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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - décembre 2012.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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Union121231c- Marne
Tennis / Un match à couper le souffle chez les "Petits As"

Luca Maffei (au centre, en noir) et Paul Audinet (à droite, en blanc) ont marqué les esprits par la maturité de leur jeu. Mathilde Dirringer (1re à gauche) et Lisa-Marie Habert, à ses côtés, se sont affrontées en finale.
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Dans le cadre des préqualifications du mondial de tennis « Les Petits As », deux jeunes joueurs ont littéralement sidéré le public en s’affrontant pendant plus de trois heures.

DISONS-LE tout de suite, c’est Luca Maffei qui a finalement remporté la partie.

Quel match ! Pendant plus de trois heures, ce jeune athlète venu de Metz a affronté Paul Audinet, de Châtellerault. Les grands courts du tennis club de Saint-Martin-sur-le-Pré ne sont pas souvent foulés par des joueurs aussi talentueux.

À tel point que, dans les rangs du public, nombreux étaient ceux qui regrettaient qu’un seul des deux as soit déclaré vainqueur.

Nés en 1999, Luca Maffei et Paul Audinet faisaient partie des 86 inscrits de 12, 13 et 14 ans à Saint-Martin-sur-le-Pré pour être préqualifiés au 31e tournoi des Petits As, qui se déroulera à Tarbes à la fin du mois de janvier. Au total, 168 joueurs venus de toute la France ont été rassemblés dans les installations du club. Ces dernières restent particulièrement fonctionnelles, elles auront pourtant bientôt 20 ans.

Luca Maffei (niveau 5/6) a fini par arracher la victoire après un tie-break mené jusqu’au score de 20 à 18.

Paul Audinet a enchaîné les matchs toute la semaine, créant ainsi la surprise en se hissant jusqu’au plus haut niveau de sa catégorie.

« Révélateur des futurs as »

Malgré leur extrême fatigue, les deux adversaires ont joué jusqu’au bout avec force, n’hésitant à se mettre en danger pour décrocher la victoire. Du très beau jeu, avec des initiatives intelligentes et du fair-play.

Ces deux-là ont trouvé leur domaine de prédilection, retenez bien leur nom.

« Le tournoi révélateur des futurs as » promet le slogan des organisateurs de ce mondial de tennis réservé aux jeunes. Parmi les précédents vainqueurs, certains noms sont effectivement devenus célèbres : Jo-Wilfried Tsonga (en 1999), Fabrice Santoro (en 1986), Novak Djokovic (en 2001), ou encore Arantxa Sanchez (en 1985), Mary Pierce (en 1989), Marion Bartoli (en 1998), parmi tant d’autres.

Du côté des filles, Mathilde Dirringer (Ill TC Strasbourg, niveau 3/6) a battu en finale Lisa-Marie Habert du TC Géo-André de Reims (niveau 5/6), au cours d’un affrontement certes moins long que celui des deux finalistes garçons mais également de très bonne tenue.

S.L.

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Union121231b- Marne
MODIFICATIONS

D.R. CREATION

4, avenue Eisenhower
51100 Reims

S.A.R.L. au capital de 6.000 euros enregistré au RCS de Reims : 493 920 763

Par décision de l’assemblée générale extraordinaire en date du 20/10/2012, il a été pris acte de la démission de Mademoiselle Sophie HUBERT et de Monsieur Anthony DETOUCHE de leurs fonctions de gérant à compter du 20/12/2012. Monsieur Thibaut REGENT demeurant le seul gérant à compter de cette même date.

Mention sera faite au RCS de Reims.

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Union121231a- Marne
MODIFICATIONS

D.R. DISTRIBUTION

4, avenue Eisenhower
51100 Reims

S.A.R.L. au capital de 50.000 euros enregistré au RCS de Reims : 520 023 433

Par décision de l’assemblée générale extraordinaire en date du 20/10/2012 il à été pris acte de la démission de Mademoiselle Sophie HUBERT et de Monsieur Anthony DETOUCHE de leurs fonctions de gérant à compter du 20/12/2012. Monsieur Thibaut REGENT demeurant le seul gérant à compter de cette même date.

Il a également été décidé de modifier le capital de la société en le portant de 50.000 euros à 90.000 euros. Les statuts ont été modifiés en conséquence. Mention sera faite au RCS de Reims

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Union121229c- Marne
Collège Joliot-Curie : Les élèves diplômés honorés

Avant les vacances, la salle polyvalente du collège Joliot-Curie était le théâtre de la cérémonie de remise des diplômes du brevet des collèges session 20I 2.

Plus des deux tiers des élèves reçus ont pu se déplacer, pour ce protocole emblématique d’une première étape réussie dans leur parcours scolaire.

Le principal M. Georges, rappela les très bons résultats de l’établissement, fruit d’un travail en partenariat « parents, élèves et professeurs ».

Après ce moment solennel, parents, élèves et professeurs se sont retrouvés autour d’un jus de fruit pour échanger sur l’adaptation au rythme scolaire du lycée.

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Union121229b- Marne
Les sportifs du lycée Arago se distinguent : Vers les championnats de France

 

 

En cross, 13 élèves du lycée Arago ont défendu les couleurs de l’établissement et l’association sportive a frappé un grand coup en remportant deux titres académiques, en équipes, dans les catégories cadets et cadettes, ainsi qu’un titre individuel en minimes filles grâce à Cécile Lejeune.

Dans la catégorie cadettes, l’équipe se classe en effet Ire sur 7 en plaçant 6 élèves dans les quinze premières.

Et en catégorie cadets, l’équipe d’Arago se classe Ire sur 8 avec 6 élèves parmi les 20 premiers.Tous ces élèves participeront, le 18 janvier, aux championnats de France qui auront lieu à Caen.

 

 

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Union121229a- Marne
Recherché pour 14 cambriolages, il se fait prendre sur le 15e

REIMS (Marne). Identifié après une série de quatorze cambriolages d’habitations dans un quartier de Reims, un ado de 16 ans échappait aux recherches… jusqu’à son arrestation en flagrant délit lors d’un quinzième casse.

Depuis le mois de septembre, les policiers de la sûreté départementale de Reims avaient constaté une recrudescence des cambriolages d’habitations dans le quartier pavillonnaire de la Lézardière, entre Croix-Rouge et Tinqueux. Commis de jour, pendant l’absence des occupants, les vols portaient principalement sur des bijoux, espèces, jeux vidéo.

L’enquête fut confiée à la « cellule anti-cambriolages » de la sûreté, un service créé en début d’année pour lutter contre ce type de délinquance. Assez rapidement, ses investigations ont révélé des similitudes permettant d’imputer cette série à un seul et même auteur, pour un total de quatorze vols par effraction.

Malgré des surveillances mises en place dans le quartier, aucun flagrant délit n’a pu être réalisé, mais les policiers ont remarqué à plusieurs reprises la présence d’un adolescent de 16 ans déjà connu de leurs services.

Un étrange promeneur

Le voir se promener à la Lézardière était d’autant plus intriguant qu’il ne s’agit pas de son quartier (il est originaire de Wilson). Parallèlement, sur chaque cambriolage, le groupe d’enquête criminalistique a effectué un travail de police technique et scientifique pour tenter de relever le moindre indice. Dans quatre des maisons, cette recherche fut positive. Après comparaison des traces dans les différents fichiers, un nom est sorti : comme par hasard, celui du mineur de 16 ans… Restait à l’interpeller.

Plus souvent à droite à gauche qu’au domicile familial, le jeune homme s’est révélé difficile à localiser. Mercredi après-midi, les enquêteurs le recherchaient toujours quand un riverain de la rue Pierre-Brossolette (faubourg de l’avenue de Laon, loin de la Lézardière) a prévenu le commissariat que deux individus s’affairaient sur le volet d’un voisin actuellement en vacances.

Aveux sélectifs

Sur place, une patrouille de la brigade anticriminalité a découvert le volet fracturé, la fenêtre brisée. Elle est entrée dans la maison pour surprendre en action de cambriolage… le fameux mineur, acoquiné d’un copain du même âge.

Placé en garde à vue, l’adolescent a reconnu le flagrant délit (difficile de faire autrement) ainsi que quatre des vols commis à la Lézardière : ceux pour lesquels la police dispose d’une preuve scientifique de son passage. Il nie tous les autres.

Le garçon s’est toutefois vu notifier une mise en examen pour l’ensemble des faits reprochés, lors de sa présentation hier au juge des enfants. Il a été placé dans un centre éducatif des Ardennes tandis que son complice de la rue Pierre-Brossolette était remis à ses parents.

Aucun butin n’a été retrouvé lors des perquisitions. Concernant les cambriolages admis à son palmarès, le mineur déclare avoir tout revendu contre monnaie sonnante et trébuchante.

F.C.

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Union121228b- Marne
Le braqueur au couteau n’avait que huit doigts

REIMS (Tribunal Correctionnel). Condamné hier à 18 mois de prison ferme, le braqueur d’un magasin a été identifié en un temps record. Il avait une main amputée de deux doigts, les trois autres étant tatoués.

Paul Percy n’a que huit doigts. Il lui manque le pouce et l’index gauche. Les autres sont tatoués. Avec de tels signes distinctifs, autant laisser une carte de visite à la caissière qu’il a braquée de sa main infirme avec un couteau de cuisine, le 2 octobre, au magasin Dia de l’avenue d’Epernay à Reims. Les policiers ont tout de suite pensé à lui, d’autant qu’il était sorti le matin même du commissariat après une petite garde à vue pour détention de cannabis.

Accro à l’héroïne

Visage poupon, Paul Percy a grandi dans une famille sans histoire. Très intelligent, et même trop intelligent par rapport aux enfants de son âge, il a eu du mal à s’adapter. Des problèmes comportementaux ont suivi. Il a commencé à se droguer à 15 ans. Malgré un CAP d’électricien en poche, et plusieurs embauches, il a fini par sombrer dans la toxicomanie. Une dépendance lourde, à l’héroïne.

Le 2 octobre, après être sorti du commissariat, ce jeune garçon de 21 ans devenu plus ou moins SDF consulte son médecin. Il abuse des médicaments prescrits, puis se rend « à Croix-Rouge pour acheter de la drogue ». « C’est le dealer qui m’a donné le couteau. Je voulais me tailler les veines. Ensuite, je ne me souviens pas de grand-chose. Je n’ai que des flashs. J’étais bien ravagé. »

Aucun butin

Plongé dans un état second par le cocktail stups-médicaments, Paul Percy arrive vers 17 h 20 à l’enseigne discount Dia. Il fait mine d’acheter un paquet de chewing-gums, se glisse dans la file d’attente, visage à découvert, couteau caché dans la manche de son manteau. Un client l’entend marmonner : « Ce que je vais faire ne va pas plaire ».

Lorsqu’arrive son tour, il sort le couteau de sa main infirme, le pointe vers la caissière. « Donne ton argent ! », dit-il à plusieurs reprises. L’employée est pétrifiée, regard fixé sur l’arme et cette main amputée de deux doigts depuis une injection de drogue qui a mal tourné. Le braqueur s’énerve, hausse la voix. « P… ain fait ch… ! Donne ton argent ! »

La victime parvient à actionner l’alarme. Ses collègues occupés dans les rayons se précipitent aux caisses. Comprenant que la partie est perdue, Paul Percy s’enfuit sans un seul centime des 200 euros contenus dans la caisse. Il est tellement mal qu’il se présente aux urgences de CHU. Le lendemain, alors que les policiers l’ont déjà identifié, il est transféré dans une unité psychiatrique. Les enquêteurs attendront sa sortie, à la fin du mois du novembre, pour l’interpeller.

Le jeune homme a comparu hier après-midi devant le tribunal correctionnel de Reims. Considéré comme récidiviste en raison de deux précédentes condamnations pour des vols avec dégradations, il a écopé de la peine plancher : quatre ans d’emprisonnement, dont trente mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de suivre des soins et de trouver un travail ou une formation. Il est maintenu en détention pour purger ses dix-huit mois ferme.

Les dommages-intérêts alloués à la caissière seront fixés ultérieurement.

Traumatisée par l’agression, elle souffre toujours de « crises d’angoisse et d’anxiété ».

Fabrice CURLIER

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Union121228a- Marne
Jardins de Croix-du-Sud

L’assemblée générale de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud se déroulera la samedi 5 janvier 2013 à 9h30, dans la salle de l’Etoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.

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Union121227d- Marne
Espaces Billard et La Nacelle : Les mamans organisent la fête

Une salle bourdonnante de convives.
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Un repas de Noël a réuni environ 80 personnes, dont 30 % représentaient des habitants du quartier, peu habitués à fréquenter la maison de quartier Croix-Rouge dont ils ont pu découvrir les activités. À l’initiative d’une équipe de douze mamans, coordonnées par la référente familles Sarah Morillon, habitants, bénévoles, salariés et bénéficiaires des deux espaces ont festoyé ensemble en soirée.

« Les mamans ont tout organisé : planification, communication, préparation du repas et organisation le jour J », précise Sarah Morillon, « avec générosité, elles ont pu offrir un moment festif ponctué de plusieurs animations. Enfin, elles ont réalisé un joli bénéfice qui leur permettra de financer un séjour collectif prévu en avril 2013 ».

 

 

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Union121227c- Marne
Aux espaces Billard/La Nacelle : Spectacle, goûter et ateliers

Père Noël a distribué des centaines de chocolats.
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Les espaces Billard et La Nacelle de la maison de quar¬tier Croix-Rouge ont organisé leur goûter de Noël pour les 60 enfants du centre de loisirs et du multi-accueil, accompagnés de bénévoles et parents (160 personnes présentes).

L’équipe de Sarah Morillon a proposé un grand spectacle de la compagnie Fécho, suivi d’un goûter avec le passage du père Noël qui a distribué des chocolats préparés par les dames du groupe ACIP Billard, et enfin plusieurs ateliers récréatifs.

 

 

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Union121227b- Marne
REIMS / Violences Il est 5 heures, l’excité réveille les voisins

Mardi matin, vers 5 heures, un Rémois de 20 ans a voulu finir la nuit de Noël chez une amie de l’esplanade Paul- Cézanne.

La jeune femme a refusé de lui ouvrir, avant de céder tellement il hurlait sur le palier. L’individu l’a alors frappée d’un coup de poing au visage et brisé son téléphone portable.

Par des voisins alertés, les policiers sont arrivés.

L’homme s’excitait toujours devant la porte.

En leur présence, il a tenté de rentrer une nouvelle fois dans l’appartement.

Une mêlée a suivi, au cours de laquelle l’individu a légèrement blessé une policière en la projetant contre un mur (elle l’a heurté avec la tête).

Force est revenue à la loi. A l’issue de sa garde à vue, le trublion s’est vu remettre une convocation en justice pour un rappel à la loi.

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Union121227a- Marne
Feu en sous-sol

Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus ce mercredi vers 10 h 45 au 8, place Dominique-Ingres dans le quartier Croix-Rouge, pour un dégagement important de fumée en provenace du sous-sol d’un immeuble collectif.

Munis de leurs appareils respiratoires isolants, ils ont localisé un feu qui a été maîtrisé au moyen d’une petite lance. Les sauveteurs doivent ventiler les communs de l’immeuble avant de regagner leur casernement. La police est sur les lieux.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121226d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7478 du 24 au 30 décembre 2012.

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MODIFICATION DE STATUTS

NOM DOS

Société d’Avocats
10 boulevard Lundy - B.P. 210551074 REIMS CEDEX

S.D.S.

Société par actions simplifiée au capital de 130.000 €uros
Siège social : Avenue Robert Schuman51100 REIMS
450 799 333 R.C.S. Reims

Suivant décisions du 18 décembre 2012, l’associée unique a décidé :
— D’augmenter le capital social d’une somme de 74.977 € pour le porter à 204.977 €, par incorporation directe de pareille somme prélevée sur le compte-courant de l’associée unique, puis de réduire ledit capital d’une somme de 104.977 € pour le ramener à 100.000 €, par imputation des pertes antérieures, et de modifier, en conséquence, les articles 6 et 7 des statuts sociaux ;
— De transformer la société en société à responsabilité limitée, à compter de la même date ;
— De nommer Monsieur Éric PLACET, demeurant à REIMS (51100), 23 rue des Templiers, en qualité de gérant pour une durée illimitée ;
— De mettre fin aux fonctions des commissaires aux comptes titulaire et suppléant, la société sous sa nouvelle forme, n’atteignant pas les seuils requis par le code de commerce.
Cette transformation n’entraîne pas la création d’un être moral nouveau et aucune modification n’est apportée à la dénomination sociale, au siège social et à la durée de la société.
Les décisions visées ci-dessus entraînent les mentions suivantes :
CAPITAL ANCIENNE MENTION : 130.000 €. NOUVELLE MENTION : 100.000 €.
FORME ANCIENNE MENTION : Société par actions simplifiée. NOUVELLE MENTION : Société à responsabilité limitée.
ADMINISTRATION ANCIENNE MENTION : PRESIDENT : Monsieur Éric PLACET. NOUVELLE MENTION : GERANT : Monsieur Éric PLACET.
L’inscription modificative de le société sera effectuée au R.C.S. dE REIMS.
111616 Pour avis

CONSTITUTION DE SOCIETE

Par acte S.S.P. en date du 19/12/2012, il a été constitué une S.A.R.L. dénommée YG COIFFURE, au capital social de 1.000 €, dont le siège est situé au 46 avenue du Général Bonaparte - 51100 REIMS.
La société a pour objet tous travaux en coiffure.
Sa durée est de 99 ans à compter de son immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés.
Monsieur Salem YACOUBI, né le 19 juin 1984 à IVRY SUR SEINE, demeurant au 8 Grand’Rue - 51370 ORMES, est nommé premier gérant de la société pour une durée indéterminée.
111695 La gérance.

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Union121226c- Marne
Croix-Rouge : conseil de quartier exemplaire

Les interventions successives d’Alain Boudroit, Alain Bister et Adeline Hazan (de gauche à droite) ont été applaudies par le public.
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Au conseil de quartier, les participants ont apprécié les derniers échanges, remarquables de dignité et de bonne conduite. Ce qui n’élude pas les soucis récurrents à Croix-Rouge.

Les habitants de Croix-Rouge étaient invités à « échanger pour mieux vivre ensemble », au cours d’une séance plénière du conseil de quartier, avec Adeline Hazan et l’équipe municipale. On a dénombré 80 personnes dans la salle : habitants, conseillers de quartier et élus réunis, pour cette fois, au lycée François-Arago, la salle municipale Croix-Rouge étant en rénovation (« les travaux vont bientôt être terminés » a précisé Adeline Hazan).

Des élus pas potiches…

Unanimement, le public a qualifié cette séance d’exemplaire : les co-animateurs ont été applaudis, de même que la maire de Reims, les élus n’étaient pas des potiches comme parfois, ils ont largement pris la parole, les problèmes des habitants ont été exposés franchement, mais sans agressivité et les réponses ont été données dans une grande transparence.

Après un moment d’évocation en souvenir des grands disparus du quartier : Hubert Carpentier, Madeleine Terrien, Alain Polliart et Marceau Nicolas, la réunion a débuté par la présentation du bilan de l’année écoulée. Rapport moral par Alain Bisteur, rapport d’activités par Alain Boudroit. « Toutes nos actions sont le travail des conseillers qui sont toujours présents dans le quartier », précisait le co-animateur municipal : « Les associations et leurs bénévoles sont également des éléments très importants ».

On apprenait au passage que plusieurs habitants ne demandaient qu’à devenir conseillers de quartier et qu’« une très belle fresque est prévue sur le château d’eau ».

Aider les plus démunis

Dans sa réponse, Adeline Hazan, maire de Reims, a précisé : « Nous gérons la ville depuis bientôt cinq ans, tous les habitants et tous les quartiers doivent être traités également, c’est notre credo. Notre fil conducteur, c’est une ville où tout le monde a le même avenir et dans laquelle, par une politique sociale élargie, les plus démunis soient aidés. » Rappelant que Croix-Rouge est un quartier historique, presque aussi important en population que la ville d’Eernay, « un très riche investissement en fait un quartier extraordinairement vivant, la force importante d’un quartier qui vit et évolue dans le bon sens ».

