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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - avril 2011.


 


Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

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1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010, août 2010, septembre 2010, octobre 2010, novembre 2010, décembre 2010, janvier 2011, février 2011.

 

 

 

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Union110430d

Après l’attentat de Marrakech : Les Marocains de Reims choqués et mobilisés

Mohamed El-Haddaoui, président de l’association des travailleurs marocains de Reims veut croire au changement.
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La population marocaine de la cité des Sacres est choquée après ce déferlement de violences. Ils attendent, en majorité, une réaction du pouvoir en place et surtout un changement rapide.

LES gorges sont parfois prises par l’émotion. Les chaînes d’information sont en permanence branchées. Les 3 000 Marocains de Reims sont, en grande majorité, inquiets de la situation que connaît leur pays d’origine.

Après le drame de Marrakech, l’association des travailleurs marocains de Reims (AMR), regroupant 295 membres, n’a pas tardé à réagir. « Bien évidemment, la première chose que nous pouvons déclarer est que nous sommes choqués et que nous condamnons très fermement cet acte criminel- », lance Mohamed El-Haddaoui, le responsable de l’association.

Inquiétude

Au-delà de ces déclarations, nombre de familles habitant à Reims mais ayant gardé de la famille au Maroc et à Marrakech en particulier ont, bien évidemment, tenu à s’enquérir de la santé de leurs proches, juste après l’annonce de l’attentat.

C’est le cas de Samir, étudiant de 23 ans. « Hier (jeudi, ndlr), dès que j’ai appris qu’il s’était passé quelque chose de grave à Marrakech, j’ai tenté de joindre une partie de ma famille qui habite dans cette ville. Et qui n’est pas très loin de la place Jemaa-El-Fna, là où l’attentat a été perpétré.

Visiblement, la réception Internet était saturée. Il a fallu que j’attende plus de deux heures pour avoir un ami en ligne pour me confirmer que ma famille était indemne ».

Plus de peur que de mal pour ce jeune homme qui tient toutefois à rester vigilant quant à l’évolution de la situation politique.

Quel avenir ?

S’il est difficile pour la plupart des Marocains de parler du contexte actuel dans leur pays d’origine, cet attentat a eu le don de réveiller de vieux spectres. « C’est clairement aux autorités de réagir. Mais il faut reconnaître qu’il y a aussi une urgence. Ne prenons que l’exemple de Rachid Nini, directeur du journal « Almassae » arrêté hier par les autorités. Nous soutenons les manifestations pacifiques mais ces actes terroristes sont inqualifiables. Il faut trouver les coupables et les punir. Il ne faut pas voir le fossé se creuser plus encore au Maroc en tout cas », poursuit Mohamed El-Haddaoui, de l’association des travailleurs marocains de Reims.

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Union110430c

Entre manif syndicale et brin de muguet : Des idées de sortie pour demain

1er mai rime toujours avec muguet.
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Cette année, pas de chance, la fête du travail tombe un dimanche, au grand dam de tous les travailleurs qui en sont quittes pour être privés de pont.

Il n’en reste pas moins que l’événement, né suite à une grève sanglante survenue le 1 er mai 1886 à Chicago polit’ obtenir des journées de travail de 8 heures, sera tout de même commémoré comme chaque année à Reims. À l’initiative d’une intersyndicale CGT, CFDT, UNSA et FSU, Solidaires, tous les salariés, retraités et demandeurs d’emploi sont invités à manifester dimanche en ville.

Rendez-vous à 10 heures à la Maison des syndicats, Bd de la Paix. Le défilé se rendra sur le marché Jean-Jaurès.

La journée du premier mai, c’est bien sûr aussi l’occasion d’aller chercher du muguet, au coin de votre rue avec les petits vendeurs, chez votre fleuriste, ou mieux, dans les bois alentours.

Enfin, en ce dimanche 1 er mai les occasions de sortie sont nombreuses à Reims (mais attention ni le bus, ni le tram ne fonctionnent) ainsi que dans le pays rémois.

A Reims.

Fête du canoë.

Le Reims olympique canoë-kayak organise sa traditionnelle fête du canoë. Au programme : après une randonnée en canoë le matin (il est trop tard pour s’inscrire) à partir de 14 heures, pour les badauds, possibilité de s’initier au Dragon boat et au canoë. www.reims-canoe-kayak.fr ou 06.82.28.34.90.

Fête du muguet.

Les associations « 2 Mains » et « Étoile Croix-du-Sud » organisent deux événements dans le secteur Croix-du-Sud du quartier Croix-Rouge : une brocante et la traditionnelle fête du muguet de 7 h 30 à 19 heures sur la place Paul Cézanne.

Au programme ; des concerts de rap, de la musique africaine mais aussi différents spectacles, dont l’un qui sera proposé par la compagnie « Footzbeul ».

Tour d’enfance

A partir de 10 heures place de l’hôtel de ville, le Rotary club se propose de transporter le public dans de belles voitures pour financer des équipements spécifiques au traitement des enfants malades. Participation : 5 euros pour les adultes et 3 euros pour les enfants.

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Union110430b

Ça coince aux bornes du tram : Les tickets refusent d’être compostés…

Des tickets qui ne passent pas.
Une mauvaise surprise pour beaucoup d’usagers chaque jour.
Transdev corrigera le tir très bientôt.

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Depuis la mise en service du tram, les usagers remarquent que les tickets qu’ils achètent ont du mal à être validés. Et deviennent des payeurs-fraudeurs.

NOUS avons beau essayer de les composter, ta machine ne les prend pas ». Cette histoire d’une Rémoise un brin énervée devant l’arrêt du palais de justice, il y en a des dizaines tous les jours.

Comme elle, de nombreux usagers ont du mal à valider leurs tickets unitaires ou rechargeables. Les cartes, elles, ne connaissent pas les mêmes soucis.

Aux arrêts Franchet-d’Esperey, les fraudeurs contraints sont nombreux. « On n’a pas le temps le matin d’aller acheter une carte, j’ai pris le tram deux fois sans le payer, il m’était impossible de valider mon ticket. Le chauffeur a essayé lui aussi de me le composter, il n’y est jamais parvenu et a dû se résigner à me laisser monter à bord sans titre de transport valable ». La ritournelle dure ainsi depuis la mise en service officielle du tramway, le 16 avril dernier.

Galère

Et depuis cette date, déjà plusieurs centaines de fraudeurs involontaires empruntent le tramway chaque jour. Un casse-tête pour les chauffeurs et les usagers, une perte d’argent pour Transdev.

Un fait que ne manque pas de constater l’un des syndicats de Transdev ( 1), notamment Hervé Picq représentant de la CFTC : « Nous avons reçu énormément de retours d’usagers du tram qui rencontrent des soucis de compostage. Le souci, c’est que les choses ont été faites à la hâte et que les conducteurs ne savent souvent pas quoi répondre aux usagers puisqu’ils n’ont pas été suffisamment formés. Les billets rechargeables posent encore des soucis, les cartes également ».

Bref, si la mise en route est loin d’être un loupé, il y a bel et bien des grains de sable dans les rouages neufs du tramway.

Lots défectueux

Côté Transdev et de son service communication, on reconnaît volontiers que le démarrage connaît quelques soucis. Tout en précisant. « Nous avons effectivement eu des informations au niveau des billets uniques et renouvelables jusqu’à quatre fois. Certains lots qui nous ont été livrés par nos prestataires présentent effectivement des défauts. Nous sommes en train de les recenser et de les remplacer. Tout devrait être réglé dans les semaines à venir ». Encore un petit effort pour les chauffeurs et les usagers, les choses devraient retrouver un jour normal, Transdev l’a promis.

Th. D.

(1) contacté sur le sujet, le représentant de la CGT chez Transdev ne nous a pas rappelés.

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Un réseau pour s’informer

Le nouveau réseau de transports collectifs change forcément les habitudes. Les titres de transport évoluent, les tracés des lignes de bus aussi. C’est pour cela que Transdev a créé des postes d’« ambassadeurs » pour aider les usagers perturbés par ces changements.

Voici la liste des endroits où les usagers trouveront des réponses :

- Espace Tram Info Centre (place Myron-Herrick) du lundi au samedi à 19 heures.
- Espace Tram Info Laon (65, avenue de Laon) les lundis, mardis et jeudis, de 11 à 16 heures et les mercredis et vendredis, de 14 à 19 heures
- Point Info Quartier Orgeval (3, place de Fermat) du lundi au vendredi de 14 à 16 heures.
- Point Info Quartier Croix-Rouge (65, esplanade Eisenhower) du lundi au vendredi, de 14 à 16 heures.
- Point Info Quartier Epinettes (Rue Sidi Bel Abbès) les mercredis, de 14 à 16 heures.
- Point Info Quartier Wilson (1 place Lili et Nadia Boulanger) les mercredis, de 14 à 16 heures.

Les « ambassadeurs » du Tram sont à la disposition du public par téléphone de 7 à 19 heures du lundi au samedi inclus au 0 800 10 87 26 (appel gratuit depuis un poste fixe).

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L’hebdo du vendredi- n° 211 - 110430a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 211 - Semaine du 28 avril au 05 mai 2011


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JUSQU’AU SAMEDI 30 AVRIL : « REIMS HIP HOP FESTIVAL 2 » : BLOCK PARTY

Ven. 29 à 14h – Centre culturel St-Exupéry : Conférence sur « L’âge d’or du Hip-Hop aux USA » par le journaliste David Commeillas
Ven. 29 à 20h – Médiathèque Croix-Rouge : « Street Circus contest » : Concours de shows chorégraphiques
Sam. 30 avril à 14h – Manège de Reims
Rens. : reimshiphop.canalblog.com


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SAMEDI 7 MAI : SOIRÉE : « REPAS ORIENTAL »

Le groupe ESCAPADES organise un Repas Oriental afin de financer son voyage de fin de saison en Alsace.
Animation musicale pendant le repas, démonstration et initiation de danse orientale.
Tarifs : 8€ (- de 12 ans)/10€ adultes
Maison de Quartier Croix Rouge, Espace Billard


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Samedi 30 avril : Foire aux vêtements

Le groupe "ESCAPADES" de la Maison de Quartier Croix Rouge Espace Billard organise une « Foire aux vêtements » pour financer son voyage de fin de saison en Alsace.
De 9h30 à 12h et de 14h à 18h
Maison de Quartier Croix Rouge, Espace Billard


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Dimanche 1er mai : Reims – Vide-greniers

Contact : maison de quartier Croix du Sud

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Union110429g

Avis de décès

REIMS

Madame Daniel POLLIART, sa mère ;
Monsieur et Madame Ivan POLLIART, ses enfants ; Monsieur Witold POLLIART, son petit-fils ;
Le docteur Daniel-Georges POLLIART, son frère ; Madame Bronislawa KIELKIEWICZ,
Monsieur et Madame Pin-i CHENG,
Sa famille
Et ses amis

ont la tristesse d’annoncer le décès à l’âge de 71 ans du

Docteur Alain POLLIART

survenu le 27 avril 2011.

Un hommage lui sera rendu le samedi 30 avril, à la salle de cérémonie de la maison funéraire de Reims, 7, rue Roger-Aubry.

La cérémonie religieuse sera célébrée le même jour à 14 h 30, en l’église de Wassigny (Aisne), et sera suivie de l’inhumation dans le caveau familial.

Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.

PFG Reims 7, rue Roger-Aubry 03.26.86.11.25 H20085161

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Union110429f

Les incendiaires ont encore frappé à Reims

« Nous avons entendu une petite explosion, et très vite, les flammes et la fumée ont envahi toute la rue. On n’y voyait plus rien. C’était la vraie panique », raconte un riverain.
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REIMS (Marne). Les maniaques du briquet ont encore frappé. Hier, les riverains de la rue de Kairouan, au cœur du quartier Jean-Jaurès en ont fait les frais. Ces délits commencent à résonner comme une triste ritournelle dans les esprits des forces de police.

Devant le numéro 46 de la rue de Kairouan, les poubelles sont sorties. Une ou plusieurs personnes y mettent le feu. En quelques secondes, le conteneur s’embrase. Les flammes vont venir endommager un coffret de gaz situé à proximité. Et c’est là que les choses auraient pu tourner, encore une fois, au drame. La conduite de gaz va se rompre sous les effets de la chaleur. Une boule de feu va se former et « une torchère de plusieurs mètres » va déclencher plusieurs sinistres. En effet, le feu va atteindre un premier véhicule qui va rapidement s’embraser. Avant que deux autres voitures ne soient la proie des flammes. « Nous avons entendu une petite explosion, et très vite, les flammes et la fumée ont envahi toute la rue. On n’y voyait plus rien. c’était la vraie panique », raconte un riverain. De nombreux pompiers ont été dépêchés sur place pour juguler le sinistre et mettre en sécurité deux familles. Parmi elles, deux personnes ont été légèrement incommodées par les fumées. Cependant, leur état n’a pas nécessité qu’elles soient dirigées vers un centre hospitalier. Elles ont pu regagner leurs logements à la fin de l’alerte, en début de matinée.

Quinzaine ravageuse

La dernière moitié du mois d’avril est à marquer sur les calendriers de tous les incendiaires. En effet, depuis le 16 avril, c’est une véritable série de dégradations par le feu auxquels assistent, à chaque fois, des sinistrés qui ne comprennent pas la signification exacte de ces gestes.

Le 16 avril dernier, un scénario exactement similaire à celui qui vient de se produire rue Kairouan est arrivé aux habitants de la rue de Grigny, entre l’avenue de Laon et de Neufchâtel. Cette nuit-là, huit voitures avaient fait les frais d’un feu allumé à proximité d’une conduite de gaz. Dans la nuit du 18 au 19 avril, six voitures avaient été embrasées volontairement dans le nord de l’agglomération. Des dégradations causées en à peine deux heures en divers points. Le 23 avril, deux véhicules ont été incendiés au cœur du quartier Wilson cette fois. Rattrapé, l’incendiaire s’est avéré être un gamin de 6 ans ! Et pour finir cette sinistre liste de dégradations, le 24 avril, trois voitures avaient connu le même sort rue Pierre Taittinger, dans le quartier Croix-Rouge. En une quinzaine de jours, ce ne sont donc pas moins d’une vingtaine de véhicules qui ont connu un funeste sort. Par chance, aucune victime n’a été à déplorer jusque-là.

Thomas DUPRAT

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Union110429e

Secteur Eisenhower / Des noms pour les nouvelles rues

Les deux futures rues s’appelleront rue Hubert-Carpentier et rue Aimée-Lallement.
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Deux nouvelles rues sont en cours de construction dans le secteur Eisenhower. Une première va relier la rue François-Legros et l’avenue du Général-Eisenhower, l’autre reliera la rue du Docteur-Billard et la rue Pierre-Taittinger. Leur construction a été décidée, après quelques démolitions d’immeubles, dans le but de désenclaver le secteur.

Le dernier conseil de quartier devait donner son avis sur les propositions municipales et le public a participé activement aux débats.

Les choix étaient à effectuer parmi la liste suivante : rue Aimée-Lallement, rue Charlotte-Delbo, rue Anna-Marly, rue Hubert-Carpentier, rue Paulette-Le-Du, rue des Bâtisseurs ou prolongation de la rue François-Legros.

Un habitant, Philippe Godebwski, a suggéré d’ajouter à cette liste le nom de Marceau Nicolas, mais ce n’était pas possible, la liste proposée par la ville de Reims n’étant pas modifiable. « De toute façon, » a expliqué le conseiller municipal Michel Guillaudeau, « d’autres rues seront créées dans le secteur Pays-de-France, il sera temps alors de proposer M. Nicolas, sur les lieux principaux de ses interventions ».

En définitive, pour la liaison Billard/Taittinger, le choix unanime est allé en faveur d’Hubert Carpentier, conseiller général PS du canton de Reims V de 1982 à 1994, entre Claude Lamblin (PCF) et François Legrand (DVD). Il fut également conseiller régional et conseiller municipal de Reims et il a fait forte impression dans le canton où son souvenir est très vivace. Pour la liaison Legros/Eisenhower, c’est Aimée Lallement (1898-1988) qui a été retenue par la majorité des participants. Elle fut une militante associative, socialiste et féministe, présidente des Droits de l’Homme, du comité départemental d’action laïque, des aides ménagères rémoises et de l’association familiale laïque. Sportive, elle se distingua dans les épreuves du 110 m et du lancer du javelot. Pour avoir hébergé, caché, aidé ou sauvé des familles juives pendant la guerre, Aimée Lallement fait partie des « Justes parmi les nations ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union110429d

Hervé Akrich en concert au Centre culturel du Crous

Nouveau spectacle et nouveau groupe pour le chanteur rémois.
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REIMS (Marne). Quinze ans déjà qu’Hervé Akrich balance des textes qui oscillent entre amour, humour et colère. Le chanteur rémois revient avec une quinzaine de nouvelles chansons.

HERVÉ AKRICH répète avec ses musiciens. « C’est justement là que j’ai démarré il y a 15 ans. Avec, pour ceux qui s’en souviennent, « La grande Micheline », un groupe avec cordes, cuivres, clavier, percussions… » Le chanteur rémois a toujours su s’entourer d’une vraie formation de bons musiciens. Ses inspirations ? « C’est un équilibre entre amour, humour et colère. Il y a vraiment des chansons très « rentre dedans », d’autres où j’aborde des choses plutôt intimes, certaines enfin où je mets des notes d’humour. Tenir ces trois bouts de ficelle en même temps, ça me semble résumer assez bien ce que je fais »

Mini-tournée rémoise

L’artiste aime jouer avec les mots : « Le rapport au langage, c’est vraiment un outil, un jouet avec lequel je m’amuse. J’adore chercher ce qu’on peut faire avec les mots, trouver une formule, une contrepèterie, de nouvelles règles de jeu. Je suis à l’affût des doubles sens et même je les exploite ». Il ne cache pas l’aspect politique de certains de ses textes : « Un rôle que j’assume ; j’ai été baigné dans cette tradition ».

Après « J’vais m’y faire », qu’il a promené un peu partout en France, Hervé répète son nouveau spectacle « Faudrait qu’il m’arrive quelque chose ». C’est le titre d’une de ses nouvelles chansons : « C’est ce qu’on se dit quand on voit arriver une cinquantaine qui n’avait pas pris le soin de s’annoncer ». Un moment de la vie qui le concerne : Il vient d’avoir 50 ans ! « C’est aussi ce que peut se dire le sans papier, au pied de la passerelle du charter. Ou encore un président qui glisse sur la pente descendante des sondages… Ou notre planète, au bord de son coma ». Ce sont, en tout cas, autant de thèmes abordés avec décalage et humour, dans des chansons aux couleurs musicales riches et subtiles, où textes et arrangements ne sont jamais convenus. Hervé Akrich est accompagné d’une nouvelle formation de 4 musiciens : Philippe Dandrimont, basse et contrebasse ; Sébastien Jacquot, clavier et xylophone ; Xavier Mourot, anches ; Mathias Neiss, percussions. Sa mini-tournée rémoise fait suite à une résidence artistique accompagnée par le Ludoval.

Jeudi 5 mai à 20 h 30. Centre culturel du Crous, rue de Rilly-la-Montagne. Réservations au 03.26.82.53.48. Vendredi 6 mai à 14 h 30 et 20 h 30 à l’Espace Le Flambeau, 13 rue de Bétheny. 03.26.07.28.21. Samedi 7 mai à 20 h 30 à l’Espace Le Ludoval, 1 place René-Clair. Tél.02.26.36.21.05.

Entrée 10 et 5 euros.

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Union110429c

Médiathèque Croix-Rouge / Ce soir, conférence sur le hip-hop aux USA

La médiathèque Croix-Rouge reçoit aujourd’hui Olivier Cachin, spécialiste du hip-hop.

Journaliste, écrivain et animateur de télévision dans la mouvance hip-hop, auteur du Dictionnaire du rap et de l’Histoire du rap en 100 albums essentiels, Olivier Cachin maîtrise parfaitement l’évolution chronologique du Rap.

Cette figure historique du journalisme rap est un intarissable commentateur du genre.

Il animera une conférence sur l’âge d’or du hip-hop aux USA ce vendredi 29 avril à 20 heures, à la médiathèque Croix-Rouge.

De la fin des années 80 au milieu des années 90, le rap US connaît son apogée. Les textes, devenus matures, politisés, sont ancrés dans la réalité des ghettos afro-américains et mis en valeur par la profondeur de la musique et l’originalité du flow des rappeurs ; on voit émerger pléthore de styles régionaux, de New York à Los Angeles.

Entrée libre. Médiathèque Croix-Rouge. 19, rue Jean-Louis-Debar.

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Union110429b

Tennis (Interclubs nationaux) / Ça ne va pas être simple !

Que ce soit en N2, N3 ou N4 chez les messieurs, en N2 ou en N3 chez les femmes, la bataille promet d’être âpre. Il faudra être prêt dès dimanche, pour la première journée.

L’EXERCICE 2011 des Interclubs Nationaux, qui commence dimanche, ne s’annonce pas simple pour les six équipes marnaises engagées.

Chez les messieurs, en Nationale 2, Cormontreuil a de nouveau demandé aux anciens négatifs Manuel Soumet (2/6) et Mathieu Blanc (3/6) de se mobiliser pour l’événement.

Quid de Laetitia Tordo ?

Pour renouveler son bail, le CTC devra battre Issoire car Besançon, sur le poids d’équipe, semble déjà condamné.

En N3, pour atteindre son objectif de maintien, Vitry-le-François a recruté un Letton, Andis Juska (n° 30), et un Tchèque, Martin Fafl (- 4/6). Le but étant de battre Villeneuve-d’Ascq et Yutz. A l’étage inférieur, les « Européens » ne pourront que proposer leur homogénéité dans une poule relevée où les négatifs sont légions.

Et la tâche sera tout autant compliquée pour le TC Géo-André, désormais emmené par le gaucher ardennais Quentin Munier (1/6).

Chez les dames, en N2, l’Europe Club a misé sur une Polonaise, Magdalena Kiszczynska (- 30), et une Allemande, Sabrina Bamburac (- 4/6), pour se maintenir.

Une option jouable si Laetitia Tordo, en délicatesse avec son coude depuis des mois, peut tenir sa place et à condition de battre Sarreguemines et Châteauroux.

Des prévisions logiques au vu des classements, même si les Castelroussines présentent six Espagnoles dans leur effectif.

Enfin, en N3, Géo-André possède les armes pour conserver sa place.

Un objectif d’ailleurs quasi sous forme d’obligation tant la jeune classe rémoise est prometteuse pour l’avenir.

MESSIEURS

N2

CORMONTREUIL TC (poule B). - Effectif : Nicolas Beuque (-2/6), Sébastien Jolly (-2/6), Jean-Charles Robert (-2/6), Thibault Visy (0), Manuel Soumet (2/6), Mathieu Blanc (3/6). Objectif : maintien. Composition de la poule :TC Illberg, US Issoire, Melun TC Val de Seine, TG Besançon,TC Grasse.

N3

TC VITRY (poule J). - Effectif : AndisJuska (N°30, Let),YannickThomet (-15, Sui), AlecWitmeur (-15, Bel), Martin Fafl (-4/6, Tch), Arnaud Lalouette (0), Alexandre Blossier (2/6), Benoît Varin (4/6). Objectif : maintien. Composition de la poule : FOS Villeneuve d’Ascq, SMTC Montrouge, ASM Belfort,TC Schiltigheim,Yutz.

N4

REIMS EUROPE CLUB (poule C).
- Effectif : Alexandre Gajanovic (1/6), Théophile Castelhano (2/6), Florent Seuret (2/6), Pascal Bonnet (3/6), Antony Xayphengsy (3/6), Quentin Chauvin (5/6), Jérôme Clausse (5/6).
- Objectif : maintien.
- Composition de la poule : TC Nancy Forêt de Haye,TC Obernai,Talant AT, Maisons AlfortTC, BussyTCVB.

