Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - avril 2010.
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Refusant de s’arrêter, il a abandonné le cyclo avant de s’enfuir à pied tout en se débarrassant d’un sachet qui contenait 80 grammes de cannabis.
Les recherches ont permis l’arrestation d’un suspect qui a contesté être le pilote du cyclo.
Positif au dépistage salivaire de stupéfiants, il a été désigné par une toxicomane comme étant celui qui lui avait vendu du cannabis à deux reprises.
Le mis en cause, Ismaël Brarou-Salmani, 23 ans, a fait l’objet d’une comparution immédiate, mais il a demandé un délai pour préparer sa défense.
Il a été écroué dans l’attente du procès le 29 juin.
L’hebdo du vendredi- n° 166 - 100429b
EDUCATION – SPORT : Arago pense à ses sportifs
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Proposant déjà des filières générales avec horaires aménagés pour les lycéens sportifs, le lycée Arago ouvrira à la rentrée prochaine des classes similaires pour les cursus professionnels.
Depuis 1986, et en collaboration avec le Creps de Reims, le lycée Arago scolarise les jeunes sportifs de haut niveau, sélectionnés par leur fédération ou leur club dans de nombreuses disciplines. En ce sens, une large place est réservée aux entraînements sportifs des élèves, en parallèle de leurs cours.
Si, depuis 2009, ce dispositif d’horaires aménagés est également accessible aux autres sportifs des clubs de la ville, il ne concernait jusqu’alors que les élèves inscrits en filières générales (S et ES) du lycée et non en filières professionnelles.
L’injustice vient d’être réparée : la maquette 2010 d’Arago prévoyant la création d’une section professionnelle Technicien du Bâtiment Etude et Economie. « C’est normal que les lycéens en cursus professionnel puissent eux-aussi bénéficier de ce dispositif » constate Loïc Janson, professeur de génie civil au lycée et ancien cycliste de haut niveau. Celui-ci précise que « cette nouvelle filière vient avant tout d’une demande des clubs de Reims. Notre politique à Arago, c’est de former les élèves dans les meilleures conditions, afin qu’ils sortent de chez nous avec un vrai projet professionnel, sportif ou non ».
Une politique qui semble porter ses fruits puisque parmi les anciens élèves ayant profité des classes en horaires aménagés, on peut compter des sportifs comme Pauline- Ferrand Prévost (cyclisme) ou encore un certain Paul-Henri Mathieu en tennis.
Si la filière pro en horaires aménagés n’est pas encore ouverte, elle suscite pourtant déjà beaucoup d’intérêts.
De la part des jeunes et leurs parents bien sûr (bon nombre d’entres-eux se sont déjà renseignés pour les inscriptions), et de la part des clubs sportifs de Reims. Après une première période de « démarchage » du lycée, une dizaine de clubs ont déjà répondu présent et signé une convention de partenariat, parmi lesquels le Reims Natation 89, le Reims Champagne Hockey, le RCB, les Régates Rémoises, l’A.C.B.R (cyclisme et VTT)… Il va de soi que les sportifs du Creps pourront également s’inscrire dans cette formation professionnelle. Avis aux amateurs, les inscriptions ne sont pas encore closes !
Aymeric Henniaux
Renseignements dans les clubs rémois et au lycée Arago : 1, rue François Arago Tél. 03.26.06.40.25
Hier, vers 5 heures du matin, une Mercedes a pris feu place Georges Braque.
L’incendie est suspect.
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Les adhérents peuvent désormais courir après la petite balle jaune sur ce terrain situé près de l’hippodrome dans un cadre agréable.
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« Conformément aux engagements pris lors de l’assemblée générale de l’Acrap, la rénovation du court de tennis a bien été réalisée avant l’été, puisque la peinture et le traçage sont terminés depuis le 7 avril : les licenciés de l’ACRAP peuvent donc dès à présent utiliser cet équipement rénové », annonce le premier adjoint Éric Quénard. Le service aménagement des Espaces verts est en effet intervenu rapidement comme promis.
Sa prochaine mission sera la réalisation d’un boulodrome aux normes réglementaires le long de cet équipement, en remplacement du deuxième court de tennis de l’Acrap, sacrifié sur l’autel des travaux pour le tramway (construction de la station Kennedy en cours).
Tennis-club de l’Acrap : 11, avenue du Président-Kennedy (tél. 09.61.64.53.29.).
Inscription au secrétariat, du lundi au jeudi de 9 à 12 heures et de 13 h 15 à 17 heures et vendredi matin, ou auprès du responsable du club, Alain Lommé, du lundi au jeudi de 18 heures à 19 h 30, au 03.26.84.19.41
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Avec 5.867 livres et 1.275 périodiques vendus en une journée, la braderie de la bibliothèque de Reims organisée à Croix-Rouge dimanche 25 avril a remporté le succès attendu par ses organisateurs.
Le soleil a été de la partie toute la journée, et « dès 9 h 15, pour une ouverture à 10 heures, les amateurs se pressaient aux grilles », témoigne une des animatrices. « Si elle a un peu faibli l’après-midi », rapporte Delphine Quéreux Sbaï, directrice du réseau des bibliothèques de Reims, « cette fréquentation n’a pas cessé jusque 18 heures et, au total, 1.200 entrées ont été relevées ». Il faut dire qu’avec des prix de 1 ou 2 euros pièce, les affaires à réaliser étaient nombreuses (romans, bandes dessinées, magazines, CD et DVD) avec cette deuxième vente de documents « désherbés », que la bibliothèque de Reims retire de ses rayonnages pour faire de la place chaque année aux 30.000 nouveautés ! L’adjoint à la culture Serge Pugeault s’est rendu compte de l’engouement des Rémois pour ce genre d’opération qui, n’en doutons pas, sera renouvelé les prochaines années.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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« Moi, j’aimerais bien piloter un hélico ! Mais ça ne semble pas accessible à tout le monde… » Yves Ramos, conseiller en recrutement de la BA 112, répond à Leeroy Bokassa, élève du lycée professionnel Joliot-Curie, qu’il peut, avec son bac, devenir militaire du rang ou sous-officier. L’élève est en option commerce : « Nous, on ne vend rien : à part peut-être du rêve ! », sourit son interlocuteur. Le jeune homme, avec son bac, aura pourtant le choix entre 33 spécialités différentes. « Nous ne sommes pas là pour recruter. On veut montrer qu’il y a différentes possibilités. Mais mieux vaut avoir un diplôme. » La plupart des intervenants, participant à ce forum des métiers de l’uniforme, tiendront le même langage.
On pourrait penser que le secrétariat ne tient pas une grande place. Erreur ! « Le secrétariat, ça nous intéresse ! Nous avons une spécialité « Assistant au commandement ou à la bureautique ». Tous les métiers du civil, on peut les transposer dans les armées. » Qui est candidat ? « Nous avons affaire à des jeunes qui ne veulent pas étudier pour rien. ». Il faut savoir qu’ils commenceront à 1.200 euros par mois, logé, nourri, blanchi… Tous les recruteurs sont d’accord : la qualité principale, c’est la motivation !
« Nous avons des métiers assez contraignants. Il faut qu’ils sachent à quoi ils s’engagent. Nous leur parlons le plus vrai possible », assure le sergent-chef Laurent Duruble, de l’armée de terre.
Farida Sebbane, chef de travaux du lycée, est satisfaite : « Notre souhait, c’était de présenter aux élèves les différents corps des métiers de l’uniforme. Certains ne les connaissent que sous l’angle de la répression. » L’école intègre une filière « Sécurité-Prévention » et, en partenariat avec l’école de Police, la section des Cadets de la République.
Elle a élargi cette année le panel des corps représentés à la gendarmerie, la police municipale, le détachement sanitaire des armées et l’administration pénitentiaire. Sur le stand de cette dernière, certains demandent : « Comment ça se passe à l’intérieur ? » « Ils ne songent qu’aux surveillants, sans penser aux autres métiers. Or, une prison c’est une microsociété. » Aux Douanes, les intervenants insistent également sur la variété de leurs missions. On y parle aussi de contrefaçon : « Les marques, ça parle aux jeunes ! » Succès et intérêt sur le stand des pompiers : « C’est un beau métier d’aider les gens », lance un jeune. Valoriser les métiers de l’uniforme : le but semblait atteint !
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L’ÉTOILE Croix-du-Sud et « 2 Mains », deux associations de Croix-du-Sud, organiseront conjointement, le samedi 1er mai, la seconde édition de la fête du muguet.
Forts du succès rencontré l’an dernier, les organisateurs, grâce à un programme haut de gamme, donneront cette année une autre dimension à cet événement.
« L’année dernière lorsque nous avons installé le chapiteau de la Trac, les gens ont pu assister à plusieurs concerts de groupes locaux et autres petits spectacles. Pour cette nouvelle édition, il y aura deux groupes de rap (Black Industrie et Nunsuko) mais aussi une tête d’affiche », explique Abdel Erraffi, animateur à l’association « 2 Mains ». Et lorsqu’Abdel dit tête d’affiche il parle de deux artistes : le chanteur de Chaabi marocain Abderrahim El Bidâoui mais surtout l’une des superstars du raï : le chanteur algérien Cheb Sarhaoui.
Ce dernier, au même titre que Cheb Khaled, fait partie de ceux qui ont donné ses lettres de noblesse à ce style musical qui aujourd’hui dépasse largement les frontières des pays du Maghreb dont il est originaire.
« Ce chanteur est très connu, sa venue va rassembler les jeunes et les moins jeunes. C’est le genre d’artiste qui attire les familles et qui par la même occasion crée une ambiance conviviale intergénérationnelle », ajoute Abdel Errafii.
En plus de ces concerts, les organisateurs proposeront aussi plusieurs spectacles de danse. « Le public sera heureux d’assister à ces spectacles où chaque communauté sera représentée : de la danse folklorique portugaise entraînante et des chorégraphies de danse orientale présentées par la compagnie de danse de Houria seront au programme », précise-t-il.
Sur place, il y aura bien sûr tout ce qu’il faut pour « 2 Mains ». « Ce sont les jeunes qui participent à un projet humanitaire à destination du Maroc qui vont tenir la buvette », souligne l’animateur du quartier.
Toute la programmation de l’événement n’est pas encore bouclée et les organisateurs précisent que d’autres éléments vont venir se greffer à celle déjà établie avec en prime quelques petites surprises. Le rendez-vous est donc bel et bien fixé pour le 1er mai, pour une fête de quartier qui, comme les associations qui l’organisent, prend de l’ampleur à chaque nouvelle édition.
T.A.F.
« 2 Mains », tél. 03.10.16.10.40. Étoile Croix-du-Sud, tél. 03.26.06.56.66.
Mercredi à 20 h 10, trois « récupérateurs » se sont introduits dans les bâtiments incendiés de l’association Envie, route de Witry. Ils venaient chercher de la ferraille, ils ont trouvé la police.
L’un, mineur de 17 ans, ira voir le juge des enfants tandis que les deux autres âgés de 18 et 22 ans sont convoqués le 26 mai en justice.
Ce même soir vers 22 h 30, deux copains de 19 ans ont croisé deux mauvais types rue Roosevelt. Sous la menace verbale, l’un des garçons a été contraint de remettre 40 euros tandis que son ami était maintenu pour l’empêcher de lui porter assistance. Interpellés, les agresseurs sont des Rémois de 21 et 25 ans. L’auteur du vol des 40 euros en avait besoin, dit-il, pour acheter de la drogue. Présentés au parquet, lui et son complice ont été laissés libres avec une convocation à l’audience du 23 juin.
Jeudi à 15 h 45, des témoins ont signalé un individu qui rôdait autour de plusieurs voitures allée des Limousins.
Il en a fracturé trois. Une patrouille de la brigade anticriminalité l’a pincé avant qu’il ne prenne un quelconque butin.
Agé de 20 ans, il sera jugé le 3 juin.
De gauche à droite, au 1er rang, Clara Loire et Thaïs Nachtergaele. 2ème rang, Tessa Neiva, Alicia Le Tadic et Zoé Themans-Loillier et l’entraîneur Cécile Mareigner.
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C’était l’ultime compétition pour la section artistique du Reims Acrap patinage ce week-end à l’occasion de la Coupe des Sacres (finale du Challenge NPCA).
Douze patineurs étaient engagés dont certains pour la toute première fois. Le club se classe 4ème.
TDF3 : Cécile Husson 3ème (seniors), Delphine Gomes 9ème (avenirs). Exhibition : Delphine Gomes 12ème et Ophélie Feron 13ème .
NPCA : Thaïs Nachtergaele 1ère (Baby). Alicia Le Tadic 15ème, Clara Loire 19ème, Tessa Neiva 21ème et Zoé Themans-Loillier 22ème (Poussins). Lili-Rose Plomion 1ère (Avenirs), Alexis Dieudonne 1er (Minimes), Ophélie Feron 5ème et Jessica Guissant 10ème (Novices), Jonathan Arbelin 1er (Stars) et Inès Martelleur 3ème (Stars).
Un feu de détritus s’est déclaré vendredi à 23 heures dans une cave de la rue de Canterbury, au n°12.
Hier à 12 h 30, les pompiers ont été appelés pour un possible « feu de maison » rue du Vieux-Coq. De gros moyens ont fait le déplacement mais la fumée provenait en fait d’un feu de planches de rives sur la toiture, suite à des travaux.
Vers 15 heures, un feu d’herbes sèches s’est déclaré dans le collège Schuman, avenue de l’Europe.
Entre 16 heures et 17 heures, des broussailles ont pris feu rue de l’Escaut, une moto a brûlé rue Martin-Peller, une poubelle rue Yvon-Morondat.
Les Rencontres de l’artisanat, réunion d’information tout public :
• Vendredi 30 avril à 14 h à la médiathèque Croix-Rouge, en partenariat avec la Maison de l’Emploi et des Métiers du Bassin Rémois/Espace Métiers.
Vos héros pour 1 euro
Pour la 2e année consécutive, la Ville de Reims organise une vente de documents issus des collections des bibliothèques municipales rémoises. Quelque 10000 documents - ouvrages défraîchis, éditions vieillies qui jusqu’alors allaient au pilon - seront mis en vente. Cette opération appelée aussi "désherbage", il faut faire de la place, s’inscrit dans la politique dynamique de la Ville autour de du livre et de la lecture.
A l’occasion de cet événement, la médiathèque Croix-Rouge sera exceptionnellement ouverte au public. L’an dernier, cette journée avait attiré près de 1500 visiteurs et 7000 environ documents avaient été vendus.
Parvis de la médiathèque Croix-Rouge le 25 avril de 10 h à 18 h.
27 avril : Photographie et slam
27 avril : Photographie et slam Organisée par les étudiants de licence de Sciences sanitaires et sociales dans le cadre d’"Art campus".
Avec un atelier slam au côté de Slam Tribu et photographie sur le thème des "vulnérables" en compagnie de Jean-Christophe Hanché. La verrière et amphi 10, Campus Croix-Rouge, à partir de 19 h.
Inscriptions scolaires
Les inscriptions scolaires pour 2010-2011 se déroulent jusqu’au samedi 12 juin 2010 dans les antennes municipales* : Châtillons, 11 avenue Christophe Colomb. Croix-Rouge, 1 rue Joliot Curie. Europe, 1 ter place Jean Moulin. La Neuvillette, ancienne Mairie de La Neuvillette. Murigny, 2 A place René Clair. Orgeval, 7 place Pierre de Fermat.
Documents à présenter : Livret de famille (en cas de séparation, jugement de divorce ou de séparation précisant le lieu de résidence de l’enfant et l’autorité parentale), quittance de loyer ou d’E.D.F, certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé) et carnet de santé de l’enfant (pour le contrôle des vaccins) ; prévoir les photocopies des pages vaccinations si l’inscription est effectuée dans une antenne municipale. Les inscriptions sont également prises du 19 avril au 11 juin 2010 au Service Education de la Mairie de Reims, 4 rue Jovin, tél. 0326777634 ou 31 ou 33, du lundi au jeudi de 8h30 à 12 h et de 13h30 à 17h30 et le vendredi de 8h30 à 12 h et de 13h30 à 17 h.
*Jours et horaires
Lundi : de 8h30 à 12 h seulement pour l’antenne Orgeval, de 14 h à 17h30 pour toutes les antennes.
Mardi au vendredi : de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30. Samedi : de 8h30 à 17 h, sauf l’antenne Orgeval.
L’antenne mobile est joignable au 0616392102.
Un service au plus proche de la population
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La Direction des Déchets et la Propreté va donner plus d’ampleur au service “Allô propreté” (03 26 77 71 11). A partir des attentes émises par les habitants via ce standard téléphonique, trois agents seront chargés, dès ce mois d’avril, d’intervenir avec le plus de réactivité possible sur des opérations ponctuelles de nettoyage. Ce service fonctionnera également en réseau avec la nouvelle brigade environnementale et la direction de la Voirie afin d’optimiser la qualité de service rendue aux Rémois.
L’autre grand volet de ce Plan “Reims ville propre” est la généralisation des conteneurs enterrés à l’échelle de l’agglomération. Cinq conteneurs ont été testés en 2008 dans le secteur Croix-du-Sud.
Expérience plus que concluante. Ce système a prouvé qu’il améliorait l’esthétisme du cadre de vie des habitants alentours, qu’il paraît aux actes de vandalisme, donc qu’il participait à sécuriser les habitations des feux de poubelles. Ces conteneurs enterrés sont beaucoup moins coûteux à entretenir et facilitent la collecte ce qui se répercute par des baisses de charges locatives.
Dernière constatation, ce nouveau dispositif a considérablement amélioré la qualité du tri. En effet, le taux de refus des déchets collectés est seulement de 10 % alors qu’il s’élève à 13 % en moyenne à l’échelle de l’agglomération.
Les conteneurs enterrés vont être généralisés en fonction des opportunités géographiques. Reims Métropole envisage d’en créer quelque 400 sur les 5 années à venir.
Un objectif ambitieux qui sera mené avec un partenariat fort entre la collectivité et les bailleurs sociaux. La première en prenant à son compte le coût de l’installation et les seconds en assurant son entretien.
Ce plan propreté, opérationnel dès ce mois d’avril, accorde donc des moyens humains et financiers d’une ampleur inédite. Il se traduira par plus de services de proximité ainsi que par le déploiement des nouveaux équipements techniques.
Mais surtout, ce plan se donne les moyens de lutter contre les incivilités ou la négligence de certains. Car une ville propre n’existe que si les règles sont respectées par tous. La propreté, c’est notre engagement à tous
Les conteneurs enterrés ont été testés dans le secteur Croix-du-Sud.
Après un an de test : ils ont prouvé leur efficacité. Ils améliorent le tri, l’esthétisme des rues, protègent les immeubles des feux de poubelles et génèrent des baisses de charges pour les locataires.
QUARTIER CROIX-ROUGE HAUTS DE MURIGNY
Où trouver les boîtes aux lettres de votre Conseil de quartier ?
A la Maison de quartier Espace Billard, 14 rue Pierre Taittinger, à l’Espace Watteau, 3 Allée Watteau et à l’Antenne municipale Croix-Rouge.
Votre antenne municipale
C’est la Mairie à proximité de votre domicile.
Sur le quartier Croix-Rouge :
1 rue Joliot-Curie, tél. : 0326356020.
Jours et heures d’ouverture :
• le lundi de 14 h à 17h30
• du mardi au vendredi de 8h30 à 12 h et de 14 h à 17h30
• le samedi de 8h30 à 12 h.
Votre marché
Il a lieu le samedi, rue Pierre Taittinger (parking municipal) de 6 h à 13 h.
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La bibliothèque municipale et le Conservatoire à rayonnement régional de Reims s’associent pour proposer deux rendez-vous musicaux qui mettent en avant les élèves du Conservatoire.
Pour les élèves, c’est l’occasion de mettre leur pratique musicale à l’épreuve du feu et de se confronter à un public. Ce mois-ci deux rendez-vous se succéderont l’un à la médiathèque Jean-Falala autour du saxophone et l’autre à la médiathèque Croix-Rouge avec un concert « Musique en médiathèque » vendredi 30 avril à 18 h 30.
Médiathèque Croix-Rouge - 19, rue Jean-Louis-Debar. Entrée libre. Renseignements au 03.26.86.77.04.
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Jeudi vers 23 h 30, une Ford Fiesta a brûlé place Jean-Fragonard, au quartier Croix-Rouge. Le feu s’est propagé à une voiturette Microcar. Toutes les deux ont été détruites.
L’origine de l’incendie, si elle reste indéterminée vu l’état de la carcasse, paraît suspecte.
Cette même nuit, un feu de broussailles s’est déclaré vers 21 heures chemin de Brimontel. A 23 h 30, les pompiers ont été appelés pour une fumée suspecte dans un petit immeuble de la rue de Strasbourg. Il s’agissait d’un feu de journaux.
Hier vers 16 h 30, quelques pneus ont été incendiés dans un terrain vague entre l’A34 et la route de Witry, dans la zone artisanale Croix-Blandin.
Décidément, la vie de Mallé Kanté n’a rien d’un long fleuve tranquille. Dans notre édition de jeudi, nous évoquions les ennuis à gogo de ce Rémois de 30 ans domicilié dans le quartier Croix-Rouge.
Frappé de cinq coups de couteau le 8 avril lors d’une rixe allée Edgar-Degas (un au thorax, quatre dans le dos), légèrement blessé le 18 avril lors d’un accident à Ecueil (il était passager d’un scooter qui s’est écrasé contre un mur), puis arrêté le 19 avril après un racket, le jeune homme n’en finit plus de collectionner les pépins : il est parti six mois en prison à la suite d’une nouvelle plainte pour vol avec violence.
Sorti de l’hôpital quelques heures après son accident à Ecueil, dimanche dernier, Mallé Kanté fut interpellé lundi à 0 h 15, sur dénonciation d’un handicapé mental qui venait d’être racketté place Auguste-Rodin. Jouant de son physique impressionnant de basketteur, et de sa grosse voix, il s’était fait remettre deux paquets de cigarettes.
La victime fut menacée de mort. En raison de sa faiblesse psychologique, elle a subi un traumatisme qui a nécessité huit jours d’incapacité totale de travail. Après son audition au commissariat, Mallé Kanté était remis en liberté dans la journée de lundi avec une convocation le 3 juin au tribunal pour « vol précédé de violences sur une personne vulnérable ».
