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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - juillet 2009



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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Journal « l’Union » - 090730c

Une fillette grièvement brûlée dans l’incendie de sa chambre

Le feu de chambre s’est déclaré au dernier étage de ce bloc alors que la fillette était gardée par une amie de sa mère.
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Le drame a provoqué une vive émotion parmi les habitants de l’immeuble.
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Hier après-midi, une fillette a été grièvement brûlée dans l’incendie de sa chambre à Reims. Elle jouait avec des allumettes lorsque le feu s’est propagé à ses vêtements.

UN effroyable accident domestique s’est produit, hier après-midi, dans un appartement du quartier Croix-Rouge à Reims, au septième et dernier étage d’un immeuble de l’allée des Picards, au n° 6. La victime est une fillette de six ans grièvement brûlée dans l’incendie de sa chambre.

Il était 14 h 30. « J’ai entendu des hurlements. J’ai ouvert la fenêtre et j’ai vu de la fumée qui sortait de l’appartement du dessus », a raconté le locataire du sixième. La maman était absente. C’est une amie qui gardait sa fille. Elle est venue avec son bébé. Elle était occupée à lui donner le biberon lorsque le sinistre s’est déclaré dans la chambre de la fillette.

D’après l’enquête de police, l’enfant a provoqué l’incendie en jouant avec des allumettes. Il s’est propagé à ses vêtements. La nounou l’a vue sortir en feu de la chambre. Elle l’a immédiatement emmenée dans la salle de bains pour éteindre les flammes. Elle a ensuite prévenu les pompiers qui sont restés en contact avec elle, le temps de l’arrivée des secours, pour la conseiller dans les soins à apporter à la fillette.

Evacuée par hélicoptère à Metz

Des vêtements et de la literie brûlaient dans la chambre. De la fumée s’est répandue dans les communs, provoquant la panique de certains habitants des étages supérieurs qui ont évacué l’immeuble d’eux-mêmes. Une vingtaine de locataires sont sortis.

Les pompiers ont rapidement éteint l’incendie limité à la chambre tandis que leurs collègues de l’ambulance ont pris en charge la petite victime. Ils l’ont ensuite confiée à l’antenne mobile du Samu de Reims. « Son état est très grave. Elle est brûlée sur le corps à 80-90 %. Les préparatifs sont en cours pour l’évacuer par hélicoptère sur le centre des grands brûlés de Metz », indiquait en soirée une source policière.

La nourrice et son bébé n’ont pas été blessés. Les blessures psychologiques, en revanche, sont très profondes. La jeune femme est sortie en pleurs de l’appartement, traumatisée, répétant sans cesse que la fillette se trouvait dans la chambre et qu’elle n’avait rien vu.

Hier soir, aux dernières nouvelles, les jours de l’enfant étaient toujours en danger.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090730b

Des aires de jardin

 

 

Des cultures bio et des cucurbitacées… dans un parc historique et touristique

A Reims, le parc de Champagne a choisi pour sa 4e saison culturelle d’été de revenir à ses racines en proposant au public l’exposition « Des Aires de jardins » jusqu’au 4 novembre. Il s’ouvre donc pour l’été à toutes les formes de jardin d’aujourd’hui et d’hier, d’ici et d’ailleurs.

Plantations du monde, cultures biologiques, conseils pour autoproduire ses légumes par temps de crise, et expo photo autour des jardins familiaux et des jardins d’insertion rémois : tout est là pour inciter à la découverte, retrouver le goût du jardin et stimuler les papilles…

 

 

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Journal « l’Union » - 090730a

Les entendez-vous travailler la nuit ?

Si tout va bien, les travaux seront terminées à la fin de la première semaine d’août.
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La rénovation de la chaussée de l’A4 dans sa traversée de l’agglomération rémoise ne se fait que la nuit (quand la météo le permet) ; elle doit durer a priori jusqu’à la première semaine d’août.
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Pendant que vous dormez, ils bossent ; ils refont la chaussée de l’A4 et préparent la future gare Franchet-d’Espèrey.

AU moment où la plupart des Rémois s’apprêtent à se mettre au lit, eux commencent leur journée de travail. Vous les entendez peut-être au cours de ces nuits d’été. Encore qu’ils semblent plutôt discrets ; eux, ce sont les ouvriers des grands chantiers nocturnes en cours sur l’agglomération rémoise : la gare ferroviaire Franchet d’Espèrey à la jonction des quartiers Wilson et Croix-Rouge, la traversée urbaine de l’autoroute A4. Le contournement autoroutier sud et le tramway, deux autres gros chantiers actuels sur l’agglo, eux, ne sont pas concernés, sauf exceptions (voir par ailleurs).

Concernant l’A4, l’objectif est la réfection de la chaussée sur 9 km, entre l’A26 et Cormontreuil, avec notamment la pose d’un enrobé drainant de meilleure qualité que l’actuel : moins glissant par temps de pluie, et de façon générale bien plus silencieux. « Etant donné l’importance du trafic pendant la journée, ces travaux n’ont été programmés que pendant la nuit, entre 21 heures et 6 heures », rappelle-t-on chez Sanef, maître d’ouvrage. A priori, il n’y en plus pour très longtemps : entamée dans les premiers jours de juin, la rénovation, qui avance à la cadence de 2 km de demi-chaussée par nuit, doit être achevée si tout va bien pour la première semaine d’août*. « Cela dépend de la météo, indique le chef de centre Sanef à Reims Olivier Flécheux ; en cas de prévision de pluie continue, nous annulons les travaux. » Des travaux qui, lorsqu’ils ont lieu, génèrent certes un peu de bruit -les klaxons de recul, les raboteuses…- mais qui, à en croire les responsables de la société autoroutière, n’ont pas eu l’air jusqu’à présent de vraiment perturber les riverains. « C’est vrai qu’en temps ordinaire, ils ont déjà l’habitude du bruit de fond de la circulation », commente notre interlocuteur. Ce qui peut être plus gênant que le bruit en lui-même, ce sont, pour les usagers, les fermetures provisoires de bretelles, mais il est possible de se renseigner avant pour ne pas se faire piéger (voir par ailleurs).

Les voisins pas gênés

Un autre chantier anime parfois les nuits rémoises ces temps-ci : celui de la gare SNCF Franchet d’Espèrey. Il est prévu d’inaugurer cette nouvelle station de la ligne TER Reims-Epernay (qui permettra aussi d’aller à la gare TGV de Bezannes, et, vers le nord, à plusieurs gares ardennaises) en septembre. Pour respecter les délais, il arrive fréquemment qu’on y travaille, non seulement pendant la journée, mais aussi de nuit ; cependant, ce n’est pas systématique : ainsi cette semaine, aucuns travaux nocturnes n’étaient programmés ; en revanche, il y en aura au cours de la nuit de mardi à mercredi prochains. Cela se passe alors de façon à gêner le moins possible le trafic sur la ligne : on commence après le dernier train, et on arrête avant le premier. En outre, cela se fait de façon discrète si l’on en croit les habitants de la résidence Terre de Courlancy (Adoma), qui sont véritablement aux premières loges. « On les entend, mais ça n’est pas très gênant », témoignent-ils. Que demander de plus si bosseurs et dormeurs peuvent cohabiter sans malaise ?

Antoine PARDESSUS

*Mais dès ce lundi 27 juillet, Sanef lance un autre chantier nocturne, celui des équipements de sécurité sur trois ponts de la traversée urbaine de l’A4, entre Reims-centre et Cormontreuil, prévus pour durer jusque vers le 21 août.

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La nuit, on dort !

Et les deux autres grands chantiers du moment dans l’agglo : le contournement autoroutier sud et le tramway, que font-ils la nuit ? Généralement ils font comme tout le monde, ils dorment. Sauf exception. Ainsi le soir du 16 juillet par exemple, le contournement sud, qui habituellement sonne le couvre-feu à 22 heures, a joué les prolongations nocturnes, afin d’anticiper des orages annoncés ; mais ceci reste du très occasionnel ! Depuis ça ne s’est pas reproduit.

Et pour ce qui est du tram, les rares nuits où les ouvriers ont dû les passer au travail, elles remontent à l’époque des déviations de réseaux (c’était en février). Depuis, elles ne sont plus d’actualité ; en revanche, on a eu droit plus récemment, en juin et cette semaine encore, à quelques démarrages fort matinaux, à 5 heures, du côté de la gare pour la construction de la tranchée couverte.

Cela dit, il n’est pas exclu que les entreprises tramwaysiennes recourent à nouveau à l’avenir à de vrais travaux nocturnes à un moment ou à un autre, selon leur avancement par rapport au calendrier ; mais ceci n’est encore que du domaine de la simple hypothèse.

A.P.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090729d

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7300 du 27 juillet au 02 août 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS


Aux termes d’une délibération en date du 26 juin 2009, la collectivité des associés de la SARL D.D.M. Maçonnerie, au capital de 1.500 €, siège social 43 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS, R.C.S. REIMS 480 858 208, a pris acte de la démission de Monsieur Mahir YILMAZ et a nommé en qualité de nouveau gérant Monsieur Eyüp CUMUR, demeurant 3 rue Charles Peguy - 77500 CHELLES, pour une durée illimitée.

77286 La gérance


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MODIFICATION DE STATUTS


EKINOXE
CHAMPAGNE
ARDENNES

Société à responsabilité limitée
au capital de 500 €uros
Siège social : 1 avenue Eisenhower 51100 REIMS
R.C.S. Reims 493 943 666


Aux termes d’une délibération en date du 1er octobre 2007, la collectivité des associés a pris acte de la démission de Monsieur Johnny MICHEL notifiée le 28 août à chacun des associés à compter du 1er septembre 2007, et nommé en qualité de nouveau gérant Monsieur Laurent GUILBERT, de nationalité française, né le 2 mai 1973 à SAINT OMER, demeurant à NECHIN (7730), Belgique, 25 rue du Chatelet, à compter rétroactivement du 1er septembre 2007 et pour une durée indéterminée. 77327 La gérance.


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DISSOLUTION DE SOCIETE

CLOTURE DE LIQUIDATION


EKINOXE
CHAMPAGNE
ARDENNES

Société à responsabilité limitée
en liquidation
au capital de 500 €uros
Siège : 1 avenue Eisenhower 51100 REIMS

R.C.S. Reims 493 943 666


L’assemblée générale extraordinaire réunie le 19 juin 2009 a décidé la dissolution anticipée de la société à compter du 19 juin 2009, et sa mise en liquidation amiable sous le régime conventionnel dans les conditions prévues par les statuts et les délibérations de ladite assemblée.

Elle a nommé comme liquidateur Monsieur Laurent GUILBERT, demeurant NECHIN (7730), Belgique, 25 rue du Chatelet, pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation, réaliser l’actif, acquitter le passif, et l’a autorisé à continuer les affaires en cours et à en engager de nouvelles pour les besoins de la liquidation.

Le siège de la liquidation est fixé 139 rue des Arts - 59100 ROUBAIX. C’est à cette adresse que la correspondance devra être envoyée et que les actes et documents concernant la liquidation devront être notifiés.

Les actes et pièces relatifs à la liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

77325 Pour avis Le liquidateur.


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EKINOXE
CHAMPAGNE
ARDENNES

Société à responsabilité limitée
en liquidation
au capital de 500 €uros
Siège : 1 avenue Eisenhower 51100 REIMS

R.C.S. Reims 493 943 666


L’assemblée générale réunie le 19 juin 2009 a approuvé le compte définitif de liquidation, déchargé Monsieur Laurent GUILBERT de son mandat de liquidateur, donné à ce dernier quitus de sa gestion et constaté la clôture de la liquidation à compter du jour de ladite assemblée.

Les comptes de liquidation seront déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS, en annexe au Registre du Commerce et des Sociétés.

77326 Pour avis Le liquidateur.

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Journal « l’Union » 090729c  

TENNIS / Chouilly : Coco, c’est pas de la noix !
 

La 25e édition de l’Open du TC Chouilly restera assurément dans les mémoires. Le tableau messieurs a en effet tenu toutes ses promesses pour… aboutir sur une finale attendue entre les deux favoris à -30, Rudy Coco (Eaubonne) et Maxime Bonami (Sarcelles).

Une finale explosive entre deux joueurs qui ne passeront pas forcément leurs vacances ensemble. « Il joue le mec gentil en dehors du court mais sur le terrain il provoque pour déstabiliser son adversaire », lâchait le néo-Sarcellois. Toutefois, loin de se cacher derrière ce constat, ce dernier reconnaissait la supériorité de Rudy Coco : « Il a été plus fort notamment avec son service. Dans le premier set, j’ai des balles de break que je ne concrétise pas alors que lui les a mises. »

Dès l’entame du match, le puissant gaucher du CSM Eaubonne impressionnait au service mais commettait trop de fautes directes. En s’éparpillant moins, il « breakait » pour confirmer ensuite (6-4). La deuxième manche aura sensiblement le même profil. Formidable relanceur, l’ancien licencié du TC Roye perdait cette fois sa mise en jeu au onzième jeu et Coco bouclait à 7-5.

« Je suis content d’avoir gagné car j’ai eu de bonnes sensations. Cela fait trois fois en huit mois que l’on se joue et c’est toujours un peu tendu car il y a des balles limites », estimait le Francilien ravi de son escapade champenoise après avoir fait deux fois quart-de-finaliste en Syrie sur des 15.000 $ et avant de partir en Angleterre et en Thaïlande sur des tournois ATP.

La grosse surprise de ce millésime 2009 est venue du tableau féminin où la grande favorite Mylie Gillet (0, Géo-André) est tombée en demie face à Mélanie Roy (4/6, Reims Europe Club).

Malheureusement la Rémoise, pas encore 14 ans, n’est pas parvenue à réitérer sa superbe prestation matinale car, dans une finale placée sous le signe de la jeunesse, la Réunionnaise, guère plus âgée (15 ans) Pauline Payet (1/6, TC Tampon) a outrageusement dominé la rencontre comme en témoigne le score (6-0, 6-1).

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Journal « l’Union » 090729b

Les activités de la médiathèque en août
 

Les Flâneries en photos
 

« Découvrir, écouter, prendre son temps », c’est le programme que les Flâneries musicales de Reims proposent depuis déjà 19 années. Pour fêter la 20e édition de ce festival, Alain et Feng Hatat et Alain Julien invitent les Rémois à voir ou revoir leurs clichés.

Cette exposition présente, jusqu’au 29 août, les temps forts des Flâneries avec les photographies des artistes jazz et classique, grands noms et jeunes talents. Elle s’inscrit dans six lieux de la ville et de ses alentours : la Fnac, la maison de quartier des Épinettes, la bibliothèque Saint-Rémi et les médiathèques Croix-Rouge, Laon/Zola et Cormontreuil.

Pour le jeune public, un jeu concours aura lieu dans les médiathèques et la bibliothèque. Ils pourront gagner des places de concert. Entrées libres.

La ronde des albums
 

Sur le thème de la photographie dans les livres pour enfants entre 4 et 6 ans, mercredi 5 août à 11 heures.

Julie raconte
 

L’heure du conte, à partir de 5 ans : « Comment sont apparus les nuages ? », une légende extraite de Contes esquimaux recueillis par Jan Suchl aux éditions Gründ : « Croyez-le ou non, il semblerait que ces légendes esquimaux soient tirées d’histoires vraies… », mercredi 5 août à 15 heures.

Diapositives
 

« La licorne royale de Martine Bourre » : Il était une fois, dans la forêt, un petit roi qui vit passer au loin derrière les arbres un étrange animal…, pour les enfants entre 4 et 6 ans, mercredi 12 août à 16 h 30.

Entrée libre, mais inscription préalable en secteur jeunesse. Médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar.

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Journal « l’Union » 090729a

D’autres feux
 

Une poubelle a flambé ce même soir au n°15 du groupe Eisenhower.

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Journal « l’Union » 090728a

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

 

Avant-propos :
Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reimshabitat.fr) et du B.O.A.M.P (http://djo.journalofficiel.gouv.fr/...)

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : Procédure adaptée selon l’article 28 du Code des Marchés Publics.

3) Objet des marchés : Désinsectisation des logements et des parties communes.

4) Marché non alloti.

5) Date d’envoi à la publication : le 23 juillet 2009.

6) Date limite de remise des offres : le 3 septembre 2009 à 17 heures.

51/AO/1674465

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Journal « l’Union » - 090727c

Tennis / Chouilly, logique respectée

La 25e édition du tournoi du TC Chouilly a été remportée hier après-midi par le grand favori, Rudy Coco (- 30, Eaubonne) qui a battu un autre - 30 francilien, Maxime Bonami (Sarcelles), au terme d’une finale tendue (6-4, 7-5).

Chez les dames, la Réunionnaise du TC Tampon, Pauline Payet (1/6), a nettement dominé (6-0, 6-1) la Rémoise de l’Europe Club, Mélanie Roy (4/6), qui avait pourtant signé le matin une superbe « perf » à 0 contre la tête de série n°1, Mylie Gillet (Géo-André)

Davantage de détails dans notre édition de demain.

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Journal « l’Union » - 090727b

Projections dans les médiathèques

 

Les médiathèques Falala et Croix-Rouge proposent, durant tout l’été, différentes projections de films autour du thème des vacances.

Le prochain rendez-vous est le jeudi 30 juillet à 14 h 30 à la médiathèque Croix-Rouge avec la diffusion des Vacances de Mr Bean, un film de 2007 (durée 1 h 30).

Suivra le samedi 1er août à 15 heures, à la médiathèque Falala cette fois, la projection de Sous le sable, un film de François Ozon avec Charlotte Rampling et Bruno Crémer (durée 1 h 31).

A signaler aussi un ciné-goûter organisé le mercredi 29 juillet à 15 heures à la médiathèque Falala par la Pellicule ensorcelée. Quatre films animés y seront proposés pour un jeune public (à partir de 6 ans).

Entrée libre.

Renseignements à la médiathèque Falala au 03.26.35.68.00 et à celle de Croix-Rouge au 03.26.35.68.40.

 

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Journal « l’Union » - 090727a

L’art de gaspiller l’argent !

Les habitants de l’avenue du Général-Eisenhower, notamment ceux des 49 et 51, viennent de recevoir un petit prospectus dans leur boîte aux lettres les informant que les compteurs d’eau allaient être changés pour devenir individuels et non plus collectifs.

Le problème c’est que dans le cadre du renouvellement urbain, ces deux immeubles vont être détruits dans les deux années à venir.

Si ça, ce n’est pas jeter l’argent par les fenêtres..

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Journal « l’Union » - 090725b

Automobilistes à Croix-Rouge : Le calvaire n’est pas près de prendre fin !

Il vaut mieux désormais circuler à pied à Croix-Rouge !
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Les pauvres habitants de Croix-Rouge, déjà en plein marasme circulatoire, vont devoir s’adapter encore un peu plus à des conditions difficiles.

Jusqu’au 31 octobre, les travaux sur chaussée liés au tramway vont affecter l’avenue du Général-Bonaparte (intersection avec rue François-Arago, allée des Landais, rue Jean-Louis-Debar, rue Joliot-Curie, rue Gladys-de-Polignac, allée Edgar-Degas, place Jean-Donatini et avenue d’Épernay), l’avenue du Maréchal-Juin (entre la place Jean-Donatini et la rue du Général-Koenig, côté gauche face aux places Utrillo et Toulouse-Lautrec), la rue Pierre-Taittinger (n° 5) et l’avenue du Président-Kennedy (réalisation du souterrain n° 6).

Jusqu’au 30 novembre, des travaux sur le réseau d’assainissement toucheront l’avenue Georges-Pompidou, la rue Jacques-Prévert, la rue Jean-Gabin et la rue Jean-Pierre Melville. Enfin, jusqu’au 31 décembre, les travaux sur chaussée pour la construction de la plate-forme tramway envahiront la rue du Colonel-Fabien et l’avenue du Général-de-Gaulle !

Encore mieux, jusqu’au 28 février 2010, avenue du Général-Bonaparte, les travaux sur chaussée (tramway), seront toujours présents entre la place Jules-Crochet et la place Jean-Donatini.

Il va décidément falloir faire preuve de beaucoup d’imagination pour aller d’un point A à un point B dans ce quartier martyrisé qui mériterait pourquoi pas un petit abattement de la prochaine taxe d’habitation, histoire de dédommager les habitants pour ces troubles de la vie quotidienne…

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Journal « l’Union » - 090725a

Reims / Aucune victime : La locataire de l’appartement incendié a reçu des menaces

L’incendie survenu en l’absence de la locataire - qui n’osait plus dormir chez elle - a totalement ravagé l’appartement.
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Une cinquantaine d’habitants ont préféré évacuer l’immeuble avant même l’arrivée des pompiers. Photos Hervé OUDIN
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L’incendie qui a ravagé, hier, un appartement dans le quartier Croix-Rouge à Reims est très suspect. Absente la nuit des faits, la locataire avait reçu des menaces.

AUCUNE victime mais un acte manifestement criminel. Vendredi vers 0 h 15, un violent incendie a ravagé un appartement de l’allée des Béarnais, au quartier Croix-Rouge à Reims (notre « Dernière minute » d’hier).

Le logement se trouvait au sixième et avant-dernier étage de l’immeuble. Il était inoccupé. Ces derniers temps, la locataire - une mère de famille qui vit seule avec ses enfants - n’osait plus dormir chez elle après avoir fait l’objet de menaces dont l’origine n’a pas été précisée.

Un matelas avait déjà flambé sur son palier il y a quelques mois. Selon les informations recueillies à l’époque, certains individus n’auraient pas apprécié qu’elle s’affranchisse de la loi du silence sur leurs activités douteuses.

Ce contexte pèse lourd en faveur de la thèse criminelle, de l’incendie allumé par représailles mais une autre éventualité n’est pas à exclure : celle d’un cambriolage commis par des personnes qui savaient que la victime était absente, et qui auraient mis le feu pour effacer leurs traces.

Cinquante personnes dehors

Si elle paraît s’imposer d’un point de vue intellectuel, l’origine volontaire du sinistre reste cependant à confirmer par les constatations matérielles. Elles vont être difficiles. Tout a brûlé dans l’appartement. Il ne reste plus qu’un amas de décombres calcinés. Quand bien même l’alerte a été donnée tardivement du fait de l’absence d’occupants, l’ampleur des dégâts laisse perplexe, de nature justement à crédibiliser l’idée selon laquelle la violence du feu s’explique par l’emploi d’une substance incendiaire.

Des riverains ont entendu une forte détonation provenant de l’appartement mais cet élément n’est d’aucune utilité pour mieux cerner l’élément déclencheur du sinistre. Beaucoup d’objets domestiques sont susceptibles d’exploser sous l’effet d’une forte chaleur.

Arrivés sur place, les sapeurs-pompiers n’ont pas estimé utile d’évacuer l’immeuble mais une cinquantaine d’habitants étaient déjà sortis d’eux-mêmes. Ils ont pu rentrer chez eux vers 1 h 15, après l’extinction de l’incendie assurée au moyen de deux lances. Leur colère - si l’acte criminel qu’ils pressentent se confirme - n’a d’égale que la peur ressentie.

Seuls les communs des deux derniers niveaux ont été enfumés. Le balcon, la façade et les volets de l’appartement du dessus ont été noircis ou détruits.

L’enquête est entre les mains de la sûreté départementale de Reims. La Ville et le Foyer rémois ont été contactés pour trouver au plus vite un relogement à la locataire et ses enfants. Si possible à l’écart du quartier.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090724g

TENNIS / Chouilly Copieux programme !

Monument du tennis champardennais et dernier tournoi majeur de la session estivale, l’Open du TC Chouilly s’annonce grandiose pour sa 25e édition.

En effet, le président Christian Foucher et les chevilles ouvrières du club Catherine et Bruno Départ ont, pour la première fois dans l’histoire de cette épreuve, dépassé la barre des 200 inscriptions. Soit un record avec 205 participants (contre 178 l’an passé) !

Coco face à Bonami

Bien sûr, la densité a été au rendez-vous avec notamment un somptueux plateau masculin. Solides -30, Rudy Coco (Eaubonne) et Maxime Bonami (Sarcelles) feront figure de logiques favoris. Reste que la concurrence est multiple avec, en première ligne le sociétaire du Reims Europe Club Mathieu Roy (-15), récent vainqueur au Mesnil-sur-Oger, auteur d’une superbe saison et toujours avide de « perf » à l’échelon supérieur.

De son côté, Sylvain Mathias (-15, Blanc Mesnil) aura comme principal handicap son manque de compétition alors que Thierry Rajaobelina (-4/6, Levallois) - vainqueur sur la résine de la route de Cuis il y a deux ans contre… Mathieu Roy et qui vient de « perfer » à -30 contre…. Maxime Bonami - présente le profil du parfait outsider. Et ce n’est pas fini avec l’autre -4/6 Jean-Komi Loglo (Chartres) ainsi que les -2/6 cormontreuillois Vincent Leveque et Benjamin Pilliet qui entendent bien tirer leurs épingles du jeu.

Du côté des dames, le tableau est également moins dense et il serait vraiment étonnant que Mylie Gillet n’inscrive pas son nom au palmarès. En effet, l’ancienne négative rémoise semble nettement supérieure aux licenciées du TC Tampon à la Réunion, les 1/6 Anne-Laure Dorseil et Pauline Payet, ou la 3/6 Claire Thouvenin (Compiègne). Quant aux espoirs champenois exilées à savoir Margot Cremont (3/6, Dijon) et Mathilde Jacquin (3/6, Gujan Mestras), il s’agira de constater leurs progrès.

