Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - janvier 2012.
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Lors de sa dernière réunion le conseil municipal de Reims a voté de nombreuses subventions à des associations pour un montant de 37 665 €. En voici le détail.
Congrès et assemblées générales.- Association des décorés du travail de Reims et des environs : 320 € ; association des veuves et des veufs : 607 € ; amicale des opérés du cœur en Champ’Ard’Aisne : 1 185 € ; mutuelle générale des cheminots : 213 € ; les médaillés militaires de la 138e section de Reims : 320 €.
Actions touristiques.- Association pour le développement de l’activité culturelle du Conservatoire afin de cofinancer la participation à un festival international de chœurs à Saint-Pétersbourg : 1 500 € ; Roseau (séances théâtrales) : 2 400 €.
Subvention aux associations d’étudiants.- Bureau des sports de RMS pour l’organisation de la coupe de France des écoles supérieures de commerce (handball et basket-ball) : 1 500 € ; corporation rémoise des étudiants de Supinfo pour l’organisation d’un national gamin tour : 400 €.
Subvention dans le cadre du dispositif Tremplin sport.- La pédale rémoise : 20 € ; Reims échec et mat : 20 € ; Reims Europe club : 280 € ; judo club Orgeval : 100 € ; Reims natation 89 : 100 € ; Reims basket féminin : 20 € ; Olympique rémois tennis de table : 20 € ; Dojo rémois : 460 € ; Reims champagne handball : 60 € ; roller hockey Reims : 120 € ; association sportive Capoeira à Reims : 20 €.
Subventions à caractère sportif.- Club sportif des sourds de Reims : 800 € ; club de patinage artistique : 600 €.
Projet de lutte contre les discriminations.- Association rémoise contre le racisme : 2 000 €.
Projets pour l’égalité femmes-hommes.- Association des maisons de quartier de Reims pour un projet « regard de femmes » à la maison de quartier Jean-Jaurès : 4 200 € ; Ligue des droits de l’homme pour une conférence sur le féminisme : 580 € ; gazelles pour elles pour la promotion du rallye Aïcha des Gazelles (complément) : 3 500 €.
Association caritative.- Secours catholique : 7 500 €.
Associations sanitaires.- Association des coronariens de Champagne-Ardenne la Cordiale : 1 500 € ; union nationale des Amis des familles et malades mentaux section Marne : 2 400 € ; association française contre les myopathies : 2 500 €.
Projets à caractère sanitaire.- L’Arche à Reims pour la formation du personnel sur l’alimentation et l’activité physique de l’adulte handicapé : 1 500 € ; association des internés de Santé publique du Nord-Est pour un séminaire de formation à portée régionale : 1 000 €.
Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, société anonyme d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart - BP 324 - 51061 REIMS CEDEX
Objet : Création d’une voirie – Îlot Degas/Rodin – Quartier Croix du Sud à REIMS (51) / Réf. : GIE CAA-071111
Attributaires :
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LOTS |
CORPS D’ETAT |
ENTREPRISES |
MONTANT € HT |
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01 |
Terrassement – Voirie – Réseaux de surface |
Eiffage TP Est (51) |
194 905,35 |
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02 |
Assainissement / AEP |
Eiffage TP Est (51) |
155 095,24 |
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03 |
Eclairage Public |
FME (51) |
79 865,00 |
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04 |
Espaces Verts |
Actuel Paysage |
9 997,50 |
Montant total du marché : 439 863,09 € HT
Pour tous renseignements, contacter le Service Marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82
Date d’envoi du présent avis à la publication : le lundi 23 janvier 2012 au JAL L’Union Eco (éditions Marne, Aisne et Ardennes)
Invitée à l’ITF de Grenoble 25 000 dollars – une grande première pour elle – Claire Makhloufi (15 ans) n’est pas parvenue – logiquement – à passer le 1er tour des qualifs.
La Givetoise de Géo-André Reims s’est inclinée (3-6, 1-6) devant l’Allemande Dejana Raickovic (20 ans), tête de série n°13.
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 Ils se retrouveront à nouveau pour deux autres événements : un rendez-vous plus culturel, et une sortie à Paris.
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REIMS (Marne). Le lycée Roosevelt descend sa « cordée de la réussite » jusqu’au niveau du collège. Ils sont 9 de Croix-Rouge à en profiter.
EST-CE que quand on est en troisième à François-Legros dans le quartier Croix-Rouge de Reims, on se voit faire des études d’ingénieur ? Pas forcément. Mais l’ambition, ça se stimule.
Tel est en tout cas la conviction de François Alin, professeur au lycée Roosevelt.
« Vous amenez le collégien au contact d’élèves de nos classes prépa, explique-t-il en substance, ils font des exercices ou des travaux pratiques ensemble, ça démystifie les études supérieures, et ça peut donner envie aux plus jeune de se dire : pourquoi pas moi ? »
C’est ça le principe des « cordées de la réussite », dispositif imaginé pendant l’ère Chirac sous l’appellation des « filières d’excellence » pour répondre à une poussée de violence dans les quartiers défavorisés, et concrétisé finalement sous Sarkozy sous son nouveau nom évoquant l’alpinisme, pour développer l’ambition estudiantine des enfants de ces mêmes quartiers.
François Alin s’occupe de cet encordement dans son établissement. Particularité : « Alors que les cordées visaient initialement à associer classes prépa et lycéens, nous sommes descendus jusqu’à l’échelon collège. »
C’est ainsi qu’au cours de ce mois de janvier, Naomi, Mélissa, Clara et six autres camarades de François-Legros, ont passé une journée à Roosevelt en compagnie des grands de prépa de sciences physiques et sciences de l’ingénieur, comme Landry, Cécile ou Thomas, volontaires pour jouer le rôle de « tuteurs » ; avec eux ils ont fait des exercices de physique ou de chimie sous forme aussi ludique que possible.
Ces tuteurs et leurs jeunes « plantes » se retrouveront à nouveau pour deux autres événements : un rendez-vous plus culturel en mars, et une sortie à Paris plus tard (où ils visiteront notamment une école d’ingénieur).
« Ça m’a rappelé moi quand j’étais plus jeune, confie tuteur Landry, j’avoue que j’aurais bien aimé avoir ça moi aussi à leur âge. Ce qui m’a plu, c’est que les jeunes étaient intéressés, ils posaient des questions. »
Mais alors ? Peut-être que non seulement ces rencontres feront naître des vocations d’ingénieur inattendues chez les collégiens, mais aussi des vocations d’enseignant pas davantage programmées chez les « anciens » ?
Antoine PARDESSUS
 Les sept directeurs des maisons de quartier qui vont changer de structure au début du mois de février, accompagnés d’Éric Tournet, directeur à l’échelle de Reims.
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REIMS (Marne). Sept directeurs des maisons de quartier vont changer de structure au début du mois de février. Nous les avons rencontrés afin qu’ils nous livrent leur sentiment sur ce mercato socioculturel.
ÇA bouge dans l’association des maisons de quartier de Reims (MQR), l’une des plus grandes associations de la cité des sacres. Début février, sept des quinze directeurs des différents espaces de la MQR vont changer de structure. Véritable nouveauté puisque si les salariés, animateurs ou autres agents administratifs, étaient souvent amenés à changer de lieu de travail, c’est assez inhabituel de voir un tel mouvement de la part de directeurs. Si pour certains la rumeur disait que ce choix était imposé aux sept directeurs concernés, la réalité est toute autre.
« Depuis mon arrivée, il y a maintenant un an, la question de ce mouvement s’est très vite posée. Il y a des gens qui sont en poste depuis très longtemps. Il a été proposé, dans l’objectif de redynamiser les structures, que les directeurs découvrent d’autres structures afin de leur permettre de voir la réalité d’autres territoires. Je tiens vraiment à écarter toute idée de sanction puisque c’est un travail qui s’est fait collectivement avec les directeurs mais aussi avec les différents présidents des différents espaces » précise Éric Tournet, directeur de l’association à l’échelle de Reims.
« C’est la première fois que dans ma carrière je suis amené à changer de structure avec un mois de travail pour préparer ce départ mais aussi l’arrivée de mon remplaçant » ajoute Dominique Mansuy, directeur de la maison de quartier Maison-Blanche.
L’arrivée d’un nouveau directeur et le départ de celui en place sont des événements qui peuvent déstabiliser le personnel présent dans les différentes structures. Mais l’organisation de ces changements a permis de préparer ce passage de témoin, y compris pour les salariés.
« Ce qui fut aussi important était de rassurer les équipes en place, de leur expliquer que cette décision avait été mûrement réfléchie » ajoute Patrick Schmid, directeur de l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge.
« Il a fallu dire aux gens que ceux qui allaient nous remplacer ne venaient pas pour tout casser et faire la révolution et qu’ils n’allaient surtout pas apporter de changement de façon cavalière » dit Raymond Guignard, de la maison de quartier Châtillons.
« C’est très important de ne pas gommer la relation psychoaffective avec les bénévoles mais il faut savoir décrocher, et je pense que nous avons tous vécu ça dans nos carrières » souligne Dominique Mansuy, directeur de la maison de quartier Maison-Blanche. Lorsque l’on demande à ces cadres, qui pour certains étaient en place depuis plus d’une décennie, si le fait de quitter leur maison de cette façon ne leur laisse pas un sentiment de tristesse, leur réponse est mitigée.
« Je suis ni triste ni contente. Finalement on change d’espace mais pas d’association » précise Silvia Magnasco, directrice de l’espace Turenne de la maison de quartier Murigny.
« J’étais au début dans une phase de déstabilisation à cause de ce changement mais plus je me rendais à Châtillons plus je quittais La Neuvillette en faisant mon deuil. J’étais de plus en plus content d’aller vers de nouveaux défis mais je voulais également vraiment bien préparer mon départ, donc c’est vrai que j’ai été un temps dans deux phases, deux sentiments différents » confie Rachid Ramali, l’un des deux directeurs de la maison de quartier « La Source ».
« Je pars avec beaucoup d’espoir, en souhaitant que mon arrivée va servir à rendre la maison de quartier Maison-Blanche à ses habitants » conclut Abdou Saadi, le second directeur de la maison de quartier « La Source » regroupant le quartier Trois-Fontaines et Neuvillette.
C’est donc vraiment dans une dynamique volontaire que ces directeurs ont choisi de quitter leurs postes pour atterrir dans de nouveaux quartiers, de nouvelles réalités de terrain, dans l’objectif de redynamiser leur structure. Car si le poste reste effectivement le même, l’être humain lui est totalement différent et peut être un véritable œil nouveau dans la direction de structure socioculturelle.
T.A.-F.
Un feu de détritus s’est déclaré vendredi à 20 h 30 place de Marseille. Samedi vers 21 heures, un cyclomoteur Skyteam a été incendié boulevard Vasco-de-Gama.
Il est probablement volé mais n’a pu être identifié.
En revanche, c’est une Ford dont le vol fut signalé en son temps à la police quia brûlé dimanche à 3 h 30 rue Joseph-Haydn à Wilson.
Dans l’intervalle, un feu de cheminée s’est déclaré rue des Moissons à 21 heures, un feu de sac-poubelle avenue Bonaparte à 21 h 30, un feu de lampadaire rue Albert-Thomas à 0 h 30.
A 23 h 30, appelés pour un incendie dans un bâtiment désaffecté de l’avenue de l’Europe, au niveau de l’avenue de l’Yser, les pompiers ont découvert un feu de camp allumé sous surveillance par des jeunes sagement réunis.
Il leur a été demandé de s’en aller.
Une rame du tramway a été « caillassée » dans la traversée de Croix-Rouge, samedi vers 22 h 30.
Pour être plus précis, les projectiles utilisés ne sont pas des cailloux mais des morceaux de blocs de craie ramassés sur un chantier des environs.
Ils ont occasionné trois légères traces sur le tramway.
Les auteurs sont en fuite.
La cité des sacres a été le théâtre d’une série d’incendies de voitures survenue dans la nuit de jeudi à vendredi, dans le quartier Croix-Rouge à Reims. Bilan : quatre voitures brûlées en un peu plus d’une heure.
Tout a commencé peu avant 4 h 40, à hauteur du 14 de l’allée des Champenois, où deux voitures ont été la proie des flammes.
Puis vers 5 heures, non loin de là, précisément allée des Lorrains où une camionnette a également été la cible d’un ou plusieurs incendiaires.
Enfin, la série s’est achevée aux alentours de 5 h 45, toujours sur le même secteur, allée des Bretons, où une voiture a également été détruite par les flammes.
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Le repas des anciens organisé par l’association Croix-Rouge animation et promotion a vu 50 convives, des habitants de Croix-Rouge principalement, âgés de 65 ans et plus, au rendez-vous, dimanche 22 janvier. Après le discours d’accueil de Jean-Pierre Genesseau, président et Romuald Bordes, vice-président, ils ont dégusté un véritable festin préparé par un restaurant d’Hermonville, avec un grand menu de fête : « On mange toujours bien ici ! », déclarait Monique, une habituée. Aux petits soins, Bernadette Canu, animatrice de la section 3e âge et Jeannine Catry, trésorière, veillaient au bon déroulement du repas.
L’après-midi a été égayée par la prestation de Rafaël le Magicien, qui allait de table en table avant son spectacle sur scène. Enfin, les anciens ont dansé joyeusement pour terminer cet après-midi agréable.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
 Claire devra se servir de cette défaite pour progresser. Archives Christian LANTENOIS
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Trop crispée pour sa première participation à une étape du circuit ITF, Claire Makhloufi a raté son entrée dans les pré-qualifs de l’Open GDF Gaz Suez de l’Isère (25 000 dollars).
La Givetoise de Géo-André s’est inclinée 3-6, 2-6 face à La Réunionnaise Angela Leuwers.
« Elle était assez tendue. En face, c’était costaud physiquement et ça frappait fort au service mais Claire n’est pas parvenue à lâcher son bras.
Elle a subi et elle est restée sur la défensive », résume Sébastien Paillard qui encadre la pensionnaire du Centre fédéral de Ligue.
Ce baptême délicat ne devrait pas avoir de conséquences irrémédiables puisqu’avec les divers forfaits (*), la lauréate du tournoi cadets de Grenoble devrait être intégrée dans le tournoi des qualifications : « Nous avons regardé : il y a 99 % de chances qu’elle figure dans le tableau », estime Sébastien Paillard.
Si elle veut atteindre le tableau final qui va se jouer entre la 150e et la 325e place mondiale - avec comme tête de série l’Américaine Jill Craybas et des valeurs sûres comme Elena Bovina, Julie Coin ou Séverine Beltrame -, Claire Makhloufi (n° 54 des qualifs) va devoir enchaîner trois victoires. Sébastien Paillard en saura plus ce soir. Si effectivement elle est réintégrée, la championne de Champagne sera en lice demain : « J’espère qu’elle va rebondir », glisse le coach.
J.-P.P
(*) « Il y a beaucoup de filles qui s’inscrivent systématiquement pour être dans les délais, quitte à ne pas venir », explique Sébastien Paillard.
Quentin Munier (1/6, Géo-André) sera le favori du tournoi des Mazures-Renwez ce week-end dans les Ardennes. Le Rémois avait déjà bouclé 2011 par un succès dans le 08, à Sedan.
Les Rapaces vont tenter de poursuivre leur progression demain à l’occasion de la réception des Yétis de Grenoble. Restant sur un nul et une victoire en championnat, la troupe rémoise, désormais dirigée par l’international canadien Kirk French, a abandonné la lanterne rouge à Nice et compte bien défendre crânement ses chances.
Kirk, la victoire face à Nice était-elle essentielle ?
« Oui. C’était un bon match, un gros match. Toute l’équipe a bien joué, surtout Hugo (Garcia, le gardien). On ne voulait plus être dernier, et ça fait du bien. Nous démarrons bien la deuxième partie de saison, nous ne sommes plus la même équipe ».
Quels changements avez-vous pu constater ?
« Nous sommes meilleurs, surtout dans le jeu sans palet. Il y a plus de mouvement. Nous avons un bon système, mais il faut encore travailler car nous avons toutes les pièces pour réussir et nous sommes proches de les assembler ».
Comment abordez-vous la rencontre de demain ?
« Ce sera un match difficile, comme chaque match cette saison. La défense sera essentielle, je ne m’attends pas à un gros score, plutôt à un match de gardiens. Il faudra éviter les erreurs. Nous serons à domicile, on doit gagner chez nous ».
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Marne. Après six mois de stage professionnel en Chine, la Rémoise devrait effectuer son retour dans l’équipe rémoise.
CONFIRMER les espérances nées d’un premier succès ou effacer un revers initial : les nationaux marnais se présentent sur la ligne de la deuxième journées avec l’ambition de porter haut les couleurs de leurs clubs.
NATIONALE 2
Olympique Rémois reçoit Elancourt/Marly, demain 17 heures (Géo-André).
Contexte : battu en ouverture à Annecy, l’ORTT, avec une équipe reconduite, se doit de se reprendre. Elancourt/Marly compte toutefois parmi les grosses cylindrées de la poule.
Effectif : Gilardi (n° 183), Gallois (n° 416), Lisima (n° 461), Mayeux (n° 623), Grassart (n° 632), Grine (n° 824).
NATIONALE 2 FÉMININE
Olympique Rémois reçoit Aix-en-Provence, demain 17 heures (Géo-André).
Contexte : l’Olympique veut confirmer sa victoire initiale (10-6) à Béthune. A noter le possible retour de Capucine Alnot. Bien que gênée au dos, « Capu » pourrait reprendre (avec un classement inchangé aux alentours de la 210e place nationale ?) après six mois de stage professionnel en Chine.
