L’HEBDO CROIX-ROUGE n°30 du 21 avril 2010.
L’HEBDO CROIX-ROUGE est une parution du journal l’union que nous remercions.
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Des jeunes ont monté un projet humanitaire international, dont le but est d’aider une région pauvre du Maroc.
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La pelouse aux abords des rames du tram à Croix-du-¬Sud, en bas de l’avenue Léon-Blum, commence à sortir de terre.
Certains habitants du secteur espèrent que ce nouveau petit bout de verdure ne deviendra pas un terrain miné par les crottes de chien, comme bon nombre d’espaces verts de Croix-Rouge.
Des incivilités commises par des habitants propriétaires de bêtes et peu soucieux de la propreté du quartier.
« Si nous voulons que notre quartier soit propre et respectable, c’est bien à nous de faire en sorte quille soit », explique cette dame en ramassant la déjection de son teckel.
Un seul mot : fière !
Je vous écris ce petit mot par fierté car, effectivement, lorsque j’ai vu le portrait du jeune homme prénommé Dia et les moyens qu’il se donne pour réussir, je suis fière de venir d’un quartier où les jeunes se battent comme lui pour casser les préjugés dont ils sont régulièrement victimes.
Fière aussi qu’un quartier comme le mien bénéficie de son propre journal professionnel qui complimente les efforts de celui de la rafale écrit par des habitants. Fière. Oui, j’emploie ce mot à outrance mais quel autre sentiment avoir lorsque je lis chaque semaine l’Hebdo Croix-Rouge en me disant que si le journaliste arrive à alimenter ce petit canard tous les mercredis de choses positives, c’est qu’il y a bien plus de bonnes choses que de mauvaises.
Certes, ce quartier n’est pas parfait mais est-ce que Saint-Rémi ou l’avenue de Laon le sont ? Je ne pense pas car eux aussi ont leurs propres problèmes.
Pour finir, en espérant que ce petit mot soit diffusé dans vos pages, je tiens à vous dire que le fait qu’il soit visible le vendredi sur le site de l’union est un réel plus pour prouver à ceux qui n’y vivent pas que Croix-Rouge n’est pas un bidonville et que les préjugés sont souvent faits par des gens qui n’y mettent jamais les pieds.
Dommage que l’on ne puisse laisser des commentaires mais peut-être que ça viendra…
Claudine, de Croix-du-Sud
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Jonathan. Céline et Estelle ont fait le déplacement jusqu’au Havre pour assister au départ du container en partance pour le Maroc.
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Des jeunes ont pris l’initiative de mener à bien un projet humanitaire. Le but : envoyer du matériel médical au Maroc et remettre un dispensaire en état.
Depuis le mois de décembre, Estelle, Céline, Jean-Charles, Youssef, Tony, Jonathan et Sadhio, des jeunes de différents quartiers rémois, se mobilisent dans le cadre d’un projet humanitaire pour récolter du matériel médical afin de l’envoyer au Maroc.
Ces jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans, accompagnés des professionnels de l’association 2 Mains (Abdel, Laurent et Émilie), se sont rendus dans plusieurs institutions médicales afin de leur présenter le projet et, éventuellement, récupérer des dons. C’est pour soutenir l’association marocaine « Jbel Al-Ayachi » et son projet de développement de la région du Haut-Atlas qu’ils ont, comme on dit, « mouillé le maillot ».
Cette association a pour objectif de participer à la promotion et au renforcement du développement d’une zone géographique pauvre et isolée du Maroc, située autour de la région de Midelt et qui couvre la zone du Moyen et Haut-Atlas.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces jeunes ont su trouver les mots justes pour convaincre puis récolter les dons puisque le CHU de Reims, la maison de retraite Montchenot et Ho¬telia, la Croix-Bleue ainsi qu’un chirurgien de Paris et d’autres sociétés ayant préféré rester anonymes ont tous énormément donné sans hésiter. Le travail effectué par les jeunes était vraiment de taille puisqu’entre le stockage et le transport de toutes ces donations, il leur a fallu aussi réparer des lits et des chaises roulantes à l’aide d’autres en mauvais état pour, au final, avoir du matériel quasiment neuf.
