par Administrateur
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L’avenue du Maréchal-Juin sera mise en sens unique dans le sens Koenig vers et jusque la place Donatini à partir de ce lundi 28 février jusqu’au vendredi 4 mars afin d’effectuer des travaux de reprise de voirie.
Cette intervention avait été prévue de longue date sur la période des vacances scolaires afin de limiter les contraintes de circulation.
Une déviation sera mise en place.
Ecrivain, historienne et journaliste, Laure Adler est l’auteur de plusieurs biographies de femmes importantes (Hannah Arendt, Marguerite Duras).
Le jeudi 10 mars, elle sera présente à Reims dans le cadre des Rencontres Passerelles, pour y présenter la face mystérieuse et cachée de Françoise Giroud.
Deux moments dans la journée sont prévus : une rencontre impromptue avec dédicace à la librairie « Rose et son Roman », rue Chanzy à partir de 18 h 15, et un dialogue avec Gérard Lemarié dans le cadre des Rencontres Passerelles à partir de 20 h 30.
Il est prudent de réserver ses places sur le site internet www.passerelles.net, 7 jours avant la manifestation.
Les pompiers n’ont pas chômé ces deux derniers jours avec une douzaine de sorties pour des incendies.
Jeudi vers 3 h 30 du matin, une Fiat Fiorino a brûlé rue Xavier-Dizy. A 17 heures, une benne s’est enflammée boulevard d’Alsace-Lorraine à Cormontreuil.
A 21 h 30, un fourgon a flambé rue François-Legros. Un suspect est en garde à vue.
Vers 22 heures, un feu de cheminée s’est déclaré à Marfaux, un autre hier midi rue des Remparts à Warmeriville.
A 0 h 45, des pneus ont été incendiés chemin de Saint-Léonard à Reims.
Au même moment, un feu de détritus a failli se propager à une auto sur le parking de la piscine Croix-Rouge.
Dans le même quartier à 5 heures, des papiers ont brûlé dans un local de l’allée des Bourguignons tandis qu’à 6 h 30, un scooter a été incendié dans un hall d’immeuble, rue du 106e RI à Orgeval
Vers 9 h 30, un ventilateur a pris feu dans une chambre froide de la société avicole des Eleveurs de la Champagne, route de Pomacle à Caurel. Aucun dommage au bâtiment n’a été déploré, mais une bonne cinquantaine de tonnes de carcasses sont bonnes à jeter.
A 14 heures, retour à Reims avec un feu de plancher dans les combles d’une habitation avenue de Paris. Un locataire va devoir être provisoirement relogé. A 14 h 10, la hotte d’une cuisine a pris feu rue du 45e R.I à Fismes. À 15 h 10, un feu de voiture s’est déclaré rue Joseph-Haydn au quartier Wilson de Reims.
Hier soir enfin, plus de peur que de mal au 11, rue du 106e R.I. où un feu est survenu vers 22 heures dans un appartement d’un immeuble appartenant au Foyer Rémois, dans des conditions que l’enquête devra déterminer. Le sinistre, qui s’est déclaré dans la cuisine de l’appartement du rez de chaussée, a provoqué d’importantes fumées qui ont incommodé sept chiens dont quatre chiots dont plusieurs ont été dirigés vers un vétérinaire. Les pompiers ont rapidement circonscrit le sinistre et ventilé les lieux.
JUSQU’AU 12 MARS : « LUX PARADISO »
Une expo dans laquelle Carole Chaix (plasticienne et illustratrice) et Franck Prévot (auteur) invitent les visiteurs à entrer dans leur livre pour découvrir ses coulisses et ses secrets, s’y perdre et s’y retrouver…
Une exposition pour petits et grands amoureux… amoureux des livres, amoureux du cinéma, amoureux de la poésie… et amoureux tout court aussi !
Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue J-Louis Debar
Un tournoi de basket-ball est organisé dimanche 27 février par l’association Rencontres interculturelles de Reims (RIRe) au gynase Roland-Bourgoin, rue François-Mauriac à Croix-Rouge, sous l’animation de Joseph Cakpo, Valéry Bourgeois et Ali Boukhedoumi.
Début des épreuves à 12 h 30, fonctionnement par équipes de cinq joueurs et deux remplaçants, à partir de 17 ans.
Inscription : 2 € par joueur.
Renseignements et contact au 06.59.0529.78. ou au 06.1029.14.92.
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Une fois encore, comme en 2009, le collège François-Legros a hébergé l’exposition « Grandes résistantes contemporaines », proposée par le conseil régional : 25 photos de femmes de différents pays accompagnées de leur biographie, pour découvrir des figures emblématiques de lutte et de résistance à toute forme d’oppression, de vies consacrées à défendre des valeurs qui devraient fonder nos sociétés.
Cette expo, réalisée par le photojournaliste Pierre-Yves Ginet qui a rencontré ces femmes, était visible dans les couloirs de l’établissement avec des textes d’accompagnement et, pour l’essentiel, dans le Centre de documentation et d’information animé par Hayat Elhila, documentaliste.
Chacune de ces résistantes, des femmes à l’engagement exemplaire, a été « adoptée » par un ou une élève du niveau 6e qui l’a présentée à un groupe de femmes de l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge, femmes venues visiter l’exposition au collège.
De grands moments d’émotion pour les élèves comme pour les adultes.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
 Il y avait foule à l’inauguration en présence des auteurs.
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L’exposition présentée à la médiathèque Croix-Rouge sous le titre « Lux Paradiso », est ouverte jusqu’au 12 mars.
Paradiso est un album (Éditions l’Édune) et Lux Paradiso, un reportage original sur ses coulisses. Carole Chaix (plasticienne, illustratrice) et Franck Prévot (auteur) invitent les visiteurs à entrer dans leur livre : c’est un vrai régal pour les yeux, de la poésie partout, sur les murs, en vidéo, dans les vitrines…
« Notre objectif est d’amener des jeunes à la lecture par la découverte d’un album très ludique, tendre et amusant », déclare Jean-André Ithier, conservateur de la médiathèque. « Nous apprécions que le quartier Croix-Rouge ait été choisi pour cette présentation car il existe ici un vrai partenariat avec l’Education nationale et ses Réseaux de réussite scolaire », précise Carole Chaix.
Quant à Franck Prévot, à travers l’histoire d’amour entre Maurice et Mona, avec leurs difficultés de communication, il voit dans cette opération « un hommage à tous les amoureux ».
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre jusqu’au 12 mars. www.lux-paradiso.com
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BETHENY : Dans un but de prévention, la commune renforce sa politique d’accompagnement des jeunes en s’appuyant sur des acteurs efficaces et des outils adaptés.
A travers les ateliers périscolaires mis en place par l’Accueil de Loisirs Communal pour les élèves des écoles primaires, ou par le biais du Secteur Jeunes qui propose aux 12-16 ans dans le cadre du Foyer de la Passerelle des activités de leur âge, la commune de Bétheny accorde de l’importance à l’accompagnement des jeunes dans leurs temps de loisirs. Non seulement parce qu’il permet de développer leur socialisation et leur curiosité, mais aussi parce qu’il constitue un moyen de prévention contre l’incivisme, un jeune qu’on écoute et qu’on occupe restant à l’écart d’actes auxquels il pourrait être porté par désœuvrement. En janvier 2011, la municipalité a décidé de s’engager davantage encore dans cette voie en prolongeant son action vers les 17-25 ans. Ce nouveau dispositif coordonné par Pierre Wanschoor s’adresse en particulier à ceux qui sont en rupture ou en échec scolaire, ou pénalisés dans leur recherche d’emploi par un niveau de formation insuffisant. « Cela touche aussi des jeunes qui ont été mal orientés, qui n’aiment pas leur travail, qui se posent des questions sur leur avenir. Voire même des filles qui se retrouvent enceintes et ne savent pas comment réagir. »
Si la commune n’a pas le pouvoir de résoudre instantanément leurs problèmes, elle peut en revanche leur donner un premier niveau d’informations, leur proposer des solutions, les mettre en relation avec ses partenaires : les éducateurs de prévention et les assistantes sociales du Département, le Pôle Emploi, la Mission Locale, etc. Ce rôle de « porte d’entrée » est d’autant plus concevable que les responsables et les animateurs connaissent bien les jeunes de la commune, et réciproquement. Pour mener à bien ce projet, le Secteur 17-25 ans a fait appel aux éducateurs spécialisés de l’association 2 Mains, qui effectuent déjà pour la Ville de Bétheny, la Ville de Reims et Plurihabitat l’Effort Rémois une action de médiation sur le chemin des Bouchers. La mission de bons offices de cette association, connue et appréciée pour sa réactivité, sa grande compétence et ses bons résultats, consiste cette fois à accompagner individuellement chaque jeune dans son parcours vers la formation ou l’emploi. Cinq jeunes sont aujourd’hui suivis dans ce cadre. À la demande de la municipalité, 2 Mains est par ailleurs chargée d’une mission d’expertise sur le public des 17-25 ans à Bétheny.
> 2 Mains : devenue une véritable entreprise associative de l’économie sociale et solidaire, elle rayonne sur Reims, Épernay, Châlons et Vitry-le-François. Ses objectifs : créer des accompagnements éducatifs permettant aux jeunes les plus en difficultés de construire au mieux leur avenir, créer des liens 419 entre le monde économique et le monde social et éducatif. www.assos2mains.fr
> Unis Cité : présente en Champagne-Ardenne depuis 2007, elle met en place le service civique volontaire au service des acteurs de l’intérêt général sur le territoire. Ses objectifs : favoriser l’esprit de responsabilité et l’engagement citoyen, lutter contre les préjugés et renforcer la cohésion sociale, mobiliser la jeunesse face aux besoins sociaux et environnementaux. www.uniscite.fr
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L’AS Croix-Rouge et le Reims judo ont accueilli la deuxième manche du challenge rémois sur les tatamis du gymnase Richelieu.
Six clubs, 240 jeunes de 6 à 16 ans, ont participé à ce regroupement.
La troisième et dernière manche aura lieu le 16 avril.
La médiathèque Croix-Rouge propose régulièrement des animations en direction des enfants à partir de 4/5 ans et même pour les bébés.
Mercredi 2 mars à 10 h 30, pendant l’heure du conte, Julie raconte « Grigrigredinmenufretin », un conte de Grimm (Éditions Gautier-Languereau), interprété en Langue des signes française par Cyril Schuer. Pour tous à partir de 5 ans.
Mercredi 9 mars à 11 heures, la Ronde des albums est consacrée au Moyen-Âge, pour les enfants à partir de 4 ans.
Mercredi 16 mars à 15 heures, le théâtre d’images proposera « Le cadeau de Caro », pour tous à partir de 4 ans.
Samedi 26 mars à 9 h 30, l’heure des bébés est un moment de lecture tendresse pour les tout-petits et leurs parents. Les bibliothécaires les accueillent en dehors des heures d’ouverture de la médiathèque, avec des histoires à lire ensemble. Pour les 6 mois/3 ans et leurs parents (durée : environ une demi-heure).
Mercredi 30 mars à 16 h 30, une séance de diapositives titrée « Guillaume le Ménestrel », sur un texte de C. Martin et des dessins de J. Parello-Marneix, sera proposée aux jeunes à partir de 4 ans.
Toutes ces activités sont gratuites, mais une inscription préalable est obligatoire au 03.26.35.68.51.
Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.
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Demain, jeudi 24 février, les amateurs de rock ont rendez-vous au centre culturel du Crous, rue de Rilly-la-Montagne, sur le campus Croix-Rouge.
Un concert sera organisé à leur intention à partir de 21 heures, par trois étudiants de l’IUT, de la filière « assistance pilotage de projet ». « Ce concert entre dans le cadre de nos études, indique l’un des membres du trio organisateur, Loïc Antoniak ; dans ce contexte, nous travaillons toujours pour un client, là il s’agit du Suac, le Service universitaire pour l’action culturelle ».
A l’affiche trois groupes de rock donc, du cru rémois : This is not Hollywood (qui participait dernièrement à l’expédition promotion organisée par le conseil régional à Rennes à l’occasion des Transmusicales), Cleveland, et Shivamoon.
Cette animation a lieu pendant les vacances universitaires, mais ceci n’inquiète pas trop les jeunes organisateurs : « En fait, explique Loïc, au départ ce concert devait avoir lieu le 15 février, mais à cette date ce n’était pas facile de réunir les groupes, car ils sont composés principalement d’étudiants ; c’était plus facile en période de vacances. »
D’où le nouveau choix du 24. Reste à savoir si à cette date les spectateurs de leur côté, ne seront pas trop nombreux à être partis loin de Reims.
A.P.
Concert pop/rock (This is not Hollywood, Cleveland, Shivamoon) et expo photos (« Force vive »), jeudi 24 février à 21 heures au centre culturel du Crous, rue de Rilly- la-Montagne. 3 euros.
Numéro 7382 du 21 au 27 février 2011.
Société à responsabilité limitée unipersonnelle
au capital de 1.000 €uros
Siège social : 77 rue de la Libération 51110 BOURGOGNE
R.C.S. Reims 514 198 530
Aux termes d’une décision de l’associé unique en date du 28/01/2011, la gérance a été autorisée à transférer le siège social de la société sus-visée dans le ressort du greffe, au 4 rue Nicolas Appert - 51430 TINQUEUX, à compter du 01/02/2011.
Pour avis et mention : 93235 La gérance.
Lors de son assemblée générale ordinaire du 31 décembre 2010 les associés de la société M.T.P, Marne Travaux Publics, société à responsabilité limitée au capital de : 4.000 €, N° SIRET : 520 129 065 00014, code Ape : 4312A, ancien siège social 33 avenue Général Eisenhower - 51100 REIMS, ont décidé de transférer le siège social : nouveau siège social : 8 B rue Emile Cheysson - 51100 REIMS, à compter du 1 janvier 2011.
93304 Pour avis : Le gérant.
Société à responsabilité limitée unipersonnelle
au capital de 4.500 €uros
Siège social : 43 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS
R.C.S. Reims 493 792 659
Aux termes d’une décision de l’associé unique en date du 28/01/2011, la gérance a été autorisée à transférer le siège social de la société sus-visée dans le ressort du greffe, au 4 rue Nicolas Appert - 51430 TINQUEUX, à compter du 01/02/2011, adresse à laquelle se trouve désormais le siège et établissement principal.
Pour avis et mention : 93233 La gérance.
au capital de 4.000 €.
siège social : 8 allée du Vignoble -51100 REIMS, R.C.S. REIMS 522 032 234.
Selon A.G.E. du 01/01/2011, modification de la dénomination sociale de "SOCIÉTÉ INTERIM EMPLOI" en "SIE", suppression du sigle : SIE, et modification de l’objet social : intérim, travail temporaire, prestation temporaire du personnel intérimaire en entreprise générale de bâtiment, maçonnerie, rénovation, peinture, électricité et tout corps d’état donné en sous-traitance.
Mention sera faite au R.C.S. de REIMS.
93341
1) MAITRE D’OUVRAGE : SA d’HLM LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.
2) OBJET DU MARCHE : "Résidence Joséphine", Avenue Bonaparte St Bruno Croix Rouge à REIMS -Construction de 49 logements.
3) RESULTATS : Lot Entreprise Générale - SAC, 02320 ANIZY LE CHATEAU - 4.575.500,00 € H.T.
4) DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION 16 février 2011.
93307
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Une remise de diplômes nationaux à des parents d’élèves s’est déroulée à l’école Ravel (quartier Wilson). Ces parents, d’origine étrangère, ont participé à l’opération « École ouverte aux parents pour réussir leur intégration » portée par le collège François-Legros, dans le cadre des actions du Réseau de réussite scolaire. Ils ont tous brillamment réussi (douze reçus sur douze inscrits) et le Diplôme initial de langue française (DILF) leur a été remis par Mme Berthiot du Centre académique pour l’accueil et la scolarisation des familles étrangères (CASNAV), représentant l’inspectrice d’Académie.
Beaucoup d’émotion et de joie, partagées par Mmes Barchain et Dilmann, directrices du groupe scolaire Ravel et Jean-Raphaël Nicaise, principal adjoint du collège François-Legros. Ce dernier précise : « Ce diplôme atteste de compétences initiales en langue française, acquises au cours d’une formation de 120 heures de langue, dispensée au sein de l’Ecole par Mme Brun, enseignante spécialisée dans l’apprentissage du français, langue étrangère pour les nouveaux arrivants. D’où la fierté pour ces parents de recevoir ce qui est parfois leur premier diplôme et celle de leurs enfants qui reconnaissent le courage de leur père ou de leur mère à s’inscrire dans ce parcours ». Cette action, financée par l’État, a été mise en place à la rentrée 2009 dans sept Réseaux de réussite scolaire marnais afin d’encourager les parents issus de l’immigration à plus d’autonomie par une meilleure pratique de la langue. Ils ont également reçu une information sur le fonctionnement de la société en France et sur le système scolaire, dispensée par des enseignantes, afin de les aider à mieux exercer leurs droits et leurs devoirs de parents et au delà, à concourir à une meilleure réussite des enfants à l’école.
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Des travaux d’aménagement des espaces extérieurs sont en cours, place Toulouse-Lautrec et Yves-Gandon avec en particulier la création d’allées, la mise en place de rampe pour handicapés et l’installation de nouveaux éclairages.
« Ces travaux résultent d’une concertation avec l’Amicale des locataires des Hauts-de-Murigny, portant sur la reprise des différents espaces, le réaménagement et l’embellissement dans le cadre d’un programme pluri annuel », précise-t-on chez Reims habitat.
La tranche en cours concerne notamment les abords de résidences mises en vente au profit des locataires (Lautrec, Gandon), et permettra de rendre ces espaces accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Les quatre anciens passages traversants sont de ce fait devenus inutiles, d’où leur fermeture début février.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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« ON a beaucoup galéré. C’est la première fois qu’Acao accompagne ce type de projet », explique Monique Dieuleveux. La vice-présidente de l’association Art et culture d’Afrique de l’Ouest accompagne la dizaine de jeunes, sept filles et trois garçons, âgés de 18 à 22 ans, qui participent à cette première expérience humanitaire d’aide au développement du Sénégal, soutenue par la Ville de Reims, via son service jeunesse.
« Je vais être un peu la grand-mère qui veille à leur bien-être. Pour beaucoup, c’est leur premier grand voyage. Ils seront logés dans des cases en dur et ils mangeront… à la sénégalaise ! »
Sur place, ils vont consacrer la majeure partie de leur temps à des actions d’amélioration du cadre de vie des enfants du quartier : décoration du mur d’enceinte de l’école primaire construite avec l’aide d’Acao. Animations de rue pour les enfants déscolarisés, pour lesquelles ils apportent des jeux et des jouets. Ils visiteront l’île de Gorée, découvrant les conditions de vie en esclavage. Via Internet, les jeunes Rémois ont noué des liens avec des lycéens de M’Bour qu’ils vont retrouver.