TC GEO-ANDRE (poule M).
- Effectif : Quentin Munier (1/6),Vincent Pacanowski (2/6), Sébastien Paillard (3/6), Arnaud Pignon (3/6), Charles Gilles (4/6), Cédric Leroy (4/6).
- Objectif : maintien.
- Composition de la poule :TC Flandres,TC Pont Sainte-Maxence, Paris Jean-Bouin, TC Issy-les-Moulineaux, Hettange Grande.

DAMES

N2

REIMS EUROPE CLUB (poule E).
- Effectif : Magdalena Kiszczynska (-30, Pol), Sabrina Bamburac (-4/6, Ger), Nathalie Mohn (-4/6), Marie Menacer (-2/6), LaetitiaTordo (0), Emilie Gaillot (3/6).
- Objectif : maintien.
- Composition de la poule : Lagardere Paris Racing, TC Issy-les-Moulineaux, E. Châteauroux, FOS Villeneuve d’Ascq, AS Sarreguemines.

N3

TC GEO-ANDRE (poule E).
- Effectif : Charline Braidy (-4/6), Claire Makhloufi (1/6), Jackie Lassaux (2/6), Cindy Castille (4/6), Claire-Hélène Genin (4/6), Aurélie Marchai (4/6).
- Objectif : maintien.
- Composition de la poule : La Pape, TC Vitrolles, TC Carqueiranne, TC Gif-sur-Yvette, Freyming Merlebach.

1e JOURNEE (1er mai).
- Messieurs : TC Grasse - Cormontreuil Yutz - Vitry-le-François (N3) Reims Europe Club - Maisons-Alfort Hettange Grande - Géo-André (N4).
- Dames : Issy-les-Moulineaux - Re Europe Club (N2) ; TC Vitrolles - Géo-André (N3).

2e JOURNEE (8 mai).
- Messieurs : Cormontreuil - Issoire (N Vitry-le-François - Montrouge (N3) ; Talant - Reims Europe Club Géo-André - Pont-Sainte-Maxence (N4).
- Dames : Reims Europe Cl’ Paris Lagardère (N2) ; Géo-André - La Pape (N3).

3e JOURNEE (15 mai).
- Messieurs : Illberg - Cormontreuil (I\ Villeneuve d’Ascq - Vitry-le-François (N3) ; Reims Europe Club - B TC Flandres - Géo-André (N4).
- Dames : Châteauroux - Reims Europe (N2) ; Carqueiranne - Géo-André (N3).

4e JOURNEE (22 mai).
- Messieurs : Cormontreuil-Besançon (N2) ; Vitry-le-François - Schiltigheim (N3) ; Reims Europe Géo-André - Issy-les-Moulineaux (N4).
- Dames : Villeneuve d’Ascq-Reims Europe Club (N2) ; Gif-sur-Yvette - Géo-André (N3)

5e JOURNEE (29 mai).
- Messieurs : Melun – Cormontreuil (N2) ; Belfort - Vitry-le-François (N3) ; Nancy - Reims Europe club , Jean-Bouin - Géo-André (N4).
- Dames : Reims Europe Club - Sarreg mines (N2) ; Géo-André - Merlebach (N3).

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Union110429a

Tennis / ASPTT Epernay : pour qui la treizième ?

Limitée à 15/3, la treizième édition du tournoi de l’ASPTT Epernay rassemblera quatre vingt-quinze participants, soit une baisse de presque 20 % par rapport à l’an passé.

Pourtant, le tableau masculin est particulièrement dense et homogène.

En effet, tout porte à croire que la décision se fera à la limite des inscriptions et bien malin qui peut annoncer le lauréat 2011 entre les huit 15/3 : Mathieu Guillochain et Julien Foucher (Chouilly), Maxime Callé (Géo-André), Mathieu Petit-Jean (Taissy), Bertrand Loth et Sylvain Cochet (Aÿ), Sébastien Bukwa (Côte des Blancs) ainsi que Nicolas Japin (ASPTT Epernay).

Reste qu’il faudra surveiller Arnaud Dubouch (15/4, Chouilly), un ex 5/6 en 2002 qui a tout du parfait outsider….

Chez les dames, les 15/3 Sylvie Jolly (Société Nautique Epernay) et la locale Estelle Levasseur (ASPTT Epernay) devraient logiquement se retrouver au dernier stade de la compétition.

A moins que Sandra Joly (15/4, Bétheny) ou Claire Brigandat (15/5, ASPTT Orléans) ne bousculent la hiérarchie.

DEMAIN. - 9 heures puis 10 h 30 : demi-finales messieurs ; 14 heures : finale dames ; 15 h 30 : finale hommes.


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PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 110428g
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7391 du 25 avril au 01 mai 2011.


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Concert : HERVÉ AKRICH EN TOURNÉE RÉMOISE DU 5 AU 7 MAI 2011.


 

 

Le Ludoval organise pour l’Association des Maisons de Quartier la tournée rémoise d’Hervé Akrich dans les quartiers Croix-Rouge, Jean-Jaurès et Val de Murigny :
- Jeudi 5 mai, à 20h30, au centre culturel du Crous (rue de Rilly la Montagne),
- vendredi 6 mai à 14h30 et 20h30 à L’Espace Le Flambeau (13 rue de Bétheny),
- samedi 7 mai à 20h30 à l’espace Le Ludoval (1 place René Clair).

 

 

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Eisenhower Une fresque sur la clôture des travaux

Najime Hocini et les habitants disposeront de nombreux espaces-barrières à peindre.
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En 2011, Reims habitat fête ses 90 ans. Tout au long de l’année, la structure ira à la rencontre de ses locataires en organisant de nombreuses actions dans les quartiers.

Les festivités débutent par Croix-Rouge et s’annoncent riches en couleurs.

En effet, « pour commencer en beauté, une fresque va être graffée par les habitants du quartier Croix-Rouge et par des graffeurs professionnels sur la clôture du chantier Saint-John-Perse, à l’angle de l’avenue du Général-Eisenhower et de la rue Pierre-Taittinger », annonce-t-on sur toutes les entrées d’immeubles.

Najime Hocini, graffeur professionnel bien connu à Croix-Rouge pour ses nombreuses réalisations, a déposé un projet de maquette sur le thème « des premières maisons aux constructions BBC de Croix-Rouge ».

Deux temps

Reims habitat organise aujourd’hui, de 14 à 17 heures, des ateliers graff, encadrés par Najime Hocini, sur l’esplanade Eisenhower, ateliers ouverts à tous, sauf aux plus jeunes. Pour participer à la réalisation de cette fresque, rendez-vous sur place.

Puis, le week-end des samedi 7 et dimanche 8 mai, de 10 à 17 heures, Najime Hocini et des graffeurs professionnels rémois présenteront leur talent sur cette même clôture.

À voir absolument : rendez-vous à l’angle de l’avenue Eisenhower et de la rue Pierre-Taittinger pour découvrir la magie du graff.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union110428e

Ils ont maintenant leur sceau : Prêts à entrer en chevalerie

Les jeunes stagiaires de Catherine Fournier ont été initiés à la fabrication de sceaux.
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En marge de l’exposition réalisée par les archives départementales de la Marne en partenariat avec la bibliothèque municipale de Reims, le musée historique Saint-Remi et l’association « Les chevaliers de la montagne couronnée », des jeunes stagiaires ont été initiés à la fabrication de sceaux, avec Catherine Fournier, responsable des animations pédagogiques au service éducatif.

L’exposition présentait l’évolution de l’armement des chevaliers de l’an mil à 1500 à travers une sélection de moulages et de photographies de sceaux : « Un livre ouvert sur les coutumes de la chevalerie ».

À partir d’un moule en silicone, les jeunes stagiaires de Catherine Fournier ont réalisé des moulages dont le rendu était surprenant, ils les ont peints avant de leur donner une patine, une finition qui leur a donné l’aspect de sceaux authentiques.

Les sceaux réalisés pendant le stage sont exposés à la médiathèque Croix-Rouge 19, rue Jean-Louis-Debar.

(entrée libre)

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Union110428d

Fête du muguet à Croix-Rouge

Les associations « 2 Mains » et « Étoile Croix-du-Sud » organiseront le dimanche ter mai deux événements de taille dans le secteur Croix-du-Sud du quartier Croix-Rouge : la brocante du I er mai et la maintenant traditionnelle fête du muguet.

Au programme des concerts de rap, de la musique africaine mais aussi différents spectacles, dont l’un qui sera proposé par la compagnie « Footzbeul ».

La fête et la brocante auront lieu sur la place Paul-Cézanne de 7 h 30 à 19 heures.

Contact : 03.26.06.56.66.

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Union110428c

Étoile Croix-du-Sud : brocante le 1er mai

La brocante du 1 er mai, organisée par l’association Étoile Croix-du-Sud, se déroulera sur l’esplanade Paul-Cézanne, de 8 à 18 heures.

Inscriptions jusqu’à ce soir.

Les candidats exposants obtiendront tous renseignements au secrétariat (5, avenue Léon-Blum -Tramway ligne B, station Léon-Blum) Tél. 03.26.06.56.66.

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Union110428b

Avize / Tennis Club de la Côte des Blancs Les lauréats « jeunes »

Une belle brochette de jeunes talents.
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Le tournoi des jeunes a connu 97 participants. La journée consacrée aux finales a vu

chez les garçons les victoires de :

- 9/10 ans, Mathis Amier, 30/5, La Nautique sur Axel Maget, 30/3, Saint-Martin-sur-le-Pré.
- 11/12 ans, Gauthier Henry, 15/4, Géo André (Reims) sur Bastien Villenet, 15/4, Taissy.
- 13/14, Pierre Buyck, 15/2, La Nautique sur Marceau Vial, 15/3, CO Saint-Dizier.
- 15/16, Marc Algeri, 15/2, TC Bar Séquanais sur Benjamin Lévèque, 15/1, Saint-Memmie.

Chez les jeunes filles,

- en 11/12 ans : 1/Romane Jussy, ASPTT Châlons, 2/Léa Bertrand, Saint-Memmie, 3/Orlane Dufour, Bergères.
- 13/14, Angélique Sélosse, 15/3, Géo André sur Angéline Berthélémy, 30/2, Bergères.

La cérémonie de remise des prix s’est déroulée en présence de Pascal Desautels, conseiller général maire d’Oger et d’André Tessier, maire d’Avize.

Le président Jean-Paul Amillet a rappelé l’implication nécessaire à la réalisation de ce tournoi de Julie Carré et Stéphanie Hennepeaux, organisatrices et de « Dudule et Bubule » Gérard Dubois, juge arbitre et son chien.

Un hommage unanime et spontané a été rendu à Jules Carré, victime d’une remarque désobligeante, elle qui déploie dévouement et gentillesse.

Les tableaux minimes garçons et filles servent de qualifications au tournoi international du Stade Français BNP PARIBAS, (véritable championnat du monde 13/14 ans).

Angélique Sélosse et Pierre Buick, les vainqueurs, iront donc disputer les phases finales de ce prestigieux tournoi à Paris, début juillet, sur les terres battues de la Faisanderie.

Une vraie référence sportive, cette compétition minime se veut aussi éducative et culturelle avec les visites proposées aux participants.

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Union110428a

Montmirail / Tournoi jeunes open de tennis 89 joueurs en compétition

Les jeunes gagnants.
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Le tournoi jeunes open de tennis du Tennis Club de Montmirail s’est déroulé du 19 au 24 avril et sur 10 tableaux, 7 en garçons et 3 en filles. 89 joueurs, dont seulement 14 filles, ont participé au tournoi.

Chez les garçons

- en 9/10 ans, c’est Mathis Amier, du Nautique d’Epernay, classé 30/5, qui remporte le tournoi ; devant Benjamin Bisiaux classé 30/1 de Romilly.
- En 11 ans, Loïc Braibant de Rosières, classé 15/5, remporte le tournoi ; devant Alexandre Lime, de Nangis, classé 30.
- En 12 ans, C’est Bernard Nathan de Reims Europe Club, classé 30 qui remporte ; devant Maxime Hommel de Saint-Germain Val d’Europe, classé 15/4.
- Chez les 13/14 ans, C’est Arthur Assaillit de Montmirail, classé 30, qui remporte le tournoi ; devant Bernard Nathan du Europe Club de Reims, classé 30.
- En 15/16 ans, Corentin Faziollieau du TC La-Vaure, classé 15/1, a remporté le tournoi ; devant Valentin Amiot, de Saint-Martin-sur-le-Pré, classé 15/3.
- En 17/18 ans, c’est Valentin Amiot, de Saint-Martin-sur-le-Pré, classé 15/3, qui remporte le tournoi ; devant Victor Garnier, de Géo André, classé 15/3.

Chez les filles

- en 10 ans : c’est Agathe Vandenberghe de Charly-sur-Marne, classée 30/5, qui remporte le tournoi ; devant Aline Prudhomme, de Montmirail, non classée.
- Chez les filles en 12 ans, c’est Alison Tixier, de Montmirail, non classée, qui remporte le tournoi ; devant Morgane Guns, de la Brie-des-Etangs, classée 30/4.
- Et en 15/16 ans, Nina Pinar Gigan, de Charly-sur-Marne, classée 30/5, remporte le tournoi ; devant Loélia Picard de Chézy-sur-Marne, classée 30/5.

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Union110426b

Bilan positif pour l’Acrap « locomotive » de Croix-Rouge

Le conseil d’administration a été renouvelé et accueille des jeunes.
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REIMS (Marne). L’association Croix-Rouge animation et promotion a tenu son assemblée générale dans la salle Jean-Jacques-Lapique devant un public très réactif. Le président Jean-Pierre Genesseau a accueilli le premier adjoint Éric Quénard, Antoinette Mabille, secrétaire générale de l’Office des sports de Reims, et Élisabeth Causin, directrice de la maison de quartier Croix-Rouge.

« L’assemblée générale est le moment privilégié pendant lequel toutes les sections de notre association se retrouvent afin de faire part de leur activité, de leur évolution, mais aussi de leurs craintes devant les problèmes rencontrés », précisait-il. « L’Acrap est une petite France, la démocratie y est de rigueur ! »

Une véritable ruche bourdonnante

Tous les ans, il se confirme que cette association, créée en 1970, est la plus importante du quartier Croix-Rouge et l’une des plus importantes structures multisports de Reims.

Tout est vertigineux ici : 875 adhérents (dont 53 % de femmes et 75 % de Rémois) et une centaine de parents bénévoles, 57 000 euros de subvention municipale, 15 sections sportives, 7 sections culturelles ou sociales, un bulletin trimestriel distribué à 9 000 exemplaires pour des activités ouvertes aux enfants à partir de 4 ans jusqu’aux seniors et vétérans. Le local associatif « Ville de Reims - ACRAP » livré en 1993 à proximité immédiate de la station de tramway Kennedy, n’est jamais inoccupé !

Tous les responsables de sections avaient préparé leur propre bilan d’activité, lu devant l’assistance : badminton, balade pédestre, danse (56 inscrits), fitness/aérodanse, football enfants (87 inscrits), football seniors (76 inscrits), gymnastique, gym rythmique, karaté et kobudo d’Okinawa (63 inscrits), majorettes, natation (303 inscrits), pétanque, tennis, vovinam viet vo dao et yoga pour les activités sportives, couture, informatique, temps libre, travaux manuels, fêtes et loisirs, urbanisme et information, pour les activités sociales et culturelles.

Il est évident que les adhérents apprécient l’ambiance conviviale relevée dans tous les rapports.

Des sections heureuses

Particulièrement heureux, les responsables du football qui ont bénéficié cette saison d’un partenariat de la Caisse d’Epargne Lorraine Champagne Ardenne et du journal l’union qui ont habillé et équipé les jeunes de la tête aux pieds.

Satisfaites également les sections tennis et pétanque, qui viennent de réceptionner de la Ville de Reims l’un un court de tennis flambant neuf, l’autre un boulodrome digne de ce nom, les deux livrés avec éclairage nocturne.

Peu de revendications au cours de cette réunion à l’exception de la section majorettes, venue en nombre. Équipement et transports coûtent cher et, selon l’animatrice des « Mousquetaires de Reims », Magali Macadré, « nous ne nous sentons pas beaucoup soutenues. Un gros coup de pouce serait le bienvenu ».

……….

Des finances plutôt confortables

Précisément, sous la gestion bénévole de Jeannine Catry, avec 158 633 euros de dépenses pour 172 251 euros de recettes, le compte d’exploitation 2010/2011 est positif de 13 618 euros. Le contrôleur aux comptes, Olivier Blaud, précise que, pour l’association, « le disponible est de 72 874 euros », ce qui a fait réagir le premier adjoint Éric Quénard : « Le rôle des associations n’est pas de thésauriser. Il y a ici des moyens financiers pour pouvoir agir. La Ville a maintenu ses 57 000 euros de subvention et, en plus, l’Acrap a économisé 5 000 euros grâce à la baisse de nos frais de location, ce qui correspond pour vous à une augmentation de 10 %. Avec 72 800 euros de disponible, l’Acrap devrait pouvoir régler pas mal de ses problèmes ! » Les majorettes vont-elles en profiter ?

Une dernière bonne nouvelle pour terminer : « Votre bâtiment est énergivore et son chauffage vous coûte cher. La Ville a ici un gros investissement à faire et elle va le faire ! Dès lors, vous bénéficierez de 15 à 25 % de consommation d’énergie en moins ».

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Union110426a

Brocante à Croix-du-Sud

La brocante du 1er mai, organisée par l’association Étoile Croix-du-Sud, se déroulera sur l’esplanade Paul-Cézanne, de 8 à 18 heures (Buvette et restauration sur place).

Les inscriptions sont prises jusqu’au jeudi 28 avril au secrétariat de l’association, 5, avenue Léon-Blum, tramway ligne B, station Léon-Blum.

Tél. 03.26.06.56.66.

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Union110425e

Reims hip-hop festival : Les cultures urbaines tissent du lien

Ouverture avec « Déviation » mercredi sur la place d’Erlon, un spectacle de rue donné par la compagnie Massala.
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REIMS (Marne) Pour sa seconde édition, le Reims hip-hop festival qui débute mercredi se veut encore plus ambitieux. Le collectif « Urban Junior Tour » propose aux Rémois de découvrir l’univers des uns et des autres.

LE hip-hop ? Un art qui vient de la rue et ne peut donc être confiné aux quartiers « périphériques ». « Notre objectif, c’est surtout de ne pas limiter le hip-hop à la casquette à l’envers, au pantalon baggy et aux acrobaties sur le trottoir. La qualité artistique est désormais au rendez-vous », assure Jean-Marie Dogué, l’un des organisateurs du Reims hip-hop festival 2, porté par le Ludoval. Le collectif organisateur a souhaité privilégier la convivialité et revenir aux origines de cette culture issue de la rue et du plein air.

Le festival s’ouvrira donc mercredi, avec un spectacle de danse, de la compagnie Massala, place d’Erlon, à 18 heures. « Dans le but de faire découvrir la culture urbaine au grand public, nous avons décidé de mettre ce spectacle en scène dans le centre-ville, lieu par essence de rassemblement de tous les âges et de toutes les couches sociales. ».

« Déviation » met en scène quatre danseurs autour d’une voiture et d’objets familiers des sentiers urbains. La route n’est plus un endroit réglementé et rigide, mais un terrain de jeu, tout en souplesse et en courbes.

Venir s’initier

Le soir même, les artistes locaux seront à l’honneur, avec un groupe de rappeurs/grapheurs qui ont voulu utiliser ensemble leurs techniques et leurs graphismes, autour d’une « graffiti performance ». Ils créeront une toile urbaine éphémère, accompagnés du Rémois DJ Fire Mike.

Troisième temps fort, la Block Party, rencontre de tous les amateurs ou professionnels, danseurs, graffeurs, D.J, venus faire découvrir à un large public, en libre accès, la variété des disciplines hip-hop. Le soir, à la médiathèque Croix-Rouge, Olivier Cachin, journaliste spécialiste du rap et du hip-hop, donnera une conférence sur le sujet.

Cette année, c’est le Street Circus Contest, un concours chorégraphique, où se réuniront les meilleurs groupes de danse, qui clôturera le festival. 20 « crews » (équipes) présenteront une création de 4 minutes maximum, dans l’enceinte du cirque de Reims.

Le programme

Mercredi 27 avril :
- à 18 heures, « Déviation » sur la place d’Erlon.
- A 19 h 30, Performance artistique à la Cartonnerie.

Vendredi 29 avril :
- à partir de 14 heures, Block Party, au centre culturel Saint-Exupéry, esplanade André-Malraux.
- A 20 heures, conférence sur le hip-hop à la médiathèque Croix-Rouge.

Samedi 30 avril :
- à 14 heures au cirque de Reims, concours Street Circus Contest.

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Union110425d

Dans les quartiers, un spectacle de danse made in Brésil

Les danseurs de la compagnie Membros, originaires de Macaé, ont proposé un portrait sans concession de leur pays.
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Durant toute la semaine, le Manège de Reims a organisé un spectacle dans différents quartiers de Reims.

Cette micro-tournée a débuté lundi dernier sur l’esplanade Paul-Cézanne dans le secteur Croix-du-Sud du quartier Croix-Rouge.

Les habitants ont répondu présent puisqu’ils étaient une soixantaine à avoir fait le déplacement pour assister au spectacle d’une compagnie de danse brésilienne.

Membros est venu tout droit du Brésil, plus précisément de Macaé, une petite ville à deux heures de Rio de Janeiro, pour présenter un superbe spectacle dont était tirée la prestation proposée dans le quartier.

Des inégalités sociales

« Nous sommes sept danseurs. Ce que nous avons proposé aujourd’hui est tiré de notre spectacle dont le nom est « Meio fio ». C’est un portrait assez cruel d’un pays, le Brésil, qui tente de survivre face à des inégalités sociales très fortes », explique Joao, l’un de ces danseurs.

Le public a été séduit par cette prestation qui au-delà de l’aspect artistique raconte l’extrême violence des favelas brésiliennes. « C’est beau à voir mais en même temps ça fait réfléchir sur notre propre vie. Moi je me demande comment on peut se plaindre lorsque l’on voit ce que certaines personnes vivent dans d’autres pays », souligne Alain, un habitant de Croix-du-Sud.

Après le spectacle, les habitants ont été conviés à venir boire un pot de l’amitié au café associatif le Bistroquet.

« C’est vraiment bien d’organiser ce genre d’événement car ça ouvre le quartier vers l’extérieur. A refaire », explique Abdel, responsable du lieu.

Thierry ACCAO FARIAS

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Union110425c

Piscines / Barboter plus, mais payer moins

La piscine du Château d’eau participe à l’opération « J’apprends à nager », au plus grand plaisir des bénéficiaires.
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REIMS (Marne) Le tarif n’est désormais plus prohibitif pour les familles nombreuses. La nouvelle politique tarifaire complète l’offre déjà existante.

DES états généraux du sport, menés il y a deux ans, est sortie la volonté de rendre le sport accessible à tous. Depuis, les opérations de gratuité telles que les « samedis du sport », dont la prochaine édition aura lieu le 21 mai, se multiplient, le choix de baisser les tarifs aussi.

Dernièrement, du nouveau est apparu dans les piscines. Les familles nombreuses ont désormais leur tarif spécifique.

La volonté de mise en place de ce nouveau dispositif émane de l’adjointe aux sports et présidente de la Rems (Régie des équipements municipaux sportifs), Mme Michel.

Jusqu’alors, se rendre à la piscine avec plusieurs enfants pouvait s’avérer très onéreux. 17,20 euros pour les parents accompagnés de trois enfants, 20,40 euros lorsqu’ils sont quatre.

Présentation de la carte obligatoire

Désormais, le tarif sera simple. 2,50 euros pour un adulte, 2 euros pour les deux premiers enfants, 1 euro pour le troisième et gratuité à partir du quatrième.

Pour y accéder, il faut néanmoins répondre à une condition non négociable : toute la petite famille devra présenter sa carte famille nombreuse.

« C’est la seule solution qui permet de s’assurer que c’est bien une seule famille », affirme Pascal Vanscoor, responsable de la communication de la Rems.

