Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mai 2013.
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Aujourd’hui, entre 14 et 19 heures, se déroulera la fête des habitants du quartier Croix-Rouge aux 12 et 14 rue Taittinger.
L’ensemble de la population est invitée à par¬ticiper à cette manifestation.
Anniversaire des médiathèques : concert à Croix-Rouge
10 ans de médiathèque Croix-Rouge, c’est 10 ans de soutien aux musiciens issus du quartier.
Pour fêter cela, la médiathèque offre une scène à des groupes emblématiques dont Kerjostyle
& the Mothafonk (rap aux saveurs funky et jazz). A découvrir gratuitement vendredi
31 à 18h30 à la médiathèque Croix-Rouge.
Après-midi jeux de société franco-allemands à la médiathèque Croix-Rouge
Mercredi 5 juin, de 14h à 18h à la médiathèque Croix-Rouge, l’association Stimuli, pôle ludique champardennais, et Charlotte Raffarin, ambassadrice de l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse (OFAJ), proposeront aux enfants et leurs familles, un après-midi gratuit autour de jeux de société sur le thème franco-allemand. Renseignements et inscriptions auprès de la médiathèque Croix-Rouge.
Si la chaleur ne sera pas là, la pluie non plus ne devrait pas s’inviter à la fête des voisins. Tour d’horizon des rues où plus de 50 invitations ont été lancées.
CE soir, c’est le début de l’amélioration météo avant un joli week-end. Tant mieux, car beaucoup de Rémois se sont décarcassés pour organiser, comme chaque année, la fête des voisins (à partir de 19 heures).
Quatorze amicales, associations ou maisons de quartier se sont ainsi inscrites auprès de la Ville, avec donc au moins 50 invitations lancées.
Même système chez les particuliers, avec 36 habitants d’un peu tous les quartiers qui se sont lancés. Sans oublier bien sûr tous ceux qui ne demandent pas de barriérage ou d’invitations, et qui s’organisent entre eux pour 10, 20 ou 30 personnes.
Du côté de Saint-Remi-Barbâtre, il y aura des belles tables de voisins rues Adnot, de Taissy et de l’Oseille, ainsi que sur l’esplanade des Capucins, avec l’amicale des locataires du même nom.
A Croix-Rouge, animation prévue rue Jacques-Detré. Du côté de Jean-Jaurès-Cernay-Epinettes, plus de choses annoncées, avec l’amicale des locataires Naudin, dans la rue du même nom, allée Jazeron pour l’association du Hameau de l’est. Les particuliers seront rue Daubenton, de Nogent, David, Savoye-Kellerman, Esplanade Le Rouet. A noter que 300 personnes sont attendues rue Thionville.
Au centre-ville, les voisins ont lancé des invitations rue Berton, boulevard Lundy, rue de Chativesle, au carrefour Capucin-Jard, parc des Capucins et rues Adad, du Tambour et Werlé. La résidence Tiers-Temps organise aussi la fête, tout comme l’association Ex-Aequo rue du Jard et l’Amicale du 28 boulevard Joffre.
A Clairmarais, la maison de quartier sera dans le square Henriot les particuliers place Corot.
A Trois-Fontaines, deux rendez-vous : rue Walbaum avec la maison de quartier et rue de Pévy. A Dauphinot, ce sera avenue Charles-Flandres.
Du côté de Laon-Zola-Luton, les tables seront installées rue du Vieux coq, du jeune Homme, Foulrquart et place Michel-Ange, avec aussi les locataires Brossolette, les Jardins suspendus et le faubourg de Laon (333, ave de Laon).
Rendez-vous aussi rue Faivre à Murigny, rue de Courlancy et à Martin -Peller avec la Colline Sainte-Geneviève.
Il y aura du monde avec l’association La Lézardière (rue Flaubert) et rue de Sacy avec Bien Vivre à Sainte-Anne, sans oublier dans ce quartier rue de la Briqueterie et rue Bazin-Serbie.
On termine par Orgeval, avec les rues Fanart, Desbureaux et Guignicourt. Et si on habite dans les petites villes de la Métropole ou les villages du bassin rémois, il y aura toujours un moment à partager ce soir avec ses voisins !
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REIMS (Marne). Même s’ils sont en baisse par rapport à 2012, des vols de bijoux à l’arraché continuent de se produire à Reims. Dernier cas mardi avec une jeune femme agressée à Croix-Rouge.
Le sac à main n’est plus la cible privilégiée des voleurs à l’arraché. Avec la hausse du cours de l’or, nombreuses sont les petites frappes à s’être reconverties dans l’arrachage des bijoux. Une Rémoise de 23 ans en a fait l’amère expérience, mardi matin, dans le quartier Croix-Rouge.
Il était 11 h 30. La jeune femme traversait le square de la rue du Docteur-Billard, derrière l’école, lorsque trois individus ont croisé son chemin. « Tout d’un coup, un des trois s’est jeté sur moi pour tenter d’arracher ma chaîne en or. Je me suis débattue. Il m’a griffé le cou. Il m’a fait tomber et m’a frappée à coups de pied sur les jambes. Une dame est arrivée. Elle a crié, ce qui l’a mis en fuite avant qu’il ne réussisse à prendre ma chaîne. »
L’agresseur avait le visage partiellement dissimulé sous une capuche. Selon le témoignage de la dame, les deux autres individus semblaient faire le guet pendant que leur complice attaquait la jeune femme.
Depuis le début de la décennie, ce type d’agression est devenu un fait marquant de la délinquance de voie publique en France, notamment en région parisienne et à Marseille, avec un pic en 2012, année où le prix du gramme d’or a dépassé les 44 €.
Reims n’a pas échappé au phénomène. « Nous avons été confrontés à une série durant le premier semestre de l’année dernière », se souvient la commissaire Annie Brégal, directrice départementale de la sécurité publique de la Marne.
« Il y avait deux ou trois équipes qui tournaient*. Le travail des brigades anticriminalité et des enquêteurs de la sûreté départementale de Reims a permis de les neutraliser. Depuis, c’est un phénomène qui reste marginal, avec quelques faits commis de temps à autre, sans unité de lieu. Nous restons vigilants. Nos équipages sont d’ailleurs sensibilisés en permanence pour tout ce qui concerne les vols sur la voie publique, notamment les vols de portables ou de mallettes d’ordinateur. »
D’après les statistiques locales, seuls six faits ont été recensés depuis le 1er janvier. Reims n’est donc pas encore Marseille ou Paris, capitale confrontée l’an dernier à « plus de dix vols par jour », contre « dix par semaine en 2011 », selon la préfecture de police.
Même si le prix du gramme d’or est aujourd’hui redescendu aux environs de 35 €, c’est toujours 55 % de plus qu’il y a quatre ans à la même époque. De quoi susciter l’engouement des petits malfrats pour ce précieux métal à portée de main dans les rues.
* Les quartiers principalement touchés étaient Croix-Rouge, Saint-Remi et Les Châtillons.
F.C.
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La Vendée leur a plutôt réussi. Cécile Lejeune, Vincent Lafleur, Lucie Picard et Antoine Blacas en sont revenus avec un titre national. « C’était l’objectif, pour nous comme pour le lycée », assure Antoine, élève de seconde à François-Arago.
Sourire aux lèvres sur la route de l’entraînement, les triathlètes rémois se disent satisfaits du devoir accompli : « On est tous très contents, individuellement et collectivement. C’est vrai qu’il y a une très bonne entente dans notre groupe. Certains sont même en classe ensemble », explique Cécile.
Vélos enfourchés et prêts à partir pour s’entraîner, les champions ont gardé leur rythme de travail. Une belle équipe qui se forme donc, composée de la championne de France minime surclassée, Cécile Lejeune. Elle a évidemment tenu un rôle particulier dans ce titre :. « Je devais rattraper le retard et j’y suis presque parvenue complètement ».
La jeune athlète est considérée comme un « phénomène » par Loïc Janson, son entraîneur : « Elle est extrêmement forte, je n’ai jamais vu ça, elle ira très loin. En plus, elle a un an de moins et reste quand même au-dessus du niveau cadet. Elle n’a quasiment pas de déchet dans les trois sports ». Antoine, lui, s’avoue plus à l’aise sur le vélo et en course : « La nage ce n’est pas trop mon truc, c’est très technique mais je travaille beaucoup. »
Les Rémois rempilent donc demain à Châteauroux, cette fois aux championnats de France. Un niveau « bien plus élevé » selon leur coach : « Ce n’est pas la même compétition, là, on est plus dans le scolaire. Ce week-end, il y aura de très bons athlètes ». Mais l’équipe reste confiante et, après concertation, annonce l’objectif : « On pense qu’un top15 ne serait pas mal », disent-ils avant que Vincent Lafleur revienne sur cette annonce. « On peut même être dans les 10 premiers ».
Les lycéens disposent de moyens d’entraînement assez complets. « On s’entraîne beaucoup au lycée et on a un partenariat avec le Creps qui nous fait bénéficier de ses installations », explique l’entraîneur. « Ils ont aussi des résultats scolaires très bons… Surtout les filles », conclut le proviseur du lycée. Des esprits sains dans des corps sains en somme.
Valentin LIERRE
Mercredi matin, un riverain de la rue Raymond-Poincaré a retrouvé sa R5 aspergée d’essence, avec du papier con¬sumé en dessous. Un vandale a voulu l’incendier au cours de la nuit, mais le papier s’est éteint avant d’embraser le véhicule.
En revanche, deux voitures ont brûlé hier : une Mégane rue Roger-Foucry à 5 heures, une Peugeot 306 rue de Rilly-la¬-Montagne à 2 h 20 (avec pro¬pagation à deux Opel).
De nombreux stands et ateliers attendaient les enfants, comme ici, l’entreprise Pertuy.
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La fête des secteurs Croix-du-Sud et Pays-de-France, était organisée samedi 25 mai sur l’espace Saint-Bruno, entre la résidence Joséphine et l’église de Croix-Rouge. Toutes les forces vives de ces secteurs s’étaient réunies pour assurer le succès de la fête et le temps a été plutôt clément. Simplement, le pique-nique de soirée a été annulé à titre préventif.
Autour des organisateurs, Elisabeth Causin pour l’espace Watteau et Slimane Hamdi, pour l’espace Pays-de-France, on pouvait remarquer l’équipe de La Marmite, restaurant associatif, l’entreprise Pertuy (le public a adoré préparer du ciment, surtout les jeunes filles), l’association culturelle Maoraise de Reims, l’association de promotion de Pays-de-France, l’équipe « service civique » d’Unis-Cité, qui a assuré la partie thématique retenue sur le « développement durable », les associations Métamorphose et Les savants fous, l’association Multi-échanges services, la médiathèque Croix-Rouge, le tri sélectif, toujours présent et la Maison de l’enfance.
Une structure gonflable et les jeux pour enfants étaient également à disposition des jeunes qui pouvaient de déplacer des stands aux nombreux ateliers tenus par les équipes de Watteau et de Pays-de-France.
Toujours présente, l’équipe d’animation du Conseil de quartier, toujours présente, accueillait le public à l’entrée de la fête qui a été clôturée par une belle prestation endiablée du groupe de percussions Pily-Pily.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Les collégiens du Sacré-Cœur espèrent faire aussi bien que leurs prédécesseurs, surtout sur le développement durable.
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REIMS (Marne). Les mini-entreprises présentent leur projet aujourd’hui au Manège. Zoom sur deux d’entre elles, mais le public pourra venir voir les 41 projets développés comme dans une vraie entreprise cet après-midi.
Elles seront 41 mini-entreprises de toute la région, à venir présenter leur projet aujourd’hui au Manège, avec comme objectif de représenter la Champagne-Ardenne au championnat de France. C’est aussi l’occasion de montrer que les jeunes collégiens, lycéens et ceux en insertion sont capables non seulement d’avoir de belles idées, mais surtout de les mettre en pratique.
Une mini-entreprise, c’est en effet la conception d’un produit de A à Z, dans les conditions du réel, avec un PDG, des chefs de service, des ouvriers, ingénieurs, communicants, etc. Le projet débouche sur une vente encore une fois réelle du produit, assurée aussi par les élèves, tout comme la gestion administrative et financière. Une plongée pour tous ces jeunes dans le monde actif qu’ils affronteront dans quelques années. Organisé par l’association Entreprendre pour Apprendre (EPA), ce 5e championnat régional des mini-entreprises sera ouvert au public de 13 h 30 à 15 h 30. Le jury sera constitué de chefs et cadres d’entreprise et de membres de l’Education nationale.
Les mini-entreprises classées premières de leur catégorie (il y en a 4 : collège, lycée, postbac et insertion) représenteront la Champagne-Ardenne au championnat national qui se tiendra le 5 et 6 juillet à la cité des sciences et de l’industrie, à Paris.
Les jeunes abordent la créativité, l’esprit d’initiative, le sens des responsabilités, l’intégration à une équipe, la gestion de l’entreprise, la réflexion pour résoudre les difficultés liées à la vie de la mini-entreprise (délais fournisseurs, malfaçons…), la communication… qui sont des compétences attendues des entreprises.
L’EPA, créée en 2008, a encadré plus de 50 mini-entreprises cette année dans la région. En plus des premiers prix, les jeunes pourront viser le prix du Développement durable, celui des valeurs de l’économie sociale, de la communication, du projet intergénérationnel, du meilleur stand, de l’égalité, de la mobilité, de l’innovation. Ils choisiront eux-mêmes le dernier prix, le Coup de cœur.
En plus des deux collèges présentés ci-dessous, ceux de Joliot-Curie et de Brossolette vont présenter des tee-shirts, celui de Pontfaverger des bijoux, celui de Gueux des cadres photos, et Fismes a présenté son spectacle, Mix’ages, samedi à la nouvelle salle des fêtes de la commune.
Maryse-Bastié abat ses cartes
Le Sacré-Cœur met le feu
REGION CHAMPAGNE ARDENNE réf. 2006506 - (AAPC)
Type : Services - Autres services (Indéfini)
Objet : Mission de maîtrise d’œuvre 2013 - 2017 pour les travaux de maintenance intégrant les travaux de gros entretien, de mise aux normes et de travaux ponctuels de réaménagement de locaux à exécuter dans les lycées, dans les établissements qui y sont rattachés (greta, C.F.P.P.A.) et dans les centres de formation d’apprentis propriétés de la Région. Sont exclus les travaux de réhabilitation ou de restructuration lourde d’un bâtiment ou d’un ensemble de bâtiments.
Classification des produits (CPF) :
74. Services fournis principalement aux entreprises
Acheteur Public
Date de publication : Date limite : Temps restant :
Mercredi 29 Mai 2013 - 16:26 Mardi 9 Juillet 2013 - 16:00 40 jours 1h 24min
Compléments
1 - Pouvoir adjudicateur :
1.1 - Identification du pouvoir adjudicateur : Région Champagne-
Ardenne. Direction de la gestion du patrimoine immobilier, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex. http://www. cr-champagne-ardenne.fr https://marchespublics.cr-champagne… Courriel : dgpi-marches@cr-champagne-ardenne.fr Tél : 03.26.70.31.74 .
1.2 - Adresse auprès de laquelle des informations complémentaires peuvent être obtenues : région Champagne-Ardenne, direction de la gestion du patrimoine immobilier, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex. Courriel : dgpi-marches@cr-champagne-ardenne.fr
1.3 - Adresse auprès de laquelle le cahier des charges peut être obtenu : région Champagne-Ardenne, direction de la gestion du patrimoine immobilier, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en- Champagne cedex.
Le dossier est téléchargeable sur la plate forme de dématérialisation, à l’adresse internet suivante : https://marchespublics. cr-champagne-ardenne.fr
1.4 - Adresse à laquelle les offres ou demande de participation doivent être envoyées : région Champagne-Ardenne, à l’attention de Monsieur le Président, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en- Champagne cedex. https://marchespublics.cr-champagne…
2 - Objet et caractéristiques du marché :
2.1 - Objet du marché : mission de maîtrise d’œuvre 2013 - 2017 pour les travaux de maintenance intégrant les travaux de gros entretien, de mise aux normes et de travaux ponctuels de réaménagement de locaux à exécuter dans les lycées, dans les établissements qui y sont rattachés (greta, C.F.P.P.A.) et dans les centres de formation d’apprentis propriétés de la Région.
Sont exclus les travaux de réhabilitation ou de restructuration lourde d’un bâtiment ou d’un ensemble de bâtiments.
Les opérations sont variables tant dans leur nature, leur importance financière que dans leurs spécificités techniques.
Une opération peut regrouper plusieurs interventions dans des domaines divers.
2.2 - Type de marché : marchés de service de la catégorie 12.
Pour information, la somme annuelle dévolue pour l’ensemble des 8 lots est de l’ordre de 2.000.000 euros H.T.
2.3 - Lieu d’exécution : les prestations seront réalisées sur les sites géographiques correspondants aux lycées et aux établissements qui y sont rattachés et aux C.F.A. propriétés de la région Champagne-Ardenne (soixante douze sites répartis sur les quatre départements suivants : Ardennes, Aube, Marne et Haute-Marne).
2.4 - Nomenclature C.P.V. : 71221000-3.
2.5 - Couverture par l’accord sur les marchés publics : oui.
2.6 - Division en lots :
Liste des lots - Etablissements
_ Lot n° 1 Lycées hôtelier de Bazeilles (08), Pierre-Bayle, Le Château, Jean-Baptiste-Clément à Sedan (08, 2 sites), Jean-Moulin à Revin (08), Balcon des Ardennes à Saint-Laurent (08), agricole de Rethel, Verlaine à Rethel (08), et Masaryk à Vouziers (08).
Lot n° 2
Lycées Bazin, Etion, Armand-Malaise, Sévigné, Chanzy, Monge à Charleville-Mézières (08), Maison de l’étudiant à Charleville-Mézières (08), CFA interprofessionnel et de l’industrie des Ardennes à Charleville-Mézières (08).
Lot n° 3
Lycées Val-Moré à Bar-sur-Seine (10), EPLEFPA de l’Aube (10, 2 sites), Joliot-Curie et Diderot à Romilly-sur-Seine (10), Edouard-Herriot à Sainte- Savine (10),
Lot n° 4
Lycées Marie de Champagne, Gabriel-Voisin, Chrétien de Troyes, Camille-Claudel et Les Lombards à Troyes (10), IUMP à Troyes (10).
Lot n° 5
Lycées Bayen, Talon à Châlons-en-Champagne (51), viticole + Cfa à Avize (51), Léon-Bourgeois et Godart-Roger à Epernay (51), Fontaine-du-Vé à Sézanne (51), Oehmichen et EREA de Châlonsen- Champagne (51), Argonne à Sainte-Ménéhould (51) et agricole de Somme-Vesle (51), François 1er à Vitry-le-François (51) ORCCA à Epernay et l’Hôtel de Région à Chalonsen- Champagne.
Lot n° 6
Lycées Arago, Chagall, Europe, Yser, Clemenceau à Reims (51). CFA Interprofessionnel de la Marne à Châlons-en-Champagne (51).
Lot n° 7
Lycées Jean-Jaurès, Joliot-Curie, Roosevelt, Val de Murigny (2 sites), Colbert, Eiffel et Libergier à Reims (51),
Lot n° 8
Lycées Philippe-Lebon de Joinville (52), Blaise- Pascal et Saint-Exupéry à Saint-Dizier (52), Emile- Baudot et EREA à Wassy (52), Pisani à Choignes (52), Decomble, Bouchardon et Charles-de-Gaulle, à Chaumont (52), horticole à Fayl-Billot (52), Diderot à Langres (52, 2 sites), CFA du bâtiment de la Haute-Marne, CFA interprofessionnel de la Haute-Marne (bat. Internat) à Chaumont (52).
Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
2.7 - Durée du marché. Délai d’exécution : le marché est conclu pour une période d’une année renouvelable par reconduction expresse annuelle, sans que sa durée totale ne puisse excéder 4 années. Le délai d’exécution sera fixé dans chaque bon de commande
3 - Renseignements d’ordre juridique, économique, financier et technique :
3.1 - Modalités essentielles de financement et de paiement :
Financement par ressources propres inscrites au budget de la Région,
Paiement à 30 jours par virement administratif.
3.2 - Conditions de participation : les candidats produiront un dossier de candidature complet comportant les documents suivants dûment complétés : Constitutions des équipes : consultation ouverte à tous maîtres d’œuvre disposant au minimum des compétences suivantes : - Architecture avec capacité à instruire et signer les autorisations administratives liées à l’acte de construire,
Structure,
Fluides,
Electricité (courants forts et courants faibles),
Coordination S.S.I.
Si une structure unique ne dispose pas d’une des compétences mentionnée ci-dessus, il lui appartient de présenter sa candidature en y adjoignant la compétence manquante soit sous forme de cotraitance dans le cadre d’un groupement ou d’une sous traitance déclarée à la remise de l’offre.
En cas de groupement, le mandataire sera l’un des membres de l’équipe et la forme juridique du groupement imposé au titulaire retenu sera le groupement solidaire.
3.2.1 Situation propre des opérateurs économiques :
Copie du ou des jugements prononcés si le candidat est en redressement judiciaire,
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner.
À titre pratique, le candidat remettra le formulaire DC2 (version du 15/09/2010) dûment complété, et le formulaire DC1 en cas de groupement.
3.2.2 Capacité économique et financière : déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les travaux objet du marché réalisés au cours des 3 dernières années.
3.2.3 Capacité technique :
Déclaration indiquant les effectifs moyens du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des 3 dernières années, - Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des 5 dernières années,
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose,
Certificats de qualification ou références équivalentes.
Fiche de candidature (Format A3 recto verso) comprenant la composition détaillée de l’équipe en termes de compétences (qualification, agrément,…) et moyens (humains et matériels), des références significatives de chaque co-traitant, dans le domaine de l’entretien de bâtiments, ainsi que quatre références jugées par le candidat significatives dans le domaine concerné, à remplir obligatoirement selon le modèle intégré au dossier.
4 - Procédure :
4.1 - Type de procédure : négociée conformément aux articles 74-III et 35-I du C.M.P.
La mise en compétition est limitée à l’examen des compétences, références et moyens des candidats dans le domaine de la maintenance. Le pouvoir adjudicateur, après avis d’un jury tel que
défi ni à l’article 24 du code des marchés publics, dressera la liste de trois candidats par lot admis à négocier. Des négociations seront alors engagées avec ces candidats. Au terme de celles-ci le marché sera attribué selon les critères d’attributions suivants.