La maire de Reims a mis l’accent sur la rénovation urbaine : « C’est le cinquième chantier le plus important de France avec 540 millions d’euros en jeu, et nous voulons absolument qu’il n’y ait pas de différence entre les locataires des quartiers et ceux du centre-ville ! »

Des questions et des réponses

SAÏDA SOUMAYA : « La mesure de tolérance de la police municipale concernant le stationnement, notamment dans le secteur Université où les travaux sont terminés, semble révolue, au grand dam des automobilistes : les PV pleuvent à nouveau ! »
Eric Quénard (adjoint) : « Une vraie difficulté dans ce quartier ! Les garages souterrains sont tellement insécures qu’ils ne sont plus utilisés. Par ailleurs, les travaux de l’ANRU n’arrangent rien, au contraire. La tolérance existe toujours mais elle est ciblée, sans pitié sur les espaces dédiés à la sécurité et aux handicapés. Par ailleurs, bonne nouvelle, les garages souterrains seront sécurisés et vidéo-surveillés. »

PHILIPPE GODEBWSKI : « Qu’en est-il de la suppression des bennes à encombrants qui seraient remplacées par un service à titre payant ? »
Stéphane Joly, adjoint : « plus de 75 % du contenu des bennes à encombrants déposées pour le public sont issus de l’artisanat et du commerce. Nous allons donc les remplacer par un service proposé par une association d’insertion, sur rendez-vous, et avec une petite participation financière symbolique. »

PHILIPPE GODEBWSKI : « Taxe d’enlèvement des ordures ménagères : quel profit certains en tirent-ils ? »
Adeline Hazan : « Il n’y a aucun bénéfice municipal sur la TEOM. Nous l’avons baissée de 5 % en 2012. Nous prévoyons encore 5 % en 2013 »

MARTINE MASSART : « Où en est la ville en matière d’accessibilité pour les handicapés d’ici 2015 ? »
Jacqueline Dalhem (adjointe) : « La ville de Reims a recensé 360 établissements concernés. Les diagnostics les concernant ont été réalisés et les travaux ont commencé. Nous n’avons pas de retard. Pour Croix-Rouge, la salle municipale est en cours de réaménagement, un travail lourd, bientôt terminé. »

PHILIPPE GODEBWSKI : « Manque d’entretien des bailleurs : poubelles débordantes, papiers au sol, feuilles mortes non ramassées : ce n’est pas parce qu’il y a des travaux qu’il ne faut pas nettoyer les cours intérieures ! »
Raymond Joannesse (adjoint) : « Le souci, pour les espaces verts, c’est que les feuilles tombent toutes à la même période. »

UNE HABITANTE : « Nous constatons une recrudescence des cambriolages aux alentours du collège François-Legros ».
Eric Quénard (1er adjoint) : « Nous suivons ce dossier de près. Dans le secteur Université, nous avons relevé des agressions d’étudiants de la Fac et de RMS, des arrachages de colliers sur personnes âgées et des cambriolages. La police est active et des interpellations ont déjà été effectuées ».

PHILIPPE GODEBWSKI : « bruit, halls d’immeubles occupés, ascenseurs bloqués, escaliers en état déplorable, ordures jetées par la fenêtre… »

FABIO PASQUALINI : « Au Foyer rémois, nous n’avons pas de retour quand nous signalons des dysfonctionnements. On ne sait pas à quelle porte frapper. Nous sommes impuissants. Cette situation est encore pire quand locataires et propriétaires cohabitent. »

JEAN-PIERRE BAUWENS : « Notre association de locataires confirme la surdité du Foyer rémois. Inutile de se plaindre, c’est la croix et la bannière pour pouvoir contacter un responsable. Mieux, quand des mesures sont prises, les résultats ne sont jamais communiqués aux usagers. Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ? »

Adeline Hazan : « Nous mettrons tout cela à plat »

Réponse globale d’Adeline Hazan : « Nous connaissons bien les problèmes de logement de ce quartier. Je vous annonce ici qu’en janvier, je vais réunir les trois organismes logeurs, Effort rémois, Foyer rémois et Reims habitat, pour évoquer avec eux les problèmes de logement, d’eau chaude, de chauffage, de cages d’escaliers… et nous mettrons tout cela à plat. L’objectif de la municipalité est d’accélérer les réponses aux demandes des locataires. Nous devrons trouver ensemble un dispositif de communication et de résolution plus rapide des situations. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union121226b- Marne
TENNIS / Tournoi de Sedan Maudit redoux !

Plus que prometteur sur le papier, le tournoi d’hiver de Sedan a malheureusement tourné court, dimanche. Le redoux a rendu les courts sedanais glissants.

En accord avec sa présidente Françoise Chopineaux et après concertation avec les joueurs, le juge-arbitre Julien Négrier a décidé d’interrompre la compétition.

Dans un tableau féminin très relevé, Claire Makhloufi (-2/6, Cormontreuil) est parvenue à se défaire de la Francilienne India Maggen (-4/6, Enghien).

Deux bonnes surprises

Après trois manches serrées, la Givetoise signait une performance prometteuse et tellement logique au vu de son niveau de jeu actuel.

L’autre demi-finale a également réservé une belle surprise : Laëtitia Tordo, la sociétaire de Géo-André, a dominé la Néerlandaise Liv Geurts au terme d’une partie très disputée qui s’est conclue au troisième set.

Dommage pour le public qui aurait beaucoup apprécié de voir ce duel de générations dans une finale qui s’annonçait palpitante…

Le tableau masculin s’est arrêté au stade des quarts de finale, samedi.

Le Bragard Gabriel Andruejol (0) a dû s’employer d’entrée pour écarter le Cormontreuillois Olivier Soumet

Benjamin Pillet (0, Coupvray) a, quant à lui, écarté Julien Négrier, le prof de tennis sedanais en deux manches.

En raison du forfait de Christopher Heyman (-2/6, Pont-Sainte-Maxence), l’un des favoris belges, une seule demi-finale était inscrite au programme. Elle n’a cependant pas été jouée.

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Union121226a- Marne
Feu en sous-sol

Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus ce mercredi vers 10 h 45 au 8, place Dominique-Ingres dans le quartier Croix-Rouge, pour un dégagement important de fumée en provenace du sous-sol d’un immeuble collectif.

Munis de leurs appareils respiratoires isolants, ils ont localisé un feu qui a été maîtrisé au moyen d’une petite lance. Les sauveteurs doivent ventiler les communs de l’immeuble avant de regagner leur casernement. La police est sur les lieux.

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Union121224b- Marne
Le « VRP du cannabis » prospectait à la fac Croix-Rouge

Depuis le mois de mars, un jeune homme du quartier se rendait régulièrement au campus Croix-Rouge, non pour étudier
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REIMS (Marne). Décrit par le parquet de Reims comme un « VRP du cannabis », un trafiquant s’est fait prendre en flagrant délit de transaction. Il prospectait dans son quartier, mais aussi sur le campus Croix-Rouge.

Lundi dernier, vers 17 h 45, la brigade anticriminalité repère deux individus qui semblent parler « business » dans le quartier Croix-Rouge à Reims, place Georges-Braque. Cela se confirme quand l’un sort une liasse de billets qu’il tend à l’autre en échange de « deux objets noirâtres ». L’interpellation s’ensuit.

Bonne pioche car les « objets » récupérés sur le premier personnage sont deux morceaux de cannabis de 100 grammes payés 400 euros à la seconde personne, un Rémois de 30 ans lui-même consommateur et qui voulait se faire un peu d’argent sur la transaction : il avait acheté la drogue 380 euros à un jeune de Croix-Rouge.

Celui-ci ne tarde pas à être identifié : Tarik Bouddane, 20 ans, sans profession.

« Passe, y’a de la fraîche »

Le lendemain matin, vers 10 heures, les enquêteurs de la sûreté départementale de Reims sonnent à son domicile, allée des Provençaux. Aucune réponse, mais ils entendent du bruit à l’intérieur, puis le silence. La porte est forcée. Il n’y a plus personne, l’oiseau vient de s’envoler de son lit.

« J’ai eu un coup de panique », explique le fuyard. « J’ai sauté par la fenêtre de ma chambre. Je me suis ramassé et j’ai couru. J’ai attendu que les policiers repartent. Quand je suis revenu chez moi, ma mère était là. Elle pleurait. Elle m’a dit que la police allait revenir toutes les heures. Je me suis habillé et je me suis présenté au commissariat. »

Plusieurs téléphones portables sont saisis dans la chambre du garçon. A l’analyse, l’un d’eux se révèle particulièrement intéressant. Le répertoire comprend une vingtaine de contacts que Tarik Bouddane abreuvait de SMS explicites : « J’ai des news, si tu vois ce que je veux dire » ; « J’ai un bon truc pour toi » ; « J’ai des remontants » ; « Passe, y’a de la fraîche »…

Démarchage entre les cours

Onze de ces contacts ont pu être interrogés par la brigade des stupéfiants durant le temps de la garde à vue. Tous confirment que Tarik leur revendait du cannabis, dans des proportions variables selon les cas : « une vingtaine de fois à 40 € » pour l’un, « 20 à 40 € par semaine depuis le mois d’août » pour un autre.

Une partie de sa clientèle habite le quartier, mais le jeune homme prospectait également à la fac Croix-Rouge : plusieurs des numéros enregistrés dans le téléphone sont ceux d’étudiants démarchés sur le campus.

En bon commercial, il relançait régulièrement son portefeuille d’abonnés avec les textos, ce qui lui vaut d’être décrit par le parquet de Reims comme « un véritable VRP du cannabis », « soucieux de ne pas tomber dans l’oubli de ses clients ». « Il insistait auprès d’eux pour pouvoir continuer à ramasser son pécule. »

D’après ses déclarations, Tarik Bouddane dealait depuis le mois de mars, mais pour « dépanner ». « Il y a des gens que je rencontre qui me demandent de faire ça. Je m’arrange. Ça me permet aussi de me financer. Je suis un gros consommateur. »

Renvoyé à l’audience des comparutions immédiates, le « VRP » a pris quinze mois de prison, dont six ferme mais sans mandat de dépôt (la peine pourra être purgée sous un mode aménagé). Il est reparti libre du tribunal, sans rien révéler de ses propres fournisseurs. Ainsi du dealer qui lui a cédé les 100 grammes à l’origine du flagrant délit. « Je ne sais pas qui c’est. Il était encapuchonné. Et puis, je ne veux pas de problème. »

Dans ces milieux-là, on ne badine pas avec le secret des affaires.

Fabrice CURLIER

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Union121224a- Marne
Feux en série

Dimanche soir les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus dans le quartier Orgeval rue Charles-Roche pour des poubelles en feu. Le sinistre a été maîtrisé au moyen d’une petite lance.

Ce lundi à 1h 30, ils ont été requis dans le quartier de l’Europe, rue de la Méditerranée pour une voiture en flammes. Le feu a été rapidement éteint.

Vers 6 heures, ils se sont rendus allée des Champenois dans le quartier Croix-Rouge pour un feu de prospectus dans un garage. Le petit incendie avait été éteint avant leur arrivée.

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Union121223a- Marne
Défilé de voleurs au commissariat

D’autres voleurs ont été interpellés ces derniers jours par la police rémoise. Chargé de surveiller la maison d’un voisin parti en vacances, un habitant de la rue Georges-Bernanos a été intrigué d’entendre du bruit provenant du jardin.

Jetant un œil par-dessus la clôture, il a vu une jeune personne qui tentait de s’introduire dans la maison en donnant des coups de pied dans la baie vitrée. Mis en fuite, le cambrioleur - un mineur de 17 ans - a été rattrapé par les policiers. Il a fait l’objet d’un placement dans un foyer d’Epernay après sa présentation au juge des enfants. En pleine nuit, appelés pour des tagueurs en action rue Houzeau-Muiron, des policiers rémois ne les ont pas retrouvés mais sont tombés sur deux jeunes passants dont l’un portait des baskets saupoudrées d’une poudre d’extincteur…

Au même moment, un autre équipage signalait la découverte d’un cambriolage dans la cave d’un immeuble voisin. Les auteurs avaient pris une trousse de maquillage, quelques bijoux de pacotille, des anciens francs en argent… et s’étaient amusés à vider un extincteur.

Contrôlés, les deux suspects ont été trouvés porteurs du butin et d’une pince coupante avec laquelle ils avaient sectionné le cadenas de la cave. Ils ont fait l’objet d’une convocation pénale.

Une troisième affaire concerne deux camarades de 18 ans surpris à l’intérieur d’un appartement du boulevard Carteret. Ils n’étaient pas là pour cambrioler, ont-ils expliqué, mais « pour faire du rangement ». Sanctionnés par le biais d’une procédure de plaider-coupable, ils devront exécuter un travail d’intérêt général de 70 heures.

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Union121222f- Marne
Des accidents partout à Reims et dans ses environs

D’autres accidents ont été signalés hier à Reims et dans sa proche région. En fin de nuit, vers 5 heures, le pneu d’une camionnette a éclaté sur l’A4, dans le sens Metz - Paris à hauteur de Sillery. Le véhicule s’est immobilisé après avoir fait des tonneaux. Agé de 46 ans, le conducteur avait attaché sa ceinture de sécurité, si bien qu’il n’est que légèrement blessé.

Un poids lourd et une voiture se sont accrochés au rond-point d’Ikea à Thillois, vers 10 h 15, tandis que quinze minutes plus tard, une Rémoise qui poussait son scooter sur les rails du tramway, rue du Docteur-Schweitzer, n’a pas vu une rame arriver. Celle-ci l’a heurtée, sans gravité. Le trafic a dû être interrompu.

Juste avant midi, une fillette de 9 ans qui traversait l’avenue Bonaparte a été légèrement blessée par une voiture. A 17 h 30, un accident matériel impliquant un seul véhicule s’est produit dans la traversée urbaine de Reims, de Cormontreuil vers Tinqueux. À la même heure, une passante de 85 ans a été renversée avenue Nationale à La Neuvillette.

La série s’est poursuivie à 21 heures avec une sortie de route sur la RD966, au niveau de la déchèterie de Brimont. Une jeune femme de 22 ans est légèrement blessée.

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Union121222e- Marne
Calendriers : attention aux faux !

Des individus tentent de vendre en soirée des calendriers recensant les jours de collecte en 2013, les dates de rattrapage pour les jours fériés (1er mai, 25 décembre et 1er janvier) et des infos utiles pour la gestion des déchets en se présentant à tort comme commandités par Reims Métropole. Or, la diffusion de ces calendriers édités par le service collecte des déchets et animation de Reims Métropole est organisée entre 8 h 30 et 17 heures.

De plus, à ce jour, la diffusion est terminée sur plusieurs secteurs de l’agglomération : les villes de Cormontreuil, Tinqueux, Bezannes, Bétheny et Saint-Brice Courcelles et certains quartiers de Reims (Barbâtre/St-Remi, Clairmarais/Charles Arnould, Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny, Maison-Blanche/Ste-Anne/Wilson).

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Union121222d- Marne
Feu dans un local vide-ordures

Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus ce samedi vers 3 heures dans le quartier Croix-Rouge, place Dominique-Ingres pour un important dégagement de fumée en provenance des sous-sols d’un immeuble collectif d’habitation.

Munis de leurs appareils respiratoires isolants, les sauveteurs ont effectué une reconnaissance et ont découvert un incendie qui ravageait un local vide-ordures. Le sinistre a été maîtrisé au moyen d’une petite lance. Les communs de l’immeuble ont été ensuite ventilés.

La police était sur les lieux. Une enquête est ouverte pour tenter de déterminer l’origine de ce feu.

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Union121222c- Marne
TENNIS / Tournoi de Sedan Les espoirs de Makhloufi

Claire Makhloufi, la Givetoise licenciée à Cormontreuil, devra perfer pour l’emporter.
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Dernière épreuve ardennaise de l’année, le tournoi de Sedan a, cette année, connu une fréquentation en forte hausse avec 175 participants.

Lauréat en 2011, Gabriel Andruejol (0, Saint-Dizier) aura fort à faire pour conserver son titre. Tête de série n° 4, le Bragard entrera ce soir en quart de finale avec l’ambition de retrouver le Belge Christopher Heyman (-2/6, Pont-Sainte-Maxence) au tour suivant.

Julie Gervais forfait

Favori de la compétition, Mark de Jong (-15, Pays-Bas) est placé dans l’autre moitié du tableau. Vainqueur à Wimereux (Pas-de-Calais) il y a trois mois, le Néerlandais devrait affronter Benjamin Pillet (0, Coupvray) pour son entrée en lice, à moins qu’une surprise ait été préalablement créée par Manuel Soumet (4/6, Cormontreuil), Anthony Ladouce (15, Les Mazures-Renwez), Romain Dispot (15, La Macérienne) ou Julien Négrier (15, Sedan) dans la lignée des « perfs » successives réalisées par Eric Wolfer (non classé, La Macérienne), qui a franchi six tours en début d’épreuve.

En l’absence de Julie Gervais (-2/6, ASPTT Charleville-Mézières), obligée de déclarer forfait sur blessure, les espoirs régionaux reposeront sur Claire Makhloufi (-2/6, Cormontreuil) dans le tournoi féminin.

Mieux référencée que Camille Saint-Mard (15, ASPTT Charleville-Mézières) et Laëtitia Tordo (2/6, Géo-André Reims), la Givetoise sera contrainte à l’exploit pour inscrire son nom au palmarès. Mais, après tout, elle ne rend qu’un classement à India Maggen (-4/6, Enghien) et Liv Geurts (-4/6, Pays-Bas).

Cédric GOURE

AUJOURD’HUI. - 18 heures : quarts de finale dames. 19 h 30 : quarts de finale messieurs.
DEMAIN. - 9 heures : demi-finales dames. 10 h 30 : demi-finales messieurs. 13 h 30 : finale dames. 15 heures : finale messieurs.

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L’hebdo du vendredi- N° 286- 121222b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 286 - Semaine du 21 au 27 décembre 2012


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Conseil municipal - Budget 2013 : La bataille pour 2014 a commencé

Un conseil municipal qui a ressemblé parfois à un bilan de fin de mandat. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Avec le vote du budget 2013, le dernier conseil municipal de l’année, qui s’est déroulé lundi, s’annonçait mouvementé. Comme attendu, la majorité d’Adeline Hazan a mis en avant « une grande maîtrise budgétaire », tandis que l’opposition emmenée par Catherine Vautrin a évoqué « un budget en trompe l’oeil ».

Avant d’entrer dans les polémiques, voici quelques chiffres du budget prévisionnel 2013 de la ville de Reims. Tout d’abord, le budget de fonctionnement se monte à 252 M€, soit en très légère augmentation, de l’ordre de 0,7%, par rapport à 2012. Concernant les taux de fiscalité (taxe d’habitation et taxe sur le foncier bâti), ils n’augmentent pas pour la 5e année consécutive. La dette, qui représente encore 318 M€, diminue de 1,5%. Pour Adeline Hazan, « ce budget respecte les engagement pris auprès des Rémois malgré une conjoncture économique et financière très dégradée ». Et la maire de Reims de rappeler que sous l’ancienne mandature la dette et les taux d’imposition avaient augmenté respectivement de 60% et 15%. Concernant la masse salariale du personnel, elle progresse de 1,5%. 300 personnes ont ainsi été recrutées depuis l’arrivée d’Adeline Hazan au pouvoir, dont 124 sont en fait des transferts émanant de la REMS, de l’ESAD ou de la Caisse des Ecoles. Mais il y a bien sûr les créations pures comme les 20 postes dans le cadre du plan propreté et les 30 pour le service archéologie ou encore les 49 autres dans les écoles, « afin de déprécariser des postes existants ». « Nous assumons ses créations. C’est un service rendu au usagers dans l’éducation, a déclaré la maire de Reims, rappelant au passage, que ce sont 435 postes qui avaient été créés lors de la précédente mandature ». Adeline Hazan a donc largement usé de la comparaison entre son bilan et celui de son prédécesseur Jean-Louis Schneiter, un peu comme si son mandat touchait déjà à sa fin, alors que les prochaines élections municipales ne sont pourtant prévues qu’au printemps 2014.

Bref, après les présentations de la maire et de ses adjoints, ce fut au tour de l’opposition de prendre la parole, avec pour ouvrir le bal Catherine Vautrin. « Nous considérons que votre budget est en trompe l’oeil. Vous ne baissez pas les dépenses de fonctionnement. Vous dites ne pas avoir augmenté les taux mais vous avez augmenté les taxes ». Et la députée UMP de dénoncer plusieurs éléments : « Vous dites que le budget Relations Publiques baisse, mais vous prévoyez par exemple 50 000 € pour l’inauguration du Planétarium. Ce n’est pas de la Relation Publique ? Vous souhaitez encore investir 12 M€ pour Sciences Po. Est-ce bien raisonnable alors qu’on ne connait pas encore la nouvelle équipe dirigeante et sa stratégie pour les établissements de province ? » Ses lieutenants, Jean-Marc Roze et Xavier Albertini ont ensuite pris la suite, évoquant l’augmentation des taxes et celle des personnels, avec à l’appui des chiffres bien moins élogieux pour l’équipe d’Adeline Hazan. Toujours pour le groupe UMP, Benjamin Develey a, lui, souhaité parler d’emploi, « grand oublié du budget ». Et ce dernier de jouer à son tour au jeu des comparaisons, faisant le point sur les promesses de campagne de la maire PS et les réalisations cinq ans après. Évidemment, les 150 propositions du Nouveau Reims n’ont pas été réalisées. Jean-Marie Beaupuy (Divers Droite) a conclut les réactions de l’opposition en reprenant une phrase célèbre de Georges Marchais. « C’est un scandale ! », a-t-il déclaré. « Le plus grave, c’est que nous n’arrivons pas à avoir des chiffres identiques. C’est le flou. Il y a même des erreurs selon les pages. La vérité madame, c’est que vous avez fait une très mauvaise gestion. Vous avez augmenté les impôts. Vous parlez de stabilité fiscale alors que chaque mois les Rémois payent davantage… Alors qu’il y a deux personnes qui y travaillent, où en est-on par exemple de la Cité des services publics ? »

Passés ces exposés, Adeline Hazan n’a pas répondu aux accusations et interrogations de chacun, se contentant d’une déclaration générale. « Je sais bien que le rôle d’une opposition, c’est justement de s’opposer. Monsieur Roze nous traite de menteur. Vous parlez de trompe l’oeil. Vous dites qu’on manipule les chiffres. Ces propos sont très graves ! Quand j’étais à votre place, je contestais aussi, mais là, chaque année, vous nous accusez de mentir. Ça veut dire que vous êtes une opposition sectaire ! »

La maire est ensuite revenue, quand même, sur certains points précis des critiques de l’opposition. « Sur la Cite des services publics, des études sont en cours. Sur Sciences Po, la ministre dit que certains sites seront réduits, mais pas celui de Reims qui est le plus en pointe selon le ministère de l’éducation. Sur l’Université, vous dites qu’on n’en parle pas. C’est faux, il y a eu 1 M€ pour le campus en 2012 et il y aura la même chose en 2013. Sur le désendettement de la ville, vous ne pouvez pas nier les chiffres… » Largement attaqués également sur le volet « Economie » de ce budget, ce sont Serge Pugeault et Eric Quénard qui sont alors montés au front, rappelant d’une part que cette compétence revient à l’agglomération, et d’autre part « le rôle de facilitateur de la Ville de Reims ». Et les deux adjoints d’annoncer « que c’est 1,3 milliard d’euros qui va être investi par des promoteurs privés sur Reims d’ici trois ans sur des projets de construction créateurs d’emplois : 150 M€ pour le Port Colbert, 250 M€ sur la Sernam, 40 M€ pour Reims Village, 55 M€ pour la Caserne Colbert, etc… ».

