent à la réussite de cette formation très demandée sur le marché du travail, comme l’a souligné Hervé Gouvenaux, inspecteur régional en économie gestion : « Il y a eu 74 % de réussite l’an dernier et vous avez maintenant à votre portée tous les moyens de faire encore mieux ». Dans cette perspective, il a insisté sur la nécessité d’apprendre à travailler en équipe et de maintenir les efforts - en particulier pour les langues vivantes - durant les deux ans à venir : « Il faut que vous ayez envie de vous surpasser ».


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Union100914d
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P http://djo.journal- officiel.gouv.fr/MarchesPublics.

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.

REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché : réfection de l’étanchéité des terrasses inaccessibles des immeubles sis 16-18, rue de Rilly-la-Montagne, 9 à 17, rue Pierre-Taittinger et 38-42, esplanade Eisenhower, quartier Croix-Rouge à Reims.

5) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr.

6) Date limite de réception des offres : le 12 octobre 2010 à 17 heures.

7) Date d’envoi à la publication : le 9 septembre 2010.

51AO1769750


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Union100914c
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P http://djo.journal- officiel.gouv.fr/MarchesPublics.

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.

REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché : remplacement des ensembles d’entrée, sécurisation d’accès et interphonie dans les immeubles situés du 4 au 22, rue Yvon-et-Claire-Morandat à Reims.

4) Lots :
- Lot 1 : métallerie,
- Lot 2 : électricité interphonie.

5) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims- habitat.fr.

6) Date limite de réception des offres : le 7 octobre 2010 à 17 heures.

7) Date d’envoi à la publication : le 8 septembre 2010.

51AO1769558


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Union100914b
Quadrimusicales dans les médiathèques

Pour sa 6e édition, le rendez-vous « Musique » des médiathèques de Reims, les Quadrimusicales, a pour ambition de promouvoir des groupes ou des artistes issus de la scène musicale régionale. Le public est convié à quatre soirées dédiées chacune à un style musical particulier pour découvrir un groupe, sa musique et son univers.

Au programme : La famille Adam (Jean Falala, 21 septembre) ; John Grap (Croix Rouge, 22 septembre) ; Musique quantique, Dj Ludal et Vj El Lud (Laon-Zola, 23 septembre) ; The Woodsenders (Jean Falala, 24 septembre).

- Médiathèque jean- Falala : 2, rue des Fuseliers- 03.26.35.68.00 ;
- Médiathèque Croix-Rouge : 19. Rue Jean-Louis Debar – 03.26.35.68.40 ;
- Médiathèque Laon-Zola : 2,rue de la Neuvillette - 03.26.47.79.41.


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Union100914a
Pontfaverger-Moronvilliers Tennis / Ladouce et Krug au palmarès

Le Rémois Thierus n’a pu franchir l’obstacle Ladouce.
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Limité à 15 pour sa 17e édition, le tournoi du SL Pontfaverger a malheureusement connu, dimanche, une finale masculine tronquée.

Pourtant, l’affiche était belle entre deux 15, habitués de l’épreuve, Anthony Ladouce (Revin) et Pierre Schwartz (Bétheny). Reste que le Béthenyat, ancien moniteur à « Pontfa », blessé au dos et au mollet en raison notamment de l’enchaînement des matches et d’une demie matinale à rallonge, a dû abandonner alors que l’Ardennais menait 6-0, 1-0 ! « Cette finale nous laisse sur notre faim d’autant que ce sont deux combattants avec de gros services. Mais, sur ce tournoi, Anthony Ladouce sortait du lot et sa victoire est vraiment logique », notait le maître de cérémonie Raphael Vispi.

Par ailleurs, dans un tableau féminin bien maigre, la finale a, comme prévu, opposé Florence Depaquit (15, Guignicourt) à Clémence Krug (15/2, Reims Europe Club). Avec à la clé une belle « perf » de la petite(13 ans) prodige rémoise qui a parfaitement su mettre en avant sa technique et sa maîtrise pour dominer l’expérimentée +45 ans axonaise sur le score de 6-3, 6-3.

MESSIEURS

Quarts de finale : Ladouce (15, Revin) bat Ledan (15/1, Cormontreuil) 7-5, 2-6, 6-0 ;Thierus (15, Géo-André) bat Martin (15/2, URT) 6-2, 6-1 ; Pierre (15/2, CS Marseille) bat Aernout (15/1, Nouzonville) 6-4, 7-5 ; Schwartz (15, Betheny) bat Zymek (15/2, Suippes) 6-1, 6-2.

Demi-finales : Ladouce bat Thierus 6-2, 6-2 ; Schwartz bat Pierre 4-6, 6-2, 6-0.

Finale Ladouce bat Schwartz 6-0, 1-0 abandon.

DAMES

Quarts de finale : Agnès Razafindranaly (15/5, ASPTT Châlons) bat Laure Mourato (30/4, Warmeriville) 6-1, 6-0.

Demi-finales Clémence Krug (15/2, Reims Europe Club) bat Agnès Razafindranaly 6-2, 6-0.

Finale : Clémence Krug bat Florence Depaquit (15, Guignicourt) 6-3, 6-3.


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Union100913b
http://www.quartier-croix-rouge.inf…
« Battle graff » place d’Erlon : une grande première ! [1]

La fresque gagnante : une cathédrale sur un fond très graphique !
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Une foule de curieux pour admirer les as de la peinture en bombe aérosol !
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Une performance artistique et collective de 28 graffeurs, en plein centre de Reims, venus s’affronter en public : le « Battle Graff » a réussi le pari de conquérir tous les publics.

« Il ne reste plus que trois minutes ! » : Najime Hocini informe les 14 équipes participant au « Battle Graff » que la première éliminatoire s’achève.

Derrière les barrières, se pressent promeneurs et touristes, attirés par les panneaux qui se couvrent rapidement de lettres stylisées et de dessins sur le thème de Reims et de la Champagne.

Un art

La scène intrigue, puis séduit une foule de tous âges, admirative devant l’habileté et le talent de ces as de la bombe de peinture.

« Je voulais que l’image du graffiti soit meilleure que celle qu’elle a actuellement sur la ville », précise Najim Hocini, organisateur de l’événement, financé par la Ville. Pari réussi !

Un couple de Laonnois s’est arrêté : « C’est une autre vision du tag. Ici, il y a une grande maîtrise du trait, c’est magnifique : C’est vraiment un art ! »

Un jury de trois professionnels examine les réalisations. « J’apprécie le trait, la créativité, le rendu, la technique, la maîtrise de l’espace », explique « Apple 76 », un graphiste grenoblois. Deux des 14 « duos » en lice sont rémois. Les autres viennent de plusieurs villes de France et de Madrid. « Notre principe c’est d’amener le graffiti en déco, de le faire évoluer vers un mouvement plus artistique », confie « Doudou », la seule fille de la compétition : encore très masculin le milieu du graff !

Sur le thème final de « La cathédrale », la fresque du duo « Roya et Les gens » a remporté le tournoi devant des concurrents de très haut niveau.


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Union100913a
Plusieurs voitures incendiées

Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus à reprises dans la nuit de samedi à dimanche pour circonscrire des feux de voitures.

Tout d’abord à minuit, rue François-Arago, dans le secteur Pays-de-France du quartier Croix-Rouge, où une BMW série 3 a été la proie des flammes pour une raison indéterminée. …

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100912b - VRI avril 2010

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 270 de septembre 2010

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RENOUVELLEMENT URBAIN : Premiers programmes neufs


C’est la 1ère livraison dans le quartier Croix-Rouge de locaux neufs accueillant des activités économiques.
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28 juin : signature de la convention pour l’usage de conteneurs enterrés et semi-enterrés.
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Pays de France, vue en perspective de l’îlot A.
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L’inauguration du programme Arago et le lancement de la réhabilitation et de la résidentialisation par le Foyer Rémois de 530 logements à Pays de France le 28 juin dernier marquent une avancée significative du renouvellement urbain dans le quartier Croix-Rouge. Au cours de cette même journée a été signée une convention sur les conteneurs enterrés.

« Le programme de renouvellement sur quatre quartiers de Reims constitue le 5e plus important projet de France depuis la signature de l’avenant en novembre 2008 rappelle Eric Quénard, 1er Adjoint en charge du Logement et de la Politique de la ville. C’est dire l’importance des sommes investies. Sur Croix-Rouge, cela représente près de 150 millions d’euros. Les habitants sont au coeur de ce projet. Car c’est bien pour eux que nous travaillons. L’accompagnement social, l’insertion et l’activité économique, la réalisation de nouveaux équipements et d’espaces publics, le logement sont autant d’illustrations de notre engagement.

On ne transforme pas les quartiers sans les habitants. Si l’on veut qu’ils s’approprient ce grand projet de ville, il faut qu’ils en soient les acteurs.

C’est tout le sens des récentes inaugurations des équipements publics dans le quartier Wilson (groupe scolaire Ravel et Maison de quartier Louise Michel). Ces équipements publics portés par la collectivité ont pour but de recréer du lien entre les habitants mais aussi entre les générations.

L’idée est de réinstaller dans ces quartiers des lieux où l’on vit, où l’on travaille, où l’on pratique des loisirs. Nous voulons l’excellence pour ses quartiers.

C’est dans cet état d’esprit que nous souhaitons relancer le développement de l’activité économique. Nous la revalorisons en installant des commerces, des services autour de la ligne du tramway. Au moins trois des quatre quartiers inclus dans le programme de renouvellement urbain sont concernés de très près par la ligne tramway. On améliore aussi la mobilité des habitants dans la ville. »

L’inauguration du programme Arago est symbolique car c’est la première livraison à Croix-Rouge de locaux neufs accueillant des activités économiques et de services prévus dans la convention ANRU 2008-2011. C’est un premier édifice qui sera suivi de la construction de bien d’autres locaux le long de l’avenue Bonaparte visant à amener une offre supplémentaire et diversifiée d’activités économiques (commerces et services) le long de l’axe structurant du tramway.

Le nouvel espace commercial Arago accueille en priorité les commerçants qui se trouvaient auparavant dans la passerelle Pays-de-France : le boucher, le tabac-presse, le bazar, la boulangerie. Quatre cellules commerciales sont occupées à ce jour. La boucherie ouvrira ses portes au public dans l’été et trois cellules accueilleront prochainement de nouvelles activités.

Les 33 logements construits par le Foyer Rémois présentent quant à eux des qualités en termes de confort (certification Qualitel) et de performance énergétique (Label Haute Performance Energétique). De plus, ils ne sont pas destinés exclusivement à des habitants résidant auparavant en quartiers en renouvellement urbain.

Qualité de vie des locataires, limitation des charges locatives de ces derniers, et enfin, mixité sociale, sont ainsi les objectifs poursuivis par ce programme de logements récemment livré.

L’inauguration du 28 juin marque également le lancement des étapes suivantes du programme de renouvellement du secteur Pays-de-France

• Réhabilitation et résidentialisation de 530 logements par le Foyer Rémois dans les mois qui viennent.

• Poursuite de la réalisation de l’espace commercial Pays-de-France-Arago avec la livraison en 2011 de cellules pour des commerces et des services qui relieront les commerces inaugurés à l’actuel bureau de La Poste,

• Démolitions ponctuelles de logements pour permettre l’aménagement de voiries et de cheminements piétons pour désenclaver le secteur, également en 2011,

• Création d’un équipement public par la Ville dont la destination est actuellement à l’étude.

Collecte des déchets : signature d’une convention pour l’usage de conteneurs enterrés et semi-enterrés avec entre autres objectifs la baisse des charges

« Autre priorité : comment intégrer davantage de développement durable dans le renouvellement urbain ? Dans la dimension développement durable, il y a la protection de l’environnement, le confort mais il y a également la maîtrise des charges » poursuit Eric Quénard. C’est dans ce sens que le 28 juin dernier, la Ville de Reims et Reims Métropole signaient avec Le Foyer Rémois, Plurihabitat l’Effort Rémois et Reims habitat - les trois principaux organismes bailleurs du territoire - une convention cadre pour l’implantation et l’usage de conteneurs enterrés et semi-enterrés pour la période 2010-2029. Une expérimentation très concluante a été menée pendant six mois dans un secteur de 90 logements, propriété de Plurihabitat l’Effort Rémois, dans le quartier Croix-du-Sud à Croix- Rouge. L’amélioration du geste du tri est à la fois quantitative et qualitative. Tous les interlocuteurs concernés par ce mode de collecte de déchets sont gagnants : la collectivité qui gère la collecte, les propriétaires des logements collectifs et les habitants dont les charges afférentes devraient baisser (moins de charges induites par la sortie des bacs, leur lavage, l’entretien du local, la gestion des vide-ordures) et la qualité de vie s’améliorer (réduction des odeurs, du bruit, des dégâts, des abords de logement plus propres, un système plus pratique, moins de risques d’incendies, une accessibilité totale pour les personnes à mobilité réduite). Ce nouveau service ne s’applique pas exclusivement dans le cadre du renouvellement urbain. 400 conteneurs sont ainsi prévus pour les années à venir dans l’agglomération de Reims. Ceci représente un budget d’investissement de près de 2 millions d’euros pour Reims Métropole. Un budget quasi équivalent sera globalement engagé par les bailleurs pour les travaux de génie civil nécessaires aux installations.

A. C.


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TRAMWAY : La dernière ligne droite


L’épreuve des travaux à laquelle ont été confrontés les riverains de la ligne mais aussi tous les usagers de la ville, touche à sa fin. La période des essais qui s’ouvre va permettre à la population de se familiariser avec le tramway et avec la nouvelle identité visuelle du réseau.

La société concessionnaire Mars, qui pilote les opérations, a beau battre les records de vitesse pour la conduite de ce type de chantier urbain, dans la population la résignation a logiquement fait place à l’impatience. C’est donc avec soulagement que va être accueillie la nouvelle de la conclusion des travaux fin août dans la plupart des secteurs. Conclusion qui s’accompagne d’un rétablissement de la circulation dans une configuration définitive. Les ultimes interventions (plantations, installation de mobiliers urbains, etc.) se feront sans chambardement.

A la suite

La libération des derniers secteurs interviendra dans les prochaines semaines :

• Dans la partie nord de la ligne, l’avenue de Laon sera accessible fin septembre en continu dans les deux sens. En attendant, la déviation montante par la rue Lesage reste en place. Les aménagements spécifiques de la place Saint-Thomas et du parking Fossier seront achevés fin octobre.

• Dans la partie centrale, le parvis de la gare-square Colbert, le cours Langlet, la place Myron Herrick seront livrés fin septembre. Les aménagements de la place de la République et de la place Lobet seront terminés fin octobre. Il en va de même pour l’ascenseur reliant le pont de Vesle au canal. Les boulevards Foch et Leclerc seront en travaux jusque fin décembre mais restent accessibles aux riverains et aux bus.

• Dans la partie sud, les travaux dans le secteur Bonaparte-Blum-Curie seront bouclés fin septembre.

Pour connaître le planning de mise en circulation définitive des voiries, rendez vous sur : www.findestravaux.fr

Le tram “à l’essai”

L’infrastructure étant globalement opérationnelle, les rames du tramway vont progressivement circuler “à vide” sur toute la ligne jusqu’à la mise en service officielle en avril 2011. Ces essais vont permettre de :

• tester en conditions réelles les véhicules, la signalétique, le système électrique, le système de régulation du trafic, etc.

• de préparer les usagers à cohabiter avec le tram et à adapter leur comportement (voir encadré).