« J’apprends à nager »

Pour profiter de l’offre, il faut donc être parent de trois enfants et passer par la case SNCF, seule institution habilitée à la distribuer mais également s’affranchir de la somme de 19 euros, coût fixe du dossier et indépendant du nombre d’enfants. « L’objectif est de voir des familles partager des instants de détente ensemble dans les piscines de l’agglomération. Que ce soit les deux parents avec tous leurs enfants ou simplement l’un des adultes avec ses fils ou ses filles. »

Cette nouvelle politique tarifaire vient s’ajouter à ce qui existe d’ores et déjà et qui fonctionne très bien pendant ces vacances scolaires.

Actuellement, dans les piscines Louvois, du Château d’eau et Orgeval, une cinquantaine d’enfants de CM1 et de CM2 apprennent à nager gratuitement dans le cadre de l’opération « J’apprends à nager ».

Le concept ravit les parents qui « sont rassurés à l’idée que [leur] enfant puisse rentrer au collège en sachant nager » et que par conséquent, « ils ne seront pas exclus du groupe lorsqu’ils se rendront à la piscine ».

Au rythme de neuf séances en deux semaines, les apprentis nageurs font des progrès très rapidement visibles et pourront bientôt se lancer seuls dans le grand bain.

Vianney PANNET

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Union110425b

Deux véhicules brûlés par un pyromane en culottes courtes

REIMS (MArne) Samedi, les policiers ont mis la main sur l’auteur d’un feu de voitures perpétré quartier Wilson. Il s’agissait d’un gamin… de 6 ans.

LES esprits s’échaufferaient-ils en même que les températures ? Ce week-end, on ne peut que constater en tout cas une recrudescence des incendies de voitures.

Pas moins de huit véhicules détruits ou endommagés ont été recensés entre vendredi soir et dimanche après-midi sur les quartiers Croix-Rouge (voir l’union de dimanche) et Wilson. Si l’enquête se poursuit toujours pour identifier les pyromanes de Croix-Rouge, l’enquête à Wilson s’est soldée par l’interpellation rapide de l’auteur de l’incendie.

Samedi après-midi, aux alentours de 16 h 45, les policiers reçoivent un appel des plus surprenants.

Il met le feu à une serviette

Un individu leur signale un incendie de voitures boulevard Wilson à Reims. L’interlocuteur poursuit en donnant le signalement du pyromane. Il décrit précisément les vêtements qu’il porte, la couleur avant d’expliquer au planton que l’auteur de cet incendie serait un enfant. « Le gamin tenait un briquet avant de mettre le feu à un morceau de serviette en éponge qui dépassait du véhicule », apprend-t-on du côté des enquêteurs.

Le propriétaire de la voiture en question, une Renault super 5 aurait vraisemblablement utilisé la serviette pour couvrir le pare-brise afin de protéger l’habitacle du soleil.

Les flammes ont rapidement investi l’intérieur du véhicule le détruisant complètement. Une Citroën C5, stationnée juste à côté a quant à elle été fortement endommagée par la propagation du feu.

Pompiers et policiers se rendent alors rapidement sur les lieux de l’incendie. À leur arrivée, une foule de badauds s’était déjà formée autour des deux voitures incendiées.

Parmi les curieux, les policiers ont rapidement reconnu l’incendiaire à partir de la description du témoin. Le gamin, âgé de 6 ans et originaire du quartier Wilson a été emmené au commissariat central pour y être interrogé. En raison de son jeune âge, le pyromane en culottes courtes n’a pas été placé en garde à vue. Le gamin n’a d’ailleurs fait aucune difficulté pour reconnaître les faits devant l’enquêteur.

À l’issue de son audition, le môme a été remis à ses parents pour qui l’addition promet d’être salée.

Pas sûr que casser la tirelire du jeune incendiaire suffise à réparer les dégâts engendrés sur les deux voitures.

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Union110425a

Reims / De nouveau à Croix-Rouge : Trois voitures incendiées

Le sinistre s’est déclaré vers 15 heures sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, rue Pierre-Taittinger.
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Le feu a pris dans la Citroën ZX avant de se propager aux deux autres voitures. Hier, trois véhicules ont à nouveau été détruits et endommagés par un incendie sur le quartier Croix-Rouge à Reims.

Le feu s’est déclaré aux alentours de 15 heures sur le parking du centre commercial de l’hippodrome, rue Pierre-Taittinger.

L’incendie a d’abord pris dans une Citroën ZX avant de se propager à deux autres voitures stationnées de chaque côté. Une enquête est en cours pour identifier les auteurs de cet incendie suspect.

Un sinistre qui fait suite à un autre. Vendredi soir, vers 23 h 30, trois voitures ont été détruites alors qu’elles étaient stationnées sur le parking avenue du Général-Bonaparte, rue qui se situe dans le prolongement de la rue Pierre-Taittinger.

Un rapprochement que les policiers rémois ne manqueront sans doute pas de faire…

C.L.

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Union110424a

Une nuit agitée dans le quartier Croix Rouge : La poste endommagée par le jet d’un cocktail Molotov

Hier matin, La Poste située avenue du Général-Bonaparte n’a pas ouvert ses portes au public.
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Les locataires anciens aspirent à une rénovation de leur logement.
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Cette Golf a été incekndiée au cours de la nuit de vendredi à samedi, tout comme deux autres véhicules.
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Une certaine agitation a régné la nuit dernière dans le quartier Croix Rouge à Reims où plusieurs feux de conteneurs à ordures, de véhicules ainsi qu’une tentative d’incendie contre une agence de la Poste ont été signalés. Une enquête est ouverte.

REIMS (Marne) Rien n’est encore certain, mais une interpellation pourrait être à l’origine d’une série d’incendies perpétrés vendredi dans le quartier Croix-Rouge. L’enquête se poursuit.

« À cette heure-ci, je dormais. Je n’ai rien entendu, je ne sais rien. Et puis, je préfère ne pas me mêler de ça. »

Raymond, un retraité de 63 ans qui réside dans le quartier Croix-Rouge depuis près de 20 ans ne souhaite pas s’étendre sur le sujet, celui de l’insécurité. Avares de confidences, plusieurs riverains de l’avenue du Général-Bonaparte refuseront même d’évoquer le sujet. « Vous savez ici, les incendies c’est monnaie courante… », confie pourtant l’un d’entre eux.

Désabusé, cet ouvrier de 43 ans dit « avoir le sentiment d’être abandonné tout simplement parce qu’il n’habite pas en centre-ville ».

À quelques mètres de lui, Croix-Rouge garde encore les stigmates d’une nuit mouvementée, celle de vendredi à samedi au cours de laquelle plusieurs véhicules, ainsi que des conteneurs à poubelles ont été incendiés.

Plus loin, à proximité du bureau de poste, une odeur de brûlé flotte encore dans l’air. « Suite au vandalisme le bureau sera fermé ce matin ».

L’information, placardée à la main sur la vitre des locaux émane de la direction de La Poste. Les clients devront patienter jusqu’à mardi ou bien déposer leur courrier dans la boîte à lettres jaune située juste à côté de l’entrée. Visiblement, La Poste a également fait les frais de cette nuit de violence : la grille d’évacuation des eaux a fondu. La baie vitrée est noircie sur une large partie de sa surface.

Le volet en fer a souffert, semble-t-il d’un incendie. Ce que confirmeront les services de police et les sapeurs-pompiers de Reims.

Des véhicules de police caillassés

Il semblerait que la tension était déjà palpable en toute fin d’après-midi. Une tension sans doute exacerbée par une chaleur inhabituelle.

Toujours est-il qu’à 23 h 28 exactement, l’alerte retentit au centre de secours Marchandeau.

L’intervention se concentre sur un parking de l’avenue du Général-Bonaparte mais aussi au niveau de La Poste.

« Huit conteneurs à poubelles ainsi que trois véhicules ont été incendiés et complètement détruits », précise-t-on du côté de l’hôtel de police.

Une Opel Corsa, un Renault Espace ainsi qu’une Golf ne résisteront pas longtemps à l’assaut des flammes. Une petite voiture sans permis sera également endommagée par l’incendie.

« Un cocktail Molotov a été projeté contre La Poste provoquant des dégâts sur la porte d’entrée », déclare une source proche de l’enquête.

Au cours de leur intervention, les forces de police verront plusieurs de leurs véhicules caillassés par des individus difficilement reconnaissables en pleine nuit.

Un effectif important de CRS, en surveillance depuis quelques jours dans la cité des Sacres, est alors dépêché sur place afin de ramener le calme dans le quartier. Ce n’est que vers 1 heure du matin qu’ils quitteront la place, tout en restant prêts à intervenir si le besoin s’en faisait ressentir à nouveau.

Un homme ivre interpellé

Aujourd’hui, la police s’interroge sur l’élément déclencheur qui aurait pu attiser les tensions ce soir-là. Même s’ils ne font encore aucun lien entre les deux événements, les policiers expliquent avoir interpellé un individu quelques heures plus tôt. « Vers 20 h 45, un homme de 46 ans a été contrôlé alors qu’il était ivre ». Un attroupement s’est alors formé naturellement autour des policiers. « L’homme a alors incité les jeunes à déclencher une émeute ».

Pas de débordement pour autant, le contrevenant ayant été rapidement transporté vers le commissariat central où il a été placé en garde à vue. Il en est ressorti quelques heures plus tard muni d’une convocation pour outrage et rébellion.

Coïncidence ? L’enquête tentera d’établir s’il existait véritablement un lien en l’arrestation et les incendies.

La police lance un appel à témoin. Discrétion assurée : 03.26.61.44.00.

Corinne LANGE (clange@journal-lunion.fr)

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Union110423c

Votre agenda sportif dans la Marne

Samedi 23 avril

- 13 HEURES : TENNIS DE TABLE. – Tournoi national de l’ASC Châlons (gymnase Le Corbusier, Saint-Memmie)
- 20 H 30 : ROLLER HOCKEY. – Nationale 1 (play-offs) : Reims – Lyon (gymnase François-Legros).

Dimanche 24 avril

- 8 HEURES : HORS STADE. – Trail Pays d’Argonne (55 km ; départ du 12 et 24 km à 10 heures).
- 9 HEURES : TENNIS DE TABLE. – Tournoi national de l’ASC Châlons (gymnase Le Corbusier, Saint-Memmie).
- 15 HEURES : FOOTBALL. – Coupe UEFA des régions : Champagne – Picardie (stade Chandon, Epernay).
- 15 HEURES : RUGBY. – 2e série (matche de classement) : CO Châlons – Noisy-le-Sec (stade Lauvaux).

Lundi 25 avril

- 9 HEURES : TENNIS DE TABLE. – Tournoi national de l’ASC Châlons (gymnase Le Corbusier, Saint-Memmie).
- 10 HEURES : CYCLISME. – Prix Raymond-Caruel à Bazancourt (Départementale, Pass’Cyclisme, cadets, minimes et benjamins).
- 16 HEURES : HORS STADE. – Course du Mont de Fourche à Vitry-en-Perthois (courses jeunes à 13 h 45 et féminines à 15 h 15).

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Union110423b

Rénovation de logements anciens : Pas facile d’obtenir gain de cause

Les locataires anciens aspirent à une rénovation de leur logement.
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L’association de défense des locataires de l’Effort rémois du secteur At’Hom est membre du Groupement des associations de défense des locataires de Reims et la région (GADL) qui regroupe sept associations : avenue de Laon, Polygones, Hauts-de-Murigny, Pays-de-France, Eisenhower, Murigny-Sud et Tinqueux. Au cours de son assemblée générale, la présidente a révélé : « Un gros chantier est en cours : le groupement des associations de défense des locataires cherche un moyen d’obliger les organismes logeurs à réaliser et à régler des travaux de rénovation dans des logements occupés par des locataires depuis 20, 30 voire 40 ans et dotés d’équipements d’origine qui ne sont évidemment plus aux normes, comme les compteurs électriques, les sanitaires, les revêtements de sol usés ».

Un locataire des Hauts-de-Murigny témoignait : « Mon revêtement de sol, vieux de 25 ans, est hors d’usage. J’ai demandé à l’Effort rémois de le changer : refus absolu. J’ai alors suggéré de régler une partie des frais : refus encore. Je suis allé jusqu’à proposer un partage 50-50 : nouveau refus de l’Effort rémois ! »

Renseignement pris, ce n’est qu’à l’occasion d’un déménagement que cet organisme refait tout de fond en comble, ce qui lui permet une éventuelle mise en vente plus facile.

D’autres témoignages émanent du Foyer rémois et de Reims habitat, dans la même optique.

C’est très dommageable pour les locataires obligés, soit de vivre avec de vieilles installations pas toujours aux normes, soit de financer eux-mêmes les travaux de rénovation, alors que tous les discours lancés au public avant le démarrage des opérations de rénovation urbaine assuraient très exactement le contraire.

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Union110423a

Association de défense des locataires : Les Polygones en assemblée générale

L’association de défense des locataires Les Polygones réunira une assemblée générale ordinaire, suivie d’une assemblée générale extraordinaire avec modification des statuts, le mercredi 27 avril à 18 h 30, dans les locaux de La Ligue de l’enseignement (anciennement école Daudet), 19-23, rue Alphonse-Daudet à Reims.

Au programme, la poursuite des actions lancées en 2009 et les propositions de travaux pour 2012, 2013 et 2014 déposées auprès de l’Effort rémois.

Les questions particulières du public sont à déposer préalablement dans la boîte aux lettres « Association » au 3, rue Henri-Royer.

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Union110422d

ROLLER HOCKEY / N I (play-offs) : Un bon coup à jouer

Après le succès face à Bordeaux, les Rapaces affronteront, demain, Lyon pour les demi-finales de play-offs.

Les roadrunners lyonnais, leaders de la poule sud, se sont qualifiés en sortant une formation bien connue des Rémois, les Outlaws de Moreuil.

Pas de quoi affoler le capitaine rémois, Julien Tarte. « On ne sait rien d’eux, mais on connaît nos forces et c’est là-dessus que nous devons jouer. » Le groupe rémois, avec ses trois internationaux Espoirs, mais sans Axel Capitaine, blessé au genou, devra donc réaliser un match plein. Les Rapaces devront d’entrée imposer leur jeu basé sur la conservation du palet.

La rigueur défensive et le réalisme seront donc de mise pour espérer s’imposer et prendre un peu d’avance avant un match retour qui s’annonce d’ores et déjà compliqué.

DEMAIN, 10 H 45, GYMNASE FRANÇOIS-LEGROS

REIMS : Haas, Garcia-Prieto, Tarte, Duplant, Capitaine V, Rogé, Godefroy, Basset, Rivard, Lacuisse, Maujean, Lexcellent, Fayault, Tran.

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Union110422c

TENNIS / Open de Givet : Zoric favorite

Avec 87 participants, la 20e édition l’Open de Givet verra Natasa Zoric (n° 36, Chartres) disputer dimanche son premier match de la saison en France. Classée 513e à la WTA, la Serbe pourrait contrarier les desseins de Solène Ficheux (- 15, Lille UC) et Monika. Tumova (- 15, ASPTT Metz). La concurrence s’annonce très relevée pour la Britannique Sabrina Dambirac (- 4/6, Europe Reims) et la Givetoise Claire Makhloufi (1/6, Géo-André Reims).

L’épreuve masculine pourrait s’offrir à Dacian Craciun (- 30, Saint-Amand-les-Eaux). Plus que les habitués de la Pointe que sont Gabriel Andruejol (0, Saint-Dizier), Alexandre Gajanovic (1/6, Europe Reims), Quentin Munier (1/6, Géo-André Reims), Théophile Castelhano (2/6, Europe Reims) et Romain Chiomento (3/6, Maurepas), son plus sérieux adversaire est incontestablement Kimmer Coppejans (- 4/6, Loon-Plage).

DEMAIN.
- 10h 30 huitièmes de finale dames
- 12 heures : huitièmes de finale messieurs.
- 17 heures quarts de finale dames
- 18 h 30 : quarts de final messieurs.

DIMANCHE.
- 9 heures demi-finales dames.
- 10 h 30 demi-finales messieurs
- 13 h 30 : finale dames
- 15 h 30 : finale messieurs.

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Union110422b

Avize (jeunes) : Objectif Stade Français

Fort de 94 inscrits, soit une légère baisse par rapport à l’an passé, le tournoi jeunes de la Côte des Blancs à Avize s’achève cet après-midi.

Qualificatif pour l’Open BNP-Pariscup du Stade Français en 13/14 ans, ce rendez-vous est toujours autant attractif.

Ainsi, chez les garçons, Pierre Buyck (15/2, SN Epernay) est favori devant les 15/3 Marceau Vial (Saint-Dizier) et Paul Guery (ASPTT Troyes) alors qu’il est peu probable qu’Angélique Selosse (15/3, Géo-André) soit inquiétée du côté des filles.

Finales vers 16 heures.

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L’hebdo du vendredi- n° 210 - 110422a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 210 - Semaine du 22 au 28 avril 2011


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Festival Hip Hop : Hip-Hop, c’est juste un esprit positif !

La compagnie Massala ouvrira le festival mercredi 27 avril, place d’Erlon.
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Le deuxième volet du Reims Hip-Hop Festival se déroulera du 27 au 30 avril dans l’agglomération Rémoise.

Une occasion pour le collectif Urban Junior Tour (organisateur de la manifestation) de revenir aux origines du Hip-Hop dans la convivialité.

Mouvement culturel issue de la rue et du plein air, le Hip-Hop se révèle être une véritable discipline d’éducation populaire qui véhicule des valeurs telles que le respect et le partage. Danse, Graph, Deejaying, rap, sont les maîtres mots de sa culture. Le Reims Hip-Hop Festival (R2HF) va permettre à toutes ces disciplines de se faire connaître auprès d’un large public.

« Le but du festival est de faire vivre le Hip-Hop en le valorisant et en évitant les clichés. On essaie d’enrichir ce mouvement, de le sortir d’un ghetto dans lequel il aurait tendance à s’enfermer » déclare J-F Dargencourt, directeur du Ludoval, plateforme de coordination du dispositif. Ainsi, l’ouverture du festival s’effectuera Place d’Erlon le mercredi 27 avril à 18h, avec la présentation d’un spectacle de danse urbaine de la compagnie Massala. La soirée se poursuivra à la Cartonnerie où la musique Hip-Hop sera mise à l’honneur à partir de 19h30. Le vendredi 29, danseurs, graffeurs et Dj’s seront réunies au Centre Culturel Saint-Exupéry à partir de 14h lors d’une « Block party » qui permettra la rencontre et les échanges entre tous les acteurs, amateurs ou professionnels, jeunes et moins jeunes de cette culture. La journée se clôturera par l’intervention d’Olivier Cachin, journaliste, écrivain et animateur de télévision dans la mouvance Hip-Hop qui nous parlera de l’âge d’or du hip-hop aux USA, à la Médiathèque Croix-Rouge, à partir de 20h. Suite à la première édition retentissante du Circus Battle de l’an dernier, l’association Growin’Up et le collectif Urban Junior Tour mettent en place, le samedi 30 avril, le « Street Circus », un concours chorégraphique où se réuniront les meilleurs groupes de danse (auparavant sélectionnés). 20 équipes présenteront une création de 4 minutes, dans l’arène du cirque de Reims, sous l’oeil de la prestigieuse compagnie « Pro Phénomèn », qui sélectionnera le groupe vainqueur. Une belle façon de clôturer une magnifique semaine artistique. « Si le festival existe, c’est grâce à nos partenaires et aux collectivités qui nous aident beaucoup financièrement mais il ne faut pas oublier les ateliers de danse des maisons de quartier, les professeurs et les danseurs qui s’investissent tout au long de l’année. Le festival est un coup de projecteur sur ce qui est réalisé quotidiennement », conclut J-F Dargencourt.

Géraldine Deramond

Le festival en histoires

C’est en 2006 qu’un groupe de jeunes danseuses du Ludoval décide d’organiser un « battle » (rencontre) avec d’autres maisons de quartier car il n’en existe pas à Reims pour elles. Elles sont immédiatement suivies par les maisons de quartier et la Cartonnerie : Le collectif Urban Tour Junior est né. Rencontrant chaque année un large succès, il se développe et ne s’adresse plus seulement aux jeunes mais à tout le monde : il devient alors, en 2010, le Reims Hip-Hop Festival.


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Roller hockey N1 - ½ finale aller : Reims – Lyon : Les Rapaces veulent faire la différence

Les Rapaces défient les Roadrunners de Lyon pour une place en finale, synonyme d’accession en Elite
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Qualifiée pour la première fois de son histoire en demi-finale du championnat de France de N1, l’équipe du Roller Hockey Reims ne compte pas s’arrêter pas en si bon chemin. Il lui faut maintenant passer l’obstacle lyonnais.

_Vainqueur de Bordeaux en quart de finale (4-6 en Gironde et 6-5 dans la Marne), le RHR se rapproche de son ultime objectif, celui de l’accession en Élite, une ligue où évolue son voisin ardennais, Rethel. En effet, les deux finalistes du championnat de N1 gagneront leur place parmi les meilleurs clubs de roller-hockey français. Mais pour rejoindre les Diables rethélois, les Rapaces doivent encore passer un dernier obstacle : Lyon. La première manche se jouera dès ce samedi 23 avril, à 20h30 au gymnase François Legros à Reims.

Premiers de la poule sud en saison régulière, les Roadrunners de Lyon sont les favoris sur le papier. Leur qualification au tour précédent a d’ailleurs renforcé ce statut. Les Lyonnais ont ainsi facilement disposé de Moreuil (6-4 et 12-0). De quoi faire trembler les Rémois ? « Quand on arrive à ce stade de la compétition ce n’est pas un hasard » répond Laurent Lexcellent, entraîneurjoueur du RHR. « On sait que ce sera difficile, mais on dispose d’armes pour les battre ». Solide 2ème de la poule Nord, juste derrière Paris XIII, l’équipe rémoise compte s’appuyer sur son effectif homogène qui allie vitesse et expérience. « Les plus anciens, qui ont déjà évolué en Elite avec Rethel, apportent leur sagesse et leur sens du placement, tandis que les jeunes apportent leur fougue et un brin de folie » explique le coach rémois.

Si Laurent Lexcellent est convaincu des qualités de son groupe, il a néanmoins conscience que la tache sera délicate et qu’une victoire significative à domicile sera primordiale. « Nous devons impérativement faire la différence chez nous. Si on ne gagne pas par un minimum de 3 buts d’écarts, le match retour sera particulièrement difficile à négocier ».

J.D

Reims - Lyon, samedi 23 avril à 20h au gymnase François Legros. Entrée gratuite. (match retour le samedi 30 avril à Lyon).

Dans l’autre demi-finale, Paris XIII, 1er de la poule Nord, partira favori face à La Rochelle, 2ème de la poule sud. Match aller en Charente- Maritime le 23 avril et retour dans la capitale le 30 avril.


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DU MERCREDI 27 AU SAMEDI 30 AVRIL : « REIMS HIP HOP FSTIVAL 2 »

Spectacle de danse proposée par la Cie Massala.
Mercredi 27 à 18h, place d’Erlon Musique et performance graphique.
Mercredi 27 à 20h à La Cartonnerie Block Party.
Vendredi 29 à 14h au Centre culturel St-Exupéry. Conférence sur « L’âge d’or du Hip-Hop aux USA » par le journaliste David Commeillas.
Vendredi 29 à 20h à la Médiathèque Croix-Rouge « Street Circus contest », concours de shows chorégraphiques`
Samedi 30 avril à 14h au Manège de Reims.

www.reimshiphop.canalblog.com


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JUSQU’AU 30 AVRIL : « L’ARMEMENT DES CHEVALIERS »

Réalisée par les Archives Municipales, cette expo présente l’évolution des armements des chevaliers du XIe au XVe siècle à travers des moulages et photos de sceaux.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar

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110421a - RMmag avril 2011

Le quartier Croix-Rouge dans « REIMS METROPOLE magazine » d’avril 2011


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EMBELLISSEMENT : Une agglomération très en beauté


Les concepteurs du tramway ont réussi à transformer une chose banale et familière en un objet éclatant de couleurs et dynamisant pour toute l’agglomération.