Deux animateurs accompagnent le groupe : Dorothée Boudot, du service jeunesse de la Ville, et Amdy Seck, membre d’Acao et musicien : « Voir tous ces jeunes réunis, ça me fait chaud au cœur. Je connais ceux qui partent et ceux qui sont là-bas. Je vais jouer le rôle de lien entre les deux groupes. Je souhaite que la communication passe bien : le côté humain est très important », assure-t-il.
Pour financer les frais de passeport et de vaccins, ils ont mis en place des actions : « Nous avons vendu des bijoux sénégalais, réalisé des paquets-cadeaux, organisé une matinée récréative avec Acao », confie Charlotte, 20 ans, qui se sent « à la fois heureuse et excitée à l’idée de cet échange, une vraie rencontre ». Hassan Errettat, élu délégué à la jeunesse, est venu leur dire au revoir : « Une expérience enrichissante sur le plan culturel et humain. Une belle étape dans la construction de la vie de ces jeunes Rémois ».
Sylvie Nero, très émue, regarde partir son fils Maxime, élève en bac pro vente au lycée Joliot-Curie : « Je suis hyper fière ! Il s’investit beaucoup dans tout cela. Ça le passionne ».
« Je pars pour me rendre compte des différences entre les cultures sénégalaises et françaises. Et aussi apporter mon aide », ajoute le jeune homme. Première étape de l’aventure : le départ, samedi, en covoiturage, jusqu’à l’aéroport…
Un différend entre concubins a dégénéré samedi dernier dans un appartement du quartier Croix-Rouge, place Dominique-Ingres. Le couple se connaît depuis cinq ans, fait vie commune depuis un an, mais rien ne va plus au sein du ménage.
Samedi matin, l’homme a voulu récupérer un téléphone portable qu’il avait offert à la victime. Il aurait arraché l’appareil de ses mains avant de la frapper d’un coup de genou et de trois coups de poing à la tête. La demoiselle a fui l’appartement pour appeler la police d’une cabine téléphonique.
A l’arrivée de la patrouille, Sofiane Marmouche, 23 ans, n’était plus là. Il a été retrouvé à proximité, place Jean-Fragonard.
La jeune femme a subi un jour d’incapacité totale de travail. D’après ses déclarations, elle était régulièrement frappée depuis qu’elle vivait avec son ami.
Jugé hier en comparution immédiate (son casier comporte quinze condamnations, dont trois pour des violences), l’homme a écopé d’un an de prison ferme alors qu’il contestait les faits, et devra verser 800 € à la plaignante.
D’une pierre, les policiers ont fait deux coups car Sofiane Marmouche faisait l’objet d’un extrait de jugement l’ayant condamné à quatre mois de prison pour une conduite en état alcoolique à Paris. S’agissant d’une peine prononcée par défaut, il a pu faire opposition avec délivrance d’une nouvelle convocation devant le tribunal. En revanche, il a été écroué pour purger les douze mois ferme pris hier.
Avant-propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…)
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant article 28 du C.M.P. REIMS-HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet des marchés : marché de maîtrise d’oeuvre pour la requalification et réfection des dalles des garages G1 et G2 et de l’esplanade et cour Eisenhower - Quartier Croix-Rouge à Reims (51).
4) Les variantes ne sont pas autorisées.
5) Forme juridique des candidats : groupement conjoint avec mandataire solidaire. Il est interdit aux candidats de présenter plusieurs offres en agissant à la fois :
en qualité de candidats individuels et de membres d’un ou plusieurs groupements,
en qualité de membres de plusieurs groupements.
La clause d’exclusivité n’est pas applicable aux bureaux d’études qui peuvent présenter une candidature dans plusieurs groupements.
La maîtrise d’oeuvre devra s’adjoindre obligatoirement ( sauf si les compétences sont détenues en interne et à apporter et démontrer lors de la remise de la candidature) d’un ou de plusieurs bureaux d’études fluides pour la réfection des réseaux EP et EU des garages G1 et G2, vidéo protection, d’étanchéité et d’un paysagiste pour toute la partie des espaces verts.
6) Délai d’exécution des prestations : la durée globale prévisionnelle d’exécution du marché de maîtrise d’oeuvre est de 16 mois.
7) Date limite de remise des offres : le 10 mars 2011 à 17 heures.
8) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 18 février 2011.
51AO1812438
Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’H.L.M. au capital de 3.200.000 euros, inscrite au R.C.S. sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, BP 324, 51061 Reims cedex.
Objet du marché : Réhabilitation d’un bâtiment de bureaux avenue Robert-Schuman à Reims (51100).
Réf. : DG-011010.
Procédure : Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Code CPV (marché européen) : 45000000-7.
Il est porté à la connaissance du public que l’appel d’offres relatif au marché cité ci-dessus a été déclaré infructueux.
L’EFFORT RÉMOIS, après ré-étude du projet, lancera une nouvelle consultation qui fera l’objet d’un nouvel avis de marché.
Pour tout renseignement administratif contacter : service marchés : Madame GALLOIS au 03.26.04.99.05, Madame FORRAY au 03.26.05.92.33, Monsieur MEUNIER au 03.26.04.99.82.
Date d’envoi du présent avis à la publication : le 26 janvier 2011 au J.O.U.E. et aux J.A.L. L’UNION (éditions Marne, Aisne, Ardennes), L’AISNE NOUVELLE, L’EST ECLAIR (10), L’EST REPUBLICAIN (55), le JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (52) et le MONITEUR.
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 Larbi Ait-Yahia, chef du service propreté urbaine : « Les sanctions vont tomber ! »
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La séance du mercredi 16 février a commencé par le cri d’alarme des co-animateurs Alain Bisteur et Alain Boudroit : « Notre conseil de quartier fonctionne mal ! La participation des conseillers de quartier est insuffisante. Bien souvent, nous nous retrouvons de deux à cinq participants aux réunions et animations : il faut plus d’échanges entre les élus et les habitants ! »
Avec l’installation de nouveaux conseillers, il faut espérer que cet appel sera entendu. Le sujet principal de la soirée a été la propreté de la ville et du quartier.
Emmanuel Debaty, directeur aux activités du déchet et du nettoiement à Reims Métropole, et Larbi Ait-Yahia, chef du service propreté urbaine ont, avec beaucoup de conviction, présenté « le baromètre de satisfaction » commandé par la Ville auprès du Cabinet Carrard service, avec un audit sur la propreté de septembre 2009 à mars 2010.
Trois passages différents sur plus de deux cents rues de Reims ont permis une notation de l’état des trottoirs, des chaussées et du mobilier urbain.
« Les résultats ont été paradoxaux, avec des notes de 9,32/10 puis 9,30/10 et enfin 9,72/10 qui ne semblaient pas correspondre à l’avis général des Rémois (exemple, 9,75/10 à Croix-Rouge) ! Il fallait donc approfondir encore pour rechercher une plus grande efficacité ! »
« Nous allons maintenant demander votre aide : aidez-nous à travailler en donnant votre avis objectif de riverain et nous interviendrons au mieux et au plus vite. Plus nous aurons d’interventions de votre part, plus nous serons efficaces ! »
Pour cela, des feuillets de « diagnostic en marchant » ont été imprimés et les habitants sont invités à les remplir à leur gré et à les retourner à la direction des déchets et de la propreté (3, rue Arthur-Décès), à l’hôtel de ville (service Démocratie locale), dans les annexes de la mairie, ou simplement dans les boîtes murales « Conseil de quartier » des différents espaces de la Maison de quartier (Billard, Watteau…).
Il sera possible encore de les transmettre par télécopie au 03.26.77.70.66. ou par Internet à l’adresse : dechet-proprete@reimsmetropole.fr
Cette « propreté participative » est pour l’instant une initiative unique en France. Les habitants ont dix jugements à porter, avec des notes de 0, 5 ou 10 sur les trottoirs (déjections canines, mauvaises herbes, feuilles mortes, détritus mégots et papiers, dépôts sauvages), sur la chaussée (bande de roulement, caniveau) et sur le mobilier urbain (corbeilles à papier, graffitis, espaces chiens).
Certains participants ont fait part de leur scepticisme comme Claude Stoltz, de l’association des locataires de Croix-Rouge, qui a dépeint un tableau calamiteux de la propreté sur les secteurs Eisenhower, Taittinger et Rilly.
Les intervenants ont été formels : « Nous avons fait de la communication. Nous avons fait de la prévention. Place maintenant à la répression : nous avons six agents municipaux à temps plein, opérationnels et bien équipés, dont l’unique mission est la propreté et l’environnement. Ils commencent à sévir : 38 euros pour des sacs dans la rue hors collecte, des bacs sortis et qui restent dehors à plein-temps, des crottes de chiens non ramassées. Un dépôt sauvage a valu à son auteur identifié un PV de 1 500 euros ! » Qu’on se le dise !
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Depuis la prolifération des portables avec appareil photo incorporé, un « amusement » très en vogue au sein de la population masculine est de photographier en douce les parties sexuellement attirantes d’inconnues croisées dans la rue ou ailleurs.
Un électricien a-t-il succombé la tentation ? Oui, si l’on en croit une employée d’un établissement scolaire du quartier Croix-Rouge à Reims. Il y a quelques semaines, l’agent est venu à l’école Joliot-Curie pour relever des compteurs. Alors qu’il s’affairait à cette mission, une dame vaquant à ses propres occupations se trouvait à côté de lui. Elle portait une jupe.
A un moment, elle s’est baissée. C’est alors qu’elle affirme avoir surpris l’individu avec un portable à la main, positionné de manière à prendre une photo de ses dessous.
Saisis d’une plainte, les services de police ont convoqué l’agent incriminé. Il a plus ou moins contesté les faits. D’après ses déclarations, l’idée de photographier sous la jupe lui aurait bien traversé l’esprit, au point de sortir son appareil, mais il avait finalement renoncé à appuyer sur le bouton.
Aucune photo litigieuse n’a été retrouvée dans le mobile (sachant toutefois qu’il s’est écoulé de longues semaines entre la date des faits et l’audition du suspect). L’agent a été convoqué au palais de justice pour faire l’objet d’un rappel à la loi.
Photographier sous les habits d’une personne, sans son consentement, est caractéristique d’une « atteinte à l’intimité de la vie privée par fixation d’une image ». La peine maximale encourue devant le tribunal correctionnel est d’un an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Vendredi vers 16 heures, des planches ont brûlé dans une maison désaffectée de l’impasse Fosse-Dienne.
Ce même jour à 20 heures, une Citroën Xantia s’est embrasée rue Pierre-Taittinger. Deux véhicules ont été touchés par propagation.
Une heure plus tard, le poteau d’une station de bus a pris feu rue Alfred-Gérard à Bezannes.
Un feu de poubelle a suivi juste après minuit rue Henry-Royer. Vers 3 h 15, des détritus et une haie ont pris feu rue Sully. S’agit-il du même auteur ?
Les pompiers sont retournés rue Sully à 4 h 30 pour éteindre un feu de poubelle.
Une autre poubelle a brûlé vers 7, h 30 devant le collège Maryse-Bastié.
En fin de matinée, une grosse fumée noire s’est élevée au-dessus des terrains vagues de la rue de la 12e-Escadre-d’Aviation. Elle provenait d’un feu de pneus. Les pompiers ont procédé à l’extinction.
Vers 16 h 30, leur intervention a de nouveau été requise car des individus sont revenus mettre le feu au tas de pneus.
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Avec leur animation autour du dessin animé américain Les Simpson, ils ont eu le nez creux : mardi soir, ces étudiants de RMS ont rempli le grand amphi de l’école de commerce !
Ils avaient invité les voix françaises d’Homer et Marge, Philippe Peythieu et Véronique Augereau, pour une séance de doublage en direct, d’interviews et de jeux de questions.
Il s’agissait de marquer le lancement de la radio de l’école OnAirMs et on peut dire que les organisateurs ont réussi leur coup.
Grosse affluence dans le grand amphi pour rencontrer les « voix » françaises d’Homer et Marge.
Photos Remi WAFFLART
Pour la réception de Moreuil demain (11e journée), le président des Rapaces, François Bock, revient sur la saison de ses protégés et sur ses attentes relatives à l’équipe fanion du Roller Hockey Reims.
Quel regard portez-vous sur le parcours du RHR jusqu’alors ?
« Nous n’avons pas eu de retard au démarrage cette année. Nous avons pris des points importants de suite et c’est ce qui explique notre bonne place aujourd’hui. De plus, nous n’avons pas usé de jokers. »
Qu’attendez-vous pour la suite de l’exercice ?
« J’attends du groupe une participation aux play-offs bien sûr, mais, au-delà, je souhaite qu’il joue la montée. Ce sera dur, c’est certain, mais je pense que cette année nous en avons vraiment les moyens. »
La victoire est-elle impérative demain soir ?
« Disons qu’il serait préférable de gagner pour ne pas subir de coup d’arrêt dans notre série en cours en championnat. Mais ce sera un match difficile, et tout le monde en est conscient. Ils seront revanchards car nous les avons battus à l’aller chez eux, mais j’ai confiance en ce groupe. »
DEMAIN, 20 H 30, GYMNASE FRANÇOIS LEGROS
REIMS : Haas, Garcia-Prieto, Duplant,Tarte, Godefroy, Basset, Lexcellent, A. Capitaine, V. Capitaine, Rogé, Rivard, Lacuisse, Maujean,Tran, Fayault.
11° JOURNÉE.
Demain, 19 heures : Maisons-Lafitte — Paris XIII ;
20 heures : Viry — Lille,Tours — Pont-de-Metz, 20 h 30 : REIMS — Moreuil.
Les championnats de la Marne se dérouleront demain à partir de 14 h 30 au gymnase François-Legros de Reims.
JUSQU’AU 12 MARS : « LUX PARADISO »
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Une expo dans laquelle Carole Chaix (plasticienne et illustratrice) et Franck Prévot (auteur) invitent les visiteurs à entrer dans leur livre pour découvrir ses coulisses, ses secrets et ses prolongements, s’y perdre et s’y retrouver…
Une exposition pour petits et grands amoureux… amoureux des livres, amoureux du cinéma, amoureux de la poésie… et amoureux tout court aussi !
Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis Debar
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Roller/hockey N1 : les Rapaces veulent enchaîner
Le week-end dernier, en match en retard de la 3ème journée de N1, Reims a largement dominé Pont-de-Metz (12-1), lanterne rouge de la division.
Grâce à cette victoire, les Rémois s’installent sur la 1ère marche du podium en compagnie de Paris XIII.
Ce samedi 19 février, les Rapaces accueillent Moreuil (5ème).
Reims - Moreuil, samedi 19 février à 20h au gymnase François Legros. (entrée gratuite)
Le club Ados (de 11 à 15 ans) est dirigé par Karim Medaouar (renseignements à l’espace Pays-de-France) : programme d’activités des vacances du 21 février au 4 mars, de 13 h 30 à 17 heures.
Lundi 21 février, cinéma ;
mardi 22 février et mercredi 23 février, atelier multimédia ;
jeudi 24 février, multisport au gymnase Roland-Bourgoin ;
vendredi 25 février, rallye. C’est une manifestation importante (jeux concours sur des thèmes : scientifique, culturel et sportif). « Il s’agit de regrouper tous les jeunes des secteurs d’activités de la Maison de quartier Croix Rouge (secteur sport, Club Ados, proximité Croix-du-Sud et la Nacelle) » précise Slimane Hamdi, responsable de l’espace Pays-de-France : « Le rallye se déroulera au gymnase Léo-Borniet à Croix-du-Sud et il est préparé par David Gameiro et son équipe ».
Lundi 28 février, atelier cuisine ;
mardi 1er mars, jeux en plein air ;
mercredi 2 mars, laser game ;
jeudi 3 mars, aquaboulevard ;
vendredi 4 mars, atelier cuisine.
Participation familiale : Avec bon CAF, 15 euros. Sans bon CAF, 40 euros.
Animations Parents/Enfants. Tous les vendredis de 15 h 30 à 17 heures, Cécile l’animatrice référent familles propose aux parents de partager des moments avec leurs enfants de 0 à 4 ans, autour d’activités manuelles, d’ateliers cuisine, de spectacles, de sorties…, de rencontrer d’autres parents, de pouvoir partager leur expérience sur l’éducation des enfants et d’exprimer certaines de leurs questions et difficultés éventuelles.
Vendredi 18 février, préparation du carnaval, réalisations de masques.
Tarifs : animations gratuites après adhésion (12 euros à l’année).
Tél : 03.26.36.03.50 ou 06.47.71.53.00, demander Céline.
Multi-Accueil : le multi-accueil sera ouvert la première semaine des vacances scolaires de février du lundi 21 au vendredi 25 février. Comme c’est la journée de la langue maternelle, le lundi 21 février à partir de 9 h 30, les parents sont invités à venir chanter ou raconter des chants ou comptines dans leur langue d’origine. Inscriptions obligatoires.
Accueil de loisirs : l’accueil de loisirs de l’Espace Watteau (3 à 12 ans) sera ouvert du lundi 21 février au vendredi 5 mars. Les inscriptions sont en cours.
Les programmes de tous les secteurs de la Maison de quartier Croix-Rouge (famille, enfance, club ados,…) sont sur le site internet www.maisondequartier-croix-r… qui est actualisé en permanence.
Au collège Joliot-Curie, le conseil d’administration de mardi a été marqué par un incident : neuf membres (sept enseignants, un parent, un personnel de service Atos) ont quitté la salle au moment du vote sur la répartition des dotations horaires d’enseignement.
Ils entendaient ainsi protester contre la suppression de deux classes à la rentrée prochaine et l’augmentation des effectifs dans les classes restantes.
Selon le secrétaire de la section Snes FSU de l’établissement, la dotation horaire du collège a donc été votée par seulement sept membres du conseil (les représentants de la commune et du conseil général ont refusé de prendre part au vote).
Avant de quitter la salle, une motion demandant l’ouverture d’une nouvelle classe de 4e et le maintien d’une classe de 3e découverte professionnelle avait été lue.
Aujourd’hui jeudi 17 février, les protestataires distribueront des tracts à l’entrée du collège.
A.P.
51L1810955
PHILIPPE CONTANT
Administrateur judiciaire
33, rue deTalleyrand - 51100 Reims
etude.contant@contant-philippe.fr
Par ordonnance en date du 19 mai 2010, Monsieur le Président du tribunal de commerce de Reims a désigné Maître Philippe CONTANT, administrateur judiciaire, 33, rue de Talleyrand, 51100 Reims, en qualité d’administrateur provisoire de la S.N.C. LE BONAPARTE, dont le siège social est avenue du Général-Bonaparte, centre commercial Pays de France, 51100 Reims, immatriculée au R.C.S. de Reims sous le n° B
500952411.
La Compagnie Zygom’Art, en association avec l’Acrap à Croix-Rouge, propose un atelier théâtre pour enfants, animé par Thierry Werhung, metteur en scène et auteur de plusieurs spectacles, spécialisé depuis quinze ans dans le théâtre pour enfants.