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QUARTIER


La première édition d’un Eté s’affiche à Croix-Rouge, du 30 juin au 22 juillet, a transformé l’hippodrome de Reims en un lieu de vie permanent.

Les Rémois ont ainsi pu y pique-niquer, pratiquer une activité sportive ou artistique
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Comprenant 212 logements, la résidence universitaire des Facultés ouvrira ses portes à Croix-Rouge à la rentrée 2011.
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Votre antenne municipale

C’est la Mairie à proximité de votre domicile.

Sur le quartier Croix-Rouge :

1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.

Jours et heures d’ouverture :
• le lundi de 14 h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12 h.

Notez-le : les permanences de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie sont modifiées comme suit :

le mardi de 14 h à 16 h et le jeudi de 9 h à 12 h (au lieu du vendredi)

Vos prochains Conseils de quartier

• Conseil de quartier La Neuvillette-Trois Fontaines : mercredi 22 septembre à 19 h, Maison de quartier La Neuvillette.

• Conseil de quartier Cernay-Epinettes- Jamin-Jaurès : jeudi 23 septembre à 19 h, Collège Maryse Bastié.

• Conseil de quartier Maison Blanche- Sainte Anne-Wilson : jeudi 23 septembre (horaire non communiqué), salle municipale Rossini.

• Conseil de quartier Châtillons : mardi 28 septembre, à 19 h, Maison de quartier Châtillons.

• Conseil de quartier Croix-Rouge-Hauts de Murigny : jeudi 30 septembre, à 19 h, salle municipale Mauriac.

• Conseil de quartier Chemin Vert- Clemenceau-Europe : mardi 5 octobre à 19 h, Maison Commune du Chemin Vert.

• Conseil de quartier Murigny : mercredi 13 octobre à 19 h, Espace Apollinaire (à confirmer).

• Conseil de quartier Charles Arnould Clairmarais : mardi 19 octobre, à 19 h, Salle Saint Thierry.

* Des modifications peuvent intervenir dans ce premier prévisionnel.


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Union100912a
TENNIS / Pontfaverger : Entre amis

Le SL Pontfaverger rassemble des habitués. La preuve pour cette 17e édition où, parmi les quatre favoris à 15 (limite des inscriptions), Ladouce (Revin) et Thierus (Géo-André) ont déjà triomphé sur le béton poreux du chemin de Nayeux.

Schwartz (Betheny) fut plusieurs fois finaliste. Maltot (URT) est l’exception. A suivre également l’imprévisible Ledan (15/1, Cormontreuil) ou l’ex 5/6 de Géo-André Pierre (15/2) aujourd’hui licencié au CS Marseille.

Seul bémol de ce tournoi, la baisse des effectifs féminins. Résultat, un tableau bien maigre où Florence Depaquit (15, Guignicourt) fait figure de grandissime favorite devant la petite prodige (13 ans) du Reims Europe Club Clémence Krug (15/2).

AUJOURD’HUI, 9 heures : demi-finale dames, 10 h 30 : demi-finales messieurs, 14 heures : finale dames, 15 h 30 : finale messieurs.


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Union100911a
Reims / Vandalisme : Une bande d’incendiaires arrêtés à Croix-Rouge

Les soirs d’été, une bande de jeunes qui se réunissait place Jean-Fragonard a trompé son ennui en perpétrant une série d’incendies.
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LE plus jeune a 14 ans, les deux plus vieux 18 et tous ont sacrifié à cette détestable « tradition » qui consiste désormais à mettre le feu dans les cités.

Mercredi, les policiers de la sûreté départementale de Reims ont arrêté sept jeunes gens impliqués dans une série d’incendies allumés cet été à Croix-du-Sud, sous-quartier de Croix-Rouge.

En deux semaines, ils ont brûlé une voiture, un booster, deux cabanes de chantier et cinq poubelles.

Cris de joie autour du feu

Cinq des vandales sont mineurs. Ils ont été remis en liberté dans l’attente de leur procès le 29 septembre tandis que les deux majeurs, Emmanuel Houzet et Arnaud Rassemont, jugés en comparution immédiate, ont été respectivement condamnés à deux et six mois de prison assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve.

L’affaire a pour épicentre la place Jean-Fragonard.

Le 21 juillet, la petite bande discute au bas des immeubles quand son attention se porte sur une Ford Fiesta qui tient plus de l’épave que du modèle flambant neuf. Phares allumés, carreau cassé, portière ouverte… : il s’agit d’un véhicule volé.

L’un des mineurs propose de l’incendier. Tout le monde la pousse jusqu’au milieu de la place, pour éviter une propagation, puis l’adolescent y met le feu.

Des jeunes désœuvrés

Le 23 juillet, un gamin sort de chez lui. La bande l’apostrophe : « Vas-y ! Brûle les poubelles ! » Il refuse. Arnaud Rassemont se dévoue. « Il a ouvert le couvercle et il a mis le feu avec son briquet. Ça a pris direct. » Le feu se propage à quatre conteneurs. Une voisine voit les jeunes faire des « signes de victoire ». Le 25 juillet, Arnaud Rassemont brûle un sac-poubelle. Un témoin étouffe le feu. « Arnaud était écœuré », dira un de ses amis.

Le 4 août, la bande trouve un booster abandonné sur les pelouses.

« Vu son état, il était volé. Il était démonté de partout », indique Arnaud. « J’ai fait un tour avec. Comme il y avait mes empreintes dessus, je l’ai incendié. »

Enfin une explication, car pour le reste, c’est le vide intersidéral : « Je ne sais pas », « C’est comme ça », « Y’en a un dans le lot qui voulait mettre le feu, on a suivi »…

Le 8 août, vers 21 heures, on retrouve Arnaud Rassemont avec Emmanuel Houzet place Dominique-Ingres, dans un préfabriqué de la Société anizienne de construction, sur le chantier du tramway. « La porte était déjà ouverte. » Il met le feu à des vêtements de travail. L’incendie se propage à un deuxième cabanon. Là encore, pourquoi ? « On m’a demandé de brûler la cabane car les ouvriers font du bruit le matin. » Info ou intox ? Il n’a pas voulu en dire plus.

Point commun à tous ces jeunes : le désœuvrement. Ainsi des deux majeurs : Emmanuel est en « recherche d’apprentissage » tandis qu’Arnaud est inscrit dans une boîte d’intérim. « J’attends qu’on m’appelle. » Le concernant, il y a aussi une certaine fascination pour les flammes. Il s’est déjà fait remarquer de la justice pour avoir « mis le feu dans les champs ». Le tribunal a considéré qu’il était grand temps de l’occuper, lui et son copain. Le sursis avec mise à l’épreuve comprend l’obligation de travailler et de suivre un stage de citoyenneté pour leur faire comprendre que mettre le feu, ce n’est vraiment pas bien et que ça peut être très dangereux.

Fabrice CURLIER


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Union100910a
Les prunes pleuvent dès 8 heures du matin

Hier, le parking a été totalement vidé. Les riverains ne cachaient pas leur mécontentement face à la situation.
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Hier matin, les usagers du plus grand parking de Croix-Rouge ont eu la désagréable surprise de découvrir des PV sur leurs pare-brise. Un zèle qui énerve.

EN terme de diplomatie, on a connu mieux. Dès 8 heures hier matin, les policiers municipaux ont garé leurs voitures à l’angle de la rue Taittinger et de l’avenue Eisenhower pour une session de distribution de prunes. Et les stylos ont chauffé. Des dizaines d’automobilistes qui n’avaient pas été avertis de la suppression du plus grand parking du quartier ont été verbalisés purement et simplement. Pour certains, l’aventure se poursuivra par la case fourrière. Et qui dit enlèvement des véhicules dit grosses sanctions financières pour les « contrevenants ». Des agissements qui énervaient hier matin. « Voilà deux jours que je n’avais pas pris ma voiture. Le petit mot qu’on est censé avoir eu dans nos boîtes à lettres, je ne l’ai jamais vu puisque la mienne a été fracturée. De plus ce matin, je me retrouve avec un procès-verbal à régler. Et je peux m’estimer heureux puisque les policiers allaient faire embarquer ma voiture. Je suis arrivé à temps pour la déplacer. Je trouve ces méthodes injustes et inutiles. On aurait pu nous avertir bien avant. On pénalise toujours les mêmes », lance un riverain depuis son balcon, très remonté contre les méthodes utilisées. Certes, il fallait faire place nette pour que les constats de désaffectation soient dressés, c’est incontestable. Mais de là à aligner des gens garés en bas de chez eux sur un parking, voilà qui a le don d’énerver un retraité du quartier. « J’ai du mal à me déplacer. Je suis vieux, faut pas que je m’excuse d’avoir 74 ans. Avec mes sacs de commissions, je fais comment ? Vous croyez que je vais me taper 400 mètres à pied avec un pack de bouteilles de flotte ? ! Pendant une semaine, ma vie va être pourrie. Et en 2011, je ne sais pas si une solution alternative va être trouvée. Sans cela, ce sera un merdier sans nom. »

Et maintenant ?

En attendant, voilà des centaines de riverains des tours jouxtant l’avenue Eisenhower totalement livrés à eux-mêmes. Encore heureux que les travaux du tramway aient bien avancé dans le secteur car les conditions de stationnement deviendraient totalement impossibles voire dangereuses. Au total, plusieurs conducteurs ont été verbalisés, d’autres en déplacement ou tout simplement partis en vacances quelques jours vont devoir aller chercher leurs véhicules à la fourrière. De quoi ravir les vacanciers sur le retour, de quoi enthousiasmer les étudiants qui commencent à débarquer autour de la faculté de lettres. « Le parking de la faculté est déjà saturé. Entre les universitaires et les étudiants de RMS, ça va être la foire d’empoigne et ça fait peur pour l’avenir », commente Laurine, 20 ans, venue en repérage dans le quartier pour trouver un logement, quelques jours avant la rentrée officielle.

Dans quelques mois, le parking ne sera plus. L’avant-goût donné cette semaine promet bien des épreuves à surmonter pour les habitants du quartier Croix-Rouge qui rappelons-le est le quartier le plus important de la ville.

Thomas DUPRAT

Trois questions à Eric Quénard, premier adjoint au maire

« Un parking à plusieurs niveaux est prévu. »
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l’union : Lors de la réunion du 19 février dernier, ce projet de construction de résidences avait été entériné. Mais aviez-vous pris la mesure des désagréments que cela engendrerait durant cette semaine ?

Eric Quénard : « A notre avis, la campagne d’information auprès des locataires a été suffisante. Certains ont bien évidemment pu passer à travers les gouttes. Je ne sais pas si des personnes ont été verbalisées mais les actions de communications ont été réalisées dans les temps. Dans les boîtes à lettres et sur les pare-brise. »

Après la construction de ces résidences, un nouveau parking va-t-il être aménagé pour les centaines d’habitants du quartier ?

« Au niveau du stationnement, les choses se dérouleront en deux temps. Les boxes des locataires sont sous-utilisés. Ils seront réhabilités afin que les locataires puissent les utiliser sans craindre pour leurs voitures. Par ailleurs, un parking à plusieurs niveaux avec plusieurs dizaines de places sortira de terre. »

Et les étudiants dans tout ça ?

« Le parking qui jouxte la faculté n’est jamais plein. Si les étudiants veulent se garer, ils trouveront dans cette zone un lieu facile pour eux. Cela permettra par ailleurs de dégager d’autant les places le long de l’avenue Eisenhower. »

Deux résidences en 2011

Pendant une semaine, les riverains et les étudiants de Croix-Rouge installés à proximité gareront leurs voitures où ils le pourront. Aucune zone de parcage de substitution n’a été prévue.

Cette semaine de fermeture correspond à un constat de désaffectation qui vise à la cession par la ville de cette zone de parcage à Reims Habitat. A terme, les services du bailleur, dans le cadre du projet de l’ANRU, l’agence nationale pour la rénovation urbaine, affirme que ce parking public de plusieurs centaines de places disparaîtra purement et simplement. « Deux résidences vont sortir de terre dans le courant de l’année 2011. La résidence Saint-John-Perse comprendra 51 logements et la résidence Pierre-de-Sorbon disposera de 31 appartements. Un parking réservé aux habitants des résidences sera aménagé ainsi qu’une autre zone de parcage souterraine. Au total, 80 places seront mises à la disposition des locataires. Par ailleurs, une zone commerciale verra le jour au pied de ses immeubles ainsi qu’un hôtel des solidarités comprenant notamment l’Udaf et un local de la Croix-Rouge Française. Tous ces projets découlent des réunions de projets notamment celle du 19 février 2010 », assure Domitille Rouhi, responsable de la communication de Reims Habitat.

Des centaines de places gratuites et publiques vont donc être sucrées au profit de quelques locataires. Sans projet de substitution, les choses risquent de faire grincer des dents pendant et après les travaux.


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Union100909i
Casse-tête à Croix-Rouge : des centaines de riverains privés de parking

Dès aujourd’hui, les riverains du quartier se verront interdire de stationner sur ce parking.
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Dans le cadre d’un constat de désaffectation, un des plus importants parkings du quartier sera fermé pour huit jours. Ça va bouchonner.

IL était pratique. Pour les centaines d’étudiants de la faculté de lettres mais aussi et surtout pour les milliers de riverains de l’avenue Eisenhower et de la rue Pierre-Taittinger qui, chaque soir, garent leurs voitures à proximité immédiate de leurs lieux de vie. À partir de ce matin, le parcage des voitures sera totalement prohibé sur les centaines de mètres carrés d’habitude mis à la disposition de tous. « Dans le cadre du renouvellement urbain, le parking fait partie du périmètre de déclassement du domaine public routier […]. Un constat de désaffectation sera effectué entre le 9 et le 17 septembre prochains », stipule un petit papillon, distribué par la mairie sur les pare-brise de la plupart des résidents. Une question se pose désormais : où vont aller se garer les centaines d’automobilistes qui résident dans les bâtiments connexes au plus grand parking du quartier ? Il y a certes, un autre petit parking disponible rue du Docteur-Billard, de l’autre côté des tours mais les actes de vandalisme plus que fréquents dans cette rue en rebuteront certainement plus d’un. C’est donc une véritable galère qui s’annonce pour les habitants du quartier. « Malheureusement, les riverains devront se garer ailleurs et les étudiants aussi. » On n’en saura pas plus du côté de la direction de la voirie et de la circulation de la Ville qui nous oriente vers les services de Reims Habitat. Car c’est en effet cet organisme logeur qui doit obtenir la cession de ce terrain. À terme, l’échéance est encore imprécise, mais le parc ne sera plus accessible que pour les locataires des immeubles dans le courant de l’année 2011. Certes, la propriété sera respectée mais côté pratique, la copie sera à revoir.

Résidentialisation

Ce « déclassement du domaine public » routier rentre dans le cadre des projets de renouvellement urbain via le processus stipulé par l’Anru (l’agence nationale pour la rénovation urbaine). Toujours est-il que la charrue a peut-être été mise avant les bœufs. Car, si la rénovation de ce quartier ne souffre d’aucune contestation, il eût été judicieux d’avertir les riverains de cette interdiction un petit peu plus tôt. Histoire que ces derniers ne découvrent pas qu’ils n’ont plus l’autorisation de se garer en bas de chez eux la veille pour le lendemain. A fortiori lorsque les petits mots distribués étaient prêts depuis plus de dix jours (le 27 août).