4.2 - Critère d’attribution : offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères et de la pondération suivante :
Valeur technique : 60 %,
Prix : 40 %.
4.3 - Date et heure limites de réception des candidatures : 9 juillet 2013 à 16 heures.
4.4 - Langue : tous les documents devront être rédigés en langue française.
4.5 - Délai de validité des offres : 180 jours à compter de la date limite de remise des offres.
5 - Renseignements complémentaires :
5.1 - Procédures de recours :
5.1.1 - Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne. E-mail : greffe.ta-chalonsen- champagne@juradm.fr. tél. 03 26 66 89 87. URL : http:// www.ta-chalons-en-champagne….. shtml. Fax 03.26.21.01.87.
5.1.2 - Service auprès duquel des renseignements peuvent être obtenus concernant l’introduction des recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en- Champagne, tél. : 03.26.66.89.87, courriel : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr, télécopieur : 03.26.21.01.87, adresse internet : http://www.ta-chalons-en-champagne…. chalons/index.shtml
Introduction des recours : référé précontractuel avant la signature du marché (article L. 551-1 du code de justice administrative).
Recours pour excès de pouvoir contre les actes détachables du contrat : deux mois à compter de leur notification et/ou de leur publication (article R. 421-1 du code de justice administrative).
Recours de pleine juridiction à l’encontre du contrat ou certaines de ses clauses : deux mois à compter de la publicité annonçant la conclusion du contrat (CE 16/07/2007 - TROPIC).
Référé contractuel après la conclusion du marché (article L.551-13 et suivants et R.551-7 et suivants du code de justice administrative).
5.2 - Date d’envoi du présent avis : 24 mai 2013.
51AO2006506
Cinq matches, cinq défaites. On ne peut pas vraiment dire que la troisième journée des Interclubs nationaux ait été propice aux clubs marnais. Comme le début de saison d’ailleurs…
Ainsi, en Nationale 2 féminines, le TC Géo-André n’a pas pesé bien lourd à Sucy-en-Brie (8-0). Du côté des messieurs, en Nationale 4, le TC Vitry a également subi une lourde défaite contre le leader Annecy (7-1) et Cormontreuil a pris l’eau à domicile face aux Nordistes du TC Loon-Plage qui alignaient quatre Belges. Tout près d’une « perf » à -2/6, Constant De La Bassetière (2/6) n’a pu éviter le zéro pointé des siens en simple (0-5). Seule la paire Sébastien Jolly - Jean-Charles Robert a sauvé l’honneur en s’adjugeant le premier double.
Enfin, dans les Landes, le TC Géo-André a été corrigé (0-8) tandis que la rencontre très accrochée à Saint-Maur n’a pas souri aux sociétaires du Reims Europe Club, finalement battus 5-2.
Tous ces résultats placent ces cinq formations dos au mur. La prochaine journée, dimanche, sera essentielle.
SUCY-EN-BRIE. - Sucy-en-Brie bat TC Géo-André 8-0. Virginie Ayassamy (-30, Sucy-en-Brie) bat Jackie LASSAUX (0, Géo-André) 6-0, 6-0 ; Servane Delobelle (-2/6, Sucy-en-Brie) bat Maêva SPOONER (3/6, Géo-André) 6-0, 6-1 ; Elsa Morel (1/6, Sucy-en-Brie) bat Angela CHARLES-ALFRED (4/6, Géo-André) 6-0, 6-1 ; Chelbya Kcharem (3/6, Sucy-en-Brie) bat Lisa-Marie HABERT (5/6, Géo-André) 6-4, 6-2 ; Claire Chapuy (5/6, Sucy-en-brie) bat Lucie GRYGIELSKI (15, Géo-André) 7-5, 6-2. Virginie Ayassamy - Servane Delobelle battent Jackie LASSAUX - Angela CHARLES-ALFRED 6-2, 6-1 ; Chelbya Kcharem - Claire Chapuy battent Maêva SPOONER - Lucie GRYGIELSKI 7-5, 6-3.
VITRY-LE-FRANÇOIS. - Annecy bat TC Vitryat 7-1. LALOUETTE (1/6, Vitry) bat Voljacques (0, Annecy) 6-4, 7-5 ; Brouart (0, Annecy) bat THOUVENOT (4/6, Vitry) 6-3, 6-1 ; Gayte (1/6, Annecy) bat BONNERAVE (15/1, Vitry) 7-5, 6-1 ; Majcher (2/6, Annecy) bat BERRANGER (15/2, Vitry) 6-0, 6-1 ; Duret (3/6, Annecy) bat CARON (30, Vitry) 6-1, 6-0. Brouart-Majcher battent LALOUETTE - MULAT (15, Vitry) 6-3, 4-6, 1-0 (10/7) ; Gayte - Duret battent Thouvenot - Berranger 6-3, 6-7, 1-0 (10/8).
CORMONTREUIL. - TC Loon Plage bat Cormontreuil TC 6-1. Coppejans (N°60, Loon Plage) bat JOLLY (0, Cormontreuil) 6-2, 6-4 ; Cant (-4/6, Loon Plage) bat ROBERT (1/6, Cormontreuil) 6-4, 6-0 ; Stomie (-2/6, Loon Plage) bat DE LA BASSETIERE (2/6, Cormontreuil) 2-6, 7-5, 7-5 ; Noyon (2/6, Loon Plage) bat LATOUR (4/6, Cormontreuil) 4-6, 6-1, 6-0 ; Loosvelt (4/6, Loon Plage) bat LALOUETTE (4/6, Cormontreuil) 7-6, 6-3. JOLLY - ROBERT battent Coppejans - Noyon 6-3, 6-2 ; Cant - Storme battent LATOUR - LALOUETTE 6-3, 6-3.
CAPBRETON.- Gaillou ASCT bat TC Géo-André 8-0. Berquand (0, Gaillou) bat PAILLARD (3/6, Géo-André) 6-3, 6-4 ; Pont (2/6, Gaillou) bat PACANOWSKI (4/6, Géo-André) 6-4, 7-5 ; Martin (3/6, Gaillou) bat PIGNON (4/6, Géo-André) 7-6, 6-3 ; Simian Buissonnet (4/6, Gaillou) bat LEROY (4/6, Géo-André) 4-1 abandon ; Ripoll (5/6, Gaillou) bat DAGNEE (15/2, Géo-André( 6-2, 6-0. Berquand - Ripoll battent PACANOWSKI - PIGNON 1-0 abandon ; Pont - Martin battent PAILLARD-DAGNEE 1-0 abandon.
SUCY-EN-BRIE. -TC Saint-Maur bat Reims Europe Club 5-2. Ribier (0, Saint-Maur) bat BONNET (1/6, Reims Europe Club) 6-3, 6-4 ; Valet (1/6, Saint-Maur) bat BIROT (2/6, Reims Europe Club) 7-5, 6-1 ; Dantonnet (2/6, Saint-Maur) bat SEURET (2/6, Reims Europe Club) 5-7, 6-4, 6-4 ; Lemee (3/6, Saint-Maur) bat GAJANOVIC (2/6, Reims Europe Club) 6-2, 6-3 ; CHAUVIN (5/6, Reims Europe Club) bat Sternbach (3/6, Saint-Maur) 2-6, 6-2, 6-2. Ribier - Lemee battent BONNET - SEURET 6-3, 6-4 ; BIROT - CHAUVIN battent Vallet -Dantonnet 6-3, 4-6, 1-0.
Numéro 7500 du 27 mai au 02 juin 2013.
Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 24 mai 2013, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION SOCIALE : PROBAT.
SIEGE SOCIAL : 2 rue Bergson 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL : Maçonnerie générale, bâtiment, travaux publique, gros oeuvre, plâtrerie, ravalement de façades, cloisons et finitions, peintures intérieures et extérieures, électricité générale, démolition, rénovation, charpente, chauffage, couverture, plomberie, menuiserie.
DUREE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL SOCIAL : 8.000 €.
GERANCE : M. Akli SAOUDI, demeurant 2 rue Bergson - 51100 REIMS.
IMMATRICULATION : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
115950 Pour avis : La gérance.
REIMS (Marne). Les pyromanes qui semblent sévir dans certains secteurs de Reims sont toujours là.
Ainsi de celui qui hante le local à vide-ordures du 3, allée des Landais. Des sacs poubelles y ont encore été incendiés samedi à 15 h 45. Est-ce le même ? Toujours samedi, mais à 2 h 20 du matin, un feu de détritus a été allumé au n° 5.
Dimanche vers 3 h 30, des feux de poubelles ont encore enfumé les abords des rues Jardelle — Paul-Vaillant-Couturier tandis qu’à 21 h 10, les locataires de l’avenue Bonaparte, au n° 11, ont eu droit, eux aussi, à un énième feu de détritus.
A signaler qu’à 13 h 45, ce dimanche, un incendie d’origine accidentelle s’est déclaré dans un appartement du 13, Bonaparte. Le locataire en est sorti indemne.
Hier à 8 h 45, les pompiers sont intervenus pour des chiffons enflammés place Jean-Fragonard, puis place Georges-Braque à 9 h 30 pour un feu de papiers. Des détritus ont brûlé à midi dans une cave de la rue Alfred-Vignau. Vers 16 heures, c’est une haie de thuyas qui s’est enflammée rue Margareth-Schupel à Tinqueux.
Frédéric et Dario, étudiants de RMS, sont venus voir comment aider des chômeurs à se réinsérer dans le monde du travail, avec l’aide de l’association Enactus qu’ils représentent.
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ARDENNES. Il n’a pas souhaité être cité. Encore moins être photographié. Pourtant cet Ardennais de 49 ans, croisé jeudi sur le forum de la création d’entreprise dans le quartier Croix-Rouge à Reims, porte un vrai projet : devenir maraîcher bio. « J’ai des compétences en jardinage, je loue un hectare de terres dans les Ardennes. » Alors pourquoi ne pas faire les marchés pour vendre des « légumes sans produits », à la ferme ou par internet ?
Son projet mûrit depuis un moment. « Mais il n’est jamais assez réfléchi. » Actuellement au chômage, ce créateur en herbe ne pense pas pouvoir vivre tout de suite de cette activité. « Le plus dur pour moi est de me lancer seul. »
Alors il est venu, comme d’autres porteurs de projet pour se renseigner sur ce forum Mod’emploi’. Au cœur de la zone franche urbaine de Croix-Rouge, où le chômage incite les gens à créer leur propre job. Une Parisienne était même présente, justifiant du fait que ces prestations deviennent maintenant payantes sur Paris…
Frédéric et Dario, deux étudiants de RMS, sont aussi venus spécialement pour voir « comment aider des chômeurs à se réinsérer sur le marché du travail ». Membres d’Enactus, association de l’entrepreneuriat social, ils ont rencontré différents organismes comme Pôle emploi, l’Adie, l’Afpa, etc. « Nous voudrions aider à remotiver les chômeurs pour qu’ils participent aux ateliers de Pôle emploi, apporter un autre regard avec des idées nouvelles, de la stimulation. »
Car il en faut, parfois, pour voir les porteurs de projets aller jusqu’au bout de leur démarche. « Les gens ne reviennent pas toujours », constate-t-on du côté de Reims métropole, partenaire de l’opération. « Au stade du business plan, c’est une étape qu’ils ne franchissent pas toujours. » La perspective de ne pas gagner autant d’argent qu’espéré, ou même de ne tirer aucun bénéfice lors du premier exercice, rebute les moins déterminés. Le financement des projets fait souvent défaut, les banques hésitant à suivre sans contreparties. Ce type de forums leur permet de démêler la complexité des démarches administratives, et d’affiner leur projet en le confrontant à leurs interlocuteurs. « Un certain nombre de porteurs rebondissent sur des reportages qu’ils ont vus, ou des projets qui répondent à des phénomènes de mode », constatent les organisateurs. Tout ce qui relève des services à la personne ou aux entreprises continue de faire surfer les créateurs, sur une vague aujourd’hui hélas émoussée par la crise.
Dominique Herbemont
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Un prix littéraire créé par la municipalité permet de développer chez les plus jeunes la curiosité du livre et leur fait découvrir la bibliothèque de leur quartier.
« C’est très impressionnant d’avoir face à soi autant de jeunes lecteurs et de se dire qu’ils ont tous lu mon livre ! J’avoue que je suis assez bluffé ! » confie Dominique Boéno. L’auteur récompensé par le prix littéraire « Le Primé des écoliers » n’en revient pas : 1 050 écoliers (accueillis en trois fois, dans le grand auditorium du Conservatoire) sont venus pour le rencontrer, lui poser des questions et lui remettre son prix.
Au total, 42 classes de CE2, CM1 et CM2, issues de tous les quartiers de la ville, ont participé à cette belle aventure, dont c’est la 5e édition et ont majoritairement voté pour « Un si parfait mensonge » de D. Boéno : L’histoire d’un petit garçon qui va faire un gros mensonge pour pouvoir garder le labrador, chien-guide d’aveugle, qui a été confié à ses parents, et qui doit quitter sa famille d’accueil. « J’essaie de me mettre à la place des enfants, d’utiliser un langage adapté, mais pas niais. Il faut arriver à développer des concepts profonds avec des mots très simples », explique l’auteur. « Nous nous sommes réunis à la bibliothèque à plusieurs reprises. Les enfants ont lu les cinq livres, à l’école et à la maison », précise Michèle Jagot-Lacoussière, enseignante à l’école Ruisselet.
« Cet événement permet d’intensifier le partenariat qui lie la bibliothèque aux écoles élémentaires de la ville. C’est une véritable aventure qui commence depuis le moment de la sélection des ouvrages », rappelle Jean-André Ithier, conservateur responsable de la bibliothèque Croix-Rouge. Visites de bibliothèques, présentation des auteurs, lecture et vote - dans de véritables urnes électorales - le « Primé des écoliers » est une occasion en or pour les plus jeunes de prendre le goût de la lecture.
Un représentant de chaque classe est monté sur la scène, pour poser une question à l’auteur.
Florilège : « Pourquoi avoir choisi cette race de chien ? » « Où écrivez-vous vos histoires ? » « Aimiez-vous lire quand vous étiez petit ? » « Les bibliothèques ? Des lieux de vie que vous devez fréquenter avec gourmandise », a lancé aux enfants Dominique Bunel.
Le conseiller municipal délégué à la vie… étudiante (mais les primaires ne sont-ils pas les étudiants de demain ?) a avoué que ce prix l’a fait se replonger dans ses souvenirs d’enfance et que des images - à défaut du titre - de son premier livre lui revenaient en mémoire : « C’était un petit esquimau sur un kayak ».
Après l’intermède des championnats régionaux jeunes et vétérans, les Interclubs nationaux reprennent leurs droits avec, aujourd’hui, la troisième journée.
Chez les dames, le TC Géo-André sera en danger à Sucy-en-Brie où évolue son ancienne joueuse Servane Delobelle (-2/6). Nettement plus forte sur le papier, les Val-de-Marnaises devraient en toute logique s’imposer.
Du côté des messieurs, le TC Vitry ne sera pas mieux loti en recevant Annecy, le leader, qui présente deux négatifs et deux 0. Si les Vitryats ne font toujours pas appel à leurs étrangers, cela relèvera de la mission impossible. La tâche sera tout autant compliquée pour le Cormontreuil TC qui accueille les Nordistes du TC Loon Plage et sa multitude de Belges.
En déplacement dans les Landes, à Capbreton, pour affronter l’ASCT Gaillou, les garçons du TC Géo-André auront une carte à jouer face à une formation certes homogène mais ne présentant pas un poids d’équipe nettement supérieur.
Enfin, sur la terre battue du TC Saint-Maur, le Reims Europe Club ne partira avec la faveur des pronostics.
AUJOURD’HUI (à partir de 9 heures)
Dames, N2 : Tennis Sucy-en-Brie -TC Géo-André.
Messieurs, N4 :TC Vitry -An necyTen nis ; CormontreuilTC -TC Loon Plage ; Gaillou ASCT Géo-André ;TC Saint-Maur - Reims Europe Club.
Le « papy » du slam est à Reims pour la 3e fois : « Je me sens de retour à la maison ! »
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REIMS (Marne). Invité par Slam Tribu, Marc Kelly Smith - l’Américain fondateur mondial du slam - a participé à toutes les manifestations organisées pour une semaine de poésie exceptionnelle.
Quelles sont les circonstances qui vous ont conduit à cette forme de poésie orale ?
MARC KELLY SMITH : « Vers l’âge de 30 ans, j’allais écouter des lectures de poésies, très ennuyeuses, classiques ou modernes. Je voyais la poésie comme une forme d’art : je me suis mis à performer, j’ai voulu rajouter des « rituels » au sein de cette performance. Les gens qui venaient me voir étaient excentriques : des personnes qui se démarquaient, voulaient entendre autre chose, venaient là pour être surprises… Tout a commencé au « Get me High Jazz Club », en 1984, le lundi. Mais la première véritable scène de slam a démarré au « Green Mill » : nous avons organisé des compétitions, chaque dimanche soir, de « Poetry slam »… et ça continue toujours. »
Quel est le rapport entre slam et théâtre ?
« Un performeur est capable d’utiliser toutes sortes de techniques, empruntées à l’art, -danse, mime, chant- mais aussi la dialectique, la rhétorique. La capacité de persuader, la manière de construire un texte. Tout le corps humain est un instrument au service de la performance. Le cœur, l’esprit, la sincérité, font aussi partie de cet instrument. »
Qu’est-ce qui fait, selon vous, qu’un texte de slam est beau ?
« Toutes les formes d’écriture poétique, prose, vers, sonnet, haïku, à partir du moment où elles sont performées, sont du slam. Le but, pour le poète, étant de conjuguer ces formes dans la meilleure écriture et la meilleure interprétation possibles. La vérité ne vient pas d’une seule voix, elle vient de toutes ces voix différentes qui s’expriment. Toutes les langues ont leur musique. »
Votre impression sur ces deux premières journées rémoises ?
« Mardi, la soirée « Improésie », avec « Le Mitch » m’a montré qu’à Reims, on avait cette inventivité pour trouver une formule qui réunit slam et théâtre d’improvisation. Mercredi matin, je suis allé voir des lycéens de Chagall. J’ai été touché qu’ils aient écrit des textes en anglais pour l’occasion.
Mercredi après-midi, j’ai rencontré des étudiants de Sciences Po. Ces jeunes gens sont investis d’un certain idéalisme. J’espère que le slam les aidera à partager leurs idées. Beaucoup d’institutionnels réduisent le slam à son côté « fun », « terrain de jeu »… Sans y voir que c’est aussi une manière de changer le monde, en se changeant d’abord « inside », intérieurement… »
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Des primaires aux étudiants de Sciences Po, le slam a investi la ville. Au théâtre du Chemin vert, 30 jeunes poètes ont fait vibrer une salle en délire…
La semaine du slam a démarré au Chemin-Vert, par une nouvelle forme inédite de performance : un mélange d’impro avec « Le Mitch » et de slam avec les membres de « Slam Tribu ». « Ce qui est intéressant, comme le dit Marc Kelly Smith, c’est de « repousser les limites, de casser les règles du slam », commente Sébastien Gavignet, l’un des organisateurs de ce festival. Mercredi, le « père du slam » est allé rencontrer des lycéens et des étudiants de Sciences Po. Jeudi, au théâtre du Chemin-Vert, un charivari indescriptible : dans une salle chauffée à blanc, 200 collégiens hurlent et brandissent des pancartes ! Le jeune Mathis Szulezewski (qui se classera 4e) du collège Pierre-de-Coubertin, fait se tordre de rire la salle avec un texte sur les pigeons !
Un outil pédagogique
« L’idée est de faire écrire les élèves et de les faire travailler sur l’oral. C’est un bon moyen de les ramener vers l’enseignement traditionnel, en leur laissant une liberté d’écriture, sans avoir cette épée de Damoclès de l’orthographe », explique Grégory Pausas, professeur de français au collège Trois-Fontaines. Six collèges (Joliot-Curie, François-Legros et Trois-Fontaines pour Reims, Yvette Lundy d’Ay, Pierre-de-Coubertin de Cormontreuil et Georges-Charpak de Bazancourt) sont venus disputer le challenge. C’est le collège de Bazancourt qui a remporté l’épreuve par équipe, la jeune Emma (Pierre-de-Coubertin) étant la gagnante en individuelle. Samedi enfin, un « brunch poétique » réunissait de façon informelle des lecteurs de la médiathèque Jean-Falala, quelques visiteurs et slameurs autour de Marck Smith, qui donnait ses conseils, avec toute la passion fougueuse qui le caractérise : « Quand nous nous penchons sur une feuille de papier, nous pouvons être des personnes différentes ». Le slam, ça transforme la vie !
Numéro 7499 du 20 au 26 mai 2013.
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil général de la Marne.
Correspondant : M. Savary René-Paul - Président du Conseil général - 02bis, Rue de Jessaint - 51038 Châlons-en-Champagne - tél. : 03-26-69-49-68 - télécopieur : 03-26-69-51-29 - adresse internet : http://www.marne.fr.
Adresse internet du profil d’acheteur : http://www.marches-marne.fr.
Principale(s) Activité(s) du pouvoir adjudicateur : Services généraux des administrations publiques.
Objet du marché : réaménagement des sanitaires élèves au collège François Legros à Reims.
Type de marché de travaux : exécution.
L’avis implique un marché public.
Des variantes seront-elles prises en compte : oui.
La procédure d’achat du présent avis est couverte par l’accord sur les marchés publics de l’OMC : non.
Prestations divisées en lots : oui.
Possibilité de présenter une offre pour un ou plusieurs lots.
Date prévisionnelle de commencement des travaux : 8 juillet 2013.
Cautionnement et garanties exigés : une retenue de garantie de 5% du montant initial du marché sera constituée. Cette retenue de garantie sera prélevée sur le montant de chaque acompte.
Modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent : Financement : ressources propres, budget de la collectivité. Paiement : articles 86 à 100 du code des marchés publics, virement, paiement à 30 jours, possibilité d’une avance.
Forme juridique que devra revêtir le groupement d’opérateurs économiques attributaire du marché : le pouvoir adjudicateur ne souhaite imposer aucune forme de groupement.
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature : français.
Conditions de participation :
Critères de sélection des candidatures : capacités professionnelles, techniques et financières.
Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :
Documents à produire obligatoirement par le candidat, à l’appui de sa candidature :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire ;
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics, concernant les interdictions de soumissionner.