Ses objectifs : développer la capacité expressive du corps et de la voix par des jeux théâtraux stimulant l’écoute, le rythme, la concentration, la confiance en soi et en l’autre, l’imagination avec, à la clé, la création et la présentation d’un spectacle.
Les cours se dérouleront à l’Acrap, 11, avenue du Président-Kennedy, le mercredi de 10 h 30 à 12 heures.
Contact au 0326.88.27.17.ou 06.31.05.98.35.
Pré-inscriptions à l’Acrap au 03.26.06.39.54.
Numéro 7381 du 14 au 20 février 2011.
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En 2006, l’OPAC de Reims est devenu Reims Habitat, une nouvelle étape dans l’histoire du bailleur dirigé actuellement par Patrick Baudet (photo).
RAPPEL HISTORIQUE
De 1956 à 1960, 200 logements sont construits chaque année puis 260 de 1961 à 1965. L’Office atteint la barre des 5 000 logements en 1971, et 7 000 en 1975. En 1980 l’Office parvient à 9 500 logements, la priorité est désormais moins la construction quantitative de logements que la gestion rigoureuse et la relation efficace avec la clientèle.
En 1993, l’OPHLM a été transformé en OPAC (Office Public d’Aménagement et de Construction), le patrimoine comprend 12 000 logements. Depuis 2008, pour toutes ses constructions neuves de plus de 5 logements, Reims habitat a décidé de solliciter le label « Habitat et Environnement » délivré par Cerqual. En application du Grenelle de l’environnement, l’ensemble des immeubles actuellement réali-sés par Reims habitat bénéficie en outre de niveaux de performance thermique parmi les plus élevés (niveau BBC, label Effinergie, Passivhaus). Pendant ses 90 ans, Reims Habitat a ainsi réalisé plus de 12 000 logements locatifs, dont 5 résidences pour personnes âgées, 4 résidences universitaires, 2 foyers de jeunes travailleurs….
PROJETS
Entre 2011 et 2016, 1 200 logements seront mis en service, soit 200 chaque année. Parmi ces projets, des rénovations à Croix-Rouge (2013), des constructions à Bazancourt (2012), le site du Vieux-Port, au bout de la rue de Venise (150 logements, résidence pour 200 étudiants), et la construction d’un Bâtiment Basse Consommation à Orgeval (2013).
L’atelier informatique de la médiathèque Croix-Rouge s’adresse, pour sa prochaine séance jeudi 24 février de 14 à 16 heures, aux possesseurs d’appareil photo numérique qui souhaitent apprendre à transférer leurs photos sur leur ordinateur, à les classer et à les retoucher.
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.
Entrée gratuite sur inscription à la médiathèque ou au 03.26.35.68.43. (Ne pas oublier d’apporter son appareil photo et le câble pour le relier à l’ordinateur). Reims
Aujourd’hui, les rames circuleront de 11 heures à 18 h 30. Demain, jeudi et vendredi de 6 à 14 heures.
Agrandir la photo
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La mise en service technique du tramway a eu lieu hier à midi. Jusqu’au vendredi 15 avril, veille de l’inauguration, les 18 rames vont circuler au plus près du réel mais sans prendre de voyageurs. Elles s’arrêteront à chaque station, simuleront une ouverture de portes et repartiront.
« Fait nouveau : on pourra les voir circuler à partir de 5 h 30 et jusqu’à 1 h 30 du matin », souligne Christian Messelyn, président de Mars, société concessionnaire.
Les choses vont commencer en douceur. Hier et aujourd’hui, les rames ont prévu de sortir de 11 heures à 18 h 30. Demain, jeudi et vendredi, on les verra de 6 à 14 heures. « Ensuite, les rames rouleront selon quatre plages horaires : de 5 h 30 à 14 heures, de 10 h 30 à 19 heures, de 13 heures à 21 h 30 et de 20 h 30 à 1 h 30. Certains jours, toutes les plages fonctionneront, d’autres jours seulement une, deux ou trois. Il faut s’attendre à voir le tramway à toute heure du jour. »
Autrement dit, il faut arrêter de se balader le nez en l’air sur la plateforme, de pédaler entre les rails, de se garer sur les voies ou encore de traverser sans regarder. « Il va maintenant rouler à vitesse réelle, plus rapidement que pendant la première phase d’essais. » Soit de 30 à 70 km/h selon les tronçons.
Il roulera le samedi et le dimanche. Y compris au milieu des Rémois qui font du shopping le samedi après-midi : « Cela ne nous inquiète pas. On était sorti le mercredi premier jour des soldes et il n’y a pas eu de problème. »
Pour ceux qui l’ignorent encore, il y a deux lignes de tramway. La ligne A « hôpital-Orgeval » circulera par moments à une cadence de 6 minutes : « C’est la cadence qu’elle aura aux heures de pointe quand le tram sera en service. » La ligne B « Gare TGV/Gare Centrale » s’exercera à passer toutes les 18 minutes.
Pour cette semaine, Transdev a prévu de faire circuler 12 rames d’essai, auxquelles il faut ajouter 3 rames de tram-école. La circulation de 6 à 8 rames est programmée samedi et dimanche.
C.F.
Pendant les deux semaines des vacances de février, Elham Kouch, animatrice « Familles » de l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge propose, avec ses collaborateurs, 7 ateliers de deux heures chacun, de 15 à 17 heures, au 1, allée des Béarnais.
Chaque atelier accueillera un maximum de 18 participants. Tarifs : adhésion famille obligatoire 12 euros et participation de 1 euro par personne et par atelier.
Le programme
Mardi 22 février, atelier cuisine (crêpes).
Jeudi 24 février, atelier créatif (collage et coloriage).
Vendredi 25 février, atelier jeux de société.
Lundi 28 février, diffusion du dessin animé Raiponce.
Mardi 1er mars, atelier cuisine (boule à la noix de coco).
Jeudi 3 mars, atelier créatif (masques de Mardi-Gras).
Vendredi 4 mars, atelier jeux de société et goûter (chacun devra apporter un goûter qui sera partagé avec l’ensemble des participants).
Renseignements et inscriptions préalables auprès d’Elham Kouch, à l’espace Pays-de-France, 1, allée des Béarnais, tél. 03.26.82.53.48.
Samedi 19 février à 9 h 30, l’heure des bébés proposera un moment de lecture tendresse pour les tout-petits et leurs parents. Les bibliothécaires les accueilleront avec des histoires à lire ensemble en dehors des heures d’ouverture de la médiathèque, 19, rue Jean-Louis-Debar.
Pour les 6 mois-3 ans et leurs parents (durée : environ une demi-heure).
Entrée libre mais inscription préalable au tél. 03.26.35.68.51.
Les Francas de Lorraine Champagne-Ardenne organisent des sessions de formation. Formation générale animateurs : du 20 février au 27 février à La francheville en demi-pension ; mêmes dates au centre de loisirs de Saint Roch à Chaumont avec possibilités d’internat ou demi-pension ; vacances Pâques (à déterminer) à la Maison pour tous de Brienne-le-Château en demi-pension ; du 16 avril au 23 avril à Sedan en demi-pension ; du 25 juin au 2 juillet à Reims en demi-pension ; mêmes dates au centre de loisirs de Saint. Roch à Chaumont avec possibilités de l’internat ou demi-pension.
Approfondissement animateurs : multithématique du 21 février au 26 février à la Maison commune du Chemin-Vert à Reims en demi-pension. Formations pour les directeurs : base du 13 juin au 21 juin à la maison de quartier Maison-Blanche à Reims avec possibilité d’internat ou demi-pension ; perfectionnement du 28 février au 5 mars même endroit.
Pour tout renseignement, s’adresser aux Francas 29, rue Pierre-Taittinger à Reims, tél. 03.26.85.55.18 ; courriel : francas.champagne.ardenne@wanadoo.fr ; ou www.francaslca.net
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A l’issue des interrégionaux de Boccia qui se sont déroulés au Creps de Reims le 15 janvier dernier, quatre jeunes Marnais se sont qualifiés pour participer au championnat de France qui aura lieu à Laval du 10 au 13 mars 2010.
« Tous ces joueurs ont un lourd handicap et ont besoin d’un assistant » explique Annette Richet, du comité Marne Handisport. « Le handisport est très peu médiatisé, et pourtant il existe des champions très méritants aussi, comme chez les personnes valides ». D’où l’appel lancé afin de trouver des aides financières pour permettre leur participation. Par ailleurs, à la suite de la création d’une section handisport à l’Olympique Rémois de tennis de table, une journée découverte sera organisée au complexe René-Tys le 30 avril de 13 à 18 heures. A cette occasion, deux champions handisport viendront effectuer une démonstration : Claire Mairie (debout), championne du monde et Maxime Thomas (fauteuil), triple médaillé au championnat du monde 2010.
Comité départemental handisport, 10, rue de Rilly-la-Montagne à Reims. Tél. 03.52.45.72.50.
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Infatigable randonneur, Vincent Girardin, président de l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge, présente le programme des sorties pédestres de la nouvelle saison.
Ce dimanche 20 février, boucle de la Forêt à Hautvilliers (12 km), départ à 8 h 30.
13 mars, boucle du Cadran et boucle du Gros-Mont à Courtagnon (10 km), départ à 8 h 30.
27 mars, Abbaye de Vauclair (12 km), départ à 8 h 30 prévoir pique-nique.
10 avril, Abbaye d’Igny (12 km), départ à 8 h 30 prévoir pique-nique.
1er mai, Sermiers (10 km), départ à 8 h 30.
22 mai, les maisons Troglodytes (12 km), départ à 8 h 30 prévoir pique-nique.
Du 2 au 5 juin, week-end dans les Vosges.
26 juin, Saint-Gobain, les quatre Abbayes (12 km), départ à 7 h 30 prévoir pique-nique.
3 juillet, pique-nique.
4 septembre, la « Promenade George-Sand » ou « les Dames de Meuse » (12 km).
Départ à 7 heures, prévoir pique-nique.
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Le Groupement des associations de défense des locataires (GADL) s’est réuni mardi dernier dans les locaux de l’association At’Hom, allée Yves-Gandon, pour un tour d’horizon.
Ce rassemblement, déclaré officiellement Loi 1901, regroupe des associations rémoises des trois organismes logeurs, le Foyer rémois, l’Effort rémois et Reims habitat. Il a pour objet d’étudier les points qui préoccupent chaque structure sur son territoire respectif, d’échanger sur les différents modes d’intervention et de mener des réflexions communes sur des demandes et des dossiers qui n’auraient pas été satisfaits par les bailleurs. Les associations membres s’apportent aide et soutien en participant ensemble aux rencontres, visites et réunions de tous genres et en tous lieux sur un principe de solidarité.
Le GADL a enregistré au cours de la dernière saison deux départs : l’amicale Alphonse-Naudin, présidée par Jacques Lagel, et l’amicale Maryse-Bastié, présidée par Claudette Verniolle, toutes deux avec des locataires De l’Effort rémois.
Il reste donc un noyau de cinq associations d’origine : « At’Hom » (Effort rémois) des Hauts-de-Murigny, présidée par Danielle Bonfils ; « les Polygones » (Effort rémois), présidée par Bernadette Erard ; « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de-France » (Foyer rémois), présidée par Roseline Marandon ; « L’Union des locataires Croix-Rouge » (Reims habitat) du secteur Eisenhower-Université, présidée par Claude Stoltz ; Les « Jardins suspendus » (Reims habitat) du secteur avenue de Laon, présidée par Michel Pétrel. Entre-temps, le GADL a reçu l’adhésion de deux nouvelles associations : « Les Boisseliers » (multibailleurs) du secteur Murigny, présidée par Gérard Lacroix, et « Du Champ Paveau » (Effort rémois) de Tinqueux, présidée par Alain Moreau.
Cette nouvelle composition a contraint le GADL a désigné une nouvelle trésorière en remplacement de Claudette Verniolle.
À l’unanimité, c’est Marie-Noëlle Dimanche (At’Hom) qui a été désignée à ce poste pour un intérim jusqu’à la prochaine assemblée générale.
Roseline Marandon, qui préside le GADL, rappelle que toute association de défense des locataires qui voudrait rejoindre l’équipe actuelle sera la bienvenue, qu’elle soit ou non membre d’une fédération nationale. Il suffit de contacter Michel Pétrel (03.26.09.50.21.), Gérard Lacroix (06.81.07.26.89.), Danielle Bonfils (03.26.86.10.03.) ou Roseline Marandon (06.72.74.65.66.).
Être entendus par les bailleurs
« L’union fait notre force et, avec sept associations à son actif, le GADL représente de très nombreux locataires. Il demande donc à être présent et entendu aux conseils de concertation et d’administration des organismes logeurs », proclame Gérard Lacroix. C’est une proposition qui va être mise à l’étude cette saison.
Précisément, les administrateurs ont décortiqué les affirmations jugées mensongères contenues dans un tract et une profession de foi distribués aux locataires lors de la dernière élection des représentants de locataires auprès des organismes logeurs.
Une mise au point va être rédigée qui fera apparaître le travail réel et les résultats concrets des associations du GADL.
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REIMS (Marne). L’information n’avait que peu fuité mais les responsables de l’hippodrome et du Stade de Reims comptent bien profiter du terrain vacant. Un projet de plus.
ON ne compte plus les projets, les idées et les perspectives autour de la base aérienne 112. Cette fois, ce ne sont plus la CCI ou des communes qui avancent de nouvelles propositions mais les responsables de l’hippodrome ainsi que les dirigeants du Stade de Reims.
Lors du dernier G15, le 7 février dernier, réunion placée sous l’égide du préfet de Région, Michel Guillot, un nouveau projet a donc été avancé. A l’initiative de ce projet, un grand nom du monde équin rémois, Luc Mazaud, bien connu autour des pistes de l’hippodrome. Et justement d’hippodrome, il en est question. Ce dernier a en effet dans l’idée de transférer purement et simplement les pistes rémoises sur les 540 hectares de la base aérienne. « Il s’agit de créer un espace innovant et vivant autour du sport et du thème de l’équitation en particulier. » Pour le moment, il s’agirait d’accueillir une écurie permettant de recevoir des cavaliers professionnels et des chevaux, une clinique vétérinaire, un centre équestre, l’hippodrome de Reims. Bref, à terme il en serait fini des 17 hectares dévolus au monde équin, avenue du Président-Kennedy, dans le quartier Croix-Rouge pour rejoindre les verts pâturages de la périphérie de l’agglo.
Si le départ des militaires débutera au 30 juin 2011, il faudra néanmoins attendre un an de plus avant qu’un quelconque entrepreneur ne puisse poser ses godets sur l’emprise militaire. Toujours est-il que Luc Mazaud est prêt à commencer les travaux « dès juin 2012 ». Le projet Mazaud est « en capacité de s’intégrer à d’autres projets, il respecte les conventions avec le monde agricole et prévoit des partenariats pour la paille et le foin, tout en se servant de l’immobilier existant ». Par ailleurs, et c’est une chose à ne pas négliger dans le contexte actuel, la piste du terrain d’aviation « pourrait être conservée » le cas échéant pour l’aviation d’affaires. Ce projet se veut évolutif. En effet, un espace commercial sur le thème du cheval ainsi qu’une résidence haut de gamme serait dans les cartons. Un projet de plus sur la table des négociations. Un projet de poids puisque les cadres de l’hippodrome pourraient s’ouvrir de belles perspectives sur les 540 hectares de l’emprise. La municipalité et l’agglo pourraient également trouver leurs comptes dans cette délocalisation. Car 17 hectares disponibles en plein cœur du quartier le plus peuplé d’une ville qui manque encore de logements neufs, cela pourrait être alléchant.
Thomas DUPRAT
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Bezannes, maintenant la BA 112, la délocalisation de l’hippodrome hors de la ville revient sur la table régulièrement. Le dernier rebondissement a eu lieu le 7 février dernier lors du comité de site.
L’hippodrome qui partirait de l’avenue Kennedy, ce n’est franchement pas une idée nouvelle. Le débat revient même régulièrement sur la table. Depuis l’arrivée de la nouvelle équipe et par extension la fin de l’ère Schneiter, les choses n’ont cessé de bouger. Durant la précédente mandature, il avait longtemps été question du déménagement de l’hippodrome vers la Zac de Bezannes.
L’affaire paraissait même ficelée lorsque l’ancien maire avait décidé de geler le projet. A l’époque, ce transfert avait été estimé à 30 millions d’euros. Mais cela ne veut pas dire que les ardeurs des responsables de l’hippodrome étaient retombées pour quitter le quartier Croix-Rouge. Dans nos colonnes, le 18 juin 2008, Gilles Jeziorski,, le président de l’hippodrome avait déclaré qu’il était « favorable à un transfert sur un autre endroit ».
Il faut bien dire que s’il y a bien un élu qui serait favorable à cela, c’est Michel Guillaudeau, le représentant du PCF, qui, en mai 2007 avait lancé le premier pavé dans la mare en évoquant « la construction de 900 logements sur près de 7 hectares, une zone artisanale d’un hectare ainsi qu’une modification de la voirie ».
Projet qui pourrait fort bien être relancé si l’hippodrome obtenait son déménagement sur le site de la BA 112.
Reste à parler du montant de cet hypothétique transfert et surtout qui mettra au pot ? Public, privé, mix des deux ?
Officiellement, le bail de l’hippodrome court jusqu’au 31 décembre 2017. La Ville a parfaitement le pouvoir de le résilier avant.
Ce dossier mérite d’être étoffé et développé, débattu.
L’hippodrome de Reims organise chaque année en moyenne pas moins d’une vingtaine de journées de courses, dont certaines revêtent une portée nationale.
Th. D.
25 personnes à la balade urbaine de Croix-Rouge
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Une balade urbaine s’est déroulée le 11 janvier dernier dans le secteur Eisenhower. Cette balade, initiée par la direction de la Politique de la ville, a permis aux locataires de Reims Habitat ainsi qu’aux conseillers de quartier d’interroger Eric Quénard, 1er adjoint à la maire de Reims et Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat, sur les aménagements en cours dans ce quartier concerné par les opérations de renouvellement urbain.
REIMS VITAL’ADO : Des animations dans ton quartier
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RVA revient pour les vacances de printemps. Du 19 au 29 avril, les jeunes âgés de 12 à 16 ans pourront participer librement et gratuitement à des activités sportives, artistiques et culturelles dans les quartiers Maison- Blanche, Orgeval, Clairmarais, Europe, Chemin vert, Croix-Rouge, Croix-du- sud, Wilson, Epinette et Trois-Fontaines. Cette édition de printemps est totalement gratuite et nécessitera aucune inscription préalable. De plus, les organisateurs (Ville de Reims, Maisons de quartier, associations) tiendront un stand sur chaque site afin de présenter le dispositif et de répondre à toutes les questions sur les modalités de participation à l’édition de cet été.
Activités proposées : Golf street, foot, reportages, volley-ball, artisanat, guitare, peinture, ateliers cirque. Les activités se déroulent de 14 h à 18 h.