L’environnement dans lequel il se déplace connaît lui aussi une transformation assez saisissante.

Comme convenu dans le contrat de concession, le groupement MARS a effectué la remise en état de l’ensemble des rues du tracé « de façade à façade », c’est-à-dire sur toute leur largeur jusqu’en pied d’immeubles.

Ces opérations de requalification en profondeur qui accompagnent l’infrastructure ont été une occasion unique de repenser tous les aménagements urbains, de les mettre en cohérence les uns par rapport aux autres, mais aussi de repartager l’espace entre les différents modes de déplacement et de renforcer la présence végétale dans les rues. La qualité de ces aménagements urbains, les matériaux nobles utilisés, le mobilier modernisé et les nouveaux éclairages publics ont rajeuni la ville, l’ont indéniablement rendue plus belle et accueillante et attirante. Le programme défini dans Reims 2020 va permettre de poursuivre et d’intensifier ce mouvement.

Plus d’aménagements

Le tramway a joué un rôle moteur dans le réaménagement des secteurs qu’il traverse, et pas seulement au centre-ville. Au nord et au sud, il a amplifié le programme de rénovation urbaine et de revitalisation engagé dans les quartiers Orgeval et Croix Rouge en favorisant leur désenclavement et en améliorant les espaces publics le long de la ligne. A chaque bout de ligne, il a également permis de requalifier les entrées de ville, particulièrement à la hauteur de Neufchâtel. L’avenue de Laon, qu’on a connue saturée de voitures et peu valorisée, a bénéficié d’une rénovation linéaire


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ÉCONOMIE : L’impact du tramway


Réalisé notamment grâce à la contribution des entreprises locales, le tramway a eu des effets positifs sur l’emploi et devrait dynamiser l’activité commerciale.

L’investissement

Le financement du tramway est assuré par les fonds propres (24 M€) de MARS, la société concessionnaire, le recours à des financements externes (215 M€) et une subvention d’équipement que lui apporte Reims Métropole (174 M€). Reims Métropole finance cette subvention par l’épargne qu’elle a constituée depuis la décision de réaliser le projet, en février 2005, confortée par des subventions qu’elle perçoit ellemême de l’Etat et de la Ville de Reims (pour les aménagements urbains). Le montant définitif des investissements liés au tramway a été arrêté en juillet 2008 à 413 M€. Les subventions publiques s’élèvent à 174 M€ : 75 M€ provenant de la Ville de Reims et 99 M€ de Reims Métropole. L’Etat a versé à Reims Métropole 8 M€ pour le financement du centre de maintenance et 45,3 M€ au titre du Grenelle de l’environnement.

Les coûts du réseau

Pour l’exploitation du nouveau réseau bus et tram, Reims Métropole verse, pendant la durée du contrat, soit 30 ans, une subvention forfaitaire d’exploitation financée pour partie sur son budget principal, et pour partie par le versement transport(1).

La société concessionnaire, qui s’est engagée contractuellement à faire progresser de 40 % la fréquentation du réseau, perçoit ainsi de nouvelles recettes d’exploitation, réduisant d’autant son déficit d’exploitation. Sachant que ces recettes, perçues auprès des usagers, ne couvrent que 25 à 30 % des coûts d’exploitation du concessionnaire. Pour contribuer à l’équilibre économique des charges d’exploitation du nouveau réseau bus-tramway, Reims Métropole verse annuellement à MARS une subvention forfaitaire d’exploitation qui demeure comparable à celle qu’elle a versé aux TUR durant de nombreuses années pour le seul réseau de bus.

Contrairement aux communes, Reims Métropole ne perçoit pas l’impôt des ménages. Pour être complet et précis, il faut spécifier que les communes, comme tout employeur, doivent elles aussi acquitter un surplus de Versement Transport. Pour la Ville de Reims, il est estimé à 325000 €, sur un budget de plus de 400 M€.

L’emploi

Ce sont plus de 500 personnes qui ont été mobilisées sur le chantier pendant les deux années de travaux. A ce chiffre, s’ajoutent des emplois indirects qu’il est difficile d’évaluer, dans l’hôtellerie, la restauration, la reprographie, la location de matériel de chantier, de barriérage, de signalétique… Il a été estimé que 60 % des investissements liés au tramway ont été réinjectés dans l’économie locale. La Charte d’Engagement signée le 10 octobre 2006 par MARS et Reims Métropole prévoyait dans son article 10 de réserver 5 % des emplois créés sur les chantiers aux demandeurs d’emplois inscrits dans un parcours d’insertion professionnelle. 73 personnes sont ainsi entrées dans le dispositif, en produisant un total de 31841 heures d’insertion au sein des entreprises du groupement constructeurs (ALSTOM, COLAS EST, COLAS RAIL, MARS, PERTHUY CONSTRUCTION, QUILLE, SCREG). Ces entreprises ont utilisé les ressources des structures d’insertion par l’activité économique implantées localement : JOB’51, le GEIQ BTP et principalement EMPLOI 51, entreprise de travail temporaire d’insertion.

Les indemnisations

Pour aider les professionnels riverains des travaux du tramway à passer la période difficile des travaux, Reims Métropole avait décidé de mettre en place une Commission d’Indemnisation Amiable du Préjudice Economique (CIAPE). Celle-ci s’est mise au travail le 15 octobre 2008, sous l’autorité d’un magistrat administratif de Châlons-en- Champagne. Son rôle : examiner les demandes d’indemnisation ; émettre un avis sur la recevabilité des demandes et leur éligibilité au dispositif d’indemnisation ; proposer un montant pour l’indemnisation des préjudices économiques subis en rapport avec les travaux du tramway. Ses objectifs : assurer un traitement rapide des demandes ; limiter les recours contentieux, nécessairement sources de lenteur et de frais pour le requérant. Au final, la commission s’est réunie 32 fois, a examiné 552 dossiers présentés par 233 commerçants. 134 commerçants ont été indemnisés pour un montant global de 3252200 €.

Le FISAC tramway

La Ville de Reims, Reims Métropole, la CCI, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat et les associations de commerçants ont élaboré un programme d’actions et d’animations pour relancer l’activité et l’attractivité le long de la ligne de tramway. Cherchant un soutien qui leur permette de mener intégralement ce programme, elles ont déposé un dossier de demande de subvention au titre du « FISAC Tramway », Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce qui peut être redistribué par l’Etat pour des opérations en faveur de l’offre commerciale et artisanale de proximité. La réponse de l’Etat est attendue très prochainement.

(1)Le Versement Transport est une taxe que tous les employeurs, publics et privés, de plus de neuf salariés, doivent acquitter. Elle est calculée sur la masse salariale. Le taux de cette taxe a été porté de 1 à 1,8 % en avril 2005.

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Union110420b

Croix-Rouge / Le conseil de quartier se penche sur l’emploi

Le public en a eu la confirmation : la situation de l’emploi est catastrophique.
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« Nous sommes devant une tâche immense ! » C’est par cette phrase qu’Alain Bisteur, co-animateur du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny, ouvrait la réunion du mercredi 13 avril devant une assistance dont le nombre est désolant. « Pourtant, nous avons apposé 1 500 affichettes dans tout le quartier, et distribué 2 000 flyers ! Si les gens ne se mobilisent pas, c’est désolant ! » regrettait Alain Boudroit, deuxième co-animateur.

L’ordre du jour était pourtant un enjeu de taille : l’emploi et les moyens d’aider à trouver du travail.

C’est à Dominique Ledemé, chargé de mission à la Ville de Reims (emploi - relations sociales) qu’est revenue la charge d’animer la réunion, assisté de Sébastien Moucheron, chargé de mission à la Maison de l’emploi et des métiers.

Ils ont présenté sans concession la situation du quartier Croix-Rouge en matière d’emploi, apportant en définitive peu d’éléments que les habitants ne connaissaient pas : le tableau est assez effrayant ! M. Moucheron a ensuite analysé les chiffres avant de montrer la situation socio-économique la plus précise possible.

Chiffres

Une cascade de chiffres et de statistiques a suivi, que nous ne pouvons pas reproduire dans ces colonnes malgré leur grand intérêt. Certaines données ne sont d’ailleurs pas toujours communiquées spontanément par les services. Le lecteur intéressé pourra les découvrir réunies sur le document « Conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny, emploi - analyse socio-économique » distribué à toutes les personnes présentes et disponible à l’Observatoire de la Maison de l’emploi et des métiers du bassin rémois (7, place Stalingrad).

À la lecture de ce document, et en découvrant, par exemple, que « dans ce quartier, 12 300 personnes sont couvertes par la Caisse d’allocations familiales, soit 60 % de la population », ou encore que « 2 000 personnes sont en demande d’emploi à Croix-Rouge » et que « plus de la moitié des 7 500 ménages fiscaux n’est pas imposable », Alain Bisteur déclarait : « Je suis effaré ! » avant d’ouvrir un débat avec le public.

……….

Vers la création d’un groupe de travail sur l’emploi

Dominique Ledemé ne veut pas baisser les bras : « Trouvons ensemble des solutions ! »
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Dominique Ledemé ne veut pas baisser les bras :
« Devant ces chiffres « vrais » que l’on a parfois tendance à cacher, qu’est-ce que nous pouvons faire ? » demandait Dominique Ledemé. Rappelant que « des ressources sont aidées par la mairie : il s’agit de la Mission locale de Reims, de l’espace « Emploi » de la médiathèque Croix-Rouge, des associations 2 Mains, Appuis, Job’s 51 et Bâtiment services, du CREF de Reims et de l’IRTS Champagne-Ardenne : utilisons-les ! »

Ensuite, il constatait qu’il y a, à Croix-Rouge, des services et des besoins qui ne sont pas satisfaits : « Créons un groupe de travail pour les recenser ! »

Alain Bisteur saisissait la balle au vol : « Nous allons le lancer avec l’aide de la Maison de l’emploi et des métiers ! » et il proposait immédiatement un appel au volontariat.

Un tel recensement pourrait déboucher sur quelques emplois : « Quand on arrive à sortir ne serait-ce qu’une personne du chômage, c’est une victoire ! » concluait Dominique Ledemé.

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Union110420a

Feux divers

Lundi vers 19 h 30, des palettes ont été incendiées dans un immeuble en construction de la place Dominique-Ingres.

Hier vers 15 h 30, un feu de poubelle s’est déclaré contre une façade de la société informatique Mediarom, rue Maurice-Ravel. Le bâtiment n’a pas été endommagé.

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Union110419h

Que des chiffres à la place des lettres

Cinq lignes fortes

Le nouveau réseau a été construit autour de cinq lignes fortes, numérotées de 1 à 5

- La ligne 1 (qui remplace la partie ouest de la ligne B et la partie est de la ligne C) dessert Tinqueux, le faubourg de Paris, l’Opéra et le quartier Europe.
- La ligne 2 (qui remplace la ligne G jusqu’à Colomb puis la ligne T jusqu’à son terminus) dessert au départ de la Gare l’Opéra, Wilson, les Châtillons puis le centre de Cormontreuil.
- La ligne 3 (qui remplace la ligne C puis la ligne D puis la desserte du E) dessert Orgeval, Neufchâtel, Charles-Arnould, la Gare, l’Opéra, la Fac de Sciences et fait son terminus au moulin de la Housse.
- La ligne 4 (qui remplace globalement la ligne A et un tronçon du F) dessert la Neuvillette, Neufchâtel, place Luton, la Gare, l’Opéra, St Timothée, Ste Anne, Maison Blanche et fait son terminus aux Hôpitaux.
- La ligne 5 (qui remplace la ligne I et la partie est de la ligne B) dessert la Z.I. Nord-est, l’Opéra, Saint-Timothée puis les quartiers des Châtillons et de val de Murigny.

Lignes complémentaires

- La ligne 6 (qui remplace la partie sud de la ligne F) permet entre autres de desservir au départ de la Gare Centre l’Opéra, Saint Remi, la Verrerie et la Parc des Expositions.
- La ligne 7 (qui remplace la partie sud de la ligne N et globalement la partie nord du K) permet de desservir Bétheny, la Gare Centre, Franchet d’Espérey et le CHU. Elle ne passe pas par l’Opéra.
- La ligne 8 (qui remplace la partie ouest de la ligne B et des tronçons des lignes K et N) permet de desservir la zone du Millésime à Thillois, Tinqueux (Boutréaux, Moulin de l’Écaille), et la mairie de Bétheny.
- La ligne 9 (qui remplace la ligne T jusqu’à Colomb puis le G jusqu’à son terminus) permet de relier Saint-Brice-Courcelles à Reims et dessert Cormontreuil (Zone des Parques).
- La ligne10 (qui remplace la partie sud de la ligne K et des bouts du M puis le N jusqu’à son terminus) permet de relier les quartiers aux alentours de l’Hôpital Sébastopol au centre-ville puis à la Croix du Sud via l’Opéra, en desservant le Creps.

Lignes de rocade

- La ligne11 (qui remplace la ligne R) permet de desservir le Campus du quartier de la Croix Rouge et le quartier Europe sans passer par le Centre-ville. Le 11 est la seule rocade à fonctionner le dimanche.
- La ligne12 (qui remplace des tronçons des lignes P et S) assure la desserte du quartier de Murigny à Reims et de Corrmontreuil avec une correspondance avec le tram A à l’arrêt « Braque ».
- La ligne13 (qui remplace une grande partie des lignes S, M et l’intégralité de la ligne scolaire W) assure une desserte rapide entre St-Brice-Courcelles et le Campus ou elle rencontre la ligne A et entre le Campus, Bezannes et la gare de Champagne-Ardenne TGV ou elle est en correspondance avec le tram B.
- La ligne14 (qui remplace des tronçons des lignes D, F et K) assure une desserte de la Neuvillette, du Collège des Trois Fontaines, de la Cité du Dépôt et de Bétheny. Cette ligne est en correspondance avec le tram A aux stations Belges, Jean Macé et Neufchâtel.

Lignes de desserte locale

- Les lignes 15 et 18 (remplaçant respectivement les lignes L et J) sont des liaisons assurant la desserte de certains collèges de de Reims (Coubertin pour le 15 et Trois-Fontaines pour le 18). Elles ne circuleront qu’aux heures d’entrées et de sorties des cours. Ces lignes ne circulent pas durant les vacances et les week-ends.
- Les lignes16 et 17 (remplaçant respectivement les lignes Y et Z) sont des liaisons assurant la desserte des zones industrielles. La ligne 16 dessert la zone industrielle nord-ouest et la ZAC de la Neuvillette tandis que la ligne 17 assure la desserte de l’Écoparc Reims Sud.

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Union110419g

Travaux du tramway / 3,3 millions d’indemnisations, 87 entreprises fermées

Le chantier du tramway a pénalisé bien des commerces, jusqu’à des fermetures pures et simples.
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Le chantier rémois du tramway n’a pas fait les affaires des commerçants. Au lendemain même de sa mise en service, beaucoup d’entre eux continuent de se plaindre, cette fois de places de stationnement disparues. Et d’une attractivité pour longtemps perdue dans certains quartiers.

Pour leur part, la CCI de Reims/Épernay et la chambre de métiers et de l’artisanat (CMA) de la Marne ont souhaité, à la veille de l’inauguration, jouer cartes sur tables en livrant la synthèse des actions d’accompagnement des entreprises ayant subi les répercussions de ce chantier.

« Dès 2005, la CCI a eu la volonté d’anticiper ces répercussions », assurent les chambres consulaires. Suivi du chantier, accompagnement économique des entreprises, communication et animation pendant et après les travaux, outils d’observation : ces quatre thématiques ont servi de feuille de route au chargé de mission tramway, Thomas Lescarret.

Médiation et contestations

Des réunions d’information ont été organisées par tronçons rappellent les élus consulaires. « Au total, plus de 400 participants ont répondu présents. » Mais le point le plus sensible a eu trait aux indemnisations financières. Une commission d’indemnisation amiable des préjudices économiques a été mise en place, et financée par Reims Métropole. Présidée par Jean-Claude Pauzies, de la chambre régionale des comptes, elle n’aura pas toujours fait l’unanimité auprès des commerçants. Loin s’en faut. Résumé en quelques chiffres, son bilan est, à ce jour, néanmoins conséquent : 31 réunions, 617 dossiers déposés, 30 à 40 dossiers par commission au rythme d’une à deux fois par mois avec un taux de 60 % d’acceptation. Et surtout un montant de 3,3 millions d’euros alloués. « Près des deux tiers des dossiers sont passés entre les mains du chargé de mission CCI/CMA », soulignent les deux chambres dans leur bilan d’action. « À ce jour, six dossiers sont au contentieux du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne. » Les délais de paiement, entre l’acceptation du protocole d’accord et le virement sont en moyenne de trois mois.

Au-delà des indemnisations, les chambres consulaires ont aussi voulu organiser, avec Reims Métropole et Mars, des opérations « coup-de-poing » dans différents quartiers pénalisés : d’Orgeval à Croix-Rouge et Bezannes. On retiendra par exemple « Mon shopping c’est Reims », ou l’opération « zones bleues ».

C’est aussi un travail de lobbying qui a été mené auprès des partenaires et réseaux de commerçants : RSI, banques, experts-comptables, tribunal de commerce, etc. L’objectif a été d’obtenir un certain assouplissement dans l’approche des dossiers. Première en France sur un dossier tramway, la mise en place du guichet unique social et fiscal. Des réunions « référents » mensuelles se sont tenues à l’initiative de la CCI et de la CMA, etc.

L’après chantier

Toutes ces actions n’ont pas permis d’éviter la disparition de 87 entreprises au total. Dont 30 dans les secteurs sud, 24 dans la rue de Vesle, et 19 dans l’avenue de Laon. Avec 60 sociétés reprises ou créées depuis 2008, le solde négatif s’affiche donc à -27, selon les données consulaires.

La CCI ne compte pas s’en tenir là, l’avenir relevant maintenant de l’opération « Fisac tramway » déclinée en deux programmes : la « conquête client » et des opérations de communication. Une nouvelle étude sur le comportement des clients sera menée à l’automne, avec une enquête qualitative de fréquentation des pôles commerciaux situés sur la ligne du tramway.

D.H.

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Union110419f

Collège François-Legros / Sourds et malentendants découvrent le tramway

En partenariat avec Mars, ces élèves ont bénéficié d’une action particulière destinée à leur présenter le tramway.
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Il existe, au collège François-Legros, deux structures consacrées aux collégiens sourds ou malentendants, les Unités locales d’insertion scolaire (ULIS).

Chacune d’elles accueille une dizaine d’enfants, scolarisés dans les classes normales de l’établissement de la 6e à la 3e, mais qui bénéficient de séances spécifiques à leur handicap et d’un soutien régulier grâce à la présence de deux enseignants spécialisés, François Jolly et Isabelle Laluc, qui maîtrisent parfaitement la Langue des signes française (LSF).

Si les conditions de cohabitation entre piétons entendants et tramway présentent déjà des risques qu’il faut maîtriser, il est évident que le danger est plus grand pour des personnes qui n’entendent pas ou mal.

« C’est pourquoi, en partenariat avec MARS, ces élèves ont bénéficié d’une action particulière destinée à leur présenter le tramway » précise Jean-Raphaël Nicaise, principal adjoint : « le mardi 11 avril, les collégiens ont été accompagnés pour circuler en avant-première dans une rame du tramway, avant d’assister à une présentation vidéo projetée du tramway de Reims ».

La gentillesse, la patience et la disponibilité des agents du tramway ont été à la hauteur de l’avalanche de questions des collégiens, car rien n’a échappé à leur vigilance et à leur curiosité : ils sont fin prêts pour devenir des utilisateurs avisés !

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Union110419e

« Ici l’ombre, ici l’ombre » / Un CD écrit par 220 auteurs

« Croix-Rouge quel chantier ! » : une opération animée par Mireille Lamiral-Dupouy.
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Le public a été invité à chanter les paroles : « ça décooolle ! »
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Un public ravi qui a prêté l’oreille… et donné de la voix !
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Les collégiens de Joliot-Curie compositeurs de « Respect s’invite ».
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REIMS (Marne). Une création artistique collective, articulant l’urbain et l’humain, a mobilisé les habitants du quartier Croix-Rouge pour un vaste chantier… de mélodies populaires !

« Ecrire une chanson est un acte aussi délicat que définitif. Le faire en moins de 3 heures, en création collective et partagée, ressemble à une gageure ! » Réunis autour de Mireille Lamiral-Dupouy, 12 groupes, 220 personnes, d’horizons aussi larges que la palette des âges, ont composé 12 titres, puis enregistré en studio les refrains.

« Des titres d’inspirations variées, qui chantent et sifflent toutes les manières d’habiter en zone urbaine, renouvelée ou non » explique celle qui a mis en texte les mots de tous, regroupés dans un CD Ici l’ombre ici l’ombre.

« C’est pas de l’entrevue, ni du micro-trottoir : c’est une performance ! On ne fait pas du projet alibi, on y va « à fond les ballons ! ».

Une histoire contemporaine

Convoqués « en état d’urgence et d’exigence », élèves, groupes d’habitants, professionnels, associatifs ; ont mis en commun thèmes, textes, mélodies, talents. « Un groupe, une rencontre, et deux heures trente plus tard, la chanson était faite : refrain, couplets ».

Samedi dans l’auditorium du Creps, les auteurs-compositeurs de tous âges sont là, pour la présentation-concert de leurs chansons. Parmi eux, Jean Rosselle et Jocelyne Llop : ils font partie de l’équipe rédactionnelle du bulletin « QCR » de Reims-Habitat.

« On sortait nos mots. Mireille les mettait en forme. Pendant qu’on travaillait les paroles, Manu (Manuel Ducros, compositeur) y ajoutait la musique ». Leur titre ? Quartier dense (danse). Extrait : « Jeunes ou vieux en pointillés, attrapons la ligne bleue, yé ! ».

Un texte inspiré par le tramway. « Dans chaque chanson, il y a un peu du quartier, ses joies, ses colères, ses ambitions » commente Yassine Ramdani, directeur du projet porté par la Maison de Quartier Croix-Rouge. « Jamais ce quartier n’aura été autant transformé depuis sa création il y a 40 ans. Certes, il faut refaire des places, remettre des équipements publics, des commerces, mais il faut faire en sorte que les habitants soient acteurs de ces transformations et ne les subissent pas » a déclaré Eric Quénard.

Le premier adjoint a été rejoint par Adeline Hazan, venue féliciter ce petit bout de population rémoise qui, avec esprit, a montré que tout pouvait commencer… et finir par des chansons !

quelbeauchantier.blogspot.com.

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Union110419d

Avenue Robert-Schuman Un cycliste victime d’un malaise

Hier vers 15 h 45, un cycliste s’est effondré sur la chaussée alors qu’il circulait avenue Robert-Schuman, juste avant le rond-point de l’avenue François-Mauriac, le long de l’hippodrome.

Un malaise cardiovasculaire est à l’origine de la chute. Réanimée par les pompiers et une équipe du Samu, la victime âgée d’environ 60-70 ans a été évacuée dans un état préoccupant au CHU.

A 16 h 30, une collision entre une voiture et un vélo a légèrement blessé une jeune fille chemin des Trois-Fontaines.

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Union110419c

Voitures, poubelles, broussailles… / Incendies en série

Plusieurs véhicules ont brûlé ce week-end dans l’agglomération. Le premier est parti en fumée rue Alain-Colas à Bétheny, samedi vers 7 heures du matin.

Dimanche à 23 h 45, un incendie d’origine douteuse a détruit une Renault Velsatis et une Opel Astra allée des Tourangeaux à Reims. Une Mazda a été légèrement dégradée par propagation.

Dans le même quartier, dimanche vers 1 h 45, un Renault Scénic et une Mégane ont pris feu rue Joliot-Curie. Une Xantia garée à côté a subi des dommages.

A 4 heures du matin, les pompiers sont retournés allée des Tourangeaux pour une reprise du feu. Les flammes se sont alors propagées à un Renault Scénic.