Le lendemain mardi, vers 21 heures, un couple sort du magasin Proxi Market de la place Auguste-Rodin. Il s’agit également de deux personnes handicapées (physique pour la dame, mental pour le monsieur). Dans leur cabas, une baguette de pain, mais aussi une bouteille de vin rosé. Un grand gaillard s’amène. Le couple, terrorisé, n’ose rien dire. L’individu prend la bouteille dans le sac, menace de tuer les victimes si elles déposent plainte, puis s’en va.
Les policiers ne tardent pas à identifier l’auteur : Mallé Kanté ! Il est retrouvé dans le quartier en complet état d’ébriété.
Informé de cette récidive expresse, le parquet a tapé du poing sur la table : comparution immédiate ! Présenté devant le tribunal correctionnel de Reims, le jeune homme a été jugé pour le vol avec violence de la bouteille de rosé mais aussi des deux paquets de cigarettes la veille (l’affaire initialement audiencée au 3 juin a été raccrochée à la procédure de comparution immédiate).
Les investigations ont révélé que la première victime était régulièrement rackettée depuis un mois (argent et cigarettes). Le prévenu s’était même rendu à son domicile. De même, il avait l’habitude de faire ses courses en se servant auprès de plusieurs clients qui sortaient du Proxi Market, ce qui n’était pas sans créer un certain climat d’insécurité.
Mallé Kanté a tout contesté. Sorti de prison en novembre après avoir purgé la dernière des dix-sept condamnations inscrites à son casier, il n’a pas convaincu le tribunal : six mois ferme !
Le jeune homme va devoir faire venir un médecin en maison d’arrêt : il avait prochainement rendez-vous pour se faire retirer les fils posés à la suite du coup de couteau au thorax. Ses agresseurs étaient trois. Il déclare ne pas les connaître. « Ils me sont tombés dessus. Je me suis fait planter. Je ne sais pas pourquoi. »
F.C.
Une fois n’est pas coutume, demandons aux élèves ce qu’ils pensent de leur lycée. Y sont-ils heureux ?
Ce palmarès a été réalisé sérieusement, mais surtout pour rire. Il est bien évident qu’il n’a pas la prétention d’être une référence pour le choix d’un établissement. Une douzaine d’élèves a été sondée par établissement. On remarque tout de même que les plus côtés du point de vue de leurs résultats au bac ne sont pas toujours dans les premiers ici. On constate aussi que le privé, moins permissif, est plus sévèrement jugé par les élèves. Quant à la question sur la beauté des profs, que les enseignants ne s’en offusquent pas : il est sérieusement prouvé qu’un beau prof subit moins d’absentéisme. Féminin du moins !
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Pas une barre de chocolat, pas un soda et pour avoir une capote il faut aller demander à l’infirmerie. Il est bien connu que les élèves vont facilement voir les infirmières pour leur demander des préservatifs. Peut-être faudrait-il mieux les confier aux pions car ces derniers sont plutôt bien notés. Mieux que les toilettes « souvent très sales ». Une chance qu’on puisse au moins téléphoner presque partout.
Un seul prof serait beau à Joliot-Curie et ce serait M. Jolly. Il porte donc bien son nom. Les pions ont davantage de succès que les profs : « Ils sont gentils » (au bon sens du terme). Il est très facile de sortir mais il y a « trop peu » de sortie de classe. Il y a bien des distributeurs de denrées mais « peu de choix ». Facile d’accéder aux ordis mais pas à internet. Bref, le lycée « pourrait être mieux ». Heureusement qu’il y a M. Jolly.
1 - Chagall
2 - Roosevelt
3 - Colbert
4 - Libergier
5 - Jean-Jaurès
6 - Arago
7 - Clemenceau
8 - Saint-Joseph
9 - Joliot-Curie
10 - Saint-Michel
11 - Jean XXIII
12 - Sacré-Cœur
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Amateurs de bonnes affaires, rendez-vous dimanche à Reims, de 10 à 18 heures, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge, pour profiter de l’opération « Vos héros pour 1 euro ».
Afin de renouveler une partie de ses collections, la bibliothèque municipale va en effet proposer à la vente quelque 10 000 ouvrages (BD, romans, magazines mais aussi CD et DVD) à un tarif imbattable de 1 à 2 euros selon le document.
Attention toutefois, les achats seront limités à dix par personne.
Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Objet : Réhabilitation de 16 immeubles Quartier Croix du Sud à REIMS (51100) Réf. : MA-130410
Type de marché : Travaux
Lieux d’exécution : Quartier Croix du Sud « Fragonard, Cézanne, Ingres » Avenue Léon Blum 51100 REIMS
Code CPV (marché européen) : 45000000
Le marché est composé de 9 lots :
Lot 1 : Vêtures de Façades
Lot 2 : Ossature & Balcons métalliques
Lot 3 : Métallerie & Menuiseries extérieures Pvc
Lot 4 : Etanchéité
Lot 5 : Gros Oeuvre
Lot 6 : Cloisons
Lot 7 : Electricité
Lot 8 : Chauffage & Vmc
Lot 9 : Plomberie
Durée du marché : 24 mois à compter de la date de notification (dont 1 mois de préparation de chantier)
Procédure : Appel d’offres ouvert européen soumis à l’Ordonnance n° 2005-649 du 6 juin 2005 ainsi qu’au décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005
Date limite de réception des candidatures et des offres : Le Lundi 7 juin 2010 à 12h00, dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés – 7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Adresse auprès de laquelle retirer les dossiers de consultation : Le dossier de Consultation peut être obtenu gratuitement jusqu’au Lundi 31 mai 2010 à l’adresse suivante
sur support papier auprès de : TECHNIC REPRO 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS
Tél. 03.26.04.81.21 – Fax : 03.26.09.71.07
E-mail : Technic.Repro@wanadoo.fr
Visites du site : Les visites obligatoires du site se tiendront uniquement le jeudi après-midi de 14h00 à 17h00
Une prise de rendez-vous sera obligatoire auprès de Monsieur Dumont Tel : 03.26.04.98.37 – Port : 06.16.56.13.84
Renseignements techniques :
Agence d’Architecture Thienot Ballan Zulaica Tel : 03. 26.88.27.27
Bureau d’études Fluides et Thermique : DCEF Tel : 03.26.67.79.06
Bureau d’études Structures : Taylor Tel : 06.67.14.72.73
Bureau de contrôle et SPS : VERITAS Tel : 03.26.05.15.25
Effort Rémois : H. LHERMITTE Tel : 03.26.04.99.89
Renseignements administratifs : Service Marchés Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33 E-mail : service.marches@effort-remois.com
Date d’envoi du présent avis à la publication au JOUE et aux Journaux L’UNION (Aisne, Marne, Ardennes), L’EST ECLAIR (Aube), L’EST REPUBLICAIN (Meuse), LE JOURNAL DE LA HAUTE MARNE (Haute Marne), LE PARISIEN (Seine et Marne et Oise) et LE MONITEUR, le Mardi 20 Avril 2010
L’association Étoile Croix-du-Sud organise une brocante le samedi 1er mai sur l’esplanade Paul-Cézanne, dès 6 heures le matin, réservée aux particuliers non professionnels.
Renseignements, inscriptions et réservation des emplacements avant le vendredi 23 avril au secrétariat 5, avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66. ou 09.60.18.69.30.).
L’hebdo du vendredi- n° 165 - 100423b
Braderie du livre : « désherber » pour renouveler
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Après une première expérience très réussie en juin 2009, avec près de 1 500 visiteurs et 7 000 documents vendus, l’opération baptisée « Vos héros pour un euro » revient ce dimanche 25 avril sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. Ainsi, la bibliothèque municipale de Reims « désherbe » à nouveau ses collections.
En fait, il s’agit pour elle de se séparer de certains documents trop défraîchis ou qui ne correspondent plus aux attentes du grand public. Il faut savoir que la bibliothèque possède un stock d’environ 500 000 livres et autres supports multimédia et que chaque année, 30 000 nouveautés viennent compléter ce trésor.
Au total, lors de cette braderie exceptionnelle, ce sont donc plus de 10 000 ouvrages (romans, bandes dessinées, magazines, CD et DVD) qui seront mis en vente au prix de 1 ou 2 € (10 achats maximum par personne).
À noter que pour l’occasion, la médiathèque Croix-Rouge sera ouverte au public.
« Vos héros pour un euro » : dimanche 25 avril, de 10h à 18h, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. Entrée libre.
Les métiers du sport
La prochaine animation organisée par le CRIJ Champagne-Ardenne aura pour thème « Les métiers de l’animation et du sport ».
Elle se tiendra le mercredi 28 avril de 14h à 18h à la Médiathèque Croix-Rouge. Cette rencontre d’information permettra au public de découvrir les différentes formations universitaires dispensées à l’UFR STAPS et dans les secteurs de l’animation et du sport.
Rencontres de l’artisanat
L’Espace métiers et le Centre d’Aide à la Décision de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat organisent les rencontres de l’Artisanat, mardi 27 avril à 14h à la Maison de Quartier des Châtillons à Reims et vendredi 30 avril à 14h à la médiathèque Croix-Rouge.
Animations gratuites et ouvertes à tous.
Renseignements au 03 26 07 87 12.
Gala de boxe à la Halle Croix-Rouge
Thaïlandaise (muay thaï), américaine (full contact) ou anglaise, presque tous les styles de boxe seront représentés samedi 24 avril lors d’un gala organisé par deux étudiantes de l’UFR STAPS de Reims.
De 20h à 23h (entrée 3€) à la Halle Croix-Rouge.
EXPOSITION : L’art de la différence
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Les étudiants de 3ème année de la licence Sciences Sanitaires et Sociales à l’Institut Régional Universitaire des Sciences Sociales Appliquées prennent à coeur la question du droit à la différence, du partage et de l’autre, à travers un projet artistique « Art’s Campus ».
Ce projet collectif, constitué de quatre ateliers, un de communication et trois d’art, orchestrés par des pro- (-fesseurs, et –fessionnels) depuis début février, est réalisé dans le cadre d’un travail concernant 90 étudiants de la filière sociale. S’intéresser à la question de la vie en société constitue pour ces jeunes une thématique étudiée en cours et à travers ce projet d’études. « Ce projet est une excellente occasion de resserrer les liens entre étudiants, chacun participe et s’investit dans un atelier qui lui tient à coeur, sur une question d’actualité » résume Stéphanie Hannebicque, l’une des étudiants, chargée de communication. Au choix selon les préférences et les intérêts de chacun : danse, photographie ou slam.
Les élèves ont participé à une pièce chorégraphique, présentée par la Compagnie Icosaèdre, et dirigée par la chorégraphe Marilén Iglesias-Breuker. Sa double formation de danseuse et de sociologue font d’elle une interlocutrice privilégiée pour mettre en mouvement la place de la minorité, les thématiques de travail et de souffrance à la fois dans la danse et dans la société.
Un second atelier est axé sur la photographie où sous l’égide du photographe rémois Jean-Christophe Hanché les populations en marge de la société, « les vulnérables », sont mises en relief. « Photographier des indésirables, c’est moins commun » affirme Leslie Gamard, autre étudiante spécialisée dans la communication. Exacerber la thématique de la différence est ainsi au coeur du projet.
Un troisième atelier a concentré les amateurs de Slam, qui se sont initiés aux discours déliés sur les thèmes de la différence, du partage, et de l’intégration, sous la direction de deux professionnels de Slam Tribu. « La surprise est au rendez-vous, chaque Slameur apporte sa propre vision des choses, réalisant ainsi des textes incroyablement divers sur un même thème » précisent les deux étudiantes. Il est donc indéniable que le projet novateur proposé par ces étudiants est très prometteur. « Original ! Innovant ! Enrichissant ! » résument-ils. Si la question de l’intégration et de la différence entre les individus est actuellement au coeur des débats, cette exposition nous démontre qu’autrui est un autre nous, et que la différence fait notre richesse.
Élodie Thiefain
Rendez-vous le 27 avril à 18h à l’amphi 10 du Campus Croix-Rouge.
THEATRE – DANSE : Les étudiants entrent en scène !
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Les ateliers de pratiques artistiques des étudiants présentent leurs spectacles les 23, 27 et 28 avril prochains.
Théâtre et danse contemporaine sont au rendez-vous.
Les ateliers théâtre « initiation » et « création » proposent ce vendredi 23 avril leurs pièces de théâtre respectives « Autour de la Rumeur » d’après J.M. Ribes, mise en scène par Gisèle Torterolo, et « Invasion » de Jonas Hassen Kherimi mise en scène par Marine Mane de la compagnie La Tramedie. Les premiers ont fait le pari de traiter un sujet grave par la comédie, les seconds, de jeter le trouble à partir d’un simple mot…
Les mardi 27 et mercredi 28 avril, ce sera au tour de l’atelier chorégraphique de présenter « Poisson soluble » du titre du recueil d’écritures automatiques d’André Breton. Une chorégraphie de Marinette Dozeville qui allie surréalisme, d’après un travail sur l’imagerie de Hans Bellmer, Man Ray et Henri Cartier-Bresson, et rapport à l’objet. En seconde partie, Marinette Dozeville interprétera « MU-Saison 1 » une création pour corps marionnettique personnelle et de David Girondin Moab. « MU est un personnage entre humain et objet qui visite son intériorité du côté le plus animal jusqu’à la sensualité et la féminité » explique la chorégraphe.
Pilotés par le Bureau de la Vie Étudiante (BVE) de l’Université de Reims Champagne-Ardenne et en partenariat avec le Centre culturel du CROUS, les ateliers répondent à une mission de pratique artistique de bon niveau mise à disposition des étudiants. « Il s’agit d’une pratique globale avec le triptyque : travail sur scène avec des professionnels, des spectacles en partenariat avec les structures culturelles de la ville et des rencontres avec des équipes artistiques professionnelles ; un concept assez inédit » précise le responsable du BVE, Franck Daudin. Les ateliers sont d’ailleurs soutenus par la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC), l’ORCCA (Office Régional Culturel de Champagne-Ardenne) et la ville de Reims.
Johanna Pellus
« Autour de la Rumeur » et « Invasion » le vendredi 23 avril à 20h30 ;
« Poisson soluble » et « Mu » les mardi 27 et mercredi 28 avril à 20h30
au centre culturel du CROUS (campus Croix- Rouge).
Entrée libre.
Informations au 03 26 91 81 48 ou bve@univ-reims.fr.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100423a
Numéro 7338 du 19 au 25 avril 2010.
Société d’Avocats
Centre d’Affaires Colbert
34 rue des Moulins - 51100 REIMS
Société d’exercice libéral
responsabilité limitée de directeurs et directeurs adjoints de laboratoires d’analyses de biologie médicale
au capital de 14.400 Euros
Siège social : 33-35 avenue Taittinger - 51100 REIMS
389 471 475 R.C.S. Reims
Société d’exercice libéral à responsabilité limitée au capital de 500.000 Euros
Siège social : 3 rue Chaudru - 51170 FISMES
487 515 645 R.C.S. Reims
Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 16 avril 2010, les sociétés LABORATOIRE DE L’HIPPODROME et SELARL LABORATOIRE D’ANALYSES DE BIOLOGIE MEDICALE EL HAFIANE, susdésignées, ont établi le projet de leur fusion par voie d’absorption de la société LABM EL HAFIANE par la société LABORATOIRE DE LHIPPODROME. La société LABM EL HAFIANE ferait apport à la société LABORATOIRE DE L’HIPPODROME de la totalité de son actif, soit 588.997 €, à charge de la totalité de son passif, I soit 113.453 €. La valeur nette des apports s’élèverait à 475.544 €. La société LABORATOIRE DE LHIPPODROME, détenant 3.750 parts de la société LABM EL HAFIANE sur les 5.000 parts composant le capital de cette dernière, renoncera à ses droits dans sa propre augmentation de capital, qui ne s’élèverait donc qu’à 1.600 €. En rémunération de l’apport net, 100 parts nouvelles de 16 € de valeur nominale chacune, entièrement libérées, seraient créées, attribuées aux associés de la société absorbée autres que la société absorbante. La prime de fusion s’élèverait globalement à 15.320 €. Le rapport d’échange des droits sociaux retenu sera fixé à 1 part de la société LABORATOIRE DE LHIPPODROME pour 12,5 parts de la société LABM EL HAFIANE. La fusion est soumise à la condition suspensive de l’approbation du projet de fusion par les assemblées générales extraordinaires des deux sociétés. Conformément à l’article L. 236-6 du code de commerce, le projet de fusion a été déposé au greffe du tribunal de commerce de REIMS au nom des deux sociétés le 16 avril 2010.
84667 Pour avis.
Société à responsabilité limitée
au capital de 7.200 Euros
5 rue des Savoyards Rc / a 51100 REIMS
508 343 068 R.C.S. Reims
Aux termes du procès verbal de l’assemblée générale extraordinaire du 17 mars 2010, il résulte que il a été décidé d’étendre l’objet social, à compter du 17 mars 2010, aux activités : Livraison (express, tournée, tous types de colis, transport frigorifique) en véhicule 4 roues de moins de 3,5 tonnes, nettoyage industriel, climatisation, froid, chauffage, pose de panneaux solaires, colle (affiche publicitaire) et tout travaux de second œuvre.
La dénomination sociale a été modifiée et devient "K.O.S.T Multiservices", à compter du 17 mars 2010.
En conséquence, les articles 2 et 3 des statuts ont été modifiés.
Mention sera faite au R.C.S. : REIMS.
83656 Pour avis.
EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS
LIQUIDATION JUDICIAIRE
Par jugement en date du 01104/2010, le tribunal de commerce de REIMS a mis fin à la période d’observation et a prononcé la liquidation judiciaire au cours du redressement judiciaire de : Monsieur MENETRIER Bernard Michel, 30 esplanade avenue du Général Eisenhower - 51100 REIMS.
Registre du Commerce : (A 343 625 950) -2006 A 154. Achat vente de mobilier, produits de bien-être, cosmétiques, appareils de chauffage.
Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET, (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins -51100 REIMS.
Le greffier : Bernadette DELPY.
84495
Roland CALSAC
Vincent CROCHET
David MENNETRET
Sylvie JACQUEMAIN-COURNIL
Christophe PIERRET
15 rue Clovis - 51100 REMIS
(0)3 26 87 71 71 Fax +33 (0)3 26 47 7.308
ÉTUDE CLOVIS
www.notaires-clovis-reims.fr
REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE
OFFICE PUBLIC DE L’HABITAT
Établissement public industriel et commercial
Siège social : 71 avenue d’Epernay - 51100 REIMS
R.C.S. Reims 392 794 293
Aux termes du conseil municipal de la VILLE DE REIMS en date du 24 septembre 2007, Mme Geneviève THEPENIER, a été nommée administrateur, en remplacement de Mme Laurence MALASSAGNE.
Aux termes du conseil d’administration de REIMS HABITAT en date du 19 octobre 2007, Mme Marie-Annick ROGER a été nommée présidente, en remplacement de Mme Laurence MALASSAGNE et M. Marin ROSSI a été nommé vice président.
Aux termes du conseil municipal de la VILLE DE REIMS en date du 31 mars 2008, ont été nommés en qualité d’administrateurs M. Eric QUENARD, M. Raymond JOANNESSE, M. Michel GUILLAUDEAU, Mme Marie-Thérèse MONNOT, M. Benjamin DEVELEY, en remplacement de Mme THEPENIER, M. BLANKAERT, Mme ROGER, M. ROSSI, Mme LACROIX.
Aux termes du conseil d’administration de REIMS HABITAT en date du 18 avril 2008. M. Eric QUENARD est nommé président, en remplacement de Mme ROGER, M. Jean-Claude LAVAL est nommé vice président, en remplacement de M. ROSSI.
Aux termes du conseil municipal de la VILLE DE REIMS en date du 7 juillet 2008, ont été nommés en qualité d’administrateurs M. Michel GUILLOU, M. Jean-Louis CAVENNE, Mr Alain DE CARAYON. M. Jacques DOUADI, M. Mohamed CHERIF, Mme Muriel JOURD’EUIL (partant M. Michel FECK, M. Patrick LECLERE, Mme Gisèle VINCENT, M. Pierre STAAT, M. Cheik BOMBOTE. Mme Marie-France PIETTE).
Aux termes du conseil d’administration de REIMS HABITAT en date du 18 septembre 2008 a été décidée la nomination par cooptation de Mme Claude STOLZ en qualité d’administrateur.
Aux termes du conseil municipal de la VILLE DE REIMS en date du 22 septembre 2008. M. Sébastien SOUVIGNY a été nommé administrateur.
Aux termes du conseil d’administration de REIMS HABITAT en date du 3 décembre 2009 a été décidée la nomination de Mme Jeannette PETREL en qualité d’administrateur, en remplacement de Mme Geneviève LEFEVRE. Le dépôt légal sera effectué au greffe du tribunal de commerce de REIMS.
Pour avis
Le directeur général
84666 .
Mercredi 28 avril de 14 à 18 heures, le secteur Emploi-formation de la médiathèque Croix-Rouge propose de faire découvrir les formations et les métiers du sport et de l’animation avec un zoom sur le Bafa (brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur).
Au programme, rencontre avec des professionnels qui exercent et des intervenants qui travaillent dans les organismes de formation, pour mieux informer et orienter.
Entrée libre.
L’association Étoile Croix-du-Sud organise une brocante le samedi 1er mai sur l’esplanade Paul-Cézanne, dès 6 heures le matin, réservée aux particuliers non professionnels.
Renseignements, inscriptions et réservation des emplacements avant le vendredi 23 avril au secrétariat 5, avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66. ou 09.60.18.69.30.).
Dimanche matin, deux Rémois du quartier Croix-Rouge ont violemment percuté un mur à scooter dans la traversée d’Écueil (l’union de lundi). Si l’état du pilote reste préoccupant, son passager s’est déjà rétabli, à tel point qu’il a passé la nuit de dimanche à lundi en garde à vue à la suite d’une plainte pour vol avec violence. Un accident, une accusation de vol mais aussi une agression au couteau… Depuis le début du mois, Mallé Kanté, 30 ans, est décidément poursuivi par la poisse.
Le 8 avril, vers 5 heures du matin, le jeune homme s’est pris cinq coups de couteau lors d’une rixe dans un immeuble de l’allée Edgar-Degas à Reims. Frappé à quatre reprises dans le dos, une fois au thorax, le jeune homme fut évacué au CHU avec autant de plaies saignantes. Ses blessures, heureusement, n’étaient pas graves. Au nombre de trois, ses agresseurs restent à identifier, ainsi que la nature du différend.