Plus de détail sur les lieux de pratique et les inscriptions pour RVA été 2011 sur le www.reimsvitalado.fr
Maison de quartier Croix-Rouge
La Maison de quartier Croix-Rouge accueille les enfants de 3 à 12 ans durant les vacances de février. Ainsi du 21 février au 4 mars, les enfants pourront participer à des activités diverses : sport, éveil artistique…
Attention les inscriptions débuteront à partir de février.
Tous les renseignements au 0326360350.
12 personnalités honorées de la médaille de la Ville
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Douze personnalités rémoises ont été honorées de la médaille de la Ville pour leur engagement ou action dans les domaines de la solidarité, du sport, de la culture ou de la vie associative de notre cité.
Le colonel Jean-Michel Meyer, commandant de la base aérienne 112, Kamel Medaouar et Yves Brossard, auteurs d’un acte de courage pour avoir sauvé deux personnes de la noyade, Daniel Schirmann, président de l’As Wilson-Maison Blanche, Jeannine Catry, membre de l’Acrap, Evelyne Coqueret, licenciée à l’EFSRA et championne de cross, Pierre-Alexandre Busson alias Yuksek, piliers de la scène musicale rémoise, Marie-Hélène Wieczorek, de l’association culturelle protestante, Vivette Frammery, présidente par intérim de l’association Oncobleuets, Jean-Claude Chaise de l’association Unafam, Michel Tartar, médecin psychiatre et Jacqueline Leriche, fondatrice de Fripe Emmaüs.
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L’accès à la salle municipale Croix-Rouge, avenue François Mauriac, est difficile, tant il y a d’ornières.
Descendre de voiture et accéder à la salle sans patauger dans l’eau les jours de pluie relève de l’exploit.
Cette salle est très fréquentée, il faut la réserver plusieurs mois à l’avance.
Pour le confort des habitants qui s’y réunissent (assemblées générales, fêtes de famille, événements associatifs, conseils de quartier,…), il serait bienvenu de boucher tous ces trous qui évoquent plus une inondation qu’un jour de fête ?
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Un appartement a subi d’importants dommages en raison des fumées, hier, aux alentours de 14 heures, lors d’un incendie qui s’est déclaré dans sa cuisine, au 3e étage d’un immeuble en comptant dix, situé au 2 de l’allée Edgar-Degas, à Reims.
Les flammes ont été rapidement maîtrisées par les sapeurs-pompiers, mais la façade du bâtiment a néanmoins été endommagée jusqu’au 5e étage. Quatre personnes ont en outre été incommodées par les fumées et transportées au centre hospitalier pour des examens de contrôle.
L’origine de l’incendie est accidentelle. C’est en l’occurrence une friteuse qui a pris feu pour une raison indéterminée alors qu’une mineure de 16 ans était en train de préparer des frites. Tous les occupants de l’appartement devront être relogés.
F.B.
Deux mineurs seront mis en examen le 15 mars prochain pour vol avec violence en réunion, lors de leur comparution devant le juge des enfants de Reims. Ils sont mis en cause dans l’agression de deux jeunes garçons perpétrée le 30 juin dernier dans la cité des sacres, rue Joliot-Curie. Ce jour-là, ils avaient volé le vélo de leurs victimes croisées sur leur chemin et pour parvenir à leurs fins, l’un d’eux avait alors frappé l’un des jeunes garçons.
Mais quelques minutes plus tard, l’un des deux auteurs présumés avait été interpellé par les policiers alors qu’il circulait au guidon du vélo de sa victime. Placé en garde à vue, il avait non seulement reconnu les faits, mais aussi fini par livrer l’identité de son complice. Complice que les enquêteurs ont d’ailleurs eu du mal à localiser.
Plus de 7 mois après les faits, ce n’est que mercredi que celui-ci a finalement été épinglé par les policiers. Entendu dans les locaux de l’hôtel de police, il a reconnu le vol, mais en niant toutefois avoir commis des violences sur l’une des jeunes victimes.
Quant au vélo sur lequel il était reparti, il aurait été volé, selon lui, sur le palier de son domicile le lendemain des faits.
F.B.
Les Rapaces affronteront demain (20 heures à François-Legros) pour la seconde fois en quinze jours les Greenfalcons de Pont-de-Metz.
Cette rencontre en retard de la 3e journée pourrait permettre, en cas de succès, aux Rémois, 3es, d’occuper la tête de la poule.
Ils seraient alors à égalité avec Paris, les deux formations accusant encore un match de retard… l’une contre l’autre.
Mais il faudra pour cela disposer des joueurs de la couronne rémoise. Accrocheurs samedi passé, ayant même compté deux buts d’avance, les Messipontins auront à cœur d’effacer la déroute subie en seconde période et un cinglant 5-0 (score final 6-3).
Les joueurs de Laurent Lexcellent sont donc prévenus et ne devront pas passer au travers de leur entame de match s’ils veulent espérer l’emporter devant leur public.
Pour cela, ils pourront s’appuyer sur un groupe où seul manquera à l’appel Julien Tarte.
REIMS : Haas, Garcia-Prieto, Duplant, Godefroy, Basset, Lexcellent, A. Capitaine, V. Capitaine, Rogé, Rivard, Lacuisse, Maujean, Fayault, Tran.
Sécurité – Vidéosurveillance
 Au PC du centre de vidéosurveillance de Reims, 12 policiers municipaux se relaient 24h/24 et 7j/7.
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 Comme ici rue de l’Etape, des panneaux indiquent quels sont les secteurs placés sous vidéosurveillance.
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D’ici 2012, le gouvernement entend multiplier par trois le nombre de caméras de vidéosurveillance sur le territoire national. Et à Reims ?
Multiplier d’ici la fin de l’année le nombre de caméras par trois, telle est l’ambition du ministre de l’intérieur Brice Hortefeux, qui poursuit là le plan national d’équipement initié en 2007 par sa prédécesseur Michèle Alliot-Marie. Et pour ce faire, le gouvernement met cette année à la disposition des communes une enveloppe de 30 millions d’euros, soit 70% du Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD). Les 30% restants sont destinés à financer les actions locales conduites par les collectivités et les associations.
Une caméra pour mille habitants ?
Ainsi, fin 2011, le nombre de caméra sur la voie publique pourrait atteindre les 60 000 en France, soit une pour 1000 habitants. A Reims, avec seulement 36 caméras, on est encore très loin des objectifs du ministre. C’est même peu, comparé à de nombreuses autres grandes villes comme Montpellier (114), Cannes (218) ou Nice (600). C’est sous l’égide de la municipalité Schneiter que le dispositif rémois a été mis en place en février 2008. Dans la Cité des Sacres, le système est déployé dans le centre-ville (15), les alentours du Stade Auguste Delaune (4), le quartier Croix-Rouge (10) et la ZAC de la Neuvillette (7). Coût de l’investissement à l’époque : 1,8 millions d’euros. Il faut y ajouter 400 000€ de frais de fonctionnement annuel et les salaires des douze agents de police municipale qui se relaient 24h/24 et 7j/7 derrière les écrans.
Pour quelle efficacité ?
« Aujourd’hui il est très difficile de quantifier l’impact de la vidéo-surveillance » estime Eric Quénard, adjoint en charge de la sécurité publique. « Sur ce sujet, la municipalité a une position pragmatique. Le dispositif existait à notre arrivée et nous n’allions pas tout démonter. En revanche, nous avons demandé un audit dont les résultats sont attendus d’ici quelques semaines ». Ainsi, si l’élu n’est pas un partisan du tout caméra, il n’est pas non plus un opposant farouche. Pour preuve, l’adjoint était il y a quelques jours à Strasbourg afin d’évoquer le dispositif mis en place là-bas dans le cadre de l’arrivée du tramway. Pour Eric Quénard, la vidéosurveillance est donc un outil de lutte contre la délinquance mais en aucun cas la solution. « En fonction des conclusions de l’audit, on envisagera par exemple de déplacer certaines caméras existantes afin de les déployer ailleurs mais il n’est pas question d’en multiplier le nombre » indique-t-il précisant que « la machine ne peut pas se substituer à l’humain ».
Car au-delà du syndrome « Big Brother », c’est surtout le rapport coût-efficacité des systèmes de vidéosurveillance qui interroge. Selon plusieurs études, si les caméras ont un réel effet dissuasif, notamment dans les transports en commun, elles ne permettraient de résoudre qu’un nombre infime de délits. Mais surtout, les caméras permettent la sanction au détriment de la prévention, un travail en amont que seuls des personnes présentes sur le terrain sont capables de réaliser. Avec la politique du tout caméra, le gouvernement ne se trompe-t-il pas de combat en s’attaquant aux conséquences de la délinquance plutôt qu’à ses causes ?
Julien Debant
En matière de sémantique, les politiques trouvent toujours le bon mot pour nous faire rire. Afin de mieux faire accepter le choix du tout caméra, le gouvernement aurait pu se contenter d’argumenter chiffres à l’appui. Mais voilà, faute de résultats suffisamment parlant, le ministère a préféré changer de formule pour mieux faire avaler la pilule. Vidéoprotection au lieu de vidéosurveillance, c’est vrai que ça fait beaucoup moins peur. Mais il y a encore plus démagogique. Certains élus locaux n’hésitent pas à évoquer la vidéotranquillité ! Et pourquoi pas demain la vidéobonheur ?
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Que les choses soient claires. Les 177 caméras installées par MARS dans le cadre de la mise en service du tramway ne sont pas destinées à la sécurité publique. « Elles doivent apporter une aide à l’exploitation » indique-t-on chez MARS.
Ainsi, 46 caméras ont été placées à proximité des stations, 12 autres sur les parkings relais, 32 sur les zones de manœuvres et 72 réparties dans les 18 rames du tramway. La mise en place de ces dernières n’a d’ailleurs rien d’extraordinaire. Actuellement, tous les bus sont équipés de 3 à 6 appareils selon la taille du véhicule. Néanmoins, ces caméras embarquées ne sont pas là pour « apporter une aide à l’exploitation » mais bien pour dissuader les actes de vandalisme et autres délits de toutes sortes. Et si les caméras extérieures sont visionnées au poste centrale de commandement, celles-ci ne le sont pas.
En revanche, si un incident est signalé, la police peut demander à regarder les bandes.
Le Planétarium à Franchet-d’Esperey
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Condamné comme le FRAC à un futur déménagement, en raison de l’extension programmée de SciencePo, le planétarium devrait normalement trouver refuge au croisement des quartiers Courlancy et Croix-Rouge.
En effet, le planétarium devrait être abrité dans un tout nouveau bâtiment en 2013 sur le terrain de l’ancienne école Franchet-d’Esperey, à proximité de la gare TER du même nom et du tramway.
Voyage pour l’artothèque éphémère
Samedi 12 février à 11h, le SUAC vous donne rendez-vous au 9, bd de la Paix. Un car partira de la Villa Douce pour vous emmener vers le campus Moulin de la Housse, puis sur le campus Santé avant de rejoindre le campus Croix Rouge et la BU Robert de Sorbon afin de découvrir l’Artothèque éphémère, 2ème édition. Retour prévu à 13h30 à la Villa Douce pour le vernissage. Réservation au 03.26.91.84.15 ou magalie.ninin@univ-reims.fr
Aujourd’hui les cours risquent d’être perturbés dans les écoles, les collèges et les lycées de France, pour cause de grève. L’appel a été lancé au niveau national par la FSU (Fédération syndicale unitaire), rejointe par la CGT, et, dans l’académie de Reims, par le SGEN-CFDT. Ces syndicats protestent contre les dotations horaires annoncées pour la prochaine rentrée, jugées très insuffisantes. « Dans l’académie, cela équivaut à la suppression de 363 postes », indique un responsable du Snuipp-FSU. Ces 363 postes seront symboliquement enterrés cet après-midi devant le rectorat à Reims, au cours du rassemblement qui débutera à 14 heures.
Les parents d’élèves de la FCPE ont été invités à se joindre à ce rassemblement. Selon le syndicat SNES-FSU (enseignement secondaire) certains collèges seront particulièrement affectés par le mouvement, notamment Gueux, Fismes, Cormontreuil, et à Reims : Georges-Braque, où une opération collège mort a été décidée par les enseignants en assemblée générale, Pierre-Brossolette, Paul-Fort, et Robert-Schuman.
Quelques actions sont programmées dès le matin : rassemblement devant les établissements aux collèges de Fismes, à Pierre-Brossolette et à Joliot-Curie.
Le collège de Mourmelon, pour sa part, a déposé un préavis de grève pour le 15 février.
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REIMS (Marne). Une panne d’internet et de téléphone empêche les commerçants du centre de l’hippodrome de travailler. Ils perdent patience.
RIEN ne va plus au centre commercial de l’hippodrome à Croix-Rouge. Depuis lundi soir, toutes les lignes téléphoniques et toutes les connexions internet sont coupées dans tous les commerces. La panne serait la conséquence d’un incendie survenu dans une armoire électrique.
« Impossible de faire un loto ou un PMU. Impossible de vendre des cartes téléphonique et pas moyen d’utiliser les appareils à carte bleue. Je perds 3 000 euros par jour et ils ne sont pas foutus de réparer », constate David Cabaret, patron du tabac-presse Le Kennedy.
L’équipe de la pharmacie Fege à côté n’est pas mieux lotie : « On ne peut pas passer de commande de médicaments, on doit se débrouiller en utilisant nos portables personnels. On peut enregistrer les ordonnances mais on ne peut plus rien télétransmettre à la sécu donc on ne touche aucun remboursement ».
Même galère chez le coiffeur : « J’ai demandé le transfert des appels sur mon portable car plus personne ne pouvait nous joindre pour prendre rendez-vous. J’ai perdu tous les appels de la matinée de mardi, le jour où il y a le plus de prises de rendez-vous.
Si encore France Télécom avait enregistré un message pour prévenir les clients mais ils n’ont rien fait de tel. Mon téléphone sonnait occupé en permanence. Quand je pense que je paie plus cher mon abonnement commerçant pour avoir une réparation plus rapide… ».
Au supermarché Match, il y a autant de monde que d’habitude à la caisse mais toutes les cartes bancaires ne passent pas : « A partir du moment où la carte est renvoyée vers une autorisation bancaire, ça ne fonctionne pas. Assez compréhensifs, les clients paient par chèque ou en liquide mais ce n’est pas idéal », explique Mathieu Luisin, manager du magasin. Quant aux commandes, habituellement passées par ordinateur, elles sont en attente : « Je gère l’urgent en utilisant mon portable ».
Le commerçant le plus touché de l’hippodrome s’appelle Ahmed Bensaha. Il tient le Multiservice de l’hippodrome. Il vend des appels téléphoniques et des connexions internet vers le monde entier. Chez lui, plus rien ne fonctionne.
« C’est la ruine, on est en train de vendre des enveloppes, du café et des photocopies pour s’occuper », lâche un employé. Depuis lundi, 19 h 45, les cabines téléphoniques de M. Bensaha ne rapportent plus un sou : « Ils parlent de réparer vendredi, ça fait long ». C’est la question qui taraude le plus les commerçants : pourquoi France Télécom met autant de temps pour rétablir la connexion ?
Catherine FREY
« On n’a pas pu faire plus vite. Les gens s’imaginent toujours que nos gars se tournent les pouces mais pourtant on fait le maximum », fait savoir l’opérateur.
Les services techniques ont eu connaissance de la panne mardi matin : « On a appris qu’un feu de poubelle dans une cave au 35, rue Taittinger avait provoqué la fonte des câbles électriques et de nos câbles téléphoniques. Le tout se trouvait dans une armoire à proximité ». Les techniciens seraient bien venus réparer dans l’heure mais ils n’avaient pas accès : « Un périmètre de sécurité a été mis en place à cause des câbles électriques. Nous avons dû attendre qu’EDF intervienne avant de pouvoir opérer ».
Les équipes de France Télécom ont passé la journée d’hier à reconnecter entre eux des centaines de fils. En fin d’après-midi, ils annonçaient avoir tout rétabli.
 Exercice de recherche de victimes d’avalanche pour les Bac Pro « Sécurité et prévention ».
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Faire découvrir à ses élèves les métiers de la sécurité en haute montagne : Frédéric Sadouet, professeur d’éducation physique et sportive au lycée Joliot-Curie, y songeait depuis quelques années.
Avec l’aide de ses collègues, il a réussi à emmener 45 élèves de la section « Sécurité et Prévention » faire du ski à Châtel en Haute-Savoie. Au programme : « des cours pour apprendre à skier, mais aussi à respecter la sécurité des autres ». Les jeunes ont effectué des sorties en raquettes, mais surtout, ont bénéficié de l’intervention d’un pisteur : « Il nous a montré le fonctionnement du système de recherche DVA (Détection de Victimes d’Avalanche) ».
Les élèves ont participé à une simulation de recherche de victimes, en sondant la neige sous laquelle avaient été cachés des émetteurs DVA. Ils ont pu découvrir toutes les tâches du métier de pisteur, poser des questions. « Ils ont vu qu’il fallait se lever très tôt, que c’était un métier dangereux. Ils sont secouristes et aussi artificiers, quand ils déclenchent volontairement des avalanches. »
Un stage très apprécié : « Dans la Marne, on n’a pas de montagnes. Là-bas, c’était une autre facette de notre diplôme. On ne pense pas, quand on va skier, à tout le travail fait matin et soir par les pisteurs », confie Antoine Godefroy, 16 ans. Ce projet sera sans doute pérennisé et devrait avoir lieu tous les deux ans.
Numéro 7380 du 07 au 13 février 2011.
P.P.C.
Société à responsabilité limitée en liquidation
au capital de 8.000 €uros
Siège : Allée des Landais - 51100 REIMS
444 981 989 R.C.S. Reims
L’assemblée générale réunie le 31 décembre 2010 a approuvé le compte définitif de liquidation, déchargé Romain VIDAL de son mandat de liquidateur, donné à ce dernier quitus de sa gestion et constaté la clôture de la liquidation à compter du jour de ladite assemblée.
Les comptes de liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.
92861 Pour avis : Le liquidateur.
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Construction. Le Salon SABINE (SAIon du Bâtiment Innovant du Nord-Est) se déroulera du 9 au 11 février au Parc des expositions de Reims. Elle est placée sous le thème de la réhabilitation dans un contexte d’incertitudes.
Formation. Salon de l’innovation, SABINE est orienté vers l’avenir.
Les jeunes fortement impliqués
PÔLE LES COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FRANCE & LE CNAM
Au programme : une reproduction à l’identique du pont du contournement de Reims inauguré fin 2010, le Bow-String de Thillois. Une maquette de 6 mètres de longueur sera réalisée dans le but de montrer au public comment ce pont à été construit et mis en place en une seule nuit.
Jeudi 10 février : animation à 10h30, 13h30, 18h30
Vendredi 11 février : animation à 13h10
PÔLE LES ÉTABLISSEMENTS DU BÂTIMENT INNOVANT DE L’ACADÉMIE DE REIMS
Les lycées des métiers du bâtiment innovant de l’académie de Reims : Lycée professionnel d’orientation Arago (Reims), Lycée professionnel Yser (Reims), Lycée professionnel Gustave Eiffel (Reims), Lycée professionnel Croix Cordier (Tinqueux), Lycée professionnel Armand Malaise (Charleville-Mézières), Lycée professionnel Les Lombards (Troyes), Lycée professionnel d’orientation Charles De Gaulle (Chau-mont), GRETA (formation continue), ONISEP présenteront différents ateliers vivants.