Thomas DUPRAT

Alternative

Les riverains des rues Taittinger et Eisenhower vont se retrouver seulement avec leurs yeux pour pleurer dès ce matin. Certes, il y a bien le parking de la faculté des lettres qui pourrait offrir une alternative pour quelques dizaines de voitures. Mais, ceux qui arriveront au-delà de 18 heures, la majorité, n’auront guère de chances de trouver de la place. Ça risque de coincer et de grincer des dents.

C’est une impasse.

Et puis, le tramway n’arrive que dans quelques mois.


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Union100909h
Bouger dans sa ville L’Acrap, le sport et l’épanouissement

Le judo, une des nombreuses activités de l’Acrap.
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Les 11 et 12 septembre, les « parcours associatifs » inviteront les habitants à bouger dans la ville dans près d’une vingtaine de lieux.

Dans le cadre du parcours « sport et épanouissement personnel », l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) proposera des animations suivant la remise en route de ses activités,

- samedi 11 septembre de 9 à 12 heures
- et dimanche 12 septembre matin et après-midi
- au 11, avenue du Président-Kennedy.

Accès bus lignes H, K, M, P et S, station Mauriac. Entrée libre.

Renseignements au tél. 03.26.06.39.

 

 


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Union100909g
À la médiathèque Croix-Rouge : Histoires tendres pour les petits


« Le roi des poissons » en langue des signes française
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L’heure du conte : Julie racontera mercredi 15 septembre à 10 h 30 « Le roi des poissons », un conte extrait des « Contes marocains » (éditions Gründ) et qui sera interprété en langue des signes française par Cyril Schuer. Pour tous à partir de 5 ans.

Diapositives : Séance du jour, pour les enfants à partir de 4 ans, « Touloup : Tiloup peureux » de Martine Bourre, mercredi 22 septembre à 16 h 30. Touloup a peur de tout ce qui bouge… Pourtant…

L’heure des bébés : un moment de lecture tendresse pour les tout-petits et leurs parents qui se déroulera le samedi 25 septembre à 9 h 30. Les bibliothécaires accueillent les 6 mois-3 ans et leurs parents avec des histoires à lire ensemble en dehors des heures d’ouverture de la médiathèque. Durée : environ une demi-heure.

Tous les accès sont gratuits mais une inscription préalable est obligatoire auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51.

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.

 


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Union100909f
Quadrimusicales dans les médiathèques

Pour sa 6e édition, le rendez-vous « Musique » des médiathèques de Reims, les Quadrimusicales, a pour ambition de promouvoir des groupes ou des artistes issus de la scène musicale régionale.

Le public est convié à quatre soirées, dédiées chacune à un style musical particulier, pour découvrir un groupe, sa musique et son univers.

Au programme :

- La famille Adam (médiathèque Jean Falala mardi 21 septembre). John Grap (Croix-Rouge, mercredi 22 septembre).
- Musique quantique, DJ Ludal et VJ EI Lud (Laon-Zola, jeudi 23 septembre).
- The Woodsenders (Jean-Falala vendredi 24 septembre).

Pour tout renseignement Médiathèque jean-Falala : 2, rue des Fuseliers, tel 03.26.35.68.00

Médiathèque Croix-Rouge : 19 rue Jean-Louis-Debar. tel 03.2635.68.40
Médiathèque Laon-Zola : 2. rue de la Neuvillette tél. 03.26.47.79.41.


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Union100909e
La course aux cours de piscine à la Rems : « 7 heures du mat’, j’ai mon ticket »

7 heures, les portes s’ouvrent, les courageux de 5 heures vont enfin pouvoir s’inscrire.
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Personne ne repart sans inscription.
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La Régie des équipements municipaux sportifs a organisé hier la grande course aux inscriptions aux cours de piscine. A 5 heures du matin, des centaines de candidats attendaient devant René-Tys… Et 4 500 personnes se sont inscrites, un record !

C’EST chaque année la même histoire : début septembre, il faut se lever très tôt pour pouvoir inscrire ses enfants dans la piscine et à l’horaire que l’on veut. La Rems (régie des équipements municipaux sportifs de Reims) a essayé pas mal de systèmes, et retenu depuis trois ans une grande journée d’inscriptions à René-Tys.

« Ce système a fait ses preuves, et s’il reste des créneaux tendus, les gens ont admis qu’ils pouvaient changer piscine ou horaires. Il y a beaucoup moins de déceptions, car nous avons revu l’offre par rapport à la demande », explique Francis Assailly, directeur de la Rems.

D’accord, mais il fallait s’y prendre de bonne heure ! A 6 h 45, près de 600 personnes attendaient devant le complexe, et à 8 h 15, il n’y avait plus personne ! « Une dame est arrivée à 1 h 45 ! », s’est exclamée Isabelle, venue elle, plus raisonnablement, à 4 h 30. « C’est la première année que je fais cela, mais je veux absolument un créneau précis à la piscine d’Orgeval. »

La file d’attente est plus ou moins longue suivant les piscines, mais la plupart des nageurs ou parents de nageurs sont arrivés à 5 heures. « Cela fait cinq ans que je fais la queue. Ils devraient faire des pré-inscriptions », reproche Jocelyne. Une autre dame inscrit des enfants depuis neuf ans, et elle ne comprend pas « qu’on ne puisse pas se réinscrire automatiquement en fin de saison. Ce serait tellement plus simple ! »

Tous arrivés vers 5 heures

« L’année dernière, j’étais arrivée un peu plus tard, et je n’avais rien eu de ce que je voulais. Là, ça devrait être bon », espérait Brigitte. Une autre maman vise la piscine Château d’Eau pour ses trois enfants, « car les maîtres-nageurs y sont très compétents ».

A l’arrivée, en deux jours d’inscriptions, ce seront plus de 4 400 personnes qui se seront inscrites pour la saison aux cours de la Rems. L’effet championnat d’Europe (21 médailles françaises) a joué comme dans les clubs, le RCN et le RN89.

G.F.

« Un souci d’équité »

Le responsable communication de la Rems, Pascal Vanscoor, nous a expliqué hier pourquoi ce système était le meilleur. « En fait, cela va très vite. Faire 4 500 inscriptions en deux jours, c’est énorme ! » Dont 600 en une heure hier matin pourrait-on ajouter.

« En fait, c’est ancré dans les mœurs : tout le monde vient très tôt par peur de ne pas être servi. Mais personne ne repart sans inscription dans une des six piscines. » Pas forcément à l’heure et dans le lieu souhaité ? « Il y aura toujours des mécontents, notamment ceux qui sont bloqués sur un créneau et ne veulent pas en démordre. En revanche, une dame s’est rendu compte qu’elle pouvait inscrire en même temps deux enfants dans deux piscines différentes. Nous essayons de faciliter la tâche à tout le monde. »

Si tout le monde loue l’ouverture des inscriptions à 7 heures, ce qui permet d’être au travail à 8 heures, pourquoi ne peut-on pas s’inscrire dès le mois de juin ? « C’est par souci d’équité : tout le monde doit avoir accès aux cours, sans priorité. Idem par internet, certains ne sont pas très à l’aise avec cette technique. Et les enfants ne peuvent pas être évalués pour être dans les bons cours. »

Pour Pascal Vanscoor, c’est la « meilleure année » pour les inscriptions. « Une fois, nous avions mêlé, à Géo-André, inscriptions et paiement. Ça avait été de la folie… »


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Union100909d
Encore de nouvelles entreprises à Croix-Rouge

Deux fours à pizza chez Saïd.
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Sans inaugurations fracassantes et dans la plus grande discrétion, des habitants de Croix-Rouge osent se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise.

En voici encore quatre qui, avec audace, ont franchi le cap.

« Chez Saïd », l’enseigne Liberty vient d’ouvrir un service « kebabs, pizzas, pâtes, halal » au centre commercial Hauts-de-Murigny, 12, allée Yves-Gandon. Ouvert du lundi au dimanche de 11 h 30 à 14 h 30 et de 18 h 30 à 22 h 30. Livraisons assurées. Renseignements au 03.26.36.26.86.

Raymond Bouvelle a créé la SARL Airelia, au 6, rue de Rilly-la-Montagne. Sa spécialité : toutes les prestations liées à l’activité de nettoyage, y compris la vente de produits, accessoires et matériels s’y rapportant.

Ahmed Hadj Idris a créé la SARL Yanis, nom commercial « Clean Nettoyage 51 », sous le sigle CN51, au 48, avenue du Général-Eisenhower. Il se charge du nettoyage des bureaux et des locaux commerciaux.

Stéphanie Bertrand a créé la SARL « Marne Technologie », au 37, esplanade du Général-Eisenhower. Son domaine d’activités est le câblage d’armoire HT/BT.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 


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Union100909c
Tri des déchets à Croix-Rouge : De nouveaux conteneurs enterrés dans le quartier

Les premières installations à Croix-du-Sud ont donné toute satisfaction.
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La Ville de Reims, Reims Métropole, le Foyer rémois, Pluri-habitat l’Effort rémois et Reims habitat ont signé une convention pour l’implantation de mobiliers enterrés et semi-enterrés de 2010 à 2029 : au moins 400 conteneurs sont prévus actuellement sur les quatre années à venir dans l’agglomération de Reims.

Une expérimentation a été menée dans un secteur de 90 logements, propriété de Plurihabitat l’Effort rémois dans le quartier Croix-du-Sud pour réaliser un test sur 6 mois.

Quantité et qualité

Le constat est apparu convaincant : l’amélioration du geste du tri est à la fois quantitative et qualitative, la performance de tri sélectif a été multipliée par cinq et le geste du tri s’est amélioré avec un taux de 10 % d’erreurs de tri atteint.

Élus et bailleurs ont constaté de meilleurs résultats en termes de lutte contre le vandalisme et de sécurité, sans oublier, à terme, la réduction du montant des charges des habitants. De nouvelles implantations de conteneurs semi-enterrés ou enterrés sont prévues dès ce mois de septembre, à Croix-Rouge.

Tout d’abord, secteur Pays-de-France, dans le programme Arago-Joliot-Curie, aux n° 20-28 avenue du Général-Bonaparte, à la suite de la construction de 33 logements neufs en immeuble par le Foyer rémois.

L’installation est prévue en septembre-octobre à proximité des logements et du bureau de La Poste.

Ensuite, avenue Pierre Taittinger, près des logements neufs qui vont être construits par Reims habitat : installation des conteneurs en novembre-décembre.

Enfin, près des logements de la résidence universitaire construite par le Foyer rémois à proximité immédiate de l’entrée de la Fac de Lettres.


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Union100909b

Concours de belote à Croix-du-Sud

L’association Etoile Croix-du-Sud organise un nouveau concours de belote dimanche 12 septembre dans ses locaux du 5 avenue Léon Blum. Inscriptions à 13 h 30 (16 € par équipe), début du jeu à 14 heures. Nombreux lots en jeu. Renseignements auprès du président Jean-Michel Gauthier (Tél. 03.26.06.56.66.).


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Union100909a
« Un an ferme, ça vous va ? : D’accord, M. le procureur ! »

Un condamné pas comme les autres est à la prison.
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Arrêté pour le vol d’une voiture, un Rémois a donné son accord pour purger une peine d’un an ferme. Cela peut sembler délirant, mais il y a une explication.

AGÉ de 43 ans, Saïd Zaoui n’est pas contrariant. Arrêté pour un vol de voiture, l’homme domicilié à Reims n’a pas refusé la proposition qui lui était faite de purger douze mois d’emprisonnement.

Le procureur a recueilli son accord, un juge l’a validé et les policiers n’ont plus eu qu’à l’amener directement du palais de justice à la maison d’arrêt.

Etre volontaire pour purger un an de prison ferme, voilà qui peut sembler incompréhensible, mais c’est l’un des effets de la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.

Surnommée le plaider coupable à la française, la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) est une procédure au cours de laquelle le procureur reçoit en tête-à-tête l’auteur d’un délit, en présence d’un avocat, pour lui proposer une condamnation.

Soit la personne la refuse, et le dossier est transmis au tribunal correctionnel pour y être jugé lors d’une audience classique.

Éviter le procès

Soit elle l’accepte, et dans ce cas, elle passe devant un juge seul habilité à « homologuer » la peine, sachant que le magistrat peut refuser l’homologation s’il estime la sanction inadéquate (l’affaire reprend alors le circuit habituel avec renvoi pour jugement à une audience classique).

La finalité première de la CRPC est de désengorger les tribunaux en faisant l’économie d’un procès dès lors que la personne reconnaît les faits et qu’il n’y a pas lieu à mener des investigations supplémentaires. Cette procédure instituée par une loi de 2004 est en plein essor, notamment à Reims où le parquet l’utilise de plus en plus. Ce fut le cas avec le dossier de Saïd Zaoui.

A prendre ou à laisser

Les faits portaient sur le vol d’une Renault Mégane commis dans la nuit du 30 au 31 mai 2010 dans le quartier Croix-Rouge.

Quelques jours plus tard, la voiture était retrouvée dissimulée dans un box de garage.

Les expertises scientifiques ont permis d’imputer le vol à Saïd Zaoui, lequel est passé aux aveux et a reconnu en même temps l’usage du véhicule malgré un défaut de permis.

Déjà condamné pour des faits similaires, l’homme tombait sous le coup de la peine plancher - trois ans ferme - que le tribunal correctionnel avait la faculté de prononcer lors d’une audience classique.

A bien y réfléchir, et profitant du fait que le parquet avait opté pour une CRPC, il a jugé préférable d’accepter les douze mois qu’on lui proposait plutôt que de prendre le risque d’écoper d’une peine plus lourde devant le tribunal.

A-t-il fait le bon choix ? Aurait-il pris trois ans ferme ? Ou six mois, l’application de la peine plancher n’étant pas systématique ? Il ne le saura jamais.

F.C.


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Union100908c
Caillassage du tram / Le plan d’attaque du procureur

S’inspirant de ce qui a été fait avec succès à Nancy, Fabrice Belargent suggère de traiter cette nouvelle délinquance en priorité.
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Photos Bernard SIVADE
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REIMS (Marne). Le tramway a vécu son premier caillassage dans la courant de la semaine dernière. Pour éradiquer cette délinquance, le procureur propose une solution qui a bien marché ailleurs.

PAS inauguré mais déjà baptisé. Le tramway a vécu son premier caillassage. Ça s’est passé la semaine dernière alors qu’il effectuait des essais dans le quartier Bonaparte à Croix-Rouge. Une des vitres latérales a été cassée. Le conducteur et les techniciens d’Alstom n’ont pas été blessés. Ils ont vu un groupe de jeunes s’enfuir entre les immeubles du quartier. A priori une bande de gamins (voir notre édition de dimanche).

Ce lancer de pierre est-il le premier d’une longue série ? Y a-t-il un risque de voir le nouveau moyen de transport devenir la cible privilégiée des petites frappes des quartiers ? Les oiseaux de mauvais augure diront que oui. Les pouvoirs publics espèrent bien éradiquer dans l’œuf cette délinquance.

Fabrice Belargent, procureur de Reims, fait une suggestion : « On pourrait s’inspirer de ce qui s’est fait à Nancy et qui a bien marché. Il s’agit de constituer un groupe local de traitement de la délinquance. Ce groupe serait constitué d’un membre du parquet, d’un policier référent, d’un membre de la communauté d’agglomération et d’un représentant de l’exploitant Trandev. Le but étant d’assurer un suivi particulier de ces infractions et d’accélérer la réponse pénale ».