PROGRAMME. - Demain, demi-finales + 35 ans messieurs à 13 h 30 et 15 heures ; demi-finale + 35 ans dames à 15 heures. Dimanche, demi-finales dames à 9 heures ; demi-finales messieurs à 10 h 30 ; finales + 35 ans messieurs et dames à 12 heures ; finale dames à 14 h 30 ; finale messieurs à 16 heures.

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Journal « l’Union » - 090724f

D’Erlon en large

Si vous aimez vous faire fouetter par des branchages, ou des herbes folles, piquantes ou non, n’hésitez pas un instant à rouler à vélo sur les portions de pistes cyclables de l’avenue François-Mauriac (sens Reims-Bezannes). Vous y trouverez votre bonheur. Mais comme vous n’êtes pas maso, vous préférerez emprunter la route. Hélas ! Vous aurez toute chance de tomber sur des conducteurs qui vous feront comprendre, d’une manière ou d’une autre, que les pistes cyclables ne sont pas faites que pour les chiens ! Et vive l’écologie !

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Journal « l’Union » - 090724e

Dix jeunes de Croix-Rouge en Pologne : Pour découvrir l’Europe

Des jeunes Européens issus de quatre nationalités.
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Dix jeunes du quartier Croix-Rouge, cinq garçons, cinq filles, viennent de participer à un séjour en Pologne à Nowa, dans le cadre d’un échange organisé par la maison de quartier Croix-Rouge.

Accompagnés par Slimane Hamdi (espace Pays-de-France) et Sahdia Idami, (espace Nacelle), ils ont participé à un regroupement de jeunes de quatre pays européens : France, république Tchèque, Lituanie et Pologne, sur le thème du développement durable « Espoir d’une vie meilleure ».

Une expérience enrichissante

Au programme d’un séjour très chargé, présentation des quatre pays, une journée polonaise, une journée française, une journée lituanienne et une journée tchèque, visite de grottes, d’un château, sortie en montagne, plantation d’arbres et surtout une réflexion collective sur les problèmes de consommation d’énergie, suivie d’un débat et d’échanges : « Il était important de découvrir que, dans chaque pays représenté, les habitants se mobilisent pour la protection de l’environnement », explique Slimane Hamdi.

Cette expérience a été très enrichissante pour les jeunes de Croix-Rouge qui ont découvert la culture et la façon de vivre de chaque pays : « Un partenariat solide et durable s’est noué avec les associations lituanienne, tchèque, polonaise et française (maison de quartier Croix Rouge) » et, grâce à un financement de l’Union Européenne (programme européen « Jeunesse en Action »), de la région Champagne-Ardenne (Affaires européennes et internationales) et du Foyer rémois, des projets sont déjà en préparation pour l’année 2010, dans le cadre du programme européen Jeunesse en action.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090724d

Reims / Orage : Déluge sur la ville

Comme la fois précédente en juin, le rond-point des avenues Maréchal-Juin et Kœnig a été inondé à cause des travaux du tramway.
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Hier vers 16 heures, un orage a déversé ses trombes d’eau sur l’agglomération rémoise. Le déluge a duré une dizaine de minutes, mais aucune inondation sérieuse n’a été déplorée.

Les sapeurs-pompiers n’ont enregistré que treize demandes d’intervention, lesquelles ont quand même occupé pas mal d’équipes.

Le premier appel est venu d’un magasin de la rue de Louvois, à 15 h 50, mais le personnel avait fini d’évacuer l’eau à l’arrivée des secours.

La maison de quartier Croix-Rouge, celle de Maison-Blanche, l’agence de la Banque populaire avenue Jean-Jaurès, les magasins « Tout compte fait » et Etam » rue de Vesle ainsi que le magasin Ed de l’avenue d’Epernay ont eu certaines surfaces recouvertes par quelques centimètres d’eau.

Impasse de la Blanchisserie, des infiltrations ont parcouru deux étages de bureau. La salle à manger et la véranda d’un particulier ont été inondées rue Camille-Lenoir, des garages avenue de Laon et rue d’Avranches, une cave rue Emile-Zola, un sous-sol allée Margaret-Schuppel à Tinqueux. Les dernières pluies abondantes sur Reims remontaient au 15 juin. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le rond-point des avenues Maréchal-Juin et Kœnig a été inondé comme la fois précédente. Les voitures avaient de l’eau jusqu’au niveau des roues. Pour les bus, impossible de passer. Ils ont dû emprunter un chemin détourné.

Nous l’avions déjà signalé après les intempéries du 15 juin. Les travaux du tramway provoquent l’obstruction des égouts du rond-point, si bien que l’eau envahit les environs lorsqu’il pleut beaucoup. Rien n’a changé depuis.

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Journal « l’Union » - 090724c

REIMS / Dernière minute : Violent feu d’appartement

Cette nuit, vers 0h15, un violent incendie s’est déclaré dans un appartement de l’allée des Béarnais, dans le quartier Croix Rouge à Reims.

L’appartement, situé au 5e étage, était complètement embrasé à l’arrivée des pompiers.

L’extinction était toujours en cours à l’heure où nous écrivions ces lignes.

Les secours n’avaient pas encore procédé à une reconnaissance du logement.

On ignorait donc si celui-ci était occupé.

D’importants moyens (pompiers, police, GDF) étaient présents sur les lieux.

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Journal « l’Union » - 090724b

Planétarium

Dans le cadre de l’année mondiale de l’astronomie, un dôme gonflable de cinq mètres est installé dans les quartiers en juillet et août.

Au programme : exposition, atelier astronomie proposés par le planétarium de Reims. Rendez-vous aux Châtillons jusqu’à ce soir, dans le secteur du Docteur Billard du 27 au 31 juillet et du 3 au 7 août, puis à Clairmarais (du 10 au 14 août) et à l’espace Le Flambeau (du 17 au 21 août). Renseignements : Planétarium municipal de Reims, 1, place Museux. Tél. 03.26.35.34.70. .

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Journal « l’Union » - 090724a

Passeport

En raison du nombre important de demandes et afin de limiter l’attente, le dépôt des dossiers des passeports s’effectue désormais uniquement sur rendez-vous auprès de l’hôtel de ville (bureau des formalités administratives - porte 11) auprès des antennes Orgeval, Murigny, Croix-Rouge et Europe.

Les rendez-vous sont fixés par demi-heure. Un couple avec un enfant souhaitant effectuer trois demandes de passeport devra prendre trois rendez-vous consécutifs ou non.

Les rendez-vous peuvent être pris sur place ou par f téléphone directement auprès des sites concernés : Hôtel de ville au 03.26.77.78.67 ; antenne Orgeval au 03.26.35.60.10 ; antenne Murigny au 03.26.85.44.44 ; antenne Croix-Rouge au 03.26.35.60.20, à l’antenne Europe au 03.26.35.60.00.

Le retrait des passeports s’effectue sans rendez-vous auprès du lieu de dépôt du dossier, aux horaires habituels d’ouverture.

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Journal « l’Union » - 090723e

Ovni : les témoignages se multiplient

Le 20 juin, deux semaines avant le survol d’un ovni à Reims, plusieurs témoins ont vu une étrange boule orange lors d’une fête de village dans les Ardennes. D’autres observations ont été signalées.

LA région de Reims n’est pas la seule à avoir été survolée ces derniers jours par un mystérieux phénomène. Après avoir appris dans le journal qu’un Ovni y avait été signalé le 4 juillet, plusieurs habitants du village d’Anchamps, près de Revin dans les Ardennes, se sont manifestés pour signaler l’observation d’une étrange boule lumineuse lors de la fête du village le 20 juin.

« C’était une lumière orange, comme une grosse boule, à 500 mètres d’altitude environ, qui allait vers le sud. C’était totalement silencieux. Quand « l’objet » s’est approché du rayon du laser, il est brusquement monté très vite à la verticale et il a disparu… » Ce témoignage, un parmi bien d’autres, a été recueilli par Jean-Luc Lemaire, enquêteur privé ardennais qui s’intéresse depuis vingt ans au phénomène Ovni. Ce ne sont pas moins d’une cinquantaine d’habitants d’Anchamps qui ont observé la chose. Quelques-uns l’ont même prise en photo ! Les témoins ont repéré cette boule orange vers 22 h 45. Ils l’ont suivie du regard un bon moment jusqu’à ce qu’elle disparaisse au-dessus des bois.

Pour Jeannine Ferro, « on aurait dit un ballon-sonde », tandis que son fils penchait plutôt pour un « drôme » (sic) et qu’un autre parlait de « satellite en feu en train de se désagréger ».

Une lanterne ?

Mais, pour la plupart, l’apparition de cette boule couleur orange-rouge rappelait « les petites montgolfières enflammées » qu’ils avaient admirées lors du festival « Contrebande » de Revin, fin mai, et qui avaient, par centaines, illuminé le ciel.

Une lanterne ? « Je l’aurais pensé s’il n’y avait pas eu la photo mais ça coince à ce niveau-là », indique M. Lemaire. « Je l’ai analysée. La forme photographiée n’est pas compatible avec une lanterne. »

Après Anchamps le 20 juin, Reims le 4 juillet, c’est un Ardennais d’Aiglemont, près de Charleville, qui a fait une curieuse observation le 14 juillet. Jean-Michel Ligeron sait de quoi il parle car lui-même est un spécialiste des Ovni (il a publié un livre en 1981 : « Ovni en Ardennes, 10 ans d’enquête sur les soucoupes volantes »).

« Ce soir du 14 juillet, ce que j’ai observé n’a rien de commun avec les fusées d’un traditionnel feu d’artifice. A 22 h 46, tandis que je m’approchais d’une fenêtre, mon attention fut immédiatement attirée par la présence d’une sphère blanche, très lumineuse et silencieuse qui se déplaçait très lentement d’ouest en est ».

Sur l’instant, il a pensé au passage de la station orbitale ISS mais vérifications faites, elle était invisible à cette heure ce soir-là.

« A 23 h 34, en regardant le ciel, une dernière fois, dans la même direction, je vis apparaître, sur place, une nouvelle boule lumineuse blanchâtre, non éblouissante, ce fut comme si celle-ci vint à « s’allumer ». L’apparition dura environ 20 secondes, durant lesquelles j’ai réalisé deux autres photos, d’une meilleure qualité que les précédentes, après quoi, la sphère « s’éteignit » ou se « dématérialisa » sur place ». Que s’est-il passé dans le ciel aiglemontais ce soir-là ? La question, comme ailleurs, reste posée.

G.G.-M, Ph.M. et F.C.


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L’ovni rémois du 4 juillet garde son mystère


Deux semaines après, les trois lumières en triangle signalées par plusieurs personnes dans le ciel de la région rémoise gardent leur mystère. « À ce jour, le phénomène reste inexpliqué », indique l’enquêteur, Jean-Luc Lemaire, resté en contact avec les différents témoins (ils ont demandé l’anonymat).

Tout a commencé avec l’observation d’un habitant du quartier Croix-Rouge à Reims, près du campus universitaire. Le 4 juillet vers 22 h 45, alors qu’il se trouvait dans son jardin, le monsieur a eu son attention attirée par « trois lumières rouges » disposées « en triangle » qui « évoluaient horizontalement et doucement vers la Montagne de Reims ». Le phénomène « a alors changé de direction et est monté plus vite pour disparaître ». C’est à ce moment qu’est apparue « une légère traînée blanche derrière le phénomène, traînée qui n’a pas persisté dans l’atmosphère », contrairement à celles des avions. L’observation a duré environ cinq minutes.

Suite à l’appel à témoins paru dans l’union du 9 juillet, une trentaine de personnes de l’Aisne, de la Marne et des Ardennes ont contacté M. Lemaire pour lui signaler des phénomènes survenus le 4 juillet ou à des dates différentes. Il y a les observations d’Anchamps et d’Aiglemont (lire par ailleurs), des visions fugitives qui peuvent s’expliquer par des météorites ou des satellites mais aussi quelques cas confirmant le passage des trois lumières au-dessus de la région rémoise ce fameux 4 juillet.

Douze témoins dans un même village

Il y a d’abord le témoignage d’une retraitée de 72 ans, également domiciliée au quartier Croix-Rouge. De son balcon, elle a observé l’évolution des trois lumières en triangle, à l’exception de la traînée. Vers la même heure, dans un quartier non précisé, quatre personnes ont vu « deux points lumineux rouges ». « Le premier est monté puis a disparu, le second a fait de même à vive allure. » Durée de l’observation : cinq minutes. Deux autres groupes de témoins se sont fait connaître, tous deux du même village, au nord du massif de Saint-Thierry, mais ils s’ignoraient l’un l’autre. Il s’agit d’un couple qui a fait son observation en compagnie de trois voisines et de sept jeunes gens qui ont décrit de façon surprenante l’apparition du phénomène.

« Ils ont d’abord vu arriver un premier point lumineux qui s’est fixé. Un deuxième point l’a rejoint et s’est fixé à son tour, puis un troisième pour former le triangle. Ils ont ensuite bougé de concert jusqu’à leur disparition dans le lointain » relate Jean-Luc Lemaire. Il pensait à une formation d’avions militaires en manœuvre mais la base aérienne 112 a fait savoir qu’il n’y avait pas eu d’exercice ce soir-là.

Enfin, un autre témoignage en date du 4 juillet provient d’Epernay. Un Sparnacien attendait le tir d’un feu d’artifice à 23 heures, sur les hauteurs de la ville près de Mardeuil, lorsqu’en se retournant, il a aperçu en direction de Reims « un gros point bleu bizarre ». Le temps de prévenir sa femme, il n’y avait plus rien.

Point bleu, lumières rouges… Ces différentes lueurs dans la nuit attendent toujours une explication.

F.C.


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Observations tous azimuts


Le ciel de la région est très fréquenté en ce mois de juillet. Petit aperçu - non exhaustif - des autres témoignages recueillis par le chercheur privé ardennais Jean-Luc Lemaire :

Reims (51), le 3 juillet vers 23 heures : Rassemblées pour un anniversaire dans le jardin d’une maison (quartier non précisé), plusieurs personnes observent « trois points rouges » qui avancent régulièrement dans le ciel.

Rouvroy-sur-Audry (08), le 4 juillet vers 21 heures : Une femme et sa fille circulant en voiture entre Rouvroy-sur-Audry et Aubigny aperçoivent « une énorme boule argentée durant une trentaine de secondes » à une altitude estimée à environ 500 mètres. « C’était silencieux, totalement immobile et aux contours bien nets. La taille correspondait à un cercle formé par mes mains ouvertes en joignant mes pouces et mes index », précise la fille. « Ça a disparu comme ça, subitement, sans bouger. J’ai eu un peu peur. »

Orainville (02), le 5 juillet à 3 h 10 : Pendant dix minutes, au lieu-dit Pontgivart, en limite de l’Aisne et la Marne, une femme observe « un gros truc brillant », de forme ovale, qui effectue des allers-retours comme une pendule mais sur un plan horizontal. Le phénomène était visible en direction d’Orainville. « Mon mari n’a pas voulu me croire jusqu’à la parution d’un article dans le journal. »

Brissy-Hamégicourt (02), le 5 juillet vers 4 heures : Dans ce village proche de Saint-Quentin, un homme observe pendant deux minutes, à travers sa fenêtre, une « grosse boule lumineuse » qui oscille dans le ciel.

Haybes (08), le 18 juillet vers 23 h 30 : Une « boule rouge enflammée », mais sans traînée, est observée assez haute dans le ciel, « sous les nuages ». Une météorite ? « Ça allait trop lentement pour une étoile filante » assure le témoin qui a observé cette boule rouge pendant « quelques minutes ».

F.C.

Pour tout témoignage sur ces lumières dans la nuit (anonymat préservé sur simple demande), il est possible de contacter Jean-Luc Lemaire au 03.24.59.08.42.

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Journal « l’Union » - 090723d

Regroupement des universités à Croix-Rouge / Non, le projet n’est pas mort !

Le site du campus sciences du Moulin de la Housse. L’hypothèse de son déménagement vers Croix-Rouge est toujours d’actualité.
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Un bruit court selon lequel l’Urca aurait renoncé à rapprocher le campus sciences de celui de lettres. Bruit complètement infondé selon le président.

LE grand projet de regroupement des campus rémois des sciences et des lettres sur le seul site de Croix-Rouge serait-il tombé à l’eau ?

Un bruit court en ce sens actuellement. Ce projet reviendrait trop cher et l’Urca (université de Reims Champagne-Ardenne) ne parvenant pas à boucler le budget, aurait préféré renoncer.

Et il est vrai qu’il s’agit d’un projet lourd, qui pèse de l’ordre de 200 millions d’euros ; pour autant selon la présidence de cette Urca, ce bruit de renoncement n’a aucun lieu d’être : « Ce projet de regroupement est toujours d’actualité, affirme le président Vistelle ; à tel point que ce matin (mardi, ndlr) une réunion d’information se tenait précisément sur le sujet, réunissant les principaux intéressés du campus sciences du Moulin de la Housse, pour leur présenter les tenants et aboutissants du dossier. » En outre le cabinet chargé de l’étude de faisabilité est bien au travail, et n’a aucune raison d’arrêter celui-ci : « Il devrait donner sa réponse vers la fin septembre-début octobre », précise le président, sachant que ce cabinet réfléchit sur deux hypothèses : le transfert proprement dit du campus Moulin de la Housse vers Croix-Rouge, et, « en solution de repli » selon les termes présidentiels, la simple réhabilitation du Moulin sur place ; dans ce cas l’idée de regroupement serait effectivement abandonnée, mais, on l’aura bien compris, telle n’est pas la volonté de départ*.

Moulin inadapté

Par ailleurs, quel que soit le résultat de cette étude, avec ou sans déménagement, il devra se passer quelque chose pour le Moulin de la Housse : le président redit que ce campus scientifique « n’est plus adapté aux exigences d’aujourd’hui, notamment en matière de recherche ».

On se souvient peut-être de la récente illustration de la fâcheuse usure du temps à son égard : ses ennuis d’alimentation électrique survenus avant le 14 juillet, qui n’avaient pas été loin de mettre en péril les systèmes informatiques de toute une série d’acteurs de l’enseignement supérieur ou secondaire (Crous, lycées, rectorat… notre édition du 11 juillet).

Et là, ce n’était vraiment pas de la rumeur, contrairement à celle qui parle d’abandonner le projet regroupement.

« Il faut se méfier des bruits, conclut le président, on en entend de toutes sortes ; moi, j’en ai entendu un selon lequel au contraire tout ce déménagement était déjà bouclé sans concertation ! »

Antoine PARDESSUS

*En tout état de cause, le troisième campus, médecine, lui, n’est pas concerné par un éventuel déménagement vers Croix-Rouge.

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Journal « l’Union » - 090723c

Jardins familiaux : les assos vont bien

À la suite de notre article sur l’assemblée générale des jardins familiaux de l’agglomération de Reims (lundi 20 juillet), des jardiniers de l’association Jaca (jardins associatifs de la communauté d’agglomération de Reims) ont paniqué : « Ils pensent que Jaca est sur le bord de l’explosion : dissolution ou scission. De plus, certains pensent que je vais arrêter Jaca en septembre », témoigne leur président. La confusion vient du fait que Didier Klodawski porte deux casquettes, celle de président de cette association jaca (247 Jardiniers) mais aussi celle de président de la Fédération de l’agglomération de Reims (835 jardiniers de Jaca, Trois-Fontaines, Trois-Rivières, Croix-du-Sud, Maroc, Pays-de-France, Cheminots et société d’horticulture de Reims). C’est cette dernière, la Fédération qui est dans une situation délicate. Il convient dont de rassurer les jardiniers de Jaca : ils ne sont nullement concernés par les péripéties relatées dans notre article sur la Fédération.

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Journal « l’Union » - 090723b

TENNIS / CTP Dormans : pauvre Genty !

Chez les garçons, il n’a pas fait bon être tête de série. En effet, le tenant du titre Christophe Arnould (5/6, La Macérienne) n’a rien pu faire contre Stéphane Adloff (15/1, Charly-sur-Marne) alors que Romain Michalski (15, Taissy) subissait la loi en trois sets du coriace gaucher Philippe Genty (15/1, Betheny). Le tout pour une finale de vétérans entre le + 35 ans axonais et le + 40 ans marnais !

Deux de chute

Adloff s’imposait 7-6, 6-1. « Le premier set se joue à pas grand-chose. Tout bascule dans le premier jeu du deuxième set qui dure près d’un quart d’heure. Pour ma part, j’ai su être constant en évitant les fautes directes », expliquait celui qui succède au palmarès dormaniste à des joueurs tels que Sébastien Jolly (1993, 1994) ou Sébastien Gérard (2006).

Décidément, le bioflex du CTP ne convient pas en finale à Philippe Genty puisque celui-ci, annoncé comme favori mais fatigué par ses matches à répétition, s’inclinait dans le tableau + 35 ans face à Christophe Mosiek (15/3, CT Philippe).

Une deuxième finale perdue sous la forme d’une « contre » face au redoutable joueur local, pourtant nettement dominé en début de match (6-1), mais qui a su s’accrocher pour remporter la deuxième manche (7-5) avant de dérouler dans la « belle » (6-0).

Quant au « Trophée des Légendes » réservé aux + 55 ans, Olivier Marchand (15/4, CT Philippe) a logiquement pris le meilleur sur Philippe Huet (15/5, Géo-André).

Du côté des dames, Sindi Emric (CT Philippe, 15/4) a battu, non sans difficultés, sa cousine Alisa Emric (30, CT Philippe) sur le score de 6-7, 6-0, 6-2.

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Journal « l’Union » - 090723a

Feux de saison : Les champs brûlent

Les moissons ont commencé et dans leur sillage, les inévitables feux de champs provoqués par les étincelles des engins agricoles.

un feu d’herbe, à 15 h 30, dans une aire de jeux d’enfants désaffectée avenue Bonaparte ;

Vers 18 h 30, les pompiers sont retournés avenue Bonaparte, derrière une crèche, pour éteindre un feu de tourbe répandue à cet endroit.

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Journal « l’Union » - 090722c

Piscines municipales : Qu’on est bien dans l’eau !

Ici, à la piscine des Thiolettes,la joie du bain et de la natation pour tous les âges.
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Même si l’été n’est pas torride, les six piscines de Reims connaissent une bonne fréquentation en ce mois de juillet.

Surveillés par des maîtres-nageurs de la Rems, les jeunes Rémois y viennent en nombre dans les grands et petits bassins en toute sécurité.

A noter : la piscine du Château d’Eau sera fermée du 25 juillet au 2 août.

Renseignements à Allo piscine au : 03.26.77.32.42.

Web : www.rems.fr

 

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Journal « l’Union » - 090722b

Collecte des ordures à Croix-du-Sud / Une bonne chose mais…

Le premier bilan de ce nouveau système de collecte des ordures ménagères sera fera dans six mois.
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La collecte des déchets des entrées 9, 10 et 11 de l’allée Degas à Croix-du-Sud a changé. Qu’en pensent les habitants ?

ménagères, deux jaunes pour le papier et les emballages, un vert pour le verre. Depuis le 23 juin, la collecte des déchets a changé pour les 93 foyers des entrées 9, 10 et 11 allée Edgard-Degas

TROIS conteneurs noirs pour les ordures à Croix-du-Sud.

C’est le site choisi par Reims métropole et le bailleur social, Plurihabitat l’Effort rémois pour mener une expérimentation. « Nous avons choisi d’enterrer des conteneurs », rappelle Eric Quénard, premier adjoint au maire en charge du logement et de la politique de la ville. L’intérêt de ce changement est triple. Tout d’abord, il est environnemental puisque dans le quartier, le tri sélectif n’existait pas. Le deuxième est lié à la lutte contre l’insécurité. « Les anciennes poubelles étaient dégradées voire incendiées. Ce système devrait limiter le nombre d’interventions des pompiers », assure-t-il. Enfin vient l’intérêt hygiénique. Cette expérimentation prend place dans l’ambitieux projet de baisse des charges locatives, et représenterait environ 50 € par an selon les estimations données par Reims métropole.

Coût de l’opération : 49.300 euros

Une expérimentation qui a un coût, 21.000 € à la charge du bailleur pour les travaux de génie civil et 28.300 € pour l’achat du mobilier par Reims Habitat.

Pour aider les habitants à bien faire le tri, des ambassadeurs sillonnent le quartier et distribuent des dépliants informatifs. Toutefois, tous les habitants ne semblent pas au courant de leur existence. « Je n’ai vu personne mais il suffit de lire les étiquettes pour bien faire le tri », assure Jacqueline, heureuse du lancement de ce nouveau système. Christian et Régine sont eux aussi pour : « C’est une bonne chose sur le principe, dans la réalité, dès le premier jour, qui coïncide avec la condamnation des vide-ordures, j’avais sur mon palier des poubelles. Finalement, c’est moi qui les ai descendues », raconte Régine désabusée par cette incivilité. Et son mari d’ajouter : « C’est bien tant qu’il fait beau mais en hiver, est-ce que les habitants vont sortir leurs poubelles ou les mettre sur les paliers ? »

Ce couple, appuyé par Dominique, qui les a rejoints, s’inquiète sur un autre point. « Où est la sécurité notamment pour le bac d’ordures ménagères ? Un enfant peut très bien jouer à cache-cache et tombé dans le bac et ensuite… que se passe-t-il ? ». « Il faut responsabiliser les parents. Les enfants ne doivent pas aller seul aux poubelles. Ils doivent être accompagnés pour leur expliquer comment faire le tri et son utilité. Il n’y a pas plus de risque qu’avec les anciens conteneurs », répond l’adjoint au maire.