Mercredi 9 février :
11h50 : LE GRETA, les formations continues du bâtiment innovant.
13h30 : Education Nationale, projet Dakar.
13h50 : EN (Les Lombards), Doublage Intérieur.
14h10 :Gustave Eiffel, Murs végétaux.
14h50 : EN (LP Yser), Test isolants et démonstration peinture.
15h30 : EN (LP Croix Cordier et A. Malaise), Solaire thermique et photovoltaïque.
16h30 : EN (LPO Charles De Gaulle), Construction bois.
17h10 : EN (LP Croix Cordier), Domotique.
Jeudi 10 février :
11h10 : EN, présentation du projet Dakar .
11h50 : LE GRETA, les formations continues du bâtiment innovant.
13h10 : Gustave Eiffel, Murs végétaux.
13h50 : EN (Les Lombards), pose parquet.
14h30 : EN (LP Croix Cordier et A. Malaise), Solaire thermique et photovoltaïque.
15h10 : EN (Les Lombards), doublage intérieur.
15h50 : EN (LP Croix Cordier), domotique.
17h30 : EN (LPO Charles de Gaulle), construction bois.
Vendredi 11 février :
11h30 :EN, présentation du projet Dakar.
11h50 :EN (LPO Charles De Gaulle), Construction bois.
13h50 : EN (Les Lombardes), pose parquet.
15h10 : EN (LP Yser), Test isolants et démonstration peinture.
PÔLE LES CFA BTP DE CHAMPAGNE-ARDENNE
Mercredi 9 février :
10h30 : Taille de pierres.
11h10 : Energies renouvelables.
11h30 : Bâtiments intelligents.
14h30 : Isolation thermique extérieure.
15h50 : Taille de pierres.
16h50 : Béton de chanvre.
17h30 : Revêtements routiers innovants.
Jeudi 10 février :
11h30 : Taille de pierres.
14h10 : Béton de chanvre.
14h50 : Revêtements routiers innovants.
15h30 : Bâtiments intelligents.
16h30 : Isolation thermique extérieure.
17h10 : Energies renouvelables.
Vendredi 11 février :
11h10 : Béton de chanvre.
13h30 : Bâtiments intelligents.
14h10 : Isolation thermique extérieure.
14h50 :Energies renouvelables.
15h30 : Revêtements routiers innovants.
PÔLE L’AFPA, LA FORMATION PROFESSIONNELLE
Le stand AFPA présente un espace dédié aux nouveaux procédés en génie climatique dans le cadre des maisons BBC.
Mercredi 9 février :
10h50 : Économie d’Énergie - comparatif de consommation électrique des circulateurs (pompes à chaleur —chauffage traditionnel).
17h50 : Isolation Thermique Extérieure.
Jeudi 10 février :
10h50 : Démonstration de Brasage tendre.
18h10 : Économie d’Énergie - comparatif de consommation électrique des circulateurs (pompes à chaleur — chauffage traditionnel).
Vendredi 11 février :
10h50 : Isolation thermique Extérieure.
PÔLE D’INNOVATION EN RESTAURATION DU PATRIMOINE BATI - INSTITUT UNIVERSITAIRE DES METIERS DU PATRIMOINE
Mercredi 9 février :
13h10 : Taille de pierre.
16h10 : Remplissage ciment naturel.
Jeudi 10 février :
16h10 : Remplissage ciment naturel.
18h50 : Remplissage ciment naturel.
Vendredi 11 février :
10h30 : Taille de pierres.
15h50 : Remplissage ciment naturel.
 Accompagnée de celle Théo Delestre, la sélection d’Antoine Husson permet aux Régates de regoûter aux joies internationales.
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Un (petit) barreur et un (grand) rameur rémois participent dimanche à une régate à Turin. La jeunesse RR repointe son nez…
C’EST la fierté de ce « début » de saison aux Régates Rémoises. Avec Théo Delestre, barreur, Antoine Husson participe en fin de semaine à une tête de rivière internationale à Turin (6 000 m). L’un des meilleurs cadets de la saison hivernale, détenteur du 3e ergo fédéral et lauréat de celui de Paris-Coubertin le 22 janvier, sera l’un des membres du huit barré.
Un bateau-roi barré par le fils de Raynald Delestre, Théo. Lequel a déjà été convoqué en équipe de France lors d’un stage jeunes talents, l’an passé. « Il a manqué les Mondiaux juniors pour 3 kg. Il ne faisait pas le poids… », évoque son entraîneur de père.
Le jeune homme de 15 ans, lui, est en tout cas ravi de cette première sortie internationale : « Oui, j’étais trop juste l’an dernier pour barrer chez les juniors. Là, ça devrait passer puisque, sur le plan international, on peut monter jusqu’à 55 kg ».
Certes, un barreur (lequel est en seconde à Saint-Jean Baptiste de la Salle) trop lourd n’avantage pas la coque, surtout dans un huit. Mais, pour la sortie transalpine, le bateau tricolore, encadré « par deux conseillers sportifs régionaux et un entraîneur de club de Gérardmer », misera aussi sur Antoine Husson.
Le spécialiste de l’ergo prend, lui aussi, place dans le huit. Pur produit de la filière jeunes talents, le cadet des RR, en seconde au lycée Arago (filière sports-études) sera de la revue italienne. Même si le voyage sera pénible (« On part en minibus de Gérardmer », dixit Théo Delestre, le tout du vendredi au lundi), les deux pourront s’étalonner face à la jeunesse continentale.
Pour ce profil de couple (« selon mes entraîneurs »), jeune dans la discipline (« un an et demi, 11e des France 2010 en huit avec les RR »), il s’agit d’une première cape en bleu. « C’est une porte qui s’ouvre… », précise ce grand gabarit (1,80 m, 87 kg), aux antipodes, évidemment, du barreur Théo.
Ses partenaires du huit ? « J’ai fait connaissance avec deux-trois d’entre eux à Coubertin, ça s’est bien passé ». L’antre parisien, justement, où il a surclassé toute la catégorie cadets, à « son étonnement. On était les trois meilleurs ergos en finale, j’ai gagné… ».
Il se projette, alors, un instant sur la saison junior, histoire d’intégrer, pourquoi pas, « un pôle espoirs et l’équipe de France ». Les plans sur la comète s’arrêtent là pour le lycéen d’Arago. Car, d’abord, il y a l’Italie…
Ch.D.
L’assemblée générale ordinaire du 24/01/2011 a décidé de la dissolution de :
Société : SARL YANIS. Sigle : CN 51.
Forme : S.A.R.L.
Au capital de : 400 euros.
Siège social : 48, esplanade Eisenhower, 51100 Reims.
N° RCS : 524.508.967.
À compter du : 28112/2010.
M. HADJIDRIS Ahmed, Mme HADJIDRIS Hassina demeurant 48, esplanade Eisenhower, 51100 Reims, ont été nommés liquidateurs.
Les formalités seront effectuées au tribunal de commerce de Reims.
La Compagnie Zygom’art, en association avec l’Acrap à Croix-Rouge, propose un atelier théâtre pour enfants, animé par Thierry Wehrung, metteur en scène et auteur de plusieurs spectacles.
Les cours se dérouleront à l’Acrap, 11 avenue du Président-Kennedy, le mercredi de 10 h 30 à 12 heures.
Contact : compagnie Zygom’Art 03.26.88.27.17. ou 06.31.05.98.35.
Préinscriptions à l’Acrap au 03.26.06.39.54.
Voici les dates des prochains concours organisés par l’association Étoile Croix-du-Sud, au 5 avenue Léon-Blum.
Concours de belote : dimanche 13 février et dimanche 13 mars (inscriptions 13 h 30 - début du jeu 14 heures - 16 € par équipe) Loto : vendredi 11 mars (réservation jusqu’au jeudi 10 mars à 16 heures).
Horaires, tarifs, inscriptions et renseignements par téléphone au secrétariat de l’association : 03.26.06.56.66.
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La prochaine séance du conseil de quartier Croix-Rouge - Hauts-de-Murigny se déroulera mercredi 16 février à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, 4, avenue François-Mauriac.
L’ordre du jour établi par Alain Bisteur, conseiller municipal co-animateur, est le suivant : l’installation de nouveaux conseillers (collèges des habitants et des associations) ; le point sur la propreté des rues : présentation du dispositif et mise en œuvre ; les places en fête dans le quartier ; questions diverses et expression publique.
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Phénoménal, dingue : les bénévoles du groupe Escapades ne trouvent pas de mots assez forts pour qualifier le succès de leur quatrième bourse aux livres organisée dans les locaux de l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, une vente à des prix jamais vus (de 0,20 à 2 €).
« Il y avait tellement d’ouvrages, 14 000 pour être exact, que nous avons dû occuper une deuxième salle et à l’heure de l’ouverture samedi matin, 350 personnes faisaient la queue dans les escaliers extérieur et intérieur de l’espace Billard ! On se serait cru au démarrage des soldes dans un grand magasin ! », se souvient Sylvie Brin qui n’en revient toujours pas.
« En trente minutes, toutes les BD étaient parties ! », ajoute Christian Féry.
Autre grand succès, les livres et albums pour enfants : « A titre de précaution, nous en avons écarté quelques centaines du grand rush pour les remettre en vente le lendemain ». La folie du premier jour s’est calmée les jours suivants, mais il y a toujours eu du passage, même à la nocturne expérimentée vendredi jusqu’à 20 heures.
Première agréable surprise : « Les enfants d’une dizaine d’années, accompagnés de leurs parents, sont venus en nombre chercher des petits romans. Il n’a pas que les consoles de jeux qui les attirent ! »
Autre surprise encourageante : « les étudiants voisins de la fac de Droit et Lettres étaient présents cette année et ils ont fouillé, fouillé… et trouvé ! »
Ce succès est à mettre à l’actif du groupe « Escapades », environ 80 personnes, dont une trentaine d’actifs prêtant volontiers la main au niveau des permanences et du montage, un énorme travail : « On peut estimer à plus de 1 000 le nombre d’heures de bénévolat qui ont été données pour réceptionner les livres, les classer, les étiqueter et les présenter en cartons », commente Sylvie Brin.
En récompense, 8 000 livres vendus, des dons de livres au Secours populaire et à Amnesty international, un succès qui incite évidemment le groupe à remettre ça l’an prochain.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
 De gauche à droite, Michèle Capy, Jacques Vivier, Nicole Staigre, membres du bureau, et Éric Quénard.
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L’association de défense des habitants du quartier La Lézardière vient de tenir son assemblée générale. Près de soixante-dix personnes sont venues dans la salle de la Ligue de l’Enseignement, rue Alphonse-Daudet, pour écouter le président Jacques Vivier, le vice-président Serge Lignereux, la trésorière Michèle Capy et la secrétaire Nicole Staigre présenter leurs rapports annuels. Dans la salle, on a remarqué le premier adjoint Éric Quénard et le conseiller municipal Alain Bisteur, co-animateur du conseil de quartier local.
Un mot sur la trésorerie, fort simple. Il reste en caisse 1 789,42 euros en fin d’exercice, « preuve d’une situation saine » pour le président qui propose une augmentation du montant des adhésions qui passe de 10 à 12 euros.
L’opération « ramonage à prix compétitif » a bien fonctionné : elle sera reconduite. Une copropriétaire, Françoise d’Hermy, propose la création d’une activité Mémo-Art en toute convivialité et la mise à l’étude d’une idée de co-entretien des pelouses, arbustes et arbres.
D’autres s’inquiètent : « Avec l’arrivée du tramway, la ligne de bus K ne passerait plus à la Lézardière ! ». Enfin, « les coussins berlinois rue Gustave-Flaubert sont top bruyants ! » Bruyant aussi « le ball-trap de Tinqueux : il perturbe la quiétude des habitants ! » Des habitants de l’impasse Knoll/Royer protestent : « Nous payons des impôts locaux comme les autres Rémois. Pourtant nous n’avons pas d’éclairage public, pas de balayage, pas d’entretien de la voirie. C’est inadmissible ! »
Éric Quénard constate avec plaisir qu’il n’y a plus de remarques à propos des rats qui envahissaient le quartier (assemblée générale du 26 janvier 2010). Bien que quelques étudiants négligents jettent toujours leurs ordures ménagères par les fenêtres de leurs préfabriqués, le problème est globalement résolu.
gson/Royer, il y a un vrai problème de sécurité : « Des aménagements vont être programmés pour sécuriser ce site et éviter que les étudiants se garent sur ce virage dangereux ».
Pour l’impasse Knoll/Royer, elle est privée, c’est donc à la copropriété de gérer ses problèmes elle-même : c’est une question de droit auquel il est impossible de déroger.
Enfin, pour les bus K et M, les propositions du nouveau réseau de bus en avril 2011 seront évolutives : « Il existe un schéma des trafics qui n’est pas gravé dans le marbre. Nous attendrons des retours de la part des usagers par l’intermédiaire des conseils de quartiers. Nous regarderons ensemble ce qu’il faudra éventuellement réadapter pour desservir au mieux la population ».
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 Franck Prévot (auteur) et Carole Chaix (plasticienne, illustratrice).
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Du mercredi 16 février au samedi 12 mars, la médiathèque Croix-Rouge propose l’exposition « Lux paradiso », co-produite par Lux, scène nationale de Valence : Paradiso est un album (Éditions l’Édune) et Lux paradiso, une lumière sur ses coulisses.
La poésie bien sûr, mais l’amour et le cinéma également, se retrouvent à l’affiche de cette présentation, dans laquelle Carole Chaix (plasticienne, illustratrice) et Franck Prévot (auteur) invitent les visiteurs à entrer dans leur livre pour découvrir ses coulisses, ses secrets et ses prolongements, s’y perdre et s’y retrouver…
En lien avec cette exposition, Franck Prévot anime un atelier « Arrêts sur images » mercredi 16 février de 10 à 12 heures. Au programme, lecture d’images et production d’écrit pour tout public à partir de 8 ans.
Il s’agira d’écrire des textes très courts sur un personnage ou sur un objet représenté, à la manière dont il a abordé l’écriture de l’album Paradiso tout en partant de l’illustration.
Dans le même temps, un atelier pédagogique d’illustration « Machines poétiques », également en lien avec l’exposition Lux paradiso, sera proposé par Carole Chaix.
Le public, à partir de 9 ans, sera amené à fabriquer une des machines en carton présentes dans l’album Paradiso.
Enfin, jeudi 17 février à 18 heures, une conférence pédagogique autour de Lux paradiso réunira les deux compères. Lors de cette rencontre qui se voudra joyeuse et poétique et qui sera précédée par la visite de l’exposition, Carole Chaix et Franck Prévot lèveront le voile sur l’origine de ce projet, ses prolongements, et expliqueront pourquoi ils ont choisi cette manière si particulière d’accompagner la sortie d’un album jeunesse.
Entrée libre pour toutes les activités. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. www.lux-paradiso.com/
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« J’ai cru vivre une scène de film », raconte cet habitant du quartier Croix-Rouge.
Samedi vers 16 h 30, il a vu sortir de l’allée des Bourguignons un cyclomotoriste démuni de casque, le visage entièrement dissimulé par une cagoule toute noire.
« Seuls ses yeux étaient visibles. Arrivé allée des Landais, il s’est arrêté pour prendre un sac-plastique qui traînait avec lequel il a masqué la plaque du scooter. Il est ensuite reparti vers l’hippodrome. Là, j’ai entendu un coup de feu. Je pense que c’est lui qui a tiré, je ne sais pas sur quoi, mais en tout cas, il n’y avait personne. Aussitôt après, il a fait demi-tour et je l’ai vu qui rangeait quelque chose dans son blouson, comme une arme. Il a ensuite disparu vers l’avenue Bonaparte. Je n’ai rien compris à son manège. Ça a duré une trentaine de secondes. Après, plus rien. »
Le témoin n’a pas songé à prévenir la police. Renseignement pris auprès du commissariat, aucune personne n’a signalé la présence de cet étrange personnage, ni aucun fait susceptible de lui être rattaché.
Le mystère demeure.
Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Maître d’œuvre conception et exécution : AXIS Architecture - Mr Tanguy RODIER 13 rue de la Fontaine - 77700 SERRIS Tél. 01.60.43.26.46 - Fax 01.60.43.26.47
Objet : Désamiantage, curage et démolition d’un bâtiment de bureaux (anciennement HSBC), avenue Robert Schuman à Reims (51100) / Référence du marché : DG - 010211
Procédure : Procédure Adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Composition du marché :
Lot 01 - Désamiantage
Lot 02 – Curage / Démolition
Délai d’exécution : 5 mois
Date limite de réception des candidatures et des offres : Le vendredi 4 Mars 2011 à 12h00, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de notre société, 7 rue Marie Stuart 51100 Reims.
Visite obligatoire sur RDV, merci de contacter Mr Massa au 06.16.36.26.48
Les dossiers sont disponibles aux frais du candidat chez : I.C.A. - 34 rue Alain Colas 51450 BETHENY Tél. 03.26.07.37.24 - Fax 03.26.07.37.61
Renseignements techniques : Mr Tanguy RODIER / Cabinet AXIS au 01.60.43.26.46
Renseignements administratifs : Mme FORRAY au 03.26.05.92.33 / Mme Gallois au 03.26.04.99.05
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 3 février 2011 aux JAL L’UNION (éditions MARNE, AISNE, ARDENNES) et le MONITEUR.
Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site inter- net de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr… Publics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay B.P. 2720 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : appel d’offres ouvert suivant articles 33, 40, 52, 53,57 à 59 du code des marchés publics.
3) Objet des marchés : marché pour la présence et la propreté dans les parties communes d’immeubles.
4) Nombre et consistance des lots : le marché est composé de 4 lots.
Lot n° 1 : succursale Nord
Lot n° 2 : succursale Centre Est
Lot n° 3 : succursale Murigny
Lot n° 4 : succursale Croix-Rouge Université
Chacun des lots fera l’objet d’un marché séparé. Les candidats pourront présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
5) Les variantes sont acceptées.
6) Option obligatoire : pour le lot n° 1 : présence technique hebdomadaire sur le site de Géruzéz.
7) Délai d’exécution : Le marché prendra effet à compter du 01/04/2011 jusqu’au 31/03/2012. Le marché pourra être reconduit par période successive de 1 an pour une durée maximale de reconduction de 3 ans, sans que ce délai ne puisse excéder le 31 mars 2015.
8) Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
9) Critères d’attribution :
Prix des prestations pour 50 %,
Moyens humains et techniques mis en oeuvre pour 50 %.
10) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE Fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
11) Date limite de remise des offres : le 14 mars 2011 à 17 heures.
12) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 1er février 2011.