Souvent, les délinquants recommencent sans fin parce qu’ils ne sont jamais punis. En mettant le parquet dans le coup, les coups de filet des policiers seraient systématiquement suivis de condamnations et ce sans délai inutile : « Ces affaires ne seraient plus banalisées dans le flot courant des infractions mais traitées en priorité. Cela suppose une grande réactivité ». Il faudrait que le groupe se réunisse au lendemain de chaque caillassage ou de tout autre acte de vandalisme contre le tram. Ils échangeraient à chaud toutes leurs informations permettant ainsi une interpellation rapide suivie d’un passage devant le juge et d’une éventuelle condamnation. Toutes les caméras de surveillance du réseau installées sur la ligne de tram pourront fournir des éléments et la police, bien informée, pourra se mettre en embuscade au bon endroit et au bon moment. Cette méthode a si bien fonctionné à Nancy qu’au bout de six mois, le groupe a été dissous faute d’infractions à traiter. « Si tous les acteurs sont d’accord, je suis prêt à mettre un membre du parquet à disposition. »

Catherine FREY
Photos Bernard SIVADE


……….

Union100908c
La Ville plus que partante

Selon Eric Quénard, premier adjoint au maire, la Ville est parfaitement en phase avec la suggestion du procureur : « D’autant plus que nous avons déjà mis en place une cellule de veille dans le cadre du conseil intercommunal de prévention de la délinquance ». Il s’agit d’un groupe thématique sur les transports qui s’est déjà réuni il y a six mois : « Nous l’avions convoqué au moment de la problématique de la montée dans les bus par l’avant. Les chauffeurs avaient des craintes par rapport à la sécurité ». Il y a eu un caillassage la semaine dernière mais le groupe ne s’est pas encore réuni : « Il va le faire incessamment sous peu. Nous attendons l’installation de la nouvelle directrice départementale de la sécurité publique pour vraiment lancer notre dispositif mais il est certain que nous serons prêts le jour de la mise en service du tramway ».


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Union100908b
TENNIS / Sillery Cailleux et Heyd au pouvoir

Après l’interruption de l’an passé, le tournoi du TC Sillery reste toujours autant apprécié du monde tennistique marnais. La preuve, cette 17e édition, limitée à 5/6, a comptabilisé la bagatelle de 120 inscriptions.

Chez les messieurs, la logique a été respectée avec une finale entre favoris à 5/6, à savoir Laurent Cailleux (TC Reims) et l’ex-Sillerotin Cédric Vicaire (ASPTT Châlons). Soit, tout simplement, le remake de la finale des + 35 ans à Guignicourt la semaine précédente, remportée en deux manches par le Rémois.

Manifestement, cette finale a eu un tout autre visage entre deux protagonistes cherchant à laisser la balle dans le court pour attendre la faute adverse. Résultat, un match interminable de presque 3 h 20… Mené 1-5 puis 3-6 dans le jeu décisif de la « belle », le sociétaire du TCR a eu le mérite de sauver trois balles de match en allant chercher (enfin) les points au filet. De quoi confirmer une ébouriffante fin de saison estivale.

En + 35 ans, Samir Guessab (15/5, Reims Europe Club) a déjoué les pronostics en battant en dernier lieu la tête de série n°1 Nicolas Sarre (15/3, URT Reims), qui, en sortant des courts, estimait avoir joué comme « un non-classé » !

Chez les + 45 ans, en revanche, Philippe Liégeois (15/3, Villers-Marmery) n’a pas tremblé face à Alain About (15/4, TC Reims).

Du côté des dames, Catherine Heyd (15/2, Sillery) a bousculé la hiérarchie et accumulé les « perfs ». Rien de vraiment surprenant, toutefois, pour cette ex-3/6 (en 2001) qui, au stade ultime, a dominé sa partenaire de club Alexandra Rondelet (15, Sillery).

MESSIEURS

- Quarts de finale :

    • Noizet (15/1, Suippes) bat Deglave (15, Guignicourt) 6-1, 6-3 ;
    • Vicaire (5/6, ASPTT Châlons) bat Thierus (15,TC Géo-André Reims) 7-6, 6-3 ;
    • Cailleux (5/6, TC Reims) bat Dagnee (15, TCGA Reims) 6-3, 6-2 ;
    • Guillemart (15, Bétheny) bat Ladouce (15, Revin) 6-2, 6-4.

- Demi-finales :

    • Vicaire bat Noizet 6-4, 3-6, 6-1 ;
    • Cailleux bat Guillemart 2-6, 7-5, 6-3.

- Finale

    • Cailleux bat Vicaire 6-4, 3-6, 7-6 (9/7).

+ 35 ans.

- Demi-finales :

    • Guessab (15/5, Reims EC) bat Bernier (15/4, Société Nautique Épernay) par WO ;
    • Sarre (15/3, URT Reims) bat Sarrazyn (15/5, US Cheminots Reims) 6-3, 6-2.

- Finale

    • Guessab bat Sarre 6-4, 6-3.

+ 45 ans.

- Demi-finales :

    • About (15/4,TC Reims) bat Huet (15/5, TCGA Reims) 6-2, 6-4 ; Liégeois (15/3, Villers-Marmery) bat Maeso (15/5, USC Reims) 6-2, 6-3.

- Finale :

    • Liégeois bat About 6-0, 7-5.

DAMES

- Quart de finale

    • Catherine Heyd (15/2, Sillery) bat Caroline Berdjugin (15, Sedan) par WO.

- Demi-finales

    • Alexandra Rondelet(15, Sillery) bat Florence Depaquit (15, Guignicourt) 1-6, 6-3, 6-2 ;
    • Catherine Heyd bat Lucie Varenne (5/6, La Macérienne Charleville) 6-3, 6-1.

- Finale

    • Catherine Heyd bat Alexandra Rondelet 6-3, 6-2.


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Union100908a
Roller hockey / Le RHR a de l’ambition

« Avec nos juniors, on veut jouer les phases finales », annonce François Bock, président du Roller hockey Reims.
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Pas de bouleversement au sein du Roller hockey Reims. En équipe première masculine, le seul départ, qui a eu lieu à l’intersaison, a été compensé par l’arrivée d’Antoine Verkest. D’origine amiénoise, ce dernier appartient à un collectif qui a pour ambition de participer aux play-offs. Chez les féminines, la saison écoulée aura été celle du succès. Elles ont fini championnes de France N2. « Elles peuvent refaire le même parcours. Mais pour cela, il nous faut étoffer l’effectif actuel en recrutant de jeunes joueuses que l’on va former », annonce François Bock, président du Roller hockey Reims.

« Avec nos juniors, on veut jouer les phases finales. Engagée en France élite, cette formation a terminé quatrième de son championnat au cours de la saison 2009-2010. Ils sont très importants pour nous et constituent l’antichambre de l’équipe fanion. Pour les benjamins-minimes-cadets, j’attends d’eux le même travail accompli que précédemment. » Mais le socle du RHR demeure ses plus jeunes (école de hockey et poussins). Ceux qui aimeraient leur emboîter le pas, peuvent le faire : l’inscription est gratuite à partir de 5 ans. A noter que les samedis matin, une nouvelle section permet aux parents et à leurs enfants de taquiner la crosse.

Tél. 06.72.79.51.51 ou rollerhockeyreims.com

 


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100907d


Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7358 du 06 au 12 septembre 2010.

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MODIFICATION DE STATUTS

Aux termes du procès-verbal de l’assemblée générale extraordinaire du 30 août 2010 de la SARL Logisat, au capital de 2.000 €, siège social 63 avenue Eisenhower - 51100 REIMS, R.C.S. REIMS n° 505 002 642, il a été décidé de transférer le siège social au 8 allée Yves Gandon -51100 REIMS.

Ces modifications prendront effet à compter de 1er septembre 2010. L’article quatre des statuts a été modifié en conséquence.

88346

Pour avis.


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La Région accompagne plus de 55 000 lycéens

La Région et le rectorat ont inauguré cette rentrée dans le lycée Arago, à Reims, actuellement en rénovation.
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Jean-Paul Bachy, président du Conseil régional, et Alexandre Steyer, recteur de l’Académie, ont présenté la rentrée dans le lycée Arago, à Reims.
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Education. Rénovation des établissements, réformes… le Conseil régional et l’Académie de Reims ont présenté la rentrée scolaire 2010/2011.

Le Président du Conseil régional et le recteur de l’Académie ont inauguré ensemble la rentrée scolaire dans le second degré. En visite au lycée Arago de Reims, Jean-Paul Bachy a notamment rap-pelé les investissements de la collectivité dans la rénovation des établissements, sans oublier de préciser que le budget du Conseil régional est de 153,5 M€ pour les lycées et l’apprentissage. Les travaux engagés sont placés sous le signe du développement durable et de l’accessibilité. La santé semble être le thème de l’année : via le sport, avec six sites retenus pour expérimenter les cours le matin, mais également via le bien manger, avec l’incitation aux produits bio. Alexandre Steyer, le recteur de l’Académie de Reims, est également revenu sur la rentrée sociale : suppression de postes, arrivée des enseignants stagiaires, etc.

Entre la Région qui finance les lycées et le rectorat qui les gère, les relations sont incontournables. Du moins en Champagne-Ardenne. « Nous sommes la première région de France à mettre en place une initiative commune avec le rectorat », explique Jean-Paul Bachy, le président du Conseil régional.

A l’occasion de la rentrée scolaire, il n’a pas manqué de rappeler que le budget régional consacré aux lycéens et aux apprentis s’élève à 153,5 M€, soit plus du quart du budget total de la collectivité. En complément des dispositifs de solidarité avec les familles (PAMB n°7357), Jean-Paul Bachy a indiqué que les travaux de rénovation des établissements scolaires sont marqués par « la cons-truction durable sur le plan environnemental et celui de l’accessibilité des personnes handicapées ».

Un effort qui va conforter la position régionale en la matière. « 2 500 élèves handicapés sont scolarisés dans la Marne et l’académie est plus performante que la moyenne nationale en la matière », ajoute Alexandre Steyer, le recteur.

Des chantiers qui mêlent également une volonté d’insertion sociale, un critère « dans nos appels d’offres », souligne le président du Conseil régional.

SPORT, SANTÉ ET CUISINE

Le président du Conseil régional a également précisé la mise en place « d’une pédagogie du goût en valorisant les produits régionaux et les repas bio ». Une subvention de 1€ est ainsi versée par repas bio (70 % des produits issus de l’agriculture biologique). Une thématique qui rejoint celle du sport et de la santé. « Six établissements de l’Académie ont été retenus pour participer à l’expérimentation : cours le matin, sport l’après-midi », précise le recteur. Les collèges Georges Braque (Reims), Louise Michel (Chaumont), Anne Franck (Saint-Dizier), les lycées Croix-Cordier (Tinqueux), Arago (Reims) et François Bazin (Charleville-Mézières) testent ainsi ce dispositif.

RENTRÉE SOCIALE

Parmi les nouveautés de la rentrée, Alexandre Steyer s’est montré rassurant sur les stagiaires (270) qui rejoignent l’académie. « La plupart ont déjà enseigné, ils ont des tuteurs pour les aider comme dans le compagnonnage. Nous avons aussi sélectionné leur affectation, ils sont loin d’être abandonnés ». Il ne se montre pas plus surpris par les suppressions de postes (118) en raison « de la baisse du nombre d’élèves (- 900 dans le second degré) ».

APPRENTISSAGE

Concernant l’apprentissage, Jean-Paul Bachy cite « la création d’un CFA de l’enseignement supérieur ». Il propose, par exemple, deux licences professionnelles : sécurité et prévention des risques, techniques avancées de maintenance, ainsi qu’un diplôme supérieur de comptabilité et de gestion. La Région verse 1 200 euros par an aux employeurs d’apprentis, soit 15 M€ en 2010.

PHILIPPE DEMOOR

En chiffres

Budget. La Région consacre 153,5 M€ dont 9,2 M€ au service de la pédagogie et de la vie des établissements, 34,2 M€ de fonctionnement des lycées, 48,2 M€ pour l’apprentissage et 7,2 M€ en faveur de l’égalité des chances.

Établissements. 70 lycées publics et 20 privés. Au niveau agricole 7 lycées publics et 13 privés. 26 centres de formation des apprentis.

Personnel. 1 300 postes de titulaires de l’Éducation nationale, 130 dans l’agriculture, 12 gestionnaires. 150 agents non titulaires. Coût salarial de 64,4 M€€

Elèves. 51 19 ? lycéens, 4 494 lycéens agricoles et 8 883 apprentis. Le second degré comprend aussi 53 307 collégiens dans les établissements publics.


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Union100907c


FIL ECO : Un quick 100 % halal

Le Click halal rémois a ouvert malgré la polémique.
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Petite révolution dans la restauration rapide à Reims, avec l’ouverture d’un Quick 100% halal dans le quartier Croix-Rouge.

Bravant la polémique qui fait ravage sur ces établissements taxés par certains de donner dans le communautarisme, l’enseigne a donc décidé d’ouvrir un établissement halai, comme dans 13 autres villes de France.

Le gérant escompte une hausse de son chiffre d’affaires dans ce quartier, en s’appuyant sur le profil de sa population et des modes de consommation constatés.

 

 


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Union100907b
Concours à Croix-du-Sud : A qui la plus belle parcelle ?

 

 

Patricia Lefèvre a conçu et aménagé les trois rocades des jardins.
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L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud organisera la cérémonie de remise des prix de la plus belle des 92 parcelles, le samedi 11 septembre à 10 heures, rue Joliot-Curie, à la rocade des Camélias.

Renseignements auprès de la présidente, Évelyne Nkounkou, au tél. 03.26.36.04.82.

 

 

 


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Union100907a
Belote à Croix-du-Sud

L’association Étoile Croix-du-Sud organise un concours de belote le dimanche 12 septembre à 14 heures dans ses locaux du 5, avenue Léon-Blum.

Inscriptions à 13 h 30 (16 euros par équipe).

Renseignements au tél. 03.26.06.56.66.


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Union100906a
Fumée sans feu

Hier vers 1 heure du matin, les pompiers ont été appelés pour une « fumée » suspecte rue Galilée.

Elle ne provenait pas d’un incendie mais d’une conduite d’eau chaude souterraine endommagée.

La vapeur s’échappait par les plaques d’égout.

Une société spécialisée doit effectuer les réparations aujourd’hui.


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Union100905a
Violences urbaines : Reims : une rame du tramway caillassée.

Il fallait s’y attendre…. Avec l’arrivée du tramway, les bus des Transports urbains de Reims (Tur) ne seront plus les seuls à subir des « caillassages ».

Lors d’un essai mardi à 17 heures sur le tronçon du quartier Croix-du-Sud, une rame a essuyé des jets de projectiles au niveau de la rue Joliot-Curie. L’un d’eux a brisé une vitre latérale.

Le conducteur était accompagné par du personnel d’Alstom et des formateurs.

Aucun d’entre eux n’a été blessé. Ils ont vu un groupe de jeunes s’enfuir entre les immeubles du quartier.

Le projectile a étoilé la vitre et occasionné « un petit trou » dans l’épaisseur du verre. D’après un collègue, le chauffeur a d’abord cru à une balle en raison du vacarme occasionné par l’impact (la rame vide a fait caisse de résonance), mais ce n’est pas le cas.

Les auteurs — « des gamins « selon les témoignages — auraient lancé des cailloux ou des billes.

Émoi des syndicats

Depuis de nombreuses années, des « caillassages » se produisent sporadiquement sur le réseau des transports urbains rémois.