Il n’y a pas que les autos qui brûlent. Dimanche à 13 h 45, un incendie d’origine indéterminée s’est déclaré sur des troènes, rue Jean-de-la-Fontaine à Witry-lès-Reims. A 18 h 40, un feu de détritus et de végétation a pris dans les locaux désaffectés de la société Struby, route de Witry. Vers 21 heures, ce sont des détritus qui ont été incendiés dans un local de l’avenue Bonaparte, au n°7.

A 9 h 30 hier matin, les pompiers ont éteint un feu de branchages en lisière de bois à Bouilly, le long de la RD980. L’incendie concernait une superficie de 80 m2. Vers 15 h 30, un feu de végétation s’est déclaré sur le chemin de halage du canal, à la Neuvillette. Un feu de poubelle a été signalé à 17 h 15 rue Marie-Clémence-Fouriaux, puis un feu de détritus une demi-heure plus tard à une station de bus rue du Bel-Air (route de Bétheny).

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Union110419b

Retour en prison pour deux évadés

REIMS (Marne). Deux détenus rémois avaient profité d’une permission pour s’éclipser. La police vient de les retrouver.

IL y a six mois, le 4 octobre, un détenu de la maison d’arrêt de Reims avait bénéficié d’une permission de sortie pour se rendre à une formation. Il n’avait pas réintégré sa cellule le soir venu.

Considéré comme évadé, Grégory Courroux, 23 ans, a été retrouvé par une patrouille de police le 30 mars, lors d’un contrôle, allée Edgar-Degas.

D’une pierre, les agents ont fait deux coups car le jeune homme, entre-temps, avait fait l’objet d’une diffusion pour purger une peine de deux mois ferme devenue définitive. Il a été écroué en vertu de cet extrait de jugement, puis a fait l’objet d’une procédure pour l’évasion transmise au tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution immédiate.

Extrait de sa cellule, Grégory Courroux a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été maintenu en prison dans l’attente du procès renvoyé au 10 mai.

Un autre détenu de la maison d’arrêt de Reims volatilisé à l’occasion d’une permission de sortie a été récupéré par la police. Nicolas Ledoux, 33 ans, purgeait depuis cet été une peine de six mois ferme.

Afin de favoriser sa réinsertion, il avait bénéficié d’un régime très favorable l’autorisant à quitter la prison de 8 heures à midi les lundis, mardis et mercredis pour chercher du travail.

Le 26 novembre, il n’est pas rentré. Sa cavale a pris fin il y a quelques jours. Lui aussi jugé en comparution immédiate, Nicolas Ledoux a écopé de quatre mois ferme. Sa semi-liberté a été révoquée.

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Union110419a

INFORMATION RELATIVE À UN AVIS D’APPEL PUBLIC À LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet de REIMS HABITAT (www.reims-habitat.fr) et du B.O.A.M.P. (http://djo.journal-officiel.gouv.fr...).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’ouvrage : REIMS HABITAT Champagne-Ardenne,
71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims Cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.

3) Objet des marchés : marché de nettoyage des logements de REIMS HABITAT (51).

4) Nombre et consistance des lots : le marché est composé de 4 lots :
- lot n° 1 : succursale Nord,
- lot n° 2 : succursale Centre Est,
- lot n° 3 : succursale Murigny,
- lot n° 4 : succursale Croix Rouge Université.

Chacun des lots fera l’objet d’un marché séparé. Les candidats pourront présenter une offre pour un ou plusieurs lots.

5) Les variantes sont acceptées.

6) Délai d’exécution : le marché prendra effet à compter du 15 juin 2011 jusqu’au 14 juin 2012, soit pour une période de 12 mois.

7) Critères d’attribution :
- prix des prestations pour 60 %,
- moyens humains et techniques mis en oeuvre pour 40 %.

8) Retrait du dossier et du règlement de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT Champagne Ardenne, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reims-habitat.fr

9) Date limite de remise des offres : le 17 mai 2011 à 17 heures.

10) Date d’envoi de l’avis à la publication : le 14 avril 2011.

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Union110418b

Sécurité dans les quartiers : Nouvelle opération tranquillité

Une nouveauté dévoilée par Éric Quénard.
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Le premier adjoint Éric Quénard a profité d’une assemblée générale en présence de plusieurs représentants d’associations de défense des locataires (At’Hom, Polygones, ULCR, Boisseliers, comité Pays-de-France…) pour annoncer une innovation en matière de sécurité : en septembre prochain, les trois organismes logeurs - l’Effort rémois, le Foyer rémois et Reims Habitat -, mettront en place un Groupement d’intérêt économique (GIE) chargé d’une mission de sécurité, sur le modèle de la ville de Lyon où ils se sont rendus en découverte.

« Une équipe « tranquillité publique » d’une dizaine de personnes, distincte de la police, mais agissant en liaison avec elle, interviendra directement et très rapidement, de 17 à 23 heures, sur les lieux des troubles qui lui seront signalés par les habitants. »

Important : ce nouveau service, qui se substituera progressivement à celui des actuels agents de proximité, ne sera pas facturé aux locataires sur leurs charges, mais sera financé directement par les organismes logeurs.

 

 

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Union110418a

Le voleur du bus se dénonce

Il y a quinze jours, le 31 mars, la caisse d’un bus des Transports urbains de Reims a été volée par deux jeunes gens dans le quartier Croix-Rouge.

Apparemment, le parent d’un des voleurs a eu connaissance du larcin. Il lui a ordonné d’aller se dénoncer au bureau de police de Croix-Rouge, ce que le garçon âgé de 15 ans a fait.

Il en a profité pour désigner son camarade.

Les deux collégiens seront convoqués devant la justice des mineurs.

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Union110417b

Hauts-de-Murigny Des locataires vigilants

Le public s’est montré attentif aux propos du bureau.
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L’assemblée générale de l’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny s’est déroulée récemment à l’espace Watteau.

Devant une quarantaine d’adhérents, la présidente Maud Trefcon, la secrétaire Isabelle Mallinger et le trésorier Daniel Houssack ont accueilli l’adjointe Virginie Coez, nouvellement élue conseillère générale du canton, Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat, Arnaud Prieux, son chef d’agence Murigny et enfin Michel Roquier, représentant la Confédération nationale du logement (CNL).

Dans son rapport d’activités pour l’année 2010, la présidente a indiqué la poursuite du projet des espaces verts avec Reims Habitat : « Après l’achèvement de cette tranche de travaux, il faudra servir les secteurs Utrillo puis Watteau ». Un contrôle des charges a été effectué par l’amicale et a fait apparaître que 900 euros avaient été imputés à tort aux locataires.

Patrick Baudet a promis la restitution de cette somme « infime par rapport au total des charges » et a rappelé que « toutes les portes de Reims Habitat sont ouvertes au contrôle des associations de locataires, ainsi que tous les dossiers ». Il a ajouté que, en ce qui concerne le chauffage, l’organisme est soumis à des variables imprévisibles telles que l’hiver plus ou moins froid, mais « un ensemble d’appels d’offres lancé va permettre des baisses de charges importantes ».

Des projets pour le quartier

La présidente a confirmé, comme ce fut le cas à l’association voisine At’Hom (locataires de l’Effort rémois), que « les problèmes soulevés l’année dernière par des jeunes et en particulier les collégiens de Georges-Braque sont pratiquement résolus. La situation, même si elle n’est pas parfaite, s’est améliorée grâce à une action collective, mais il faut rester vigilants ».

Au chapitre des projets, la suite de l’aménagement du quartier est envisagée, avec « la réfection des allées intérieures (suite) et la suppression des bacs à sable, attendue depuis 2008 ». L’installation de détecteurs de présence sur tous les paliers de l’îlot E est toujours attendue : « M. Toublan s’était pourtant fermement engagé lors de l’assemblée de 2008 ! »

Enfin, l’association compte « poursuivre le contrôle des prestations ménage et espaces verts qui ne donnent pas franchement satisfaction ».

Les éclaircissements de Reims habitat

Patrick Baudet et Arnaud Prieux représentaient Reims habitat.
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Reims habitat, par la voix de son directeur général Patrick Baudet et d’Arnaud Prieux, directeur de la succursale Murigny, a répondu point par point aux observations de l’association.

Ascenseurs : « Il existe des règles très strictes pour les ascenseurs. Nous sommes en conformité de ce point de vue, notre calendrier est bien suivi. »

Garages : « Reims habitat est le seul bailleur qui, dans certaines conditions, déconnecte les garages des appartements selon une procédure simple (70 ans, handicap,…) ». Par ailleurs, « vous avez le droit maintenant de procéder à des échanges de garages ou de les sous-louer. »

Copropriété : « Les logeurs mettent en vente des logements. Aux Hauts-de-Murigny, cela concerne 100 logements sur 1 161 sur des immeubles choisis. Résidentialiser les secteurs vendus aurait été discriminant, en créant un quartier dans le quartier. Si Immocoop assure la fonction de syndic de copropriété, selon un accord particulier, Reims habitat a choisi de gérer l’ensemble des espaces verts grâce à une association syndicale libre. »

Détecteurs de présence : Patrick Baudet a rassuré le public : « Le projet est en route et l’appel d’offres lancé pour tous les paliers de l’ensemble du quartier ! »

Chauffage : « Reims Métropole et les organismes logeurs sont en train d’étudier le casse-tête du chauffage plus cher ici que dans d’autres secteurs de Croix-Rouge ».

L’offensive de Michel Roquier

Michel Roquier, pour la CNL,
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Invité au titre de la Confédération nationale du logement (CNL), Michel Roquier n’a pas eu la dent douce, principalement à l’encontre de la municipalité représentée par Virginie Coez.

Espaces verts : Michel Roquier demande que les espaces verts soient repris par la ville. « Vous payez aussi ici plus que les habitants du centre-ville ! Il serait possible de vous facturer 100 euros de moins chaque année sur vos charges ! »

Bacs enterrés : La CNL demande la généralisation des bacs enterrés : « il y a moins d’incendies, on fait une grosse économie car il n’y a plus de conteneurs à sortir. Là encore vous pourriez économiser 100 euros chaque année ! Or, la Ville ne semble pas respecter les délais annoncés ».

La TEOM : Pour lui, la TEOM coûte trop cher aux locataires. La CNL ne la remet pas en cause mais son application injuste : « vous payez plus cher aux Hauts-de-Murigny que pour une maison du centre ville où il y a plusieurs ramassages par jour, un meilleur service et une taxe moins lourde ! »

Daniel Houssack en a rajouté une couche : « Nous payons la TEOM sur les garages ! Or il n’y a pas de poubelles dans les garages ! Mieux, certains locataires ont un garage inutilisé depuis des années, ils payent quand-même, sans compter les impôts locaux ! »

Chauffage : « Vous payez ici plus cher le chauffage que dans le quartier Eisenhower. Or, c’est la même chaufferie et vous êtes plus près d’elle. D’autre part, vous êtes mieux isolés maintenant. Vous devriez donc payer moins cher ! »

Michel Roquier l’a assuré : « Sur ces quatre sujets, la CNL ne lâchera pas ! »

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Union110417a

Hermonville / Cérémonie : La Villanelle à l’Arc de Triomphe

La chorale d’Hermonville au Mémorial de la Déportation.
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Germain Teschner, ancien président des Amis du Fort de la Pompelle, a participé à la cérémonie (il porte le drapeau –à droite sur la photo-)
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Le président des Anciens combattants du canton de Bourgogne, Robert Clément, (à droite) était également présent.
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La chorale d’Hermonville, La Villanelle, a chanté sous l’Arc de Triomphe.

La journée parisienne de La Villanelle a commencé par une cérémonie au Mémorial de la Déportation. Traverser le long couloir incrusté de petites pierres représentant chacune un déporté qui n’est pas revenu des camps est bouleversant. Les choristes ont visité ensuite la cathédrale Notre-Dame toute proche, avant de se rendre au mess de l’école militaire pour le déjeuner.

A 14 heures, direction porte d’Orléans, pour déposer une gerbe au monument du Général-Leclerc, où la chorale a interprété le chant de la 2e DB.

Après un temps libre sur les Champs-Elysées, rassemblement sous l’Arc de Triomphe à 18 heures. Les anciens combattants, dont Germain Teschner, initiateur de cette journée, le Colonel Neuville, président des Amis du Fort de la Pompelle, et Robert Clément, président des Anciens Combattants du Canton de Bourgogne, ont défilé sur les Champs-Elysées, accompagnés par la fanfare des gardiens de la paix. À 18 h 30 précises, une gerbe a été déposée sur la tombe du soldat inconnu, en présence de Jean-Claude Laval, adjoint au maire de Reims.

Les élèves du collège Georges-Braque de Reims ont ravivé la flamme, tandis que la chorale entonnait la Marseillaise, puis le chant des marais et le chant des partisans, accompagnée, et c’était une surprise, par les cinquante musiciens des gardiens de la paix. L’honneur de chanter au cours de la cérémonie du ravivage de la flamme est rarement dévolu à une chorale. C’était la deuxième fois pour La Villanelle, et les choristes en sont à la fois fiers et émus.

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Union110416f

Le projet le plus abouti pour la BA 112. Le cheval et le sport pour une dimension européenne

Voici le plan du projet de la Cité du cheval et du sport : 1. Écurie professionnelle ; 2. Centre équestre ; 3. L’événementiel ; 4. L’hippodrome ; 5. La clinique vétérinaire ; 6. Centre de formation ; 7. Stade de Reims ; 8. Parking ; 9. Espace commercial ; 10. Hôtel et restaurant ; 11. Réserve foncière ; 12. Terrains cultivés en exploitation conservés. En pointillés jaunes, ce sont les voies d’accès ; en points rouges, la limite de la BA 112.
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IL est le plus souvent reproché aux porteurs de projets pour la BA 112 de rester flous sur leur dossier, comme s’il ne fallait surtout rien dévoiler. Ou comme s’il manquait quelques pièces d’importance. Ce n’est pas le cas de la Cité du cheval et du sport, que Luc Mazaux et Didier Perrin nous ont présenté.

Le dernier nommé est bien connu des sportifs, puisqu’il est président du Stade de Reims Association. Car le club sera l’une des quatre pierres angulaires du projet (voir ci-dessous). Le nom de Luc Mazaud est, lui, familier chez les spécialistes de sport équestre : il s’occupait notamment du salon Équi-Champagne, qui se déroulait à Châlons.

« A cause des travaux, je devais trouver un autre site. C’est là que l’idée a germé d’initier quelque chose autour du cheval et du sport. » Avec les données suivantes, on ne peut qu’adhérer à ce projet séduisant : « Nous voulons transformer l’existant, sans avoir besoin de construire, sans trop réinvestir, et sans demander d’argent aux collectivités ! »

Concrètement, la cité du cheval et du sport veut répondre à un besoin régional : « Il n’y a aucune structure équestre multidisciplinaire de Lille à Dijon et de Paris à Strasbourg. Et il y a 17 000 licenciés, en Champagne-Ardenne, d’une fédération qui est la 3e en France ! »

Il y aurait une écurie professionnelle, avec des cavaliers qui viendraient s’établir à la BA, des événements (« une vingtaine de concours par an »), des spectacles équestres, un centre équestre d’une capacité de cent boxes, sans oublier le centre de formation qui concernerait les métiers du cheval mais aussi d’autres sports. Il y aurait aussi l’hippodrome, qui déménagerait à la BA 112 - les sites de Bezannes, Gueux ou Bétheny ont été étudiés, en vain - et une clinique vétérinaire, « qui manque cruellement dans la région ».

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Union110416e

REIMS : Au collège François-Legros : Des déportés témoignent

Raymond Gourlin et Paulette Gellé ont témoigné.
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Les collégiens, émus, ont été très attentifs.
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Fidèle à une tradition de transmission du souvenir, le collège François-Legros a reçu Raymond Gourlin, résistant déporté, et Paulette Gellé, déportée raciale, en qualité de juive, qui sont venus pour témoigner devant près de cent vingt élèves de 3e générale du collège.

Les personnels libres ainsi que les parents d’élèves étaient également conviés à cet événement exceptionnel.

En effet, comme l’a rappelé Jean-Raphaël Nicaise, principal adjoint, « c’est probablement la dernière fois que ces personnes interviennent en milieu scolaire, et elles ont choisi notre collège, qui sera d’ailleurs le seul établissement à recevoir leurs témoignages cette année ».

Pour immortaliser ce moment, le collège a d’ailleurs filmé la séance.

Deux déportés qui ont vécu l’enfer

Impossible de raconter ici les récits de ces rescapés des camps de la mort, un livre n’y suffirait pas.

Ce qui compte, comme l’a fait remarquer Jean Constant, président de l’association rémoise des déportés, c’est que les collégiens se sont vite identifiés aux orateurs, Raymond Gourlin, qui s’est révolté dès l’âge de 14 ans, avant de prendre le maquis de la Résistance à 18 ans pour échapper au travail obligatoire en Allemagne, et Paulette Gellé, arrachée à sa mère et déportée à l’âge de six ans comme de nombreux autres enfants porteurs de l’étoile jaune des Juifs.

Tous deux ont connu les wagons à bestiaux vers les camps de concentration, tous deux ont raconté à leur façon la faim, le froid, les poux, le typhus, les brimades, les humiliations et brutalités et l’odeur de la mort, omniprésente autour d’eux dans les camps.

Tous deux s’en sont sortis : le premier ne pesait plus que 28 kg quand il s’est évadé après neuf mois de camp.

La seconde a été libérée par les troupes russes, les cosaques à cheval, avant d’être prise en charge par les Américains.

L’association témoigne depuis une douzaine d’années dans les collèges et les lycées, une façon de répondre à cet appel d’un déporté juste avant sa mort : « Dites au monde ce qu’ils ont fait de nous et ce que nous sommes devenus ! »

Une remise de fleurs et de cadeaux a clôturé cette matinée exceptionnelle.

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Union110416d

Avenue Bonaparte : Plus moche la vie sans ascenseur


Dans l’union du 16 novembre 2010, nous avons relaté le quotidien d’une famille de l’avenue Bonaparte en proie au mal de vivre lié au climat d’insécurité régnant dans ce secteur de Croix-Rouge. Elle se plaignait également de vivre au sixième étage alors qu’elle compte « trois invalides » : le père souffre des jambes à la suite d’une maladie chronique, la mère a les rotules abîmées tandis que l’un des trois enfants est atteint d’un « retard psychomoteur » qui ne lui fait pas percevoir la dangerosité du vide.

Cinq mois après, la famille habite toujours à la même adresse. Un contentieux persistant avec l’organisme logeur - désaccord sur les frais de remise en état de l’appartement qui lui sont réclamés avant déménagement - bloque toute mutation.

« Ça ne s’arrange pas », soupire Eric, le père de famille. « Un courrier daté du 29 septembre 2010 - je vous assure que je ne me trompe pas sur la date - vient d’être déposé dans les boîtes aux lettres pour annoncer qu’à partir du lundi 18 avril, les deux ascenseurs seront en arrêt complet six semaines pour cause de travaux. »

D’un coût de 135 000 € financés par le bailleur, ces travaux de sécurité et de modernisation des ascenseurs sont réalisés conformément à la loi « Urbanisme et habitat ». En soi une bonne nouvelle, un investissement positif, tant la vétusté de certaines installations est souvent dénoncée par les locataires. En revanche, pour ceux qui ont du mal à emprunter les escaliers, comme la famille d’Eric, c’est un mauvais moment à passer.

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Union110416c

49 nouveaux appartements à Pays-de-France : Résidence Joséphine : les travaux sont lancés

La Ville et le Foyer rémois travaillent ensemble pour un nouveau Pays-de-France.
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« Pourquoi Joséphine ? » Le public l’a appris : parce que « Avenue du Général-Bonaparte » !
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Éric Quénard, premier adjoint, et, pour le Foyer rémois, Benoît Pellot, président du conseil de surveillance, et Christophe Villers, président du directoire, ont lancé les travaux de construction de la résidence Joséphine.

Dans le cadre du programme de rénovation urbaine, cet ensemble immobilier de quarante-neuf appartements, sur cinq étages, du type 2 au type 5, sera situé au 36, avenue du Général-Bonaparte, à proximité du lycée Arago, dans le parc public Saint-Bruno. Cette construction du Foyer rémois sera la première à recevoir le label Bâtiment basse consommation (BBC) sur le secteur Pays-de-France. En effet, la façade en terre cuite, qui donne sur la rue, sera doublée d’une isolation par l’extérieur de 20 cm d’épaisseur, ce qui permettra de créer une véritable barrière thermique.

Chaque appartement disposera d’une loggia et les occupants bénéficieront de places de stationnement en sous-sol et à l’extérieur. L’immeuble sera accessible aux personnes à mobilité réduite.

Ce futur bâtiment de cinq étages est financé en prêt locatif à usage social (PLUS) et en prêt locatif aidé d’intégration (PLAI). Sa livraison est prévue pour l’automne 2012. Le maître d’œuvre retenu est Jacques Bléhaut et Associés, « Architecture et urbanisme ».


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Une étape dans la métamorphose du quartier

Dans leurs allocutions, les intervenants ont précisé que cette construction s’intègre dans un programme global de transformation du secteur Pays-de-France.

Ainsi, cette année, on attend, avant l’été, la livraison imminente de trois nouvelles cellules commerciales, place Arago, dont un cabinet médical en continuité avec l’agence de La Poste (2e tranche du programme Arago créant une offre de commerces et services de la boucherie jusqu’à La Poste en lisière de ligne de tramway). Dans la même période, vont démarrer la démolition du 1, allée des Picards et du 7, allée des Limousins (locaux du CREF), et les premières réhabilitations d’immeubles par Le Foyer Rémois (façades et intérieurs des logements).

Après l’été, en septembre, viendra l’aménagement de la nouvelle place publique - pavée et piétonne - devant le centre commercial Arago par la Ville de Reims, alors que le Foyer rémois démolira les 2 et 4, allée des Bourguignons et lancera la construction de trente logements, rue Joliot-Curie.

En 2012, la Ville créera une rue pour désenclaver l’îlot des Picards. Elle empruntera les sites des anciens pignons de la passerelle commerciale Pays-de-France et l’emplacement actuel du CREF (7, allée des Limousins).

Enfin, en 2013, la Ville encore prévoit de construire, de l’autre côté de l’avenue du Général-Bonaparte, un nouvel équipement public de 1 500 m2 destiné à la fois à accueillir les activités de la Maison de quartier Croix-Rouge et de nouveaux services tels qu’une pépinière d’initiatives et une salle de spectacle modulable dédiée principalement aux musiques amplifiées.

Le tramway va donc traverser une grosse zone de turbulences architecturales qui vont donner un tout nouvel aspect à Pays-de-France !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union110416b

AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

1) Identification de l’organisme qui passe le marché :
Maître d’Ouvrage :
Reims habitat Champagne Ardenne
71, avenue d’Epernay
B.P. 2720
51055 REIMS CEDEX

2) Procédure de passation : Procédure adaptée suivant article 28 du CMP

3) Objet des marchés : Remplacement complet de l’ascenseur du 55 Esplanade Eisenhower à Reims ( suite à incendie de la cabine)

4) Délai d’exécution de la prestation : 3 mois , la période de préparation de 2 semaines étant comprise ainsi que les intempéries et congés payés.