51AO1807906
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Dans le cadre du Programme de rénovation urbaine, la Ville de Reims démarre les travaux d’une nouvelle voirie lundi 7 février qui prolongera la rue François Legros jusqu’à l’avenue du Général Eisenhower.
Cette opération est destinée à désenclaver l’ilôt Eisenhower, en permettant aux piétons et aux automobiles de disposer d’une liaison entre l’avenue du Général Eisenhower et l’arrière du secteur Eisenhower.
La fin des travaux est prévu pour le mois d’août 2011.
Pendant les travaux
La circulation voiture / bus sera réglée par des feux. Les bus circuleront normalement.
Cheminement piéton : un cheminement provisoire, fléché, sera organisé entre l’avenue Eisenhower et la rue François Legros.
Parking : L’accès aux parkings souterrains G1 et G2 est maintenu ainsi qu’à toutes les entrées d’immeuble y compris les 32 à 36 avenue du Général Eisenhower. Les parkings situés de part et d’autre du groupe scolaire Gilberte et Jean Droit sont en accès libre pendant les travaux (parking relais sur le schéma ci-après).
Point info situé au 65 Eisenhower : le Point Infos Quartier est ouvert du lundi ou vendredi pour répondre à toutes les questions utiles concernant les travaux en cours (travaux du tramway, travaux liés au renouvellement urbain). Les habitant-e-s peuvent s’informer auprès des médiateurs de quartier et des ambassadeurs du tramway.
Dans le cadre du programme de rénovation urbaine, la ville de Reims démarre les travaux d’une nouvelle voirie qui prolongera la rue François Legros jusqu’à l’avenue du Général Eisenhower.
Cette opération est destinée à désenclaver l’ilôt Eisenhower, en permettant aux piétons et aux automobiles de disposer d’une liaison entre l’avenue du Général Eisenhower et l’arrière du secteur Eisenhower, La circulation voiture/bus sera réglée par des feux. Les bus circuleront normalement. Un cheminement provisoire pour les piétons, fléché, sera organisé entre l’avenue Eisenhower et la rué François Legros.
L’accès aux parkings souterrains Cl et G2 est maintenu ainsi qu’à toutes les entrées d’immeuble y compris les 32 à 36 avenue du Général Eisenhower.
Les parkings situés de part et d’autre du groupe scolaire Gilberte et jean Droit sont en accès libre pendant les travaux.
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RMS ouvert au monde, avec des ateliers pour ceux qui veulent faire leurs études aussi en chinois, espagnol, allemand…
Près d’un millier de jeunes ont investi Reims Management School samedi, pour découvrir les programmes d’une école classée dans les 20 meilleures d’Europe.
SI on ne présente plus RMS, aux Rémois, l’école de management organise toujours des journées portes ouvertes. « C’est la moindre des choses de rencontrer les jeunes, pour présenter toutes les facettes de l’école » explique Hervé Colas, directeur général adjoint du groupe et directeur du programme Sup de Co.
Samedi, il y avait donc foule, entre 800 et un millier de jeunes, à se presser pour découvrir les locaux, les profs et être guidés dans les différentes filières par les étudiants déjà en place, tous mobilisés. Ils ont pu montrer les différentes associations, animations, la médiathèque… Les lycéens pouvaient aussi parler logement, vie à Reims et infos pratiques.
« Nous voyons plein de lycéens qui s’interrogent, mais aussi des étudiants de facultés qui cherchent s’ils peuvent intégrer RMS » poursuit Hervé Colas. Sup TG, Téma, Cesem sont tous des programmes accessibles en post bac, alors qu’i faut un bac +2 ou 3 pour intégrer Sup de Co (grâce au système Tremplin 1 et 2).
Conférence et ateliers
Parfois seuls mais le plus souvent accompagnés de leurs parents, les lycéens étaient accueillis dès l’entrée par les étudiants, et orientés suivant leur désir de découverte : gestion et management avec Sup’TG (bac + 3), avec un semestre dans une école européenne (en 2e année) ; management international, avec le Cesem (bac + 4, 5e année possible) avec deux ans à l’étranger et double diplôme ; métiers du management dans les environnements technologiques, avec Téma (bac + 5), partenaire de l’école Centrale de Paris.
Et pour ceux qui ont fait une prépa ou veulent aller plus loin : Sup de Co, Masters, MBA, Distech, Doctoral.
Chaque filière a organisé des conférences et des ateliers, pour bien montrer les modalités des concours d’entrée et ce qu’il faut préparer, mais aussi les débouchés professionnels, si importants pour les jeunes aujourd’hui, avant de s’engager dans quatre ou cinq ans d’études payantes. Cette journée a en tout cas permis aux lycéens de ressortir avec des infos dans la tête, et peut-être de faire le choix de leur orientation.
G.F.
Ouvert jusqu’à 4/6, le tournoi d’hiver du Cormontreuil TC a délivré, hier après-midi, des résultats conformes à la logique.
Ainsi, chez les messieurs, la finale a opposé deux des favoris à 4/6, le troisième Alban Lalouette (Cormontreuil) ayant chuté en huitièmes de finale contre le revenant et ex-0 Benjamin Landrieu (TC Reims) !
Jules Latour (Guignicourt) et le local Stefan Bourlet (Cormontreuil) en ont donc décousu pour inscrire leur nom au palmarès. A domicile, Bourlet prenait un excellent départ en menant rapidement 4-1.
Handicapé par une douleur récurrente à l’épaule qui l’empêche notamment de servir normalement, le Cormontreuillois était alors dominé par son ancien camarade de club qui alignait les jeux pour empocher la manche initiale sur le score de 6-4. Et le Guignicourtois de poursuivre sur sa lancée en remportant le deuxième set encore plus nettement (6-2).
Manifestement plus disputée, la finale des + 35 ans a tenu toutes ses promesses entre Sylvain Fossier (15/1, TC Reims) et l’ex-5/6 (en 2002) du TC Chouilly Arnaud Dubouch (15/4). Désormais résident de la rue Lagrive, le Rémois, tête de série n°1, s’est néanmoins brillamment appliqué à faire respecter la hiérarchie (6-2, 6-4).
Pas de surprise non plus chez les dames où, après la défaite inattendue d’Audrey Sarrazyn (4/6, TC Reims) en quart, le route du titre était largement ouverte pour l’autre favorite Mathilde Jacquin (4/6, Saint-Memmie).
De retour à son club d’origine après un passage à Gujan-Mestras, la Mengeotte n’a, en effet, fait qu’une bouchée de Julie Lepage (15, Montmirail) au dernier stade de la compétition (6-2, 6-0).
MESSIEURS
Quarts de finale : Latour (4/6, Guignicourt) bat Guillemart (15, Cormontreuil) 6-3, 6-2 ; Durant (15, Bétheny) bat Landrieu (15/2, TC Reims) 7-6, 5-7, 6-3 ; Henry (15/1, Géo-André) bat Puberl (5/6,TC Reims) 7-5, 6-3 ; Bourlet (4/6, Cormontreuil) bat Charai (5/6, Guignicourt) 7-5, 6-4.
Demi-finales : Latour bat Durant 6-3, 6-3 ; Bourlet bat Charai 7-5, 6-4.
Finale : Latour bat Bourlet 6-4, 6-2.
+35 ANS
Demi-finales : Fossier (15/1,TC Reims) bat Genty (15/2, Betheny) 7-6, 6-2 ; Dubouch (15/4, Chouilly) bat Cuinet (15/2, Château-Thierry) 6-1, 6-2.
Finale : Fossier bat Dubouch 6-2, 6-4.
DAMES
Quarts de finale : Mathilde Jacquin (4/6, Saint-Memmie) bat LucieVarenne (5/6, ASPTT Charleville) 6-3, 7-5 ; Mathilde Caron (15, Guignicourt) bat Audrey Rousseaux (5/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-2 ; Julie Lepage (15, Montmirail) bat bat Manon Jacquin (15, Saint-Memmie) 6-4, 6-1 ; Maéva Spooner (15, Géo-André) bat Audrey Sarrazyn (4/6,TC Reims) 3-6, 7-6, 6-0.
Demi-finales : Mathilde Jacquin bat Mathilde Caron 6-0, 6-0 ; Julie Lepage bat Maéva Spooner 6-3, 6-1.
Finale : Mathilde Jacquin bat Julie Lepage 6-2, 6-0.
Hier vers 1 h 30 du matin, une Daewo a pris feu sur un parking de la rue Yvon-Morandat, à Croix-Rouge.
L’incendie s’est partiellement propagé à une Peugeot 406 et un fourgon Iveco.
Le sinistre est d’origine indéterminée mais vu le nombre de véhicules régulièrement incendiés de nuit dans le secteur, on peut supposer que lui aussi ne s’est pas déclaré tout seul.
Vendredi vers 20 h 45, un feu de papiers a été allumé dans un local à vide-ordures de la rue Marcelle-Loiseau. Il a été éteint avant l’arrivée des pompiers.
En revanche, hier à 1 heure du matin, une petite lance fut nécessaire pour éteindre un autre feu de papiers dans un local de l’allée des Picards, au n°6.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 2 h 30, deux garçons de 16 et 19 ans se sont intéressés aux voitures stationnées sur un parking de la rue des Auvergnats.
Ils ont fracturé une Citroën ZX et une Renault Safrane à l’intérieur desquelles ils ont volé des CD, une façade d’autoradio, et des flacons de parfums.
Les deux rôdeurs étaient saouls. Surpris par une patrouille de police, ils ont été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel pour le majeur, un rendez-vous chez le délégué du procureur pour le mineur.
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La Maison de quartier et les associations de Pays-de-France préparent la fête de quartier 2011 qui aura lieu le samedi 18 juin.
Slimane Hamdi, animateur responsable de l’organisation, lance un appel au milieu associatif et aux particuliers : « Si vous voulez participer à l’organisation de cette manifestation, venez nous rejoindre lundi 7 février à 18 heures au 1, allée des Béarnais, dans les locaux de la maison de quartier pour une réunion préparatoire ».
Renseignements complémentaires au 03.26.82.53.48.
 Les plans ont été étudiés dans les moindres détails et un accord a été conclu.
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Les commerçants du secteur Arago, plusieurs conseillers de quartier et des représentants des habitants, associations de locataires (locataires de Pays-de-France, Polygones…), associations culturelles et sociales (Promotion de Pays-de-France, Point Rencontre, Cref, espace Watteau…) se sont réunis jeudi 27 janvier devant les commerces de l’avenue Bonaparte à Croix-Rouge. Ils étaient attendus pour une réunion d’information et de concertation qui s’est poursuivie dans une salle de l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge, allée des Picards.
L’objectif était de trouver un accord collectif à propos des aménagements qui seront réalisés à proximité de ce secteur commercial, dans le cadre de la Rénovation urbaine.
Au programme de cette rencontre : la présentation du périmètre d’étude, les grands principes d’aménagement et un débat avec l’ensemble des participants sur les premiers plans.
Les débats étaient conduits par Marie-Noëlle Gabet, adjointe à l’artisanat et au commerce, assistée de Florent Paroli et Audrey Delpierre, chefs de projets à la Ville et à Reims Métropole, Alain Bisteur et Alain Boudroit, co-animateurs du conseil de quartier, Frédéric Dumay (Démocratie locale), Cédric Mahé (Cucs), Xavier Mulotte (Cabinet d’architectes Pingat) et Laure Didier (Foyer rémois) : un panel représentatif qui a pu répondre à toutes les questions des commerçants, des associatifs et des habitants.
En fin de réunion, après une large consultation, l’un des trois projets d’aménagement de la place centrale du futur centre commercial présentés a été choisi. Les travaux devraient être achevés fin 2011 : un bel exemple de concertation sur le terrain.
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 Les logements attribués à l’Udaf sont répartis dans l’ensemble du quartier Bonaparte.
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La deuxième Maison relais de l’Union départementale des associations familiales (Udaf) de la Marne est située à Reims, dans le quartier Bonaparte.
Elle est composée de 25 logements T1, loués à la SA Foyer rémois, qui va procéder à leur réhabilitation en profondeur, en particulier au niveau des baignoires (23 seront remplacées par des douches) et des meubles éviers, remplacés par des kitchenettes.
Quant à l’espace collectif d’accueil de 120 m2, le Foyer rémois va y créer des sanitaires pour personnes à mobilité réduite, réaliser des travaux de sécurité incendie et d’accessibilité handicapé et rafraîchir la salle d’attente et le bureau.
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Le tournoi de tennis solidarité Ufolep, organisé conjointement par la Ville de Reims et la fédération sportive Ufolep Marne depuis plus de 25 ans, s’est achevé dimanche 30 janvier dans les locaux de l’Inter Tennis de Reims, après multiples reports dus aux enneigements de décembre.
Cette manifestation conviviale, ouverte à tous, licencié(e)s ou non, a alterné tableaux simples et doubles. Elle est basée sur un concept original de handicap lié au classement individuel permettant la participation de tous, quel que soit le niveau. À noter une participation féminine toujours faible, mais grandissante, notamment en tableau double mixte.
Un bel esprit sportif s’est dégagé de ces rencontres qui ont permis à plus de 150 joueurs de s’affronter dans la bonne humeur pendant plusieurs week-ends.
Grands vainqueurs en double mixte : Mathilde Jacquin et Christophe Masson. En double messieurs + de 35 ans : Philippe Le Hen et Johan Le Guellec. Charles Gilles et Quentin Lejeune pour le double messieurs open se sont positionnés à la 1re place et concernant les dames, les sœurs Carton, Marina et Céline, ont fait office de sœurs Williams en remportant le double dames open. Le simple messieurs a été remporté par Christophe Pomar face à David Detruiseux, et Rachid Rhattat a gagné le match de la consolante contre Adrien Hilbert.
Tous les participants et leurs proches étaient rassemblés pour la remise des récompenses qui a eu lieu autour du pot de l’amitié en présence notamment de Noël Naudin, président de l’Ufolep Marne, Claude Maireaux, président de la ligue de l’enseignement, et Christine Michel, adjointe aux sports à la Ville de Reims.
Face au succès de cette édition, préparez déjà vos raquettes, le rendez-vous est pris pour la saison prochaine !
Éducation - Bande Dessinée : au lycée Arago, loin de buller, les lycéens planchent !
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Pendant toute une après-midi, le dessinateur Mikl a prodigué ses conseils aux jeunes lycéens.
Dans le cadre du programme « Révélations Lancôme » de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy, des élèves du lycée François-Arago ont rencontré cette semaine le dessinateur Mikl.
L’objectif de ce type d’intervention est clair : il s’agit avant tout de soutenir les élèves, issus de milieux modestes, qui souhaitent s’orienter dans le domaine artistique pour leurs études supérieures.
Ecoles d’architecture, de design ou arts appliqués, les formations post-bac demandent aux néo-étudiants d’avoir de sérieuses connaissances en arrivant.
Aussi, ces élèves d’Arago, dont le lycée fait partie des trente « sites d’excellence » en France, ont depuis deux ans l’opportunité de découvrir un large éventail des arts plastiques, au travers de ce programme « Révélations Lancôme ». Sur toute l’année, un projet d’accompagnement personnalisé est mis en place pour chaque lycéen, destiné à le préparer au mieux pour son orientation. « C’est la deuxième année que nous avons cette promotion spéciale à Arago. L’année dernière, la première promo a connu un taux de réussite de 93% au bac, et l’ensemble des bacheliers a réussi à trouver une formation dans la filière souhaitée » s’enthousiasme Benoit Dieu, coordinateur du programme « Révélations Lancôme » au lycée.
Afin d’initier ces futurs peintres, sculpteurs ou architectes à l’art minutieux de la bande-dessinée, une rencontre a donc été organisée cette semaine avec le dessinateur toulousain Mikl, auteur d’une BD en deux tomes racontant justement la vie d’une bande d’amis lycéens. La venue de cet artiste est une aubaine pour le jeune public du programme, comme le confie Jonathan, vingt ans, en terminale Assistant d’Architecte au lycée, et qui espère rejoindre une école d’architecte l’an prochain : « la venue de Mikl c’est un vrai plus dans notre préparation au supérieur. Il nous apporte un maximum de connaissances théoriques et surtout pratiques dans le dessin, ce qui nous servira dans quelques mois ».
Soucieux de diversifier au mieux l’offre de cours et de découvertes artistiques, les organisateurs des « Révélations Lancôme » prévoient déjà une soirée jonglage et diverses visites d’écoles et de musées en février.
Aymeric Henniaux
Société. Bourse aux livres
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Dénicher un bouquin pas cher… c’est le principe de la bourse aux livres.
Le Groupe "Escapades" de la Maison de Quartier Croix-Rouge organise sa 4ème bourse jusqu’au vendredi 4 février de 9 à 12 heures et de 14 à 18 heures (nocturne jusque 20 heures vendredi).
Plus de 10 000 livres (romans, policiers, scolaires, BD, sports, bricolage, cuisine, histoire, encyclopédies, divers….) seront vendus de 0.20 € à 2 € pièce.
REIMS – 4ÈME BOURSE AUX LIVRES
Vendredi 4 février
REIMS – 4ÈME BOURSE AUX LIVRES 10 000 livres de 0,20 à 2€ ! 9h-12h et 14h-20h – Entrée libre – Rens. : 03 26 08 08 78 Maison de quartier Croix-Rouge, espace Billard
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Les futurs étudiants avaient rendez-vous hier avec les classes préparatoires rémoises aux grandes écoles, qui organisaient leurs portes ouvertes.
Étaient concernés les lycées Roosevelt, Jean-Jau, Clemenceau et Arago. Pour ce dernier, c’était une première :sa première promo de la filière ATS (adaptation technicien supérieur, pour titulaires de BTS ou de DUT) n’est arrivée qu’en septembre dernier.
La proviseur Élisabeth Becker est prête à accueillir jusqu’à 48 « préparateurs » l’an prochain, en leur proposant même l’hébergement en internat, week-end inclus !
Gérard PERON
 Des opposants à la loi sur l’autonomie des universités ont sévi ce dernier week-end.
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REIMS (Marne). Les tags font habituellement partie du décor à la faculté de droit et de lettres du campus Croix-Rouge.
Ce week-end, des inconnus ont pourtant fait fort en recouvrant les bâtiments de plusieurs dizaines de slogans hostiles à la « loi relative aux libertés et responsabilité des universités », dite loi LRU ou loi Pécresse, qui prévoit notamment l’autonomie budgétaire des universités d’ici à 2013.
Il s’agit d’une véritable opération commando puisque les auteurs ont commis près de 80 tags, de tailles diverses mais un grand nombre d’entre eux écrits en lettres géantes à la bombe de peinture noire, blanche ou rouge. Ils ont probablement été réalisés de nuit, entre vendredi soir et lundi matin, à une heure qui reste à déterminer.