Ils ont dû également charger tout cet équipement dans un semi-remorque de 40 pieds équivalant à 60 mètres cube. Pour ce faire, les jeunes ont reçu l’aide de l’intégralité des professionnels de 2 Mains ainsi que celle de nombreux bénévoles. Le camion a ensuite pris la route pour le port du Havre. Certains de ces jeunes gens ont même fait le déplacement jusque là-bas pour assister au départ de l’immense container en partance pour le Maroc.
Mais le projet est bien loin d’être fini puisque, dès le mois de mai, les jeunes vont, à leur tour, partir pour le Maroc afin d’y effectuer des travaux de remise en état du dispensaire qui va utiliser le matériel médical. Le but étant pour l’association Jbel Al Ayachi comme pour 2 Mains d’élargir le partenariat et de multiplier les échanges et les relations, notamment entre des jeunes des quartiers et la population sur place.
TAF
La liste du matériel médical envoyée est vraiment impressionnante : lève-malade électrique, chaises roulantes pliantes, fauteuils roulants conforts, fauteuils coquilles, chaise pour salle de bain, tables de lits, déambulateurs, chaises percées, paires de cannes anglaises, chauffage électrique, lits à système manuel, lit médicalisé, ordinateurs, imprimante, four à micro-ondes, potences, lits d’examen médical, paires de barrières de lits, radio panoramique et accessoires, stérilisateur, bassins d’aisance, cartons de sets de remplissage pour perfusions, cartons de consommables, pousse-seringues, appareil à phytothérapie, lits, tables de chevet, chariots de ménage, tireuses, lit-parc, tables de cours, tables de lits, chaise pliante, bac classeur avec négatoscope, armoires à instruments, poufs-fauteuils de prélèvements…
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Abdel est animateur pour l’association « 2 Mains ». C’est lui qui — avec Émilie et Laurent — accompagne les jeunes dans leurs différentes démarches.
« Ce sont les jeunes qui ont prospecté et rencontré les différentes institutions, comme le CHU de Reims, et qui leur ont expliqué entièrement ce projet humanitaire », raconte-t il fièrement.
« Tous les jeunes qui ont participé à ce projet sont à la recherche d’un emploi. Certains nous ont donc quittés en route puisqu’ils ont retrouvé du travail. Avec les autres, nous avons chargé le camion le 12 avril, et le 13, nous avons fait le déplacement jusqu’au Havre afin de suivre le chargement du container sur le bateau. Celui-ci devait partir le lundi 15 avril vers le Maroc. Début mai ; après la fête du muguet, nous allons partir avec certains de ces jeunes pour le Maroc afin d’entamer la deuxième étape de ce projet international », ajoute l’animateur.
Abdel explique aussi que lorsqu’il sera au Maroc, il fera parvenir des photos afin que les lecteurs de l’Hebdo Croix-Rouge puissent avoir des nouvelles de ce projet qui compte énormément à ses yeux.
TAF
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Le secteur Université est riche de plusieurs associations de défense des locataires. Elles se battent au quotidien pour améliorer la vie des habitants.
Eisenhower-Université, Claude Stoltz a créé une amicale de locataires sous le nom de « Club 47 ».
Devant son succès, la petite structure est devenue l’ULCR, « Union des locataires de Croix-Rouge ».
Le siège social, la boîte aux lettres associative et le local associatif sont installés au 52, esplanade Eisenhower, où une permanence est assurée le mardi de 14 à 16 heures. L’association est membre du Groupement des associations de défense des locataires de Reims (GADL), elle est affiliée à la Confédération générale du logement (CGL) et la présidente siège au conseil d’administration de Reims Habitat.
Pour la défense des locataires des 191 logements de l’Effort rémois sur les secteurs Daudet, Bergson, Royer et Bernanos, l’association « Les Polygones » a son siège au 8, rue Georges-Bernanos, avec boîte aux lettres associative (tél. 06.81.41.06.72), et est présidée par Bernadette Érard.
Toujours pas de local associatif, demandé depuis bientôt huit ans : l’ancienne présidente devait assurer des permanences sur son palier.
L’association est affiliée à l’Association Force Ouvrière des consommateurs (Afoc). La vice-présidente, Geneviève Kaczowka, est également conseillère municipale et elle participe aux Conseils de concertation locative de l’Effort rémois, du Foyer rémois, de Reims Habitat et de l’Arca en qualité d’expert.
