nous contacter conseiller le site conseiller cet article imprimer cet article


Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - avril 2014.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

 

 


***********************************

l’union 140430 b
RENDEZ-VOUS

L’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion recherche une animatrice en danse classique, modern et jazz pour le mercredi de 10 à 12 heures et de 16 à 20 heures pour la saison 2014-2015, de septembre à juin.

Pour tout renseignement contacter l’ACRAP au 03 26 06 39 54 ou au 11, avenue du Président-Kennedy, entrée par l’impasse Schuman.

***********************************

l’union 140430 a
À FAIRE AUJOURD’HUI : S’initier à la guitare acoustique

Atelier d’initiation à la guitare acoustique ou électrique, pour tous, jeunes, adultes et ados.

Médiathèque Croix-Rouge 19 rue Debar, de 16 à 17 heures.

Gratuit.

***********************************

l’union 140429 b
RENDEZ-VOUS

Jeu’ns Activity au quartier Croix-Rouge du 7 mai au 25 juin, pour une série d’animations proposées place François-Arago, par la ville de Reims et une vingtaine de partenaires. Neuf jeunes en mission au sein des directions de la jeunesse, de la politique de la Ville et de la culture ont conçu un programme de six après-midis récréatifs, selon des thèmes renouvelés. L’entrée est gratuite. Neuf jeunes en mission au sein des directions de la jeunesse, de la politique de la Ville, de la culture ont conçu un programme de six après-midis récréatifs, selon des thèmes renouvelés.

L’entrée à Jeu’ns Activity est gratuite.

Au programme : mercredi 7 mai, « La musique adoucit les moeurs » de 14 à 20 heures, avec des ateliers participatifs, des performances instrumentales et des concerts ; samedi 17 mai, « Comme au cinéma », de 14 à 17 heures avec des ateliers audiovisuels, participatifs et des projections ; samedi 24 mai, « Venez jouer le jeu », de 14 à 18 heures, avec des jeux de société, des jeux de rôles, des jeux géants et des jeux vidéos. Mercredi 4 juin, « L’art vivant en mouvement », de 14 à 19 heures, avec des ateliers participatifs d’arts vivants, contes et spectacles de rue. Mercredi 18 juin, « Autour du monde », de 14 à 19 heures : ateliers manuels, customisation, défilés.Mercredi 25 juin, « Fais bouger ton sport », de 14 heures à 20 h 30 : danse, arts martiaux. Informations au 03 26 36 40 80.

***********************************

l’union 140429 a
SPORT : Découvrir le foot féminin

À l’occasion de la Semaine nationale du football féminin, le football club rémois Sires se mobilise avec neuf autres clubs de la Marne, pour organiser une séance de découverte. L’objectif est de faire apprécier ce sport à de nouvelles pratiquantes de 6 à 13 ans, qui ne sont pas licenciées dans un club, et qui désirent s’initier avant, évetuellement, de s’engager. Toutes les fillettes et adolescentes sont les bienvenues. Rendez-vous est donné au complexe sportif Géo-André le mercredi 7 mai de 16 h 15 à 18 heures. La séance sera animée par des éducateurs et éducatrices diplômés du club.

Au programme, des matches, des jeux et beaucoup de plaisir à partager. La participation est gratuite mais une autorisation parentale est demandée.

▶ Renseignements auprès d’Aline Massy au 06 33 00 10 15 ou de Cyril Houppermans au 06 69 71 39 06.

***********************************

l’union 140426 c
HALTÉROPHILIE : Kimberley, poids plume chez les gros bras

Pour Kimberley Poiret, l’haltérophilie a fait office d’ascenseur social.
- Agrandir la photo

À compter de cette fin de semaine, une athlète formée au club de Reims, Kimberley Poiret, va participer à un tournoi international majeur. Elle sera à l’Euro U17 en Pologne.

C ’est la Fifi Brindacier des temps modernes ! Un petit gabarit mais des bras surpuissants : Kimberley Poiret est un poids léger de l’haltérophilie. Chez les cadettes (U17), elle évolue dans la catégorie des 44 kg. Et encore, son poids de corps se situe plutôt péniblement à 41 kg. Pas forcément un avantage dans une discipline où tout compte et un sacré décalage puisque la gamine soulève déjà deux fois et demie son poids de corps.

Si les aiguilles du pèse-personne peinent à bouger, les chiffres, eux, affolent le tableau d’affichage. Au point que la Rémoise, issue d’une famille d’haltérophiles (Allan, son frère, prépare les « France » à Quimper), a fini par taper dans l’oeil des entraîneurs nationaux. Un total de série internationale soulevé en janvier et un tournoi de sélection à Dijon en mars ont fini de les convaincre : Kimberley Poiret a bien sa place en équipe de France. Après deux stages de préparation à Châtenay- Malabry (Hauts-de-Seine), elle participera aux Championnats d’Europe cadets en début de semaine prochaine à Ciechanow, à 100 km au nord de Varsovie. « On n’a plus vu cela au club sans doute depuis Valérie Ninvirth », pense Jean-Claude Chavigny, le conseiller technique régional, qui fut 9e des JO de Montréal en 1976 chez les 56 kg. La Pologne pourrait n’être qu’une étape avant les Jeux Olympiques de la Jeunesse, à Nanjing (Chine, 16-28 août). Si la Chine se dérobe, ce n’est pas grave. Kimberley n’en est sans doute qu’au début de son aventure et qui devra affronter une concurrence très dense en Pologne. « Elle s’est bien intégrée dans l’équipe de France, sait Jean-Claude Chavigny. Elle est motivée. Elle peut épauler 60 kg et battre son record en Pologne. »

David Baechler, fils du président, ne serait pas plus surpris. « C’est quelqu’un de timide dans la vie mais de déterminée sur un plateau. Elle n’est pas loin des records de France. Ce qui lui arrive est une récompense, assure le nouveau champion de France Master 2. C’est une bosseuse. Elle ne rechigne jamais au travail. » À l’arrivée, si Kimberley ne lâche jamais devant la fonte à lever, ses qualités de force ne sont pas les seules à servir ses intérêts. « Elle a une gestuelle parfaite. Sans doute la plus pure de tous les jeunes de l’équipe de France », note David Baechler, qui la côtoie régulièrement à la salle François-Legros, où elle se sent chez elle.

Ce n’est pas l’élément le moins important dans la réussite de la lycéenne rémoise. Le sport, c’est l’ascenseur social de cette ado du quartier Croix-Rouge. « Elle est arrivée chez nous via les compétitions scolaires, se souvient Baechler. Notre club a un rôle de stabilisateur.

***********************************

l’union 140426 b
À SAVOIR

Les travaux ont débuté le 22 avril. Bernard Sivade
- Agrandir la photo

 

▶ Afin de faciliter les travaux de reprise de la chaussée et de mise aux normes des deux arrêts Franchet d’Esperey, la ligne 11 de bus est déviée jusqu’au 6 juin.

▶ Ligne 11 direction Reims Campus Croix-Rouge : la ligne empruntera, à partir de l’arrêt Bonne-Femme, l’avenue Paul- Marchandeau, la rue de Courlancy, l’avenue du Général-de-Gaulle puis l’itinéraire normal.

▶ Ligne 11 direction Reims Sébastopol : itinéraire normal.

▶ Par conséquent, les arrêts sont reportés comme suit : – Franchey-d’Esperey Ligne 11 direction Reims Campus Croix- Rouge. Arrêt reporté à Franchetd’Esperey direction Tram A – Reims Hôpital Debré. – Franchet-d’Esperey Ligne 11 direction Reims Sébastopol. Arrêt reporté à Marchandeau direction Reims Sébastopol. – Marchandeau Ligne 11 direction Reims Campus Croix-Rouge. Arrêt reporté à Marchandeau direction Reims Gare centre.

 

***********************************

l’union 140426 a
TENNIS TOURNOI DE L’ASPTT ÉPERNAY : Un tournoi très ouvert

Céline Carton pourra-t-elle s’imposer ? Archives
- Agrandir la photo

Limité cette année à 15 chez les messieurs, le 16e tournoi de l’ASPTT Épernay a enregistré une hausse des inscriptions en passant de 133 l’an passé à 149 cette année. De quoi proposer un superbe et dense tableau.

Bien malin qui peut d’ailleurs prédire le lauréat 2014, entre les huit 15, que ce soit le local Nicolas Japin (ASPTT Épernay), Thomas Delarme (Cheminots Reims), Lucas Henry (Géo-André), Benoît Martinot (Château-Thierry), Germain André (Société Nautique Épernay) ou encore le trio du Reims Europe Club : Sébastien Choiselat, Jean-Baptiste Fromentin et Simon Pierre. À moins que l’ancien 2e série Thomas Delaballe (15/1, Montmirail) ne mette tout le monde d’accord !

Du côté des dames, la limite fixée à 15/2 n’a pas trouvé preneuse et le titre devrait, en toute logique, se jouer à 15/3 entre Estelle Levasseur (ASPTT Épernay) et Nadine Sanchez (Mardeuil). À suivre également les 15/4 Céline Carton (Guignicourt), Sandra Joly (Bétheny), Amélie Maillet (ASPTT Épernay) et Catherine Decure (Ay).

▶ HORAIRES. - Demain, 14 heures : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.

***********************************

l’union 140425 b
VIE ÉTUDIANTE : L’épicerie sociale, c’est pour septembre !

Anne Serru. « Plus d’obstacle à l’ouverture de l’épicerie sociale ».
- Agrandir la photo

La nouvelle présidente de la fédération étudiante Intercampus répond à nos questions. Parmi ses dossiers prioritaires, l’ouverture de l’épicerie sociale ou Agora-é.

Anne Serru est la nouvelle présidente de la fédération associative étudiante Intercampus. Cette jeune fille de 21 ans, originaire de Châlons, poursuit des études d’Administration économique et sociale (AES) à Reims. Elle répond à nos questions.

▶ Quelle est votre priorité en tant que présidente d’Intercampus ?
D’abord l’ouverture de l’Agora-é, c’est-à-dire l’épicerie sociale pour étudiants. Plus rien ne bloque le dossier, on peut donc annoncer une ouverture pour septembre.

▶ Qu’est-ce qui bloquait ce dossier jusqu’à présent ?
Principalement la position de l’ancienne mairie de Reims, qui se montrait frileuse sur le sujet, probablement par crainte d’une concurrence avec son épicerie sociale à elle.

▶ Et maintenant ?
Maintenant nous avons le soutien de la nouvelle équipe, cette Agora-é figurait d’ailleurs dans son programme.

▶ Du coup, vous ne pourriez pas ouvrir dès maintenant ?
Non, il reste quand même à finaliser les dossiers de demande de subventions et d’autorisations administratives ; nous devons aussi préparer la convention avec le Crous pour permettre l’intervention d’assistantes sociales.