Effectif : Viktoria Lucenkova (n° 81), Cindy Indeherberg (n° 151), Capucine Alnot (n° 210), Lucie Carré (11).
NATIONALE 3
ASC Châlons reçoit Echirolles, demain 17 heures à Saint-Memmie (gymnase Le Corbusier).
Effectif : Garrec (n° 328), J.-M.Carquin (n° 376), Pérignon (n° 656), Delhorbe (n° 818), Malingre (n° 869), C. Chobeau (20).
Contexte : contre les Isérois et leurs trois numéros, l’ASC peut confirmer son succès d’ouverture. L’équipe est inchangée.
Olympique rémois (2) reçoit Dijon, demain 17 heures (Géo-André).
Contexte : l’ORTT (2) a assuré l’essentiel avec un succès à Forbach. Il reçoit Dijon, également vainqueur en ouverture, avec Thomas Lenoir qui remplace Paul Souchon.
Effectif : Garot (n° 953), Remy (20), Créange (20), Henrion (19), Bougy (19), Lenoir (17).
NATIONALE 3 FÉMININE
ASC Châlons va à Obernai, demain 17 heures.
Effectif : Catherine Decure (n° 285), Fanny Chemin (12), Claire Crublet (12), Manon Songis (12).
PRÉNATIONALE
ASC Châlons (2) reçoit Nord Alsace, demain 17 heures à Saint-Memmie (gymnase Le Corbusier).
Effectif : Audoin (20), M. Chobeau (19), P. Sebbag (19), A. Sebbag (16), Huvet (16), 6e à désigner.
PRÉNATIONALE FÉMININE
Olympique rémois (2) va à Metz (3), demain 17 heures.
Effectif : Maëlle Winiarczyk (10), Soufya Baala (10), Anaëlle Porchedda (6), Mathilde Mery (5).
Philippe LAUNAY
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REIMS (Marne) Une dette non honorée et voilà que ça s’agite dans le quartier Croix-Rouge. Poursuivis pour vol avec violence et tentative d’extorsion en réunion, deux mineurs rémois devront s’expliquer devant le juge des enfants. Un troisième mis en cause, un Troyen de 20 ans, a été condamné hier à trois ans d’emprisonnement.
Qu’un présumé revendeur de drogue vienne porter plainte à l’hôtel de police contre, de son propre aveu, son « ancien complice » en affaires, voilà qui pourrait passer pour une grosse farce. C’est pourtant ce qui s’est produit lundi, vers 11 heures, lorsqu’un jeune homme de 18 ans demeurant le quartier Croix-Rouge, à Reims, s’est présenté devant les policiers pour mettre en cause l’individu en question ainsi que trois autres comparses, dans le vol avec violence de son téléphone portable.
Aussi curieuse soit-elle, l’histoire aurait pu se résumer ainsi, si la victime n’avait cependant indiqué, par la suite, avoir également fait l’objet d’une extorsion en réunion de la part de ses quatre agresseurs. Celui-ci déclarait en l’occurrence s’être fait empoigner quelques heures plus tôt, vers minuit, alors qu’il se trouvait à attendre l’ascenseur dans le hall de son immeuble situé au 17 de l’allée Eisenhower. Selon ses déclarations, les trois individus l’auraient à ce moment-là roué de coups - pieds, poings, genoux et ceinturon - afin de s’emparer de son téléphone portable. Puis d’exiger de lui la somme de 150 euros, faute de quoi la voiture de sa mère serait incendiée, son appartement saccagé, sans oublier la menace de représailles pesant sur son intégrité physique.
Rendez-vous avait donc été fixé le jour même, à 18 heures, même endroit, pour la remise de l’argent.
Les hommes du Groupe spécialisé en investigations sur les bandes (GSIB) en ont eu, en effet, le cœur net. Prenant position aux abords du lieu de rendez-vous, ils n’ont pas tardé à mettre la main, quasi à l’heure convenue, sur trois des quatre mis en cause, entre-temps identifiés comme étant deux Rémois de 17 ans et un Troyen de 20 ans. Parvenant d’abord à prendre la fuite, le quatrième, un mineur de 16 ans demeurant dans la cité des Sacres, a quant à lui été interpellé par la suite à son domicile où les policiers ont retrouvé, au cours de la perquisition, le téléphone portable volé ainsi que quelques morceaux de résine de cannabis.
Déjà bien connus de la justice, tous ont pourtant nié les faits au cours de leur garde à vue, prétextant une tout autre explication : une dette non honorée par le plaignant. Précisément le prix d’une chevalière. Pour s’en acquitter, ce dernier aurait ainsi, selon eux, cédé son téléphone portable - en se faisant toutefois restituer sa puce -, avec l’obligation de compléter le montant de la créance par la somme de 150 euros.
Aussi, à en croire les mis en cause, l’extorsion n’était-elle, en réalité, que le règlement d’une dette. Faute de charges, l’un d’eux a bénéficié d’un classement sans suite. Pour les deux mineurs, la justice devra trancher. Ils ont été convoqués au 14 février devant le juge des enfants. Quant au dernier, Kiki N’Da, Troyen d’origine togolaise, il a été extrait hier de la maison d’arrêt de Reims qu’il avait rejointe à l’issue de sa garde à vue, afin d’être déféré devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution immédiate.
A 20 ans, celui-ci n’en était pas à ses premiers déboires judiciaires, mais c’était là sa toute première comparution devant la juridiction correctionnelle des majeurs. De quoi motiver néanmoins les réquisitions du ministère public qui, par la voix du procureur-adjoint Laurent de Caigny, n’a pas manqué de rappeler haut et fort le passif plus qu’éloquent de cet « individu dangereux ». A 12 ans, Kiki N’Da était en effet condamné pour la première fois pour des faits d’extorsion et de violences.
Puis pour agression sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et exhibition sexuelle devant un établissement scolaire. A 13 ans, il écopait de sa première incarcération. A 14 et quelques délits plus tard, il se retrouvait de nouveau devant le juge des enfants de Troyes pour violences sur ascendant, vol de voiture et conduite sans permis. La liste est ensuite aussi longue que le nombre de peines de prison. Et quand il ne se fait pas remarquer, c’est qu’il se trouve derrière les barreaux. Jusqu’à cette dernière condamnation, en décembre 2011, pour violences en récidive.
Pour autant, Kiki N’Da n’a cessé de clamer son innocence. Selon lui, sa présence sur les lieux du rendez-vous n’était que fortuite. Le fruit du hasard, rien d’autre. Une version que n’a cessé de défendre son avocate, Me Fanny Quentin. Mais les multiples variations dans ses déclarations et l’étoffe de son casier judiciaire n’ont probablement pas plaidé en sa faveur. Le tribunal a en effet suivi les réquisitions du ministère public en le condamnant à la peine plancher de trois ans d’emprisonnement et en le maintenant en détention. Il devra en outre verser 150 euros à sa victime. Une peine qui vient grossir la liste.
Franck BRENNER
REIMS (Marne). Vers 22 h 45, les sapeurs-pompiers sont intervenus pour une auto en feu allée des Savoyards, dans le quartier Croix-Rouge à Reims.
Cela s’est calmé jusqu’à 4 h 45. Ils ont alors été requis allée des Champenois pour deux voitures totalement embrasées.
A 5 heures, c’est cette fois allée des Lorrains où une camionnette en stationnement le long d’un garage était la proie des flammes. Ils ont dû demander du renfort pour empêcher la propagation de l’incendie à des habitations.
A 5 h 45, c’est allée des Bretons que les secours sont intervenus pour un véhicule qui était dévoré par le feu.
Une enquête est ouverte autour de ces incendies qui se sont produits dans un périmètre très précis.
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MAZURES (Ardennes) Plus largement ouvert aux 2es série, le tournoi des Mazures-Renwez a gagné en qualité.
À l’aube de son dixième anniversaire, le tournoi des Mazures-Renwez s’est refait une beauté.
Idéalement placée au début de l’année, l’épreuve désormais ouverte aux 1/6 distribuera 1.000 euros de prix. Avec 193 engagés, la fréquentation a aussi progressé.
« Nous avons accompli des efforts pour attirer de meilleurs joueurs, » affirme le juge-arbitre assistant Yannick Pilard. « Nous espérons améliorer le spectacle. »
Si l’aventure s’est arrêtée au septième tour pour Pierre-Antoine Bonnevie (Non-classé, La Macérienne), Anthony Ladouce (15, Revin) rêve de rééditer sa performance de l’année dernière, où il avait cédé en finale face au Luxembourgeois Jeff Kunsch.
Le Grand Duché a, cette fois encore, envoyé deux prétendants avec la participation des frères Charles Berna (2/6, Thionville) et Vincent Berna (4/6, Thionville). Un obstacle déjà pour Kévin Dubois (15, Givet), Sylvain Oixoby (15, Fourmies) et Yannick Christmann (5/6, Metz).
A moins de bousculer la hiérarchie, le titre ne devrait pas échapper à Quentin Munier (1/6, Géo-André Reims) ou Jocelyn Dubois (ASM Belfort). Eliminé en trente-deuxièmes de finale des championnats d’Europe + 35 ans l’été dernier à Baiersbronn (Allemagne), le professeur de tennis franc-comtois (39 ans) a jadis fréquenté le circuit ITF. Mais son expérience sera-t-elle suffisante pour écarter son alter-ego champardennais, qui a terminé 2011 par un succès à Sedan ?
Plus confidentiel, le tableau féminin pourrait permettre à Manon Constant (5/6, Rocroi) de réussir là où elle avait échoué il y a douze mois. Alors dominée en finale par Sylvie Croizier, la jeune femme du Plateau jouit pourtant d’un statut d’outsider, au même titre que Florence Depaquit (15, Guignicourt).
Car Camille Kleiber (2/6, Guignicourt) et la vice-championne de Champagne-Ardenne 17-18 ans, Jackie Lassaux (1/6, Géo-André Reims), n’imaginent probablement pas laisser un trophée à leur portée.
SAMEDI. - 19 heures : quarts de finale messieurs.
DIMANCHE. - 9 heures : demi-finales dames. 10 h 30 : demi-finales messieurs. 14 heures : finale dames. 15 h 30 : finale messieurs.
Cédric GOURE
Reims Métropole Magazine 120126e
N° 124 - décembre 2011/janvier 2012
Dans le cadre du Programme de Rénovation urbaine, le Foyer Rémois va procéder à d’importants travaux jusqu’en juin 2013 dans le quartier Pays de France : démolition des pignons de l’ancienne passerelle, réhabilitation d’immeubles et création de logements et de cellules commerciales le long de l’avenue Bonaparte.
Ces travaux nécessiteront la mise en place de déviations piétonne (à partir de novembre 2011) et automobile (à partir de janvier 2012) sur l’avenue Bonaparte entre la rue Arago et l’allée des Provençaux, côté Béarnais. Les accès aux logements seront maintenus.
Le Nid d’Or 2011 dans la catégorie « Éducation et Nutrition » : c’est le prix remporté par La Maison de la Nutrition de Reims, qui, en partenariat avec l’Armée du Salut-Nouvel Horizon, encourage les bonnes pratiques alimentaires auprès des personnes défavorisées.
Cette distinction a été décernée le 8 novembre dernier, lors des Deuxièmes Assises de la Fondation Nestlé France présidée par Erick Orsenna.
Un coup de pouce supplémentaire pour l’emploi
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La cinquième bourse aux livres organisée par le groupe de randonneurs Escapades à l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge (premier étage), sera lancée samedi 4 février, de 9 à 18 heures. Elle sera prolongée dimanche 5 février, de 14 à 18 heures, puis du lundi 6 février au vendredi 10 février, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures. Enfin, une ouverture nocturne est programmée vendredi 10 février jusque 20 heures.
« Plus de 10 000 livres sont déjà disponibles, du livre scolaire ou pour enfants au roman adulte, bricolage, policier, espionnage, cuisine, fiction, etc. Cette année, certains sont même des premières éditions, des ouvrages de grande valeur », précise Sylvie Brin, co-organisatrice, « pour la plupart des livres, des sommes modiques, à partir de 0,30 euro, seront demandées ! » De quoi se distraire ou se cultiver à peu de frais.
Entrée gratuite. Tramway, ligne A ou B, arrêt Campus ou Kennedy. Bus, ligne 13, arrêt Campus ou Kennedy. Renseignements : espace Billard, 12-14, rue Pierre-Taittinger, tél. 03.26.08.08.78.
 L’équipe 4e des championnats de France de Badten et 9e des championnats de France de badminton UNSS : Maxime Dubar, Sarah Brahmi, Lucile Girardin, Camille Braconnier, Anthony Poure et Benoît Opanubi.
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REIMS (Marne) L’année 2011 a été faste pour les élèves de la section sportive des « badistes » du collège Georges-Braque. Ils se sont illustrés dans toutes les catégories d’âge, dans l’encadrement des rencontres à l’arbitrage (jeunes officiels), mais aussi sur les épreuves combinées de raquettes, le badten (badminton et tennis de table enchaînés par un même joueur).
Sur le plan sportif, le collège a trusté trois titres départementaux (deux en badminton et un en badten) sur quatre possibles, et deux titres académiques (un en badminton et un en badten) empochant ainsi deux billets pour les championnats de France.
À Compiègne, en badminton, le collège Georges-Braque faisait presque aussi bien qu’en 2010 en se hissant au 9e rang national. En badten, bien que très peu entraînés en tennis de table, et à la grande surprise de leur enseignant, les joueurs atteindront les demi-finales pour échouer au pied du podium. Cette performance est incroyable car quatre des six élèves composeront l’équipe de 2012.
En parallèle, la section peut se targuer d’avoir formé onze jeunes officiels de niveau académique, c’est-à-dire onze élèves capables d’arbitrer aux championnats de France. D’ailleurs l’un d’entre eux a participé à la finale nationale en qualité de juge de ligne.
Avec cette section sportive, le collège Georges-Braque permet cette année à 17 élèves de s’adonner à la pratique du badminton deux fois par semaine tout en menant une scolarité normale et ils sont nombreux en situation de réussite scolaire. Ainsi, huit d’entre eux figurent dans les classes européennes. Anthony Poure s’est d’ailleurs particulièrement illustré en remportant le prix Louise-Berthe.
Fort de son partenariat avec la ligue Champagne-Ardenne de badminton, le collège assure un encadrement de qualité et favorise la passerelle entre le monde scolaire et le monde fédéral. Les sections sportives ont désormais pour mission de former des jeunes compétiteurs de niveau régional tout en leur assurant une scolarité équilibrée. L’année 2012 sera-t-elle aussi positive ? Elle démarre plutôt bien avec Mélissa Mazy et Anthony Poure, récents finalistes du championnat de la Marne FFBA en double mixte : de bon augure…
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Abdelkarim, inscrit en finances, a fait de la danse acrobatique. Sarah, en licence d’histoire, a chanté en solo. Emilie, là c’est moins surprenant puisqu’elle est en musicologie, s’est mise au piano. Nzha, en master de mercatique, a joué les Maradona avec du jonglage au pied avec ballon, complétant sa prestation par un petit coup de djembé…
Les numéros étaient multiples et variés ce soir-là dans l’amphi 10 du campus Croix-Rouge à Reims, transformé pour l’occasion en salle de music-hall. Un petit groupe de mastère 1 mercatique s’était chargé de l’organisation (ce projet s’inscrivait dans le cadre de son cursus), le spectacle proprement dit étant assuré par les talents locaux, soit d’autres étudiants ; pour le plus grand plaisir de leurs camarades cantonnés dans le rôle de spectateurs, mais qui se sont chargés de mettre une chaude ambiance.
On ne sait pas si ces prestations aideront les intéressés à décrocher leur diplôme, mais si jamais ils échouaient, ce qu’on ne leur souhaite évidemment pas, cela pourrait au moins leur donner une idée de réorientation…
A.P.
Organisés au Centre de Ligue, les championnats de la Ligue par équipes des 15/16 ans ont été marqués par la surprenante défaire des garçons de Géo-André face à Saint-Dizier, après un succès en demi sur les Ardennais des Mazures. Si Lucas Henry (5/6) a subi une « contre » à 15/1, la paire Mikolaj Woynar (15) - Louis Compas (15/1) n’a également pas pu faire respecter la hiérarchie.
Aucun souci en revanche pour les demoiselles du club qui ont balayé Romilly (3-0) et qui espèrent tirer leurs épingles du jeu dans le championnat national qui ouvrira le 4 mars.
La surprise est venue dimanche en plus de 35 ans où les dames de l’Europe Club Reims, pourtant emmenées par Laetitia Tordo (1/6), ont perdu leur titre au profit du TC Troyes. Les défaites en trois sets de Muriel Legué (5/6) et Véronique Chauvin (15/4) ont pesé très lourd dans la balance.
En revanche, les messieurs de l’Europe ont aisément disposé de Romilly (4-0) pour gagner le droit de disputer le championnat de France.
15/16 ANS
GARCONS. - CO Saint Dizier batTC Géo-André 2-1. Victoire Woynar (15) ; défaites : Henry (5/6), double VVoynar Compas (15/1).
FILLES. -TC Géo-André bat Romilly Sports 3-0. Victoires : Cindy Castille (2/6), Aurélie Marchai (3/6), double Cindy Castille - Claire Makhloufi (-2/6).
PLUS DE 35 ANS
MESSIEURS. - Reims Europe Club bat Romilly Sports 4-0. Victoires : Seuret (2/6) ; Bonnet (2/6), Clausse(15), Xayphengsy (15/2).