L’association est enfin membre du Groupement des associations de défense des locataires de Reims (GADL), dont Geneviève Kaczowka est présidente.
Il a lieu le samedi, rue Pierre-Taittinger (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Permanence de soins : du lundi au vendredi de 11 heures à 11 h 45 et de 17 h 45 à 18 h 15 à l’espace billard, rue Pierre-Taittinger.
Soins à domicile assurés : 7 jours sur 7
Soins le samedi et dimanche sur rendez-vous.
Secrétariat ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Tél. : 03.26.08.27.62.
Lundi de 14 heures à 17 heures.
Permanence de l’association Mars à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger.
Émilie Tackoucht, Conseillère emploi-formation.
Permanence du mardi au vendredi à l’espace Billard, rue Pierre-Taittinger. Tél. : 03.26.09.65.97.
« 2 Mains » Halim Lemboub, Aide à l’insertion
Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Thiphaine Himmesoëte, éducateur de prévention.
Permanence le mercredi de 14 heures à 16 heures à l’espace la Nacelle, rue du docteur-Billard.
Mardi de 9 heures à 11 h 30 à l’espace La Nacelle, rue du docteur Billard.
La spécialité de Poub’and co : la corbeille à papier. « Nous en avons déjà vendu une trentaine. »
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Poub’and co. C’est une entreprise qui fabrique des corbeilles à papier.
Comme toutes les entreprises, elle a un PDG, des directeurs généraux, un directeur financier, un directeur administratif, un directeur commercial, un capital, des actionnaires, etc. La seule différence notable par rapport à une « boîte » ordinaire, c’est que le boss, Manon, a 17 ans, et le reste de l’organigramme n’est guère plus âgé : Kevin et Leroy, les « dirigé », ont 18 ans, Fatima, Monica, Claire et Dylan, qui occupent les autres postes de direction, sont dans la même tranche d’âge.
Quant aux actionnaires, ce sont tous les élèves de leur classe, la 1ère commerce du lycée Joliot-Curie.
Sous la houlette de leur professeur de vente, Louiza Behdouche, et de celui d’art appliqué, Mme Coppin, ces jeunes gens ont fondé leur « mini-entreprise ». « Un concept qui existe déjà depuis des dizaines d’années aux États-Unis, explique l’enseignante, mais que nous lançons ici à Joliot-Curie pour la première fois. »
Le but est de faire toucher du doigt à ces lycéens la réalité de l’entreprise. Apparemment, ça marche, ces apprentis entrepreneurs répondent comme des pros : « Nous utilisons comme matière première du papier usagé déchiqueté, explique ainsi Dylan, le directeur technique, que nous collons sur des poubelles en plastique qui servent de matrices. Le temps de fabrication est d’une demi-heure à une heure. Le temps de séchage, d’une semaine à dix jours ».
Questions à présent au directeur financier, Fatima. Comment avez-vous acheté vos matières premières ? Avez-vous dû emprunter ?
« Non, nous avons constitué un capital de départ en vendant dans la classe des actions à 4 euros. Le papier recyclé ne nous coûte rien ; nous avons dû juste acheter la colle, plus quelques poubelles en plastique. »
Au tour du directeur commercial, Monica. Avez-vous déjà des clients ?
« Oui, nous avons déjà vendu une trentaine de poubelles à 5 euros lors des portes ouvertes. L’objectif est un chiffre d’affaires de 500 euros, pour cent poubelles vendues. Pour cela, nous allons prospecter, notamment auprès des banques et des écoles. »
« L’entreprise tourne avec 27 personnes, complète la PDG : les élèves de la classe. » On ne peut pas parler de salariés puisqu’ils ont tous choisi, patron compris, de ne pas percevoir de salaire : « Les éventuels bénéfices seront versés pour partie à une association, pour partie serviront à acheter du matériel écologique pour le lycée. »
Et socialement, comment va Poub’and co ? Plutôt bien, semble-t-il. En tout cas, pas de grève dans l’air. Au contraire, « ce projet renforce l’esprit de groupe entre nous », affirme Manon.
Ouf ! Pas de lutte des classes au sein de la classe. Pourvu que dans la vraie vie, tout se passe aussi bien pour ces jeunes…
Jours et heures d’ouverture :
le lundi de 14 heures à 17 h 30
du mardi au vendredi de 8 h 30
à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 le samedi de 8 h 30 à 12 heures.