▶ Rappelez-nous en deux mots la nature du projet…
Il comporte deux volets : d’abord celui de l’épicerie sociale proprement dite, donc un lieu où les étudiants pourront, sous conditions de ressources, acheter des denrées alimentaires notamment, à des prix réduits : 20 % des prix du marché ; ensuite celui d’un lieu de vie ouvert cette fois à tous les étudiants, lieu d’animations, sur l’alimentation et la diététique par exemple, lieu de rencontres, en particulier avec des entreprises dans une perspective d’insertion professionnelle…

▶ Et cette Agora-é (é comme étudiants) sera située ?…
Dans un des bâtiments modulaires du campus Croix-rouge.

▶ Autre dossier prioritaire ?
- Celui de la santé : nous allons pousser à la création de Maison de la santé pour étudiants.

▶ Ce qui existe ne vous donne pas satisfaction ?
C’est vrai qu’il existe un service universitaire de médecine préventive ; mais il est très méconnu, et puis il ne donne pas accès à tous les spécialistes médicaux. Un troisième dossier important pour nous, c’est celui de l’insertion professionnelle.

▶ Les statistiques ne sont pas si mauvaises que ça à cet égard…
Peut-être, mais on ne sait pas trop à quel type d’insertion les étudiants sont parvenus : est-ce qu’ils ont un CDI chez Mac-Do ou bien ont-ils vraiment un travail en rapport avec leurs études ?

▶ Vous soulevez là le problème d’un décalage entre les formations proposées par l’université et les besoins des entreprises…
Je ne parlerais pas de décalage, je dirais que nous constatons un manque dans certaines compétences indispensables, en particulier les langues, l’anglais bien sûr, mais les langues étrangères en général, et aussi la langue française !

ANTOINE PARDESSUS

***********************************

l’union 140425 a
TENNIS : Avize passage obligé vers le Stade Français

Avec 85 inscrits sur sept tableaux, le tournoi jeunes du TC de la Côte des Blancs s’annonce passionnant. L’épreuve avizoise est sélective chez les 13/14 ans pour les pré-qualifications de l’épreuve mythique du Stade Français BNP Paribas en juillet. Inutile de dire que la terre battue du Parc de la Faisanderie attire puisque six 15/1 et trois 15/2 ont renvoyé leur inscription. Bastien Villenet (15/1, Taissy) ou l’étonnant Théo Duliere (15/1, Géo-André) font figure de favoris. Chez les filles, le précieux sésame ne devrait pas échapper à Élise Renard (15/2, Cormontreuil). Finales aujourd’hui à partir de 13 heures.

***********************************

l’union 140424 c
EN IMAGES À L’ÉCOLE DUFY-CAVARROT : Carnaval et lâcher de ballons

 

 

 

A l’école maternelle Dufy-Cavarrot. Un très long cortège a déambulé joyeusement dans les rues du quartier.

Puis c’est dans un magnifique ciel bleu et sous un chaud soleil que ce sont envolés les ballons lâchés par les enfants de tout le groupe scolaire, une innovation.

 

 

 

***********************************

l’union 140424 b
RENDEZ-VOUS

Activités vacances proposées par la Ville pour les enfants et les ados, prochaines dates : jeudi 24 avril, arc Wangari Maathai (boulevard Wilson), vendredi 25, square Saint-Bruno (Croix- Rouge) ; amedi 26, parc Léo-Lagrange, lundi 28, parc Bernard-Stasi (Europe) ; mardi 29, parking de La Fileuse (Orgeval), mercredi 30, parc Marcel-Lemaire (La Neuvillette), de 14 heures à 17 h 30.

***********************************

l’union 140424 a
FORMATION : Un cours béton en entreprise

Des étudiants très intéressés par ce cours dans une entreprise.
- Agrandir la photo

Entreprise familiale, implantée depuis plus de 80 ans dans la région Champagne-Ardenne, la société Blandin-Marne Béton a accueilli durant 3 demi-journées les étudiants de première année de BTS bâtiment du lycée Louis-Arago de Reims. Deux demi-journées ont permis de découvrir par groupe de 15 étudiants la production d’une centrale à béton sur le site de Saint-Brice-Courcelles. Cette visite guidée leur a permis de mieux appréhender les différentes étapes de fabrication de ce matériau, grâce aux explications du directeur d’exploitation de Marne Béton, David Roucheau (ancien éléve d’Arago).

Ces futurs chefs de chantier ou conducteurs de travaux ont ainsi pu découvrir le processus de fabrication des bétons, depuis l’approvisionnement des matières premières, le stockage des différentes coupures de granulats et le stockage en silo de plusieurs ciments différent. Viennent ensuite les pesées, les contrôles hydrométriques, les gâchées sur le site de production puis le départ pour la livraison sur chantier.

L’accent a été porté sur le contrôle qualité et sur le respect des normes permettant d’assurer un béton conforme aux souhaits du client et à la réglementation en vigueur. Les étudiants ont pu s’intéresser à la chaîne de recyclage des granulats issus du nettoyage des camions toupies et la décantation de l’eau nécessaire à ce lavage jusqu’à sa réintroduction dans la fabrication des bétons à venir.

Le poste de pilotage et l’automatisation des commandes permettant de composer le béton souhaité est la partie qui a le plus impressionné nos étudiants. Par la suite lors de la troisième demi-journée, les étudiants ont été accueillis au sein du laboratoire d’essai au siège de la société à Recy par M. Pastore, responsable commercial.

***********************************

l’union 140423 c
LOGEMENT : L’At’Hom rappelle les promesses

Les membres du bureau autour de la présidente Danielle Bonfils.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

Lors de son assemblée générale, l’association de défense des locataires du secteur At’Hom (Hautsde- Murigny) a relevé les promesses de l’Effort rémois. Promesses tenues d’abord, comme la réfection des terrasses pour un coût de 64 000 € ; remise en peinture des halls d’entrée ; remise en conformité des ascenseurs, acccord de travaux dans les logements pour les locataires ayant une ancienneté de 25 ans dans leur logement (forfait de 150 € par locataire) ; pose des détecteurs avertisseurs de fumée avec un forfait de 12,06 € TTC par logement.

Enfin, abattage de six grands arbres qui faisaient un rempart empêchant toute entrée de soleil.

Mais aussi les promesses non tenues : étanchéité du parking Sénéchal, cages d’escalier non repeintes, éclairage supplémentaire sur le parking aérien, petit local pour le stationnement des deux roues, isolation thermique des immeubles reportée en 2018.

Par ailleurs l’examen annuel des charges locatives 2012 s’est soldé par un « remboursement conséquent de 801 euros indûment attribués aux locataires et restitué. »

L’association rappelle qu’elle assure deux permanences chaque mois.

Renseignements au 03 26 86 10 03.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

***********************************

l’union 140423 b
TENNIS TOURNOI D’AVIZE : Seuret et Jarles en habitués

Florent Seuret, vainqueur comme il y a deux ans. Archives Bernard Sivade
- Agrandir la photo

Proposant toujours de superbes tableaux, le tournoi du TC Côte des Blancs à Avize a tenu ses promesses pour cette édition 2014.

Chez les messieurs, il ne faisait pas bon être favoris et têtes de séries à 2/6 puisque Romain Cabrillon (Saint-Dizier) et Nicolas Jonasz (Montmirail) étaient sortis aux portes de la finale respectivement par Florent Seuret (3/6, Reims Europe) et Julien Evrard (3/6, URT).

Les Rémois s’offraient le remake de la finale 2012 remportée par « l’Europeen ». Pas de changement cette année puisque Florent Seuret s’est encore logiquement imposé 6-3, 6-3.

« À chaque fois que l’on se joue, c’est un peu poussif, ça manque de rythme. Mais cette fois, il n’a pas bien servi et ça m’a facilité la tâche », commentait Florent Seuret.

Du côté des dames, la multi-vainqueur de l’épreuve, Fanny Jarles, (3/6, Saint-Dizier) a de nouveau inscrit son nom au palmarès. Non sans difficulté face à la coriace Laure Chardin (3/6, Romilly) qui a chèrement vendu sa peau.

▶ DAMES. – Quarts de finale : Amélie Zarev (3/6, Reims Europe Club) bat Mathilde Jacquin (4/6, Saint- Memmie) 6-2, 6-1 ; Maêva Spooner (4/6, Géo-André) bat Lisa-Marie Habert (4/6, Reims Europe) 6-4, 6-2 ; demi-finales : Fanny Jarles (3/6, Saint-Dizier) bat Amélie Zarev 6-0, 7-6 ; Laure Chardin (3/6, Romilly) bat Maêva Sponner 6-3, 6-4. Finale : Fanny Jarles bat Laure Chardin 7-6, 4-6, 7-5. + 35 ans, demi-finale : Stéphanie Hennepeaux (15/3, Côte des blancs) bat Julie Carre (15/3, Côte des Blancs) 6-2, 6-1. Finale : Ketty Koniushok (5/6, Côte des Blancs) bat Stéphanie Hennepeaux 6-4, 6-4.

▶ MESSIEURS. – Quarts de finale : Seuret (3/6, Reims Europe) bat Dermonsir (4/6, Romilly) 6-0, 6-4 ; Evrard (3/6, URT) bat Gajanovic (3/6, Reims Europe) 6-4, 6-2. Demi-finales : Seuret bat Cabrillon (2/6, Saint-Dizier) 6-1, 6-3 ; Evrard bat Jonasz (2/6, Montmirail) 6-3, 4-6, 6-1. Finale : Seuret bat Evrard 6-3, 6-3.

+ 35 ans, demi-finales : Joly (5/6, Côte des Blancs) bat Martinet (15, Château-Thierry) 6-1, 6-4 ; Ciosek (15/1, Côte des Blancs) bat Bonnerave (5/6, Vitry) 6-3, 1-2 abandon. Finale : Joly bat Ciosek 6-4, 6-3.

***********************************

l’union 140423 a
TENNIS PRÉ-TOUR 2ES SÉRIES : La surprise Raulin

Organisé au centre de Ligue, le pré-tour des championnats de Champagne-Ardenne 2es séries a été marqué par le parcours de Max Raulin (15, Rivière-de-Corps). L’Aubois a traversé tout le tableau pour décrocher son billet qualificatif pour les Régionaux du 7 au 9 juin à Reims.

Quant aux autres 4/6 Vincent Barre (Deux Vallées), Jérôme Dermonsir (Romilly) et Thibault Deglave (Cormontreuil), ils ont su faire respecter la hiérarchie .

Idem chez les dames avec les 4/6 Maêva Spooner (Géo-André) et Lisa- Marie Habert (Reims Europe). Le troisième ticket est revenu à Noémie Bellott (5/6, Géo-André) qui a profité du forfait sur blessure de Flora Calcagno (4/6, Montmirail).

▶ DAMES. – 2e tour : Noémie Bellott (5/6, Géo-André) bat Émilie Gaillot (15, Reims Europe) 6-2, 6-1 ; Alice Grillon (15, Saint-Memmie) bat Leslie Lancelot (5/6, TC Reims) 7-5, 6-4 ; Marine Jumelet (15, Vitry) bat Léana Clauss (15, Saint-Memmie) WO ;
3e tour (qualificatif) : Noémie Bellott bat Flora Calcagno (4/6, Montmirail) WO ; Lisa-Marie Habert (4/6, Reims Europe) bat Alice Grillon 3-0 ab ; Maêva Spooner (4/6, Géo-André) bat Marine Jumelet 6-1, 6-1.