Même si les habitants des tours semblent sceptiques sur le lieu choisi pour le test, d’autres, comme Christophe, qui habite à l’entrée 8, sont séduits par ce système. « C’est une bonne idée et je serais content que cela arrive en bas de chez moi. Faisons tous un geste pour la planète ! »

Séverine MIZERA

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Forcés de vivre avec l’odeur des poubelles

Les poubelles s’accumulent et les odeurs aussi, les locataires de l’allée de Bourguignons sont en colère.
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Les locataires des immeubles 14, 16, et 18 allée des Bourguignons doivent depuis vendredi, supporter les odeurs des poubelles qui émanent du locale à ordures. En effet, le gardien de ces immeubles est actuellement en arrêt de travail, c’est lui qui en temps normal est chargé de sortir les bennes à ordures afin que les éboueurs puissent les vider. Il est aussi en charge de l’entretien des locaux à poubelle.

« J’ai déjà téléphoné deux fois, le Foyer rémois nous dit que le monsieur est en arrêt et que l’organisme logeur n’arrive pas à lui trouver un remplaçant », explique une locataire en colère de devoir supporter ces odeurs. « Le pire c’est que notre bailleur n’a jamais, malgré tous les dysfonctionnements que l’on rencontre, fait de baisse des charges en guise de geste commercial. Le faire serait pour lui reconnaître ses erreurs », ajoute un locataire.

Contacté par téléphone le Foyer rémois apporte quelques précisions : « Effectivement, un gardien est en arrêt maladie. Nous avons été prévenus ce mardi matin, le temps de faire le nécessaire tout rentrera dans l’ordre mercredi. »

T.A.F

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Journal « l’Union » - 090722a

Section judo de l’ASCR : Gala de fin d’année et récompenses

Des ceintures de toutes les couleurs.
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Petits et grands, judokas et jujitsukas, tous s’étaient donné rendez-vous pour présenter le travail d’une saison devant un public nombreux à l’occasion du gala de fin d’année de l’Association sportive Croix-Rouge, section judo, au gymnase François-Legros.

Une petite nouveauté cette année, toute les démonstrations étaient faites en musique.

Après les remises de récompenses aux compétiteurs du club, un goûter leur était proposé, avec d’excellents gâteaux préparés par les adhérents.

Reprise des cours le mardi 8 septembre.

Contact 06.21.69.79.70.

 

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Journal « l’Union » - 090721d

Feu de détritus

Dimanche vers 22 h 30, Un feu de détritus s’est déclaré allée des Béarnais.

Il a été éteint avant l’arrivée des pompiers.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090721c

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7299 du 20 au 26 juillet 2009.

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Un planétarium dans les quartiers, à Reims


JUSQU’AU 23 AOÛT, UNE DRÔLE DE COUPOLE ASTRONOMIQUE SILLONNERA LES MAISONS DE QUARTIER DE REIMS.

C’est grâce à un dôme gonflable de 5 mètres et à un projecteur complexe, que le Planétarium pourra "se déplacer" cet été de Maison de Quartier en Maison de Quartier rémoise. Il devrait ainsi permettre à près de 1000 personnes de découvrir durant l’été les mouvements réels ou apparents des astres, ou d’observer la voûte céleste et du ciel étoilé selon n’importe quel lieu, hémisphère ou moment du jour, lors de séances d’une demi-heure à une heure avec des médiateurs scientifiques.

Un projet organisé par la Ville de Reims avec le soutien financier du Conseil Régional Champagne-Ardenne, du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, du Fonds Européen de Développement Régional, et en partenariat avec l’Association des Maisons de Quartier de Reims, l’Association Accustica, et l’Association Planetica.

Planétarium municipal de Reims, 1, place Museux Tél. : 03 26 35 34 70
planetarium@mairiereims.fr

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Journal « l’Union » - 090721b

Rénovation urbaine : Mission relogement

Les immeubles, cours Eisenhower à Croix-Rouge, ont été détruits en quelques semaines.
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L’opération relogement, liée aux rénovations urbaines, suit son cours dans les quartiers concernés par les démolitions. Pour certains, l’attente est longue.

ALORS que la mutation des grands quartiers rémois (Croix-Rouge, Orgeval et Épinettes) concernés par le renouvellement urbain s’amorce tout juste, les organismes logeurs ont d’ores et déjà débuté l’opération relogement des locataires résidant dans certains de ces immeubles destinés à disparaître.

« Une dame de Reims Habitat est venue chez nous au début du mois de juin, nous lui avons fourni des papiers et expliqué nos choix concernant notre relogement. Elle avait un ordinateur sur lequel elle pouvait regarder s’il y avait des possibilités sur les quartiers que nous souhaitions », explique ce couple d’Orgeval.

Content de la rapidité entre l’annonce de son futur déménagement et la concertation sur leur choix de relogement, le couple s’inquiète tout de même un peu. « Mais depuis plus rien ! On a une voisine qui a reçu la même dame à la fin du moi de mai, elle aussi est toujours dans l’attente. Par contre, je sais que certaines personnes ont déjà été relogées. Je ne peux pas vous dire pourquoi nous n’avons pas encore déménagé mais une chose est sûre : on nous a dit que cela devrait se faire très vite et que c’était prévu pour cet été. Le souci pour le moment, c’est que je ne peux pas inscrire ma fille à l’école puisque l’on ne sait toujours pas où l’on va habiter. ».

50 % des ménages d’Orgeval relogés

Reims Habitat, l’un des principaux organismes logeurs concernés par les rénovations urbaines, précise :

« Le plan de relogement a démarré en mars. A Orgeval, 50 % des ménages ont été relogés, ce rythme peu soutenu est voulu », explique une responsable de Reims Habitat. Côté mairie, Éric Quénard, le premier adjoint au maire de Reims, apporte quelques précisions.

« Le processus suit son cours. J’ai coanimé, avec les bailleurs, des grandes réunions d’information à Croix-du-Sud, Pays-de-France, la Rafale et Orgeval pour répondre aux diverses questions de nos concitoyens. »

Ces démolitions ne concernent pas moins de 1.652 logements sociaux, soit le double en terme d’habitants. À Orgeval, les relogements ont bel et bien débuté mais pour les habitants de Croix-Rouge et plus précisément à la Rafale, il faudra encore attendre. « Dans ce secteur on ne démarre pas du tout le processus de relogement, puisque tout débutera un an avant les démolitions des immeubles », affirme Reims Habitat. Cet énorme chantier suit son cours à petits pas. Les locataires sont, quant à eux, dans l’attente soit d’un nouvel appartement soit d’un premier contact pour en obtenir un.

Thierry ACCAO FARIAS

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Tout pour informer les habitants

Le point info est situé au 65, avenue du Général-Eisenhower, dans le quartier Croix-Rouge.
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Outre la charte de relogement remise à tous les locataires concernés par les démolitions, des points informations ont vu le jour dans les quartiers Croix-Rouge et Orgeval.

Leur but est d’apporter aux habitants des informations sur le renouvellement urbain, le tramway, les animations spécifiques au quartier, via des panneaux d’affichage et des brochures. Puis de donner des réponses, au cas par cas, lors d’entretiens beaucoup plus personnels.

« Pour les habitants, c’est un lieu pour venir s’informer sur le devenir de leur quartier. En plus de venir chercher ces renseignements, ils peuvent aussi être informés sur les avancées des travaux du tram », explique Saïd Bouyafran, médiateur de quartier à la Ville de Reims.

Le médiateur explique, par ailleurs, que s’il n’a pas toujours toutes les réponses aux questions des habitants, le nécessaire est fait pour qu’ils obtiennent celles-ci le plus rapidement possible.

« Si une personne n’obtient pas la réponse à sa question, nous lui faisons remplir une fiche de requête, que nous faisons suivre au chef de projet, qui la recontactera plus tard pour lui répondre. »

Pour le moment, en cette période de congés, Saïd Bouyafran explique que le point info démarre doucement : « C’est les vacances, il n’y a eu que quelques visites pour le moment, les associations et les curieux, mais dès septembre cela va démarrer. Avant en tant que médiateur, nous allions vers la population, aujourd’hui, avec ce nouveau local, c’est elle qui vient à nous » conclut-il.

TAF

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Journal « l’Union » - 090721a

Aides : Des subventions en nombre

La Ville vient de voter, juste avant de partir en vacances, un certain nombre de subventions aux associations. Détail.

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Association Étoile Croix du Sud : 1.100 € ;

collectif de défense des locataires Croix-Rouge : 450 € ;

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Journal « l’Union » - 090720c

Jardins familliaux de l’agglomération : Une fédération au bord de l’explosion

Didier Klodawski (à gauche) a accepté la médiation municipale de Raymond Joannesse (à droite).
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Chaude ambiance lors de l’assemblée générale de la Fédération des jardins familiaux qui compte 800 jardiniers. A tel point qu’elle a failli purement et simplement disparaître.

LA Fédération des jardins familiaux de l’agglomération de Reims, forte de plus de 800 jardiniers, a tenu son assemblée générale « mixte » (ordinaire et extraordinaire). Si la première partie n’a été qu’une formalité, démontrant la grande activité de cette fédération et son excellent bilan financier, on s’attendait à des remous en deuxième partie, et les jardiniers présents n’ont pas été déçus !

Défiance

Au temps de l’exclusion de Croix-du-Sud (voir encadré), la Fédération avait pris unanimement la décision de ne plus fréquenter ces « mauvais élèves ». Or, comme le précise Evelyne Nkounkou, présidente de cette structure, « dans les jardins, vous n’empêcherez jamais les jardiniers de se parler ! » et des présidents d’associations de jardins familiaux ont bravé les consignes fédérales : ils ont participé à la séance de notation des plus belles parcelles de Croix-du-Sud !

Pire encore, répondant à l’invitation officielle de la maire de Reims, plusieurs d’entre eux ont osé assister à la remise des clés de 31 parcelles supplémentaires le 20 juin…

C’en était trop pour le président, Didier Klodawski : « Je ne suis plus soutenu. J’ai bien travaillé pour la Fédération, c’est du travail ! Je regrette le temps où nous étions tous unis, on s’aimait bien, on mangeait ensemble… Mais maintenant, les décisions prises collectivement et unanimement ne sont plus respectées. Vous m’avez condamné et je n’ai plus votre confiance : place au suivant ! »

Passée la stupéfaction générale, Didier Klodawski a présenté les deux options possibles selon lui : dissolution et liquidation pure et simple de la Fédération ou scission en deux « Unions locales de jardiniers ».

Un médiateur nommé Raymond Joannesse

C’est alors que l’adjoint en charge notamment des Jardins familiaux, Raymond Joannesse, a joué pleinement son rôle de médiateur, sachant faire la part entre les susceptibilités - « que tout le monde mette son égo dans sa poche… » - et les souhaits municipaux : « La Ville aimerait que la Fédération continue à vivre. Elle est un lieu d’échanges, de rencontres, elle anime les concours des plus beaux jardins et une fois par an, toutes les associations se retrouvent pour la remise des prix. Je demande à Didier Klodawski et à son association Jaca de revenir sur leur décision. Faisons un tour de table des présidents ! »

Ce fut concluant : avec cinq associations favorables contre deux abstentions (Jaca et Société d’Horticulture de Reims), la Fédération a évité l’éclatement. Dans la foulée, un bureau a été facilement constitué et Didier Klodawski en a repris la présidence « jusqu’à la prochaine réunion de septembre ».

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L’affaire Croix-du-Sud

Evelyne Nkounkou ( à droite) a bien défendu les jardins de Croix-du-Sud.
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L’ordre du jour prévoyait également l’étude du cas des jardins familiaux de Croix-du-Sud - exclus de la Fédération pour des raisons mystérieuses que le public jardinier n’a jamais vraiment connues - qui demandent leur réintégration.

Evelyne Nkounkou, la nouvelle présidente, était « invitée » et elle a disposé de dix minutes pour exposer ses revendications et ses protestations indignées.

« Vous demandez à vérifier nos comptes associatifs depuis 2002 ! Or, j’ai examiné vos statuts : cela ne regarde pas la Fédération ! Après la démission de notre président, nous avions besoin d’aide. La fédé aurait dû nous aider. Au lieu de cela, elle nous a exclus ! Nous avons reconstitué un bureau en assemblée extraordinaire le 8 août 2008. Depuis, nous fonctionnons avec 92 parcelles et tout va très bien : il n’y a aucun souci. Pourquoi ne voulez-vous pas de nous ? Il faudra nous expliquer ce que vous nous reprochez ! »

Intervention de Raymond Joannesse, adjoint aux jardins familiaux, qui a joué les médiateurs : « Pour la Ville, les comptes ont été vérifiés ; Croix-du-Sud fonctionne parfaitement bien, Éric Quénard et moi-même en témoignons. Nous souhaitons sa réintégration… »

En définitive, la Fédération a quand même exigé des justificatifs : compte rendu de la dernière assemblée générale et dernier compte rendu financier. Mais il semble bien que Croix-du-Sud pourra réintégrer la famille Fédération en septembre prochain, une famille qui lui a infligé une longue pénitence.

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Journal « l’Union » - 090720b

Vidéosurveillance : un audit pour savoir…

Pour Nicolas Roche, patron de la police municipale, « la vidéosurveillance a permis de nombreuses interpellations en flagrant délit ».
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Un audit sur la vidéosurveillance est actuellement réalisé et devrait déterminer le futur de ce système de sécurité à Reims.

« UN audit sur la vidéosurveillance à Reims est actuellement en cours. Les premiers résultats seront logiquement communiqués à la fin de cette année. Donc pour le moment, on ne peut pas se prononcer sur le fait de l’étendre ou pas », explique Éric Quénard, 1er adjoint au maire de Reims en charge de la politique de la Ville.

La vidéosurveillance est apparue dans les rues de la cité des sacres au début du mois de février 2008. Au total, trente-six caméras avaient été réparties dans divers endroits de la ville. Quinze dans le centre, quatre aux abords du stade Auguste-Delaune, dix dans le quartier Croix-Rouge et sept dans la Zac de la Neuvillette.

Dès leur implantation et en à peine quelques jours, elles ont permis l’arrestation de plusieurs individus filmés en flagrant délit. La plus célèbre étant l’arrestation, le 21 avril dernier, des jeunes voleurs de l’épée de Jeanne d’Arc.

« La vidéosurveillance a permis de nombreuses interpellations en flagrant délit en coordination avec la police nationale. Elle a aussi été utile lors d’enquêtes des divers services de la police ou de la gendarmerie pour des infractions, des délits et même des crimes », précise Nicolas Roche, directeur de la police municipale.

Outre le côté répressif, ledirecteur explique l’importance d’un tel système pour la sécurisation de la population lors des grands événements comme la Fête de la musique ou, plus récemment, les festivités du 14 Juillet, mais aussi les jours de match au stade Auguste-Delaune. « Les caméras extérieures près du stade permettent une meilleure gestion des points de sécurisation ; c’est la même chose pour de grands événements du type Fêtes johanniques, Fête de la musique ou encore le 14 Juillet », ajoute-t-il.

Sécurisation de la vie nocturne

L’un des points forts de cet outil est sans nul doute la sécurisation de la vie nocturne de par le coté dissuasif… car aujourd’hui, qui ignore que le centre-ville est surveillé et que les caméras sont souvent rivées vers les sorties de discothèque ?

« Nous avons aussi participé à la lutte contre la délinquance routière. C’est vraiment un plus, la vidéosurveillance améliore la synergie entre les forces de l’ordre et la police municipale », conclut Nicolas Roche.

Alors, si vous n’étiez pas au courant de l’existence de ce système, qui, a priori, satisfait pleinement les polices municipale et nationale, et en attendant les résultats de l’audit, lors de vos promenades, n’oubliez pas de sourire… vous êtes filmés !

Thierry ACCAO FARIAS

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51 interpellations depuis le début de l’année

Voici les chiffres communiqués par la police nationale. Ils ne concernent que des flagrants délits dans lesquels les interpellations ont eu lieu quelques minutes après le visionnage en temps réel. En 2008, entre le mois de février et le mois de décembre, les forces de l’ordre ont procédé à 95 interpellations.

En 2009, entre janvier et juin, 51 interpellations ont été effectuées. Voici quelques exemples d’interventions liées à la vidéo qui se sont déroulées au mois de mai et juin derniers :

- deux affaires de rixes sur la voie publique ;
- deux vols de mobilier de café du centre-ville (canapé et chaise) ;
- une histoire de tapage nocturne ;
- une autre de perturbateur ;
- une dégradation de mobilier urbain ;
- un vol de vélo ;
- une ivresse sur la voie publique.

Les auteurs de tous ces délits ont été placés en garde à vue, ont reçu des convocations judiciaires ou ont simplement été avertis après avoir réparé leur faute.

T.A.F.

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Journal « l’Union » - 090720a

Trois autres jeunes incendiaires appréhendés

Trois autres jeunes gens accusés d’avoir "allumé des incendies ont été arrêtés cette semaine par la police de Reims.

Le premier est un garçon de 18 ans qui avait célébré la Fête nationale à sa manière en enflammant des papiers dans un conteneur à ordures du boulevard Vasco-de-Gama (quartier des Châtillons), le 14 juillet peu après minuit.

Il a reconnu les faits, dont il répondra ultérieurement devant la justice.

La seconde affaire concerne deux mineurs de 15 et 16 ans interpellés en flagrant délit vendredi soir, vers 23 heures, après la mise à feu d’une Renault Super5, allée des Provençaux, au quartier Croix-Rouge.

Les deux ados ont incendié le véhicule avec de l’essence déversée dans l’habitacle. Auparavant, ils avaient cassé une vitre avec un morceau de fer.

D’après ce qu’ils ont dit à la police, ce sont des « grands » qui leur ont demandé de brûler la voiture, sous peine de représailles s’ils refusaient de le faire. Le briquet, l’essence et le bout de fer leur auraient été donnés par ces mystérieux commanditaires.

Les enquêteurs ont exploré la piste d’un règlement de comptes, d’une vengeance envers le propriétaire de la Super5, mais celui-ci, citoyen sans histoire, n’avait aucun différend avec qui que ce soit.

I:incendie de sa voiture, commis à la seule initiative des mineurs ou sur ordre, voire par défi (du style « t’es pas cap »), apparaît donc comme un acte purement gratuit.

Les deux ados ont été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants. Seul l’un d’eux était déjà connu de la police, mais pour de petits délits, jamais pour des incendies.

EC.

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090718b - VRI juillet-août 2009

Le quartier Croix-Rouge dans VRI 258 de juillet-août 2009

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La Ville change avec vous : Ouverture des Points info quartier à Orgeval et à Croix-Rouge


Centre commercial Pays-de-France, avenue Bonaparte (Architecte : Thiénot & Ballan, maître d’ouvrage Foyer Rémois).
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La concertation et la participation des habitants sont au coeur de la démarche de la Ville de Reims dans le cadre de la rénovation urbaine. L’ouverture des Points info quartier à Orgeval et Croix- Rouge s’inscrit dans cette continuité. Ils sont d’ores et déjà à même de renseigner les habitants sur le renouvellement urbain et sur l’avancement du chantier du tramway.

« Si nous voulons que les habitants s’approprient ce projet de Rénovation Urbaine » rappelle Eric Quénard, 1er Adjoint, en charge du logement et de la politique de la ville « il faut mettre en place ces points informations pour que les familles puissent trouver à proximité toutes les informations nécessaires. Cela correspond à notre souci de transparence. »

L’inauguration début juillet par Adeline Hazan, Maire de Reims, des Points info dans les quartiers Orgeval et Croix-Rouge a d’ailleurs été l’occasion de la signature d’une convention avec les bailleurs portant sur le dispositif des médiateurs de quartier dans le cadre de la Gestion urbaine de proximité (Gup).

Situé 3, place Pierre de Fermat, le Point info d’Orgeval a vocation à informer les habitants sur le programme de rénovation urbaine et sur tout ce qui lui est lié : chantiers, calendrier des travaux, charte locale d’insertion, communication des dates des réunions publiques proposées par la Ville et les bailleurs, en particulier pour tout ce qui concerne le relogement.

Le Point info quartier est donc un lieu ressource, un lieu à l’écoute des habitants pour leurs doléances. Avec, selon le cas, la possibilité d’obtenir une réponse sur place, ou via un système de requêtes vers les services de la collectivité comme cela fonctionne déjà pour les Conseils de quartier.

« Ouvrir un Point info place Pierre de Fermat marque aussi la volonté de la collectivité d’occuper l’un des espaces laissés libres et d’offrir aux habitants des services diversifiés au côté des commerces » précise Eric Quénard. Pour mener à bien cette mission, de nombreux interlocuteurs assureront des permanences dans ces Points info, médiateurs de quartier de la Ville, chefs de projet territorial Cucs, chefs de projet Anru, chefs de projet insertion, représentants des bailleurs (Foyer Rémois, Reims Habitat, Effort Rémois), Maîtrise d’oeuvre urbaine et sociale (Mous relogement) avec une personne chargée d’effectuer les enquêtes de relogement auprès des familles, de construire le parcours de relogement et de constituer le dossier (cf. encadré), ainsi que des médiateurs du tramway qui renseigneront sur le calendrier du chantier, et sur le futur réseau. A Orgeval, comme à Croix- Rouge, il y a en effet, en plus de la rénovation urbaine, le projet du tramway.

Le Point info du quartier Croix-Rouge, ouvert lui aussi depuis début juillet, se trouve 65, Esplanade Eisenhower. De son côté, le Point info du quartier des Epinettes ouvrira à la rentrée 2009 et celui du quartier Wilson, au sein de la Maison de quartier, place Mozart, début 2010. Il est prévu que l’ensemble de ces Points info soient harmonisés en termes de fonctionnement.

Ils devraient être ouverts tous les jours de 16 h à 19 h, plus deux matinées dans la semaine de 11 h à 13 h.

Outre les différents interlocuteurs évoqués plus haut, les Points info offriront une zone d’affichage sur le tramway et sur le programme de renouvellement urbain. Le guide du relogement, les différentes plaquettes du tramway, du projet urbain, plus les outils habituels de communication des deux collectivités (VRI, Reims Métropole) seront à la disposition du public. Un espace de présentation est également prévu pour les partenaires afin de leur permettre d’informer les habitants sur les réunions organisées par les bailleurs.

Ces Points info pourraient se voir confier d’autres missions comme la présentation au jeune public des dispositifs liés à l’emploi en lien avec les acteurs de l’insertion ou encore la possibilité pour les conseillers de quartier d’y organiser des séances de travail.

« Le Point info tram place Myron T. Herrick, sera aussi un point informations » ajoute Eric Quénard « C’est un symbole pour la nouvelle équipe municipale : montrer que la rénovation urbaine est plus qu’un projet de quartier. C’est un projet pour toute la ville. C’est avec le tramway l’un des enjeux du projet urbain Reims 2020. Cela a déjà commencé. »

A. C.


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PRÉCISIONS CONCERNANT LA DÉMOLITION DE LA PASSERELLE PAYS-DE-FRANCE (QUARTIER CROIX-ROUGE)


Comme cela a été indiqué lors de la réunion publique du 16 juin dernier, la passerelle commerciale à Pays-de-France sera démolie selon le phasage suivant :

• 20 juillet : démarrage du chantier et fermeture des accès à la passerelle. Les commerçants situés dans les pignons support de la passerelle restent toutefois en activité durant toute la durée du chantier.
• 28 juillet : travaux de séparation manuelle des structures.
• 3 au 7 août : abattage de la passerelle. L’avenue Bonaparte sera fermée et la circulation des bus déviée par la rue Joliot Curie.
• dès le 8 août : circulation rétablie avenue Bonaparte. Enlèvement des gravois sur une seule voie, finitions et remblais.
• fin août : réception du chantier.

Le nouveau centre commercial Pays de France sera ouvert en septembre-octobre 2009.


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PARC DE CHAMPAGNE : Cultivons nos jardins


Pour sa 4e saison culturelle d’été, le Parc de Champagne revient à ses racines et propose au public une exposition consacrée à toutes les formes de jardin d’aujourd’hui et d’hier, d’ici et d’ailleurs. Plantations du monde, cultures biologiques, conseils pour autoproduire ses légumes par temps de crise, et exposition photo autour des jardins familiaux et des jardins d’insertion rémois. Tout est fait pour inciter à la découverte, retrouver le goût du jardin et stimuler les papilles… Qu’a-t-on véritablement dans notre assiette ? A quoi ressemble une plantation de quinoa ? Qu’est-ce qu’une aubergine blanche à oeufs ? Quelles étaient les plantes qu’on cultivait au Moyen-Âge pour leurs vertus médicinales ? Et aujourd’hui, quelles sont les stars des jardins et des potagers ? Et qui sont ceux qui cultivent, d’arrache- pied, du printemps à l’automne, leur jardin familial dans les villes ? A ces questions, l’exposition Des Aires de jardin répond en proposant ses propres plantations biologiques, esthétiques et parfois surprenantes, mais aussi en présentant une exposition photographique sur les jardins familiaux et leur origine, ainsi qu’un jardin musical.