DAMES. -TCTroyes bat Reims Europe Club 3-1. Victoire : Laetitia Tordo (1/6) ; défaites : Muriel Legue (5/6), Bénédicte Ledrole (15/2), Véronique Chauvin (15/4).
Hier vers 8 heures, un feu de poubelle s’est déclaré rue du Docteur-Schweitzer, à l’angle de la rue du 106e RI.
La veille à 21 heures, les pompiers sont intervenus en raison d’un dégagement de fumée allée Edgar-Degas, au n°3. II s’agissait d’un feu de papiers allumé dans les couloirs.
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A Loivre, un jeune homme de 15 ans, Anthony Kuentz, détient le titre de champion de France de cyclo-cross depuis le 7 janvier.
Il a commencé la course cycliste à l’âge de 7 ans, d’abord sur un VTT, puis sur un vélo de route et enfin sur un cyclo-cross. Anthony est en seconde au lycée Arago de Reims. Détecté à Loivre par Rémy Grumblatt, coureur cycliste de haut niveau, Anthony a d’abord été licencié à l’ACBR (Association Bazancourt-Reims).
Anthony est inscrit à l’Eseg, un club de Douai.
Il a été sélectionné par le Comité régional pour participer aux trois épreuves du challenge national.
Au classement général, Anthony, arrivé dans les quarante premiers, a pu participer au championnat de France qui s’est déroulé à Quelneuc (Morbihan) samedi 7 janvier. Les quinze premières minutes lui ont semblé difficiles, mais il avait le désir absolu de gagner la course. L’arrivée au sprint lui a donné le titre de champion de France et une médaille d’or.
Anthony courra chaque week-end jusqu’à fin février. Il aura l’honneur de porter le maillot de champion de France, bleu, blanc et rouge.
Le maire de Loivre, Michel Guillou, l’a félicité pour ce titre bien mérité.
 Une très nombreuse assistance pour des vœux en forme d’au revoir ! Raymond Guignard va prendre la direction des espaces Watteau et Pays de France.
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 Aux Châtillons, salariés et bénévoles ont tenu à marquer le départ du directeur de la maison de quartier.
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LA maison de quartier des Châtillons et Cormontreuil, sa voisine, c’est un long parcours côte à côte. Le maire de cette dernière, Jean Marx, soulignant que « beaucoup de gens, qui sont passés par les Châtillons, sont venus habiter Cormontreuil », a fait l’éloge de Raymond Guignard, qui quitte la structure et a souhaité la bienvenue à son successeur. Symbole de ce trait d’union entre les deux communes, deux Cormontreuilloises, bénévoles de longue date : Josette Bisteur et Marie-Annie Prud’homme.
Co-animateur du conseil de quartier et élu municipal, Serges Escoute a fait lui aussi l’éloge de Raymond Guignard, soulignant « le souffle qu’il a pu donner, l’animation qu’il a pu engendrer et les bénévoles qu’il a su trouver ». Une collaboration de longue date aussi avec « Plurihabitat l’Effort Rémois », comme l’a rappelé Maryse Lefèvre, chef d’agence, soulignant « la réussite de cet espace et le maintien d’une certaine ligne de conduite sur le quartier ».
Il suffit de regarder autour de soi pour constater que le souhait du président Jean-Claude Fantoli, qui « espère que les travaux de rénovation vont se concrétiser cette année », est vraiment l’expression d’une réalité : le bâtiment a -plutôt mal- vieilli !
Raymond Guignard, qui va prendre la direction des espaces Watteau et Pays de France, a mis en avant l’implication des nombreux bénévoles « dont l’engagement a développé un climat de solidarité. De nombreuses activités ne fonctionnent que grâce à eux ».
Se tournant vers son successeur, Rachid Ramali (qui dirigeait la MQ « Les Sources ») : « Nous lui transmettons une structure qui est en bonne santé, grâce à la technicité de nos salariés et de nos bénévoles ». Les responsables ont réussi à négocier « à l’arrache » des heures de personnel d’entretien et un demi-poste d’accueil « qui va faciliter le travail au quotidien ».
Et c’est avec émotion que Raymond Guignard, estimé de tous, a déballé de nombreux cadeaux de ceux qui, au fil de ces neuf années, sont devenus des amis !
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Nous avons demandé aux douze associations importantes et aux cinq élus du quartier Croix-Rouge quels étaient leurs vœux pour 2012. Curieusement, nous n’avons reçu que deux réponses. Est-ce le signe que les forces vives sont pessimistes et n’attendent pas grand-chose de cette nouvelle année ?
Eric Quénard, premier adjoint : « L’année qui s’achève a été particulièrement difficile pour les habitants de Croix-Rouge comme pour beaucoup de Rémois. Je souhaite de tout cœur que 2012 soit l’année de la reconquête, de l’espoir et de l’espérance. Imaginons une année où la situation de chacun s’améliore, où les inégalités sociales se réduisent, où notre pays sorte de la crise et retrouve le chemin de l’emploi. C’est tout cela que je nous souhaite collectivement pour 2012. Bonne année à tous ! »
Les vœux de l’association des locataires At’Hom des Hauts-de-Murigny (local associatif au 1, allée Yves-Gandon), sont résumés par la présidente Danielle Bonfils : « Au nom de tous les locataires, nous espérons que les charges locatives n’augmentent pas, que la nouvelle chaufferie au bois apporte une baisse sensible des factures de chauffage toujours trop élevées, que les travaux d’isolation de nos immeubles soient bientôt effectués, bien qu’ils ne soient pas prévus dans l’immédiat, mais sait-on jamais, puisque des caves sont subitement en cours de reconstruction, sans aucune information (travaux non prévus dans les travaux des années à venir). Nous continuerons en 2012 à défendre les locataires dans la vie quotidienne et à conserver notre environnement propre avec l’aide de tous. Bonne et heureuse année 2012 ! »
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REIMS (Marne) Alphonse et Julien Yèmajdè, artistes béninois héritiers d’une tradition artistique dont l’origine remonte au XVIIIe siècle sous la forme de tentures dites « toiles d’Abomey », exposent, jusqu’au samedi 18 février, un dialogue culturel entre l’œuvre de Jean de la Fontaine et l’imaginaire béninois.
Des ouvrages illustrés et des gravures provenant de la bibliothèque Carnegie accompagnent cette exposition.
Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar. Tramway : ligne A, station Médiathèque.
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Constant de la Bassetière a réussi la performance d’intégrer le tableau final en sortant des qualifs internationales.
Hier matin, le Cormontreuillois (classé 47) n’a laissé aucune chance (6-3, 6-0) à un autre Français, Mathieu Rajanoah, n° 23.
Demain (8 h 30), en 32e, le champion de Champagne affrontera le Belge Lukas Daels (n° 29 des invités), déjà vainqueur sur le circuit international : en simple à Oulu (Finlande) ; en double à Uccle (Belgique).
Engagée dès hier soir en 32e grâce à une wild card, Cindy Castille n’a rien pu faire contre la tête de série n° 11 et 40e mondiale, Tereza Mihalikova. Si la première manche a été à sens unique (2-6), la deuxième a été beaucoup plus disputée (4-6).
A 2-2, Cindy Castille n’a pu concrétiser un avantage et à 4-3 sur son engagement, alors qu’elle menait 40-0, il lui a fallu batailler aux avantages pour égaliser à 4-4.
Ce retour n’a pas déstabilisé la Slovaque qui a assuré sur son service et pris celui de son adversaire, pour conclure sur sa première balle de match.
« Même en jouant moyennement, il n’y avait pas un tel écart. Cindy a donné beaucoup de points. Il y avait la place. Cindy a peut-être mal géré émotionnellement ce match », résumait Emmanuel qui coachait sa fille.
Malgré cet échec, le CTR, Yannick Lemaire, se félicite de ce vent nouveau : « Après la victoire de Claire Makhloufi au tournoi international de Grenoble en octobre, celle de Constant de la Bassetière début janvier au tournoi pré-national de Sedan (en ayant battu deux très bons joueurs nationaux), la qualification d’Alexane Habert associée à Marie Barbe (TC Les Mazures-Renwez) pour la finale Coupe de France de doubles à Tours en mars prochain, c’est le jeune Enzo Quinet (TC Brévonnes), qui vient de s’illustrer en remportant le TMC de Troyes ce week-end ».
Le portail du collège François-Legros n’avait pas bonne mine, ces derniers jours. La grille coulissante était enfoncée, le portillon défoncé, un pilier arra¬ché.
La faute à un chauffard qui est allé le percu¬ter dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 1 heure.
Agé de 28 ans, l’homme a perdu le contrôle de son Renault Scénic alors qu’il circulait en état d’ébriété.
Remis en liberté après avoir cuvé ses libations, il s’est vu remettre une convocation en justice.
Dimanche vers 4 heures du matin, au lieu d’être chez lui sous la surveillance de ses parents, un adolescent de 15 ans a été surpris en train de voler l’autoradio d’une voiture allée des Landais.
Un carreau était cassé, mais l’ado a prétendu qu’il Pétait déjà quand il est passé devant le véhicule.
L’occasion faisant le larron, il en a profité pour s’approprier l’autoradio, a-t-il expliqué.
Le mineur a été remis en liberté avec une convo¬cation devant le délégué du procureur.
Avant - propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr/ MarchesPublics).
1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNEARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005.
REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : marché de travaux pour la construction de 32 logements collectifs et de 4 locaux d’activités, Résidence " Robert de Sorbon " située rue Pierre-Taittinger à Reims.
4) Critères d’attribution :
Critères : 1. Prix des prestations. Pondération : 60%.
Critères : 2-Valeur technique. Pondération : 40%.
5) Marché alloti et attribué séparément :
Lot 1 : Gros oeuvre.
Lot 2 : Etanchéité, toiture terrasse végétalisée.
Lot 3 : Menuiseries extérieures PVC.
Lot 4 : Menuiseries extérieures acier, serrurerie aluminium.
Lot 5 : Doublages, cloisons, menuiseries intérieures.
Lot 6 : Plomberie, chauffage, ventilation.
Lot 7 : Electricité, courants faibles.
Lot 8 : Ascenseur.
Lot 9 : Carrelages, faïences.
Lot 10 : Peintures, sols souples.
Lot 1 : Bardage métallique extérieur.
6) Option : des options obligatoires sont prévues pour les lots 7 et 10.
7) Délai d’exécution : le délai d’exécution de l’ensemble des lots est de 18 mois (y compris 15 jours pour intempéries et les congés payés). La période de préparation de 2 mois n’est pas comprise dans ce délai.
8) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat.fr
9) Renseignements complémentaires : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de REIMS HABITAT, tél. 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27.
Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès du Maître d’oeuvre : LINGAT ARCHITECTES Monsieur GRIFFON, tél : 03.26.40.19.88. Fax : 03.26.47.46.05.
10) Date limite de réception des offres : Le 15 mars 2012 à 17 heures.
11) Date d’envoi à la publication : le 17 Janvier 2012.
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Alexandra Babin, animatrice familles des espaces Watteau et Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge, questionne : « Votre enfant entre à l’école maternelle en septembre ?
Les espaces Watteau et Pays-de-France proposent des ateliers de préparation à l’école maternelle les mardis de 9 h 30 à 11 heures, de février à juin, sauf pendant les vacances scolaires. Dans ces ateliers, nous proposons différentes animations de sensibilisation à la vie en collectivité et de préparation à la séparation parent-enfant ».
La présence des parents et celle des enfants sont impératives à tous les ateliers.
Une réunion de présentation aura lieu demain mardi 24 janvier à 10 heures à l’espace Watteau.
Une participation de 15 euros ( + 12 euros d’adhésion) sera demandée aux familles pour ces ateliers.
Pour tout renseignement, contacter Alexandra Babin à l’espace Watteau- Pays-de-France, 3 allée Antoine-Watteau, au 03.26.36.03.50. ou au 06.47.71.53.00.
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REIMS (Marne) Comme les années précédentes, Reims habitat a lancé son concours des balcons de Noël décorés, un concept imaginé par Micheline Sage, ancienne présidente de l’amicale des locataires. Un jury, composé essentiellement des locataires du groupe « communication », ceux-là mêmes qui composent et éditent la revue QCR et conduits par Domitille Rouhi, chargée de communication à Reims habitat, est passé dans le quartier la nuit du 14 décembre pour établir un classement, une tâche bien difficile.
« Nous avons retenu une cinquantaine de balcons, de plus en plus beaux d’année en année », raconte l’une des membres du jury. « Dans ce grand froid, ces balcons apparaissaient comme un faisceau de lumière dans la grisaille de l’hiver ! », commentait, admiratif, Patrick Baudet, directeur général de Reims habitat.
La proclamation des résultats s’est déroulée mercredi 18 janvier dans les locaux de la résidence Arfo Lucien-Doyen, devant une délégation de Reims habitat.
Tous les locataires « décorateurs » étaient conviés, et il y avait beaucoup de monde pour applaudir les quatre gagnants : 1, Franck Lecomte, prix Micheline Sage (13 Eisenhower). 2, Catherine Delaere (2, Rilly-la-Montagne). 3, Jean-Claude Pétrinos (13, Eisenhower). 4, Serge Chaumuzart (63, Eisenhower).
Le vainqueur de cette année, Franck Lecomte raconte : « J’ai consacré près de 300 euros à cette décoration avec ma famille, et j’ai déjà une petite idée pour l’an prochain ! Ce sera magnifique ! »
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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L’assemblée générale de l’association de défense des habitants du quartier de La Lézardière aura lieu demain mardi 24 janvier à 18 h 30, dans les locaux de la Ligue de l’enseignement, rue Alphonse-Daudet à Reims.
Informations auprès du président Jacques Vivier, au, 03.26.84.18.34.
Des trois Champenois en lice hier, seul Constant de La Bassetière (n° 47, photo ci-dessus) s’est qualifié pour le 3e tour des qualifs internationales. Le Cormontreuillois a battu le Belge Arnaud Destrebecq : 7-6 (7/5), 6-2 et n’est donc plus qu’à un match - ce matin, contre Mathieu Rajanoah (n° 23) - du grand tableau.
Lori Méresse (Centre de Ligue) s’est inclinée devant la Russe Ksenia Stashenkova : 2-6, 6-7 (3/7). Nicolas Jonasz (Montmirail), lui, a été éliminé par un autre Français Nicolas Tastet : 2-6, 3-6.
Pour mémoire, grâce à une wild-card, Cindy Castille (n° 53, Géo-André) est qualifiée d’office pour le tableau final (les 32es) qui se disputera cet après-midi et demain.
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GIVET (Ardennes). Repérée par la FFT, Claire Makhloufi, la Givetoise de Géo-André Reims, va débuter sur le circuit ITF.
EN mission pendant une semaine au Creps de Reims, Carine Bornu, coordinatrice du tennis féminin à la FFT, a « bien aimé le profil de Claire Makhloufi », dixit son entraîneur, Sébastien Paillard. Au point que la Givetoise de Géo-André a été retenue pour participer à son premier tournoi ITF à Grenoble, un 25 000 dollars dont les têtes de série seront l’Américaine Jill Craybas et Marta Domachowska, respectivement 152e et 159e mondiales. La Polonaise qui fut licenciée à Cormontreuil visera la passe de deux après son succès en 2011, au détriment de l’Anglaise Naomi Broady (6-4, 6-4).
Le tableau final (du 30 janvier au 5 février) apparaît, a priori, vu le niveau d’ensemble, inaccessible pour la pensionnaire du Centre fédéral de Ligue qui devra en passer, évidemment, par les qualifs (*), avec une entrée en lice mercredi : « Si je pouvais passer les qualifs, ce serait super mais je vois plutôt ça comme une expérience enrichissante », résume Claire Makhloufi.
Difficile, en début de saison, de situer son degré de forme. Mais sa victoire en quart, il y a deux semaines à Strasbourg, face à une -15 (Virginie Ayassamy) donne une idée du niveau actuel de la -2/6 de Géo-André.
Pôle France, Insep, Centre national d’entraînement : si elle se félicite d’avoir été repérée par la FFT (lire par ailleurs), Claire Makhloufi ne tire pas de plans sur la comète : « Je pense plus à la qualité de mon jeu et au travail physique qu’aux résultats ».
La philosophie du Centre fédéral de Ligue ainsi que les moyens mis en œuvre satisfont pleinement l’Ardennaise qui apprécie, notamment, de pouvoir faire des entraînements avec Servane Delobelle, la dernière régionale à avoir foulé la terre battue des Internationaux de Roland-Garros : « Elle a l’œil et me donne de bons conseils ».
Signe du destin ? Pour son baptême chez les grandes, même si ce ne sera pas dans la même salle, Claire Makhloufi retrouvera Grenoble où l’automne dernier, elle s’est imposée dans le tournoi cadets.
Jean-Pierre PRAULT
(*) « Ça va jouer à -15, -30 », souligne Sébastien Paillard.
Carine Bornu confirme tout le bien qu’elle pense de Claire Makhloufi : « Je l’avais déjà trouvée intéressante aux championnats de France. Elle a confirmé au tournoi de Grenoble cadets. Au Creps de Reims, Claire a eu l’occasion de partager un stage des filles nées en 94 sur deux demi-journées. Je la trouve très fraîche ».
« Nous pouvons aider des jeunes joueuses autrement que financièrement en leur permettant de se confronter au niveau international comme à Grenoble. Cela peut faire gagner du temps et provoquer une prise de conscience ».
