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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - mars 2012.


 


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Le hall de l’immeuble abritait un « supermarché de la drogue »

Surveillé depuis plusieurs mois par la police, ce hall d’immeuble de l’allée des Béarnais, au n° 2, était devenu un point de vente pour de nombreux fumeurs de cannabis et autres héroïnomanes.
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REIMS (Marne). Décrit comme un « supermarché de la drogue » par le parquet de Reims, un hall d’immeuble du quartier Croix-Rouge a vu la police débarquer cette semaine. Trois jeunes accusés de deal ont été arrêtés.

C’EST un hall d’immeuble crasseux en ce début de matinée, jonché de mégots et de papiers gras. Aucune boîte à lettres éventrée, mais des traces noirâtres de combustion sur plusieurs d’entre elles. Il flotte une odeur désagréable, difficile à identifier, contrairement aux effluves d’urine remontant d’un escalier.

Offre diversifiée

Bienvenue allée des Béarnais, dans l’entrée du n° 2, un bloc de sept étages du quartier Croix-Rouge à Reims où des dealers officiaient depuis plusieurs mois. La police y a fait une descente mardi matin. Trois suspects - un mineur, deux majeurs - ont été appréhendés au terme d’une enquête initiée en fin d’année dernière par la sûreté départementale de Reims.

Les perquisitions menées dans les communs et un appartement squatté du premier étage ont permis de saisis 200 grammes de résine de cannabis, ainsi que 20 grammes de cocaïne et 30 grammes d’héroïne conditionnés dans des « pochons prêts à être revendus ».

Les quantités ne sont pas très importantes, mais « il s’agissait des stupéfiants destinés à être revendus dans la journée », a commenté le substitut Doriane Trombi lors du débat sur la détention des deux majeurs, jeudi devant le tribunal (lire par ailleurs). « Quand ils venaient dans cet immeuble, les toxicomanes savaient qu’ils allaient trouver un supermarché de la drogue. Qui veut du cannabis ? De l’héroïne ? De la cocaïne ? Il y avait tout ce qu’il fallait en magasin. »

Défilé de clients

L’enquête n’a pas été facile. Les policiers ont dû mener leur surveillance sans éveiller l’attention des dealers, à l’affût de la moindre présence étrangère dans leur cité. S’en sont-ils servis pour protéger leur trafic ? Un trou creusé au ras du sol permet d’observer l’allée des Béarnais depuis une cave de l’immeuble. Une chaise traîne à côté. Il suffit à un guetteur de monter dessus pour voir sans être vu, et donner l’alerte dès l’apparition d’une patrouille.

Les enquêteurs aussi avaient leur planque. De là, ils ont pu assister au défilé des clients qu’un « agent d’accueil » réceptionnait en tenant la porte du hall. Bien que les dealers opéraient en se dissimulant le visage avec capuches, cagoules et autres casques de paintball, la police a fait le lien - du moins le pense-t-elle - avec les trois suspects arrêtés mardi, et repérés de façon récurrente sur le point de vente.

Souvent, ils quittaient le n° 2 pour se rendre au n° 1, dans un local du rez-de-chaussée loué par une association consacrée aux jeunes. Les enquêteurs l’ont également perquisitionné. Ils y ont découvert une balance, de l’argent et un couteau noirci qui semble avoir servi à la découpe de cannabis.

Le procès des deux majeurs est prévu le 24 avril. En attendant, après l’opération de mardi matin menée par plusieurs dizaines de policiers qui ont profité de l’occasion pour fouiller d’autres immeubles sur réquisition du procureur, la pression ne se relâche pas.

« Depuis le début de la semaine, on voit beaucoup de flics dans le quartier. Ils n’arrêtent pas de tourner », constate un habitant. Objectif : perturber le business des dealers, en empêchant notamment l’ouverture d’une nouvelle succursale destinée à remplacer celle qui a baissé le rideau allée des Béarnais.

Fabrice CURLIER

…..

Un ado de 17 ans écroué, ses deux camarades de 20 et 25 ans libérés

Il n’y a pas que des dealers ou des squatters au n°2 de l’allée des Béarnais. Il y a aussi des locataires qui doivent s’en accommoder. Pour cohabiter le mieux possible, une règle d’or : se faire discret. « Je veux être tranquille. Ça ne me regarde pas ! », coupe un monsieur croisé dans le hall. « Ça fume tout le temps ici. C’est infernal ! », lâche un autre. « Moi, je passe tout droit chercher mon courrier, je dis pardon s’il y a quelqu’un devant la boîte aux lettres, puis je remonte. Je ne fais aucune remarque. C’est le meilleur moyen si on ne veut pas être embêté. »

Des trois jeunes gens interpellés mardi pour leur participation présumée au trafic, seul Antar Noui, 20 ans, demeure dans l’immeuble. Mis en cause par les surveillances et les dénonciations de certains toxicomanes, il proteste lors de son passage en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. « Je suis innocent. Les policiers m’ont vu car j’habite ici, c’est tout. » Chez lui, les enquêteurs n’ont retrouvé que « quatre joints » mais 7 000 € en petites coupures dissimulés sous le meuble du téléviseur. Il s’agirait de l’argent mis de côté au fil de ses différents petits boulots.

En attente du RSA, Djallal Sahraoui, 25 ans, demeure à quelques encablures de l’allée des Béarnais. Lui aussi conteste. « Je ne suis pas concerné par les faits. On m’a pris en photo à côté, près des clients, quand j’étais en train de traîner dans le quartier. » D’après l’enquête, le deal est attesté dans l’immeuble depuis le mois d’août 2011. Pour la période du 11 octobre au 20 décembre, Djallal peut se prévaloir d’un alibi incontestable : il était en prison pour purger l’une de ses huit condamnations.

Un deuxième alibi est fourni pour la période « du 25 janvier au 10 février » : « J’étais en voyage en Thaïlande avec des copains. » Sursaut du parquet : « Comment avez-vous payé le transport et les 17 nuitées ? » Pas de réponse dans l’immédiat, peut-être à l’audience du 24 avril, date à laquelle l’affaire a été renvoyée à la demande des avocats, scandalisés d’être saisis d’un tel dossier « une heure seulement avant l’audience », tonne Me Pascal Ammoura. « Comment voulez-vous préparer une défense digne de ce nom dans un délai aussi court ? » Il s’interroge également sur l’opportunité de juger cette affaire en comparution immédiate, au détriment d’une instruction, alors que subsistent plusieurs zones d’ombre (comme l’approvisionnement du point de vente).

Au grand dam du parquet, qui avait requis le placement des deux prévenus en détention provisoire, le tribunal les a remis en liberté sous contrôle judiciaire, avec obligation de pointer une fois par jour au commissariat et de ne plus se rendre dans l’immeuble du 2 Béarnais (Antar, qui habite là-bas, a donc fait ses valises pour partir chez une tante).

Le troisième suspect est un mineur de 17 ans. Lui a été écroué dans l’attente de son procès.

F.C.

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l’union120331a
Un ado de 12 ans blessé dans le tramway par un coup de feu

C’est à la station Franchet d’Esperey qu’une balle de 22 long riffle, a éraflé la tête d’un garçon de 12 ans. Christian Lantenois
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REIMS (Marne). Grosse frayeur dans le tramway de Reims, hier après-midi. Une balle tirée de l’extérieur a éraflé le cuir chevelu d’un passager de 12 ans. La localisation du tireur et ses motivations restent à identifier.

Il s’en est fallu de quelques millimètres pour qu’un drame ne se produise hier après-midi dans le tramway de Reims, à la station Franchet-d’Espérey de l’avenue de Gaulle, entre le campus Croix-Rouge et la clinique Courlancy.

Il était 16 h 50. Depuis une vingtaine de minutes, la rame n°107, comme toutes les autres du réseau, était à l’arrêt en raison d’une panne survenue au niveau de la station Opéra.

Les portes étaient ouvertes. A l’avant, un jeune passager de 12 ans attendait avec un camarade la reprise de la circulation vers le centre-ville. « Il était debout à l’intérieur de la rame, à côté du poste du conducteur, quand il a soudain ressenti une vive douleur au-dessus de la tête », relate un agent de l’exploitant Citura. « Aussitôt après, le jeune homme s’est rendu compte qu’il saignait. Il a toqué à la porte de la cabine pour prévenir le conducteur, ce qui nous a permis de déclencher les secours. »

Arrivés sur place, les pompiers ont constaté que le collégien avait eu le cuir chevelu éraflé par le tir d’un projectile. Blessé légèrement, mais fortement choqué, il a été conduit à l’hôpital américain tandis que les services de police gelaient les lieux de l’incident pour procéder aux constatations (prolongeant ainsi le blocage du réseau, après la réparation de la panne, jusqu’à 18 heures).

Peu diserts hier, les enquêteurs n’ont pas indiqué si le projectile avait été retrouvé, ni s’ils avaient identifié le calibre. On parlait cependant d’une « balle », pas d’un plomb. Interrogé, le camarade de la victime n’a pas entendu de détonation, mais cela peut s’expliquer en cas de tir lointain couvert par le bruit ambiant.

Le projectile est arrivé du côté droit de la rame. Soit le tireur était posté dans les terrains ou bâtiments de l’ancienne école Franchet-d’Espérey, soit dans la grande tour d’une quinzaine d’étages située derrière. L’enquête de voisinage a commencé dès hier soir.

En l’état actuel du dossier, l’hypothèse d’un jeu stupide consistant à tirer sur le tramway, comme d’autres sur des canards, semblait correspondre le plus aux impressions du terrain. Les jours à venir apporteront peut-être des éclaircissements sur cet incident sans précédent affectant le réseau du tram. Des jets de pierres, il y en avait déjà eu, mais des coups de feu, jamais.

Fabrice CURLIER

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l’union120330b
La police municipale aussi

Les faits datent de quelques jours. En fin d’après-midi, alors qu’ils exerçaient une surveillance à la sortie du collège Georges-Braque à Reims, des policiers municipaux ont entendu des insultes et des cris de poules (!) émanant d’un groupe de jeunes.

Ils n’ont pu clairement établir qui avait dit quoi. La patrouille s’est donc contentée de contrôler le groupe avant de quitter les lieux à bord de son véhicule.

L’un des individus a alors ramassé un morceau de plastique pour le jeter en direction de la voiture. Il a loupé sa cible. Il a recommencé avec une pierre. Là aussi, il a manqué le véhicule sérigraphié mais pas la portière d’une Ford Ka en stationnement (le caillou a enfoncé la carrosserie).

Rattrapé après une course à pied dans le quartier, le vandale a nié les faits mais les policiers ainsi qu’un témoin l’ont formellement reconnu. C’est un mineur de 16 ans. Présenté au parquet, il a été mis en examen puis laissé à ses parents sous le régime de la liberté surveillée.

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l’union120330a
Roller Hockey (Elite) / « Ne pas subir »

Face aux Rethélois de Kane, Louis Tran prévient : « Il faut jouer ».
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Le programme de l’avant-dernière journée s’annonce chargé pour les Rapaces.

Avec la venue du voisin rethélois, les hommes de Kirk French s’apprêtent à disputer le choc des extrêmes dont le premier acte s’était soldé par une large défaite en terre ardennaise (13-3).

Pas de nature à inquiéter le jeune attaquant rémois, international espoir, Louis Tran, qui dresse un premier bilan d’une saison riche en émotions.

Louis, comment vivez-vous cette fin de saison ?

« Plutôt bien. A tous points de vue, ça a été une super saison et, personnellement, c’est ma meilleure jusqu’ici. Le démarrage a été difficile mais, ensuite, on a montré qu’on pouvait prétendre à une place dans cette ligue. Maintenant, il reste deux rencontres pour se faire plaisir, apprendre, et déjà préparer l’an prochain. »

Vous restez sur une défaite à Villeneuve malgré un bon match…

« Ils nous ont peut-être pris à la légère au début et on en a profité pour prendre les devants. Après, on a été un peu fragile défensivement et on paie encore cher les quelques pénalités récoltées. Au final, la logique a été respectée, c’était plus fort en face, mais je pense que nous sommes passés tout près de faire quelque chose. »

Une appréhension particulière avant d’affronter Rethel ?

« On aborde ce match comme les autres, avec l’envie de bien faire. Après, c’est Rethel, donc ce sera compliqué bien sûr. Il va falloir jouer notre jeu et jouer tout court. Dans ces matches, il faut être intelligent et exploiter les bons coups, être réaliste. Mais, surtout, on doit tenter et ne pas subir. »

DEMAIN, 21 HEURES, GYMNASE FRANÇOIS-LEGROS

REIMS : Garcia-Prieto, Ayika, French, Beaudouin-Page, Rhodes, Bretéché, Duplant, Basset, Naud, Tran, Rogé, A. et V. Capitaine.

17e journée : Paris XIII - Grenoble ; Villeneuve - Caen ; Anglet - Amiens ; Nice - Angers ; REIMS - Rethel.

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l’union120329a
Une promenade écologique entre Vesle et Canal

De nombreuses animations pour toute la famille.
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REIMS (Marne). Une petite abeille souriante, emblème de « Butinages », vous invite à un parcours nature, ludique et instructif, en famille.

ELLE aura lieu le 1er avril… et ce n’est pas un poisson, même si elle se déroule entre une rivière et un canal ! L’opération « Butinages », qui avait été lancée l’an dernier avec succès, vous donne à nouveau rendez-vous, pour une promenade en famille, au milieu de nombreux stands et activités. Pas moins de dix-sept associations et structures partenaires, dont plusieurs espaces de Maisons de quartier - Saint-Remi et Verrerie, Trois-Fontaines, La Nacelle et Pays-de-France -, participent à l’aventure.

Deux « ruches » d’animations

Ces structures ont préparé des animations ludiques pour tous les publics : « Nous allons proposer des ateliers de peinture, des grands jeux sur la nature, le respect de l’eau, le tri sélectif », expliquent Oumkeltoum Fédaili et Sylvie Brun, animatrices coordonnatrices, la première à Trois-Fontaines, la seconde à Saint-Remi.

Si l’an dernier, « Butinages » s’étendait sur une dizaine de kilomètres, la formule a changé : « On a recentré sur deux espaces. L’allée des Tilleuls (près du pont Fléchambault) avec un grand nombre de stands d’animations directes en direction des promeneurs. Et le « Temps des Cerises », rue de la Cerisaie, davantage axé sur la vulgarisation scientifique, intéressant tous les publics ».

De nombreux partenaires se sont mobilisés pour présenter des expositions, des animations, proposer des visites guidées : LPO, Maison de la Nature, Association pour la promotion de l’agriculture biologique, Accustica, Reims Métropole, Conservatoire des espaces naturels de Champagne-Ardenne, Mouvement national de lutte pour l’environnement… et bien d’autres encore !

Les sports écologiques sont en vedettes : initiation roller et trottinette pour les plus petits, activités vélo avec Vél’Oxygène et le Vélo-Club rémois.

La programmation (voir encadré) réserve encore des surprises : de nouveaux partenaires continuent de proposer leurs services…

Dimanche 1er avril, de 11 à 17 heures. Renseignements : Espace Saint-Remi au 03.26.85.49.00 et Espace Trois-Fontaines au 03.26.09.07.85

Deux lieux d’animations

Allée des Tilleuls (Pont Fléchambault) :

- Sur les stands : gestes écocitoyens, rébus-charade autour du thème de l’eau, tri et prévention des déchets, développement durable, animations sur le lombri-compostage, peinture, expositions, jeux…
- Balades et visites guidées :
   .Oiseaux et nature en ville. Découverte de la faune et de la flore de la Coulée Verte.
   .Visite de l’écluse : à 14 heures et 15 h 30.
- Initiation roller et trottinette pour enfants de moins de 8 ans.
- Animations autour du vélo :
  . « Le vélo en ville, au quotidien » par Vél’Oxygène.
  .Brevet d’éducation routière avec le Vélo-Club rémois.

Le Temps des Cerises (rue de la Cerisaie) :

- Pique-nique.
- Buvette (commerce équitable).
- Expositions et animations d’Accustica.
- Conférence et débat interactif : « Le développement durable », de 15 à 16 heures.
- Spectacle de marionnettes en famille : à 14 heures et 16 h 30.
- Atelier d’artistes.
- Balade de sensibilisation à la nature.
- Initiation vélo électrique.

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l’union120328f
Réflexion engagée par la Ville Les Droits des enfants au cœur des créations des écoliers

BD, film, théâtre, chants : les enfants ont présenté leurs réalisations.
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Sensibiliser les enfants aux problèmes des migrations humaines et aux difficultés d’intégration dans un nouveau lieu : c’est le thème du travail créatif proposé par la Ville aux écoliers.

« V IENS faire un p’tit tour dans ma rue, On parle à tout le monde, même aux inconnus, Ici tu peux me croire, personne ne lance, A quiconque un regard en chien de faïence. » Cette chanson entraînante, interprétée par les enfants de CE2 et CM2 de l’école Sully, est l’un des petits spectacles présentés vendredi au théâtre du Chemin Vert, par près de deux cents enfants des écoles rémoises, engagées dans la réflexion : « Que sont les Droits des enfants face aux migrations humaines ? ». Un travail qui fait suite à la « Journée de la déclaration des Droits des enfants », durant laquelle ils avaient pris conscience des effets des déracinements chez les plus jeunes et les plus fragiles.

Depuis, ils se sont consacrés à la création d’une histoire, celle d’un enfant qui perd ses racines et débute une nouvelle vie dans un environnement inconnu. « Tous les modes d’expression étaient acceptés : théâtre, dessins, films, chants… Ils ont travaillé avec leurs enseignants et les animateurs coordonnateurs de la Ville de Reims, dans le cadre du SMA (service municipal d’accueil) », explique Delphine Antoine, du service d’animation périscolaire.

Acteurs et créateurs

Avant le lever de rideau, Cécile Canonne, l’une des animatrices, installe le petit théâtre de marionnettes qu’elle a monté avec les enfants de CP de l’école Mougne-Tixier. « Des marionnettes entièrement fabriquées par les enfants, avec des matériaux de récupération. » Les écoles Louvois, Ravel, la classe de Clis de Général-Carré, projetteront des bandes dessinées et des planches illustrées. D’autres ont choisi le film : c’est le cas de l’école Galilée. Le film d’animation réalisé par l’école Jean-d’Aulan, selon la technique photographique du « Light Painting », a été particulièrement apprécié par ses qualités esthétiques. Quant aux enfants de l’école Billard, ils avaient mis en scène différentes situations auxquelles sont confrontés les enfants de familles immigrées dans leur nouvelle école.

« On a besoin de travailler toujours et encore sur la notion de tolérance et de respect de l’autre », leur a dit Virginie Coez. L’adjointe en charge de la lutte contre les discriminations a regardé, avec beaucoup de joie, ce spectacle où la spontanéité et l’amateurisme des enfants ajoutaient encore à l’émotion.

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l’union120328e
Collège Georges-Braque : Ils s’initient au travail des métaux

Les collégiens fiers de leur œuvre.
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Dans le cadre d’un module de découverte professionnelle, des élèves de 3e du collège Georges-Braque se sont initiés aux techniques de travail des métaux enseignées au lycée Gustave-Eiffel.

M. Lebergue, professeur en structures métalliques, a proposé à ces collégiens, au cours de quatre séances de 3 heures, de « reproduire les instruments de musique de Georges-Braque » en utilisant des outils informatiques de modélisation, le découpage au plasma, le cisaillage à lame courte, le soudage par résistance et le travail de la rouille.

Filles et garçons se sont lancés dans l’aventure pour un résultat bluffant, désormais exposé au regard de tous au collège.

Il s’agissait avant tout de mieux faire connaître les formations liées au travail des métaux dans leur diversité tant pour les garçons que pour les filles en termes de compétences et de débouchés dans le monde du travail.

Pari réussi !

 

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l’union120328d
Printemps des poètes 2012 : l’heure des récompenses

De gauche à droite, Jean-André Ithier, conservateur de la médiathèque Croix-Rouge, Brigitte Louis, 1er prix, Irène Bonnet, 2e prix, et Jacques Wampfler, 3e prix.
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À l’occasion du Printemps des poètes 2012, les médiathèques de Reims ont organisé un concours sur le thème « Écrivez un poème sur le thème Enfances ».

« 80 poèmes ont été recueillis dans les urnes et 55 ont été retenus par le jury », précisait Jean-André Ithier, conservateur de la médiathèque Croix-Rouge qui, en l’absence de tout représentant de la municipalité, a présidé la remise des prix, samedi 24 mars.

« Chacun a respecté la forme poétique imposée : calligramme ou sonnet. Face à la qualité littéraire des textes, les bibliothécaires du jury ont été sensibles à dix d’entre eux. »

Les résultats du concours

Gagnants : 1er prix (60 euros en chèques-lire et un panier garni de produits régionaux), Brigitte Louis. 2e prix (60 euros en chèques-lire), Irène Bonnet. 3e prix (40 euros en chèques-lire), Jacques Wampfler.

Ont retenu l’attention du jury : Monique Chenu, Gautier Joubert, Jean-Marc Mimil, Dominique Rouy, Frédérique Torres, Clémence Trémol et Dominique Viseux.

Retour en enfances par Brigitte Louis (1er prix)

Sables émouvants ou labyrinthes joyeux
Les années sépia, en moi, irisent encore
Des rubans familiers et dans ces vieux décors
Je m’enfonce en enfances, tourbillon heureux.
Mon double miniature reprend le fil du jeu
Dans un dédale de voix et visages que j’adore ;
Je m’enivre et savoure, gourmand Minotaure,
Les offrandes du passé, trésor capiteux.
M’illusionnent rires et ombres réincarnées
Mes précieux fragments, que j’aime à vous contempler !
Vous fûtes mon ancrage et puis mon devenir…
À l’heure de materner, à vous ma descendance,
Puisant la sève des saisons qui m’ont vue grandir
Je lègue comme par magie, celle de l’enfance.