1 rue Joliot-Curie, tél. : 03.26.35.60.20.
Pour tout renseignement, s’adresser à la CSD au 03 26 06 84 10
Espace de renseignement et d’information sur la formation, l’emploi, les métiers, la vie pratique, le sport, la santé, les loisirs.
Mise à disposition d’ordinateurs, accès internet.
Renseignements et tarifs : Elham Kouch au 1, allée des Béarnais Tel : 03.26.82.53.48.
1, Allée des Béarnais.
MJC Croix-Rouge
Dernier jeudi de chaque mois, de 18 h 30 à 20 heures
Croix-Rouge Accueil
Vendredi de 14 heures à 17 heures.
CCAS ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 heures à 16 h 30. Antenne Croix-Rouge, 5, rue Joliot-Curie. Tél : 03.26.40.31.79
« 2 Mains » Vanessa Pogniot, Aide à l’insertion Permanence le mardi de 16 heures à 18 heures à La Marelle 1, allée des Béarnais. 06.47.54.17.77
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Les vacances scolaires de printemps ont été l’occasion pour plusieurs adolescents de s’initier et de découvrir les percussions africaines.
Les animateurs d’Ethnic’s Moriss et Bertrand ont proposé durant les après-midi des vacances de printemps une initiation à la pratique des percussions africaines sous forme de mini-stage. Cet atelier a fédéré quatre jeunes du quartier qui ne connaissaient que très peu les activités de musique proposées par la structure.
« Ce groupe de jeunes, âgés de 12 à 15 ans, a pu s’initier aux rythmes endiablés des djembés et autre doua-doua… Satisfaction totale pour ces jeunes ! », explique David, animateur de la maison de quartier.
Pour clôturer ce stage, une représentation a été organisée dans les murs de l’association de l’Étoile Croix-du-Sud à destination des enfants de l’accueil de loisirs de l’association. Les quatre ados ont présenté trois compositions préparées durant cette semaine de découverte à ces instruments.
Cette présentation s’est finalisée par un échange de pratiques entre ces jeunes et les enfants et animateurs présents, une improvisation s’est vite montée, entraînant tout le monde dans la danse.
L’équipe d’Ethnic’s souhaite renouveler ce genre d’action qui permet à de nombreux jeunes d’être sensibilisés et accompagnés peu à peu vers une pratique musicale structurante. L’espace Ethnic’s de la maison de quartier Croix-Rouge propose, durant toute l’année, plusieurs ateliers d’initiation ou de perfectionnement de musique au Château d’eau : guitare avec Moriss, MAO (Musique assistée par ordinateur) et scratch avec 131 Salim, batterie et percussions avec Bertrand, ainsi que des créneaux pour les répétitions.
« L’équipement possède également une salle insonorisée qui permet aux groupes de répéter en soirée. Les groupes désirant avoir plus d’informations peuvent entrer en contact avec Bertrand puisque c’est lui qui gère ce service », conclut l’animateur.
TAF
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Il a lieu, le mercredi Esplanade Paul-Cézanne (parking municipal) de 5 heures à 13 heures.
L’antenne mobile de la mairie est à votre service le mercredi de 9 heures à 11 h 30 sur le Marché Croix-du-Sud. Contact : 06.16.39.21.02.
Circonscription de la solidarité départementale de Reims Croix-Rouge : du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures. 26, rue Jean-Louis Debar. Tél. : 03.26.06.84.10. http://www.marne.fr
Permanences : Mme Oudin, lundi de 14 heures à 16 heures Mme Gravil, mardi de 14 heures à 16 heures (à la circonscription départementale pendant les vacances scolaires). Espace Watteau, 3, allée Watteau.
Pour tout renseignement, s’adresser à la circonscription départementale au 03.26.06.84.10.
Lundi de 9 heures à 11 h 30
Médecin pédiatre : Mme Mackonguy.
Puéricultrice : Mme Stéphanie Moreau.