Claire Makhloufi devrait à nouveau être sollicitée « en mars » : « Je suis en train de travailler sur quelque chose pour elle ».
À la veille de la publication officielle des chiffres de la délinquance, voilà une nuit que les services de la préfecture voudraient effacer de leurs tablettes. Ainsi, dans la nuit de samedi à dimanche, ce ne sont pas moins de quatre véhicules qui sont partis en fumée de manière très suspecte. Au cœur du quartier Croix-Rouge, à Reims, une voiture a été incendiée avenue du Général-Bonaparte. Le feu s’est propagé à deux autres véhicules, dont un est totalement détruit. Il était 1 h 20. Les pompiers ont ensuite dû intervenir pour un feu de local à poubelles juste à côté. Certainement pas le fruit du hasard. Puis un peu après 3 heures, hier matin, les pompiers sont ressortis pour un nouveau feu de véhicule au niveau de la commune d’Ormes, le long de la RD 275 en direction de Thillois.
À 18 heures hier, les pompiers ont été appelés pour un feu de local à ordures avenue Bonaparte, dans le quartier Croix-Rouge à Reims.
En 24 heures, c’est la deuxième mise à feu sur cette avenue.
Sortis des qualifs nationales, Lori Méresse (Centre fédéral de ligue) et Nicolas Jonasz (Montmirail) ont réussi une réelle performance en sortant des têtes de série lors du 1er tour des qualifs internationales.
Lori Méresse a battu la Suédoise Mirjam Bjorklund (n° 18) : 4-6, 6-2, 6-3. Aujourd’hui, pour une place dans le grand tableau final, elle affrontera la Russe Ksnia Stashenkova (n° 23).
Nicolas Jonasz a fait encore mieux en éliminant le Grec Stefanos Tsitsipas (n° 5) : 6-7 (6/4), 6-0, 6-4. Un match franco-français l’attend contre Nicolas Tastet, lui aussi issu des qualifs.
Entré en lice à ce niveau, Constant de La Bassetière (Cormontreuil, n° 47) n’a pas failli devant le Britannique Marcus Walter (n° 13) : 3-6, 6-2, 6-4. Il aura, aujourd’hui, sur sa route le Belge Arnaud Destrebecq (n° 27).
Ils seront trois, donc, à tenter de rejoindre Cindy Castille (Géo-André) qui a bénéficié d’une wild-card pour le tournoi final qui débutera demain.
J.-P.P.
Numéro 7429 du 16 au 22 janvier 2012.
Par jugement en date du 10/01/2012, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de redressement judiciaire à l’encontre de : Société DOMI-LORFEUVRE, 4 allée des Provençaux - 51100 REIMS. N° Registre du Commerce et des Sociétés : 2003 B 456 - SIREN : B 450 247 085. Activité : Toutes activités à domicile de coiffure, soins, esthétiques, soins de manucure, pose associée de perruques, conseil en image de personne.
Mandataire judiciaire : Maître François DELTOUR, 3 rue Noël 51100 REIMS.
Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans les deux mois de la parution du jugement au BODACC.
102413 P/Le Greffier.
NOM DOS
Société d’Avocats
10 boulevard Lundy - B.P. 2105 51074 REIMS CEDEX
SODIA
_ Société par actions simplifiée à directoire et conseil de surveillance
_ au capital de 150.000 €uros
_ Siège social : Avenue Robert Schuman51100 REIMS
_ 095 550 463 R.C.S. Reims
Suivant délibérations du 23 décembre 2011. l’assemblée générale mixte extraordinaire et ordinaire :
— A décidé de changer de mode de direction ;
— A décidé la refonte globale de ses statuts ;
— A mis fin aux mandats des membres du conseil de surveillance ;
— A nommé en qualité de président, Monsieur Eric PLACET. demeurant à REIMS (51100), 23 rue des Templiers, et ce, pour une durée illimitée :
— A renouvelé, en qualité de directeur général pharmacien responsable, Madame Véronique PHILIPPOTEAUX, demeurant à REIMS (51100), 16 rue Saint Maurice, et ce, pour une durée de trois exercices :
— A confirmé les mandats de la société "MAZARS" en qualité de commissaire aux comptes titulaire et de Monsieur Christian AMELOOT, en qualité de commissaire aux comptes suppléant et ce, jusqu’à l’exercice clos en 2015.
Les décisions visées ci-dessus, et notamment le changement de mode de direction, entraînent les mentions suivantes :
_ FORME
ANCIENNE MENTION : Société par actions simplifiée à directoire et conseil de surveillance
NOUVELLE MENTION : Société par actions simplifiée.
_ ADMINISTRATION
ANCIENNES MENTIONS :
PRESIDENT DU DIRECTOIRE : Monsieur Eric PLACET.
PRESIDENT DU CONSEIL DE SURVEILLANCE : Monsieur Georges PLACET.
MEMBRE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE : Madame Judicaëlle PLACET.
MEMBRE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE : Monsieur Georges LHEUREUX.
DIRECTEUR GENERAL : Madame Véronique PHILIPPOTEAUX.
COMMISSAIRE AUX COMPTES TITULAIRE : La société "MAZARS".
COMMISSAIRE AUX COMPTES SUPPLEANT : Monsieur Christian AMELOOT.
NOUVELLES MENTIONS :
PRESIDENT : Monsieur Eric PLACET.
DIRECTEUR GENERAL
PHARMACIEN RESPONSABLE : Madame Véronique PHILIPPOTEAUX.
COMMISSAIRE AUX COMPTES TITULAIRE : la société "MAZARS".
COMMISSAIRE AUX COMPTES SUPPLEANT : Monsieur Christian AMELOOT.
MENTIONS COMPLEMENTAIRES :
ADMISSION AUX ASSEMBLEES : Tout associé a droit de participer aux décisions collectives du moment que ses actions sont inscrites en compte au jour de l’assemblée.
DROIT DE VOTE : Chaque action donne droit à une voix.
PREEMPTION : Toutes les cessions d’actions sont soumises au respect d’un droit de préemption.
AGREMENT : Toutes les cessions d’actions sont soumises à l’agrément préalable de la société donne par la collectivité des associés statuant à la majorité des deux tiers du capital social.
L’inscription modificative de la société sera effectuée au R.C.S. de REIMS.
102324 Pour avis.
APPARTEMENT :
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie à REIMS, 4° étage, porte B Classement énergétique "C" - 89.775 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS ;
— Appartement de type III d’environ 68 m2, situé au 7 avenue du Général Eisenhower 1A à REIMS, 1° étage, porte A - Classement énergétique "D" - 104.218 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT)
— Appartement de type IV d’environ 70 m2, situé au 12 rue Guernier à REIMS, 2° étage, porte B -Classement énergétique "D" - 124.950 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS).
Renseignements l-MMOCOOP, au 03.26.97.67.37.
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APPARTEMENT :
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie à REIMS, 4° étage, porte B -Classement énergétique "C" - 89.775 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type III d’environ 68 m2, situé au 7 avenue du Général Eisenhower 1A à REIMS, 1° étage, porte A - Classement énergétique "D" - 104.218 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 70 m2, situé au 12 rue Guernier à REIMS, 2° étage, porte B -Classement énergétique "D" - 124.950 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS) ;
— Appartement de type II d’environ 65 m2, situé au 13 place Toulouse Lautrec à REIMS, 3° étage, porte C Classement énergétique "D" - 101.125 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type II d’environ 42 m2, situé au 7 avenue du Général Eisenhower 2B à REIMS, 2° étage, porte B - Classement énergétique "D" 65.405 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT).
Renseignements I-MMOCOOP, au 03.26.97.67.37.
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L’association Kalebass et Cie met en place un stage d’Afro zumba à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge dès le samedi 21 janvier.
« C’est nouveau dans notre région », précise Nuccia Thétis, professeur de zumba certifiée, animatrice du stage avec Hamed Sylla, percussionniste. « C’est un mélange de danse latine, de fitness et d’afro dance qui vous transportera grâce à ses musiques variées et à ses percussions en live ».
Places limitées. Sur inscription préalable. Tarif 17 euros (sans emploi et étudiants, 14 euros). Début des cours samedi 21 janvier, de 14 h 30 à 16 h 30.
Pour tout renseignement, appeler le 06.28.04.64.88.
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Découvrir et pratiquer gratuitement différents sports à choisir parmi une dizaine d’activités différentes.
C’est possible à Reims un samedi par mois dans le cadre des Samedis du sport !
Lancés en 2011, ces Samedis du Sport reviennent en 2012 et pas plus tard que le samedi 21 janvier. A cette occasion, les Rémoises et Rémois pourront tester et découvrir, gratuitement entre 10 et 12 heures, des sports ou des activités physiques et ce dans l’ensemble de la Ville.
Chaque activité proposée est encadrée et animée par les bénévoles des clubs partenaires ou par des éducateurs territoriaux des activités physiques et sportives (Etaps). Cette diversité des acteurs assure une large palette d’activités disponibles
Le choix est, de quoi devenir acteur de son bien-être.
Pour le mois de janvier, 11 activités sont proposées (lire par ailleurs). Les lieux de pratique sont répartis dans les quartiers rémois afin que chacun puisse s’y rendre facilement.
Les activités sont le plus souvent accessibles à tous, parents et enfants. Elles sont gratuites mais il est nécessaire de s’inscrire au préalable auprès de la Direction des sports de la ville.
Il est possible de se préinscrire dès maintenant. La limite est fixée à ce jeudi 19 janvier à 17 heures
L’inscription en ligne est possible sur le site www.reims.fr (sports/evenementssportifs).
Le bulletin d’inscription est également téléchargeable et imprimable ; il est aussi disponible dans les antennes municipales, et à l’Hôtel de Ville de Reims.
Les bulletins doivent être remplis et déposés ou envoyés à la direction des Sports, Stade-Auguste-Delaune, chaussée Bocquaine, à Reims.
Les prochains Samedis du sport sont d’ores et déjà programmés le 18 février et 17 mars.
Piscine Orgeval :
de 9 à 10 heures, aquapalmes pour tous publics à partir de 12 ans (savoir nager). Inscription préalable obligatoire.
De 10 à 11 heures, aquagym à partir de 12 ans. Inscription préalable obligatoire.
De 11 heures à midi, fit’palmes à partir de 12 ans (savoir nager 25 m minimum).
Régates rémoises (2, rue Clovis-Chézel) :
de 10 heures à midi, aviron pour tous publics de 10 à 70 ans (savoir nager). Activité annulée si le canal est gelé.
Complexe René-Tys (40, rue Léo -Lagrange) :
de 10 heures à midi, tennis de table à partir de 6 ans (port de baskets propres sorties du sac, semelles blanches).
De 10 heures à midi handball : 8-11 ans et parents (port de baskets propres sorties du sac).
De 10 heures à midi, escrime pour tous à partir de 6 ans.
Gymnase Saint-Exupéry (rue Saint-Exupéry) :
de 10 heures à 11 h 30, arts du cirque (tous publics à partir de 6 ans).
Parc de Champagne :
de 10 h 30 à midi, marche nordique (tous publics à partir de 6 ans).
Gymnase Léo Borgniet (4, rue Raoul-Dufy) :
de 10 heures à midi, kin ball-swin, golf-badminton pour tous publics à partir de 6 ans (port de baskets propres sorties du sac).
Gymnase François Legros (bd Kennedy) :
de 10 heures à midi, initiation aux rollers pour tous à partir de 6 ans (prévoir son matériel : rollers, protections tête, coudes, genoux, poignets).
Plusieurs voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de mardi à mercredi, la première à 19 heures avenue Bonaparte (une Seat Cordoba), la deuxième à 21 h 10 rue Hector-Berlioz (une Renault Clio).
Vers 1 h 30, les pompiers sont intervenus allée de l’Argonne pour éteindre un incendie intéressant une Ford C-MAX, un Renault Scénic, un Renault Express, une Peugeot 206 et une Peugeot 406.
L’enquête cherche à vérifier s’il y a eu cinq mises à feu ou un seul incendie suivi d’une propagation.
Mardi vers 5 h 40, une Renault 5 a également flambé route de Bétheny à Bétheny, tandis que le début d’incendie d’une dépanneuse devant la piscine olympique, hier vers 9 h 30, était d’origine accidentelle (c’est un essieu qui a pris feu).
 Vincent, Erika, Hristina et Anas donnent rendez-vous à leurs camarades étudiants ce mercredi soir à partir de 18 heures.
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Dans l’esprit d’Incroyables talents de la télé, un groupe d’étudiants invite ses camarades à faire le spectacle ce soir.
« VOUS connaissez Incroyables talents, l’émission de télé, eh bien on a voulu faire quelque chose dans le même esprit, en cherchant à faire participer tout le monde. »
Vincent Ehrhard présente ainsi l’animation qui va transformer, ce mercredi 18 janvier au soir, l’amphi 10 de la fac de droit et lettres, sur le campus Croix-Rouge, en salle de music-hall. Animation intitulée « Le campus fête ses talents ».
Au programme essentiellement du chant et de la musique, et un peu de danse aussi, dix numéros en tout : ce sera l’occasion pour les étudiants de révéler leurs dons artistiques. Un disc-jockey complétera l’animation.
Les profs seront aussi impliqués puisque trois d’entre eux constitueront le jury. Et leurs collègues qui souhaiteront simplement assister au spectacle seront aussi les bienvenus.
Vincent est étudiant en mastère 1 de marketing, et avec trois camarades d’études, Hristina, Anas et Erika, ils ont eu cette idée comme projet collectif prévu dans le cadre de leur cursus, « pour faire bouger le campus où il ne se passe pas grand-chose ».
« Ça n’a pas été évident de trouver des candidats, reconnaît le jeune homme : quand on présentait l’idée la plupart se montraient intéressés, mais pour participer eux-mêmes c’était moins évident… Et pourtant nous avions trouvé de quoi financer des beaux lots pour récompenser les candidats ! » Le premier prix mis en jeu ce mercredi est en effet un week-end à Londres pour deux, tous frais payés, ce qui n’est quand même pas rien !
Et le deuxième est un écran plat, le troisième un lot de champagne. « En tout notre budget est de l’ordre de 800 euros. »
Alimenté uniquement, on peut le préciser, par des « sponsors » privés, faute d’argent public ; car ce dernier avait été quand même sollicité initialement, sans succès. Ce qui n’a rien d’étonnant par les temps qui courent…
Antoine PARDESSUS
Envahir un magasin en nombre pour se servir avant de repartir en menaçant si nécessaire le personnel qui tente de s’interposer est une méthode imparable utilisée le 10 décembre dernier au supermarché Match, dans le quartier Croix-Rouge à Reims (l’union du 12 décembre). L’enquête de police vient d’aboutir, du moins partiellement, avec l’arrestation d’un membre présumé de la bande.
Ce samedi soir, la horde composée d’une quinzaine d’individus encagoulés a débarqué vers 19 heures, à la fermeture du magasin. Tout le monde s’est dirigé vers le rayon des spiritueux pour y voler 500 € d’alcool. Les deux vigiles ont voulu s’interposer. Le premier a été frappé avec une matraque télescopique tandis que le second s’est vu menacé d’une arme de poing qui lui semblait être factice. Toutefois, dans le doute, il n’a pu que baisser les bras et laisser la bande s’enfuir.
Certaines écharpes ont glissé sur les visages. C’est ainsi qu’un nom a pu être mis sur l’individu auteur des menaces avec arme. Saisis de l’enquête, les policiers de la Sûreté départementale de Reims l’ont retrouvé samedi à la gare SNCF.
Agé de 21 ans, le jeune homme a tout contesté malgré sa reconnaissance formelle par les témoins. Poursuivi pour vol en réunion, violences volontaires avec arme et menaces avec arme, il a été remis en liberté dans l’attente de son procès au tribunal correctionnel.
Lundi midi, la carcasse calcinée d’une Opel Senator a été retrouvée, rue Charles-Péguy. Il s’agissait d’une voiture volée à Reims le 28 décembre.
Vers 4 h 30 hier matin, un bungalow de chantier a été incendié, allée des Landais. Il est complètement détruit.
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Heureux Ludovic Martin-Kleisch ! Il vient de décrocher sa ceinture noire deuxième dan judo et ju-jitsu lors d’un passage de grade.
Au départ, ce licencié du Judo AS Croix-Rouge ne pensait pas se rendre à Vitry-le-François pour passer cette épreuve.
« Cela s’explique par le fait que physiquement je ne me sentais pas apte. C’était ma plus grande compétition depuis 30 ans. Je me suis vraiment surpris en la faisant », souligne-t-il. « L’accession au deuxième dan n’est pas quelque chose de très aisé : il faut faire au minimum cinq combats contre les judokas de l’échelon inférieur qui font tout pour gagner. En plus, il était opposé à des jeunes qu’il a battus par ippon », précise Jean Dressayre, directeur technique du club.
Avec cette nouvelle corde à son arc, Ludovic Martin-Kleisch ne souhaite pas s’arrêter là. Son envie est de continuer à transmettre avec humilité ses savoirs acquis. « Le judo me permet de trouver des ressources dans ma vie personnelle. Incontestablement, il demeure cette école de la vie, où des enfants acquièrent des valeurs. »
 Elisabeth Causin va succéder à Patrick Schmid (à droite) à la tête de l’espace Watteau dont Vincent Girardin (au centre) reste le président.
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Toute l’équipe de l’espace Watteau de la maison de quartier Croix-Rouge était réunie autour de son directeur Patrick Schmid pour les vœux 2012 et la galette des rois, vendredi 13 janvier.