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l’union120328c
Après le conseil de quartier : Nouveaux travaux de voirie à Croix-Rouge

 

Aménagements à l’angle de la rue Pierre-Taittinger et de la rue Bergson.

Pour répondre à des demandes d’habitants en conseil de quartier, la direction de la voirie-circulation de la Ville de Reims a de nouveau procédé à des travaux de voirie à Croix-Rouge.

Une place pour les personnes à mobilité réduite a été créée en face du numéro 15, rue Joliot-Curie, pour un coût de 170 euros.

Par ailleurs, l’espace situé à l’angle de la rue Pierre-Taittinger et de la rue Bergson a fait l’objet d’un réaménagement.

Le revêtement a été remplacé et deux bancs ont été implantés, le tout pour un coût de 3 715 euros.

 

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l’union120328b
L’assemblée générale de la résurrection

De gauche à droite, Eric Quénard, premier adjoint ; Jean-Louis Rumerio, trésorier ; Jean-Michel Gauthier, président ; Jérôme Weiler, vice-président ; Alain Chevallier, Alpha Logement L’Effort rémois.
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S’il fallait résumer l’assemblée générale de l’association Étoile Croix-du-Sud en une phrase, c’est celle du trésorier Jean-Louis Rumerio : « Les dettes, c’est fini ! Le dernier souvenir de l’ancienne équipe dirigeante vient de nous quitter ! »

En effet, la trésorerie de l’Étoile était encore, en 2011, plombée par la mauvaise gestion du président précédent et de son bureau. Par ailleurs, « l’association a été saccagée et pillée par une bande d’individus peu scrupuleux qui ont volé les lots et la recette du loto », rappelait le président Jean-Michel Gauthier. Malgré tout, grâce à une gestion saine, rigoureuse et très maîtrisée, l’Étoile est enfin sortie du marasme financier.

Davantage d’activités

Avec 53 445 euros de dépenses pour 55 944 euros de recettes (dont subventions : Ville de Reims 11 610 euros et Alpha Logement 14 300 euros), le compte financier est résolument positif.

C’est Romain Petit, le jeune secrétaire, qui a lu le rapport faisant apparaître les nombreuses activités de l’association dans ce contexte difficile : accueil collectif des mineurs (240 enfants présents), sorties, section pétanque (40 adhérents, trois concours avec 100 joueurs, 60 convives au repas), première brocante de quartier (145 exposants), deuxième fête du Muguet avec les amis de l’association « 2 Mains », concours de belote, soirées lotos, danse…

Alain Chevallier, pour Alpha Logement L’Effort rémois, se félicite : « L’Étoile, en sortant définitivement de ses problèmes de trésorerie, a réussi à retrouver l’équilibre financier. Cet équilibre est conforté par une augmentation des activités qui apporte plus de 10 000 euros de recettes supplémentaires. Victime d’un cambriolage et de vols importants, en capacité de faire mourir l’association, l’équipe et les bénévoles ont été déterminés. Bravo pour ce courage de relever la tête aussi vite et de repartir à nouveau ! Vous avez maintenant une très bonne association sur Croix-du-Sud ! »

Le premier adjoint, Éric Quénard, a abondé dans ce sens : « Après avoir commencé à sortir du tunnel, votre association a été durement éprouvée. Que de temps passé en direction de la population ! Venir s’attaquer aux locaux de l’association, c’est s’attaquer aux habitants ! Assommés par cette histoire, les bénévoles, avec Alpha Logement L’Effort rémois et la Ville de Reims ont fait corps tous ensemble.

Très rapidement, les partenaires ont répondu présent : belle fidélité ! Nous avons besoin de cette association sur le secteur. On ne se laissera pas intimider par les auteurs de ces actes délictueux ! »

La conclusion, très optimiste, est laissée au président Jean-Michel Gauthier : « Nous repartons avec les mêmes activités. Accueil collectif des mineurs, danse, fête du Muguet, pétanque, belote, lotos, brocante du 1er mai qui a fait des envieux, mais nous irons de l’avant en essayant de relancer la fête du secteur Croix-du-Sud et d’organiser une loterie à l’échelle de tout le quartier Croix-Rouge. Surtout, nous attendons les nouveaux locaux pour sortir de nouvelles idées du carton ! Nous repartons avec la même envie de gagner ! »

Du neuf au conseil d’administration

En fin d’assemblée, le nouveau conseil d’administration a été composé. Tout le bureau et l’ancien conseil se représentaient, à l’exception de trois radiations. Deux nouvelles volontaires ont été élues : Sophie Soumaré et Lydie Dodard.

Président d’honneur : Michel Méther.
Bureau : Jean-Michel Gauthier, président ; Jérôme Weiler, vice-président ; Jean-Louis Rumerio, trésorier ; Evelyne Nkounkou, vice-trésorière ; Romain Petit, secrétaire ; Annie Cuillier, vice-secrétaire.
Administrateurs : Ali Boukhédoumi, Marie-Christine Bruno, Rémi Clain, Michèle Dhez, Lydie Dodard, Jean-Paul Dordain, Francine Gauthier, Jean-Pierre Lafrogne, Abdelkader Mekoui, Sophie Soumaré, Samira Touré.

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l’union120328a
Voiture brûlée

Lundi vers 2 heures du matin, une Renault Mégane a pris feu rue Lapérouse. L’origine du sinistre est sus-pecte.

Cette même nuit vers 4 heu¬res, des papiers ont été incen¬diés place Jean-Fragonard, dans l’escalier d’un immeuble menant aux caves.

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l’union120327c
La police enquête sur les propos antisémites de quatre collégiens

Le collège Joliot-Curie est l’un des trois établissements où des élèves ont tenu des propos antisémites.
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REIMS (Marne). En fin de semaine dernière, trois collèges rémois ont signalé à la justice les propos antisémites tenus par des élèves à l’occasion de l’hommage rendu aux victimes du drame de Toulouse. Le parquet de Reims a ouvert une enquête pour « provocation à la discrimination ou à la haine raciale ».

LA cité des Sacres n’a pas été épargnée par les incidents à caractère antisémite qui ont émaillé l’hommage rendu aux victimes de Toulouse avec en point d’orgue l’incroyable attitude d’un professeur d’anglais d’un lycée de Rouen qui a imaginé de saluer la mémoire du tueur, Mohamed Merah.

Ainsi, des adolescents de trois collèges rémois se sont illustrés de façon détestable en refusant d’observer la minute de silence dédiée à la petite famille exécutée devant un collège toulousain. Car leur refus a spécialement visé les victimes juives de cette tragédie, comme en témoignent les commentaires s’y rapportant.

Le lundi 19 mars - jour même du massacre au collège juif de Toulouse - un élève de 5e du collège François-Legros lâche à l’annonce de la minute de silence à venir : « Pourquoi est-ce que je ferais ça si c’est des Juifs ? » Le propos relève d’une « provocation à la discrimination ou à la haine à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Comme il a été tenu en classe - et donc dans un lieu non public - il s’agit d’une contravention de 5e classe passible d’une peine d’amende.

« Ce ne sont que des Juifs »

Il en est autrement au collège Trois-Fontaines où un collégien scolarisé en classe de 4e a purement et simplement manifesté son hostilité au moment de la minute de silence en lançant : « On s’en fout c’est que des Juifs ». La remarque, proférée dans un lieu public, est cette fois passible d’une peine de prison et d’une forte amende.

Le troisième cas soumis au parquet de Reims a eu pour théâtre le collège Joliot-Curie de Reims. Lors d’un premier acte, qui a précédé la tuerie de l’école toulousaine, deux élèves ont pris la parole en cours de technologie alors que la leçon portait sur les différentes perceptions du son. L’un d’eux a comparé les Juifs aux chiens qui entendent les bruits de la nuit et de l’enfer. Le second a surenchéri en glissant : « Les Juifs qui crament. »

Cet épisode a valu une exclusion de deux jours aux intéressés. Mais la sanction ne semble pas avoir servi de leçon. Car tous deux ont récidivé en rejetant la minute de silence liée au drame. Car, a-t-il alors été précisé : « Ce ne sont que des Juifs. » Si ces élèves risquent une contravention de 5e classe pour le premier épisode, ils encourent eux aussi une peine de prison pour ce dernier incident.

L’enquête, confiée aux policiers de la sûreté départementale de Reims, doit maintenant déterminer l’éventuelle implication et le degré de responsabilité des mineurs incriminés. Pour cela, ils devraient être rapidement auditionnés et les témoins entendus.

Eric LAINÉ
elaine@journal-lunion.fr

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100 numéros de l’Hebdo Croix-Rouge/ L’aventure continue de plus belle

REIMS (Marne). L’Hebdo Croix-Rouge fête cette semaine la parution de son centième numéro. Retour sur 99 éditions dont les habitants du quartier font l’actu chaque mercredi.

L’Hebdo Croix-Rouge fêtera demain la sortie de son centième numéro, profitons-en pour faire un petit bilan de ces 100 numéros d’existence.

Comme le quartier de part ses rénovations urbaines ou encore avec l’arrivée du tram, ce journal de huit pages a évolué au fil des mois. Cela grâce aussi grâce aux remarques, aux opinions et surtout grâce à l’intérêt des lecteurs. Si au début de l’aventure, qui est bien évidemment celle de tout un quartier aussi puisqu’aucun journal ne peut prétendre exister sans lecteur, L’Hebdo Croix-Rouge était disponible au prix symbolique de 10 centimes d’euros chez les buralistes du quartier, un partenariat a donné un nouvel élan à votre journal. La signature d’une convention de partenariat entre l’union et les trois bailleurs que sont Reims habitat, l’Effort rémois et le Foyer rémois, mais également avec EDF, allait être synonyme du passage à la gratuité mais aussi faire que l’hebdomadaire soit acheminé chaque mercredi dans les boîtes aux lettres de Croix-Rouge.

De nombreuses initiatives

Durant ces 99 précédents numéros, nous avons aussi vu de nombreuses associations voir le jour, d’autres malheureusement mettre la clef sous la porte, dressé le portrait d’habitants allant de Monsieur Tout-le-Monde à d’anciens locataires devenus célèbres comme l’animatrice de W9 Karima Charni qui a grandi rue Pierre-Taittinger dans le secteur Université. Des initiatives d’habitants ont été mises en avant afin de lutter contre les idées reçues et prouver que Croix-Rouge n’est pas un quartier synonyme de faits divers mais bel est bien un nid à talents et à savoir-faire. Et si une poignée de personnes fait qu’on le montre du doigt, toutes ces bonnes choses prouvent qu’avec les autres on peut saluer et applaudir les habitants, les associations… s’impliquant dans la vie de Croix-Rouge.

Pour finir, ce grand quartier populaire et ses 25 000 habitants ont d’ores et déjà rendez-vous avec L’Hebdo Croix-Rouge, et cela dès la semaine prochaine pour le numéro 101.

Thierry ACCAO FARIAS

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Une belle soirée de lancement

Une soirée de lancement avait été organisée à l’hippodrome de Reims en présence d’élus, de chefs d’entreprises et des responsables d’associations du quartier ainsi que de quelques commerçants et habitants. Durant cette soirée Jacques Tillier, PDG du journal l’union, avait terminé son intervention en définissant cette initiative comme étant « une belle leçon de presse ». Philippe Germain, directeur d’EDF Reims, partenaire principal du projet, après avoir essayé à Lille, Grenoble et Lyon, avait convaincu Jacques Tillier. « C’est une expérience unique en France, et je suis fier d’avoir aidé à la réaliser, car c’est un projet qui me tient à cœur. » Le journaliste Robert Menard fut invité afin de parrainer ce projet « unique en France ». Le fondateur et ancien secrétaire général de l’association française Reporters sans frontières insistait sur le fait qu’« enfin des gens qui ne parlent pas, mais qui font ».

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Le foot à l’Acrap sponsorisé

Le mercredi 13 octobre 2010, la signature d’une convention de partenariat entre le club de football du quartier Croix-Rouge, l’Acrap, la Caisse d’Épargne et le journal l’union s’était déroulée dans les locaux de la banque. Grâce à celle-ci, 75 enfants âgés de 6 à 12 ans, licenciés à l’Acrap, ont été équipés de la tête aux pieds. Deux véhicules ont été également financés à l’issue de cette signature de convention. Sur la photo, Jacques Tillier, Benoît Mercier et Jean-Pierre Genesseau. entourés de jeunes footballeurs et des entraîneurs du club.

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Un bon numéro

L’Hebdo Croix-Rouge devient en ce jour un alerte centenaire ! Un chiffre symbolique pour ce périodique, qui s’inscrit ainsi dans la longue durée. Lancé en 2009, à l’initiative de Jacques Tillier, PDG de l’union - L’Ardennais, et Philippe Germain, délégué régional d’EDF et premier partenaire de l’opération, le HCR a rapidement trouvé son rythme de croisière et su faire la preuve de son utilité citoyenne. Il a ainsi convaincu d’autres partenaires (Reims habitat, le Foyer rémois, l’Effort rémois) de rejoindre l’aventure. Qu’ils en soient ici tous remerciés.

L’originalité du HCR - l’initiative étant à notre connaissance unique en France - réside dans le fait qu’il ne traite exclusivement que de l’actualité des habitants de ce quartier rémois très peuplé. Confié à un journaliste professionnel originaire de Croix-Rouge, Thierry Accao-Farias, et à notre correspondant Christian Caron, le HCR a su, au fil des mois, séduire de plus en plus d’habitants, qui apprécient particulièrement l’image positive qu’il donne de leur cadre de vie. À ses lecteurs fidèles, et parfois critiques dans le bon sens du terme, L’Hebdo Croix-Rouge adresse aussi ses plus sincères remerciements.

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C’est vous qui le dites

Slimane Hamdi Animateur coordinateur de la maison de quartier Croix-Rouge. « Je pense que c’est un journal vraiment bien, vraiment sympa à lire. C’est aussi un outil pour les associations comme la nôtre puisque nous pouvons donner des informations et également en trouver. L’Hebdo a aussi créé un vrai lien entre les trois secteurs du quartier. »

Elisabeth Becker, proviseur du lycée Arago. « Pour le lycée Arago, le journal Hebdo Croix-Rouge est un véritable partenaire dans notre quartier. C’est un vecteur d’information essentiel et utile de la vie citoyenne et humaine de Croix-Rouge. Cela fait déjà quelque temps que notre lycée travaille en collaboration avec la rédaction du journal. De part le travail de son équipe, il nous permet de communiquer et de mettre en avant les actions et initiatives mises en place par le lycée Arago. Il est important qu’un média souligne les dynamiques de quartier qui existent dans notre secteur de vie. De plus, nos élèves et nos enseignants sont de fidèles lecteurs de L’Hebdo Croix-Rouge. Un grand bravo à toute l’équipe pour ce numéro 100 ! »

Christiane et Yves Monflier, Association de promotion de Pays de France. « L’hebdo Croix-Rouge, c’est super ! L’APPF apprécie ! Nous prenons des informations, surtout dans les articles sur les associations. Nous avons adoré les photos sur le carnaval. Un regret : nous sommes obligés de faire les poubelles pour retrouver d’autres numéros pour les grands-parents ! Ce serait dommage de supprimer un tel hebdo, si intéressant sur Croix-Rouge ! »

Reims habitat « Reims habitat a souhaité participer activement à la création du nouvel Hebdo Croix-Rouge. C’est la raison pour laquelle nous avons œuvré pour que le tour de table réunisse les trois organismes bailleurs présents sur le « grand » quartier et son initiateur, EDF. Mission accomplie : la logique de partenariat a fonctionné et une information utile, ludique, positive couvre chaque semaine les trois grands secteurs du quartier. »

Foyer rémois, « Ce journal aborde de nombreux sujets d’actualité qui impactent avant tout le quartier : initiatives des associations, animations sur le secteur, opérations de renouvellement urbain, interviews des habitants… Le Foyer rémois compte environ 2.400 logements sur le quartier Croix-Rouge (secteurs Pays-de-France et Université), il est donc important que les résidents soient informés chaque semaine de la vie de leur quartier. L’Hebdo Croix-Rouge devient une référence et un relais d’informations incontournable sur le quartier. »

Effort rémois, « Depuis octobre 2010, Plurial-l’Effort rémois s’est engagé dans un partenariat avec l’union pour la diffusion du journal Hebdo Croix-Rouge. La diffusion de cet hebdomadaire s’inscrit pour nous dans un contexte plus général qui tend à redynamiser ce quartier périphérique. En effet, le renouvellement urbain, ses réhabilitations et ses aménagements ainsi que l’arrivée du tramway ont donné au quartier une nouvelle physionomie. Le HCR permet d’informer en temps réel les habitants des différentes évolutions de leur environnement et de leur en apporter ainsi une image positive. »

EDF , « Un partenariat que nous avons initié avec les bailleurs sociaux rémois et qui prouve l’engagement sociétal du Groupe EDF en région Champagne-Ardenne. Vu la qualité de cet hebdo, le résultat est atteint ! »

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INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos : Cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS ABITAT www.reimshabitat.fr et du B.O.A.M.P (http://djo.journal-offi ciel.gouv.fr/MarchesPublics)

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : le présent appel d’offres ouvert est soumis aux dispositions des articles 28 et 29 du décret n° 2005-1742 du 30 décembre 2005.
Cette consultation sera passée en application de l’article 43 du décret 2005-1742 du 30 décembre 2005 relatif aux marchés à bons de commande.
3) Objet du marché : marché de nettoyage des logements de REIMS HABITAT
4) Marché alloti (lot, désignation) :
- 1 : Succursale nord,
- 2 : Succursale centre est,
- 3 : Succursale Murigny,
- 4 : Succursale Croix-Rouge université.
5) Critères de jugement des offres :
- Prix des prestations : 60 %.
- Moyens humains et techniques mis en oeuvre : 40 %.
6) Délai d’exécution : le marché est conclu pour une période initiale de 1 an du 15/06/2012 au 14/06/2013.
Le marché peut être reconduit par période successive de 1 an pour une durée maximale de reconduction de 3 ans, sans que ce délai ne puisse excéder le 14 juin 2016.
7) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27, ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
8) Demande de renseignements complémentaires : des renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.
Des renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction location proximité de REIMS HABITAT, tél : 03.26.48.43.18, fax : 03.26.48.62.58
9) Date limite de remise des offres : le 2 mai 2012 à 17 heures.
10) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 21 mars 2012.
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l’union120326a
Voitures en feu

Après les poubelles, c’était au tour des voitures de s’embraser.

Allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge, un véhicule en stationnement a été entièrement dévoré par les flammes. Ils se sont ensuite rendus chemin des Bouchers à Bétheny pour un autre véhicule en feu.

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l’union120325a
Quatre voitures incendiées en une nuit

Est-ce le redoux qui les motive ?

Les incendiaires ont, une fois de plus, frappé dans l’agglomération rémoise. Et ce sont les voitures qui ont trinqué.

Une d’entre elles a été mise à feu, rue Adolphe-Laberte, dans le quartier Orgeval peu après minuit. Rue Gabriel-Voisin, c’est une Citroën C5 qui a été la proie des flammes.

Les pompiers sont ensuite partis par un autre véhicule en feu, esplanade Eisenhower dans le quartier Croix-Rouge, pour finir du côté de la rue Philippe dans le quartier de Neufchâtel, avec une Clio totalement embrasée.

Il va sans dire que toutes les mises à feu sont suspectes.

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l’union120324e
Il ferme son tabac-presse à cause de l’insécurité

Entre vols, insultes et dégradation de la vitrine, le tabac-presse de la place Auguste-Rodin, au centre commercial Croix-du-Sud, n’ouvre plus que le matin en semaine.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne) Exaspéré par les « vols » et les « incivilités », un buraliste du quartier Croix-Rouge à Reims ferme désormais son magasin tous les après-midi et le week-end. Ambiance…

« TOUT va bien ici ! Ce sont les Champs-Élysées ! » On sent poindre un sentiment d’amertume sous le trait ironique, mais le buraliste refuse toute discussion avec la presse.

« J’aurais des choses à dire, mais je préfère me taire pour ne pas aggraver les choses. » Peur des représailles ? On peut le penser.

Place Auguste-Rodin, dans le quartier Croix-Rouge à Reims, le gérant du tabac-presse ferme désormais tous les après-midi et le week-end à cause de l’insécurité. Une affichette apposée sur la vitrine annonce la couleur aux nombreux clients qui butent sur le rideau métallique. « Le magasin sera fermé tous les après-midi et tous les week-ends à partir du 12.3.2012 jusqu’à réouverture du nouveau magasin. Trop d’incivilités et trop de vols. »

« Ferme ta gueule ! »

Quels vols ? Quelles incivilités ? Silence radio, évidemment, mais quelques informations circulent quand même dans le quartier. Ce sont deux faits survenus à quelques jours d’intervalle qui auraient motivé la décision du buraliste : un cambriolage mais aussi, et surtout, un vol avec violence commis le 3 mars alors qu’une employée venait ouvrir le magasin. Deux individus qui l’attendaient l’ont poussée à l’intérieur pour se faire remettre de l’argent sous la menace.

Plus fréquents sont les petits vols, les chapardages, les insultes. À la boulangerie voisine, les silences, là aussi, sont lourds de sous-entendus.

Clientèle en fuite

« Ils se servent dans les magasins. Pas question de protester sinon c’est « Ferme ta gueule ! et tout un tas d’insultes », témoigne une riveraine.