5) Critères de jugement des offres :
1 – Valeur technique pour 40 %,
2 – Coût des prestations pour 60 %

6 ) Renseignements complémentaires :
D’ordre administratif : Service Commande Publique . Tél : 03.26.48.62.30 Fax : 03.26.48.43.27 . Les dossiers de consultation peuvent être retirés sur le site internet de Reims-habitat ou au 71 Avenue d’Epernay- 51100 Reims
D’ordre technique : Monsieur POUSSE : Tél : 03.26.48.43.38 Fax : 03.26.48.43.40

7) Date limite de remise des offres : Le 22 avril 2011 à 17h00

8) Date d’envoi de l’avis à la publication : Le 13 avril 2011

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Union110416a

Votre agenda sportif dans la Marne

Au programme de ce samedi :

7 HEURES Patinage artistique. – Coupe des Sacres, jusqu’à 20 heures (Bocquaine)

8 HEURES
Equitation. – CSO Amateur, Pro, Elevage (Coolus)

16 HEURES
Football. – U17 : Reims – Metz (Thiolettes)

16 H 30
Hockey sur glace. – U22 : match aller pour la 3e place Reims – Mont-Blanc (patinoire Barot)

17 HEURES
Tennis de table. – Nationale 2 féminine : Châlons – Clichy ; Nationale 3 : Châlons – Schiltigheim.

19 HEURES
Water-polo. – Elite : Reims – Montpellier (Nautilud)

20 HEURES
Roller Hockey. – N1 (play-off retour) : Reims – Bordeaux (Legros)

20 H 30
Hockey sur glace. – Division 1 (quart retour) : Reims – Anglet (Bocquaine)

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Union110415b

Comment ont-ils vécu les travaux du tramway ?

Pascale Charles, vétérinaire, avenue Léon-Blum

 

 

« Très mal. La rue n’a pas arrêté d’être fermée, un jour dans un sens, un jour dans l’autre, parfois dans les deux.

C’était un parcours du combattant pour accéder chez moi. Beaucoup de mes clients sont partis et il n’y en a pas eu de nouveaux. La première année, j’ai perdu 15 %, la deuxième 30 %, il était temps que ça s’arrête.

En plus, je n’ai aucune chance de profiter des bienfaits du tram. Déjà parce que je vais être obligée de déménager dans le cadre de la rénovation urbaine et aussi parce que les chiens n’ont pas le droit de prendre le tram. Il y a des pays, comme en Belgique, où l’on peut monter dedans avec son chien ».

 

 

Cédric Berger, Croix-Rouge

 

 

« Ça ’s’est pas mal passé sauf que maintenant, il y a pas mal de fissures dans le bloc. J’en ai des bonnes dans mon appartement.

C’était aussi un peu galère pour circuler en voiture. Le matin, on partait dans un sens, quand on revenait l’après-midi c’était plus le même. Depuis que c’est fini, on est content. Les voitures roulent moins vite, c’est nickel pour les enfants. Maintenant que j’ai le tram en bas de chez moi, je vais un peu lâcher la voiture ».

 

 

Après les fouilles archéologiques, la déviation des réseaux et les gros travaux de voirie est venu le temps de la pose des rails.

Qu’attendez-vous du tram ?
Jessica Hureaux

 

 

 

 

« Il devrait permettre d’aller plus vite et sera plus pratique au niveau des horaires.

Je l’utiliserai sûrement pour aller en ville puisque j’habite à Croix-Rouge.

Pour aller jusqu’à la fac de science où j’étudie, il ne me sera pas très utile ».

 

 

 

 

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L’hebdo du vendredi- n° 209 - 110415a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 209 - Semaine du 15 au 21 avril 2011


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Tramway - Parking relais : Trois et pas un de plus !

La mise en service d’une ligne de tramway s’accompagne toujours d’une politique de transport visant à réduire la circulation automobile. Pour ce faire, il est important de séduire les habitants avec des tarifs avantageux, mais aussi la population extérieure qui se rend en ville en lui proposant des services performants. C’est d’abord pour ces usagers, amenés à venir dans l’agglomération pour travailler ou se divertir, que les parkings relais sont construits.

Trois ont été aménagés à Reims. Ils sont situés aux extrémités de la ligne : un au terminus nord, rue de Neufchâtel, un au sud, près du CHU, et un dernier, au croisement de l’avenue de Laon et du boulevard des Belges. Ce dernier d’une capacité de 100 places est réservé aux abonnés annuels Champagne Mosaïque. Les deux autres, Neuchâtel et Hôpital, sont accessible à tous. Ils peuvent accueillir respectivement 176 et 155 véhicules.

Contre la somme de 3€, l’accès à ces parkings surveillés par un gardien, donne droit à un titre de transport « Groupe », valable pour 7 personnes au maximum voyageant ensemble pour un aller-retour dans la journée.

Si les parkings relais proposent une formule financièrement plus avantageuse qu’un stationnement d’une durée équivalente dans un parking du centre-ville, il est en revanche impossible d’y laisser son véhicule au-delà d’une journée.


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Tramway - Arrêt sur images

Avant de devenir une réalité, le tramway s’est fait désirer. Retour en images sur quelques épisodes marquants du projet.
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Mai 2009 : après les déviations de réseaux, le chantier du tramway entre dans une nouvelle phase avec la soudure symbolique d’un rail à Croix-Rouge. Toutes les personnalités que compte la ville ont fait le déplacement.

 

 


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Roller Hockey, play-offs - ¼ de finale retour : Reims – Bordeaux : Le début d’une grande aventure ?

Pour leur première participation aux play-offs, l’équipe du Roller Hockey Reims n’a pas manqué son entrée dans la compétition.
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Le week-end dernier, les Rapaces sont allés s’imposer sur les terres de Bordeaux, 3ème de la poule B, sur le score de 6 buts à 4. Ce succès jugé « très difficile » par le président du club rémois, François Bock, en appelle peut-être beaucoup d’autres. « C’est une équipe qui comme nous, joue les play-offs pour aller au bout et gagner le droit d’accéder au championnat Elite » explique-t-il. Le président n’a jamais caché son ambition de rejoindre ses voisins de Rethel la saison prochaine. « A partir du moment où vous vous donnez les moyens de réussir ce n’est pas présomptueux de viser haut ». Il faut dire que cela fait maintenant trois ans que le club rémois évolue en N1. « Les deux premières saisons, on a échoué à un rien des play-offs maintenant qu’on les joue, on veut aller au bout ». Pour atteindre le Graal, les Rapaces devront d’abord se défaire à nouveau des Bordelais ou tout du moins préserver leurs deux petits buts d’avance. « Ce sera compliqué » estime tout de même le président ajoutant avec le sourire « que de toute façon quoi qu’il se passe, le spectacle sera au rendez-vous ».

La suite ? En cas de qualification, les Rémois auraient un nouveau duel à disputer face à leurs homologues de Lyon ou de Moreuil. S’ils le remportaient, les Rapaces rejoindraient alors la finale du championnat, synonyme d’accession à Elite pour les deux équipes qui la jouent.

Reims - Bordeaux, samedi 16 avril à 20h au gymnase François Legros. Entrée gratuite.


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JUSQU’AU 30 AVRIL : « L’ARMEMENT DES CHEVALIERS »

Réalisée par les Archives Municipales, cette expo présente l’évolution des armements des chevaliers du XIe au XVe siècle à travers des moulages et photos de sceaux.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar

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Union110414h

Judo (cadets) / Mention bien pour Reims Judo

Belle victoire de Louis Roche en moins de 50 kg
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Il s’agissait, à Châlons, de désigner les qualifiés pour la Coupe de France (le premier de chaque catégorie) et celui qui représentera le département au Critérium national (le 2e), deux compétitions organisées dans le Limousin, à Ceyrat, les 4 et 5 juin.

Reims Judo a réalisé un bon score en envoyant trois des siens en Coupe et deux en Critérium.

Hommes

Moins de 46 kg : 1. Louis Rieu (Reims Judo).
- 50 kg : 1. Louis Roche (Reims Judo).
- 55 kg : 2. Alexis Liance (Reims Judo).
- 66 kg : 1. Axel Baudry (AS Croix Rouge).
- 81 kg : 1. Dylan Vivier (Reims Judo).

FÉMININES

Moins de 63 kg : 2. Emilie Schoeny (Reims Judo)

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Union110414g

Judo (minimes) / Du travail en perspective

Le championnat de Champagne minimes, organisé à Reims, a permis aux trois premiers de chaque catégorie (quelquefois plus) de se qualifier pour les Inters de la fin du mois de mai à Reims. Quatre titres sont venus récompenser les judokas marnais.

FÉMININES

Moins de 36 kg : 1. Camille Henriot (Budogi Troyes) ; 2. Bénédicte Barthélémyy (A. Carteret) ; 3. Marion Benoît (Lusigny) ;
- 40 kg : 1. Shannon Hémon (Marnaval) ; 2. Fleur Wargnier (Sud-Ouest marnais) ; 3. Morgane Salaun (Marnaval) ;
- 44 kg : 1. Manon Lemaitre (Cheminots 08) ; 2. Chloé Brenkle (Bar-sur-Aube) ; 3. Alice Rieu (Reims Judo) ;
- 48 kg : 1. Agathe Devitry (Bar) ; 2. Mavina Thiry (Cheminots 08) ; 3. Manon Szezot (A. Judo 08) ;
- 52 kg : 1. Lisa Luther (Marnaval) ;
- 57 kg : 1. Stessy Ackerer (Marnaval) ;
- 63 kg : 1. Ines Prévot (A. Carteret) ; 2. Kesia Paros (Asptt Châlons) ; 3. Naëlle Courtin (Rimogne) ;
- 70 kg : 1. Maeva Fournier (Couvrot) ;
+ 70 kg : 1. Sarah Ponty (Marnaval) ; 2. Emma Saudrais (Juniville)

MASCULINS

Moins de 34 kg : 1. Ambroise Tatti (A. Carteret) ; 2. Florentin Bruban (Givet) ; 3. Fabio Peluso (Givet) ;
- 38 kg : 1. Théo Bernard (Bar) ; - 42 kg : 1. Alexis Bartoli (Troyes) ;
- 46 kg : 1. Valentin Simart (Bar) ; 3. Nicolas Despaquis (Witry) ;
- 50 kg : 1. Corentin Renault (JC du Vignoble) ; 2. Amine Bakassou (A. Carteret) ; 3. Arthur Elemva (Croix Rouge) ;
- 55 kg : 1. Pierre Brelet (Bar/A) ; 3. Maxence Morisset (Cormontreuil) ;
- 60 kg : 1. Adrien Geoffroy (Bar) ; 2. Vincent Mene (Dojo rémois) ; 3. Sacha Nouveau (Cheminots 08) ;
- 66 kg : 1. Flavien Boidin (Kimono Club 08) ; 2. Gaetan Gorria (Asfeld) ;
- 73 kg : 1. Paul Rouyer (Jasseinnes 10) ; 2. Fahrane Zaidi (Givet) ; 3. Anthony Strazzeri (Nouzonville) ;
+ 73 kg : 1. Bradley Techer (Jasseignesses) ; 2. Medhi Bettahar (Vitry) ; 3. Damien Mauchamp (Aÿ).

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Union110414f

Judo / ENTREPRISE.

Les championnats Entreprise disputés à Reims ont permis à Reims Judo d’enrichir son palmarès et d’envoyer quelques-uns de ses licenciés aux France (19 juin à l’INJ Paris) : Ali Boukraa (1er en - 81 kg), Thierry Noyelle (1er en - 66 kg) dans la catégorie ceinture noire vétérans, Cédric Drouet (2e en - 73 kg) et Sylvain François (2e en - 90 kg) en ceinture noire seniors ; Audrey Agnus (1re en + 78 kg).

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Union110414e

Hauts-de-Murigny / Des locataires vigilants

Le public s’est montré attentif aux propos du bureau.
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L’assemblée générale de l’amicale des locataires des Hauts-de-Murigny s’est dé- roulée récemment à l’espace Watteau.

Devant une quarantaine d’adhérents, la présidente Maud Trefcon, la secrétaire Isabelle Mallinger et le trésorier Daniel Houssack ont accueilli l’adjointe Virginie Coez, nouvellement élue conseillère générale du canton, Patrick Baudet, directeur général de Reims Habitat, Arnaud Prieux, son chef d’agence Murigny et enfin Michel Roquier, représentant la Confédération nationale du logement (CNL).

Dans son rapport d’activités pour l’année 2010, la présidente a indiqué la poursuite du projet des espaces verts avec Reims Habitat : « Après l’achèvement de cette tranche de travaux, il faudra servir les secteurs Utrillo puis Watteau ». Un contrôle des charges a été effectué par l’amicale et a fait apparaître que 900 euros avaient été imputés à tort aux locataires.

Patrick Baudet a promis la restitution de cette somme « infime par rapport au total des charges » et a rappelé que « toutes les portes de Reims Habitat sont ouvertes au contrôle des associations de locataires, ainsi que tous les dossiers ». Il a ajouté que, en ce qui concerne le chauffage, l’organisme est soumis à des variables imprévisibles telles que l’hiver plus ou moins froid, mais « un ensemble d’appels d’offres lancé va permettre des baisses de charges importantes ».

Des projets pour le quartier

La présidente a confirmé, comme ce fut le cas à l’association voisine At’Hom (locataires de l’Effort rémois), que « les problèmes soulevés l’année dernière par des jeunes et en particulier les collégiens de Georges-Braque sont pratiquement résolus. La situation, même si elle n’est pas parfaite, s’est améliorée grâce à une action collective, mais il faut rester vigilants ».

Au chapitre des projets, la suite de l’aménagement du quartier est envisagée, avec « la réfection des allées intérieures (suite) et la suppression des bacs à sable, attendue depuis 2008 ». L’installation de détecteurs de présence sur tous les paliers de l’îlot E est toujours attendue : « M. Toublan s’était pourtant fermement engagé lors de l’assemblée de 2008 ! »

Enfin, l’association compte « poursuivre le contrôle des prestations ménage et espaces verts qui ne donnent pas franchement satisfaction ».

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Union110414d

Nouvelle opération tranquillité dans les quartiers

Une nouveauté dévoilée par Éric Quénard.
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Le premier adjoint Éric Quénard a profité d’une assemblée générale en présence de plusieurs représentants d’associations de défense des locataires (At’Hom, Polygones, ULCR, Boisseliers, comité Pays-de-France…) pour annoncer une innovation en matière de sécurité : en septembre prochain, les trois organismes logeurs - l’Effort rémois, le Foyer rémois et Reims Habitat -, mettront en place un Groupement d’intérêt économique (GIE) chargé d’une mission de sécurité, sur le modèle de la ville de Lyon où ils se sont rendus en découverte. « Une équipe « tranquillité publique » d’une dizaine de personnes, distincte de la police, mais agissant en liaison avec elle, interviendra directement et très rapidement, de 17 à 23 heures, sur les lieux des troubles qui lui seront signalés par les habitants. »

Important : ce nouveau service, qui se substituera progressivement à celui des actuels agents de proximité, ne sera pas facturé aux locataires sur leurs charges, mais sera financé directement par les organismes logeurs.

 

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Union110414c

Tennis / Durant et Heyd pour la majorité

Limitée à 5/6, la 18e édition du tournoi du TC Bétheny a connu des résultats conformes à la logique. Chez les messieurs, le dernier carré s’est résumé à une opposition Bétheny - URT ! Avec une totale réussite pour le club organisateur puisque Pierre Schwartz (15/1) et Guillaume Durant (15) ont dominé Adrien Inanc (15) et la tête de série n°1 Julien Evrard (5/6).

La finale fut de qualité et très disputée. Schwartz ne lâchait rien dans la manche initiale (7-6) mais Durant, toujours aussi puissant, faisait ensuite le jeu face à un adversaire touché physiquement mais volontaire (6-2 puis 7-6).

Du côté des dames, la finale, à 15, a, comme prévu, opposé la jeune (14 ans) Européenne Clémence Krug à la toute nouvelle + 35 ans du TC Géo-André, Catherine Heyd. Dans la première manche, l’expérience de l’ex 3/6 (en 2001) a fait la différence (6-0). La sociétaire du REC se reprenait ensuite pour mener 5-3 mais Catherine Heyd serrait le jeu (7-6)

MESSIEURS

- Quarts de finale : Schwartz (15/1, Bétheny) bat Japin (15/3, ASPTT Epernay) 6-2, 6-4 ; Inanc (15, URT) bat Guillemart (15, Cormontreuil) 6-3, 6-3 ; Durant (15, Bétheny) bat Deglave (15, Guignicourt) 7-5, 6-2 ; Evrard (5/6, URT) bat Fromentin (15/1, Reims Europe Club) 6-3, 7-5.
- Demies : Schwartz bat Inanc 6-3, 6-4 ; Durant bat Evrard 5-7, 6-2, 6-4.
- Finale : Durant bat Schwartz 6-7, 6-2, 7-6.

DAMES

- Quarts : Pauline Thiery (15/1, Saint-Memmie) bat Maéva Spooner (15, Géo-André) 6-2, 6-3 ; Clémence Krug (15, Reims Europe Club) bat Amélie Charpentier (15/2, Bétheny) 7-6, 6-2.
- Demies : Clémence Krug bat Pauline Thiery 7-6, 6-2 ; Catherine Heyd (15, Géo-André) bat Alice Grillon (15, Saint-Memmie) 6-2, 6-3.
- Finale : Catherine Heyd bat Clémence Krug 6-0, 7-6.

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Union110414b

Tennis (Picardie-2e série) / Gosse a « mûri »

Perrine Gosse possède les arguments pour inquiéter sa rivale amiénoise. Pas décidée à lâcher le morceau…
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PICARDIE. Dimanche à Beauvais, Perrine la Villeneuvoise de 18 ans (3/6) n’aura rien à perdre face à l’Amiénoise de 38 ans, Olivia Cappelletti (- 2/6), championne de France + 35 ans en 2009.

LA Perrine Gosse qui, « fatiguée par l’accumulation des matches », avait « zappé » le Master du Circuit féminin de Picardie l’automne dernier, s’est refait une santé.

Le changement d’air de Soissons à Villeneuve a contribué - déjà - à ce que la Milonaise reparte du bon pied : « L’ambiance était tendue à Soissons. A Villeneuve, l’équipe s’entend très bien et la présidente (Arlette Lestrat) s’investit beaucoup ».

Villeneuve est décidément le centre névralgique de ce « second souffle », puisque c’est lors du tournoi organisé par son club, qu’un « déclic » s’est produit pour Perrine Gosse. La 3/6 a « perfé » deux fois à 2/6, face à l’Amiénoise Cécile Bardoux et à la Rémoise de Géo-André, Jackie Lassaux : « Il y avait longtemps que ça ne m’était plus arrivé ».

« Rien à perdre »

Son intégration au Staps de Cuffies, à la dernière rentrée, n’est certainement pas pour rien non plus, cette fois sur le plan physique, dans les sensations retrouvées par la Villeneuvoise : « Je suis passée de 2 heures à 10 heures de sport par semaine. Ça me fait forcément progresser physiquement ». D’autant plus que le « menu » est varié : « En ce moment, je fais du judo, du badminton, un sport qui me permet de travailler la réactivité et les déplacements… ».

Un plus pour une athlète « qui manque encore de puissance » - « je ne fais pas de muscu » - et qui compense par un jeu « rapide et technique » : « Je prends la balle vraiment tôt ».

Perrine Gosse aura besoin de ces atouts dimanche à Beauvais lors de la finale régionale des 2e série, pour déjouer la logique face à Olivia Cappelletti.

La prof de l’Amiens AC a tout pour elle : le classement (elle est - 2/6 mais peut jouer - 4, - 15), l’expérience (38 ans contre 18 à sa rivale) et un CV impressionnant avec des titres de championne de France de double en 2001 avec Julie Coin, de championne de France + 35 ans en 2009 et de championne du monde par équipe + 35 ans.

Chapelet auquel vient de s’ajouter un sacre par équipe, toujours en + de 35 ans, avec l’AAC…

« Elle a un jeu très construit que je vais devoir la perturber avec ma vitesse. Je vais jouer sans pression : je n’ai rien à perdre », résume Perrine Gosse.

Sans compter que, à 14 h 30, la tenante du titre - 6-3, 7-6 face à la Clermontoise Audrey Jumel (- 2/6) - aura dans les jambes la finale des 35 ans disputée le matin (10 heures) face à une autre Villeneuvoise, Céline Bosc (5/6), dont on imagine qu’elle va tout faire pour travailler au corps l’Amiénoise.

L’an dernier, Perrine Gosse s’était déjà heurtée à Olivia Cappelletti, en demi-finale. C’était sur terre battue - à Beauvais, ce sera de la résine - et la Milonaise avait craqué dans le 2e set : 6-3, 6-0.

Tenir physiquement : tel sera l’enjeu pour la championne régionale des 17-18 ans 2010 : « L’an dernier, j’ai joué des négatives ; j’ai régulièrement perdu dans le 3e set… ».

Jean-Pierre PRAULT

ABSENTES. - Audrey Jumel, qui s’apprête à effectuer sa rentrée après un arrêt de six mois (tendinite au coude), et Laura Tanfin (- 4/6), engagée sur le circuit international (elle a remporté le Qatar ITF junior), n’ont pas disputé ces championnats régionaux des 2e série. Elles devraient bénéficier d’une wild card pour les France.

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Union110414a

Retour en prison pour l’évadé

Il y a six mois, le 4 octobre, un détenu de la maison d’arrêt de Reims avait bénéficié d’une permission de sortie pour se rendre à une formation. Il n’avait pas réintégré sa cellule le soir venu.

Considéré comme évadé, Grégory Courroux, 23 ans, a été retrouvé par une patrouille de police le 30 mars, lors d’un contrôle, allée Edgar-Degas.

D’une pierre, les agents ont fait deux coups car le jeune homme, entre-temps, avait fait l’objet d’une diffusion pour purger une peine de deux mois ferme devenue définitive.

Il a été écroué en vertu de cet extrait de jugement puis a fait l’objet d’une procédure pour l’évasion transmise mardi après-midi au tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution immédiate.

Le prévenu a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été maintenu en prison dans l’attente du procès renvoyé au 10 mai.

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Union110413b

Judo. 3 questions à… Jean Dressayre

Jean Dressayre : « Nous aurons huit surfaces de combats qui fonctionneront en même temps ».
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Vous êtes directeur technique à l’association sportive Croix-Rouge judo. Quel est le sens du Challenge rémois que vous vous apprêtez à organiser le samedi 16 avril au gymnase Richelieu ?

C’est avant tout une création récente, avec la nouvelle équipe dirigeante, et en association avec le club de Reims judo. Nous sommes à l’initiative de cet événement, mais on n’a pas les moyens en arbitres. La vocation est de regrouper les 6-15 ans pour leur permettre une mise en application de ce qu’ils apprennent en club. On désire les tirer vers le haut.

De façon concrète, comment tout cela va se dérouler ?

Une telle manifestation pour qu’elle ne traîne pas en longueur ne peut pas recevoir plus de 250 judokas. Et c’est la raison pour laquelle elle ne concerne que les clubs invités. D’autre part, le défi des organisateurs est de faire en sorte qu’un enfant, depuis son inscription à son dernier combat ne reste pas plus de trois heures. C’est pourquoi nous aurons huit surfaces de combats qui fonctionneront en même temps.

Où en êtes-vous au niveau organisation ?

Grâce aux installations municipales, nous disposons des tatamis sur place. Ce qui permet une facilité d’organisation de ce type de manifestation. Les deux premières manches ont reçu le succès espéré en regroupant 240 judokas chacune pour six associations invitées. Cela nous encourage à renouveler ce rendez-vous l’année prochaine.

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Union110413a

Haltérophilie : Le collège François-Legros à l’honneur

Ludwig Colombo aura été un des piliers de ce triomphe.
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Les collégiens de François Legros sont champions de France Unss d’haltérophilie. Une prouesse réalisée lors d’un déplacement à Toulon, où ils ont battu en finale le collège Berck. « Nous sommes très fiers de ce qu’ils ont accompli. En l’espace d’un mois, ils ont fait une progression de 60 points. Le dernier match était plein de suspense. On avait pas mal d’appréhension. Surtout que ce sont des jeunes qui ont peu d’expériences mais qui, cependant, possèdent d’excellentes qualités individuelles. La demi-finale a été cruciale : c’est là où ils se sont rendu compte que la rencontre était à notre portée », commente Romain Dijoux, entraîneur.

« Par ailleurs, Chems Eddine a obtenu la meilleure performance de la compétition, toutes catégories confondues. Il a fait 70 kg à l’arraché et 90 à l’épaulé-jeté », poursuit-il.

A noter que c’est le cinquième titre ramené par le collège François Legros, depuis le démarrage de leur partenariat avec le Reims haltérophilie musculation

 

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Union110412g

Tennis / Champagne pour Géo-André !