Ce fut notamment le cas mercredi après-midi au pont des Châtillons, où un projectile a brisé la vitre d’un bus, sans faire de blessé.

Les couleurs « flashy » du tram vont-elles exciter davantage les lanceurs de pierres ? En attendant, cette triste « première » a provoqué quelques remous lors de la réunion mensuelle du comité d’entreprise qui se déroulait le lendemain.

Conformément à un accord signé en 2001, la direction est tenue d’informer les représentants syndicaux de tout incident sur le réseau susceptible de porter atteinte à la sécurité du personnel.

Or, le syndicat CGT s’est étonné de n’avoir appris le « caillassage » du tram que le lendemain, par le chauffeur.

En CE, la direction a répondu qu’il n’y avait pas lieu d’informer systématiquement, s’agissant d’un matériel en phase d’essai qui ne lui a pas encore été remis.

Toussotements de la CGT, pour qui la présence d’un chauffeur des Tur aux commandes du tramway justifiait ce droit à l’information.

F.C.


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Union100904a
Sillery : Retour gagnant

Annulé l’an passé en raison de dissensions internes, le réputé tournoi du TC Sillery a 1 repris vie avec quelque 120 participants.

De nouveau limitée à 5/6, cette épreuve attendue de la - « rentrée » s’annonce indécise chez les messieurs puisque cinq 5/6 - Cédric Vicaire (ASPTT Châlons), Bruno Dagnée (TC Géo-André Reims), Laurent Cailleux (TC Reims) et les Seine-et-Marnais Pierre-François Charles et Nicolas Brenner (TC Coupvray) - ont renvoyé leur bordereau d’inscription. Sans oublier six 15 aux dents longues emmenés par le maître de cérémonie de la compétition sillerotine, le Rémois Guillaume Thiérus (TCGA).

En + 35 ans, l’ex- « footeux » du Stade de Reims Nicolas Sarre (15/3, URT Reims) fera figure de grandissime favori. Idem en + 45 ans pour Philippe Liégeois (15/3, Villers-Marmery).

Du côté des dames, Lucie Varenne (5/6, La Macérienne Charleville) bénéficiera des faveurs du pronostic mais elle devra se méfier de l’expérience des trois 15 que sont Florence Depaquit (Guignicourt TC), Alexandra Rondelet (Sillery) et Caroline Berdjugin (TC Sedan).

DEMAIN - 9 heures demi-finales dames ; 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 15 heures . finales dames et + 45 ans ; 16 h 30 : finales messieurs et + 35 ans.


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LA MARNE>LE MAG- n° 29 - 100903c

Le quartier Croix-Rouge dans « LA MARNE>LE MAG »

Journal du Conseil Général de la Marne

N ° 29 - Mois de septembre-octobre 2010

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SOLIDARITÉ : Un jardin bio et social

Des bénéficiaires du RSA ont créé un jardin bio en plein cœur du quartier Trois-Fontaine de Reims.
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C’est au cœur du quartier Trois-Fontaines à Reims, que se situe le jardin bio imaginé et entretenu par des bénéficiaires du RSA. Un projet original initié par deux maisons de quartier, Clairmarais et Trois-Fontaines : « Un terrain de 300 m2, passage Lebeau, a été mis à disposition par la Mairie de Reims en octobre 2009. Il nous est alors venu l’idée d’aménager dans ce quartier résidentiel, un grand potager pour permettre aux bénéficiaires du RSA de s’investir dans un travail en équipe de plusieurs mois » explique Mohamed Achour, Directeur de la Maison de quartier Clairmarais. Une véritable fourmilière s’est activée pendant 9 mois autour de ce projet. Secondés par un paysagiste, une quinzaine d’hommes apprennent à bêcher, planter et récolter pendant que les femmes décorent les barrières de mosaïques, tissent des paniers à salades en osier ou confectionnent un épouvantail. Au final, fraises, tomates, choux, courgettes, plantes aromatiques poussent et sont utilisés pour réaliser des conserves de légumes par l’atelier cuisine. « Le groupe s’est emparé du projet avec un réel enthousiasme alors que les tâches ne sont pas faciles : il a fallu au préalable déblayer et labourer le terrain et les produits bio demandent plus d’exigence. Ils sont désormais fiers de leur réalisation et les volontaires ne manquent pas le soir et le week-end pour entretenir leur travail ! » insiste Mohamed Achour. Cette opération est menée dans le cadre des actions « vie quotidienne », financées par le Conseil général pour favoriser la réinsertion sociale qui conditionne souvent le retour à l’emploi des bénéficiaires de minima sociaux.


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L’hebdo du vendredi- n° 179 - 100903b

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 179 - Semaine du 03 au 09 septembre 2010

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Éducation- Réforme : Entre remue-méninges et pratique sportive

Le collège Georges Braque et les lycées Croix-Cordier et François Arago sont les trois établissements de l’académie qui participeront à l’expérience.
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Trois établissements marnais ont été retenus pour participer à la grande expérimentation nationale « cours le matin, sport l’après-midi », annoncée par le ministre Luc Châtel.

S’il ressemble pour beaucoup au modèle allemand, le nouveau projet d’aménagement des horaires de cours, lancé en mai dernier par le ministre de l’Education Nationale, se veut pourtant inédit en son genre. 124 établissements ont été retenus dans toute la France pour tester ce nouveau dispositif. Dans l’Académie de Reims, les heureux élus sont le lycée Croix- Cordier de Tinqueux, le collège Georges Braque et le lycée François Arago à Reims.

Concevoir différemment ses journées

Exit les 8h-18h, entrecoupés de longues heures de permanence entre deux cours. Dans la nouvelle formule qui est testée dès cette année, l’emploi du temps est scindé en deux : cours théoriques le matin (8h-13h) et activités sportives et culturelles l’après-midi (14h-18h). « Contrairement à ce que craignaient certains parents, il n’y aura pas moins d’heures de cours. Celles-ci sont simplement condensées en un gros bloc, le matin » rassure Sylvain Moret, professeur d’EPS au lycée François Arago. Avec sa collègue Delphine Lebègue, Sylvain Moret coordonne le dispositif pour Arago. « Pour cette grande expérimentation, on a choisi une classe test de seconde de 20 élèves ».

Si une partie des élèves inscrits dans cette classe atypique sont volontaires, les autres sont des jeunes habitants du quartier. Car c’est aussi l’un des objectifs de l’expérience : épanouir la scolarité des élèves en les sensibilisant au sport (pratique physique, aspect nutritionnel, principes physiologiques, cycles d’aviron, de hip-hop, d’escalade et de canoë kayak, etc.) mais aussi à la culture. Sur ce dernier point, Sylvain Moret précise « qu’une convention a été signée avec le Manège de Reims. On a mis sur pied un pack danse, comprenant 90h de cours de danse, des interventions de professionnels et des sorties organisées au Manège pour assister à différents spectacles ». Petit plus pour ces secondes générales « cobayes » : leur inscription d’office à l’association sportive du lycée Arago : « on espère ainsi dynamiser notre association et redonner aux jeunes le goût de faire du sport le mercredi après-midi » confie le professeur. Lancée cette année et pour trois ans, cette vaste expérience pourrait bien, si ses résultats s’avèrent positifs, être le futur schéma des emplois du temps de demain.


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Volley-ball N3 – Préparation : Premiers tests pour les équipes du RMV

Les équipes féminines et masculines du RMV jaugeront leur forme du moment.
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En attendant le championnat, le Reims Métropole Volley ouvre sa saison, dimanche 5 septembre, avec un tournoi amical.

Pas moins de quinze équipes évoluant en Nationale 2 et 3 sont attendues ce week-end pour en découdre sur le parquet des gymnases Universitaire et Roland Bourgoin à Croix-Rouge. L’occasion pour les filles et les garçons du RMV de préparer la saison de Nationale 3 qui débute fin septembre.

Respectivement 9ème et 8ème du dernier exercice, les deux formations rémoises affichent des ambitions mesurées. Pour Pascal Angely, nouvel entraîneur des garçons et ancien joueur professionnel, « l’objectif se situe entre la 2ème et la 9ème place ». Fraîchement débarqué cette année, il sait combien il est difficile d’évoluer à ce niveau et pointe notamment « de gros problèmes d’effectif ». Même constat pour Sophie Laurent, entraîneur et joueuse de l’équipe féminine : « L’année dernière on s’est peut être vues trop belles ». Pour rappel, les filles dégringolent en 6 mois de la 1ère à la 9ème place, proche de la relégation. « Notre équipe a joué de malchance avec beaucoup de blessées et de malades. On reste donc prudentes. Cette année l’objectif, c’est d’abord le maintien ». La retenue des deux coaches s’explique avant tout par les contraintes qui pèsent sur les équipes évoluant dans ces divisions, mêlant statuts amateurs et compétitions de haut niveau. Trois entraînements par semaine, 22 matches de championnat à l’année et des déplacements fatigants, sont autant de sacrifices qui peuvent rebuter les plus courageux (ses). Pourtant quelques jeunes mamans garnissent tout de même l’équipe des filles, à l’image de Sophie Laurent, mère de deux enfants : « C’est délicat de jongler avec sa passion et sa vie de famille. Ils ne m’accompagnent jamais en déplacement. C’est mon compagnon qui s’en occupe les week-ends ». Du côté des garçons, Pascal Angely compte sur Sébastien Heretick passé du parquet au banc de touche cette année. « Très complices » les deux hommes souhaitent rééditer les bonnes performances du début de saison dernière. L’ancien pro a prévenu ses hommes : « Je sais ce que je veux, je sais ce que je fais. Je demande à mes joueurs d’être concentrés, motivés et exigeants avec eux-mêmes ».

Le tournoi de dimanche dira si le message est passé.

Tournoi amical dimanche 5 septembre à partir de 10h aux gymnases Universitaire et Roland Bourgoin, avenue François Mauriac. Entrée gratuite - Restauration sur place.


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Roller Hockey : le RHR se teste face à l’élite

En pleine préparation, les Rémois du Roller Hockey Reims (N1) accueilleront Amiens (Elite) samedi 4 septembre à 20h au gymnase François Legros.


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« SYMPHONIE EN NOIR & BLANC » JUSQU’AU 15 OCTOBRE

 

Les Flâneries musicales comme vous ne les avez jamais vues dans un Reims version noir et blanc comme l’affectionne particulièrement son auteur Alain Hatat.

Entrée libre – Cryptoportique, place du Forum A voir aussi à la Maison du département, à la Fnac et dans les médiathèques Croix-Rouge et Cormontreuil

 


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« LE FILM D’ARTS MARTIAUX » JUSQU’AU 30 OCTOBRE

Des films de kung-fu et de sabre chinois jusqu’à son influence dans la production internationale actuelle, une invitation à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques.

Horaires d’ouverture habituelle – Entrée libre

Médiathèque Croix-Rouge et Jean Falala


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100903a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7357 du 30 août au 05 septembre 2010.

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CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

MARNE TECHNOLOGIE

Société à responsabilité limitée au capital de 400 €uros

Siège social : 37 esplanade du Général Eisenhower51100 REIMS

CONSTITUTION

Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 19 août 2010, il a été constitué sous la dénomination sociale "MARNE TECHNOLOGIE", une société à responsabilité limitée ayant pour objet le câblage d’armoire HT/BT. Le siège social a été fixé à REIMS, 37 esplanade du Général Eisenhower.

La durée de la société qui prendra cours à dater de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés est fixée à 99 années.

Le capital social, formé par les apports des associés, s’élève à la somme de 400 €. La société est gérée et administrée par Mlle BERTRAND Stéphanie.

La société sera immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

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Affichage très discret au Quick Croix-Rouge

Au comptoir, rien ni personne n’avise les clients de la nouvelle particularité du restaurant. « Nous comptons surtout sur le bouche à oreille, et sur les médias… »
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REIMS (Marne). Pas de publicité tape-à-l’œil autour de la toute fraîche conformité avec la religion musulmane. Hier, des clients ont mangé halal à leur insu. « AH bon, c’était de la viande halal ? On ne savait pas, et on n’a rien remarqué… » Cécile et Francis, la jeune quarantaine, sont de Troyes. Hier après-midi, ils déjeunaient au Quick Château-d’Eau (celui du quartier Croix-Rouge) à Reims. Et ils ont donc mangé halal sans le savoir. « Ce n’était pas plus mauvais, au goût ça ne change rien », commente Monsieur. Et celui-ci a beau se déclarer tout à fait athée, il ne s’offusque pas plus que ça d’avoir ingurgité à son insu de la nourriture conforme à la religion musulmane.

En petit tout en bas

Il est vrai que dans l’établissement managé par Ludovic Bernard, l’info et la publicité autour de cette nouvelle particularité toute fraîche puisqu’elle date de mercredi (notre édition d’hier) n’est pas spécialement tapageuse.

Rien n’accroche votre œil quand vous approchez du bâtiment. Quand vous êtes au comptoir pour passer votre commande, rien ne précise que votre viande provient désormais d’un animal saigné, la tête tournée vers la Mecque. Seuls les habitués remarqueront peut-être qu’on ne trouve plus le long bacon, dont la garniture était à base de porc, remplacé par le long beef garni, lui, à la dinde… « Nous ne voulons pas prendre la clientèle en traître », affirme toutefois le manager.

Et de fait, l’information sur la conformité halal existe bel et bien dans sa boutique, mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas du genre ostentatoire. Elle apparaît ainsi sur une étiquette apposée sur la porte d’entrée, mais il faut vraiment la chercher pour la lire. A la borne interphone, servant à ceux qui veulent être servis au volant de leur voiture, une autre étiquette est présente, mais pas du genre à attirer spécialement le regard non plus. L’info se trouve aussi au bas d’une grande affiche vantant à renfort de photos les produits maison, churros, long beef, giant et autre milkshake, mais c’est écrit en tout petit tout en bas : là encore, il faut vraiment le vouloir pour la dénicher.

Information discrète

Cette info est tellement discrète que Yasmine, musulmane pratiquante portant le voile, rencontrée à l’une des tables, n’était même pas au courant, alors qu’elle serait carrément demandeuse : « C’est une bonne chose, on en a marre du poisson ! » Mais personne ne lui en avait parlé au comptoir, pas plus qu’à notre couple de Troyens. Si elle avait su, elle aurait probablement modifié sa commande…

Non, pour le moment le restaurant la joue discrète. Le manager est très franc : « Pour le faire savoir, on compte sur les médias, et sur le bouche à oreille. »

Antoine PARDESSUS

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Des pompiers agressés

Hier, vers 5 h 30, un feu de poubelle- un de plus-a été allumé avenue Bonaparte, devant le n°1.

Alors qu’ils procédaient à l’extinction, les pompiers ont essuyé deux jets de canettes. Les projectiles n’ont touché personne.

Les auteurs sont en fuite.


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Un Quick halal dans le quartier Croix-Rouge

Le Quick du quartier Croix-Rouge fait partie des 22 restaurants, sur les 366 de l’enseigne française, qui vendent des burgers confectionnés uniquement à base de viande halal.
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Gérard PERON
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Jacques-Edouard Charret, président du groupe Quick, a confirmé aux nombreux journalistes présents, dont la presse étrangère,
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REIMS (Marne). L’entreprise française de restauration rapide Quick a annoncé hier l’extension de ses établissements halal à quatorze villes de l’Hexagone. Reims aura le sien à Croix-Rouge, dès aujourd’hui.