Qui ça « ils » ? « Les voyous ! Ils ne sont pas si nombreux que ça, mais ils suffisent à pourrir l’ambiance du quartier. Ils sont là à vous regarder, à vous narguer. Moi, j’ai déjà été traitée de vieille peau. C’est pénible. Je ne sais pas où nous sommes en train de dégringoler. »

« De voir un commerçant obligé de fermer me met en colère, renchérit une dame. C’est très important d’avoir des commerces dans un quartier. Ça le fait vivre mais avec tout ça, ’ils’sont en train de le faire mourir. » Quant à ce retraité domicilié près de l’avenue Bonaparte, il préfère allonger son temps de parcours vers une autre boulangerie plutôt que de continuer à acheter son pain place Rodin. Le déménagement auquel fait référence le buraliste concerne la construction de nouvelles cellules commerciales en haut de l’avenue Léon-Blum, projet que l’Effort rémois espère concrétiser en 2013. Cette délocalisation de quelques centaines de mètres suffira-t-elle à rétablir un climat serein ? Réponse l’an prochain. En attendant, pas une journée ou presque sans un nouvel incident dans le quartier.

« Mercredi soir, vers 18 heures, j’ai vu beaucoup de policiers sur la place. Je me demande pourquoi », s’interroge une cliente du tabac-presse. Apparemment, ils recherchaient l’auteur du vol avec violence d’un scooter commis avenue Bonaparte. Jeudi matin, visite d’un policier municipal après la découverte d’un impact de projectile dans la vitrine du buraliste. Jeudi soir, rodéo et accident avenue Bonaparte avec une voiture volée lors d’un cambriolage. « Tout va bien ici ! Ce sont les Champs-Élysées ! »

Fabrice CURLIER

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l’union120324d
Avenue Bonaparte : cambriolée 2 fois en 2 mois

Déjà cambriolée le 31 janvier, une habitante de l’avenue Bonaparte l’a encore été jeudi. « Ma mère travaille, raconte son fils. Elle était partie vers 16 heures. En rentrant à 20 h 30, elle a trouvé la porte de son appartement fracturée. Les voleurs ont pris ce qu’ils n’avaient pas eu le temps de prendre la dernière fois, c’est-à-dire sa télé. »

Ce 31 janvier, de retour vers 21 heures, elle avait croisé au bas de son immeuble quelques jeunes qui en sortaient avec des capuches, têtes baissées, sans savoir à ce moment-là qu’il s’agissait de ses cambrioleurs (un guetteur devait faire le guet).

En arrivant chez elle, la locataire constatait l’effraction de la porte d’entrée, la fouille des chambres et le vol de plusieurs bijoux de valeur. Le téléviseur était posé à terre, prêt à être emporté.

Repartis avec la voiture

Jeudi soir, les malfaiteurs n’ont pas dérobé que la télé. Ils ont également volé un caméscope, les bijoux qui lui restaient et le double des clefs de la Fiat Stilo de la victime, qu’ils ont trouvée sur le parking. Partis avec, leur virée s’est brutalement terminée à 21 h 30, contre un arbre de l’avenue Bonaparte. Deux personnes se trouvaient à bord. Elles ont détalé à toutes jambes.

« La voiture est massacrée. Elle est bonne pour la casse. Ma mère l’avait achetée au mois de décembre pour remplacer sa Citroën Xsara qui avait brûlé, se lamente le fils qui ne reconnaît plus « son » ancien quartier. Ma mère n’a jamais eu de problème avec personne. Ça fait vingt-deux ans qu’elle habite à Croix-Rouge, vingt ans à Bonaparte. Moi et mon frère avons grandi ici. Il y a toujours eu des voyous, mais ils laissaient tranquille les gens du quartier. Maintenant, ils s’en prennent à tout le monde. »

En septembre, de passage une nuit à Reims pour voir sa mère (il n’habite plus la région), le fils a eu une désagréable surprise en reprenant sa voiture le matin. « Elle avait été fracturée. On m’a volé un iPad, des vêtements et mon portable professionnel. »

F.C.

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l’union120324c
Le différend familial à Reims dégénère : Il tire au fusil sur son beau-frère

L’affaire, pour être passée sous silence par les autorités, n’en a pas moins fait beaucoup de bruit dans cet immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims. Le lundi 12 mars, un homme y a été sérieusement blessé d’un coup de feu dans le bas-ventre tiré par un beau-frère, qui s’est constitué prisonnier en début de semaine après avoir fui en Algérie.

Rémois de 21 ans, Abdelmajid Ghorieb est toujours hospitalisé mais son pronostic vital n’est pas engagé. « Il a été touché à la vessie et à l’intestin. Les médecins lui en ont retiré 20 centimètres. Il est resté 8 heures sur la table d’opération », indique un de ses proches. Le tireur présumé, Houari Belfoul, 28 ans, est en prison. Il a été mis en examen mercredi soir, neuf jours après le face-à-face qui aurait pu tourner au drame.

Décollage immédiat de Roissy

L’origine du différend est assez confuse, les versions divergentes. D’après les renseignements recueillis, un vélo serait le détonateur de l’histoire. Houari Belfoul en aurait prêté un à son beau-frère, et s’impatientait de ne pas pouvoir le récupérer. Il l’aurait alors menacé d’un dépôt de plainte. De son côté, Abdelmajid Ghorieb explique qu’il ne pouvait plus redonner le vélo car on le lui avait volé.

Une certitude : le soir du 12 mars, après un nouveau contact, Abdelmajid s’est rendu avec un ami dans l’immeuble du beau-frère, rue Alfred-Vignau, derrière l’hippodrome. Il affirme que Houari l’attendait fusil de chasse à la main, dans la cage d’escalier, et qu’il a tiré sur lui sans aucune raison.

Le mis en cause est d’un avis différent. Effrayé par l’irruption des deux visiteurs, il serait allé chercher son fusil pour les tenir en respect sur le pas de sa porte, avant de les faire reculer d’un étage. A ce moment-là, Abdelmajid aurait porté la main à son blouson. Craignant qu’il ne sorte une arme, Houari Belfoul explique avoir tiré dans un geste d’autodéfense, sans intention de tuer.

La nuit même, le jeune homme s’est organisé pour prendre la fuite. Il décollait de Roissy dès le lendemain matin pour regagner l’Algérie en compagnie d’un membre de sa famille. Cependant, se sachant recherché, il a téléphoné aux policiers de Reims pour leur promettre de se constituer prisonnier après son retour en France, lundi 19 mars. Il a tenu parole.

Les investigations se poursuivent sur commission rogatoire du juge d’instruction. Elles ne seront pas superflues pour tenter de reconstituer le scénario d’un différend familial pour le moins embrouillé.

F.C.

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l’union120324b
Carte scolaire des collèges : Et encore trente profs en moins

La litanie des suppressions de poste se poursuit dans le département. Après les quarante-six profs en moins dans les lycées à la rentrée de septembre (l’union d’hier), après la cinquantaine de disparition d’emplois dans le 1er degré (maternelles et primaires), ce sont les collèges marnais qui connaissent l’ampleur de leur cure d’amaigrissement : trente postes de profs passent à la trappe. En fait, trente-sept postes sont supprimés et sept créés pour la rentrée de septembre prochain. Soit un total de 130 postes en moins pour l’Éducation nationale dans la Marne. Un bon plan social…

« Selon les données que nous avions en janvier, seulement une quinzaine de postes devaient disparaître dans les collèges, explique Jean-Michel Alavoine, représentant Unsa-Éducation du 2nd degré. Or, les suppressions étant moins nombreuses dans les lycées, le recteur n’a pas eu le choix. Tout doit rentrer dans l’enveloppe globale qui lui est allouée. »

Les représentants des personnels ont voté contre cette carte scolaire, jeudi après-midi lors du CTA, le comité technique académique. Autant contre l’ampleur de la diminution des effectifs que pour protester contre la méthode.

« Aucune négociation n’est menée, déplore Jean-Michel Alavoine. Il n’y a aucun dialogue social avec le recteur. Il ne fait que nous donner la parole, sans essayer de faire évoluer le projet. » Un projet qui sera à nouveau présenté la semaine prochaine en comité technique, en raison du vote contre.

Pur formalisme, car la marge de manœuvre s’avère insignifiante pour le recteur Cabourdin !

F.G.

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l’union120324a
Un incendiaire à la Lézardière

Un incendiaire semble avoir pris ses quartiers rue Alphonse-Dau¬det, à la Lézardière (secteur cimetière de l’Ouest).

Une Renault Mégane a d’abord pris feu par l’avant, le 8 mars.

Trois jours plus tard, le 11 mars à 21 h 15, un début d’incendie s’est déclaré sur une Audi A6. Son épave a été retirée, mais pas celle de la Mégane… qui a brûlé totalement jeudi à 23 h 30.

Un incendiaire a également sévi rue Alexander-Fleming à Witry-les-Reims, hier vers 5 heures du matin. Il a mis le feu à une vieille Renault 21. Jeudi à 22 h 15, des détritus ont brûlé dans un parking souterrain du boulevard Vasco-de-Gama aux Châtillons.

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L’hebdo du vendredi- N° 252 - 120323h
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 252 - Semaine du23 au 29 mars 2012

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Expositions : Jusqu’au 29 mars : _« Les belles rencontres »

Vingt mille lieues sous les mers, Les voyages de Gulliver, L’étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde, ces classiques vous sont familiers.

Mais connaissez-vous leur adaptation en bande dessinée ?

Entrée libre - Bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, Campus Croix-Rouge à Reims

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l’union120323g
Programme de renouvellement urbain : Création d’une rue secteur Degas-Rodin

Dans le cadre du Programme de rénovation urbaine du quartier Croix-du-Sud, l’Effort Rémois réalise actuellement l’aménagement d’une nouvelle voirie dans le secteur Degas-Rodin. Cette dernière permettra de relier la rue Newton à l’allée Degas et sera en sens unique. La nouvelle rue sera remise au domaine public à réception des travaux (fin juin) et c’est la Ville qui en assurera l’entretien. En octobre et novembre 2012, sont également prévues des plantations.

Cette nouvelle voirie permettra de mieux desservir les immeubles proches. De plus, elle offrira des places de stationnement.

Afin de rendre agréable les parcours piétonniers, une large allée bordée d’arbres longera cette nouvelle rue. Enfin, six nouveaux points de collecte des ordures ménagères et de tri sélectif seront implantés à proximité ; il s’agira de conteneurs enterrés.

Pour préserver la sécurité des usagers, des restrictions de stationnement et de cheminement piétons sont mises en place pendant toute la durée des travaux.

Cheminements piétons.- Les entrées aux logements resteront toujours accessibles. La traversée du quartier depuis la place Auguste-Rodin est maintenue. Les piétons doivent respecter le balisage mis en place qui évoluera au fur et à mesure du chantier.

Stationnement.- Les places de stationnement situées dans l’enceinte du chantier sont supprimées. Circulation.- Attention ! Des engins sont amenés à circuler dans l’enceinte du chantier pour les livraisons. Pour leur sécurité, les enfants ne doivent pas jouer seuls à proximité du chantier.

Éclairage public.- Un éclairage provisoire est mis en place pendant toute la période des travaux.

Collecte des déchets.- Les points habituels de dépose des ordures ménagères et de tri sélectif restent accessibles.

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l’union120323f
Lycées de la Marne / 46 profs en moins à la rentrée

MARNE. La réunion du « CTA 2e degré », le comité technique académique des collèges et lycées, commencée à 14 h 30, s’éternisait hier soir. Du coup, nous ne disposons pas de la carte scolaire concernant les collèges.

Selon les chiffres fournis par SE-Unsa, dans les lycées des quatre départements de Champagne-Ardenne, ce sont au total 127 postes qui seront supprimés à la rentrée de septembre prochain. Dans l’Académie, si 46 postes de professeurs sont créés, 151 sont supprimés, alors que 11 postes de personnels non enseignants disparaissent.

La Marne demeure le département le plus touché avec 62 suppressions de postes d’enseignants et 5 de personnels administratifs, 16 postes de professeurs étant créés.

Les représentants des personnels enseignants ont voté contre cette carte scolaire. Un CTA devra donc se réunir avec de nouvelles propositions de la part de l’administration mais les modifications devraient se faire à la marge, comme on l’a vu dans le 1er degré le mois dernier.

Nous reviendrons dans nos prochaines éditions sur cette carte scolaire du second degré avec les données concernant les collèges.

F.G.

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Les suppressions et créations en détail

67 suppressions de postes

• Châlons
- Bourneville : 1
- Jean-Talon : 4
- Oehmichen : 8
- Pierre-Bayen : 4

• Epernay
- Godart-Roger : 6

• Reims
- Arago : 2
- Chagall : 2
- Clemenceau : 2 - Colbert : 3
- Eiffel : 2
- Europe : 3
- Jean-Jaurès : 2
- Joliot-Curie : 1
- Libergier : 1
- Murigny/Croix-Cordier : 2
- Roosevelt : 4
- Val-de-Murigny : 7
- Yser : 2

• Sainte-Ménehould
- Argonne : 1

• Vitry-le-François
- François-1er : 5
• Non-enseignants
- 1 technicien de laboratoire à Colbert (Reims)
- 1 administratif à Libergier (Reims)
- 3 administratifs au Rectorat

Lycées 16 créations de postes

Châlons
- Oehmichen : 1
- Pierre-Bayen : 1
- Arago : 1
- Chagall : 5
- Eiffel : 1
- Europe : 1
- Joliot-Curie : 2
- Roosevelt : 1

• Sézanne
- Fontaine du Vé : 2

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l’union120323e
Rififi autour d’une chienne

Une chienne, et non plus un cochon d’Inde, se trouve au centre d’une seconde histoire animalière qui s’est soldée par quelques mois de prison pour un Rémois coutumier des faits de violence.

Lundi matin, une habitante de la place Georges-Braque a récupéré l’animal en refusant de le restituer à sa légitime propriétaire. Celle-ci s’est pourtant présentée avec le carnet de santé pour justifier que la chienne lui appartenait bel et bien.

Elle est tombée sur le concubin, Sébastien Karl, dit Babass, 35 ans, qui n’a rien voulu savoir. Il s’est énervé et a bousculé la voisine, lui occasionnant une journée d’incapacité totale de travail. Interpellé par les policiers puis jugé le lendemain en comparution immédiate, Sébastien Karl a écopé d’un an de prison dont dix mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve comprenant l’obligation de soigner sa nervosité et de trouver un travail ou une formation. Le placement en détention n’a pas été ordonné. Laissé libre, l’homme purgera ses deux mois ferme sous un mode aménagé.

La chienne est dotée d’une puce. Son examen a confirmé - si besoin était - que l’animal appartenait bien à la plaignante.

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l’union120323d
La restauration scolaire en question

« A la Ligue de l’Enseignement, on s’occupe des questions de restauration scolaire depuis les années 60 », rappelle Michel Le Jeune, chargé de mission national. Actuellement, on se penche surtout sur le problème de la « pause méridienne ». « Cette pause, c’est un temps d’alimentation, mais aussi de détente et de libre épanouissement pour différentes activités. Elle a aussi une valeur éducative et sociale », insiste Michel Le Jeune, qui animait, avec Sylvie Mendès, membre de La Ligue de l’Enseignement, une rencontre avec des organisateurs et partenaires de la restauration scolaire, au collège Pierre-de-Coubertin de Cormontreuil. « Pour les primaires, on prône le service à table, plutôt que le libre-service. Le plat qui circule induit plus de valeurs de partage. »

Trois thèmes étaient à l’ordre du jour :
- La norme Afnor « au service de la restauration scolaire » actualisée et étendue aux collèges et lycées.
- Le décret relatif à la qualité nutritionnelle des repas.
- La circulaire du 10 août 2011 rappelant le principe de laïcité dans les services de restauration collective du service public.

Halal et casher

« Dans le contexte actuel, c’est très d’actualité », précise M. Le Jeune, qui avoue être sollicité tous les jours sur le sujet : « Ce qui est important, c’est que chaque établissement, chaque structure, chaque commune indique clairement ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. Il n’y a rien de plus ambigu que d’être dans le flou ». Que dit-on à ce sujet à la Ligue ? « Servir de l’alimentation halal ou casher est contraire à la loi de 1905. Pour que la viande soit conforme, il faut qu’il y ait eu présence, sur la chaîne d’abattage, d’un « sacrificateur » agréé par une des trois mosquées ou par un consistoire. On ne peut pas, dans un service public, contribuer à la rémunération d’un culte. »

Qu’est-ce qu’un service de qualité ? « Nous avons parcouru tous les éléments qui peuvent interroger, interpeller les parents à ce sujet. » Cinq critères sont habituellement déclinés : qualités sanitaires, nutritionnelles, organoleptiques, du cadre d’accueil et éducatives.

On est à cent lieux des « hangars à manger » des années 60 : les enfants sont sensibles au cadre, qui doit être ludique, éducatif, informatif, et cela se ressent dans leur attitude. Ils attendent « du bien et du bon dans l’assiette », sachant que les habitudes alimentaires diffèrent d’une région à l’autre.

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l’union120323c
L’incendiaire est sur le palier

Appelés pour une odeur de brûlé au 14 rue de Rilly-la-Montagne, hier vers 7 h 45, les pompiers ont découvert dans les étages un feu de paillas¬son d’ailleurs éteint avant leur arrivée par la police.

La thèse du court-circuit est difficilement soutenable…

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l’union120323b
Vol avec violence

Mercredi vers 18 heures, le propriétaire d’un scooter a été victime d’un vol avec violence avenue Bonaparte.

En fuite avec l’engin, l’auteur n’a pu être retrouvé.

Le cyclomotoriste est légèrement blessé.

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l’union120323a
Cambriolage

Etaient-ils à l’affût ?

Mercredi matin, profi¬tant de l’absence momentanée de la locataire, un ou plusieurs individus se sont introduits dans un appartement de l’allée Edgar-Degas.

Ils ont fouillé une vitrine et dérobé divers petits objets de valeur.

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l’union120322e
Le Cesi anticipe le campus unique

A l’étroit désormais dans ses locaux de la zone Farman, le Cesi va intégrer le futur Polidrome de Croix-Rouge.
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Olivier Kaluzinski : « Pour davantage de place et davantage de visibilité. »
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Le Cesi a besoin de place : avec ses 400 étudiants il commence à se sentir à l’étroit dans ses locaux actuels de la rue Gabriel-Voisin en zone Farman, et vise désormais un nouvel emplacement du côté de Croix-Rouge et plus précisément de l’hippodrome. Le déménagement doit avoir lieu en fin d’année, dans un bâtiment laissé vacant par la banque HSBC, et qui portera le nom de « Polidrome » dans une architecture novatrice (notre édition du 9 mars).

Un simple rôle de logo

Le Cesi, c’est le centre d’études supérieures industrielles ; à dire vrai, si l’on écoute le responsable du site rémois* Olivier Kaluzinski, ce dernier terme « d’industrielles » n’a plus tellement lieu d’être : les spécialités locales en matière de formation, débouchant sur des diplômes bac + 2 à bac + 5, ont pour nom informatique et multimédia, qualité sécurité environnement, bâtiment travaux publics, et gestion de la chaîne logistique, rien que du tertiaire donc pour reprendre les classifications des cours d’économie traditionnels, et pas de secondaire… Mais on continue à dire Cesi pour parler de ce groupe d’enseignement supérieur privé à statut associatif. « En fait le terme ne joue plus qu’un rôle de logo », commente notre interlocuteur.

Et donc ce Cesi va déménager. D’abord pour gagner de la place : « Nous disposons actuellement de dix salles sur 760 m2, détaille M.Kaluzinski, dans les nouveaux locaux nous en aurons 14 sur 1 000 m2. Nous pourrons aussi disposer d’une salle de restauration, et d’une salle de sport ». Ensuite par souci d’accessibilité, et à cet égard le futur emplacement disposera de deux atouts, la gare TGV de Bezannes et le tramway ; enfin pour se rendre plus visible : « Nous allons nous retrouver au cœur d’une marguerite dont les pétales seront constitués par la fac de médecine, l’école d’infirmière, RMS, le campus Croix-Rouge ». Bref tout un univers estudiantin. De là à se dire que le Cesi est en train d’anticiper le projet de campus unique à Croix-Rouge/Bezannes…

Antoine PARDESSUS

*Il y a 23 sites en tout en France.

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l’union120322d
Opération / Une journée à la fac

Après la journée portes ouvertes, le 18 février, l’Université de Reims Champagne-Ardenne propose l’opération « un jour à la fac » du 5 au 9 mars. Cette semaine spéciale permettra aux lycéens de vivre la vie d’un étudiant sur une journée.

Sur la base du volontariat, chaque lycéen de première et terminale de la Région aura l’opportunité d’assister à un cours universitaire dans la composante de son choix et de visiter les campus. La bibliothèque universitaire proposera une sensibilisation à la recherche documentaire et le service d’information et d’orientation universitaire présentera le centre de documentation et ses ressources sur l’orientation.

Ce dispositif étant mis en œuvre à titre expérimental, la limite est fixée à un nombre de 4 000 places. Les lycéens intéressés peuvent s’inscrire sur le site www.univ-reims.fr/unjouralafac jusqu’au 24 février.

À noter que le Crous fournira un certain nombre de déjeuners gratuits (sur les sites rémois).

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l’union120322c
Election du président de la fac : les tractations sont ouvertes !

Le 6 avril, on connaîtra le nom du président de l’Urca. Christian LANTENOIS
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REIMS (Marne). L’élection du président de l’université de Reims Champagne-Ardenne arrive dans sa dernière ligne droite et rien n’est joué d’avance. Le conseil d’administration qui a été élu le 20 mars dernier laisse la porte ouverte à toutes les hypothèses, mais surtout à toutes les négociations. Ce sont ses 22 membres qui éliront le 6 avril prochain le président de l’université.

Les 20 mars, trois conseils ont été élus : le conseil d’administration ; le conseil scientifique et le Cevu (Conseil des Études et de la Vie Universitaire).