Madame Takoucht, conseillère emploi-formation
Permanence mercredi de 16 heures à 18 heures
Espace Ethnic’s, Château d’eau, avenue d’Epernay
Association 2 Mains
Permanences d’éducateurs, 4, place Dominique-Ingres. Tél. 03.10.16.10.40 ou Sébastien Jacques, coordinateur des permanences : tél. 06.31.18.63.26 ou jacques.sebastien.2mains@hotmail.fr
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(1834-1917)
Peintre impressionniste.
Né à Paris le 19 juillet 1834 ; y est mort le 26 septembre 1917.
La plupart des ouvrages consacrés à Edgar Degas, lorsqu’ils désirent le classer dans l’histoire de l’art, le rattachent au grand mouvement de l’impressionnisme, formé en France dans le dernier tiers du XIXe siècle en réaction à la peinture académique de l’époque.
Edgar Degas repose au cimetière parisien de Montmartre, dans le tombeau familial.
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L’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) fêtera ses 40 ans d’âge le 3 novembre. Pour cette manifestation, le président Genesseau recherche des documents d’époque (écrits, photos, cartes postales, etc…).
L’Acrap est née en 1970 avec la création du quartier. Son but était de promouvoir la vie sur le quartier et de l’animer. Initialement, la section urbanisme a été la première à fonctionner, non pour devenir une amicale de locataires mais pour proposer des améliorations dans l’aménagement : jeux pour les enfants, espaces verts…
Par la suite, avec la prise en charge par I’Acrap d’équipements sportifs, courts de tennis, terrains de football…, elle a développé des sections sportives qui, au fil du temps, se sont affirmées.
Au départ logée dans des préfabriqués, l’Acrap à établi son siège au 2, rue du Docteur-Billard pendant près de vingt ans sur un terrain vague, là où se trouve actuellement le centre de tri de La Poste. Puis, grâce au plan de développement social du quartier, l’association a été relogée en 1993 dans le bâtiment actuel avenue du Kennedy.
03.26.06.39.54
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Elle nous avait habitués à de petits recueils de poèmes. Cette fois-ci, c’est un livret de conseils de vie que la poète de Croix-Rouge Liliane Feige a édité sous le titre « La Médecine de l’espoir », aux éditions Altaïr.
En quarante pages, elle expose ses considérations et ses conseils sur la manière de bien vivre en gardant la santé : « La santé, c’est de l’or mal partagé. »
Sans le savoir, Liliane Feige a toujours été écologiste dans l’âme et elle donne des recettes de bon sens en matière d’alimentation, avec de nombreuses références aux plantes médicinales, mais elle évoque aussi l’hygiène de vie et les soins pour se préserver en bonne santé.
Médecins, infirmières, personnels de santé, dentistes, pharmaciens, ambulanciers : tous sont loués et encensés par Liliane Feige, qui leur voue une grande admiration : « Tant de malades, grâce à eux et à elles, aujourd’hui vivent encore ! »
Pour se procurer « La Médecine de l’espoir », il faut s’adresser à l’auteur.
06.84.58.36.24
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Espace billard - 14, rue Pierre-Taittinger -Tél. 03.26.08.08.78 - Fax 03.26.46.82.89
Espace la Nacelle - 3 rue du Docteur-Billard -Tél. 03.26.49.47.07 - Fax 03.26.49.47.03.
Espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Epernay - BP 30 - 55571 Reims cedex 2 - Tél. 03.26.86.08.02 -Fax 03.26.06.61.69
Espace Pays de France - 1, allée des Béarnais -Tél. 03.26.82.53.48
Espace Watteau - 3, allée Watteau - Tél. 03.26.36.03.50 - Fax 03.26.36.88.13
Ouverture le mardi de 14 à 19 heures, mercredi et jeudi de 10 à 18 heures, samedi de 10 à 17 heures.
19, rue Jean-Louis-Debar. Tél : 03.26.35.68.40
Crèche : 6 allée des Landais. Tél. 03.26.06.20.58
Déchetterie : impasse de la Chaufferie. Ouverte du lundi au samedi de 9 à 19 heures.
Piscine du Château d’Eau, 12 allée des Landais -03.26.86.18.38 - chateaudeau@rems.fr
Effort rémois : agence de Croix-du-Sud, 9 place Jean Fragonard. Tél : 03.26.06.04.42.
Foyer rémois : agence de Pays-de-France,1 avenue Bonaparte. Tél : 03.26.05.84.84.