Présents également, l’association de promotion de Pays-de-France, les représentants des autres espaces avec Elisabeth Causin et Slimane Hamdi, le Collectif Croix-Rouge accueil, le groupe Escapades, l’écrivain public Agnès Tisseron et le Foyer rémois.
Au-delà des vœux traditionnels, une importante restructuration au sein des directions des maisons de quartier a été annoncée.
Patrick Schmid quitte l’espace Watteau/Pays-de-France pour l’espace Turenne de la maison de quartier Val-de-Murigny. Il sera remplacé par Elisabeth Causin, actuelle directrice de l’espace Billard/La Nacelle. Elle cédera son fauteuil à Raymond Guignard, qui vient de la maison de quartier Châtillons.
À Watteau, Vincent Girardin reste président et le collectif Escapades ne bouge pas de Billard. Elisabeth Causin installera son bureau au 3, allée Antoine-Watteau à Croix-du-Sud. Ces décisions seront effectives fin janvier.
« Je ne serai pas loin de vous », assurait Patrick Schmid aux 35 personnes présentes, « nous avons la chance de travailler dans une association qui dispose de treize maisons de quartier, une rotation est donc possible et même souhaitable ».
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 Jean-Pierre Ettel a été reconduit à la présidence. Même confiance renouvelée pour le secrétaire et le trésorier.
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Les principaux responsables du bureau chargé de chapeauter les maisons de quartier rémoises ont été reconduits.
LES maisons de quartier rémoises ne changent pas de pilotes : le trio majeur sortant - président, secrétaire, trésorier - de l’association qui les chapeaute a été reconduit lors du vote qui a eu lieu jeudi dernier.
Leur objectif reste le même : offrir aux quartiers de Reims une animation socio-culturelle pour tous publics, que ce soit par exemple de la danse orientale pour la petite enfance, des jeux de rôle pour les plus grands, de la danse de salon pour les adultes, de la décoration florale pour les seniors, ou encore de l’aide à la recherche d’emploi pour les situations de précarité, et on en passe et des meilleures, la liste des propositions est longue.
Ce qui change, en revanche, c’est « la cuisine interne », autrement dit le mode de fonctionnement de l’association : après huit années de bons et loyaux service, les statuts ont dû être modifiés, en raison, pour faire simple, de la nouvelle position prise par la Ville de Reims par rapport aux associations qu’elle finance.
Du coup, pour se mettre en conformité avec les nouveaux statuts adoptés en fin d’année dernière, une assemblée générale s’est tenue jeudi soir, dans les murs de la maison de la Neuvillette, avec un seul point à l’ordre du jour : l’élection du nouveau conseil d’administration de l’association des maisons. Une des principales modifications par rapport au précédent conseil, c’est le nombre de siégeants : on passe de douze à vingt-huit membres.
Pas vraiment de suspense ce soir-là : une seule liste était en lice, et malgré les invitations (pour rire) du secrétaire Gabriel d’Elloy à « rayer rageusement certains noms qui vous déplairaient », les votants ont adopté à main levée et à l’unanimité la liste candidate. On s’en doutait un peu vu l’ambiance bon enfant et de cordialité qui régnait lors de cette réunion, qui, il faut le dire, était couplée à la cérémonie des vœux à vocation conviviale.
Dans la foulée, le nouveau conseil élisait son bureau. Résultat des courses : Jean-Pierre Ettel reste président, Gabriel d’Elloy, secrétaire, et Marc Flament, trésorier ; la répartition des responsabilités entre les six autres membres se fera ultérieurement.
Ce sont donc eux qui auront la charge de piloter les loisirs et services à proposer à la population ; à continuer de proposer faut-il dire, puisqu’il s’agit d’assurer la continuité de prestations déjà bien ancrées dans la vie locale. Et dont profitent quelque 14 000 Rémois.
Antoine PARDESSUS
 L’équipe du Centre fédéral de ligue : debout : Aurélie Marchal, Kassandra Davesne, Lori Méresse et Claire Makhloufi ; accroupis : Anthony Petit, Geoffrey Alessio, Sébastien Paillard, Servane Delobelle.
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Inédite en France, la structure club-ligue créée à Reims est appelée à se développer. Autour d’un noyau féminin.
INAUGURE à l’automne 2010 par Jean-Claude Massias, chargé de mission auprès de la DTN, et Dominique Poey, DTN adjoint, le Centre fédéral de la ligue a soufflé sa première bougie en octobre dernier.
Les résultats de cette structure-pilote associant un club - Géo-André Reims - et la ligue, à travers l’équipe technique régionale (ETR), sont déjà tangibles.
Suivie par Sébastien Paillard (*), la Givetoise Claire Makhloufi a mis fin à une disette à ce niveau en remportant le tournoi national cadets de Grenoble.
Venue de Pamiers (Ariège) à la rentrée et entraînée par Geoffrey Alessio, Lori Méresse s’est qualifiée à Auch pour les Petits As de Tarbes.
La DTN a forcément un œil sur cette dynamique en train de s’installer : « Les filles se sentent bien dans leur environnement et avec leur coach », constate le responsable du Centre, Anthony Petit. Coordinatrice du haut-niveau féminin à la FFT, Carine Bornu a séjourné durant une semaine au Creps de Reims et ce qu’elle a vu, l’a séduite. Comme Dominique Poey qui a passé deux jours sur place.
La Cité des sacres, qui en son temps, a accueilli les meilleurs espoirs (Paul-Henri Mathieu, Gaël Monfils) au sein d’un Pôle France, possède tous les atouts pour figurer à nouveau dans le parcours d’excellence. Cette fois pour les filles…
Signe de l’intérêt porté par la DTN à ce tremplin vers les Pôles France, l’Insep et le Centre national d’entraînement, le Creps accueille régulièrement des stages nationaux : pour les meilleures 94 et 99 filles ainsi que pour les pensionnaires des Pôles France de Poitiers et de Boullouris.
« C’est une reconnaissance et c’est valorisant pour nos entraîneurs Geoffrey Alessio et Sébastien Paillard qui participent à ces stages », souligne Anthony Petit, récemment convié, pour sa part, à un week-end de travail à Roland-Garros.
Entre la DTN et le Centre de ligue, une synergie se met en place. Sans que s’installe l’obsession du résultat. Anthony Petit - qui, jeune, a fréquenté le Pôle de Poitiers - y tient : « Je ne regarde pas les résultats, je regarde le travail, la qualité et l’évolution des joueuses ».
« La saison prochaine, le nombre de jeunes sera en augmentation. De combien ? Je ne sais pas… ». C’est dans la logique d’un développement durable. Si le Centre fédéral de la ligue reste une chance pour les meilleures régionales, le recrutement va s’élargir : « La Fédération va faire des repérages tout au long de la saison. Ils vont s’informer des conditions d’entraînement là où les jeunes en devenir se trouvent. Si ces dernières ne sont pas optimales, ils seront intégrés dans des Centres comme le nôtre ».
Jean-Pierre PRAULT
(*) Sur ses sept entraînements par semaine, Claire Makhloufi en suit cinq avec Sébastien Paillard et deux avec l’entraîneur fédéral de la ligue, Emmanuel Castille.
Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 3.200.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, BP 324, 51061 Reims Cedex.
Objet : Travaux d’habillages des sous faces de balcons des îlots Fragonard, Cézanne et Ingres, Quartier Croix du Sud à REIMS (51100) / Réf. : MA-171011
Procédure adaptée non soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005
Composition du marché : 1 lot unique
Délai d’exécution : 18 mois
Date limite de réception des candidatures et des offres : Le jeudi 10 novembre 2011 à 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés – 7 rue Marie Stuart 51100 Reims
Le dossier de consultation pourra être obtenu, à partir du mardi 18 octobre 2011, auprès de :
Sur support électronique, en téléchargement gratuit : www.effort-remois.com rubrique Appel d’Offres ou www.lunion-legales.fr
(réf. : MA-171011)
Sur support papier, aux frais du candidat : TECHNIC REPRO 11 rue de Neufchâtel 51100 REIMS - Tél. 03.26.04.81.21 - Fax : 03.26.09.71.07
Les visites de sites sont obligatoires. Elles se tiendront les jeudis après midi de 13h30 à 14h30 sur site et pendant toute la durée de la consultation Lieux de RDV : Agence Effort rémois de Croix du sud - 09 place J. Fragonard - 51100 Reims
Merci de confirmer votre présence au près de Mr Dumont 06.16.56.13.84 Renseignements techniques : Service Maintenance : Mr HOLLERICH 03.26.05.92.80 / Mr Dumont 03.26.04.98.37
Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Forray 03.26.05.92.33 / Mme Gallois 03.26.04.99.05
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 13 octobre 2011 au JAL L’UNION
ECO édition Marne et le Moniteur.
La fin de nuit de dimanche a été marquée par une série d’incendies dans le quartier Croix-Rouge.
Une Ford Escorta d’abord brûlé à 6 h 35, place Maurice-Utrillo, puis une poubelle à 6 h 40, rue Jean-Louis-Debar, avant la mise à feu d’une voiture, allée des Provençaux (un témoin a éteint le sinistre avant qu’il ne se propage).
Cette série serait-elle le fait d’une, seule et même personne qui a semé les incendies sur son chemin ?
Dimanche à 23 heures, dans le même quartier, une poubelle s’est enflammée dans un local à vide-ordures de la rue Pierre-Taittinger. Plusieurs cages d’escaliers ont été enfumées,
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L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud a organisé son assemblée générale dans la salle Prével de l’Etoile Croix-du-Sud. La présidente Évelyne Nkounkou a réussi le tour de force, par un habile subterfuge (lire par ailleurs), de réunir plus de 80 personnes (pour 92 parcelles), un record de participation. Il a fallu rajouter des chaises.
Avec 20 632 euros de recettes, dont 5 922 euros de subvention municipale, et 15 887 euros de dépenses, le compte d’exploitation est positif : + 4 759 euros.
Le rapport moral a fait apparaître de nombreux achats collectifs : une cabane double, une remorque, des compteurs et leurs raccords, une tronçonneuse, un désherbeur thermique, un aspirateur souffleur, deux débroussailleuses, deux perceuses sans fil, un motoculteur, six brouettes, une tondeuse, une tonnelle, de la laine de verre, du grillage et divers petits équipements pour aménager les containers où ranger le matériel, sans oublier de la terre et des arbres fruitiers.
Les chèques cadeaux pour le concours des plus belles parcelles ont été offerts par l’Effort rémois via Alfa Logement.
L’association a remarqué la bonne tenue des parcelles pédagogiques de l’association de promotion de Pays-de-France et de l’Etoile Croix-du-Sud. « Les enfants ont vraiment bien travaillé et nous les encourageons à continuer dans cette voie. Ils ont reçu chacun une coupe lors de la remise des prix. »
Avec la modification des statuts, l’assemblée générale a été mouvementée.
Des rumeurs ayant circulé entre les jardiniers, nombre d’entre eux sont arrivés, très remontés contre deux propositions suggérées par la présidente Évelyne Nkounkou : l’augmentation des tarifs de location d’une part, l’embauche d’une personne chargée du nettoyage et de l’entretien des trois rocades, des allées publiques et des parties communes d’autre part, ce qui aurait pu entraîner une dépense supplémentaire de 10 000 euros par an.
La présidente savait très bien que ces propositions étaient irréalistes, mais son objectif était de réunir le plus de monde possible : objectif réussi. Mais devant le brouhaha ambiant et alors que tout le monde criait en même temps, l’adjoint Eric Quénard, présent avec son collègue Raymond Joannesse et le conseiller municipal Michel Guillaudau, a dû intervenir en médiateur pour calmer les esprits, ramener le calme et définir des conditions d’interventions publiques.
Ceci n’a pas empêché l’ancien président, Georgy Weiler, démissionnaire en 2008, d’annoncer son intention de faire annuler l’assemblée générale devant le tribunal administratif.
Comment en est-on arrivé là ? Quand les jardiniers signent leur contrat de location pour une parcelle, il est stipulé que « l’entretien des allées et des abords délimitant les parcelles sera assuré par eux-mêmes. »
Or, selon la présidente, « très peu de jardiniers nettoient leur allée, et aucun jardinier ne nettoie les parties communes et les trois rocades ».
Le conseil d’administration a donc pensé soit à créer un emploi à plein-temps, soit un emploi à mi-temps, ou encore à faire appel à Reims Espoir ou aux Ateliers de la Forêt.
À l’issue de discussions très animées et parfois à la limite de la discourtoisie, ces deux propositions ont été soumises au vote et rejetées. Les jardiniers ont fini par se mettre d’accord : ils respecteront désormais la clause de nettoyage incluse dans leur contrat. « Nous prenons acte », concluait la présidente, « vous vous devez solidarité ! »
Il reste maintenant à voir si cet engagement est correctement tenu, sinon ce sera rebelote à la prochaine assemblée générale !
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L’association des jardins familiaux de Pays-de-France a réuni son assemblée générale dans la salle municipale Croix-Rouge. Le président Michel Herbreteau a accueilli un public manifestement heureux d’être présent, ses confrères des jardins de l’agglomération, les adjoints, Eric Quénard et Raymond Joannesse, et le conseiller municipal Michel Guillaudeau.
Il a évoqué les travaux réalisés en 2011 : dix-sept portillons réparés, la taille des troènes, le nettoyage de printemps, des plaques de cabanons, des nids-de-poule rebouchés et la remise en conformité du portillon, sans oublier la création d’un jardin pédagogique en collaboration avec Yves Monflier. Il a abordé les perspectives 2012 : de nouveaux nids-de-poule à reboucher, la remise en peinture de onze cabanons et le changement de certaines plaques, la taille des haies et la réfection des bordures de l’allée principale.
Le trésorier Jean-Claude Hirault a fait le point sur les finances. Avec 8 214 euros de recettes, dont 3 859 euros de subvention municipale, et 5 886 euros de dépenses, le compte d’exploitation est positif de 2 327 euros.
Il restait à Jean Kozycki, au nom de la Société d’horticulture de l’agglomération de Reims, de remercier l’association « qui a ouvert ses jardins à une séance d’initiation à la culture potagère en faveur des enfants des écoles. »
Le conseiller municipal Michel Guillaudeau a parlé de la pluie et surtout du beau temps : « Le repos de la végétation n’est pas respecté : les parasites et les escargots sont heureux ! Hélas, les fruits et légumes vont coûter cher ! »
L’adjoint Raymond Joannesse a rappelé la directive européenne déjà appliquée à Reims : « Ni insecticides, ni pesticides, ni produits chimiques dans les parties communes de vos jardins ! On les retrouve dans l’eau que l’on doit ensuite dépolluer dans une usine très coûteuse ! »
Enfin, avant la traditionnelle galette des Rois, l’adjoint Eric Quénard précisait : « Je vous décerne le triple E. Entretien (avec maintenant soixante-huit parcelles). Embellissement (Si la ville Reims a encore cette année sa 4e fleur, les jardins familiaux, dans leur globalité, y sont pour beaucoup).
Engagement (l’équipe autour du président Herbreteau, les bénévoles et la Ville sont ensemble toute l’année, sans oublier le passage de témoin auprès des enfants) ».
 Les gagnants ont tous reçu une belle coupe remise par les élus.
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Les résultats du concours 2011 des plus belles parcelles ont été proclamés, provoquant parfois de belles surprises, comme chez Philippe Collard, tout étonné d’être classé premier potager.
Catégorie « Jardins fleuris »
1, Christophe Buiron. 2, Lucienne Bérini. 3, Americo Azevero. 4, Madelena Ramalho. 5, Lam Nguyen-Ngo. 6, Denis Loehler. 7, Yves Monflier.
Catégorie « Jardins potagers »
1, Philippe Collard. 2, Claude Mirbel. 3, Charles Juilliart. 4, Menouar El-Achene. 5, Guy Charreau. 6, Ibrahim Unal. 7, Nathalie Avelange.
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En fin d’assemblée générale, un message de sympathie a été adressé par Michel Herbreteau à Jean-Claude Hirault, « fidèle trésorier de notre association depuis 23 ans. Il sera regretté par tous les jardiniers pour sa légendaire gentillesse ! »
Après une remise de cadeaux et alors que son épouse était fleurie, sous un tonnerre d’applaudissements, l’infatigable bénévole, très ému, s’est justifié : « J’ai trouvé une petite maison dans les Ardennes, et nous allons nous y installer. Nous devons donc quitter Reims et l’association ! »
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Avec Dany Jouard, la police voit double. Le 9 octobre 2011, ce Rémois de 19 ans s’engage à contresens sur une bretelle d’accès de l’avenue de Champagne.
Repéré par une patrouille, il fait demi-tour et tente de s’échapper.
La course-poursuite est inégale car le fuyard circule… avec une voiturette !
Rattrapé avenue Alexandre-de-Serbie, il est sous l’emprise d’un état alcoolique.
Remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel de Reims, Dany Jouard ne s’en soucie guère car le 14 novembre, il reprend sa voiturette après avoir bien bu. Les policiers l’interceptent rue Joliot-Curie à la suite d’un changement de direction sans clignotant.
Verdict du dépistage : 1 gramme d’alcool par litre de sang.
Convoqué à la même audience pour les deux affaires, le jeune homme ne vient pas s’expliquer.
Il est condamné à deux mois de prison ferme et 100 euros d’amende.