Julien Debant

Quelques dépenses d’investissement

. 10 M€ pour les travaux dans les écoles.
. 11,4 M€ consacrés à la rénovation urbaine (Croix-Rouge, Orgeval et Wilson.
. 12 M€ sont prévus pour l’amélioration des équipements sportifs : extension du gymnase Barbusse, construction du gymnase Saint-Thierry, etc.
. 14,8 M€ investis dans les infrastructures culturelle : Lieux communs, nouveau musée, réhabilitation de la Pompelle, etc.
. 19 M€ dédiés au travaux de voirie.

Quelques nouveautés et inaugurations

. Création du conseil des résidents étrangers. __ . Création d’une brigade vie nocturne forte de 9 agents.
. Renforcement des manifestations culturelles estivales.
. Allongement de la durée de Au Bonheur des Rives
. Poursuite des festivals Chonoiques Nomades, Elektricity et FISE (sports extrêmes).
. Inauguration du nouveau planétarium (septembre 2013)
. Inauguration du monument de l’Armée Noire
. Anniversaire des 10 ans de la médiathèque Falala.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121222a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7477 du 17 au 23 décembre 2012.

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EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

AVIS D’ATTRIBUTION

1. POUVOIR ADJUDICATEUR : GROUPEMENT DE COMMANDE - SA D’HLM LE FOYER REMOIS ET SA COOPERATIVE I-MMOCOOP, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.
2. MODE DE PASSATION DU MARCHE : Appel d’offres ouvert.
3. OBJET DU MARCHE : Dératisation / Désinsectisation (2D) pour 6.791 logements et Désinfection de 461 colonnes vide-ordures (VO) desservant 6.451 logements.
4. DUREE DU MARCHE : 1 an renouvelable 3 fois a compter du 01/01/2013.
5. Attribution du lot 1 "Prestations de dératisation / Désinsectisation (2D)" - Date d’attribution : 08/11/2012 - Titulaire ISS Hygiene et Prevention, Actipole La Neuvillette, 51 rue Louis Pasteur - 51100 REIMS - Montant annuel : 25.126,70 € H.T.
6. Attribution du lot 2 "Prestations de désinfection des colonnes vide-ordures (VO)" - Date d’attribution : 08/11/2012 ¬Titulaire : ISS Hygiene et Prevention, Actipole La Neuvillette, 51 rue Louis Pasteur - 51100 REIMS - Montant annuel : 28.384,40 € H.T.
7. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS AU JOUE ET SUR LE PRESENT SUPPORT : Le 12/12/2012. 111398


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DISSOLUTION DE SOCIETE - CLOTURE DE LIQUIDATION

MEDICAL SUPPLIES

Société a responsabilité limitée en liquidation au capital de 10.000 €uros Siege social : 18 place Georges Braque 51100 REIMS (Marne) 440 587 632 R.C.S. Reims

L’assemblée générale par une décision en date du 10 octobre 2012, aprés avoir entendu le rapport de Monsieur Salem RIGANE, liquidateur, a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur et décharge de son mandat, et constaté la cloture des opérations de liquidation, avec effet au 31 décembre 2011. Les comptes de liquidation seront déposés au R.C.S. de REIMS.

109652 Pour avis : Le liquidateur.


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EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

INTERDICTION DE GERER

Par jugement en date du 02/10/2012, le tribunal de commerce de REIMS a prononcé l’interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler, directement ou indirectement, soit toute entreprise commerciale ou artisanale, toute exploitation agricole et toute personne morale, soit une ou plusieurs de celles-ci pour une durée de 5 ans à l’encontre de Monsieur TEKIN Halil, 60 rue de Roquebillière, chez Monsieur AKBAS Huseyin, 06400 CANNES, né le 01/01/1964 a GULSEHIR (Turquie), dirigeant de la soclété : SOFEX (SARL), 26 rue de Rilly-la-Montagne - 51100 REIMS. R.C.S. REIMS : 2007 B 139 - 494 625 395.

111285 Le Greffier : B. DELPY.

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Union121221c- Marne
Le lycée François 1er bosse pour l’Afrique

Comme dans une véritable usine, chaque lycéen occupait un poste bien prédéfini.
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Photos Stéphanie GRUSS
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VITRY-LE-FRANCOIS (Marne). ,Vingt-quatre élèves en chaudronnerie industrielle du lycée François 1er participent à la construction d’un local de transformation de céréales au Sénégal. Un projet qui les motive.

Au lycée François 1er, dans le bâtiment Cugnot, des élèves de la filière bac pro technicien en chaudronnerie industrielle découpent des morceaux de tôle, pendant que d’autres percent ou soudent. Encadrés par deux professeurs, ils construisent la charpente métallique d’un local technique de transformation de céréales à Pikine, près de Dakar au Sénégal.

« L’idée est d’édifier un bâtiment répondant à un besoin exprimé par une association de femmes sénégalaises pour le travail des céréales », explique Rudy Chimiak, chef de travaux au lycée François 1er. Une convention a été signée il y a deux ans entre l’établissement scolaire et l’association ATPDM (accompagnement technique pour un développement mutuel) implantée en Champagne-Ardenne.

Pour construire cette structure métallique, les 24 élèves ont pu compter sur l’entreprise Gibeaux qui a fourni les 12 poteaux nécessaires et établi des notes de calcul. Ainsi que sur la société Tidest qui a donné de l’acier. « Sans ces dons, le projet aurait été difficilement faisable », confie Rudy Chimiak.

Aujourd’hui, les lycéens présentent la charpente métallique du premier niveau qu’ils viennent tout juste de terminer et l’escalier métallique qu’ils ont modifié pour l’adapter à la structure après l’avoir démonté au lycée Arago de Reims.

« Ce que l’on fait, c’est utile »

Fierté et satisfaction se lisent sur les visages. « On soude des pièces qui servent à quelque chose », déclare Vincent, 17 ans, la mine ravie. « On bosse pour un projet humanitaire. Ce que l’on fait, c’est utile, poursuit Valentin, 17 ans. Et puis, il y a une bonne ambiance. C’est sympa ! » « On travaille tous ensemble », acquiesce Reda, 16 ans.

Toute la semaine, ces élèves se sont mis aux 35 heures comme dans une véritable usine, sous l’œil de leurs deux professeurs en structure métallique, Ludovic Marescaux et Xavier Dollet. « Ils se sont retrouvés en situation d’entreprise.

Chacun occupait un poste prédéfini, expliquent les enseignants. On a mis en avant le travail en équipe. » « Il s’agit là d’un projet extraordinaire, estime le proviseur Philippe Hanen. Ces lycéens travaillent dans un but humanitaire avec des entreprises. C’est motivant pour eux ! »

Le lycée François 1er n’a facturé à l’association ATPDM que le coût des matières, c’est-à-dire 1 050 euros. Il n’a pas comptabilisé la main-d’œuvre, ni l’énergie utilisée. Il ne reste désormais plus qu’à ces futurs techniciens de réaliser la charpente métallique du silo. Pendant ce temps, dans sept autres lycées de la région Champagne-Ardenne, des élèves planchent sur les panneaux photovoltaïques, les câblages électriques, le plancher… Chacun apportant son savoir-faire.

Le local technique de transformation de céréales devrait être achevé courant 2013. Il partira alors en morceaux et en bateau en direction du Sénégal.

Stéphanie GRUSS

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Union121221b- Marne
INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant - propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P. (http://djo.journaloffi ciel.gouv.fr/MarchesPublics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005. REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : réfection de la terrasse parking (G17), des réseaux d’eaux pluviales et de l’éclairage des parkings enterrés, place Maurice-Utrillo à Reims (51).
4) Lots :
- Lot n° 01 : étanchéité,
- Lot n° 02 : serrurerie,
- Lot n° 03 : électricité,
- Lot n° 04 : peinture.
5) Options :
- Pour le lot 01, étanchéité : option 1 : F et P de bancs neufs,
- Pour le lot 02, serrurerie : option 1 : but et protection terrain de foot,
- Pour le lot 03, électricité : option 1 : leds en remplacement des fl uos,
- Pour le lot 04, peinture : option 1 : peinture terrain de foot. Les options sont obligatoires. Pour chaque lot concerné, les candidats ont l’obligation de chiffrer sur l’acte d’engagement et la D.P.G.F. les options demandées sous peine de rejet de leur offre.
6) Critères de jugement des offres : Critères, pondération.
1- Prix des prestations : 60 %,
2- Valeur technique : 30 %,
3- Performance en matière de protection de l’environnement : 10 %.
7) Variantes : les variantes sont autorisées. Les candidats devront présenter une offre entièrement conforme au dossier de consultation.
8) Délai d’exécution : le délai d’exécution de l’ensemble des lots est de 5 mois, la période de préparation de 15 jours n’étant pas comprise dans ce dernier, comme les congés payés. Par contre, un délai de 15 jours d’intempéries est pris en compte dans le délai global.
9) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
10) Renseignements complémentaires :
- Les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27.
- Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du bureau d’études de REIMS HABITAT, Monsieur POULAIN, tél. 03.26.48.43.16. Fax : 03.26.48.43.40.
11) Date limite de réception des offres : le 17 janvier 2013 à 17 heures.
12) Date d’envoi à la publication : Le 18 décembre 2012.
51AO1969710

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Union121221a- Marne
Il menace de décapiter sa concubine

REIMS (Marne). Siégeant en comparution immédiate, le tribunal correctionnel a condamné à douze mois de prison ferme, plus trois mois de sursis révoqués, un Rémois de 27 ans qui s’est verbalement déchaîné à l’encontre de sa concubine. « Mange tes morts ! Je vais t’arracher la tête, et tu l’auras toute bleue ! Je vais te crever si je vais en prison à cause de toi ! J’enverrai quelqu’un pour te tuer ! », a hurlé Jessy Parizy lors d’un coup de sang chez la jeune femme, allée des Landais, lundi vers 3 heures du matin.

Avant d’être interpellé par la police, il a eu le temps de casser la fenêtre de la cuisine d’un jet de pierre. L’homme se trouvait en état d’ivresse manifeste. Il a été maintenu en détention pour purger ses quinze mois de prison.

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Union1212208a- Marne
Les poubelles brûlent

Un énième feu de poubelle s’est déclaré avenue Bonaparte, hier vers 13 heures, dans un local du n°9.

Peu après 15 heures, deux autres conteneurs ont pris feu rue Bazin. L’incendie commençait à se propager à un tas de bois. La veille mardi, vers 18 h 30, un sac de détritus s’est mystérieusement enflammé rue de Nanteuil, à proximité de la place Royale. Il a été éteint avant l’arrivée des pompiers. Scénario identique ce même jour, à 13 h 15, avec un feu de sèche-linge esplanade des Capucins.

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Union121218d- Marne
Pas de fête de Saint-Nicolas : les commerçants inquiets

Traditionnellement, chalets, fanfare, saint Nicolas, père Fouettard, élus et foule à la fête des commerçants !
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Marie-Noëlle Gabet : « On fera mieux l’année prochaine ! »
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REIMS (Marne). Cette année, il n’y a pas eu de fête de la Saint-Nicolas au centre commercial de l’Hippodrome. Cette fête a été remplacée par une fête de Noël municipale improvisée et ratée.

« L’association des commerçants, organisatrice de cet événement très apprécié dans le quartier, est extrêmement déçue d’avoir dû prendre une telle décision. Cette animation, totalement gratuite pour les nombreux visiteurs, en grande partie des enfants du quartier, depuis plusieurs années, remportait un franc succès. »

Desarroi et angoisse

Bernard Verquerre, président de l’association des commerçants de Croix-Rouge, a démissionné de son poste.

Il explique le désarroi des commerçants du quartier : « La Ville et les organismes logeurs présentent les nouveaux commerces qui vont « naître » en 2013 dans le quartier Croix-Rouge. Mais on ne parle pas de ceux qui vont disparaître à cause de cette concurrence supplémentaire. En effet, autour de la Fac, donc juste à côté de l’hippodrome, il va se créer une boulangerie, une brasserie et une restauration rapide : c’est exactement notre cœur de métier mais aussi celui du kebab de l’hippodrome. A-t-on pensé à nous, qui avons résisté pendant toute la durée des travaux ? »

Pour M. Verquerre, maintenant que tout est pratiquement terminé, on ouvre en grand les portes pour des nouveaux commerces qui n’auront pas à subir ce qu’ont enduré les « anciens » : « Nous allons perdre au moins la moitié de notre chiffre d’affaires, donc la moitié des emplois alors qu’il y avait probablement d’autres possibilités de commerces qui sont aujourd’hui absents du secteur ».

À Pays de France, une supérette va s’installer : « a-t-on pensé à l’épicier qui va subir de plein fouet cette concurrence, sans parler du supermarché de l’Hippodrome qui verra à notre avis son chiffre d’affaires se dégrader ? Que faire s’il s’en va : le remplacer ? par qui ? Peu de grandes enseignes souhaitent s’installer ici ! »

« Tout a été décidé sans nous »

Les commerçants actuels aimeraient comprendre pourquoi avoir créé autant de cellules commerciales qu’il va falloir remplir à tout prix au détriment des leurs.

Ils pensent que, « malheureusement, la politique commerciale de la ville dans notre quartier Croix-Rouge, va nous impacter durablement, nous qui avons résisté aux travaux de ces dernières années (tramway et Anru), car le nombre important de locaux disponibles va amener une concurrence très destructrice, sans compter avec les commerces qui ont déjà disparu à Croix-du-Sud et à Pays de France ».

De surcroît, « nous n’avons jamais été impliqués dans la politique de développement commercial de Croix-Rouge : pas de concertation, pas de réunion où nous aurions pu faire entendre notre voix, tout a été décidé sans nous, et c’est la raison essentielle de ma démission en juin dernier. Est-ce comme cela qu’on fait vivre commercialement un quartier ? Nous verrons bien dans quelques années lorsqu’un grand nombre de cellules seront vides ! »

Les élus sont désolés

Rencontrés au conseil de quartier du jeudi 13 décembre, deux élus ont fait part de leur déception. Pour Alain Bisteur, conseiller municipal, co-animateur du conseil de quartier, « le spectacle de cette fête « morte » m’a fait de la peine, c’était désolant ! »

Quant à Marie-Noëlle Gabet, adjointe au commerce et à l’artisanat, regrettant l’absence des commerçants, elle a évoqué « un défaut de communication entre la municipalité et l’espace Billard de la Maison de quartier, une structure voisine, qui organisait seule sa propre fête de Noël, avec son propre père Noël, alors que les deux fêtes auraient dû cohabiter et s’organiser en commun ! »

Sa conclusion : « On fera mieux l’année prochaine ! »

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Union121218c- Marne
Tournoi Ufolep : entre logique et convivialité

L’édition 2012 a rassemblé une centaine de participants.
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Rendez-vous incontournable du tennis tourné vers la convivialité puisqu’essentiellement réservé aux doubles, le tournoi de la Ville de Reims Ufolep Solidarité a rassemblé cette année une centaine de participants. Soit une légère baisse qui n’a altéré en rien les rudes batailles sur les courts de l’Inter Tennis à Reims.

Sur le plan des résultats, la logique a très souvent été respectée avec, notamment, le succès attendu des favoris, Quentin Lejeune (15, Géo-André) et Charles Gilles (2/6, TC Reims) dans le tableau principal du double hommes Open.

Simple messieurs non licenciés : 1. Slav Slavov ; 2. Lionel Fernandes.
Double garçons (16 ans) : Froger (15/5) - Dumont (15/4, Cormontreuil) battent Collot (15/3, Cormontreuil) - Zarev (15/4, Reims Europe Club) 6-4, 0-6, 6-2.
Double messieurs open : Lejeune (15, Géo-André) - Gilles (2/6, TC Reims) battent Michalik (15/4) - Henrion (15/5, Betheny) 6-2, 7-6.
Double messieurs + 35 ans : Liégeois (15/4, Villers-Marmery) - Quenot (15/4, URT) battent Michalik (15/4) - Henrion (15/5, Betheny) 6-7, 6-4, 6-2.
Double mixte open : David (NC, TC Reims) - Claire Leguy (30/2, Taissy) battent Florian Stalberger (30/5) - Margaux Child (30/5, Sillery) 6-4, 6-3.
Double dames open : 1. Nathalie Picavet (15/5) - Soizic Debaets (15/5, Cormontreuil) ; 2. Marie-Lyne Fournel (30) - Michèle Dinardo (15/4, Gazélec Reims).
URT) ; 2. Claire Leguy (30/2, Taissy) - Nathalie Picavet (15/5, Cormontreuil).

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Union121218b- Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Affaire : Marché mixte d’entretien et de travaux de 477 ascenseurs (+/- 5%) - Départements 51, 52 et 91 / MA-100612

ATTRIBUTAIRES

Lots Corps d’état Entreprises Montant € HT 01 Secteurs Reims Châtillons et Croix du Sud (130 appareils) KONE (51) 1 607 823,19
02 Secteur Reims Centre (130 appareils) A2A ALTERNATIVE ASCENSEURS (51) 1 802 562,14
03 Secteurs Reims avenue de Laon et Tinqueux (133 appareils) SCHINDLER (51) 1 423 034,40
04 Secteurs Châlons en Champagne, Saint Dizier, Sézanne et Vitry le François (58 appareils) SCHINDLER (51) 733 281,48
05 Secteur Région Parisienne (26 appareils) SCHINDLER (51) 92 578,20 Total 5 659 279,41

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05

Date d’envoi du présent avis à la publication : le vendredi 7 décembre 2012 aux JOUE et JAL L’UNION (Marne)

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Union121218a- Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.

Affaire : Marché d’entretien chauffage individuel, ECS, ventilation / MA-110612

Attributaires

Lots Corps d’état Entreprise Montant € HT 01 Secteur Reims Châtillons, Châlons en Champagne, Vitry le Francois et Saint Dizier SAVELYS (51) 531 094,47
02 Secteur Reims Centre et Croix du Sud LOGISTA (62) 601 500,00
03 Secteur Reims avenue de Laon MULOT (51) 523 657,36
04 Secteur Tinqueux, Epernay, Sézanne et Montmirail PROXISERVE / VEOLIA HABITAT (51) 588 927,26
05 Secteur Région Parisienne LOT ANNULE

Montant total du marché : 2 245 179,09 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05

Date d’envoi du présent avis à la publication : le mardi 11 décembre 2012 aux JOUE, le Moniteur et JAL L’UNION (Marne)

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Union121217a- Marne
Reims : camionnette et voitures en feu

REIMS (Marne). La nuit de samedi à dimanche a été chaude dans le quartier Croix-Rouge de Reims.

Vers 2 h 45, une camionnette stationnée allée des Nivernais a été la proie des flammes puis vers 3 heures, devant le 3, allée des Landais ce sont trois voitures qui y étaient garées qui ont brûlé. L’éclatement des pneus des véhicules a réveillé bien des habitants du secteur.

Les sapeurs-pompiers ont mis deux lances en manœuvre pour contenir l’incendie puis l’éteindre.

Une enquête est ouverte pour déterminer l’origine de ces sinistres.

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Union121215c- Marne
Croix-Rouge Fête de Noël : le fiasco

Manuela, Alicia et Sybille en partance avec une adulte, Christelle, pour un tour de quartier.
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- Voir toutes les photos.

 

 

La fête de Noël du quartier Croix-Rouge, proposée par la ville de Reims mercredi après-midi, sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, s’est soldée par un véritable échec. Là où, les années précédentes, l’association des commerçants offrait au public pour la Saint-Nicolas une vingtaine de stands associatifs ou artisanaux, avec tombola, sonorisation et fanfare, il n’y avait qu’un parking vide !

Heureusement, un père Noël axonais et son accompagnateur ardennais proposaient, seule attraction de la fête, un tour de quartier en calèche, avec distribution de chocolats et confiseries. Les deux juments étaient très entourées par les rares enfants présents, pas avares de caresses.

Espérons que la fête de Noël organisée par la maison de quartier et les associations ait plus de succès. Rendez-vous aujourd’hui à partir de 15 h 30 sur le centre commercial Pays de France.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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Union121215b- Marne
Jeunes, jolies et… très violentes

Ranger ses courses dans la voiture, une scène banale qui a mal tourné sur ce parking un jour d’avril.
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REIMS (Marne). Ecrouées depuis cet été dans un dossier de « séquestration avec actes de torture et de barbarie », deux Rémoises de 23 et 24 ans ont comparu par hasard à la même audience, chacune pour une affaire. Toujours pour des violences.

HÉLÈNE COLLARD est une belle brune ténébreuse, Allison Elhadef une jolie blondinette dont la queue-de-cheval lui donne des airs d’enfant sage. A les voir, difficile d’imaginer que ces deux Rémoises de 24 et 23 ans sont actuellement sous le coup d’une mise en examen criminelle : « Séquestration avec actes de torture et de barbarie en réunion ».