Seuls les élus du conseil d’administration éliront le président de la fac le 6 avril prochain.

Si certains espéraient voir se dessiner une tendance claire à l’issue de ce scrutin du CA, il s’avère que les jeux sont serrés et que les tractations et les alliances vont peser lourd dans la balance.

Au coude à coude

Le conseil d’administration est composé de plusieurs collèges : celui des professeurs, des autres enseignants, des Biatoss (personnels non enseignants) et des étudiants. Les taux de participation : 80,7 % de participation pour le collège des professeurs, 64,6 chez les autres enseignants ; 69,6 chez les Biatoss et 17,3 % chez les étudiants.

Dans les deux premiers collèges, les deux listes rivales sont au coude à coude avec six élus pour la liste Pour le développement de l’Urca et six élus pour la liste "Réussir ensemble" menée par Richard Vistelle, le président sortant qui brigue un nouveau mandat.

L’outsider : QRF, pour Qualité Recherche Formation, soutenue par le Sgen-CFDT n’a quant à lui obtenu que trois sièges.

Qui pourra donc arbitrer et départager les deux listes ex-aequo ?

Chez les étudiants, c’est InterCampus qui rafle la mise avec 4 sièges sur 5, le dernier revenant à l’Unef. En 2007, InterCampus avait finalement voté pour Richard Vistelle après avoir prôné l’abstention faute d’écho suffisant aux préoccupations étudiantes dans les différents programmes. Qu’en sera-t-il cinq ans plus tard, à l’heure du bilan, des perspectives et probablement des promesses… "Nous sommes très sollicités", reconnaît Pierre Etienne, le vice-président d’INTERCampus. "Nous allons rencontrer les deux parties dans les jours qui viennent avant de prendre une décision. Nos voix ne sont pas acquises". Le campus unique et les équipements liés à la vie étudiante étant au cœur des préoccupations d’INTERCampus.

Les voix étudiantes pourraient bien cette année, comme en 2007, faire ou défaire le président de l’Urca.

Quid du vote de deux des trois élus Biatoss (le troisième du Sgen-CDFT soutenant la liste QRF). Autant de précieuses voix à convaincre avant le 6 avril, car chaque voix comptera.

Autre zone d’ombre, le maintien ou non de la candidature de la liste QRF qui pèse actuellement deux voix.

Toujours est-il que chacune des listes a jusqu’au lundi 26 mars à 17 heures pour déposer sa candidature.

La liste Pour le développement de l’Urca devra choisir un candidat parmi Gilles Baillat, Thierry Duvaut et Laurent Martiny. Cette liste est portée par le Snesup (syndicat national de l’enseignement supérieur, marqué à gauche) dit vouloir rétablir "un fonctionnement démocratique" de l’université. Elle considère que " le principe du campus unique étant maintenant acté, il faut s’assurer des conditions de sa réussite".

La liste "Réussir ensemble" menée par président sortant de l’Urca entend poursuivre son grand chantier : l’épineux dossier du déménagement de la fac de Sciences à Croix-Rouge. QRF, présentera Georges Durry.

Une élection à suspens en perspective…

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l’union120322b
Caraïbe perdu

Où l’on reparle de colonisation.

A la recherche du Caraïbe perdu, les populations amérindiennes des Petites Antilles de l’époque précolombienne à la période coloniale : c’est le thème du colloque international commencé hier et qui se poursuit ces jeudi 22 et vendredi 23 mars à la bibliothèque universitaire Robert-de-Sorbon (campus Croix-Rouge), sous la direction de Bernard Grunberg, professeur d’histoire moderne à l’Urca.

Plus d’informations sur : http://shac.reims.free.fr/ANR/collo...

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l’union120322a
Etudiants aux fourneaux

 

 

L’association d’étudiants de RMS « Arrête de mal bouffer » va encore faire parler d’elle : les 12 et 13 mai prochains, elle va organiser un grand (mais vraiment grand, avec tout un barnum du côté de la porte Mars) concours de cuisine ouvert aux écoles (supérieures) de la France entière, réservé aux étudiants.

Un des objectifs de la manifestation sera de prouver que l’on peut faire de la (bonne) cuisine avec un petit budget.

 

 

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l’union120321a
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’Ouvrage : Plurihabitat Promotion 7, rue Marie Stuart à Reims

Affaire : Construction de 43 logements étudiants pour le compte d’ACOBHA - REIMS MANAGEMENT SCHOOL à REIMS (51) / Réf. : PN – 040811

N° lots LOT Entreprises Montant € HT

01 TERRASSEMENT / FONDATIONS / GROS-ŒUVRE DEL GIGLIO (08) EN GROUPEMENT AVEC SRTP (51) 720 000,00
02 ETANCHEITE SOPREMA (51) 55 000,00
03 ISOLATION / BARDAGE EXTERIEUR SOPREMA (51) 500 000,00
04 MENUISERIES ALU / SERRURERIE MANCHIN (52) 453 193,53
05 CLOISONS / FAUX PLAFONDS RODRIGUES (51) 57 000,00
06 MENUISERIES INTERIEURES PPDS (51) 135 000,00
07 ASCENSEURS A2A (51) 28 150,00
08 SOLS SOUPLES / FAIENCES LAGRADE ET MEREGNANI (51) 96 000,00
09 PEINTURE LAGRADE ET MEREGNANI (51) 106 000,00
10 ELECTRICITE PERRIN (51) 257 493,10
11 PLOMBERIE / ECS MORIN WANDERPEPEN (02) 172 590,28
12 CHAUFFAGE / VMC CONRAUX SN (51) 159 950,00 _13 ETANCHEITE A L’AIR SOCOTEC (51) 2 700,00

Montant total du marché : 2 743 076,91 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le Service Marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05

Date d’envoi à la publication le 13 Mars 2012 aux Journaux L’UNION ECO (Editions Marne, Aisne, Ardennes), L’Est Eclair (Aube), L’Est Républicain (Meuse), le Journal de la Haute Marne (52) et le Moniteur.

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l’union120319e
Les rendez-vous de la semaine nationale d’éducation contre le racisme et les discriminations

Voici les rendez-vous de la semaine nationale d’éducation contre le racisme et les discriminations.

- Lundi 19 mars  : « Hymne à la tolérance », deux chansons créées par des élèves des écoles rémoises Droit, Galilée et Curie (hôtel de ville, 18 heures). Projection-débat, à partir du film de Manon Loizeau, « L’immigration aux frontières du droit » (Ligue de l’enseignement, rue Daudet, 19 h 45).
- Mardi 20 mars : conférence-débat, sur « Discriminations cumulées : genre, origine et classe », au salon Grand Mars de l’hôtel de ville à 18 h 30.
- Mercredi 21 mars  : « La force noire, histoire des tirailleurs sénégalais », d’Eric Deroo, 15 heures à la Mission locale, débat avec les adhérentes de l’Aman ; Droit de vote des résidents étrangers, débat, de 18 h 30, avec le PCF rémois et Michel Billout, sénateur de Seine-et-Marne, salle Saint-Thierry ; « Les hommes libres », d’Ismaël Ferroukhi, 19 h 30, maison de quartier Billard, avec débat en présence du réalisateur.
- Jeudi 22 mars : « Mektoub, histoire des harkis de Reims », de Pierre Coulon, 19 heures, maison de quartier des Epinettes, avec débat ; « Les terres promises », de Philippe d’Hennezel, 19 h 30, maison de la vie associative, suivie d’un débat.
- Vendredi 23 mars : « Français : prouvez-le !!! », 20 h 30, café le Stalingrad, projection, témoignage et débat.
- Samedi 24 mars : « Roms- La discrimination au quotidien », 16 heures, maison de la vie associative, conférence avec projection de diapos.
- Dimanche 25 mars : « Syndrome de discrimination fondamentale », 14 heures, portes ouvertes au foyer Princet Ozanam. ; journée mondiale de la Trisomie 21, 15 heures, danse et chant théâtre du Chemin-Vert (3 et 5 euros).

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l’union120319d
Tous au jardin pour le printemps demain

Au salon Tendance Nature, les jardins familiaux proposent aux enfants de découvrir les plantations. Il y a même des haricots magiques !
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REIMS (Marne) L’arrivée du printemps ne rime pas avec début du potager. Méfiez-vous des gelées jusqu’aux saints de glace ! En attendant, nettoyez, bêchez, décorez…

APRES les premières chaleurs la semaine dernière, et malgré le samedi maussade, l’envie est forte de revenir au jardin. De planter, de faire redémarrer son potager. Hé oui, demain mardi, c’est le printemps !

Oui mais… non. Serge, Jacques et Michel, des jardins familiaux rémois (Pays de France, Trois-Rivières et Cheminots) prônent la patience, car le danger guette : les gelées. « Les gens ne me parlent que de ça : mon arbre est devenu noir, va-t-il repartir ? Faut-il attendre, va-t-on avoir de nouvelles gelées ? Il faut vraiment s’adapter au temps au jour le jour », témoigne la responsable des pépinières des Laurains, venue de l’Aube au salon Tendance Nature.

Patience !

Pourtant, bien des clients repartent avec plein de fleurs à planter… rapidement, bien sûr ! « Non, il faut attendre que les saints de glace soient passés, c’est-à-dire le 12 mai. En fait, il faut attendre que la terre se réchauffe correctement, à 15 degrés. Pour cela, il faut souvent trois semaines de chaleur. Et ils annoncent une baisse des températures cette semaine… » Autrement dit, l’ouverture du printemps ne correspond pas à la saison des plantations, « surtout que la terre se refroidit plus vite qu’elle ne se réchauffe. On peut tout de même planter des petits pois, des fèves, de l’ail, des oignons et faire des semis de poireaux. En les protégeant avec des voiles de forçage, ou des filets, surtout contre les insectes ».

Bon, on va quand même sortir dans notre beau jardin ! « Oui, mais attention : on le nettoie sans faire de feu, cela apporte des nuisances. Le jardin n’est pas une poubelle, et il faut respecter la nature, surtout qu’il y a assez de déchetteries à Reims » tient à préciser Serge.

On peut retirer les mauvaises herbes, tailler arbres et haies… On peut préparer la terre aussi ? « En fait, il aurait fallu le faire avant l’hiver, en laissant de grosses mottes, qui donnent de la bonne terre naturellement après l’hiver ». Bon, bêchons quand même pour ceux qui n’ont pas pu le faire en novembre.

Après les oignons, on pourra planter les pommes de terre et carottes fin avril, tout le reste fin mai. En attendant, une fois le jardin nettoyé, on peut le décorer, ça occupe !

G.F.

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De la couleur dans la déco

Les pierres sont tendance, ainsi que la couleur, dans les jardins.
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Le jardin, ce n’est pas que le potager. Ni seulement le fleurissement. Il y a aussi la déco. La mode est à la pierre. Pas la grosse, non, la rocaille, ou les galets. Les pépinières des Laurains en font beaucoup. « Devant les maisons, les gens nous demandent des aménagements en rocaille. Et aussi pour des terrasses plein sud ».

Du côté de Décodujardin, Simon évoque lui la tendance au « paillage minéral, avec des petites pierres ou galets. Les gens veulent un jardin épuré, minéral et graphique. Les grands massifs de géraniums, c’est fini, sauf chez certains anciens ».

Il y a aussi de grandes jarres, « qui sont en matériaux composites, et la nouveauté de l’année, c’est que la couleur revient. Les gens ne veulent plus du gris et noir comme avant ». Côté plantes, ce sont les ornementales qui l’emportent, comme le buis.

« La tendance aux plantes méditerranéennes est un peu passée, suite aux deux-trois hivers un peu rigoureux que nous avons eus ».

Simon a aussi une clientèle urbaine, et la déco, c’est bien aussi pour les terrasses. « Avec la crise, les gens se replient un peu chez eux, alors ils veulent de belles choses, comme un cocon ».

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l’union120319c
Ils brûlent une poubelle au milieu de la route

La poubelle a été incendiée au milieu de l’avenue Bonaparte entre le lycée et la station de tramway Arago.
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Pas une semaine sans un feu de voiture ou de poubelle avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge.

Après une Volkswagen incendiée samedi à 0 h 45, c’est un conteneur à ordures qui a brûlé hier vers 4 heures du matin.

Le ou les auteurs l’ont positionné en pleine voie, au niveau de la station de tramway Arago, avant d’y mettre le feu. La circulation sur l’avenue Bonaparte devenait de ce fait impossible en direction du château d’eau.

Anticipant un éventuel traquenard, pompiers et policiers sont intervenus avec les précautions d’usage, mais il n’y avait plus personne autour du conteneur incendié.

Chaussée endommagée

Le feu éteint, les débris ont été repoussés de chaque côté pour rendre le boulevard à la circulation (très peu fréquenté à l’heure des faits). La chaleur a endommagé la chaussée.

D’autres incendies ont été signalés hier. Vers 5 h 30, une voiture a pris feu pour une raison inconnue allée des Monts-de-Champagne au Chemin-Vert. A 9 h 45, un feu de local à vide-ordures s’est déclaré rue Emile-Zola, au n°37.

A la même heure, appelés pour de la fumée s’échappant d’un appartement de la place Maurice-Utrillo, les pompiers ont découvert du linge qui se consumait sur un halogène.

En fin de journée, vers 17 h 30, une poubelle s’est enflammée à côté d’un gymnase de la rue Verrier, au quartier de l’Europe, tandis qu’à 18 h 45, une épave a brûlé près de l’ancienne BA 112, route de Neufchâtel. La veille à 18 h 45, un feu de cheminée a nécessité l’intervention des secours rue de Normandie à Cormontreuil.

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l’union120319b
Revin : Tournoi : déjà 175 engagés

Le tournoi open de Revin qui sert de cobaye à la nouvelle formule mise en place, cette saison, par le comité départemental a commencé ce week-end pour s’étaler jusqu’au 8 avril. 175 participants se sont d’ores et déjà engagés dans une épreuve dotée de 1 140 euros de prix et qui concernera au fil des semaines, les non classés, quatrième, troisième et seconde série.

L’ex-Carolo Quentin Munier qui appartient aujourd’hui au club rémois de Géo André est actuellement le joueur présentant le meilleur classement (1/6) mais la liste des inscriptions concernant les « cadors » ne sera close que le 24 mars.

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l’union120319a
La victime piégée sur Internet : II essaye une moto…et part avec

Courant février, un internaute met sa moto en vente sur le site leboncoin. Un acheteur potentiel le contacte.

Après quelques échanges de courriels, rendez-vous est fixé le 3 mars sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, rue Pierre-Taittinger à Croix-Rouge.

L’acheteur demande à essayer la moto. Normal, sauf qu’il en profite pour mettre les gaz et s’enfuir…

La moto est retrouvée le lendemain, désossée dans un parc du quar¬tier de l’Europe.

Saisis de la plainte, les policiers ont pu identifier le voleur, un adolescent qui a reconnu avoir dissimulé la moto dans le parc pour la revendre ensuite. Il affirme que l’engin a été démonté par d’autres individus revenus avant lui. Morale de l’his¬toire : on ne peut même plus chiper tranquille à cause de la délin¬quance.

Remis à ses parents, le voleur volé est convoqué chez le juge des enfants le 29 mai.

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l’union120318a
Sept voitures brûlées

Sept voitures ont brûlé dans la nuit de vendredi à samedi à Reims et dans ses environs.

La première a pris feu à 19 h 15 sur le parking de l’hypermarché de Cormontreuil (l’origine n’a pas été indiquée).

Vers 20 h 30, une Opel que l’on peut supposer être volée a flambé dans les champs, derrière le quartier de l’Europe, près de la route de Cernay-lès-Reims.

Quinze minutes plus tard, un incendie d’origine indéterminée a détruit une voiture rue Patrick-Dongois, à proximité de la gare ferroviaire Maison-Blanche.

La série s’est poursuivie à 0 h 10 avec un feu de voiture rue Raymond-Poincaré à Orgeval, puis un autre à 0 h 45 avenue Bonaparte à Croix-Rouge.

Vers 3 heures, une Peugeot non identifiable a brûlé le long de la RD74 à Bétheny tandis qu’à qu’a 8 h 30, les gendarmes ont retrouvé la carcasse calcinée d’une BMW, dans les vignes, sur les hauteurs de Nogent-l’Abbesse. Elle avait été volée sur Soissons il y a une quinzaine de jours. Avant de l’incendier, les auteurs ont fait du gymkhana avec le véhicule, percutant deux piquets de vignes.

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l’union120317b
Seulement 14 personnes dans la salle sur les 878 adhérents Acrap : une assemblée boudée

De gauche à droite, Romuald Bordes, nouveau président, Jean-Pierre Genesseau, nouveau vice-président, Gilbert Barbarin, représentant la mairie, Eric Quénard, premier adjoint, et Jacques Laurent, président de l’Office des sports.
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14 adhérents seulement dans la salle !
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Le nouveau président Romuald Bordes, à gauche, et Jean-Pierre Genesseau, devenu vice-président. Un passage de relais en toute confiance : « Je le soutiendrai de mon mieux ! »
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L’assemblée générale de l’association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion s’est déroulée, dans la salle Jean-Jacques Lapique, devant une salle plutôt désertée. En effet, alors que l’Acrap comptabilise 878 adhérents dans ses sections sportives et culturelles, on ne comptait que vingt personnes dans le public.

Si l’on retire les animateurs de sections qui ont lu leurs comptes rendus d’activités, Isabelle Bechet (Fitness aérodanse), Virginie Delauzun (danse classique, moderne et jazz), Magali Macadré (majorettes), Jeannine Catry (natation), Christian Gérard (pétanque), Alain Lommé (tennis et urbanisme), la secrétaire et les représentantes du Reims Acrap patinage et de la Caisse d’épargne, on s’étonne que 14 adhérents seulement aient fait le déplacement !

Association atypique

Pire : les sections football enfants (115 adhérents) et seniors (70 adhérents) n’avaient envoyé aucun représentant et aucun compte rendu !

C’est un peu décourageant quand on sait, comme l’a rappelé Jean-Pierre Genesseau, le président en exercice, que l’un des objectifs de l’Acrap est de « développer chez les adhérents l’esprit associatif, pour porter haut les couleurs de l’Acrap, du quartier Croix-Rouge et de la ville de Reims ».

Pourtant, des investissements ont été réalisés pour améliorer les services proposés : 6 000 euros de costumes pour les majorettes, achat de sièges et de matériel bureautique au secrétariat et un minicar, avec l’appui financier de la Caisse d’Epargne, mécène de l’école de football.

Pourtant, la situation financière, contrôlée par Olivier Blaud et la trésorière bénévole Jeannine Catry, est saine. Avec 177 408 euros de recettes (dont 57 000 de subvention de la Ville) et 168 744 euros de dépenses, le compte d’exploitation est positif de 8 664 euros, et les avoirs disponibles de l’association s’élèvent à 74 064 euros, un bon matelas de sécurité.

Jacques Laurent, président de l’Office des sports, a remarqué : « l’Acrap est une association atypique sur la place. En effet, elle ne se cantonne pas au sport, mais y associe le social et le culturel. Par ailleurs, elle inverse toutes les statistiques en vigueur à Reims, puisque d’une part, elle compte plus de femmes que d’hommes et d’autre part, elle recense 75 % d’adhérents rémois contre 45 % pour les autres associations ! ».

…..

Le président passe la main

A la fin de son rapport moral, le président Jean-Pierre Genesseau déclarait : « C’est pour moi la dernière assemblée générale que je préside, il faut passer le relais à nos jeunes collaborateurs, ils se sont préparés à cette action depuis longtemps, ils sont pleins d’entrain. Je ne me représenterai donc pas pour le poste de président, mais je seconderai volontiers celui qui sera élu. Il faut un nouvel élan et une nouvelle équipe pour préserver l’association ».

Le premier adjoint Eric Quénard appréciait : « Cinq ans et demi de présidence ! Je salue le courage de Jean-Pierre Genesseau et la sagesse qui l’anime en passant le témoin dans la manière douce ! 42 ans après sa création, l’Acrap est toujours là et cette année, avec encore plus d’adhérents ! » Le représentant de la maire de Reims, Gilbert Barbarin, confirmait : « Qu’une association de plus de 40 ans d’âge attire encore 59 % de jeunes, c’est remarquable ! ».

Un nouveau bureau

Quant au conseiller municipal Michel Michel Guillaudeau, il souhaiterait que l’Acrap change de sigle et « devienne Aaa pour Association pour l’animation et l’ambition » !

Antoinette Mabile ne se représentant pas non plus en qualité de secrétaire, un vote a désigné le nouveau bureau de l’Acrap.
- Président : Romuald Bordes (animateur de la section informatique, 7 membres),
- Vice-président : Jean-Pierre Genesseau,
- Secrétaire : Magali Macadré (animatrice de la section majorettes, 29 membres),
- Trésorière : Jeannine Catry (animatrice de la section natation, 302 membres).

Jean-Pierre Genesseau part donc le cœur tranquille, assuré d’avoir tenu honorablement son poste de président et d’avoir passé le témoin dans les meilleures conditions.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union120317a
Le mercredi à la Marelle à Croix-Rouge : Des animations parents-enfants

Alexandra Babin anime les activités parents-enfants.
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En lien avec la Maison de l’enfance, Alexandra Babin, animatrice familles des espaces Watteau et Pays-de-France de la Maison de quartier Croix-Rouge propose des animations parents-enfants aux familles, tous les mercredis de 10 heures à 11 h 30 à la Marelle, 3, allée des Picards.$

« Venez partager des moments avec vos enfants, jusque 6 ans, autour d’activités manuelles, d’ateliers cuisine, de spectacles, de sorties,… », précise-t-elle. « Nous proposons aussi de rencontrer d’autres parents, de partager votre expérience sur l’éducation de vos enfants et d’exprimer vos questions et difficultés éventuelles. »

Le programme
- Mercredi 21 mars : atelier collage et pâte à modeler.
- Mercredi 28 mars : matin, atelier peinture au doigt, après-midi, crêpes solidarité, à 14 heures à l’espace Billard, 12-14, rue Pierre-Taitinger.
- Mercredi 4 avril : sortie piscine à balles, rendez-vous à 9 heures à l’espace Watteau, 3, allée Antoine-Watteau.
- Mercredi 18 avril : atelier cuisine suivi d’un pique-nique au parc Léo-Lagrange (apporter son pique-nique).