▶ MESSIEURS. – 1er tour : Martin (15, Saint-Martin) bat Dagnee (15, Géo-André) 6-3, 6-4 ; Raulin (15, Rivièrede- Corps) bat Chaudré (15, URT) 6-1, 6-3 ; Cailleux (15, Cormontreuil) bat Mouilleron (15, ASPTT Troyes) 6-3, 6-0 ; Japin (15, ASPTT Épernay) bat Ramanitra (15, Dormans) 6-2, 6-3 ; Delarme (15, Cheminots Reims) bat Choiselat (15, Reims Europe) 7-5, 2-6, 6-2 ; André (15, Nautique Épernay) bat Girondin (15, Saint-Dizier) 6-2, 6-2.
2e tour : Lalouette (5/6, Cormontreuil) bat Martin 4-6, 7-5, 6-0 ; Raulin bat Fazilleau (5/6, Saint-Memmie) 6-3, 6-3 ; Chauvin (5/6, Reims Europe) bat Cailleux 7-5, 6-3 ; Mercier Huat (5/6, Dormans) bat Janin (5/6, Rivière) 6-3, 6-4 ; Masson (5/6, Saint-Memmie) bat Colomb (15, Creney) 6-0, 6-2 ; Latour (5/6, Cormontreuil) bat Japin 6-2, 6-3 ; Bonnefoi (5/6, Romilly) bat Delarme 6-4, 6-2 ; André bat Landrieu (5/6, URT) WO ;
3e tour : Raulin bat Lalouette 6-3, 6-4 ; Mercuer Huat bat Chauvin 6-1, 0-6, 6-1 ; Masson bat Latour 4-0 ab ; Bonnefoi bat André 6-4, 7-5 ;
4e tour (qualificatif) : Raulin bat Vial (4/6, Saint-Dizier) 4-6, 6-2, 6-3 ; Barré (4/6, Deux Vallées) bat Mercier Huat 4-6, 6-0 ab ; Dermonsir (4/6, Romilly) bat Masson 6-4, 6-0 ; Deglave (4/6, Cormontreuil) bat Bonnefoi 6-3, 6-2.

***********************************

l’union 140422 a
Grande question d’après ces municipales : le grand musée est-il condamné ?

« Je suis conscient des difficultés actuelles du musée, mais la priorité du mandat n’est pas le grand musée, c’est le complexe aquatique et de glace », précise Arnaud Robinet, affirmant qu’une décision sera prise avant les grandes vacances à ce sujet. Dans la balance notamment, la participation ou pas de l’État. « Pour l’heure, il n’y a pas de cofinancement assuré, pas de volet culture au contrat de plan 2015/2020. » Arnaud Robinet ajoute, associant aussi le projet privé, qu’il est nécessaire de revoir le plan local d’urbanisme, « avec le déclassement du Boulingrin qui était prévu par l’ancienne majorité si elle avait été élue, se traduisant par la disparition des places de stationnement ». L’idée était de créer des places au niveau du Sernam, « mais là encore, il n’y a aucun engagement de la SNCF ». Quant au coût du désengagement, pour Arnaud Robinet, il serait nettement moins cher que celui avancé par l’ancienne majorité. « Nous réfléchissons, un autre site n’est pas exclu. En tout cas, le travail des services n’est pas en cause, tout comme pour le projet de studios d’enregistrement à Croix-Rouge, mais qui ne correspond peut-être pas aux attentes. »

***********************************

l’union 140421 a
RENDEZ-VOUS : Chasse aux œufs

Chasse aux œufs au parc Saint-John-Perse proposée par les maisons de quartier Wilson, Croix-Rouge, Maison-Blanche et Val-de-Murigny ce mercredi 23 avril une grande chasse aux œufs.

Une animation gratuite mais sur inscription auprès d’Alexandra Babin, animatrice référent familles à l’espace Watteau-Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge (Tél. 03 26 36 03 50 ou 06 47 71 53 00).

Rendez-vous à 14 h 30 au parc Saint-John-Perse.

***********************************

l’union 140420 a
TENNIS AVIZE : Prétendants à gogo

Avec des effectifs toujours conséquents (167 engagements) mais néanmoins en légère baisse, le tournoi du TC de la Côte des Blancs à Avize livrera dimanche son palmarès 2014.

Chez les messieurs, les deux inscrits à la limite des inscriptions (2/6) Nicolas Jonasz (Montmirail) et Romain Cabrillon (Saint-Dizier) font figures de favoris. Reste qu’ils auront fort à faire avec les 3/6, habitués des lieux, Jukien Evrard (URT) et les « Européens » Alexandre Gajanovic et Florent Seuret. Sans oublier Thibault Deglave (4/6, Cormontreuil) qui accumule les « perfs » actuellement.

Ouvert jusqu’à 3/6, le tableau féminin s’annonce passionnant et indécis avec les 3/6 Laure Chardin (Romilly), Fanny Jarles (Saint-Dizier), Amélie Zarev (Reims Europe Club) ainsi que les 4/6 Lisa-Marie Havert (Reims Europe Club), Mathilde Jacquin (Saint Memmie) et Maêva Spooner (Géo- André).

Enfin, en 35 ans, les titres devraient revenir à Brice Bonnerave (Vitry) et Ketty Koniushok (5/6, Côte des Blancs).

AUJOURD’HUI. - 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finales messieurs et dames 35 ans ; 16 heures : finales dames et messieurs.

***********************************

l’union 140419 a
TENNIS : Pré-tour Champagne : sept billets à gagner

Comme traditionnellement, le weekend pascal coïncidera avec le pré tour des championnats de Champagne individuels 2es séries. Ainsi, au centre de Ligue de Reims, quatre billets maculins et trois féminins sont à distribuer pour intégrer le tableau final du 7 au 9 juin. Avec cette année un niveau moins élevé, les têtes de séries pointent à 4/6 avec Marceau Vial (Saint-Dizier), Vincent Barré (Deux Vallées) , Jérôme Weber Monder (Romilly) et Thibault Deglave (Cormontreuil). Mais ils auront fort à faire avec le bataillon de neuf 5/6 dont certains – Christophe Masson (Saint-Memmie) ou Benjamin Landrieu (URT) par exemple – ont été mieux classés. Chez les dames, le forfait de Flora Calcagno (4/6, Montmirail) a rebattu les cartes pour les trois tickets ! Certes, les 4/6 Lisa-Marie Habert (Reims Europe Club) et Maëva Spooner (Géo-André) seront favorites mais les 5/6 Noémie Bellott (Géo-André), Leslie Lancelot (TC Reims) et l’outsider numér 1 Emilie Gaillot (15, Reims Europe Club) possèdent le potenti el pour bousculer la hiérarchie.

Aujourd’hui, début des rencontres à 13 h 30 ; demain, début des rencontres à 9 heures, matches qualificatifs féminins à 15 heures, matches qualificatifs masculins à 16 h 30.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 346- 140418b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 346 - Semaine du 18 au 24 avril 2014

----------

MARNE. ENSEIGNEMENT. CARTE SCOLAIRE 2014-2015 : Créations dans le primaire, suppressions en collèges

L’inspectrice d’académie Guylène Mouquet-Burtin. (© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo

La directrice des services de l’éducation nationale de la Marne a présenté lundi la carte scolaire pour la rentrée de septembre 2014. Les collèges marnais vont encore perdre des enseignants. Le primaire s’en sort mieux.

Le Conseil départemental de l’éducation nationale (CDEN) marnais s’est tenu ce lundi 14 avril après-midi. Dans la foulée, l’inspectrice d’académie Guylène Mouquet-Burtin, directrice des services de l’éducation nationale de la Marne, a tenu une conférence de presse pour présenter la carte scolaire 2014-2015. Le CDEN, sorte d’instance d’appel réunie sous la présidence du préfet, a eu lieu une semaine après le Comité technique spécial départemental (CTSD). Par rapport aux décisions prises en CTSD, trois classes ont été « sauvées » dans l’enseignement primaire, à Damery, Verneuil, près d’Epernay, et Saint-Ouen-Domprot, près de Vitry-le-François. Globalement, le premier degré est plutôt bien doté, avec la création de 24 postes supplémentaires. Rééquilibrer pour obtenir un même taux d’encadrement

Dans l’enseignement secondaire, en revanche, la baisse de la démographie est toujours visible, et c’est elle, selon Guylène Mouquet-Burtin, qui est responsable de la suppression de 17 postes (équivalents temps plein) de professeurs de collège. Dans le détail, neuf classes seront créées dans les collèges marnais à la rentrée prochaine, et 29 seront supprimées. Les collèges situés en zones d’éducation prioritaire (ZEP) et les classes Segpa (Section d’enseignement général et professionnel adapté) ont été « épargnés ».

Une autre priorité a porté sur les classes pour l’inclusion scolaire (Clis), qui accueillent les élèves porteurs de handicap. « C’est un choix départemental pour poursuivre l’adaptation des moyens à une meilleure scolarité pour les enfants porteurs de handicap. » Une décision qui permet la création de deux postes d’enseignants, à Epernay et à Sézanne. Un effort sera également mis dans l’accueil des enfants de moins de trois ans dans les écoles maternelles.

L’enveloppe départementale a été déterminée à l’issue de la répartition académique, qui a voulu un rééquilibrage entre les quatre départements de la région pour obtenir le même taux d’encadrement dans chacun d’entre eux. « Le recteur a fait des choix pour rééquilibrer l’encadrement sur le territoire de toute l’Académie », a expliqué Guylène Mouquet-Burtin. « Le recteur se doit d’être équitable à l’échelle de l’Académie, et nous, dans les départements, nous nous devons d’être solidaires. J’ai recherché dans ce cadre de la transparence, de l’équité et de la solidarité entre les territoires du département. »

Selon l’évolution des inscriptions, des retouches de cette carte scolaire seront encore possibles en juin, via les mesures d’ajustement. Et même en septembre, s’il faut.

Tony Verbicaro

Chiffres : plus de primaires, moins de collégiens

L’effectif total des élèves du premier degré à la rentrée dernière était de 50 280 (19 673 en classes maternelles et 30 607 du CP au CM2). À celui-ci s’ajouteraient 396 élèves à la prochaine rentrée, selon les prévisions.

L’effectif total des élèves des collèges à la rentrée dernière était de 21 589, chiffre qui devrait se voir diminué de 241 élèves à la prochaine rentrée.

Pour le premier degré, la gestion des emplois conduit à 34 attributions et 24 retraits de postes auxquels viennent s’ajouter d’autres postes : décharges des directeurs d’école, décharges des enseignants en éducation prioritaire, enseignants remplaçants et maitres spécialisés dans la prise en charge des élèves en difficulté (Rased), à hauteur des 24 postes supplémentaires attribués au département pour la rentrée 2014.