Quatre autres camarades de 12 à 15 ans sont impliquées dans cette affaire survenue en juin dernier au quartier Croix-Rouge. Le groupe est soupçonné d’avoir tendu un traquenard à une femme de 28 ans en raison d’une prétendue rivalité amoureuse. Attirée dans un appartement de l’allée des Tourangeaux, elle y a été séquestrée pendant deux heures, frappée, brûlée avec une cigarette, mordue par un molosse.

Gazée pendant ses courses

Six mois après, les deux majeures de la bande sont toujours en détention provisoire, et les voilà qui reviennent ensemble à la même audience du tribunal correctionnel de Reims, par le hasard des convocations de justice, pour répondre chacune d’une affaire.

Regard fier, remarques effrontées… Les débats ne tardent pas à révéler le caractère rugueux de ces deux gamines dont l’enfance, il est vrai, n’a pas dû être très rose. Décrite comme impulsive, Hélène Collard l’a encore été, le 15 janvier 2011, lorsqu’elle a rejoint plusieurs ados de Croix-Rouge qui s’introduisaient de force dans l’appartement d’un couple de personnes âgées pour leur réclamer de l’argent. « J’ai suivi, pour faire comme tout le monde. »

"Je vais te saigner ! "

La jeune femme est cependant restée à l’extérieur, sans prendre part à l’extorsion, mais elle a cassé la porte et brisé une vitre d’un jet de pierre. Elle est condamnée à 500 € d’amende avec sursis.

Sa camarade jugée, Allison Elhadef prend le relais pour répondre de violences exercées sur une cliente du magasin Aldi de Tinqueux, le 12 avril 2012. Lors du passage aux caisses, elle a déposé ses courses en empiétant sur celles de la dame qui lui en a fait la remarque. Allison l’a copieusement insultée avant de la gazer sur le parking.

« C’est elle qui a été directement agressive à mon égard », affirme la jeune fille. « Elle m’a insultée quand je suis sortie du magasin. Je suis allée la voir. Elle a levé sa main près de mon visage. Je me suis sentie menacée. J’ai sorti ma bombe pour me défendre. »

Un cri d’indignation jaillit de la salle d’audience. C’est la victime, oubliée sur son banc, qui n’en peut plus d’entendre cette version. Le tribunal lui demande de venir témoigner à la barre.

« Je pensais qu’après les insultes à la caisse, l’affaire en serait restée là, mais elle est venue vers moi alors que je rangeais mes courses dans la voiture. Elle m’a mis le poing sur la joue. Elle m’a menacée : « Je vais te saigner ! Je vais te matraquer la gueule comme celle de la semaine dernière * ! » Elle a sorti sa bombe lacrymogène et m’en a mis plein le visage. Je me suis retournée pour me protéger avec les mains. Elle est venue par dessous pour en remettre un coup. J’ai été traumatisée. Pendant trois mois, je n’ai pas pu faire les courses tellement j’avais peur de me retrouver face à elle. » Allison Elhadef repart en détention avec une peine d’un an de prison avec sursis. Le jour de l’agression à Aldi, une copine restée en retrait l’accompagnait. Il s’agissait d’Hélène.

Fabrice CURLIER

* Affaire inconnue de la police et du parquet.

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Union121215a- Marne
Le « shérif » du Pont-de-Witry terrorisait le Foyer rémois

Les abords de la nouvelle résidence « les Hauts de Jean-Jaurès » devraient gagner en tranquillité avec l’incarcération d’un marginal qui poursuivait de sa vindicte le personnel du Foyer rémois.
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REIMS (Marne). Depuis plusieurs mois, un marginal du Pont-de-Witry y terrorisait les agents du Foyer rémois. Le tribunal l’a envoyé en prison pour un an.

AU PONT-DE-WITRY, qu’il convient d’appeler Epinettes pour gommer sa mauvaise réputation, tout le monde le surnomme Kikim. Le Pont, c’est son quartier, son seul point d’ancrage dans la ville. Ses parents y sont arrivés au début des années 60, à la fin de la guerre d’Algérie. Il y a grandi. Tous ses amis sont là-bas, ses repères, ses malheurs aussi.

A 43 ans, Abdelkrim Djemadi, dit Kikim, traîne une existence fracassée par la drogue et l’alcool. Jamais il n’est parvenu à s’extraire de ce bourbier dans lequel tant d’autres camarades de sa génération ont plongé avec lui, tous prisonniers d’un quartier longtemps « ghettoisé ».

De gros travaux y ont été engagés ces dernières années pour le réhabiliter. Les barres vétustes ont été démolies, de nouveaux immeubles sortis de terre ou embellis, comme la résidence « les Hauts de Jean-Jaurès », allée des Grives.

Pitbull et Kalachnikov

Sans domicile fixe, Kikim s’y verrait bien. Il a fait une demande, écartée au profit d’une proposition sur Croix-Rouge, pour lui un autre monde qui lui est totalement étranger. Commentaire désabusé de son avocate, Me Catherine Pappe : « C’est l’une des rares personnes qui souhaite habiter au Pont-de-Witry, et on le refuse. »

Sur les 110 appartements de la résidence, 24 sont encore vacants et ce n’est pas la présence de Kikim, alcoolisé au quotidien, qui aiderait à les remplir…

S’estimant rejeté, Abdelkrim Djemadi nourrit un fort ressentiment envers le Foyer rémois. Le gardien de la résidence en fait les frais, le 4 juin 2012 : « Tu n’es pas à ta place sur ce quartier ! C’est moi qui vais te remplacer ! Si tu restes, tu prends un coup de lame ou une balle ! Je serai le nouveau shérif ! », etc.

Le lendemain, après avoir insulté par SMS une agent commerciale, il vient la menacer à l’agence Jean-Moulin : « Je vous attends avec ma Kalachnikov, mon pitbull, et vous ferez le circuit de Gueux en fauteuil roulant ! »

24e condamnation

Le 6 décembre, la dame se rend à la résidence avec des clients pour leur faire visiter un appartement. Kikim surgit : « Je vais te mettre un coup dans les jambes ! Tu tombes et je t’égorge ! Reims est petit ! je vais te retrouver ! » et autres amabilités.

Les précédentes plaintes sont réactivées. Mardi, les policiers repèrent Kikim rue René-Hanriot. Complètement saoul, il refuse de les suivre au prétexte de finir sa bière. L’interpellation dégénère. Rébellion, menaces de mort : « Je vais tous vous fumer ! Je vais prendre six mois et quand je sortirai, j’irai chercher des armes dans les pays de l’Est et je vais vous faire la peau ! J’ai pas peur de la mort ! Je vais mourir en martyr, comme Merah ! »

Jugé en comparution immédiate pour toutes ces affaires, Abdelkrim Djemadi ne sait plus trop ce qu’il a dit. L’avocate du bailleur, Me Isabelle Castello, dépeint le climat de terreur qu’il fait régner aux abords de la résidence. « Au sein du Foyer rémois, plus personne n’ose se rendre sur le site pour procéder aux visites. Ils ne veulent pas se mettre en danger. »

Déjà condamné à vingt-trois reprises, Kikim prend deux ans de prison dont un an ferme avec placement en détention. Il devra verser - si un jour il le peut - 950 € au gardien, 1 350 € à l’agent commerciale qui s’interroge sur l’opportunité d’une mutation, tellement elle appréhende de retourner au Pont. Pour le gardien, c’est déjà fait. Suite aux menaces, le Foyer rémois l’a muté d’urgence dans un autre quartier.

Fabrice CURLIER

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L’hebdo du vendredi- N° 285- 121214d
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 285 - Semaine du 14 au 20 décembre 2012

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Solidarité : Marathon des signatures d’Amnesty International

Du 7 au 16 décembre, autour de la journée internationale des droits de l’homme le 10 décembre, Amnesty International invite le public à agir pendant le Marathon des signatures en faveur de 12 cas de personnes dont les droits sont bafoués. Cette manifestation qui se déroule dans 80 pays est soutenue en France par de nombreuses personnalités comme Abd Al Malik, Guy Bedos, Robert Badinter ou Marc Levy. A Reims, les membres d’Amnesty International recueilleront les signatures le samedi 15 décembre, de 14h à 17h30 à la Médiathèque Jean Falala et de 14h à 17h à la Médiathèque Croix Rouge. Le public peut aussi signer les pétitions en ligne sur le site dédié : www.marathondessignatures.org


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C’est déjà Noël pour la Corolle de l’Université

La réhabilitation de la Corolle de l’Université de Reims Champagne-Ardenne, située sur le campus Croix-Rouge, également appelé « Coquilles » est en bonne voie sur le plan financier. Alors que l’Université s’est déjà engagée à hauteur de 3,5 millions d’euros, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche apportera, suite à un entretien mardi 11 décembre entre Adeline Hazan et la ministre Geneviève Fioraso, 1 million d’euros supplémentaire dès cette année. De plus, le ministère s’est engagé à poursuivre son aide financière sur les budgets 2013 et 2014. Le complément pour arriver au 8,5 millions d’euros nécessaires à la réhabilitation totale de l’emblème de l’Université de Reims sera recherché sur l’actuel Contrat de Plan Etat/Région


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Il est lycéen à Reims : Sans-papiers, niveau bac

(© l’Hebdo du Vendredi)
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Le rassemblement de soutien, jeudi 13 décembre, devant le lycée. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Jeudi 13 décembre, des profs et des élèves du lycée Georges-Brière à Reims Val de Murigny se sont rassemblés devant leur établissement pour manifester leur soutien à un élève de terminale, qui fait l’objet d’une procédure de reconduite à la frontière.

Quelques jours après son dix-huitième anniversaire, le 3 septembre dernier, il a reçu une obligation de quitter le territoire français, délivrée par la préfecture de la Marne. Le 6 décembre dernier, le Tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a tenu audience à son sujet, suite au recours déposé par son conseil, afin de lui éviter un retour au Congo. Le Tribunal devrait se prononcer avant la fin de l’année. L’avocate a fait état du parcours scolaire de son client, promis à l’obtention du baccalauréat, série STI2D, en juillet prochain. Encore faut-il qu’il soit là pour le passer.

L’histoire, maintenant. Il vient de Brazzaville, capitale, jumelée à Reims, de l’officiellement dénommée République démocratique du Congo. Ses parents y sont morts « de la guerre civile »le 5 juin 1997. Il avait à peine trois ans. Après quoi il a continué de grandir dans une famille d’accueil. Et à l’adolescence, il est parti. « Je suis arrivé à 15 ans et demi en France, en 2010, par bateau, au port du Havre. De là, avec des amis de voyage, nous nous sommes rendus à Paris. Mais là, mes amis, qui avaient des points de chute, m’ont abandonné. Moi, je ne connaissais personne. J’ai erré quelques jours, et puis j’ai rencontré deux messieurs, deux noirs. Quand ils m’ont vu, ils ont compris que j’avais des problèmes. J’ai expliqué. Ils m’ont aidé, ils m’ont emmené à Reims. Après une nuit chez l’un d’eux, ils m’ont accompagné dans un centre d’accueil dans le quartier Croix Rouge. Par la suite, j’ai été hébergé dans un autre foyer à Epernay. »

Il est par la suite scolarisé, à Murigny. « J’ai fait des tests pour qu’on détermine mon niveau. J’étais en première S au Congo, et j’ai pu reprendre au même niveau ici. Si je n’avais pas suivi, on m’aurait fait reculer en seconde, mais ça allait. Enfin, pas tout à fait assez, c’était un peu dur moi, et j’ai redoublé ma première, mais j’ai préféré changer de filière. » Le conseil de classe de juin dernier lui a attribué ses félicitations. « Et j’ai fait ma rentrée dernière en terminale. Là, j’ai environ 13 de moyenne générale. »

Ses professeurs et ses camarades de classe décrivent un « élève assidu, bosseur, bien intégré ». « Après le bac, je chercherai à faire un BTS, ou quelque chose comme ça, pour intégrer l’école de la SNCF », dit-il. Il dit s’être attendu à la belle mobilisation faite autour de lui, mais son regard dit autre chose. Des mercis, une surprise, quand même. Et l’envie d’être plus tard.

Dans l’attente d’autres documents « acceptables »

Légalement, en France, un mineur ne peut faire l’objet d’une procédure d’expulsion. Sauf quand il a ses parents, qui, eux, le sont, et repartent, quand ils n’ont pas le choix, avec leurs enfants. Lui, il est orphelin. Un orphelin ressortissant de l’étranger, qui plus est d’un pays dangereux comme la RDC, demande, à l’obtention de la majorité, un titre de séjour pour « vie privée et familiale » qu’il obtient habituellement. Naturellement. Presque « automatiquement ». Il en a fait la demande. À la place, donc, une OQTF. Qui a remué, choqué, au sein de l’établissement scolaire. L’Etat a fait son enquête au Congo. Dans une attestation, l’ambassade de France à Brazzaville conteste qu’il soit orphelin, affirme que ses deux parents, et même ses deux frères, sont tous vivants, et à Brazzaville. Alors, aidé par le tissu associatif, quelques élus locaux, et son avocate, il a retrouvé au Congo un oncle qui n’a jamais voulu l’aider. Mais l’idée d’avoir, peut-être, à l’accueillir chez lui en cas d’expulsion de France, lui a donné les ailes pour se procurer l’attestation de décès de ses parents, et un certificat de naissance pour lui. Des documents qui ne revêtiraient pas, pour la France, des attentes habituelles. Vu d’ici. « On s’attend toujours ici à avoir des actes qui ressemblent à ce qui se fait ici », dit-on dans son entourage. Que dirait la France si le Congo contestait le « style » d’un document officiel émis depuis l’hexagone ? D’autres documents, qui pourraient convenir à la France, sont attendus. En attendant, l’Etat aurait promis - oralement - de lui laisser passer le bac, en lui obtenant un titre de séjour « étudiant » le temps nécessaire. Jusqu’au bac, donc. Et après ? Ne ferait-il pas un bon candidat à l’immigration choisie ?

Tony Verbicaro

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Union121214c- Marne
Commerce et entreprises : encore six créations à Croix-Rouge

Le « Groupe médical Pays-de-France » est désormais opérationnel.
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Vente

Changement de propriétaire pour le salon de coiffure Actuel Coiffure, au 10, avenue du Président-Kennedy (Centre commercial de l’Hippodrome), qui est désormais propriété de la SARL O.Zone, à la même adresse.

Constitutions

Le « Groupe médical Pays-de-France » (photo) vient de voir officiellement le jour, une société civile de moyens implantée au 14, avenue du Général-Bonaparte à Pays-de-France. C’est Laurent Kack-Kack qui en est gérant.

« Studio Swing » est une SARL constituée au 6, allée du Vignoble et gérée par Pierre Jérémita. Son objet est l’enseignement et les activités liés à la danse de couple.

La SARL Man Transport vient d’être créée au 21, allée des Savoyards à Pays-de-France. Gérée par Mounir Nehar, cette entreprise se charge des transports de marchandises de moins de 3,5 tonnes.

La SARL STO Etanche est créée au 16, avenue du Général-Eisenhower, dans le secteur Université. Gérée par Turkes Ozturk, ses spécialités sont le bâtiment en général et les travaux d’étanchéité et d’isolation.

La SARL « Marne Constructions » a été créée au 10, rue Lucien-Doyen. Gérée par Ukap Karakus, cette société se consacre à tous les travaux du bâtiment, neuf et rénovation.

Le bar restaurant « Le Carreau » vient de s’installer, sous forme de SAS, au 8, allée du Vignoble. Il est présidé par Edouard Duntze.

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Union121214b- Marne
La maire obtient 1 million pour les coquilles

Remi WAFFLART
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Un million pour réhabiliter les fameuses « coquilles » du campus Croix-Rouge rémois : voilà ce que la maire de Reims Adeline Hazan vient d’obtenir de la part de la ministre de l’Enseignement supérieur Geneviève Fioraso.

Mme Hazan était montée à Paris ce mardi pour plaider la cause de ce gros dossier de travaux.

Selon la ville de Reims et l’Urca, cette intervention directe a permis le déblocage immédiat de la somme au titre des crédits de sécurité 2012.

Il faudra encore trouver 7,5 millions pour arriver au coût total estimé ; le ministère s’est engagé à poursuivre son aide financière sur les budgets 2013 et 2014, le complément sera recherché sur l’actuel contrat de plan Etat-région.

 

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Union121214a- Marne
Feu de voiture

Dans la nuit de mercredi à jeudi vers 23h30, une Audi a brûlé allée des Tourangeaux. L’incendie parait suspect.

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121213d- VRI décmbre 2012

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°295 de décembre 2012

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“ENTRETIENS DE L’EXCELLENCE” : La méritocratie érigée en modèle

Alexandre Gabarron
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Samedi 17 novembre, 14 h, Reims Management School.

Près de 500 collégiens et lycéens des quartiers populaires de Champagne-Ardenne sont venus participer aux “Entretiens de l’Excellence” 2012 version rémoise. Un véritable succès ! En partenariat avec le Rectorat, RMS et Sciences-Po, la Ville de Reims organise cet évènement afin de promouvoir l’égalité des chances.

« L’objectif est de permettre à ces élèves de rencontrer des personnalités de toutes origines sociales et ethniques, ayant brillamment réussi leur parcours professionnel. Car si les jeunes méritants sont nombreux, leurs ambitions ne trouvent pas toujours de concrétisation, faute de modèles de réussites et d’orientation adéquate. Le message délivré par ces professionnels de haut niveau est clair : malgré les obstacles, il est possible d’accéder aux filières les plus prestigieuses à force de travail et de persévérance », explique Virginie Coez, adjointe à la Maire en charge de la lutte contre les discriminations.

De nombreux ateliers thématiques(Métiers du Droit, Finance, Commerce, Haute Fonction Publique…) étaient organisés pour renseigner sur les métiers. Alexandre Gabarron, en terminale S au lycée Arago, s’est pour sa part inscrit à l’atelier Santé : « J’envisage de devenir vétérinaire. Je souhaite notamment obtenir des informations sur le cursus à suivre pour y parvenir. C’est vraiment motivant ce partage d’expérience ! ». Des échanges constructifs qui auront à coup sûr, cette année encore, suscité des vocations

S. C.


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Hommage aux femmes victimes de violence

Dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le26 novembre dernier, le CIDFF de la Marne (Centre d’information sur les droits des femmes et des familles), l’AFAM et le GAMS ont organisé une marche dans le quartier Croix-Rouge suivie d’un lâché de ballons blancs en hommage aux femmes victimes de violences. Cet évènement, en présence d’Adeline Hazan, maire de Reims, et de Christiane Kutten, son adjointe à l’égalité Femmes-Hommes, a permis aussi de souligner le formidable travail des associations au quotidien.

Rappelons qu’en France, une femme meurt en moyenne tous les 3 jours sous les coups de (ex)compagnon et que 75000 femmes sont victimes de viol chaque année.

Le CIDFF, 2 place quatre fils Aymon 0326650500, Châlons-en-Champagne.


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Noël à l’espace Watteau

Le samedi 15 décembre, 15 h, à l’espace Watteau et avenue Bonaparte, distribution de crêpes et de lampions, spectacle de jongle et arts du cirque, arrivée du Père Noël et distribution de friandises. Balade


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Expo BD

 

A contre-pied de la féerie habituelle des fêtes de fin d’année, la bibliothèque municipale de Reims propose du 20 novembre au 19 janvier sa nouvelle exposition de BD : “Blanquet. Mâchoires noires” ou une plongée dans l’univers cauchemardesque du dessinateur Stéphane Blanquet. Au programme : toiles et volumes, ombres et lumières, monstres et chimères… Stéphane Blanquet, dessinateur, plasticien, metteur en scène et réalisateur, a derrière lui un long parcours dans l’univers de l’édition et de l’illustration. Très vite considéré comme l’un des fers de lance de la nouvelle bande dessinée, il a publié entre autres La vénéneuse aux deux éperons, Mon placard, Bouquet bonheur, La nouvelle aux pis, La chair nue s’articule (recueil de peintures sur corps) ou encore Chocottes au sous-sol. Ses illustrations ont trouvé place dans plusieurs grands médias (Libération, Télérama…).

> “Blanquet. Mâchoires noires” à découvrir dans 4 lieux : médiathèque Jean Falala (2 rue des Fuseliers), médiathèque Croix-Rouge (19 rue Jean-Louis Debar), Pomme Z (92 rue du Barbâtre) et Block 450 (rue Honoré Ganteaume à Bétheny).

 

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121213c
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7476 du 10 au 16 décembre 2012.

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EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 04/12/2012, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : GROUPE TEMA (SARL), 38 rue de Rilly la Montagne - 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 509 715 124). Activité : Tous travaux de maçonnerie générale.

Mandataire liquidateur : SCP DARGENTTIRMANT RAULET (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-designé dans les deux mois suivant la parution au BODACC.

111169 Le Greffier : B. DELPY.

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Union121213b- Marne
Cross-country (UNSS) / Sourires ardennais

Le complexe Henri-Terré de Troyes a souri aux Ardennais qui ont trustré les lauriers lors des huit courses du jour, que ce soit en individuels (onze podiums dont quatre titres) ou par équipes (7 podiums dont 3 titres). Qualificative pour les France (en janvier à Caen), cette journée a vu la participation de 1 000 collégiens ou lycéens. En prélude aux épreuves de cross, se déroulaient les « Acad » de bike and run.