« Nique LRU », « LRU m’a tuer », « Sarkoimmo », « Enragez-vous », « Facs privées no pasaran », « Fac fermée pour cause de non rentabilité », « Du fric pour les étudiants, pas pour les caméras » et autres amabilités envers le président de l’université ont principalement fleuri à l’arrière du campus. Les tagueurs ont « bombé » leurs slogans sur le nouveau bâtiment des amphithéâtres, sur les préfabriqués, le centre culturel du Crous ou encore le restaurant universitaire. Certaines inscriptions recouvrent les murs, d’autres défigurent maintenant de larges baies vitrées.
Les services de police ont été saisis d’une plainte. Aujourd’hui jeudi, à midi, une « réunion publique » hostile à la loi sur l’autonomie des universités est annoncée dans l’un des amphithéâtres. Si son intérêt est proportionnel au nombre de tags réalisés ce week-end, elle devrait attirer du monde.
F.C.
C’est le moment de réfléchir à son orientation d’après bac. Pourquoi pas le commerce ? Et pourquoi pas à Reims ? Si cette voie vous tente, notez que ce samedi 5 février, de 10 à 18 heures, l’école supérieure de commerce RMS ouvre ses portes au public.
Celui-ci découvrira le programme Grande école Sup de co, les programmes post-bac, les bourses possibles, les associations maison, et tout ce qui fait le quotidien de l’école. A noter aussi les concours Tremplin, accessibles aux titulaires d’un bac + 2 ou d’un bac + 3, et permettant d’intégrer le programme Grande école Sup de co Reims. Les visiteurs pourront rencontrer des étudiants passés par ce concours.
La danse contemporaine et le hip-hop se donneront en spectacle pour les étudiants le mercredi 9 février à 19 h 30, au centre culturel du Crous, sur le campus Croix-Rouge.
A l’affiche : la compagnie Stylistik et le collectif Footzbeul. Tarif 6 € (3 seulement pour les étudiants).
 Christine Michel, adjointe aux sports : « Il faut que les gens soignent leur bien-être, ça devrait même être remboursé par la Sécurité sociale ! »
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Si Reims a la chance de pouvoir disposer de six piscines, la gestion de ces équipements coûte fort cher compte tenu de leur vétusté, des charges de personnel, de maintenance et surtout du coût de l’énergie qui progresse de façon rapide et régulière (gaz et électricité).
Il faut savoir qu’en 2009, le coût moyen d’un nageur était de 9,48 € alors qu’il ne payait que 3,70 € (39 %), la différence restant à la charge de la Ville soit 5,78 € (61 %).
Si l’on examine en détail, on remarque que le coût par nageur était de 14,75 € pour la piscine Orgeval, 14,41 € pour Louvois, 10,45 € pour Talleyrand, 10,35 € pour Château d’eau, 8,66 € pour les Thiolettes et 7,63 € pour la piscine Nautilud.
« Entre 2002 et 2009, le coût a augmenté de 33 %», insiste Christine Michel. Faut-il pour autant répercuter auprès des usagers le vrai coût du ticket de piscine ? « Non, estime l’élue, car c’est un service que l’on rend à la population et aux clubs de natation. Il faut que les enfants apprennent à nager et c’est bien que les familles viennent y faire des activités physiques dans le cadre d’un bien-être santé auquel nous sommes attachés »
Reste que les tarifs, qui étaient demeurés inchangés, vont bouger à partir du mois de mars prochain.
Ticket à l’unité. Le ticket adulte passera de 3,70 à 3,80 € tandis que le ticket enfant qui est de 3,10 € passera à 3,20 €.
Carnet de 5 tickets. Actuellement fixé à 12,30 € pour un adulte, le carnet de 5 tickets, qui représente l’essentiel des ventes, passera à 12,50 €, soit 2,50 € le ticket. Pour les enfants, le carnet passera de 10,30 à 10,50 €, soit 2,10 € le ticket.
Bonne nouvelle : la mise en place d’une tarification familiale, un pack entrée famille à partir de trois enfants.
« Enfin, si le tarif d’entrée à la piscine reste inchangé pour les écoles rémoises, il va continuer à augmenter pour les écoles venant de l’extérieur, tout en restant inférieur au prix de revient, car la Ville ne pourra pas longtemps supporter de telles charges. »
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Voici les prochaines animations de la médiathèque Croix-Rouge :
Mercredi 9 février à 11 heures, la « ronde des albums » aura pour thème « l’hiver », pour les enfants à partir de 4 ans.
Mercredi 16 février à 10 h 30, Julie raconte « Le Chat des villes », un conte tiré de « Les plus beaux mythes d’Asie : la Bible, l’Orient, l’Extrême-Orient » de Viviane Koenig aux éditions De la Martinière Jeunesse. Interprété en langue des signes française par Cyril Schuer, pour tous à partir de 5 ans.
Mercredi 23 février à 16 h 30, l’heure du conte sera consacrée à une projection de diapositives : « Le voleur de noisettes » de Yannick Lefrançois, pour les enfants à partir de 4 ans.
Pour toutes les activités, l’entrée est libre sur inscription auprès du secteur jeunesse ou au 03.26.35.68.51. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.
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Le GADL regroupe plusieurs associations rémoises des trois organismes logeurs, le Foyer rémois, l’Effort rémois et Reims habitat.
Le Groupement des Associations de défense des locataires (GADL) se réunira mardi 8 février à 16 h 30 dans les locaux de l’association At’Hom, 1 allée Yves-Gandon (Hauts-de-Murigny).
Parmi les points à l’ordre du jour, la réorganisation de l’association.
La présidente, Roseline Marandon, précise : « II n’est pas obligatoire d’appartenir à une confédération pour faire partie du GADL et toutes les associations de défense des locataires peuvent nous rejoindre. »
Numéro 7379 du 31 janvier au 06 février 2011.
Société au capital de 7.500 Euros
Siège social : 140 avenue d’Epernay
51100 REIMS (Marne)
494 022 536 R.C.S. Reims
L’assemblée générale extraordinaire réunie le 23 décembre 2010 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter de ce jour et se mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée. Elle a nommé comme liquidateurs Monsieur Raphaël MISURIELLO et Madame Corinne RONCIAUX-LAHOTE, demeurant tous deux à REIMS (51100), 4 rue Dallier, pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif, et l’a autorisé à continuer les affaires en cours et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation.
Le siège de la liquidation, lieu où tous les documents et correspondances concernant la liquidation doivent être envoyés, est fixé au domicile des liquidateurs à REIMS (51100), 4 rue Dallier.
Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au R.C.S.
92800 Pour avis : Les liquidateurs.
1. POUVOIR ADJUDICATEUR S.A. d’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX, Service Réhabilitation.
2. MODE DE PASSATION DU MARCHE : Consultation adaptée.
3. OBJET DU MARCHE : Maitrise d’œuvre / Ingénierie technique relative à un marché de travaux de réhabilitation de 23 immeubles collectifs, îlot H (quartier Croix-Rouge) à REIMS.
4. DUREE DU MARCHE : Le marché se déroulera de mars 2011à février 2012 pour la tranche ferme. Pour les prestations des tranches conditionnelles (phases d’exécution), celles-ci sont prévues initialement de 2012 à 2018 au plus tard.
5. DESCRIPTION SUCCINTE DU MARCHE Le titulaire devra la réalisation d’
Un diagnostic des 23 immeubles ;
Un avant-projet aboutissant à la réalisation du CCTP ;
L’assistance aux contrats de travaux ;
Le contrôle des études d’exécution ;
L’assistance au maitre d’ouvrage pour le suivi des travaux ;
Les opérations de réception.
6. TRANCHES : Le marché est composé d’une tranche ferme de mars 2011 à février 2012 durant laquelle le titulaire devra la réalisation des études pour les 23 bâtiments objets du présent marché et la phase travaux pour les 5 bâtiments composant la tranche ferme.
S’ensuivront 18 tranches conditionnelles de travaux une par bâtiment. 7. DOSSIER DE CONSULTATION ET RENSEIGNEMENTS Pour tout renseignement et l’obtention du dossier de consultation du marché (gratuit) : Contact : Secrétariat du Service Réhabilitation. Tél. : 03.26.84.46.60 -Fax 03.26.84.46.07 - Courriel : n.abdelkader@foyer-remois.fr
8. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES : Le 18 février 2011 à 17 h 00.
9. CONDITIONS DE PARTICIPATION : Voir le règlement de consultation. 10. ANALYSE DES OFFRES
CRITERES DE JUGEMENT :
Le prix 50 %
La valeur technique de l’offre, dont les moyens affectés au présent marché : 50 %.
11. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS : Le 26/01/2011.
92742
S.C.P. JAMANN - MAUX MOREL
Notaires associés
14 boulevard Lundy 51100 REIMS
Suivant acte reçu par Maître Guillaume MOREL, Notaire à REIMS le 22/01/2011, enregistré à REIMS NORD le 24/01/2011, bordereau 2011/95, case n° 1.
DENOMINATION : SCI GAUCHER DE REIMS.
FORME Société civile.
SIEGE : REIMS (Marne), 32 rue Léon Mathieu.
DUREE : 99 ans à compter de son immatriculation au R.C.S.
OBJET :
La société a pour objet l’acquisition, la gestion et plus généralement la mise en valeur, l’exploitation par bail, location ou autrement, de tous biens ou droits immobiliers à quelque endroit qu’ils se trouvent situés. et plus particulièrement d’un bien immobilier sis à REIMS (Marne), 30 rue Léon Mathieu ;
La prise de participation dans toutes sociétés immobilières ;
L’obtention de toutes ouvertures de crédit, prêt ou facilités de caisse, avec ou sans garanties hypothécaires destinés au financement des acquisitions ou au paiement des coûts d’aménagement. de réfection ou autres à faire dans les immeubles de la société.
CAPITAL SOCIAL : Quatre cent cinquante mille €uros (450.000,00 €), divisé en 4.500 parts de 100,00 €. GERANTE : Mme Marielle Claire Anne GACHE, demeurant à REIMS, 32 rue Léon Mathieu.
La société sera immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS. Pour unique insertion : 92.671 Maître Guillaume MOREL.
Par jugement du 20/01/2011, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de AU SOURIRE DES ANGES (SARL), 4 allée Yves Gandon - 51100 REIMS.
Activité : Exploitation d’un centre de cures d’amincissement. soins corporels localisés, massages soin à domicile.
R.C.S. REIMS 2004 B 428 - B 477 977 201.
92626 Le greffier : Bernadette DELPY.
Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’H.L.M. au capital de 3.200.000 euros, inscrite au R.C.S. sous le numéro B 335 480 679, dont le _ siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, BP 324, 51061 Reims cedex.
Objet du marché : Réhabilitation d’un bâtiment de bureaux avenue Robert-Schuman à Reims (51100).
Réf. : DG-011010.
Procédure : Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Code CPV (marché européen) : 45000000-7.
Il est porté à la connaissance du public que l’appel d’offres relatif au marché cité ci-dessus a été déclaré infructueux.
L’EFFORT RÉMOIS, après ré-étude du projet, lancera une nouvelle consultation qui fera l’objet d’un nouvel avis de marché.
Pour tout renseignement administratif contacter : service marchés : Madame GALLOIS au 03.26.04.99.05, Madame FORRAY au 03.26.05.92.33, Monsieur MEUNIER au 03.26.04.99.82.
Date d’envoi du présent avis à la publication : le 26 janvier 2011 au J.O.U.E. et aux J.A.L. L’UNION (éditions Marne, Aisne, Ardennes), L’AISNE NOUVELLE, L’EST ECLAIR (10), L’EST RÉPUBLICAIN (55), le JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (52) et le MONITEUR.
1. Identification de l’organisme qui passe le marché Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2. Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.
REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3. Objet des marchés : réfection de la terrasse de la RPA Doyen sise au n° 7, rue du Docteur-Billard, 51100 Reims.
4. Lot : étanchéité.
5. Délai d’exécution : le délai d’exécution des travaux est de 2 mois, comprise la période de préparation de 15 jours.
6. Critères d’attribution :
Valeur technique : 20 %.
Performance en matière de protection de l’environnement : 10 %,
Proposition financière : 70 %.
7. Justifications à produire : suivant articles 43 à 45 du code des marchés publics.
8. Les variantes sont autorisées.
9. Une visite du site est obligatoire (voir modalités sur le règlement de la consultation).
10. Autres renseignements : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE. Tél. 03.26.48.62.30. Fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de M. POULAIN, tél. 03.26.48.43.16.
11. Date d’envoi à la publication : le 27 janvier 2011.
12. Date limite de remise des offres le 23 février 2011 à 17 heures.
 Kamel Medaouar, « cet homme ordinaire a fait quelque chose d’extraordinaire »
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Adeline Hazan, maire de Reims, a remis la médaille « Ville de Reims » à plusieurs Rémois, dont deux habitants de Croix-Rouge dans la salle des fêtes de l’hôtel de Ville, le 26 janvier.
Avec le parrainage du premier adjoint Éric Quénard, Kamel Medaouar, auteur d’un acte de courage qui n’avait jamais été mis en lumière, a été mis à l’honneur : « Cet homme ordinaire a fait quelque chose d’extraordinaire. Il y a plus de dix ans, il a sauvé de la noyade une personne qui souhaitait mettre fin à ses jours en se jetant dans le canal. Cette médaille répare une injustice, l’oubli, et témoigne enfin de la reconnaissance de la collectivité pour un acte de bravoure remarquable. »
Le conseil municipal a également honoré Jeannine Catry pour son dévouement et son action dans le milieu associatif, tant dans son engagement au sein de l’Association Croix-Rouge animation et promotion Acrap) que du Reims Acrap patinage (Rap).
« À une époque où les associations ont bien du mal à trouver des bénévoles, c’est l’occasion de mettre en lumière une femme exemplaire », a déclaré sa marraine, Christine Michel, adjointe aux sports.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Le lycée François-Arago ouvre ses portes au public mercredi 2 février à partir de 13 h 30. Cette opération s’adresse aux lycéens rémois et de toute la région qui pourront être accompagnés de leurs parents.
Au programme : visite du lycée, des ateliers, du CDI et des salles spécialisées, découverte de l’internat et rencontre avec les enseignants et les étudiants, découverte des classes spécifiques du lycée (sport-études et haut-niveau en liaison avec le Creps, « Cordées de la réussite », classe préparatoire).
Le lycée Arago offre une large palette de formations diplômantes et qualifiantes : de la filière générale et technologique débouchant sur les baccalauréats ES, S, STI Génie Civil et Energétique à la filière professionnelle avec ses 5 Bac pro en 3 ans et ses 5 BTS du Bâtiment et des Travaux Publics. Arago est labellisé « Lycée des Métiers du Bâtiment et de Travaux Publics », reconnu des branches professionnelles et de leurs nombreux partenaires à l’échelon national et international.
La formule célèbre du lycée Arago est rappelée par Élisabeth Becker, proviseure « Il s’engage à vous faire réussir. Mieux encore, il s’engage à vous fournir un emploi ! »
Lycée Arago 1, rue François-Arago à Reims (tél. 03.26.06.40.25).
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A partir d’aujourd’hui mardi 1er et jusqu’au samedi 19 février, les médiathèques Croix-Rouge, Laon-Zola, Jean Falala et la bibliothèque Carnegie organisent un concours de poèmes à l’occasion du 13e Prin-temps des poètes.
C’est l’occasion pour les poètes de réviser leurs classiques en écrivant un sonnet ou un calligramme sur le thème « Infinis paysages ».
Les bulletins concours sont à retirer dans les bibliothèques Croix-Rouge, Laon-Zola, Jean-Falala et à la bibliothèque Carnegie.
Les poèmes sélectionnés seront exposés à la médiathèque Croix-Rouge en mars et leurs auteurs récompensés par des chèques-lire.
 La résidence Teilhard réhabilitée disposera d’une cafétéria, d’un bar, d’une épicerie et d’une cinémathèque !
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REIMS (Marne). Avec son bar et sa cinémathèque, la résidence devrait être plutôt agréable à vivre. Il est vrai aussi qu’elle sera excentrée par rapport au futur campus unique.
UN bar et une cinémathèque dans sa résidence, c’est pas sympa quand on est étudiant ? Eh bien c’est ce qui attend les futurs occupants de Teilhard-de-Chardin à Reims (campus Moulin-de-la-Housse). Dans la série des chantiers immobiliers du Crous, c’est elle qui apparaîtra chronologiquement la première au cours de cette année 2011 (lire aussi par ailleurs).
« L’achèvement de sa totale réhabilitation, indique en effet le directeur de ce Crous, Jean-Marc Lambert, doit intervenir courant février. Et on aimerait bien faire l’inauguration officielle en mars avec la ministre. »
Actuellement il reste encore en chantier un pavillon sur trois : les deux autres avaient été remis en service, après leur cure de travaux, en septembre dernier ; le tout offrira un total de 248 logements, en majorité des chambres simples (10 m2), mais aussi une centaine de studios de 18 m2, plus huit chambres spéciales handicapés. Les loyers, toutes charges comprises, se monteront à 230 ou 298 euros, selon la taille du logement. Et pour ce prix-là donc, outre l’eau, le chauffage et l’électricité, sans oublier la connexion à internet, l’étudiant trouvera sur place bar et cinémathèque (« pour cette dernière l’équipement existait déjà, nous l’avons maintenu », précise le directeur). Plus une cafétéria, plus une épicerie !
Bref, à boire, à voir et à manger. En tout cas, de quoi se faciliter la vie et meubler agréablement les temps de loisirs, s’il y en a…
Mais pourquoi gâte-t-on tant les résidents de Teilhard ? C’est parce que l’on n’oublie pas que, à moyen terme, d’ici quelques années, ce site se retrouvera fort excentré par rapport au futur campus unique prévu à Croix-Rouge ! Il faudra bien compenser cet inconvénient.
D’ailleurs, pour gommer cet éloignement prévisible, le directeur du Crous a déjà une autre idée : faciliter l’usage du vélo pour les locataires : grâce à un garage sécurisé, et une sorte de Vélib’ inclus dans le loyer. Ainsi il y aura même à boire, à manger, et à pédaler !
Antoine PARDESSUS
 « Simple rénovation ou vraie réhabilitation ? Il faut s’interroger ! », selon le directeur du Crous.
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En dehors de Teilhard-de-Chardin (lire ci-dessus) d’autres projets immobiliers vont bien occuper le Crous cette année. Celui qui suscite le plus d’incertitude est celui de la résidence Saint-Nicaise du boulevard Henry-Vasnier. « Simple rénovation ou vraie réhabilitation ? Il faut s’interroger ! » déclare le patron du Crous Jean-Marc Lambert. Choix pas anodin au niveau du coût comme on peut s’en douter : dans un cas la facture serait de l’ordre de 14 millions, dans un autre de la moitié environ seulement. « S’il faut s’interroger, c’est dans la perspective du campus unique à Croix-rouge, explique M. Lambert (comme pour Teilhard, NDLR) ; est-ce bien pertinent d’investir lourdement sur une résidence qui se retrouvera alors excentrée ? » Le directeur reconnaît « préférer se concentrer sur des logements à Croix-Rouge même, à Franchet-d’Espérey et près de la gare centre SNCF. » Mais c’est le conseil d’administration du Crous qui devra trancher, « dans les prochaines semaines », assure notre interlocuteur. A venir aussi cette année, la livraison de la nouvelle « résidence des Facultés », au pied des coquilles de Croix-Rouge justement, en juin ou juillet, 212 logements réalisés par le Foyer rémois.