> 4 juillet au 4 novembre au Parc de Champagne (entrée libre).


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L’été à la bibliothèque


• Spectacle à la médiathèque Croix-Rouge le samedi 4 juillet à 9h30 et 16 h : Histoires de p’tites bêtes par la Cie du Chat Bada et qui termine en musique la manifestation Grandes histoires pour petites oreilles. Pour les enfants à partir de 6 mois accompagnés par un adulte (durée : 30 mn).

Inscriptions au 0326356851.

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PASSEURS D’IMAGES : Cinéma gratuit en plein air


Plus de films proposés cet été dans le cadre de cette opération qui a démarré au Chemin Vert en juin avec la projection de Caramel. Au programme des cinq autres séances organisées en juillet et août :

• 7 juillet au Parc de Champagne, sur écran géant : Nausicaä de la vallée du vent (Japon, 2006), film d’animation de Hayao Miyazaki. Sur une terre ravagée par la folie des hommes, tous attendent le salut de la part de la princesse Nauisicaä…

• 10 juillet, place Eisenhower (quartier Croix- Rouge) : Soyez sympas, rembobinez (USA 2008), une comédie loufoque de Michel Gondry qui conduit les deux héros tenant un vidéo-club à refaire avec les moyens du bord des films célèbres, le cerveau de l’un d’entre eux, magnétique, effaçant tous les films existants…

• 24 juillet, Esplanade des Argonautes (quartier des Châtillons) : Pirates des Caraïbes, jusqu’au bout du monde (USA 2007) de Gore Verbinski. 3e opus de la Saga "Pirates des Caraïbes".

• 20 août, derrière la maison de quartier Paul Claudel (quartier Claudel) : Les Simpson - le film (USA 2007) de David Silverman. Film inspiré de la série “Les Simpson”.

• 28 août au Parc de Champagne, sur écran géant : Whatever Lola Wants (Canada 2008). Lola travaille à la poste à New York et rêve de devenir danseuse orientale.

Passeurs d’images est financé par la Région Champagne-Ardenne (DRAC) en coordination avec le Télé Centre Bernon et Cinéligue Marne

> Séances à 22h30 en juillet et à 22 h en août. Entrée gratuite.


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Réussite éducative : permanence du CCAS


Le Centre Communal d’Action Sociale tient désormais une permanence* à l’antenne municipale Châtillons dans le cadre du Dispositif de Réussite Educative. Il a pour objectif d’apporter aux enfants et adolescents identifiés comme présentant des signes de fragilité, ainsi qu’à leurs familles, un soutien individuel et personnalisé.

Ceci concerne en priorité les enfants et jeunes âgés de 2 à 16 ans habitant en Zone Urbaine Sensible et/ou scolarisés dans un établissement situé en Zone d’Education Prioritaire. La permanence est prévue chaque mardi de 8h30 à 12 h ainsi que les 2 e, 3 e et 4 e mercredis du mois de 8h30 à 12 h.

*Autres permanences à Croix-Rouge, 53 Groupe Eisenhower du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 13h30 à 19 h, à Wilson, Maison de quartier Espace Claudel (le mardi et le mercredi de 16 h à 19 h).


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Votre marché


Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 5 h à 13 h.


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Votre antenne municipale


C’est la Mairie à proximité de votre domicile. Sur le quartier Croix-Rouge : 1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.

Jours et heures d’ouverture :

• le lundi de 14 h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12 h.


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Permanences de l’antenne mobile


L’antenne mobile de la Mairie est à votre service le mardi de 15h40 à 17 h rue Passe Demoiselles face au n° 10 et le mercredi de 9 h à 11h30 sur le marché Croix du Sud. Contact : 0616392102.


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Brocante ensoleillée


L’enjeu de la brocante du 31 mai était de promouvoir la mixité et la cohésion sociale. Journée réussie pour les organisateurs, le Collectif de Défense des Locataires de Croix- Rouge présidé par Fabrice Lopez. Fanfare, chorale, artistes, animations programmées par la Maison de quartier et beau soleil étaient de la partie. Un coup de chapeau aux participants, associatifs, habitants et bénévoles !


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Halte ferroviaire de Franchet d’Esperey : objectif proximité


Situé sur la ligne de chemin de fer Reims et Epernay, au carrefour du boulevard Franchet d’Esperey, de l’avenue du Général de Gaulle et de l’avenue du Général Eisenhower, ce point d’arrêt se trouve à proximité de Reims Management School, des facultés de Lettres et de Droit et de la polyclinique Courlancy.

A deux pas des quartiers Maison Blanche et Croix-Rouge, la halte représente un complément essentiel aux offres de transport en commun existantes (bus) et à venir (tramway).

Avec 13 arrêts quotidiens et des horaires définis selon les besoins de chacun, ce dispositif en marche dès le 31 août permettra notamment de rejoindre la gare Reims-Centre en 3 minutes et la gare Champagne-Ardenne TGV en 8 minutes ! Actifs, étudiants et occasionnels pourront bénéficier d’un tarif adapté pour voyager à moindre prix.

Le projet est financé à parts égales par l’Etat, la Région Champagne-Ardenne (dans le cadre du plan de modernisation du réseau TER) et la communauté d’agglomération de Reims Métropole pour un montant global de 2821897 euros.

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Journal « l’Union » - 090718a

Aucun blessé : La cigarette enflamme le fauteuil

Attention aux cigarettes mal éteintes ! Avec elles, on ne sait jamais ce qui peut arriver.

Hier vers 15 heures, ce n’est pas un fauteuil mais un matelas qui a pris feu dans un bloc de la place Auguste-Rodin, au n° 2.

Il a été éteint avant l’arrivée des pompiers, lesquels ont cependant procédé à la ventilation des locaux.

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Journal « l’Union » - 090717b

10 Rémois en Pologne : « L’espoir d’une vie meilleure »

Dans le cadre du programme Jeunesse en action, la maison de quartier Croix-Rouge a mis en place un échange européen de jeunes auquel participent dix jeunes du quartier, cinq filles et cinq garçons, sur le thème : « Le développement durable : espoir d’une vie meilleure. »

Le projet concerne un regroupement de jeunes de quatre pays européens : France, République Tchèque, Lituanie et Pologne : « Il s’agit d’échanger et de réfléchir en groupe sur les expériences et les savoir faire de chaque pays dans le domaine de la protection de l’environnement et de sensibiliser la population locale dans un second temps », explique Slimane Hamdi, animateur.

Afin de se préparer au mieux, les participants de Croix-Rouge avaient rencontré les animateurs de Reims métropole qui leur ont parlé du tri sélectif et du recyclage dans l’agglomération rémoise, ainsi que Yaël Deville, chargé de mission du cabinet du président de la Région, qui leur a exposé les efforts entrepris en matière de protection de l’environnement et de développement durable.

www.projetsjeunes-mqcr.fr

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Journal « l’Union » - 090717a

Ca fuit

Une fuite d’eau s’est déclarée, mercredi vers 13 heures, sur une conduite de chauffage dans un appartement du sixième étage de l’allée des Picards.

Les pompiers ont dû intervenir, ainsi que l’organisme logeur (le Foyer rémois) pour stopper l’hémorragie aquatique et assécher les lieux.

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090716d

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7298 du 13 au 19 juillet 2009.

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Recrutement : Une formation pour lutter contre les discriminations


Lutte contre les discriminations de la Ville de Reims se mobilise pour la valorisation exclusive des compétences quant à l’accès à l’emploi.

Noémie Michelin (à gauche), est déjà intervenue dans une douzaine d’entreprises

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Faisant partie intégrante du plan de lutte de la Ville contre les discriminations, les 2 jours de formation proposés aux entreprises, organismes et associations volontaires, permettent d’identifier et de combattre au mieux les injustices parfois liées à l’accès à l’emploi : sexe, âge, maternité, origines ou activités syndicales, 18 critères au total à l’origine du délit de discrimination (passible de 5 ans de prison).

« Dans l’entreprise, la diversité doit avant tout être perçue comme une richesse », souligne Virginie Coez, adjointe au il maire en charge de cette mission. « Il s’agit de faire évoluer les mentalités en admettant 1 que le client ne s’attache pas à l’apparence mais au rôle tenu par son interlocuteur, à ses compétences et à la qualité du produit qu’on lui vend ». Casser clichés et stéréotypes, rompre la chaîne de la tradition, tels sont les objectifs de ce programme déjà diffusé auprès d’une centaine d’intervenants ou intermédiaires professionnels. « Il faut principalement veiller à ne pas associer une compétence à une population, la petite enfance aux femmes ou le bâtiment aux hommes », ajoute Noémie Michelin, animatrice de la formation. « Notre ambition est avant tout de prévenir et d’informer les employeurs, pas de porter de jugement de valeur sur leurs politiques ». De quoi repositionner sainement la gestion des ressources humaines, en recadrant les pratiques sur des critères objectifs.

RECRUTER EN TOUTE LÉGALITÉ

Car, méfiance. Depuis 2001, de simples éléments de présomption apportés par un postulant rejeté (et parfois rancunier), suffisent pour que l’employeur ou l’intermédiaire aient à se justifier (devant la HALDE, Haute autorité de lutte contre les discriminations, ou le procureur).

Et si les faits discriminatoires peuvent être inconscients (l’emploi exclusif des enfants des salariés pendant les vacances par exemple), quelques « astuces » permettent de concrétiser l’égalité de traitement, et avec lui celle des chances : rédaction de l’offre d’emploi (ciblant précisément les besoins objectifs du poste), mixité (l’annonce doit être asexuée), diffusion (large et gratuite pour tous les publics), gestion méthodique des candidatures (grille de critères) et des refus (réponses argumentées, conservation des courriers)… Pour que seules restent les compétences.

PAULINE GODART

« 2 MAINS »

Interface entre les milieux socio-éducatifs et économiques, l’association « 2 Mains », spécialisée dans l’insertion civile et professionnelle des jeunes de moins de 30 ans, a notamment bénéficié de la formation dispensée par la Ville. Ayant remporté le marché marnais de placements en contrats d’autonomie (dispositif du Plan Espoir Banlieues visant les jeunes de 16 à 25 ans domiciliés en Zone Urbaine Sensible), elle devra mettre en place des procédures de recrutement fondées sur les seules compétences des postulants. La formation a permis à 15 salariés de « 2 Mains », d’apprendre à gérer légalement les cas de discrimination.


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Un planétarium dans les quartiers à Reims


JUSQU’AU 23 AOÛT, UNE DRÔLE DE COUPOLE ASTRONOMIQUE SILLONNERA LES MAISONS DE QUARTIER DE REIMS.

C’est grâce à un dôme gonflable de 5 mètres et à un projecteur complexe, que le Planétarium pourra "se déplacer" cet été de Maison de Quartier en Maison de Quartier rémoises. Il devrait ainsi permettre à près de 1000 personnes de découvrir durant l’été les mouvements réels ou apparents des astres, ou d’observer la voûte céleste et du ciel étoilé selon n’importe quel lieu, hémisphère ou moment du jour, lors de séances d’une demi-heure à une heure avec des médiateurs scientifiques. Un projet organisé par la Ville de Reims avec le soutien financier du Conseil Régional Champagne-Ardenne, du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, du Fonds Européen de Développement Régional, et en partenariat avec l’Association des Maisons de Quartier de Reims, l’Association Accustica, et l’Association Planetica.

Planétarium municipal de Reims, 1, place Museux Tél. : 03 26 35 34 70 planetariumemairiereims.fr


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MODIFICATION DE STATUTS


TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

MODIFICATION DE STATUTS

SELARL J.-P. CHINCHILLA
CABINET DE DROIT DES AFFAIRES
Société d’Avocats à la Cour d’Appel de Reims
31 avenue Jean Jaurès 51100 REIMS

E.P. FINANCES

Société à responsabilité limitée au capital de 305.880 Euros porté à 310.820 Euros

Siège social : Allée des Landais - 51100 REIMS

329 096 432 R.C.S. Reims

L’assemblée générale extraordinaire réunie en date du 12 juin 2008, a décidé et réalisé une augmentation du capital social de 4.940 € par apports en numéraire, ce qui rend nécessaire la publication des mentions suivantes :

ARTICLE 7 - CAPITAL SOCIAL ANCIENNE MENTION : Le capital social est fixé à trois cent cinq mille huit cent quatre vingt Euros (305.880 €). NOUVELLE MENTION : Le capital social est fixé à trois cent dix mille huit cent vingt €uros (310.820 €). 77023 La gérance.


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CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF


TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF

Par jugement du 07/07/2009, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de :

EURL KNT ENTRETIEN, 2 cours Eisenhower - 51100 REIMS.

Activité : Réparation, entretien des véhicules automobiles, matériel agricole, engins TP, essentiellement au domicile des clients.

76996

Le greffier : Bernadette DELPY.


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LIQUIDATION JUDICIAIRE


TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 07/07/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de liquidation judiciaire à l’égard de :

SARL NVM. EDITIONS, 31 rue Pierre Taittinger -51100 REIMS.

Activité : Création, publication, impression. R.C.S. : REIMS B 510 064 512 (2009 B 00046).

Ledit jugement a désigné :

Juge commissaire : Mme Dominique POUGEOISE.

Liquidateur : SCP DARGENT-TIRMANT-RAULET en la personne de Maître TIRMANT Isabelle, 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

Messieurs les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du liquidateur judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion

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L’hebdo du vendredi- n° 132 - 090716c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 132 - Semaine du17 au 23 juillet 2009
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JUSQU’AU 22 JUILLET : « 20 ans de Flâneries »

 

Toutes les éditions des Flâneries musicales de Reims immortalisées par les clichés d’Alain et Feng Hatat et d’Alain Julien.

Fnac, bibliothèques de Reims (St-Remi, Croix-Rouge, Laon-Zola et Cormontreuil) et maison de quartier des Epinettes.

 

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Journal « l’Union » - 090716b

Réunion de clôture : Les footballeurs Ufolep au repos

Les représentants des clubs vainqueurs du championnat 2008/2009.
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La réunion de clôture de la saison football Ufolep qui s’est tenue à Reims fut l’occasion pour les dirigeants de la cinquantaine d’équipes seniors et vétérans évoluant dans les compétitions, de faire le point sur la saison écoulée, et de dresser les perspectives 2009/2010.

Le bon déroulement général a été mis en évidence ; la convivialité et la détente restent ainsi les grands vainqueurs des compétitions Ufolep du dimanche matin. La commission football, constituée de bénévoles, va s’étoffer en 2009/2010 grâce à la participation régulière à ses travaux d’un représentant de chaque poule.

Les vainqueurs du championnat 2008/2009 ont été récompensés : en seniors, c’est l’AC Lusitania qui finit à la première place. Du côté des vétérans, ce sont les Franco-Portugais qui l’emportent en série A, le G.P.R. en série B et l’A.S. Champigny en série C.

Ufolep 51 :
19-23, rue Alphonse-Daudet.
Tél. : 03.26.84.32.26.
ufolep51@wanadoo.fr
www.ufolep.org

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Journal « l’Union » - 090716a

Jamel Debbouze accueille des artistes rémois

Le Jamel Comedy Club, théâtre parisien du comédien Jamel Debbouze, accueillera le 28 juillet, à partir de 23 heures, des rappeurs rémois - KerjoStyl &Tha Mothafunk et Starlion - pour un concert unique.

Ces deux groupes, très actifs en concert dans la région (Croix-Rouge s’affiche, la Cartonnerie…), préparent en parallèle leur album.

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Journal « l’Union » - 090715c

Condamnée pour avoir pris à partie une institutrice

Les faits se sont produits dans la cour de l’école primaire des Provençaux, en présence d’autres enfants qui ont été « choqués ».
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L’école est finie mais une mère d’élève et une institutrice se sont retrouvées au tribunal, où la première était jugée pour avoir menacé, poussé et insulté la seconde.

LES faits se sont produits le 12 février 2009 à l’école primaire des Provençaux, au quartier Croix-Rouge.

Ce matin-là, l’enfant scolarisé en CP doit être changé de classe car il empêche ses camarades de travailler en raison d’un comportement indiscipliné. Il redevient calme.

Vers 18 heures, récupéré par sa mère après l’étude, il se plaint d’avoir été changé de classe. De plus, il n’a pas son cartable, au demeurant vide de toutes ses affaires lorsqu’il était arrivé le matin à l’école.

La mère veut récupérer le cartable. Elle entre dans la cour, s’oppose à l’institutrice qui lui demande de sortir. Elle la traite de « folle », la repousse des deux bras, menace d’aller chercher son mari pour lui régler son compte. Selon l’enseignante, « ce n’est pas la première fois que cette dame fait un tel scandale à l’école ». « C’est pas vrai ! » rétorque la mère. « J’étais au milieu de la cour. Elle est arrivée en courant. Elle m’a prise par le bras en me disant que je n’avais pas le droit d’être ici. Je lui ai répondu que je voulais juste récupérer les affaires de mon enfant. »

Un instituteur a assisté à l’altercation. Son témoignage est accablant. Le président Craighero en commence la lecture. Colère de l’avocat de la défense, Me Olivier Chalot : « On retient ce témoignage alors que la police a refusé de recueillir celui de la sœur de Madame qui était également présente. »

« Celui-là me suffit ! » s’écrie le président. Nouvel éclat de voix de l’avocat. Le juge tape à deux reprises sur le bureau avec une règle pour le ramener au silence. Fin de l’incident, lecture du témoignage.

Prise de bec entre l’avocat et le juge

L’instituteur évoque une femme « agressive », « hystérique ». « Elle m’a demandé de ne pas me mettre sur son chemin. Elle a forcé le passage. Les élèves ont été choqués du comportement de cette personne. »

Me Charles Rahola défend l’enseignante. « Elle a 60 ans, 30 ans de carrière. C’est quelqu’un qui aime son métier. Elle l’exerce dans un quartier difficile. Elle aurait pu demander à aller ailleurs mais elle a fait le choix de rester aux Provençaux, pour venir en aide à des enfants qui peuvent avoir des difficultés sociales. » Il demande l’euro symbolique au titre du préjudice moral.

Pas d’excuse

Une amende de 500 euros est requise par le parquet. Me Chalot prend la parole. Il met en cause le comportement de l’équipe enseignante. « Quand ma cliente est arrivée à l’école, elle a constaté que son fils n’était pas bien, qu’il n’avait pas son cartable. Elle a dit qu’elle voulait juste récupérer ses affaires. On lui a répondu : « Je n’ai rien à faire avec vous ! Je ne parle pas à des gens comme vous ! » On n’est pas loin de l’injure raciale ! », assène l’avocat sous les yeux effarés de l’institutrice (la mère est d’origine marocaine).

Le juge la condamne à 500 euros d’amende avec sursis, un euro de dommages-intérêts et 600 euros pour les frais de procédure. Avant de délibérer, il lui avait posé une dernière question.

« Vous ne vous excusez pas ?
- Je n’ai pas à m’excuser car je n’ai rien fait ! »

Fabrice CURLIER

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Un précédent dans la même école

Il y a seulement trois mois, le tribunal correctionnel de Reims avait déjà jugé une affaire à peu près semblable survenue dans la même école primaire des Provençaux.

La personne convoquée à la barre était la mère d’un autre élève qui n’avait pas apprécié de trouver une remontrance dans le carnet de liaison. Elle avait retourné par écrit la réponse suivante destinée à l’institutrice : « Je n’ai pas peur d’une malade comme toi. » Quelques semaines plus tard, la mère avait récidivé de vive voix en injuriant l’enseignante dans la cour de l’école, en présence de tous les élèves. Elle l’avait notamment traité de « folle ». Elle aussi fut condamnée à 500 euros d’amende avec sursis (mais 200 € de dommages-intérêts). En outre, le tribunal avait ordonné l’affichage du jugement pendant deux mois à l’entrée de l’école.

L’affichage de la décision pour une durée de deux mois a également été ordonné dans l’affaire qui vient de passer en jugement, non plus à l’entrée de l’école mais dans les locaux de l’inspection académique à Châlons-en-Champagne, ceci pour préserver l’anonymat de l’élève concerné.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090715b

Plan local d’urbanisme : Bientôt des bâtiments plus hauts dans la ville

Pas de limite de hauteur pour l’hôtel qui devrait s’élever en bord de Vesle près de l’actuelle concession Renault.
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Obligation d’une largeur de recul de 4 m à Orgeval à proximité de la future mosquée et à Wilson pour permettre la tenue du marché.
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Afin de ne pas bloquer des projets d’aménagements et de constructions, la Ville modifie le plan local d’urbanisme. Ce qu’il faut savoir.

AU terme de plusieurs mois de discussions et de consultations, le dernier plan local d’urbanisme de Reims avait été adopté par le conseil municipal fin février 2008 et mis en compatibilité en avril avec l’arrêté préfectoral portant la déclaration d’utilité publique pour les travaux du tramway. Un an plus tard, la nouvelle municipalité remet ça. Sans modification de zonage. Et s’en explique. « Les règles d’occupation des sols définies dans l’actuel PLU bloquent la création de logements, de nouveaux équipements et l’implantation d’activités », affirme Serge Pugeault, adjoint chargé du développement économique et des grands projets, « il nous faut faire des ajustements pour favoriser aussi la qualité environnementale des constructions. »

Pas de limite pont de Vesle

La nouvelle ne fera, sans doute, pas plaisir à tout le monde. Dans le nouveau PLU, il est prévu de construire plus haut dans différents points de la ville. Ainsi, alors que dans le PLU la hauteur était limitée à 15 mètres dans le quartier Orgeval, elle va être portée à 21 mètres. De la même façon, il sera aussi possible de construire plus haut dans les quartiers Clairmarais (on passera de 17 à 20 mètres sur le site Jacob Delafon), 28 mètres et pas de limite pour les hôtels sur le site Renault Pont de Vesle ; 27 mètres pour la Zac du Vieux-Port. Sur le site de la caserne Colbert dont l’Effort rémois est propriétaire pour moitié (1) et dont la Ville négocie l’autre moitié avec l’État, il y avait une contrainte baptisée « faisceau de vue » qui limitait la hauteur sur une partie de l’emprise du terrain. Elle sera portée à 24 mètres afin de permettre à l’Effort rémois d’aménager plus facilement son nouveau siège social en empiétant moins de surface de terrain. Moins de contrainte aussi sur ce site pour la Cité internationale de l’Étudiant que projette d’y réaliser la Ville avec le Crous et la Région, une résidence pour étudiants étrangers et jeunes chercheurs en cœur de ville ainsi qu’une nouvelle maison des syndicats qui pourrait se faire là.

Moins de contraintes de stationnement

La Ville mise sur l’efficacité du tram. Pour preuve, dans le nouveau PLU, les bâtisseurs de logements, commerces et services ne seront plus obligés de créer des places de stationnements dans un rayon de 300 mètres autour du tram (400 mètres autour de la gare). Pour les particuliers, les places visiteurs ne seront plus imposées. Pour les résidences étudiantes et/ou retraité(e) s, il ne sera plus exigé qu’une place pour cinq unités. Enfin pour les gymnases, il ne sera plus demandé qu’une place pour 150 m2 de shon (surface hors œuvre nette).

Façades adaptées

Sur le quartier Croix-Rouge, finie l’obligation de construire à quatre mètres de la chaussée. Tout le long du parcours du tram il devrait être possible d’élever un front bâti en limite du tracé.

Ce sera l’inverse par contre dans le quartier Wilson où une marge de recul de quatre mètres sera obligatoire de façon à pouvoir créer une contre-allée pour permettre l’implantation du marché hebdomadaire. Même possibilité à Orgeval à proximité de la future mosquée.

Autres modifications

Afin de permettre l’isolation de façades d’immeubles (pour baisser les charges) sur le quartier de Croix-Rouge, les normes d’épaisseur des façades seront modifiées. Zac Dauphinot, une surface pour la création d’un espace vert va être inscrite au PLU. Enfin Zac Croix-Blandin, l’ancien PLU imposait un nuancier de couleurs pas compatibles avec les marques automobiles. Il sera supprimé.

Alain MOYAT

(1) En janvier 2008, la Ville lui a revendu les 6.870 m2 qu’elle possédait pour la somme de 1,97 million d’euros.

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Journal « l’Union » - 090715a

L’Ovni du 4 juillet vu par d’autres témoins

Les trois lumières en triangle vues le 4 juillet à Reims ont été signalées par treize autres personnes. Aucune explication n’a, pour l’instant, été trouvée.

LES trois mystérieuses lumières en triangle, observées samedi 4 juillet par un Rémois domicilié dans le secteur de la faculté de droit, ont été vues par d’autres personnes.

À la suite de l’appel à témoins diffusé dans notre édition de jeudi, l’enquêteur privé Jean-Luc Lemaire a reçu quatre coups de fil confirmant la présence d’un phénomène insolite ce soir-là dans le ciel de la région.

Rappelons que le témoin initial se trouvait dans son jardin au quartier Croix-Rouge, samedi 4 juillet vers 22 h 45, lorsqu’il a remarqué « trois lumières rouges » disposées « en un parfait triangle qui évoluaient horizontalement et doucement vers la Montagne de Reims ».

Elles ont ensuite changé de direction et sont montées plus vite pour disparaître. Une légère traînée blanche est alors apparue un court instant derrière le phénomène.