Documents à produire à l’appui des candidatures par le candidat, au choix de l’acheteur public :
- Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles ;
Déclaration appropriée de banques ou preuve d’une assurance pour les risques professionnels ;
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années ;
Présentation d’une liste des travaux exécutés au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l’époque et le lieu d’exécution des travaux et précisent s’ils ont été effectués selon les règles de l’art et menés régulièrement à bonne fin ;
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature.
Autres renseignements demandés :
Autres renseignements demandés : renseignements sur le respect de l’obligation d’emploi mentionnée à l’article L. 5212-1 à 4 du code du Travail.
Se référer au règlement de consultation
Critères d’attribution :
Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous (par ordre de priorité décroissant).
la valeur technique des prestations ;
le prix.
Type de procédure : procédure adaptée.
Date limite de réception des offres : 10 juin 2013, à 12 heures.
Délai minimum de validité des offres : 120 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Autres renseignements :
Numéro de référence attribué au marché par le pouvoir adjudicateur / l’entité adjudicatrice : SANITAIRES.
Renseignements complémentaires : le délai global d’exécution des travaux est de 7 mois.
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés : Conseil général de la Marne - Service Marchés Publics - 02bis, Rue de Jessaint - 51038 Châlons-en-Champagne Cedex - tél. : 03-26-69-49-68 - adresse internet : http://www.marches-marne.fr.
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : Conseil général de la Marne - SETB.
Correspondant : florence NOIROT - 02bis, Rue de Jessaint - 51038 Châlons-en-Champagne Cedex - tél. : 03-26-69-51-73.
Adresse auprès de laquelle les documents peuvent être obtenus : Conseil général de la Marne - Service Marchés Publics - 02bis, Rue de Jessaint - 51038 Châlons-en-Champagne Cedex - tél. : 03-26-69-49-68 - télécopieur : 03-26-69-51-29 - adresse internet : http://www.marches-marne.fr.
Instance chargée des procédures de recours : Tribunal Administratif -25, Rue du Lycée - 51036 Châlons-en-Champagne Cedex - tél. : 03-26-66-86-87 - courriel : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr - télécopieur : 03-26-21-01-87 - adresse internet : http://chalons-en-champagne.tribuna….
Service auprès duquel des renseignements peuvent être obtenus concernant l’introduction des recours : Tribunal Administratif - 25, Rue du Lycée - 51036 Châlons-en-Champagne Cedex - tél. : 03-26-66-86-87 - courriel : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr - télécopieur : 03-26-21-01-87 - adresse internet : http://chalons-en-champagne.tribuna….
Renseignements relatifs aux lots :
Lot 1. - démolition - gros œuvre - désamiantage
Lot 2. - Menuiseries intérieures - cloisons-doublages - cabines
Lot 3. - plomberie - électricité - sanitaires - ventilation
Lot 4. - revêtements de sols-murs - peintures
Date d’envoi de l’avis : 15 Mai 2013
Par jugement du 14/05/2013, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : Société DOMI-LORFEUVRE, 4 allée des Provençaux - 51100 REIMS. Activité : Toutes activités a domicile de coiffure soins esthetiques soins de manucure pose associée de perruques conseil en image de personne. R.C.S. REIMS : B 450 247 085, pour le Greffe 2003 B 456.
115744 Le Greffier : B. DELPY.
Par jugement du 14/05/2013, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : EL&LIONE (SARL), 19 rue Pierre Taittinger - 51100 REIMS. Activité : La conception, la fabrication et la commercialisation de productions audiovisuelles et cinématographiques telles que des films d’entreprise, des clips musicaux, des reportages, des films documentaires et de fiction. R.C.S. REIMS : B 492 339 395, pour le Greffe 2011 B 84.
115790 Le Greffier : B. DELPY.
Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes : DENOMINATION : Planète Pizza 51. FORME : SARL. SIEGE SOCIAL : 10 av. du Président Kennedy - REIMS. OBJET : Restauration rapide en livraison et emporter de pizza et sandwich à domicile et au bureau. DUREE : 99 ans. CAPITAL : 1.000 €. GERANCE : LAKEHAL Mohamed. IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.
115672 Pour avis.
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REIMS (Marne). Mercredi soir s’est déroulée l’inauguration de 15 jours de festivités à l’occasion de l’anniversaire des deux médiathèques Croix-Rouge et Jean-Falala.
OUVERTES en mai et juillet 2003, les deux médiathèques de Reims fêtent cette année leurs 10 ans d’existence, un moment fort pour ces espaces de partage dont la fonction à la fois culturelle et pédagogique est très largement remplie. Conservant leur position initiale de bibliothèques, celles-ci jouent également un rôle important sur le plan culturel au travers de nombreux événements et expositions tout au long de l’année.
Une dimension particulièrement renforcée pendant quinze jours à l’occasion de cet événement puisqu’une grande diversité d’animations est au programme.
Le vernissage de deux expositions a eu lieu lors de ce rendez-vous attendu à la médiathèque Jean-Falala. L’artiste Marc Giai-Miniet, à l’honneur, a présenté son travail en solo à partir de matériaux de récupération, quelques photographies mais surtout des boîtes contenant des bibliothèques qui contiennent symboliquement à leur tour, l’univers tout entier à travers les livres et leurs récits présents dans chaque étagère.
Chevalier des Arts et des Lettres depuis 2000, cet amateur de nains de jardins et de cueillette aux champignons vit et travaille à Trappes où il est né en 1946. « J’ai trouvé une forme regardable pour exprimer le fait que les livres sont les modes d’emploi du fonctionnement du monde et parfois de sa destruction », précise ce fervent admirateur de Borges et Kafka dont l’obsession des livres vient de leur absence totale chez ses parents lorsqu’il était enfant.
La deuxième exposition Bibs est collective et regroupe le travail de 40 artistes dans des styles très différents sur le thème central des bibliothèques imaginaires. Allant des illustrations de Nicolas André, au détournement d’objets de Jean Bigot en passant par les photographies d’Alain Hatat, et encore beaucoup d’autres expressions d’artistes, ces bibliothèques rêvées prennent vie entre les murs d’une médiathèque bien réelle.
« Un heureux événement » pour la maire Adeline Hazan, qui était présente. A la question de savoir si à l’ère du « tout numérique », une bibliothèque municipale a encore un rôle à jouer, la réponse est affirmative, celles de Reims ont, en tout cas, trouvé leur positionnement.
C.-H.R
Expositions jusqu’au 13 juillet
Médiathèque Jean-Falala Théâtre Muet des bibliothèques, boîtes et photographies de Marc Giai-Miniet.
Bibs, exposition collective des bibliothèques imaginaires bizarres et saugrenues. Ce week-end
A la médiathèque Jean-Falala, samedi 25 mai de 14 à 18 heures, jardin musical et littéraire : un jardin éphémère le temps d’un bain de soleil dans un transat entouré d’animations musicales, poétiques et théâtrales.
A la médiathèque Croix-Rouge, samedi 25 mai de 10 à 17 heures, « A livre ouvert » : maison vide hors les murs. Une chasse au trésor. Venez découvrir un parcours insolite, où les rayons d’une bibliothèque peuvent cacher les pistes d’une véritable chasse au (x) trésor(s)…
A la médiathèque Croix-Rouge, samedi 25 et dimanche 26 mai, découverte de In Order To Control. Installation numérique visuelle et typographique réalisée par Nota Bene Visual (NBV) qui pose la question de l’éthique et la morale dans notre société contemporaine à travers une expérience numérique où le spectateur est partie intégrante de l’installation.
De 15 h 30 à 20 heures au parc Saint-Bruno, entre l’église de Croix-Rouge et le lycée François-Arago.
Renseignements auprès de la maison de quartier Croix-Rouge au 03.26.36.03.50 ou 03.26.82.53.48.
A ne pas manquer cette semaine
A noter dimanche, la tenue de la désormais traditionnelle braderie « vos héros pour 1 euro », sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Installation numérique visuelle et typographique, réalisée par Nota Bene Visual (NBV), studio de création basé à Istanbul spécialisé dans la production d’expériences numériques. Amené à interagir avec cette œuvre, le public devient partie intégrante de cette installation qui pose la question de l’éthique et de la morale dans notre société contemporaine. Néanmoins, l’œuvre peut être appréhendée de manière totalement ludique afin d’en saisir toute la poésie.
Samedi 25 et dimanche 26 mai à la médiathèque Croix-Rouge
La bibliothèque municipale de Reims organise comme chaque année une vente de ses documents (livres, CD, revues) désherbés, c’est à dire en bon état mais retirés de ses rayonnages pour faire de la place aux nouveautés. Tarifs des documents : de 1 € (pastille blanche) à 2 € (pastille verte). Et comme tout doit disparaître, Happy hour à partir de 16h : 1 document acheté, 1 document offert.
Dimanche 26 mai de 9h à 18h, parvis de la médiathèque Croix-Rouge
Conseil de quartier - Murigny : Bientôt un jardin partagé ?
Attentifs, les habitants ont plutôt bien accueilli la décision du conseil d’installer un jardin partagé dans le quartier. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Même s’il faut reconnaître que le temps est encore loin de s’y prêter, à la dernière réunion publique du quartier Murigny l’enjeu était de choisir le terrain du premier jardin partagé à venir sur le secteur.
C’est typiquement le genre de projet en vogue depuis quelques années sur l’agglomération rémoise et, plus généralement, en France. Pour preuve, depuis 2010, pas moins de sept jardins partagés ont vu le jour : sur le site de l’ancienne école Alphonse Daudet à Croix-Rouge, un autre sur la Coulée Verte, un troisième quartier Barbâtre, au niveau de la Maison des Associations, deux autres près l’avenue de Laon/quartier Trois Fontaines et du côté de Courlancy. Les deux derniers projets de ce type ayant récemment ouvert tout à côté du boulevard Pommery (ancienne caserne Jeanne d’Arc) et rue de la Cerisaie (jardin partagé intergénérationnel à l’initiative de la Jeune Chambre Économique de Reims). Invité au conseil de quartier Murigny mardi dernier, Raymond Joannesse, conseiller municipal délégué à la Maire, en charge justement du développement des jardins partagés sur la ville, avait amené aux habitants présents à la séance publique un projet similaire pour leur quartier. « Après avoir étudié le secteur, notre choix s’était arrêté sur un terrain de football situé au parc Gilles Ferreira. Problème, ce terrain est stabilisé et le transformer en jardin cultivable supposerait de réaliser des travaux coûteux sur trente centimètres au moins. Aussi, nous avons trouvé une solution à travers un terrain de tennis qui n’est pas exploité aux abords de la rue Roger Caillois, également proche du parc Ferreira. »
Après quelques explications d’Eric Lavoisy, Directeur des Espaces Verts à la Ville de Reims, présentant les avantages de ce terrain, les habitants semblent plutôt satisfaits, même si « une prochaine balade de quartier pour revoir tous les sites potentiels serait bien utile. » Pour autant, certains riverains souhaiteraient, eux, aller plus loin : « Pourquoi ne pas aussi envisager de créer une coopérative qui mutualiserait les moyens ? Car il ne faut pas oublier qu’il y a beaucoup de jardins municipaux dans le coin. On pourrait ainsi acheter en collectivité du matériel de jardinage par exemple, ou avoir un ramassage commun des déchets l’été. Ça nous éviterait de devoir prendre la voiture pour aller jusqu’à la déchetterie. »
Quoiqu’il en soit, le jardin partagé de Murigny n’est pas encore sorti de terre à en croire Raymond Joannesse : « On est en fin de saison, ce n’est pas la bonne période pour créer un jardin, ce projet se fera donc de toute façon l’an prochain. » L’élu socialiste qui rappellera tout de même son attachement au concept de jardin partagé, lieu de rencontres, d’échanges et d’apprentissage du jardinage, concluant avec un point d’humour « qu’il y a autre chose à découvrir que les boites et les nouilles en sachet. »
Aymeric Henniaux
Prochains conseils de quartier : Croix-Rouge-Hauts de Murigny, jeudi 13 juin à 19h, 4, avenue François Mauriac / Chemin Vert-Clémenceau-Europe, jeudi 20 juin à 19h, Maison Commune du Chemin Vert, place du 11 Novembre.
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Les adhérents membres des espaces Watteau et Pays-de-France se sont réunis en assemblée pour constituer un nouveau conseil d’orientation.
Ont été désignées Mmes Najate Berkani, Marie-Françoise Bertin, Fatima Ghemmour, Christine Gohier, Marie-Line Maamar, Ourdia N’Kouka, Cécilia Roger, Géraldine Sublet et Agnès Tisseron.
Le conseil d’orientation a élu présidente Géraldine Sublet, vice-présidente Agnès Tisseron, et suppléantes Christine Gohier et Ourdia N’Kouka.
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Organisés cette année sur la terre battue du TC Reims, les championnats de ligue des séniors+ ont été moins dominés par la Marne que les éditions précédentes. En effet, pourtant « aidés » par la situation géographique de l’événement, les Marnais ont glané six titres contres cinq aux Aubois, quatre aux Haut-Marnais et deux aux Ardennais.
Seuret et Renaud assurent
La victoire la plus retentissante reste celle de Sébastien Mouilleron (1/6, ASPTT Troyes) En +35 ans, après avoir sorti en demi-finale le grand favori Sébastien Jolly (0, Cormontreuil) en délicatesse avec un genou, il a su laisser passer l’orage pour battre Pascal Bonnet (1/6, Reims Europe Club) en finale.
Quant à Florent Seuret (2/6, Reims Europe Club) et Eric Renaud (15/1, ASPTT Châlons), ils ont logiquement fait respecter la hiérarchie, respectivement en +40 et +45 ans.
Par ailleurs, le joli succès de la mengeotte Ketty Koniushok (5/6) est à noter. En +35 ans, elle a su prendre le meilleur sur la bragarde Emmanuelle Fradin (4/6). Idem en +45 ans pour Cathy Weber (15/1, ASPTT Châlons) face à Cécile Guenard (15, TC des Deux Vallées).
Tous ces lauréats représenteront la Champagne aux championnats de France de Roland-Garros cet été.
MESSIEURS
+ 35 Ans : Mouilleron (1/6, ASPTT Châlons) bat Bonnet (1/6, Reims Europe Club) 4-6, 7-5, 6-1 ;
+ 40 Ans : Seuret (2/6, Reims Europe Club) bat Wauthier (4/6, Betheny) 6-1, 6-4 ;
+ 45 Ans : Renaud (15, ASPTT Châlons) bat Braibant (15/1, Rosières) 6-3, 6-1 ;
+ 50 Ans : Lambert (15/2, Saint Dizier) bat Mulat (15/1, Vitry) 6-3, 3-6, 7-5 ;
+ 55 Ans : Salnikoff (15/5, TC Troyes) bat Floquet (15/2, TC Reims) 6-3, 7-5 ;
+ 60 Ans : Latrompette (15/4, Saint Dizier) bat Foissy (15/3, Saint Dizier) 6-3, 6-2 ;
+ 65 Ans : Baldi (15/4, Comité Ardennes Tennis) bat Huet (15/4, Géo-André) 7-5, 6-3 ;
+ 70 Ans : Dixneuf (15/3, TC Troyes) bat Rambaut (30, Géo-André) 6-2, 6-4 ; + 75 Ans : Prebin (30/4,TCTroyes) bal Masson (30/5,TC Langres) par WO.
DAMES
+ 35 Ans : Ketty Koniushok (5/6, Saint Memmie) bat Emmanuelle Fradin (4/6, Saint Dizier) 6-3, 6-2 ;
+ 40 Ans : Gaelle Fortunato (3/6, Chaumont) bat Delphine Milcent (15/3, Rivière de Corps) 6-1,6-2 ;
+ 45 Ans : Cathy Weber (15/1, ASPTT Châlons) bat Cécile Guenard (15,TC des Deux Vallées) 6-4, 6-4 ;
+ 50 Ans : Marie-Christine Saint-Mard (15/1, ASPTT Charleville) bat Laurence Tryhoen (15/3, Saint Dizier) 6-2, 6-4 ;
+ 55 Ans : Martine Carrieu (15/2, Saint Memmie) bat Dominique Sandre (15/3,TC Reims) 6-0, 6-3 ;
+ 60 Ans : Marie-Alix Boisseau (15/5, Witry-les-Reims) bat Anne Ceyral (15/5, Bar sur Aube) 6-2, 6-3 ;
+ 65 Ans : Catherine Thibault (15/4,TCTroyes) bat Solange Joly (30, ASPTT Châlons) 6-4, 6-2 ;
+ 70 Ans : Françoise Franzoni (30/2, Chaumont) bat Monique Lelarge (30/2, TC Troyes) 4-6, 7-5, 6-2.
Scolarisé au lycée Jean-Macé de Charleville, Lukas Moutarde a brillé aux épreuves de lancers. Comme ici au disque avec 44,43 m.
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Les élèves du lycée Stephen-Liégeard de Brochon (Côte-d’Or) sont devenus champions de France de raid multi-sports la semaine dernière aux Vieilles-Forges après une compétition d’endurance comprenant seize épreuves d’orientation, trail, VTT, bike and run et biathlon.
En 9 h 17’58, les Bourguignons ont devancé le lycée Maréchal-Soult de Mazamet (9 h 39’01) et le lycée Corneille de Rouen (9 h 46’17). Seuls représentants de l’académie de Reims, les lycées Edgard-Pisani de Chaumont et Oehmichen de Châlons ont respectivement terminé aux 41e et 44e places (sur 49).
CHAMPIONNATS D’ACADÉMIE D’ATHLÉTISME. - Les championnats d’académie d’athlétisme des lycées, qualificatifs pour les championnats de France UNSS (31 mai au 2 juin à Angers), se sont déroulés la semaine dernière à Bogny.
Cinq challenges ont été attribués par équipes : au lycée Arago de Reims pour les courses, au lycée de Bazeilles pour les sauts, au lycée Chanzy de Charleville pour les lancers, au lycée de Vitry-le-François pour le 4x100 m féminin et au lycée Bazin de Charleville pour le 4x100 m masculin.
Les meilleures performances individuelles ont également été récompensées : Léa Guérard (lycée Saint-Exupéry de Saint-Dizier) avec la 22e place au bilan national sur 100 m haies (15’’13) et Lukas Moutarde (lycée Jean-Macé de Charleville) avec la meilleure performance française au javelot (55,40 m).
Quatre Ardennais ont réalisé des résultats de niveau national : Valentine Sac (lycée Mabillon de Sedan) avec 12’’72 sur 100 m, Armand Herraiz (lycée Chanzy de Charleville) avec 15,04 m au poids, Kévin Cendre (lycée Bazin de Charleville) avec 58,18 m au javelot et Lukas Moutarde (lycée Jean-Macé de Charleville) avec 44,43 m au disque.
Organisateurs pour la première fois, les Rémois se battent cette année pour une seconde place.
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Plus de 1000 étudiants de Sciences-Po se sont affrontés sur les terrains de sport et sur la scène de l’opéra tout le week-end. On connaitra le campus grand gagnant ce soir.
HEUREUSEMENT qu’il y avait les étudiants de Sciences-Po pour mettre un peu de couleurs dans les rues pluvieuses de la ville ce week-end. Les 1100 participants venus des sept campus de province et de Paris se sont joyeusement affrontés sur les terrains de sports de Géo-André et aussi sur la scène de l’opéra. Rugby, foot, volley, théâtre, musique, court métrage… le campus grand gagnant des compétitions des Collégiades 2013 sera désigné ce soir lors de la cérémonie de clôture. L’année dernière, Sciences-Po Reims avait fini troisième, elle espère une deuxième place cette année. Même si l’école n’est pas sur le podium, les Rémois auront au moins la satisfaction d’avoir réussi l’organisation de ces Collégiades : « C’est une première pour Reims. Elles existent depuis 11 ans mais c’est la première fois qu’elles se déroulent ici. On les prépare depuis le début de l’année », précise Romain Cluzel, élève de 2e année chargé de la communication.
Vainqueur ou pas sur les terrains, tout le monde se sera bien amusé : « C’est incroyable comme ambiance. On rencontre du monde. C’est parfois un peu tendu entre les campus car on soutient notre équipe mais c’est totalement bon enfant », témoignent Marie et Freiderike, élèves de 1re année à Reims. Ce fut l’occasion de faire découvrir leur ville et leur école : « Selon le campus d’où ils viennent, les étudiants n’ont pas le même ressenti pour Reims. Ceux qui arrivent du Havre nous envient davantage que ceux qui débarquent de Paris ». Luc vient du campus franco-allemand de Nancy et trouve celui de Reims « magnifique », « leurs locaux sont beaux et modernes, ils ont vraiment de la chance ». Anaïs du campus du Moyen-Orient de Menton est plus réservée : « Je ne comprends pas comment vous faites pour supporter un tel climat. Notre campus à Menton surplombe la mer avec du soleil et une super ambiance ». Peut-être mais ce week-end, c’est à Reims que se trouvait la super ambiance.
C.F.
REIMS (Marne). Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 4 h 30, une voiture s’arrête sur un parking de la rue du Docteur-Billard, au quartier Croix-Rouge. Trois individus en descendent avec une perceuse et des bidons…
Ils ne viennent pas bricoler mais trouer le réservoir d’un camion afin d’en récupérer le précieux liquide.
La scène alerte un riverain, qui prévient la police. Les voleurs ne s’attardent pas sur les lieux mais une patrouille intercepte leur véhicule quelques rues plus loin grâce au numéro d’immatriculation noté par le témoin.
Âgés d’une vingtaine d’années, les trois lascars sont ressortis du commissariat avec une composition pénale : 150 € d’amende mais aussi obligation d’indemniser les dégâts occasionnés au camion. La facture est de 1 500 €, bien plus que le montant du gasoil siphonné.
REIMS (Marne). Deux incendies manifestement criminels ont détruit des voitures durant la nuit de dimanche à lundi. Le premier s’est déclaré à 21h30 sur une Peugeot 306 de société,rue Léon-Patoux, en zone Farman. Une Fiat Dablo a été dégradée par propagation.
Vers 4h10, c’est une Mercedes qui a pris feu, rue Edmé-Moreau.
À 7h30, les pompiers ont dû intervenir au 40 Eisenhower pour un feu de poubelle dans le local à vide-ordures. Un locataire l’a éteint avant leur arrivée.
Vers 16h30, un cyclomoteur a été retrouvé incendié, avenuede Laon, place Saint-Thomas.
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Petits et de plus en plus grands. La photo de famille du cru 2013. Qui en a décousu sur les courts couverts, on s’en doute.