DEPUIS un an, l’enseigne Quick avait décidé de tester dans huit villes de France* l’intérêt commercial et la faisabilité technique de proposer à ses clients une gamme de produits à base de viande halal. « Après avoir constaté, en moyenne, un doublement du chiffre d’affaires, dans les magasins concernés, nous avons décidé d’étendre cette offre à quatorze autres villes** », a annoncé hier matin Jacques-Edouard Charret, président du groupe Quick, lors d’une conférence de presse à Paris. Une décision qui sera effective dès ce matin et qui concerne notamment Reims, avec son Quick implanté au quartier Croix-Rouge.

« J’ai été contacté à la fin du mois de juin. On m’a indiqué que ce restaurant entrait dans les critères retenus. N’ayant aucun frein idéologique, j’ai immédiatement accepté de passer au tout halal dès le 1er septembre. De plus, les prix resteront identiques », se félicitait Claude Louis, gérant franchisé de cinq fast-foods Quick, dont les trois implantés dans la cité des Sacres. Pour ce dernier, répondre à l’attente de ses clients, avec au passage la perspective de doubler son chiffre d’affaires, est logique.

En effet, Claude Louis escompte à son tour récolter les fruits de cette « politique d’innovation », comme le soulignait le président du groupe Quick. « Selon les estimations, mon chiffre d’affaires pourrait passer de 1,3 million d’euros en 2009, à plus de 2,5 millions d’euros », précisait avec enthousiasme l’entrepreneur rémois, qui souligne avoir été durement affecté par les travaux du tramway pendant deux ans.

Une vingtaine d’embauches

Afin d’anticiper l’augmentation de sa clientèle à Croix-Rouge, avec une moyenne de 400 tickets de caisse par jour actuellement, le chef d’entreprise a même pris le risque, dès le mois de juillet, pour roder ses équipes, de doubler son personnel. Depuis deux mois, 44 salariés, l’équivalent d’une trentaine d’employés à temps complet, travaillent à Croix-Rouge. Mais pourquoi sélectionner ce restaurant ? Selon l’enseigne française, ce fast-food répond à trois critères : la surreprésentation des ventes de burgers au poisson ; la sous-représentation des ventes de produits avec du bacon (confectionnés à base de porc) ; et une variation importante de la fréquentation avant, pendant et après la période du Ramadan.

Pas de polémique pour Adeline Hazan

Malgré un début de polémique, Quick persiste et signe ainsi dans son idée de se développer dans des niches commerciales, et notamment le halal. Un marché en pleine expansion. Le dépôt, puis le retrait d’une plainte pour discrimination, en février dernier, du maire de Roubaix, n’ont pas fait fléchir le président du groupe Jacques-Edouard Charret. D’ailleurs pour le maire de Reims, Adeline Hazan, il n’y a pas de polémique. « Pour moi, il n’y a aucun souci, ce n’est pas un problème. Du moment que tous les clients, y compris les non musulmans peuvent consommer dans le magasin, commentait Adeline Hazan. Je rappelle au passage qu’un maire n’a aucun pouvoir pour s’opposer à ces politiques commerciales. »

« Le juge de paix, c’est le client », affirmait au passage Jacques-Edouard Charret. Ainsi, les récentes déclarations du maire UMP de Rosny-sous-Bois, Claude Capillon qui regrettait « que les clients n’aient pas le choix », ainsi que celles de Gilles Poux, maire PCF de La Courneuve, qui estimait que Quick rentre « dans un comportement communautariste », n’y ont rien changé. Seule précaution prise, l’envoi d’une lettre aux élus concernés. « Le maire de Reims a dû recevoir le courrier lundi. Pour l’instant, je n’ai eu aucune réaction », affirmait pour sa part Claude Louis.

Elle viendra peut-être en revanche des clients non musulmans qui résident dans le quartier Croix-Rouge, même si le maire de la cité des Sacres n’y croit pas. A moins que ceux-ci n’y voient aucune différence ou qu’ils choisissent un burger non-halal. « Celui-ci arrivera avant la fin de l’année et complétera l’offre dans les magasins halal. Un sandwich vendu sous vide et simplement réchauffé », dévoilait Jacques-Edouard Charret. Mais pour l’instant « Je n’en ai pas du tout entendu parler », concluait pour sa part et en toute franchise le gérant rémois.

Damien LE-THANH

*Toulouse, Marseille, Argenteuil, Garges-lès-Gonnesse, Mantes Buchelay, Roubaix et Villeurbanne

** Chelles, Creil Nogent, Creil Pompadour, Dammarie-lès-Lys, Fleury-Mérogis, Kingersheim, La Courneuve, Montreuil, Rosny-sous-Bois, Strasbourg Hautepierre, Sevran, Villeneuve-Saint-Georges et Reims.

Une viande certifiée par la Grande mosquée de Paris

Depuis ce matin, le Quick implanté au quartier Croix-Rouge ne sert plus que des burgers confectionnés à base de viande halal, comme 22 autres restaurants sur les 366 du réseau Quick en France. Des burgers qui respectent les principes de la religion musulmane. Ainsi, l’animal doit être égorgé vivant, sans être au préalablement étourdi, qu’il ait la tête tournée vers La Mecque pour qu’il se vide de son sang. Une viande certifiée par la Grande mosquée de Paris. Malgré ce détail, « les produits restent identiques et il y a aura toujours de la bière en vente », rassurait hier Jacques-Edouard Charret, président du groupe Quick.

Plaques de cuissons changées ce matin

Pour les plus récalcitrants, Quick affirme avoir fait en sorte que ses clients puissent trouver à moins de dix minutes en voiture un Quick standard. « A partir de 5 heures du matin mercredi, l’ensemble du magasin a été nettoyé, les plaques de cuissons changées ainsi que d’autres ustensiles », précisait Claude Louis, gérant franchisé du Quick Croix-Roug


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Judo à Croix-Rouge Le renouveau de l’ASCR

Jean Dressayre ( à gauche) devient le nouveau directeur technique de l’ASCR.
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Un nouveau souffle est donné au judo-club de l’Association sportive Croix-Rouge (ASCR-Judo) avec l’arrivée de Jean Dressayre au poste de directeur technique.

4e dan et titulaire du brevet d’Etat 2e degré de judo et ju-jitsu, Jean Dressayre a enseigné sur les tatamis catalans en dirigeant le Judo athlétique perpignanais pendant quatorze ans, fédérant près de 350 licenciés. Muté à Reims en 1994, pour des raisons professionnelles, il ouvre l’année suivante une section judo à Cormontreuil qu’il dirigera jusqu’en 2008.

Son engagement et son savoir-faire permettront au Judo-club cormontreuillois d’atteindre jusqu’à 260 licenciés.

En avril 2010, alors qu’il était libre de tout engagement sportif, les dirigeants de l’AS Croix-Rouge l’ont sollicité pour prendre la direction technique de leur club laissée vacante.

« Sur une carrière de 27 ans d’enseignant judo, le club de judo de l’AS Croix-Rouge sera ma troisième direction technique, après Perpignan et Cormontreuil », précise Jean Dressayre.

Faire la différence

« J’ai quatre objectifs pour ce nouveau défi. Le premier est de développer l’enseignement judo des 4/10 ans car c’est au cours de cette tranche d’âge que les bases du judo doivent être acquises. Le deuxième est la mise en place d’un groupe « avenir » regroupant les benjamins et les minimes. Le troisième objectif concerne la création d’un cours de judo et ju-jitsu favorisant la pratique du sport pour ceux et celles qui ont arrêté toute activité physique depuis un certain temps, voire même pour ceux n’ayant jamais fait de sport. Ce cours sera aussi consacré à la préparation des « dan » d’expression technique du 1er au 4e dan. Enfin, dernier objectif, favoriser le judo de compétition des judokas motivés. »

En recrutant Jean Dressayre, les dirigeants de l’AS Croix-Rouge, sous l’impulsion de leur nouveau président, Patrice Launois, comptent bien redonner à leur club une nouvelle dynamique tant qualitative que quantitative. Le nouveau site web du club (www.judo-reims-ascr.fr) est à consulter pour tout renseignement complémentaire.

Il démontre la volonté de la nouvelle équipe dirigeante de « faire la différence » dans le monde du judo rémois.


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Il passera quand, le tram ?

Pour l’instant, seuls les habitants de Croix-Rouge qui habitent entre les stations Blum, CHU et Campus ont le loisir de voir passer le tram qui fait ses essais.

A partir de mardi soir prochain, vers 20 heures (*), ceux qui vivent entre Campus et Comédie auront le même plaisir.

Fin septembre, tout le centre-ville jusqu’à Boulingrin verra le tram circuler.

A la fin octobre, le tram fera ses essais sur toute la ligne jusqu’à Neuchâtel. Ça approche mais on ne pourra monter dedans qu’à partir d’avril.

(*) Horaire à préciser.


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Hauts-de-Murigny Alerte à l’amiante !

Un affichage inquiétant pour seule information.
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La surprise fut grande pour ces locataires du 4, allée Toulouse-Lautrec aux Hauts-de-Murigny en sortant de l’ascenseur et en découvrant deux personnages portant une sorte de tenue de cosmonautes sortir de l’appartement en face du leur sur le même palier…

Plus tard, ils collaient deux affichettes sur la porte d’entrée : « Protections respiratoires obligatoires » et « Équipements de protection obligatoires » avec un panneau « Amiante ».

Renseignements pris auprès des employés, l’organisme logeur Reims habitat, à la suite d’une infiltration dans l’appartement concerné, et profitant du déménagement des locataires, a fait intervenir une équipe professionnelle de désamiantage. « Une couche d’amiante noire existe sous les dalles des cuisines et des salles de bains dans tous les appartements de ce type et nous devons la retirer ici. »

L’affaire est sérieuse, elle a nécessité jusqu’au bouchage du trou de la serrure pour éviter toute émanation sur le palier.

Défaut d’information

Aucune information dans le hall d’entrée ni dans l’ascenseur, et encore moins aux locataires voisins qui ont un enfant en bas âge. De même, tous les locataires de ce secteur construit dans les années soixante-dix ne devraient-ils pas être informés du danger signalé par les professionnels de l’amiante ? Au moins, auront-ils appris qu’ils ne doivent surtout pas décoller ou percer les dalles de leur cuisine ou de leur salle de bains.

Reims habitat : « Pour les locataires le risque est imperceptible »

Philippe Bréjard, directeur « location et proximité » à Reims habitat, explique que les précautions prises par les ouvriers désamianteurs répondent à des règles strictes. « Ils doivent prendre des précautions énormes au regard du risque engendré ! L’inspection du travail est très stricte à ce sujet. Sur ce sujet « passion », les contraintes imposées aux professionnels sont inimaginables ! »

Pour Philippe Bréjard, « tous les professionnels le savent ». Mais pas les locataires : « de toute façon, il s’agit d’un amiante qui est peu friable, on peut l’inhaler, le risque pour l’utilisateur est « imperceptible ».

Ces déclarations rassurantes suffiront-elles à tranquilliser tous les locataires qui, depuis trente ans, ont déjà réalisé des travaux dans leurs cuisines ou leurs salles de bains ?


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Lycées publics : fin prêts pour la rentrée !

REIMS (Marne). Dernier jour de vacances pour les lycéens rémois. Demain, c’est la rentrée ! Et cette année, les lycées seront accaparés par la mise en place de la réforme.

• Arago

Proviseur : Elisabeth Becker.
Effectifs : 600 élèves et une centaine d’enseignants.
Spécificité : prépare notamment aux métiers des travaux publics et du bâtiment.
Nouveautés : modification des rythmes scolaires pour certaines sections (cours traditionnels le matin, sport l’après-midi) ; ouverture d’une section ATS (adaptation technicien supérieur), préparatoire aux grandes écoles.
Rentrée : le 2 septembre de 8 à 10 heures pour les BTS 1re année et terminales ; de 10 à 12 heures pour les 1res ES, S, STI génie civil et génie énergétique ; de 14 à 16 heures pour les autres 1res, les 2es années de BTS ; de 15 h 30 à 17 heures pour les 2ndes.

• Chagall

Proviseur : Michèle Sobaszek.
Effectifs : 1.050 élèves et environ 100 enseignants.
Spécificité : lycée ouvert sur les sciences, sur les langues (classes européennes et internationales) ainsi que sur l’art appliqué avec notamment des formations à partir de la seconde jusqu’après le bac. A noter qu’il existe une section de remise à niveau pour accéder au STS design de l’espace.
Objectifs : privilégier l’accompagnement des élèves dès leur arrivée au lycée et ce jusqu’aux formations post-bac et leur inculquer une identité culturelle.
Nouveauté : construction d’un gymnase qui sera disponible à la fin du trimestre.
Rentrée : le 2 septembre dès 9h30 pour les 2ndes, 1res et terminales et le vendredi 3 à 9 heures pour les post-bac.

• Clemenceau

Proviseur : Maurice d’Angelo.
Effectifs : 1.150 élèves et 130 professeurs.
Spécificité : pôle d’enseignement préparatoire aux grandes écoles (1/3 des effectifs) avec un recrutement sur huit départements et d’enseignement artistique avec notamment des cours d’histoire de l’art et de cinéma.
Objectifs : favoriser l’accès des classes préparatoires aux élèves défavorisés. Réussir la mise en place de la réforme et particulièrement de l’accompagnement personnalisé.
Nouveauté : des travaux de réfection des équipements sportifs et de la rotonde auront lieu au cours de l’année afin d’améliorer l’accès aux personnes handicapées.
Rentrée : pour les 2ndes, 1res et terminales la rentrée aura lieu le 2 septembre respectivement à 9 heures, 10 heures et 14 heures, et de 8 à 10 heures pour les prépas.

• Colbert

Proviseur : Michel Pillet.
Effectifs : 440 élèves et 45 enseignants.
Spécificité : établissement d’enseignement général et technologique avec un accent sur l’éducation physique et sportive (section football), sur l’enseignement des arts et des langues, avec notamment une classe européenne allemand. Le lycée Colbert accueille également des étudiants en BTS tertiaires.
Objectifs : apporter à tous les élèves une base culturelle solide. Stimuler l’attractivité de l’établissement.
Nouveauté : ouverture de deux nouvelles sections : le Peps, section de découverte des métiers du sport en collaboration avec le Staps et l’équivalent d’une classe européenne anglais, avec des cours d’histoire géographie dans la langue de Shakespeare.
Rentrée : jeudi 2 septembre à 9 heures pour les 2ndes, 10 heures pour les 1res, terminales et BTS première année et 14 heures pour les deuxièmes années de BTS.

• Europe

Proviseur : Antoine Rivelli.
Effectifs : 750 élèves et 90 professeurs.
Spécificité : lycée des métiers spécialisés dans les soins personnels et des services à la personne avec notamment des formations en coiffure, esthétique, sanitaire et social.
Nouveauté : cette année, le lycée Europe reprend la gestion de son internat (transféré dans les locaux du lycée Yser).
Rentrée : étalée sur les 2 et 3 septembre.

• Gustave-Eiffel

Proviseur : Dominique Cosson.
Effectifs : 640 élèves et 85 enseignants.
Spécificité : lycée des métiers spécialisés dans l’hôtellerie et la restauration ainsi que dans l’industrie automobile. Lieu de formation continue pour les adultes et accueil d’Unité Pédagogique d’Intégration.
Objectifs : se focaliser sur la lutte contre l’absentéisme et le décrochage scolaire.
Nouveauté : fermeture des sections productiques et ouverture d’un CAP café, bar, brasserie.
Rentrée : le 2 septembre de 9 à 15 heures pour les 3e découvertes, les premières années en CAP et le 3 septembre pour les bac pro et les deuxièmes années de CAP.