Dans ces mesures, l’éducation prioritaire se voit dotée de 17 postes dont 8 pour le secteur du collège Joliot Curie désigné REP+ en septembre.

***********************************

l’union 140418 a
FAITS ET MÉFAITS : Les poubelles Flambent

Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 2 heures du matin, les pompiers sont intervenus avenue de Laon, près du rond-point des Tondeurs, sur un chantier, pour circonscrire un feu qui s’était déclaré sur deux conteneurs à ordures.

Le lendemain, mercredi, un feu de détritus s’est déclaré, à 11 h 15, chemin des Bouchers à Bétheny. Une surface de 20 m2 s’est consumée dans un terrain vague.

Nouvelle intervention des pompiers à 23 h 45, place Georges- Braque à Reims, où des poubelles ont pris feu dans le local d’un immeuble.

***********************************

l’union 140416 a
Raquettes FFT : le titre pour Muizon

Organisée dimanche au Cormontreuil TC, la phase départementale des Raquettes FFT a vu le succès du TC Muizon (composé de Marie- Agnès de Francqueville, classée 30/5, et des non-classées Emmanuelle Crocenzo, Christine Patin et Aurélie Morfaux) au détriment de la Société Nautique Épernay (2-1). Rien d’illogique puisque les Muizonnaises sont des habituées de ce stade de la compétition. La surprise est venue des favorites du Reims Europe Club, qui ont seulement classé leurs équipes aux 3e et 4e rangs ! Les quatre premiers sont qualifiés pour la phase régionale qui aura lieu le dimanche 29 juin au centre de Ligue de Reims.

À noter que Montmirail et Reims Géo-André se sont respectivement classés 5e et 6e.

***********************************

l’union 140415 d
Les mesures de carte scolaire dévoilées

À l’issue de la réunion du Comité départemental de l’Éducation nationale hier, les mesures de carte scolaire pour la rentrée 2014 ont été dévoilées par l’inspectrice d’académie et directrice académique des services de l’Éducation nationale de la Marne, Guylène Mouquet- Burtin. Cette dernière a rappelé les grands principes qui ont dicté ces choix : transparence, équité et solidarité entre les territoires d’un même département.

Il y aura 50 676 élèves de maternelle et primaire à la rentrée prochaine (396 de plus qu’en 2013) et 21 348 collégiens (soit 241 élèves de moins pour le secondaire). Pour le 1er degré, le rééquilibrage conduit à la création de 24 postes supplémentaires pour la rentrée prochaine. Les fermetures de classes à Damery, Verneuil (maternelle) et Saint-Ouen-et-Domprot ont été annulées. Dans le 2nd degré, l’éducation prioritaire est dotée de 17 postes dont huit pour le secteur du collège Joliot-Curie, désigné REP+ en septembre.

***********************************

l’union 140415 c
RENDEZ-VOUS

L’Université de Reims Champagne-Ardenne organise la journée internationale de l’étudiant « Cultures en fête », sur le campus Croix-Rouge, mercredi 16 avril, de 14 à 19 heures.

***********************************

l’union 140415 b
RENDEZ-VOUS

Le Festival du film antifasciste propose aujourd’hui à 14 h 30 au Popcorn Story, Galerie du lion d’or, une table ronde sur le thème « Un label non-sexiste au cinéma ? » et, à 18 h 30 à la maison de quartier Croix-Rouge- Dr Billard, une projection du film « Le Havre » d’Aki Kaurismäski. L’histoire d’une solidarité qui naît et s’épanouit pour sauver un enfant clandestin, lequel apprivoise un homme, puis son environnement… Renseignements : http://clareims.canalblog.com/

***********************************

l’union 140415 a
BADMINTON : Reims Université promu en N3

Pas de surprise dimanche à la Halle Universitaire Croix Rouge de Reims pour la cinquième et dernière journée de Régionale 1 où le RUC a assuré sa première place.

Résultats. - Reims UC bat Plume Charleville (2) 7-1 ; PL Troyes (2) bat ASPTT Reims 6-2 ; ASPTT Reims bat ABC Reims (3) 8-0 (WO) ; USCA Châlons bat ABC Reims 8-0 (WO) ; USCA Châlons et Plume Charleville (2) 4-4 ; Reims UC bat PL Troyes (2) 8-0. Classement. - 1. Reims UC 29 points ; 2. PL Troyes (2) 25 ; 3. USCA Châlons 21 ; 4. ASPTT Reims 20 ; 5. Plume Charleville (2) 15 ; 6. ABC Reims (3) -12.

***********************************

l’union 140414 b
STATIONNEMENT : Les habitants priés de payer

Les habitants ne veulent pas payer le parking, même s’il n’y a plus de places chez eux.
- Agrandir la photo

Trouver des places pour se garer à Croix-Rouge, c’est compliqué. L’Effort rémois fait campagne pour que les riverains prennent un abonnement payant.

I l y a quelques mois, de nombreux travaux sont venus diviser par deux le nombre de places de parking pour les habitants du quartier de l’avenue Bonaparte (voir notre édition du 6 février). Le soir, et désormais en journée, il n’est pas possible de se garer, alors que chaque barre d’immeuble compte environ 40 appartements. Les voitures sont stationnées partout où il y a un bout de terre libre, sur les trottoirs, les pelouses, les voies pour pompiers…

Une première grogne au mois de février

Premier élément de la grogne, un parking privatisé pour l’agence du Crédit mutuel, ouverte en février. Ce dernier, avec sa trentaine de places, est désespérément vide. En plein milieu de la matinée, seules trois voitures occupent le grand espace. « On nous enlève des places pour les clients de la banque qui viennent tous à pied, alors qu’ici il y a des femmes avec leurs enfants qui doivent maintenant se garer très loin avec les poussettes et les courses », peste Nasser, un habitant engagé dans la vie de son quartier. Les riverains s’étaient mobilisés une première fois afin de réclamer des aménagements. L’Effort rémois, bailleur social responsable de l’ensemble, leur avait alors répondu d’utiliser le parking du Silo Bonaparte, un peu plus loin dans l’avenue, mais facilement à 800 mètres des immeubles les plus éloignés. Solution refusée par nombre d’habitants, non seulement à cause de la distance mais également du prix : 25 euros par mois, une somme déjà trop importante pour beaucoup de familles dans le besoin dans cette partie de la ville. Dernier rebondissement en date, l’Effort rémois a placardé sur toutes les portes d’immeubles une affiche et distribué dans toutes les boîtes aux lettres un prospectus incitant les habitants à aller se garer au parking du Silo Bonaparte, avec même une « offre promotionnelle » : deux mois de loyer offerts pour tout contrat signé avant le 1er juin. Pour Nasser et de nombreux habitants, c’est trop. « On nous enferme en bétonnant toujours plus, pour nous pousser à aller dans leur parking qui est vide depuis qu’il est construit ! », lance l’un d’eux. « Nous, on paye des impôts, tout ça pour ne pas pouvoir se garer en bas de chez nous ? Moi je suis au chômage, avec trois enfants à charge, et il faudrait que je paye en plus 25 par mois ? Financièrement je ne peux pas ! », s’insurge Naji, un autre habitant. D’autres, pour qui la voiture est indispensable, livrent : « On va bien être obligés d’y aller, on n’a plus le choix, ici, il n’y a vraiment plus de place, c’est devenu ingérable. Et deux mois de loyer en moins, c’est toujours bon à prendre. »

Du côté du bailleur social, on assure que « le prix a été baissé pour la campagne de communication et que l’abonnement proposé reste bien moins cher qu’un box fermé dans le même quartier, au prix moyen de 32 euros. » La campagne promotionnelle, loin d’avoir pour but de régler les soucis de stationnement des habitants, est surtout liée au fait que les « places ne trouvent pas preneurs et qu’il faut bien amortir les coûts de construction ».

Mais est-ce aux habitants du quartier d’assumer les coûts du parking payant alors que celui-ci les handicape ? Un an que le parking a été livré et que les 160 places réservées payantes restent libres… Plus remontés que jamais, les habitants ont décidé de porter ce problème devant le maire, pour trouver une issue.

NASTASIA DESANTI

***********************************

l’union 140414 a
SOLIDARITÉ : Une seconde vie pour 500 kg de vêtements

Annaïs, Sophie, Boris et Charlotte aux côtés de l’amas de vêtements
- Agrandir la photo
L’équipe de bénévoles, très impliqués.
- Agrandir la photo

Quatre étudiants ont créé une exposition sur le Campus Croix- Rouge pour sensibiliser au recyclage des vêtements. Sophie, Charlotte, Boris et Anaïs devaient monter un projet dans le cadre de leur Master. Sensibles à l’insertion par l’activité économique et au développement durable, les étudiants ont choisi d’exposer des objets et des tenues créent à partir de matériaux de récupération et de vêtements recyclés.

Certaines créations de la plasticienne rémoise Marie-José Solivellas étaient exposées : un tabouret avec un revêtement réalisé à partir d’un pull, un tapis créé avec de vieilles cravates. « C’était vraiment important pour nous de montrer la qualité des créations réalisées à partir de matériaux recyclés. Nous n’avons pas toujours conscience de tout ce que nous pouvons faire avec, explique Sophie, coordinatrice en gérontologie et en formation continue à l’université. La montagne de vêtements, visible au loin, était aussi un moyen d’attirer les curieux vers notre exposition. »

Par valise entière

La taille de cet amas de vêtements n’a cessé d’augmenter au cours de l’après-midi. Grâce aux étudiants du campus qui y ont déposé, par valise entière parfois, les vêtements dont ils ne voulaient plus. Au total, cette action a permis d’amasser 500 kg de vêtements dans un excellent état.

Ils ont été récupérés par la Formation réadaptation insertion professionnelle Emmaüs (F.R.I.P.E) et par FRIPE et Chic pour être réutilisés comme tel. Les autres vêtements ont été confiés au Relais ou exportés.

***********************************

l’union 140413 c
EN IMAGE À CROIX-ROUGE

 

 

 

Le groupe Escapades fait dans la solidarité Il vient d’organiser sa cinquième bourse aux vêtements à l’espace Billard-La Nacelle en complément de la bourse aux livres début février et qui était destinée à financer en partie un voyage en Normandie pour une quarantaine de personnes.

Une grande variété de vêtements enfants, ados et adultes ont été proposés à des prix allant de 50 centimes à 2 € pour la plupart. Ces faibles prix ont été très appréciés par les quelques 200 visiteurs qui se sont présentés au cours du week-end et qui sont repartis les bras chargés.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

 

***********************************

l’union 140413 b
RENDEZ-VOUS

L’Université de Reims Champagne Ardenne organise la 5e édition de la journée internationale de l’étudiant "Cultures en fête", sur le campus Croix- Rouge, mercredi 16 avril, de 14 heures à 19 heures.