La relève s’est mesurée au Centre de Ligue, à Reims. Pas de grosses surprises et une ambiance studieuse : cette nouvelle vague suit son cours…
LE rendez-vous est incontournable et tout le monde s’y plie, même les leaders de génération comme Constant de la Bassetière, pensionnaire du Pôle France de Poitiers, ou Cindy Castille.
Ces championnats sont l’occasion de mesurer l’évolution physique autant que l’épanouissement d’une relève (*) qui mûrit bien. Exemple Claire Makhloufi sacrée en 17-18 ans entre Ardennaises (Claire Duter) et que l’on retrouvera au Centre de la Ligue, à Reims, pour les championnats de 2e série, les 15 et 16 juin. En perspective, des retrouvailles avec Marie Menacer après une demi et une finale perdues en 2011 puis 2012.
« Avec Claire, on s’est rencontrées assez souvent depuis le début de saison. J’ai eu un peu de mal à entrer dans la partie », expliquait celle qui a permis au Cormontreuil TC de faire carton plein en 15-16 et 17-18 ans, le Mengeot Benjamin Lévêque complétant le quatuor des champions pour un bis repetita après son titre de 2012.
Nicolas Jonasz, pénalisé par trop de fautes directes sous le pressing de Constant de la Bassetière, a mis un set pour élever son niveau de jeu : 6-0, 6-4.
Malgré sa défaite - logique elle aussi - 6-2, 6-2 devant Cindy Castille, Amélie Zarev avait le sourire : « On n’a pas le même entraînement et j’ai commis trop de fautes bêtes. Mais on s’est bien bagarré. »
Au total, trois perfs ont été recensées, à l’actif de Mathilde Sarcelet (Menou), Sibylle Pierlot (Muizon) et Yann Vautrin (Langres). L’entraîneur de Ligue, Emmanuel Castille, avait prédit un tournoi serré en 12 ans. Il l’a été avec la victoire 6-3, 6-3 d’Eliot Roussel (Vitry) - qui avait dû batailler ferme en demi devant Noa Lopes (7-6, 6-3) - face à Corentin Bonna (Charleville).
(*) Champion de la Marne, le 15-16 ans Nicolaj Woynar (Reims Europe) n’a pas participé à ces Régionaux. Il est considéré comme ayant la nationalité polonaise.
Jean-Pierre PRAULT
Filles : Athénaïs Flattot (NC, Romilly) bat Pauline Robat (NC,TC Creney) 4/5, 5/3, 5/1 ;
Garçons : Mathieu Chapoutot (30/5,TC Sancéen) batThomas Copinne (30/5,TC Sedan) 5/1, 5/2.
F : Mathilde Sarcelet (30/2,TC Ménehildien) bat Maëlia Dufeux (30/1, TC PoixTerron) 5/4, 5/2 ;
G : Maxime Dubouch (30/3, Reims Europe) bat Enzo Fouilloux (30/3, COSD/TCB) 5/0, 5/0.
F : Sibylle Pierlot (30/2,TC Muizon) bat Lou-Anne Deglaire (30/1,TC Villers-Semeuse) 6/0, 7/6 ;
G : Matis Amier (30, SN Epernay) bat Enzo Quinet (30,TC Brévonnais) 6/1, 6/1.
F : Leanna Clauss (15/3, Saint-Memmie) bat Marie Barbe (15/3, Les Mazures Renwez) 6/1, 6/0 ;
G : Eliot Roussel (15/3,TC Vitryat) bat Corentin Bonna (15/3, PTT Charleville) 6/3, 6/3.
F : Lisa Marie Habert (5/6,TC Géo André) bat Lara Kreidieh (15/4,TC Sedan) 6/0, 6/0 ;
G : Yann Vautrin (15/3, TC Langres) bat Timothée Mouilleron (15/1, PTT Troyes) 6/3, 6/3
F : Cindy Castille (0, CormontreuilTC) bat Amélie Zarev (4/6, Cormontreuil TC) 6/2, 6/2 ;
G : Constant De La Bassetière (2/6, CormontreuilTC) bat Nicolas Jonasz (3/6,TC Montmirail) 6/0, 6/4
F : Claire Makhloufi (- 2/6, CormontreuilTC) bat Claire Duter (3/6,TC Sedan) 6/3, 6/1 ;
G : Benjamin Lévêque (5/6,TC St Memmie) bat Brice Quentin (15,TC Givetois) 5/7, 6/3, 6/4
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REIMS (Marne). Promouvoir la bonne chanson, celle qui émeut, qui amuse, qui interpelle. Celle dont les textes sont écrits en français, avec finesse, sincérité, bref la chanson de qualité.
Faire découvrir de réels talents régionaux et nationaux, par l’intermédiaire d’un « Tremplin Chanson », c’est l’objectif que poursuit, depuis 2005, « Reims Oreille » en organisant, plusieurs fois par an, des rencontres autour de la chanson.
Pour sa clôture de saison, Reims-Oreille et Le Ludoval proposent une soirée avec « D.Rago Trio » et Philippe Thomas.
D-Rago, qui travaille comme soudeur intérimaire, connaît la vie ouvrière depuis son enfance, passée entre les brumes d’une sucrerie et les poussières d’une cimenterie.
Il écrit des chansons où il exprime sa révolte, ses amours, ses hontes et ses colères. Il évoque la vie de village, les mentalités étroites, parle des drames du quotidien. Des chansons souvent autobiographiques au relief touchant.
Philippe Thomas est le lauréat du « Tremplin Chanson » 2012. Ses chansons sont des marqueurs de nos vies. Une poésie incontestable et intemporelle, des textes ciselés, de la légèreté, de la bienveillance, des blessures, des rencontres…
Une musique héritière de Brel à Dylan et une voix qui rappelle parfois celle d’un Mano Solo apaisé… A l’issue de la soirée, auberge espagnole (apporter plats à partager) et scène ouverte.
Vendredi 24 mai à 20 h. Centre culturel du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.
Entrée 12 et 8 euros.
Réservations au 06 84 05 31 01 ou reimsoreille@free.fr
REIMS (Marne). Dans la nuit de samedi à dimanche, une jeune femme est tombée du douzième étage d’un immeuble de l’esplanade Eisenhower. La chute d’environ quarante mètres lui a été fatale. L’enquête a permis de confirmer l’hypothèse du suicide survenu alors que la victime participait à une soirée. Ses amis n’ont rien pu tenter pour la sauver. Sans les prévenir, elle a soudain couru vers la fenêtre pour se jeter dans le vide.
La jeune femme avait déjà fait des tentatives de suicide.
Des sacs-poubelle ont été incendiés samedi à 13 h 30 dans le local à vide-ordures du 11, avenue Bonaparte. Visiblement, un obsédé du briquet sévit là-bas car un conteneur s’est enflammé samedi à 22 heures dans le même local. Samedi vers 19 h 30, toujours à Croix-Rouge, des cartons ont pris feu au sixième étage d’un immeuble de l’allée des Bourguignons. Même chose au 138 rue de Mont-d’Arène, hier après-midi.
Vers 3 h 30, un Renault Espace a été incendié allée des Perdrix aux Epinettes. Une heure plus tard, c’est une Ford Fiesta qui est partie en fumée place Hélène-Boucher (Trois-Fontaines). Ces deux voitures n’étaient pas signalées volées.
Des demi-finales se disputeront encore ce matin, de 9 à 10 h 30, au Centre de Ligue à Reims, probablement sur les courts couverts comme hier par la faute de la pluie.
A partir de 12 heures, tout sera en place pour les finales des championnats de Champagne-Ardenne jeunes avec la confrontation attendue en 15-16 ans entre Constant de la Bassetière (Cormontreuil), dont les occasions de le voir jouer en région sont de plus en plus rares, et son challenger, Nicolas Jonasz (Montmirail).
Chez les filles, Cindy Castille (Cormontreuil) en 15-16 ans également, et la 17-18, Claire Makhloufi, feront directement leur entrée dans le tournoi. Dans les plus jeunes catégories, les finales sont connues : en 9 ans filles, Pauline Robat (TC Creney) affrontera Atenaïs Flattot (Romilly) ; en 9 ans garçons, Mathieu Chapoutot (TC Sancéen) rencontrera Thomas Copinne (Sedan) pour un match entre 30/5 ; en 10 ans filles, Mathilde Sarcelet (Sainte-Menou, 30/2) visera une perf devant Maelia Dufeux (Poix-Terron, 30/1).
Affrontement indécis également en 10 ans garçons entre les 30/3 Enzo Fouilloux (Saint-Dizier) et Maxime Dubouch (Reims Europe). En 13-14 ans, la logique plaidera pour Lisa-Marie Habert (Géo-André, 5/6) devant Lara Kreidieh (Sedan, 15/4).
Finales, aujourd’hui, 12 heures : 9 et 10 ans G et F ; 13 h 30 : 11 et 12 ans G puis 13-14 G et F ; 15 heures : 11 ans puis 17-18 ans ; 15-16 ans G et F ; 16 h 30 : 12 ans F puis 17-18 G.
L’incendiaire de l’allée des Landais — du moins suppose-t-on qu’il n’y en a qu’un seul — a encore sévi vendredi à 22 h 30, toujours au n°3. Il a mis le feu aux sacs-poubelle quotidiennement déposés par les locataires dans le local désormais noir de suie à cause de tous ces incendies à répétition (une dizaine en deux mois).
L’avenue Bonaparte est toute proche. Vers 13 h 30 hier, les pompiers ont dû s’y rendre pour éteindre un feu de local à vide-ordures au n°11.
Après avoir maîtrisé un nouveau feu de local vide-ordures vers 22 heures, au 11, allée des Bourguignons dans le quartier Croix-Rouge, les sapeurs-pompiers de Reims ont effectué au cours de la nuit de samedi à dimanche à 3 h 30 et 4 h 30, deux autres sorties pour des feux de voitures entièrement embrasées.
Proposés ce week-end sur les courts du Centre de la Ligue, aux Thiolettes, à Reims, les championnats de Champagne jeunes constituent toujours un rendez-vous attendu pour juger de la progression d’une relève qui ne cesse de donner des gages.
On pense bien sûr aux 15-16 ans Cindy Castille et Constant de la Bassetière. Durant la première quinzaine d’avril, la première (15 ans le 28 juin) a inscrit ses premiers points ITF en Angleterre à Nottingham (grade 4) grâce notamment à ses performances en double où elle a atteint les demi-finales associé à la Britannique Holly Horsfall.
En pleine croissance (elle mesure 1,70 m), la Cormontreuilloise est tout à fait dans les objectifs fixés par son père, Emmanuel, entraîneur de la Ligue.
Une douleur aux abdos a, un moment, fait craindre que Constant de la Bassetière soit diminué mais le Cormontreuillois, pensionnaire du Pôle France de Poitiers, se voulait rassurant hier après-midi. Ses premiers points ITF en poche lui aussi en Guadeloupe (Gosier), CDLB continue de progresser. En adultes, il vient de jouer à 0 et à - 30.
Claire Makhloufi va bien elle aussi, même très bien. La 17-18 ans a trouvé un équilibre au Cormontreuil TC où elle a toutes les attentions de la présidente Nathalie Picavet.
Celle qui sera - 2/6 au classement intermédiaire vient de faire une perf à - 15 face à Stéphanie Vongsouthi (ex 233e WTA) au tournoi de Givet et a résisté durant trois sets en finale face à la n° 35, la Néerlandaise Chayenne Ewijk.
En 2012, le « Franco-Américain » de Géo-André, Enzo Wallart, avait participé à ces championnats mais cette année le désormais licencié au TC Arlésien s’est engagé en Provence où il a été battu en finale (6-0, 6-1) par le - 2/6 du TC Marseille, Alexandre Muller.
Au bas de l’échelle des âges, Emmanuel Castille attend beaucoup « d’un bon petit cru », avec les Antoine Vicaire, Matis Amier (11 ans), Corentin Bonna, Elliott Roussel, Valentin Godart ou Noa Lopes…
Jean-Pierre PRAULT
Finales le lundi : 12 heures : 9 et 10 ans G et F ; 13 h 30 : 11 et 12 ans G puis 13-14 G et F ; 15 heures : 11 ans puis 17-18 ans ; 15-16 ans G et F ; 16 h 30 : 12 ans F puis 17-18 G.
Consensuel au début et à la fin
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Si les sujets de discorde n’ont pas manqué, les membres de la majorité PS-Vert-PC et ceux de l’opposition UMP-Modem ont évité de faire de la « politique politicienne ». Les premiers se sont attachés à mettre en valeur leur bilan, tandis que les seconds ont soigné leurs attaques sur le fond et non sur la forme.
A un peu moins d’un an des élections municipales, les membres du conseil ont dans l’ensemble soigné leurs déclarations, évitant les attaques personnelles et les provocations gratuites. Néanmoins, au cours d’un débat plutôt riche, majorité et opposition ont à tour de rôle défendu âprement leurs différentes positions.
La soirée a débuté avec une délibération portant sur deux subventions exceptionnelles, chacune de 10 000 euros, accordées au Collège Notre-Dame et en faveur du quartier Wilson. Adeline Hazan a, au nom de la ville de Reims, rendu hommage aux victimes de ces deux drames, ainsi qu’à celles de Witry-les-Reims, saluant notamment « l’élan de solidarité manifesté par les habitants ». Une minute de silence a ensuite été respectée en mémoire des victimes. Ce moment consensuel passé, les débats ont alors vraiment débuté.
Surprise, l’opposition n’a pas été la première à attaquer. En effet, profitant d’une délibération anodine sur les Maisons de quartier, Eric Quénard s’est lancé dans un discours mêlant bilan et annonces sur ces équipements municipaux. Étrange, d’une part parce que l’adjoint délégué aux Maisons de quartier se nomme Pascale Martin et d’autre part parce que la majorité n’a pas pour habitude de donner beaucoup d’explications. Toujours est-il que le premier adjoint chargé de la politique de la ville a annoncé l’inauguration cet été de la maison de quartier Cernay-Europe et la création d’une structure similaire à Orgeval, en mars 2014, pour un coût de 7,3 millions d’euros. Dès la délibération suivante, Eric Quénard a enchaîné sur un autre projet, celui de la Maison des projets, « sorte d’incubateur associatif » qui doit prochainement voir le jour à Pays de France. L’opposition, par la voix de Xavier Albertini, a demandé quels allaient être les coûts de fonctionnement, tout en faisant remarquer que ce projet ressemblait à « une vitrine électorale à Croix-Rouge ». De son côté, Catherine Vautrin faisait remarquer qu’il aurait peut-être été possible « de mutualiser les structures existantes sur le quartier ». Eric Quénard n’a pas répondu directement aux questions, rebondissant sur l’exemple de l’Espace Louise Michel à Wilson, fermé en raison de problèmes d’insécurité : « Il faut savoir tirer les enseignements de nos échecs. On ne peut pas implanter un équipement s’il n’est pas construit avec les habitants comme à Wilson et on le paie aujourd’hui. C’est le sens de la Maison des projets où les habitants de Croix-Rouge sont associés ».
Mod’Emploi revient à Croix-Rouge
En septembre et octobre 2012, près de 450 personnes ont bénéficié dans le quartier Croix Rouge des animations mises en place par Reims Métropole et la Maison de l’emploi et des métiers dans le cadre de l’opération Mod’emploi. Cette dernière revient dans le quartier le jeudi 23 mai pour un forum consacré à la création d’entreprise. Seront présents tous les acteurs de la création d’entreprises afin de répondre aux questions que se posent tous ceux qui souhaitent créer leur activité (élaboration d’un projet, démarche commerciale, statut juridique, plan et recherche de financement, hébergement, avantage des zones franches, etc.).
Rendez-vous le jeudi 23 mai, de 14h à 17hh30 à la Nacelle, 3, rue du Docteur Billard à Reims. Entrée libre. Renseignements et pré-inscription au 03 26 07 87 12 ou à sophie.cattier@reimsmetropole.fr
A la médiathèque Croix-Rouge
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Pendant une dizaine de jours, du 21 mai au 1er juin, les médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge fêteront dignement leur 10e anniversaire avec au programme des propositions aussi riches qu’insolites, à vivre entre amis ou en famille.
Venez redécouvrir le travail réalisé en décembre 2012 par le Centre culturel Saint-Exupéry avec le public du quartier Croix-Rouge, qui avait été invité à créer des visuels en vidéo-mapping avec l’artiste Stéphane Bordonaro (www.les4elements.com) et la graphiste Claire Brochot sur une maquette de la médiathèque, avant la projection grandeur nature. Le vidéo-mapping est une technologie multimédia qui permet de pro- jeter des images ou des vidéos sur des volumes parfois à grande échelle, tels des monuments. Animés par des VJ (vidéo jockeys), ces jeux d’illusion optique changent la perception du spectateur.
Du 21 mai au 1er juin
Projection des films réalisés par les lecteurs à la manière de la série Bref, soit de manière autonome, soit en ayant participé aux ateliers menés par l’association TCB en avril dans les médiathèques Croix- Rouge et Jean Falala.
Mardi 21 mai à 19h
Venez découvrir un parcours insolite, où les rayons d’une biblio- thèque peuvent cacher les pistes d’une véritable chasse aux trésors. Une aventure à vivre en partenariat avec Maison Vide, espace de création et de diffusion dédié à l’art contemporain en milieu rural. Renseignements : www.maisonvide.fr Samedi 25 mai
Installation numérique visuelle et typographique, réalisée par Nota Bene Visual (NBV), studio de création basé à Istanbul spécialisé dans la production d’expériences numériques. Ici, pénétrez au coeur de l’installation et découvrez un texte projeté sur le sol. Au fur et à mesure de votre déambulation, votre ombre recouvre le texte. Les parties cachées par l’ombre de votre corps apparaissent alors sur le mur, grâce à vos mouvements. Amené à interagir avec cette œuvre, vous devenez partie intégrante de cette installation qui pose la question de l’éthique et de la morale dans notre société contemporaine. Néanmoins, l’œuvre peut être appréhendée de manière totalement ludique afin d’en saisir toute la poésie.
Samedi 25 et dimanche 26 mai
La bibliothèque municipale de Reims organise comme chaque année une vente de ses documents (livres, CD, revues) désherbés, c’est à dire en bon état mais retirer de ses rayonnages pour faire de la place aux nouveautés. L’occasion également de découvrir la médiathèque Croix-Rouge qui sera exceptionnellement ouverte ce dimanche de 10h à 18h. Lors de cette journée, anniversaire oblige, des animations seront proposées toute la journée (buvette, décou verte du bibliobus et de sa terrasse et installation artistique « In order to control »). Tarifs des docu- ments : de 1€ (pastille blanche) à 2 € (pastille verte). Et comme tout doit disparaître, Happy hour à par- tir de 16h : 1 document acheté, 1 document offert. Entrée libre et gratuite.
Dimanche 26 mai de 9h à 18h
Sous la conduite de la Compagnie le Téatralala, cette déambulation rigolote invite les spectateurs à suivre deux « bibliothécaires » dans les différents espaces, y com- pris ceux qui leur sont habituelle- ment fermés. Tout au long de ce voyage littéraire, les deux comédiens lisent ou jouent des extraits de textes illustrant l’univers de la bibliothèque, son architecture et son décor, son fonctionnement et son personnel… Un spectacle écrit et mis en scène par Christophe Perrier, avec Franck Magnier, Christophe Perrier et Frédéric Ségard.
Mercredi 29 mai à 18h (également le jeudi 30 mai à 19h à la médiathèque Jean Falala)
10 ans de médiathèque Croix- Rouge, c’est 10 ans de soutien aux musiciens issus du quartier. Pour fêter cela, la médiathèque offre une scène à des groupes emblématiques dont Kerjostyle & the Mothafonk (rap aux saveurs funky et jazz).
Vendredi 31 mai à 18h30
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A l’origine, l’association « Espérance rémoise pour la culture et le sport » était centrée exclusivement sur les activités de football. Elle s’est élargie depuis peu, avec une section féminine. C’est ainsi que des séances d’activités sportives ont lieu, encadrées par des femmes pour d’autres femmes : basket, fitness, volley et musculation ont lieu à l’Espace Géo-André. « Ces séances sont ouvertes à toutes, sans distinction d’origine ou de profession », insiste Zahra Arbaoui, la vice-présidente.
L’association organise demain un « marché à l’orientale » : dégustation de thé à la menthe, spécialités turques, syriennes et marocaines, préparées sur place. On y découvrira des soins de beauté exotiques, henné, masques à l’argile et au… chocolat, démonstrations de broderie, des tenues orientales et des accessoires, neufs ou d’occasion.
Samedi 18 mai de 11 à 18 heures, à la salle Saint-Thierry. 17, rue Saint-Thierry. Tel. 06.61.66.11.19.
L’opération « Mod’Emploi Croix-Rouge (suite), forum de la création d’entreprises » se déroulera le jeudi 23 mai de 14 heures à 17 h 30, à l’espace La Nacelle, 3 rue du Docteur-Billard. Ouverte à tous, cette rencontre gratuite est organisée par Reims Métropole et la Maison de l’Emploi et des Métiers.
Elle s’adresse à tous ceux qui ont envie de créer leur propre entreprise. Ils trouveront sur un même lieu, les différentes structures qui peuvent les aider et des professionnels qui évoqueront avec eux les différentes étapes de la création d’entreprise. Seront également présentées les possibilités offertes par le statut de Croix-Rouge en Zone franche urbaine.
Pour toute information et pour les pré-inscriptions, s’adresser au 03.26.07.87.12.
Le développement durable à l’honneur. La fête des quartiers Croix-du-Sud et Pays-de-France se déroulera samedi 25 mai de 15 h 30 à 20 heures, dans le parc Saint-Bruno, entre l’église de Croix-Rouge et le lycée François-Arago. De nombreux jeux et ateliers sont prévus sur le thème des expériences scientifiques et du développement durable.
Pour tout renseignement, contacter la Maison de quartier Croix-Rouge, espaces Watteau ou Pays-de-France.
Lors d’une ronde au quartier Croix-Rouge, la police a contrôlé deux gamins de 12 et 13 ans qui cheminaient avec les bras chargés de panneaux grillagés. Ils ont reconnu les avoir volés sur un chantier proche de l’école maternelle François-Legros, « pour construire une cabane ».Les garnements ont été remis à leurs parents.