• Jean-Jaurès

Proviseur : Dominique Montagne.
Effectifs : environ 1.060 élèves et 90 enseignants.
Spécificité : établissement général largement ouvert sur l’international et la culture, proposant de nombreux échanges linguistiques ainsi que des formations en alternance avec le conservatoire.
Objectifs : perpétuer la démarche d’ouverture déclinée sur plusieurs axes : ouverture au monde, fournir des clés pour appréhender ce qui nous entoure, ouverture au milieu du travail, qui correspond au processus d’orientation et enfin une ouverture sociale qui vise à former des citoyens.
Rentrée : le 2 septembre à 9 heures pour les 2ndes, et à 9h30 pour les hypokhâgnes et khâgnes enfin rentrée le 3 à 8h30 et 9 heures pour les 1res et terminales.

• Joliot-Curie

Proviseur : Amadou Simal.
Effectifs : 600 élèves et 65 enseignants.
Spécificité : lycée des métiers administratifs et commerciaux accueillant des élèves du CAP au BTS.
Objectifs : mise en place du nouveau bac professionnel tout en conservant un niveau identique et réussite de l’accompagnement personnalisé.
Rentrée : pour les 2ndes, CAP 1re année et BTS rentrée le 2 septembre à 13h30, les 1re bac pro, le vendredi 3 septembre à 10 heures et enfin les terminales bac pro et CAP vendredi 3 septembre à 13h30.

• Libergier

Proviseur : Liliane Garin.
Effectifs : environ 1.500 élèves (dont 500 étudiants) et 160 enseignants.
Spécificité : lycée général et lycée des métiers de l’assistance au management et des métiers de la biologie.
Objectifs : développer l’offre d’enseignement et de formation en lien avec le territoire et la rendre plus attractive.
Rentrée : à partir de 8h30 le jeudi 2 pour les 2ndes et les BTS et 8 heures le vendredi pour les 1res et terminales.

• Roosevelt

Proviseur : Martial Colson.
Effectifs : un peu plus de 1.800 élèves et 200 enseignants.
Spécificité : lycée général à vocation scientifique et technologique tertiaire et industriel. Accueille également des classes préparatoires aux grandes écoles ainsi qu’un bac pro traitement de surfaces.
Objectifs : se décrit en deux axes, stabiliser et pérenniser les résultats au bac et en BTS et améliorer les taux de passage entre la 2nde et la 1re.
Rentrée : pour les classes de 2nde et de terminale le jeudi 2 septembre entre 8 et 12 heures, les 1re rentreront le vendredi 3 à partir de 8 heures.

• Val-de-Murigny

Proviseur : Hervé Martineau.
Effectifs : 640 élèves et 85 enseignants.
Spécificité : lycée général et technologique avec une section professionnelle importante dans l’électronique, la microtechnique et l’industrie graphique ainsi que des formations en BTS en relation avec l’industrie.
Objectifs : amener le plus efficacement possible les jeunes à s’insérer dans le monde du travail.
Rentrée : les 2ndes bénéficieront d’un accueil individualisé le 2 septembre.

• Yser

Proviseur : Jean-Marc Edler.
Effectifs : 600 élèves et 60 enseignants.
Spécificité : lycée des métiers du bois avec notamment des formations en CAP et bac professionnels en menuiserie, en ébénisterie, ainsi que des filières en bâtiment, finition peinture, topographie et en vente et commerce.
Objectifs : offrir aux élèves une formation de qualité leur apportant des savoirs, savoir-faire et savoir-être, ainsi que lutter activement contre l’absentéisme.
Nouveauté : bâtiments de 1.200 m2 en cours d’achèvement pour les formations en vente et commerce.
Rentrée : pour les internes, ce sera dès aujourd’hui mercredi 1er septembre à 14h30, pour les autres jeudi à partir de 9 heures.


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Un nouveau proviseur à Joliot-Curie

« Pour l’instant, il faudra lutter contre le décrochage des élèves. »
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Amadou Simal est l’un des quatre nouveaux proviseurs venus s’installer à Reims cette année. Il sera à la tête de l’administration à Joliot-Curie, un lycée réputé pas facile. Pourtant, avant toute chose, il souhaite prendre le temps de connaître son nouvel établissement. « Il faut être pragmatique ! », lance-t-il dans un grand sourire. « Je ne peux pas arriver comme ça avec de grandes théories, déjà, il faut se familiariser avec le personnel, les bâtiments et bien sûr les élèves. » Pour cela, il pourra compter sur une solide expérience, à tous les niveaux du système éducatif : « J’ai toujours voulu être professeur », révèle-t-il, « puis dans la logique des choses j’ai suivi une évolution normale dans la hiérarchie. Ainsi, il y a une dizaine d’années, après avoir exercé comme professeur de mathématiques, je suis passé dans l’administration. »

Fort des années passées comme adjoint au lycée de Rethel et de Vivier-au-Court dans les Ardennes puis comme principal du collège Le Lac à Sedan, il souhaite améliorer l’insertion des lycéens dans la vie active. Mais pour y arriver pas de qualités particulières, selon lui : « Il n’y a pas de moule pour devenir proviseur, et de toute manière notre performance ne peut pas être mesurée. » En tout cas cette année, il pourra compter sur sa bonne humeur et son grand sourire.

 


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Du nouveau au Reims basket féminin : Création d’une école de mini-basket

Benjamin Villeger est aussi l’entraîneur de l’équipe pro féminine.
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Entraîneur de l’équipe pro féminine du Reims basket féminin, un club qui compte une centaine de licenciées pour une dizaine d’équipes, Benjamin Villeger, titulaire d’un brevet d’État et plusieurs membres du club diplômés ouvrent une école de mini-basket à la rentrée.

Ouverte le mercredi de 14 à16 heures au gymnase Léo-Borgniet (quartier Croix-Rouge), elle se propose d’accueillir des garçons et des filles nés (es) entre 2002 et 2004 (catégories poussins, mini poussins et babies). « Il s’agit de leur faire découvrir le basket de façon ludique, une découverte avec des ballons autour du basket encadrée par des intervenants diplômés. »

A terme le but du club est de pouvoir labéliser l’école auprès de la Fédération. A noter que cette année sur onze joueuses pro engagées en compétition, une seule est issue du club.

A.M.

Pour tous renseignements. Tél. 06.03.35.26.10. ou 03.26.88.75.65.
Renseignements aussi sur www.reimsbasketfemin.fr

Alain Moyat


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Feux divers

Hier, vers 0h 30, une poubelle a brûlé rue de Rilly-la-Montagne, …


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ÉCONOMIE dossier : Restauration rapide : Un Quick converti à Reims ?

On saura aujourd’hui si l’un des cinq restaurants Quick de Reims se mettra au « fast-halal ».
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Quick a annoncé la tenue ce mardi d’une conférence de presse très attendue. Elle devrait officialiser des décisions concernant la spécialisation halai de certains de ses fast-foods. Reims est concerné. Le groupe français concurrent de McDonald’s avait défrayé la chronique cet hiver en proposant des hamburgers préparés avec de la viande halai et sans bacon dans huit de ses restaurants. La chaîne de fast-food avait par la suite jugé « l’expérimentation » comme « concluante ». Alors que Quick se disait encore en « réflexion » une indiscrétion sortie d’un comité d’entreprise a dévoilé cet été un projet de montée en puissance des menus à la sauce halai. On a parlé de quatorze nouveaux restaurants servant des hamburgers à la viande dûment abattue en respect des rites musulmans.

Les établissements concernés se trouveraient en banlieue parisienne, vers Lyon et Marseille, et donc dans la cité des Sacres.

Il existe aujourd’hui cinq Quick à Reims. Ils sont détenus par un franchisé, Claude Louis. Ce dernier s’est gardé de tout commentaire avant l’annonce de la maison-mère. Mais il ne fait guère de doute que si Quick halai il y avait à Reims, ce serait celui du quartier Croix-Rouge. Reste à savoir si les restaurants seraient entièrement consacrés aux plats halai où si cohabiteraient sur les menus des sandwichs « haram ». En attendant, une polémique sur le thème du « vivre ensemble » couve. Pourquoi Quick prend de tels risques ? Comme les géants de l’agroalimentaire, l’enseigne trouve ici sans doute le moyen d’atteindre des consommateurs de culture musulmane, dont la moyenne d’âge est plus jeune que celle de l’ensemble des Français. C’est aussi un facteur différenciant vis-à-vis de son concurrent américain McDo. Mais d’après Abbas Bendali, spécialiste de marketing ethnique, Quick voudrait plutôt contrer « la myriade de petits kebabs et de sandwicheries », seuls, pour l’heure, à répondre aux jeunes qui veulent manger du « fast-halal ».


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Hip-hop / Collaboration haut de gamme !

De gauche à droite : Dry de la Mafia K1fri, Twister aka John Karchere et Ol’Kainry, le célèbre rappeur français.
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REIMS (Marne). Le Rémois Twister aka John Karchere vient de réaliser un morceau pour le nouvel album d’Ol’Kainry, le célèbre rappeur originaire de l’Essonne.

À Reims, très rares sont les artistes de rap qui parviennent à s’introduire d’une manière ou d’une autre sur la scène française. Pourtant Twister aka John Karchere, un artiste du hip-hop rémois, a réussi à mettre un pied dedans grâce à l’une de ses nombreuses compositions.

Effectivement, il vient de réaliser une instru pour le prochain album d’Ol’Kainry, un rappeur français originaire du Canal à Courcouronnes dans l’Essonne qui, le 20 septembre prochain, sortira son neuvième disque (4e en solo).

« En fait, j’enregistre dans un studio de l’Essonne, à Juvisy au Black Stud. Mech qui est ingénieur du son dans le studio travaille aussi pour Ol’Kainry. Une fois, je lui ai fait écouter mes sons et il m’a dit que l’un d’eux en particulier plairait à Ol’Kainry et que, si je voulais, il pouvait lui faire écouter », se souvient Twister aka John Karchere.

« Que demander de plus ? »

Ol’Kainry a de suite été emballé et décide d’inclure le morceau composé par Twister dans « Iron Mic », son prochain album qui devait sortir durant l’été mais qui a finalement été reporté au 20 septembre.

« Je suis allé le rencontrer au Black Stud. Il était avec un autre rappeur connu, Dry, un membre de la Mafia K1Fry qui était présent pour enregistrer un duo avec lui sur mon instru, la musique lui a tout de suite plu. Le titre s’appelle « Beleck Beleck », il est déjà en écoute sur plusieurs gros sites de rap français comme Booska-P ou le site de Génération », ajoute-t-il.

Twister n’aura pas gagné un centime pour ce titre mais bien plus, une visibilité qu’il n’avait pas jusqu’à présent.

« Je n’ai pas demandé d’argent, de toute façon artistiquement, qui suis-je pour le faire ? Ma récompense pour ce morceau, c’est la publicité que la notoriété d’Ol’Kainry va m’apporter. De plus, le morceau n’est pas le single de l’album mais tout de même l’un des morceaux phares. L’équipe d’Ol’Kainry s’est récemment réunie pour parler du disque et après concertation mon morceau ressort comme l’un des quatre meilleurs. Je me trouve sur un disque aux côtés de producteurs très connus dans le rap français comme Spike Miller ou Blackstard. Que demander de plus ? », précise l’artiste.

Twister aka John Karchere sortira son propre album, le quatrième, « Collision » au mois d’octobre avec une expérience de plus en poche.

« Je suis content d’avoir collaboré avec Ol’Kainry, c’est un aboutissement personnel mais surtout et avant tout artistique », conclut-il. Sûr et certain que l’on reparlera de Twister, puisque depuis cette collaboration avec le rappeur de l’Essonne, d’autres grosses pointures du hip-hop français ont d’ores et déjà pris contact avec lui.

Thierry ACCAO FARIAS

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Est-ce en raison de sa situation assez centrale ? Ou des multiples autant que diverses options qu’il propose (classe bilangue anglais-allemand, horaires aménagés pour tennis de table, musique et aviron, classe européenne espagnol…) ? Le collège de la rue Nicolas-Roland, dirigé par Irène Casalis, enregistre une augmentation sensible (une bonne vingtaine d’élèves en plus) de ses effectifs, pour atteindre le chiffre de 547. « Nous constatons une forte pression pour des dérogations d’entrée en sixième », indique la principale. Au volet des infrastructures, on note le câblage total du réseau pédagogique informatique/internet, en cours ; concernant le personnel, non seulement le gestionnaire et la secrétaire changent, mais dix nouveaux professeurs arrivent sur un total de 40.

[|Brossolette : deux nouveaux à la barre


Le nouveau principal de l’établissement de la rue Roland-Dorgelès (secteur Charles-Arnould) s’appelle Alain Rollinger. Originaire de Reims, il officiait l’an dernier à Asfeld, après avoir notamment été adjoint à feu le collège Picasso. Il succède à Mme Carbonnelle partie à Châlons ; il aura pour l’épauler Ludovic Farcé, en provenance du collège Université, qui lui, pallie le départ de Mme Lemaire pour Dormans. Les effectifs sont quasiment stables à 7 ou 8 élèves près en moins, pour un total de 492 ; on notera la présence d’une Upi (unité pédagogique d’intégration) pour les enfants présentant un retard intellectuel. Le câblage informatique constitue la principale amélioration des infrastructures. La rentrée s’échelonnera sur deux jours : les 6es le jeudi 2 septembre à 9 heures, les autres le lendemain à 8 heures.

Braque : nouveaux rythmes et nouveaux horaires

L’établissement aux limites de Croix-du-sud et Murigny dirigé par Olivier Leloux modifie ses horaires d’après-midi : 13 h 30 - 16 h 30 au lieu de 13 - 17 heures. Par ailleurs, il attaque l’expérimentation des nouveaux rythmes scolaires (cours traditionnels le matin, activités sportives et artistiques l’après-midi) dans deux classes de 5e. Un dispositif européen d’apprentissage de l’anglais (avec sept heures hebdomadaires) débute en 6e. En revanche, fin de la classe bilangue anglais-allemand en 6e, faute de candidats. Avec entre 320 et 330 élèves, les effectifs sont quasiment stables (alors que le principal s’attendait à une baisse).

Maryse-Bastié : tutorat

L’établissement de la rue Léon-Faucher (zone du Port-sec proche de Bétheny) expérimente à cette rentrée le tutorat d’élèves de 5e envers des plus jeunes de 6e. Il accueillera aussi une classe de l’IME (institut médico-éducatif) de Ville-en-Selve dans le cadre d’une « unité d’enseignement externalisée ».

Le principal Dany Allary accueillera quelque 420 élèves, cette diminution par rapport à l‘an dernier (430), malgré sa faiblesse, ayant coûté la perte d’une classe.

Colbert : orientation artistique

Au collège de la cité scolaire d’Orgeval, dirigée par Michel Billet (le proviseur adjoint chargé du collège est toujours Laurent Maréchaux), l’orientation devient davantage artistique, avec une nouvelle option arts plastiques (en 6e) et la poursuite de l’option instruments inaugurée l’an dernier, toutes deux anticipant la création de classes à horaires aménagés pour ces disciplines. A peu de choses près, effectifs stables avec 380 collégiens (375 l’an dernier).