Reims Habitat Champagne-Ardenne : Croix-Rouge, 46, bis groupe Eisenhower. Tél : 03.26.08.16.07.
Aide aux devoirs, conseils et aide méthodologique les vendredis de 16 h 30 à 19 heures à l’espace Ethnic’s de la Maison de Quartier Croix-Rouge.
Contact : David et Tassadit au 03.26.86.08.02.
Le point info « Renouvellement Urbain Croix-Rouge », situé au 65 avenue du Général Eisenhower, partage les locaux de l’Espace Tram Infos. Il permet d’obtenir des informations sur :
le programme de renouvellement urbain et les chantiers en cours ou à venir
la ligne de tramway et l’avancement des travaux. la charte d’insertion ANRU
Sur les possibilités d’accès à l’emploi sur le quartier mais aussi les opérations de relogement des habitants concernés
Et plus généralement, sur la vie du quartier, les projets en cours, manifestations à venir, animations, offre de loisirs, etc…
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Anthone un Rémois d’adoption originaire de la région Rhône-Alpes, pratique la photo depuis plus de vingt ans.
C’est en 1998 qu’il pose ses bagages dans la cité des Sacres, et plus précisément dans le secteur de Pays-de-France à Croix-Rouge, juste en face du lycée Joliot-Curie. L’amour pour cet art lui a été transmis par son père, c’est lui qui lui a fait découvrir les ficelles de ce qui est devenu aujourd’hui une passion, mais aussi sa future profession.
« l’ai commencé la photo à l’époque de l’argentine. Puis, lorsque le numérique est arrivé, j’ai fait une petite pause en attendant que cette nouvelle façon de photographier atteigne une meilleure qualité. Depuis quatre ans, je bosse à fond ! », précise l’intéressé.
Il enchaîne alors les clichés, rencontre de nombreuses personnes, jusqu’au jour où il fait la connaissance d’un jeune danseur, Ismaël. « l’étais dans le parc de la Patte-d’oie alors qu’il était en train de s’entraîner. C’est ce jour-là que l’aventure Footzbeul a débuté. Depuis, nous travaillons régulièrement ensemble, avec lui et d’autres membres du collectif », ajoute le photographe.
Aujourd’hui, après avoir exposé dans une galerie parisienne, près de Versailles au Salon de la photo et même à Vienne, en Autriche, Anthone présente jusqu’à fin avril une double exposition au Black Face : « Jeunesse, étrange jeunesse » et « Les Ames créatives ».
Et, au regard de ces photos, on sent de suite qu’Anthone n’est pas du genre à photographier Barbie la bimbo parfaite, ce qui ne l’empêche pas de faire des photos vivantes et dynamiques, de véritables chefs-d’œuvre visuels. La réalisation de ces expos a duré huit mois, avec un travail de retouche de dix à quinze heures pour chacune des quarante images. « le travaille avec des modèles comme les danseurs et les artistes de Footzbeul mais aussi avec Marie Lanfroy, Caroline et Marine, qui ont leur propre univers et dégagent des émotions différentes, réservées pour certaines et déjantées pour d’autres », explique t-il. D’ailleurs, Caroline, après avoir posé pour lui, a été sélectionnée par une célèbre marque de cosmétiques pour participer à des shows.
Parallèlement à cela, Anthone s’est distingué en recevant le prix Coup de cœur au championnat de France, un concours national organisé par la Fédération française de photographie.
Anthone ne s’endort pas sur ses lauriers. Il prépare un livre pour la fin d’année, ainsi que d’autres expos mêlant musique et séances photo en live.
TAF
Photos : Christian-Philippe PARIS
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Ingrédients :
1 rouleau de pâte feuilletée
2 œufs
250 g de fromage blanc faisselle
200 g de sucre
200 g de crème fraîche
vanille (extrait ou gousse)
500 g de fraises (elles doivent être bien mûres)
Préparation :
Casser les œufs et les battre comme une omelette avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse un tout petit peu.
Ajouter la vanille, la crème fraîche et le fromage blanc (sans cesser de remuer). La crème doit être onctueuse.
Mettre la pâte dans un moule et y verser le mélange.
Faire cuire pendant environ 30 minutes à four chaud.
Laver les fraises et enlever les queues. Attendre que la tarte refroidisse
et y déposer les fraises (de l’extérieur
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