Dimanche matin, vers 4 h 30, c’est l’accident dans le village d’Écueil, où le scooter s’est fracassé contre le mur d’une habitation. Le pilote a été grièvement blessé. Les secours l’ont évacué dans un état comateux au CHU de Reims tandis que Mallé Kanté, lui aussi pris en charge, avait pu quitter l’hôpital dans la journée.
Le lendemain lundi, à 0 h 15, la police est appelée place Auguste-Rodin. Elle recueille la plainte d’un jeune handicapé mental racketté au bas des immeubles par un individu venu lui réclamer de l’argent et des cigarettes.
La victime n’avait pas de numéraire, mais deux paquets de cigarettes.
L’auteur a usé de menaces verbales pour se les faire remettre. Fortement impressionné, le handicapé a subi un choc psychologique nécessitant huit jours d’incapacité totale de travail.
Il a désigné son agresseur comme étant Mallé Kanté, d’ailleurs retrouvé sur place. Placé en garde à vue, le jeune homme a contesté les faits. Il aurait simplement demandé une cigarette et redonné le paquet à la victime après l’avoir obtenue.
La poisse ne le lâche plus. Faute d’avoir convaincu les enquêteurs, le Rémois s’est vu remettre une convocation le 3 juin au tribunal correctionnel pour « vol précédé de violences sur une personne vulnérable ».
F.C.
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Elle nous avait habitués à de petits recueils de poèmes, cette fois-ci, c’est un livret de conseils de vie que la poète de Croix-Rouge, Liliane Feige, a édité sous le titre « La médecine de l’espoir », aux éditions Altaïr.
En quarante pages, elle expose ses considérations et ses conseils sur la manière de bien vivre en gardant la santé : « La santé, c’est de l’or mal partagé. »
Sans le savoir, Liliane Feige a toujours été écologiste dans l’âme et elle donne des recettes de bon sens en matière d’alimentation, avec de nombreuses références aux plantes médicinales, mais elle évoque aussi l’hygiène de vie et les soins pour se préserver en bonne santé.
Médecins, infirmières, personnels de santé, dentistes, pharmaciens, ambulanciers : tous sont loués et encensés par Liliane Feige qui leur voue une grande admiration : « Tant de malades, grâce à eux et à elles, aujourd’hui vivent encore ! »
Pour se procurer « La médecine de l’espoir », il faut s’adresser à l’auteur (tél. 06.84.58.36.24.).
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TRANQUILLITÉ et jolie vue sur l’hippodrome. Au 51 Eisenhower à Croix-Rouge, les Forest n’ont pas vraiment envie de déménager. Leur tapisserie jaune dans la salle à manger est défraîchie mais c’est parce qu’ils n’ont pas pu la changer. « Depuis 2007, on entend dire que notre immeuble va être démoli. A un moment, il n’en était plus question puis c’est revenu ». Aujourd’hui, c’est certain. Quand tous les locataires seront relogés, une date sera fixée pour raser la barre. Le même sort est réservé au 49, l’immeuble voisin.
Pour l’instant, Sabrina et Thierry Forest ne réalisent pas encore qu’il y aura du vide à la place de leur canapé. Pour l’instant, ils sont stressés parce qu’ils ne savent pas où ils vont aller habiter. Stressés voire même angoissés. Surtout Sabrina : « J’ai peur de tomber sur des voisins avec qui ça n’ira pas. Ici, c’est un bloc où on s’entend super-bien. C’est tranquille, à notre étage tous les gens travaillent. Honnêtement, on est bien ».
Il va tout de même falloir changer. Les Forest ont été invités à une première réunion d’information début mars. Deux semaines plus tard, une agent de l’Udaf* chargée de faire le lien entre le bailleur et le locataire est venue les voir pour connaître leurs souhaits. « Ça s’est bien passé », confie Sabrina. « Elle est arrivée, a dit bonjour au chat, au lapin (NDLR : qu’il vaut mieux saluer de loin car il mord), puis nous a demandés où on souhaitait être relogé ».
Dans l’idéal, les Forest se verraient bien dans du neuf sur le boulevard Pommery. Ils y ont droit. Tous les locataires concernés par les démolitions sont prioritaires pour obtenir des logements neufs. « Ce serait un progrès pour nous ». Bastien, 11 ans, et Christopher, 6 ans et demi, leurs enfants, auraient la chance de grandir dans des chambres toutes neuves dont ils seraient fiers.
Sympa mais loin d’être fait : « On a peur que ce soit trop cher pour nous ». Thierry est agent de sécurité, Sabrina est hôtesse de caisse. À Einsenhower, ils paient 480 euros de loyer, ils sont prêts à monter jusqu’à 600 euros mais pas plus. « Il nous faudrait trois chambres alors ce sera juste ». L’agent de l’Udaf a pris note et doit revenir voir les Forest pour leur montrer les plans des appartements neufs. « Si ce n’est pas possible, on demandera à rester dans le quartier, en espérant bien tomber ».
La suite au prochain épisode.
Catherine FREY
*Union nationale des associations familiales.
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La bibliothèque municipale de Reims organise le dimanche 25 avril une nouvelle vente de ses documents « désherbés » sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge, avec l’opération « Vos héros pour 1 euro ». La médiathèque sera exceptionnellement ouverte de 10 à 18 heures (entrée libre).
En 2009, pour sa 1re édition, l’opération avait reçu près de 1.500 visiteurs et 7.000 documents y avaient été vendus (90 % du stock à vendre) pour une recette de 8 000 €.
Cette année, la bibliothèque municipale mettra 10.000 ouvrages en vente publique. Il s’agit des documents que la bibliothèque retire de ses rayonnages pour faire de la place aux nouveautés ; ils ne sont pas déposés à la bibliothèque Carnegie pour être conservés parce qu’il en existe déjà d’autres exemplaires dans ses collections.
« Vos héros à des prix sans concurrence » : pastille blanche : 1 €, pastille verte : 2 €. (10 achats maximum par personne, revente interdite).
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar.
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Avec le décès de Patrick Fossier, l’association Multi-Échanges perd un de ses plus fidèles bénévoles.
Né en 1945, originaire du Rethélois, il était impliqué dans cette association depuis toujours. Il y a rendu de nombreux services, essentiellement dans le cadre de l’aide à la préparation d’examens, l’accompagnement scolaire et l’aide administrative.
Il a aussi « dépanné » de nombreuses personnes en informatique, domaine où il excellait ! Il avait notamment mis au point un logiciel pour « l’échange des Services ».
« Malgré son handicap dont il ne se plaignait jamais, Patrick était très proche de nous tous, toujours disponible et à l’écoute, portant attention à la vie de chacun avec le plus grand respect », se souvient Martine Massart, présidente de la MutES : « C’était un homme exceptionnel, très cultivé sans pour autant s’en vanter ni se mettre en avant, d’une très grande simplicité, d’une gentillesse sans borne ».
« La MutES perd un véritable « ami des hommes », au sens noble du terme ! Il s’est éteint dimanche soir, comme il a toujours vécu, dans la plus grande discrétion. Nous en sommes tous peinés, et nous allons le regretter. »
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Reims Management School vient d’obtenir l’accréditation américaine AACSB (Association to Advance Collegiale Schools of Business). « Avec cette troisième accréditation internationale d’origine nord-américaine, RMS entre dans le cercle prestigieux des écoles de management détentrices de la Triple couronne », souligne l’école de commerce de la CCI de Reims. A savoir EQUIS (European Quality Improvement System), AMBA (Association of MBAs), et maintenant AACSB. Sur le plan mondial, moins de 1 % des écoles de management disposent de ces trois labels d’excellence.
Pour RMS, école de 4 200 étudiants, ce label international vient récompenser quatre années d’audit et de contrôles très exigeants. Au-delà de la reconnaissance du travail accompli, la Triple couronne est une garantie de « l’excellence académique de ses formations », de ses diplômes dans le monde entier, et d’une confiance dans la stratégie adoptée.
Pour les étudiants, cette accréditation « garantit des programmes en constante évolution », se félicite RMS, « un enseignement performant, innovant, et en étroite synergie avec le monde de l’entreprise ».
C’est la garantie que les programmes sont délivrés par des professeurs très qualifiés, avec une reconnaissance internationale des diplômes délivrés. Côté entreprises, l’accréditation vient confirmer la qualité des diplômes délivrés.
François Bonvalet, le directeur de RMS, ose la comparaison de cette Triple couronne avec un Trois étoiles au guide Michelin. « Vis-à-vis de la concurrence internationale et des étudiants, cela nous positionne aux meilleurs rangs. Aux yeux d’un étudiant chinois ou chilien, cette triple accréditation permet de nous identifier. En France, cela nous donne un avantage de marché pour des étudiants de classes prépa, sortant de formations après bac ». Vu du continent américain, « qui concentre le plus de grandes business schools, c’est un label de qualité. Les Américains sont très normatifs. Ils ont besoin de signes forts pour se rassurer ».
En allant chercher le trophée de RMS aux États-Unis, François Bonvalet s’attend à discuter partenariats. « C’est un label qui va aussi rendre l’école plus attractive pour les professeurs qui caressent une carrière internationale. Nous avons de plus en plus d’enseignants étrangers. » Le directeur de RMS pense également aux retombées en interne de cette accréditation : « Ça booste tout le monde. »
D.H.
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Margaux Abib-Gruet est montée sur la troisième marche du podium (minimes 2) des championnats de France de danse sur glace qui se déroulaient ce week-end à Dijon. La cerise sur le gâteau pour son club, le Reims Acrap Patinage (RAP), qui avait qualifié six de ses membres pour cette épreuve, ce qui place la structure rémoise au cinquième rang national en nombre de sélectionnés pour ces « France ». De quoi réjouir ses entraîneurs, Ludivine Lemaire et Jourdao Da Barbara.
Pour sa troisième sélection aux « France » (seuls les 10 premiers à l’issue des « Tournois de France » sont qualifiés), Margaux trouve là la récompense de huit ans de pratique, à raison de 8 à 10 heures par semaine ces quatre dernières années. « C’est une question d’organisation, explique Margaux. J’y vais entre midi et une heure, les mercredis et samedi après-midi et les vendredis soirs. »
Cette collégienne de 4e (« très bonne élève » selon Jean-Luc Ployé, son beau-père et conseiller communication du club) s’est mise sur de bons rails avec une deuxième place aux imposés. « Avec une valse remarquable au second passage » insiste Annie Manceux, la secrétaire du RAP. Le libre (6e) lui fera perdre une place dans une compétition particulièrement serrée : 45 centièmes de retard sur la 2e et 37 d’avance sur la 4e ! « Ce résultat me pousse à continuer, reconnaît cette jeune fille de 13 ans et demi. L’année prochaine, en catégorie argent 1ere année, je viserai le titre ! »
Camille Renault et Solène Manceaux ont failli l’imiter. Ces habitués des qualifications aux « France » (respectivement 5e et 6e sélection) ont parfaitement réussi leurs imposés. Surtout Camille (2e en benjamines 1 en 2006, ce qui était jusqu’alors l’unique médaille aux « France » du RAP) qui était alors en tête ! Son libre n’a pas été raté (6e) mais les écarts très faibles entre les concurrentes l’ont fait redescendre à la 5e place finale.
Solène est, elle, passée de la 4e place après les imposées à la 5e de la compétition à cause d’une chute dans les derniers instants du libre (8e), qui lui a donc coûté un point et une place.
Jeanne Reppel (benjamines 2) et Justine Delaunois (espoirs 2), outre le fait que ce soient la… benjamine (et la plus petite en taille) et l’aînée (et la plus grande) du groupe rémois, n’ont eu que des points communs : première sélection, 9e en imposés, 5e au libre et 7e au général. Enfin, pour sa deuxième participation aux « France », Juliette Wary finit 8e (9e aux imposés et 8e au libre) en minimes 1.
Cyrille COUTENCEAU
Il y avait une autre Marnaise en lice : la Chalonnaise Marion Lecomte a terminé 10e en benjamins 2 (8e en imposés, 10e en libre).
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Le challenge NPCA (Nord - Picardie - Champagne-Ardenne) a réuni les patineurs de ces trois régions à travers trois rendez-vous.
En janvier, Charleville a organisé la première étape, puis Valenciennes en mars et enfin Reims pour clore ce challenge ce week-end.
Il y avait une compétition individuelle mais aussi une compétition par équipes. C’est le club rémois du CPAR (941 points) qui a remporté ce challenge en devançant largement Charleville (458) et Troyes (212).
Les participants avaient la possibilité de prendre part à trois épreuves pour ramener le maximum de points.
1ère ÉPREUVE : COMPÉTITION DE DIVISION 3
Poussins garçons : Louis Szydlowski (Charleville).
Avenir filles :Manon Legendre (CPAR), 2. Fanny Hardy (CPAR), 3. Ylona Prey (CPAR).
Avenir garçons : 1. Corentin Guillomin (Charleville), Samuel Cardan (CPAR).
Minimes filles : 1. Mélanie Gabreau (CPAR), 2. Morgann Prey (CPAR).
Novices filles : 1. Océane Forgeait (CPAR), 2. Justine Laroussi (CPAR).
Junior - seniors filles : 1. Camille Nicolats (CPAR), 2. Caroline Jacques (CPAR), 3. Cécile Husson (CPAR).
2e ÉPREUVE : EXHIBITION
Catégorie A : 1. Océane Forgeait (CPAR), 2. Manon Legendre (CPAR), Fanny Hardy (CPAR).
Catégorie B : 1. Cécile Biron (CPAR)
3e ÉPREUVE COUPE DES SACRES
Avenir filles catégorie 1 : 3. Axelle Metral (CPAR).
Avenir filles catégorie 2 : 2. Loua Anne Dumerchez (Charleville).
Avenir garçons catégorie 2 : 1. Sasha Stringer (Charleville), 2. Arthur Szydlowski (Charleviile).
Avenir filles catégorie 3 : 1. Lili Rose Plomion (ACRAP).
Avenir garçons catégorie 1 : 1. Pierre Hassoun (Charleville).
Avenir garçons catégorie 3 : 1. Louis Szydlowski (Charleville).
Avenir garçons catégorie 4 : 1. Samuel Cadart (CPAR), Corentin Guillemin (Charleviile).
Minimes filles catégorie 1 : Emma Coulon (CPAR), 2. Camille Cambrelin (CPAR), 3. Morgane Moha (CPAR).
Minimes garçons catégorie 1 : 1. Alexis Dieudonne (ACRAP).
Minimes filles catégorie 2 : 1. Emma De Bruyn (Charleville).
Minimes filles catégorie 3 : 1. Anaïs Charles (Charleville), Annaelle Boitelet (Charleville).
Minimes garçons catégorie 3 : 1. Robin Ludet (CPAR), 2. Tom Hardy (CPAR).
Minimes filles catégorie 4 : 1. Fanny Hardy (CPAR), 2. Manon Legendre (CPAR), 3. Cassandre Berweiller (CPAR).
Novices filles catégorie 4 : 2. Morgann Prey (CPAR), 3. Mélanie Gabreau (CPAR).
Novices filles catégorie 5 : 1. Marion Etiennot (CPAR).
Star garçons catégorie 1 : 1. Jonathan Arbelin (ACRAP).
Star filles catégorie 2 : 1. Ekaterina Shelek (Charleville), 2. Pauline Hologne (CPAR).
Star filles catégorie 4 : Caroline Negroni (CPAR), 2. Lucite Sarrazin (CPAR), 3. Inès Martelleur (ACRAP).
Star filles catégorie 5 : 1. Océane Forgeait (CPAR), Justine Laroussi (CPAR), 3. Camille Nicolats (CPAR).
Star filles catégorie 6 : 1. Justine Bocquillon.
Un dramatique accident de scooter a fait deux blessés, dont un grave, dimanche matin à Écueil,près de Reims. S’ils n’ont pas entendu le bruit provoqué par l’accident lui-même, les 365 habitants de ce petit village du canton de Ville-en-Tardenois ont sans aucun doute été tirés de leur sommeil aux alentours de 4 h 30, par la sirène de véhicules de secours.
Il est près de 4 h 25, lorsque le propriétaire d’une habitation située pas très loin du centre de la commune alerte les pompiers. Le mur de sa maison vient d’être violemment percuté par un scooter sur lequel se trouvaient deux personnes. Le choc a été particulièrement violent.
Sur place, les pompiers de Reims prennent en charge deux hommes, âgés de 23 et 31 ans, domiciliés dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Le plus jeune, le pilote de l’engin est le plus sérieusement touché.
Il sera évacué par l’équipe médicale du SMUR vers le CHU de Reims avant d’être hospitalisé dans le service de réanimation. Son passager, dont l’état de santé inspire moins d’inquiétudes, est transporté vers les urgences du CHU par les pompiers.
L’enquête de gendarmerie devrait permettre d’établir les circonstances exactes de cette dramatique sortie de route, qui n’a semble-t-il mis en cause que le deux-roues.
Le dépistage d’alcoolémie n’a pas pu être effectué sur place en raison de la gravité des blessures des deux victimes.
C.L
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Le groupement d’associations de défense des locataires (GADL) qui regroupe sept associations rémoises des trois organismes logeurs, le Foyer rémois, l’Effort rémois et Reims habitat, vient de mettre en chantier « un projet de charte ou convention qui obligerait le bailleur à réaliser des travaux de rénovation dans les logements occupés par des locataires depuis vingt, trente voire quarante ans : ces logements, qui n’ont subi aucune mutation de locataires, ont des équipements d’origine qui ne sont plus aux normes (compteur électrique, sanitaires, chauffe-eau,…) ainsi que des revêtements de sol usés ».
Exemple donné par Danielle Bonfils, en assemblée générale de l’association At’Hom (locataires de l’Effort rémois) : « Nous avons assisté à un état des lieux chez une locataire qui est rentré dans un appartement où aucun remise en état n’avait été faite ; seuls du papier peint et de la peinture lui avaient été donnés. Nous avons fait venir le directeur de la clientèle dans cet appartement, et avec beaucoup de mal nous avons réussi à faire effectuer une remise en peinture de plafonds et de murs dans certaines pièces ! »
L’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) fêtera ses 40 ans d’âge le 3 novembre prochain. Pour cette manifestation, le président Genesseau recherche des documents d’époque (écrits, photos, cartes postales,…).
S’adresser au secrétariat, 11, avenue du président Kennedy (derrière l’hippodrome), ouvert du lundi au jeudi de 13 à 17 heures et le vendredi de 9 à 11 heures.
Tél. 03.26.06.39.54.
Danielle Bonfils est aux commandes de l’association At’Hom.
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Le secteur At’Hom, ce sont 150 logements, au 1-3-5 allée Jacques-Simon et au 1-3 allée Yves-Gandon.
L’association de défense des locataires de l’Effort rémois du secteur At’Hom a son siège et sa boîte aux lettres associative au 1, allée Yves-Gandon.
La présidente est Danielle Bonfils que l’on peut joindre au 03.26.86.10.03.
Un local associatif vient d’être accordé par l’Effort rémois, un petit studio au 2e étage de l’immeuble, porte D, au 1, allée Yves-Gandon.
Des permanences y sont organisées les 2e et 4e mardis de chaque mois, de 14 h 30 à 16 h 30.
L’association est membre du Groupement d’associations de défense des locataires (GADL), elle est affiliée à l’Association Force Ouvrière des Consommateurs (Afoc).
La présidente est membre du conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts-de-Murigny dans le collège des associations et elle participe au conseil de concertation locative de l’Effort rémois.
Un nouveau conseil d’administration vient d’être constitué :
présidente, Danielle Bonfils ;
vice-présidentes, Yvette Bréhaut et Charline Van Compernol ;
secrétaire, Marie-Noëlle Dimanche ;
secrétaire adjoint, Jean-Pierre Rasselet ;
trésorière, Josette Achain ;
trésorier adjoint, Alain Deboste ;
administrateurs, Rose-Marie De Feyter (sortante), Denis Gervais (nouveau membre), Michèle Olmiccia (nouveau membre) et José Perez (nouveau membre).
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Lisez le rapport d’activités de la présidente
L’association Étoile Croix-du-Sud organise une brocante le samedi 1er mai sur l’esplanade Paul-Cézanne, dès 6 heures le matin, réservée aux particuliers non professionnels.
Renseignements, inscriptions et réservation des emplacements avant le vendredi 23 avril au secrétariat 5, avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66. ou 09.60.18.69.30.).
Dimanche 25 avril, de 10 à 18 heures, objectif braderie sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge avec l’opération « Vos héros pour 1 euro ! ».
À côté du traditionnel marché aux livres de la place du Forum, ce rendez-vous proposera un nouveau temps festif, dans un quartier en pleine mutation.
La bibliothèque municipale mettra en effet 10 000 ouvrages en vente publique à un tarif plus qu’abordable : de 1 à 2 € par document (10 achats maximum par personne, revente interdite).
Dans notre édition de mercredi, nous avons évoqué le vandalisme perpétré à l’encontre d’une voiture de l’union dans le quartier Wilson.
L’article était malencontreusement accompagné du surtitre « Quartier Croix-Rouge ».
Nous prions les habitants de ce quartier de bien vouloir ne pas nous en tenir rigueur.
Avec toutes nos excuses.
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Sur le secteur Eisenhower-Université, Claude Stoltz a créé une amicale de locataires sous le nom de « Club 47 ». Devant son succès, la petite structure est devenue l’ULCR, « Union des locataires de Croix-Rouge » (tél. 03.52.45.91.80.).
Le siège social, la boîte aux lettres associative et le local associatif sont installés au 52, esplanade Eisenhower où une permanence est assurée le mardi de 14à 16 heures. L’association est membre du Groupement des associations de défense des locataires de Reims (GADL), elle est affiliée à la Confédération générale du logement (CGL) et la présidente siège au conseil d’administration de Reims habitat.
Pour la défense des locataires des 191 logements de l’Effort rémois sur les secteurs Daudet, Bergson, Royer et Bernanos, l’association « Les Polygones » a son siège au 8, rue Georges-Bernanos, avec boîte aux lettres associative (tél. 06.81.41.06.72) et elle est présidée par Bernadette Érard. Elle ne bénéficie toujours pas de local associatif, demandé depuis bientôt huit ans : l’ancienne présidente devait assurer des permanences sur son palier.
L’association est affiliée à l’Association Force Ouvrière des Consommateurs (Afoc). La vice-présidente, Geneviève Kaczowka, est conseillère municipale et elle participe aux conseils de concertation locative de l’Effort rémois, du Foyer rémois, de Reims habitat et de l’Arca en qualité d’expert. L’association est membre du Groupement des associations de défense des locataires de Reims (GADL) dont Geneviève Kaczowka est présidente.