***********************************

l’union 140413 a
RAQUETTES FFT

Organisée aujourd’hui à Cormontreuil, la phase régionale des Raquettes FFT, réservée aux dames non classées, 40, 30/5, rassemblera six équipes : Muizon, Montmirail, la Nautique Epernay, Géo-André et deux formations du Reims Europe Club. À noter que les quatre meilleures équipes seront qualifiées pour la phase régionale en juin.

***********************************

l’union 140412 d
DROGUE : Coups de filet chez les dealers

Les policiers ont saisi de la drogue, du liquide et des biens d’équipement dernier cri.
- Agrandir la photo
Au RSA, l’un des trafiquants roulait avec cette Mercedes.
- Agrandir la photo

Deux trafics de drogue ont été démantelés cette semaine à Reims par la police et la gendarmerie. Trente-cinq interpellations, huit incarcérations.

Grand nettoyage de printemps chez les trafiquants de drogue ! Indépendantes l’une de l’autre, deux enquêtes ont abouti cette semaine au démantèlement de deux filières implantées sur Reims, la première par la gendarmerie (lire cidessous), la seconde par la police. Courant janvier, les policiers de la sûreté départementale de Reims ont vent d’un renseignement selon lequel un habitant du quartier Pommery se livrerait à un trafic de stupéfiants. Il est mis sous surveillance. D’autres noms apparaissent. Des clients sont identifiés, au total une quarantaine dont les auditions confirment les soupçons. Mardi à 6 heures, le réveil est brutal pour quatorze personnes arrêtées lors d’un coup de filet opéré rue Reimbeau, rue Desbureaux, rue Battesti, rue de Bouzy, rue du Chalet, rue de la Méditerranée, rue du Cardinal- Suhard et boulevard Robespierre, ainsi qu’avenue du Champ- Paveau à Tinqueux. Une soixantaine de policiers de la sécurité publique sont mobilisés, six fonctionnaires du groupe d’intervention régional de Champagne-Ardenne, deux « équipes canines stups » et un peloton de gendarmerie spécialisé dans l’ouverture des portes (celle d’un suspect était blindée). Bilan des saisies : 40 grammes d’héroïne, 260 grammes de cocaïne et 2,9 kilos de résine de cannabis stockés en partie chez des proches, parfois à leur insu (notamment dans une cave).

Arrêtés, jugés, condamnés

Au terme des gardes à vue, deux des personnes ont bénéficié d’un classement sans suite, neuf ont été remises en liberté avec des convocations en justice tandis que les trois dernières ont été jugées en comparution immédiate : David d’Oliveira Pinto, 34 ans, sa compagne et un ami du couple, Frédéric Pierret, 29 ans. Les deux hommes avaient chacun leur propre réseau mais s’approvisionnaient auprès d’un même fournisseur « de Croix-Rouge ». Ils ont déclaré ne pas connaître son nom.

Frédéric Pierret est un gros consommateur de cannabis : « dix à quinze joints par jour ». Il explique avoir revendu pour financer sa toxicomanie. Lui aussi consommateur, cocaïne en sus, David d’Oliveira Pinto se présente également comme revendeur par nécessité. Il n’aurait écoulé que « deux kilos de cannabis » depuis février, alors que les enquêteurs datent du printemps 2013 le début de son trafic et celui de son coprévenu, à raison de deux kilos revendus par mois en moyenne. Seule la jeune femme ressort libre de l’audience (quatre mois de prison avec sursis). Récidivistes, Frédéric Pierret prend deux ans de prison dont 18 mois ferme, David d’Oliveira Pinto quatre ans dont 42 mois ferme. Jusqu’à son arrestation, ce dernier purgeait sous bracelet électronique une condamnation pour des délits routiers. Les policiers ont d’ailleurs constaté qu’il avait obtenu cet aménagement de peine en présentant un faux contrat de travail au juge.

FABRICE CURLIER

Belle voiture et grand écran

Les deux hommes jugés hier ont peu de ressources déclarées. Au domicile de Frédéric Pierret, la police a pourtant découvert un téléviseur grand écran à 1000 euros et trois consoles de jeux d’une valeur unitaire de 500 euros. Un téléviseur similaire équipait l’appartement de David d’Oliveira Pinto, au RSA, « mais j’ai fait de l’intérim et j’ai travaillé au black ». Il avait également deux montres de luxe (500 euros chacune). Sa compagne travaille mais perçoit un salaire modeste. Elle n’en est pas moins propriétaire d’une Mercedes classe A achetée 30 000 euros, véhicule d’ailleurs utilisé par son ami – non titulaire du permis – pour trafiquer. Sur décision du tribunal, la Mercedes est confisquée, ainsi que l’argent liquide saisie chez Frédéric (1050 euros) et chez David (1870 euros).

CROIX-ROUGE : Le cannabis affluait du « 9-3 »

C’est la première opération d’envergure menée au quartier Croix- Rouge depuis son classement en « zone de sécurité prioritaire » fin décembre. La signification de ce label ? Lutter en profondeur contre une délinquance lourdement enkystée, génératrice d’une économie souterraine.

Les trafics de stupéfiants sont en ligne de mire, à l’image de celui démantelé lors d’un coup de filet mené lundi matin par 120 gendarmes, essentiellement sur Croix- Rouge, mais aussi avec quelques « objectifs » à Orgeval, Tinqueux et dans une cité de Seine-Saint-Denis.

Confiée à la section de recherches de Reims sur commission rogatoire d’un juge d’instruction, l’enquête a cependant démarré l’été dernier, avant le classement de Croix-Rouge (et Wilson) en « ZSP ». C’est la banale arrestation d’un consommateur de cannabis, dans une commune proche de Reims, qui a mis les gendarmes sur la piste de fournisseurs rémois. Assez vite, le trafic s’est révélé de grande ampleur, justifiant la mise en place d’une cellule d’investigations associant sept enquêteurs de la section de recherches et du groupement de gendarmerie de la Marne. Ecoutes téléphoniques et surveillances ont alors permis de dessiner la structure d’un réseau local alimenté depuis le Maroc et l’Espagne, via la Seine- Saint-Denis où une grosse pointure recevait des arrivages de résine de cannabis. « Le flux était continu, mais scindé en de multiples petites quantités pour atténuer les risques judiciaires en cas d’interpellation » , commente un enquêteur.

Six incarcérations

D’après les investigations, « environ 70 % » de la marchandise réceptionnée dans le « 9-3 » repartait vers Croix-Rouge. Les gendarmes estiment à « plusieurs dizaines de kilos par mois » la quantité de résine de cannabis ainsi écoulée depuis au moins trois ans. Lundi matin, lors du coup de filet, ils ont saisi « plusieurs kilos de cannabis » et « une centaine de grammes de cocaïne ». Vingt et une personnes ont été cueillies, mais seul un noyau dur de six individus a été mis en examen. Tous ont été écroués, sachant que deux étaient déjà en exécution de peines (les gendarmes sont allés les chercher en prison).

Dernier des six à avoir été mis en examen, jeudi matin, le gros dealer de Seine-Saint-Denis a peu de revenus déclarés mais une superbe Audi A3. Elle lui a été confisquée.

F.C

***********************************

l’union 140412 c
BADMINTON : Régionale 1 : verdict demain

Organisée à la Halle Croix-Rouge de Reims, la 5e et dernière journée de R1 permettra demain de connaître le promu en N3. Leader avec 23 points, le RUC est favori mais les Rémois rencontrent leurs dauphins troyens. Les Aubois pointent à deux longueurs avant cette finale du championnat ! L’équipe 3 de l’ABC jouera en R2.

▶ 5E JOURNÉE. – DEMAIN, 10 HEURES : RUC (1er) – Charleville (5e) ; PL Troyes (2e) – ASPTT Reims (4e) ; 12 h 30 : ASPTT Reims – ABC Reims 3 (6e) ; 13 heures : ABC Reims – USCA Châlons (3e) ; 14 heures : Châlons – Charleville ; Troyes – RUC.

***********************************

l’union 140412 b
RENDEZ-VOUS

L’Université de Reims organise la 5e édition de la journée internationale de l’étudiant "Cultures en fête", sur le campus Croix-Rouge, mercredi 16 avril, de 14 à 19 heures.

***********************************

l’union 140412 a
IRTS

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 345- 140411b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 345 - Semaine du 11 au 17 avril 2014

----------

Cultures en fête sur le campus Croix-Rouge

L’Université de Reims Champagne Ardenne organise, mercredi 16 Avril, de 14h à 19h sur le campus Croix- Rouge, la 5e édition de la journée internationale de l’étudiant : Cultures en fête.

L’objectif de cette journée est de mettre en valeur la richesse des cultures présentes à l’URCA (plus de cent pays représentés à travers ses étudiants) et de donner le goût de l’expérience internationale.

Cette journée conviviale sera ponctuée par différentes activités ludiques, gastronomiques et artistiques.

Entrée libre.

***********************************

l’union 140411 a
OUTRAGES : Grosses colères au palais

Les murs du palais de justice résonnent régulièrement de noms d’oiseaux.
- Agrandir la photo

Le palais de justice draine une population parfois prompte à s’exciter. Deux exemples avec des menaces et des noms d’oiseaux proférés en son sein.

Incarcéré depuis huit mois dans le cadre d’une enquête sur un trafic de drogue Croix-Rouge, Nordine Khedim, 27 ans, espérait sortir de prison à l’issue du débat sur le renouvellement ou non de sa détention provisoire, le 16 décembre dernier. Las ! Le juge des libertés décide de la reconduire pour quatre mois.

Fureur du détenu qui explose dans son bureau : « Bande de fils de chiens ! Vous aimez bien mettre les gens en prison ! Vous allez voir ! À ma sortie de peine, je m’occuperai de vous ! Je vais inonder Reims d’héroïne ! »

Mardi, escorté par les agents de la pénitentiaire, Nordine Khedim est retourné au palais de justice, non plus dans le bureau du juge des libertés, mais à la barre correctionnelle pour y répondre des outrages. Il repart en détention avec trois mois d’emprisonnement à purger. D’autres noms d’oiseaux ont volé ce même mardi après-midi au palais de justice. Vers 16 heures, une Marseillaise de 42 ans qui se présente à l’entrée veut choisir lequel des agents de sécurité doit la faire passer au portique. On lui fait remarquer qu’au tribunal, ce n’est pas comme au supermarché où l’on est libre du choix de sa caisse. Aussi le surveillant récusé par la Marseillaise lui réitère l’ordre de déposer ses objets métalliques sur la tablette et de passer sous le portique.

Elle lui répond par des insultes. Un magistrat qui passe par-là se prend également quelques mots. Ressortie du palais, la fougueuse méridionale est arrêtée par la police sur les quais du tramway.

Poursuivie pour les outrages, elle est attendue le 17 juin à la barre du tribunal correctionnel. Si elle franchit le portique…

***********************************

l’union 140410 a
D’ERLON EN LARGE

Le 16 avril, le campus Croix-rouge accueillera une fête où les étudiants étrangers seront invités à promouvoir leurs spécialités culturelles, qu’elles soient à boire, à manger, à vivre ou à danser.