Toutes ces animations sont gratuites. Pour tout renseignement, contacter Alexandra Babin, Maison de quartier Croix-Rouge, espaces Watteau et Pays-de-France, tél. 03.26.36.03.50, 03.26.36.82.53.48 ou 06.47.71.53.00.

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L’hebdo du vendredi- N° 251 - 120316c
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 251 - Semaine du16 au 22 mars 2012

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Projet Polidrome : Le tout-en-un de l’Effort Rémois

L’ancien site bancaire va subir une véritable métamorphose, à l’image du bâtiment principal, totalement réhabilité, qui accueillera des bureaux, une cafétaria et une salle de sport.
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L’ossature bois qui servira de support aux façades végétalisées est l’oeuvre de la société Bâtiment Associé, installée à Muizon.
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Avec son projet baptisé Polidrome, Plurial l’Effort Rémois réalise actuellement, à proximité de l’hippodrome de Reims, un complexe immobilier novateur conjuguant sur un même site de multiple activités : bureaux, logements locatifs pour jeunes salariés et étudiants, maisons en accession à la propriété, self et salle de sport.

Alors que ces dernières années à Reims les nouvelles constructions font le plus souvent suite à des démolitions, Plurial l’Effort Rémois a choisi pour son projet Polidrome de préserver en partie le bâti existant. Il s’agit de l’ancien site bancaire HSBC qui s’étend sur 2 hectares à proximité de l’hippodrome, au croisement des quartiers Croix-Rouge et Maison Blanche, et racheté par le bailleur social en 2010.

Sur ce site de 2 hectares, le bâtiment existant va donc être transformé, et non rasé afin de limiter l’impact écologique, pour accueillir des locaux tertiaires tandis que deux immeubles d’habitations, une résidence destinée aux étudiants et aux jeunes salariés et 8 maisons de ville seront construits juste à côté, représentant au total 127 logements.

Une architecture novatrice

Concernant l’ancien ancien immeuble de bureaux, construit dans les années 70, la structure en béton est donc conservée. Néanmoins, la physionomie du bâtiment va radicalement changer afin de répondre aux exigences esthétiques et énergétiques actuelles. Ainsi, les 13 000 m2 de locaux d’activités, répartis sur quatre niveaux, répondront aux normes BBC. Alors que le bâtiment d’origine formait un cube, le nouveau, une fois transformé, accueillera en son centre un patio de 900m2 destiné principalement à apporter de la lumière naturelle. L’autre élément architectural fort concernera les façades. Côté sud et ouest, ces dernières, construites en bois, seront presque ainsi entièrement végétalisées. Faisant office de bouclier thermique, elles bénéficieront d’un arrosage automatique venant de l’eau de pluie collectée sur le toit-terrasse. Les deux autres façades seront constituées pour l’une de bois (côté est) et pour l’autre de verre (côté nord). Quand aux autres constructions du site, elles répondront toutes bien sûr aux normes BBC.

En effet, autour du bâtiment principal, dont les premiers locaux seront livrés en septembre 2012, viendra s’articuler progressivement plusieurs constructions totalement nouvelles. Il s’agit principalement de logements : huit maisons de ville jumelées, deux immeubles collectifs de cinq étages avec vue sur l’hippodrome et une résidence destinée aux jeunes salariés et aux étudiants. Ces 127 logements et appartements seront pour partie disponible à la location ou en accession à la propriété.

Mais ce qui caractérise le projet Polidrome, c’est son offre de services multiples visant à faciliter la vie de ses occupants. Un restaurant cafétaria sera installé au premier étage du batiment principal et disposera d’une terrasse de 400 m2 juchée sur le toit. Au rez-de-chaussée, c’est une salle de sport qui sera aménagée et ouverte à tous. Enfin, une micro-crèche pouvant accueillir dix enfants prendra place dans l’une des huit maisons de ville.

L’ensemble du projet, en cours de construction et dont le montant global des travaux s’élève à environ 20 millions d’euros, devrait être livré en totalité en 2014.

Julien Debant

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l’union120316b
Printemps des poètes 2012 dans les médiathèques : Les résultats du concours

Sur le thème « Ecrivez un poème sur le thème Enfances », les médiathèques de Reims ont organisé un concours à l’occasion du Printemps des poètes 2012.

« 80 poèmes ont été recueillis dans les urnes. Malheureusement, 25 d’entre eux, rédigés par des candidats de moins de 16 ans, n’ont pu entrer dans la compétition. Séduits par cet engouement, nous avons voulu honorer ce travail en désignant les trois meilleurs poèmes de ce groupe », précise Jean-André Ithier, conservateur de la médiathèque Croix-Rouge : « Le jury reconnaît l’effort fourni par chacun pour respecter la forme poétique imposée : calligramme ou sonnet. La thématique « Enfances » a nourri la qualité littéraire de l’ensemble des textes. Mais, face à un choix difficile, les bibliothécaires ont été sensibles à 10 d’entre eux ».

L’ensemble des textes est affiché à la médiathèque Jean-Falala et dans l’espace adulte de la médiathèque Croix-Rouge où une remise des prix est prévue fin mars.

Les résultats du concours

Gagnants : 1er prix (60 € en chèques-lire et un panier garni de produits régionaux) : Brigitte Louis. 2e prix (60 € en chèques-lire) : Irène Bonnet. 3e prix (40 € en chèques-lire) : Jacques Wampfler.

Ont retenu l’attention du jury : Monique Chenu, Gautier Joubert, Jean-Marc Mimil, Dominique Rouy, Frédérique Torres, Clémence Trémol et Dominique Viseux.

Sélection des poèmes hors concours : Jeanne Devos, Chloé Jean et Rémi Zeller.

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l’union120316a
Printemps des Poètes : Une soirée originale au Crous

 

Pour sa troisième édition de la soirée du Printemps des Poètes, Catherine Pierrejean (Maison de quartier Croix-Rouge - Espace Billard ) a préparé un programme alléchant qui sera donné ce vendredi 16 mars à 19 heures, dans la salle de spectacle du Crous, rue de Rilly-la-Montagne.

Deux parties pour cette soirée « poésie » fantaisiste et conviviale. Tout d’abord, avec « Bavardages… », des poètes seront sur scène et interpréteront les poésies qu’ils ont créées lors d’un atelier d’écriture à l’espace Billard, encadré par Catherine Pierrejean et mises en forme par Claire Deborde.

Quelques résidents du Foyer Thibierge se sont joints au groupe d’habitants et de personnes extérieures au quartier pour interpréter ces poésies dans une mise en scène originale d’une vingtaine de minutes.

Ensuite, en deuxième partie, les « Escales poétiques » seront une invitation aux habitants à dire ou lire des poésies dans des langues diverses. « En 2011, treize langues ont été ainsi représentées pour un spectacle qui veut témoigner de la diversité des cultures et de la richesse humaine que peuvent apporter tous ceux qui y vivent », explique Catherine Pierrejean.

Entrée libre. Pour tous renseignements : Espace Billard - Catherine Pierrejan - 12-14, rue Pierre-Taittinger - Tél. 03.26.08.08.78.

 

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l’union120315a
La direction de RMS monte sur scène

Le directeur en personne dans un registre rock’n’roll (à la batterie).
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Un peu à l’image des Enfoirés qui chantent au profit des Restos du cœur, la direction de l’école supérieure de commerce de Reims (RMS) a payé de sa personne sur le mode artistique pour aider ses boursiers : jeudi dernier, directeur en tête (à la batterie), elle est montée sur la scène de son grand amphi pour se produire dans le cadre d’un gala de musique, chant et théâtre.

Les professeurs et agents administratifs de l’école faisaient eux aussi partie des artistes d’un soir.

Les fonds recueillis serviront à alimenter des bourses d’études pour étudiants sans grands moyens.

 

 

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l’union120314a
A Croix-Rouge fin mars : Echanges de savoir-faire et de compétences

Une nouveauté très sympa.
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Laurence Geoffroy, référent familles à l’espace Watteau, invite les habitants de Croix-Rouge, sans limite d’âge, à lui préciser d’une part quelles sont les matières qu’ils aimeraient qu’on leur apprenne et d’autre part, les savoir-faire qu’ils pourraient, à l’inverse, transmettre, dans les domaines ou spécialités suivants : bricolage, bases en langue, idées décoration, cuisine, couture, conseils en habillement, technique de coiffure, règles d’un jeu, découverte des jeux vidéos type Wii, travaux d’intérieur, bases en informatique, massage, peinture, photographie, calligraphie, jardinage ou autres.

Les inscriptions doivent se faire via le site internet www.maisondequartier-croix-r…, rubrique « projet échange et savoir-faire » ou par téléphone au 03.26.36.03.50 afin que les organisateurs puissent préparer un programme qui sera, au maximum, intergénérationnel.

D’autres structures et associations participeront à l’opération : la médiathèque, le collectif Croix-Rouge Accueil, la Marelle, l’équipe des Femmes relais, le Secours populaire, l’association Cultures jeunes, le collectif « Escapades » et l’association Multi-échanges services, qui intégrera sa traditionnelle fête des crêpes de la solidarité au programme.

 

 

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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 120313f
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7437 du 12 au 18 mars 2012.

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Polidrome, un espace d’affaires tout-en-un et novateur

Immobilier. Bureaux, logements, loisirs et services, l’opération de Plurial L’Effort rémois est en cours de réalisation. Premières livraisons en septembre.

Polidrome, c’est le nouveau nom du projet d’ envergure (20 M€ pour le montant total des travaux) porté par Plurial l’Effort rémois dans le quartier de l’hippodrome de Reims. Un véritable espace d’affaires associant sur un même site du logement, des bureaux et des services et s’adressant à la fois aux entreprises et aux particuliers. Conçu par le cabinet Axis Architecture dans l’esprit du projet Reims 2020, Poli-drome prend ses racines sur les terrains et dans les anciens locaux de l’établissement bancaire HSBC - qui a occupé le bâtiment jusqu’en 2009 - rachetés par l’Effort rémois en juin 2010.

Présenté comme un quartier mixte, il est défini par l’Effort rémois comme un « véritable complexe où tout est regroupé dans un même lieu : des bureaux, des locaux d’archivage, des logements à louer ou à acheter, et des services tels qu’un restaurant, une salle de sports et une micro-crèche ».

Les bureaux seront destinés aux entreprises situées hors de Reims et souhaitant s’implanter en ville mais aussi aux sociétés rémoises à la recherche de locaux plus modernes, plus grands ou plus fonctionnels. Pour les unes comme les autres, les premier arguments avancés par le maître d’ouvrage concernent la qualité des bureaux, disponibles à la vente et à la location. Soit pas moins de 13 000 m2 de cellules d’activité modulables (à partir de 100 m2) réparties sur quatre niveaux. En sous-sol, des locaux d’archivages seront proposés à la vente ou à la location aux entreprises présentes sur le site et aussi aux sociétés extérieures.

127 LOGEMENTS

Pour permettre à ce site de répondre à toutes les exigences architecturales et environnementales, les concepteurs de l’opération n’ont conservé que la structure de base. Grâce notamment au remplacement de sa toiture et de ses baies vitrées, il répond désormais aux normes BBC (bâtiment basse consommation), avec un niveau de performance énergétique très élevé. Une empreinte environnementale visible de l’extérieur grâce à la pose de façades végétalisées, supportées par une ossature bois conçue par le Bâtiment Associé. Deuxième point mis en avant : le confort du salarié. Ce dernier pourra, sur un site unique, outre venir travailler, se restaurer, faire du sport, se détendre, habiter et même y faire garder ses enfants dans une crèche pendant ses horaires de travail. Ce quartier tout-en-un compte aussi offrir 127 logements grâce à deux immeubles, 8 maisons de ville et une résidence pour jeunes salariés et étudiants.

Les travaux de réaménagement ont commencé en mai 2011 et les livraisons s’échelonneront dès septembre 2012, à commencer par les premiers bureaux.

Quant aux travaux de la résidence étudiante, ils démarreront courant 2012 pour une livraison fin 2013. Les maisons en bois sont encore en phase de conception, tout comme les deux immeubles collectifs dont la livraison est prévue en 2014.

BENJAMIN BUSSON

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l’union120313e
Espace Billard : Un stage d’afro-zumba

Une nouveauté très sympa.
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« Devant le succès rencontré lors d’un premier essai, l’association Kalebass et Cie reconduit le stage d’afro-zumba.

Il aura lieu le dimanche 18 mars, de 14 h 30 à 16 h 30 à l’espace Billard, 12-14 rue Pierre-Taittinger », annonce Nuccia Thétis, professeur de zumba certifiée, animatrice du stage avec Hamed Sylla, percussionniste.

L’afro zumba, nouveau sur la région, est un mélange de danse latine, de danse afro et fitness.

Tarif : 17 euros (sans emploi et étudiants, 14 euros). Renseignements au 06.28.04.64.88.

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l’union120313d
Les voitures brûlent

Dimanche vers 15 heures, une Peugeot 307 a pris feu avenue John-Kennedy à La Neuvillette (l’union d’hier).

Les premières constatations laissaient croire à un incendie accidentel mais il s’avère que le capot et diverses pièces du moteur ont été retirés avant la mise à feu. Reste à savoir s’il s’agit d’une voiture volée ou d’une épave incendiée par son propriétaire. Le véhicule est en cours d’identification.

Toujours dimanche, mais à 21 h 15, un début d’incendie s’est déclaré sur une Audi A6 rue Alphonse-Daudet, près du cimetière de l’Ouest (quartier de la Lézardière). Une poubelle a également flambé à 22 h 15 rue Xavier-Dizi.

Hier vers 13 h 15, un incendie signalé dans une arrière-cour de la rue de Courcelles, au n°15, s’est révélé être un feu de détritus allumé sous surveillance par un voisin.

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l’union120313c
Tennis (La Vaure) / Jacquin conserve son bien

Limité à 3/6, le tournoi d’hiver du TC La Vaure a connu un millésime 2012 de qualité.

Chez les dames, Mathilde Jacquin (3/6, Saint-Memmie) a brillamment conservé son bien en dominant Claire Duter (3/6, Sedan) en finale. La Sedanaise avait idéalement débuté en empochant le set initial 7-5. Dans une 2e manche âprement disputée, elle menait 6-3 dans le tie-break pour s’offrir trois balles de match ! Pas suffisant pour troubler la Mengeotte qui revenait avec brio à une manche partout avant de conclure la « belle » à 6-2.

Pas de surprise non plus chez les messieurs où la finale a opposé les deux têtes de séries à 4/6 Jules Latour (Guignicourt) et Jérôme Dermonsir (Romilly). Tenant du titre, l’Aubois s’employait pour arracher la première manche (7-6).

L’Axonais ne lâchait rien pour s’adjuger la deuxième manche (7-5). Victime de crampes, le lauréat 2011 ne pouvait plus défendre ses chances mais mettait un point d’honneur à ne pas abandonner. Résultat, Jules Latour bouclait sur un sévère 6-0.

MESSIEURS

- Quarts de finale : Latour (4/6, Guignicourt) bat Laffille (15/1,TCM Villette-sur-Aube) 6-3, 6-1 ; Boulard (5/6, La Vaure) bat Fromentin (4/6,TC Reims) 6-3, 6-4 ; Gendre (5/6, ASPTTTroyes) batAgrapart (15/1, La Vaure) 6-4, 5-7, 6-3 ; Dermonsir (4/6, Romilly) bat Amiot (15/2, Géo-André) 6-0 abandon.
- Demi-finales : Latour bat Boulard 6-2, 4-6, 7-6 ; Dermonsir bat Gendre 6-1, 2-6, 6-2.
- Finale : Latour bat Dermonsir 6-7, 7-5, 6-0.

DAMES

- Quarts de finale : Claire Duter (3/6, Sedan) bat Manon Jacquin (5/6, Saint-Memmie) 6-1,  ; Lucie Varenne (5/6, ASPTT Charleville) bat Paulyne Blaszczyk (5/6, Romilly) 7-6, 6-4.
- Demi-finales : Claire Duter bat Laure Chardin (3/6, Romilly) 6-4, 6-4 ; Mathilde Jacquin (3/6, Saint-Memmie) bat Lucie Varenne 6-2, 6-0.
- Finale : Mathilde Jacquin bat Claire Duter 5-7, 7-6, 6-2.

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l’union120313b
Tennis (Vertus) / Ça roule pour Martin et Abraham

Forte de 145 engagements, la 21e édition - la troisième en version couverte - du tournoi du TC Vertus a délivré un palmarès conforme aux prévisions.

Chez les messieurs, il ne faisait pas bon être classé à la limite des inscriptions puisque sur les huit 15/3 engagés, seul Benoît Martin (Géo-André) s’est hissé en finale. Opposé en demi-finale à l’étonnant Vertusien Leclair qui a franchi la bagatelle de neuf tours, le Rémois a toutefois logiquement validé son ticket pour la finale où il a ensuite disposé aisément du Connantrat Mercenier (15/4), 6-2, 6-3.

Pas de surprise non plus chez les dames où Stéphanie Abraham et Mélissa Noizet, les favorites cormontreuilloises à 15/2, se sont retrouvées au stade ultime.

Au terme d’une rencontre de qualité, Stéphanie Abraham s’est imposée (6-2, 6-7, 6-2) face à une adversaire qui a souffert physiquement, notamment des efforts fournis pour recoller dans le deuxième set.

MESSIEURS

- Quarts de finale : Martin (15/3, Géo-André) bat Arfaoui (15/3, Saint-Martin-sur-le-Pré) 6-1, 6-3 ; Leclair (30/1, Vertus) bat Marchal (15/3, Asca Châlons) 4-6, 7-6, 6-3 ; Jacquet (15/4, Aÿ) bat Derot (15/4, Mareuil-sur-Aÿ) 7-6, 5-7, 6-2 ; Mercenier (15/4, La Vaure) bat Miara (15/3, Montmirail) 6-4, 7-5.
- Demi-finales : Martin bat Leclair 6-1, 6-4 ; Mercenier bat Jacquet 5-7, 6-4, 2-0 abandon.
- Finale : Martin bat Mercenier 6-2, 6-3.

DAMES

- Quarts de finale : Estelle Levasseur (15/2, ASPTT Epernay) bat Sylvie Jolly (15/4, Société Nautique Epemay) 6-4, 3-6, 6-1 ; Delphine Jacoillot (15/4, Vitry) bat Catherine Depart (15/3, Chouilly) 6-7, 6-0, 6-0.
- Demi-finales : Mélissa Noizet (15/2, Cormontreuil) bat Estelle Levasseur 6-1, 6-4 ; Stéphanie Abraham (15/2, Cormontreuil) bat Delphine Jacoillot 6-1, 6-4.
- Finale : Stéphanie Abraham bat Mélissa Noizet 6-2, 6-7, 6-2.