Joliot-Curie : changement à la tête

Le seul collège de la Marne à être labellisé « ambition réussite » (ce qui signifie qu’il a globalement affaire à un public en grande difficulté) est à partir de cette rentrée dirigé par Christophe Georges, originaire des Ardennes, et qui arrive de Jean-de-la-Fontaine de Charleville, après avoir notamment enseigné l’électrotechnique à Tinqueux Croix-Cordier. Il succède à Philippe Lhuillier, parti à la retraite. Le nouveau principal aura sous sa responsabilité 300 élèves, soit une dizaine de plus environ que l’an dernier, qui profiteront d’une salle polyvalente rénovée.

Trois-Fontaines : nouveau principal

Pour succéder, à la tête de l’établissement de la rue Paul-Vaillant-Couturier, à Mme Claude Allara partie pour Aix-en-Provence, apparaît à cette rentrée Nicolas Morelle, ancien professeur de maths, passé notamment par la Réunion, et qui arrive de Suippes.

Il aura la charge de 384 élèves, soit trois de plus que l’an dernier. On notera la création d’une option atelier artistique en arts plastiques. Les 6es rentreront le jeudi 2 septembre à 8 h 30, les autres élèves le même jour à 13 h 30.

Schuman : inspiré par la cathédrale

Les 800 ans de l’édifice emblématique de la ville (que l’on fêtera en 2011) fournira matière à un Pag, ou projet d’action globalisée, au collège du quartier Europe dirigé par Joëlle Buard. Les effectifs, 580 élèves environ, sont quasiment stables, voire plutôt en légère hausse. Le partenariat avec la Comédie se poursuivra, et un voyage en Russie sera mis sur pied.

Université : nouveau principal aussi

Pour diriger le collège de la rue de l’Université, on trouve désormais Jean-Pierre Moufflard, un natif de Reims qui arrive de Châlons/Nicolas-Appert. Il succède à Benoît Bidot parti en terre bordelaise. L’établissement frôle les 700 élèves (697), ce qui représente une hausse d’une bonne dizaine d’unités. Une nouvelle conseillère principale d’éducation, Najat Elomri, arrive également. Et l’infirmière, nommée à l’université (la vraie), doit être remplacée.

A noter que le jour de la rentrée, le 2, tous les élèves sortiront à 16 h 25.

A.P.


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Gros plan sur François-Legros

Au collège François-Legros, on se prépare à accueillir un peu plus de 530 élèves, dont une douzaine de sourds et malentendants.
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Bienvenue aux malentendants et aux sportifs ! Ce pourrait être un des slogans du collège François-Legros, près de l’hippodrome. Celui-ci présente en effet la particularité d’abriter deux unités spéciales (jusqu’à une époque récente, on disait Upi pour Unité pédagogique d’intégration, maintenant Ulis pour Unité locale pour l’inclusion scolaire), destinée aux enfants souffrant de faiblesses auditives ; il accueillera une douzaine de ces derniers cette année.

Et puis il abrite aussi des classes à horaires aménagés pour des jeunes (à partir de la 6e) branchés foot, dans le cadre d’un partenariat avec le Stade de Reims d’une part, pour des sportifs de haut niveau dans diverses disciplines (foot, hand, basket, judo, tennis…) en partenariat avec le Creps d’autre part (là à partir de la 4e, et le recrutement est dans ce cas carrément national). C’est ainsi que Paul-Henri Matthieu et Gaël Monfils par exemple, les deux joueurs de tennis bien connus, sont passés par François-Legros de Reims…

23 nationalités

Un autre trait caractéristique de ce collège : il est particulièrement cosmopolite. On y trouve un nombre élevé de nationalités parmi les élèves (23 selon le principal Roger Cordier) : Afrique, pays de l’Est, Turquie, sont les origines étrangères les plus représentées.

« Ce qui n’est pas sans poser le problème de la barrière de la langue avec les parents, souligne le chef d’établissement. Heureusement, nous bénéficions de l’aide de l’association Relais 51 pour les traductions. »

A cette rentrée, François-Legros accueillera 537 élèves, soit 36 de plus que l’an dernier.

A.P.


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Handicap et école / Une mère se bat pour ses deux enfants sourds

Claire Potier voudrait que ses enfants continuent à avoir une scolarité dans une classe ordinaire. Ce ne sera pas possible pour le moment.
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Claire Potier voudrait que ses enfants continuent à avoir une scolarité dans une classe ordinaire. Ce ne sera pas possible pour le moment.

REIMS (Marne). Une mère multiplie les démarches afin que ses deux enfants, déficients auditifs lourds, poursuivent leur cursus dans « le circuit ordinaire ». Un véritable chemin de croix.

TOUTE la famille a décidé de déménager durant l’été. De la région de Lyon jusqu’à Reims. Il était donc des plus logiques que les enfants trouvent une école dans la cité des sacres.

Oui mais voilà, lorsque le handicap vous rattrape, obtenir des places dans une école « ordinaire » et la garantie d’un apprentissage « normal » s’avèrent pour le moins compliqués. C’est en tout cas la situation que connaissent un frère de 9 ans et sa grande sœur de 11 ans, tous les deux déficients auditifs lourds. Comme leur maman d’ailleurs.

A Lyon, les deux enfants suivaient le circuit ordinaire via des classes Clis, cellules spécifiques qui mêlent les enfants handicapés aux autres. En clair, ils bénéficiaient d’un interprète au sein de leur classe. Ils pouvaient par ailleurs, côtoyer tout au long de la journée, des enfants qui eux, n’avaient aucun handicap. Une « socialisation importante » pour les enfants et que leur mère voulait « absolument conserver lors de son arrivée dans la cité des sacres », commente son avocat, Me Flasaquier.

Dans les faits, le cheminement va être des plus complexes. Des lettres sont envoyées dès le mois de juin à la Maison départementale du handicap, à l’adjoint municipal en charge du secteur scolaire ainsi qu’à l’académie. « Il y aura de la compréhension dans les réponses mais il n’y a aucun aménagement de proposé. » Une commission (CDA) a tranché, les résultats sont sans appel. Selon la CDAPH, via un courrier reçu samedi dernier, cette jeune mère de famille n’a pas le choix. Ses deux enfants ne seront pas admis dans des classes ordinaires « car le département de la Marne ne possède pas d’auxiliaire de vie scolaire formé à la langue des signes ». Il faut préciser aussi que la Ville de Reims dispose d’un dispositif performant avec l’institut Michel-Fandre, spécialement conçu pour l’accueil des jeunes handicapés (lire ci-dessous).

Afin de tenter de conserver ses enfants « dans le circuit ordinaire », la mère a décidé de montrer à l’académie qu’elle faisait des efforts. « Ma cliente a accepté de faire redoubler sa fille afin qu’elle soit dans la même classe que son frère. Ce qui ne permettrait la monopolisation d’un seul interprète lors des cours au lieu de deux. Par ailleurs, elle a accepté de supporter ce coût malgré ses conditions financières délicates », poursuit Me Flasaquier.

Concession

En effet, pour deux interprètes qui se relaient et un auxiliaire de vie scolaire, il faut compter 28 000 euros par année scolaire. « On réalise des annonces, mais les moyens ne sont pas là. On ne peut donc pas dire que les enfants, a fortiori les handicapés, peuvent choisir leur lieu de scolarité », poursuit l’avocat.

Claire Potier, la mère de deux petits, ne compte pas baisser les bras. Elle effectuera prochainement un recours gracieux auprès de la Maison départementale des personnes handicapées de la Marne.

« Nous avons pour objectif d’ouvrir un pôle d’accompagnement pour les élèves sourds avant la Toussaint. Cela concernera plusieurs écoles. Par ailleurs, nous ouvrons cette année, deux Clis supplémentaires, ce qui montre une volonté profonde de progresser. Des auxiliaires de vie ont été recrutés. Nous nous efforçons en tout cas de répondre le plus possible à la demande de chaque famille. A Reims, le taux d’inclusion des élèves handicapés ne cesse de grimper », confie Anne-Marie Filho, inspectrice d’académie.

Th. D.


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L’institut Michel-Fandre voudrait « plus de moyens »

Pour certains malentendants, des prothèses peuvent être utilisées, dès le plus jeune âge.
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Loïc Haffray, directeur de l’institut Michel-Fandre, structure spécialisée dans l’accueil des jeunes déficients auditifs, visuels et ayant des troubles du langage, a vu des progrès depuis des années. Et espère en voir d’autres.

Combien d’enfants bénéficient du travail de votre centre ?

Loïc Haffray : Nous accompagnons environ 130 enfants dont les âges varient de 0 à 20 ans. Nous travaillons au sein de notre établissement mais aussi au cœur de « l’école ordinaire ». A l’institut, nous nous occupons des enfants qui nécessitent des prises en charge les plus lourdes. Ces dispositions existaient déjà avant le texte de loi de 2005.

Disposez-vous de moyens suffisants ?

L.H. : Le texte de loi est généreux. C’est une avancée supplémentaire pour l’accueil des handicapés dans des classes ordinaires. Mais nous ne disposons pas des moyens nécessaires pour satisfaire au maximum les enfants et les familles.

Quels sont vos plus gros besoins ?

L.H. : Nous avons une centaine de collaborateurs en tout. Mais nous avons énormément de mal à trouver des interprètes en langue des signes ainsi que des enseignants spécialisés pour travailler en contact avec des enfants handicapés. Par ailleurs, je recherche toujours un orthophoniste.


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La loi de février 2005

La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté a engendré, dans chaque département, la création d’une maison départementale des handicapés. Cette MDPH est en fait un groupement d’intérêt public qui réunit plusieurs entités : le Département, l’Etat, les organismes d’assurance-maladie et d’allocations familiales.

Cette maison départementale est un guichet unique qui a pour mission d’accueillir, informer, accompagner et conseiller les personnes handicapées ainsi que les enfants. Ce texte législatif va plus loin encore. Extrait. « La loi du 11 février 2005 affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile, à un parcours scolaire continu et adapté. Les parents sont de plus étroitement associés à la décision d’orientation de leur enfant et à la définition de son projet personnalisé de scolarisation ». En milieu ordinaire, c’est-à-dire que c’est à l’établissement de s’adapter à l’enfant et non à l’enfant d’être forcément scolarisé au sein de telle ou telle classe. Un contournement des textes législatifs qui s’explique, le plus souvent sous couvert d’anonymat, dans les couloirs des diverses académies, par un manque de moyens et de budget. Payer un interprète et des assistants de vie scolaire induit forcément un coût. Des progrès ont été effectués depuis la promulgation de cette loi. Mais, il y a un distinguo à effectuer entre les effets d’annonce et les volontés politiques affichées lorsqu’on les confronte aux réalités abruptes du terrain.


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Union100831a
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, 7, rue Marie-Stuart 51100 Reims.

Objet du marché : marché de travaux de rénovation électrique à Reims, Tinqueux et Fismes. Réf. : MA-170610.

Lots, corps d’état, entreprise, montant euros H.T. :
- Lot 01 : 120, bd Vasco-de-Gama et 43/43 bis, rue Dumont-d’Urville à Reims (2010/2011) ; FME ; 83.381,34 euros.

- Lot 02 : 1/3/5, rue Jacques-Simon et 1/3, rue Gandon à Reims (2010/2011/2012) ; FME ; 110.182,49 euros.
- Lot 03 : 33, 41, 43, 45 et 47, rue François-Dor et 2, 4, 6, 10 -3, 5, 7, rue Sculpteur-Jacques à Reims (2010/2011) ; FME ; 186.263,85 euros.
- Lot 04 : Rues des Anémones, Capucines, Tournelles et Bleuets à Fismes (2010/2011) ; SEBELEC ; 63.443,61 euros.
- Lot 05 : individuels Champ-Paveau à Tinqueux (2010/2011/ 2012) ; SEBELEC ; 166.646,92 euros.
- Lot 06 : collectifs Champ-Paveau à Tinqueux (2010/2011/ 2012) ; LAVOYE ; 226.320 euros.
- Lot 07 : 12 bis/12 ter, Cook et 37, d’Urville à Reims (2011) ; FME ; 98.270,87 euros.
- Lot 08 : Châtillon Tour U et 7, place des Argonautes à Reims (2011/2012) ; FME ; 116.882,77.

Montant du marché : 1.051.391,85 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le service marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82.

Date d’envoi à la publication : le 17 août 2010 aux journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes) et L’EST ECLAIR.


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Union100830a
Le tram sera prioritaire

Nouveauté qu’il faudra intégrer : il y aura des feux dans les giratoires à Croix-Rouge pour laisser passer le tram.
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REIMS (Marne). Il faut commencer à penser tram. La bête ne sera pas que pratique et colorée, elle sera aussi dangereuse et prioritaire.

LANCÉ à 40 km/h, le tram aura besoin de 40 mètres pour stopper ses 39 tonnes. Un cycliste qui roulerait sur la plate-forme et qui se prendrait la roue dans un rail alors que le tram arrive derrière lui a toutes les chances de se faire écraser.

Même scénario pour un jeune, les écouteurs, avec musique à fond sur les oreilles, qui couperait la voie sans regarder. Pareil pour un automobiliste qui s’engagerait sur les rails dans un carrefour et s’y retrouverait bloqué par un bouchon.

Il va falloir apprendre à vivre avec le tramway, car ce n’est pas inné. La société Mars qui pilote le projet Tram commence à distribuer des dépliants de mise en garde. A vélo, à pied ou en voiture, cette plaquette récapitule les comportements à avoir et surtout à ne pas avoir.

A première vue tout paraît évident. Qui aurait l’idée de traverser les rails sans regarder si un tram n’est pas en train d’arriver ? Un fada, pas un Rémois. « Ce n’est pas si sûr. Les piétons ont l’habitude du bus qui peut piler ou les éviter d’un coup de volant ». Le tram est comme un train, il emportera tout ce qui se trouve devant lui.

Comme un train

« Dans les villes où un tram circule depuis longtemps, les accidents sont rares. Même quand une nouvelle ligne est ajoutée, les gens ont l’habitude et ne se font pas avoir. C’est plus compliqué dans une cité comme Reims où les habitudes du tramway ont été perdues depuis longtemps », explique Christian Messelyn, président de Mars. « Nous avons au moins pour nous d’avoir des rames colorées qui ne se confondent pas avec la couleur des façades. » Le tram roulera de 30 à 70 km/h. Il sera à 70, rue Laberte, sur les Promenades et avenue De-Gaulle. Avenue de Laon, rue Thiers et dans Croix-Rouge, il roulera à 50 km/heure. Cours Langlet, rue de Vesle, il sera à 30. Rue Schweitzer, seul endroit avec le pont de Vesle où il se partage le terrain avec le trafic automobile, il sera à au maximum à 50 mais devrait le plus souvent rouler à 30. Dans tous les cas et partout, il sera prioritaire. Même devant les poussettes. Tout accrochage avec lui vaudra un malus sur le contrat d’assurance.

De 30 à 70 km/h

Quelle qu’en soit la raison, il sera interdit de circuler sur la plateforme où se trouvent les rails. Une interdiction un peu hypocrite qui servira à exonérer Transdev de toute responsabilité en cas de pépin. Un peu hypocrite car il est évident qu’il y aura du monde sur cette plateforme quand le tram n’y sera pas. Rien qu’avenue de Laon où rien n’a été prévu pour les cyclistes, la plateforme centrale risque de faire office de piste cyclable. En cas d’accident, la responsabilité juridique ne reposera peut-être pas sur les épaules de transporteur mais responsabilité politique, il y aura.

Catherine FREY


[1] Najime Hocini est un animateur émérite de l’espace Ethnic’s où il enseigne son art aux jeunes générations dans le cadre de la Maison de quartier Croix-Rouge.


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