En maison d’arrêt
Deux autres chauffards ont décroché un billet d’entrée pour la maison d’arrêt. Contrôlé par les gendarmes au rond-point de Thillois, le 3 juillet 2011, Frédéric Petermann, Rémois de 33 ans, n’a pu leur présenter son permis puisqu’il n’en a pas. Même chose pour Jean-Louis Philippotaux, 57 ans, arrêté le 9 octobre rue Jeanne-d’Arc à Reims et dont le cas est aggravé par une conduite en état alcoolique (1,76 gramme). Tous les deux sont récidivistes. Eux aussi boudent l’audience. Deux mois ferme au premier, trois mois ferme au second.
 Les nouveaux conteneurs ont été installés au cours de la première semaine de décembre à Croix-du-Sud, allée Edgar-Degas.
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REIMS (Marne). De nouveaux conteneurs à ordures ont été installés à Croix-du-Sud et dans le secteur de la rue Géruzez. Une mesure qui ne convainc pas tout le monde.
ILS ont fait leur apparition, mi-décembre, dans le quartier Croix-du-Sud, allée Edgar-Degas et rue Newton, et dans le secteur de la rue Géruzez. Quatorze conteneurs enterrés - huit d’un côté et six de l’autre - pour le tri des ordures ménagères, papiers, cartons et pour le verre, ont été installés en une semaine fin 2011. Placés sur les trottoirs, ils complètent la batterie des existants, poubelles de couleurs qui avaient vu le jour en 2009 suite à la signature d’une convention entre les bailleurs sociaux, la Ville et l’Agglomération.
« Nous avons prévu d’en installer quatre cents d’ici 2014 », précise Éric Quénard, premier adjoint au maire en charge du logement et de l’urbanisme. « Nous en sommes à cent soixante-quinze pour le moment. »
Le but recherché ? Apporter une réponse aux récurrents incendies de poubelles, supprimer les mauvaises odeurs puisque les vide-ordures sont en sous-sol dans les immeubles à l’heure actuelle, et permettre aux personnes à mobilité réduite de jeter leurs déchets.
Pourtant, certains habitants s’opposent au changement. À l’image de Grégory Weiler, résidant 8, allée Edgar-Degas. « Pourquoi ne pas avoir placé ces conteneurs juste en face, dans le parc ? » s’insurge-t-il. « On nous supprime des places de parking. Et puis, sur le trottoir, ce n’est pas du tout hygiénique. »
Éric Quénard apporte ici des explications : « Tout d’abord, ces conteneurs ne sont pas dans le parc par mesure de sécurité. Cela aurait obligé les habitants à traverser la rue pour jeter leurs déchets. D’autre part, question hygiène, ces bacs sont enterrés et fermés. C’est bien mieux qu’auparavant. » L’adjoint au maire précise au passage que ce nouveau système de collecte permettra aux locataires d’économiser 50 € par an sur leurs charges. Aujourd’hui, cent soixante-quinze conteneurs ont été installés dans des quartiers en pleine rénovation urbaine comme Croix-Rouge, Wilson ou les Épinettes. Orgeval sera équipé au cours du deuxième semestre 2012 et ces travaux se poursuivront dans les quartiers Europe, des Châtillons et des Épinettes jusqu’en 2013.
Enfin, les bailleurs, la Ville et l’Agglomération finalisent en ce moment une autre convention concernant la gestion des encombrants, et donc la mise en place de deux cents conteneurs en plus des quatre cents programmés.
Lélia BALAIRE
Le prochain concours de belote de l’association Etoile Croix-du-Sud se déroulera dimanche 15 janvier, 5, avenue Léon-Blum.
Inscriptions à partir de 13 h 30, début du jeu à 14 heures.
Lots pour tous.
Le prochain concours de belote de l’association Etoile Croix-du-Sud se déroulera dimanche 15 janvier.
Inscriptions à partir de 13 h 30, début du jeu à 14 heures.
Lots pour tous.
Buvette et restauration sur place.
Pour tout renseignement, téléphoner au 03.26.06.56.66. ou s’adresser au secrétariat, 5, avenue Léon-Blum.
Tramway, ligne B station Léon-Blum.
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Saint-Pétersbourg a toujours eu une relation privilégiée avec l’art, et plus particulièrement avec le cirque dont de nombreux grands artistes sont issus.
LE cirque russe s’installe à Reims, du 13 au 15 janvier, parking de l’Hippodrome, avec des athlètes, acrobates, comiques et autres faiseurs de rêves, plusieurs fois récompensés dans les Festivals de cirque les plus prestigieux.
La qualité, la diversité, et l’exclusivité des numéros montreront une fois de plus que la réputation de l’école russe du cirque est bien fondée ! Avec les artistes, il y aura également des animaux exotiques avec la présence d’éléphants, tigres de Sibérie, de chameaux des steppes mongoles…
Et parmi les numéros très attendus, celui de Sarah Houcke, entourée par ses impressionnants compagnons que sont les tigres du Bengale. Vedette du plus grand cirque du monde Barnum aux Etats-Unis, elle est la digne héritière d’une grande lignée de dresseurs. Dans ce numéro impressionnant, elle les hypnotise au point de les rendre funambules !
Nos impressionnants et non moins attendrissants compagnons entreront ensuite en piste : ce sont les éléphants du cirque de Saint-Pétersbourg. Venus d’Asie, ils raviront petits et grands dans leur démonstration faite de technique et d’élégance.
Le ballet international visitera plusieurs pays du monde, dans le plus pur esprit des grands ballets russes… Le sens du rythme n’a pas de secrets pour ces danseurs hors pair. Leurs sourires et leurs pas de danse, entraîneront le public dans une véritable farandole !
Les chameaux entreront en scène pour un moment exotique sous la conduite du dresseur Ahmed Royal, pour parader sur la piste à vive allure. Andreyi Staplin réalisera lui un numéro d’équilibre tout à fait incroyable. Il épouse avec force et grâce de simples mâts.
Un numéro très original et très apprécié par le public regroupe les animaux de la ferme. Les oies, vaches, cochons… sont aussi de véritables artistes capables d’effectuer un tableau pittoresque sous la conduite de leurs dresseurs. Ils font également participer le public à leur performance. Ils sont même passés à la télé, pour l’émission « Un incroyable talent ».
Cirque Saint-Pétersbourg, parking de l’Hippodrome,
aujourd’hui vendredi 13 janvier, 18 heures et 20 h 30 ;
demain samedi 14 janvier 14 h 30, 17 h 30 et 20 h 30 ;
dimanche 15 janvier 10 h 30, 14 h 30 et 17 h 30.
Tarifs : de 22 à 46 euros pour les adultes, 12 euros pour les enfants.
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En lien avec la Maison de l’enfance, Alexandra Babin, animatrice familles des espaces Watteau et Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge, propose des animations parents-enfants, tous les mercredis de 10 heures à 11 h 30, à la Marelle, 3, allée des Picards.
« Venez partager des moments avec vos enfants jusque 6 ans, autour d’activités manuelles, d’ateliers cuisine, de spectacles, de sorties,… », précise-t-elle.
Ce sera également l’occasion de rencontrer d’autres parents, de partager les expériences de chacun sur l’éducation des enfants et d’exprimer certaines questions et difficultés éventuelles.
Toutes ces animations sont gratuites. Pour tout renseignement, contacter Alexandra Babin à l’espace Watteau-Pays-de-France, 3 allée Antoine-Watteau, au 03.26.36.03.50. ou au 06.47.71.53.00.
Le programme
Mercredi 18 janvier : découverte des amis de mon jardin, atelier autour du puzzle.
Mercredi 25 janvier : atelier perles à repasser.
Mercredi 1er février : conte des amis de mon jardin, atelier manuel.
Mercredi 8 février : atelier motricité et bourse aux livres.
Mercredi 15 février : préparation du carnaval.
Mercredi 22 février après-midi : grand carnaval. animations parents-enfants à la Marelle
Lundi matin, les locataires d’un appartement de l’esplanade Eisenhower, au n°51, ont constaté des flaques d’eau dans leur domicile. L’écoulement provenait d’une installation en cuivre dégradée à l’étage supérieur par un ou plusieurs voleurs.
Toujours lundi, mais à 21 h 30, les pompiers sont retournés avenue Eisenhower pour un début d’incendie dans une boîte aux lettres. Ils y sont revenus deux fois mardi soir, à 20h 45 puis 22 h 30 pour un feu de local à vide-ordures.
Lundi vers 22 h 30, une BMW série 7 a été incendiée rue François-Legros.
La veille, dans le même quartier, des poubelles ont brûlé à 21 heures avenue Bonaparte puis à 22 h 30 rue Pierre-Taittinger.
Même chose hier, à 2 heures allée des Bretons et 3 heures rue d’Italie, tandis qu’à 8 h 30, un feu de détritus s’est déclaré dans un bâtiment désaffecté route de Cernay.
Numéro 7428 du 09 au 15 janvier 2012.
Aux termes d’un acte sous seing privé en date du 27 décembre 2011, il a été constitué la société à respon-sabilité limitée présentant les caractéristiques suivantes :
FORME : S.A.R.L.
DÉNOMINATION : HORIZON.
CAPITAL : 2.000 € (deux mille) €, divisé en 200 parts de 10 € chacune entièrement souscrites et libérées.
OBJET : Tous travaux de bâtiment.
DURÉÉ : 99 années à compter de son immatriculation au R.C.S.
SIEGE : 9 rue Pierre Taittinger 51100 REIMS.
GERANCÉ : Monsieur ATA Fuat, demeurant 38 rue de Rilly la Montagne 51100 REIMS.
DEBUT D’ACTIVITÉ : 1er janvier 2012.
102128
Pour avis : Le gérant.
Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT. L’intégralité de l’avis d’appel public à ta concurrence est consultable sur le site Internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal-officiel.gouv.fr…).
1 - Identification de l’organisme qui passe le marché : maître d’ouvrage : Reims habitat Champagne-Ardenne, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.
2 - Procédure de passation : procédure adaptée soumise aux dispositions de l’article 10 du décret du 30 décembre 2005. Reims habitat se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des’candidats ayant remis une offre.
3 - Objet du marché : remplacement des luminaires par des LED à détection de mouvements dans les parties communes des immeubles« Les Hauts de Murigny » à Reims.
4 - Critères d’attribution :
prix des prestations : 50%
valeur technique :40%
critères environnementaux : 10%
5 - Option obligatoire à chiffrer : les 2 immeubles situés au 5, rue Gandon et au 1, rue Watteau.
6 - Délai d’exécution : le délai d’exécution des travaux est ; de 15 semaines (non comprise la période de préparation de chantier de un mois).
7 - Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à Reims habitat auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30, fax 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr
8 - Renseignements complémentaires : les renseignements d’ordre administratif peuvent être obtenus auprès du service commande publique de Reims habitat, tél. 03.26.48.62,30, fax 03.26.48.43.27. Les renseignements d’ordre technique peuvent être obtenus auprès de la direction de la maîtrise d’ouvrage de Reims habitat, M. POULAIN, tél. 03.26.48.43.16, fax 03.26.48.43.40
9 - Date limite de réception des offres : le 30 janvier 2012 à 1/ heures.
10 - Date d’envoi à la publication : le 6 janvier 2012.
 « Les piétons doivent prendre conscience des dangers du tram avant qu’un malheur n’arrive ».
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• Piétons inconscients partout. L’imprudence sur les voies n’est pas une spécialité exclusive des jeunes d’Orgeval : « Des piétons imprudents, on en croise partout, de tous les âges et de toutes les catégories sociales. Ils font n’importe quoi. Parfois on a beau actionner la cloche, ils restent quand même sur la voie et nous obligent à un freinage d’urgence. Avec tous les risques que cela comporte pour les passagers ». Les conducteurs aimeraient bien qu’ils changent avant qu’il y ait un mort.
• Place de la République. C’est presque un sport à Reims de passer au feu rouge. Place de la République, c’est un sport quotidien. « Les automobilistes ne peuvent pas s’en empêcher. Ils s’engagent sur les rails sans même regarder si on arrive ».
• Collège Jeanne-d’Arc. À peu près sages au printemps dernier, les collégiens de Jeanne-d’Arc seraient déchaînés depuis la rentrée. « Ils font n’importe quoi comme s’amuser à rester au milieu alors que deux rames se croisent. Ils ne réalisent pas le danger ».
• Sortie du personnel du CHU. « Aussi bien les grands médecins que les livreurs, ils sortent de leur parking sans faire attention. Ils voient un tram mais souvent ils ne voient pas le deuxième qui arrive de l’autre côté ».
• Saint-John Perse. « On longe un grillage qui peut emprisonner un piéton. Depuis qu’un jeune s’est fait broyer le pied, ils ont éclairé un peu mieux. Avant, on ne voyait pas grand-chose ».
• Rue de Vesle. « Les gens sont dans leur monde. Ils sortent des magasins et traversent sans regarder. Le soir, ce sont les SDF avec leurs chiens qui nous posent problème. Sans parler des voitures qui grillent les stops ».
• École Jean-Macé. « Le soir, c’est tout noir. On a toujours peur de ne pas voir les gamins ».
• Franchet d’Esperey. « Les piétons traversent systématiquement les rails puis l’avenue en dehors des clous pour passer au plus court. Le secteur mériterait d’être aménagé différemment ».
Mission de maîtrise d’œuvre pour les travaux de maintenance intégrant les travaux de gros entretien, de mise aux normes et de travaux ponctuels de réaménagement de locaux à exécuter dans les lycées, propriétés de la Région.
Lot n° 9 : lycées Jean-Jaurès, Joliot-Curie, Roosevelt, Val-de-Murigny, Arago, Chagall, Clemenceau à Reims.
Modificatif à l’avis paru dans le journal L’UNION du 4 janvier 2012.
La date limite de remise de candidatures initialement prévue au 6 février 2012 est reportée au 10 février 2012 à 16 heures.
Date d’envoi de l’avis à la publication : 4 janvier 2012.
 Ils sont inquiets, les élèves de 1re « sécurité et prévention ». Depuis la rentrée, il leur manque de nombreuses heures de cours.
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REIMS (Marne). Privés de cours de secourisme et de stages en immersion, des formations obligatoires pour le Bac, les 1re « sécurité et prévention » de Joliot-Curie sont inquiets. Et le font savoir.
LA semaine dernière, tous les élèves de 1re Bac pro option « sécurité et prévention » ont mené des actions au sein de leur établissement. Ils rentraient en cours mais refusaient de sortir leurs affaires. Motif du mouvement de grogne, le fait que certains cours ne soient pas assurés. Frustrant pour ces jeunes qui ont choisi la filière porteuse des métiers de « la sécurité et de la prévention ». Dans ce cursus, certains cours sont prépondérants. Comme les ceux de secourisme et de prévention assurés par des pompiers professionnels.
Cette formation inclut également un stage de huit semaines en immersion dans une caserne. Les années précédentes, les lycéens de Joliot-Curie effectuaient leurs formations avec les sapeurs-pompiers… de Saint-Dizier, en Haute-Marne. Limpide. Depuis l’année passée, les pompiers de Saint-Dizier ont fait le choix (légitime, NDLR) d’accueillir des lycéens de leur département.
Le rectorat de Reims s’est donc rapproché des pompiers de la Marne pour initier une convention permettant des stages en immersion. Le papier a été signé mais dans les faits, ces futurs bacheliers ne savent toujours pas s’ils seront accueillis en stage dans la Marne. Très inquiets, ils craignent pour leur avenir.
« Nous avons fait le choix de cette filière par passion. Nos trois heures de cours hebdomadaires sur le secourisme ne sont pas assurées. Idem pour les stages en immersion. On ne voit rien venir mais il ne faut pas oublier que les coefficients de ces matières sont d’une extrême importance pour nous. Que va-t-il se passer si on ne peut pas valider ces épreuves ? » commente Lucie, une des dix-neuf élèves de 1re « sécurité et prévention » de Joliot-Curie.
Le chef d’établissement reconnaît le souci avec les pompiers. Le dossier est actuellement entre les mains du rectorat. « Je le dis et je l’ai répété à mes élèves, ils n’ont pas à s’inquiéter mais nous comprenons bien évidemment leurs questionnements. Aussi, nous sommes à la recherche de solutions pour eux et pour leurs formations. Mais les heures de formation qui ne seront pas effectuées en 1re année le seront pour les mêmes en terminale. Que les élèves - et les parents - soient rassurés, ils ne seront en aucun cas pénalisés dans leurs études », explique le proviseur de Joliot-Curie, Amadou Simal.
Quant au retard pris, par la faute de la mésentente entre les dirigeants des sapeurs-pompiers de la Marne et le rectorat, les choses se régleront, c’est promis. On verra bien. Pas sûr que les élèves de Joliot-Curie retrouvent la sérénité.
Thomas DUPRAT
Dans la nuit de samedi à dimanche, des pompiers sont intervenus au quartier Croix-Rouge à Reims pour éteindre un petit incendie. Alors qu’ils se trouvaient avenue Bonaparte, deux individus ont lancé vers eux des canettes de verre.
Les projectiles n’ont touché personne, ni le fourgon. En fuite vers les immeubles, les auteurs avaient le visage masqué.
Cette même nuit à 3 h 30, un feu de voiture a été éteint sans difficulté place Paul-Claudel à Sainte-Anne. L’origine est indéterminée.
Un conteneur à ordures a également brûlé à Wilson.
 Auteur d’un vol à l’arraché commis à Reims, un jeune homme pensait profiter de son butin, mais c’était compter sur une joggeuse qu’il a dépassée à toute vitesse lors de sa fuite…
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REIMS (Marne). Quand on commet un vol à l’arraché, mieux vaut ne pas dépasser une joggeuse au moment de s’enfuir. Un Rémois rattrapé par une sportive courageuse en sait quelque chose…
LE sexe dit faible ne l’est pas toujours. On peut n’être qu’une femme de 1 m 60 mais avoir le dessus sur un grand gaillard de 30 ans plus jeune.