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l’union120313a
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS

Maître d’ouvrage : L’EFFORT RÉMOIS, S.A. d’H.L.M. au capital de 3.200.000 euros, inscrite au R.C.S. n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie-Stuart, B.P. 324, 51061 Reims cedex.
Objet et lieu d’exécution : marché d’entretien ménager et de gestion des déchets dans des immeubles d’habitation et des garages collectifs du patrimoine de l’EFFORT RÉMOIS, réf. : RL-010411 pacte propreté 2012.
Montant du marché : 3.061.243,97 euros H.T.
Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le service marchés : Madame FORRAY, 03.26.05.92.33/Madame GALLOIS, 03.26.04.99.05.
Date d’envoi du présent avis à la publication le lundi 5 mars 2012 aux J.O.U.E. et aux JAL L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes), et le Journal de la Haute-Marne.
51AO1906046

__ N° lots Libellé du lot Entreprises Montant € H.T
01 S01-01 Châtillons tranche A TFN (51) 249.239,26 € H.T (62 entrées/909 logements)
02 S01-02 Châtillons tranche B ISS (51) 135.219,92 € H.T (54 entrées/663 logements)
03 S01-03 Châtillons tranche C REIMS 220.652,04 € H.T (46 entrées/652 logements) NETTOYAGE (51)
04 S01-04 Brunette et Maison-Blanche SONIT (51) 8.035,80 € H.T (5 entrées/48 logements)
05 S01-05 Cormontreuil Voie Verte CARRARD (51) 37.339,61 € H.T (28 entrées/172 logements)
06 S01-06 Cormontreuil Centre AG NET (51) 28.103,66 € H.T (19 entrées/156 logements)
07 S03-01 Croix du Sud tranche A PEI (51) 89.891,42 € H.T (15 entrées/481 logements)
08 S03-02 Croix du Sud tranche B REIMS 91.517,76 € H.T (13 entrées/485 logements) NETTOYAGE (51)
09 S03-03 Croix du Sud tranche C ISS (51) 90.226,75 € H.T (18 entrées/622 logements)
10 S03-04 Murigny AZ NETTOYAGE 119.770,56 € H.T (42 entrées/692 logements) (51)
11 S03-05 Hippodrome AZ NETTOYAGE 78.502,32 € H.T (18 entrées/423 logements) (51)
12 S04-01 Zone 1 SONIT (51) 84.769,23 € H.T (30 entrées/361 logements)
13 S04-02 Zone 2 BC PROPRETÉ 94.918,65 € H.T (80 entrées/540 logements) (51)
14 S04-03 Zone 3 AZ NETTOYAGE 62.796,24 € H.T (32 entrées/340 logements) (51)
15 S04-04 Zone 4 AZ NETTOYAGE 139.761,18 € H.T (62 entrées/669 logements) (51)
16 S04-05 Zone 5 SONIT (51) 23.045,16 € H.T (64 entrées/519 logements) ISS (51) 78.542,64 € H.T
17 S04-06 Zone 6 ISS (51) 79.079,69 € H.T (42 entrées/466 logements)
18 S04-07 Zone 7 AMA (51) 41.160,54 € H.T (22 entrées/269 logements)
19 S04-08 Zone 8 AZ NETTOYAGE 94.461,12 € H.T (51 entrées/436 logements) (51)
20 S05-01 Sézanne PISTE INSERTION 45.174,24 € H.T (37 entrées/366 logements) (51)
21 S05-02 Marcilly-sur-Seine PISTE INSERTION 2.322 € H.T (2 entrées/12 logements) (51)
22 S05-03 Épernay Zone 1 SONIT (51) 41.341,89 € H.T (33 entrées/241 logements) (escaliers copro 637 et 641 passés à 1*/s)
23 S05-04 Épernay Zone 2 PEI (51) 28.296,58 € H.T (18 entrées/209 logements) (hall et escalier copro 531 passés à 1*/s)
24 S07-01 Tinqueux La Haubette AZ NETTOYAGE 52.392,60 € H.T (18 entrées/153 logements) (51)
25 S07-02 Tinqueux Sud TFN (51) 65.783,31 € H.T (44 entrées/447 logements)
26 S07-03 Tinqueux Nord et Centre NETTOYAGE 2000 55.087,08 € H.T (34 entrées/231 logements) (51)
27 S07-04 Reims BPS 11.957,89 € H.T (18 entrées/236 logements) (51)
28 S07-05 Fismes/Gueux TFN (51) 58.157,93 € H.T (27 entrées/309 logements)
29 S07-06 Saint-Brice-Courcelles AZ NETTOYAGE 7.321,56 € H.T (8 entrées/32 logements) (51)
30 S08-01 Zone 1 AG NET (51) 49.902,70 € H.T (51 entrées/264 logements)
31 S08-02 Zone 2 BPS (51) 72.767,33 € H.T (15 entrées/341 logements)
32 S08-03 Zone 3 AZ NETTOYAGE 33.275,64 € H.T (9 entrées/158 logements) (51)
33 S08-04 Zone 4 BPS (51) 41.579,38 € H.T (15 entrées/254 logements)
34 S08-05 Zone 5 BPS (51) 63.430,86 € H.T (40 entrées/417 logements) (halls passés à 3*/s)
35 S08-06 Zone 6 BPS (51) 42.910,62 € H.T (16 entrées/184 logements) (halls passés à 5*/s)
36 S08-07 Zone 7 SONIT (51) 33.972,12 € H.T (19 entrées/189 logements)
37 S08-08 Zone 8 NETTOYAGE 2000 72.302,88 € H.T (19 entrées/294 logements) (51)
38 S08-09 Zone 9 AG NET 59.663,18 € H.T (52 entrées/449 logements) (51)
39 S08-010 Zone 10 AZ NETTOYAGE 24.709,20 € H.T (11 entrées/119 logements) (51)
40 S08-11 Zone 11 SONIT (51) 56.579,73 € H.T (26 entrées/410 logements)
41 S08-12 Zone 12 SONIT (51) 54.497,31 € H.T (29 entrées/281 logements)
42 S09-01 Saint-Dizier NICKEL RENOV 78.380,70 € H.T (52 entrées/460 logements) (52)
43 S09-02 Vitry-le-François NICKEL RENOV 16.011,57 € H.T (30 entrées/98 logements) (52)
44 S09-03 Châlons tranche A PEI (51) 68.376,67 € H.T (22 entrées/291 logements)
45 S09-04 Châlons tranche AB ESSENTIEL PRO 25.968,24 € H.T (15 entrées/277 logements)
_46 S09-05 Châlons tranche C SONIT (51) 52.047,21 € H.T (33 entrées/557 logements)

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l’union120312a
Ludosport, c’est trop fort !

Equipés pour amortir les gamelles… ça roule pour les joueurs de roller-hockey !
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Le basket, ça commence par des jeux de balles
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Une approche ludique au centre équestre de Tinqueux.
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Séance de step pour les garçons : ils préfèrent le basket !
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A Léo-Borgniet, le badminton a fait un tabac.
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Découverte de plusieurs activités sportives ou stage intensif, les 10 centres Ludosport ont proposé un dispositif gratuit pour faire bouger les jeunes Rémois. « LE step, en musique, c’est amusant. Je me sentais toute légère ! » Coralie, 11 ans, vient de s’initier à cette discipline aérobic qui semble plaire davantage aux filles qu’aux garçons. « On s’y prend de manière ludique, le but n’est pas de faire une chorégraphie », fait remarquer Sophie Muller, animatrice de la discipline. Les plus petits participent à un « ballon prisonnier ». « Vu leur taille, en basket, ce sont surtout des jeux. On terminera par de petits matchs », explique Yoann Bourquin, animateur.

Le basket fait partie, avec le badminton, des « fils rouges » qui se sont clôturés, le vendredi, par des tournois inter-centres au gymnase Ruisselet.

Deux stages intensifs, en basket et en foot, ont été encadrés par des pros du Stade de Reims et du CCRB (l’union des 3 et 8 mars). Quant aux autres centres, ils accueillaient les enfants pour une foule de disciplines sportives et ludiques : jeux de ballon, de raquette, d’opposition…

A Léo-Borgniet, le badminton a fait un tabac : « Il nécessite de se déplacer rapidement, d’anticiper la trajectoire du volant », fait remarquer Raki, une des animatrices.

300 enfants

« Au début, ça fait bizarre, mais après c’est rigolo ! » sourit Chanayze, sur son poney. Cécile, professeur d’équitation au centre équestre de Tinqueux, sait parfaitement, par une approche ludique, rassurer les jeunes débutants : « Une heure trente, c’est peu pour apprendre les bases, s’arrêter, tourner et faire de petits exercices ». Au gymnase François-Legros, ça marche… sur des roulettes : casqués et protégés, les enfants disputent un match de « roller-hockey » en toute sécurité. Les centres ont tous fait le plein. 300 enfants ont fréquenté chaque jour le dispositif, qui a mobilisé une trentaine d’encadrants, animateurs et éducateurs sportifs (Etaps).

Prochain rendez-vous du 23 avril au 4 mai. Inscriptions dès le 26 mars.

 

 

 

 

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l’union120311b
Tennis / Indécision à Vertus

Avec des effectifs stables (145 inscrits), le tournoi du TC Vertus s’annonce, pour la troisième édition de sa version hivernale - la 21e au total -, particulièrement indécis. Le tableau masculin a réuni huit 15/3 (limite des inscriptions) et presque autant de 15/4 !

Pas facile dans ces conditions de se livrer au petit jeu des pronostics même si Tony Marchal (Asca Châlons), Safwane Arfaoui (Saint-Martin-sur-le-Pré) ou les sociétaires de Géo-André, Raphaël Mension et Martin Benoit, possèdent de sérieuses chances.

Ouvert jusqu’à 15/2, le tableau féminin devrait se jouer à ce niveau entre Estelle Levasseur (ASPTT Epernay) et les Cormontreuilloises Stéphanie Abraham et Mélissa Noizet. A moins que l’expérimentée 15/3 Catherine Départ (Chouilly) ne bouscule la hiérarchie.

AUJOURD’HUI. - 8 h 30 : demi-finales dames ; 10 heures : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.

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l’union120311a
Reims : série de feux

La nuit de vendredi à samedi a été agitée à Reims : trois voitures ont brûlé, rue Paul Vaillant-Couturier à 22 h 40, rue de Canterbury à 23 h 45 et rue Sidi Bel Abbes à 0 h 30.

Juste avant, c’est un scooter qui est parti en fumée, avenue Bonaparte.

Enfin, les pompiers ont été appelés pour un feu de poubelle allée des Provençaux samedi vers 6 heures.

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L’hebdo du vendredi- N° 250 - 120309b
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 250 - Semaine du 09 au 15 mars 2012

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Exposition - BU Robert de Sorbon : BD et littérature : « Les belles rencontres »

« Les belles rencontres » propose de découvrir les adapations en BD de grands classiques de la littérature.
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Jusqu’au 29 mars, la bibliothèque universitaire Robert de Sorbon s’ouvre à la bande dessinée dans le cadre de l’exposition « Les belles rencontres ».

Réalisée par l’association « On a marché sur la bulle » qui organise le festival BD d’Amiens, cette exposition propose de découvrir de grandes oeuvres littéraires adaptées en bande dessinée. Car non, le 9ème art ce n’est pas que des gros nez et des héros sans âge. Cela fait bien longtemps maintenant que ce médium explore tous les genres, de l’humour au polar en passant les récits historiques. Avec « Les belles rencontres », c’est donc la littérature adaptée en BD qui est mise en lumière. Vingt mille lieues sous les mers, Les voyages de Gulliver, L’étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde, Sans famille et Oliver Twist sont autant de classiques qui ont été transposés en bande dessinée. Les auteurs, scénaristes et dessinateurs, se nourrissent bien sûr de l’oeuvre originale tout en posant leur patte personnelle, leur vision du monde.

Dans cette exposition c’est donc une sélection de 14 livres et séries qui sont présentés, parmi les plus grandes réussites en termes d’adaptations littéraires en bandes dessinées. Recherche sur les personnages, scénario et découpage, codes narratifs et cinématographiques, crayonnés et encrage ou encore mise en couleurs, toutes les étapes de l’adaptation sont ici dévoilées.

J.D

« Les belles rencontres », à voir jusqu’au 29 mars à la bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, campus Croix-Rouge à Reims.

Rens. : www.univ-reims.fr

Liens :
www.univ-reims.fr
bd.amiens.com


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Déchets ménagers : Pleins feux sur l’incinérateur

Le hall de déchargement, totalement détruit par l’incendie, a été reconstruit à l’identique.
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Après huit mois d’arrêt, l’usine RéMIVAL a enfin repris une activité normale.
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A l’arrêt depuis l’été dernier, suite à un incendie d’origine indéterminée, RéMIVAL, l’usine d’incinération des déchets ménagers non recyclables de l’agglomération de Reims gérée par le groupe Veolia, fonctionne à nouveau. Huit mois de travaux auront été nécessaire pour remettre en état le hall de déchargement par lequel entre en moyenne plus de 350 tonnes de déchets chaque jour.

Le 3 juillet dernier, aux alentours de 21h, un incendie se déclarait dans l’enceinte de l’usine d’incinération des déchets ménagers située dans la zone industrielle Farman. Plus de 70 pompiers étaient alors dépêchés sur les lieux. Le lendemain, ils étaient encore 25 à se relayer pour lutter contre les dernières flammes. Bilan de cet incendie dont la cause n’a jamais pu être déterminée ? La destruction totale du hall de déchargement de 1500m2, porte d’entrée obligatoire des déchets dans l’usine avant leur incinération. Conséquence ? L’arrêt forcé de l’usine et pour Reims Métropole, l’obligation de trouver rapidement une solution pour traiter ses déchets. Heureusement, dès le lendemain de l’incendie, une nouvelle organisation était mise en place grâce à la solidarité territoriale. En effet, les services de l’État, le SYCODEC, le SYVALOM, deux syndicats réunissant des communes proches de Reims, trouvaient un accord pour le transfert et le traitement des déchets provenant de l’agglomération rémoise sur les sites dédiés à ces syndicats, si bien que la collecte des déchets ménagers auprès des habitants était maintenue.

Ainsi, pendant les huit mois d’arrêt de l’usine, 80% des déchets produits par l’agglomération rémoise ont été dirigée vers la zone d’enfouissement de Beine-Nauroy, tandis que les 20% restants, transitant par Witry-les-Reims, sont partis pour l’usine d’incinération de la Veuve, près de Châlons-en-Champagne, deux sites gérés également par le groupe Veolia. « L’usine RéMIVAL valorise les déchets en les transformant en électricité et en envoyant de la vapeur à la chaufferie du quartier Croix-Rouge qui assure la production d’eau chaude domestique, à Beine-Nauroy, ils ont été valorisés en biogaz tandis qu’à la veuve, ils ont également permis de produire l’électricité », explique Sandra Ipinazar, responsable depuis 2008 de l’usine RéMIVAL.

Aujourd’hui, les stigmates du sinistre ont quasiment disparu. « Le hall de déchargement a été reconstruit à l’identique et les murs abîmés par les fumées ont été repeints », précise Sandra Ipinazar. « Il ne reste que les aménagements paysagers extérieurs à réaliser. » Si le groupe Veolia n’a pas souhaiter communiqué le coût des travaux, Carole Le Breton, responsable du traitement des déchets à Reims Métropole, assure qu’ils n’ont rien coûté aux usagers : « Si l’usine appartient à Reims Métropole, c’est le groupe Veolia qui a en charge son exploitation dans le cadre d’une concession de service public et donc qui assume les risques et périls ». Depuis le 20 janvier, l’usine a donc été progressivement remise en activité avec de multiples réglages pour garantir son bon fonctionnement. Et c’est finalement depuis le 17 février que l’activité à RéMIVAL a repris son cours normal.

Julien Debant

RéMIVAL en chiffres

Mise en service : janvier 1989
Effectif : 25 salariés
Fonctionnement : tous les jours, 24h/24
Capacité annuelle de traitement : 96 000 tonnes
Déchets réellement traités : 80 000 tonnes

Cet espace conjuguera des locaux d’entreprises, des logements et quelques commerces au cœur du plus grand quartier de Reims.

APPELEZ-le « Polidrome ». Un nom biscornu qui cache un projet des plus intéressants au beau milieu du quartier Croix-Rouge, à deux pas de l’hippodrome. En septembre, date de livraison de ce grand complexe immobilier, la friche laissée par le départ d’un organisme bancaire ne sera plus qu’un lointain souvenir. L’Effort rémois met donc le paquet. Sur deux hectares, 13 000 mètres carrés de locaux d’activités vont voir le jour, avec trente-deux espaces modulables sur quatre niveaux différents. Ces espaces destinés aux activités économiques disposeront par ailleurs d’espaces d’archivages dans les sous-sols de ce bâtiment.

Toujours pour accueillir au mieux les entrepreneurs, une cafétéria et une salle de réception seront à la disposition de tous les salariés. Et comme la vie de l’entreprise est plus que jamais en pleine mutation, les salariés disposeront d’une salle de sport ainsi que d’une microcrèche au pied de leur immeuble. Mais il n’y aura pas que des bureaux et de l’activité économique à l’angle de l’avenue Schuman et de l’allée des Landais. En effet, des dizaines de logements verront le jour. Pour certains même, en accession à la propriété.

69 logements pour les jeunes salariés

L’Effort rémois prévoit un dispositif habitat dans son « Polidrome ». Soixante-neuf logements seront édifiés. Ces appartements seront accessibles à la location à la fin de l’année 2013. Plus intéressant que cette seule offre locative, le public visé pour investir ces appartements. Ils seront en effet destinés à l’usage des jeunes salariés, des étudiants ou des personnes en formation professionnelle. Deux autres immeubles collectifs d’une cinquantaine de logements, du type 2 au type 5, seront proposés à l’accession à la propriété. Pour compléter ce parc immobilier, huit maisons basse consommation (type 4 et type 5) seront mises en vente « à des prix attractifs », sans plus de détail pour le moment.

À noter que ce programme de construction ne fait pas partie de l’Anru (agence en charge de la rénovation urbaine) mais qu’il vient en complément de ce dispositif avec 127 logements au total. Histoire de changer un peu plus l’image et l’offre immobilière dans le quartier Croix-Rouge.

Th.D.

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Architecture novatrice

L’ancien site de la banque HSBC va subir une métamorphose et c’est tant mieux. La friche ne sera plus en septembre prochain. De ce bâtiment en béton armé des années 70, énergivore par essence, seule l’enveloppe a été conservée. D’énormes aménagements au niveau de l’isolation ont été réalisés selon les normes BBC (bâtiment basse consommation). Deux aménagements seront à remarquer : le patio central et les façades qui seront végétalisées. Pour réaliser le patio, un puits de 900 m2 a été creusé. Le bâtiment a littéralement été évidé. Autre point à remarquer, les façades sud et ouest, construites en bois, seront quasiment entièrement recouvertes de végétation, soit 2 000 m2. Les deux autres façades du bâtiment seront, pour l’une vitrée, pour l’autre totalement en bois.

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l’union120308c
Danse sur glace / France 8 + 5 = 51

Océane Goyard-Gully et Juliette Wary défendront les couleurs marnaises sur la glace rémoise.
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Les classements nationaux sont tombés. Avant l’officialisation, treize Marnais (huit Rémois, cinq Châlonnais) font partie des dix meilleurs de leur catégorie et seront invités à le démontrer lors des championnats de France solos qui se dérouleront à Reims du 7 au 9 avril.

Rap Reims : Alan Dasilva Moutinho (benjamin 1), Myrtille Navarro, Clémentine Rocher (minimes 1), Jeanne Reppel (Novices 1), Juliette Wary, Renan Manceaux (Novices 2), Camille Renault (Espoirs)

Châlons : Lila-Maya Seclet-Monchot (poussins), Lena Bailly (minimes 1), Chloé Aubriet (minimes 2), Marion Lecomte, Océane Goyard-Gully (Novices 2).

 

 

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l’union120308b
REIMS / Détention de cocaïne : Bientôt au tribunal

Un couple de Rémois devra se présenter prochainement devant le tribunal correctionnel pour répondre de détention de stupéfiants.

Mardi, vers 16 h 15, les policiers de la brigade anticriminalité (Bac) ont interpellé dans le quartier Croix-Rouge l’homme et la femme, respectivement âgés de 20 et 24 ans, en possession de deux grammes de cocaïne.

Ils ont été remis en liberté à l’issue de leur garde à vue, mais avec une convocation en poche devant le tribunal.

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l’union120308a
La direction de RMS sur scène

La direction de l’école supérieure de commerce de Reims RMS met la main à la pâte pour recueillir des fonds à destination de sa fondation : ce jeudi 8 mars, elle montera sur scène et se produira dans le cadre d’un gala de musique, chant et théâtre. Les professeurs et l’administration de l’école feront aussi partie des artistes d’un soir.

Rendez-vous (ouvert à tous) à partir de 18 h 15 au campus 1 de l’école, rue Pierre-Taittinger (Croix-Rouge).

Entrée 5 euros.

Les fonds recueillis serviront à alimenter des bourses d’études pour- étudiants sans grands moyens.

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l’union120307e
Bon plan : Un nouveau chantier jeunes à Croix-du-Sud

Ancien artisan du bâtiment, Mustapha Adoucah, ici avec David Gameiro, supervise les travaux.
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- Voir toutes les photos.

L’Effort rémois a organisé, une semaine durant, un nouveau chantier jeunes, sur le site de Croix-du-Sud, avec une dizaine de jeunes du quartier, en collaboration avec le Service départemental de prévention (avec Cédric Benadjaoud, éducateur sur Croix-du-Sud) et la maison de quartier Croix-Rouge (avec David Gameiro, animateur jeunesse).

Ce chantier s’inscrit dans la continuité de ce qui a été fait au 2, place Georges-Braque en décembre dernier (l’union du mardi 3 janvier), dans le cadre d’un projet Scop’Ados (coopérative montée par et pour les ados), un service mis en place pour proposer, par des activités de production à caractère éducatif, l’organisation et le financement de projets de loisirs et de découverte, tout en développant des processus de socialisation dans une démarche de prévention.

Lorsque toutes les étapes ont été réalisées, chaque jeune se voit remettre une bourse qui sera utilisée collectivement, pour une sortie ou un voyage par exemple.

Leur contrat a été précisé par Nicolas Quinquis, adjoint au responsable de l’agence Croix-du-Sud : « les jeunes travailleurs seront chargés du nettoyage des abords du 4, esplanade Paul-Cézanne, de la remise en peinture des poteaux et murs et du nettoyage avant remise en place des pots en béton destinés à recevoir des plantations ».

Les intervenants, Brian, Carlos, Iliam, Issam, Mamadou, Maxime 1, Maxime 2 et Samien, ainsi que Mustapha Adoucah, ancien artisan peintre, venu les faire profiter de son expérience professionnelle et de ses conseils, ont organisé, au terme de cette semaine, un « goûter-rencontre » avec les habitants de l’immeuble afin de leur présenter les travaux réalisés, occasion de « les découvrir et les regarder d’une autre manière ».

Parallèlement, un reportage vidéo sera réalisé pour, en fin d’année 2012, créer une compilation de l’ensemble des chantiers et projets réalisés cette année.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union120307d
La médiathèque Croix-Rouge soigne son réseau

Jean-André Ithier, conservateur responsable de la médiathèque, a animé la réunion.
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Depuis son ouverture, la médiathèque Croix-Rouge fait beaucoup d’efforts pour être un acteur de la vie de quartier en collaborant avec les différentes structures locales.

Dans le but de mieux se faire connaître et d’étoffer cette collaboration, le conservateur responsable de la médiathèque Jean-André Ithier les a accueillies « pour une présentation des services et de l’action culturelle de cet établissement ».