BENJAMINES

1. Charlier (Col Jules Leroux, Villers-Semeuse) ; 2. Richard (Col Multisite Signy-Liart, Signy-le-Petit) ; 3. Lapeyre (Chaumont) ; 4. Lebrun (Troyes) ; 5. Colombo (Nogent-sur-Seine) ; 6. Henry (Col Val de Meuse, Nouvion-sur-Meuse) ; 7. Klet (Col Victor Dubuy, Châlons) ; 8. Rollin (La Chapelle Saint-Luc) ; 9. Allatchimi (Col François Legros, Reims) ; 10. Coquillard (Col Louis Grignon, Fagnières) ; 11. Bourrez (Col Turenne, Sedan) ; 12. Lucot (Col Louis Pasteur, Suippes) ; 13. Bourrez (Col Turenne, Sedan) ; 14. Masson (Aix-en-Othe) ; 15. Collinet (Bourmont) ; 16. Bonnard (Col Louis Pasteur, Suippes) ; 17. Gallet (Chaumont) ; 18. Borkowski (Col Victor Duruy, Châlons) ; 19. Muller (Col Val de Meuse, Nouvion) ; 20. Poupon (Troyes).

Par équipes : 1. Col Louis Pasteur Suippes 135 points ; 2. Col Marie Curie, Troyes 145 ; 3. Col Victor Duruy Châlons 154 ; 4. Col Louis Grignon, Fagnières 187 ; 5. Col Louis Michel Chaumont 240.

BENJAMINS

1. Bigault (Multisite, Signy-Liart, Signy-le-Petit) ; 2. Parigaux (Lusigny-sur-Barse) ; 3. Berthelin (Troyes) ; 4. Schwarz (Col Perrot d’Ablancourt, Châlons) ; 5. Bollor (Col Robert de Sorbon, Rethel) ; 6. Camus (Sol Saint-Joseph, Reims) ; 7. Savary (Col Charles Bruneau, Vireux-Wallerand) ; 8. Brugniart (Col Cote Legris, Epernay) ; 9. Delbove (Troyes) ; 10. Colin (Nogent en Bassigny) ; 11. Sebbouh (La Chapelle Saint-Luc) ; 12. Brie (Col Nicolas Ledoux, Dormans) ; 13. Chahid (Troyes) ; 14. Lecat (Col Robert de Sorbon, Rethel) ; 15. Gaillot (Col Louis Pasteur, Suippes) ; 16. Nait Kadi (Col Turenne, Sedan) ; 17. Chemet (Col Victor Duruy, Châlons) ; 18. Gournail (Col Louis Pasteur, Suippes) ; 19. Vasseur (Nogent en Bassigny) ; 20. Gabriel (La Chapelle Saint-Luc).

Par équipes : 1. Col Robert de Sorbon, Rethel 112 points ; 2. Col Louis Pasteur, Suippes 159 ; 3. Col Val de Meuse, Nouvion-sur-Meuse 202 ; 4. Col Marie Curie, Troyes 228 ; 5. Col Marie Hélène Cardot, Douzy 258.

MINIMES FILLES

1. Lejeune (Lyc François Arago, Reims) ; 2. Morel (Prauthoy) ; 3. Rollin (Col Val de Meuse, Nouvion) ; 4. M. Nivet (Col Les deux Vallées, Monthermé) ; 5. L. Nivet (Col Les deux Vallées, Monthermé) ; 6. Dusaillant (Nogent-sur-Seine) ; 7. Lamothe (Col Colbert, Reims) ; 8. Wasner-Launois (Col Perrot d’Ablancourt, Châlons) ; 9. Chaffaut (Romilly-sur-Seine) ; 10. Suchon (Col Victor Duruy, Châlons) ; 11. L. Chaffaut (Col Les Indes, Vitry) ; 12. Nouache (Langres) ; 13. Lemaitre (Col Mabillon, Sedan) ; 14. Perrotin (Col Attigny-Machault, Attigny) ; 15. Kleisch (Col Mabillon, Sedan) ; 16. Sergy (Col Perrot d’Ablancourt, Châlons) ; 17. Sol (Col Jean Moulin, Saint-Memmie) ; 18. Declaron (Nogent-en-Bassigny) ; 19. Matuchet (Chaumont) ; 20. Bruley (Chaumont).

Par équipes : 1. Col Perrot d’Ablancourt, Châlons 114 points ; 2. Col Victor Duruy, Châlons 180 ; 3. Col JB Drouet, Sainte-Ménehould 193 ; 4. Col Jean Moulin, Saint-Memmie 208 ; 5. Col Les deux Vallées, Monthermé 237.

MINIMES GARÇONS

1. Goustiaux (Chaumont) ; 2. Prince (Col Turenne, Sedan) ; 3. Bouvier (Col La Source, Rilly-la-Montagne) ; 4. Bertier (Col Nicolas Appert, Châlons) ; 5. Vassogne (Col Pierre de Coubertin, Cormontreuil) ; 6. Maaroufi (L.P. d’Argonne, Sainte-Menehould) ; 7. Odin (Langres) ; 8. Mimpia (La Chapelle Saint-Luc) ; 9. Petifourt (Chaumont) ; 10. Sac (Col Marie Hélène Cardot, Douzy) ; 11. Steri-Clément (Chaumont) ; 12. Garnerin (Col Max Hutin, Brouilly) ; 13. Boutin (Col Jean Moulin, Marigny-le-Chatel) ; 14. Diniz (Col François Legros, Reims) ; 15. Aimont (Col JB Drouet, Sainte-Menehould) ; 16. Benard ( Troyes) ; 17. Lapeyre (Chaumont) ; 18. Mariotte (Sainte-Savine) ; 19. Riclot (Col Mabillon, Sedan) ; 20. Robin (Pont Sainte-Marie).

Par équipes : 1. Col François Legros, Reims 123 points ; 2. Col JB Drouet, Sainte-Menehould 124 ; 3. Col Marie Curie, Troyes 156 ; 4. Col Turenne, Sedan 158 ; 5. Col Albert Camus, La Chapelle Saint-Luc 172.

CADETTES

1. Baudoin (Lyc Bazin, Charleville-Mézières) ; 2. Fourt (Chaumont) ; 3. Picard (Lyc François Arago, Reims) ; 4. Binet (Lyc Chanzy, Charleville) ; 5. Rethem (Lyc François Arago, Reims) ; 6. Ienny (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; Heubi (Lyc François Arago, Reims) ; 8. Denis (Lyc François Arago, Reims) ; 9. Krug (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 10. Lauxerrois (Romilly) ; 11. Leveque (La Chapelle Saint-Luc) ; 12. Fourny (Lyc Pierre Bayen, Châlons) ; 13. Berteloodt (Lyc François Arago, Reims) ; 14. Berteloodt (Lyc François Arago, Reims) ; 15. Martin (La Chapelle Saint-Luc) ; 16. Dahabi (Chaumont) ; 17. Leonard (Lyc Chanzy, Charleville) ; 18. Crowet (Lyc Chanzy, Charleville) ; 19. Tallaa (Langres) ; 20. Petitot (Langres).

Par équipes : 1. Lyc François Arago, Reims 36 points ; 2. Lyc Chanzy, Charleville-Mézières 103 ; 3. Lyc Diderot, Langres 111 ; 4. Lyc Edouard Herriot, La Chapelle Saint-Luc 133 ; 5. Lyc Joliot Curie, Romilly-sur-Seine 163.

CADETS

1. Davoust (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 2. Djenane (Lyc Chanzy, Charleville) ; 3. Raclot (Troyes) ; 4. Motambo (Lyc Bazin, Charleville) ; 5. Duvaux (Lyc François Arago, Reims) ; 6. Mesnier (La Chapelle Saint-Luc) ; 7. Cervantes (Lyc Chanzy, Charleville) ; 8. Cotelle (Lyc Jean XXIII, Reims) ; 9. Blacas (Lyc François Arago, Reims) ; 10. Lafleur (Lyc François Arago, Reims) ; 11. Henry (Chaumont) ; 12. Matelet (Lyc François Arago, Reims) ; 13. Blaise (Troyes) ; 14. Aubry (Chaumont) ; 15. Capveller (Lyc Chanzy, Charleville) ; 16. Mengual (Lyc François Arago, Reims) ; 17. Philippon (Lyc Chanzy, Charleville) ; 18. Ouplomb (Troyes) ; 19. Bernard (Lyc François Arago, Reims) ; 20. Beck ( Troyes).

Par équipes : 1. Lyc François Arago, Reims 52 points ; 2. Lyc Chanzy, Charleville-Mézières 72 ; 3. Lyc Chrestien de Troyes, Troyes 120 ; 4. Lyc Jean Jaurès, Reims 133 ; 5. Lyc Charles de Gaulle, Chaumont 146.

JUNIORS FILLES

1. Amory (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 2. Duchaine (Saint-Dizier) ; 3. Lemaitre (Lyc Chanzy, Charleville) ; 4. Bouvier (Langres) ; 5. Perriau (La Chapelle Saint-Luc) ; 6. Alafort (Lyc Marc Chagall, Reims) ; 7. Brunois (Lyc Chanzy, Charleville) ; 8. Labillois (Lyc Chanzy, Charleville) ; 9. Thellier (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 10. Charles (Lyc Chanzy, Charleville) ; 11. Adnot (Langres) ; 12. Charlier (Lyc Sévigné, Charleville) ; 13. Meyer (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 14. Bejot (Lyc Chanzy, Charleville) ; 15. Vin (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 16. Coulaud (Lyc Sévigné, Charleville) ; 17. Dauteuille (St P Saint Pouange) ; 18. Saffon (Langres) ; 19. Robert (Lyc Jean Jaurès, Reims) ; 20. Glock (Lyc de la Nature et du Vivant, Somme/Vesle).

Par équipes : 1. Lyc Chanzy, Charleville-Mézières 28 points ; 2. Lyc Jean Jaurès, Reims 38 ; 3. Lyc Diderot, Langres 60 ; 4. Lyc Sévigné, Charleville-Mézières 71 ; 5. LAEPL de l’Aube Crogny - Saint Pouange.

JUNIORS

1. Lamarle (LP Jean-Baptiste Clément, Sedan) ; 2. Martinot (LA Agricole, Rethel) ; 3. Picard (LA Agricole Rethel) ; 4. Gajecki (LP Jean Baptiste Clément, Sedan) ; 5. Tombois (LP Jean Baptiste Clément, Sedan) ; 6. Chevalier (Langres) ; 7. Brebant (LA Avize VITI Campus, Avize) ; 8. Munos (Saint Pouange ; 9. Letinois (Lyc de la Nature et du Vivant, Some/Vesle) ; 10. Grulet (Lyc Chanzy, Charleville) ; 11. Prevoteaux (LA Agricole Rethel) ; 12. Evrard (Lyc de la Nature et du Vivant, Somme/Vesle) ; 13. Tillier (Lyc de la Nature et du Vivant, Somme/Vesle) ; 14. Nemesin (Lyc de la Nature et du Vivant, Somme/Vesle) ; 15. Mirand (Romilly-sur-Seine) ; 16. Galichet (LA Avize Viti Campus, Avize) ; 17. Deblocq (LP Jean Baptiste Clément, Sedan) ; 18. Dufour (Langres) ; 19. Lebrun (Chaumont) ; 20. Flament (Lyc Jean Jaurès, Reims).

Par équipes : 1. LP Jean Baptiste Clément, Sedan 51 points ; 2. LA Agricole Rethel 67 ; 3. Lyc de la Nature et du Vivant, Somme/Vesle 71 ; 4. Lyc Diderot, Langres 121 ; 5. LA Avize Viti Campus, Avize 160.

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Union121213a- Marne
Feu de poubelle

Hier midi, un feu de poubelle s’est déclaré dans le local à vide-ordures de l’immeuble situé au n°8 de la place Dominique-Ingres. La fumée est montée jusqu’au quatrième étage.

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Union121212a- Marne
Une pétition contre l’insécurité au 3, allée Edgar-Degas

Ce n’est pas la joie dans l’immeuble du 3, allée Edgar-Degas.
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« J’HABITE ici depuis trois semaines. Tous les jours, c’est le bordel. J’ai déjà demandé à déménager. » Le ton est donné dans l’immeuble situé au n°3 de l’allée Edgar-Degas. Du rez-de-chaussée au 10e étage, les locataires n’en peuvent plus de subir une succession d’incidents qui pourrissent leur quotidien.

« La porte d’entrée a été dégradée, les boîtes aux lettres sont facturées, des personnes étrangères à l’immeuble squattent le hall, ça crache partout, ça urine dans les ascenseurs. »

La vie même des habitants est mise en danger par des incendies. Si l’inflammation d’une sonnette mardi en début de soirée relève de l’anecdote, les feux de poubelles allumés fin novembre et mercredi dernier, toujours de nuit, ont apporté leur lot d’angoisse. « On ne sait jamais comment ça peut tourner. » D’autant que mercredi soir, en raison des travaux de réhabilitation urbaine, les pompiers ont rencontré des difficultés d’accès à l’immeuble. « Ils étaient gênés par des palissades. Ils ont dû les déglinguer pour passer. »

Les agressions, menaces ou intimidations complètent le tableau. « Un jour que je sortais les conteneurs près du Shopi, j’ai été pris à partie par des types qui m’ont dit : ’’Qu’est-ce que tu viens foutre ici ?’’ Tout ça parce qu’ils trafiquent à cet endroit. Même les femmes de ménage se font embêter. »

Lassés de subir, une trentaine de locataires viennent de signer une pétition envoyée à l’Effort rémois et à la maire de Reims pour exprimer leur demande de sécurité.

Leur immeuble n’est malheureusement pas le seul où le bon vivre reste un vœu pieux. Non loin de là, dans ce même quartier Croix-Rouge, il y a aussi des choses à dire avenue Bonaparte, notamment au n°1. Vers 20 h 45 lundi soir, des détritus y ont été incendiés dans les gaines techniques du 1er étage. Le feu s’est propagé jusqu’au 3e. La cage d’escalier a été enfumée, provoquant un afflux d’appels chez les pompiers. Aucun blessé n’a été déploré.

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Union121211b- Marne
Réunion de Noël et de fin d’année : La Mutes met les petits plats dans les grands

Les bénévoles ont composé le repas eux-mêmes.
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La Mutes organisait sa réunion amicale de Noël-fin d’année vendredi 7 décembre en soirée. Quatre-vingts invités étaient présents parmi lesquels les deux co-animateurs du conseil de quartier, Alain Bisteur et Alain Boudroit, des représentants de la maison de quartier Croix-Rouge et des associations Enfants de l’espoir, Jardins familiaux de Croix-du-Sud et AFEV.

On remarquait encore le curé de Croix-Rouge et trois conseillers municipaux : Michel Guillaudeau, Saïda Soumaya-Berthelot et Alain Bisteur. Ce dernier devait remplacer, au pied levé, pour un discours municipal élogieux, le premier adjoint Eric Quénard, bloqué sur l’autoroute par un accident de la route.

Les bénévoles de l’association avaient eux-mêmes préparé un repas partagé en musique avec l’orchestre Elégance, avant le passage du père Noël.

La tradition a été maintenue : ce fut, comme d’habitude à l’association Multi-échanges services, une rencontre intergénérationnelle et inter-ethnique très agréable et conviviale.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Union121211a- Marne
Siebatcheu en Bleu

Un ancien Rouge et Blanc en sélection nationale, cela s’est déjà vu (Abdoulaye Diallo, le gardien, par exemple). Mais un Stadiste qui passe directement de Géo-André ou des Thiolettes à Clairefontaine, le fait est plus rare. C’est ce qui attend Jordan Siebatcheu.

Comme 29 autres, l’attaquant des U17 nationaux (utilisé parfois en U19) a été convoqué avec sa catégorie d’âge pour un stage et des tests médicaux. Il sera au Centre national du football du lundi 17 au jeudi 20 décembre.

Les U17 de Patrick Gonfalone préparent le tour Elite des Championnats d’Europe qui se déroulera du 5 au 17 mai 2013 en Croatie.

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Union121208a- Marne
La grue prend feu, la voiture aussi

Jeudi vers 21 heures, un engin de chantier muni d’une grue a pris feu rue du Bois-d’Amour. L’origine de l’incendie apparu dans la cabine reste à déterminer.

Toujours jeudi, une poubelle a pris feu place Dominique-Ingres à 13 h 45, une autre place du Théâtre à 15 h 20, face au palais de justice (des témoins ont noyé les flammes avant l’arrivée des pompiers).

Hier vers 9 heures, un feu de voiture s’est déclaré route de Neufchâtel à la sortie de Reims.

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L’hebdo du vendredi- N° 284- 121207g
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 284 - Semaine du 07 au 13 décembre 2012

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La ville se redessine de place en place

Dans le cadre du projet urbain Reims 2020, une réflexion a été menée sur le rôle des places à Reims.

Ainsi, depuis 2008, ces dernières, réparties sur l’ensemble du territoire de la ville, ont toute l’attention de la municipalité qui entend en rénover 52 afin de créer de nouveaux lieux de vie au profit des habitants.

Au total, ce sont 52 espaces, places, mails ou parvis, qui ont été ciblés par la municipalité depuis 2008. 10 d’entre eux ont d’ores et déjà été rénovés, représentant un investissement pour la Ville d’environ 11 millions d’euros. A ceux-ci s’ajoutent 8 autres espaces publics réalisés dans le cadre de la construction de la ligne de tramway. Il s’agit par exemple, des rénovations des places Arago à Croix-Rouge, Nadia et Lili Boulanger à Wilson, du passage Pergola à Wilson, de la placette Romain-Courcelles et du parvis arrière de la gare centrale de Reims à Clairmarais ou encore des abords des Halles du Boulingrin. « Notre politique depuis 2008 consiste à redonner de l’usage aux espaces publics, explique la maire de Reims, Adeline Hazan. Nous sommes partis du constat, confirmé par les urbanistes de Reims 2020, que Reims avait la chance de compter de nombreuses places, mais qu’au fil du temps, elles étaient devenues des parking. Nous avons donc décidé, petit à petit, qu’il fallait rénover ces espaces et les rendre aux Rémois pour en faire des lieux de vie et d’échanges. »

Il reste donc encore 34 autres espaces à requalifier dans les années à venir, certains à moyen terme (2012-2014), d’autres à plus longue échéance (2014-2020). La plupart font par ailleurs l’objet d’ateliers urbains de proximité auxquels sont invités riverains, commerçants et conseillers de quartier pour discuter des usages des lieux et des aménagements à venir (à lire l’exemple de l’Esplanade Fléchambault dans l’Hebdo du Vendredi n°283).

D’ici 2014, ce sont ainsi 15 millions d’euros qui seront consacrés à ces rénovations. Les projets à venir concernent tous les quartiers de Reims : les placettes Blum/Bonaparte, la place Taittinger et le mail piéton Saint John Perse à Croix-Rouge, la placette Wilson, la constitution d’une grande place publique autour de la station de tramway Fermat à Orgeval, les mails Entrée Sud, Rethel et Vieille, et les mails Gymnase et école Gallieni à Orgeval, le mail Franges Nord à Wilson, la place Jean Moulin à Europe, l’esplanade Fléchambault à Saint Remi, la place Carnegie et la place des Martyrs de la Résistance en centre-ville. D’autres espaces publics suivront ensuite, comme la future place centrale du quartier Croix-du-Sud, les mails piéton Blum et La Rafale à Croix-Rouge, ou encore la place Socatrem à Clairmarais.

Julien Debant


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Oppositions en rafale

Le campus rémois n’est pas menacé selon Adeline Hazan. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Une soixantaine de délibérations était au programme du Conseil Municipal qui s’est déroulé lundi soir. Majorité et opposition se sont affrontées sur de nombreux sujets dont plusieurs attributions de subventions. Parmi celles-ci, une a été votée au profit du laboratoire municipal qui connait d’importantes difficultés financières depuis 3 ans. Sa fermeture prochaine a été officialisée. Compte-rendu de plus de 3h de d’opposition.

La fermeture du laboratoire municipal officialisée

Première délibération et première intervention de l’opposition. Alors qu’une subvention de 500 000 euros doit être votée au profit du laboratoire municipal, Jean-Marc Roze (UMP) a dénoncé les dépenses consacrées à cette structure qui connait d’importantes difficultés financières depuis trois ans, suite à la perte d’un contrat comptant pour près de la moitié de son activité. « Près de 1,5 million d’euros a été perdu ces trois dernières années. Quand allez-vous stopper cette gabegie financière ? » La réponse d’Adeline Hazan a été cinglante : « Nous travaillons sur l’organisation. Auriez-vous préféré que nous mettions ces personnels au chômage ? » Jean-Claude Laval, l’adjoint en charge du dossier a pris ensuite la parole, visiblement énervé par les propos de Jean-Marc Roze : « Vous n’êtes pas autorisé à raconter des mensonges. Le personnel du laboratoire est très spécialisé. Nous nous sommes déjà séparés de neuf contractuels. Cinq autres personnes ont été reclassées dans d’autres services. Nous avons décidé de fermer le laboratoire mais il faut reclasser le personnel. 2013 sera une année de transition. On n’accepte pas ce déficit mais on ne peut pas s’arrêter comme cela. La disparition va se faire en douceur avec beaucoup d’humanité afin de garantir une reconversion dans d’autres services ». Et la maire de Reims de préciser, « que les reconversions se font sur des postes vacants ». De son côté, Catherine Vautrin estime que la municipalité aurait pu aller plus vite sur ce dossier. « Quand on voit ce qui se passe quand il faut se séparer d’un DGA, ça va plus vite. » Le laboratoire municipale de Reims, créée en 1882, compte une vingtaine de salariés installée au Pôle Farman. Sa fermeture est programmée pour fin 2013.