Rémoise de 53 ans, Mme X. pratique la course à pied depuis plus de vingt ans, avec plusieurs marathons à son actif. Vendredi matin, elle part faire son jogging habituel mais décide de changer de parcours en traversant pour une fois le quartier Croix-Rouge.
« Je venais de passer devant la faculté de lettres. J’étais en petites foulées d’échauffement quand soudain, un homme très élancé, d’au moins 1 m 80, m’a dépassée comme un bolide rue Pierre-Taittinger. J’ai été très surprise. D’une part, il courait trop vite pour quelqu’un qui fait son jogging. D’autre part, il n’avait pas la tenue, avec en plus une écharpe enroulée sur la tête ! » Bizarre, bizarre…
« Tout d’un coup, j’ai entendu crier derrière moi : « Mon portable ! Mon portable ! » Je me suis retournée et j’ai vu une jeune fille désemparée, sans doute une étudiante, qui levait les bras au ciel. Ça a fait tilt ! Le type qui venait de me dépasser était le voleur de son téléphone. Il avait déjà pris 30 mètres sur moi, mais j’ai décidé de piquer un sprint pour le rattraper. »
Nul doute que le malandrin ne s’attendait pas à pareil incident de parcours. Et c’est ainsi que vendredi matin, la rue Pierre-Taittinger fut le théâtre de cette étrange procession au cours de laquelle un homme était coursé avec une écharpe sur la tête par une joggeuse, elle-même suivie par la victime qui peinait à tenir la distance.
Des témoins, il y en a eu, notamment ces « deux jeunes assis à ne rien faire sur les marches d’un immeuble ». « En passant devant eux, je leur ai crié : Aidez-moi ! Ils n’ont pas bougé, se contentant de lever les bras, façon de dire : « Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ? Débrouille-toi ! » Sympa, les gars ! »
L’autre, plus loin, avait beau courir comme un dératé, sa poursuivante était toujours là quand il se retournait. Alors qu’il approchait de l’avenue Bonaparte, il a bifurqué à droite pour filer entre les immeubles. La joggeuse ne l’a pas lâché. Et l’a finalement eu à l’usure, après environ 300 mètres de course.
« Il a fini par s’arrêter sous un porche et m’a attendue. Je n’ai pas réfléchi. Je l’ai rejoint. C’était un jeune d’environ 20 ans. Je l’ai pointé du doigt en lui disant : « Vous savez, je suis une bonne coureuse. Je vous aurais suivi jusqu’au bout ! » Il m’a répondu : « OK, c’est bon ! J’aurais pas dû. Tenez, je vous le rends, ce portable, il est pourri de toute façon ! » Ça m’a étonnée, car c’était plutôt un modèle récent. » Sans doute a-t-il dit cela pour trouver un prétexte à sa capitulation, lui dont on imagine l’orgueil du jeune mâle vexé d’avoir été battu à la course par une femme qui pourrait être sa mère. « Je l’ai laissé partir, puis je suis retournée donner le portable à la demoiselle. Elle était tellement contente qu’elle m’a quasiment sauté dans les bras en me remerciant chaudement. »
La victime est ensuite repartie vers la fac, la joggeuse à son jogging. Fin d’une petite histoire dont l’acteur à l’écharpe ne va sans doute pas se vanter auprès des copains.
F.C.
Hier vers 18 h 15, le conducteur d’un tramway a dû freiner brusquement au niveau de l’arrêt Debré/Maréchal-Juin, près de l’hôpital de Reims.
Trois passagers sont tombés par terre, notamment une femme enceinte de 28 ans et une dame de 62 ans.
Par précaution, les pompiers ont assuré leur transport au CHU.
Hier vers 8 heures du matin, une voiture a pris feu rue des Savoyards à Reims, au quartier Croix-Rouge.
L’origine du sinistre est indéterminée.
Jeudi vers 21 h 30, un homme en a blessé un autre lors d’une rixe à l’arme blanche survenue sur le parking du centre commercial Match, au quartier Croix-Rouge à Reims (notre édition rémoise d’hier).
Âgée de 26 ans, la victime a reçu deux coups de couteau dans les côtes, un troisième à la joue. Ses jours ne sont pas en danger et elle a déjà pu répondre aux questions des policiers.
Ces derniers n’ont toutefois pas appris grand-chose. Le jeune homme a déclaré ignorer l’identité de son agresseur, et la raison pour laquelle il est venu lui chercher querelle. Le parking était désert à ce moment-là. Seul un témoin, de loin, a remarqué les deux personnes qui se bagarraient.
En fuite avant l’arrivée des secours, l’agresseur a pris la fuite à pied.
Ce même jeudi soir, vers 19 heures, toujours sur un parking de magasin, une autre agression a fait un blessé devant l’hypermarché Cora de Cormontreuil.
La victime est une jeune femme de 20 ans qui se trouvait avec son ami lorsque trois individus ont accosté le couple pour l’importuner.
Le ton est monté, l’un des individus a frappé la demoiselle d’un coup-de-poing à la tempe, puis le trio est reparti à bord d’une voiture.
Blessée légèrement, la jeune femme a été transportée au CHU par les pompiers.
Une plainte devrait suivre pour tenter d’identifier les auteurs et déterminer leur motivation (ils n’ont pas cherché à voler quoi que ce soit au couple).
Décidément, c’est la loi des séries car lundi vers 23 h 30, une première agression à l’arme blanche a ensanglanté le parking du magasin Lidl, boulevard Wilson (l’union de jeudi).
Descendus d’une voiture, plusieurs individus ont pris à partie un homme de 18 ans qu’ils ont frappé de deux coups de couteau - un dans le dos, l’autre à la cuisse - pour une raison que les policiers cherchent à déterminer.
Secourue par un ami, la victime s’est réfugiée dans un hall d’immeuble pendant que la voiture repartait avec les agresseurs.
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Boulangerie : la boulangerie pâtisserie l’Artisane, installée 6, allée Yves-Gandon au Centre commercial des Hauts-de-Murigny, a changé de propriétaire. C’est désormais Romain Pierlot le nouveau patron. Il prépare du pain chaud artisanal toute la journée. Ouvert du lundi au vendredi de 6 h 30 à 13 heures et de 16 à 19 heures. Le samedi de 7 à 13 heures et de 16 à 19 heures. Les jours fériés de 7 à 13 heures.
Galère : président de l’association des commerçants de Pays-de-France, Bernard Verquerre proteste : « Nous galérons avec les travaux devant nos commerces, sans compter les livreurs qui menacent de ne plus nous livrer car leurs conditions de travail sont trop pénibles. Malheureusement, nous ne pouvons pas fermer boutique… »
Transport de voyageurs : Zohra Hamdi a créé la SARL Navettes multi-services au 2, allée des Provençaux à Pays-de-France. Elle propose le transport routier urbain et interurbain de voyageurs.
Transports : Kevin Lejeune a créé la SARL Reims Messagerie Express au 2, place Maurice-Utrillo à Croix-du-Sud (03.51.08.62.91.). Il propose distribution de plis, lettres, colis et toute marchandise, location de véhicules avec ou sans chauffeur et d’une façon générale toute prestation en relation avec le transport.
Assurances : Brahim Krebs a créé la SARL AMS (Assurances Multi Conseils Est) au 8, place Maurice-Utrillo à Croix-du-Sud. Il y pratique le courtage en assurances.
Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images
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REIMS (Marne). Emploi et solidarité : la maire et présidente de l’agglo a fixé hier ses deux priorités pour 2012. La Ville fera tout pour amortir la crise. Sans pour autant annoncer du concret.
ELLE a refermé 2011, « une année particulièrement riche » sur trois événements qui l’ont marquée : l’inauguration du tramway, « qui recrée du lien, et 75 % des réclamations sur le nouveau circuit de bus ont été résolues » ; la cathédrale et ses 800 ans, « qui a vu une ville unie, rassemblée, ouverte aux autres, 42 % de touristes français en plus, 8 % d’étrangers en plus, 300 000 spectateurs pour Rêve de couleurs… » ; et la cohésion sociale, « avec l’ouverture de l’épicerie sociale, fréquentée par 4 880 personnes en six mois ».
Un bilan très positif donc pour débuter son discours : Adeline Hazan, hier, a présenté ses vœux aux « forces vives » de l’agglomération, dont la presse, le préfet, sous-préfet, les députés, les associations, gendarmes, policiers, pompiers, etc.
2012 s’annonce moins riche dans tous les sens du terme : « Le contexte économique est difficile, il y a de nombreuses contraintes.
Mais il n’y a aucun renoncement, aucune faiblesse. La Ville jouera son rôle de bouclier social, répondra au défi de la crise. 2012 sera l’année de la solidarité et de la proximité, celle du volontarisme et de l’attention apportée à nos concitoyens ».
Oui, l’année qui s’ouvre va demander de la solidarité à tous les niveaux, et le député Arnaud Robinet s’y associe tout naturellement. « En revanche, il n’y a rien de nouveau. Les projets évoqués datent d’il y a deux ans ». Catherine Vautrin parle elle « d’incantations. Elle n’a pas parlé de gestion de l’argent public. Doit-on mettre 300 000 euros pour inaugurer les halles ? Et pour l’emploi, ne peut-on pas baisser les taxes pour les entreprises ? »
Car la maire a été très ferme sur son soutien à l’emploi, sa priorité avec l’aide aux plus démunis. Sans pour autant annoncer d’actions concrètes. « Nous avons une stratégie pour attirer des entreprises mais aussi maintenir l’activité en place. Il y aura en 2012 90 millions d’euros d’investissement pour ce secteur ». Agir quotidiennement, cela semble être le credo de la maire.
Comme pour la rénovation des quartiers, qui va se poursuivre aux Epinettes, avec l’éco-quartier, à Orgeval, Croix-Rouge et Croix-du-Sud. « Nous allons continuer à décliner Reims 2020, pour construire la ville de nos enfants. Avec un centre-ville agrandi, des places aménagées, des quartiers enfin devenus des lieux de mixité »…
Pour Reims, comme pour les 15 autres communes qui vont former la nouvelle agglomération, Adeline Hazan veut que se développe un sentiment de fierté. « De mois en mois, on sent que celui-ci refait surface ».
G.F.
 Les doutes sur l’origine du décès survenu dans une tour de l’avenue Bonaparte ont été dissipés par l’enquête de police.
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REIMS (Marne). Hier vers 16 h 30, le corps sans vie d’un locataire a été retrouvé dans son appartement de l’avenue Bonaparte, au septième étage du n° 11.
Les découvertes de personnes décédées sont malheureusement fréquentes (à la suite de malaises ou de suicides) mais hier, les policiers ont eu un doute sur l’origine du décès.
La victime est un homme d’une cinquantaine d’années, sous tutelle, qui occupait depuis quelques mois un logement mis à disposition par l’Udaf. Il avait des problèmes de santé.
Cependant, pour s’assurer qu’ils ne passaient pas à côté d’une mort violente, les policiers ont procédé à de minutieuses constatations qui ont duré près de trois heures. Le voisinage a même été interrogé.
Finalement, l’enquête s’est orientée vers une mort naturelle confirmée ensuite par le médecin légiste. La victime est probablement décédée mercredi soir, ou dans la nuit, mais pas plus tôt, car des habitants de l’immeuble l’avaient aperçue mercredi après-midi.
Hier soir, vers 21 h 30, une bagarre a éclaté entre deux personnes sur le parking du centre commercial Match, rue Pierre-Taittinger dans le quartier Croix-Rouge.
L’un des protagonistes a reçu un coup de couteau. Agé d’une vingtaine d’années, il a été pris en charge par les pompiers avec le concours d’une équipe du Samu tandis qu’une enquête était ouverte pour identifier l’agresseur.
La nature des blessures n’était pas encore connue à l’heure où nous écrivions ces lignes.
Numéro 7427 du 02 au 08 janvier 2012.
MAISON : Maison type V d’environ 93 m2 avec jardin et garage, situé au 55 rue Laberte à REIMS. Classement énergétique "D"- 166.005 € (prix réservé aux locataires de FOYER REMOIS).
Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.
102054
MAISON : Maison type V d’environ 92 m2 avec jardin et garage, situé au 17 impasse Becquerel à BETHENY, Classement énergétique "D" 203.164 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT.).
APPARTEMENT :
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 21 rue Joliot Curie à REIMS, 1° étage, porte B, Classement énergétique
"C" - 89.775 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS.) ;
— Appartement de type III d’environ 63 nie, situé au 2 rue de l’Adriatique à REIMS, 3° étage, porte B, Classement énergétique
"D" - 99.225 € (prix réservé aux locataires du FOYER RÉMOIS.) ;
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 16 allée des Tourangeaux à REIMS, 2° étage, porte B, Classement énergétique "C" 81.900 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS.) ;
— Appartement de type III d’environ 60 m2, situé au 19 rue Joliot Curie à REIMS, 3° étage, porte B, Classement énergétique "C" - 89.775 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS.) ;
— Appartement de type III d’environ 50 m2, situé au 19 rue Joliot Curie à REIMS, 3° étage, porte A, Classement énergétique "C" -73.710 € (prix réservé aux locataires du FOYER REMOIS.) ;
— Appartement de type V d’environ 100 m2, situé au 6 B rue François Rabelais à REIMS, 2° étage, Classement énergétique "E"
172.854 € avec garage (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type I bis d’environ 30 m2, situé au 9 allée Yves Gandon à REIMS, 1° étage, porte B, Classement énergétique "D" - 52.985 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type II d’environ 54 m2, situé au 19 rue Folle Peine à REIMS, rez-de-chaussée, porte B, Classement énergétique "D" 111.980 € avec garage (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type III d’environ 68 m2, situé au 78 rue de Venise à REIMS, 4° étage, porte C, Classement énergétique "C" 126.884 € avec garage (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type III d’environ 68 m2, situé au 7 avenue du général Eisenhower à REIMS, 2° étage, porte B, Classement énergétique "D" - 104.218 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT) ;
— Appartement de type IV d’environ 76 m2, situé au 28 rue Rilly la Montagne à REIMS, 4° étage, porte B, Classement énergétique "D" - 118.190 € (prix réservé aux locataires de REIMS HABITAT).
Renseignements I-MMOCOOP au 03.26.97.67.37.
Nom et adresse officiels de l’organisme acheteur : Conseil régional de Champagne-Ardenne. Correspondant : M. le Président du Conseil régional Champagne-Ardenne, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex, tél. 03.26.70.31.74, télécopieur : 03.26.70.88.97. Courriel : dgpi-marches@cr-champagne-ardenne.fr
Adresse internet : http//www.cr-champagne-ardenne.fr
Adresse internet du profil d’acheteur : https://marchespublics.crchampagne-...
Le pouvoir adjudicateur n’agit pas pour le compte d’autres pouvoirs adjudicateurs.
_Objet du marché : mission de maîtrise d’oeuvre pour les travaux de maintenance intégrant les travaux de gros entretien, de mise aux normes et de travaux ponctuels de réaménagement de locaux à exécuter dans les lycées, propriétés de la région.
Sont exclus les travaux de réhabilitation ou de restructuration lourde d’un bâtiment ou d’un ensemble de bâtiments.
Type de marché : marchés de service de la catégorie 12.
Lieu d’exécution : les prestations seront réalisées dans des lycées situés à Reims.
Nomenclature C.P.V. : 71221000-3.
Couverture par l’accord sur les marchés publics : oui.
Le présent avis correspond à un avis périodique indicatif constituant une mise en concurrence.
Prestations divisées en 10 lots (9 lots déjà attribués).
Lot n° 9. Lycées Jean-Jaurès, Joliot-Curie, Roosevelt, Val-de- Murigny, Arago, Chagall, Clemenceau à Reims.
Durée du marché ou délai d’exécution : le marché est conclu pour une période d’une année renouvelable par reconduction expresse annuelle, sans que sa durée totale ne puisse excéder 2 années.
Le délai d’exécution sera fixé dans chaque bon de commande.
Modalités essentielles de financement et de paiement et/ou références aux textes qui les réglementent :
Financement par ressources propres inscrites au budget de la
Région.
Paiement à 30 jours par virement administratif.
Langues pouvant être utilisées dans l’offre ou la candidature :
français.
Unité monétaire utilisée : l’euro.
Constitutions des équipes :
Consultation ouverte à toute équipe de maîtres d’œuvre cotraitants constituée obligatoirement au minimum comme suit :
Un ou plusieurs architectes.
Un ou plusieurs bureaux d’études couvrant les spécialités suivantes :
- Structure.
- Fluides.
- Electricité (courants forts et courants faibles).
- Coordination SSI.
Le ou les bureaux d’études devront être distincts du ou des cabinets d’architecture et bénéficier à ce titre d’une identité juridique propre. Le mandataire de l’équipe sera l’un des membres de
l’équipe.
La forme juridique du groupement imposé au titulaire retenu sera le groupement solidaire.
Justifications à produire quant aux qualités et capacités du candidat :
Justificatifs communs à l’ensemble de l’équipe :
DC1 (lettre de candidature et d’habilitation du mandataire par ses co-traitants, disponible à l’adresse suivante : http://www.minefi.gouv.fr - Thème : marchés publics).