L’hebdo du vendredi- n° 164 - 100416b
Grand déballage
La médiathèque Croix-Rouge organise dimanche 25 avril de 10h à 18h sur son parvis, une grande vente de livres, CD et revues… à UN euro !
Il s’agit de documents en bon état que la bibliothèque retire chaque année de ses rayonnages pour faire de la place aux nouveautés et parce qu’ils sont moins demandés par le public.
Entrée libre et gratuite. Renseignements au 03 26 35 68 00.
Sur le ring
Un gala de boxe se déroulera samedi 24 avril à partir de 20h à la Halle Universitaire Croix Rouge de Reims.
Il consistera en la démonstration des différentes boxes : thaïlandaise (muay thaï), américaine (full contact) et anglaise.
Des animations sont prévues comme la venue des pom-pom girls de Tinqueux, ainsi qu’une équipe de Capoeïra championne de France. Les démonstrations de boxe seront entrecoupées par ces animations.
Restauration sur place. Entrée : 3 €.
Le CPAR Reims et la glace du Nautilud accueillent la finale du Challenge Nord - Picardie -Champagne-Ardenne pendant deux jours.
Trois compétitions seront livrées à l’appétit des jeunes patineurs : la Division 3, une épreuve exhibition et la finale NPCA proprement dite. Au total, ce sont un peu plus de 150 patineurs (181 passages) représentant sept clubs (dont les régionaux du CPAR, du Rap, de Charleville et de Troyes) qui s’élanceront à l’assaut des podiums rémois.
DEMAIN. - 8 heures - 10 h 20 : épreuve Division 3 ; 10 h 20 -12 h 30 : exhibition ; 13 heures -19 h 50 : challenge NPCA.
DIMANCHE. - 8 heures -12 h 25 : suite du Challenge NPCA.
De g. à d., de h. en b. : Jeanne Reppel, Juliette Wary, Margaux Abib-Gruet, Camille Renault, Solène Manceaux et Justine Delaunois.
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Après une saison riche en efforts, six jeunes patineuses du Reims Acrap patinage (10e club français sur 36 après les tournois de France) ont décroché leur place pour les championnats de France qui se déroulent ce week-end à Dijon.
Les très bons résultats réalisés lors des Tournois de France ont assuré la qualification de Jeanne Reppel (Benjamins 2), Juliette Wary (Minimes 1), Margaux Abib-Gruet (Minimes 2), Camille Renault (Novices 1), Solène Manceaux (Espoirs 1) et Justine Delaunois (Espoirs 2). Ces danseuses pourront confirmer les jolies prouesses effectuées tout au long de la saison en interprétant deux danses imposées (tirées au sort) et leur programme libre.
Les deux semaines de vacances scolaires ont permis aux danseuses de peaufiner leurs chorégraphies et de perfectionner les éléments imposés sous l’œil avisé mais bienveillant de l’entraîneur Jourdao Da Barbara (en remplacement de Ludivine Lemaire en congé maternité).
Ces qualifications pour les France constituent l’apogée de la saison pour tout un club et ces jeunes patineuses, avec pour seul objectif, celui de la finir en beauté… et pourquoi pas des podiums !
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Sur la patinoire Jacques-Barot, ce mardi, ce ne sont pas moins d’une bonne centaine d’enfants, âgés de 6 à 15 ans, qui évoluent sur la glace. « C’est une activité qui prend son envol, nous avons même dû refuser des inscriptions », constate Sami Smaili, coordinateur du Pôle Sport de l’association des maisons de quartier. Encadrés par Vladimir Kovin et François Dusseau, les deux entraîneurs du Reims Champagne Hockey, secondés par des membres seniors et juniors du club, les jeunes ont été répartis en trois ateliers : les débutants, ceux qui savent déjà un peu patiner et enfin ceux qui veulent vraiment une initiation au hockey, apprendre à lancer, faire des passes et jouer de petits matches.
400 jeunes ont expérimenté le hockey en quatre séances. Malgré l’effectif, il n’y a pas eu un seul accident. « Nous faisons très attention et les animateurs nous donnent un coup de main », explique François Dusseau, qui ne cache pas sa satisfaction : « C’est un projet que nous avons développé il y a plus d’un an et pour lequel nous avons de plus en plus de demandes. » Les raisons du succès ? « C’est un sport d’équipe, accessible à tous niveaux, où on peut rapidement jouer et se faire plaisir. » L’idée marche tellement bien que le club aurait besoin de plus de matériel, casques, crosses, cerceaux, plots, pour enrichir l’activité. Et ils rêvent d’une journée supplémentaire aux prochaines vacances…
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Ça pousse entre les rails. D’ici l’été, les 6 km de ligne qui doivent être engazonnés seront presque tous verts.
ÇA verdit. Ça verdit rue Laberte, ça verdit boulevard des Belges, ça va verdir du côté de Blum à Croix-Rouge et très bientôt sur l’avenue de-Gaulle.
Le gazon commence à pointer ses brins sur la ligne de tramway. Il va bientôt donner un bon coup de vert à la ville. « On a commencé il y a trois semaines et on devrait finir l’engazonnement à la mi-juin, au plus tard en septembre sur les derniers tronçons », explique Jean-Marc Girard.
Le responsable de l’engazonnement fait partie du consortium choisi par Mars pour s’occuper de semer sur toute la ligne. Deux entreprises rémoises le composent dont Actuel Paysage et ISS. Elles ont fait le choix d’un gazon résistant, qui boit peu, qui ne pousse pas vite et surtout qui s’épanouit dans un sol peu épais : « Nous ne posons que 17 centimètres de terre végétale au-dessus du béton. » Un système de drainage et d’arrosage est aussi intégré : « On place les tuyaux et ensuite l’arrosage sera programmé. Comme la terre est peu épaisse, l’eau s’évacuera très vite. C’est pourquoi le gazon doit pouvoir résister à des variations rapides d’hydrométrie. » Bref, c’est un gazon qui va vivre stressé.
Une benne dont les roues ont été adaptées aux rails distribue la terre puis le gazon est semé mécaniquement. « La terre est mélangée avec du sable et des matières organiques pour aider à la pousse. » Sur les 11 kilomètres de ligne, 6 seront engazonnés.
Le choix a été fait de semer plutôt que de poser des rouleaux : « Le gazon semé est plus résistant que celui qu’on apporte tout fait. Normalement on sèmera partout sauf si des tronçons de voie nous sont livrés un peu tard. » Mars a prévu un budget gazon de 1,4 million d’euros. « Ça risque de paraître cher au simple particulier mais ils ne doivent pas comparer avec leur jardin. On ne sème pas le même gazon que Monsieur tout le monde. » Il faut qu’il dure : « La durée d’un gazon dépend de la qualité de son entretien. S’il est bien bichonné, il tiendra quinze-vingt ans ». Comme on est lié par un contrat de trente ans avec Mars, on peut en déduire qu’il ne le changera qu’une fois. En attendant, ça pousse.
Catherine FREY
A Bordeaux, certaines portions, où le gazon est peu dense, tournent vite à la gadoue sous la pluie.
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Certaines villes qui ont mis du gazon sous leur tram en sont revenues. Il ne pousse pas toujours comme il faut et se révèle peu écologique. À Bordeaux, il est fortement question de s’en passer sur les lignes à venir : « Rien n’est encore décidé, mais on y réfléchit », confie-t-on à la communauté urbaine bordelaise.
Ils s’interrogent car le gazon n’a pas bien tenu partout : « Selon l’exposition, nous avons des portions de la ligne où il est très beau et d’autres où ce n’est pas concluant. » Quand ce n’est pas concluant, ça ressemble à une pelouse grillée et dispersée qui devient vite de la gadoue sous une pluie forte.
Paris qui prépare le prolongement de son tramway T3 a décidé de continuer à végétaliser mais réfléchit à troquer le gazon contre une plante moins consommatrice d’eau et qui nécessite moins d’entretien (moins de tontes).
Les élus verts du conseil de Paris ont proposé de planter du thym à la place du gazon. Rien n’est décidé mais une « expérimentation est en cours en arrière gare de la porte d’Ivry. Nous jugerons du résultat au printemps 2011 », précise-t-on à la RATP. Si ça marche les lignes de tram pourrait avoir des senteurs du sud. À quand un tram au milieu de champs de lavande ?
Dans le cadre du cycle de conférences sur le XIXe siècle qu’il anime au centre culturel Saint-Exupéry, l’historien d’art Jean-Joseph Dardennes donnera une conférence sur Henri de Toulouse Lautrec le mardi 20 avril à 19 heures.
Elles dansent le cancan, lèvent haut la jambe gainée de noir, font virevolter leurs chevilles.
Ainsi sont les femmes saisies par le pinceau d’Henri de Toulouse-Lautrec. Lui seul saura rendre par le tableau, la toile peinte, la lithographie et l’affiche, ce monde de la Fête parisienne frétillante sous le regard des néo-impressionnistes, pointillistes et autres cloisonnistes.
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REIMS (Marne). C’est une entreprise qui fabrique des corbeilles à papier. Avec un capital, des actionnaires, un Pdg… Tout son organigramme est constitué de lycéens.
ELLE s’appelle Poub’and co. C’est une entreprise qui fabrique des corbeilles à papier. Comme toutes les entreprises, elle a un Pdg, des directeurs généraux, un directeur financier, un directeur administratif, un directeur commercial, un capital, des actionnaires etc. La seule différence notable par rapport à une « boîte » ordinaire, c’est que le Pdg, Manon, a 17 ans, et le reste de l’organigramme n’est guère plus âgé : Kevin et Leroy, les « dirgé », ont 18 ans, Fatima, Monica, Claire et Dylan, qui occupent les autres postes de direction, sont dans la même tranche d’âge. Quant aux actionnaires, ce sont tous les élèves de leur classe, la 1ère commerce du lycée Joliot-Curie. Sous la houlette de leur professeur de vente Louiza Behdouche et de celui d’art appliqué Mme Coppin, ces jeunes gens ont fondé leur « mini-entreprise ». « Un concept qui existe déjà depuis des dizaines d’années aux Etat-Unis, explique l’enseignante, mais que nous lançons ici à Joliot-curie pour la première fois. » Le but est de faire toucher du doigt à ces lycéens la réalité de l’entreprise.
Apparemment ça marche, ces apprentis entrepreneurs répondent comme des pros : « Nous utilisons comme matière première du papier usagé déchiqueté, explique ainsi Dylan le directeur technique, que nous collons sur des poubelles en plastique qui servent de matrices. Le temps de fabrication est d’une demi-heure à une heure. Le temps de séchage d’une semaine à dix jours. »
Question au directeur financier à présent, Fatima : Comment avez-vous acheté vos matières premières ? Vous avez dû emprunter ? « Non, nous avons constitué un capital de départ en vendant dans la classe des actions à 4 euros. Le papier recyclé ne nous coûte rien ; nous avons dû seulement acheter la colle, plus quelques poubelles en plastique. » Au tour du directeur commercial, Monica : Avez-vous déjà des clients ? « Oui, nous avons déjà vendu une trentaine de poubelles à 5 euros lors des portes ouvertes. L’objectif est un chiffre d’affaires de 500 euros, pour cent poubelles vendues. Pour cela, nous allons prospecter, notamment auprès des banques et des écoles. »
« L’entreprise tourne avec 27 personnes, complète la Pdg, les élèves de la classe. » On ne peut pas parler de salariés, puisqu’ils ont tous choisi, patron compris, de ne pas percevoir de salaires : « Les éventuels bénéfices seront versés pour partie à une association pour partie serviront à acheter du matériel écologique pour le lycée. » Et socialement comment va Poub’and co ? Plutôt bien semble-t-il, en tout cas pas de grève dans l’air, au contraire, « ce projet renforce l’esprit de groupe entre nous », affirme Manon. Ouf ! Pas de lutte des classes au sein de la classe. Pourvu que dans la vraie vie tout se passe aussi bien pour ces jeunes…
A.P.
Fait pas bon célébrer son anniversaire dans la salle François-Mauriac à Croix-Rouge.
Le 26 février dernier, alors que la fête bat son plein à l’intérieur, deux invités, un gars une fille, sortent prendre l’air.
C’est alors que surgit une bande de quinze gamins du quartier pas invités à la fête et prêts à en découdre. Ils s’en prennent au couple et distribuent des coups de poing au garçon comme à la fille avant de s’enfuir.
Après enquête minutieuse et recoupements, la police a arrêté lundi l’un des agresseurs. Mineur, il sera présenté au juge des enfants.
Société : SEVEN ORGANISATION. Forme : S.A.R.L.
Capital : 7.800 euros
Siège : 12, rue de Rilly-la-Montagne, 51100 Reims
RCS : 483 034 955
Suivant A.G.O. en date du 27 mars 2010, les associés de la société ont décidé de modifier
la dénomination sociale.
Ancienne mention : SEVEN ORGANISATION.
Nouvelle mention : MÉDIAS 7.
L’adresse du siège social à compter du 1er avril 2010.
Ancien siège social : 12, rue de Rilly-la-Montagne, 51100 Reims.
Nouveau siège social : 34, rue Landouzy, 51100 Reims.
Et l’objet social : communication publicitaire graphique imprimée et médias.
Formalités seront faites au R.C.S. de Reims.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100413c
Numéro 7337 du 12 au 18 avril 2010.
TOUTE PERSONNE AYANT CRÉÉ OU REPRIS UNE ENTREPRISE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA MARNE ENTRE LE 1’ JANVIER 2005 ET LE 18 JUIN 2010 PEUT PARTICIPER À LA 12e ÉDITION DE REIMS CREATOR.
L’esprit d’initiative, l’innovation et l’imagination sont nécessaires face aux difficultés économiques pour créer des sources de revenu et des emplois. REIMS CREATOR, le concours de la création et de la reprise d’entreprise permet d’encourager les créateurs et repreneurs d’entreprise dans leurs initiatives. Les dossiers des candidats à retourner au plus tard le 18 juin 2010 seront étudiés par le jury qui retiendra 20 nominés. Ces 20 créateurs présenteront leur activité au Centre des congrès de Reims, le 21 octobre, jour de la remise de prix. Parmi ces 20 nominés, sept lauréats se partageront une dotation de 65 000 €.
Renseignements au 03 26 77 87 55 sur le site internet : www.ville-reims.fr rubrique vie économique
NOM ?D0S
Société d’Avocats
10 boulevard Lundy - B.P. 2105
51074 REIMS CEDEX
Avis est donné de la constitution en date du 1er avril 2010 par acte sous seing privé, pour une durée de 99 années, d’une société civile immobilière qui sera immatriculée au R.C.S. de REIMS, dénommée "SCI ONYLIGNE", au capital de 1.000 €, ayant pour objet la propriété, l’administration, la gestion et l’exploitation par bail, location ou autrement, de tous immeubles bâtis ou non bâtis.
Son siège social est à REIMS (51100), Allée des Landais.
Son gérant est Monsieur Eric PLACET, demeurant à REIMS (51100), 23 rue des Templiers.
AGREMENT DES CESSIONNAIRES : Les parts sociales se transmettent librement entre associés. Elles ne peuvent être transmises à toute autre personne qu’avec le consentement de la société donné par un ou plusieurs associés représentant plus des deux tiers du capital social, le cédant prenant part au vote.
Pour avis : Le gérant.
84367
S.A.R.L. LASER
Siège social angle avenue d’Epernay et du Général-Bonaparte 51100 Reims
Registre du commerce et des sociétés de Reims n° 398.118.513
Au terme d’une délibération en date du 7 avril 2010, l’assemblée générale extraordinaire, des associés, statuant en application de l’article 68 de la loi du 24 juillet 1966, a décidé qu’il n’y avait pas lieu à dissolution anticipée de la société.
L’inscription modificative sera effectuée au registre du commerce et des sociétés de Reims.
Pour avis, le représentant légal.
51L1737443
Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.
L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet suivant http://agysoft.marcoweb.fr et du B.O.A.M.P et JOUE (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...)
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation appel d’offres ouvert suivant l’a, ticle 33 3%1. Et 57 à 59 du code des marchés publics.
3) Objet du marché marché de service exploitation de chaufferies collectives, de sous stations et de planchers chauffants desservant des logements, des locaux commerciaux et des locaux divers sur le patrimoine de REIMS HABITAT.
4) Lots : 3 lots
Lot 1 : succursale Centre Est,
Lot 2 : succursale Nord,
Lot 3 : succursales Murigny et Croix Rouge.
5) Délai d’exécution : La durée du marché est fixée à compter de la date de démarrage établie par ordre de service jusqu’au 30 juin 2011.
Elle pourra être renouvelée à compter du 1’ juillet de l’année suivante pour une durée de 1 an avec pour terme irrévocable le 30 juin 2015
6) Renseignements : renseignements administratifs auprès du service commande publique tél : 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.27.
Renseignements techniques auprès de la direction des programmes techniques spécifiques. Tél : 03.26.61.79.51, fax 03.26.48.43.40.
7) Date d’envoi à la publication : le 9 avril 2010.
8) Date limite de remise des offres : le 20 mai 2010 à 17 heures.
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De nombreux enfants âgés de 4 à 11 ans ont participé gratuitement aux activités proposées par la Ville dans le cadre de Ludosports. Initiation à l’athlétisme, sports collectifs avec ballons (basket, handball, football), rollers, tennis de table, parcours de motricité… Encadrés par des animateurs sympas, les enfants passent un bon moment et c’est pour certains l’occasion de découvrir des sports qu’ils ne connaissaient pas.
Activités le matin au gymnase Léo-Borgniet - quartier Croix-Rouge (4-5 ans et 6-11 ans) ; au gymnase Desbureaux - quartier Neufchâtel (4-5 ans et 6-11 ans) ; au gymnase Barbusse - quartier Cernay (4-5 ans et 6-11 ans) et au gymnase François-Legros - quartier Croix-Rouge (6-11 ans) - Initiation patinage, roller et roller hockey.
L’après-midi au gymnase Courcelles - quartier Clairmarais (6-11 ans) ; au gymnase Europe - quartier Europe (6-11 ans) ; au gymnase Gallieni - quartier Orgeval (6-11 ans), au gymnase Vasco de Gama - quartier les Châtillons (6-11 ans) et à la patinoire J. Barot - quartier Croix-Rouge - (4-5 ans et 6-11 ans) - Initiation patinage et Hockey sur glace.
Pour les parents intéressés, contacter la Ville au 0800.50.69.56.
Les jeunes de 12 à 16 ans vont pouvoir profiter des dizaines d’activités proposées : jeu de rôle au karting en passant par du BMX, claquettes, cuisine. Pour tous renseignements : 0800.50.69.56.
Pour les écoliers en CM1 et CM2, cette semaine peut être l’occasion de commencer à apprendre à nager, en s’inscrivant du mardi au jeudi de 9 h 30 à midi et de 12 à 14 heures, dans une des trois piscines Orgeval, Louvois ou Château d’eau.
Pour les enfants de plus de 7 ans ou les ados qui n’aiment pas le sport, possibilité de construire une abbaye du type Saint-Remi en participant à l’atelier gratuit, proposé au musée Saint-Remi jeudi 15 avril de 9 h 30 à midi ou de 14 à 16 h 30. Inscription au 03.26.35.36.91.
Mercredi 14 avril pour les enfants à partir de 7 ans, à 14 heures, atelier « De la ligne et de la couleur » par Emile Vast, illustratrice, platicienne, d’après les animaux présents dans les compositions de Foujita. Gratuit mais réservation obligatoire au 03.26.35.36.10.
Dimanche 18 avril à l’occasion de l’exposition « Foujita monumental ! Enfer et paradis », découverte en famille de ce peintre avec la remise gratuite d’un livret pour enfants.
Le club « Reims Echec et Mat » organise des séances d’initiation et de perfectionnement pour les jeunes et les ados cette semaine de 14 à 17 h (10 € la séance). De plus une journée « stage » (15 €) aura lieu mercredi 14 avril de 10 à 17 heures, avec pique-nique possible sur place.
13 rue de l’Adriatique. Informations sur www.reimsechecsetmat.com. Tel.03.26.07.17.07.
Pour tous les jeunes nés en 2000 ou 2001, journée portes ouvertes à l’école de foot du Stade de Reims, mercredi 14 avril au stade des Thiolettes (terrain synthétique). RDV à 13 h 30 pour les 2001 et à 16 heures pour les 2000. Possibilité de faire un entraînement avec les joueurs de l’école de foot du Stade de Reims.
Inscription préalable obligatoire auprès de Franzin Adélio : 06.07.86.16.07.
A.M.
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Malgré un vent frisquet qui balayait la pelouse et la piste de l’hippodrome, la journée des enfants a été une totale réussite, hier après-midi, à voir le nombre de poussettes, de familles et de gosses qui se sont retrouvés pour les animations gratuites ; tandis que les turfistes suivaient assidûment les exploits de leurs favoris dans les huit courses au trot attelées proposées.
Et pendant que Ramsès Vert remportait la quatrième course, Baptiste, 20 mois, troquant son cheval à bascule pour un vrai poney venu de « la Poudrière » de Nogent-l’Abbesse, faisait son baptême équin, Marine se faisait grimer en souris par Emmanuelle, Anita le clown et Louloute de Star anim sculptaient des ballons.
Tigrou saluaient les enfants, ses amis et une kyrielle de gosses glissaient dans les flancs d’un navire pirate. Plus nombreux, derrière les baies vitrées de l’hippodrome ou devant les télés que le long des mains courantes, le public a suivi avec plaisir cette nouvelle réunion rémoise (lire les résultats en chronique hippique).
Huit courses PMU seront au programme de la réunion du dimanche 18 avril à 13 h 30, intitulée : « En route vers la Ligue 2 ». Bonne nouvelle, tous les possesseurs d’un billet pour le match de la veille Reims-Plabennec pourront enter gratuitement, de même que ceux et celles qui porteront une tenue rouge et blanche.
Plusieurs animations sont prévues : démonstration des pom pom’s girls, dédicaces des joueurs du Stade, baby-foot humain, boutique du Stade, tombola, jeux gonflables.
Courses toujours le samedi 24 avril à partir de 19 heures avec sept courses au programme et une soirée bretonne avec chants celtiques, fruits de mer, crêpes et galettes.
Alain MOYAT
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Dia, un jeune de Croix-Rouge, lance sa ligne de vêtements mixtes avec un concept écologique. L’idée : un article vendu égale un arbre planté.