Inquiétudes sur l’avenir de Sciences Po

Au détour d’une autre délibération concernant l’attribution de subventions, Jean-Marie Beaupuy a plaidé pour que la municipalité revoit son implication en matière d’enseignement estimant, « que cela ne relève pas de la compétence de la collectivité ». « Aujourd’hui, pour Sciences Po, nous payons 80 millions d’euros (répartis à parts égales entre la ville, le département et la région), plus 1,5 million de fonctionnement par an. Sur le déménagement de l’Université, on parle de 70 ou 80 millions d’euros. On se retrouve devant des investissements qui dépassent largement les subventions présentées ce soir. Au moment ou au niveau national il y a des changements de compétences et des réductions de subventions, il est temps de réexaminer ces questions. » Prenant le relais de son collègue de l’opposition, Catherine Vautrin s’étonne, elle, « qu’on dépense 80 millions d’euros pour 2000 étudiants quand l’Université a besoin de la même somme mais pour plus de 20 000 étudiants ».

Échaudée, Adeline Hazan joue d’abord la mauvaise foi : « Je découvre que vous êtes contre l’implantation de Sciences Po à Reims ». Passé ce pic gratuit, la maire de Reims s’est voulue rassurante sur ce dossier. « Ce qu’on a pu lire dans le rapport de la cour des comptes c’est que certains campus en province pourraient être fermés. Je ne pense pas que celui de Reims soit concerné. Au contraire, Reims pourrait récupérer des implantations. » Sur l’Université qui souhaite créer un grand campus à Reims, dans le quartier Croix-Rouge, Jacques Meyer, adjoint en charge de l’enseignement, indique, « que les choses ont bien avancé. Un cabinet a été retenu pour étudier le schéma directeur. Son rapport est attendu en mars prochain. L’investissement serait de 70-80 millions d’euros en tenant compte de la vente des terrains du Moulin de la Housse. Dans le cas contraire, on serait plus proche de 100 ou 120 millions d’euros. »

L’aide aux clubs sportifs critiqué

Benjamin Develey (UMP) s’est ému de la baisse de subventions aux clubs sportifs rémois. L’adjointe au sport, Christine Michel, s’est étonnée de cette remarque : « Il y a des baisses de subventions ? Cinq clubs seulement et encore cela ne tient pas compte de la baisse des tarifs de location de salle. Concernant le Reims Basket Féminin, le Reims Champagne Handball et le Reims Champagne Hockey, auxquels vous faites allusion, les subventions sont au pire restées les mêmes. Quel est le problème ? Pour le basket féminin, il existe un déficit qui date depuis plusieurs années. Nous travaillons avec les dirigeants pour qu’il soit résorbé. Énormément d’efforts ont été faits par la Ville sur les équipements. Je prendrais l’exemple du hockey sur glace qui bénéficie grâce à cela de rentrées d’argent supplémentaires. Et si je regarde les résultats du sport de haut niveau, on n’a pas à rougir. Alors oui, les subventions du Conseil Général ont baissé de 26% en 4 ans. C’est énorme. Ça va toucher tout le monde. Au Conseil Général de revenir sur cette coupe sombre et je ne parlerai que de sport qui est ma délégation ».

Les associations à caractère social

Dans ce domaine également, la crise actuelle fait mal. Stéphane Joly a rappelé que le Conseil Général avait diminué ses subventions dans ce domaine de l’ordre de 20%, « posant une question de survie pour les Rémois ». Jean-Marie Beaupuuy a regretté cette attaque en direction du département : « Nous sommes dans une situation grave. C’est facile de critiquer ceux qui sont au pouvoir. Les dotations diminuent y compris pour le Conseil Général. C’est à la maire d’agir sur le terrain. Il y aura des réductions de budget, c’est commencé et ce n’est pas en condamnant que nous aurons les bonnes réponses ». Et Adeline Hazan d’expliquer les propos de son adjoint. « Pour les plus démunis, nous sommes obligés de compenser ces baisses sinon ils sont dans la rue (ex Ozenam) parce que le Conseil Général se désengage. Les associations sont étranglées et on ne pourra pas toujours compenser. Certaines seront obligées de licencier voire de fermer. » Pour Catherine Vautrin, « Le sujet est lourd. Aider nos concitoyens, c’est une priorité. Mais il faut un regard plus global sur l’accompagnement social. Par exemple, rien n’a été proposé par l’Etat sur le financement de l’APA et du RSA. »

Cérémonie en faveur du monde sportif rémois

Le 23 janvier prochain, la Cartonnerie accueillera une grande soirée au profit des athlètes et des clubs sportifs rémois. Baptisé Les sacres du Sport et organisé par l’Office des Sports de Reims, cet événement s’est vu attribué une subvention de 30 000 euros. Cette somme est jugée trop importante pour l’opposition. « Tout à l’heure, on a parlé des difficultés des associations à caractère social. Je persiste, cette dépense est trop importante en ce moment », a justifié Catherine Vautrin. Dans l’édition du jour du journal l’union, cette dernière avait d’ailleurs eu des mots durs concernant cette soirée. S’appuyant sur les déclarations de la députée UMP et s’adressant directement à cette dernière, Christine Michel s’est appliquée à démontrer le bien fondé de cette entreprise : « Je ne veux pas gâcher l’ambiance, mais au mieux vous êtes mal informée madame Vautrin, au pire vous êtes de mauvaise foi. J’ai eu du mal ce matin (en lisant l’union). Il ne s’agit pas de fêter simplement les résultats des Jeux Olympiques et notre médaillé. Ce n’est pas du réchauffé. Il s’agit en fait de soutenir une nouvelle manifestation pour notre ville et qui se veut pérenne. 500 personnes vont être accueillies dont 70 sportifs nominés. Il y aura des festivités avec des récompenses et des animations. Avec cela, nous honorerons les sportifs rémois qui se sont illustrés à l’échelle nationale et internationale. Mais ce sera aussi le moment de célébrer l’ensemble des bénévoles qui se dépensent sans compter dans l’ombre. Il n’est donc pas disproportionné d’apporter cette aide à cette manifestation ».

La ville sauve Radio Primitive

Pascal Labelle (UMP) s’est interrogé sur la convention concernant la Radio Primitive et la ville de Reims. En effet, une enveloppe de 80 000 euros a été votée en faveur de la radio associative qui va récupérer des locaux au sein de la Friche Artistique et donc devoir y effectuer des travaux. Un dossier devra être réalisé par l’association. Pascal Labelle se demande donc très justement, « comment peut-on définir ce montant à l’avance ? »

Éléments de réponse de Serge Pugeault : « Le diocèse doit récupérer les locaux occupés aujourd’hui par Radio Primitive qui est la plus vieille radio associative de Reims. Si nous ne l’aidons pas, elle ne pourra plus continuer à émettre. Le coût de ce déménagement a été évalué car le délais est très bref. Nous avons fixé un montant de 80 000 euros mais ce n’est pas un chèque en blanc. »

Une aide pour la complémentaire santé des agents

A partir du 1er janvier 2013, la ville s’est engagée à participer au financement des assurances complémentaires santé de ses agents. Cette aide s’élèvera, selon l’indice des agents, de 50 à 90 euros par an. Sur cette délibération, Xavier Albertini, l’un des lieutenant de Catherine Vautrin, s’est demandé pourquoi avoir attendu 2012 pour mettre ce dispositif en place. « C’est parce qu’il y a les élections municipales de 2014 ? » Et le conseiller municipal d’évoquer « une aumône » : « Le montant moyen d’une complémentaire est de 40 euros par mois, soit 1400 euros pour un couple avec un enfant, or l’instauration de cette participation se fait selon l’indice, de 50 à 90 euros par an, loin de ce qui se fait par exemple à Lille dont vous aimez madame la maire souvent prendre l’exemple où cette aide est de 150 à 300 euros. D’où le sentiment d’une aumône pour les agents. Quand on veut on peut. Vous avez versé 170 000 euros au Manège pour l’inauguration du Boulingrin. C’est un choix politique. J’imagine que dans six mois, vous allez augmenter cette aide ? » « Vous dites que c’est peu, mais nous le faisons et vous ne l’avez pas fait avant nous, a répondu Adeline Hazan. Et dès qu’on va faire quelque chose de bien maintenant ça va être une décision électoraliste ? C’est gonflé… Nous avons encore 15 mois à faire dans cette configuration. Je vous préviens que les inaugurations et les premières pierres vont continuer. On ne va pas s’arrêter de travailler d’ici mars 2014. »

Le monument de l’Armée Noire au Parc de Champagne

Prévue de longue date, la reconstruction du monument en l’honneur de l’Armée Noire, tel qu’il était à l’origine avant d’être détruit pendant la Seconde Guerre Mondiale, se fera au sein du Parc de Champagne. Cette nouvelle a visiblement contrarié Jean-Marie Beaupuy pour qui « ce lieu n’est pas adapté ». « On pourrait penser à La Pompelle mais il doit être très visible du grand public. Il y aussi l’espace actuel ou dans les quartiers Nord de Reims, là où cette armée s’est battue. » Jacques Cohen, adjoint au tourisme, s’est expliqué « sur ce choix historique ». « Aujourd’hui, il est sur un lieu où l’armée à combattu. On a réfléchi à La Pompelle, mais le Parc de Champagne était sur la ligne de front. Comment faire plus symbolique ? Quant à l’ option de déplacer le monument actuel, elle est déraisonnable. Nous ne voulons pas effacer l’histoire ».

Deux voeux sur le projet de loi en faveur du mariage de personnes du même sexe

Pour conclure ce conseil municipal, Europe Ecologie les Verts et l’UMP ont émis tous deux un voeu distinct sur cette question dont on a beaucoup parlé ces dernières semaines. Les élus du groupe UMP/DVD de la Ville de Reims demandent au gouvernement un débat national sur le projet de loi de mariage des personnes du même sexe. De son côté, pour le groupe EELV, quand la loi sera votée, il faudra la respecter. Une évidence en apparence, mais que EELV a souhaité rappeler en réponse à certains maires qui ont indiqué qu’ils n’appliqueraient pas cette loi. Évidemment, ce projet de loi fait débat. Pour Catherine Vautrin, qui n’a pas indiqué sa position personnelle, le problème n’est pas là. « Il est d’usage dans la société que les Français est le droit de participer à un débat. Cette question doit sortir de l’Assemblée Nationale », a-t-elle déclaré. « Vous souhaiteriez un référendum ? », lui a répondu Adeline Hazan. « Non, comme cela a été fait en son temps sur la bioéthique, il faut organiser un grand débat national sur cette question de société ». Pour Virginie Coez, l’adjointe déléguée à la lutte contre les discriminations, le débat a déjà lieu depuis un moment. « Des auditions thématiques sont ouvertes à l’Assemblée. Elles sont toutes retransmises. Associations, psychologues, représentants de culte sont entendus. Le débat a lieu. Il a lieu en fait depuis plus de 15 ans. » Pascale Martin (PC) a pris, chose très rare en conseil municipal, la parole : « Je ne suis pas favorable à ces voeux EELV et UMP/DVD. Il est évident qu’il faut respecter la loi. Moi qui ne suis pas pour le mariage tout court, je pense qu’un droit est un droit ». Et l’élue de prendre comme références quelques grands combats politiques du passé : « en leur temps, certains, comme Robert Badinter, Valérie Giscard d’Estaing, Simone Veil et François Mitterrand, n’ont pas tremblé. »

Julien Debant

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Union121207f- Marne
Croix-Rouge Le quartier en fête

Au programme, promenades en calèche le 12 décembre.
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Les festivités pour Noël ont déjà commencé : les jeunes footballeurs de l’association Sires (Session itinérante de réinsertion et d’encadrement social) étaient présents mercredi pour une rencontre et une animation sous la conduite du président Marc Millard et de son équipe de bénévoles, auprès des personnes qui vivent dans la résidence Billard (Foyer Arfo).

Avec la ville et la Maison de quartier

Ils remettent cela demain, samedi 8 décembre, sur le parking devant le supermarché de l’hippodrome. Chocolat chaud et bonbons seront distribués au public à 16 h 30. La municipalité organise une fête de Noël du quartier Croix-Rouge, le mercredi 12 décembre, de 14 à 18 heures, sur le même parking.

Au programme : animations, le père Noël devrait arriver en traîneau et il proposera des promenades en calèche, avec distribution de bonbons.

Enfin, une autre fête de Noël de quartier se déroulera le samedi 15 décembre à 15 h 30 à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge (3, allée Antoine-Watteau) et sur la place du centre commercial de Pays-de-France, avenue du Général-Bonaparte.

Elle sera organisée par la Maison de quartier et les associations du quartier.

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Union121207e- Marne
Place au 26e Téléthon à Reims

Le chœur Snowdown de Canterbury était à Reims ce dernier week-end.
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Les Tricoteuses des Trois-Piliers sont des fidèles du Téléthon.
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REIMS (Marne). Ici et là, le Téléthon est déjà sur les rails et les 30 heures nationales non stop mobiliseront toutes les communes françaises durant le prochain week-end.

A Reims, le lancement aura lieu place d’Erlon le vendredi 7 décembre à 18 h 30, près de la fontaine de la Solidarité, (recouverte actuellement par un bar à champagne) avec la participation des jeunes sapeurs-pompiers de Reims et du groupe de musique Handytek.

Le village Téléthon se composera d’une dizaine de stands installés derrière les chalets de Noël : on y trouvera des produits divers à acheter, à consommer (fruits et légumes, tartiflette, beignets etc…).

On y rencontrera des corporations d’étudiants (médecine et paramédical) qui proposeront des massages, des prises de tension et donneront des explications sur les myopathies. Les Boules de feu (fanfare des étudiants en médecine) devraient chauffer le public vers 15 heures samedi 8.

Le sport sera aussi à l’honneur avec un Défithon de 30 heures sans interruption sur vélos fixes avec les Staps.
Le Stade de Reims rugby proposera un chamboule-tout.
Les Compagnons du Devoir bâtiront un mur de briques.

Dans toute la ville

Partout dans la ville, d’autres manifestations sont annoncées… jusque dans les bus.
Sont mobilisés la Fac de médecine, l’IUT tech de co, le Gea, le lycée Libergier, les collège et écoles Maryse-Bastié, Nicolas-Roland, Paul-Fort, Saint-Louis, la maternelle Voltaire pour des ventes, expositions, petits-déjeuners, lâchers de ballon et défis sportifs comme sur le campus Colbert, avec les lycéens et collégiens.
L’école Charles-Arnould organisera une marche de 6 km avec les enfants, les parents, les enseignants le samedi 8 décembre de 9 à 14 heures.
Le lycée G.-Brière de la rue Vauban proposera le vendredi 7 une exposition sur les myopathies et des animations.
Des maisons de quartier (Trois-Piliers, Le Flambeau), des associations (La Colline Sainte-Geneviève, Acrap, Myosotis, Aocdtf), des banques, des restaurants (le Café du Palais, le Hangar), des maisons de retraite ont prévu de participer avec des dons, des ventes de produits Téléthon ou de gaufres, de crèpes (Korian place Royale).
Les résidents de Tiers-temps, rue des Capucins, vendront des objets qu’ils ont confectionnés. Ceux de la résidence Orpea Saint-André ont aussi prévu tombola, gâteaux et gaufres.
L’amicale Jamin organisera un concours de tarot le dimanche 9 décembre de 13 h 30 à 19 h 30.
Les magasins Carrefour accueilleront un stand de vente de produits Téléthon.
Sport tonus proposera gymnastique et zumba sur l’esplanade Léo-Lagrange les samedi 8 et dimanche 9 décembre de 9 à 12 heures. Huit heures d’ergomètre : c’est ce que proposeront Régates rémoises le samedi 8 décembre de 9 à 17 heures.
Le Reims Europe club de tennis attend le public sous cours couverts le vendredi 7 décembre de 17 à 23 heures.
A la Maison d’arrêt, aura lieu un défi sur ergomètre (épreuve de rameurs).

Cette liste n’est pas exhaustive car des initiatives se font encore jour. Pour tous ces rendez-vous, le parrain sera Thierry Vachet, un marathonien, grand sportif atteint de la maladie de Parkinson mais aussi exemple d’une volonté sans faille qui, grâce au maintien de ses entraînements, a fait reculer la maladie de manière spectaculaire.

Le 3637

N’oubliez pas que, depuis chez vous, vous pouvez téléphoner au 3637 : vous aurez au bout du fil les Lions clubs toujours fidèles pour recueillir vos promesses de dons.

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Union121207d- Marne
Vers un nouveau Reims fait de petits coins sympas

Eric Quénard, Adeline Hazan et Serge Pugeault, hier lors de la conférence de presse destinée à présenter le projet.
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La place des Martyrs-de-la-Résistance devrait être inaugurée avant la fin de la mandature.
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Une nouvelle placette est prévue devant le siège de Reims-Habitat.
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La future place centrale de Croix-du-Sud programmée au-delà de 2014 Images : Jacques DRIOL
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REIMS (Marne). Places, placettes, parvis… La municipalité a prévu de rénover 52 lieux. En y mêlant redynamisation et culture. Et en faisant la chasse aux voitures.

LES moineaux pourront rester mais les voitures devront migrer. D’ici à 2020, la Ville de Reims a décidé de remaquiller ses petites places publiques. L’idée est d’en faire des endroits plus jolis, plus agréables à vivre, des coins où les habitants auront envie de s’attarder et dont ils seront fiers. La maire l’avait déjà annoncé mais elle a souhaité détailler ses projets lors d’une conférence de presse qu’elle a organisée hier après-midi en compagnie de ses adjoints Éric Quénard et Serge Pugeault. « Notre ville est riche de places et d’espaces qui, au fil des années, se sont transformés en parkings. Nous allons en faire des lieux de vie », a commencé Adeline Hazan. Pas moins de 52 projets sont dans les cartons, dont 18 qui ont déjà été réalisés. Quinze millions vont être dépensés pour ces places jusqu’en 2014 mais le projet total court jusqu’en 2020.

Egalité de traitement avec le centre

Comme l’a souligné Éric Quénard, la Ville s’est fixé une méthode de rénovation fondée sur un principe d’égalité de traitement entre le centre-ville et les quartiers : « 60 % de la place rénovée ressemblera à l’identité de la Ville, et 40 % à celle du quartier où elle se situe. Le même type et la même qualité de matériaux seront utilisés partout. Nous aurons à chaque fois un objectif de redynamisation, notamment en direction du commerce de proximité. »

Plus inédit, la Ville veut mêler la culture à son programme de rénovation. « Nous souhaitons une présence des artistes dans l’espace public. Cela pourra prendre la forme d’une sculpture comme les silhouettes Lapie, place Stalingrad, mais pas seulement. Il pourra s’agir d’une projection lumineuse, de la mise en lumière particulière d’une place ou de jeux d’eau », a expliqué Serge Pugeault. « Nous allons définir douze espaces où vont travailler douze artistes. Ils travailleront avec les habitants pendant six mois ou un an pour aboutir à un projet voulu par tous. Pour financer, nous allons chercher des partenaires privés. À la fin, les Rémois et même les touristes iront de place en place et d’œuvre en œuvre. »

Y mêler la culture

Ils iront à pied car, comme a répété la maire, la voiture n’est plus la bienvenue en ville. Elle le sera de moins en moins. Aux commerçants du centre qui s’inquiètent parce que, faute de stationnement, les consommateurs risquent d’aller se balader sur l’esplanade commerciale de Thillois ou autour des milliers de ronds-points deCormontreuil, les élus répondent que tout ira mieux dans quelque temps : « Ce n’est pas en gardant un centre avec plein de voitures qu’on restaurera la prospérité du commerce. C’est, au contraire, en rendant ce centre agréable qu’on fera revenir les clients chassés par les travaux du tram. Quand ils auront plaisir à venir flâner, dîner dans un cadre agréable et apaisé, ils n’iront plus ailleurs. Simplement, cela va prendre un peu de temps. Le temps du basculement vers ce nouveau Reims. »

De place en place, nous irons, dans nos prochaines éditions, donner la parole aux Rémois qui y vivent pour leur demander ce dont ils ont envie et ce qui est envisagé dans le programme de la Ville pour leur quartier.

Catherine FREY

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Union121207c- Marne
Le commissaire Cardaliaguet à la tête de l’école nationale de police

Le commissaire divisionnaire Gérard Cardaliaguet arrive de l’Yonne.
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REIMS (Marne). Après le renseignement et la sécurité publique, le commissaire Gérard Cardaliaguet donne une nouvelle orientation à sa carrière en prenant la direction de l’école de police de Reims.

L’école nationale de police de Reims a un nouveau directeur. Successeur de Nathalie Bernard-Guelle, nommée cet été directrice départementale adjointe de la sécurité publique de la Marne, le commissaire divisionnaire Gérard Cardaliaguet a pris les rênes de l’établissement fin novembre.

A 57 ans, dont 32 ans au sein de la police, ce natif du Cantal explore ainsi une nouvelle voie de la « Grande Maison » - la formation - après avoir travaillé dans le renseignement et la sécurité publique.

« C’est intéressant dans une carrière de pouvoir changer d’activité. C’est une remise en cause, un repositionnement qui permet de m’investir dans un nouveau challenge. La formation est importante, essentielle, car elle conditionne l’avenir de la police. Mieux les élèves sont formés, plus le service rendu sera meilleur. Nous leur inculquons les règles de droit, la déontologie, les techniques d’intervention. C’est à nous de leur donner tous les éléments qui leur permettront de réagir efficacement aux problèmes qu’ils vont rencontrer sur le terrain. »

Installée avenue du Maréchal-Juin, l’école nationale de police de Reims est l’une des dix ENP implantées sur le territoire. De ses murs sortiront, le 21 décembre, 70 nouveaux gardiens de la paix appartenant à la 225e promotion. Leur scolarité dure un an.