Et à un horizon plus lointain, une résidence neuve de 80 à 100 chambres sur la friche Socatrem derrière la gare devrait voir le jour en partenariat avec le même Foyer rémois ; une étude est aussi lancée sur une gestion par le Crous de logements en voie de réalisation par Reims-habitat sur la Zac du Vieux-port (l’îlot Folle-peine) près du canal. A quoi on pourrait ajouter un autre projet de 120 chambres sur le fameux futur campus unique, en partenariat avec l’Urca (université Reims Champagne-Ardenne) pour changer.
A.P.
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L’Association Croix-Rouge animation et promotion a organisé, dans la salle Jean-Jacques Lapique un repas réservé aux personnes âgées, principalement du quartier Croix-Rouge, de 65 ans et plus, avec conjoint même moins âgé.
Comme d’habitude, l’Acrap se charge du transport aller et retour des personnes qui ne peuvent pas se déplacer seules.
Une soixantaine de convives ont donc ainsi été accueillis par Jean-Pierre Genesseau, président, et Jeannine Catry, administratrice, plusieurs animateurs de l’Acrap, dont Bernadette Canu (club du temps libre) et le député Arnaud Robinet, venu les saluer.
Pour l’animation, l’Acrap a, une nouvelle fois, fait appel aux talents de Véronique Breul, spécialiste du rétro-guinguette. Avec son répertoire de chansons d’antan, reprises en chœur par l’assistance et quelques déguisements et accessoires, elle a su tenir son public en éveil jusqu’à la distribution, après le dessert, d’une potée fleurie à chaque participant.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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 Il y a maintenant plus de 10 ans qu’Hélène Lasne fait prendre un bain linguistique à ses élèves.
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REIMS (Marne). Rien de tel que d’aller dans le pays pour apprendre une langue. Les collégiens de Colbert sont bien de cet avis.
ALLER faire de l’allemand en Allemagne, c’est bien plus fun.
Même si Hélène Lasne sait rendre ses cours passionnants à Colbert, c’est tout de même autre chose d’aller pratiquer dans le pays. Et d’y emmener sa prof.
En novembre dernier, une vingtaine d’élèves du collège d’Orgeval a passé une semaine complète à Neresheim, à l’est de Stuttgart. En mai prochain, ils recevront, à leur domicile et dans leur classe, le correspondant chez qui ils ont logé pendant leur séjour.
Ce dispositif est le résultat d’un appariement que les enseignants rémois ont monté avec leurs homologues allemands. Il fonctionne depuis 10 ans. « Depuis tout ce temps, j’ai toujours le même plaisir à emmener les élèves là-bas », confie Hélène Lasne. Les élèves aussi ont eu du plaisir.
Ils étaient curieux de découvrir comment est l’école là-bas : « C’est mieux parce que ce sont les profs qui se déplacent entre chaque cours et non les élèves », raconte Charline. « Les classes ne sont pas disposées comme chez nous. Les tables sont placées en U, c’est bien mieux pour communiquer », explique Alpha. Les jeunes ont été surpris de la relation beaucoup plus détendue qu’en France entre élèves et professeurs. Marion avance une explication : « Les élèves sont plus disciplinés et plus enclins à travailler. Il n’y a pas de surveillant chez eux ».
Dans les familles allemandes, ils ont aussi noté des différences : « Les parents font plus d’activités avec leurs enfants. Ils dialoguent davantage. Moi, ma correspondante racontait tout à sa mère », remarque Manon. « Ils ne mangent pas à midi et ne boivent que de l’eau gazeuse », note Alpha. « Il y a davantage d’entraide entre les membres de la famille », estime Charline.
Le matin, les Rémois allaient au lycée allemand et l’après-midi était réservé à des excursions : « On a fait des trucs sympas comme monter 768 marches en 15 minutes dans la ville d’Einstein à Ulm ». « Dans un village, on a vu des coqs et des moutons en liberté ». « Les paysages étaient beaux ».
Charline et Marina sont tombées amoureuses et tout le monde a progressé en allemand. Brian, Mike, et Pascal se sentent un peu plus à l’aise en cours : « Mes notes n’ont pas changé radicalement mais ça a fait du bien », témoigne Pascal. Pour la venue des Allemands en mai, ils ont plein de projets : « On fera une soirée mousse à la patinoire ». « On les emmènera au bowling ».
Mme Lasne fera-t-elle le strike ? Ach so !
Catherine FREY
De nombreux collèges se battent pour monter ce qu’on appelle dans le jargon scolaire des appariements avec des établissements d’autres pays. Et ce n’est pas toujours facile… On est encore loin de concevoir une année scolaire qui comprendrait obligatoirement un mois en immersion dans un autre pays de l’Europe mais les choses avancent.
Même avec l’Angleterre, certains collèges s’en sortent. Un véritable défi avec ce pays pas toujours intéressé par l’apprentissage du français et où les habitants n’accueillent pas bénévolement les jeunes. Schuman à Reims, Raymond-Sirot à Gueux et Paul-Eluard à Verzy ont réussi.
Certains petits malins évitent l’obstacle en se tournant vers les pays scandinaves comme Georges-Braque, Pierre-de-Coubertin ou Saint-Jo. Beaucoup plus accessibles à tous les points, les échanges avec l’Allemagne sont plus répandus.
Les collèges Trois-Fontaines et Notre-Dame se distinguent par des séjours outre-Rhin plus longs donc plus utiles d’un point de vue linguistique. Les élèves de Schuman peuvent se vanter d’avoir un échange avec les États-Unis et ceux de Maryse-Bastié d’avoir un pied sur le continent africain. C’est beaucoup de travail pour les profs mais quelle chance pour les élèves.
C.F.
• Notre-Dame
Les 4e en section européenne ont la possibilité de partir deux mois en immersion en juin et juillet dans la région de Stuttgart en Allemagne. En échange, ils reçoivent leur correspondant à Reims en octobre et novembre. Cette réciprocité permet la gratuité du séjour et un véritable bain linguistique.
• Georges-Braque
Le collège est en train de boucler un double projet d’échange anglophone avec un établissement finlandais de la région d’Akaa et avec un anglais de Faringdon. Les élèves ont commencé à correspondre et les rencontres devraient suivre l’année prochaine.
• Rogelet
Il existait un échange avec l’Allemagne mais il s’est éteint faute d’effectifs en cours d’allemand. Les 4e peuvent partir une semaine en Angleterre où ils sont hébergés dans des familles mais il ne s’agit pas d’un échange.
• Saint-Michel
Le collège échange avec un établissement de Wittlich en Allemagne depuis plus de 20 ans. Les élèves ont un correspondant à partir de la 5e, ils iront une semaine chez lui et dans son école et le recevront une semaine. Ça fonctionne bien. Il manque la même chose pour les anglicistes.
• Jeanne-d’Arc
Il n’existe pas d’échange mais il est proposé des voyages découverte aux élèves. Sont prévus cette année un séjour en Espagne pour les 4e et 3e pendant les vacances d’avril et un séjour d’une semaine à Florence en Italie pour les 5e.
• Sacré-Cœur
Il existe un échange d’une semaine avec l’Allemagne et un autre de dix jours avec l’Espagne. Rien avec l’Angleterre sinon des voyages de classe.
• Saint-Joseph
Puisque les échanges avec l’Angleterre sont presque mission impossible, Saint-Jo s’est tourné vers le Danemark avec lequel ça fonctionne. Les 3e concernés iront une semaine au printemps. Une sortie découverte de l’Angleterre est prévue pour les 5e.
• Université
Les germanistes sont gâtés à Université. Ils ont un correspondant à Kaiserslautern qu’ils reçoivent et à qui ils rendent visite de la 6e à la 4e grâce à un séjour de trois jours et un autre de huit à dix jours. Ils peuvent aussi postuler pour un échange individuel de deux semaines en immersion.
À part des voyages de classe, il n’y a rien de solide avec l’Angleterre ou l’Espagne.
• Saint-Remi
Grâce à un partenariat avec le collège Université, les 6e et 5e de Saint-Remi ont la possibilité de passer trois jours à Kaiserslautern en Allemagne et recevront les jeunes Allemands en échange. Les 3e, section européenne hispanophone, s’envoleront du 11 au 18 février pour l’Andalousie et recevront les Espagnols en avril. Grâce aux aides du programme européen Comenuis, les frais de voyage en avion et de séjour ont été contenus à 230 euros.
En plus de ces programmes spécifiques, le collège propose différents voyages en Angleterre, en Italie et en Allemagne.
• Paul-Fort
Pas d’échange établi à Paul-Fort mais deux voyages en Angleterre au mois de mai pour les Segpa et pour les 4e.
• Brossolette
Un échange existe avec un collège d’Aix-la-Chapelle en Allemagne. Les 4e et 3e des sections sont concernés, ils vont passer une semaine outre-rhin dans des familles allemandes. Ceux qui étudient l’Espagnol ont droit à un voyage de classe outre-Pyrénées où ils sont également hébergés en famille. Pour l’anglais, un projet est à l’étude en direction de la Scandinavie.
• Trois-Fontaines
Le collège est en train de consolider un échange avec l’Allemagne et plus précisément avec une ville de l’ex-RDA.
Le principe est le suivant : les 6e reçoivent leur correspondant une semaine. En 5e, ils vont là-bas une semaine. En 4e, ils reçoivent à nouveau et en 3e ils y retournent une dernière fois.
Le collège participe aussi au programme d’échange franco-allemand Brigitte-Sausay. Il permet aux élèves de 4e de partir 10 semaines en immersion (dont 4 semaines sur leurs vacances). Ils reçoivent ensuite leur correspondant allemand pendant la même durée. Cette réciprocité permet la gratuité du séjour en Allemagne.
Pour faire aussi bien en anglais, le collège est en train de mettre au point un échange avec Malte. Sur ce point, ils collaborent avec plusieurs autres établissements de la Marne.
• Pierre-de-Coubertin
Les collégiens échangent en anglais avec la Suède. En 4e, ils accueillent les jeunes Suédois et en 3e, ils iront passer une semaine là-bas. Ceux qui étudient l’allemand pourront aller à Leipzig. Quant aux 3e hispanophones, un voyage de 10 jours à Saragosse les attend.
• Paulette-Billa à Tinqueux
Le collège n’a pas de programme d’échange en cours mais les 4e et les 3e pourront aller passer une semaine en Angleterre, hébergés dans des familles. Les latinistes ont un circuit culturel en Italie au programme une année sur deux.
• Maryse-Bastié
Pas de programme européen mais une initiative intéressante. Le collège a lancé un échange avec un établissement de Ouagadougou au Burkina-Faso. Une première prise de contact a été nouée par mail, chaque collégien devrait se voir attribuer un correspondant et le but est d’aller là-bas en 2012.
• Robert-Schuman
Avec un nom pareil, ce collège se devait d’être exemplaire sur le sujet. Il l’est. Les élèves des sections internationales ont la possibilité de passer trois semaines en immersion en Angleterre, soit du côté de la banlieue de Londres, soit à Stratford. Ils profitent aussi d’un échange avec les Etats-Unis qui les conduit une douzaine de jours à Arlington près de Washington. Le jumelage entre Reims et Arlington a, semble-t-il, facilité la mise en place de l’échange.
• Nicolas-Ledoux à Bazancourt
De la 5e à la 3e bilangue et section européenne, les élèves bénéficient d’un échange avec Gersheim. Ils y vont une dizaine de jours par an. Les 4e passent une semaine dans une famille anglaise chaque année mais il n’y a pas de réciprocité. Les latinistes ont un voyage à Rome tous les deux ans.
• Thibaud de Champagne à Fismes
Les 4e de section européenne passent dix jours par an à Bad Oeynhausen en Allemagne et reçoivent leur correspondant en échange. Il s’agit d’une ville jumelée avec Fismes. Le collège a tenté le mettre en place le même dispositif avec un collège anglais mais sans résultat, il cherche maintenant du côté de la Scandinavie. En attendant, les 6e vont découvrir l’Angleterre en voyage de classe et les latinistes vont à Rome un an sur deux.
• Raymond-Sirot à Gueux
Un échange d’une semaine existe avec la ville allemande d’Hochstatt pour les 4e. Le collège de Gueux est l’un des rares à avoir réussi à concrétiser un échange avec l’Angleterre. Les élèves vont une semaine du côté de Stourport dans le Worcestershire. Le collège cherche aussi à consolider des liens avec la Suède et compte s’appuyer sur les vols depuis Vatry pour développer les séjours vers ce pays. Plusieurs voyages de découverte à Londres, en Écosse et parfois en Espagne sont proposés aux élèves.
• Pierre-Souverville à Pontfaverger
Les hispanophones sont gâtés à Pontfaverger. Ils bénéficient d’un échange avec un collège de la région de Madrid où les 3e iront passer une semaine en avril. Les Espagnols sont venus sous notre ciel gris en novembre dernier. Les germanistes de 4e et 3e, en collaboration avec le collège Schuman, iront à Friboug en mai et recevront les jeunes Allemands en octobre prochain. Il n’y a pas encore d’échange avec un pays de langue anglaise.
• Mont-D’Hor à Saint-Thierry
Le collège est en train de relancer un échange avec l’Allemagne et notamment avec la ville de Achim en Basse-Saxe. Des voyages de classe sont par ailleurs prévus en Espagne et en Italie.
• Paul-Eluard à Verzy
Les profs se donnent du mal à Verzy. Ils sont en train de faire aboutir un échange avec Londres. Les Verzyats y sont allés trois jours l’année dernière et les Anglais viendront trois jours en mai prochain. Si tout va bien, la durée et la fréquence des séjours devraient s’accentuer. Pour les germanistes, il existe un échange d’une semaine pour les 4e et les 3e avec la ville d’Adenau. Il existe enfin des séjours découverte en Espagne.
• Léonard-de-Vinci à Witry
Les 4e bilangues profitent d’un échange d’une semaine avec une ville d’Allemagne et tous les 5e pourront profiter d’un séjour d’une semaine en famille en Angleterre.
• Joliot-Curie
Il existe un échange avec l’Allemagne avec un realschule à Lendringsen. Les Rémois y vont du 9 au 15 avril et les Allemands viendront courant juin. Il y a aussi un E-twinning (échange par mail) avec Trinity catholic school Leamington spa en Angleterre qui concernera à terme tous les niveaux de classe et qui devrait déboucher sur des rencontres. Enfin, une sortie à Canterbury est prévue en fin d’année. Rien avec l’Espagne.
C.F.
Nous n’avons pas pu joindre le principal du collège François-Legros. Le principal du collège La Source à Rilly n’a pas souhaité nous répondre.
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L’association France Maroc Dialyse, qui entend « contribuer à faciliter l’accès aux soins de dialyse et aux greffes de reins au Maroc », a été créée le 7 février 2001. Pour fêter dignement son dixième anniversaire, elle a organisé un repas de soutien, samedi 22 janvier, à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge à Reims, un repas typiquement marocain accompagné de plusieurs animations (danse orientale, tatouage de henné, etc.).
« Cet anniversaire est l’occasion de saluer l’engagement fidèle et la mobilisation active et sincère de tous ceux qui lui rendent la vie et l’action possibles », déclarait le président Yassine Ramdani.
« Grâce aux contributions des généreux donateurs et au précieux soutien de la région Champagne-Ardenne, l’association France Maroc Dialyse a pu soutenir plusieurs patients souffrant d’insuffisance rénale, dans la région de l’Oriental au Maroc. Elle a pu accueillir, en France, des chirurgiens marocains qui ont perfectionné leur formation dans le service du professeur Clément à l’hôpital de Reims, organiser des cycles de formation en faveur des équipes médicales d’Oujda et de Berkane, avec le soutien de l’hôpital de Soissons et de l’association régionale Promotion dialyse à domicile (ARPDD), et enfin organiser des conférences, à Oujda, avec la participation du docteur Sylvie Lavaud et du professeur Jacques Chanard. »
Ces actions, importantes, en appellent d’autres : beaucoup de chemin a été parcouru mais l’aventure ne peut pas s’arrêter là !
« Nous disposons de matériel médical stocké à Soissons. La Jeune Chambre Économique de Soissons se charge de trouver les fonds nécessaires à son acheminement au Maroc. Dorothée, Christine et Isabelle, trois infirmières membres actives de l’association, se rendront au mois de mars à Berkane pour y assurer des actions de formation et de prévention. »
France Maroc Dialyse continue inlassablement à se mobiliser pour améliorer la prise en charge de l’insuffisance rénale dans la région de l’Orientale au Maroc.
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LE mercredi 2 février, ce sera portes ouvertes dans les classes prépas de Reims : à Jean-Jaurès, Clemenceau, Roosevelt, et depuis cette année, Arago également. L’apparition du lycée de Croix-Rouge dans la liste est une des nouveautés de cette année. Lui aussi accueille désormais une prépa, post-diplômes technologiques ou techniques (BTS ou DUT) : c’est la filière ATS (adaptation technicien supérieur), qui elle aussi prépare donc aux écoles d’ingénieurs.
Cette prépa toute neuve a commencé à fonctionner à la rentrée dernière, « elle accueille pour l’instant douze élèves ; mais on peut aller sans problème jusqu’à quarante-huit », assure la proviseure Elisabeth Becker.
Autre nouveauté : un nombre de débouchés plus élevé pour les littéraires. Car quand on pense grandes écoles, on pense facilement Centrale, Polytechnique, HEC, ces hauts lieux de la science et de l’économie. Et pour les élèves de la filière lettres ? Normale sup bien sûr, et puis c’est à peu près tout.
Enfin, c’était à peu près tout ; car à partir de cette année, les vannes s’ouvrent pour les « lettreux » jusqu’à multiplier par six le nombre de places offertes, et ce grâce à un nouveau dispositif post-bac, la banque des épreuves littéraires (Bél).
« Des écoles de management, de traduction, de commerce, viendront piocher dans cette caisse commune », résume Dominique Montagne, le proviseur de Jean-Jaurès à Reims, concerné au premier chef par cette petite révolution des études supérieures puisque c’est son établissement qui abrite les classes prépas rémoises pour la filière lettres.
Quant aux autres, classiquement mathématiciens, physiciens, chimistes ou économistes, on ne les oublie pas non plus, mais ils ont l’habitude. « Mais ce que l’on oublie trop souvent, rappellent les proviseurs hébergeurs des prépas, c’est que c’est presque gratuit, et en tout cas moins cher que la fac. Et que des bourses sont toujours possibles. » Alors pourquoi se priver d’une formation qui permet d’envisager de belles carrières, « sous réserve que l’on soit travailleur et motivé » ?
A.P.
Portes ouvertes des classes préparatoires aux grandes écoles, aux lycées Jean-Jaurès, Roosevelt, Clemenceau, Arago, mercredi 2 février à partir de 13 h 30.