DIHA-EDDINE TOUTI, que ses amis surnomment Dia, est un jeune du quartier Croix-Rouge qui prépare le lancement officiel de sa marque de vêtements, & Dine Collection (il faut lire Eddine). Depuis gamin, le dessin le passionne et la mode le fascine mais c’est récemment qu’il a décidé de se lancer dans le grand bain par le biais d’un concept on ne peut plus original.
« J’ai découvert la mode lorsqu’un ami parisien a lancé ses vêtements. Je suis arrivé trois ans après qu’il ait débuté les démarches, j’ai pu voir tout le travail effectué avant le lancement proprement dit de ses vêtements en boutique », explique Dia.
C’est cette expérience qui déclenche le déclic chez Dia, qui lui donne envie de sortir sa collection, mais pas seulement. « Dans mon esprit, je voulais certes sortir des fringues mais en même temps en profiter pour associer ma marque à des valeurs que je défends comme les problèmes sociaux ou encore l’avenir de la planète. Après, m’est venue l’idée de me dire un vêtement vendu, un arbre planté ».
Le concept en tête, Dia commence son chemin et multiplie les démarches administratives nécessaires à la mise en place d’un tel projet.
« Déjà, j’ai déposé ma marque à l’Institut national de la propriété industrielle et j’ai protégé & Dine.com car mon site est en construction » précise le jeune homme. Loin du baratin écolo de beaucoup, Dia ne se cache pas derrière son concept pour simplement se faire connaître, puisqu’il est actuellement en pourparlers avec l’Office National des Forêts avec qui il voudrait mettre en place un partenariat quant à la plantation d’arbres liés à la vente de ses articles.
Durant son parcours, de nombreuses personnes séduites par son projet ont décidé de lui donner un coup de main, comme un jeune graphiste sorti de l’Esad qui lui bâtit son site internet et deux étudiants qui travaillent sur l’aspect promotion de la marque, dans le cadre de leurs études.
David Chung, réalisateur de dessins animés issu de l’école de Gobelins, est également en train de préparer une animation qui fera office de clip publicitaire.
Le lancement officiel est prévu pour le mois de janvier 2011 dans plusieurs boutiques du centre-ville rémois qui, elles aussi charmées par l’aspect écolo de & Dine collection, ont accepté de vendre les articles de Dia. L’aventure ne fait que commencer !
Thierry ACCAO FARIAS
Éric associé à Quiqui Gaillard, Anthony en selle sur Rookie Ada : la famille Duperche sera sur tous les fronts cet après-midi.
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Ambiance conviviale cet après-midi sur l’hippodrome de Champagne avec, en marge d’un programme hippique riche de huit épreuves, de multiples animations destinées aux plus petits. Ou comment découvrir et apprécier les spectacles de courses en famille.
3. Grand Prix du champagne Heucq
Attelé - 20 000 € - 2 600 m - 14 partants
Jeux simples, couplés, trio
Départ à 15 heures
Si le spectacle semble assuré, l’épreuve majeure de ce rendez-vous rémois apparaît bien difficile à analyser. Et ils sont très, trop nombreux à pouvoir postuler à la plus haute marche du podium.
A commencer par QUIQUI GAILLARD (14), lequel vient de rafler la mise à Mauquenchy face à Quartz Pile. Honorable auparavant à La Capelle, où il devait terminer en léger retrait d’un tournoi alors « épinglé » par Quif de Villeneuve, le représentant de Pascal Godey - « piloté » par Éric Duperche - découvre des conditions très avantageuses. Confirmé sur les tracés à main droite, il peut donc légitimement envisager la passe de deux.
Une perspective que ne partagera cependant pas QUEL DIAMANT (5), droitier patenté et qui n’a trouvé que Pétale Vrie, ici même lors de la première réunion PMU de la saison, pour briller de mille feux. Très estimé par son mentor, Christophe Nicole, ce fils de Diamant Gédé essaiera de rééditer sa prestation de la fin février à Lyon-La Soie, quand il s’était facilement joué de l’opposition, « avalant » au passage les 2 725 m du parcours sur le pied de 16’7. A l’issue d’un bon déroulement de course, il pourrait apporter une nouvelle satisfaction à son atypique propriétaire, Fabrice Coleman.
Reste que ce grand prix ne peut, et ne doit d’ailleurs, se résumer à ce mano a mano. Ainsi la candidature de PÉRIDOT d’ASCAMA (6) est-elle à prendre en considération. Certes à déconseiller aux âmes sensibles, ce pensionnaire de Benjamin Goetz - paré des couleurs de son frère Pierre-Emmanuel - est capable de faire un numéro en semblable compagnie. A la seule condition qu’il ne confonde pas vitesse et précipitation. Disqualifié à deux reprises lors de ses trois plus récentes prestations, il évoluera « sans chaussures » et mérite attention.
Au même titre que PRIORI (10), qui, s’il n’a pas encore retrouvé son meilleur niveau, conserve une belle carte à jouer. Sous la poigne d’un Pierre-Yves Verva en… verve, il comptera des supporters. Et ne surprendrait pas en figurant à l’arrivée de cette compétition.
QUARTZ de la CROIX (8), en regain de forme - comme en témoigne sa médaille d’argent conquise de haute lutte dans le sillage de Pinson Chaléonnais sur l’herbe de La Guerche -, et OFFUSQUER (9), déjà vu à son avantage sur ce tracé et en progrès sur sa récente sortie, chercheront à pimenter les rapports.
Une ambition que nourrira également QUEZAC SAINT JUVIN (12), auteur d’une rentrée sans prétention le jour de Pâques à Rambouillet mais qui affronte là un lot à sa portée
Notre choix : QUIQUI GAILLARD (14) puis Quel Diamant (5), Péridot d’Ascama (6), Priori (10), Quartz de la Croix (8), Offusquer (9) et Quezac Saint Juvin (12).
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Les 66 adhérents de la section football « enfants » de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) sont encadrés par Cyril Houppermans (à gauche sur la photo) et son équipe de bénévoles. En assemblée générale, l’animateur a regretté : « Depuis 20 ans, l’Acrap a un problème de maillots. Nos joueurs jouent avec des tenues dépareillées, ce qui se remarque lors des rencontres avec d’autres équipes qui, elles, sont équipées. Nous n’avons pas de sponsor pour fournir à nos joueurs un jeu intégral de maillots ».
Le problème risque d’être le même pour les 69 adhérents de la section football « seniors », animée par Jamal Chafik.
L’association de défense des locataires « Les Polygones » a édité un « Petit journal des Polygones » qui comporte les renseignements utiles à tous les habitants de ce secteur de Reims.
On y trouve des informations utiles à la vie de tous les jours et en particulier des numéros de téléphone qui permettent de joindre les personnes de l’Effort rémois qui peuvent répondre à la majorité des problèmes rencontrés par les résidents.
Les habitants, locataires et propriétaires, qui ne l’auraient pas reçu, peuvent le demander au siège de l’association, 8, rue Georges-Bernanos. Tél.06.81.41.06.72.
Alexandre Steyer, recteur de l’Académie de Reims et chancelier des Universités, a profité de la pose de la première pierre d’une résidence étudiante pour annoncer « l’ouverture, en plein cœur du quartier Croix-Rouge, d’une classe préparatoire unique au lycée François-Arago, vers les écoles d’ingénieurs, ouverte aux élèves titulaires d’un BTS ou d’un DUT ». Il a rappelé la valeur de cet établissement : « Les élèves y viennent de toute la France ! »
Pour protéger son parking aux Hauts-de-Murigny et éviter sa dégradation, Reims habitat a installé une barrière qui limite la hauteur des véhicules entrants. Résultat, les fourgons d’entreprise, n’ayant plus accès à ce parking, se replient désormais sur le parking voisin, de l’Effort rémois, au grand dam des locataires de l’association At’Hom qui en comptent parfois jusqu’à six : « Ces véhicules stationnent maintenant sur notre parking, qui subit à son tour des dégradations ! » proteste la présidente, Danielle Bonfils.
Aujourd’hui, à partir de 10 heures, bourse d’échanges au jardin d’horticulture Pierre-Schneiter avec la société d’horticulture de l’arrondissement de Reims.
Le logement était vide. Les pompiers ont déployé deux lances pour éteindre l’incendie dont l’origine reste à déterminer.
Plusieurs habitants du 1er sont sortis de l’immeuble avant l’arrivée des secours. Légèrement incommodé, l’un d’eux a reçu quelques soins mais il n’a pas été nécessaire de le transporter à l’hôpital.
Toujours jeudi, à 16 h 30, une poubelle a pris feu dans la cour d’un immeuble de la rue Paul-Vaillant-Couturier. Vers 19 heures, des papiers ont été incendiés rue Jeanne-Jugan, dans le hall d’entrée du n°5.
Demain dimanche 11 avril, courses à l’hippodrome de Reims avec, à partir de 13 h 30, huit courses au trot + une course école (hors PMH).
Possibilité de pique-niquer sur place (ouverture des portes à midi).
C’est aussi une spéciale journée des enfants avec de nombreuses animations : poneys, mascotte, maquillage, clown sculpteur de ballons, jeu gonflable, tombola.
Entrée : 2,50 €, gratuit pour les moins de 18 ans. Programme de pronostics gratuits. Possibilité d’aller au restaurant panoramique.
Une altercation aux origines confuses s’est terminée par des coups de couteau, jeudi vers 5 heures du matin, dans un appartement de l’allée Edgar-Degas à Reims, au quartier Croix-Rouge.
La victime aurait été prise à partie par trois autres personnes qui ont disparu avant l’arrivée des secours.
Frappé à cinq reprises (quatre fois dans le dos, une fois au thorax), Mallé Kanté, 30 ans, présentait autant de plaies saignantes, heureusement sans gravité.
Il a été conduit au CHU.
Ses agresseurs restent à identifier.
Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 31/03/2010, il a été constitué une société unipersonnelle à responsabilité limitée au capital de 750 euros, pour une durée de 99 ans,
dénommée E.U.R.L. DE PRIN, ayant pour objet marchand de biens immobiliers.
La société est sise au 31/37, rue du Colonel-Moll, 51100 Reims.
M. Alain GABIN, demeurant au 9, rue de Reims, 51370 Les Mesneux, a été nommé gérant
La société sera immatriculée au R.C.S. de Reims.
Le gérant, Alain GABIN
51L1736569
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La présidente, Danielle Bonfils, et son bureau étaient heureux d’accueillir cette année le public à leur assemblée générale, dans le local qui a été mis à leur disposition par l’Effort rémois le 1er octobre, après trois ans d’attente.
Des locataires ont aidé à l’installation et ont fourni mobilier, électroménager, informatique et vaisselle de récupération et le local, pimpant et décoré, était plein à craquer pour l’assemblée générale : locataires des secteurs Gandon et Simon, représentants du GADL (Groupement des associations de défense des locataires) et élus.
En écoutant le rapport d’activités de la présidente, on se rend compte que l’Effort rémois a réalisé de nombreuses interventions sur le secteur At’Hom, même s’il en reste encore de nombreuses autres en attente.
À la suite d’un incendie au 3-Gandon, l’ascenseur a été immobilisé plus d’un mois, et l’association a obtenu du bailleur une remise de 4,30 € par logement, déduite du loyer.
De même, après la destruction des caves, consécutive à ce même incendie, l’association a obtenu, du service des Impôts, la promesse d’une rectification de la valeur locative des appartements, d’où une réduction attendue de 12 à 15 € sur la taxe locative.
De « gros travaux » sont attendus cette année (rénovation électrique des parties communes et des logements sur tout le secteur Gandon et Simon), mais « avec une somme de 55.000 €, il est bien évident que seul un minimum de travaux va être effectué, sûrement pas grand chose ! »
Danielle Bonfils relate : « Nos interventions sont permanentes auprès de notre agence, puisque nous sommes fréquemment interpellés par les locataires pour des problèmes d’ascenseurs, de pannes électriques, de saleté des locaux vide-ordures, d’encombrants… »
Les permanences de l’association ont lieu les 2e et 4e mardis de chaque mois, de 14 h 30 à 16 h 30, au 1 allée Yves-Gandon - 2e étage porte D - avec ascenseur.
L’incivilité pose problèmes
Un gros souci : « Nous avons malheureusement à déplorer, depuis quelques mois, une certaine dégradation des lieux due a l’indiscipline et au manque de civisme de certains. Nous déplorons les incendies sur notre parking Adrien-Sénéchal, où dix véhicules ont été incendiés depuis Noël. Des tags figurent de plus en plus sur les murs, crachats et papiers gras dans les cages d’escalier, cabines d’ascenseur, souillures sur les vitres des halls d’entrée ! »
L’association recommande à chacun de rester vigilant avant d’ouvrir la porte d’entrée du rez-de-chaussée, pour éviter aux squatteurs de pénétrer dans l’immeuble.
Par ailleurs, « dans le garage souterrain, nous constatons la présence d’emballages, bouteilles de verre et parfois même de pièces automobiles ou batteries… Ce n’est pas acceptable ! »
Il a fallu, ici aussi, revenir « sur l’irresponsabilité des propriétaires de chiens qui ne ramassent pas les déjections canines de leurs animaux. La situation est devenue insupportable ! »
Enfin se pose également un problème de nuisances sonores : « Nous demandons à chacun de veiller à ne provoquer aucune gêne à son voisinage (musique trop importante, volets fermés trop bruyamment très tard ou trop tôt le matin, portes qui claquent, etc.) ».
Des collégiens désœuvrés ?
De nombreux locataires ont soulevé des problèmes relationnels avec les élèves du collège voisin Georges-Braque. Il faut dire que, selon eux, ils sont nombreux à arriver avant l’heure d’ouverture et, quand le temps est pluvieux, ce qui a été le cas souvent cet hiver, ils recherchent un abri, les halls des immeubles voisins les accueillent tout naturellement.
Par ailleurs, parmi ceux qui ne prennent pas leur repas au restaurant scolaire, un certain nombre mange un sandwich à l’extérieur : « Nous retrouvons alors les canettes et les papiers gras dans les halls d’entrée » ou un hamburger dans le voisinage. « Ils ont du temps à perdre avant la réouverture de l’après-midi et squattent les entrées. »
Le conseiller municipal, Michel Guillaudeau, va transmettre la suggestion de l’association de locataires au principal du collège : « Ouvrir le préau à 7 h 30 et l’aménager en lieu d’accueil ». L’adjoint à la voirie, Karim Mellouki, a évoqué « la prochaine création d’un conseil des jeunes pour canaliser l’énergie des ados et des jeunes et permettre leur expression ».
Enfin, le premier adjoint, Éric Quénard, va provoquer une réunion avec les deux associations du secteur, le collège Georges-Braque, les forces de police municipale et nationale, les médiateurs et la Ville de Reims « pour trouver ensemble une solution à ce problème ».
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Lisez le rapport d’activités de la présidente
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La grande réunion annuelle de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap), s’est déroulée dans la salle Jean-Jacques-Lapique, devant une trentaine de personnes.
Cette structure est la plus importante de Croix-Rouge avec 798 adhérents dans les sections sportives, 28 dans les commissions et une centaine de parents bénévoles.
Pour fonctionner correctement, cette énorme machine dispose d’un budget conséquent. Avec 191 969 € de recettes (dont une subvention municipale de 60 463 €) et 173 212 € de dépenses (dont 17 884 € de locations, entretien, réparations et maintenance), elle dégage pour l’exercice 2009, un résultat positif de 18 756 €, grâce à une gestion bien maîtrisée, qui porte les disponibilités de l’association à 60 357 €.
Comme le veut la tradition, toutes les sections ont lu au public leur bilan annuel d’activité : badminton (Vincent Lapauw), couture adultes (Bernadette Canu), danse classique moderne jazz et folklorique (Virginie Delauzun), danse rythmique, fitness step aérodanse (Isabelle), football enfants (Cyril Houppermans), football seniors (Jamal Chafik), gymnastique (Élisabeth Lorique), gymnastique rythmique sportive (GRS avec Cécile), karaté shorin ryu et kobudo d’Okinawa (Théodore Lê), majorettes (Magali Macadré), natation (Jeannine Catry), pétanque (Christian Gérard), temps libre (Bernadette Canu), tennis (Alain Lommé), travaux manuels (Bernadette Canu), viet vo dao (Franck Schmitt) et yoga (Agnès Legrand), de même que les commissions urbanisme (Alain Lommé), fêtes loisirs et information (Jean-Pierre Genesseau).
Jean-Pierre Genesseau, l’avait annoncé : « Notre assemblée générale sera le moment de faire le bilan de nos soucis, mais aussi de nos souhaits pour 2010. »
Cela n’a pas manqué et, dans son rapport moral, le président Genesseau a demandé une augmentation de subvention de 5.000 € pour faire face aux difficultés rencontrées : nécessité d’équiper les sections karaté et majorettes, mises aux normes des installations, entretien et maintenance des locaux, locations d’équipements sportifs élevées, besoin d’un minibus pour les déplacements d’équipes hors de Reims,…
Il a rappelé « les promesses faites par les élus, alors dans l’opposition, et qui, maintenant, sont les timoniers de la ville de Reims ».
La parole aux officiels
Antoinette Mabile représentait l’office des sports. Elle a annoncé que Théodore Lê, pour ses excellents résultats (deux médailles d’or à la Coupe du monde de karaté et de kobudo à Montremblant au Canada et trophée départemental 2009 du fair-play pour l’ensemble de sa carrière sportive), « sera honoré aux prochains Grands challenges des athlètes de Reims, au cours de la Fête des sports des 4 et 5 septembre ».
Le conseiller municipal, Michel Guillaudeau, a apprécié « les résultats financiers nettement positifs et des réserves solides ! »
Le premier adjoint, Éric Quénard, a regretté « la non-implication financière du conseil général et du conseil régional ». Bonnes nouvelles, « les coûts de location vont baisser de plus de 30 % à la suite des États généraux du sport » et « la Ville peut intervenir au niveau de la maîtrise des coûts (chauffage, isolation…) ». Dès la fin des travaux du tramway, la municipalité attaquera ses interventions sur les courts de tennis : « Le terrain de tennis devrait être utilisable avant l’été prochain. Puis ce sera le tour du boulodrome, avec un vrai terrain aux normes ». Enfin, « l’ouverture du gymnase Lapique a été retardée pour cause de travaux mal faits qui ont dû être refaits ».
Quant aux demandes de subventions spécifiques (football, majorettes, gala de danse à Tinqueux,…), le premier adjoint a suggéré que l’Acrap pourrait peut-être piocher dans ses 60 000 € de disponibilités…
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Lisez le rapport moral du président.
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Sur la glace de la patinoire Jacques-Barot, une quinzaine d’enfants de 6 à 12 ans s’essaient à la glisse. « Comme aux précédentes vacances, c’est un partenariat entre l’association des maisons de quartier et le Reims Acrap Patinage », précise Sami Smaïli, coordinateur du Pôle Sport.
Une initiation ludique, encadrée par des membres et un professionnel du club, comme l’explique Annie Manceaux, secrétaire : « Nous leur apprenons à glisser, freiner, se diriger. L’essentiel, c’est qu’ils s’amusent et aient envie de poursuivre ». Dans ce club, on pratique essentiellement la danse sur glace et l’artistique. Durant cette semaine, quatre séances ont lieu, du mardi au vendredi. Ce mercredi, c’était pour les enfants de la maison de quartier Turenne.
Un grand succès, comme le précise Jocelyne Renault, la vice-présidente : « C’est plus que concluant. Il faudrait que nous puissions avoir davantage de créneaux pour en accueillir plus, dans les meilleures conditions. Mais nous n’en avons pas les moyens pour le moment ».
Les enfants ont eu la chance d’être encadrés par des patineuses de haut niveau, puisque six d’entre elles ont été sélectionnées pour les championnats de France, dont Margaux Abib-Gruet, Camille Renault, Solène Manceaux et Justine Delaunois, qui étaient sur la piste ce mercredi. Les jeunes débutants avaient le sourire, malgré les inévitables gamelles : « Ils sont la moitié du temps par terre, mais y prennent beaucoup de plaisir ! » constatent les animatrices.
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Les rappeurs du groupe « Black Industrie » sortent une nouvelle compilation. Lancement : le 10 avril !
« IL ne faut pas faire d’amalgames, le nom de notre groupe n’est pas en rapport avec notre couleur de peau mais avec le fait qu’aujourd’hui, pour sortir un CD, il faut savoir faire preuve de débrouillardise. Ce nom est plus dans l’esprit du marché noir car, dans notre équipe, il y a des gens de toutes les couleurs, de toutes les origines », expliquent ARD, B-Choppe et Demi, les membres du groupe de rap Black Industrie.
Originaires de Croix-Rouge, ils vont, dans quelques jours, sortir leur seconde mixtape (compilation).
« En fait, le disque qui va sortir est celui de Demi et de 6Rano (lire Cyrano) un rappeur qui gravite autour de notre groupe via notre collectif B.I City Gang. La mixtape contiendra 13 titres variés car nous faisons du rap ouvert à tous, reflétant nos diverses expériences mais aussi nos différentes origines », explique ARD.
Plusieurs invités ont participé à l’album comme Al Peco et un groupe canadien du nom de Criollo.
C’est en 2004 que l’aventure Black Industrie voit le jour, puis est venue la création de leur collectif comprenant des rappeurs comme Boolox, les chanteuses Koreen Clay et Kussyah, des graffeurs, des danseurs mais aussi Dj Eazy et les beatmeakers (créateurs de musique) de Crack Music, M.G et Locs.
Tout ce beau monde écume maintenant, depuis six années, toutes les scènes de la région et de France, de Croix-Rouge s’Affiche, jusqu’à Saint-Dizier en passant par Paris, et même des pays européens voisins comme la Belgique et la Suisse.
Pour le lancement de leur mixtape, ces artistes organisent, avec la complicité de Dj Maffé, un après-midi concert du nom de « Big Aprem ». Il se déroulera demain, samedi 10 avril, dans les murs de l’espace Flambeau des maisons de quartier.
« Il y aura plusieurs artistes sur scène, des démos de danse et la présentation de la mixtape de 6Rano et Demi », conclut Black Industrie.
Encore une preuve que Croix-Rouge est avant tout une mine de talents et Black Industrie va de nouveau le démontrer dans les mois à venir puisque d’autres projets de taille doivent sortir de terre.
Thierry ACCAO FARIAS
Espace Flambeau, 13 rue de Bétheny. Tél. 03.26.07.28.21. www.myspace.com/ blackindustrie51 www.myspace.com/crackmusicprod
L’hebdo du vendredi- n° 163 - 100408a
TRAMWAY : Premiers essais au centre de maintenance
Au cœur du centre de maintenance, dans la halle atelier, la première rame est actuellement soumise à toute une batterie de tests.