Les finalistes de la 10e édition ont eu bien des choses à fêter avec le staff organisateur.
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Sur les douze finales du programme guignicourtois dominical, trois ont été remportées par les Rémois de Géo-André et autant… de « perfs » ont été signées ! Honneur donc au Nordiste de Liévin Florent Delporte (15/5) et aux Rémois de Géo-André, Till Suty-Dodéro (15/4) et Mikolaï Woynar (15/2).

Que d’anniversaires…

A l’occasion de la remise des prix, le président Olivier Depaquit avait eu la judicieuse idée de convier David Lemoine, le « créateur » du tournoi il y a dix ans, ainsi que deux frère et soeur… locaux : Hélèna et Jérémy Frère, vainqueurs respectifs en 11/12 et 15/16 ans.

En plus des dix ans de son tournoi, l’Union Sportive de Guignicourt fêtait le même jour (!) ses trente ans sous l’impulsion du premier président Christian Laporte, et la directrice du tournoi Valérie Béziers… ses 50 ans jeudi dernier. Joyeux anniversaires !

GARÇONS

- 8 ans : Maxime Dubouch (NC, Reims Europe Club) bat Quentin Baillon (NC, Fourmies) 4-2, 4-1 ;
- 9/10 ans : Noa Lopès (30/1, REC) bat Quentin Foulon (30/2, La Macérienne) 5-2, 5-0 ;
- 11/12 ans : Florent Delporte (15/5, Liévin) bat Bastien Villenet (15/4, Taissy) 7-6, 6-4 ;
- 13/14 ans : Till Suty-Dodéro (15/4, GAR) bat Mathieu Saphores-Gauvin (15/3, Gauchy) 6-4, 6-2 ;
- 15/16 ans : Constant de la Bassetière (15/1, Cormontreuil) bat Mikolaï Woynar (15/2, GAR) 6-2, 6-2 ;
- 17/18 ans : Mikolaï Woynar bat Valentin Brunet (15/1, Viry-Noureuil) 6-0, 6-3.

FILLES

- 8 ans : Emy Pineau (NC, Laon) bat Léa Berriot (NC, US Guignicourt) 4-0, 4-1 ;
- 9/10 ans : Alexane Habert (30, Witry-lès-Reims) bat Elise Renard (30/2, USG) 5-4, 3-5, 5-1 ;
- 11/12 ans : Julie Rohr (30, Tremblay-en-France) bat Charlotte Rejaud (30/1, USG) 1-6, 6-2, 6-4 ;
- 13/14 ans : Lisa-Marie Habert (15/2, Géo-André Reims) bat Caroline Deglave (15/3, USG) 6-3, 6-1 ;
- 15/16 ans : Mathilde Caron (15, USG) bat Lisa-Marie Habert 6-1, 6-4 ;
- 17/18 ans : Mathilde Caron bat Anaïs Caron (15/4, USG) 6-0, 6-0.

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Union110412f

CLÔTURE DE LIQUIDATION

Société :YANIS.
Forme : S.A.R.L.
Capital : 400 euros. N° RCS : 524 508 967.
Siège social : 48, esplanade Eisenhower, 51100 Reims.

L’assemblée générale ordinaire des associés de la société YANIS réunie le 24 janvier 2011 a approuvé les comptes définitifs de la liquidation, donné quitus à M. HADJ-IDRIS Ahmed de son mandat de liquidateur et constaté la clôture de la liquidation.

Les comptes du liquidateur seront déposés au greffe du tribunal de commerce de Reims.

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Union110412e

Croix-Rouge : Le retour des bennes à encombrants

Éric Quénard : « Les bennes ne vont pas tarder à revenir ».
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Le premier adjoint, Éric Quénard, a été interpellé lors de l’assemblée générale de l’Acrap, par la section urbanisme : « Il n’y a plus de bennes à monstres dans le quartier ! ». En réalité, c’est une histoire de calendrier, comme on peut en juger ci-dessous.

La déchetterie située dans le quartier Croix-Rouge (impasse de la Chaufferie) est réservée aux particuliers. Elle est ouverte du lundi au samedi, de 9 à 19 heures, et les dimanches et jours fériés, de 9 à 12 heures (fermée le 1er mai).

En plus de cette déchetterie, les habitants de Croix-Rouge pourront se débarrasser de leurs objets encombrants dans les bennes installées dans les rues suivantes et d’après ce planning : lundi 18 avril, place Maurice-Utrillo.

Mardi 26 avril, rue Léon-Mathieu/avenue d’Epernay (en pointe), avenue François-Mauriac/rue François-Dor, rue de Salzbourg (en bout du rond-point), rue Alexandre-Dumas/rue Bernanos.

Mercredi 27 avril, rue de Bezannes/rue du Lieutenant-Colonel-Schock (parking face au cimetière), rue Gilberte et Jean-Droit (sur le parking face à la rue André-Schneiter), rue Lucien-Doyen/rue François-Legros (sur le parking).

Lundi 2 mai, rue Pierre-Taittinger (parking du centre commercial de l’hippodrome), rue de Rilly-la-Montagne (sur stationnement niveau gymnase), parking Joliot-Curie (face à l’allée des Savoyards), avenue du Général-Bonaparte (parking face Arago), parking circulaire Joliot-Curie (face à l’allée des Tourangeaux), rue Galilée (face au n° 4 terrain vague - angle Arago) et avenue Léon-Blum (sur le parking).

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union110412d

Carte scolaire 2011 / Trois classes sauvées

En fait, trois classes de primaire dont les fermetures avaient été annoncées sont finalement « sauvées ».
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MARNE. Le conseil départemental de l’Éducation nationale, réuni hier à Châlons, a permis de « sauver » trois classes de primaire et d’obtenir une ouverture. En élémentaire 25 classes du 1er degré seront donc supprimées.

PARMI la cinquantaine de manifestants, parents d’élèves et enseignants, réunis devant les locaux du conseil général à Châlons, hier en début d’après-midi, tous n’auront pas obtenu gain de cause…

Le CDEN (conseil départemental de l’éducation nationale, présidé par le Préfet et composée de membres de l’inspection académique, d’élus des collectivités locales, des personnels de l’Education nationale et de représentants des parents d’élèves) qui s’y déroulait a seulement apporté « des modifications à la marge » a regretté Olivier Kosc, secrétaire départemental du SNUIPP.

En fait, trois classes de primaire dont les fermetures avaient été annoncées sont finalement « sauvées ». Il s’agit de classes à Cumières et Reims (Prieur de la Marne et Général Carré).

Seulement 4 ouvertures acquises

De plus, l’ouverture d’une classe à l’école élémentaire Jacques-Prévert à Saint-Brice-Courcelles est confirmée. Voilà pour les bonnes nouvelles….

Au total, 25 classes seront supprimées dans le 1er degré (10 en maternelle et 15 en primaire). « A terme, on sera bien à 37 postes supprimés » a recalculé Olivier Kosc, à la sortie de ces quatre heures de réunion. « Les ouvertures conditionnelles que l’on aimerait se voir concrétisées dès maintenant, sans attendre la rentrée, demeurent hypothétiques », a déploré pour sa part Aline Geeraerts, du Syndicat d’enseignants Unsa.

« Plus rien pour 2012 »

De fait, seules trois ouvertures à Reims (Adriatique et Gilberte-Droit, en maternelle ; Ravel-Franchet, en primaire), sont actées, en plus de l’annonce à Saint-Brice-Courcelles. Pour voir d’autres ouvertures, « des ajustements demeurent possibles fin juin, début juillet, lors d’une prochaine instance paritaire. Après, il faudra attendre à l’issue de la rentrée selon les effectifs… » selon la représentante du SE-Unsa..

Ce CDEN a aussi évoqué la carte scolaire des collèges de la Marne. « La situation sera raide avec 28 élèves par classe en moyenne », a calculé Aline Geeraerts, après les 52 suppressions de postes de professeurs pour seulement 8 créations.

Rappelons que le CDEN n’a pas compétence à se prononcer sur la carte scolaire des lycées pour lesquels 52 suppressions et 11 créations (enseignement général) et 24 suppressions pour 11 créations (lycées professionnels) sont d’ores et déjà actées dans le département. Et Aline Geeraerts s’inquiète déjà. « Là, tout a été gratté pour cette quatrième année consécutive de suppressions massives. Il ne reste plus rien pour 2012 ! »

F.G.

……….


La liste de classes touchées

Maternelles

• 10 fermetures de classes

- Aÿ – La Noue
- Châlons - Jean-Macé
- Courcy – Ecole publique
- Cormontreuil – Enelle
- Fagnières – Les Tilleuls
- Nuisement – Ecole de la Vallée
- Reims - Jardelle
- Sainte-Ménehould - Robert-Lancelot
- Sézanne – Barbonne-Fayel
- Vitry - Mont-Berjon

• 2 à 4 ouvertures de classes

- Reims – Adriatique
- Reims – Gilberte-Droit
- Reims – Clairmaret (sous réserve d’effectif)
- Reims – Emile-Zola (conditionnée à des problèmes de locaux)

Primaires

• 15 fermetures de classes

- Bétheny – Petit Bétheny
- Bouzy - Camille-Claudel
- Bussy-Lettrée – Ecole publique
- Châlons – Pierre-Curie
- Dormans – Du Gault
- Epernay - Jean-Jacques-Rousseau
- Reims – Jules-Ferry
- Reims – Gerbault
- Reims – La Neuvillette
- Reims – des Provençaux
- Reims – Docteur Roux
- Vaudemange – Ecole publique
- Vitry – Jules-Ferry
- Vitry - Paul-Fort
- Vitry – Louis-Pasteur

• 2 à 4 ouvertures de classes

- Reims – Ravel-Franchet
- Saint-Brice Courcelles – Jacques Prévert
- Reims – Anquetil (ouverture conditionnelle)
- Suippes – Jules-Ferry (Classe d’inclusion scolaire, clis)

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Union110412c

Formation / Tout sur les plates-formes technologiques

La manifestation a eu lieu dans le cadre du salon Innovact.
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Le salon Innovact a accueilli les 1res assises nationales des plates-formes technologiques (PFT) au centre des congrès de Reims les 29 et 30 mars. Les plates-formes technologiques mettent les moyens et les compétences des établissements publics d’enseignement - lycées technologiques, professionnels, agricoles et les établissements d’enseignement supérieur - au service des PME/PMI. L’aide apportée aux PME/PMI peut aller du diagnostic à la prestation technologique, en passant par la mise en relation et la sensibilisation.

Quarante-huit PFT de toutes les régions de France étaient représentées à ces assises. Les témoignages sur les prestations réalisées par les PFT ont montré la richesse de ce dispositif. De la PFT Text’in de Lyon qui a étudié une nouvelle solution d’assemblage innovante de fibre de banane pour le textile à la PFT Ramseis qui a permis de sauver de la fermeture une petite entreprise de laine du Limousin en optimisant l’outil de production par une innovation technologique, en passant par la PFT ITT mécatronique de Versailles qui a développé un dispositif embarqué de mesure de cycle de sertissage pour EADF Développement.

Quatre structures de transfert de technologies de l’académie de Reims étaient présentes : la PFT Transformation du bois du lycée Charles-de-Gaulle à Chaumont, la PFT Matériaux du lycée Bazin à Charleville, la PFT Génie industriel, productique et maintenance du lycée Oehmichen à Châlons-en-Champagne et la PFT Bâtiment-Travaux publics (CRDA) du lycée Arago à Reims. Des trophées réalisés par les élèves de la section plasturgie du lycée Bazin de Charleville ont été remis pour récompenser les performances et les singularités de huit des plates-formes participantes.

Ces rencontres nationales étaient organisées par l’académie de Reims, le GIP Education et formation tout au long de la vie en particulier, en collaboration avec la Région Champagne-Ardenne, la délégation régionale à la recherche et à la technologie et le Gipal de Lyon.

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Union110412b

TENNIS / Châlons Les favoris au rendez-vous

Le tournoi de l’ASPTT Châlons a délivré, pour sa 25e édition, un palmarès conforme à la logique avec le sacre des favoris.

Ainsi, dans un tableau masculin limité à 2/6, Théophile Castelhano (2/6, Reims Europe Club) s’est fait une joie de s’imposer au stade Saché. Pourtant, après avoir remporté la première manche et perdu la deuxième, « l’Européen » était en grande difficulté, mené 5-0 dans la « belle » par Jordi Molet (2/6, TC Pontois). Seulement, soucieux de ne pas prendre une « bulle à domicile », il a réagi et enchaîné points et jeux. Au point d’en aligner… sept face à un adversaire diminué physiquement.

Ouvert jusqu’à 4/6, le tableau féminin a, comme prévu, débouché sur une finale entre Mathilde Jacquin (4/6, Saint-Memmie) et Claire Duter (4/6, Sedan). Proposant un tennis plus abouti, la Mengeotte a logiquement triomphé (7-5, 6-1).

DAMES

Quarts de finale. - Delphine Grillon (5/6, Saint-Memmie) bat Martine Carrieu (15/4, Saint-Memmie) 3-6, 3-1 abandon ; Emmanuelle Fradin (5/6, Saint-Dizier) bat Pauline Thiery (15/1, Saint-Memmie) 6-1, 6-2.
Demi-finales. - Claire Duter (4/6, Sedan) bat Delphine Grillon 6-2, 7-5 ; Mathilde Jacquin (4/6, Saint-Memmie) bat Emmanuelle Fradin 6-0, 6-0.
Finale. - Mathilde Jacquin bat Claire Duter 7-5, 6-1.

MESSIEURS

Quarts de finale. - Blossier (2/6, Vitry) bat Bourlet (4/6, Cormontreuil) 6-1, 6-4 ; Molet (2/6, TC Pontois) bat Arnaud Pignon (3/6, Geo-André) 6-4, 7-6 ; Bonnet (3/6, Reims Europe Club) bat Cabrillon (3/6, Saint-Dizier) 7-5, 6-2 ; Castelhano (2/6, Reims Europe Club) bat Solivellas (4/6,TC Reims) 6-2, 6-1.
Demi-finales. - Molet bat Blossier 6-2, 4-6, 7-5 ; Castelhano bat Bonnet 6-4, 7-5.
Finale. - Castelhano bat Malet 6-2, 1-6, 7-5.

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Union110412a

TENNIS /Mourmelon : Hiérarchie bousculée

Le tournoi du CAMD Mourmelon, ouvert jusqu’à 15/4, a connu une 7’ édition peu propice aux favoris.

Chez les messieurs, les huit 15/4 sont tous passés à la trappe. Le dernier en compétition étant Julien Delmas (ASCA Châlons), battu au stade ultime par Raphael Mension (15/5, Géo-André).

Peu fourni, le tableau féminin a suivi le même mode avec, en finale, le succès en trois sets d’Aurélie Jacquot (15/5, TC Ménéhildien) aux dépens de Claire Ludot (15/4, Géo-André).

DAMES

Demi-finales. - Aurélie Jacquot (15/5, TC Menehildien) bat Delphine Picot (30/2, Mourmelon) 6-1, 6-4 ; Claire Ludot (15/4, Géo-André) bat Claire Bossus (30/2,TC Ménéhildien) par wo.
Finales. -Aurélie Jacquot bat Claire Ludot 6-1, 3-6, 6-3.

MESSIEURS

Demi-finales. - Mension bat Richard 6-1, 3-6, 6-4 ; Delmas bat Marchai 6-2, 3-6, 6-1.
Finale. - Mension bat Delmas 6-4, 6-3.

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Union110411c

Locataires At’Hom / Beaucoup à (re)dire après un an d’activités

De nouveaux volontaires ont été facilement trouvés pour entrer au conseil d’administration.
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L’association de défense des locataires de l’Effort rémois du secteur At’Hom (immeubles Jacques-Simon et Yves-Gandon aux Hauts-de-Murigny) a tenu son assemblée générale dans son local associatif, 1 allée Yves-Gandon.

La présidente Danielle Bonfils et les membres du bureau ont accueilli une trentaine d’adhérents, les représentants de l’Union des locataires de Croix-Rouge (Ulcr), des locataires des Polygones et des locataires des Boisseliers. Présents également les élus Éric Quénard, premier adjoint et Michel Guillaudeau, conseiller municipal.

L’assistance a appris que « les graves problèmes provoqués par des jeunes et des collégiens de Georges-Braque » sont pratiquement réglés : « les choses semblent s’être calmées, mais nous devons rester vigilants ».

L’énumération des travaux effectués par l’Effort rémois sur le site se termine par un constat désolant : « Comme il n’y a jamais de contrôle a posteriori, les travaux sont souvent mal faits, par des ouvriers ne parlant pratiquement pas le français, et nous laissant leurs saletés à nettoyer ».

Des buissons vont être replantés et des élagages sérieux réalisés. D’ailleurs, « nos immeubles étant mis en vente, la résidentialisation de notre site doit être effectuée, mais nous n’avons aucune nouvelle, aucun calendrier à ce sujet. »

La chaleur bientôt moins chère

Le bureau regrette le manque de communication : « Tous les courriers que nous envoyons aux responsables de l’Effort rémois, restent sans réponse. Ainsi, en est-il pour la réclamation relative à des charges qui semblent abusivement facturées aux locataires, ainsi encore pour les 41 jours de chauffage facturés en trop par rapport au Foyer rémois et à Reims habitat, alimentés par la même chaufferie. C’est inadmissible ! »

À propos de chaufferie, les élus ont annoncé « la pose de la première pierre de la nouvelle chaufferie bois dans les prochaines semaines. Avec quatre sources d’énergie : fuel, gaz, charbon et maintenant bois, la TVA passera de 19,6 % à 5,5 %, la chaleur sera donc moins chère pour les locataires ! » En fin de réunion, le premier adjoint Éric Quénard annonçait une bonne nouvelle.

L’association At’Hom, qui a bénéficié cette saison d’une subvention de 102,65 euros de l’Effort rémois, va pouvoir respirer : « La ville de Reims a décidé de vous attribuer une subvention municipale de 700 euros, 350 pour votre fonctionnement et 350 pour aider à l’achat d’un ordinateur. »

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Union110411b

Comité départemental / Les effectifs de l’Ufolep en progression

Le bureau de l’Ufolep était présidé par Noël Naudin.
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C’est dans les locaux du siège social commun de la Ligue de l’enseignement, de l’Usep et de l’Ufolep, que le comité départemental Ufolep de la Marne a organisé son assemblée générale.

Dans une ambiance appréciable et participative, les acteurs ont proposé une assemblée dynamique durant laquelle de nombreux intervenants se sont succédé. Le président Noël Naudin, a fait un point de situation sur la fédération marnaise mais également concernant les enjeux d’avenir du secteur associatif et des pratiques sportives. « Il est par exemple important de souligner la croissance des effectifs de l’Ufolep de près de 10 % sur les trois dernières années ». Le président s’est félicité de cette évolution, « résultat d’une politique de développement volontariste de la fédération pour répondre aux besoins associatifs et d’un engagement fort de l’équipe des dirigeants bénévoles ».

Toutefois cet équilibre reste fragile et ne pourra se maintenir, selon les participants, qu’à la condition de poursuivre une action efficace autour d’enjeux d’avenir.

L’engagement bénévole

Le président a souhaité en souligner trois particulièrement : l’évolution des pratiques sportives et leur adaptation face aux évolutions sociétales ; la poursuite de l’affirmation à travers des projets de développement de l’identité de l’Ufolep axée autour de pratiques sportives éducatives.

Le dernier point soulevé par le président départemental concerne la nécessaire organisation à l’échelle régionale de l’Ufolep pour répondre aux défis d’avenir qui vont se présenter au secteur associatif sportif. La fédération Ufolep pilote à ce titre un projet régional regroupant les quatre départements et visant à promouvoir une pratique sportive éducative auprès des plus jeunes. Ce cadre général posé, différentes interventions ont jalonné la présentation du rapport des activités qui permit de constater la diversité des actions réalisées tout au long de l’année par l’Ufolep : organisation de compétitions sportives, activités de loisirs, stages sportifs, ateliers de découverte pour les plus jeunes, soutien au développement associatif avec la Ligue de l’enseignement. L’Ufolep engage également des moyens importants autour de la formation.

Enfin, une attention particulière a été portée à l’engagement bénévole qui soutient le développement de l’Ufolep.

2011 étant l’année européenne de l’engagement bénévole et volontaire, les responsables de l’Ufolep ont tenu à rappeler son importance dans l’organisation associative et son utilité sociale.

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Union110411a

Reims : les voitures brûlent

Deux voitures ont brûlé à Reims dans la nuit de vendredi à samedi, à la même heure mais dans deux quartiers différents.

Les pompiers ont reçu le premier appel à 0 h 24 pour une Renault Clio embrasée rue Newton (secteur Croix-Rouge). L’incendie s’est propagé à une autre Clio.

Une minute après, à 0 h 25, un feu de voiture était signalé avenue Georges-Hodin, au quartier des Châ-tillons. Sale temps pour les Renault car il s’agissait d’une Mégane. Les deux véhicules n’étaient pas volés. L’origine des sinistres, pour être indéterminée, n’en reste pas moins douteuse.

Jeudi soir, vers 22 h 30, une voiture a également brûlé sur la route reliant Trois-Puits à Rilly-la-Montagne. La cause n’a pas été indiquée. Une autre voiture est partie en fumée chemin de Saint-Léonard à Reims, vendredi à 1 heure du matin. Il pourrait s’agir d’un acte criminel. Toujours vendredi, mais à 16 h 30, les pompiers ont éteint un véhicule détruit par les flammes à la sortie de Reims,

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Union110410e

Espace Watteau : Marcheurs, préparez vos chaussures du dimanche

 

Renseignements et inscriptions pour les prochaines sorties sont pris à l’Espace Watteau.

Incorrigible marcheur, Vincent Girardin, président de l’Espace Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge, présente le programme de ses prochaines sorties pédestres : simplement le plaisir d’évoluer dans la nature sans esprit de compétition.

- Aujourd’hui, dimanche 10 avril : abbaye d’Igny (12 km), départ à 8 h 30, prévoir le pique-nique.
- 1er mai : Sermiers (10 km), départ à 8 h 30 pour la matinée.
- 22 mai : les maisons troglodytes (12 km), départ à 8 h 30, prévoir le pique-nique.
- 2, 3, 4 et 5 juin : week-end dans les Vosges. Contacter rapidement Vincent.
- 26 juin : Saint-Gobain, les quatre abbayes (12 km), départ à 7 h 30, prévoir le pique-nique.
- 3 juillet : pique-nique.

 

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Union110410d

Langue française - 8e jeu-concours régional 10 mots pour nous relier

Ils viennent des collèges (Cormontreuil, Reims, Sedan, Fère-Champenoise, Vitry-le-François).
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Des lauréats bien sages.
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Ils sont en CM1 et CM2 à Reims (Blanche Cavarrot, Ruisselet, Alfred-Gérad)
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« OFFICIELLE et jubilatoire » : François Philippoteaux, président de l’association rémoise de la Légion d’honneur, a qualifié ainsi cette remise des prix du « jeu-concours pour fêter la langue française en Champagne-Ardenne ».

Officielle… par les personnalités présentes à cette manifestation. Pour cette édition 2011, l’adjoint Jean-Claude Laval a accueilli sous les lustres de la salle des fêtes de l’hôtel de ville le général Gobilliard, président national de la société d’entraide de la Légion d’honneur, Michel Guillot, préfet de la Marne, le recteur Alexandre Steyer et Colette Padet, vice-présidente de l’URCA.

Jubilatoire… parce que ce jour-là, tous étaient joyeux : les lauréats, leurs parents, leurs professeurs, les correcteurs des textes reçus et les officiels qui ont pris plaisir à placer dans leurs interventions les 10 mots imposés pour cette semaine de la langue française. Cette année, ces mots avaient pour mission de nous relier : fil, accueillant, avec, cordée, harmonieusement, agapes, réseauter, chœur, complice, main…

Dix mots

Le recteur s’est lancé le premier dans l’exercice en insistant sur l’importance de la langue pour vivre harmonieusement avec l’autre, sans oublier de lui tendre la main… Au fil de son discours, il a souligné l’importance d’un petit mot accueillant, d’un sourire complice, rappelant que le langage est un des buts essentiels de l’école, une capacité à communiquer, à réseauter s’il le faut, citant en exemple les cordées de la réussite.