Etaient présents : l’Université, Job’s 51, Reims habitat, l’Effort rémois, le Manège, la Cartonnerie, la Mission locale, les maisons de quartier (Val-de-Murigny, Turenne, Croix-Rouge : espaces Watteau et Pays-de-France), le CSD, la coordonnatrice du réseau ambition réussite Joliot-Curie, des conseillères pédagogiques (dont celle de l’inspection Reims Ouest), le Pôle Emploi, l’AFEV, la Maison de l’enfance, le Service départemental de prévention, « mais aussi des artistes avec lesquels nous travaillons comme le collectif Eutectif ou la compagnie Succursale 101 ». Pour Jean-André Ithier, « il s’agissait moins de prendre des décisions que de présenter nos services et nos actions culturelles 2012 aux partenaires, de communiquer sur nos projets, les nouveautés, etc. »

Cependant, « cela a aussi été l’occasion de renouer avec l’un ou l’autre (par exemple prévoir le renouvellement de la convention passée avec le Pole Emploi, sur la base d’une formation par leurs services de nos agents du secteur emploi-formation), ou de convenir de projets à mener en commun, autour du Slam par exemple avec le Service départemental de Prévention, la maison de quartier Croix-Rouge et l’Effort rémois ».

Déjà, les graines plantées commencent à germer : « une association nous a contactés pour récupérer les invendus de la braderie annuelle pour les enfants malgaches, une autre pour organiser des lectures théâtralisées auprès d’un groupe familial, une autre encore pour un projet de graff avec des jeunes du quartier ».

Pour toutes nouvelles propositions, contacter Jean-André Ithier, conservateur responsable de la médiathèque Croix-Rouge, tél. 03.26.35.68.45.

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l’union120307c
Deux animations en mars : Loto et belote à l’Étoile Croix-du-Sud

Les lotos de l’Étoile font toujours salle comble.
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L’association Étoile Croix-du-Sud organise deux animations publiques début mars.

Une soirée loto aura d’abord lieu le vendredi 9 mars. Ouverture des portes à 19 heures, début des jeux à 20 heures. Tarifs : 1 carton 2 euros, 3 cartons 5 euros, 10 cartons 15 euros. Nombreux lots en jeu : téléviseur, aspirateur, appareil photo, carton de champagne, etc.

Puis un concours de belote sera organisé le dimanche 11 mars. Inscriptions à 13 h 30, début du jeu à 14 heures, lots pour tous.

Pour le loto et la belote, le nombre de places est limité. Petite restauration et buvette dans la salle.

Renseignements auprès du président Jean-Michel Gauthier. Réservations au secrétariat de l’association 5, avenue Léon-Blum, ouvert du lundi au jeudi de 9 à 12 heures et de 14 à 16 heures (tél. 03.26.06.56.66.).

 

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l’union120307b
Tennis / Tournoi Jeunes de La Nautique Une finale qui en dit long

Fierté bien légitime pour Michel Brixy, le président du club.
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Signe évident de la valeur des jeunes pousses, il a fallu patienter plus longtemps que prévu pour connaître le dénouement final. Une fois retombée la tension des courts, Catherine Crozat a proclamé les résultats du Tournoi Jeunes de tennis de la Société nautique d’Epernay qui s’est déroulé du 22 février au 2 mars. Avec une participation en augmentation, 16 filles et 89 garçons contre 14 filles et 77 garçons l’an passé.

Le palmarès

- Filles 10 ans (sous forme de poule) : 1re Lara Nasser (40 TC Bezannes), 2e Jeanne Renault (30/5 TC Dormans).
- Filles 11-12 ans : vainqueur Elodie Brunot (30/2 TC Saint-Memmie), 6/4-6/4, finaliste Océane Thillerot (30/4 TC Courtisols).
- Filles 13-14 ans : vainqueur Camille Dupont (30/4 Société Nautique Epernay), 6/2-2/6-7/6, finaliste : Lucie De Sousa (30/4 Société Nautique Epernay).
- Garçons 9 ans : vainqueur Naël Nasser (30/5 TC Bezannes), 5/3-5/1, finaliste Arthus de la Bassetière (30/5 Cormontreuil TC).
- Garçons 10 ans : vainqueur Matis Amier (30/1 Société Nautique Epernay), 5/1-5/0, finaliste Noé Desanlis (30/1 Société Nautique Epernay).
- Garçons 11-12 ans : vainqueur Noa Lopes (15/5 Reims Europe Club), 6/3-6/1, finaliste Matis Amier (30/1 Société Nautique Epernay).
- Garçons 13/14 ans : vainqueur Rubens Groulez (15/5 ASPTT Châlons-en-Champagne), 7/5-6/0, finaliste Enzo Inacio (15/5 ES Bergères Tennis).
- Garçons 15-16 ans : vainqueur Mikolaj Woynar (15 TC Géo-André) 6/2-7/6, finaliste Louis Compas (15/1 TC G-A).

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l’union120307a
Un couple sous tutelle séquestré chez lui

Séquestré pendant plus de neuf heures. Battu et volé à son domicile. Un couple de quinquagénaires placés sous tutelle a littéralement subi le calvaire, samedi, dans son logement de l’avenue Bonaparte, à Reims, après avoir été enfermé à l’intérieur par un homme qui n’a pas hésité à céder contre lui à un véritable déchaînement de violences afin de lui voler bijoux et carte bleue.

Il n’était pas encore 14 heures quand ce dernier a commencé par agresser l’époux devant un bureau de tabac. Mais au lieu d’en rester là, celui-ci a alors entrepris de suivre le quinquagénaire, âgé de 51 ans, jusqu’à son domicile où l’attendait son épouse, âgée de 49 ans. Et parvenu sur place, de le faire entrer de force.

Les coups n’ont alors pas tardé à pleuvoir. Après avoir verrouillé la porte, mis les clés dans sa poche afin d’empêcher le couple de sortir, l’individu a aussitôt ordonné qu’on lui remette des bijoux. Mais devant son refus, celui-ci n’a pas manqué de perdre patience, finissant par frapper l’époux et se saisir ainsi de plusieurs bijoux par la force. De même qu’une carte bancaire.

L’histoire aurait pu s’arrêter là si l’agresseur n’avait pas été rejoint, au bout d’un moment, par un complice qui, lui aussi, n’a pas trouvé mieux que de participer au vol et frapper à son tour, en l’occurrence l’épouse.

La séquestration du couple a ainsi duré de 14 heures à 23 h 15. Plus de neuf heures de terreur, au cours desquelles le dénommé Mallé Kanté, 32 ans, a pris le temps, entre deux coups portés au couple, de vider une bouteille de whisky qu’il avait emportée avec lui. Pour se donner du courage ? L’histoire, hélas, ne le dit pas.

Une fois leur forfait accompli, les deux hommes ont pris la fuite dans les rues de la cité des sacres, laissant derrière eux leurs deux victimes traumatisées, enfermées chez elles à double tour. Grâce à leur signalement, les policiers rémois n’ont cependant pas eu de mal à identifier Mallé Kanté, tristement connu de leurs services, puis à l’interpeller. Remis en liberté à l’issue de sa garde à vue, celui-ci a finalement quitté l’hôtel de police avec une convocation en poche devant le tribunal correctionnel de Reims. Le 7 mai prochain, il devra répondre à la barre de séquestration de moins de sept jours, vols avec violences en réunion et violences aggravées. Seul. Son complice, lui, court toujours.

F.B.

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l’union120306d
Football : les tournois en salle se suivent

Les U11 taissotins encadrés par Bastien Rogez.
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TAISSY (Marne). Après les U10, le second week-end de foot en salle organisé par l’Association sportive de Taissy et Saint-Léonard a débuté samedi avec les débutants (U6/U7). Vingt-quatre équipes de jeunes footballeurs se sont rencontrées au sein de la salle des sports de Taissy. Elles ont disputé des petits matches à 3 contre 3 sans gardien. Un goûter offert à tous a conclu cette belle matinée.

L’après-midi, douze équipes de U8 et U9 leur succédaient : Taissy, Sainte-Anne, Tinqueux, Acrap (2), Witry-les-Reims, Stade de Reims, La Neuvillette, AS Murigny (2), Saint-Brice-Courcelles et Nord Champagne. La journée n’était pas encore terminée. En fin d’après-midi, ce sont les U11 Promotion qui se retrouvaient dans la même. Outre trois équipes de Taissy, étaient également présents : Prunay (2 équipes), Witry-les-Reims, Acrap, Tinqueux et Saint-Brice.

A l’issue de la journée, c’est Tinqueux qui s’imposait devant deux équipes de Taissy et l’Acrap. Une médaille est venue récompenser tous les participants.

Rappelons que les tournois d’été sont déjà programmés : jeudi 17 mai : U7, U8 et U9 ; 26 et 27 mai (Pentecôte) : les U10 et U11 et les 16 et 17 juin, les U13. A noter encore que le club enregistre les inscriptions pour la deuxième partie de la saison pour les jeunes de 6 à 13 ans. Renseignements au 06.03.70.76.10. www.astaissy.com

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l’union120306c
Les Harkis à l’honneur pendant un mois

Des Harkis rémois ont témoigné.
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Des souvenirs encore très présents dans les coeurs des Harkis.
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REIMS (Marne). Collabos pour les uns, traîtres pour les autres, les Harkis arrivés d’Algérie en ont bavé. La Licra souhaite le rappeler pour mieux le dénoncer.

ILS n’ont pas choisi d’être contre l’Algérie ou pour la France. Ils étaient Français. Pourtant les Harkis en ont bavé. Considérés comme des collabos par ceux avec qui ils ont combattu et comme des traîtres par leur peuple. Ceux qui n’ont pu quitter l’Algérie ont subi les pires représailles. Ceux qui ont atterri dans des camps de fortune en France se sont vite retrouvés en butte à un double racisme.

A Reims, ils ont été installés dans le quartier des Epinettes, anciennement appelé Pont de Witry. Ils y ont fait leur vie aussi bien qu’ils ont pu. Leurs enfants ont grandi dans des blocs qui n’avaient rien de luxueux. Aujourd’hui ce quartier est enfin en cours de rénovation. C’est en partie ce qui a décidé la section rémoise de la Licra à ressortir de l’ombre ce triste destin pour mieux en penser les plaies. « Avec les reconstructions, les Harkis de Reims se retrouvent dispersés dans la ville.

Nous nous sommes dit que c’était le bon moment de rappeler leur histoire et celle de leur quartier. Cela correspond en plus avec le 50e anniversaire des accords d’Evian qui ont scellé leur destin », explique Claude Sécroun, président de la Licra.

Expositions, conférence et film

Ce travail de mémoire durera un mois. A partir de mercredi 7 mars, une série de manifestations est organisée à la mémoire de ces victimes de l’histoire.

Une exposition intitulée « Les Harkis dans la colonisation et ses suites » sera proposée successivement à la maison de quartier Clairmarais, à l’institut des travailleurs sociaux, à la maison de la vie associative et à l’hôtel de ville*. Une visite commentée de l’exposition par l’écrivain et cofondatrice de l’association Harkis et droits de l’homme Fatima Besnaci-Lancou, est organisée le lundi 2 avril à 18 heures.

Toujours ce lundi 2 avril, se tiendra à 18 h 30 une conférence à l’hôtel de ville qui aura pour thème : « La traversée de la Méditerranée en 1962 racontée par les femmes de Harkis ». Enfin, la première partie du film Mektoub, histoire des Harkis de Reims, sera projeté vendredi 9 mars à 19 heures à la maison de quartier Clairmarais et jeudi 22 mars à 18 heures à la maison de quartier des Épinettes.

Catherine FREY

(*) Exposition

- Du mercredi 7 au mardi 13 mars à la maison de quartier de Clairmarais, 73 rue Alexandre-Henrot. - — Du mercredi 14 au dimanche 25 mars à l’institut régional des travailleurs sociaux (IRTS) 8 rue Joliot-Curie.
- Du lundi 26 au samedi 31 mars à la maison des associations, 122 rue du Barbâtre.
- Du lundi 2 au samedi 7 avril à l’hôtel de ville.

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l’union120306b
Danse sur glace / Les Marnais marquent des points

La Châlonnaise Léna Bailly (minimes 1) a brillé au Havre. Christian LANTENOIS
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La rémoise Alan Da Silva Moutinho, vainqueur chez les benjamins.
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Châlons sur les deux tableaux

Barbara Piton est un entraîneur comblé. La Châlonnaise a fait pratiquement carton plein lors de la dernière étape, au Havre, avant les finales des championnats de France (couples les 24 et 25 mars à Brive, solos du 7 au 9 avril à Reims).

Mieux, ses élèves viseront « un podium » et pourquoi pas la plus haute marche. Les résultats obtenus en Normandie vont, en effet, permettre à Lila-Maya Seclet-Monchot (poussins), Léna Bailly (minimes 1) et Marion Lecomte (Novices 1) de conforter (pour les deux premières) ou d’améliorer leur classement après la 5e compétition nationale.

« Nos couples seront également candidats au titre », ajoute-t-elle. Lili-Rose Plomion/Adrien Masseron (pré-bronze) et Mathilde Dias/Jason Huon, vainqueurs au Havre, tenteront de confirmer ce dont le comité national est persuadé : Châlons est une place forte de la formation des couples.

Reims, belle équipe

Comme à Cholet lors de la première compétition de la saison, le Rap (Reims Acrap patinage) a remporté le classement par équipes.

Cinq podiums ont récompensé les efforts des élèves de Ludivine Lemaire avec une mention particulière pour Alan Da Silva Moutinho, vainqueur chez les benjamins ainsi que pour les deux deuxièmes, Evangéline Braconnier et Juliette Wary.

« On attend les classements et on espère huit finalistes », souligne le président Jean-Luc Ployé. « Ce serait une belle réussite pour les dix ans du club », ajoute la technicienne rémoise, qui pourrait avoir des qualifiés dans six catégories différentes.

Que rêver de mieux quand on sait que l’apothéose de la saison - le championnat de France avec dix qualifiés par catégorie - se déroule chez soi ?

Y.D.

SOLOS.

- Poussins : 1. Lila-Maya Seclet-Monchot (Châlons) ; 5. Rose Dongois (Rap Reims).
- Benjamins 1 : 1. Alan Da Silva Moutinho (Rap) ;
- benjamins 2 : 2. Evangéline Braconnier (Rap) ; 6. Jeanne Georges (Rap).
- Minimes 1 : 1. Léna Bailly (Châlons) ; 4. Myrtille Navarro (Rap) ; 7. Clémentine Rocher (Rap) ; 9. Marine Mélis (Rap) ;
- minimes 2 : 6. Clémence Christy (Châlons) ; 8. Chloé Aubriet (Châlons) ; 13. Victoire Plomion (Châlons) ; 17. Ylona Kebe (Rap).
- Novices 1 : 1. Marion Lecomte (Châlons) ; 2. Océane Goyard-Gully (Châlons) ; 3. Jeanne Reppel (Rap) ;
- Novices 2 : 2. Juliette Wary (Rap) ; 5. Renan Manceaux (Rap) ; 7. Camille Leblon (Rap) ;
- Novices 3 : 7. Anaïs Milard (Rap).
- Espoirs 1 : 3. Camille Renault (Rap) ; 8. Eva Lemaire (Rap) ;
- Juniors-seniors : 9. Vinciane Manceaux (Rap) ; 10. Solène Manceaux (Rap).

COUPLES.

- Pré-Bronze : 1. Lili-Rose Plomion/Adrien Masseron (Châlons) ;
- Argent : 1. Mathilde Dias/Jason Huon (Châlons).

Classement clubs : 1. Rap Reims ; 2. Châlons.

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l’union120306a
Service communal d’hygiène et de santé / Les vaccinations du mois de mars

Le service communal d’hygiène et de santé de la Ville de Reims organise régulièrement des séances de vaccinations au siège ou dans les quartiers.

Les prochaines se dérouleront :

- Mercredi 14 mars. De 14 à 15 heures, à la Maison de quartier Croix-Rouge - Espace Billard 14, rue Pierre-Taittinger. Tél.03.26.08.08.78.
- Jeudi 15 mars . De 13 à 16 heures au service communal d’hygiène et de santé , 33 bis, rue Laurent Déramez. Tél. 03.26.35.68.78.
- Mardi 20 mars . De 17 h 30 à 19 heures à la Maison des Préventions , 11, rue Eugène-Wiet. Tél.03.26.35.60.50.
- Jeudi 22 mars . De 13 à 16 heures au service communal d’hygiène et de santé, 33 bis, rue Laurent - Déramez. Tél.03.26.35.68.78

Pour tous renseignements :

- service communal d’hygiène et de santé, 33 bis, rue Laurent-Déramez . --- Du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 h 30 (17 heures le vendredi).
- Accueil : tél.03.26.35.68.70 ou tél.03.26.35.68.71
- Vaccinations : tél.03.26.35.68.78 ou tél.03.26.35.68.79 schs.vaccinations@mairie-reims.fr

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l’union120305c
Tennis (Reims Europe Club) / Amélie et Yvan visas pour Paris

La photo de famille 2012, en compagnie de Frédéric Chauvin et avec les deux qualifiés, en tee-shirt blanc, pour la BNP Paribas Cup : Amélie Lamothe et Yvan Prault, 2e et 8e à partir de la droite.
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178 inscrits dont 57 pour la seule catégorie des 13-14 ans pour laquelle était en jeu un billet pour la BNP Paribas Cup (*) organisée par le Stade Français, du 26 mai au 9 juin : les matches se sont enchaînés sur les courts couverts et rénovés du Reims Europe Club. Jusqu’à vendredi où se sont disputées les finales.

Sur huit confrontations, deux ont été remportés par le REC (Maxime Dubouch et Noa Lopes) et quatre par Géo-André Reims qui a trusté les deux visas pour Paris grâce à Amélie Lamothe et Yvan Prault.

La première a réalisé le doublé 13-14 et 15-16. Le second (15/5) a aligné une série de cinq victoires, avec en prime trois perfs : une à 15/4 et deux à 15/3 face respectivement à Baptiste Breton (6-3, 6-0), Jalal Magoma (6-1, 6-7, 6-1) et Pierre Lebailly (7-6, 6-1).

Suite de l’aventure le 30 juin sur la terre battue de Saint-Cloud pour le tableau national, les qualifs internationales ayant lieu du 9 au 15 juillet.

(*) Epreuve internationale sur le mode des Petits As de Tarbes (12-14 ans).

FILLES

- 9-10 ans : Ania Renard (Guignicourt) bat Lou-Anne Deglaire (Villers-Semeuse) 5-0, 5-1 ;
- 11-12 ans : Emma Cuny (AS Châlons) bat Elise Renard (Guignicourt) 7-5, 6-4 ;
- 13-14 ans : Amélie Lamothe (Géo-André Reims) bat Elise Renard (Guignicourt) 6-3, 6-2 ;
- 15-16 ans : Amélie Lamothe (Géo-André Reims- bat Laury Oudin (Cormontreuil) 6-2, 6-1.

GARÇONS

- 9-10 ans : Maxime Dubouch (Reims Europe Club) bat Alex Girondin (Saint-Dizier) 5-1, 5-3 ;
- 11-12 ans : Noa Lopes (Reims Europe Club) bat Clément Zarev (Reims Europe club) 6-2, 6-3 ;
- 13-14 ans : Yvan Prault (Géo-André) bat Pierre Lebailly (Bois-Guillaume) 7-6, 6-1 ;
- 15-16 ans : Mikolaj Woynar (Géo-André) bat Corentin Fazillau (Vaure) 6-2, 6-1.

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l’union120305b
Il menace de mort sa fille enceinte

REIMS (Marne). Des mots qui vont trop loin, un taux d’alcool qui crève le plafond. C’est un drame intra-familial qui aurait pu se nouer, avenue François-Mauriac, vendredi, peu après 1 heure du matin. Un homme et sa famille se trouvent dans leur appartement. La fille de 40 ans doit avouer une chose importante à son père qui lui, flirte avec les 70 printemps. La nouvelle est effectivement de taille : le septuagénaire doit devenir grand-père dans quelques mois.

357 Magnum

Passablement alcoolisé, le sang du futur grand-père ne fait qu’un tour : il crie, hurle, avant de promettre à sa fille une mort certaine. Là où les choses auraient pu prendre un tour tragique, c’est que cet homme est membre d’un club de tir. Et qu’il dispose donc d’un permis en bonne et due forme pour détenir des armes à son domicile. Et quelles armes ! Plusieurs automatiques. Un 357 Magnum comme dans les films, arme qui est aussi en usage au sein du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (le GIGN). Mais ce n’est pas tout. Dans l’inventaire, les policiers trouveront également un revolver de marque Smith et Wesson ainsi qu’une carabine de chasse estampillée Benelli.

Fort heureusement trop saoul pour pouvoir s’en servir, l’homme n’a pas opposé de résistance aux forces de l’ordre venues le maîtriser. Sa fille avait, par ailleurs, eu le temps de subtiliser l’ensemble de son arsenal. Dégrisé, cet homme a choisi de remettre l’ensemble de ses armes aux forces de police. En attendant une convocation devant la justice.

Th.D.

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l’union120305a
Reims : faits divers

Il se roule un joint en attendant le tram.

Pas de chance pour ce mineur qui attendait le tramway, vendredi soir, aux environs de 23 h 30. Pour tuer le temps, ce jeune homme n’a rien trouvé de mieux à faire que de se rouler un joint en attendant le transport public. Cette séance d’artisanat n’a pas échappé aux fonctionnaires de police qui ont confisqué l’attirail du jeune homme avant de la ramener chez lui, d’où il attendra sa prochaine convocation.

Ivre au volant.

Samedi matin, peu après 3 h 30, une patrouille de police est intriguée par le comportement plus que zigzaguant d’une voiture, allée Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge. Stoppé, le conducteur du véhicule était manifestement ivre. Dégrisé, il a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal en poche.

Délit de fuite.