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Alors que la fin des travaux de la ligne de tramway est attendue à la fin de cet été, la première des 18 rames a pris place au centre de maintenance. Les premiers tests ont commencé.
N Situé sur le territoire de Bezannes, à quelques centaines de mètres de la gare Champagne-Ardenne TGV, le centre de maintenance du tramway est en passe d’être totalement achevé. Et même s’il reste bien quelques aménagements ici ou là à terminer, la première rame y a pris normalement ses quartiers, dès le lendemain de son arrivée dans la Cité des sacres, le 26 mars dernier. Ce vaste bâtiment de 9500 m2, dont la construction a débuté en 2008, accueillera les 18 rames mais également des locaux administratifs : poste de commande, bureaux, vestiaires des conducteurs et autres services d’exploitation du réseau. Bien plus qu’un simple garage pour tramway, le centre de maintenance est en fait composé aux 3/4 d’une halle atelier. Au sein de celle-ci, deux voies sont notamment équipées de fosses et de passerelles, qui permettront les opérations de maintenance, tandis qu’une autre est réservée aux vérifications et à l’entretien quotidien. À noter qu’un espace a d’ores et déjà été prévu pour y accueillir deux autres voies réservées également à la maintenance… de quoi entretenir la flotte d’une seconde ligne.
Ainsi, depuis le 27 mars dernier, la rame rose acidulée, garée dans la zone atelier, a commencé ses tests dits « statiques ». « Il s’agit en fait d’une batterie de tests réalisés à l’arrêt », explique Sébastien Masse, le responsable technique du projet. « Comme c’est la première rame, ces tests sont très poussés. Ça va des éclairages aux systèmes électroniques embarqués jusqu’aux vérifications des fixations des sièges ». Pendant près de trois semaines, la rame va donc être examinée sous toutes les coutures avant d’effectuer ses premiers essais sur la ligne. Ce sera chose faîte à partir de la mi-avril où elle circulera sur la voie unique qui jouxte le centre de maintenance. « Nous testerons alors son comportement général et notamment ses capacités d’accélération et de freinage » indique Sébastien Masse.
Finalement, il faudra attendre la seconde quinzaine de juin pour voir véritablement la rame entrer en ville, pour des essais sur voie entre l’avenue Léon Blum et la rue Joliot Curie.
Ce test, véritablement grandeur nature, coïncidera avec l’arrivée de la deuxième rame qui sera encore de couleur rose. Si les 16 autres suivront ensuite à intervalles plus ou moins réguliers, au rythme de deux à quatre par mois jusqu’en janvier 2011, une opération spéciale se déroulera lors du passage du Tour de France à Reims le 7 juillet. A cette occasion, une rame revêtira une robe multicolore pour coller à l’image d’un des principaux sponsors de la Grande Boucle dont la spécialité est le sirop. Bref, un nouvel événement qui devrait aider les Rémois à patienter jusqu’à l’automne où ils seront conviés à découvrir le centre de maintenance lors de journées portes ouvertes.
Julien Debant
INITIATIVES – LOISIRS : Comme des poissons dans l’eau !
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Les CM1 et CM2 rémois sont invités à se jeter à l’eau pendant les vacances de printemps. Des stages pour apprendre à nager gratuitement sont organisés par la ville de Reims dans trois piscines municipales (Thiolettes, Château d’Eau, Louvois).
Les vacances de février dernier accueillaient l’opération « Apprendre à nager à Reims pendant les vacances scolaires ». Devant le vif succès qu’il remporte auprès des grands et des petits, le projet gratuit de la Ville de Reims, qualifié de « grande envergure » par les participants, est réitéré jusqu’au 16 avril car savoir nager est un impératif, tant au niveau de la sécurité que du loisir.
Piscine de Louvois, 16 petits poissons, deux maîtres nageurs, des parents attentifs, le long de la rambarde. Un peu réticents à côtoyer l’eau et surtout le grand bain, mais motivés par leurs parents, ils se pressent enthousiastes sous l’aile de Fabrice Sedillo et l’œil de Kostia Cochelin, les maîtres nageurs, pour 45 min d’initiation à la natation. Leur passage de la nage du petit chien à la brasse semble empreint d’une certaine appréhension, un défi qui rend les petits nageurs unanimes « J’ai peur, mais, grâce aux équipements ça va un peu mieux, au début j’avais peur mais plus maintenant ». « Les maîtres nageurs sont gentils, ils expliquent bien et sont compréhensifs, à l’écoute des enfants, ils respectent la peur » s’exclament les mamans qui n’hésitent pas à venir de quartiers éloignés, attirées par le projet et la réputation de la piscine de Louvois.
Petit bémol, 16 enfants affichent présents en avril, contre 33 enfants venus barboter en février à Louvois. Une certaine déception est de mise « Le projet doit être reconduit et suivi sur toutes les vacances scolaires. Il est important de pratiquer en famille entre les stages, afin de ne pas perdre les acquis » précise Kostia. Les responsables sont cependant unanimes pour déclarer la réussite du projet. Selon Fabrice : « il permet aux enfants de s’approprier l’établissement et l’eau, et à des familles de toutes catégories sociales d’avoir accès à cet apprentissage. On a de bons résultats, on voit les débutants progresser à vitesse grand V. Les gens devraient répondre plus favorablement à un projet gratuit comme celui-ci.
C’est un très bon système complémentaire de l’école ». Réjouissons-nous, nos petits Rémois vont devenir sous peu de véritables dauphins !
Élodie Thiefain
Sur le ring
Un gala de boxe se déroulera samedi 24 avril à partir de 20h à la Halle Universitaire Croix Rouge de Reims
Il consistera en la démonstration des différentes boxes : thaïlandaise (muay thaï), américaine (full contact) et anglaise.
Des animations sont prévues comme la venue des pom-pom girls de Tinqueux, ainsi qu’une équipe de Capoeïra championne de France. Les démonstrations de boxe seront entrecoupées par ces animations.
Restauration sur place. Entrée : 3 €.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100407c
Numéro 7336 du 05 au 11 avril 2010.
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Dans les Zones Urbaines Sensibles aussi, l’offre commerciale bénéficie d’un dispositif d’aides au développement. Reims est la première ville de France à avoir mis en place le FISAC (Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce) en ZUS.
Ici, cinq quartiers sont concernés : les quatre inscrits dans le projet de l’ANRU (Agence Nationale pour la rénovation Urbaine) plus le quartier des Châtillons « A côté des transformations et des réhabilitations de logements, de la construction de logements neufs et de la requalification des espaces publics réalisés dans le cadre de l’ANRU, le FISAC fait effet de levier économique pour permettre aux commerces de ces quartiers de bénéficier d’investissements conséquents », souligne Éric Quénard, premier adjoint au maire de Reims, en charge du dossier.
Le FISAC permet d’attribuer des subventions aux commerçants et artisans qui souhaitent réaliser un aménagement mobilier, une accessibilité, la réfection de leur devanture ou l’acquisition d’un outil de production pouvant apporter une plus-value à leur société. Les subventions peuvent s’élever jusqu’à 40 % de l’investissement envisagé par l’entreprise, avec un plafond de 20 000 euros.
« Le dispositif a été mis en place en septembre 2009. Un comité de pilotage se réunit tous les deux mois et étudie les dossiers de demandes », précise l’adjoint rémois. À l’heure actuelle, 106 400 euros de subventions ont été alloués (voir encadre) soit un peu plus de 33 % de l’enveloppe disponible. « Nous disposons pour cette première tranche de l’opération d’une enveloppe de 316 000 euros », insiste Éric Quénard. « Si celle-ci est utilisée, nous pourrons obtenir une voire deux tranches de 400 000 euros supplémentaires ».
D’où l’intérêt, pour les commerçants concernés, de faire acte de candidature dès aujourd’hui, la première tranche étant valable jusqu’’en janvier 2012. Améliorer la qualité des artisans, des services et des commerces des quartiers tout en favorisant l’investissement et donc l’activité des entreprises locales, un challenge gagnant/gagnant pour Reims et la vie de ses ZUS.
BENJAMIN BUSSON
Quartiers éligibles.
Croix Rouge, Wilson, Orgeval, Les Épinettes et les Châtillons
Nombre de dossiers déposés.
15 dossiers ont été déposés et étudiés depuis septembre 2009. 14 d’entre eux ont été retenus et un seul a été reporté.
Montants engagés.
106 400 euros de subventions ont été engagés pour un montant total d’investissement de 344 700 euros et un taux moyen de subvention de 37,3 %.
Par jugement du 23/03/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : NVM. Editions (SARL), 31 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS.
Activité : Création, publication, impression (en sous-traitance), édition, distribution et diffusion sur tous supports d’articles de presse et de publication de toute nature.
R.C.S. REIMS 2009B 46 - 510 064 512.
Le greffier : Bernadette DELPY
84107
Les parents ont deux mois pour inscrire leurs enfants pour l’année scolaire à venir..
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Les inscriptions pour l’année scolaire 2010-2011 se dérouleront dans les antennes municipales, jusqu’au samedi 12 juin.
Antenne municipale Châtillons - 11, avenue Christophe-Colomb - Tél. 03.26.06.25.96, ouverte le lundi, de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi, de 8 h 30 à 12 heures.
Antenne municipale Croix-Rouge - 1, rue Joliot-Curie - Tél. 03.26.35.60.20, ouverte le lundi, de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi, de 8 h 30 à 12 heures.
Antenne municipale Europe - 1 ter, place Jean-Moulin - Tél.03.26.35.60.00, ouverte le lundi, de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi, de 8 h 30 à 12 heures.
Antenne municipale La Neuvillette - Avenue Nationale - Tél. 03.26.35.60.05, ouverte le lundi, de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi, de 8 h 30 à 12 heures.
Antenne municipale Murigny - 2 A, place René-Clair - Tél. 03.26.85.44.44, ouverte le lundi, de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi, de 8 h 30 à 12 heures.
Antenne municipale Orge. Tél.03.26.35.60.10, ouverte du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30. Antenne mobile, tél. 06.16.39.21.02
Au service Éducation - 4, rue Jovin -. Ouvert du lundi 19 avril au vendredi 11 juin. Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 (jusqu’à 17 heures le vendredi).
Livret de famille (en cas de séparation : jugement de divorce ou de séparation précisant le lieu de résidence de l’enfant et l’autorité parentale). Quittance récente de loyer ou d’EDF. Certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé). Carnet de santé de l’enfant (pour le contrôle des vaccins). Si l’inscription est faite dans une antenne municipale, prévoir les photocopies des pages vaccinations.
Pour tout renseignement : appeler au 03.26.77.76.34 (ou 31, ou 33).
Sciences et laboratoire, santé, arts du spectacle, et d’autres encore, le choix des explorations est large.
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A la rentrée 2010, les élèves de seconde feront connaissance avec les enseignements d’exploration. Ceux-ci sont à distinguer des enseignements facultatifs, car l’exploration est obligatoire, à raison, en règle générale, de deux matières différentes pendant une heure et demie chacune par semaine.
Un premier enseignement est obligatoirement économique - il a déjà fait pas mal parler de lui -, à choisir entre « principes fondamentaux de l’économie et de la gestion » et « sciences économiques et sociales ».
La seconde explo est à choisir dans un éventail bien plus large, qui varie selon les établissements.
Ainsi, pour le latin, par exemple, plusieurs établissements sont possibles. En revanche pour le chinois, seul Jean-Jaurès vous ouvrira ses portes. Voici la liste de ces différentes matières (hors économie) proposées par les lycées de Reims :
3e langue vivante : chinois : Jean-Jaurès ; italien : Clemenceau, Colbert, Marc-Chagall, Arago ; japonais : Clemenceau ; portugais : Jean-Jaurès ; russe : Jean-Jaurès.
Biotechnologies : Libergier, Saint-Michel.
Arts du son : Jean-Jaurès.
Arts du spectacle : Marc-Chagall, Arago.
Arts visuels : Clemenceau, Colbert, Jean-XXIII.
Patrimoines : Libergier, Marc-Chagall, Arago.
Création et culture design : Marc-Chagall.
Création et innovation technologiques : Libergier, Arago, Val-de-Murigny, Roosevelt, Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.
Langues et culture de l’antiquité : grec : Jean-Jaurès, Jean-XXIII ; latin : Clemenceau, Colbert, Jean-Jaurès, Jean-XXIII, Marc-Chagall, Arago.
Littérature et société : Clemenceau, Colbert, Jean-Jaurès, Jean-XXIII, Libergier, Marc-Chagall, Arago, Val-de-Murigny, Sacré-cœur, Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle, Saint-Joseph, Saint-Michel.
Méthodes et pratiques scientifiques : Clemenceau, Colbert, Jean-Jaurès, Jean-XXIII, Libergier, Marc-Chagall, Arago, Val-de-Murigny, Roosevelt, Saint-Joseph, Sacré-cœur, Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.
Santé et social : Libergier, Saint-Michel.
Sciences de l’ingénieur : Colbert, Arago, Val-de-Murigny, Roosevelt, Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle.
Sciences et laboratoire : Clemenceau, Colbert, Jean-Jaurès, Jean-XXIII, Libergier, Marc-Chagall, Arago, Val-de-Murigny, Roosevelt, Sacré-cœur.
A.P.
Le 21 février dernier, alors qu’il court dans le quartier Croix-Rouge, un Rémois de 32 ans est pris à partie par deux individus qui l’insultent, le menacent de mort et brandissent un tesson de bouteille dans sa direction.
La victime sort un petit couteau, ce qui provoque la fuite des importuns. Alertée, la police les retrouve bientôt à proximité. Si l’un des agresseurs a fait l’objet d’un rappel à la loi, l’autre a été renvoyé devant le tribunal correctionnel pour « menace de ’mort réitérée.
On ne connaîtra pas ses motivations car Murat Safran, 22 ans, est absent à l’audience. Il est condamné à deux mois
André Ze Jam Afane (poète slameur conteur), Daniel Erdmann (saxophone ténor)
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Les élèves ont pu participer activement à une vrie performance artistique.
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Dans le cadre du partenariat mis en place entre le collège François-Legros et le collectif « Vents d’Est », deux journées d’intervention pédagogique étaient organisées.
Ainsi, après un premier concert le 1er mars, une nouvelle rencontre-concert était programmée jeudi 1er avril, avec le « spectacle 100 ans de jazz ». Dans la matinée les élèves de quatre classes de 4e ont écouté un concert jazz-slam.
Puis, ce fut un échange au sujet de ce style de musique, ses origines, son évolution et ses caractéristiques, ainsi que son apport pour les styles de musiques actuelles qu’écoutent les jeunes.
L’après midi, deux classes de 4e ont participé, dans un premier temps en groupe, à deux ateliers : slam et musique.
D’une part, le poète slameur conteur André Ze Jam Afane a capté l’attention de son jeune public, leur a fait part de sa conception de la poésie, les a mis en confiance pour enfin leur faire produire un texte.
D’autre part, les deux musiciens, Daniel Erdmann (saxophone ténor) et Francis Le Bras (claviers), ont accompagné en musique le groupe d’élèves qui lisaient des textes.
Dans un deuxième temps, les élèves ont lu (slamé) leur production sur scène devant leurs camarades, accompagnés des musiciens. Ces derniers proposaient un univers musical en fonction de chaque texte proposé. Les élèves découvraient la musique improvisée pour leur texte, une démarche originale et très intéressante.
« L’ensemble de ce travail était cohérent et original. Les élèves ont pu participer activement à une vraie performance artistique », conclut Hayat Elhila, la documentaliste du collège, qui s’est beaucoup investie dans ce proje
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Liliane Feige (Reims)
Ô, Jean Ferrat, dans ce poème je voudrais vous rendre hommage
L’amour ou la vieillesse, cueillant vos haricots verts sur des vers
D’amour, vous le chanteur si sage,
Dans le culte d’Aragon, le cap Ferat vous ayant inspiré Humble, en toute simplicité, l’Ardèche tant aimée
Ô Jean Ferrat sur les yeux d’Elsa
Puis vous êtes resté dans l’ombre sans foule,
Que la chanson, la pétanque,
Dans ces sombres années, vous au grand talent,
Ma France, votre musique des mots, l’amour, la tolérance.
Merci à Michel Drucker, Isabelle Aubret
Vous accompagnant dans votre dernière demeure
Sera à tout jamais notre chanteur fantastique
Sur un air poétique
Que c’est beau la vie
Entendez-vous votre chanson qui m’accompagne
« La Montagne »
Pour la vie.
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L’association Étoile Croix-du-Sud propose un concours de belote d le samedi 10 avril.
Tarifs : 16 euros par équipe. Inscriptions à partir de 13 h 30, début du jeu à 14 h 15, avec de nombreux lots à gagner.
Renseignements au secrétariat, 5, avenue Léon-Blum (tél. 03.26.06.56.66.)
Les parents d’élèves de la maternelle Billard se sont regroupés pour faire entendre leur colère.
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LES représentants des parents d’élèves de la maternelle Billard se sont une nouvelle fois regroupés pour manifester leur colère face la fermeture annoncée d’une des classes de leur établissement.
« Nous ne pouvons rester insensibles à l’annonce de la fermeture d’une classe maternelle pour la rentrée 2010-2011, ceci d’autant plus qu’elle s’accompagnerait d’une fermeture de classe à l’école primaire Billard et de la suppression de la Segpa au collège François-Legros. C’est ici tout un quartier qui est touché par l’avenir de nos enfants », explique Virginie Macquart-Quénard, parent d’élèves. Les parents ont également adressé un courrier à l’inspectrice de l’académie pour lui transmettre un bon nombre d’arguments pouvant être avancés en faveur du maintien des classes : évolution des effectifs, conditions de travail particulières, qualité de l’encadrement ou encore importance de l’accueil des enfants de moins de 3 ans dans la lutte contre l’échec scolaire… Ils ont également été reçus par l’inspectrice en question.
C’est un réel dialogue de sourd qui s’est alors engagé, l’inspectrice répondant avec des chiffres concernant la globalité de l’agglomération rémoise alors que les parents d’élèves, eux, étaient très précis sur l’impact de cette fermeture dans la vie du quartier proprement dit.
« Comme d’habitude, l’annonce de cette fermeture est faite sur une logique comptable et non sur la réalité du terrain » précise Jacky Grodet, président de la FCPE.
Courriers, rencontre avec l’inspectrice, mobilisation générale, les parents d’élèves ont mouillé le maillot pour sauver la qualité de l’éducation dans un quartier sensible.
« Le pire c’est que l’inspection académique ne nous dit rien, nous ne savons même pas si la fermeture est actée. De plus un instituteur a reçu un courrier de leur part concernant l’avenir de son poste », ajoute Virginie Macquart-Quénard.
Pendant que les parents se battent en ayant peur que tout se joue durant les vacances scolaires de cette semaine, l’inspection académique, peut-être sans s’en rendre compte, perturbe l’éducation d’enfants issus d’un quartier qu’elle-même qualifie de difficile. Pour les parents le combat continue…
Thierry ACCAO FARIAS
L’adjoint à l’inspectrice académique, M. Adnot, n’a pas l’impression qu’il y ait eu un dialogue de sourds, bien au contraire. « Nous avons reçu quatre mamans d’élèves pendant près de deux heures. Elles ont compris. Après, elles adhèrent ou pas. Nous leur avons envoyé un courrier pour confirmer notre position. »
Déjà, il n’y aura pas de fermeture de classe en primaire. Et si celle de la maternelle est actée, « nous n’avons pas fermé la porte. Nous serions à même de revenir sur la fermeture en juin, suivant les chiffres. Nous rencontrerons à cette période cette même délégation de mamans. Le dialogue est là ».
Quant au courrier à l’instituteur, « nous avons un impératif par rapport au mouvement de personnel. Celui-ci s’ouvre mardi, et tous ceux qui voient leur poste supprimé doivent pouvoir y participer. Dès que la situation a été arrêtée, nous avons prévenu l’intéressé ». Il ne se passe pas une semaine sans que plusieurs mouvements se déclenchent à propos des fermetures de classes. Il est donc rassurant de voir que le dialogue est de mise, même si le désaccord reste.
G.F.
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Dernière présidence pour la nouvelle conseillère municipale.
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La plus grosse surprise de l’assemblée générale de l’association de défense des locataires des Polygones est tombée en fin de réunion, quand l’ensemble du conseil d’administration a présenté sa démission conformément aux statuts et quand une nouvelle présidente a été élue. Geneviève Kaczowka, devenue conseillère municipale, reste membre du bureau mais ne préside plus son association.
Un nouveau bureau a été composé. Présidente, Bernadette Érard ; vice-présidentes, Geneviève Kaczowka et Ginette Terrugia ; trésorière, Brigitte Chevalot ; trésorière adjointe, Michelle Dieulot ; secrétaire, Sandrine Chenu et secrétaire adjoint, André Cantener.
Devant une salle comble, Geneviève Kaczowka avait auparavant présenté dans un long rapport d’activités la liste des travaux réalisés sur le site des Polygones, les travaux non réalisés, les projets de gros travaux pour la période 2010/2015 et les petits travaux proposés par l’Effort rémois.
Puis les interventions des bénévoles étaient détaillées, très nombreuses : « Nous sommes fréquemment interpellés… », ainsi que le gros travail d’information de l’association.
Des problèmes nouveaux sont apparus depuis que le bailleur a vendu certains de ses appartements : « Toutes les parties communes, y compris le garage, sont désormais sous la gérance du syndic : nous regrettons la diminution constante des prestations et réparations retardées en raison de sa lenteur d’intervention ! »
Pour sa dernière prestation, la présidente a délivré de nombreux conseils et des recommandations. Il y a encore beaucoup de travail à faire, avec des nouveautés lamentables : « Des tags injurieux fleurissent de plus en plus, secteur Daudet, mais pire encore, la mode est maintenant aux excréments laissés dans les escaliers de certains immeubles et aux crachats sur les murs, dans les cabines d’ascenseurs, sur les vitrages. »
Quant à l’éternel problème des déjections canines, « nous allons être très vigilants sur la propreté et allons demander l’aide de la brigade environnement de la ville apte à verbaliser les propriétaires indélicats ».