REIMS (Marne). Lundi vers 21 h 45, une petite soirée organisée dans un appartement de l’avenue Eisenhower a tourné court avec l’irruption de l’ex-concubin de la locataire. Surexcité, l’homme a cassé la porte d’un placard, frappé une invitée avec une bouteille, mordu son neveu.
Interpellé, Abdelnour Kerbouche, 24 ans, est déjà connu de la justice. Il était d’ailleurs recherché pour purger une peine d’un an de prison ferme consécutive à des violences. Non seulement il est parti l’exécuter, mais il a écopé en sus de neuf mois ferme pour ses nouvelles frasques de lundi.
REIMS (Marne). Malgré la pluie d’hier matin, plusieurs incendies se sont déclarés ces dernières heures à Reims, mais il faut dire que la plupart d’entre eux n’ont rien de spontané.
Ainsi de ce feu de poubelle rue de Turenne, mardi à 18h30. Deux garnements de 12 ans interpellés par la police ont reconnu en être les auteurs. Remis à leurs parents, ils seront prochainement reconvoqués.
Ce même jour à 16h15, la carcasse calcinée d’une voiture a été retrouvée rue du Docteur-Calmette, dans les terrains vagues proches de la rue de La Husselle (ex-rue Havé). Le véhicule est impossible à identifier, mais sans doute est-il volé.
Toujours mardi, à 23 heures, les pompiers sont revenus rue de La Husselle pour éteindre deux feux de détritus.
Vers 17 heures, des papiers ont été enflammés avenue Bonaparte, dans l’immeuble du n° 11, tandis qu’à 22 heures, deux petits sapins ont pris feu dans le jardin d’une habitation de la rue Roger-Salengro. Le même sort a été réservé quelques instants plus tard à une poubelle de la rue Ledru-Rollin, derrière le collège Paul-Fort.
Hier à 1 heure du matin, direction la rue Raymond-Poincaré pour un nouveau feu de poubelle.
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Comme on pouvait s’y attendre, la deuxième journée des Interclubs nationaux a été très compliquée pour les équipes marnaises.
Chez les dames, en N2, la très solide formation d’Issy-les-Moulineaux a nettement dominé le TC Géo-André, comme en témoigne le score (7-1). A noter toutefois la superbe performance, à 0, de la nouvelle recrue rémoise, Angela Charles-Alfred (4/6).
Scénario identique en N4 masculine pour le TC Vitry qui, dans la Loire, n’a strictement rien pu faire face à La Querillère (7-1) malgré le nouvel exploit de Brice Bonnerave (15/1), vainqueur cette fois à 4/6. De son côté, sur la terre battue du TC Arsenal à Châtillons, le Cormontreuil TC a mordu la poussière en concédant un sévère 8-0.
En revanche, grosse désillusion pour le TC Géo-André qui s’est incliné de peu dans les Yvelines face à Bois d’Arcy (4-3). Pourtant, avec les « perfs » à 2/6 de Sébastien Paillard (3/6) et Vincent Pacanowski (4/6), tout avait plutôt bien commencé.
Seuls les joueurs du Reims Europe Club ont donc tiré leur épingle du jeu en s’imposant 4-3 à Talant. Menant 3-2 à l’issue des simples dans la banlieue dijonnaise, les Rémois doivent néanmoins leur salut à l’improbable double n°2 formé par Nicolas Birot (2/6) et… Pheng Xayphengsy, désormais 15/3.
REIMS. -TC Issy-les-Moulineaux batTC Géo-André 7-1. Natalia Orlova (N°34, Issy-les-Moulineaux) bat Jackie LASSAUX (0, Géo-André) 6-1, 6-0 ; Anne-Valérie Evain (-15, Issy-les-Moulineaux) bat Laetitia TORDO (2/6, Géo-André) 6-3, 6-1 ; Anaïs Deville (-2/6, Issy-les-Moulineaux) bat Maêva SPOONER (3/6, Géo-André) 6-2, 6-0 ; Angela CHARLES-ALFRED (4/6, Géo-André) bat Mathilde Chartrain (0, Issy-les-Moulineaux) 6-4, 6-3 ; Stéphanie Botta (3/6, Issy-les-Moulineaux) bat Lisa-Marie HABERT (5/6, Géo-André) 6-0, 6-2. Natalia Orlova - Anne-Valérie Evain battent Jackie LASSAUX - Maêva SPOONER 6-3, 6-0 ; Anaïs Deville - Mathilde Chartrain battent Laetitia TORDO - Angela CHARLES-ALFRED 6-2, 7-6.
SAINT-JUST-SAINT-RAMBERT. - La Querillère bat TC Vitry 7-1. Favier (-15, La Querillère) bat LALOUETTE (1/6, Vitry) 6-4, 6-3 ; Chomette (-4/6, La Querillère) bat THOUVENOT (4/6, Vitry) 6-1, 6-2 ; Viallon (3/6, La Querillère) bat MULAT (15, Vitry) 6-1, 6-2 ; BON NERAVE (15/1, Vitry) bat Ferreol (4/6, La Querillère) 7-5, 6-2 ; Blanc (4/6, La Querillère) bat BERRANGER (15/2, Vitry) 6-1, 6-1. Cho-mette - Viallon battent LALOUETTE - MULAT 7-6, 6-3 ; Favier -Blanc battent THOUVENOT - BERRANGER 6-2, 6-3.
CHATILLONS. -TC Arsenal bat Cormontreuil TC 8-0. Jurman (-15, Arsenal) bat JOLLY (0, Cormontreuil) 6-0, 6-1 ; Monet (-2/6, Arsenal) bat ROBERT (1/6, Cormontreuil) 6-2, 6-3 ; Marra (0, Arsenal) bat Soumet (4/6, Cormontreuil) 6-4, 6-3 ;Tachet (1/6, Arsenal) bat LATOUR (4/6, Cormontreuil) 6-1,6-2 ; Grave (2/6, Arsenal) bat PUSSET (4/6, Cormontreuil) 6-3, 7-5. Jurman - Monet battent JOLLY - LATOUR 6-4, 6-4 ; Marra - Grave battent ROBERT - SOUMET 7-6, 6-3.
BOIS-D’ARCY. -TCM Bois-d’Arcy batTC Géo-André 4-3. PAILLARD (3/6, Géo-André) bat Moreau (2/6, Bois-d’Arcy) 6-3, 2-6, 7-6 ; PACANOWSKI (4/6, Géo-André) bat Chartier (2/6, Bois-d’Arcy) 6-4, 6-2 ; Bru-nie (2/6, Bois-d’Arcy) bat LEROY (4/6, Géo-André) 4-6, 7-5, 7-6 ; Jean (3/6, Bois-d’Arcy) bat PIGNON (4/6, Géo-André) 4-6, 6-3, 6-O ;Tanguy (4/6, Bois-d’Arcy) bat ALESSIO (15, Géo-André) 6-3, 4-6, 6-2. Moreau - Jean battent LEROY - PIGNON 7-5, 7-5 ; PACANOWSKI -ALESSIO battent Brunie -Tanguy 0-6, 7-5, 1-0.
TALANT. - Reims Europe Club bat Talant AT :4-3. BONNET (1/6, Reims Europe Club) bat Voilliot (2/6, Talant) 7-6, 6-1 ; SEURET (2/6, Reims Europe Club) bat Guillemenot (3/6,Talant) 1-6, 6-3, 7-5 ; Freitas (4/6,Talant) bat BIROT (2/6, Reims Europe Club) 6-4, 7-5 ; Musitelli (4/6, Talant) bat WOYNAR (5/6, Reims Europe Club) 6-3, 6-1 ; CHAUVIN (5/6, Reims Europe Club) bat Raux (4/6,Talant) 6-3, 6-7, 6-2. Freitas - Musitelli battent BONNET - SEURET 6-1, 6-4 ; BIROT - XAYPHENGSY battent Voilliot - Guillemenot 6-4, 7-6.
Numéro 7498 du 13 au 19 mai 2013.
1. Maître d’ouvrage privé : SOCIÉTÉ DES COURSES DE REIMS, hippodrome de la Champagne, 3, avenue du Président - Kennedy, 51100 Reims.
Mail : segolene.pordes@hippodromedereims.com
Maîtrise d’oeuvre : Claude PENLOUP, architecte D.P.L.G., 32, avenue Jean-Jaurès, 18000 Bourges, 7, rue Francaise, 75002 Paris, tél. 02.48.65.32.45, fax : 02.48.24.00.74.
Mail : penloup@club-internet.fr
2. Objet du marché : reconstruction des tribunes à l’hippodrome de Reims -
Marchés allotis :
Lot 1 : gros oeuvre. Démolition. V.R.D. Gros-oeuvre. Charpente métallique.
Lot 2 : charpente bois. Charpente bois lamellé. Bardage métallique. Terrasse.
Lot 3 : couverture / Étanchéité. Couverture membrane. Étanchéité.
Lot 4 : menuiserie aluminium / Serrurerie.
Lot 5 : serrurerie.
Lot 6 : menuiserie bois.
Lot 7 : agencement.
Lot 8 : doublage / cloisons.
Lot 9 : faux plafonds.
Lot 10 : revêtements de sols durs. Carrelage sol. Carrelage mural.
Lot 11 : revêtements de sols souples.
Lot 12 : peinture.
Lot 13 : monte-charges / Elévateurs.
Lot 14 : plomberie / Chauffage. V.M.C. Chauffage rafraîchissement.
Lot 15 : électricité. Courants forts. Courants faibles. Chauffage.
Caractéristiques principales : démarrage des travaux prévisible : juillet 2013 / durée : 8 mois.
3. Retrait du dossier de consultation : hippodrome de Reims, 3, avenue Kennedy, 51100 Reims, tél. 03.26.08.65.29. Mail : segolene.pordes@hippodromedereims.com
Contre chèque caution de 100 CT.T.C. à l’ordre de la SOCIÉTÉ DES COURSES DE REIMS ou sur clé U.S.B. gratuitement.
4. Date de limite des offres : mardi 11 juin 2013 avant 17 heures.
5. Modalités d’envoi des offres : pli recommandé ou dépôt à la SOCIÉTÉ DES COURSES DE REIMS à l’adresse indiquée ci dessus.
L’enveloppe devra porter la mention ’ Reconstruction des tribunes -Lot no . ’ Ne pas ouvrir.
6. Délais de validité des offres : 90 jours.
Justificatifs à produire quant aux qualités et capacités du candidat et de l’offre : énoncés dans le règlement de la consultation.
7. Renseignements techniques ou administratifs :
renseignements administratifs : SOCIÉTÉ DES COURSES, hippodrome de Reims,
3, avenue du Président-Kennedy, 51100 Reims, tél. 03.26.08.65.29, fax : 03.26.04.29.52. Mail : segoSene.pordes@hippodromedereims.com
Renseignements techniques : Cabinet Claude PENLOUP, tél. 02.48.65.32.45, fax : 02.48.24.00.74. Mail : penloup@clubinternet.fr
L’espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge propose, samedi 18 mai, de 14 h 30 à 18 heures, un super après-midi « Jeux ».
Au programme, jeux multimédias (Wii, Play Station 3, etc.), jeux géants en bois et jeux de cartes.
Une inscription préalable est obligatoire (entrée : 2 euros).
Des enveloppes de tombola seront à vendre pour gagner des lots et une petite restauration sera prévue sur place.
Informations et inscriptions : Alexandra Babin, animatrice référent familles, Maison de quartier Croix-Rouge, espace Watteau, 3 allée Antoine-Watteau à Croix-du-Sud (Tél. 03.26.36.03.50.).
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Une convention de partenariat concernant le dispositif Scop’Ados a été signée entre le Service départemental de prévention, la Maison de quartier Croix-Rouge, l’Effort rémois et Alpha logement. Cette signature s’est déroulée dans le café-restaurant associatif de Croix-du-Sud, la Marmite, avant un déplacement sur le chantier en cours, réalisé en maçonnerie avec l’entreprise Aboutahir, et au cours duquel ils ont fait preuve d’une motivation qui leur a valu des félicitations.
De nombreux chantiers se sont déjà déroulés depuis trois ans dans le cadre de ce dispositif sur les secteurs Croix-du-Sud et Hauts-de-Murigny, mais c’est la première fois que ces actions, ainsi que les futures, sont désormais officialisées par la signature d’une convention.
Le projet Scop’Ados, une sorte de coopérative d’adolescents, permet, en échange de travaux réalisés sur le patrimoine de l’Effort rémois pendant une année complète, d’allouer à des jeunes du quartier une somme de 3 000 euros pour qu’ils puissent réaliser des actions qui leur tiennent à cœur : voyages, création de maillots de football, loisirs, comme par exemple, un voyage cet été à La Grande-Motte, ou la pratique du karting, du quad et du char à voile…
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
Le projet vise à rapprocher, d’ici une dizaine d’années, la fac de Sciences (actuellement sur le Moulin de la Housse) des UFR de Droit, Lettres et Sciences humaines (les fameuses coquilles).
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REIMS (Marne). Les conseillers régionaux ont approuvé hier à la majorité l’unification des campus de l’université de Reims sur le seul site de Croix-Rouge. Seuls les trois conseillers FN se sont abstenus.
Le projet, dans les tuyaux de l’Urca depuis de longs mois, vise à rapprocher, d’ici une dizaine d’années, la fac de Sciences (actuellement sur le Moulin de la Housse) des UFR de Droit, Lettres et Sciences humaines (les fameuses coquilles).
Un second campus regroupera, comme c’est déjà le cas, les facs de Médecine, Pharmacie et Odontologie derrière le centre hospitalier régional.
Ce vote permet au président Jean-Paul Bachy (apparenté PS) de signer une convention cadre avec l’Urca pour la refondation des campus. « J’approuve cette unification dans la mesure où l’Urca réaffirme dans le même temps sa volonté de renforcer ses antennes départementales (Charleville, Troyes, Chaumont-Nogent) et de s’articuler avec l’Université technologique de Troyes (UTT) », a commenté hier Jean-Paul Bachy qui dit « ne pas regretter » l’engagement financier de la Région, ces dernières années, dans la construction de nouveaux bâtiments sur le Moulin de la Housse, notamment pour l’UFR Staps (Sciences et techniques des activités physiques et sportives), le conservatoire national Arts et Métiers ou de nouveaux labos de recherche. « La faisabilité du projet Croix-Rouge est tributaire de la revente de ces bâtiments ».
Ce vote s’est déroulé dans le cadre d’une commission permanente lors de laquelle les élus se sont par ailleurs prononcés sur la répartition d’un peu plus de 16 M€, dont près de la moitié pour les politiques de qualité de vie et les territoires, 3,7 M€ pour les jeunes et la formation, 2,6 M€ pour l’emploi, la recherche et l’innovation et 1,5 M€ pour l’environnement, l’énergie et les transports. Sur ces 16 M€, 2,8 M€ reviennent aux Ardennes et 4,5 M€ à la Marne.
G.G
Avec le Foyer rémois, la Ville va ouvrir une Maison de projet, « qui permettra de travailler de concert avec les associations de Croix-Rouge pour un projet d’établissement, qui sera un incubateur associatif », une maison de quartier, etc. « Il a fallu tirer la leçon de nos échecs, celui de la maison de quartier Louise-Michel à Wilson, fermée pour la 2e fois, et mal conçue au départ », explique Eric Quénard.
Cette maison fera 80 m2, à Arago et la subvention de 40 000 euros servira à équiper des cellules livrées brutes. » Catherine Vautrin soulignera, en reprenant la délibération, qu’il faut plutôt parler de 71 000 euros.
« Et combien en fonctionnement par an ? « 10 000 euros », répondra le 1er adjoint.
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Aujourd’hui bien visible, la rénovation urbaine du secteur Croix du Sud est l’aboutissement de transformations successives qu’illustre à son tour l’ensemble immobilier inauguré le 5 avril avenue Bonaparte par l’Effort Rémois.
Julie, qui vivait déjà dans le secteur Croix du sud, a profité de la construction par l’Effort Rémois d’un immeuble sur l’avenue Bonaparte pour venir s’installer dans un T2 neuf, le long de la ligne de tramway qui relie le quartier au reste de la ville. Ce qui l’a décidée ? « Comme il est au dernier étage, il est très calme et bénéficie d’une belle luminosité. Je voulais aussi une place dans un box fermé pour ma voiture que j’utilise tôt le matin pour aller à mon travail à l’extérieur de Reims. » Reconnaissable aux grandes vasques colorées qui ornent ses balcons, ce programme immobilier n’a pas séduit que Julie puisque, le jour de l’inauguration, la quasi totalité des 40 appartements avait déjà trouvé preneurs.
Cette réalisation a été associée à la construction d’un parking en silo, original dans sa présentation, bien dimensionné, qui offre aux résidents 249 places de stationnement.
Restent à venir les 15 logements de la future résidence Les Pastels qui seront accessibles à la propriété.
Le nouveau président de Plurial L’Effort Rémois, Jean- Claude Walterspieler, a rappelé que « l’investissement global aura permis de réinjecter 27,5 M€ dans l’économie locale et de fournir 130 emplois équivalent temps plein. »
L’ensemble contribue à la métamorphose du secteur, aujourd’hui bien visible. Adeline Hazan, maire de Reims, l’a jugé « très réussi, à la fois dans la conception des logements et dans le traitement architectural extérieur qui donne des couleurs au quartier » et a apprécié l’aménagement de cette « nouvelle centralité où les habitants vont pouvoir mieux se rencontrer. » En effet, comme dans les autres quartiers en rénovation urbaine, le projet consiste aussi à favoriser sur place la diversité des fonctions, à mêler le résidentiel et l’économique. Sur les neuf cellules commerciales aménagées en pied d’immeuble, six sont réservées et deviendront dans les prochaines semaines une grande boulangerie, une boucherie, un espace de restauration rapide, un salon de coiffure, une supérette, etc.
Cette proximité intéresse Julie : « aujourd’hui, pour acheter son pain, il faut descendre jusqu’à Pays de France alors j’apprécierai d’avoir une boulangerie en bas de chez moi. » Et Michel Bernard, sous-préfet de Reims, de conclure : « Le commerce fait la vie du quartier. C’est un grand sourire aux habitants. »
C. R.
L’Eté s’affiche à Croix-Rouge, animations sportives et culturelles ouvertes à tous du 8 au 27 juillet.
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« Pour la quatrième année consécutive, Un Eté dans la Ville offrira la possibilité aux Rémois et aux touristes de profiter, gratuitement, d’un grand nombre d’activités de loisirs, culturelles et sportives sur tout le territoire de Reims. »
A Reims, le grand rendez-vous de l’été joue la carte de la pluralité : de lieux comme de propositions. La programmation, entièrement gratuite, pour tous les publics, est l’occasion d’y faire vivre chaque place, chaque parc ou jardin. C’est le cas de la place du Forum, devenue le lieu de toutes les rencontres : musicales, artistiques, théâtrales ou poétiques. En 2013, la programmation s’y balade de l’opéra au folk en passant par du slam ou des marionnettes : 47 dates prévues et des artistes du cru parmi les plus connus au niveau national. Jeudi 13 juin, Barcella a carte blanche pour l’ouverture. Et les quartiers ne sont pas en reste ! Vendredi 14 juin, le traditionnel concert d’été de Croix-Rouge lancera aussi Un été dans la ville. Enfin, non moins de 8 concerts de jazz (entre le 28 juin et le 8 septembre) et de 23 soirées cinéma (entre le 3 juillet et le 27 août) sont programmés dans tous les quartiers sur une recette éprouvée… et approuvée : un pique-nique et des propositions culturelles suivis de longs, de moyens et de courts métrages.
Hyperactif en soirée, Un été dans la ville ne propose pas moins d’animations en journée. A Croix-Rouge, quartier en renouvellement urbain, “L’été s’affiche à Croix-Rouge” proposera trois semaines d’animations gratuites au complexe Géo-André entre le 8 et le 27 juillet. Après deux premières éditions couronnées de succès, “Au bonheur des rives” reviendra dès le 20 juillet pour donner aux rives du canal des airs d’antan, de fête, de campagne et de vacances : idéal pour un brin de bronzette, un peu de lecture, un tour en pédalo ou une visite d’écluse !
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La séance publique du Conseil de quartier Croix-Rouge, Hauts de Murigny s’est tenue le 13 mars dernier. Les conseillers ont abordé la question du stationnement dans le secteur de l’IRTS, les questions sur le dispositif “Place au cinéma”, la dénomination de nouvelles voies et ont conclu en faisant un retour sur la balade de quartier secteur Soleil-Couchant. Pour l’édition 2013 de “Places au cinéma”, la projection est prévue le mardi 9 juillet, 19 h, sur le parvis de la médiathèque Croix-Rouge.
Concernant la dénomination de nouvelles rues sur le secteur Eisenhower, Paysde- France et Croix-du-Sud, Alain Bisteur a proposé la création d’une commission ad hoc qui aura la charge de recueillir les propositions des habitants.
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Courant avril, une après-midi crêpes de la solidarité a été organisé par la Mutes à la Maison de quartier Billard.
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Le projet dessine de profondes mutations à l’horizon 2020, 2025, 2030. Toutes les dimensions et toutes les missions de l’Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) sont concernées.
« Le premier objectif est d’accueillir un plus grand nombre d’étudiants de façon à mieux répondre à la demande sociale, aux besoins des entreprises et de la société en général. Nous visons 27000 étudiants à l’horizon 2020 », informe Gilles Baillat, Président de l’URCA. Dans ce projet global, on citera notamment la volonté de renforcer la structuration de sa recherche, la construction d’un institut de la Vigne et du Vin, l’internationalisation à l’horizon 2020, ou encore l’intégration d’une dimension numérique à chaque niveau de son organisation et de ses projets. Enfin, symbole du renouveau, les campus de l’URCA seront rassemblés sur le site de Croix-Rouge. « La logique de regroupement qui s’impose donne une opportunité unique à l’Université pour améliorer le service rendu aux étudiants et aux personnels, tout en baissant les coûts de fonctionnement grâce aux nombreuses mutualisations autorisées par cette opération », conclut Gilles Baillat
S. C.
Très fiers, ils ont chanté, joué et présenté leurs œuvres, résultat de plusieurs mois de travail.
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Collégiens et écoliers de Croix-Rouge ont pris sur leur temps libre pour monter un projet en mémoire de l’esclavage. Ils l’ont présenté vendredi.
LA ministre de la Justice, Christiane Taubira a déclaré hier qu’elle souhaitait pouvoir rendre leurs terres aux descendants d’esclaves. Si elle a besoin de conseils, elle peut venir voir les collégiens de Joliot-Curie et les écoliers de Provençaux et Hippodrome. Ils connaissent le sujet.