Samedi matin toujours, un homme a percuté deux lampadaires au niveau du pont de la rue de Venise. A la vue des gyrophares qui s’approchaient, cet homme a tenté de prendre la fuite pour des raisons que l’enquête devra déterminer. Lancés à sa poursuite, plusieurs fonctionnaires de police n’ont pas tardé à lui mettre le grappin dessus. Placé en garde à vue, il a été remis en liberté avec une convocation devant les tribunaux.

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l’union120303c
Les rendez-vous : Vivre à Croix-Rouge

Après-midi d’escalade pour les familles

La prochaine sortie famille de la maison de quartier Croix-Rouge est une « sortie escalade en famille », le lundi 5 mars.

Le rendez-vous est fixé à 13 h 30 devant l’espace Pays-de-France (15, avenue Bonaparte), pour se rendre aux Arts de la grimpe, dans le quartier Wilson. Au programme, pour les 4/6 ans, parcours aventure, pour les 7/12 ans et les parents, escalade. Le retour est prévu vers 15 h 30. Tarif : 2 euros par participant (adhésion famille : 12 euros).

Pour tout renseignement, s’adresser à Alexandra Babin, référent Familles aux espaces Pays-de-France ou Watteau (Tél. 03.26.36.03.50).

L’Acrap en assemblée générale

L’assemblée générale ordinaire de l’Association Croix-Rouge pour l’animation et la promotion (Acrap) se déroulera vendredi 9 mars à 20 h 30, dans la salle polyvalente Jean-Jacques-Lapique.

Pour les élections au conseil d’administration, le président Jean-Pierre Genesseau rappelle : « Il faut avoir la volonté de participer à la vie de l’association en tant qu’acteur et non spectateur. La candidature implique aussi une intégrité morale et l’engagement de ne pas chercher à nuire à l’association ».

Acrap, 11, avenue du Président-Kennedy ((accès impasse avenue Robert-Schuman) - Tél : 03.26.06.39.54. , tramway A ou B, station Kennedy.

Vingt autoportraits en exposition

La médiathèque Croix-Rouge propose, du mardi 6 au samedi 17 mars « Le temps d’un autoportrait, femmes en face à face », une exposition de l’association d’artistes la Vertamande, avec les maisons de quartier Jean-Jaurès (espace Chalet) et Trois-Piliers (lire en page 5).

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Tramway : ligne A, station Médiathèque.

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l’union120303b
Lancement en expositions de la Biennale égalité femmes-hommes

Des « autobiographies visuelles » : des personnages « sortent » des toiles de fond.
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François-Xavier Letournelle et Sylvie Herman découvrent des tirages : superbe !
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REIMS (Marne). À travers le « miroir » d’un objectif, devant une toile créée de leurs mains, des femmes se livrent en se mettant en scène à travers des autoportraits. C’est l’un des tout premiers rendez-vous de la Biennale égalité femmes-hommes, dont voici la teneur.

« J ’AI peint une toile de fond façon puzzle, très colorée. J’avais ramené une grande robe kabyle. J’ai posé devant ma peinture », commente Sylvie. « La peinture ? Ce n’était pas vraiment ma tasse de thé ! J’ai peint un fond avec un soleil et posé avec un masque vénitien », confie Josette. Ces deux femmes font partie d’un groupe hétérogène, soudé autour d’un atelier animé par Sylvie Hermant et François-Xavier Letournelle, artistes plasticiens de l’association « Vertamande ». Certaines sont en situation de fragilité, souvent seules, ont eu parfois un vécu difficile.

Elles viennent pour parler et surtout exister par elles-mêmes. Intitulé « Le temps d’un autoportrait, femmes en face à face », ce projet, accepté et soutenu par la Ville de Reims prolonge « De Bouche à Oreilles », un atelier que menait depuis quatre ans Mone Souk, « référente famille » à la maison de quartier Jean-Jaurès (espace Chalet) et à Trois-Piliers et qui devait s’arrêter en juin. Il a donné naissance à une exposition.

L’un des tout premiers rendez-vous que propose la Biennale égalité femmes-hommes qui sera officiellement inaugurée le mercredi 7 mars à la bibliothèque Jean-Falala, et qui se tiendra jusqu’au 7 avril dans toute la cité des sacres.

S’exprimer, s’accepter

Ces œuvres, et donc cette exposition, ont lentement pris forme. Les participantes à l’atelier ont commencé par se dessiner en binôme, au fusain, au crayon. « Je voulais qu’elles apprennent à avoir un regard sur l’autre, à l’accepter tel qu’il est », raconte Sylvie Hermant, qui ajoute : « Dès qu’on a réussi à obtenir qu’elles arrivent à se regarder telles qu’elles sont, on a pu arriver à l’autoportrait ». François-Xavier Letournelle, qui intervient aussi en « art-thérapie », tenait à ce que ces femmes « puissent exprimer leur propre processus de création ». Elles ont donc réalisé une « toile de fond » et réfléchi à ce que dégageait pour elle cette peinture. « À partir de là, elles ont imaginé des personnages qu’elles ont incarnés devant la toile. Un peu comme si elles sortaient des peintures ». L’artiste prendra, pour chacune, des centaines de photos numériques. « L’appareil photo jouant le rôle de miroir. »

Au final ? De superbes images où transparaissent nostalgies, angoisses, mais aussi joie de vivre. Des univers empreints de poésie et de mystère, nés d’un cheminement où l’intime est devenu acceptable.

Exposition gratuite : dès aujourd’hui et jusqu’au 17 mars à la médiathèque Croix-Rouge. Goûter-vernisssage le 6 à 16 heures. Du 19 au 24 mars à l’espace Chalet, 38 bis, rue de Solférino. Goûter-rencontre le 20 mars à 16 heures. Du 26 au 31 mars à la MQ des Trois-Piliers, 29, rue de Pontgivart. Goûter-rencontre le 27 mars à 16 heures.

 

 

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l’union120303a
Feu de poussette

Hier vers 11 heures, une poussette a pris feu dans les communs d’un immeuble de l’allée des Savoyards, au n°15.Difficile de croire à un court-circuit…

La veille à 13 heures, un cyclomoteur probablement volé a été incendié avenue de l’Yser.

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l’union120302b
Croix-Rouge / Une réhabilitation « cache-misère » ?

« Nous voulons des balcons fermés, comme ceux des bâtiments qui sont en face de notre immeuble », répète la déléguée.
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REIMS (Marne). Depuis quelque temps, les locataires de la résidence du 2, allée des Picards sont sur les nerfs. En cause, la rénovation urbaine. Ils craignent pour la sécurité de leurs enfants.

Beaucoup d’habitants étaient présents, ce mardi soir, devant la résidence du 2, allée des Picards. En nombre pour s’indigner du manque d’intérêt que leur porte leur organisme logeur : le Foyer Rémois.

En effet, depuis plusieurs mois déjà, les locataires de la résidence tentent de faire entendre leur voix, par l’intermédiaire de leurs représentants, sur les multiples défauts dans la logique de construction du bâtiment : balcons dangereux, manque d’intimité, nuisances sonores, humidité… la liste est longue.

« Le tramway passe juste devant chez nous, et fonctionne dès 5 heures du matin, le bruit réveille les gens », indique Victoria, déléguée des locataires. En fait, la ligne de tram passe à près de 300 mètres de cet immeuble et le bruit est largement atténué.

Une autre habitante s’inquiète à juste titre de la sécurité de ses enfants, puisque la petite fille d’une des résidentes a déjà chuté, ce qui lui a valu de passer quatre mois en fauteuil : « Les balcons sont ouverts, seule une barrière nous sépare du vide, je ne suis plus tranquille pour mes enfants quand ils veulent jouer ». Ils se plaignent également de la fermeture d’un parc (remplacé par des bâtiments en dur), mais un autre est ouvert à 300 mètres de chez eux.

Des revendications simples

Les résidents, lassés par leurs démarches infructueuses, ne savent plus quoi faire. « Nos droits de locataires sont bafoués. En tant que citoyens, est-ce là le traitement auquel on doit s’attendre de la part d’un organisme qui prétend utiliser la médiation et la négociation dans le dialogue social ? » clame Mohammed, qui, bien que ne demeurant pas dans la même résidence, s’avère être un sympathisant de la cause venu soutenir ses voisins en détresse.

« Nous voulons des balcons fermés, comme ceux des bâtiments qui sont en face du nôtre », répète la déléguée. Cela permettrait en effet de diminuer le bruit émis par le tram, de réduire le risque pour leurs enfants, de préserver leur intimité…

Malheureusement, le Foyer Rémois fait la sourde oreille, et lorsqu’il répond, c’est pour annoncer qu’il n’y aura pas de changement : « Ils nous disent que nous avons accepté les termes de la réhabilitation, ce sont des menteurs. Dans un courrier qu’ils nous ont envoyé, ils précisent que ce projet a pour but d’apporter une satisfaction à leurs clients en améliorant le confort et le cadre de vie, or nous ne sommes pas satisfaits du tout ! » s’énervent Victoria Djaladyan et Mme Maziz, toutes deux porte-parole des locataires.

« Ces travaux, engagés près de la ligne du tramway, ce n’est que du paraître, un cache-misère destiné à donner une belle image de la ville pour ceux qui envisagent d’y habiter et pour les touristes, mais ce n’est pas pour améliorer les conditions de vie des habitants », proteste Benadela Nasser, qui a répondu présent pour aider les délégués dans leurs démarches.

Une lueur d’espoir est néanmoins permise pour les habitants : les délégués des locataires rencontrent aujourd’hui le Foyer Rémois pour « mener ensemble une réflexion sur l’occultation des balcons, mais sans garantie », explique Christophe Fabert, le directeur de clientèle du Foyer Rémois.

Flavien VAIREAUX

…..

Les réponses du Foyer Rémois

Christophe Faber, directeur de clientèle du Foyer Rémois, s’offusque des propos sur la réhabilitation qui ne serait que de façade : « Le programme de réhabilitation touche l’ensemble du quartier, et non pas uniquement là où passe le tramway ! »

Pour ce qui est des réclamations des locataires, et notamment des balcons jugés dangereux, le directeur affirme que « les balcons sont conformes au standard de sécurité, mais nous comprenons les demandes des habitants. D’ailleurs, avec l’entreprise Pertuy et la maison de l’enfance, nous nous concertons pour répondre à ces demandes. Nous avions, en amont, organisé une réunion d’information, mais aucun locataire ne s’est présenté ».

Quand on lui fait part du fait qu’il suffirait, pour apaiser les tensions, d’aménager des balcons fermés semblables à ceux installés sur l’immeuble d’en face, Christophe Faber nous répond que « le problème, en plus du coût, bien sûr, c’est que ce n’est pas le même architecte, et que quand on réhabilite à l’échelle d’un quartier, on essaye de créer une certaine harmonie afin que toutes les constructions ne soient pas identiques ».

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l’union120302a
Roller Hockey (Elite) / Amiénois revanchards

REIMS (Marne). Les Rapaces vont devoir rebondir. Après un lourd revers à domicile la semaine passée face à Anglet (3-12), la 15e journée offre aux protégés de Kirk French la possibilité de se relancer face à Amiens.

Kirk, la rencontre est-elle capitale ?

« Nous avons besoin de gagner pour rester dans la course au maintien. Nos quatre derniers matches seront importants. Nous devons gagner, même si après il faudra regarder les autres scores ».

Comment abordez-vous ce rendez-vous ?

« Nous sommes plutôt bien. Amiens est une bonne équipe, que nous avons battue. Ce match fut un déclic. Je suis plutôt confiant, chacun sait ce qu’il faudra faire pour gagner ».

Redoutez-vous les Picards ?

« Les Amiénois vont sûrement vouloir se venger du match aller et, en plus, ils ont également besoin de points. Ils viendront pour jouer fort. Nous nous battons pour notre survie, nous n’abandonnerons pas. Il y a toujours une chance ».

DEMAIN, 20 HEURES, GYMNASE FRANÇOIS-LEGROS

REIMS : Garcia Prieto, Ayika, Basset Duplant, French, Beaudouin Page, Bretéché, Delabre, Naud, Rhodes,Tran, Rogé, V et A. Capitaine.

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l’union120301d
Fac de lettres : « les dangers immédiats sont écartés »

Jean-François Boulanger : « Reims arrive en tête dans deux enquêtes nationales sur l’insertion professionnelle des étudiants en lettres ».
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REIMS (Marne). Les problèmes financiers en cours de règlement, l’avenir des enseignements assuré à moyen terme : après deux ans et demi d’exercice, Jean-François Boulanger, le doyen de la faculté de lettres, dresse un bilan positif.

CELA fait deux ans et demi que Jean-François Boulanger assume la responsabilité de doyen de la faculté de lettres sur le campus Croix-Rouge de Reims ; un poste resté longtemps vacant et dont pas grand monde ne semblait vouloir. Lui s’est jeté à l’eau, sachant que de grands défis l’attendaient. Il n’a pas été déçu ; il répond à nos questions.

Quels étaient les problèmes les plus urgents qui se présentaient à vous ?

« Il y avait d’abord un gros problème budgétaire, avec un nombre d’heures complémentaires (les heures sup’des enseignants du supérieur, ndlr) très élevé, il a fallu les réduire sensiblement : nous sommes passés de 12 000 heures par an à 6 000. »

Cela s’est-il fait en douceur, ou plutôt en force ?

« Disons que ça a été assez difficile et long, mais j’ai essayé de privilégier le dialogue. On peut dire qu’aujourd’hui ce problème est en cours de règlement. Mais un deuxième danger menaçait la faculté de lettres, concernant l’habilitation des enseignements. »

C’est-à-dire ?

« C’est-à-dire que certains craignaient que nous soyons réduits au rang de simple collège littéraire, et donc de ne pouvoir dépasser le niveau de la licence dans nos diplômes. »

« Nous ne sommes pas une fabrique de chômeurs »

Et vous êtes rassuré à cet égard ?

« On peut dire en effet que le danger est écarté pour au moins six ans, puisque nous venons de subir l’évaluation de nos formations, et que nous avons obtenu des bonnes notes valables pour cette période.

Dans nos spécialités de mastère, nous avons ainsi eu 10 A, la meilleure note, sur 12 possibles ; en histoire, nous avons même eu le triple A très à la mode ces temps-ci, pour la licence, le mastère et la recherche. Par ailleurs, nous avons aussi obtenu des résultats remarquables dans le domaine de l’insertion professionnelle, alors que l’on entend souvent que les facs de lettres sont des fabriques à chômeurs. »

Je vous écoute…

« Dans deux enquêtes réalisées par le ministère sur les sciences humaines, en 2010 et en 2011, eh bien c’est Reims qui arrive en tête au niveau national, pour l’insertion au niveau mastère, avec 98 % d’étudiants considérés comme insérés 30 mois après l’obtention du diplôme, alors que la moyenne nationale est de 90 % ! »

Le dialogue face aux contestations

Cela veut dire que l’on trouve du travail avec des diplômes de lettres ?

« Oui, cela veut dire aussi que nous proposons de nombreuses formations professionnalisantes, en urbanisme par exemple, en psycho, ou encore en langues, comme la gestion multilingue de l’information. Il y a d’ailleurs toute une culture qui est en train de changer dans ce domaine de l’insertion, qui est devenue une de nos grandes préoccupations, avec celle du meilleur usage de l’argent public. »

Dans un autre registre, la fac de lettres rémoise était aussi assez réputée pour son agitation à caractère politique. On a l’impression que les choses se sont calmées à cet égard…

« Effectivement, et cette agitation contribuait à donner une image plutôt négative ; il y a bien eu quelques velléités de blocage au moment de la réforme des retraites, mais les choses se sont apaisées par le dialogue.

Je suis intervenu directement devant une AG, et j’ai essayé de faire comprendre que le blocage n’était pas forcément la meilleure méthode pour régler le problème ; une prise de conscience semble avoir eu lieu. »

Antoine PARDESSUS

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l’union120301c
Tinqueux : Le 18 mars à Sainte-Bernadette : Un concert pour l’Unicef

Les chorales Val-de-Muire, A tout chœur et Les lundis chantants, sous la direction d’Annie Sallé, participeront au concert.
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Chanter réchauffe le cœur… et d’autant plus lorsque l’on chante pour une association comme l’Unicef qui aide les enfants du monde entier à vivre mieux, à avoir un plus bel avenir. Alors « unissons-nous pour les aider. Tous les enfants ont droit d’être nourris, d’avoir un toit, d’être soignés, d’aller à l’école pour recevoir une éducation, d’être protégés… » En l’église Sainte-Bernadette de Tinqueux le dimanche 18 mars à 16 heures sera donné un concert au profit de l’Unicef avec les chorales Val de Muire, A Tout Chœur et Les Lundis Chantants.

Réservations au 03.26.08.00.28.
Entrées : 9 euros avec réservation - 11 euros sur place, gratuit pour les moins de 12 ans.

 

 

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Violences : Les deux agresseurs d’un passant arrêté

Les deux auteurs d’une agression commise le 13 septembre rue François-Arago ont été retrouvés par la police.

Ce jour-là, un garçon de 20 ans fut insulté sans raison par un excité qui a tenté de le gifler. Un acolyte l’a rejoint en frappant le jeune homme par derrière, d’un coup de poing dans la nuque qui l’a fait chuter au sol. Les deux malfrats l’ont alors roué de coups de pied avant de s’enfuir.

Identifiés, l’un des agresseurs est mineur, l’autre majeur. Ils sont convoqués devant les juridictions compétentes.

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Feux divers

Lundi vers 14 h 30, un incendie a partiellement détruit une BMW garée rue de la Procession et à 22 h 50, les pompiers ont éteint un feu de poubelle rue Pierre-Taittinger.

Mardi à 0 h 45, des détritus ont brûlé chemin des Trois-Fontaines et dans un hall de l’avenue Bonaparte.

Hier vers 4 heures, une Mercedes a pris feu rue de Rilly-la Montagne.

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Insolite : Un geyser sur l’avenue

Impressionnante fontaine sur l’avenue Robert-Schuman.
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Facétie du dégel photographiée la semaine dernière par un lecteur. Vendredi après-midi, Claude Normand a vu un geyser qui semblait surgir des entrailles de l’avenue Robert-Schuman, le long de l’hippodrome.

« Une borne d’incendie avait gelé. Avec le dégel, elle a explosé », explique l’auteur du cliché.

D’où l’apparition de cette impressionnante fontaine qui a craché un volume d’eau difficile à estimer.

Les techniciens ont dû se mouiller pour couper l’alimentation.

 

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Tribunal Correctionnel

Trois affaires de vols jugées au tribunal. Les deux premiers voleurs ont été condamnés, le troisième pédale toujours.

S’IL avait daigné comparaître, Aziz Lahyani aurait peut-être échappé à une peine d’un an ferme avec mandat d’arrêt qui lui vaut maintenant d’être recherché pour incarcération immédiate.

Le 23 décembre 2011, vers midi, la cabine d’un camion est fracturée près de la caserne des pompiers, route de Witry. Un GPS et une sacoche contenant 1 000 € sont dérobés.

La police est prévenue. Lors d’une ronde allée des Perdrix, elle aperçoit un GPS posé sur le tableau de bord d’une voiture en stationnement occupée par deux individus. Vérifications faites, il s’agit du GPS volé dans le camion. Si l’un des occupants est mis hors de cause, il en va différemment du second, Aziz Lahyani, 42 ans, désigné comme l’auteur du vol.

Remis en liberté avec une convocation au tribunal, le prévenu doit autant à son absence qu’à son casier judiciaire les douze mois ferme infligés en répression.

Isaac Lepage, 24 ans, 14 condamnations, est déjà sous les verrous. Il purge dix-huit mois de prison pour le vol d’une voiture dont le conducteur séquestré avec l’aide d’un complice fut obligé de sauter en marche pour s’enfuir.

Aujourd’hui, le jeune homme revient au tribunal pour répondre du vol d’une paire de lunettes Ray-Ban chipée à un passant croisé place d’Erlon, le 31 octobre. Isaac Lepage, alors blessé, l’avait menacé de sa béquille. Reparti clopin-clopant, il ne fut guère en mesure de distancer les policiers appelés à la rescousse.

Le tribunal n’estime pas utile de prolonger sa détention. Il le condamne à un an de prison intégralement assorti d’un sursis avec mise à l’épreuve.

Sprint à l’arraché

Un troisième prévenu s’en sort encore mieux. Le 29 octobre 2010, une jeune femme se rend au supermarché Match de Croix-Rouge pour faire ses courses. Un groupe la baratine sur le parking. Elle fait mine de ne rien entendre.

Lorsqu’elle ressort, un cycliste arrive derrière elle et lui arrache son sac à main. Elle s’accroche à la lanière, ce qui lui vaut d’être projetée à terre. L’individu s’enfuit à grands coups de pédale et manque d’être percuté par un bus en traversant la rue Taittinger.

Peu de temps après, le groupe de jeunes se rassemble autour de la victime. « Ils étaient très nombreux, au moins une vingtaine. Ils m’ont dit que si j’étais gentille, ils restitueraient toutes mes affaires. »

De fait, dix minutes plus tard, quelqu’un se débrouille pour ramener le sac découvert derrière le magasin. Il manque cependant une somme de 200 € ainsi que le téléphone portable (qui sera retrouvé dans un magasin de dépôt-vente).

Interrogé sur le cycliste qu’il a failli renverser, le chauffeur de bus a cru identifier Soufian B., 20 ans.

La victime l’a justement reconnu au sein du groupe, mais sans pouvoir dire si c’était son agresseur car elle n’a vu celui-ci que de dos, la tête enfouie sous une capuche.

Convoqué lundi à la barre, Soufian B. se déclare innocent dans cette affaire. Il obtient gain de cause car le tribunal le relaxe « au bénéfice du doute ». La décision rendue, le jeune homme repart cependant en prison. Libérable en juin 2013, il purge actuellement quelques-unes de ses huit condamnations pour vols.

F.C.


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