Le premier appel reçu par M. Lemaire est celui d’une dame de 72 ans qui habite également à Croix-Rouge. « Elle a observé un phénomène identique de son balcon, à l’exception de la traînée. Ça l’a tracassée car elle n’a pas reconnu les étoiles, les avions ou l’hélicoptère du CHU qu’elle a l’habitude de voir passer. »

Deux groupes de témoins se sont fait connaître. Ils se trouvaient dans le même village du massif de Saint-Thierry, mais s’ignoraient l’un l’autre.

Il s’agit, d’une part, d’un couple qui a fait son observation en compagnie de trois voisines, d’autre part, d’un groupe de sept jeunes gens qui ont tenté de prendre des photos avec un portable mais les images sont inexploitables.

L’apparition du phénomène, décrite par le groupe de jeunes, est surprenante. « Ils ont d’abord vu arriver un premier point lumineux qui s’est fixé. Un deuxième point l’a rejoint et s’est fixé à son tour, puis un troisième pour former le triangle. Ils ont ensuite bougé de concert jusqu’à leur disparition dans le lointain », relate Jean-Luc Lemaire. « Cela me faisait penser à des appareils militaires mais la base aérienne 112, contactée, m’a assuré qu’il n’y avait pas eu d’exercice de nuit, surtout un samedi soir ».

À Épernay aussi

Le dernier témoignage, qui diffère des précédents, émane d’un habitant d’Épernay. « Il attendait le tir d’un feu d’artifice à 23 heures, sur les hauteurs d’Épernay, près de Mardeuil. Vers 22 h 50, il s’est retourné et a vu en direction du nord, c’est-à-dire vers Reims, un gros point bleu bizarre. Le temps de prévenir sa femme, il n’y avait plus rien ». Y a-t-il un lien avec les autres témoignages ?

En tout cas, l’heure et la zone d’observation concordent. Jean-Luc Lemaire ne dispose d’aucun autre élément pour l’instant. « À ce jour, le phénomène reste inexpliqué ».

F.C.

Jean-Luc Lemaire est à la disposition des témoins au 03.24.59.08.42 (anonymat préservé sur simple demande, ce qu’ils ont tous fait pour le moment).

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Journal « l’Union » - 090713d

Manieurs d’allumettes

Du côté de l’avenue du Général-Bonaparte, certains ne savent manifestement pas trop quoi faire pour s’occuper pendant ces vacances : les pompiers ont dû s’y rendre deux fois hier dimanche après-midi pour des petits feux dans l’immeuble n°3 : une première fois peu après 14 h 30, alors que du polystyrène brûlait sur le palier du troisième étage, une seconde fois vers 17 heures, alors que des détritus s’enflammaient à leur tour dans une cage d’escalier, les flammes se propageant à un sommier en bois (ce feu était déjà éteint à l’arrivée des pompiers).

Un autre départ de feu a été constaté au n°6, maitrisé à l’aide de seaux d’eau.

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Journal « l’Union » - 090713c

Clignotant SVP !

Un automobiliste d’une vingtaine d’années s’était fait remarquer samedi après-midi vers 17 h 30, en omettant de clignoter avant de changer de direction alors qu’il circulait du côté de la rue Joliot-Curie (Croix-Rouge).

Il a été interpellé et contrôlé positif à l’éthylotest ; il en a même rajouté en menaçant les policiers. Il répondra du tout devant la justice le 28 septembre.

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Journal « l’Union » - 090713b

Voleur de métaux

Un homme d’une quarantaine d’années a été arrêté samedi matin vers 9 heures pour un vol de métaux commis sur un chantier à proximité du campus universitaire Croix-Rouge.

Son butin consistait en des chutes de cuivre et d’aluminium.

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Journal « l’Union » - 090713a

Feu de voiture

Les pompiers sont intervenus hier dimanche peu après 13 heures pour éteindre un feu de voiture dans l’allée des Provençaux.

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Journal « l’Union » - 090712b

Remise de clés aux jardins Croix-du-Sud : Une absence remarquée…

Invité par la mairie, Didier Klodawski s’est excusé.
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« Je n’ai pas été invité par Évelyne Nkounkou, présidente de l’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud, ni à la notation des jardins pour la plus belle parcelle 2009, ni à la cérémonie de remise des clés des nouveaux jardins », regrette Didier Klodawski, le président de la fédération des jardins familiaux de Reims et l’agglomération. « Je ne suis donc pas venu. » Une absence qui a été remarquée par de nombreux jardiniers.

« Je n’ai rien contre Croix-du-Sud »

Certains le soupçonnent d’avoir une dent contre les jardins de Croix-du-Sud qu’il a fait exclure de la fédération. « Cette association n’entre plus dans les critères d’excellence pour faire partie de la fédération », déclarait-il en juillet 2008. Depuis, Croix-du-Sud a renouvelé ses dirigeants et présente une situation financière des plus saines. La mairie a maintenu ses subventions, preuve qu’il n’y a aucun dysfonctionnement.

Didier Klodawski conteste : « Je n’ai rien contre cette association qui a demandé à adhérer à nouveau à la fédération. Nous avons eu une réunion à ce sujet le 28 mars, regroupant les associations Pays-de-France, Trois-Rivières, Trois-Fontaines, Jardinot (Jardin du cheminot), Quartier Maroc et Jardins associatifs. Avant de prendre une décision, nous avons demandé des garanties de bon fonctionnement et des garanties d’une gestion saine. Cette demande a été approuvée à l’unanimité des membres présents. Évelyne Nkounkou n’a jamais répondu à notre courrier ».

À sa décharge, Évelyne Nkounkou, qui a accepté ce poste pour dépanner l’association à la suite de la démission du président, explique que Didier Klodawski exige qu’elle lui fournisse des documents sur des périodes anciennes, alors qu’elle n’était qu’adhérente sans responsabilités. « Je ne peux pas lui fournir ces documents ! » Autant dire que c’est fichu !

Peut-être pas : « Nous allons tout remettre à plat avec l’ensemble des associations, y compris Évelyne Nkounkou et l’adjoint aux jardins espaces verts, Raymond Joannesse, au cours d’une prochaine assemblée générale », annonce Didier Klodawski

Alors, espoir ? Bien sûr, car comme l’assure un administrateur, « la fédération n’a statutairement pas vocation à s’ériger en Conseil de l’Ordre des jardiniers ni en super-commissaire aux comptes de chacune des associations qui la compose. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090712a

Reims / Phénomène insolite : L’Ovni du 4 juillet vu par d’autres témoins

Les trois lumières en triangle, vues le 4 juillet à Reims, ont été signalées par treize autres personnes. Aucune explication n’a, pour l’instant, été trouvée.

LES trois mystérieuses lumières en triangle, observées samedi dernier par un Rémois domicilié dans le secteur de la faculté de droit, ont été vues par d’autres personnes.

A la suite de l’appel à témoins diffusé dans l’union de jeudi, l’enquêteur privé Jean-Luc Lemaire a reçu quatre coups de fil confirmant la présence d’un phénomène insolite ce soir-là dans le ciel de la région.

Rappelons que le témoin initial se trouvait dans son jardin au quartier Croix-Rouge, samedi 4 juillet vers 22 h 45, lorsqu’il a remarqué « trois lumières rouges » disposées « en un parfait triangle qui évoluaient horizontalement et doucement vers la Montagne de Reims ». Elles ont ensuite changé de direction et sont montées plus vite pour disparaître. Une légère traînée blanche est alors apparue un court instant derrière le phénomène.

Le premier appel reçu par M. Lemaire est celui d’une dame de 72 ans qui habite également à Croix-Rouge. « Elle a observé un phénomène identique de son balcon, à l’exception de la traînée. Ça l’a tracassé car elle n’a pas reconnu les étoiles, les avions ou l’hélicoptère du CHU qu’elle a l’habitude de voir passer. »

Deux groupes de témoins se sont fait connaître. Ils se trouvaient dans le même village du massif de Saint-Thierry, mais s’ignoraient l’un l’autre.

Il s’agit, d’une part, d’un couple qui a fait son observation en compagnie de trois voisines, d’autre part, d’un groupe de sept jeunes gens qui ont tenté de prendre des photos avec un portable mais les images sont inexploitables.

A Épernay aussi

L’apparition du phénomène, décrite par le groupe de jeunes, est surprenante. « Ils ont d’abord vu arriver un premier point lumineux qui s’est fixé. Un deuxième point l’a rejoint et s’est fixé à son tour, puis un troisième pour former le triangle. Ils ont ensuite bougé de concert jusqu’à leur disparition dans le lointain », relate Jean-Luc Lemaire. « Cela me faisait penser à des appareils militaires mais la base aérienne 112, contactée, m’a assuré qu’il n’y avait pas eu d’exercice de nuit, surtout un samedi soir. »

Le dernier témoignage, qui diffère des précédents, émane d’un habitant d’Épernay. « Il attendait le tir d’un feu d’artifice à 23 heures, sur les hauteurs d’Épernay, près de Mardeuil. Vers 22 h 50, il s’est retourné et a vu en direction du Nord, c’est-à-dire vers Reims, un gros point bleu bizarre. Le temps de prévenir sa femme, il n’y avait plus rien. » Y a-t-il un lien avec les autres témoignages ? En tout cas, l’heure et la zone d’observation concordent. Jean-Luc Lemaire ne disposent d’aucun autre élément pour l’instant. « A ce jour, le phénomène reste inexpliqué. »

F.C.

Jean-Luc Lemaire est à la disposition des témoins au 03.24.59.08.42 (anonymat préservé sur simple demande, ce qu’ils ont tous fait pour le moment).

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Journal « l’Union » - 090710a

Ecroué

De passage rue Pierre-Taittinger, lundi vers 13 heures, les policiers ont repéré un jeune homme de 32 ans, Mickaël Suchorski, qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt décerné par le tribunal correctionnel de Reims.

Absent à l’audience, il fut condamné le 28 mai dernier à une peine d’un an ferme pour une tentative de vol.

Le prévenu a été écroué.

Il lui reste la possibilité de faire opposition au jugement.

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Journal « l’Union » - 090709f

Coup de pouce de la Ville pour le Stade de Reims

Pour la nouvelle saison 2009/2010 la Ville et le Stade de Reims ont signé une nouvelle convention. Sur la base de 571 140 € d’échanges de prestations…

LORS du dernier conseil municipal, les élus ont entériné les conventions liant la Ville à la Société anonyme sportive professionnelle du Stade de Reims.

Évoluant désormais dans un stade Delaune tout neuf, le club devra s’acquitter d’une location évaluée à 571 140 € pour la période allant du 1er juillet 2009 au 30 juin 2010.

Pour ce tarif, le club a à sa disposition, pour 25 matchs par saison dont deux rencontres amicales, l’équipement financé par les contribuables rémois (57 M €).

Le prix de location inclut outre la location du terrain, tous les équipements qui vont avec (vidéosurveillance, PC sécurité, sonorisation, éclairage, vestiaires, locaux divers, buvettes licence catégorie 1 (9) et friteries (6), 32 loges VIP, caisses, salons de réception, infirmerie, parking « des acteurs du match »). En plus de ces 25 journées, une mise à disposition supplémentaire est consentie dans la limite de 20 jours d’occupation pour des manifestations non footballistiques (un salon + parking pour 3.000 € TTC).

145 000 euros + 426 000 euros

De son côté, la Ville « considérant l’importance de la mission du Stade de Reims et son rayonnement sur l’ensemble de la collectivité » (sic) a décidé, comme l’an dernier, d’attribuer une subvention de 145 000 € à la société Stade de Reims. Par cette convention, le Stade de Reims s’engage à ce que des joueurs participent aux événements, animations et dispositifs sportifs programmés par la Ville dans des actions Ludosports, les maisons de quartier, les établissements scolaires ; à mener des opérations visant à la sécurité du public et à la prévention de la violence dans les enceintes sportives et à mettre en œuvre la convention Stade-Licra ainsi que la participation aux tournois de quartiers.

À ces 145 000 €, la Ville a décidé, comme l’an dernier, d’octroyer au club dont le PDG est Jean-Pierre Caillot une somme d’environ 426 000 €, au titre « d’achats divers de prestations et de la prise en compte par le Stade de l’image de la ville dans sa communication ». La même somme que l’an dernier alors que le club est relégué en National ? Pourquoi un tel cadeau alors que la Ville aurait pu peut-être aider encore un peu plus les basketteuses de Saint-Jacques pour leur éviter d’avoir la tête sous l’eau ?

L’adjointe aux sports, Christine Michel, récuse le terme. « C’est un objectif politique, pas un cadeau. Nous accompagnons le club dont l’objectif est la remontée immédiate en Ligue 2. C’est un challenge. S’il ne remonte pas, on ne suivra plus comme cela. À Troyes, par exemple, ils ont fait le choix de baisser le tarif de location du stade. Pas nous, même si le club n’utilise pas tout l’équipement car les frais induits sont de même nature. Nous considérons que le sport, c’est le sport et on ne va pas couper les fonds d’un club la première année qu’il a un problème. »

Une aide supplémentaire à Saint-Jacques sport ? L’élue considère en substance que la Ville a été jusqu’au bout de ce qu’elle pouvait faire en subventionnant à 60 % le budget du club : « La Fédération a noté les difficultés de gestion d’un club qui avait un plan d’épuration de la dette sur trois ans sans la garantie de suivi des sponsors privés. »

Mais que va bien pouvoir vendre la Stade de Reims à la Ville pour 145 000 € ? Du côté des services, on se veut très prudent. « Nous rédigeons le contenu de la commande publique que la Ville va faire au Stade sous la forme d’un marché négocié, réglementation oblige. » On n’en saura pas plus. On peut supposer que ça rassemblera à la convention de l’an dernier. La Ville avait notamment acheté 1400 places en tribune Batteaux et Méano au prix de 10 €, 15 prestations (cocktail-restauration) destinées aux 15 occupants de la loge de la ville (au prix de 174 € par match et par personne) soit 49 644 € ; 6 prestations VIP affaires pour 11 964 €. Une somme de 72 964 € avait été versée pour la pub que le Stade fait (notamment sur les maillots des joueurs) pour la Ville de Reims.

Tout cet argent vaudra bien aussi un article dans la convention dans lequel les deux parties s’engageront l’une envers l’autre à conserver des relations courtoises, à s’interdire tous propos ou déclarations visant à se dénigrer. Un peu cher le prix du silence.

Au hasard de la convention

Dans la convention, on apprend que la Ville ou toute autre administration supérieure (NDLR : l’État) peut ordonner la fermeture du stade pour cause de force majeure (incendie, calamité publique, inondations, troubles…). Tous les frais entraînés par l’exploitation des lieux sont à la charge du locataire (taxes, droits d’auteurs, dépenses de police, personnel de contrôle, sonorisation, pompiers, sauveteurs…). Les agents de la ville veillent à l’entretien (y compris de la pelouse) et au nettoyage du stade sous l’autorité hiérarchique de la ville uniquement. […] La ville ne peut être tenue responsable en cas de difficultés d’éclairage survenues pendant des manifestations nocturnes pour quelque motif que ce soit.

Il ne devra être fait aucune publicité ayant un caractère politique, confessionnel, discriminatoire, contraire à la morale ou à l’ordre public.

Alain MOYAT

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Journal « l’Union » - 090709e

Exposition au parc de Champagne : Cultures bio et cucurbitacées : A la découverte des jardins potagers…

A la découverte des jardins potagers…
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Un petit espace détente est proposé.
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Après les photos de Yann Arthus-Bertrand l’année dernière, le parc de Champagne accueille cette année une exposition autour des jardins d’hier et d’aujourd’hui.

A quoi ressemble une plantation de quinoa ? Qu’est-ce qu’une aubergine blanche à œufs ? Quelles étaient les plantes qu’on cultivait au Moyen-Âge pour leurs vertus médicinales ? Et aujourd’hui, quelles sont les stars des jardins et des potagers ? Et qui sont ceux qui tiennent, d’arrache-pied, du printemps à l’automne, leur jardin familial dans les villes ? A ces questions, l’exposition « Des Aires de jardin » répond en proposant ses propres plantations biologiques, esthétiques et parfois surprenantes, mais aussi en présentant une exposition photographique sur les jardins familiaux et leurs origines, ainsi qu’un jardin musical.

Implantés dans l’ancien collège d’athlètes du parc de Champagne sur un espace de 6.000 m2, et réalisés par les jardiniers de la ville, quatre jardins biologiques constituent le cœur de l’exposition qui se déroule jusqu’au 4 novembre prochain.

Ils abordent de façon thématique les cultures d’ici et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd’hui pour découvrir tour à tour un jardin-type à la française (jardin et société), un jardin des curiosités, un jardin médiéval, et un jardin du monde…

Une prairie fleurie et… musicale

En complément, toute une section de l’exposition interroge aussi l’histoire des premiers jardins ouvriers vers 1850, jusqu’aux actuels « jardins familiaux » ou « d’insertion » : avec de véritables portraits des jardins et de leurs jardiniers et curiosités.

Sur les hauteurs du parc et le site de l’ancienne piscine, figure un dernier jardin, plus tranquille et musical. Un moment de flânerie à ne pas manquer, au milieu d’une prairie fleurie, pour découvrir une pergola de calebasses, sonorisée sur le thème des jardins, ainsi qu’un arbre à poèmes, dont les 40 fruits de papier proposent 80 « pensées aux jardins » de tous temps et de toutes cultures, sur l’art de vivre au jardin.

Infos pratiques

Exposition des Aires de jardin, jusqu’au 4 novembre au parc de Champagne.

Entrée libre. Horaires variables en fonction des saisons.

Jusqu’au 2 septembre : tous les jours de 10 à 20 heures (fermeture samedi 18 juillet et samedi 22 août).

Du 3 au 30 septembre : mercredi, samedi et dimanche de 10 à 20 heures ; lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12 à 20 heures.

Du 1er au 24 octobre : mercredi, samedi et dimanche de 10 heures à 18 h 30 ; lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12 heures à 18 h 30.

Du 25 octobre au 4 novembre : tous les jours de 12 à 17 heures.

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L’hebdo du vendredi- n° 131 - 090709d

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 131 - Semaine du10 au 16 juillet 2009

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La piscine en été : j’adore !

En ces jours de grande chaleur, les piscines rémoises sont prises d’assaut.

De nombreuses activités sont organisées à la piscine d’Orgeval avec des baptêmes de plongée en bouteille ou encore des initiations aux sports nautiques.

En plus, des espaces de détentes et de jeux pour les enfants et les adolescents sont mis en place, des sports et loisirs hors des bassins comme le pingpong, des châteaux gonflables ou un atelier fitness…

Pour les jeunes de - de18ans, l’entrée est réduite à 1,60 € dans les piscines d’Orgeval et de Château d’eau à Croix-Rouge. L’Opération « Savoir Nager » est relayée à la piscine de Louvois, pendant une heure, chaque matin, jusqu’au 31 juillet, les enfants âgés de 7 à 12 ans peuvent avoir une leçon de natation en « accéléré ».

Plus de renseignements :

- Piscine Louvois : 03.26.88.53.33
- Piscine Château d’eau : 03.26.86.18.38
- Piscine Orgeval : 03.26.77.49.60.


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Des Aires de jardin au Parc de Champagne

Des cultures bio et des cucurbitacées… dans un parc historique et touristique ! À Reims, le Parc de Champagne a choisi pour sa 4éme saison culturelle d’été de revenir à ses racines en proposant au public l’exposition « Des Aires de jardins » depuis le 4 juillet jusqu’au 4 novembre.

Il s’ouvre donc pour l’été 2009 à toutes les formes de jardin d’aujourd’hui et d’hier, d’ici et d’ailleurs. Plantations du monde, cultures biologiques, conseils pour produire ses légumes et expo photo autour des jardins familiaux et des jardins d’insertion rémois : tout est là pour inciter à la découverte, retrouver le goût du jardin et stimuler les papilles…

À découvrir jusqu’au 4 novembre au Parc de Champagne.


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JUSQU’AU 4 NOVEMBRE : « Des aires de jardin »

 

4 aires thématiques à découvrir : société, médiéval, monde et curiosités.

Parc de Champagne, 10, avenue du Général Giraud

 

 

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Journal « l’Union » - 090709c

Un Ovni dans le ciel rémois ?

Un Ovni a-t-il survolé samedi soir la région rémoise ? La question se pose après le recueil d’un témoignage qui n’a, pour l’instant, trouvé aucune explication conventionnelle.

L’unique observateur a signalé les faits à Jean-Luc Lemaire, un enquêteur privé basé dans les Ardennes et qui s’intéresse depuis de nombreuses années au phénomène Ovni (il a déjà publié des livres à ce sujet).

Samedi vers 22 h 45, le témoin se trouvait dans son jardin, du côté de la faculté de droit de Reims (quartier Croix-Rouge), lorsque son attention a été attirée en direction de l’ouest par quelque chose qu’il n’a pas été en mesure d’identifier.

« L’observation a duré environ cinq minutes », résume M. Lemaire. « Ce phénomène était composé de trois lumières rouges en un parfait triangle qui évoluaient horizontalement et doucement vers la Montagne de Reims. Il a alors changé de direction et est monté plus vite pour disparaître. C’est à ce moment qu’est apparue une légère traînée blanche derrière le phénomène, traînée qui n’a pas persisté dans l’atmosphère. »

Cette traînée a disparu rapidement, contrairement aux classiques traînées de condensation d’avion qui mettent du temps à se dissiper. Le témoin n’a pas su dire s’il y avait une masse ou du vide entre les trois lumières.

Elles étaient fixes, non clignotantes, et ont conservé une forme parfaite de triangle tout au long de leur déplacement. Leur grosseur apparente était « trois fois supérieure à celle d’une étoile ».

Appel à témoins

Aucune photo du phénomène n’a été prise. Son altitude est indéterminée. Il faisait très beau ce soir-là.

Le ciel était dégagé, la nuit était en train de tomber.

S’agit-il d’une méprise avec un aéronef ? D’une confusion astronomique ? Ou d’un véritable Ovni, au sens d’un phénomène dont l’origine échappe à nos connaissances actuelles ? Jean-Luc Lemaire lance un appel auprès d’autres témoins éventuels.

« D’autres témoignages pourraient aider à la compréhension de ce phénomène pour autant qu’il s’explique. L’anonymat des témoins sera préservé sur simple demande. »

Les personnes qui auraient observé la même chose peuvent le contacter au 03.24.59.08.42.

F.C.

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Journal « l’Union » - 090709b

Squat incendié

Mardi vers 21 h 45, un incendie s’est déclaré dans un appartement inoccupé de l’allée des Picards, au deuxième étage du n° 2.

Il s’agit d’un acte criminel.

L’appartement était connu du voisinage pour être squatté. Le feu aurait été allumé sur un canapé avant de se propager au salon.

Les auteurs sont en fuite.

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Journal « l’Union » - 090709a

Le torchon brûle

Les pompiers ont été appelés à deux reprises pour un « feu d’appartement », mardi soir allée Edgar-Degas, hier midi rue du Docteur-Thomas.

La première fois, il s’agissait d’un feu de torchon dans une cuisine, la seconde d’un échauffement d’une plaque à induction sur une cuisinière, tous deux éteints avant l’arrivée des secours.

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Journal « l’Union » - 090708g

Jeunes : Henry « dompte » Géo-André…

Le tournoi jeunes du TC Géo-André a, en parallèle de l’épreuve adulte, connu un formidable succès. A noter les succès de Gauthier Henry (30/4, Bouzy) en 9-10 ans, Mathilde Caron (15, Guignicourt) en 13-14 ans ou Maéva Spooner (15/5, Géo-André) en 15-16 ans.

GARCONS. — Open 18 mètres : 1. Lopes (NC, Cheminots Reims) ; 2. Chauvin (NC, Villeneuve-Saint-Germain). 9-10 ans : Henry (30/4, Bouzy) bat Ville-net (30/4,Taissy) 4-5, 5-4, 5-3. 11-12 ans : Benoit (30, Saint Dizier) bat Robin (30/3, URT) 6-2, 6-3. 13-14 ans :Algeri (15/5, Foyer Barsequannais) bat Buyck (15/5, Nautique Epernay) 6-3, 6-2. 15-16 ans : Samonin (15/3, Côte des Blancs) bat Roger (15/3, Cormontreuil) 7-5, 7-6.

FILLES. — 9-10 ans Charlotte Rejaud (30/5, Cauroy-les-Hermonville) bat Auxane Pierlot (NC, La Muire) 2-6, 6-3, 6-3. 11-12 ans : 1. Marie Schmitt (30/5, Géo-André) ; 2. Marina Massenat (40, Géo-André). 13-14 ans : Mathilde Caron (15/3, Guignicourt) bat Maéva Spooner (15/5, Géo-André) 6-2, 6-0. 15-16 ans : Maéva Spooner (15/5, Géo-André) bat Camille Neff (15/5, Géo-André) 6-4, 6-3

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090708f

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7297 du 06 au 12 juillet 2009.

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Un planétarium dans les quartiers à Reims


JUSQU’AU 23 AOÛT, UNE DRÔLE DE COUPOLE ASTRONOMIQUE SILLONNERA LES MAISONS DE QUARTIER DE REIMS.

C’est grâce à un dôme gonflable de 5 mètres et à un projecteur complexe, que le Planétarium pourra "se déplacer" cet été de Maison de Quartier en Maison de Quartier rémoises. Il devrait ainsi permettre à près de 1000 personnes de découvrir durant l’été les mouvements réels ou apparents des astres, ou d’observer la voûte céleste et du ciel étoilé selon n’importe quel lieu, hémisphère ou moment du jour, lors de séances d’une demi-heure à une heure avec des médiateurs scientifiques.