En fin de réunion, les élus ont pris la parole. Michel Guillaudeau a développé les économies attendues à réaliser sur le chauffage quand la chaufferie bois verra le jour à Croix-Rouge, un projet finalisé avant la fin de l’année et opérationnel en 2012. Quant à Éric Quénard, il a annoncé l’installation de 400 bacs enterrés pour le tri sélectif avant une projection fort intéressante sur les travaux de l’ANRU à Croix-Rouge.
La réunion s’est terminée sur une note optimiste : « C’est ensemble que nous pouvons améliorer notre cadre de vie ! »
Bonne nouvelle pour l’association, pour la première fois, la municipalité vient de lui accorder deux subventions de 500 €, une pour le fonctionnement et une pour l’équipement.
Reste à attendre un local associatif, espéré depuis sept ans maintenant : « M. Sommet, directeur clientèle de l’Effort rémois, a assuré que le prochain F2 libre en rez-de-chaussée serait pour l’association ! », a rapporté Geneviève Kaczowka.
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Lisez le rapport d’activités de la présidente.
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Ils ont entre 18 et 25 ans et ont décidé de consacrer quelques mois de leur vie à la solidarité et à l’ouverture aux autres. « Unis-Cité » leur propose de s’engager pour des missions d’intérêt général. A Reims, 48 jeunes effectuent, par groupes, différents types d’actions. L’une d’elles consiste à entreprendre un accompagnement à l’éveil culturel des enfants de 9 à 13 ans. A la médiathèque Croix-Rouge, ce mercredi, deux binômes accompagnent chacun un enfant à la salle de lecture. Audrey et Leslie s’occupent de Deniz, 9 ans : « Nous l’aidons à apprendre plus facilement à lire. Avec sa maman, en famille, nous organisons des activités. Nous intervenons à la fois à domicile et à la médiathèque. »
Il s’agit surtout d’une découverte d’un milieu culturel que l’enfant n’a pas forcément la possibilité d’approcher dans son univers familial. « C’est une fenêtre de plus qui s’ouvre à lui, dans son apprentissage de l’environnement culturel de son quartier », précise Jean Yao, coordonnateur d’équipes.
Quant aux jeux à domicile, c’est une façon de permettre aux parents et aux enfants de passer des moments ensemble. L’expérience est positive : les parents apprécient, les enfants aussi ! Une fois par mois, le samedi, une sortie en groupe est prévue. Le mercredi, les jeunes volontaires passent chercher les enfants chez eux, les ramènent et c’est au retour qu’ils organisent un jeu au domicile familial.
Les animateurs lancent un appel aux associations et aux particuliers : « Si vous possédez des jeux de société en bon état, merci de penser à nous ! » Les jeux, prêtés ou donnés, peuvent être apportés directement à Unis-Cité, à la Maison Commune du Chemin Vert, 4bis, place du 11-Novembre ou récupérés chez le donateur sur appel au 03.26.86.41.93.
L’infirmière du lycée Arago et le professeur d’arts appliqués ont invité les élèves et enseignants à réaliser le sigle du sida, en accumulant au sol des objets du quotidien rouges.
Pour chaque objet apporté un don symbolique était déposé dans une urne. Cette action a rapporté la somme de 100 euros.
En présentant à la salle François-Mauriac à partir du lundi 22 mars, « L’Orient à votre porte II », ou deux expositions conçues par l’Institut du Monde arabe, l’association « Des Racines et des Êtres : pour la culture et le partage », poursuit son programme d’actions destinées à promouvoir les richesses et l’art du monde arabo-musulman.
Cette année, l’association « Des racines et des Êtres : pour la culture et le partage » créée à Reims en 2007 a choisi d’aborder deux périodes historiques en s’appuyant sur deux expositions de l’Institut du Monde arabe : « Les Ottomans, l’Empire des trois mers et des trois continents », « Al-Andalus, nostalgie et éblouissement ».
Horaires d’ouverture pour le public : lundi (de 14 heures à 20 h 30), mardi (15 heures à 20 h 30), mercredi (18 h 30 : groupe traditionnel turc, jusqu’à 20 h 30), jeudi (10 heures à 20h 30), vendredi (10 heures à 20 h 30).
Les faits remontent au 7 septembre, mais l’enquête vient seulement d’aboutir.
Ce jour-là, deux adolescents de 17 ans reviennent du lycée François-Arago lorsqu’une voiturette s’arrête à leur hauteur. Le passager en descend pour réclamer… les deux paquets de bonbons que tiennent les lycéens ! Un refus s’ensuit. Furieux, l’individu et le conducteur de la voiturette portent des coups de poing au visage des garçons. Les paquets de bonbons tombent par terre. Le voleur les ramasse puis remonte dans la petite auto avec son complice de conducteur. Celui-ci, tout aussi excité, escalade alors le trottoir et tente de percuter les lycéens qui parviennent à éviter la voiturette.
Si le pilote n’a pu être identifié, le passager l’a été. Il a refusé de le dénoncer.
Agé de 18 ans, le voleur de bonbons s’est vu remettre une convocation le 27 avril au palais de justice dans le cadre d’une procédure dite de plaider-coupable.
PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100402d
Numéro 7335 du 29 mars au 04 avril 2010.
Par jugement du 16/03/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de ARCIMEX (SARL), 7 all. des Tourangeaux - 51100 REIMS.
Activité : La représentation commerciale, le négoce, l’import export.
R.C.S. REIMS 2006 B 578 - B492 103 718.
Le greffier Bernadette DELPY
83876
L’hebdo du vendredi- n° 162 - 100402c
Déchèteries
Un samedi par mois, les déchèteries de Croix-Rouge et de Saint Brice Courcelles accueillent les compagnons Emmaüs qui vont récupérer des objets dont les usagers souhaitent se débarrasser et ainsi leur offrir une seconde jeunesse(mobilier, jouets, vaisselle, vélos, livres …).
La collecte s’effectuera de 9h à 19h.
Prochain rdv : le 10 avril à Saint Brice Courcelles et le 24 avril à Croix- Rouge.
Geneviève Kaczowka, présidente de l’association de locataires des polygones, était membre du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny dans le collège des associations depuis sa création. Or, le lundi 22 mars, en assemblée générale, elle a cédé son fauteuil de présidente à Bernadette Érard.
Comme elle est devenue élue municipale le 25 janvier, le conseil municipal, dans sa réunion du lundi 29 mars, a trouvé une habile astuce pour qu’elle demeure au sein du conseil de quartier, non plus dans le collège des associations, mais dans le collège des élus.
Pour libérer une place dans ce collège, Eric Quénard a renvoyé dans ses foyers sa suppléante, Fatima Bouzid, qui occupait son siège de conseiller général, siège qu’il occupe désormais en personne, libérant une place dans le collège des élus municipaux, place attribuée sur le champ à Geneviève Kaczowka.
Au grand dam du conseiller municipal Michel Guillaudeau, écarté du conseil malgré son immense popularité dans le quartier, et qui avait proposé une telle manœuvre dès la création du conseil de quartier en novembre 2008, ce qui lui avait été refusé : « Deux poids, deux mesures », regrette-t-i1 aujourd’hui. ..
…
Autre vol, mais toujours dans le cercle familial pour deux frères. Jason et Stéphane, également âgés de 19 et 21 ans, ont été pris en flagrant délit de vol le 20 février. Le parallèle avec les deux sœurettes s’arrête là, car nos deux frangins voulaient faire du profit. « Vous vous êtes rendus voleurs pour deux mètres de tube de cuivre dérobés sur le chantier du tram. » Déjà condamné pour des faits identiques, Jason avoue à la barre : « C’était pour revendre ». Plus penaud, le petit frère laisse l’aîné s’expliquer sur leurs motivations. Résultat : Stéphane écope d’une amende et Jason de deux mois avec sursis.
Deux petites entreprises familiales qui auront vécu… Du moins la justice l’espère-t-elle.
ARRÊTÉ
Portant ouverture d’une enquête publique en vue du déclassement du domaine public routier communal rémois d’une partie des rues Joliot-Curie et Raoul-Dufy
Nous, Maire de la Ville de Reims,
Vu la liste départementale d’aptitude aux fonctions de commissaire enquêteur établie au titre de l’année 2010,
Vu le code de la voirie routière, notamment en ses articles L.141-2 et suivants et R.141-4 et suivants.
Considérant que, dans le cadre du projet de rénovation urbaine du quartier Croix-Rouge, secteur Croix-du-Sud à Reims, il convient de déclasser du domaine public routier communal rémois une partie des rues Joliot-Curie et Raoul-Dufy,
Arrêtons ce qui suit :
Article premier. - Une enquête publique sera ouverte sur le projet de déclassement du domaine public routier communal rémois des parties des rues Joliot-Curie et Raoul-Dufy.
Article 2. - Monsieur René DAROQUE, inscrit sur la liste départementale des commissaires-enquêteurs susvisée, est désigné commissaire-enquêteur pour la présente enquête.
Article 3. - L’enquête se déroulera du lundi 17 mai 2010 au lundi 31 mai 2010 inclus à l’hôtel de ville de Reims où tout intéressé pourra prendre connaissance du dossier tous les jours de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 (samedis, dimanches et jours fériés exceptés). Les intéressés pourront formuler leurs-observations sur le registre ouvert à cet effet ou les adresser à Madame la Maire de Reims ou à Monsieur le commissaire-enquêteur qui les visera et les annexera audit registre.
Article 4. - Monsieur le commissaire-enquêteur recevra à l’hôtel de ville de Reims les observations des intéressés les jours suivants le lundi 17 mai 2010, le mercredi 26 mai et le lundi 31 mai 2010, aux horaires suivants : de 10 à 12 heures et de 14 h 30 à 16 h 30.
Article 5. -A l’issue de l’enquête, Monsieur le commissaire-enquêteur constatera sur le registre la clôture de l’enquête et transmettra le dossier à Madame la Maire de Reims avec ses conclusions motivées.
Pour la Maire, L’adjoint délégué, Jean-Claude LAVAL
51L1735356
Ils ont remonté le temps jusqu’au premier tram avant de l’accélérer et de créer le tramway du futur
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Les lycéens d’Arago ne manquent pas d’idées. Chargés par le rectorat de monter une exposition sur le tramway d’hier, d’aujourd’hui et de demain, les jeunes ont tellement bien travaillé que la première rame, arrivée en fin de semaine dernière, va déjà paraître démodée. Une classe de BTS travaux publics, une de seconde et deux de terminale dont les bacs pros assistants en architecture ont remonté le temps jusqu’au premier tram avant de l’accélérer et de créer le tramway du futur.
En 2100, le tram touchera à peine le sol grâce à des turbines de propulsion à sustentation magnétique. Son combustible sera composé de déchets nucléaires qui auront trouvé là une voie de recyclage.
Les jeunes ont aussi retapissé les rues en même temps que le tram. Sur les photos de synthèse issue de leur imagination, de leurs envies et de la prise en compte du réchauffement climatique, il y a davantage de verdure qu’aujourd’hui, encore moins de voitures, beaucoup d’eau et les monuments seront protégés de la chaleur excessive. Les stations de tram en forme de galet donneront une impression de fraîcheur. Quant au tram, il ne sera ni rose, ni bleu en 2100, mais translucide. Ils ont déjà prévu qu’une seconde ligne passerait par la place Royale. Seul représentant des élèves lors du vernissage de l’exposition au rectorat, Pierrick Le Coadou, futur assistant d’architecte, a eu l’importante tâche de parler au nom de tous ses camarades : « Ce travail permet de mettre en valeur notre section, le lycée Arago et enfin le tramway. Il nous a aussi permis de collaborer avec d’autres classes. »
Le fruit de cette collaboration sera exposé dans tous les collèges et lycées situés sur la ligne de tram.
De Colbert à Georges-Braque en passant par Gustave-Eiffel, Jeanne-d’Arc, Roosevelt, Saint-Michel, François-Legros et Joliot-Curie. Après cette itinérance, l’exposition sera installée tout l’été place du Théâtre à l’espace info-tram.
C.F.
Le meurtrier présumé Mohamed Chouikine. « J’ai tenté d’éteindre les flammes sur son corps avec un bleu de travail », témoigne Djamel Nacer.
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Djamel Nacer n’oubliera jamais la nuit d’horreur qu’il a vécue sur l’A 4. « Ce soir-là, je rentrais à Reims après une journée de travail du côté de Metz. J’ai vu une voiture en flammes sous le pont de l’avenue de Champagne. J’ai cru à un accident. Je me suis garé. J’ai couru jusqu’au véhicule. Je me suis approché à un mètre pour regarder à l’intérieur mais c’était une fournaise totale. J’ai reculé. J’ai appelé les pompiers. C’est alors qu’une personne est apparue sur le côté droit de la voiture. Il y avait des flammes sur elle. Je pense qu’elle est sortie par le pare-brise. Elle s’est avancée vers moi, les bras levés, en gémissant. Au début, je ne savais même pas si c’était un homme ou une femme. Sa peau était blanche, il y avait des cloques partout, plus de cheveux, un bec-de-lièvre, des dents. »
Effrayé par cette apparition, Djamel Nacer repart en courant dans sa voiture. « La personne est tombée sur la chaussée. Je suis ressorti. J’ai voulu arrêter des gens pour leur demander s’ils avaient une couverture pour éteindre le monsieur en flammes. Personne n’a stoppé. Je me suis souvenu que j’avais un bleu de travail. Je l’ai posé sur le monsieur. Il a pris feu. Je l’ai éteint, et j’ai tapoté avec sur le corps. »
A cet instant, Djamel Nacer est rejoint par un deuxième automobiliste qui l’aide à éteindre les flammes.
Arrive un troisième témoin qui asperge d’un coup d’extincteur Mohamed Chouikine.
« Les flammes ont été éteintes. J’ai alors vu quelque chose d’incroyable », poursuit M. Nacer. « Le monsieur s’est relevé de ses cendres. Il a piqué un sprint et a plongé dans le coffre de la voiture en feu, comme s’il s’agissait d’une piscine. Je me suis dit : « C’est un malade ! », puis j’ai pensé qu’il voulait sauver quelqu’un ou mourir avec ceux qui étaient dans la voiture car il savait qu’il n’y avait plus rien à faire pour eux. Une fois dedans, il gesticulait. Je pense qu’il donnait des coups de pied dans la bouteille de gaz, dont j’ignorais à ce moment l’existence. Il est ressorti du véhicule par le coffre, au ralenti, comme dans un film d’horreur. Il est revenu vers moi, les bras en l’air. Il est retombé par terre. Là, j’ai pris mes distances car j’avais peur qu’il m’attrape pour me balancer dans le feu. Les pompiers sont arrivés. Ils ont commencé à éteindre et tout d’un coup, boum ! Un feu d’artifice ! La bouteille de gaz a explosé. Des éclats rouges sont passés partout à côté de moi. J’ai vu un truc voler au-dessus de ma tête. C’était un morceau de la bouteille de gaz. »
Djamel Nacer n’a pas été touché. Prenant du recul, il découvrait le maître d’hôtel de la brasserie rémoise du Boulingrin, Cyril Durand, grièvement blessé par l’explosion (il gisait inconscient au sol). C’est lui qui a prévenu les secours de sa présence. Parmi les sauveteurs figurait également un médecin, mais celui-ci n’est pas resté sur les lieux.
Depuis cette nuit d’horreur. Djamel Nacer n’est plus le même. Il est en proie à des crises d’angoisse et de panique, lui qui ne s’inquiétait jamais.
F.C.
Djamel Nacer de retour à l’endroit où le véhicule a été incendié avec le corps de la victime. Il fut le premier à secourir le mari qui s’avançait en feu vers lui. « Et on me dit que je suis un menteur… »
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Le principal sauveteur du kamikaze qui s’est fait exploser avec sa femme dans une voiture en feu, sur l’A 4 à Reims après l’avoir tuée, a été oublié par la préfecture pour la médaille d’acte de courage. Pire ! On l’a traité de menteur.
« JE suis devenu l’homme invisible, le sauveteur fantôme. Ce serait risible si on ne me traitait pas de menteur. »
Djamel Nacer en a gros sur le cœur. Gérant de société de 38 ans, l’homme est l’un des sauveteurs de Mohamed Chouikine, le conjoint de la concierge du lycée Arago de Reims qu’il est accusé d’avoir tué chez elle dans la nuit du 27 au 28 octobre, avant qu’il n’embarque son corps dans une voiture avec laquelle il s’est fait exploser sur la traversée urbaine de l’A 4, sous le pont de l’avenue de Champagne.
Grièvement brûlé à 70 %, Mohamed Chouikine a survécu à ses blessures. Il a pu être mis en examen le 12 mars, sur son lit d’hôpital, du chef d’« assassinat » (l’union du 13 mars). Des différents témoins qui ont stoppé sur l’autoroute pour porter secours (tous croyaient alors à un accident), Djamel Nacer est le principal d’entre eux, car c’est lui qui est arrivé le premier.
Un témoin discret
Les autres personnes ont reçu un courrier de la préfecture leur annonçant qu’elles allaient prochainement recevoir la médaille d’acte de courage et de dévouement. Lui, non ! « Je n’ai jamais cherché à me faire connaître. Je ne demandais rien. Je ne veux pas ma photo dans le journal, mais quand j’ai su que des personnes avaient reçu un courrier pour se voir remettre une médaille, et pas moi, j’ai été surpris. De plus, les gens à qui j’avais raconté l’histoire ne comprenaient pas. Ils ont commencé à me chambrer en me disant que j’avais raconté n’importe quoi. J’ai donc téléphoné à la préfecture de Châlons », explique Djamel Nacer. Il ne s’attendait pas à un tel accueil.
« J’ai eu la dame qui s’occupait du dossier. Elle a été odieuse. Elle m’a traité de menteur, d’affabulateur : « Monsieur, vous n’y étiez pas, sinon je le saurais ! De toute façon, il n’y a pas d’argent à prendre. » Ça m’a coupé le souffle. Comme si j’étais un cinglé qui téléphonait en lui disant : « Bon, je n’étais pas là, mais s’il y a un billet qui traîne, je veux bien le prendre. » C’est honteux. Je me fiche de l’argent, je me fiche des honneurs. Ce que j’ai fait, je devais le faire, mais je ne peux pas laisser passer un tel coup de fil. Je me suis senti humilié au plus profond de moi-même. »
Humilié
De source proche de l’enquête, on confirme le témoignage de Djamel Nacer, arrivé le premier, confronté seul à un Mohamed Chouikine en flammes qu’il a tenté d’éteindre avec un bleu de travail, avant d’être rejoint par d’autres personnes dont une munie d’un extincteur. Quand la bouteille de gaz a explosé, Djamel Nacer a vu des éclats voler partout autour de lui. Il est passé au travers. C’est lui qui a signalé aux pompiers la présence au sol d’un autre témoin grièvement blessé à la suite de l’explosion. « Et on me dit que je suis un menteur… » Une méprise, a reconnu hier la préfecture, mais une méprise qui fait mal.
Fabrice CURLIER
« Il y a eu une confusion. » Contactée par l’union, la préfecture de Champagne-Ardenne plaide la méprise pour expliquer le désagréable accueil téléphonique réservé à Djamel Nacer. Elle proviendrait d’un amalgame avec le témoin ardennais qui porte le même prénom, et dont le dossier pour l’attribution prochaine de la médaille d’acte de courage et de dévouement fut instruit dès le mois de décembre. L’interlocutrice de Djamel Nacer aurait donc cru qu’il tentait de se faire passer pour l’autre Djamel.
« S’il a été traité de menteur, il a eu raison de se plaindre », indique Rachid Kaci, directeur de cabinet du préfet de région. « Nous sommes là pour l’écouter et vérifier sa présence sur les lieux. Le dossier est en cours. Il recevra prochainement la médaille. »
Comme Cyril Durand, le maître d’hôtel de la brasserie rémoise du Boulingrin grièvement blessé par l’explosion de la bouteille de gaz, Djamel Halsaoui, 33 ans, a reçu, lui aussi, un courrier de la préfecture lui annonçant la remise de la médaille d’acte de courage et de dévouement.
Agent SNCF domicilié à Charleville-Mézières, il se rendait pour son travail à la gare de Fismes, ce 27 octobre, lorsqu’il a croisé l’horreur sur l’A 4 à Reims. « Au loin, j’ai vu de la fumée. Je pensais qu’il s’agissait d’un camion en feu, puis je me suis rendu compte que c’était une voiture. Je me suis garé. Le monsieur était déjà tombé sur la chaussée quand je l’ai vu pour la première fois. Il brûlait. M. Nacer tentait de l’éteindre. Je l’ai aidé. J’ai pris mon blouson et je l’ai écrasé sur le corps du monsieur. »
A l’arrivée des secours, Djamel Halsaoui a pris du recul, ce qui l’a peut-être sauvé. « J’étais derrière le camion des pompiers quand la bouteille de gaz a explosé. Ça m’a épargné. »
A l’instar de M. Nacer, il est ressorti profondément choqué de cette terrible nuit. Les premières semaines ont été dures, il repense souvent à cette histoire, mais dans le cadre de son travail, il a bénéficié d’un suivi qui l’a aidé à gérer le traumatisme.
En compagnie des lycéens d’Arago, les collégiens ont rencontré des professionnels de France 3 et de radios locales.
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Durant la Semaine nationale de la presse à l’école, le collège Thibaud-de Champagne de Fismes a participé à de nombreuses rencontres avec les médias locaux.
Deux classes de troisième sont allées au lycée Arago de Reims pour rencontrer des professionnels de France 3 et de deux radios : RCF et Radio Graffiti’s de Fismes. Ils ont échangé sur le thème « Qui fait l’info ? » et sur les métiers du journalisme.
Pendant ce temps, au collège, plusieurs classes ont travaillé avec leurs professeurs sur les Unes d’un journal, l’analyse de la structure d’un magazine ou la fiche d’identité d’un périodique… Ils ont ainsi exploré le kiosque mis à leur disposition pour cette occasion.
Tous les supports ont été abordés et internet n’a pas été oublié.
La Toile a été utilisée pour découvrir la presse étrangère en allemand ou espagnol.
Cette semaine très enrichissante s’est terminée par la présence du collège Thibaud-de Champagne au temps fort de Rilly-la-Montagne avec une classe de 4e, une classe de 3e et des élèves du club Radio qui ont rencontré deux professionnels de la presse écrite (du journal l’union et de l’Hebdo du vendredi).
Les élèves du club Radio ont expliqué ce qu’ils réalisent tout au long de l’année scolaire : depuis les chroniques du collège, diffusées sur Radio Graffiti’s, jusqu’au blog du club Radio, où l’on peut réécouter les chroniques et lire la revue de presse hebdomadaire du club Revue de Presse.