Vendredi, les quelque 150 jeunes ont présenté leur projet mené sur la traite négrière. Le résultat de plusieurs mois de travail qui a notamment pris la forme d’une fresque qui a été inaugurée devant le sous-préfet et une adjointe au maire.
Tout a commencé l’année dernière avec la venue d’Eloi Coly (conservateur de la maison des esclaves de Gorée au Sénégal) à Reims pour une série de conférences organisées au collège.
L’équipe pédagogique, d’autant plus touchée par le sujet qu’il y a au sein des professeurs une descendante directe d’esclaves a décidé de sensibiliser les élèves sur ce passage douloureux de l’Histoire. L’aide d’Olivier Pétré-Grenouilleau, inspecteur général de l’Éducation nationale et spécialiste de l’esclavage, leur a été précieuse. Une rencontre avec Éloi Coly a été organisée ainsi que des sorties à différentes expositions.
« Dans un quartier aussi hétéroclite que le nôtre, il est important que les élèves connaissent notre histoire, et d’où nous venons », souligne Mme Berhault professeure à l’école de l’Hippodrome.
Les collégiens qui ont participé étaient tous volontaires. Ils se sont réunis, depuis janvier, sur leur temps libre, accompagnés de leurs professeurs d’histoire et d’art plastique. Ils étaient heureux, vendredi, de présenter leur travail : « C’était bien. Cela nous a permis de ne pas oublier ce qui s’est passé et de prendre conscience des conditions de vie des esclaves », confient Salym, Sarah, Tatiana et Paul-Albert élèves à l’Hippodrome. Lors de cette journée, les jeunes ont mis toute leur énergie et leur bonne volonté pour chanter mais aussi jouer des saynètes sur le thème. Légitimement fiers de leur travail.
Marine HUMBERT
Ouverture sur une comédie musicale « 100 % étudiante » de l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris.
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REIMS (Marne). Passionnés de théâtre, ils consacrent toutes leurs compétences de gestionnaires à peaufiner l’organisation de leur festival annuel.
REIMS Management School, initiales : « RMS ». Initiales que le festival de théâtre étudiant de la célèbre école rémoise a évidemment réutilisées : RMS, c’est aussi Reims Monte en Scène… Pour sa 26e édition, l’association a décidé d’élargir la programmation aux comédies musicales.
Une semaine de festivités, offertes par une centaine d’étudiants des universités et grandes écoles françaises, dans une ambiance favorisant les rencontres entre artistes et public : entre les spectacles, des animations et un buffet permettront aux participants d’échanger leurs impressions autour d’une coupe de champagne.
Le festival démarre demain mardi 14 avec deux comédies musicales : celle de l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris, qui présente « La prochaine fois, prenez l’avion ! ». Une pièce décalée qui embarque le public sur le « P’tit Annick » pour une croisière qui se veut de rêve… La seconde est celle de RMS, « Batman », déjà jouée récemment : « Nous avons recueilli beaucoup de compliments d’un public très réceptif », confie Jeanne Gourlet, la présidente du festival, également comédienne dans le spectacle. Pourquoi Batman ? « Parce que c’est un mythe sans cesse réinventé, qu’il y a de l’humour, de l’amour, de l’action : ce peut être majestueux, épique ».
Tout le programme est à l’avenant : « On est sur du théâtre choisi et joué par des étudiants. C’est du théâtre contemporain, accessible, avec une mise en scène dynamique, avec cette sensibilité et cette émotion particulières des jeunes artistes, qui se dégagent de chaque pièce ».
Théâtre et gestion vont-ils de pair ? « Le marché du travail s’ouvre de plus en plus aux jeunes amateurs d’art qui ont un profil d’école de commerce et des compétences de gestionnaire.
D’ailleurs, ceux qui participent à ce festival sont aussi recrutés sur leurs ambitions futures : on est en plein dans la gestion de projet artistique et culturel, avec un pôle logistique très actif durant des semaines ».
Tous travaillent sur ce festival depuis un an : « On y est ! C’est l’aboutissement ! On a très envie que ça démarre ! ».
Mardi 14 mai à 19 heures. Comédies musicales : « La prochaine fois, prenez l’avion ! » par l’ESCP. « Batman » par RMS. Au théâtre de l’Affiche, avenue Jean-Jaurès.
Mercredi 15 mai 19 heures. Hamlet chez les Soviets, par HEC. La Nuit de Valognes d’Eric-Emmanuel Schmitt par Sciences Po Reims. Théâtre du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.
Jeudi 16 mai à 19 heures. Troupe d’improvisations de RMS. « Ailleurs » inspirée de « Ailleurs, ailleurs » de Slimane Benaïssa par la troupe de l’Urca. A l’Affiche.
Vendredi 17 mai à 19 heures. « Les justes » d’Albert Camus par Ecole Centrale Lille. « Incendies » de Wajdi Mouawad par Université Pierre et Marie Curie. A la Comédie de Reims.
Samedi 18 mai à 19 heures. « Les dames du Jeudi » de Loleh Bellon par le Celsa. « L’importance d’être constant » d’Oscar Wilde par RMS. Comédie de Reims.
Tarifs : Pass 1 soir 9, 5 et 4 euros. 2 soirs : 16, 9 et 7 euros. 3 soirs : 24, 13 et 11 euros. Pass festival : 35, 20 et 17 euros.
Réservations par mail à festivalreimsmonteenscene@gmail.com ou permanences vente sur campus de RMS 59, rue Pierre-Taittinger.
REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus dans la nuit de dimanche à lundi au 14, allée des Bourguignons dans le quartier Croix-Rouge pour maîtriser un feu de détritus qui se propageait dans le local vide-ordures de cet immeuble collectif.
REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus ce dimanche à 10 h 15, allée des Savoyards dans le quartier Croix-Rouge pour un incendie dans le local vide-ordures d’un immeuble collectif. Ils ont rapidement éteint le sinistre qui dégageait beaucoup de fumée au moyen d’une petite lance.
Après une entame catastrophique, les clubs marnais engagés aux Interclubs nationaux vont encore souffrir lors de la deuxième journée, programmée ce week-end.
Seule équipe évoluant à domicile, le TC Géo-André accueille, chez les dames, le TC Issy-les-Moulineaux emmené par la russe Natalia Orlova (N°34) et Anne-Valerie Evain (-15) récemment vue à l’Open du TC Reims. Inutile de préciser que les Rémoises ne seront pas favorites mais chercheront, comme la semaine passée, à limiter les dégâts.
Du côté des messieurs, en N4, le TC Vitry se déplace dans la Loire pour affronter le TC Querillère. Défaits (6-2) lors de l’ouverture, les joueurs de Saint-Just/Saint-Rambert possèdent un poids d’équipe supérieur aux Vitryats et devraient en toute logique s’imposer.
Sur la terre battue du TC Arsenal à Châtillons, le Cormontreuil TC sera également en grand danger. Vainqueur 8-0 dimanche dernier, les Alto-Sequanais sont meilleurs sur le papier et entendent bien le démontrer.
Enfin, le TC Géo-André et le Reims Europe Club vont jouer une grande partie de leur maintien aujourd’hui. A Bois d’Arcy, les garçons de « Géo » seront opposés à une formation à leur portée. Idem pour les « Européens » qui, à Talant, dans la banlieue dijonnaise, se mesureront à l’équipe la plus faible de la poule.
Aujourd’hui, dès 9 heures. - Dames (N2) : TC Géo-André - TC Issy-les-Moulineaux. Messieurs (N4) : La Querillère - TC Vitry ; TC Arsenal - Cormontreuil TC ; TCM Bois d’Arcy - TC Géo-André ; Talant AT - Reims Europe Club.
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Adela El Khef vient de créer la SARL « Aux blés d’or », au 6 allée Edgar-Degas (Croix-du-Sud).
Il s’agit d’une boulangerie, pâtisserie, viennoiserie, sandwicherie (chaud et froid), pizzas et plats, boissons, sur place et à emporter.
Salem Yacoubi, demeurant à Ormes, vient de créer la SARL « YG Coiffure », au 46 avenue du Général-Bonaparte (Pays-de-France). Il y pratique tous les travaux en coiffure.
Moustapha Karim, demeurant à Isles-sur-Suippes, vient de créer la SAS « Déoliance », au 14 rue de Rilly-la-Montagne (secteur Université).
Il propose l’édition, le développement et la diffusion sous toutes ses formes de logiciels informatiques, et toutes formes de prestations de services et de conseil en matière de systèmes d’information.
Il vend également tous les matériels, consommables et accessoires relatifs à cette activité.
Le Rémois Boukar Mataba vient de créer la SAS « WebComBusiness », dont le siège est implanté au 39, esplanade-Eisenhower (secteur Université).
Son activité : les prestations générales de communication d’entreprise, les prestations de négoce et de formation incidentes ou non.
Ramazan Cecen a créé la SARL « RCC » dont le siège est fixé au 9, rue Pierre-Taittinger (secteur Université).
Son travail : la maçonnerie générale, le béton armé, les ravalements de façades, le carrelage et la peinture bâtiment.
La SARL « Reims Toilettage », dont le siège est installé au 8, avenue Léon-Blum (Croix-du-Sud), a été cédé à la « SARL CCBDP », une société implantée au 11, rue de la Moufle à Gueux (Marne).
La SARL « Capella Ressources et développement » a décidé de transférer son siège du 20, allée Yves-Gandon (Hauts-de-Murigny) au 36B rue Nationale François-Mitterand à Armentières (59280).
La SAS « Le Carreau » a décidé de transférer son siège du 8, allée du Vignoble (Croix-du-Sud) au 16, rue du Temple à Reims.
La SARL « Gandon’a Pizza » a fermé définitivement ses portes. Avec ce nouveau départ, le centre commercial des Hauts-de-Murigny se vide petit à petit. Il serait dommage que cet espace, vital pour le secteur, perde de son intérêt commercial.
I. - Consultation de travaux :
1. Maître d’ouvrage privé : SOCIÉTÉ DES COURSES DE
REIMS, hippodrome de la Champagne, 3, avenue du Président-
Kennedy, 51100 Reims. Mail : segolene.pordes@hippodromedereims.
com
Maîtrise d’oeuvre : Claude PENLOUP, architecte D.P.L.G.,
32, avenue Jean-Jaurès, 18000 Bourges, 7, rue Française, 75002
Paris, tél. 02.48.65.32.45, fax : 02.48.24.00.74. Mail : penloup@
club-internet.fr
2. Objet du marché : - Marchés allotis :
Lot 1 : gros œuvre. Démolition. V.R.D. Gros-œuvre.
Charpente métallique.
Lot 2 : charpente bois. Charpente bois lamellé. Bardage
métallique. Terrasse.
Lot 3 : couverture / Etanchéité. Couverture membrane.
Etanchéité.
Lot 4 : menuiserie aluminium / Serrurerie.
Lot 5 : serrurerie.
Lot 6 : menuiserie bois.
Lot 7 : agencement.
Lot 8 : doublage / cloisons.
Lot 9 : faux plafonds.
Lot 10 : revêtements de sols durs. Carrelage sol. Carrelage
mural.
Lot 11 : revêtements de sols souples.
Lot 12 : peinture.
Lot 13 : monte-charges / Elévateurs.
Lot 14 : plomberie / Chauffage. V.M.C. Chauffage rafraîchissement.
Lot 15 : électricité. Courants forts. Courants faibles.
Chauffage.
Caractéristiques principales : démarrage des travaux prévisible
: juillet 2013 / durée : 8 mois.
3. Retrait du dossier de consultation : hippodrome de Reims,
3, avenue Kennedy, 51100 Reims, tél. 03.26.08.65.29. Mail :
segolene.pordes@hippodromedereims.com
Contre chèque caution de 100 € T.T.C. à l’ordre de la SOCIÉTÉ
DES COURSES DE REIMS ou sur clé U.S.B. gratuitement.
4. Date de limite des offres : mardi 11 juin 2013 avant
17 heures.
5. Modalités d’envoi des offres : pli recommandé ou dépôt
à la SOCIÉTÉ DES COURSES DE REIMS à l’adresse indiquée ci-dessus.
L’enveloppe devra porter la mention " Reconstruction des
tribunes - Lot n° …. " Ne pas ouvrir.
6. Délais de validité des offres : 90 jours.
Justificatifs à produire quant aux qualités et capacités
du candidat et de l’offre : énoncés dans le règlement de la
consultation.
7. Renseignements techniques ou administratifs :
renseignements
administratifs : SOCIÉTÉ DES COURSES, hippodrome
de Reims, 3, avenue du Président-Kennedy, 51100 Reims, tél.
03.26.08.65.29, fax : 03.26.04.29.52. Mail : segolene.pordes@
hippodromedereims.com
Renseignements techniques : Cabinet Claude PENLOUP,
tél. 02.48.65.32.45, fax : 02.48.24.00.74. Mail : penloup@clubinternet.fr
08/51AO2003147
REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims sont intervenus dans la nuit de jeudi à vendredi au 3, allée des Landais dans le quartier Croix-Rouge pour un nouvel incendie dans le local vide-ordures de cet immeuble collectif. Munis de leurs appareils respiratoires isolants, ils ont rapidement maîtrisé le sinistre au moyen d’une petite lance. Ils ont ventilé les communs avant de regagner leur casernement.
Stationné rue Kerguel dans le quartier Europe, un Renault Espace a été détruit par le feu hier à 2 h 45. L’origine du sinistre, pour être indéterminée, n’en demeure pas moins suspecte.
Cette même nuit, une poubelle a brûlé rue Prieur-de-la-Marne à 1 h 20, rue Louis-Bréhier à 2 h 30.
Mardi soir, des papiers ont été enflammés au deuxième étage d’un immeuble de l’esplanade Eisenhower.
Les avocats du Thélème
Société civile professionnelle d’avocats
Immeuble le Thélème
500, rue Léon-Blum
34965 Montpellier cedex 2
Tél. 04.67.64.27.24
L’ARTISANE
SARL au capital de 8.000 euros
Siège social : 6, allée Yves-Gandon
51100 REIMS
480 544 493 R.C.S. Reims
Suivant délibérations du 1er août 2012, l’A.G.E. a décidé de transférer son siège social à Montpellier (34000), 9, rue Proudhon à compter du même jour. L’article 5 des statuts a été modifié en conséquence. Formalités au RCS de Montpellier et de Reims.
Réunis hier après-midi pour exprimer leur colère, les résidents ont signé une pétition destinée au directeur général de l’Arfo.
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REIMS (Marne). Tristes et indignées, les personnes âgées de la maison de retraite Lucien-Boyer estiment que le nouveau licenciement de leur hôtesse n’est pas justifié. Et le font savoir.
Si les résidents de la maison de retraite Lucien-Boyer à Croix-Rouge pouvaient licencier Alain Simon, le directeur général de l’Arfo*, ils le feraient dans l’heure. Dépités par le nouveau renvoi de leur hôtesse aide à vivre, ils se sont réunis hier après-midi pour exprimer leur indignation. « On veut que le directeur revienne sur sa décision. Sophie Atané ne mérite pas de partir ».
Environ la moitié des résidents ont déjà signé une pétition destinée à Alain Simon (lire par ailleurs). « Le 29 avril dernier, ce monsieur est venu à la résidence. Il a bu le champagne, il a même trinqué avec Sophie. Quand on lui a dit qu’on voulait la garder, il a répondu qu’il nous avait entendus. Le lendemain, Sophie recevait sa lettre, preuve qu’elle était déjà rédigée », dénoncent les personnes âgées.
Le retour de Mme Atané début avril, obtenu aux prud’hommes, avait été vécu comme une fête. « Sophie est une employée parfaite. Elle était notre rayon de soleil », témoigne Andrée. « Quand il y avait quelqu’un de malade, qui montait ? Sophie. Quand il y avait quelqu’un de souillé, qui venait ? Sophie. Elle était toujours là pour nous. Je souhaite que M. Simon ait des regrets et qu’il en souffre ».
Quand ils ont appris qu’elle était à nouveau mise dehors, il y a eu de la colère, et des pleurs aussi. « C’est nous qui vivons avec les employés. On devrait pouvoir donner notre avis », estime Odile.
Pour les résidents, ce second licenciement n’est pas plus légitime que le premier : « D’abord elle a été renvoyée parce qu’elle dénonçait des actes de maltraitance à notre égard. Au lieu d’écarter celle qui nous maltraitait, ils ont mis dehors celle qui nous protégeait », poursuit Odile.
« Quand elle est revenue, ils se sont acharnés sur elle jusqu’à la coincer avec une consigne mal écrite », explique Jacques. Représentante des familles, Catherine Morain soutient l’action des résidents : « Quand Mme Atané est revenue travailler ici, certains ont repris goût à la vie ».
Fils de Marie-Louise, Christian cherche un moyen de faire revenir l’hôtesse : « Ma mère est ici depuis deux ans. Comme les autres, elle est attachée à Sophie. C’est inadmissible pour une maison comme l’Arfo d’agir ainsi ».
Christian envisage de faire appel à la maire Adeline Hazan : « Ce serait bien qu’elle agisse. Il ne suffit pas de venir voir les personnes âgées pour Noël et la fête des mères, elle doit être disponible quand on a besoin d’elle ». Et comme, en plus, c’est bientôt la fête des mères !
*Association de résidences foyers
Catherine FREY
Voici le texte de la pétition qui circule d’appartement en appartement dans la résidence Lucien-Boyer à Croix-Rouge. Il est adressé au directeur général de l’Arfo.
« Monsieur Simon,
Nous revenons vers vous afin de vous faire part de notre amertume concernant le licenciement de Mme Atané. Nous n’osons croire que tout ce que vous infligez à cette hôtesse, si attentive et respectueuse de nos conditions de vie, soit une sanction à son encontre pour avoir osé dire ce qui mettait en danger notre santé et notre intégrité !!! Sachez que nous regrettons vivement le départ de cette salariée exemplaire. Vous nous aviez pourtant rassurés à ce sujet le 29 avril 2013 lors de la présentation de Mme Forest. Alors que nous vous faisions part de notre souhait de voir Mme Atané rester parmi nous, vous nous aviez répondu « Je vous ai bien entendus, rassurez-vous » alors que vous aviez pris la décision de la licencier… Votre attitude nous semble bien méprisante et nous n’hésiterons pas à le faire savoir.
Salutations »
Il n’a pas été possible de joindre M. Simon actuellement en déplacement à l’étranger.
Plus d’un million de documents sont empruntés chaque année dans le réseau des bibliothèques et médiathèques de Reims.
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Le 13 mai 2003, c’était l’ouverture de la médiathèque sur le parvis de la cathédrale. Suivait celle de Croix-Rouge. 10 ans après, ces deux structures ont trouvé toute leur place dans le paysage culturel rémois.
Il est loin le temps des bibliothèques de papa où l’on ne trouvait que des documents d’une autre époque. Et pourtant. Aujourd’hui encore « trop de gens imaginent que l’on ne trouve chez nous que des ouvrages classiques, pas de nouveautés », confie Delphine Quéreux-Sbaï, directrice des médiathèques et bibliothèques de Reims. « Chaque année, nous en avons pourtant plus de 20 000 ».
C’est pour casser cette image, mettre en avant l’incroyable fonds et la diversité des animations proposées par l’ensemble des structures, et fêter les dix ans des médiathèques Falala (Cathédrale jusqu’en 2007) et Croix-Rouge, qu’une série d’événements vont être proposés du 21 mai au 1er juin (expositions, rallye, parrainage, bal, concert, jardins musical et littéraire, chasse au trésor, braderie, spectacle-visite guidée, soirée Bref…).
« Il y a encore plein d’idées reçues sur nos structures, insiste la directrice. Les bibliothèques et médiathèques sont loin d’être des lieux poussiéreux qui ne servent que de conservation mais bien de vrais lieux de vie. Les gens continuent évidemment à y emprunter des choses mais c’est aussi un lieu de rencontre. »
Si depuis dix ans le public s’érode un peu, la fréquentation des animations, elle, est en hausse. « Il y a dix ans, il y avait très peu d’animations car il y avait très peu de place pour cela. Toutes les nouveautés que nous avons organisées depuis ont permis de faire venir un nouveau public. » La salle de conférence, de projection et de musique, située au sous-sol de la médiathèque, est par exemple une des plus demandées de la ville.
Tout a également été fait pour séduire des plus jeunes aux plus âgés. A la médiathèque Falala, par exemple, un espace est dédié pour les tout-petits qui accueille tout à tour des expositions, des spectacles, des lectures, des ateliers d’éveil musical ou d’autres activités. Pour les aînés, la gratuité est appliquée à partir de 65 ans tandis que depuis 2007, un service de portage à domicile est proposé.
Reste à penser au futur avec comme double défi la place de la lecture de plus en plus réduite chez les jeunes et le développement du numérique. Des projets de mise à disposition de tablettes sont par exemple à l’étude. Pour faciliter le service, l’automatisation des retours des livres, 24 heures sur 24, un peu partout, devrait également se finaliser assez rapidement. Et bien d’autres idées devraient encore voir le jour.
En tout cas, une chose est certaine : les médiathèques de Reims ont, dix ans après leur ouverture, trouvé toute leur place dans le paysage local. « Et dire que lorsque la médiathèque Falala a été construite, certains ont grincé des dents en se demandant si c’était bien sa place… » note Serge Pugeault, adjoint en charge de la culture.
Le détail des festivités du 10e anniversaire sur www.bm-reims.fr
Grégoire AMIR-TAHMASSEB
En raison du décalage des vacances scolaires avec la région parisienne, le tournoi du TC Montmirail a connu une légère baisse des inscriptions. Avec 83 participants, l’épreuve montmiraillaise a pu édifier neuf tableaux avec des résultats attendus à l’image du doublé du local Arthur Assailly (15/4, Montmirail).
GARÇONS. - 9 ans : Clément Diawara (40, Romilly) bat Noaki Medous (non classé, Géo-André) 5-1, 5-1. 10 ans : LoganTessier (non classé, Charly-sur-Marne( bat Mathieu Le Puil (non classé, Bezannes) 5-0, 5-0. 11/12 ans : Axel Maget (30, Saint-Martin-sur-le-Pré) bat Thibault Renauld (30/1, Dormans) 6-0, 6-0. 13/14 ans : Benjamin Busiaux (15/3, Romilly) bat Antoine Uy (15/5, Château-Thierry) 6-4, 4-6, 6-1. 15/16 ans : Arthur Assailly (15/4, Montmirail) bat Antoine Uy (15/5, Château-Thierry) 6-0, 6-0. 17/18 ans : Arthur Assailly (15/4, Montmirail) bat Romain Depaquit (30/2, Guignicourt) 6-2, 6-1.