Un projet organisé par la Ville de Reims avec le soutien financier du Conseil Régional Champagne-Ardenne, du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, du Fonds Européen de Développement Régional, et en partenariat avec l’Association des Maisons de Quartier de Reims, l’Association Accustica, et l’Association Planetica.

Planétarium municipal de Reims, 1, place Museux. Tél. : 03 26 35 34 70
planetarium@mairiereims.fr


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Cigare et chocolat : rencontre inédite pour des passionné


Les propriétaires d’une des civettes les plus connues de Reims ont fait appel à un chocolatier sparnacien pour réaliser une œuvre originale.

Depuis 17 ans, Béatrice et Florence Handsaeme font le bonheur des amateurs de cigares dans leur civette de la Chaise au plafond à Reims. Ce célèbre établissement régional, est aujourd’hui une des références régionales pour les connaisseurs.

Les deux sœurs, intarissables sur le sujet des volutes, proposent des cigares issus des meilleures récoltes de tabacs. C’est en cherchant de nouvelles références qu’elles ont découvert voici une quinzaine d’années Maya Selva, une productrice de cigares Franco hondurienne. Toutes trois travaillent depuis en étroite collaboration pour répondre aux attentes des spécialistes.

Chaque année, à l’occasion de la nuit du cigare, Béatrice et Florence Handsaeme offrent un cadeau original à Maya Selva. Cette année, elles ont choisi de faire appel à Emmanuel Briet, chocolatier sparnacien, pour réaliser une sculpture cacaotée en l’honneur de ses cigares du Honduras et de la culture Aztèque. « Emmanuel s’est récemment installé dans la région. Nous avions envie de travailler avec lui et de faire connaître son travail », explique Florence Handsaeme.

Recherche d’authenticité et de qualité, respect du produit fini, etc. les points communs entre le cigare et le chocolat sont nombreux. Pour réaliser sa sculpture, Emmanuel Briet a réalisé des moules d’authentiques cigares et de statues aztèques. Son œuvre a nécessité près de 25 heures, à raison de 5 à 6 heures pour la confection d’un seul moule.

Autre point commun entre le cacao et le cigare, ils sont issus de cultures fortement liées à la latitude. Ce sont également des produits réalisés par des passionnés pour d’autres passionnés. Et quand ils se rencontrent, on obtient forcément un résultat étonnant et savoureux.

BENJAMIN BUSSON


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CONSTITUTION DE SOCIETE


CONSTITUTION D’UNE SOCIETE A RESPONSABILITE LIMITEE

Aux termes d’un acte authentique reçu par Maître Christophe PIERRET, Notaire à REIMS, en date du 26 juin 2009, enregistré à Pôle Enregistrement S.I.E. de REIMS NORD le 29 juin 2009, bordereau n° 2009/700, case n° 1, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

DÉNOMINATION SOCIALE : "SARL D-KER".
FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
SIÈGE SOCIAL : REIMS (Marne), 7 rue Joliot Curie.
OBJET SOCIAL L’activité d’entreprise générale de bâtiment, travaux de menuiserie-ébénisterie.
DUREE DE LA SOCIETE 99 ans à compter de la date d’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL SOCIAL : 6.400,00 €. GERANCE : Monsieur Jonathan THIENOT, demeurant à REIMS (Marne), 3 bis rue Marie Stuart.
IMMATRICULATION DE LA SOCIETE Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.

76663
Pour avis : Maître PIERROT.


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SARL COMMERCIALE DE L’HIPPODROME


Société en cours de liquidation au capital de 456.000 Euros

Siège social :
95 bld du Général Leclerc
51100 REIMS

R.C.S. Reims 431 897 909

Avis est donné que par délibération de l’assemblée générale ordinaire du 26 juin 2009, la collectivité des associés, après avoir entendu la lecture du rapport du liquidateur, la société AGENCIA, demeurant au 95 boulevard du Général Leclerc à REIMS, a approuvé les comptes de liquidation, donné quitus au liquidateur et l’a déchargé de son mandat et a prononcé la clôture des opérations de liquidation.

Les comptes de liquidation ont été déposés au greffe du tribunal de commerce de REIMS.

75267
Pour avis : Le liquidateur.


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DISSOLUTION DE SOCIETE


CLOTURE DE LIQUIDATION

L’AGE du 26/06/2009, de l’EURL IDEAL RENOV, au capital de 5.500 €, siège social : 14 allée des Bourguignons - 51100 REIMS, 508 777 687 R.C.S. REIMS, a décidé la dissolution de la société et sa mise en liquidation amiable à compter du même jour, nommé en qualité de liquidateur : M. CARLIER Laurent, demeurant 5 rue Paul Codos -02360 IVIERS, et fixé le siège de liquidation au siège.

La correspondance est à adresser à M. CARLIER Laurent, 5 rue Paul Codos - 02360 IVIERS.

Modification au R.C.S. de REIMS. 76514


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MARCHE DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES : AVIS D’ATTRIBUTION


1) MAITRE D’OUVRAGE : MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE -RECTORAT DE L’ACADEMIE DE REIMS, représenté par Monsieur le Recteur.

2) OBJET DU MARCHE : Campus universitaire Croix Rouge à REIMS. 57, 57 bis rue Pierre Taittinger -Aménagement urbain et paysager sur le campus universitaire Croix Rouge à REIMS - Mission de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé Niveau 2.

3) COORDONNATEUR RETENU : BUREAU VERITAS SA, 14 rue Edouard Mignot - 51100 REIMS.

4) MONTANT DE REMUNERATION : 3.390,00 € H.T.

5) DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION 29 juin 2009.

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MARCHE DE TRAVAUX : AVIS D’ATTRIBUTION


1) MAITRE D’OUVRAGE : MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE -RECTORAT DE LACADEMIE DE REIMS, représenté par Monsieur le Recteur

2) OBJET DU MARCHE : Campus universitaire Croix Rouge à REIMS, 57, 57 bis rue Pierre Taittinger - Démolition des bâtiments 1 et 8 :

    • Lot 1 : Dévoiement et remise en service des existants (courants forts et faibles) ;
    • Lot 2 : VRD - Aménagement des extérieurs et remise en état après démolition.

3) ENTREPRISE RETENUES
- Lot 1 - INEO ENERSYS SNC, 74, avenue R Poincaré. F - 21078 DIJON - 21.799,85 € H.T. ;
- Lot 2 - SAS EUROVIA CHAMPAGNE ARDENNE, Parc Industriel Pompelle, F - 51684 REIMS - 112.172,40 € H.T.

4) DATE D’ENVOI A LA PUBLICATION : 26 juin 2009.

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Journal « l’Union » - 090708e

Exposition

Pour fêter la 20e édition des Flâneries, Alain et Feng Hatat et Alain Julien invitent les Rémois à voir ou revoir leurs clichés.

Cette exposition présentera, du 8 juillet au 29 août, les temps forts des Flâneries avec les photographies des artistes jazz et classique, grands noms et jeunes talents.

Elle s’inscrit dans six lieux de la ville et de ses alentours : la Fnac, la maison de quartier des Épinettes, la bibliothèque Saint-Rémi et les médiathèques Croix-Rouge, Laon-Zola et Cormontreuil.

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Journal « l’Union » - 090708d

De nouveaux médiateurs dans les quartiers / « Nous ne sommes pas des vigiles »

Le médiateur Ali Boukhedoumi (à gauche) est en relation avec les animateurs présents dans les quartiers.
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Azzouz Neday se pose des questions sur le devenir du quartier Orgeval, le médiateur lui présente le projet de rénovation urbaine.
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Dans les quartiers Croix-Rouge, Wilson et Orgeval, les médiateurs viennent à la rencontre des habitants. Ce sont des émetteurs et des récepteurs d’informations.

RESTRUCTURÉ par la municipalité, le système des correspondants de quartiers est devenu celui des médiateurs de quartiers.

Concrètement, que signifie ce changement de terminologie ? « La première chose faite a été le détachement des nouveaux médiateurs de la police municipale pour les rattacher au service de la politique de la ville et de l’habitat », rappelle Eric Quénard, premier adjoint au maire en charge du logement et de la politique de la ville. « Après avoir fait un bilan du précédent système, nous avons souhaité recentrer leur mission sur la médiation. Ils étaient jusqu’alors souvent perçus comme des assistants de police », poursuit-il. Sept aujourd’hui puis dix à partir du 15 juillet, les médiateurs sillonnent les quartiers de Croix-Rouge, Wilson et, depuis le 1er juillet, Orgeval. Parmi eux, Ali Boukhedoumi. Entré comme correspondant de quartier en juillet 2005, il est aujourd’hui médiateur. Un terme qui lui convient mieux que le précédent. « Correspondant était un terme trop flou, qui ne facilitait pas notre intégration dans les quartiers. Médiateur est un mot qui a plus de sens, il fait moins peur », assure-t-il.

Leurs missions ? « Faire une veille technique et de la médiation sociale. En plus de leur permanence dans les points infos, on leur demande d’être présents sur le terrain et de faire preuve de réactivité », explique Eric Quénard. « En binôme la journée et par trois en soirée, nous allons au contact de la population, nous listons les dégradations, tags, insalubrité, ascenseur hors service…, nous essayons d’apaiser des conflits de voisinages. En soirée, nous faisons une tournée dans le quartier, nous revenons sur les lieux des dysfonctionnements constatés, pour finir, nous faisons nos rapports », détaille le médiateur. Et d’insister : « Nous ne sommes pas des vigiles ! Dès qu’il y a trop de notions de sécurité, nous nous retirons. »

Grâce à un nouveau système, nommé Citoyen, les médiateurs peuvent envoyer directement des messages aux responsables des services concernés. Ils sont également en contact avec les bailleurs.

Un partenariat avec les bailleurs sociaux

Lors de l’inauguration du point le 1er juillet, une convention a été signée entre la Ville et les trois bailleurs, le Foyer rémois, Plurihabitat l’Effort rémois et Reims Habitat Champagne-Ardenne.

Ces trois organismes participent à 60 % au financement du dispositif, d’un coût global de 212 880 euros pour l’année 2009. Chacun au prorata du nombre de logements de leur parc. « Pour les problèmes urgents, il nous arrive d’aller directement voir les antennes des bailleurs dans les quartiers », confie Ali Boukhedoumi. « On a des comptes à rendre à la population », conclut-il. Récepteurs d’informations, les médiateurs sont aussi des émetteurs : « Nous devons pouvoir apporter des réponses aux questions de la population, surtout dans la phase actuelle de la rénovation urbaine. »

Séverine MIZERA

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Ce qu’il faut savoir

Historique

2004 : création des correspondants de quartiers, rattachés à la police municipale. Septembre 2008 : changement de terminologie, les correspondants de quartiers deviennent des médiateurs de quartiers.

1er mai 2009 : rattachement des médiateurs de quartiers à la politique de la ville et de l’habitat. Ils dépendent du service habitat et vie des quartiers.

1er juillet 2009 : inauguration du point info d’Orgeval et arrivée des médiateurs sur le quartier ; signature d’une nouvelle convention entre la municipalité et les bailleurs sociaux

15 juillet 2009 : les trois nouvelles recrues arrivent. Installation du bureau des médiateurs dans les locaux de l’hôtel de ville de Reims.

Septembre 2009 : ouverture d’un point infos aux Épinettes.

début 2010 : ouverture du point infos à Wilson.

Pratique

Les médiateurs sont joignables au 03.26.77.84.81 ou 03.26.77.84.82.

Ils sont présents dans les quartiers de Croix-Rouge, Wilson et Orgeval les lundis et mercredis de 14 à 21 heures et les mardis, jeudis et vendredis de 16 à 23 heures.

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Journal « l’Union » - 090708c

Reims / Un vigile et des policiers agressés : 4 jeunes arrêtés après une vague de violences à la piscine Nautilud

Un vigile pris à partie au bord du bassin par une vingtaine de jeunes, la police caillassée ensuite sur le parking… : des violences ont éclaté dimanche à la piscine olympique de Reims.
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Dimanche à la piscine olympique de Reims, une vingtaine de jeunes ont pris à partie un vigile avant de caillasser la police dehors. Quatre d’entre eux ont été arrêtés.

DIMANCHE en fin de journée, c’est à l’intérieur même de la piscine olympique de Reims qu’une vingtaine de jeunes ont pris à partie un agent de sécurité avant de caillasser les policiers sur le parking.

En cette période estivale, il y avait du monde au Nautilud, d’autant que la municipalité de Reims pratique des prix d’entrée attractifs pour permettre au plus large public possible de venir profiter des joies de la baignade. Un agent de sécurité épaule les maîtres-nageurs sauveteurs (MNS) pour veiller à la tranquillité des lieux.

Allergiques à l’autorité

Vers 17 h 30, le vigile est occupé avec une personne victime d’un léger malaise lorsque les MNS le sollicitent pour rendre raison à plusieurs jeunes qui font le bazar près du toboggan. Les autres baigneurs ne peuvent plus passer. Au bord du petit bassin, l’attroupement risque même de faire tomber à l’eau des mamans avec leurs enfants.

L’agent de sécurité est en maillot de bain, mais il n’en représente pas moins l’autorité.

Aussitôt, une vingtaine de jeunes le prennent à partie malgré ses 92 kilos et son 1,85 mètre. Il est encerclé, reçoit des coups. Un seul des agresseurs est pour l’instant identifié, Sadio Kanté, lycéen rémois de 18 ans qui ne connaît même pas les autres perturbateurs. Il habite le quartier Wilson alors que, d’après les MNS, le groupe à l’origine du problème vient de Croix-Rouge. Le garçon est de grande taille. Surgissant derrière le vigile, il le ceinture et l’attrape par le cou. L’attroupement finit par se disperser alors que l’alerte est donnée auprès du commissariat.

Appréhendé, Sadio Kanté est remis aux policiers. Fin du premier acte.

Reprise des hostilités sur le parking

Dehors, la brigade canine et des patrouilles de la section d’intervention ont pris position sur le parking pour renforcer la sécurité des lieux. Un nouvel attroupement se forme. Ils sont bientôt une vingtaine à insulter les policiers et à leur jeter des projectiles divers.

La brigade canine lâche son chien, muselière attachée. L’animal percute à deux reprises un assaillant de 16 ans. Les autres prennent la fuite. Ils sont coursés dans le parc Léo-Lagrange où deux d’entre eux, âgés de 14 et 15 ans, sont rattrapés, non sans une nouvelle volée d’insultes et de projectiles. La dernière avant le retour au calme. Les policiers s’en sortent bien : aucun blessé, aucun dégât sur les véhicules. L’agent de sécurité est lui aussi indemne (zéro jour d’incapacité totale de travail).

Quant aux quatre jeunes interpellés, ils ont connu un sort différent selon leur âge. Domiciliés pour deux d’entre eux à Croix-Rouge, le troisième aux Châtillons, les mineurs ont été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants tandis que Sadio Kanté, « privilège » de la majorité, s’est retrouvé hier en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Il a écopé d’un avertissement sous la forme d’un mois de prison avec sursis. C’est la première fois qu’un tel phénomène de violences urbaines se produit dans une piscine rémoise. Un événement imprévu, spontané, que les autorités locales espèrent sans lendemain.

Fabrice CURLIER

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Journal « l’Union » - 090708b

TENNIS / Géo-André : Philippe Huet, le 2000 maître !

Après l’effort, le réconfort d’une petite coupe offerte par le « récipiendaire ».
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Le Rémois s’est offert un compte rond dans le tournoi organisé par son club. Derrière les chiffres, une passion…

DEUX MILLE et bientôt 2001, l’odyssée d’une passion. Mercredi dernier, à Reims, sur les courts de Géo-André, son club depuis 1994 (« Je m’y plais beaucoup »), Philippe Huet a disputé son 2000e match.

Cet ancien patron d’une blanchisserie industrielle - aujourd’hui reconverti dans l’assurance - revendique « un côté comptable » et l’événement ne pouvait pas lui échapper. De la première (un 6-1, 7-5 au Tournoi de l’URT contre un non classé de La Muire, Valère Stassart) à la dernière, toutes les rencontres sont répertoriées. Philippe Huet n’a plus qu’à les additionner à chaque fin d’année.

« Un résumé de la vie »

1300 en 1995, 1500 en 1999 : le compte a fini par s’arrondir à 2000. Et sur un succès un peu tronqué : 6-1, 5-0 après l’abandon sur blessure d’Alain Dugueyt. Un peu frustrant mais pas de quoi ternir la petite fête organisée « avec les vieux de la vieille de Géo-André ».

« Sur le court, on est « à poil », seul face à soi-même », image Philippe Huet qui compare le tennis à la vie : « Il y a des hauts et des bas. On est mal, on s’accroche et d’un coup, la roue tourne. C’est le résumé de la vie. »

« J’ai la compétition dans la peau. » Cette adrénaline est indispensable au vétéran sportif multi-cartes, footballeur le dimanche matin en Ufolep au FC Bâtiment : « J’ai joué avec le fils de « Bob » Jonquet. Je pratique aussi de l’équitation à La Chevauchée à Aougny. Passionné de voyages, je fais aussi beaucoup de randonnées pédestres avec la Clé de l’Evasion et les Amis de la nature. »

Un vrai, un pur donc qui tient à mettre le bénévolat en avant : « Quand je participe à un tournoi, on me remercie mais c’est moi qui remercie les organisateurs car c’est grâce à leur dévouement que l’on peut jouer », insiste cet ancien de la section tennis du Stade de Reims Parc Pommery.

Face à Georges Lech

« Un match, c’est une histoire différente à chaque fois. » Au moment de distinguer une rencontre parmi 2000, la mémoire de Philippe Huet se refuse à être sélective. Tout juste extrait-il de son album personnel ce duel face à un certain Georges Lech - 35 sélections en équipe de France de football - au tournoi de La Nautique, à Epernay : « C’était dans les années 80 et je l’avais battu. J’ai connu également Michel Leblond lorsqu’il était responsable de la commission vétérans. »

Mourir la raquette à la main, à la Molière, l’ancien 15/1 (deux ans) et 15/2 (neuf ans) y pense « mais le plus tard possible ».

Jean-Pierre PRAULT

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Journal « l’Union » - 090708a

Feux divers

Plusieurs incendiaires ont sévi à Reims ces derniers jours.

Hier vers 3 heures du matin, un Renault Espace a flambé sur un parking de la place Jean-Fragonard.

L’incendie est manifestement criminel (le véhicule a subi des dégradations avant d’être mis à feu).

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Journal « l’Union » - 090707b

Le Point info de Croix-Rouge opérationnel : Tout savoir sur les futurs chantiers

« On sent ici une véritable préoccupation de proximité », a déclaré Jean-Jacques Caron, sous-préfet.
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Le Point info « Renouvellement urbain Croix-Rouge » et « Espace Tram infos » a été inauguré au 65, place Eisenhower, mercredi 1er juillet par le sous-préfet de Reims, Jean-Jacques Caron, en présence d’une foule considérable d’élus, de représentants d’organismes logeurs, de services, et d’associations.

C’est un espace de proximité pour l’accueil et l’information des habitants, comme celui d’Orgeval et bientôt ceux des Épinettes et de Wilson.

Sa mission : informer les habitants sur tous les aspects du renouvellement urbain, le calendrier des chantiers, le relogement, la charte d’insertion et les travaux du tramway.

Du lundi au vendredi, des spécialistes se relaieront, dont les médiateurs de quartier, les ambassadeurs du tramway et des acteurs du relogement des organismes logeurs : Effort rémois, Foyer rémois et Reims habitat.

Point info, 65, esplanade Eisenhower, ouvert les lundi, mardi et jeudi, de 11 à 16 heures tramway ; de 16 à 19 heures Anru, mercredi et vendredi, de 11 à 14 heures Anru ; de 14 à 19 heures tramway.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090707a

A la médiathèque Croix-Rouge en juillet

L’heure des bébés : Un moment de lecture tendresse pour les tout-petits de 6 mois à 3 ans et leurs parents est proposé mercredi 8 juillet à 9 h 30. La séance dure approximativement une demi-heure. Elle est suivie d’une projection de diapositives « Quatre amies des fleurs ».

La ronde des albums : « Vive les vacances 1 », pour les enfants entre 4 et 6 ans, mercredi 15 juillet à 11 heures.

Théâtre d’images : « Le tigre amoureux » : le tigre du cirque Caracol est amoureux de sa dompteuse. Ah, les compliments et les caresses de Clara ! Hélas, il y a des concurrents, Culbuto l’équilibriste, Octopodi le jongleur, Konrad l’hercule, Satya le dresseur d’éléphants et même Victor le Monsieur Loyal. Le tigre en fait son affaire … Pour enfants à partir de 5 ans, mercredi 15 juillet à 15 heures.

Diapositives : « Quatre amies des fleurs », de Catherine Meheut.
Quatre petites histoires pour découvrir la chenille, l’abeille, la fourmi et la libellule … Pour les enfants entre 4 et 6 ans, mercredi 29 juillet à 16 h 30.

Inscriptions à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue ]ean-Louis-Debar. Toutes ces activités sont gratuites, mais l’inscription préalable est indispensable au 03.26.35.68.51.

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Journal « l’Union » - 090706e

Croix-Rouge-Orgeval-Châtillons : Bel été dans les piscines

Tous les partenaires de la Ville étaient présents lors de la présentation du dispositif.
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Testée l’année dernière avec succès dans le quartier d’Orgeval, l’opération de la Ville de Reims consacrée à l’ouverture des piscines durant la quasi-totalité des grandes vacances sera rééditée.

Cette année, la municipalité étend même celle-ci sur le quartier Croix-Rouge à la piscine du Château d’Eau et soutient l’initiative du club Reims Natation 89, qui relaie une action de la Fédération française de natation nommée « Opération Savoir Nager » dans la piscine de Louvois, dans le quartier des Châtillons.

« Aller chercher les jeunes »

« Nous confortons sur Orgeval, tout en déployant ailleurs, plus précisément sur le quartier Croix-Rouge mais aussi, par l’initiative d’un club, sur Châtillons et Wilson à la piscine Louvois. Le but est aussi d’aller chercher les jeunes grâce au travail des Maisons de quartier qui vont à la rencontre du public, l’oriente et l’accompagne vers ce dispositif », explique le premier adjoint, Eric Quenard.

En effet, c’est tout un partenariat qui se met en place autour de l’initiative de la mairie, englobant plusieurs acteurs tels que les maisons de quartiers, des clubs et des associations sportives ainsi que les trois bailleurs sociaux de la ville.

« L’an dernier en juillet-août, trois créneaux pleins étaient proposés sur Orgeval tous les matins, environ 1500 jeunes ont participé », précise Christine Michel, adjointe en charge des sports.

Horaires et tarif

A Orgeval, la piscine ouvrira gratuitement de 9 à 12 heures pour les 7-15 ans. L’après-midi, le ticket d’entrée sera seulement à 1,60 € soit 50 % moins cher que d’habitude. Les activités seront variées, water-polo, judo, boxe, rugby, jeux de raquettes ou encore canoë-kayak.

A Croix-Rouge du 6 au 24 juillet les animations se dérouleront de 14 à 17 heures à la piscine du Château d’Eau et le prix sera de 1,60 € également. Les jeunes pourront découvrir aussi de nombreuses activités telles que le taekwondo, la boxe ou encore un atelier fitness…

Une bonne initiative pour les enfants qui ne partiront pas en vacances !

TAF

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Journal « l’Union » - 090706d

Du 6 juillet au 31 août : Ludosport pour les 4-11 ans

L’opération Ludosports propose des activités sportives gratuites aux enfants âgés de 4 à 11 ans, du lundi 6 juillet au 31 juillet et du 3 au 21 août (sites fermés les 10, 13 et 14 juillet) selon le planning suivant.

Pour les 4-5 ans

Du lundi au vendredi de 10 h 30 à midi : en juillet-août au gymnase Léo Borgniet, 4, rue Raoul Dufy ; en juillet au gymnase Cernay, rue Henri-Barbusse, au gymnase Neufchâtel, rue de Florence ; à partir du mercredi 15 juillet au centre-ville spécial roller débutants au stade Saint-Symphorien. Pour les débutants, initiation au patinage. Fermé en cas de pluie.

De 14 heures à 15 h 30 en juillet : spécial glace à la patinoire Barot (quartier Croix-Rouge), avenue François-Mauriac. Mini-glace, initiation patinage. Fermé le mercredi.

Pour les 6-11 ans

Du lundi au vendredi de 9 h 30 à midi : en juillet-août au gymnase Léo-Borgniet, 4, rue Raoul-Duffy et au gymnase François-Legros spécial roller (en juillet roller et roller hockey réservé aux patineurs confirmés et en août initiation au patinage et matches de roller hockey). En juillet : au gymnase Desbureaux (quartier Neufchâtel), rue de Florence, au gymnase Barbusse (quartier Cernay), rue Henri-Barbusse.

Du lundi au vendredi de 14 heures à 16 h 30 : en juillet-août au gymnase Courcelles (quartier Clairmarais), 75, rue du Mont d’Arène et au gymnase Vasco de Gama, 10 bd Vasco de Gama. En juillet au gymnase Europe, avenue de l’Europe ouverture dès le mercredi 15 juillet ; au gymnase Galliéni (quartier Orgeval) ; à la patinoire Jacques Barot spécial glace avenue Mauriac initiation patinage, matches de hockey et balai ballon. Fermé les mercredis.