Gardiens, adjoints, cadets

Elle est de trois mois pour une autre catégorie d’élèves formés par l’école : les adjoints de sécurité, ou ADS, engagés sous contrat par le ministère de l’Intérieur pour une période de trois ans renouvelable une fois (une nouvelle promotion de 32 éléments intègre l’école de Reims cette semaine).

Il y a enfin les cadets de la République. Eux aussi sont engagés sous contrat, mais ils bénéficient d’une formation renforcée - un an - pour préparer le concours de gardien de la paix. « Leur scolarité se déroule pour moitié en école de police, pour moitié dans un lycée qui prend en compte leur formation générale. A Reims, ce partenariat est établi avec le lycée Joliot-Curie », précise M. Cardaliaguet.

Outre la formation initiale, l’ENP assure également la formation continue des fonctionnaires de police. « L’activité ne manque pas. » Tous services confondus, 72 personnes travaillent à l’école pour la faire tourner.

F.C.

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Union121207b- Marne
Tennis de table (Critérium fédéral) / Reparti pour un tour

Le 2e tour du Critérium Fédéral Nationale 1 se déroule ce week-end. Les garçons ont rendez-vous dès aujourd’hui à Ceyrat (Puy-de-Dôme). Les filles, elles, seront rassemblées demain et dimanche à La Roche-sur-Foron, entre Annemasse et Cluses (Haute-Savoie)

En Auvergne, Clément Chobeau (ASC Châlons) tentera encore une fois de s’illustrer, lui qui avait atteint la finale en moins de 15 ans. C’était le 14 octobre, lors du 1er tour à Thorigné-Fouillard (Ille-et-Vilaine). En Rhône-Alpes, la Marne comptera sur l’ASC Châlons avec Manon Songis et Clémence Legry. L’ORTT sera aussi en pays genevois puisque l’ex-Sparnacienne Laurie Vautrelle est engagée chez les moins de 15 ans. La prometteuse Lilou Failliot (AS Gueux-Tinqueux) est aussi en lice en moins de 13 ans.

Les « Indiv » de Nationale 2 se dérouleront à Wissembourg (Bas-Rhin). En Alsace, la représentation marnaise sera plus large (voir ci-dessous). Enfin, l’échelon régional du critérium fédéral se déroulera à Saint-Memmie alors que le niveau départemental est invité au gymnase Géo-André de Reims.

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Union121207a- Marne
Ça fume encore allée Edgar-Degas

Mardi à 20 h 15, requis pour un possible feu de local à vide-ordu¬res au n°3 de l’allée Edgar-Degas, les pompiers n’ont découvert qu’une légère fumée provoquée par le court-circuit d’une sonnette.

Mercredi à 22 h 45, nouvel appel en provenance du 3 Degas, mais cette fois-ci, il s’agissait bel et bien d’un incendie dans le local à vide-ordures. Extinction, ventilation.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 121206d
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7475 du 03 au 09 décembre 2012.

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POURSUITE D’ACTIVITE

Suivant délibération d’une assemblée générale extraordinaire en date du 05/03/2012, il résulte que les associés de la SARL ASNIF, capital : 7.625 €, 10 avenue du Président Kennedy 51100 REIMS, 443 461 711 R.C.S. REIMS, statuant dans le cadre des dispositions de l’article L 223-42 du code de commerce, ont décidé de ne pas dissoudre la société. Le dépôt légal sera effectué au greffe du tribunal de commerce de REIMS.

111022 Pour avis : Le gérant.


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AVIS DIVERS

APPARTEMENTS :

— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie, rez-de-chaussée, porte B à REIMS - Classement énergétique "C" ¬59.475 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 19 rue Joliot Curie, 3° étage, porte A à REIMS - Classement énergétique "C" - 48.750 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie, 3° étage, porte B à REIMS -Classement énergétique "C" - 59.475 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie, 4° étage, porte B à REIMS -Classement énergétique "C" - 59.475 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 1°étage, porte A à REIMS -Classement énergétique "C" - 48 750 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS)
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 1° étage, porte B à REIMS - Classement énergétique "C" - 59.475 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type V bis d’environ 110 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 1° étage, porte C à REIMS ¬Classement énergétique "C" ¬107.250 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 3° étage, porte A à REIMS - Classement énergétique "C" - 48.750 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 21 rue Joliot Curie, 3° étage, porte B à REIMS -Classement énergétique "C" - 59.475 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type V bis d’environ 110 m2, situé au 16 allée des Tourangeaux, rez-de-chaussée, porte C à REIMS - Classement énergétique "C" - 107.250 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type V bis d’environ 110 m2, situé au 16 allée des Tourangeaux, 1° étage, porte C à REIMS - Classement énergétique "C" ¬107.250 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 16 allée des Tourangeaux, 2° étage, porte A à REIMS - Classement énergétique "C" ¬48.750 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 16 allée des Tourangeaux, 2° étage, porte B à REIMS - Classement énergétique "C" - 58.800 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 14 allée des Tourangeaux, rez-de-chaussée, porte A à REIMS - Classement énergétique "C" - 48.750 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III bis d’environ 75 m2, situé au 14 allée des Tourangeaux, rez-de-chaussée, porte C à REIMS - Classement énergétique "C" - 73.125 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 50 m2, situé au 14 allée des Tourangeaux, 2° étage, porte A à REIMS - Classement énergétique "C" ¬48.750 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III bis d’environ 75 m2, situé au 14 allée des Tourangeaux, 2° étage, porte C à REIMS - Classement énergétique "C" 73.125 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type IV d’environ 76 m2, situé au 24 rue Rilly la Montagne, 2° étage, porte A à REIMS - Classement énergétique "D" ¬74.100 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT).

Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.
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Union121206d- Marne
A Croix-Rouge Hauts-de-Murigny, un conseil de quartier avec la maire et son équipe

Alain Bisteur présentant les activités de l’année 2011 à la maire et son équipe.
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A Croix-Rouge Hauts-de-Murigny le jeudi 13 décembre…

Le conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny se réunira en séance pleinière le jeudi 13 décembre à 19 heures, dans les locaux du lycée Arago, 1, rue François-Arago, en présence de la maire, Adeline Hazan, et de nombreux membres de son conseil municipal.

Placé sous le concept « La Ville se construit et se gère avec vous », l’objectif de cette réunion exceptionnelle est précisé par les deux co-animateurs, Alain Bisteur (conseil municipal) et Alain Boudroit (habitants et associations) : « Venez échanger, témoigner, partager sur les sujets de votre quotidien ».

Il n’y aura pas d’ordre du jour particulier : les co-animateurs dresseront le bilan de l’année écoulée, puis la maire de Reims fera une intervention, avant de donner la parole aux conseillers de quartier puis au public, pour un temps de questions avec les élus. La réunion se terminera par une collation de clôture.

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Union121206c- Marne
Match de football « Familles »

La prochaine sortie « Familles » organisée par Alexandra Babin, ani¬matrice référente des espaces Watteau et Pays-de-France de la mai¬son de quartier Croix-Rouge, est prévue dimanche 9 décembre.

Il s’agira d’un match de football arbitré par David Gameiro et Sarah Khlil.

Rendez-vous à 13 heures, à la maison de quartier Watteau, 3 allée Antoine-Watteau (Tél. 03.26.36.03.50.).

Participation de 6 eu+ros pour les adultes et 3 euros pour les enfants (adhésion à la maison de quartier obligatoire).

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Union121206b- Marne
Tennis (1) : Retour en force des dames au tournoi open de la Nautique

Les dames ont bien tiré leur épingle du jeu.
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C’est l’un des motifs de fierté que Michel Brixy, le président de la Nautique a exprimé lors de la remise des prix du tournoi. « Cent quarante-sept participants, quatre-vingt-dix-neuf chez les hommes et quarante-huit chez les femmes, qui enregistrent pour le coup une forte progression ».

Le palmarès : chez les dames, en 1/4 de finales, Marie Pithois (15 -URT) bat Stéphanie Hennepeaux (15/2-TCCB) par 6/3-7/5, Leslie Lancelot (15-TCR) bat Stéphanie Pittidu (15/1-La Ferté-sous-Jouarre) par 6/3-6/2. En 1/2 finales, Leslie Lancelot (TCR) bat Marie Pithois (URT) par 7/6-3/1-abandon, Julie Carré bat Charlotte Becret (URT) par 7/6-3/6-6/4. En finale, Leslie Lancelot bat Julie Carré par 3/6-6/0-6/2.

Chez les Hommes, en 1/4 de finales, Germain André (15/1-SNE) bat Simon Pierre (5/6-Reims Europe Club) par 7/6-6/3, Nicolas Aubry (15-TCR) bat Guillaume Durant (5/6-TC Bétheny) par 6/2-7/5, Gauthier Gérard (15/1-TCR) bat Nicolas Travaillot (15/1-TCR) par 7/5-6/2, Lucas Henry (5/6-Géo André) bat David Poittevin (15/4-TC Cuis) par 6/2-6/3. En 1/2 finales, Nicolas Aubry (TCR) bat Germain André (SNE) par 6/4-6/1, Lucas Henry (Géo André) bat Gauthier Seguin par 6/1-6/2. En finale, Lucas Henry (Géo André) bat Nicolas Aubry (TCR) par 6/1-6/2.

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Union121206a- Marne
Reims : feu de local vide-ordures

REIMS (Marne). Dans la nuit de mercredi à jeudi les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus une nouvelle fois au 3, allée Edgar Degas dans le quartier Croix-Rouge pour un feu de local vide-ordures dégageant une fumée importante.

Munis de leurs appareils respiratoires isolants, les sauveteurs ont rapidement maîtrisé le sinistre puis, ils ont ventilé les communs de l’immeuble avant de regagner leur centre de secours.

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L’hebdo du vendredi- N° 283 - 121204c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 283 - Semaine du 30 novembre au 06 décembre 2012

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Violence envers les femmes : Une cause que l’on ne peut qu’embrasser

Dimanche, la marche s’est terminée par un laché de ballons en hommage aux femmes victimes de violences. (© Jean-Christophe Hanché)
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Maryse Jaspard, socio-démographe, Marie-Ange Petit, Présidente d’ACVIF-Marne, et Christiane Kutten, Adjointe à la Maire déléguée à l’égalité et aux droits des femmes, lors de la conférence qui s’est tenue lundi à l’Hôtel de Ville. (© l’Hebdo du Vendredi)
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La lutte contre la violence envers les femmes est finalement très récente. Avant, on luttait plus contre leur oppression dans la société plutôt que sur les violences conjugales, provoquant un décalage dans le champ d’action des autorités. Deux chiffres pour illustrer la réalité : on estime à 75 000 le nombre de viols, chaque année, en France. Les conjoints ou proches sont pour 60 % d’entre eux responsables.

Au lendemain de la Journée Internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes, Maryse Jaspard, socio-démographe spécialisée dans l’étude des violences faites aux femmes, a animé une conférence à l’Hôtel de Ville de Reims sur ce sujet. Cette chercheuse féministe, qui se bat depuis des dizaines d’années pour donner la parole et rendre compte de l’ampleur du phénomène, a impulsé en 1997 une étude afin de bousculer les idées reçues et faire avancer les choses : « Personne ne voulait en entendre parler au début. J’ai dû me bagarrer face à l’hostilité des instituts de recherche qui n’y croyaient pas. Nous avons de ce fait inventé une méthodologie d’enquête ainsi qu’une définition à l’expression « violence envers les femmes ». Il fallait avoir une vision élargie, car il n’y a pas que les coups. Il y a des préjudices de toutes sortes, l’atteinte à la personne peut être autant psychologique que physique. Grâce à ce questionnaire mené auprès de 7000 femmes, nous pouvions enfin nous rendre compte de la violence au quotidien. » Ce fut un vrai bond en avant qui a permis de dresser des statistiques et une typologie de ces agressions. Le droit, et plus important encore, les mentalités, ont évolué de manière flagrante : « En 2000, les deux tiers des femmes qui ont mentionné avoir un jour subi une agression sexuelle ne l’avaient jamais fait auparavant. En 2007, c’était l’inverse, la plupart en avait déjà parlé. » Mais malgré ce succès, les déclarations à la police se sont stabilisées. « La justice, les enseignants, les médecins, manquent de moyens » estime Mme Jaspard, également Maîtresse de conférences à l’Université Paris 1 (Panthéon-Sorbonne), qui rajoute qu’il « faut par exemple s’habituer à parler de sexualité et de respect à l’école. C’est possible, ça se fait très bien au Canada où l’on observe une baisse des violences conjugales. L’éducation y est plus importante, la justice plus forte. » Car il faut creuser, ce mal est profond. « On n’a pas évolué non plus sur la parentalité. Il faut un vrai partage entre hommes et femmes. De même, que le monde juridique utilise des échelles pour évaluer les traumatismes, comme les psychologues. Et défendre les bons côtés du système français où les femmes sont majoritairement actives et revendicatives. » Car même si tous les milieux sociaux semblent touchés, les plus démunis sont aussi les plus exposés. Une vérité aggravée en situation de crise économique, où l’inactivité engendre parfois chez les hommes un repli sur des valeurs viriles. Face à ce contexte tristement actuel, un seul numéro pour s’en sortir : le 39 19.

Romain Balestraci

La Ville de Reims s’engage

« L’égalité entre les femmes et les hommes existe en principe mais pas dans les faits », constate Adeline Hazan, Maire de Reims. C’est pour cela que son adjointe Christiane Kutten impulse une politique d’information du public, de formation et de soutien pour les divers acteurs concernés sur le territoire rémois. Entre deux éditions de la Biennale de l’égalité femmes/hommes de Reims, manifestation destinée à sensibiliser le public de toutes générations et les professionnels, la Journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes permet d’interpeller le public sur un enjeu de la vie familiale. Alors qu’une conférence était organisée lundi 26 novembre (lire plus haut), la Ville de Reims a réédité le document d’information grand public conçu en 2008 avec notamment les contacts locaux utiles. Dimanche 25 novembre, la municipalité et plusieurs associations ont aussi organisé une marche dans le quartier Croix-Rouge afin de dénoncer ce fléau.


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Quartier Croix-du-Sud : Focus sur la rénovation urbaine

Michel Bernard, sous-préfet de Reims, Laurent Roux, Directeur Général Adjoint de Plurihabitat Effort Rémois, et Eric Quénard, 1er adjoint à la ville de Reims ont symboliquement posé la première pierre du nouveau programme immobilier du quartier. (© l’Hebdo du Vendredi)
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L’entrée du quartier va bénéficier d’une architecture innovante. (© Exalta Francois Wustner)
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Alors que dans le quartier Wilson le programme de rénovation urbaine touche presque à sa fin, offrant aux habitants un meilleur cadre de vie, à Croix-du-Sud, celui-ci bat son plein. Cette semaine, c’est un immeuble proposant des logements en « location-accession » qui a notamment été lancé.

A Reims, on n’a pas fini d’entendre parler de rénovation urbaine. En effet, avec près de 500 millions d’euros injectés dans les différents quartiers rémois dans le cadre du projet de l’ANRU, à Croix-Rouge, Wilson, Orgeval et Epinettes, par la Ville de Reims, l’Etat et les organismes logeurs, la cité des sacres présente l’un des cinq plus importants projets du genre en France. Débuté dès 2008 à Wilson, ce programme de rénovation urbaine a pour objectif de revitaliser les grands quartiers en soignant l’urbain mais aussi l’humain.

Et en cette fin d’année 2012, c’est à Croix-Rouge, et plus précisément dans le secteur Croix-du-Sud que les chantiers se multipient. Ici, à deux pas de la faculté de médecine, ce sont plus 1800 logements qui sont concernés. 450 d’entre eux ont d’ores et déjà été réhabilités, tandis que 550 autres sont en plein travaux. D’ici 2018, tous se seront refait plus qu’une beauté : ajout de terrasse, rénovation des façades, travaux d’isolation, etc. Mais, au-delà de la réhabilitation nécessaire des habitations, c’est aussi l’image du quartier qui est en pleine évolution. De nouvelles constructions s’alignent déjà le long de la ligne de tramway, à l’image par exemple du parking en silo d’une capacité de 250 places.

Aujourd’hui, c’est donc au tour de l’entrée de Croix-du-Sud d’être au coeur de cet énorme chantier. Au croisement des avenues Bonaparte et Léon Blum, Plurial l’Effort Rémois construit actuellement des cellules commerciales, qui accueilleront les commerçants déjà installés dans le quartier, et un immeuble de 22 logements en location-accession. Ainsi, avec une mise de départ « mesurée », à partir de 4000 euros, et dès six mois d’occupation du logement neuf, le locataire peut devenir propriétaire. Pour Laurent Roux, directeur général adjoint de l’Effort Rémois, « cette formule doit aider les ménages à bas revenus à accéder à la propriété, car aujourd’hui, seuls 7% des locataires HLM auront la chance dans leur vie d’acquérir ou de faire construire leur propre logement ».

De son côté, Eric Quénard, 1er adjoint à la maire de Reims, note la vocation économique du programme de rénovation urbaine, « qui soutient l’activité dans le secteur du bâtiment et donc l’emploi ». « Dans le cadre de la charte d’insertion, nous essayons au maximum que les personnes éloignées de l’emploi puissent y accéder », rappelle-t-il. A ce jour, ce sont 28 226 heures d’insertion qui ont été réalisées par 134 demandeurs d’emploi, dont 50% issus du quartier Croix-Rouge.

J.D

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Union121204b- Marne
La bande rivale débarque en force et tire trois coups de fusil

Dans la nuit du 8 au 9 juin 2010, l’esplanade Eisenhower (photo d’époque avant les travaux actuels) fut le théâtre d’une expédition punitive qui a mis en émoi le voisinage.
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REIMS (Marne). Une nuit de juin 2010, ils avaient mené une expédition punitive dans le quartier Croix-Rouge pour s’en prendre à une bande adverse. Bilan : trois coups de feu et aucun blessé. Jugé hier, l’un des assaillants a écopé de six mois ferme.

Reims-Picards contre Reims-Eisenhower ! Il ne s’agit pas d’un match de foot 1re série mais d’une rencontre moins amicale survenue dans la nuit du 8 au 9 juin 2010 entre deux territoires du quartier Croix-Rouge.

Tout commence vers 21 heures, esplanade Eisenhower. « De ma fenêtre, j’ai vu une bande d’individus avançant comme un régiment », témoigne un riverain interrogé à l’époque par l’union. « Je dirais qu’ils étaient entre trente et cinquante, vociférant, lançant des menaces et des insultes, armés de bouts de bois ou de matraques. On aurait dit qu’ils cherchaient quelqu’un. »

Une autre personne parle de « cortège », de « défilé » pour évoquer l’attroupement « qui se dirigeait vers l’annexe de Reims Habitat ». « Et puis ça s’est calmé, jusque vers une heure moins le quart. Il y a eu des éclats de voix, et trois coups de feu. »

62 cartouches

Les détonations déclenchent un afflux d’appels au commissariat. « La police est arrivée tout d’un coup en masse : neuf véhicules. » Interrogés, plusieurs jeunes d’Eisenhower confirment avoir été pris à partie par une « quarantaine » d’individus masqués, armés de bâtons, barres de fer et fusils, qui les ont mis en joue et tiré trois coups de feu en l’air. Ils expliquent que la bande venait du secteur Picards pour en découdre à la suite d’un obscur différend survenu l’après-midi du 8 juin entre deux membres de chaque camp.

L’un des fuyards est rattrapé sur un vélo… avec fusil de chasse et sac de munitions ! Le canon est tout chaud, une odeur de poudre s’en dégage. Agé de 16 ans, le cycliste déclare avoir récupéré l’arme auprès d’un complice qui voulait s’en débarrasser à l’arrivée de la police.

Ce comparse est identifié en la personne de Gaël Vautier, 24 ans. Non seulement il est désigné par des témoins comme étant celui qui a tiré l’un des coups de feu, peut-être les trois, mais les policiers découvrent également à son domicile 62 cartouches identiques à celles trouvées sur le cycliste, lesquelles lui avaient été remises par un autre mineur de 16 ans lors du repli général.

Ses deux camarades pensaient qu’à vélo, il était le mieux loti pour distancer les policiers. Mauvais calcul.

Appel au rassemblement

L’enquête n’a guère permis d’en savoir plus, sinon qu’après le différend du 8 juin, un appel au rassemblement eut lieu allée des Picards où les participants se sont masqués le visage et munis d’armes diverses avant de marcher sur Eisenhower pour en découdre avec leurs adversaires.

Les deux mineurs seront jugés par le tribunal pour enfants tandis que Gaël Vautier, six fois condamné pour vols ou violences, et actuellement détenu dans une affaire de stupéfiants, vient de comparaître devant le tribunal correctionnel de Reims.

Sa ligne de défense tient en un seul mot : il n’était pas de l’expédition. S’agissant des munitions saisies à son domicile, il déclare les avoir trouvées quelques jours après les faits, dissimulées dans le local à poubelles de son immeuble, rue Joliot-Curie.

Sa version n’a pas convaincu le tribunal. Déclaré coupable d’avoir « participé à un groupement formé en vue de la préparation de violences envers les personnes », Gaël Vautier a écopé d’un an de prison dont la moitié assortie d’un sursis avec mise à l’épreuve. Les six mois ferme restent à exécuter car il était resté libre sous contrôle judiciaire dans le cadre de cette affaire.