FILLES. - 10 ans : Mathilde Sarcelet (30/2, TC Ménéhildien) bat Charline Haddad (non classée, Montmirail) 5-0, 5-2. 13/14 ans : Cléa Priolet (non classée, Dormans) bat Loubna Addioui (30/4, Dormans) 6-4, 6-2. 15/16 ans : Emilie Dratwiniskyj (15/4, Villeneuve-sur-Bellot) bat Agathe Vandenberghe (30, Charly-sur-Marne) 6-1, 6-0.
Fort de 85 engagés, le tournoi jeunes de printemps du Cormontreuil TC a encore fait le plein.
La logique a souvent été respectée mais il faut toutefois souligner la belle victoire du local Julien Ortonovi (15/3, Cormontreuil) dans la catégorie « reine » des 15/16 ans aux dépens d’Issey Chaudré (15/2), le sociétaire de l’URT.
FILLES. - 10 ans : Mathilde Sarcelet (30/2, TC Ménéhildien) bat Eva Fernandes (30/2, URT) 5-2, 5-3. 11 ans : Ania Renard (30/1, Cormontreuil) bat Sybille Pierlot (30/2, Muizon) 6-2 abandon. 13/14 ans : Elvire Prault (15/3, Géo-André) bat Elise Renard (15/4, Cormontreuil) 6-4, 7-5.
GARÇONS. *
10 ans : Nael Nasser (30/3, Bezannes) bat Ronan Devaux (30/4, Cormontreuil) 5-1, 5-1. 11 ans : Paul Doussière (30/3, Cormontreuil) bat Quentin Marginier (30/2, Château-Thierry) 6-3, 6-0. 12 ans : Axel Maget (30, Saint-Martin-sur-le-Pré) bat Pierre-Olivier Morelle (30/3, Cormontreuil) 6-1, 6-0. 13/14 ans : BastienVillenet (15/3, Taissy) bat Théau Duliere (15/4, Géo-André( 6-0, 6-4. 15/16 ans : Julien Ortonovi (15/3, Cormontreuil) bat Issety Chaudré (15/2, URT) 6-2, 6-1.
Numéro 7497 du 6 au 12 mai 2013.
Par jugement en date du 30/04/2013, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : TELEBAZAR (SARL), 9 place Auguste Rodin 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (B 527 655 070). Activité : Prêt à porter, téléphonie.
Mandataire liquidateur : SCP TIRMANT RAULET (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins 51100 REIMS.
Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-designé dans les deux mois suivant la parution au BODACC.
115492
Le Greffier : B. DELPY.
Par jugement en date du 30/04/2013, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : MARCELIN Laurent Maurice, 22 rue Yvon Et Claire Morandat - 51100 REIMS. N° Registre du Commerce : (A 411 733 553). Activité : Transport et livraison installation du matériel et mobilier déménagement avec véhicule de - 3 T.
Mandataire liquidateur : SCP CROZAT BARAULT MAIGROT (Maître Jean-François CROZAT), 17 Quai de la Villa, B.P. 1014 51318 EPERNAY CEDEX.
Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-designé dans les deux mois suivant la parution au BODACC.
115489
Le Greffier : B. DELPY,
La prochaine journée « pêche » organisée par l’association de promotion de Pays-de-France se déroulera le dimanche 12 mai, au Moulin-Carré à Chatillon-sur-Marne (Pêche à la truite. Restauration sur place ou à emporter).
La participation demandée est de 15 euros par pêcheur pour la journée. La secrétaire, Christine Lair, précise que les inscriptions se font à l’APPF, 5, allée des Picards (permanences les mardis et vendredis de 14 à 17 heures).
Cela ne pouvait pas plus mal commencer. Certes, il était prévisible que les clubs marnais allaient connaître un exercice 2013 difficile mais, dimanche, l’ouverture a été catastrophique puisqu’ils ont tous perdu.
En déplacement en Bretagne, les filles de Géo-André n’ont pourtant pas démérité. Elles menaient même 3-2 à l’issue des simples mais, en l’absence préjudiciable de leur recrue Laetitia Tordo, les Rémoises n’ont pas réussi à arracher un double (5-3).
Chez les messieurs, en l’absence de ses étrangers pour des raisons budgétaires et malgré l’exploit de Brice Bonnerave (15/1), le TC Vitry a dû s’incliner face à Cergy (5-2).
Diminué également, le Cormontreuil TC n’a rien pu faire contre les Seine-et-Marnais de Roissy-en-Brie (7-1).
Opposés à Rueil, la formation la plus forte de la poule, les garçons de Géo-André se sont logiquement inclinés (6-2) même s’il faut noter les superbes « perfs » de Vincent Pacanowski et Cédric Leroy.
Scénario quasi identique pour les « Européens » qui, face à la réserve de Blanc- Mesnil, n’ont pas pesé bien lourd (6-2).
SAINT BRIEUC. - Saint-Brieuc AT Griffon batTC Géo-André 5-3. JACKIE LASSAUX (0, Géo-André) bat Julie Razafindranaly (-2/6, Saint-Brieuc) 6-4, 6-4 ; Lucie Mear (0, Saint-Brieuc) bat MAEVA SPOONER (3/6, Géo-André) 6-1, 6-3 ; ANGELA CHARLES-ALFRED (4/6, Géo-André) bat Sanae Guenfoudi (1/6, Saint-Brieuc) 7-6, 6-3 ; Yelena Le Guillou (3/6, Saint-Brieuc) bat LISA-MARIE HABERT (5/6, Géo-André) 7-6, 6-3 ; LUCIE GRYGIELSKI (15, Géo-André) bat Salwa Guenfoudi (15/3, Saint-Brieuc) 4-6, 6-2, 6-1. Lucie Mear - Sanae Guenfoudi battent JACKIE LASSAUX - MAEVA SPOONER 6-3, 6-1 ; Julie Razafindranaly -Yelena Le Guillou battent ANGELA CHARLES-ALFRED - LUCIE GRYGIELSKI 6-3, 6-3.
VITRY-LE-FRANCOIS. - Cergy TC batTC Vitry 5-2. Akomlo (-2/6, Cergy) bat LALOUETTE (1/6, Vitry) 1-6, 6-3, 7-6 ; Honore Rouge (1/6, Cergy) bat THOUVENOT (4/6, Vitry) 6-1, 6-3 ; Louis (1/6, Cergy) bat AMIOT (15/1, Vitry) 6-0, 6-4 ; BONNERAVE (15/1, Vitry) bat Detrait (2/6, Cergy) 6-3, 7-6 ;Thomas (5/6, Cergy) bat BERRANGER (15/2, Vitry) 6-2, 6-1. LALOUETTE - BONNERAVE battent Akomlo - Louis 7-5, 4-6, 1-0 ; Honore Rouge -Thomas battent THOUVENOT - BERRANGER 6-1, 6-3.
CORMONTREUIL. - Roissy-en-Brie AST bat Cormontreuil TC 7-1. Lemoine (-15, Roissy) bat JOLLY (0, Cormontreuil) 6-0, 6-4 ; ROBERT (1/6, Cormontreuil) bat Athuil (1/6, Roissy) 6-7, 6-3, 6-1 ; Gautheret (2/6, Roissy) bat SOUMET (4/6, Cormontreuil) 6-4, 6-3 ; Benoit (2/6, Roissy) bat LALOUETTE (4/6, Cormontreuil) 6-1, 6-2 ; Bonaventure (3/6, Roissy) bat PUSSET (4/6, Cormontreuil) 6-2, 6-4. Lemoine - Benoit battent JOLLY -SOUMET 4-6, 6-1,1-0 ; Gautheret - Bonaventure battent ROBERT - LATOUR 6-2, 6-3.
REIMS. - Rueil AC batTC Géo-André 6-2. Audouy (-30, Rueil) bat PAILLARD (3/6, Géo-André( 6-2, 6-3 ; NTamag (-4/6, Rueil) bat PIGNON (4/6, Géo-André) 7-6, 6-3 ; PACANOWSKI (Géo-André) bat Le Grelle (1/6, Rueil) 6-1, 6-4 ; LEROY (4/6, Géo-André)Taieb (2/6, Rueil) 6-1, 6-2 ; Sanford (3/6, Rueil) bat LEJEUNE (15, Géo-André) 6-0, 6-0. Audouy - Le Grelle battent PAILLARD - PACANOWSKI, 6-3, 1-0 ; NTamag -Sanford battent LEROY - PIGNON 6-4, 7-5.
REIMS. - Blanc-Mesnil ST 2 bat Reims Europe Club 6-2. Louis (-2/6, Blanc-Mesnil) bat BONNET (1/6, Rec) 6-1, 6-3 ; Almagrida (-2/6, Blanc-Mesnil) bat SEURET (2/6, Rec) 6-3, 6-0 ; BIROT (2/6, Rec) bat Langlet (1/6, Blanc-Mesnil) 6-1, 6-0 ; GAJANOVIC (2/6, Rec) bat Tremblais (2/6, Blanc-Mesnil) 6-4, 6-4 ; Duprat (3/6, Blanc-Mesnil) bat CHAUVIN (5/6, Rec) 6-7, 6-4, 7-6. Almagrida - Louis battent BONNET - SEURET 6-2, 6-2 ; Langlet -Tremblais battent BIROT - GAJANOVIC 6-3, 7-6.
Sophie Atané aura travaillé un mois seulement avant d’être à nouveau licenciée par la direction de l’Arfo. Il est reproché à l’hôtesse aide à vivre de ne pas avoir exécuté des consignes de travail et de s’être plainte sans motif légitime auprès de l’inspectrice du travail. « Ils n’ont pas réussi à m’avoir sur une faute alors ils me coincent sur une consigne qui n’était pas claire. Quand j’ai repris mon travail, personne n’est venu me voir pour m’expliquer tout ce qui avait changé pendant mon absence et notamment ces consignes », dénonce Sophie Atané. Selon Jean-Luc Geoffroy, président de l’Arfo, le licenciement est parfaitement justifié : « On ne renvoie pas quelqu’un si on n’a pas de bonnes raisons. Nous avions suffisamment d’arguments pour le faire, c’est tout ce que je peux dire ». Hôtesse aide à vivre, Sophie Atané avait déjà été renvoyée pour déloyauté envers son employeur après avoir dénoncé le comportement irrespectueux de sa directrice envers les résidents de la maison Lucien-Doyen à Croix-Rouge. Un premier licenciement qui avait été cassé par les prud’hommes le 28 février dernier. Les conseillers prud’homaux avaient alors ordonné la réintégration de Mme Atané. La salariée compte bien contester à nouveau son licenciement. Dans l’hypothèse où elle obtient satisfaction, il est peu probable que le tribunal ordonne à nouveau une réintégration : « Cela, je l’ai bien compris et je pense que la direction de l’Arfo aussi.. ».
REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers de Reims et GDF secours sont intervenus ce dimanche vers 9 h 30 au 12, allée des Bourguignons dans le quartier Croix-Rouge pour une odeur de gaz qui leur était signalée par plusieurs habitants de l’immeuble.
Les sauveteurs ont effectué des reconnaissances dans les sous-sols et les étages et ont découvert dans un local vide-ordures, un scooter dont le réservoir de carburant fuyait. Ce qui provoquait des émanations jusqu’au deuxième étage ! Plus de peur que de mal mais une vérification s’imposait.
REIMS (Marne). Les sapeurs-pompiers n’ont pas chômé ce dimanche aux premières heures de la journée. Ils ont été sollicités à trois reprises pour des feux de conteneurs à ordures. Il est d’abord intervenus à 4 h 15, rue de Louvois pour un conteneur totalement embrasé. L’incendie a été rapidement maîtrisé au moyen d’une petite lance. Ils se sont rendus pour le même objet à 5 h 30, rue Paul-Vaillant-Couturier.
Vers 7 h 20, c’est cette fois au 11, allée Bonaparte dans le quartier Croix-Rouge qu’ils ont été requis. Un conteneur était en feu dans un local vide-ordures des sous-sols d’un immeuble collectif. L’incendie a été vite éteint et les sauveteurs ont ventilé les communs de cette HLM avant de regagner leur casernement.
Numéro 7496 du 29 avril au 5 mai 2013.
Société à responsabilité limitée
au capital de 2.000 €uros
Siège social : 56 avenue Bonaparte - 51100 REIMS
AVIS DE CONSTITUTION
Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 15 mars 2013, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION SOCIALE : ANAM.
SIEGE SOCIAL : 56 avenue Bonaparte - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL : Boucherie Hallal.
DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL SOCIAL : 2.000 €
GERANCE : Monsieur SAJJAD Mahmood, 3 route de Reims à ISLES SUR SUIPPE.
IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
115197 Pour avis : La gérance.
Société à responsabilité limitée
au capital de 2.000 €uros
Siège social :
52 avenue Bonaparte - 51100 REIMS
AVIS DE CONSTITUTION
Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 15 mars 2013, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :
FORME SOCIALE : Société à responsabilité limitée.
DENOMINATION SOCIALE : DANYAL.
SIEGE SOCIAL : 52 avenue Bonaparte - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL :
— Restaurant pakistanais ;
— Restauration traditionnelle ;
— Restauration rapide et à emporter ;
— Sandwicherie.
DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés.
CAPITAL SOCIAL : 2.000 €.
GERANCE : Monsieur SAJJAD Mahmood, 3 route de Reims à ISLES SUR SUIPPE/
IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au Registre du Commerce et des Sociétés de REIMS.
115196 Pour avis : La gérance.
AVIS RECTIFICATIF
1. POUVOIR ADJUDICATEUR ; S.A. d’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, CS 10029 - 51722 REIMS CEDEX.
2. MODE DE PASSATION DU MARCHE : Appel d’offres ouvert.
3. OBJET DU MARCHE : Prestations de nettoyage et d’entretien des parties communes des immeubles et des garages et prestations de traitement des ordures ménagères et du tri sélectif sur le secteur Pays de France à REIMS.
4. DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES : La date limite de remise des offres est reportée du 22 mai 2013 - 12 h 00, au 24 mai 2013 - 12 h 00.
5. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS RECTIFICATIF SUR LE’ JOUE ET SUR LE PRESENT SUPPORT : Le 22/04/2013.
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Annoncée comme difficile pour les équipes marnaises, la saison 2013 des Interclubs nationaux ouvre aujourd’hui. De quoi être directement dans le vif du sujet.
Les filles de Géo-André (N2) se déplacent ainsi, sans leur recrue Laetitia Tordo, à Saint- Brieuc. Une rencontre loin d’être la plus compliquée mais qui va vite donner la tendance. De leurs côtés, en N4, les messieurs ont tous l’avantage de recevoir.
Opposés à Cergy, les Vitryats possèdent, sur le papier, de bonnes chances de s’imposer. Cormontreuil sera forcément malmené par Roissy-en-Brie mais aura vite une idée du niveau. De leur côté, Géo-André et le Reims Europe Club, face respectivement à Rueil et la réserve du Blanc-Mesnil - où évolue l’ancien n°1 champenois Mathieu Roy désormais -15 -, devraient logiquement débuter par une défaite.
1ere journée. - A partir de 9 heures : Dames (N2) : Saint Brieuc AT Griffon - TC Géo-André. Messieurs (N4) : TC Vitry - Cergy TC ; Cormontreuil TC - Roissy-en-Brie AST ; TC Géo-André - Rueil AC ; Reims Europe Club - Blanc Mesnil ST 2.
Manifestement, l’exercice 2013 des Interclubs Nationaux ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices pour les clubs marnais. En effet, les cinq formations engagées ne seront en mesure de viser que le maintien.
Chez les messieurs, Cormontreuil, Géo-André, Reims Europe Club et Vitry évolueront tous en N4. Alignant un ou deux étrangers suivant l’opposition, les Vitryats possèdent sur le papier de réelles chances de rester à l’échelon national. De leur côté, les Cormontreuillois vont vivre une saison difficile car ils ne pourront compter sur l’apport de leurs deux « Américains » à -2/6, Thibault Visy et Camille Salomon, que pour les deux dernières rencontres, dans un mois.
Versés dans une poule difficile où évoluera d’ailleurs l’ancien de la maison Mathieu Roy (-15, Blanc Mesnil), les « Européens » joueront leur maintien contre Talant. Quant aux sociétaires de Géo-André, on voit mal comment ils pourront rester à ce niveau puisque leur n°1, Quentin Munier, est blessé et qu’Arnaud Pignon est toujours en délicatesse avec son dos.
Avec les Cormontreuilloises en Première Division et les « Européennes » en DN1A, seules les demoiselles de Géo-André représenteront la Marne dans ces critériums d’été.
Maintenues de justesse l’an passé, les Rémoises n’auront sûrement pas le droit à un deuxième miracle d’autant qu’elles ont perdu de nombreuses joueuses (Claire Makhloufi, Cindy Castille et Servane Delobelle). Certes, Jackie Lassaux renoue avec la compétition mais leur principale recrue Laetitia Tordo ne jouera que les rencontres à domicile, ce qui risque d’être insuffisant face à une sévère concurrence.
TC GEO ANDRE (poule D). - Effectif : Jackie Lassaux (0), Laetitia Tordo (2/6), Maeva Spooner (3/6), Angela Charles Alfred (4/6), Lisa-Marie Habert (5/6), Lucie Grygielski (15).
Poule : Tennis Sucy-en-Brie (-30, -2/6, 0, 1/6 x 3, 3/6), TC Issy-les-Moulineaux (N°34 (RUS), -15, -2/6, 0 x 2, 3/6 x 2), Stade Montois Tennis (1/6 x 2, 2/6, 3/6 x 2, 5/6 x 5), Evreux AC (-4/6, 0 x 2, 1/6 x2, 3/6, 5/6), Saint-Brieuc AT Griffon (-2/6, 0, 1/6, 3/6, 15, 15/3 x 3) et TC Géo-André.
Calendrier, demain : Saint Brieuc - Géo-André ; 12 mai : Géo-André - Issy les Moilineaux ; 26 mai : Sucy en Brie - Géo-André ; 2 juin : Géo-André - Evreux ; 9 juin : Stade Montois - Géo-André. Objectif : le maintien.
TC VITRY (poule F). - Effectif : Juska (n°42, Let), Klier (-30, All), Martin Fafl (-4/6, Tch), Lalouette (1/6), Thouvenot (4/6), B. Mulat (15), Amiot, Bonnerave et H. Mulat (15/1).
Poule : Sporting Vichy (1/6 x 2, 2/6 x 3, 4/6), COM Bagneux (n°54, P.-B. ; -15, 1/6 x 2, 2/6, 3/6), La Querillere (-15, -4/6, 1/6, 3/6 x 3, 4/6 x 2), Cergy TC (-2/6 (TOG), 1/6 x 3, 2/6, 4/6), Annecy Tennis (-15, -2/6, 0 x 2, 1/6, 2/6 x 3) et Vitry.
Calendrier, demain : Vitry - Cergy ; 12 : La Querillere - Vitry ; 26 mai : Vitry - Annecy ; 2 juin : Vitry - Bagneux ; 9 juin : Vichy - Vitry. Objectif : le maintien.
CORMONTREUIL TC (poule I). - Effectif : Salomon et Visy (-2/6), Jolly (0), Robert (1/6), De La Bassetiere (2/6), Soumet (4/6), Lalouette et Latour (4/6).
Composition de la poule : AS Avrille (-4/6, Chi ; -2/6, 0, 1/6 x 2, 2/6 x 2), Roissy en Brie AST (-15, 1/6, 2/6 x 3, 3/6 x 3), TC Loon Plage (n°57, n°60, Bel, -15, Bel, -4/6 x 2 Bel, -2/6 x 3 Bel, 0 x 3 Bel, TC Arsenal -15 Slo, -2/6, 0 x 2, 1/6, 2/6, 4/6), Dax US 2 (3/6 x 2, 4/6 x 5).
Calendrier, demain : Cormontreuil - Roissy en Brie ; 12 mai : TC Arsenal - Cormontreuil ; 26 mai : Cormontreuil - Loon Plage ; 2 juin : Dax - Cormontreuil ; 9 juin : Cormontreuil - Avrille. Objectif : le maintien.
TC GEO-ANDRE (poule J). - Effectif : Munier (2/6), Paillard (3/6), Leroy, Pacanowski et Pignon (4/6), Henry (5/6), Alesio et Lejeune (15).
Poule : ASLM Cannes (-2/6 x 2, 0 x 2, 1/6, 2/6, 3/6 x 2), Gaillou ASTC (0 x 2, 2/6 x 2, 3/6, 4/6 x 2), TCM Bois d’Arcy (-4/6, P.-B. ; 2/6 x 3, 3/6, 4/6 x 3), Rueil AC (-30, -15, -4/6, Esp), 0, 1/6, 2/6), Féminin Paris/Cercle (-15 Tch ; 0 Alg, 0, 0 All, 1/6, 4/6 x 2) et Géo-André. Calendrier, demain : Géo-André - Rueil ; 12 mai : Bois d’Arcy - Géo-André ; 26 mai : Gaillou - Géo-André ; 2 juin : Géo-André - Cannes ; 9 juin : Féminin Paris/Cercle - Géo-André. Objectif : le maintien.
REIMS EUROPE CLUB (poule P). - Effectif : Bonnet (1/6), Birot, Gajanovic et Seuret (2/6), Chauvin, Pierre et Woynar (5/6).
Poule : Bussy TCVB (-15, 0, 1/6, 2/6, 4/6 x 3), TC Saint Maur (-30, -15, -2/6 Esp, 0, 1/6 Esp, 1/6 x 2), Talant AT (2/6, 3/6, 4/6 x 5) ; Blanc Mesnil ST 2 (-15, -2/6 x 2, 1/6 x 2, 2/6 x 3), Beauvais Oise Tennis (-4/6 Esp 0, 3/6 x 2, 4/6 x 2) et Reims Europe Club).
Calendrier, demain : REC - Blanc Mesnil 2 ; 12 mai : Talant - REC ; 26 mai : Saint Maur - REC ; 2 juin : REC - Bussy ; 9 juin : Beauvais - REC. Objectif : le maintien.
El-Matador aura le sang chaud ce samedi. L’Espagnol veut faire respecter ses couleurs. Photo Aya
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REIMS (Marne). Samedi, au milieu des courses, le Rémois donnera « un coup de main » à quelques vrais catcheurs présentés par l’une des anciennes stars des années 60-70, Claude Roca.