Pour en savoir plus : N° vert : 0 800 506 956.

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Journal « l’Union » - 090706c

Collèges publics / La chute (presque) enrayée

Les effectifs des collèges publics continuent à baisser un peu mais bien moins qu’à une époque.

« C’EST presque stabilisé. » Aux yeux de l’inspectrice d’académie, Anne-Marie Filho, les effectifs des collèges publics rémois seront comparables en septembre prochain à ce qu’ils étaient l’an dernier. C’est en tout cas ce qu’indiquent les prévisions actuelles. Elles n’ont rien de définitif, et l’inspectrice insiste là-dessus, mais permettent de dégager une tendance.

Alors, cette tendance ? Une nouvelle fois à la baisse (4.894 élèves contre 4.925), mais une baisse si petite qu’elle fait comme on l’a vu presque figure de stabilité aux yeux de notre interlocutrice de l’Education nationale. Il est vrai qu’avec ce déficit de 31 potaches, on est loin des pertes nettement plus impressionnantes des années précédentes. Mme Filho rappelle qu’en 2005 par exemple, (il est vrai avec un collège de plus, Pablo-Picasso aujourd’hui disparu) on atteignait les 5.447 collégiens dans la cité des sacres. Cela veut dire qu’en l’espace de trois ans, celle-ci avait perdu en route plus de 520 éléments…

Donc, globalement, pour l’ensemble des onze collèges de Reims intra-muros, baisse limitée en vue pour la rentrée 2009. Avec, comme on peut s’y attendre, des différences entre les établissements : ainsi, ils sont cinq à pouvoir perdre une classe, Université, Robert-Schuman et Joliot-Curie de façon quasi certaine, Maryse-Bastié et Georges-Braque de façon plus hypothétique (« On hésite au sujet de ces deux-là », confie l’inspectrice) ; et il y en a deux au contraire qui devraient gagner une classe : François-Legros et Paul-Fort.

Malentendants et chinois

L’explication de ces différences de traitement, l’inspectrice les attribue très largement et tout simplement à l’évolution démographique des zones de recrutement des établissements, plus qu’aux possibles différences de prestations entre eux (qui permettent de faire jouer éventuellement les fameuses dérogations). Et effectivement, si l’on constate bien par exemple que François-Legros, qui fait partie des gagnants de la prochaine rentrée, se distingue par une unité pédagogique d’intégration (UPI, dispositif adapté aux enfants présentant un handicap) spécialisée pour les malentendants, a contrario, Georges-Braque, avec son option chinois, tout aussi originale, fait partie, lui, des possibles perdants….

Si l’on élargit à présent la réflexion à l’ensemble du district de Reims (soit Reims plus les collèges de Cormontreuil, Tinqueux, Bazancourt, Gueux, Witry-lès-Reims, Rilly-la-Montagne, Verzy, Fismes, Pontfaverger et Saint-Thierry), on s’aperçoit que la baisse est un poil plus faible (9.230 attendus contre 9.258 cette année, soit un déficit de 28) ; on constate aussi que les ouvertures de classes sont plus nombreuses autour de Reims qu’à Reims même : il y en aura à Fismes, Witry, Gueux, Rilly et Saint-Thierry. Traduction toute naturelle d’un peuplement de la campagne plus prononcé qu’en ville.

Et si l’on veut pour finir s’amuser à faire un peu de provocation ou de polémique, on notera que, si le public, à Reims, enregistre une baisse, faible mais une baisse quand même, le privé de son côté, annonce plutôt une hausse (lire aussi par ailleurs). Mais que l’on se garde bien d’en tirer des conclusions trop hâtives : ce ne sont là que des prévisions, a bien précisé l’inspectrice, et non pas des chiffres définitifs !

Antoine PARDESSUS

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Journal « l’Union » - 090706b

TENNIS / Géo-André : La 20e pour Pilliet et Sarazyn


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Les lauréats Benjamin Pilliet et Audrey Sarrazyn.

Rendez-vous très prisé du début juillet, l’Open de Géo-André a dignement fêté sa 20e édition.

Grâce notamment à de belles empoignades sur le béton poreux de la rue François-Mauriac.

À commencer chez les messieurs où le dernier carré fut de toute beauté. Malmené dans le premier set, Vincent Lévêque (- 2/6, Cormontreuil) trouvait ensuite les solutions pour terrasser le tenant du titre Sébastien Mouilleron (0, ASPTT Troyes) alors que Benjamin Pilliet (- 2/6, Cormontreuil) peinait pour faire respecter la hiérarchie face au « gamin » du club, Arnaud Pignon (2/6). Le tout pour une finale attendue entre négatifs cormontreuillois.

« On joue tout le temps ensemble. Ce n’est pas facile dans ces conditions de faire un gros match », admettait Benjamin Pilliet.

Proposant un jeu toujours aussi puissant, ce dernier débutait idéalement en empochant le set initial (6-4).

Toutefois, dès l’entame du 2e set, la pluie faisait son apparition et les deux protagonistes optaient pour l’intérieur. Un choix, dans un premier temps, favorable à Vincent Lévêque qui recollait au score (6-2) mais qui lui était ensuite fatal.

« Les balles neuves au début du 3e ont eu un rôle important. Dans les moments importants, il a nettement mieux servi que moi qui ai commis quelques doubles fautes. Surtout lorsque je « débreake » pour revenir à 3 partout et qu’ensuite je fais un jeu pourri », lâchait, sans concession, Vincent Lévêque.

Résultat, Pilliet s’emparait du crucial 7e jeu pour ensuite gérer les débats et s’imposer par 6-4. Chez les dames, la locale Audrey Sarrazyn (15) a brillé de mille feux. Impériale en demi-finale contre la favorite Lucie Grygielski (5/6, Sillery), elle a récidivé en dominant Carine Brun (5/6, Kourou), l’ex-Postière châlonnaise aujourd’hui prof d’EPS en Guyane.

Christian LANTENOIS

Messieurs.

Demi-finales : Levêque (- 2/6, Cormontreuil) bat Mouilleron (0, ASPTTTroyes) 4-6, 6-1, 6-1 ; Pilliet (- 2/6, Cormontreuil) bat Pignon (2/6, Géo-André) 7-5, 6-4.

Finale : Pilliet bat Lévêque que 6-4, 2-6, 6-4.

3e série : Janvier (15/4, Rouen) bat Ferreira (15/2, Europe Club) 4-6, 7-5, 6-4.

4° série : Robert (30/2, Cauroy-Les-Hermonville) bat Tronchon (30/2, Géo-André) par forfait.

+ de 35 ans : Vicaire (15, Sillery) bat Genty (15/1, Bétheny) 6-3, 6-0.

+ de 45 ans : Liégeois (15/3, Villers-Marmery) bat Capelli (15/5, Bétheny) 6-4, 6-2.

Dames.

Demi-finales : Audrey Sarrazyn (15, Géo André) bat Lucie Grygielski (5/6, Sillery) 6-3, 6-1 ; Carine Brun (5/6, Kourou) bat Camille Kleiber (15, Guignicourt) 6-2, 2-6, 6-4.

Finale : Audrey Sarrazyn bat Carine Brun 6-2, 6-4.

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Journal « l’Union » - 090706a

Reims / Violences : Ils frappent des femmes, ils en répondront devant la justice

La triste liste des violences perpétrées sur les femmes continue à s’étoffer de jour en jour. Ainsi dans les nuits de vendredi et de samedi, deux hommes ont été placés sous mandats de dépôt après avoir été présentés devant la justice pour de tels faits.

Il est 22 h 45, vendredi, quand un homme d’une trentaine d’années déboule dans l’appartement de sa mère, situé allée des Picards, à proximité du centre hospitalier universitaire de Reims.

Passablement éméché quand il arrive au domicile maternel, il passe sa colère sur elle qui vit seule. Rapidement, les maux vont se substituer aux mots. Le jeune homme devient violent. Il gifle sa mère, la flanque par terre avant de lui administrer plusieurs coups de pieds dans les côtes. Blessé mais encore capable de se déplacer, la pauvre femme a le temps d’attraper son téléphone et appelle police secours. Les policiers maîtriseront le jeune homme quelques minutes plus tard avant de l’embarquer au poste. Quant à la mère, elle a dû se rendre au centre hospitalier pour de multiples douleurs et autres contusions avant de déposer plainte contre son fils. L’auteur des faits devra répondre de ces accusations, dès aujourd’hui, devant le tribunal correctionnel de Reims pour violences sur ascendant.

Th.D.

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Journal « l’Union » - 090705g

TENNIS : Vingtième XXL à Reims : GEO-ANDRE.

- Messieurs : demi-finales messieurs à 9 heures ; finale à 15 heures. Favoris : Vincent Leveque et Benjamin Pilliet (-2/6, Cormontreuil).

- Dames : demi-finales à 10 h 30 ; finale à 15 heures. Favorites : Lucie Grygielski (5/6, Sillery), Carine Brun (5/6, Kourou). Finales +35 ans, +45 ans à 15 heures

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Journal « l’Union » - 090705f

Un été au Collège

Après les devoirs de vacances en juillet, les élèves de CM2 aiment fréquenter « L’école ouverte » fin août pour se rassurer avant d’entrer au collège.
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Vingt-et-un collèges et un lycée de l’académie de Reims ouvriront leurs portes cet été durant deux ou trois semaines. Ils sont huit dans l’Aisne. Depuis dix-huit ans, l’opération « L’école ouverte », essentiellement centrée sur les établissements ruraux ou situés en ZEP, connaît un succès croissant. Elle concerne en Champagne-Ardenne quelque 3 000 jeunes (760 dans I ‘Aisne), mais aussi des élèves de CM2 engagés dans le cadre d’un projet de liaison école-collège.

« L’école ouverte » répond à une charte précise ; les établissements sont candidats, les enseignants (rémunérés à la vacation) sont volontaires et les élèves s’engagent à s’y inscrire au moins une semaine.

En général, les établissements optent pour trois semaines d’ouverture ; une semaine début juillet consacrée à des activités ludiques et sportives et deux semaines fin août plus axées vers le soutien scolaire. « L’école Ouverte est rassurante pour les élèves de CM2 qui découvrent le collège avant d’y entrer en Septembre », explique Philippe Labiosse, principal du Collège François-Legros de Reims.

Dans cet établissement, 160 jeunes participent toute l’année à l’opération qui fonctionne également les mercredis et pendant les vacances de Pâques pour les élèves de 3e qui préparent le brevet des Collèges « L’école ouverte est un vrai succès. Non seulement, les élèves sont candidats d’une année sur l’autre, mais elle nous a aussi permis d’améliorer sensiblement notre taux de réussite au brevet, de 60 à 85 % », note le principal de François-Legros.

Dossier : Gilles Grandpierre

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Entrez, c’est ouvert …

Voici la liste des collèges et lycées qui participent à l’opération « Ecole ouverte » dans la région :

ARDENNES : Les Aurains (Fumay), George-Sand (Revin), Le Lac (Sedan), Rouget-de-L’isle (Charleville).

MARNE : Paul-Fort, Georges-Braque, François-Legros, Joliot-Curie (Reims), Louis-Grignon (Fagnières), Nicolas-Ledoux (Dormans), St-Exupéry (Avize), Marcel-Alin (Frignicourt), Terres-Rouges (Epernay), Nicolas-Appert (Châlons).

AISNE : Jean-Moulin - et lycée Condorcet (St-Quentin), Desmoulins (Guise), Senghor (Corbeny), Brazier (Crécy /Serre), Charlemagne (Laon), Truffaut (Charly/Marne), La Faye (Condé-en-Brie ). Pour toutes informations, se renseigner auprès des établissements.

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Journal « l’Union » - 090705e

Restructuration du lycée Arago : C’est parti pour quatre ans

La façade telle qu’on la verra dans quatre ans. (Photo G.Pace)
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Et telle qu’on la connaît actuellement… (Photo J.-F.S.)
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Erigé en 1975, le lycée Arago va être entièrement rénové. Sa reconstruction in situ va prendre quatre ans, grâce à une « opération à tiroirs ». Explications.

DANS les jours à venir, les premiers coups de pioche vont être donnés au lycée Arago. Il s’agira d’offrir un nouveau visage à cet établissement érigé en 1975 et qui a atteint les limites de l’obsolescence. Cette restructuration va s’opérer en quatre ans, par « tiroirs ». Autrement dit, pendant les travaux, l’activité des 1.000 personnes qui fréquentent le lycée va continuer. « Voilà quinze ans qu’elle était en route, cette affaire », admet le directeur des travaux, Fabrice Binet.

Effectivement, le lycée a l’âge de ses apparences. Pourtant, Arago est un lycée dit « d’excellence », un titre dont s’enorgueillit une trentaine d’établissements en France. On s’y prépare au bac, mais aussi aux métiers du BTP. « On fonctionne comme une PME », poursuit M. Binet.

Une PME qui dispose - sur 32.600 m2 -, d’un lycée général, d’un internat (220 places), d’un espace de restauration, d’un autre pour l’administration, et d’une série de bâtiments pour l’enseignement technologique. Le lycée sert aussi à la formation continue. Il emploie 150 personnes.

12 millions d’euros

Une première rénovation avait eu lieu en 1999, qui avait bénéficié au CDI, à la restauration, à l’internat, au rez-de-chaussée de l’enseignement général et à la loge de l’accueil.

Cette fois, c’est surtout l’espace dédié à l’enseignement technologique qui sera concerné. Dans un premier temps, on va construire un bâtiment de salles de classes - pour 300 élèves - sur un terrain libre à l’entrée du lycée. Durée : un an.

Parallèlement, on va construire des installations provisoires pour accueillir le département « gros œuvre » qui sera détruit/reconstruit à son tour. Ce qui permettra d’effectuer ensuite la même opération avec le secteur « Sanitaire » ; puis avec le Greta.

Pour conserver l’enseignement « pratique » en activité, la Région a loué un local industriel de 1.000 m2 à Tinqueux, où les ateliers ont été installés pour la durée des travaux.

A terme, se réjouit M. Binet, par sécurité et pour en faciliter l’accès, les enseignements théoriques et pratiques seront bien séparés.

Ce programme de restructuration coûtera 12 M€ à la Région, précise le proviseur Élisabeth Becker. Laquelle regrette cependant que les étages de la partie « enseignement général » aient été oubliés.

De plus, estiment les deux responsables, il aurait été bien de « délocaliser » le lycée pour lui offrir un espace de travaux pratique pour les travaux publics. Ils réfléchissent donc à une annexe du côté de Tinqueux.

Dans quatre ans, Arago sera donc tout neuf, en « haute qualité environnementale », avec un traitement esthétique, paraît-il, très réussi…

J.-F. SCHERPEREEL

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Journal « l’Union » - 090705d

Une convention pour les médiateurs de quartier

Dans les locaux fraîchement inaugurés du Point info, la Ville de Reims a signé une convention avec les trois organismes logeurs (le Foyer rémois, PluriHabitat l’Effort rémois et Reims Habitat) pour la mise en place d’un dispositif de médiateurs de quartier (ex-correspondants de quartier).

Dix médiateurs et un coordonnateur vont intervenir sur les quatre quartiers bénéficiant de la rénovation urbaine : Croix-Rouge, Les Epinettes, Orgeval et Wilson. Leur site d’ancrage : les Points info quartier. Orgeval va disposer d’agents de proximité, chargés à la fois de médiation sociale entre habitants et de veille technique des espaces publics et du patrimoine des organismes logeurs. Cet outil de la Gestion urbaine de proximité a été accueilli avec satisfaction par les trois directeurs des organismes logeurs qui cofinancent, au prorata du nombre de logements, ce dispositif en s’impliquant à hauteur de 60 % du coût de financement des postes de médiateurs soit 212.880 euros pour l’année 2009.

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Journal « l’Union » - 090705c

Les Flâneries vues par les Hatat

Le chef d’orchestre Jean-Claude Casadesus vu par Alain Hatat.
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Reims. Pour fêter la vingtième édition du festival Les Flâneries musicales de Reims qui égrène ses concerts jusqu’au 22 juillet, on peut découvrir les photographies d’Alain et Feng Hatat et d’Alain Julien.

C’est l’occasion de survoler d’un coup le panorama du festival, dix-neuf années de concerts, d’événements, de rencontres immortalisés par Alain Hatat, photographe rémois qui fut de tous les grands rendez-vous.

Sur toutes les scènes des Flâneries, officielles et parfois improvisées par temps de pluie, ou dans les coulisses, Alain a surpris les plus grands maîtres contemporains de la musique classique et du jazz, chefs d’orchestre, divas, musiciens qui ont fait escale à Reims le temps d’un été. Des grands noms comme celui de Rorstropovitch aujourd’hui disparu et qui fut le parrain des premières éditions aux côtés de jeunes talents qui depuis ont fait carrière.

La sélection des moments forts a été répartie dans six lieux d’exposition de la ville et de l’agglomération. Il s’agit de la Fnac, place d’Erlon, de la maison de quartier des Epinettes, de la bibliothèque Saint-Remi et des médiathèques Croix-Rouge, Laon/Zola et Cormontreuil. Pour le jeune public, un jeu concours aura lieu dans les médiathèques et la bibliothèque. Ils pourront gagner des places de concert.

20 ans de flâneries jusqu’au 22 juillet à la Fnac, bibliothèque Saint-Remi et médiathèques Croix-Rouge, Laon/Zola et Cormontreuil et maison de quartier des Epinettes.

Entrée libre.

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Journal « l’Union » - 090705b

Passeports biométriques.

Afin de limiter l’attente des usagers, le dépôt des dossiers de passeports biométriques auprès des services de la Ville de Reims, s’effectue désormais uniquement sur rendez-vous.

- Auprès de l’hôtel de ville, bureau des Formalités Administratives (porte 11), du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 heures à 16 h 30.

- Auprès de l’antenne Orgeval du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures

- Auprès des antennes Murigny, Croix-Rouge et Europe du lundi après-midi au samedi matin, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 à 17 heures.

Les rendez-vous sont fixés par demi-heure. Un couple avec un enfant souhaitant effectuer trois demandes de passeport devra prendre trois rendez-vous consécutifs ou non. Les rendez vous peuvent être pris sur place ou par téléphone directement auprès des sites concernés.

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Journal « l’Union » - 090705a

Rodéo à moto

Dans les quartiers, les rodéos à moto exaspèrent les oreilles es habitants pendant la belle saison.

C’est notamment le cas à Croix-Rouge, mais aussi à Wilson où un jeune homme de 22 ans a refusé d’obtempérer à une patrouille de police, cette semaine à 1 heure du matin rue Estienne-d’Orves.

Il a pris la fuite à pied après avoir abandonné la moto. Elle était volée. Reconnu par les policiers, le fuyard a été retrouvé deux heures plus tard dans le quartier, à VIT cette fois-ci.

Placé en garde à vue, il a déclaré avoir récupéré la moto auprès d’un inconnu. Le jeune homme a été remis en liberté. L’enquête se poursuit.

Même lieu, mêmes faits. Hier entre 11 et 15 heures, une vingtaine de jeunes se sont livrés à un véritable show motorisé à proximité de la place des Etats-Unis. Irrités pendant plusieurs heures, les riverains n’ont pu qu’assister impuissants aux dérapages virils et intempestifs de quads et autres moto-cross. Canicule oblige, les jeunes ont ensuite migré vers un autre point, laissant les oreilles des riverains hurlantes et sifflantes.

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Journal « l’Union » - 090704a

Zones franches urbaines

L’association « Entreprises ZFU association » organise une réunion le lundi 6 juillet à 18 heures à la salle municipale Croix-Rouge, 4, avenue François-Mauriac.

 l’ordre du jour : exonération ZFU : réduction de l’exonération des charges. Quelles sont les conséquences pour les entreprises installées en ZFU ? Cela risque t-il d’affecter les embauches. Les installations et créations d’entreprises sur la zone ?

Le contrôleur Urssaf apportera des explications et répondra aux questions. Informations sur le dispositif Fisac Zus

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Journal « l’Union » - 090703b

Santé et sécurité au travail : Le Bâtiment a bien évolué

Les lauréats du concours d’Education à la santé et sécurité au travail dans le BTP.
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« Ce concours est un moyen, pour ces jeunes, de faire valoir leurs connaissances en matière de maîtrise des risques » : pour l’inspecteur Jean-Luc Lorrain, qui recevait, au rectorat, les lauréats du concours académique d’éducation à la santé et à la sécurité au travail dans le bâtiment et travaux publics, ils « joueront pleinement leur rôle de prévention ».

Ouvert aux élèves du niveau CAP au BTS, il s’insère dans le cadre d’une convention entre la Caisse régionale d’assurance-maladie, la Région et le rectorat d’académie.

Le questionnaire, élaboré par Stéphane Collinet et Jean-Pierre Di Napoli, enseignants au lycée Arago, présentait différentes situations de risques dans les métiers du BTP. « Notre ambition est d’apprendre aux jeunes à mieux vivre au travail », a insisté André Penaud, président de la Cram Nord-Est. 913 élèves, représentant 10 établissements, ont participé.

Une seule fille

Les gagnants ont été récompensés par des cadeaux multimédias. Un prix particulier a été décerné à Harmonie Dormont, 17 ans, seule élève fille de sa classe de BEP au lycée Ashton de Chaumont. « Ce n’est pas trop dur le bâtiment pour une fille ? » lui demande-t-on : « Il y a toujours les sacs de ciment à porter, mais le travail a bien évolué ». Les réactions du milieu professionnel ? « D’abord étonnés, ils ont été très à l’écoute. J’ai appris beaucoup de choses ».

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Journal « l’Union » - 090703a

Lycée Arago : chantier-école

Dans les quatre années à venir, le lycée Arago bénéficiera d’une restructuration complète.

Comme cet établissement est spécialisé dans l’apprentissage des métiers du bâtiment et des travaux publics, les élèves seront en première ligne pour étudier concrètement la façon de faire des entreprises et des professionnels.

Et puis, explique le responsable de l’enseignement technologique, dans de nombreuses entreprises adjudicataires, on a des chances de retrouver d’anciens élèves. Ça aidera à entretenir les relations.

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Journal « l’Union » - 090702d

Kermesse des écoles laïques : Plein les yeux

Ils ont joyeusement illustré l’arc-en-ciel.
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Sur le thème du « magicien des couleurs », le spectacle préparé par la Société des fêtes scolaires a donné une excellente et toujours vivante image de la kermesse des écoles laïques.

VA-T-ON vers une renaissance de la kermesse des écoles laïques, réduite depuis quelques années à un spectacle, certes d’une grande qualité, mais pratiquement ignoré des institutions qui pourraient logiquement la soutenir ? On peut l’espérer après l’intervention de la conseillère municipale Claude Verdière qui, lors du spectacle 2009, a dit la volonté de la Ville de mener une réflexion visant à redonner « des couleurs d’antan avec une image contemporaine » à cette institution plus que centenaire, longtemps fédératrice des écoles laïques rémoises.

Ce 27 juin, au complexe René-Tys, les maternelles Blanche-Cavarrot et Trois-Fontaines, élémentaires Anquetil, Dr Roux, Louvois, Tixier-Mougne, enfants du voyage et Pommery en ont mis plein les yeux. En effet, le « Magicien des couleurs » a donné lieu à des évolutions faites par des enfants qui, on le sentait, avaient été bien préparés pédagogiquement.

Ils ont joyeusement dansé dans de magnifiques costumes, sur des musiques souvent contemporaines… et hasard de l’actualité, le noir et le blanc étaient mis en scène depuis des semaines par Mme Léger, de Dr Roux, sur la chanson de Michaël Jackson… Des applaudissements ont jailli aux premières notes en signe d’hommage à l’artiste disparu.

Tous ces écoliers rémois ont fait honneur à la Société des fêtes scolaires, présidée par Nelly Crickboom et animée par des enseignants fidèles : deux vont bientôt partir à la retraite, Mme Vasseur et M. Godmé, ce dernier après trente-cinq ans de participation à cette kermesse des écoles laïques. Ils seront sans doute attentifs à l’édition 2010…

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L’hebdo du vendredi- n° 130 - 090702c

Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 130 - Semaine du 03 au 09 juillet 2009

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LOGEMENT : Vers une baisse des charges locatives

L’expérimentation porte dans un premier temps sur les quartiers Europe (photo), Pommery et Verrerie.
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Dès septembre prochain, 2 500 foyers rémois, locataires des bailleurs sociaux des quartiers Pommery, Europe et Verrerie vont voir leurs charges locatives baisser sensiblement grâce à la reprise de l’entretien des espaces extérieurs par la Ville à titre expérimental.

Cette action menée pour une durée de 18 mois s’inscrit dans un plan d’actions engagées par la municipalité pour diminuer les charges locatives qui pèsent sur le budget des ménages. Pour se faire, la Ville de Reims recourra aux dispositifs d’insertion professionnelle dans le cadre des nouveaux contrats d’entretien qu’elle négociera pour ces quartiers.

Aujourd’hui, beaucoup de locataires constatent une augmentation de leurs charges. Ils y consacrent en moyenne entre 25 et 30% de leurs revenus. Ce problème se fait sentir encore plus lourdement en période de crise à un moment où la question du pouvoir d’achat est au coeur des préoccupations.