Fabrice CURLIER

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Union121204a- Marne
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Document sans nom

AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’Ouvrage : L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart – 51100 REIMS

Affaire : Aménagement des agences de Tinqueux (51430) et Croix du Sud à Reims (51100) / Réf. marché : SG-011012  

Attributaires

N° LOT

LIBELLE DU LOT

ENTREPRISES

MONTANT € HT

Tinqueux
Lot 01

GROS ŒUVRE

Goncalves (51)

6 204,35

Tinqueux
Lot 02

CLOISONS / DOUBLAGES / ISOLATIONS / FAUX PLAFONDS / MENUISERIES INTERIEURES

AA Méreau JC (02)

77 617,82
(Retrait du poste isolation plancher RDC)

Tinqueux
Lot 03

ELECTRICITE / COURANT FAIBLE

Icare (51)

30 383,20

Tinqueux
Lot 04 A

CHAUFFAGE / CLIMATISATION / VMC

Conraux (51)

67 011,80
(Inclus poste de gestion in touch contrôleur pour 3 992,99€ H.T.)

Tinqueux
Lot 04 B

PLOMBERIE / SANITAIRE

Conraux (51)

7 354,15

Tinqueux
Lot 05

CARRELAGE / FAIENCE

DSL (51)

10 800,00

Tinqueux
Lot 06

PEINTURES / SOLS SOUPLES

Lagarde (51)

25 388,34

Croix du Sud
Lot 01

METALLERIE

Lempereur (08)

2 614,27

Croix du Sud
Lot 02

MENUISERIES INTERIEURES

Lempereur (08)

52 063,62

Croix du Sud
Lot 03

FAUX PLAFONDS

Mereau Patrick (02)

11 000,00

Croix du Sud
Lot 04

PLOMBERIE

Sanichauf (51)

12 858,00

Croix du Sud
Lot 05

CLIMATISATION / VENTILATION

Anquetil (51)

92 360,00
(Hors contrat d’entretien)

Croix du Sud
Lot 06

ELECTRICITE / ECLAIRAGE

Blanchard (51)

41 781,81

Croix du Sud
Lot 07

CARRELAGE

Callebaut (51)

21 609,07

Croix du Sud
Lot 08

PEINTURES

Sionneau (51)

13 165,52

Croix du Sud
Lot 09

SOLS SOUPLES

Lagarde (51)

9 150,47

 

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés :
Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 

Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 26 novembre 2012 aux Journaux L’UNION ECO (Marne) et Matot Braine.

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Union121203d- Marne
Commerces et logements très accessibles à Croix du Sud

Pose de la première pierre du projet autour du rond-point de l’avenue Bonaparte.
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Architecture originale pour l’entrée du quartier Croix du Sud.
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La rénovation urbaine concerne aussi le quartier Croix-Rouge à l’image d’un beau projet qui démarre dans le secteur Croix du Sud.

BONNE nouvelle pour les habitants du secteur des avenues du secteur Bonaparte et Léon-Blum, proches de l’arrêt de tramway Médiathèque à Croix du Sud. D’ici 2014, dans le cadre de la rénovation urbaine, le paysage de leur quartier devrait changer avec le lancement d’un projet dessiné par le cabinet d’architecte APO/Wustner, réalisé par Plurial l’Effort Rémois et cofinancé par l’État (Anru), les collectivités locales et l’Europe. Il s’agit, à partir de la réalisation d’un immeuble baptisé « Renaissance » comportant 22 logements (dont 13 T3) d’un montant de 2,24 M€ en location-accession sociale - une première à Reims - d’améliorer l’offre de commerces et de services ainsi que le cadre de vie des habitants.

En présence du sous-préfet Michel Bernard et de Laurent Roux, de Pluri habitat Effort rémois, Éric Quénard, premier adjoint, a présenté les grandes lignes du projet.

Commerces et services

Il s’agit en lisière du rond-point reliant l’avenue Bonaparte à l’avenue Léon-Blum, le long de la ligne de tram, de permettre l’implantation de la pharmacie et du tabac presse qui se trouvaient place Auguste-Rodin ainsi qu’une agence bancaire. En façade d’un immeuble R + 4 en forme d’ellipse à ossature bois et bardage en acier (un rappel de la forme du parking aérien de 250 places), création d’un pôle médical avec médecins, infirmière, kiné, dentiste et sage-femme.

Les travaux pour les commerces représentent une enveloppe de 1,45 M€ HT.

Aménagement de l’espace public

De son côté la collectivité (ville et Reims métropole) prévoit d’améliorer l’espace public avec des aménagements de voirie, la création de placettes arborées de part et d’autre de l’Avenue Blum, de nouvelles places de stationnement le long de l’avenue Blum destinées à l’arrêt minute.

Le parking Esplanade Paul Cézanne sera réaménagé par l’Effort Rémois. Fin, 2014 un mail piétonnier planté sera fait le long de l’avenue Blum avec possibilité d’accueillir le marché hebdomadaire.

Enfin une nouvelle place avec des espaces de jeux en cœur de quartier fera le lien entre les secteurs Degas-Rodin et Césanne-Fragonard-Ingres.

Emploi local

Comme a tenu à le rappeler le premier adjoint, « en plus de soutenir l’activité des entreprises du bâtiment, ce projet va permettre de donner 2 000 heures d’insertion à des demandeurs d’emplois accompagnés par Job’s 51 et emploi 51 et une agence d’intérim ». Qui s’en plaindra ?

Alain MOYAT

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Union121203c- Marne
Elle commet vol et agressions devant deux collèges

Le 15 novembre, une élève de 13 ans est prise à partie devant le collège Joliot-Curie à Reims par deux jeunes filles qui l’insultent et la frappent à plusieurs reprises.

Venue de l’école maternelle voisine, une femme enceinte intervient pour protéger la victime. Elle est bousculée alors que sa grossesse est pourtant apparente. En prime, elle est menacée de représailles.

Le 19 novembre, alors qu’il vient de quitter le collège Saint-Remi, un garçon d’une quinzaine d’années croise le chemin d’une adolescente qui sort un couteau et se fait remettre son téléphone portable.

Point commun entre les deux affaires : il concerne une même demoiselle âgée de 16 ans.

Interpellée en fin de semaine dernière, l’ado - extérieure aux deux collèges - explique avoir agressé l’élève de 13 ans en raison d’un prétendu différend. Elle a mené sa petite expédition punitive en compagnie d’une amie de 14 ans.

Présentées au juge des enfants, la première a été placée dans un foyer de Reims, la seconde remise à ses parents sous liberté surveillée.

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Union121203b- Marne
Menaces de mort ,Un excité interpellé

Pompiers et policiers sont intervenus allée Edgar-Degas, hier vers 15 h 45, pour rendre raison à un homme qui menaçait de mort une locataire, dans l’immeuble du n° 2.

Interpellé, il a été conduit au commissariat.

Aucun blessé n’est à déplorer.

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Union121203a- Marne
Nuit agitée pour les pompiers rémois

REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims ont eu une nuit de dimanche à lundi particulièrement chargée.

Vers 23 heures, ils sont intervenus rue du 106e RI pour une voiture en flammes puis vers minuit avenue Bonaparte à hauteur de l’intersection avec l’avenue d’Epernay pour un feu de détritus sur la voie publique.

A 2 h 15, ce lundi, ils ont été requis pour un véhicule en stationnement entièrement embrasé toujours avenue Bonaparte au quartier Croix-Rouge

. A 6 h 35, c’est au quartier Wilson qu’ils se sont rendus pour trois gros conteneurs à ordures qui étaient en flammes. Le sinistre a été éteint au moyen d’une petite lance. A 7 h 15, ils se sont déplacés dans le quartier des Châtillons pour un feu de local vide-ordures au 32, avenue Georges-Hodin. Ils ont rapidement éteint le feu puis ventilé les communs de l’immeuble avant de regagner leur centre de secours.

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Union121202a- Marne
FOOTBALL / Division d’Honneur Bertolino, le présent face au passé

Un derby contre le Stade de Reims (B) : un match au parfum particulier pour Joffrey Bertolino.
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Retrouver Joffrey Bertolino ailleurs qu’au Stade de Reims, ce fut l’un des petits événements de l’intersaison. Le fils de Jean-Pierre s’était fait un prénom au sein du club auquel il avait toujours été fidèle en dehors de deux brèves parenthèses à Moissy-Cramayel et à Tinqueux. Cet après-midi (14 h 30 à Marcel-Thil), c’est avec Sainte-Anne qu’il défiera pour la première fois de sa carrière une équipe rouge et blanche, Reims (B), pour le choc de la phase aller du championnat.

Joffrey, confirmez-nous qu’il s’agit bien d’un match particulier pour vous ?

« C’est clair : dès que le calendrier est sorti, j’ai regardé à quel moment nous allions jouer Reims. Je l’ai coché. Ce match a une saveur particulière. »

« Les outsiders, c’est nous »

Dans quelles conditions avez-vous été amené à quitter le Stade ?

« L’équipe redescendait de CFA2 et l’objectif était de faire de la formation. Moi, j’ai 25 ans donc je ne suis plus dans cette ligne. On m’a dit que les jeunes étaient prioritaires. J’ai compris la politique du club et j’ai même trouvé cette décision normale. Je ne l’ai pas mal pris. »

Vous étiez tout de même prêt à rester ?

« Si l’on m’avait proposé de rester au club pour encadrer les plus jeunes et continuer mes activités à l’école de foot, il n’y a aucun problème, je serais resté. »

Qu’est-ce qui vous a amené vers Sainte-Anne ?

« J’aurais pu rester en CFA2. J’avais été sollicité par des clubs du Nord. J’ai été également contacté par des clubs de la région évoluant en DH. Après avoir beaucoup réfléchi, j’ai pris la décision de rester sur Reims. J’ai contacté Frank Rosenthal par l’intermédiaire de Maxime Zézé-Kipré et ça s’est fait avec Sainte-Anne. Au dernier moment. »

Vous continuez de suivre le parcours de votre ancienne équipe ?

« C’est le premier résultat que je regarde. Elle a perdu des points en début de saison mais depuis quelques semaines, on sent que la machine s’est mise en marche. Notre adversaire le plus dangereux, ce sera le Stade. De toute façon, face à une équipe redescendant de CFA2, les outsiders, c’est nous. Même avec un match en retard à disputer. »

Cet après-midi, pensez-vous pouvoir éviter un petit pincement au cœur ?

« Je vais essayer de ne pas faire de passes à mes ex-coéquipiers (rires). Plus sérieusement, j’attendais ce match depuis longtemps. Je vais retrouver des personnes que je connais bien et ce sera un grand plaisir de les voir. Ensuite, il y aura un match à jouer. Un match où nous avons les moyens de faire mal au Stade. Ce sont deux équipes qui jouent. Il devrait donc y avoir du jeu et des occasions de but. Je pense que les spectateurs auront droit à un bon match qui s’approchera du niveau CFA2. »

14 h 30 : Reims Sainte-Anne - Stade de Reims (B) (Marcel-Thil) ; Sézanne - Eclaron ; Prix-lès-Mézières - Bogny ; reportés : Tinqueux - Saint-Mesmin ; Taissy - Chaumont ; Bar-sur-Seine - Cormontreuil et Bazeilles - Romilly.

DIVISION D’HONNEUR REGIONALE

Poule A : Côte des Blancs - Tournes ; Chooz - Cernay-lès-Reims ; Rethel - Sedan Torcy ; Argonne FC - Villers-Semeuse ; Faux-Vésigneul/Pogny - Deux Vireux ; reporté : Charleville - Epernay (B).

Poule B : ASPTT Châlons - Etoile Chapelaine (Saché) ; Langres - Marnaval ; Eclaron (B) - Vaux-sur-Blaise ; ASPTT Chaumont - Saint-Julien ; La Chapelle - Nogent-sur-Seine ; Sainte-Savine - Aube Sud Loisirs.

PROMOTION DE LIGUE

Poule A : Le Chesne - Tinqueux (B) ; Espérance Rémoise - Revin (Eglantines) ; Bogny (B) - Vivier-au-Court ; Witry-lès-Reims - Balan ; reportés : Nouvion - Prix (B) et Cormontreuil (B) - Maubert-Fontaine.

Poule B : Aÿ - Saint-Martin/La Veuve ; Vanne Pays d’Othe - Dormans ; Dienville - Marocains Châlons ; Marnaval (B) - Avize/Grauves ; CO Châlons - Espérance Saint-Dizier (Lauvaux) ; reporté : Couvrot - Cheminots Bragards.

DIVISION D’HONNEUR FEMININE

Reims Sainte-Anne - Chaumont (Géo-André) ; Troyes - Saint-Memmie.

1re SERIE

Rilly-la-Montagne - Taissy (B) ; Nord Champagne - Sillery ; Reims Sainte-Anne (B) - Reims Chalet Tunisie (Eglantines) ; Dizy - Reims Christo ; reportés : Mourmelon/Livry - Argonne FC (B) ; Reims Murigny Franco-Portugais - Sézanne (B) et Sermaize - Vitry.

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Union121201a- Marne
Retrouver la voie dans le Nord

Aïssa Mandi de retour dans un quartier qu’il connaît bien cette semaine. Il a promis aux dizaines d’enfants de faire de son mieux contre Valenciennes ce soir.
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Si ce soir, un bon résultat dans le Nord est plus que souhaitable, cette semaine les Stadistes n’auront pas oublié leur mission éducative auprès du jeune public.

La dernière fois que les joueurs du Stade de Reims avaient côtoyé les plus jeunes licenciés du Reims Espérance, c’était le 6 octobre dernier. Plusieurs jeunes licenciés du club rémois avaient joué les escortes pour les professionnels marnais et niçois juste avant le coup d’envoi au stade Delaune. On jouait alors la huitième journée de championnat et le Stade l’avait emporté trois buts à un.

C’est d’ailleurs la dernière fois que l’on a entendu les travées de Delaune rugir de plaisir pour fêter une victoire des siens. Comme un symbole, cette semaine, Aïssa Mandi, Mohammed Fofana et Julien Ghisolfi ont retrouvé les plus jeunes licenciés du Reims Espérance pour un après-midi d’échanges. Histoire de partager l’amour de leur sport et ravir la plus jeune génération mobilisée pour l’événement au cœur du quartier Croix-Rouge.

« Les enfants ont gardé un très bon et très grand souvenir du dernier match à Delaune. Une fois encore, ils sont ravis de pouvoir passer quelques heures avec eux. Et, bien évidemment, ils seront derrière les Stadistes pour qu’ils reviennent avec un bon résultat de Valenciennes », assure Karim Et-Touil, responsable de l’école de football du Reims Espérance qui rassemble plus de 70 jeunes de tous les quartiers de Reims.

Mandi à domicile

Parmi les trois Stadistes qui avaient effectué le déplacement au complexe Géo-André, un en particulier faisait un véritable retour aux sources : Aïssa Mandi.

Enfant du quartier, Aïssa a passé de nombreuses minutes avec les gamins pour leur parler de son parcours et de tout ce que lui a apporté le sport et le football en particulier. L’enfant du quartier, 21 ans, pressenti pour être retenu dans la sélection algérienne a couru, joué, échangé, signé des autographes. Fofana et Ghisolfi ont joué le jeu également. « C’est important de voir que ces joueurs n’oublient pas d’où ils viennent et prennent du plaisir à prendre de leur temps pour les enfants », continue Karim, aux anges comme les gamins présents sur le terrain stabilisé mercredi. Soutenir des actions locales, répandre la bonne parole, les joueurs du Stade de Reims savent le faire. Charge à eux, dès samedi pourquoi pas, de s’éloigner aussi de la zone de relégation.

Th.D.

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Union121130c- Marne
A 16 ans, il fume déjà cinq joints par jour

(Photo d’illustration) Christian Lantenois
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REIMS (Marne). Mercredi matin, une habitante de la rue Pierre-Taittinger a découvert treize grammes de résine de cannabis dans un pot appartenant à son fils de 16 ans. Une dispute a éclaté, mais l’ado a opposé une telle résistance à sa mère que la police a dû être appelée à la rescousse.

Interrogé par la brigade des stupéfiants, le jeune homme a reconnu fumer du cannabis depuis le début de l’année. Actuellement, il tourne à cinq joints par jour et achèterait 10 à 15 grammes chaque semaine auprès d’un dealer du quartier qu’il n’a pas voulu dénoncer. Il se réservait une partie de la drogue, distribuant le reliquat à plusieurs de ses copains.

Malgré son jeune âge, le mineur est déjà bien connu des services de police.

Présenté mercredi soir au parquet, il a été écroué dans l’attente de son procès pour usage et revente.

 

 

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Union121130b- Marne
Tennis (Epernay) / Du monde à la Nautique

Rendez-vous toujours autant prisé de la fin d’année sur la terre battue du Quai de l’Ile Belon, le tournoi de la Société Nautique Epernay a rassemblé quelque 140 participants.

« Nos effectifs sont stables mais, s’il y a eu une baisse chez les messieurs, je note avec plaisir une nette hausse chez les dames puisque nous sommes passés de 34 en 2011 à 50 cette année », lâche, ravie, la juge-arbitre Catherine Crozat.

Bécret y retourne, encore

Annoncé indécis, le tableau masculin aura comme favoris Simon Pierre (Reims Europe Club), Guillaume Durant (Bétheny) et Lucas Henry (Géo-André,) tous classés à la limite des inscriptions (5/6).

Mais, ils auront tout intéret à se méfier des deux 15 du TC Reims, Laurent Cailleux et Nicolas Aubry, grands spécialistes de la surface ocre.

Ouvert jusqu’à 15, le tableau féminin devrait se régler à ce classement entre Leslie Lancelot (TC Reims) et les sociétaires de l’URT, Marie Pithois et surtout Charlotte Becret, finaliste malheureuse des deux dernières éditions.

A moins que la Seine-et-Marnaise, Stéphanie Piddidu (15/1, La Ferté-sous-Jouarre), ne mette tout le monde d’accord.

Dimanche, 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 15 h 30 : finale hommes.

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Union121130a- Marne
INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-offi - ciel.gouv.fr/MarchesPublics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant 10 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
3) Objet du marché (marchés de maîtrise d’oeuvre) : mission de maîtrise d’oeuvre pour l’aménagement de locaux tertiaires et des logements, quartier Croix-Rouge à Reims (51).
4) Délai d’exécution des travaux : le maître d’oeuvre indiquera dans son offre le délai global d’exécution de la prestation sur lequel il s’engage.
5) Critères de choix des offres : conjoint avec mandataire solidaire. Si le groupement attributaire du marché est d’une forme différente, il pourra se voir contraint d’assurer sa transformation pour se conformer au souhait du pouvoir adjudicateur tel qu’il est indiqué ci-dessus.- Valeur technique pour 60 %,
- Coût des prestations pour 40 %.
6) Conditions de participation : en cas de groupement, la forme souhaitée par le pouvoir adjudicateur est un groupement

Il est interdit aux candidats de présenter plusieurs offres en agissant à la fois :
- En qualité de candidats individuels et de membres d’un ou plusieurs groupements ;
- En qualité de membres de plusieurs groupements.
Cette clause d’exclusion ne s’applique pas aux bureaux d’études (fl uides, techniques…)
7) Date limite de remise des offres : 17 décembre 2012 à 17 heures.
8) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 27 novembre 2012.
51AO1964330

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Union121129b- Marne
Un grand campus « Pour une visibilité nationale, et même plus ! »

Thierry Duvaut : « Avec 18 000 étudiants et 1 500 personnels, ce sera une vraie petite ville ! »
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REIMS (Marne). L’Urca souhaite que le futur grand campus rémois devienne une sorte de référence de (très) haut niveau en matière de développement durable. Rencontre avec Thierry Duvaut, le vice-président chargé du dossier.

Où en est le projet (colossal) de grand campus universitaire à Reims ? Le vice-président chargé du dossier à l’Urca, Thierry Duvaut, répond à nos questions :

Comment se présente votre calendrier ?

Thierry Duvaut  : « Nous avons un chef de projet depuis un mois et demi, et nous sommes en phase de sélection des prestataires en matière de conseil. Ils doivent officiellement commencer leur travail début décembre. Fin février, nous devrions être en mesure de communiquer sur la trame générale du projet, la vision définitive devant être arrêtée en mai. »

Quelles sont les grandes lignes du cahier des charges ?

« Un des points essentiels pour nous, c’est l’aspect développement durable : que ce soit dans la consommation d’énergie bien sûr, le recyclage des déchets et autres éléments du même genre, mais aussi plus globalement dans la conception de la vie dans ce campus. Je rappelle qu’il est appelé à accueillir 18 000 étudiants et 1 500 à 2 000 personnels, une vraie petite ville ! Et sous cet angle, nous avons l’ambition de réaliser un campus innovant, offrant une visibilité nationale, et même pourquoi pas internationale ! »

Quelques pistes de réflexion plus concrètes ?

« Un de nos souhaits est de faire entrer les services publics dans l’université, comme la poste, par exemple, la crèche, ou l’épicerie sociale que veut ouvrir l’association Intercampus. »

Et en matière d’infrastructures, avez-vous des souhaits particuliers ?

« Ce n’est pas mentionné explicitement dans le cahier des charges, mais nous pensons qu’il serait souhaitable de disposer d’une grande Maison de l’étudiant, offrant tous les services en un seul lieu, une sorte de guichet unique bien que le terme soit un peu galvaudé. »

Comme ce que la Ville a mis en place rue du Général-Sarrail ?

« Oui, ça, c’est très bien au moment des inscriptions, notamment pour accueillir les étudiants étrangers. Notre souhait c’est d’avoir un lieu qui puisse assurer cet accueil tout au long de l’année, et qui contribuerait aussi à rendre l’Urca plus visible. »

Recueilli par Antoine PARDESSUS

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Union121129a- Marne
Fuite de gaz

La police, les pompiers et GrDF sont intervenus allée des Bourguignons, hier vers 17 h 30, en raison d’une fuite de gaz sur un compteur du n° 14.

L’appareil aurait été volontairement dégradé.


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