LORSQUE l’on écoute Jack Meurs, l’une des figures de cette époque, retraité aujourd’hui dans son pavillon à Tinqueux, c’est tout le catch d’un autre temps qui revit : celle des Benjemoul, de l’Ange Blanc, du Petit Prince, de Bobby Duranton, Roger Delaporte, de Roland Daumal, le beau-frère de Jack Meurs alias Jack Bartfield, qui eut à donner la réplique à Lino Ventura (*)…
Ce soir, à partir de 19 heures, c’est ce catch-là, à l’ancienne, - « au départ, les catcheurs étaient issus de la lutte. On faisait ça pour gagner un peu d’argent » - qui plantera son quadrilatère à l’hippodrome de Reims.
Le seul nom de Claude Roca constitue un gage de qualité : « Il a fait partie du Team du Petit Prince ». Pour Jack Meurs, c’est tout dire.
Il y a deux ans, Arte a consacré un long sujet à Claude Roca que la chaîne culturelle a surnommé le Rocky Balbao et le Einstein du catch. Dans ce document, Claude Roca explique les différentes prises, notamment le fameux « coup d’arpin ».
Rien que ce mot fait vibrer Jack Meurs pour qui le catch est une chose sérieuse, avec ses codes et son authenticité : « On ne se frappait pas à coups de gants de toilette. Il y avait des contacts, sinon on n’aurait pas des oreilles en chou-fleur comme on en a ! Aujourd’hui, les Américains ont tendance à faire du spectacle. Avec Claude Roca, ça travaille bien ». Son âge (68 ans !) fait de Claude Roca un phénomène qui se produit encore sur les rings et pas seulement comme arbitre.
Ce soir, cet ancien lutteur sélectionné pour les JO de Tokyo, se déplacera avec trois catcheurs du Team Aya : El Matador, un Espagnol masqué issu d’une lignée de toréadors et présenté « comme le singe le plus aérien » du circuit, le très acrobatique Monkey G (prononcer Ji) et Marco Bandidas, un Parisien surnommé le Desperado du ring. Deux combats « simples » et un autre de catch à catch figurent au programme entre les courses de la réunion : « Il y aura un match de voltigeurs, qui se rapproche de la lutte mexicaine et un plus à l’ancienne avec Claude Roca », explique l’attaché de presse. « Je vais donner un petit coup de main aux copains. » Pour l’occasion, Jack Meurs (76 ans) quittera son potager et ses cannes à pêche pour arbitrer le combat à l’ancienne.
Comme un voyage dans une machine à remonter le temps d’autant plus nostalgique que dans les années 90, « Jack » a « drivé » en trot attelé comme amateur sur les champs de courses : à Chartres, au Croisé-Laroche, à Hyères… « sauf à Reims » : « Mais je connais bien la piste pour m’y être entraîné », souligne Jack Bartfield.
(*) En son temps, Lino Ventura s’est produit au Cirque de Reims, pour le Noël des déshérités.
SPEAKER. - Il est le voisin de Jack Meurs à Tinqueux et a animé les grandes soirées de catch. Samedi soir, Jean-Claude Gérard reprendra le micro.
Jean-Pierre PRAULT et Valentin LIERRE
Reims sacre la culture Hip Hop
Directrice de la bibliotèque municipale de Reims, Delphine Quéreux-Sbaï a présenté cette semaine le programme de ce 10e anniversaire. (© l’Hebdo du Vendredi)
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Les médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge fêtent cette année leur 10e anniversaire : l’occasion pour la bibliothèque municipale de Reims de mettre les petits plats dans les grands avec, du 21 mai au 1er juin, une dizaine de jours de festivités aussi riches qu’insolites.
Il y a de cela maintenant dix ans, les inaugurations des médiathèques Jean Falala et Croix-Rouge révolutionnaient le réseau de la bibliothèque municipale (BM) de Reims. Pendant cette décennie, l’image parfois poussiéreuse de cette institution a définitivement été effacée. Résolument ouverts, les sept établissements composant le réseau de la BM de Reims, auxquels il faut ajouter les trois bibliobus qui parcourent les quartiers, ont su évoluer, s’adaptant sans cesse aux nouvelles pratiques culturelles, numériques en tête. Ainsi, depuis longtemps déjà, la BM n’est plus un sanctuaire seulement dévolu aux livres. Elle a su d’abord faire de la place aux disques et aux films, tout en devenant en même temps un lieu culturel à part entière, accueillant concerts, expositions, rencontres, dédicaces, projections et autres ateliers. En clair, la bibliothèque d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celle d’hier. Plus accessible et plus ouverte que jamais sur l’extérieur et à tous les publics, elle est aussi en phase avec l’ère du numérique. La BM de Reims propose par exemple un service de vidéo à la demande qui permet à ses abonnés de regarder de chez eux, en streaming, une sélection de films et de documentaires. « Si rien ne remplace le livre, qui est un objet auquel on attache souvent un souvenir qu’on ne retrouve pas avec la dématérialisation, il est nécessaire d’être en phase avec les pratiques des jeunes générations, indique Serge Pugeault, adjoint à la maire en charge de la culture. Nous réfléchissons donc à la mise à disposition de tablettes ou encore à l’automatisation du retour des livres qui pourrait se faire 24h/24 un peu partout dans la ville. Nous comptons également mettre en place d’ici quelques mois le Book Crossing, un système qui permet à chacun de prendre un ouvrage et de le faire circuler librement ».
Cette révolution du réseau amorcée en 2003 mérite bien donc d’être fêtée comme il se doit. Du 21 mai au 1er juin, la BM se met donc en quatre pour proposer encore plus de d’animations et de services : un rallye, un bal, une nuit de l’horreur, des expositions exceptionnelles, du théâtre muet ou encore des concerts. « Cela va être dix jours intenses, promet Delphine Quéreux-Sbaï, directrice de la BM de Reims. Il y aura une exposition avec 40 artistes de la ville qui ont déjà travaillé avec nous au cours des dix dernières années. Ils proposeront chacun une oeuvre où ils donneront leur vision de la bibliothèque. Nous allons aussi mettre en place un photomaton et inviter les usagers à venir se faire prendre en photo avec leur document préféré, ou encore proposer des sacs surprises dans lesquels on retrouvera une sélection de documents divers afin que nos visiteurs découvrent autre chose ». Parmi les autres évènements immanquables de cet anniversaire, notons aussi une grande opération de parrainage. Il s’agit en fait pour les abonnés (30 000 en 2013) d’accompagner un non-abonné, son filleul. Ce dernier bénéficiera alors d’un abonnement gratuit pendant un an, tandis que le parrain recevra lui une petite récompense. Qu’on se le dise, en mai, la bibliothèque municipale de Reims fait ce qu’il lui (nous) plait !
Julien Debant
Le bilan 2012 a été présenté : l’opération est désormais essentielle et structurante dans le quartier.
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L’édition 2013 de l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge », compte tenu des travaux prévus sur l’hippodrome de Reims, se déroulera sur le site du complexe sportif Géo-André : trois semaines d’animations gratuites entre le 8 et le 27 juillet sur un lieu clos, avec des pistes.
Un groupe d’habitants doit plancher sur sa préparation, après une évaluation et un bilan de l’édition 2012, présentés en public par Elisabeth Causin et Slimane Hamdi devant le premier adjoint Eric Quénard et la déléguée du préfet.
Présents également, le Conseil de quartier, le Contrat urbain de cohésion sociale, le service départemental de Prévention, la Maison de quartier Croix-Rouge, le groupe Escapades, l’association de promotion de Pays-de-France, l’association Multi-échanges services et l’Effort rémois.
L’opération 2012 s’est déroulée du 6 au 26 juillet, du lundi au samedi, de 15 à 20 heures, soit 18 jours d’accueil.
L’accès du site était réservé, le matin, de 10 à 12 heures, aux enfants des centres de loisirs du quartier de 3 à 12 ans : ils ont été 327 à profiter de cette aubaine.
Pour le grand public, l’après-midi, de 15 à 20 heures, 6 874 entrées ont été dénombrées, soit une moyenne de 380 par jour d’ouverture avec des pics de fréquentation de 642 entrées le 10 juillet et 535 entrées le 23 juillet !
D’où venaient ces visiteurs ? 35 % de Pays-de-France, 35 % du secteur Université-Hippodrome, 25 % de Croix-du-Sud et 5 % du reste de l’agglomération de Reims.
Cinq grands secteurs d’animation ont été organisés : un secteur « familles-enfance », un secteur « sports », un secteur « information jeunesse », un secteur « ateliers de création » (dessin et travaux manuels) et enfin un « espace détente ». Deux grands jeux intergénérationnels ont été proposés avec 340 inscriptions et 200 goûters distribués.
Trois samedis « découverte » étaient offerts aux amateurs : des prestations rap de jeunes du quartier, Big Charley ( pop rock et blues), raï avec Jalal, variété française avec Moriss, et percussion africaine avec Act2.
Après s’être tenu tranquille plusieurs semaines, l’incendiaire de l’allée des Landais a ressorti le briquet, dimanche matin à 8 h 15, en mettant k feu à des sacs poubelles dans une cave. Du moins suppose-t-on que c’est lui car l’incendie, comme tous les précédents, s’est déclaré au n° 3.
En passant des vacances de février à celles de printemps, le tournoi jeunes du Reims Europe Club a connu des effectifs stables avec 154 inscrits.
Si les finales ont connu des résultats conformes à la logique, le tableau garçons a connu de grosses surprise puisqu’un 15/5 et deux 30 sont passés à la trappe pour permettre au… 30/3 bragard Enzo Fouilloux d’être titré grâce au forfait du nordiste Mael Communal (30/1, Tourcoing) blessé au bras et engagé le jour même en finale départementale !
9/10 ans : Mathilde Sarcelet (30/2,TC Ménéhildien) bat Eva Fernandes (30/2, URT) 5-3, 3-5, 5-3. 11/12 ans : Julie Mathieu (15/4, Alsace Lorraine Paris) bat Elodie Brunot (15/5, Saint Memmie) 6-2, 3-6, 6-3.
13/14 ans : Amélie Lamothe (15/4, Géo-André) bat Emma Cuny (15/5, Asptt Châlons) 7-5, 6-1.
9/10 ans : Romain Brunot (30/3, Saint Memmie) bat Adrien Ponsart (30/4, Vrigne aux Bois) 5-0, 5-2. 11/12 ans : Enzo Fouilloux (30/2, Saint Dizier) bat Mael Communal (30/1,Tourcoing) par WO.
13/14 ans : Baptiste Breton (15/3, Reims Europe Club) batThéau Duliere (15/4, Géo-André) 4-6, 6-2, 6-1. 15/16 ans : Issey Chaudré (15/2, URT) bat Yohann Girondin (15/2, Saint Dizier) 6-3, 5-7, 7-5.
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A l’AGR (Association gymnique rémoise), on connaît déjà le calendrier des compétitions à venir. Le 12 mai à Cognac, c’est la talentueuse Mathilde Leclerc qui ouvrira le bal pour les finales nationale B. Elle sera suivie, les 14 et 15 mai, de l’équipe des filles de la section sportive scolaire du collège François Legros : celles-ci sont attendues à Arques à l’occasion des finales de l’Unss en gymnastique artistique.
Puis leur succéderont, les 18 et 19 mai à Arnas (Villefranche-sur-Saône) en gymnastique rythmique, les cinq membres de l’ensemble seniors, qui seront engagées pour les finales nationales de division fédérale 1.
« N’oublions pas l’équipe féminine qui essaiera lors du dernier week-end du mois à Albi de se classer au mieux dans les finales nationales de division fédérale 2 », complète Jean-Paul Lamblin, dirigeant sportif.
Enfin, les 16 et 20 mai, l’entraîneur de la section trampoline, Philippe Coutant, tentera de « voler haut lors du Festigym national de Niort dans sa catégorie ». Au niveau des demi-finales des championnats de France (zone est), les ensembles critérium de gymnastique rythmique iront chercher, les 4 et 5 mai, à Besançon, une qualification pour les championnats de France de Valenciennes qui, eux, sont prévus les 8 et 9 juin.
1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE
71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex. +-999
2) Procédure de passation : procédure adaptée suivant article
10 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
3) Objet du marché : mission d’ordonnancement - pilotage
et coordination (O.P.C.) dans le cadre de la construction d’un
immeuble de bureau, avenue du Général-Eisenhower à Reims
" Hôtel des Solidarités " ( 51).
4) Justifications à produire : suivant article 17 du décret
n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
5) Critères d’attribution :
Critère : valeur technique 40 %
Critère : prix des prestations 60 %
Prix 50 %
Cohérence du prix
(si plus de 3 propositions recevables) 10 %
6) Options : sans.
7) Délai d’exécution des travaux : 17 mois (compris 2 mois
de période de préparation de chantier, et 15 mois de travaux,
compris congés payés et intempéries prévisibles, à raison de
15 jours calendaires par année civile).
8) Retrait du dossier et du règlement de consultation :
le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT
CHAMPAGNE ARDENNE, tél. : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27
ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site :
www.reims-habitat.fr
9) Autres renseignements : les renseignements d’ordre
administratif peuvent être obtenus auprès du service commande
publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus
auprès de M. REINERT : tél. : 03.26.61.62.66, fax : 03.26.48.43.40.
10) Date limite de remise des offres : le 14 mai 2013 à
17 heures.
11) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 29 avril 2013.
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La joyeuse équipe féminine de la Vallée de la Marne au stand ludique du développement durable.
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Sérieux, les jeunes footballeurs, quand il faut répondre aux questions sur la citoyenneté.
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Une journée pour devenir footballeur-citoyen : c’est le pari de Radio jeunes Reims, associée au Stade hier. Il y avait 90 jeunes et trois joueurs pros. « C’EST bien car il y a toujours des réflexions chez les supporters. Quand on va au stade, on entend de drôles de choses ».
L’éducation à la citoyenneté dans et via le football, c’était hier le mot d’ordre au stade Géo-André, où Radio jeunes Reims organisait le tournoi foot & citoyenneté, pour la 2e année consécutive.
Au menu, des matchs de 10 minutes, entre 9 équipes réparties dans deux poules, et une finale entre les premiers. Mais au-delà de la compétition, les jeunes ont surtout appris pas mal de choses : comment se comporter vis-à-vis du racisme quotidien, apprendre à gérer sa santé et l’apprendre aux autres, apprendre le développement durable par le tri…
Des règles de vie très diverses mais qui rappellent qu’être citoyen au quotidien est relativement simple pour qui veut s’en donner la peine.
« Nous avons décidé, avec la Banque alimentaire, de redonner tous les aliments non périssables récoltés aujourd’hui aux habitants de Wilson qui ont tout perdu dans l’explosion », explique Julien Lampin, l’un des deux journalistes de RJR organisateurs.
Car chaque équipe devait apporter, comme droit d’entrée à ce tournoi, des pâtes, des conserves, tout ce que la Banque alimentaire récolte habituellement. Ce geste marquant confirme bien que ce tournoi est tourné vers la solidarité.
Chloé, Colyne, Marie-Cécile, Jessica, Claire, Clarisse, Clara ou Marie en sont bien conscientes, elles qui ont joué sous les couleurs de la Vallée de la Marne, équipe soutenue par le District Marne de football, et qui rassemble des jeunes filles venues de Sézanne, Berru, Prunay, etc. Deux d’entre elles ont été retenues pour un stage national à Vichy. Comme les autres footballeurs venus des clubs de Cormontreuil, Prunay, l’Espérance rémoise, Bétheny (féminines), Sainte-Anne (féminines), Stade de Reims, Tinqueux et Reims Sires, elles sont passées sur les stands tenus par la Licra, l’office des sports, Reims Métropole, entre deux matchs.
Et comme les autres, les filles ont couru vers les 3 pros dès leur arrivée. Gaëtan Courtet, Antoine Devaux et Aïssa Mandi ont été assaillis par les petits footballeurs, tout heureux de se faire prendre en photo avec les stars de Ligue 1, de se faire dédicacer un ballon, un maillot…
Une belle façon de récompenser ces nouveaux petits citoyens !
G.F.
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On se souvient de l’infinie tristesse de Liliane Feige, à Croix-du-Sud, après le cambriolage de son appartement, un fait divers vécu comme une trahison par celle qu’on appelle la poète de Croix-Rouge, et qui n’a de cesse de glorifier ce quartier qu’elle adore et dans lequel elle ne veut voir que du positif.
Après une longue période de deuil poétique, Liliane Feige a retrouvé son inspiration et son optimisme. La preuve avec ces quelques vers en « Hommage à mon quartier redevenu paisible ».
Nous avons retrouvé la paix
Après de durs combats,
C’est le printemps, la belle saison.
J’ai balayé les mauvais souvenirs,
Assise sur un banc
A l’orée de la paix,
Où puisse revenir ma poésie.
Dans le cristal de l’air,
Les mots se valorisent,
C’est agréable :
Les jeunes me disent bonjour !
Le baiser des amoureux
S’harmonise
Dans le soleil du matin
Sur un beau chant d’amour.
La joie est revenue,
J’ai tourné la page.
Plus jamais de cambriolages !
Les habitants se rencontrent,
Plus de pleurs,
Le quartier se reconstruit
Réalisant notre rêve,
Et nos allées sont en fleurs.
L’association Étoile Croix-du-Sud organise une brocante sur le parking de la rue Marie-Laurencin à Croix-du-Sud, le mercredi 8 mai de 5 à 20 heures.
Elle sera ouverte à tous, sauf aux professionnels.
Renseignements et réservations (2 euros le mètre) au secrétariat de l’association, 5, avenue Léon-Blum (Tramway, ligne B station Léon-Blum), tél. 03.26.06.56.66.
Diego et Courtet devraient être présents avec les jeunes de 13 ans, avec Agassa, Ca, Glombard, Souaré, Toudic et Devaux, sous réserve bien sûr.
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Parfois, le football véhicule une image pas très reluisante de mauvais tacles ou de bagarres de supporters. Mais ce soir et demain, c’est la plus belle valeur de ce sport qui sera mise en avant, à savoir la solidarité.
Le Stade de Reims et Radio jeunes Reims organisent en effet la 2e édition de l’opération « Football et citoyenneté ». Deux journalistes de RJR, Zouhir Mansouri et Julien Lampin, veulent démontrer que le football reste un vecteur d’intégration sociale, que les valeurs de partage, de respect et de fair-play font partie de ce sport, le plus populaire de France. Ce soir, ils animeront une conférence-débat au lycée Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle (20 rue de Contrai) qui permettra, à partir de 19 heures, de parler des « enjeux du rapprochement entre foot pro et amateur ».
L’entrée au public sera gratuite.
Un tournoi ludique et citoyen se tiendra au stade Géo-André mercredi 1er mai, de 9 à 20 heures. Pour participer, il suffit de donner, comme droit d’entrée, une denrée non périssable. Tout sera entièrement reversé à la Banque Alimentaire. Dix équipes (soit une centaine de jeunes de 11 à 13 ans) seront invitées à partager leur passion du football sur les terrains aux côtés des joueurs professionnels du Stade de Reims, Ils seront aussi sensibilisés par des ateliers citoyens, représentés par la Licra, le centre de tri Reims Métropole, l’office des sports, le district de la Marne et la Ligue de foot de Champagne-Ardenne. Leur assiduité à ces ateliers rapportera des points au classement. Ainsi le vainqueur du « tournoi F & C » ne sera pas le meilleur sur le terrain mais le plus citoyen.
REIMS (Marne). L’homme qui a menacé et commis des dégradations à l’Udaf, deux fois en deux jours, ira se calmer trois mois en prison.
A lui tout seul, il a causé un sacré bazar le mois dernier dans les locaux de l’Udaf, venu commettre deux fois en deux jours de nombreuses dégradations ponctuées d’insultes et de menaces envers le personnel accusé de mal gérer sa curatelle.
Le premier coup de sang de Christophe Ribeiro, alias Cricri, 22 ans, se produit le 27 mars esplanade Eisenhower. L’accueil au public est fermé. Qu’importe ! Il brise une vitre avec un gourdin, pénètre dans les lieux, menace les personnes présentes, saccage un ordinateur, une table, un pot de fleurs et trois autres fenêtres. Coût des dégradations : 4 000 €.
Interpellé, Cricri se retrouve à l’audience des comparutions immédiates où il n’a rien perdu de sa hargne. « Je suis en colère. J’arriverai pas à me calmer. Pour moi, les gens de l’Udaf sont des gros c… ards ! Je sais que j’y retournerai car ma vengeance n’est pas finie. »
Pour des raisons de procédure, le procès est renvoyé. Son incarcération provisoire est demandée par le parquet, mais le tribunal décide de le remettre en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre à l’Udaf, obligation de résider dans les Ardennes et d’aller pointer une fois par semaine à la brigade de Monthermé. La décision rendue, Cricri quitte la salle d’audience… pour aller directement menacer l’avocat et ses trois clients de l’Udaf dans le hall des pas perdus. « Vous allez voir ! Je vais revenir ! Je vais me venger ! »
Les victimes sont mises à l’abri dans une pièce du palais. Cricri s’enfuit. Pendant que les premières filent au commissariat pour déposer plainte, le second prend le tramway, direction les locaux de l’Udaf esplanade Eisenhower…
Armé d’un bâton, il casse une vitre et un volet, mais n’arrive pas à s’introduire dans le local. Bloqué à la fenêtre, il se penche du mieux possible et balaye l’intérieur de son morceau de bois pour flanquer par terre un ordinateur et plusieurs dossiers. La police l’interpelle avant qu’il ne quitte les lieux. Nouvelle facture présentée par l’Udaf : 1 500 €.
Sans surprise, ce deuxième coup de sang a valu à Cricri un retour direct à l’audience des comparutions immédiates, mais là aussi, le procès a été renvoyé pour les mêmes motifs de procédure que précédemment. Différence notable avec son premier passage. Bien qu’il se soit assagi - « J’ai eu le temps de réfléchir. Je ne retournerai plus à l’Udaf. J’ai des regrets. » -, le tribunal l’a placé en détention.
Le jeune homme vient de comparaître pour répondre des deux dossiers en même temps. Première affaire : quatre mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve ; deuxième affaire : trois mois ferme avec maintien en détention.
Les trois plaignants de l’Udaf obtiennent chacun 1 500 € de dommages-intérêts.
F.C.
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