Trente nationalités seront représentées ! Elle est pas belle comme ça, la mondialisation ?

***********************************

l’union 140409 d
ÉDUCATION : Lutter contre le décrochage scolaire, ou l’art d’aider des jeunes désorientés

Mardi 1er avril, au lycée Joliot-Curie, l’intervenant de l’atelier théâtre travaille avec les élèves de la classe « Sas-bilan », à la mise en place du spectacle de fin d’année. Photos Remi Wafflart
- Agrandir la photo

À Reims, la mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) développe des projets alternatifs pour tenter de remettre dans le système éducatif ceux qui en sont partis sans le moindre diplôme.

Dans une salle du lycée professionnel Joliot-Curie, au coeur du quartier Croix-Rouge. Ce mardi, ils sont douze, âgés de 16 à 19 ans : Kanto-Océane, Dadali, Assadullah, Méric, Cassandra… Leur point commun : s’être retrouvés récemment sans solution sur le plan scolaire. Discipline, résultats, leur dernière expérience dans le cadre d’un établissement fut un échec. Comme des centaines de milliers de jeunes en France, ils étaient étiquetés « décrocheurs » : sortis sans le moindre diplôme de l’Éducation nationale et en passe de disparaître des radars.

Les voilà aujourd’hui intégrés dans un dispositif alternatif, créé en 2011 et intitulé Sas-Bilan, pour Session d’accueil scolaire. « Grosse crise d’adolescence, problèmes sociaux ou familiaux, difficultés scolaires accumulées, défaut d’orientation… Les profils sont multiples », résume dans son bureau Marie-Chantal Rogé, coordinatrice de la mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS) sur le bassin rémois. Notre objectif ? Essayer de leur remettre le pied à l’étrier. »

Depuis maintenant trois semaines, ce groupe d’adolescents, encadrés par des enseignantes, travaille à la mise en place d’une pièce de théâtre écrite pour la circonstance.

L’épilogue du projet, une représentation devant un public constitué de parents et d’acteurs de l’Éducation nationale, est programmé pour juin. L’an dernier, le thème choisi était une enquête policière (une « murder party », selon l’expression officielle) ; cette année, c’est le… décrochage scolaire. Les élèves ont commencé par se raconter à Rémi, un intervenant extérieur spécialisé dans le théâtre qui en a ensuite rédigé quelques scènes. Présenté sous la forme d’une émission télévisée de la chaîne « WD6 », il y est question de découragement, de rap, de publicité, de spray miracle pour se lever le matin et des « galons de la vie qui s’apprennent en garde av’ ». Les médias « qui vendent de la peur » et des « clichés » à foison en prennent également pour leur grade.

Au prix d’une grande dépense d’énergie, Rémi, qui intervient depuis deux ans à Joliot-Curie, rythme la répétition. En cette fin de matinée, il s’agit d’improviser une discussion devant le lycée. Spontanément, filles et garçons ne se mélangent pas. Une fille au sourire XXL demande à une autre : « Ouais, ça va toi ? C’était trop bien hier soir ! » Avant d’imiter le phrasé asiatique et de s’esclaffer.

Les garçons, eux, s’inventent une conversation au téléphone, font mine de fumer. Sans prévenir, l’un décoche un coup de poing assez appuyé dans l’épaule d’un autre qui grimace. Rémi, regard noir, coupe : « Mais c’est quoi ça ? » L’adolescent, goguenard : « Et ouais monsieur, des fois aussi, on s’embrouille un peu devant le lycée !
– Il ne faut pas faire ça !, s’énerve pour de bon Rémi. Ça veut dire quoi ? Que le jour de la représentation, tu vas le frapper aussi ?
– C’est bon monsieur, c’est pas vous qui l’avez reçu le coup de poing… » L’instant d’après, le garçon s’en va bouder sur une chaise, écouteurs sur les oreilles. Au-delà de ces rares éclats, ces adolescents semblent s’investir autant qu’ils le peuvent.
Certains, inhibés, ne peuvent que marmonner un texte qu’ils se sont forcés à apprendre par coeur. « Articule ! », « Amuse-toi ! », invite Rémi. La pratique du théâtre permet de constater combien certains de ces jeunes éprouvent des difficultés dans leur relation au monde et, plus particulièrement, au milieu scolaire. Au-delà de postures convenues qui demeurent essentiellement masculines, l’estime qu’ont d’eux-mêmes ces jeunes apparaît plutôt négative : comportement de fuite, impulsivité, frustration. « On met un point d’honneur à ce qu’il y ait une représentation de la pièce en dehors du lycée. On veut qu’ils se sentent importants », résume Karine Cailleaux, professeur d’anglais investie dans le projet. Dans ces ateliers, ces adolescents expérimentent un autre rapport à l’enseignant : « Là, on est dans l’échange, le projet en commun. Après, quand je les revois en cours, ça facilite les rapports avec eux. » Dans son bureau, Marie-Chantal Rogé, coordinatrice de la MLDS, ne dit pas autre chose : « On veut leur redonner du sens. Faire du théâtre, à nos yeux, c’est utile car il faut certaines compétences sociales. L’envie de retourner dans les savoirs scolaires, ça passe par ce genre de projets ! »

Comment atterrit-on dans une telle classe ? Au départ, les établissements doivent signaler leurs « décrocheurs ». Tout élève sans solution en juin est affecté dans un dispositif « Sas bilan ». De septembre à la Toussaint, « on doit répondre à deux questions : quel est leur niveau ? Quel est leur projet ? » Durant l’année, stages et cours s’enchaînent. À l’issue de l’année, « la plupart peuvent retrouver un établissement ou un apprentissage (voir chiffres par ailleurs). Dans le cas contraire, nous avons deux solutions : basculer le jeune sur la mission locale ou le garder pour l’aider à retravailler davantage sur ses difficultés. » Ce mardi matin, seulement un des quinze élèves présents fréquentait la classe SAS-Bilan pour la deuxième année consécutive.

MATHIEU LIVOREIL

L’ESSENTIEL : 150 000 jeunes sortent chaque année sans diplôme

Depuis quinze ans, le taux de scolarisation des jeunes âgés de 15 à 19 ans a légèrement baissé en France. Un constat « préoccupant », selon le rapport 2012 de l’organisation de coopération et de développement économique (OCDE). De 89 % en 1995, ce taux est passé à 84 % en 2010, relevait l’OCDE dans son rapport. Pour illustrer la vulnérabilité de ces jeunes sur le marché de l’emploi, un chiffre : 71 % des jeunes déscolarisés de cette tranche d’âge sont sans emploi ou inactifs, contre 57 % en moyenne dans les 34 pays membres de l’OCDE (chiffres de 2010). Sans grande surprise, ces difficultés d’insertion persistent dans le temps : le taux de chômage des 25- 29 ans n’ayant pas de diplôme de fin d’études secondaires s’élève à 22 %, contre 15 % dans les pays de l’organisation. Chaque année, on estime à 140 000 le nombre de jeunes qui sortent du système éducatif sans diplôme, d’après les chiffres du ministère de l’Education nationale. François Hollande s’était fixé pour objectif de réduire ce chiffre de moitié d’ici la fin du quinquennat. Parmi les pistes de travail envisagées : mieux valoriser la formation professionnelle, diminution ou suppression du redoublement.

M.L.

Les chiffres de l’académie

Depuis leur création en 2011, les SAS-Bilan ont accueilli sur l’académie de Reims 515 jeunes en 2011, 580 en 2012 et 642 en 2013. A l’issue de leur formation, 85,8 % (en 2013, soit 551 élèves) ont eu une « issue favorable » : 82,7 % ont été de nouveau scolarisés et 3,1 % en apprentissage.

Sur l’académie, 3 268 « décrocheurs » étaient recensés (public, privé, enseignement agricole) au 4/11/2013, soit 6,04 % de la population scolarisée de la troisième aux terminales professionnelles, générales ou technologiques.

PAROLES D’ADOLESCENTS : « J’ai toujours eu des problèmes de discipline… »

Quatre adolescents de la classe alternative du lycée Joliot-Curie ont accepté, au terme de leur matinée consacrée au théâtre, d’évoquer le dispositif « Sas bilan », l’utilité de l’activité théâtre au sein de celui-ci et, enfin, leur avenir. Ceux qui le souhaitaient pouvaient conserver l’anonymat. Verbatim.

Diakhoumba Diaby, 17 ans : « Le théâtre ? Au moins, on n’est pas assis sur une chaise, on peut se dévoiler, apprendre de nouvelles choses. On peut s’exprimer autrement que sur un bout de papier, c’est bien. Avant le « Sas bilan » ? J’étais dans l’Oise. J’ai toujours eu des problèmes de discipline (sourire)… Là, je suis à Reims depuis octobre. L’an prochain ? J’espère faire un bac pro pâtisserie. »

Cassandra, « 19 ans au mois d’août », arrivée dans la classe depuis le 21 janvier, comme Diakhoumba : « De septembre à novembre dernier, j’étais dans un autre lycée, en 2de bac pro métiers de la mode en vêtement. Après, il y a eu des histoires, j’ai dû partir (…)À l’école, on m’a toujours dit que j’étais une fille sérieuse. Le théâtre, ça nous permet d’être moins timide et jouer devant du monde, ça fait peur mais c’est passionnant. Ici, c’est bien, on a des bons camarades. »

Mickaël Didier, 16 ans : « Jouer au théâtre dans la classe, je m’en fous, on rigole bien. Après, devant une grande salle, y a la peur d’être jugé, de mal faire. (Pour la représentation de fin d’année), j’irai pas, c’est sûr, y a pas moyen ! Avant ? J’étais en apprentissage, et j’ai quitté avant. Ici ? Oui, c’est bien. Pourquoi ? Déjà, parce qu’on a moins d’heures (sourire). Après, on fait des trucs de gamins, de rattrapage. C’est tellement facile, c’est à se demander s’ils ne prennent pas les gens pour des c… Moi, je sais ce que je vaux. Après, oui, je sais que je vais partir et que je vais chercher un patron. »

Steven Halbrych, « 16 ans dans un mois » : « Le théâtre, ça me plaît mais jouer devant des gens que je connais pas, je ne sais pas si j’irai… Je suis arrivé mi-janvier. Je veux chercher un patron dans la mécanique ou en boulangerie. Ici, on m’a fait faire des trucs de 6e-5e, ça m’a choqué tellement c’était trop facile, monsieur ! »

PROPOS RECUEILLIS PAR M.L.

Mission de lutte contre le décrochage scolaire (MLDS)

La MLDS peut compter sur quatre coordinateurs dans le bassin rémois. Ceux-ci suivraient « 200 à 300 jeunes » par an. La MLDS intervient dans sept lycées professionnels : Gustave-Eiffel, François-Arago, Yser, Georges-Brière (sur les sites de Tinqueux et Val-de-Murigny), Joliot-Curie et Europe.