Outre l’entretien des espaces extérieurs, la Ville de Reims a décidé de s’atteler à la baisse des charges concernant le chauffage urbain, notamment sur les quartiers Croix-Rouge et Neufchâtel / Orgeval. Autre initiative de la collectivité : la collecte des ordures ménagères en conteneurs enterrés sera testée par Reims Métropole dès le mois de juillet sur 3 entrées d‘immeuble du secteur Croix du Sud.

Après 12 mois d’expérimentation, la Ville et les trois bailleurs dresseront un premier bilan de l’opération. Si cette dernière s’avère positive, la Ville de Reims se portera acquéreur des espaces extérieurs pour l’euro symbolique.

Dans ce contexte, la municipalité rémoise étendra la démarche à l’échelle de la ville sur une période de 4 ans. Si, pour les locataires, l’économie se chiffrera à un peu moins de 10 € mensuels suivant les différents bailleurs sociaux que sont Reims – Habitat, le Foyer Rémois ou l’Effort Rémois - plurihabitat, le coût pour la collectivité avoisinera 240 000 € TTC par an pour les 3 quartiers test.

O.M-L


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Contes et spectacles : « Grandes histoires pour petites oreilles »

Les bibliothèques et médiathèques de Reims multiplient les animations pour les tout-petits. Rens. au 03 26 35 68 51 et sur www.bm-reims.fr

Spectacle intitulé « Histoires de p’tites bêtes » (à partir de 6 mois) avec la Cie du Chat Bada.

Samedi 4 juillet à 9h30 et 16h, médiathèque Croix-Rouge Lecture tendresse (à partir de 6 mois) suivie d’une projection de diapostitives.

Mercredi 8 juillet à 9h30, médiathèque Croix-Rouge


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Une formation contre la discrimination

Afin d’éviter les discriminations diffuses à l’embauche (sexe, apparence, handicap etc.), la Ville de Reims a récemment formé les travailleurs sociaux de l’association d’insertion « 2 Mains ».

OEuvrant pour le développement des contrats d’autonomie pour le retour à l’emploi des jeunes de quartiers dits sensibles, les responsables de « 2 Mains » ont ainsi reçu deux jours de formation, le premier portant sur l’identification des éléments de présomption, le second étant consacré au traitement propre des discriminations.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre du 1er plan de prévention et de lutte contre les discriminations dans l’emploi, signé en octobre 2008 par Reims Métropole.

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Journal « l’Union » - 090702b

Collège Joliot-Curie : Pluie de récompenses

Près de 200 personnes dans la salle polyvalente !
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- Voir toutes les photos.

Comme l’an dernier, le collège Joliot-Curie a souhaité honorer les élèves les plus méritants au cours d’une sympathique cérémonie de « remise de prix ».

C’est autour d’une équipe de professeurs, d’assistantes pédagogiques et de la direction, Philippe Lhuillier et Denis Dambre, et en présence de nombreux parents d’élèves et du conseiller municipal Salah Byar, que 80 élèves ont été récompensés pour leur investissement scolaire, leurs performances sportives dans le cadre de l’UNSS ou leur participation à l’activité chorale ou théâtrale.

D’ailleurs pour illustrer la réunion, la chorale a présenté un panel du répertoire produit cette année. Des élèves de 6e se sont produits dans une courte pièce de théâtre écrite et mise en scène par eux-mêmes.

Les élèves ont été récompensés par un diplôme et une sacoche, contenant un stylo et un livre, offerte par le conseil général de la Marne.

Ce fut aussi l’occasion de féliciter cinq élèves ayant obtenu leur validation de jeune arbitre niveau district en basket-ball.

Pour terminer, un goûter a été offert aux élèves et à leur famille.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Journal « l’Union » - 090702a

TENNIS / Trophée BNP Paribas : Des tableaux disputés

Les récompensées chez les 13-14 ans.
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Au Creps de Reims, 70 jeunes ont pris part au trophée BNP Paribas.

Le tournoi s’est déroulé par poules dans toutes les catégories : 9-10 ans, 11-12 ans et 13-14 ans, garçons et filles.

A l’arrivée, les vainqueurs étaient désignés non pas au terme d’une finale mais au cumul des points d’un mini-championnat.

- Chez les plus jeunes, les lauréats sont Théau Dulière (Bezannes) et Aurélie Lamotte (USC Reims).
- En 11-12 ans, ont été sacrés Alexandre Héraut (Epernay) et Anaïs Gérard (Witry-lès-Reims).
- Enfin, en 13-14 ans, Abdel Baghdadi (Géo-André) et Anne-Charlotte Legoux (Saint-Martin-sur-le-Pré) ont été primés.

 

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 090701d

Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7296 du 29 juin au 05 juillet 2009.

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MODIFICATION DE STATUTS


REDRESSEMENT JUDICIAIRE

Par jugement en date du 16/06/2009, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert une procédure de redressement judiciaire à l’égard de : SARL AKAMBOU & DlAFOUKA CORPORATlON, 7 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.

Activité : Mise à la disposition de matériel téléphonique et informatique moyennant paiement

R.C.S. REIMS B 448 401380 (2003 B 00194).

Ledit jugement a nommé :

Mandataire judiciaire : SCP DARGENT- TIRMANT-RAULET, en la personne de Maître TIRMANT Isabelle, 34 rue des Moulins - 511 00 REIMS.

Les créanciers sont invités à déclarer leurs créances entre les mains du mandataire judiciaire susnommé, dans le délai de deux mois de l’insertion à paraître au B.O.D.A.C.C., à peine de forclusion.

76332 Le greffier : Bernadette DELPY. _

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Journal « l’Union » - 090701c

Pour diminuer les charges des locataires HLM

Durant 18 mois, la Ville va entretenir près de 11 ha d’espaces verts appartenant aux organismes logeurs (photo Christian-Philippe PARIS)
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De façon à aider les locataires HLM à diminuer leurs charges, la Ville lance une série de mesures, dont l’entretien à sa charge des espaces verts.

SACHANT que le loyer et les charges pèsent 25 à 30 % du budget des ménages, les élus du Nouveau Reims ont décidé (promesse électorale oblige) de mener plusieurs actions concertées pour diminuer les charges des dizaines de milliers de locataires des trois organismes logeurs, l’Effort Rémois, le Foyer rémois et Reims habitat.

9 euros par mois et par foyer

Première concrétisation de ce projet, lundi soir, le conseil municipal a autorisé la maire à signer une convention de mise à disposition à la Ville de 10,8 hectares d’espaces verts appartenant aux organismes logeurs. Pourquoi ? L’idée est simple. En prenant à sa charge pendant 18 mois à compter du 1er septembre l’entretien de 5520 m2 d’espaces verts dans le quartier Verrerie, 65.000m2 dans le quartier Europe et 37.850 m2 dans le quartier Pommery, la Ville entend faire profiter la population de l’ensemble de ces espaces extérieurs et des jeux, jusque-là propriétés privées des organismes logeurs. Mais ce n’est pas la seule raison.

Dans le cadre d’un volet insertion, l’entretien de ces espaces verts sera assuré par les équipes d’entretien de la Ville dans lesquelles seront intégrées des personnes « éloignées de l’emploi (une dépense évaluée à 240.000€). »

Il ressort, selon la mairie, que cette mesure devrait au final permettre de faire des économies dans l’entretien du site. Une économie estimée à 9 € euros par mois par foyer.

Et ce n’est pas fini

Parallèlement, la Ville s’active pour que la Socram, délégataire et exploitant (jusqu’en 2018) de la chaufferie qui alimente les quartiers Croix-Rouge, Val-de-Murigny, le CHU, le campus Croix-Rouge, utilise plus la chaleur fournie par l’incinération des ordures ménagères de l’agglomération. En utilisant 50 % de cette énergie renouvelable, contre 34 % aujourd’hui, la TVA appliquée sur la fourniture de chaleur passera de 19,6 % à 5,5 %. Conséquence : pour plus de 30.000 locataires, cela permettra une économie chauffage de 10 à 15 %.

Enfin, la mise en place de conteneurs enterrés pour les déchets ménagers et de tri sélectif, dont une expérience va être mise en place sur Croix-du-Sud, devrait à terme réduire les charges locatives (sortie des bacs, entretien des locaux etc.) de près de 50 € par logement et par an.

Autant d’argent qui servira à payer, sans trop avoir mal au porte-monnaie, la nouvelle taxe sur le ramassage des ordures ménagères, évaluée à 157 € en moyenne par logement à Reims.

Alain MOYAT

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Tous d’accord

Mais au final qui va payer ? Les contribuables…
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Difficile quand on fait de la politique de ne pas être d’accord avec une telle mesure de réduction des charges locatives des plus démunis. Telle Catherine Vautrin (UMP) qui n’en « pense que du bien ».

Le « MoDem » Jean-Marie Beaupuy est plus prudent. « 18 mois et après ? » s’interroge-t-il. Combien une telle mesure peut-elle coûter à long terme ? Et l’ancien député européen de rappeler que l’Union européenne pourrait apporter 1,5 M€ aux projets urbains rémois à répercuter sur les charges énergétiques. Le 1er adjoint, Éric Quénard lui a répondu. 3,8 M€, ce sera le prix de l’entretien des espaces verts repris aux organismes logeurs si l’entretien par la Ville se généralise.

Reste à savoir qui va payer réellement… La collectivité, cela veut dire les Rémois contribuables solvables. Autant dire que malgré la promesse de Mme Hazan de ne pas augmenter les impôts, il faudra bien trouver l’argent quelque part.

Pas très convaincu par les explications de la majorité, Jean-Marie Beaupuy a été le seul à voter contre cette idée.

J.F.S.

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Journal « l’Union » - 090701b

Le temps des subventions

Lundi soir les élus ont voté l’octroi de nombreuses aux associations :

Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion : 1.000€ ;

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Journal « l’Union » - 090701a

Braquage / Le faux Sarko arrêté

Le 1er février, arrivés par cette entrée du Quick Croix-Rouge, les deux braqueurs s’étaient fait remettre le contenu du coffre-fort. L’un d’eux portait un masque de Sarkozy.
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Deux Rémois ont été mis en examen pour un braquage commis cet hiver dans un restaurant Quick de Reims. L’un des auteurs avait mis un masque de Nicolas Sarkozy.

UN bâton de plus dans la colonne « Résolu » des multiples vols à main armée qui ont récemment défrayé la chronique à Reims. Il s’agit du braquage commis le 1er février dernier au restaurant Quick du quartier Croix-Rouge, avenue Bonaparte à Reims. Les deux auteurs présumés ont été mis en examen et écroués.

Cinq personnes séquestrées

Identifiés par le SRPJ de Reims, ils n’avaient pourtant pas agi à visage découvert. L’un portait une banale cagoule tandis que l’autre avait un masque de carnaval… à l’effigie de Nicolas Sarkozy !

Le malfaiteur n’a fait rire personne, le 1er février, lorsqu’il a surgi dans le fast-food avec son complice. Il était 22 h 30. C’était la fermeture. Le directeur avait témoigné à l’époque.

« Il n’y avait plus de client. Les deux individus sont arrivés par l’entrée de la terrasse et se sont dirigés directement vers le local administratif. Il y en a un qui était masqué, l’autre encagoulé. Ils avaient un fusil. Sur le chemin, ils ont croisé une équipière occupée à fermer les caisses. Ils lui ont demandé de les emmener au coffre-fort. Ils sont arrivés dans le local où ils ont fait face à la manager. »

Deux autres équipiers se trouvaient à proximité. Ils sont partis en courant mais l’un des braqueurs les a rattrapés sur le parking. Ils ont été contraints de revenir dans le restaurant. Le cinquième et dernier salarié encore présent s’occupait de la fermeture des différentes portes. Il n’avait rien remarqué et c’est au moment où il fermait l’entrée de la terrasse, voie d’accès des agresseurs, que ces derniers sont allés le chercher à son tour.

Interpellé… en prison

Toute l’équipe s’est retrouvée cantonnée près du local administratif, où les malfaiteurs se sont fait ouvrir le coffre. « Ils ont pris une somme relativement mineure, aux alentours de 1.000 euros », avait estimé le directeur, « puis ils sont repartis par le même chemin », dans la précipitation, car ils ont perdu une partie de leur butin. « Il y avait de l’argent qui traînait dans la salle du restaurant. Nous avons récupéré une somme d’environ 450 euros. »

Le hold-up a duré moins de trois minutes. Rapidement sur les lieux, les policiers ont loupé les braqueurs de quelques dizaines de secondes. L’un d’eux fut même aperçu en train de courir sur le parking mais il a disparu en direction des immeubles de Croix-Rouge. Habitait-il le secteur ?

L’enquête du SRPJ a confirmé la piste locale. Les deux suspects mis en examen, Kamel Nouir, 21 ans, et Razik Bendjoudi, 25 ans, résident dans le quartier.

Kamel Nouir serait passé aux aveux. Son arrestation date du mois d’avril mais elle fut passée sous silence pour ne pas contrarier les investigations. Razik Bendjoudi a été placé en garde à vue jeudi dernier. Les policiers sont allés le chercher… à la maison d’arrêt de Reims où il a été récemment écroué pour un vol avec violence et un cambriolage. Présenté le lendemain au juge, il a été mis en examen puis reconduit dans sa cellule. Lui conteste les faits. Il affirme n’y être pour rien dans cette affaire.

Les faits reprochés sont passibles de la cour d’assises. La peine maximale encourue, si les suspects sont renvoyés devant cette juridiction, est de vingt ans de réclusion.

Fabrice CURLIER

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Sale temps pour les braqueurs

Les rangs des braqueurs encore en liberté qui ont sévi de novembre à avril dans l’agglomération rémoise sont de plus en plus clairsemés.

Avec l’affaire du Quick Croix-Rouge, le nombre de braquages résolus est désormais de 21 sur les 32 survenus durant cette période dans le ressort du parquet de Reims.

La série avait atteint son point culminant en décembre et janvier, avec une nouvelle flambée en mars. Depuis le mois de mai, les braqueurs se refont discrets à Reims. Pour la police, deux raisons peuvent expliquer ce retour à la normale.

D’une part, l’effet dissuasif résultant des nombreuses arrestations et des lourdes peines infligées en comparution immédiate. D’autre part, la mise à l’ombre d’individus qui cumulaient les braquages et entretenaient ainsi, à eux seuls, la série. A titre d’exemple, sept des vols à main armée commis entre janvier et avril étaient imputables à seulement deux équipes.

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Journal « l’Union » - 090630j

MODIFICATION

51L166B255

E.U.R.L. ECLAIR TRANSPORT

au capital de 1.500 euros porté à 1.800 euros

39, rue Pierre-Taittinger, 51100

Reims R.C.S. Reims 5092955119

Par une A.G.E. du 24/0612009, les associés ont réalisé une augmentation de capital de 300 euros, par apports en chèque, entraînant la publication suivante :

Ancienne mention, capital social : 1.500 euros.

Nouvelle mention, capital social : 1.800 euros.

Pour avis.

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Journal « l’Union » - 090630i

Les flâneries musicales : Le programme : Demain

19 h 30 > Parvis de la médiathèque Croix-Rouge
Scène française jazz
ldiomatik

Alexis Thérain, guitares
Geoffroy Tamisier, trompette
Nicolas Mahieux, contrebasse
Jean Luc Landsweerdt, batterie,

Falling in the apple

C’est au sein de l’Orchestre National de Jazz dirigé par Claude Barthélemy que les quatre membres d’Idiomatik se sont rencontrés.

Sous l’impulsion du guitariste Alexis Therain le répertoire s’est construit, énigmatique, proposant des formes ouvertes qui s’élaborent dans l’interaction et l’improvisation.

Entrée libre

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Journal « l’Union » - 090630h

Le bibliobus se met au vert

Du 7 juillet au 1er août, les Rémois pourront trouver un bibliobus dans les parcs publics.

« Autour de tables de jardin, à l’ombre du parasol, venez consulter des bandes dessinées, des nouvelles, des magazines, des livres de cuisine, de bricolage, et une sélection de livres sur l’écologie… » annonce Juliette Chatelin, à la médiathèque Croix-Rouge.

« Les bibliothécaires proposeront des lectures pour petits et grands et des jeux autour des livres pour enfants. ».

De 14 à 17 heures, les mardis et vendredis au parc Léo-Lagrange, les mercredis et samedis au parc de Champagne.

Annulation en cas de mauvais temps.

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Journal « l’Union » - 090630g

Randonnée pédestre

Vincent Girardin, accompagnateur des Marcheurs du dimanche à l’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge propose aux participants de choisir, dimanche 5 juillet, entre deux parcours pour une randonnée journée, départ à 7 h 30 : au choix, « Les Vieilles-Forges » (12 km) ou, Rocroi » (12 km).

Renseignements et inscriptions à l’espace Watteau (03.26.36.03:50.) ou auprès de Vincent Girardin (06.12.99.83.09.).

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Journal « l’Union » - 090630f

Croix-Rouge : Les dates à retenir en juillet

La passerelle Pays-de-France sera démolie à partir du lundi 20 juillet.
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Point-info

L’inauguration du Point-Info Croix-Rouge au 65, place Eisenhower, se déroulera mercredi 1er juillet à 16 h 30.

Cinéma gratuit

Vendredi 10 juillet à 22 h 30, sur la place Eisenhower, une séance gratuite de cinéma en plein-air sera offerte par les « Passeurs d’images », avec le film « Soyez sympa, rembobinez ! », une comédie.

Passerelle

Les premiers travaux de démolition de la passerelle du centre commercial Pays-de-France seront lancés lundi matin 20 juillet. Des problèmes de circulation et de stationnement sont à prévoir pendant quelques jours.

Jardins Pays-de-France

Après Croix-du-Sud, c’est au tour des parcelles de l’association des jardins familiaux de Pays-de-France d’être notés en vue du concours des plus belles parcelles 2009. Le jury s’élancera dimanche 26 juillet à partir de 10 heures.

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Journal « l’Union » - 090630e

Théâtre : La Compagnie sans nom : 3e séance

La « Compagnie sans nom » s’est formée en septembre 2008 à la suite de la disparition du cours de théâtre dispensé par Christine Bruneau. Quelques membres de ce cours avaient décidé de créer une troupe pour continuer cette grande aventure. Et aujourd’hui, la troupe se compose de sept comédiens. Sans réelle ambition au départ, cette troupe s’est très rapidement créé un objectif : « Jouer une pièce originale et décalée pour faire rire son public et prendre du plaisir à jouer », explique Grégory Sacré à l’origine de cette petite troupe qui a donc écrit l’intégralité de la pièce en prenant soin d’y intégrer les idées de chacun.

Salle comble les deux premières fois

« Après une année de dur et agréable labeur, notre pièce est terminée et nous sommes prêts à jouer « Stuck Inzetivi » devant un public. »

Après une première représentation au Crous, une seconde prestation a fait salle comble à l’espace Verrerie.

Au vu des réactions du public, une troisième séance est donc prévue au Crous (campus Croix-Rouge) le jeudi 2 juillet à 20 h 30.

Entrée gratuite sur réservation par mail centre-culturel@crous-reims.fr

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Journal « l’Union » - 090630d

Opération spéciale à la médiathèque : La course aux livres

Les Rémois ont pris d’assaut le stand de la médiathèque Croix-Rouge.
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La grande braderie sur les livres organisée par la bibliothèque municipale de Reims a été victime de son succès dimanche matin. Plusieurs centaines de Rémois ont véritablement pris d’assaut le petit stand dressé pour l’occasion face à la médiathèque Croix-Rouge.

Les Rémois ont en effet participé en masse à une opération exceptionnelle de « désherbage » : il s’agissait de la vente à prix modique, 1 ou 2 euros selon la catégorie, des documents que la bibliothèque retire chaque année de ses rayonnages pour faire place aux nouveautés et parce qu’ils sont moins demandés par le public.

Il fallait être en avance pour ressortir de ce tohu-bohu avec le livre ou le CD recherché. A 11 heures les employés de la médiathèque devaient déjà ouvrir les stocks de réserve, alors chacun luttait des coudes pour être au premier rang.

Francis cherche des livres pour sa femme. Il se plaint de la mauvaise organisation et laisse sa femme partir en éclaireur au milieu de la foule. Lui « récupère et stocke » ce qu’elle peut récupérer. Il a vu l’annonce de l’événement dans les pages de l’union, et observe que la vente connaît « la rançon de la gloire ».

Christine travaille au service santé des écoles de Croix-Rouge. Elle est heureuse du succès de l’événement car c’est un « signe positif qui montre que les gens cherchent à se cultiver ».

Absence du public populaire

Elle regrette que les stands n’aient pas été étalés, et mieux organisés, en particulier une installation des livres par lettres alphabétiques et par thèmes. Mais elle n’en fait pas tout un plat : « Les employés de la bibliothèque font preuve d’un grand calme et de gentillesse ». En fait ce qu’elle regrette le plus c’est l’absence du « public populaire de Croix-Rouge » et le fait que les gens présents semblent avoir déjà un bagage culturel. Christine cherchait des livres sur l’architecture pour son fils, ainsi que des ouvrages sur la peinture. Mais ces derniers sont partis comme des petits pains …

Henri est un jeune étudiant de pharmacie, habitué de la bibliothèque. Il a joué des coudes et repart avec des BD de science-fiction fantaisiste, mais est déçu de n’avoir pas trouvé la BD « Le Fléau de Dieu », qui mêle éléments archaïques et futuristes, même s’il avait « une chance sur dix de le trouver ».

Cette sorte de braderie a donc été un grand succès. On espère que ce ne sera pas un coup d’essai… .

Anthony RENAUT

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Journal « l’Union » - 090630c

Les travailleurs sociaux formés : Mieux identifier les discriminations

« La mission est devenue un repère pour les entreprises. »
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Faire face à une éventuelle « discrimination diffuse » des employeurs potentiels des jeunes qu’ils accompagnent, c’est un défi que vont relever les salariés de l’association « 2 mains ».

LORSQU’ON travaille dans une association d’insertion et qu’on aide un public de jeunes marnais à décrocher un emploi, on est confrontéà certaines pratiques discriminatoires, conscientes ou non, de la part des employeurs.

C’est pourquoi l’association « 2 mains » qui développe pour la Marne des « contrats d’autonomie » pour le retour à l’emploi de jeunes de ZUS (zones urbaines sensibles) a contacté les services de la Ville pour une formation qui a été dispensée par Noémie Michelin, chargée de projet. Virginie Coez, adjointe à la lutte contre les discriminations, a tenu à faire le point sur cette action : « Nous avons souhaité mettre en avant une formation de sensibilisation à ce problème parmi tous les acteurs du champ économique de l’emploi ».

Comment les repérer

A la mairie et à l’agglomération, 150 agents sur les 400 ont été formés.

Les salariés de « 2 mains » ont reçu des informations sur le dispositif législatif et des conseils sur la façon de repérer les comportements discriminatoires : Comment les combattre, comment accompagner à la fois les jeunes et les entreprises dans ce domaine ?

Le projet a été critiqué à ses débuts : « On nous a dit que c’était un gadget, une coquille vide » assure Virginie Coez. Force est de constater qu’à présent, la mission est devenue un repère « On vient nous demander des sources de conseil, de diagnostic ». Des entreprises privées contactent la Ville : « On peut se faire épingler par la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) dans nos recrutements. Comment faire pour concevoir des fiches de poste plus claires ? » « Nous nous sommes rendu compte que nous avions, nous aussi, certains stéréotypes » avouent Christophe, Cindy et Sabrina, les accompagnateurs sociaux de « 2 mains » qui comptent bien réinvestir leurs acquis : « Nous pensons être capables à présent d’identifier la discrimination. On nous a donné des outils pour cela ».

Trop lymphatique…

Contacté, Jean-Louis Rumerio, directeur de « 2 mains », se souvient d’une remarque d’un commerçant qui refusait de prendre un vendeur de couleur : « Les noirs sont trop lymphatiques … » L’association est très vigilante à ce sujet.

Un secteur « mauvais élève » reste celui de la petite enfance : Pas -ou fort peu- d’Atsem masculin en maternelle, de puériculteur en crèche… Une discrimination fondée sur le sexe. Mais… y-a-t-il beaucoup de candidats ? Une maman, interrogée, avoue qu’elle hésiterait à confier sa fillette à un homme. Par le passé, aucune nourrice masculine : mais à l’époque, elles allaitaient…

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Journal « l’Union » - 090630b

« Histoires de p’tites bêtes » à la médiathèque

 

 

La compagnie du Chat Bada propose, samedi 4 juillet à 9 h 30 et à 16 heures, son spectacle musical : « Histoires de p’tites bêtes » (30 minutes), à la médiathèque Croix-Rouge. Accompagnées d’un piano, d’une guitare et d’objets sonores, deux musiciennes chantent et racontent des histoires de p’tites bêtes.

Leurs comptines traditionnelles sur des rythmes jazzy, sont destinées aux enfants à partir de 6 mois, qu’elles transportent dans des univers aux couleurs variées.

Ils doivent être accompagnés par un adulte.

Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar.

Entrée libre mais inscription préalable au 03.26.35.68.51.

 

 

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Journal « l’Union » - 090630a

Grande échelle

Dimanche après-midi, la grande échelle des pompiers a été déployée derrière le groupe Eisenhower.

Appelés pour une odeur de brûlé dans les étages, les sauveteurs ont effectué une reconnaissance qui n’a rien donné.


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