Le collège Thibaud-de Champagne de Fismes n’a pas attendu cette semaine à thème pour s’intéresser aux médias. Tout au long de l’année, le collège collabore avec Radio Graffiti’s, la radio locale de Fismes et des environs (FM 98.4), et plus particulièrement avec Mathieu, l’animateur de la radio, qui intervient très régulièrement auprès des élèves. Une expérience très positive et très prisée des collégiens.
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Slimane Hamdi, directeur de l’accueil-loisirs 12-15 ans, à l’espace Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge, communique le programme du secteur jeunesse, pour les prochaines vacances scolaires de printemps, du mardi 6 au vendredi 16 avril, avec une palette d’activités qui devrait regrouper jusqu’à 300 jeunes du quartier.
Un stage percussions sera organisé du mardi 6 au vendredi 9 avril de 14 à 16 heures, à l’espace Ethnic’s, avec une représentation le vendredi 9 avril de 16 à 17 heures, place Auguste-Rodin (animateur Maurice).
« Multisport » au gymnase Léo-Borgniet, pour les 10 à 15 ans de 14 à 16 heures, et en basket-ball pour les plus de 16 ans de 16 à 18 heures.
Deux stages sportifs sont prévus : la première semaine, un stage de ping-pong pour les 10 à 15 ans de 16 à 18 heures, et la deuxième semaine, un stage de jeux d’opposition et de sports de combat pour les 10 à 15 ans, de 14 à 17 heures.
Le club ados (11-15 ans) fonctionnera tous les jours de 13 h 30 à 17 h 30 à l’espace la Nacelle (animateur Karim Medaouar) et proposera piscine, sortie vélo, cinéma, Laser Game, parc d’attraction…
Une animation de proximité est prévue du mardi 6 au vendredi 9 avril et du lundi 12 au vendredi 16 avril, avec un atelier graff de rue à Croix-du-Sud, au square Saint-Bruno et place Auguste-Rodin, de 15 heures à 17 h 30 (animateur David).
La première semaine, rendez-vous lundi, mardi, mercredi et vendredi pour les 12 à 15 ans de 15 à 17 heures et pour les plus de 15 ans de 17 à 19 heures, au gymnase Roland-Bourgoin (animateur Tarek).
Mardi 6 avril, tournoi de football aux Thiolettes pour les 12 à 15 ans, encadré par les pros du Stade de Reims.
Musculation pour les plus de 15 ans, de 18 à 20 heures.
Rendez-vous lundi, mercredi, jeudi et vendredi, pour les 12 à 15 ans de 15 à 17 heures, et pour les plus de 15 ans, de 17 à 19 heures, au gymnase Roland-Bourgoin (animateur Tarek). Jeudi, tournoi à Trois-Fontaines pour les 12/15 ans. Lundi et vendredi, musculation de 18 à 20 heures pour les plus de 15 ans.
Tout renseignement auprès de Slimane Hamdi à l’espace Pays-de-France.
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Marie-Élisabeth Causin, directrice de la Maison de quartier Croix-Rouge et Yves Pringault, son directeur « Jeunesse », étaient présents à l’assemblée générale de l’association Acrap et ont fait une déclaration importante sur les festivités de cet été.
Le projet initial de « Croix-Rouge plage » est revisité et rebaptisé « L’été s’affiche à Croix-Rouge ».
Habile fusion entre un projet de style « plage » sur l’hippodrome et celui du traditionnel « Festival Croix-Rouge s’affiche », la nouvelle opération s’étendra de fin juin au 22 juillet sur le parking intérieur de l’hippodrome.
« Pour ces trois semaines d’activités ouvertes de la petite enfance aux seniors, l’hippodrome deviendra tous les après-midi un terrain d’aventure et de lien social, auquel participeront des prestataires extérieurs, les animateurs de la Maison de quartier et l’ensemble des associations du quartier, dont l’Acrap. »
La partie « Festival Croix-Rouge s’affiche » sera intimement imbriquée dans cette nouvelle mouture qui entre dans le champ du Contrat urbain de cohésion sociale.
« Le traditionnel concert d’ouverture sera organisé directement par la mairie. Toute la logistique et le savoir-faire de la Cartonnerie seront mis en action sur place, à Croix-Rouge », précise Éric Quénard : « Pour le moment, ni le style de musique ni la tête d’affiche ne sont encore déterminés, mais la tradition sera respectée ».
Dès que le programme des festivités sera fixé définitivement, nous le communiquerons. On sait déjà qu’il y aura une fête de secteur à Pays-de-France et une autre à Croix-du-Sud, ainsi qu’une grande fête de clôture sur l’hippodrome, avec feu d’artifice.
Et en août ? « La piscine du Château d’eau prendra le relais et on y proposera des animations pour les jeunes du quartier », révèle Yves Pringault : « De la sorte, ils seront occupés pendant toute la durée des vacances d’été ».
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Rencontre avec Claire Métréau, présidente de l’association Lire et Faire lire dans la Marne.
Quelle est votre action vis-à-vis de la lecture ?
« Nous nous rendons dans les structures éducatives pour lire des histoires aux enfants, pour développer le plaisir de la lecture, qui s’acquiert le plus tôt possible : nous allons même dans les crèches !
Dans les crèches
Lire quels ouvrages ? Cela dépend de leur sensibilité et de celle de l’enseignant. L’essentiel, c’est de lire ! Certains bénévoles aiment reprendre des textes qu’ils ont aimés durant leur propre enfance. D’autres empruntent, auprès des médiathèques, les ouvrages conseillés par les enseignants ou les bibliothécaires. Quelques-uns en achètent et les découvrent en même temps que leur jeune public. »
Comment fonctionne une séance ?
« Les enfants « entrent en lecture » : c’est une façon de les rendre réceptifs. Nous commençons par un petit rituel : chacun a le sien. Moi, c’est une petite marionnette qui leur dit bonjour ! D’autres commencent par une comptine. C’est aussi pour cela que nous organisons des formations : placer sa voix, respecter le texte de l’auteur. Je vous garantis que les personnages des contes de notre enfance rencontrent bien plus de succès que les personnages de BD actuels ! Chaque année, avec notre opération « Un enfant un livre », nous offrons 3.000 ouvrages. Les enfants dessinent ou réalisent, avec leur enseignant, des maquettes. »
Avez-vous des projets ?
« En premier, la lutte contre l’illettrisme. Nous proposons aux bénévoles de se rendre dans les écoles prioritaires, à la rencontre des publics en difficulté sociale ou scolaire. On ne peut le faire qu’avec la complicité des enseignants.
Une affaire de famille
Nous développons un partenariat avec l’Union départementale des associations familiales, qui va nous aider à recruter des bénévoles dans les zones rurales. L’illettrisme, c’est aussi une affaire de famille. Nous avons aussi le projet d’insérer, dans les livres offerts, des marque-pages comportant des conseils pour que les enfants lisent le livre aux parents, et pour que ces derniers s’impliquent aussi.
La lecture peut aider à la lutte contre la délinquance : « Quand on peut parler avec les mots, on ne parle plus avec les poings », dit l’écrivain Alexandre Jardin… »
Lire et Faire lire dans la Marne c’est :
175 bénévoles âgés de plus de 50 ans
10.500 heures de lecture (équivalent de huit salariés à temps plein)
5.279 enfants, soit 32 % de l’effectif des écoles publiques de la Marne
174 écoles ou structures scolaires
254 heures/semaine sur temps scolaire, 80 heures hors temps scolaire.
Siège : Ligue de l’Enseignement de la Marne, 23, rue Alphonse-Daudet à Reims. Tél. 03.26.84 39 60. Blog : lireetfairelire51.over-blog.com
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De gauche à droite, le recteur, Alexandre Steyer, le premier adjoint, Eric Quénard, et le directeur du Foyer rémois, Christophe Villers.
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La première pierre de la résidence universitaire des facultés, rue Pierre-Taittinger, sur le terrain où s’élevait jadis la tour 53-Taittinger, détruite en novembre 2006, a donné lieu à un grand rassemblement de personnalités et d’associatifs du quartier.
Dès la rentrée 2011, ce programme, conçu par le cabinet d’architectes Fouqueray-Jacquet, et réalisé par le Foyer rémois dans le cadre des opérations de renouvellement urbain, proposera 212 logements étudiants, du studio au T3, avec des surfaces allant de 19 à 73 m2, dont 11 accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Leur accès se fera par badge, chaque chambre disposera d’une kitchenette aménagée, d’une douche et de sanitaires. Les étudiants auront à leur disposition 72 places de parking et de nombreux services au rez-de-chaussée, telles qu’une salle de travail, une salle de TV et de détente ainsi qu’une laverie.
La résidence universitaire des facultés est labellisée HPE, Haute Performance Énergétique, ce qui permettra au bâtiment de présenter des capacités énergétiques supérieures à la réglementation en vigueur et favorisera la qualité de vie et le respect de l’environnement. Elle sera gérée par le Crous de Reims Champagne-Ardenne.
L’implantation en forme de « L » permettra la création d’un jardin privatif au centre de la résidence. De plus, l’accès au restaurant universitaire Jean-Charles-Prost, situé 20, rue de Rilly-la-Montagne, sera restructuré.
La résidence est située à cinq minutes du centre-ville de Reims et de la gare TGV, et est bien desservie par les transports en commun avec une station de tramway et la halte ferroviaire Franchet-d’Esperey à proximité. Les étudiants ne mettront donc que quelques minutes pour se rendre au campus des sciences humaines de Croix-Rouge au pied duquel le bâtiment sera implanté.
Christophe Villers du Foyer rémois : « Rendez-vous en septembre 2011. Cette réalisation sera un signe de grande modernité avec l’arrivée du tramway en même temps que la requalification et la résidentialisation des logements, un travail de 3 à 4 ans pour que nous remettions en ordre de marche un patrimoine qui mérite toute notre attention. »
Eric Quénard, 1er adjoint : « Deux projets ambitieux et d’envergure se rencontrent ici : le tramway et l’ANRU, le 5e plus gros chantier de France en matière de rénovation urbaine.
Cette résidence sera gérée par le Crous en septembre 2011 et nous cultivons l’ambition d’une communion entre l’Université et le quartier, qui permettrait aux étudiants de participer à la vie quotidienne du quartier.
Par ailleurs, cette construction s’inscrit dans le développement de l’enseignement supérieur à Reims, de très grande qualité et rayonnant bien au-delà de la ville. »
Alexandre Steyer, recteur de l’Académie de Reims et chancelier des Universités : « Effectivement, pensons aux étudiants champardennais pour leur offrir une Université de grande qualité, le véritable ascenseur social dont nous avons besoin. »
« Je ne suis pas quelqu’un de violent. Je traverse juste une mauvaise passe. » Avec un aplomb dont il ne s’est jamais départi durant toute l’audience, Aissa Sahraoui a ainsi tenté de justifier le geste qui l’a conduit hier devant le tribunal de Reims.
Ce Rémois de 26 ans qui avait l’objet d’une procédure de comparution avait demandé un délai pour préparer sa défense. Il devait répondre d’une tentative de vol avec violence dans un tabac-presse du quartier Croix-Rouge perpétrée le 11 mars dernier.
Ce jour-là, vers 19 h 40, sous l’emprise d’un état alcoolique, il avait fait irruption dans le Bonaparte quelques minutes avant la fermeture de l’établissement.
« Vous êtes passé derrière le comptoir et vous avez tenté de prendre le tiroir-caisse. Non sans avoir menacé le propriétaire du Bonaparte et fait preuve de violence à son égard », précise Odile Madrolle, la présidente en s’adressant au prévenu, placé en détention depuis son interpellation.
Ce que conteste Aïssa Sahraoui. « Je suis passé derrière le comptoir pour prendre une bouteille de whisky. Le propriétaire a refusé de me laisser faire. Je l’ai poussé mais je ne l’ai pas frappé. »
Ce dernier portait pourtant des traces autour du cou. « Ce qui prouve qu’il y a eu tentative de strangulation », poursuit la présidente du tribunal.
Jocelyn Poul, le substitut du procureur, a évoqué « le lourd passé judiciaire du Rémois » avec pas moins de 12 condamnations à son actif. « Jamais pour des faits de vols ! », s’insurgera le mis en cause qui évoque plus « un faux pas ».
Pour le représentant du Parquet de Reims : « On n’a pas le droit à l’erreur quand on fait l’objet d’une mise à l’épreuve de trois ans ».
Ce dernier n’a pourtant pas retenu la peine plancher de trois ans encourue par le prévenu et a requis 14 mois dont huit avec sursis.
Me Repka, qui défend les intérêts du propriétaire du Bonaparte évoque « une réalité un peu édulcorée des faits ». L’avocate de la Défense a mis en avant un dossier vide.
« Il n’y a pas grand-chose dans cette affaire sauf deux témoins, le premier étant un ami du propriétaire qui ne se trouvait pas dans le tabac-presse mais qui aurait tout vu et un second témoin, qui a vu la scène mais qui n’a jamais été entendu par la police ».
Le tribunal, après délibération a condamné Aissa Sahraoui à un an de prison dont huit mois avec sursis. Ce dernier reste en détention.
Corinne LANGE
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Les pompiers ont également éteint deux feux de détritus, le premier rue Sainte-Thérése à 17 heures, le second vers 4 heures près des jardins familiaux, rue Joliot-Curie.
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ARRÊTÉ
portant ouverture d’une enquête publique en vue du déclassement du domaine public routier communal rémois d’emprises sises avenue du Général-Eisenhower et rue Pierre-Taittinger
Nous, Maire de la Ville de Reims,
Vu la liste départementale d’aptitude aux fonctions de commissaire enquêteur établie au titre de l’année 2010,
Vu le code de la voirie routière, notamment en ses articles L.141-2 et suivants et R.141-4 et suivants.
Considérant que, dans le cadre du projet de rénovation urbaine du quartier Croix-Rouge, secteur Eisenhower à Reims, il convient de déclasser du domaine public routier communal rémois des emprises de terrain sises avenue du Général-Eisenhower et rue Pierre-Taittinger,
Arrêtons ce qui suit :
Article premier. - Une enquête publique sera ouverte sur le projet de déclassement du domaine public routier communal rémois d’emprises sises avenue du Général-Eisenhower et rue Pierre-Taittinger.
Article 2. - Monsieur René DAROQUE, inscrit sur la liste départementale des commissaires-enquêteurs susvisée, est désigné commissaire-enquêteur pour la présente enquête.
Article 3. - Conquête se déroulera du lundi 17 mai 2010 au lundi 31 mai 2010 inclus à l’hôtel de ville de Reims où tout intéressé pourra prendre connaissance du dossier tous les jours de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 (samedis, dimanches et jours fériés exceptés).
Les intéressés pourront formuler leurs observations sur le registre ouvert à cet effet ou les adresser à Madame la Maire de Reims ou à Monsieur le commissaire-enquêteur qui les visera et les annexera audit registre.
Article 4. - Monsieur le commissaire-enquêteur recevra à l’hôtel de ville de Reims les observations des intéressés les jours suivants : le lundi 17 mai 2010, le mercredi 26 mai et le lundi 31 mai 2010, aux horaires suivants de 10 à 12 heures etde 14 h 30 à 16 h 30.
Article 5. - A l’issue de l’enquête, Monsieur le commissaire-enquêteur constatera sur le registre la clôture de l’enquête et transmettra le dossier à Madame la Maire de Reims avec ses conclusions motivées.
Pour la Maire, L’adjoint délégué, Jean-Claude LAVAL.
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La Marelle vient de prendre possession de ses nouveaux locaux, allée des Picards. Une réponse adaptée aux attentes des enfants et de leurs parents.
LA Maison de l’enfance accompagne le Foyer rémois depuis 1927.
Elle coordonne de nombreuses actions d’animation et de développement sur les quartiers sensibles.
C’est ainsi qu’elle était déjà connue à Croix-Rouge depuis 2007, sous la forme d’une malle de jeux itinérante dans un premier temps, puis par un espace d’aide à la parentalité, en 2008 et en 2009, dans les locaux provisoires du 1, allée des Béarnais.
Elle vient désormais de prendre possession de nouveaux locaux, au 3, allée des Picards. C’est « la Marelle », qui a fait l’objet d’une inauguration en présence de nombreuses personnalités dont l’adjointe « Petite enfance », Laurence Delvincourt, le conseiller municipal, Salah Byar, et des représentants des structures locales (maison de quartier, associations, prévention départementale,…).
Daniel Hannotin, son président, a rappelé : « La création de la Marelle a pour origine une initiative de mères de familles de Pays-de-France qui souhaitaient disposer d’un local sécurisé et convivial pour pouvoir jouer avec leurs enfants ».
Le Foyer rémois, de son côté, entendait apporter une réponse adaptée aux préoccupations quotidiennes des habitants pour accompagner la mise en œuvre du projet global mené avec l’État et la Ville de Reims au titre du renouvellement urbain et de l’aménagement futur du site de Pays-de-France.
Un partenariat a été mis en place pour réaliser cet équipement de proximité, dans l’attente de la construction de la future grande maison de quartier : l’organisme logeur a investi 200.000 €, la Ville de Reims est intervenue à hauteur de 23.000 + 1.000 € pour l’équipement, l’État au travers de l’Anru pour 43.000 €.
Et enfin, le conseil général, assure le fonctionnement de l’équipement pour 10.000 €. Résultat, un magnifique espace en rez-de-chaussée, avec terrasses, de près de 200 m2, dans lequel Evelyne Verrier et Nikola Cauet, les animateurs, peuvent chouchouter les enfants (et leurs parents) venus ici pour jouer en toute tranquillité.
« Un lieu merveilleux dans lequel nous pourrons développer notre projet pédagogique pour l’accès de tous à la culture », devait apprécier Agnès Bégusseau, coordinatrice. Le premier adjoint, Éric Quénard, insistait : « On va accueillir les enfants dans ce nouveau service qui ne se surajoute pas à l’existant, mais en est complémentaire ».
Enfin, Christophe Villers, président du Directoire du Foyer rémois, a situé cette réalisation dans l’engagement de l’organisme logeur, d’ici 3 ans et demi, d’investir 30 M€ dans une grande rénovation des logements de Pays-de-France (façades, chauffage,…) : « En avril, les commerces vont s’installer à deux pas d’ici, avenue Bonaparte, puis ce sera le lancement des restructurations de renouvellement urbain pour créer un nouveau quartier ».
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Lisez la déclaration de Madame Agnès Bégusseau, coordonatrice.
Lisez la declaration de M. Daniel Hannotin président de la Maison de l Enfance.
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David Gameiro, animateur du secteur jeunesse Croix-du-Sud Ethnic’s de la Maison de quartier Croix-Rouge a établi le programme des animations sportives de proximité pour les vacances de printemps, à savoir du mardi 6 au vendredi 9 avril et du lundi 12 au vendredi 19 avril.
Un plateau multisport pour les 10/15 ans accueillera de 14 à 16 heures les férus de basket, ping-pong et badminton, avec un coin ludothèque et jeux de plateaux, grands jeux… Quant à « basket-loisirs », il accueillera les plus de 15 ans.
Un stage multisport initiation au squash, badminton, football et escalade et sports de combat (boxe et yoseikan Budo) sera ouvert pour les 11/15 ans, de 14 à 17 heures, du lundi 12 au vendredi 16 avril. Tarif : 10 euros. Renseignements et inscriptions directement au gymnase Léo-Borgniet auprès de M. Goncalvez ou au 03.26.86.08.02.
Un stage « percussions africaines » sera organisé du mardi 6 au vendredi 9 avril à l’espace Ethnic’s, lieu d’accueil et d’animations tous publics, de 14 à 16 heures. Tarifs : adhérents 10 euros, non adhérents 17 euros (passeports Loisirs acceptés). Inscriptions auprès de Mme Asloudj ou de M. Platel au 03.26.86.08.02.
L’accueil jeunes 11/17 ans fonctionnera de 14 h 30 à 18 h 30, avec baby-foot, console jeux vidéos et ping-pong (avec un challenge ping-pong du 6 au 9 avril de 16 à 18 heures, prioritairement pour les jeunes 10/15 ans inscrits au gymnase Léo-Borgniet, lieu école Galilée).
Pour toutes ces activités, renseignements complémentaires et inscriptions à l’espace Ethnic’s - Château d’eau - avenue d’Épernay. Tél. 03.26.36.08.02.
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Une section yoga, créée en septembre 2009, au sein de l’association Étoile Croix-du-Sud, propose un cours collectif chaque jeudi, hors vacances scolaires, de 18 h 45 à 20 heures.
L’animation de cette activité est assurée par un professeur expérimenté, Marcel Oudin, diplômé en 1994 de l’école ETY de Claude Maréchal (école Viniyoga - étude et transmission du yoga), élève de TKV Désikachar, à Madras.
À ce jour, cette section compte sept pratiquants assidus et, en vue de constituer un second cours à la rentrée de septembre prochain, l’association invite toutes les personnes qui souhaitent s’initier ou redécouvrir cette discipline de bien-être, à contacter le secrétariat de l’Étoile Croix-du-Sud, 5, avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66.).
A la suite des États généraux du sport, les critères d’attribution des subventions ont été redéfinis, et plus particulièrement les subventions de fonctionnement.
Hier, les élus ont accepté que la Ville signe une convention avec 23 clubs sportifs amateurs, accompagnée de subventions dont le montant global atteint les 2,06 M€.
Association gymnique rémoise : 18 759 € ; Cercle d’escrime de Reims : 29 110 € ; Cercle rémois des arts martiaux : 20 000 € ; Club de patinage artistique de Reims : 35 700 € ; District athlétique club de Reims : 26 950 € ; École de football Reims Sainte-Anne Carnot Châtillons : 123 750 € ; Entente family stade de Reims athlétique : 175 733€ ; Football club de formation La Neuvillette : 23 750€ ; Olympique rémois de tennis de table : 58 704€ ; Reims Acrap patinage : 23 800 € ; Reims basket féminin (ex-Saint-Jacques Sport) : 300234 € ; Reims Champagne basket : 485 500 € ; Reims Champagne Handball : 45 000 € ; Reims Champagne hockey : 127000 € ; Reims Champagne natation : 15 000 € ; Reims Europe Club : 27160 € ; Reims haltérophilie et musculation : 20276 € ; Reims Murigny franco-portugais : 19800 € ; Reims natation 89 : 197825 € ; Reims patinage de vitesse : 23 370 € ; Régates rémoises : 208 725 € ; Stade de Reims rugby : 29 700 € ; Tennis club Géo-André : 31 350 €.
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