***********************************

l’union 140409 c
TENNIS TC REIMS : Les favoris au rendez-vous

Emilie Gaillot a été contrainte à l’abandon en demi-finale face à Rigozzi.
- Agrandir la photo

Pas de surprise dimanche sur la terre battue de la rue Lagrive où les favoris ont parfaitement assumé leur statut. Ainsi, chez les messieurs, dans une finale de têtes de séries à –2/6 à savoir Thomas Setodji (Sarcelles) et Arthur Weber (Montrouge), le set initial fut non seulement spectaculaire mais accroché.

Au point d’assister à un interminable jeu décisif remporté par le Sarcellois 18-16 ! Usé mentalement mais aussi physiquement par une demie matinale à rallonge, Weber laissait littéralement filer le deuxième manche (6-1).

Du côté des dames, la Roumaine de Saint-Dizier Agnès Szatmari (–30) a très logiquement dominé l’Australienne du Reims Europe Club, Chantelle Rigozzi (–2/6), sur le score de 6-4, 6-2.

DAMES . - Quarts de finale : Émilie Gaillot (15, Reims Europe Club) bat Noémie Bellott (5/6, Géo-André) 6-4, 6-4 ; Lisa-Marie Habert (4/6, Reims Europe Club) bat Charlotte Becret (15, URT) 6-1, 6-2 ; demi-finales : Chantelle Rigozzi (-2/6, Reims Europe Club) bat Émilie Gaillot 6-0, 1-0 abandon ; Agnès Szatmani (- 30, CO Saint-Dizier) bat Lisa-Marie Habert 6-0, 6-0 ; finale : Agnès Szatmani bat Chantelle Rigozzi 6-4, 6-2.

MESSIEURS. – Quarts de finale : Ali (-2/6, Pau) bat Perrot (2/6, Coudray) 6-3, 6-3 ; Setodji (-2/6, Sarcelles) bat Gilles (2/6, TC Reims) 6-2, 6-3 ; NGuyen (0, Villa Primrose) bat Leveque (5/6, Saint-Memmie) 6-1, 6-0 ; Weber (-2/6, Montrouge) bat Noël (2/6, Ris-Orangis) 6-2, 6-3 ; demi-finales : Setodji bat Ali 7-5, 6-1 ; Weber bat NGuyen 2-6, 7-6, 6-1 ; finale : Setodji bat Weber 7-6 (18/16), 6-1.

+ 35 ANS. – Demi-finales : Floquet (15/2, TC Reims) bat Baudinet (15/3, TC Reims) 6-0, 4-6, 6-4 ; Mezzarobba (15/1, Estrées) bat Floquet 6-4, 4-6, 6-1.

***********************************

l’union 140409 b
TENNIS ASPTT CHÂLONS : La 27e pour Seuret et Zarev

Florent Seuret. Archives Bernard Sivade
- Agrandir la photo

Avec des effectifs en nette hausse (110 inscrits contre 85 l’an passé), la 27e édition du tournoi de l’ASPTT Châlons-en-Champagne a consacré un ancien du club, Florent Seuret (3/6, Reims Europe Club). Impérial en demi contre l’une des têtes de séries à 1/6 Lucas Grego (ASPTT Metz), « l’Européen » est ensuite venu à bout – non sans difficulté – au stade ultime de l’étonnant Thibault Deglave (4/6, Cormontreuil) qui vient de « perfer » deux semaines de suite contre Gabriel Andruejol (1/6, Reims Europe Club) ! Chez les dames, la logique a été respectée avec la victoire attendue de la favorite Amélie Zarev (3/6, Reims Europe Club) aux dépens de la Mengeotte Mathilde Jacquin (4/6) 6-3, 6-2 au terme d’un match d’excellente facture.

MESSIEURS. – Quarts de finale : Seuret (3/6, Reims Europe Club) bat Mercier Huat (5/6, Dormans) 6-4, 7-6 ; Deglave (4/6, Cormontreuil) bat Boulard (5/6, Montmirail) 6-2, 6-3 ; demi-finales : Seuret bat Grego (1/6, ASPTT Metz) 6-3, 6-2 ; Deglave bat Andruejol (1/6, Reims Europe Club) 6-4, 6-3 ; finale : Seuret bat Deglave 7-6, 6-2.

DAMES. – Quarts de finale : Caroline Deglave (15, Cormontreuil) bat Angélique Selosse (15/1, Géo-André) 7-5, 7-5 ; Aurélie Deltour (5/6, Fenouillet) bat Manon Jacquin (15, Romilly) 6-1, 6-3 ; demi-finales : Mathilde Jacquin (4/6, Saint-Memmie) bat Caroline Deglave 6-2, 6-0 ; Amélie Zarev (3/6, Reims Europe Club) bat Aurélie Deltour 7-5, 6-2 ; finale : Amélie Zarev bat Mathilde Jacquin 6-3, 6-2.

***********************************

l’union 140409 a
RENDEZ-VOUS

Conférence humanitaire organisée par l’antenne MSF de Reims, « le génocide rwandais » mercredi 9 avril à 17 h 30, bibliothèque Robert de Sorbon, campus Croix-Rouge.

***********************************

l’union 140408 c
EN IMAGE À L’ÉCOLE BLANCHE-CAVARROT : Rencontre avec la Québécoise Marie-Ève Huot

 

Dans le cadre d’un Projet artistique globalisé mené avec l’association Nova Villa, l’école Blanche Cavarrot a accueilli, hier dans une classe de CM1, Marie-Ève Huot qui écrit et met en scène des spectacles jeune public.

Les enfants, qui avaient déjà rencontré la jeune femme en octobre dernier et qui ont vu ce week-end sa pièce « Noeuds papillon », à l’affiche du festival Méli’môme, ont lu des textes qu’ils ont eux-mêmes écrits.

Marie-Ève Huot vient de passer plusieurs mois à Dijon, lors d’une résidence avec le dramaturge Christian Duchange.

 

***********************************

l’union 140408 b
RENDEZ-VOUS

RENDEZ-VOUS

Vide-grenier à l’espace Billard organisé par les groupes Familles des espaces Billard et Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge ; il se déroulera dimanche 13 avril à l’espace Billard, 12 – 14 rue Pierre-Taittinger.

Tarifs 5 € en intérieur, avec table ou 3 € en extérieur, sans table.

Inscriptions aux espaces Billard (téléphone : 03 26 08 08 78.) ou Watteau (3, allée Antoine-Watteau.

Téléphone : 03 26 08 08 78.)

***********************************

l’union 140408 a
RENDEZ-VOUS

Conférence humanitaire organisée par l’antenne MSF (Médecins sans frontières) de Reims, « le génocide rwandais » mercredi 9 avril à 17 h 30, bibliothèque Robert de Sorbon, campus Croix-Rouge.

***********************************

l’union 140405 a
RENDEZ-VOUS

5e bourse aux vêtements organisée par Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, samedi 5 avril de 9 à 18 heures et dimanche 6 avril de 14 à 18 heures, l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

Rens : 03 26 08 08 78.

***********************************

L’hebdo du vendredi- N° 344- 140404e
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 340 - Semaine du 4 au 10 avril 2014

----------

Lycées : les meilleurs « élèves »

(© l’Hebdo du Vendredi)
- Agrandir la photo

Le ministère de l’Éducation Nationale, relayé par l’Académie de Reims, publie aujourd’hui les indicateurs de valeur ajoutée des lycées (IVAL) pour l’année 2013. S’il ne s’agit pas d’un classement, les IVAL permettent en tout cas de dresser un tableau toujours pertinent des taux de réussite au baccalauréat d’un lycée, et de sa capacité à accompagner ses élèves de la seconde au diplôme.

Quel lycée dispose, proportionnellement à ses effectifs et aux caractéristiques sociodémographiques et scolaires de ses élèves, des meilleurs IVAL ? Dans la région Champagne-Ardenne, les résultats des établissements sont très différents, selon qu’ils soient des lycées généraux et technologiques déjà, mais aussi en fonction de la taille des communes sur lesquelles ils se trouvent. Une nouvelle fois, il ne s’agit pas d’établir un classement, mais bien « de donner à tous des éléments d’appréciation allant au-delà de l’affichage du seul taux de réussite des candidats. Le second objectif est de fournir aux responsables et aux enseignants de ces lycées des éléments de réflexion pour les aider à améliorer l’efficacité de leurs actions », comme le stipule bien le ministère.

Ainsi, dans l’Aube, c’est le lycée Chrestien de Troyes qui affiche de très bons chiffres, avec notamment une valeur ajoutée du taux de réussite au bac (différence entre le taux de réussite attendu à l’épreuve et le taux de réussite final) qui est positive. En clair, si on attendait que 88% des élèves obtiennent leur baccalauréat, 92% des inscrits (toutes filières confondues) l’ont obtenu, soit une différence de +4. Idem pour la valeur ajoutée du taux d’accès de la seconde au bac (la capacité d’un établissement à garder ses élèves de la seconde jusqu’au diplôme) qui est elle aussi de +4 pour ce lycée. Dans la Marne, le lycée Frédéric Ozanam de Châlons-en-Champagne tire particulièrement bien son épingle du jeu avec un +3 et un +5, respectivement pour les valeurs ajoutées du taux de réussite au bac et du taux d’accès seconde-bac. A l’inverse, pour ces mêmes IVAL, les lycées rémois Georges Brière et François Arago affichent un taux d’accès seconde-bac de -56 et -30, ce qui signifie, par exemple pour Arago, que si les responsables de l’établissement s’attendaient à ce que 63% des élèves inscrits en seconde poursuivent leur scolarité dans le même lycée jusqu’au bac, ils n’étaient en réalité que 33% au final à se présenter à l’épreuve terminale après trois ans d’Arago. Evidemment, ces résultats, exprimés en valeurs ajoutées, ne signifient pas que le lycée Arago est « moins bon » qu’un autre, ils permettent simplement de refléter « une image de la réalité, complexe et relative, des établissements ».

Aymeric Henniaux

www.education.gouv.fr/indica…

***********************************

l’union 140404 d
RENDEZ-VOUS

Assemblée générale de l’association de défense des locataires du secteur At’Hom (Hauts-de-Murigny), ce mardi 8 avril à partir de 18 h 30 dans son local associatif au 1, allée Yves-Gandon, 2ème étage, porte D. Contact : Danielle Bonfils, présidente, au 03 26 86 10 03.

***********************************

l’union 140404 c
ENSEIGNEMENT : Les ballons de l’école Cavarrot ont parcouru 600 kilomètres

Des enfants et des enseignants ravis d’avoir reçus des messages d’Allemagne.
- Agrandir la photo

On ne sait jamais où vont atterrir les ballons. Envoyés par les enfants de Blanche-Cavarrot, certains sont allés se poser en Allemagne.

Surprise ! Hamza et Yoel, 10 ans, ont reçu une lettre à leur prénom dans leur école élémentaire, Blanche-Cavarrot, dans le quartier Croix-du-Sud. Ces deux élèves avaient participé à l’opération de lancement de ballons organisé la semaine dernière en final du carnaval. Et leurs deux ballons ont parcouru une distance de 600 kilomètres, poussés par un fort vent du sud-ouest, pour atterrir à Lenne, en Allemagne, le lendemain.