Fiche de candidature (format A3 recto verso) comprenant la composition détaillée de l’équipe en termes de compétences (qualification, agrément…) et moyens (humains et matériels), des références significatives de chaque co-traitant, dans le domaine de l’entretien de bâtiments, ainsi que quatre références photographiques jugées par le candidat significatives dans le domaine concerné, à remplir obligatoirement selon le modèle intégré au dossier.
Justificatifs propres à chaque co-traitant :
Copie du ou des jugements prononcés, si le candidat est en redressement judiciaire.
Déclaration sur l’honneur du candidat justifiant qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnés à l’article 43 du code des marchés publics concernant les interdictions de soumissionner.
A titre pratique, le candidat remettra le formulaire DC2 (version du 15/09/2010) dûment complété et le formulaire DC1 en cas de groupement momentané d’entreprises.
Certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques :
Déclaration concernant le chiffre d’affaires global et le chiffre d’affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marché, réalisés au cours des trois derniers exercices disponibles.
Déclaration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l’importance du personnel d’encadrement pour chacune des trois dernières années.
Présentation d’une liste des prestations exécutées au cours des cinq dernières années, appuyée d’attestations de bonne exécution pour les travaux les plus importants.
Déclaration indiquant l’outillage, le matériel et l’équipement technique dont le candidat dispose pour la réalisation de marchés de même nature.
Certificat(s) de qualité ou de capacité délivré(s) par des organismes indépendants ou moyens de preuve équivalents, notamment, certificats de qualifications professionnelles ou de conformité à des spécifications techniques.
L’indication des titres d’études et professionnels de l’opérateur économique et/ou des cadres de l’entreprise et notamment des responsables de conduite des travaux de même nature que celle du
marché.
Les certificats de qualifications professionnelles ou références équivalentes détaillées à mentionner dans la fiche de candidature.
Critères de sélection des candidatures :
Compétences des membres des groupements dans le domaine de la maintenance.
Références en réalisation d’opérations de maintenance.
Moyens humains, techniques et financiers.
Type de procédure : négociée conformément aux articles 74-III et 35-I du CMP.
La mise en compétition est limitée à l’examen des compétences, références et moyens des candidats. Le pouvoir adjudicateur, après avis d’un jury tel que défini à l’artice 24 du code des marchés publics,
dressera la liste des candidats par lot admis à négocier. Des négociations seront alors engagées avec ces candidats. Au terme de celles-ci le marché sera attribué selon les critères d’attributions suivants :
Critères d’attribution :
Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération.
Valeur technique : 60 %.
Prix : 40 %.
Délai minimum de validité des offres : 180 jours à compter de la date limite de réception des offres.
Date et heure limites de réception des candidatures : 6 février 2012 à 16 heures.
Adresse auprès de laquelle la fiche de candidature peut être obtenue : Région Champagne-Ardenne. Correspondant : direction de la gestion du patrimoine immobilier, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex. Tél. 03.26.70.31.74. Fax : 03.26.70.88.97. Adresse internet : https://marchespublics.cr-champagne…
Adresse à laquelle les offres/candidatures/projets/demandes de participation doivent être envoyés : Région Champagne-Ardenne.
Correspondant : à l’attention de M. le Président, direction de la gestion du patrimoine immobilier, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex. Adresse internet : https://marchespublics.crchampagne-…
Adresse auprès de laquelle des renseignements d’ordre administratif et technique peuvent être obtenus : Région Champagne-Ardenne. Correspondant : direction de la gestion du patrimoine immobilier, 5, rue de Jéricho, 51037 Châlons-en-Champagne cedex. Télécopieur : 03.26.70.88.97. Courriel : dgpi-marches@cr.champagneardenne.fr
Les plis porteront la mention " Offre pour le marché de maîtrise d’oeuvre - Travaux d’entretien ".
Instance chargée des procédures de recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne. E-mail : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr
Tél. 03.26.66.89.87. URL : http://www.ta-chalons-enchampagne.j… - Fax : 03.26.21.01.87.
Service auprès duquel des renseignements peuvent être obtenus concernant l’introduction des recours : tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, 25, rue du Lycée, 51000 Châlons-en-Champagne, tél. 03.26.66.89.87. Courriel : greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr - Télécopieur : 03.26.21.01.87. Adresse internet : http://www.ta-chalons-en-champagne….
Introduction des recours :
Référé précontractuel avant la signature du marché (article L. 551- 1 du code de justice administrative).
Recours pour excès de pouvoir contre les actes détachables du contrat : deux mois à compter de leur notification et/ou de leur publication (article R.421-1 du code de justice administrative).
Recours de pleine juridiction à l’encontre du contrat ou certaines de ses clauses : deux mois à compter de la publicité annonçant la conclusion du contrat (CE 16/07/2007 - TROPIC).
Référé contractuel après la conclusion du marché (articles L.551- 13 et suivants et R.551-7 et suivants du code de justice administrative).
Date d’envoi du présent avis : 30 décembre 2011.
51AO1887262
 Amélie Zarev et Olivier Ragu, 2e et 3e à partir de la droite, lors de la remise des récompenses.
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REIMS (Marne). Olivier Ragu, licencié à Bagneux, est venu à Reims décrocher son sésame pour Tarbes.
LE tournoi jeunes du TC Reims a battu son record d’engagés (222), preuve que ce rendez-vous n’est pas seulement un tremplin pour les Petits As de Tarbes.
Les deux visas en jeu pour le Mondial des 13-14 ans ont été décrochés par Olivier Ragu (Bagneux) et Amélie Zarev (Reims Europe).
Grâce à un tennis intelligent et millimétré, le premier a été la révélation de cette édition.
6-0, 6-0 contre Yvan Prault pour son entrée en lice, 6-1, 6-0 face au champion de Champagne des 12 ans, le Bragard Quentin Benoît, 15/1 comme lui, 6-1, 6-2, aux dépens du « Breton »(*) de Quimperlé, Guillaume Aubry, un 15/1 également : le Balnéolais a conclu sa semaine par une victoire aussi nette infligée au Valenciennois Célestin Berthe, pensionnaire du Sports-Etudes de Marcq-en-Barœul (6-1, 6-3).
La finale des filles a été plus disputée, avec un dénouement favorable à Amélie Zarev. L’Européenne l’a emporté pour l’honneur, puisqu’elle n’honorera pas sa qualification pour les Petits As : « Ça ne rentre pas dans ses objectifs. Le niveau à Tarbes est beaucoup trop relevé. Cette décision a été prise en accord avec son entraîneur, Pheng », expliquait en substance le père de la lauréate.
Les derniers tournois préqualificatifs ayant été disputés à Reims (vendredi) ainsi qu’à Bourg-la-Reine et La Baule (ce dernier week-end), ils seront deux de la région à se tester au plus haut niveau international, du 19 au 29 janvier, dans les Hautes-Pyrénées : Cindy Castille (Géo-André) et Constant de la Bassetière (Cormontreuil).
Ces deux-là ont évité de se mettre la pression rue Lagrive, en allant chercher leur billet plus tôt au calendrier, respectivement à Compiègne et Plaisir.
Les finales 13-14 ans ont évidemment profité de l’effet Petits As mais preuve de la portée interrégionale du tournoi du TCR, une Axonaise, Léna Ladjmi (Villeneuve-Saint-Germain), a inscrit son nom au palmarès en l’emportant en 15-16 ans.
J.-P.P.
(*) Guillaume Aubry est le petit-fils de l’ancien président du TCR, Yves Aubry, et le neveu de Nicolas, le préparateur physique de la Ligue et l’adjoint au CSD de la Marne.
Lundi, à 21 h 30, une Laguna a été enflammée rue Nicolas-Bergier, dans le quartier Jean-Jaurès. La propagation a été évitée pat l’intervention des pompiers.
Un peu plus tard, à 23 heures, un container à poubelles a été incendié rue de Rilly avant que les pompiers ne repartent à 2 h 10 pour une Audi A6 totalement embrasée rue Raymond-Poincaré au nord de l’avenue de Laon.
Enfin, rue Léon-Mathieu, aux environs de 6 h 30, une cabane de chantier a été détruite par un feu qui semble provenir d’un court-circuit électrique.
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L’association des jardins familiaux de Croix-du-Sud organise son assemblée générale samedi 7 janvier à 9 h 30, dans la salle de l’Étoile Croix-du-Sud, 5 avenue Léon-Blum.
Pour tout renseignement, s’adresser à la présidente Évelyne Nkounkou, au 03.26.36.04.82.
Quant à l’association des jardins familiaux de Pays-de-France, elle organise sa propre assemblée générale le lendemain dimanche 8 janvier à 9 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.
Pour tout renseignement, s’adresser au président Michel Herbreteau, au 03.26.86.09.49
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David Gameiro, animateur jeunesse aux espaces Watteau et Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge, a réalisé un chantier de rénovation dans le cadre d’un projet Scop’Ados, pendant une semaine au sous-sol au 2 place Georges-Braque.
Scop’Ados est un service mis en place pour proposer, par des activités à caractère éducatif, l’organisation et le financement de projets de loisirs et de découverte, tout en développant des processus de socialisation dans une démarche de prévention.
Le chantier s’est terminé par un pot d’amitié avec les locataires de l’immeuble
 Les voleurs s’étaient attaqués au 6e étage avant de tenter de fracturer une autre porte, place Maurice-Utrillo. Ils cherchaient des bijoux et de l’or.
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REIMS (Marne). Pris en flagrant délit, deux jeunes gens ont été condamnés pour vol et tentative de vol le même jour. Ils écopent de lourdes peines.
LA main dans le sac. Ou plutôt le tournevis dans les poches. Deux jeunes issus du quartier Croix-du-Sud ont été surpris par des fonctionnaires de police alors qu’ils étaient en train de cambrioler leur second appartement en quelques minutes.
Les faits se sont produits dans un des immeubles de la place Maurice-Utrillo, mercredi dernier. Les apprentis voleurs sonnent aux portes, celles qui ne répondent pas deviennent aussitôt leurs proies. Mise en application de cette méthode au sixième étage d’une tour. La serrure trois points vole en éclat, les deux jeunes s’introduisent dans l’appartement et opèrent une fouille rapide. Habité par une étudiante, les voleurs ne trouvent pas un objet de valeur. Ils décident de se replier sur un autre appartement. Direction le cinquième étage de cet immeuble pour une nouvelle tentative. Mal leur en prendra. Alertée par de grands bruits, une voisine prévient la police. Qui, arrivée sur place, trouve les deux voleurs à l’œuvre, avec, en leur possession un poing américain et une bombe lacrymogène qu’ils disent avoir récupérée dans le premier appartement visité.
Hier, devant le tribunal correctionnel de Reims, les deux auteurs n’ont aucunement nié leurs responsabilités.
« C’est une erreur, c’est la première fois » pour l’un. Quant à l’autre, beaucoup plus connu des services de police et de la justice, il a déclaré vouloir « rembourser les dégâts » qu’il a commis. Il faut dire que le « flagrant délit était parfait » comme le soulignera un des conseils des prévenus, Me Ammoura. Avec deux tournevis, une paire de gants, difficile en effet de nier l’évidence.
« Rendez-vous compte, il y a deux circonstances aggravantes dans votre cas, une récidive et un vol en réunion. Vous risquez dix ans de prison », tonne le président. Le parquet réclame une peine lourde, un suivi strict ainsi que deux mandats de dépôt pour les deux voleurs. Le tribunal choisira la voie de condamnation en suivant les réquisitions du procureur, à savoir pour Malick Touré quatre ans de détention dont trois ferme avec mandat de dépôt et pour Bata Sissoko, un an de prison ferme. Ce dernier exécutera sa peine plus tard.
En revanche, tous deux ont l’obligation d’indemniser les victimes.
Thomas DUPRAT
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L’association des Travailleurs maghrébins de France a pu, « malgré les travaux dans le quartier », organiser une petite fête de Noël dans ses locaux du 6, allée des Picards « pour faire plaisir aux enfants et aux familles en leur offrant chocolats, bonbons, clémentines et boissons » explique Mohammed El Haddaoui, président de l’ATMF Marne.
Musique, bonne humeur et friandises ont permis à ces enfants de passer un bon moment dont ils se souviendront.
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REIMS (Marne). La police a interpellé en flagrant délit trois individus, dont deux frères de 12 et 14 ans, impliqués dans le vol avec violence de deux personnes âgées particulièrement vulnérables. Deux affaires distinctes, mais avec un point commun : la présence de témoins cruciaux.
UN bon témoin est doté de bons réflexes. Lorsqu’un crime ou un délit vient d’être commis, il est celui qui a la présence d’esprit de donner l’alerte sans tarder tout en pensant à figer dans sa mémoire les signalements les plus précis qui pourraient être utiles aux services d’enquête. C’est la clé, en général, d’une affaire résolue dans les plus brefs délais.
Ces derniers jours, les policiers rémois en ont eu justement la parfaite illustration en mettant la main, peu de temps après les faits, sur trois individus mis en cause par des témoins dans deux vols commis sur des personnes particulièrement vulnérables.
Le premier a été interpellé vendredi, peu avant 16 heures dans le quartier des Châtillons, à Reims, au domicile de son père.
Âgé de 38 ans, il avait été aperçu un peu plus tôt dans la journée sur le parking du Carrefour-Cernay alors qu’il venait d’arracher violemment le sac des mains d’une femme de 84 ans, avant de prendre la fuite à bord d’une voiture.
Avisés par le service de sécurité du supermarché, les policiers, une fois sur place, avaient alors eu la chance d’entendre un témoin de la scène qui avait eu la bonne idée d’en relever le numéro d’immatriculation. La victime, elle, avait déjà quitté les lieux - par chance indemne - afin de signaler les faits au commissariat de police du quartier Europe.
Ainsi, ne restait plus aux hommes de la sûreté départementale, qu’à se rendre au domicile du titulaire de la carte grise, en l’occurrence le père de l’auteur présumé, dont le seul tort avait été de prêter son véhicule à son fils.
Les policiers l’ont appréhendé au moment où, sommé par son ascendant, celui-ci venait de le rejoindre à son domicile.
Au cours de sa garde à vue, l’homme, bien que formellement reconnu par le témoin, a cependant nié être l’auteur du vol, reportant la faute sur un ex-codétenu qui se serait retrouvé en sa compagnie et dont il s’est refusé à livrer l’identité par peur de représailles. Selon lui, le repris de justice en question aurait commis le vol et jeté ensuite le sac à main de l’octogénaire dans un conteneur à verre, où les policiers l’ont effectivement retrouvé sur ses indications. Manquaient néanmoins à son contenu une quinzaine d’euros en espèce et une carte bancaire.
Déféré samedi au parquet de Reims, le suspect dort, depuis, au sein d’une cellule de la maison d’arrêt, en attendant d’être jugé ce jour dans le cadre d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. C’est en outre au cours de l’après-midi de ce premier jour du week-end, vers 14 h 30, que les policiers ont par ailleurs fait tomber leurs filets sur deux frères de 12 et 14 ans qui venaient, eux aussi, de commettre un vol avec violence sur une femme particulièrement vulnérable.
Âgée de 73 ans, d’un physique frêle et menue, la victime se rendait à pied au cimetière de quartier par la rue de Bezannes, à Reims, lorsque les deux mineurs ont entrepris de la suivre.
Quelques minutes plus tard, tandis qu’elle se dirigeait, peu rassurée, vers la rue François-Dor, plus fréquentée, le plus âgé s’est alors jeté à son cou avant qu’il ne demande à son petit frère de lui voler son sac à main. Et tous deux de prendre ensuite la tangente en direction de l’avenue d’Epernay.
Les deux frangins auraient pu cependant courir encore longtemps si une femme n’avait assisté à l’agression depuis le balcon de son domicile. Une fois n’est pas coutume, c’est en donnant l’alerte aussitôt ainsi qu’un signalement précis des individus, que les services de police sont parvenus à les interpeller à quelques encablures du lieu des faits, à l’angle de la rue Eisenhower et de l’avenue d’Epernay. Tous deux ont été formellement identifiés par leur victime, indemne mais choquée. Entendu dans le cadre d’une audition libre, le plus jeune n’a pas tardé à reconnaître les faits. Son frère, en revanche, s’est montré plus réticent, n’ayant aucun scrupule à désigner son cadet comme l’instigateur du vol.
Qu’importe : ils comparaîtront le 7 février prochain devant le juge des enfants pour vol avec violence en réunion. Témoin à charge.
Franck BRENNER
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Claude Guéant n’a à déplorer en France « aucun incident notable » pour la nuit du Nouvel An. Un bilan qui ne peut d’ailleurs souffrir d’aucune contestation dans la mesure où le ministre de l’Intérieur avait laissé aux services de l’Etat en relation avec la presse la consigne drastique de ne pas communiquer sur ce sujet ô combien jugé sensible en haut lieu.
Néanmoins, force est de constater qu’en effet la nuit du 31 décembre au 1er janvier n’a pas donné lieu à d’incidents graves, en tout cas dans le département de la Marne. Selon nos informations, quatre véhicules seulement ont en l’occurrence été brûlés à Reims, dont deux allée des Savoyards, dans le quartier Croix-Rouge, ainsi qu’un scooter et un bungalow de chantier, rue Courtes Martin.
Ajoutés à cela, une poubelle en flammes hier matin, à Vitry-le-François, quelques cambriolages ci-et-là, un lot d’ivresses publiques ainsi qu’une recrudescence en ville des tapages nocturnes et des rixes alcoolisées entre 3 heures et 6 heures du matin, la nuit du Nouvel An dans la Marne était finalement une nuit de fête presque ordinaire.
F.B.
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