Là-bas, ils sont tombés dans les mains d’autres écoliers et de leur professeur. Ce dernier ne s’est pas contenté de répondre. Comme les messages rémois commençaient par « J’ai rêvé de… », il a demandé à ses élèves de pratiquer le même exercice. Et les petits Allemands ont envoyé leur rêve par courrier en France. Comme ils ont écrit dans leur langue, il faudra quelque temps pour traduire leurs désirs. Mais l’histoire a ému toute l’école.

Et ce n’est pas fini. Un autre ballon, celui de Siman, s’est posé en douceur non loin de l’école, sur le balcon d’une personne qui a pris le message à coeur. Il disait : « J’ai rêvé de cookies ». Alors, la Rémoise a confectionné des gâteaux et les a apportés au rédacteur gourmand.

D’autres réponses sont arrivées des Ardennes et les enfants espèrent en recevoir encore quelques-unes. « C’était la première fois que nous faisions un lâcher de ballons », explique Karine Bolzinger, la directrice de l‘école élémentaire. « C’était plus original que de brûler le Bonhomme carnaval et nous ne sommes pas déçus du résultat. Cela nous a notamment permis de progresser en géographie… »

Les enfants vont aussi pouvoir acquérir quelques notions de la langue de Goethe.

M.-C.L.

***********************************

l’union 140404 b
RENDEZ-VOUS

5e bourse aux vêtements organisée par Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, samedi 5 avril de 9 à 18 heures et dimanche 6 avril de 14 à 18 heures, l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

Rens : 03 26 08 08 78.

***********************************

l’union 140404 a
RENDEZ-VOUS

Conférence humanitaire organisée par l’antenne MSF de Reims, « Le génocide rwandais », mercredi 9 avril à 17 h 30, bibliothèque Robert-de- Sorbon, campus Croix-Rouge.

***********************************

l’union 140402 c
FAUSSE ALERTE : Poisson de mauvais goût

Bien sûr, hier, c’était le jour des « poissons ». Mais certains ne savent pas encore que l’on ne peut pas faire n’importe quoi en matière de plaisanterie. Les pompiers rémois s’en sont aperçus à leurs dépens.

Peu après 10 heures, ils reçoivent un appel d’une dame qui signale chez elle, avenue Léon-Blum, dans le quartier Croix-Rouge, la présence d’un homme d’une trentaine d’années en arrêt cardiaque.

Les urgences médicales sont alertées, une ambulance se déplace, la police aussi, et que trouvent-ils une fois arrivés sur place ? La dame qui leur confie benoîtement que c’était « un poisson d’avril ! » Les sauveteurs ont jugé la plaisanterie assez désagréable, d’autant qu’hier matin, ils avaient malheureusement des interventions autrement plus sérieuses à traiter (lire en page Région).

L’histoire ne s’arrête toutefois pas là : le service départemental d’incendie et de secours va porter plainte contre l’auteur de la mauvaise blague. La loi ne badine pas avec les fausses alertes. Prévenir volontairement les secours en leur donnant une fausse information est un délit puni jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.

***********************************

l’union 140402 b
RENDEZ-VOUS

5e bourse aux vêtements organisée par le groupe Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, samedi 5 avril de 9 à 18 heures et dimanche 6 avril de 14 à 18 heures dans les locaux de l’espace Billard, 14, rue Pierre-Taittinger.

Renseignements au 03 26 08 08 78.

***********************************

l’union 140402 a
RENDEZ-VOUS

Conférence humanitaire organisée par l’antenne MSF de Reims, « le génocide rwandais », mercredi 9 avril à 17 h 30, à la bibliothèque Robert-de- Sorbon, sur le campus Croix-Rouge. Croix-Rouge : les familles à l’Opéra

***********************************

l’union 140330 b
RENDEZ-VOUS : les familles à l’Opéra

Une sortie Familles est organisée par la maison de quartier Croix-Rouge, mercredi 2 avril à l’Opéra de Reims pour le spectacle « sortilèges et carafon » proposé par Méli’môme.

Départ à 13 h 45 devant l’espace Billard (12-14, rue Pierre-Taittinger). Retour vers 17 heures.

Tarifs : 3 € pour les plus de 12ans, 2 € pour les 5/11 ans, goûter compris dans le prix (La sortie n’est pas adaptée aux moins de 5 ans).

Contact : Alexandra Babin, animatrice référent familles espace Watteau (Tél. 03 26 36 03 50).

***********************************

l’union 140330 a
article supprimé à la demande de l’intéressé.
***********************************

l’union 140329 c
FAITS ET MÉFAITS : Deux voitures incendiées

Hier vers 3 h 30, une Peugeot 207 a été incendiée près de Poilly, sur un chemin situé en contrebas de l’A4. Elle venait d’être volée à Faverolles-et- Coëmy.

À la même heure, un 4x4 Touareg est parti en fumée sur un parking du groupe Eisenhower à Reims.

Jeudi vers 21 heures, une benne à cartons a pris feu à la Neuvillette, rue En-Mémoire-des-Harkis.

***********************************

l’union 140329 b
SOCIAL : Pôle Emploi a déménagé

REIMS (51). Les cinq agences rémoises de Pôle Emploi ont fermé leurs portes, pour laisser place à quatre nouveaux sites. Le but : mieux accueillir les 24 408 demandeurs d’emploi du bassin.

Locaux flambant neufs, accès handicapé, mobilier fonctionnel… Pôle Emploi se refait une beauté. À Reims, les agences n’ont pas échappé à la règle. Les 24 408 demandeurs d’emploi du bassin rémois (chiffre des catégories A, B et C au 28 février) vont devoir changer leurs habitudes.

En effet, pour mieux les accueillir, Pôle Emploi a totalement réorganisé ses agences : Hincmar, Jacquart, Vernouillet ont fermé leurs portes le 19 mars ; Bétheny et Clairmarais, le 25 mars.

Elles sont remplacées par quatre nouveaux sites, tous en location : Jeanne-d’Arc (1, rue des Thiolettes) et Mont d’Arène (67, rue de Mont-d’Arène), ouvertes depuis le lundi 24 mars ; ainsi que La Neuvillette (9, rue Charles-Guggiari) et Bezannes (51, rue Louis-Néel à Bezannes), ouvertes depuis le jeudi 27 mars. Sans oublier l’A2S, l’agence de services spécialisés située 14, allée des Landais, qui accueille le public sur rendez-vous depuis novembre.

Près de trois ans auront été nécessaires pour concrétiser cet immense chantier qui s’inscrit dans le cadre du plan national de rénovation de 950 agences de Pôle Emploi (25 en Champagne-Ardenne). Un plan sur 5 ans imaginé après la fusion des Assedics et ANPE, en décembre 2008. « L’agence de Châlons a ouvert en 2013, détaille Philippe Lacoste, directeur territorial de Pôle Emploi Marne. En juin, nous aurons une nouvelle agence à Épernay ; Vitry et Sézanne sont programmées pour 2015. »

Si l’objectif affiché est bien d’offrir un meilleur accueil aux demandeurs d’emploi, l’idée est aussi d’uniformiser les agences, avec un espace d’accueil, un lieu plus en retrait où le public est accompagné par un conseiller, et un espace privé, dit « back-office » avec des salles de réunion. « Il s’agissait aussi de se mettre aux normes de sécurité et d’accessibilité pour les personnes handicapées », souligne M. Lacoste. « Pour accueillir tout public. » Un public rattaché à une agence selon son secteur géographique et non plus selon son domaine d’activité, comme cela avait pu encore être le cas, « pour être au plus près des demandeurs », qui ne connaîtront plus de changement tout au long de leur parcours et bénéficieront d’un accompagnement personnalisé. Pour les aiguiller dans leur retour à l’emploi, 174 collaborateurs, répartis désormais sur les quatre agences, sont toujours mobilisés (sans oublier les 22 affectés à l’A2S). « Ils sont plus nombreux – 49 – dans les agences Mont d’Arène et Bezannes », précise M. Lacoste. « Car la densité de ces secteurs est plus importante. La répartition des demandeurs d’emploi n’est en effet pas la même sur toute la ville. Nous avons aussi tenu compte de la capacité immobilière des agences. » Une capacité totale qui, même si le parc compte une agence de moins, offre 250 m2 de plus. « Certains demandeurs d’emploi vont garder leur conseiller, tandis que d’autres vont en changer, note le directeur. Dès la semaine prochaine, tous les portefeuilles de conseillers seront constitués. Toujours est-il que chacun aura un interlocuteur qui connaîtra son dossier, ou qui saura où trouver une information. Avec l’idée, de plus en plus, de construire, étape après étape, un parcours qui le rapproche de l’employabilité. »

Une large information pour éviter les déconvenues

Philippe Lacoste, directeur territorial de Pôle Emploi Marne, l’assure, tout a été mis en œuvre pour que ce déménagement ne « pénalise pas trop » les demandeurs d’emploi. « Avant de fermer, nous avions créé des notices pour les informer », insiste-t-il. « Nous avons également assuré une information en direct, individuelle, pour rappeler les adresses et les moyens d’accès. Et leur avons envoyé 20 406 mails et 6 760 SMS, au moment le plus proche possible de l’ouverture. »

Sur le terrain, une « permanence » a été assurée durant deux jours par deux conseillers dans les trois premières agences fermées, Hincmar, Jacquart et Vernouillet, afin de réorienter les demandeurs d’emploi vers les deux autres agences restées ouvertes, Bétheny et Clairmarais, où « ils étaient reçus indépendamment de leur rapprochement ». Et de préciser : « Les cinq agences ont été toutes fermées uniquement vendredi après-midi. Mais les moyens téléphoniques et informatiques sont toujours restés à disposition. » Malgré toutes ces précautions, certains se sont « cassé le nez ».

Comme Marie-Hélène Jorez, qui accompagnait une amie, inscrite à Pôle Emploi Vernouillet. « Elle a été prévenue que son agence fermait, et qu’elle devait désormais se rendre rue Charles-Guggiari (Neuvillette), raconte la dame. Ce que nous avons fait le 19 mars. Mais nous avons trouvé porte close, comme de nombreuses autres personnes. Rien n’était écrit, aucune date d’ouverture n’apparaissait. Un panonceau expliquant que nous pouvions aller à Clairmarais ou Bétheny aurait été le bienvenu ! » Heureusement, la déconvenue n’aura pas duré longtemps.

Marion Dardard

***********************************

l’union 140329 a
RENDEZ-VOUS

5ème bourse aux vêtements organisée par le groupe Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, samedi 5 avril de 9 à 18 heures et dimanche 6 avril de 14 à 18 heures dans les locaux de l’espace Billard, 14 rue Pierre-Taittinger.

Renseignements au 03 26 08 08 78.


Commentaires

Navigation

Articles de la rubrique