Il a jugé que ce concours est un vrai challenge, une occasion de manipuler une langue autrement que par des règles d’accord récitées en chœur… Il lui restait à inviter les lauréats à partager quelques agapes… (et de 10…)

Mais auparavant, les lauréats ont défilé sur l’estrade pour recevoir livres et diplômes.

Sur l’estrade

Ils étaient 14 pour les écoles élémentaires, 27 pour les collèges, 15 pour les lycées, 5 pour l’Université.

Quatre « super-lauréats » participeront à un déplacement des légionnaires à Colombey : il s’agit de
- Sandra Bouillard (CM Alfred-Gérard à Reims)
- Maël Maquin (6e, collège Mallarmé de Fère-Champenoise)
- Moudjed-Martinet Salomé (3e, collège Université de Reims)
- et Amaury Thiriet (en seconde au lycée Jean XXII).

Pour les adultes, 8 membres de l’Amopa, 3 de l’IUTL, 3 du Comité de défense de la langue française et 3 légionnaires ont été récompensés.

Tous les textes sont réunis en un florilège disponible au CRDP : le comédien Gérard Thévenin en a lu quelques extraits avant la remise d’une médaille au représentant de la Ville de Reims par Claude Signoret, président de la section Marne de l’entraide des membres de la Légion d’honneur.

 

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Union110410c

Tennis : Evrard face à la meute

Limité à 5/6, le 18e tournoi du TC Bétheny proposera des tableau denses et homogènes. Chez les messieurs, le talentueux Julien Evrard (URT), seul 5/6 engagé, sera l’homme à battre si, toutefois, son genou tient. Toutefois, la concurrence est forte avec quatre 15 désireux de renverser l’ordre établi : Laurent Guillemart (Cormontreuil), Adrien Inanc (URT), Thibault Deglave (Guignicourt) et surtout le local Guillaume Durant. Sans oublier l’autre Béthenyat Pierre Schwartz (15/1), capable d’exploit après son récent titre de champion de la Marne 3e série.

Chez les dames, le titre se jouera entre les jeunes Alice Grillon (Saint-Memmie), Clémence Krug (Reims Europe Club), Maéva Spooner (Géo-André) et la désormais + 35 ans Catherine Heyd (Géo-André), classée 3/6 en 2001. Alors prime à la jeunesse ou à l’expérience ?

AUJOURD’HUI. — 9 heures : demi-finales dames ; 10 h 30 : demi finales messieurs ;14 h 30 : finale dames ; 16 heures : finale messieurs.

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Union110410b

Tennis : DU MONDE A CHALONS

Pour sa 25e édition, le tournoi de l’ASPTT Châlons a connu une nette augmentation des inscriptions, en passant de 120 à 150. Dans un tableau masculin limité à 2/6, la bagarre s’annonce rude sur la résine du stade Saché. Les 2/6 Théophile Castelhano (Reims Europe Club), Jordi Molet (TC Pontois) et Alexandre Blossier (Vitry) feront figure de favoris mais ils devront se méfier des très solides 3/6 Arnaud Pignon (Géo-André), Romain Cabrillon (Saint-Dizier) et Pascal Bonnet (Reims Europe Club).

Ouvert jusqu’à 4/6, le tableau féminin devrait se jouer entre Mathilde Jacquin (Saint-Memmie) et Claire Duter (Sedan). A moins que les 5/6 Alice Grillon (Saint-Memmie) ou Emmanuelle Fradin (Saint-Dizier) ne bousculent la hiérarchie.

AUJOURD’HUI. — 9 h 30 : demi-finales messieurs ; 15 heures : finales dames et messieurs.

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Union110410a

Tennis : LA CHASSE AUX FAVORIS

Ouvert jusqu’à 15/4, la 7e édition du tournoi du TC Mourmelon a rassemblé 64 participants. Chez les messieurs, sur les huit 15/4 présents, seul Julien Delmas (ASCA Châlons) reste en course. Les 15/5 Nicolas Fortin (Cormontreuil), Raphael Mension (Géo-André) -et Tony Marchal (ASCA Châlons) ou même Christophe Zymek (30, Suippes) seront à surveiller de près.

En revanche, le tableau féminin est nettement plus lisible. Il est plus que probable que la finale oppose la tête de série n°1 Claire Ludot (15/4, Cormontreuil) à la n°2 Aurélie Jacquot (15/5, Sainte-Ménehould) puisque la concurrence pointe à 30/2 !

AUJOURD’HUI. — 9 heures : demi-finales messieurs ; 15 heures : finale dames ; 17 heures : finale messieurs.

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110409c - VRI avril 2011

Le quartier Croix-Rouge dans « VRI » N°277 d’avril 2011

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RENOUVELLEMENT URBAIN : Ça bouge à Croix-Rouge !

En 2011, le quartier Croix-Rouge poursuit sa métamorphose. Et notamment le secteur Pays-de-France, où une nouvelle place publique sera aménagée devant le centre commercial Arago. Sans oublier de nombreux travaux en cours comme la construction d’une nouvelle résidence de 49 logements avenue du Général Bonaparte.

L’inauguration en juin 2010 du programme Arago, composé de 33 appartements et de 6 locaux commerciaux (boucher, tabac-presse, boulangerie, magasin d’alimentation…), réalisés par le Foyer Rémois, avenue du Général Bonaparte, constituait la première étape majeure du projet de renouvellement urbain du quartier Pays de France mis en place dans le cadre de la convention ANRU (Agence Nationale pour le Renouvellement Urbain). En 2011, le programme Arago sera prolongé par une seconde tranche de travaux afin de créer une offre de commerces et services continue depuis la boucherie jusqu’à la Poste, avec, notamment, l’accueil du cabinet médical actuellement logé dans un des pignons de la passerelle Pays de France en cours de démolition. En outre, sous le pilotage de la Ville de Reims, une nouvelle place publique pavée et piétonne sera aménagée devant le centre commercial Arago : « Ce parvis, réalisé avec des matériaux identiques à ceux utilisés au centre-ville, permettra un accès pour les pompiers, le ramassage des bacs à ordures ménagères enterrés, et sera pourvu d’une aire de livraison et d’une place de stationnement pour les personnes handicapées.

Des arbres seront plantés et des bancs installés. Nous souhaitons nous engager dans des aménagements d’excellence dans nos quartiers. Les travaux débuteront en septembre 2011 », informe Eric Quénard, Premier adjoint à la Maire, en charge du logement, de l’urbanisme et de la politique de la Ville. La collectivité a souhaité associer la population à la réalisation de ce projet : « La concertation avec les commerçants, les riverains et des membres du conseil de quartier s’est opérée par le biais d’un atelier urbain de proximité où chacun a pu donner son avis et valider un schéma d’aménagement de cette nouvelle place Arago », insiste l’élu.

Nouveaux logements, nouveaux parkings

Le renouveau du quartier est global. Une nouvelle résidence, dite résidence Joséphine, constituée de 49 logements sociaux BBC (bâtiments basse consommation) allant du T2 au T5, est actuellement en cours de construction par le Foyer Rémois, avenue du Général Bonaparte. D’autre part, l’organisme logeur annonce en 2011 la création, rue Jolio-Curie, de 30 nouveaux logements et d’un parking aérien provisoire de 62 places ouvert depuis février. Rue Lavoisier, ce seront 20 logements qui seront construits prochainement ainsi qu’un parking provisoire aérien de 58 places. Cette offre de stationnement vient contrebalancer la démolition de parkings souterrains sur ce secteur, peu utilisés car insécurisés. « La revitalisation et l’attractivité du quartier passent aussi par de nouveaux équipements publics. La Ville a ainsi par exemple inauguré fin 2010 le gymnase Jean-Jacques Lapique, à côté du Lycée Arago. De plus, les travaux d’édification d’un nouvel équipement d’animation modulable de 1500 m2, accueillant la Maison de quartier, des activités de spectacle, de petite enfance, de pépinières d’initiative, devraient commencer fin 2012 », conclut Eric Quénard

S. C.


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Expo Tram & Strates

Le projet Tram & Strates s’inscrit dans le cadre des ateliers de la Culture, organisés par la Ville de Reims.

Ainsi, les Maisons de quartier Croix- Rouge, Jean- Jaurès, Orgeval, Trois-Piliers, sans oublier les collèges Brossolette et Colbert, ainsi que le Secours Catholique, ont participé à différents ateliers d’écriture, de photographie, d’arts plastiques sur le thème des travaux du tramway et des fouilles archéologiques. Les ateliers se sont déroulés de 2008 à 2010, encadrés par 5 artistes intervenants : Anne Mulpas, Laurence Bastin, Sylvie Hermant, François- Xavier Letournelle et Nicole Pérignon.

L’ensemble des oeuvres réalisées est à découvrir du 9 au 17 avril au Cryptoportique.


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BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE : Des artistes en résidence à votre rencontre !

Dans le cadre de son projet original “Carnets de Reims”, la bibliothèque municipale de Reims invite depuis novembre 2010 de nombreux artistes (carnettistes, romancier, dessinateur de BD, illustrateur pour la jeunesse) afin qu’ils proposent, au travers de leur approche artistique, un regard sur notre ville en mutation. Honneur en avril à la photographe Faustine Ferhmin qui rencontrera le public rémois le mercredi 27 avril de 14 h à 18 h à la médiathèque Croix-Rouge lors d’un atelier “Objectif murs”. L’artiste vous initiera, avec vos propres appareils photo, à l’observation et à la photographie de paysages urbains. Les murs, monotones et monochromes au premier regard, cachent une poésie et des nuances inattendues, que vous apprendrez à voir et à révéler par la photographie. Le comédien, auteur et metteur en scène de la compagnie Vers Volant, Laurent Searle, vous embarquera quant à lui pour deux randonnées d’écriture (samedi 30 avril au départ de la médiathèque Jean Falala et samedi 28 mai au départ de la bibliothèque Chemin-Vert). Il s’agira de marcher dans la ville, observer, découvrir, écrire, laisser les mots venir, les récolter au gré des surprises et des visites, les associer, les chahuter, bref prendre du plaisir ! Les différents travaux qui auront été réalisés seront exposés dans le réseau des médiathèques et bibliothèques de Reims à l’été 2011, faisant même l’objet d’une publication.

S. C.

Inscription atelier Faustine Ferhmin : 0326356851 et Laurent Searle : 0326356800.


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Rénovation urbaine

Dans le cadre du Programme de Rénovation Urbaine, la Ville de Reims a démarré les travaux d’une nouvelle voirie qui permettra de relier la rue Billard à la rue Pierre Taittinger.

L’emplacement des travaux occupera l’actuelle impasse (devant les entrées arrière n° 57 à 65). Pendant les travaux, les parkings situés aux abords des écoles primaires et maternelles Gilberte et Jean Droit sont en accès libre. Les accès piétons aux entrées arrière des 57 à 65 avenue Eisenhower sont maintenus. Réouverture du tronçon aux véhicules : fin avril.

Dans le cadre de Programme de Rénovation Urbaine, la Ville de Reims démarre les travaux d’une nouvelle voirie qui prolongera la rue François Legros jusqu’à l’avenue du Général Eisenhower. La circulation voiture/bus sera réglée par des feux. Les bus circuleront normalement. Un cheminement piéton provisoire, fléché, sera conservé entre l’avenue Eisenhower et la rue François Legros. Accès aux parkings souterrains G1 et G2 maintenu y compris les 32 et 36 avenue du Général Eisenhower. Des parkings situés de part et d’autre du groupe scolaire Gilberte et Jean Droit sont en accès libre pendant les travaux.


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Séance Conseil de quartier

La prochaine séance du Conseil de quartier se tiendra le 13 avril, à 19 h, salle Mauriac. A l’ordre du jour : emploi et dénomination des rues.


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“Quel Chantier” sort un CD

Le projet “Quel Chantier” porté par la Maison de quartier Croix-Rouge et dirigé par Mireille Lamiral-Dupouy a impliqué quelque 200 personnes de tous les âges.

12 groupes ont écrit les textes et les musiques de 12 chansons. Le 9 avril prochain, à 14h30, au C.R.E.P.S un concert sera donné pour lancer et célébrer la sortie du Disque “Ici l’Ombre ici l’Ombre”.

Pour toutes informations complémentaires, vous pouvez contacter l’Espace Billard au 0326080878.

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Un loto à l’espace Billard

Un loto est organisé le samedi 9 avril à partir de 17 heures, à l’espace Billard (12-14, rue Pierre-Taittinger) au bénéfice de l’atelier loisirs créatifs de l’espace Watteau.

« Nous avons prévu 4 parties dont une pour les enfants (à partir de 7-8 ans) et les 3 autres pour les adultes » précise Laurence Geoffroy, animatrice globale : « des boissons et des sandwichs seront vendus sur place. De nombreux lots sont prévus, avec en gros lot, un ordinateur portable. »

Le tarif du carton est de 2 euros et de 5 euros pour 3.

Renseignements au 03.26.36.03.50.

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Sortie du disque au Creps ce samedi « Ici L’Ombre Ici L’Ombre »

La sortie du disque : « Ici L’Ombre Ici L’Ombre » sera fêtée samedi 9 avril à 14 h 30, au Creps de Reims, route de Bezannes.

« Voilà une étape de création, parmi d’autres en cours, du projet « Croix-Rouge… Quel chantier ! ? » porté par la Maison de quartier Croix-Rouge et dirigé par Mireille Lamiral-Dupouy, dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale. Il a impliqué plus de 200 personnes d’horizons et d’âges différents. 12 groupes, 12 titres écrits, textes et musiques en moins de 3 heures, sur le terrain, puis enregistrés en studio ! »

Cette véritable performance sera contée lors de cette présentation-concert. « Nous comptons sur la présence d’un public nombreux, habitants du quartier Croix-Rouge et partenaires associatifs et institutionnels, pour donner de la voix et diffuser cette création tant attendue par les interprètes qui ont collaboré à ce disque et qui seront pour l’occasion, tous réunis ! » expliquent les organisateurs.

La distribution du CD se fera à l’issue du concert participatif lors d’un moment de convivialité.

Pour toute information, contacter l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, au 03.26.08.08.78.

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L’hebdo du vendredi- n° 208 - 110408a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 207 - Semaine du 08 au 14 avril 2011


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Rénovation urbaine : Croix-Rouge : Osez Joséphine !

En lieu et place du parc St Bruno, la résidence Joséphine sera le premier bâtiment BBC du quartier.
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Dans la continuité du programme de rénovation urbaine Anru, le quartier Croix-Rouge poursuit sa mue avec le récent lancement des travaux d’une Future résidence.

Le chantier a officiellement débuté mercredi, sur l’emplacement de l’actuel parc Saint Bruno. Baptisée Joséphine, la résidence doit son nom à sa proximité avec l’avenue du général Bonaparte, traversant le secteur Pays de France. Un clin d’œil historique vers le passé pour un bâtiment qui s’inscrira, lui, dans le futur du quartier…

Joséphine, attendue dans bien des domaines La résidence de cinq étages comprendra 49 logements, du T2 au T5. Attendue pour l’automne 2012, elle est le premier programme neuf labellisé BBC (Bâtiment Basse Consommation), construit dans le secteur. Chaque appartement sera pourvu d’une loggia, et les occupants disposeront également de places de stationnement attitrées, en sous-sol ou à l’extérieur. La façade de cet édifice sera construite en terre cuite, et doublée d’une isolation par l’extérieur sur près de 20 cm d’épaisseur. Cet ingénieux système permettra de créer une véritable barrière thermique, réduisant sensiblement la consommation d’énergie. Pour rappel, une bâtisse peut obtenir ce label BBC à condition que sa consommation conventionnelle en énergie dite primaire (pour le chauffage, la ventilation, le refroidissement, la production d’eau chaude, l’éclairage et les auxiliaires techniques) soit inférieure d’au moins 50% à la consommation réglementaire. « Que ce soit pour la rénovation, la réhabilitation ou la construction de bâtiments de ce type, la Ville et nous-même avons senti une vraie demande de changement de la part des habitants du quartier » souligne Christophe Villers, Président du Directoire du Foyer Rémois. Lui emboitant le pas, Eric Quénard, Premier adjoint à la Maire de Reims, rappelle « qu’en ce sens, plusieurs ateliers urbains d’échanges et d’information ont été mis en place ces derniers mois par le bailleur et la municipalité ».

Outre cette construction, Pays de France profite pleinement de l’Anru puisque d’ici 2013, de nombreuses réhabilitations d’immeubles sont prévues. De même, la création d’un nouvel équipement public est programmée. Sur 1500 m2, celui-ci accueillera les activités de la Maison de quartier Croix-Rouge, une pépinière d’initiative et une toute nouvelle salle de concert modulable.

Sans oublier l’aménagement d’une place publique devant le centre commercial Arago et la construction de 30 logements supplémentaires rue Joliot Curie. Le changement est bel et bien engagé !

Aymeric Henniaux


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Développement durable – Déchets : Pourquoi le tri ne sort pas de notre domicile ?

La Semaine du développement durable, c’est d’abord l’occasion de sensibiliser la population, comme ici samedi dernier sur la place du Forum.
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Si le tri des déchets est devenu une habitude à la maison, dans l’espace public tout semble permis.

Organisée à l’initiative du gouvernement, la Semaine du développement durable se déroule jusqu’au 7 avril. Ce rendez-vous invite les entreprises, les associations ou encore les services publics à promouvoir les principes du développement durable. Comme très souvent, le tri des déchets est à l’honneur, notamment à Reims avec la visite du centre de tri « Trivalfer » ou encore diverses opérations de sensibilisation. Pourtant, une fois sorti de son domicile, au travail mais surtout dans l’espace public, le tri des déchets n’est plus qu’un lointain souvenir. Dans la rue, dans les musées et dans les enceintes sportives, les poubelles se résument très souvent à un sac plastique où les détritus de toutes sortes se mélangent. Si bien qu’une fois ramassés, ces derniers ne sont évidemment pas triés. « Il n’y a pas d’in-térêt environnemental à trier ces déchets » explique Eric Quénard. Le premier adjoint à la mairie de Reims assure « que la part des matériaux recyclables y est trop faible ». Et à défaut d’être recyclés, ces déchets sont tout de même valorisés par incinération, produisant une énergie alimentant la chaufferie de Croix-Rouge. Ainsi, installer dans le domaine public des poubelles à double entrée entrainerait un surcoût économique et serait une aberration écologique.

Et à propos des bennes qui sont destinées à accueillir ce qu’on appelle communément les encombrants ? L’adjoint reconnaît le problème et indique « que tout est fait pour en diminuer le nombre ». Mises à disposition de la population un peu partout dans la ville, leur contenu n’est pas trié. Elles accueillent pourtant très souvent des matériaux recyclables mais aussi des produits très polluants comme de la peinture, des batteries de voiture et autres appareils électroniques : des déchets qui devraient logiquement atterrir dans une autre filière de traitement, en particulier dans les déchetteries. Et avec quatre sites facilement accessibles, l’agglomération rémoise est bien pourvue. Mais un nouveau problème se pose, les nombreux particuliers qui s’y rendent le font en voiture. Si bien que le plus souvent le coût environnemental est plus important que le gain résultant de l’apport de leurs déchets. C’est un peu le serpent qui se mord la queue. Finalement, si l’on ne peut pas traiter nos déchets de manière véritablement durable, l’idéal serait sans doute d’en produire moins. Reims Métropole s’est engagée dans ce sens. Avec l’aide de l’Ademe, l’agglomération espère ainsi diminuer de 7% la quantité de ses déchets d’ici à 2015.

Julien Debant


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Samedi 9 avril : « ICI L’OMBRE, ICI L’OMBRE »

Une création du projet « Quel chantier » porté par la maison de quartier Croix-Rouge qui a impliqué plus de 200 personnes d’horizons et d’âges divers.

Au final : 12 groupes et 12 titres écrits et mis en musique.

A 14h30 – Entrée libre – Rens. : 03 26 08 08 78
CREPS de Reims, route de Bezannes


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Du 27 au 30 avril : « REIMS HIP HOP FSTIVAL 2 »

Déviation spectacle de danse proposée par la Cie Massala.
Mercredi 27 à 18h – Place d’Erlon

Musique et performance graphique
Mercredi 27 à 20h – La Cartonnerie

Block Party
Vendredi 29 à 14h – Centre culturel St-Exupéry

Conférence sur « L’âge d’or du Hip-Hop aux USA » par le journaliste David Commeillas
Vendredi 29 à 20h – Médiathèque Croix-Rouge

« Street Circus contest » : Concours de shows chorégraphiques
Samedi 30 avril à 14h – Manège de Reims

Rens. : reimshiphop.canalblog.com


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JUSQU’AU 30 AVRIL : « L’ARMEMENT DES CHEVALIERS »

Réalisée par les Archives Municipales, cette expo présente l’évolution des armements des chevaliers du XIe au XVe siècle à travers des moulages et photos de sceaux.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar

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Union110407f

Raconte-moi la fac / Les ZEP débarquent sur les campus

Comme les années précédentes, on attend aujourd’hui sur les campus rémois près de 200 collégiens des zones d’éducation prioritaire.
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Aujourd’hui, les campus rémois voient débouler près de 200 collégiens issus de zones d’éducation prioritaire. Histoire de promouvoir l’égalité des chances.

AUJOURD’HUI, les campus rémois vont accueillir des hôtes inhabituels. Ce ne sont pas des étudiants, mais des collégiens. Et pas n’importe quels collégiens, mais des élèves issus des établissements réputés les plus difficiles, classés en Zep ou zones d’éducation prioritaire. C’est l’opération « Raconte-moi la fac », imaginée par la fédération associative Intercampus pour « promouvoir l’égalité des chances vis-à-vis de l’enseignement supérieur », comme le dit le vice-président chargé du dossier, Guillaume Collet. « Dire que quand on est en Zep on ne peut pas aller en fac est une idée totalement absurde », ajoute-t-il.

« Ça ouvre des horizons à nos élèves, confirme Benoît Milliéry, le principal adjoint du collège Paul-Fort de Reims, établissement habitué de l’opération, et qui revient encore une fois cette année, ça peut les inciter à revoir leurs ambitions à la hausse, eux qui se disent facilement que les études supérieures, ce n’est pas pour eux. »

Petit dèj au restau U

C’est donc pour tenter de démontrer le contraire à ces enfants, que cette journée de visite in situ est organisée une fois par an. On en est à la sixième édition, avec la bénédiction du conseil national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous) : il faut croire qu’il juge cette action pertinente « puisqu’il l’a récompensée (par un trophée symbolique) en 2008 » indique M.Collet. Comme les années précédentes, près de 200 collégiens sont attendus.

Cette journée débute tôt : les jeunes commencent par prendre le petit déjeuner sur place, dans les restaus U, comme les vrais étudiants. Le chocolat chaud et les tartines de beurre leur donneront-ils envie de revenir plus tard une fois le bac en poche ?

Parce que cela ne suffirait probablement pas, la visite qui suit est rendue aussi attractive que possible. Et là, les profs de l’Urca sont mis à contribution : les jeunes visiteurs ne vont pas jusqu’à débarquer dans les amphis pendant leurs cours ; néanmoins chimistes, physiciens, médecins, tous ceux qui le peuvent préparent, dans des salles disponibles, des démonstrations ou expériences un peu visuelles pour marquer ce public. Et généralement ça marche : « Quand ils découvrent l’univers de la fac, ils ouvrent de grands yeux », témoigne Guillaume Collet. Mieux que devant leurs jeux vidéo ?

Antoine PARDESSUS

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Union110407e

Carte scolaire 2011 : Appel à la grève lundi dans les écoles

Dès jeudi dernier, le syndicat des enseignants UNSA de la Marne appelait à la grève dans le 1er degré (maternelles et élémentaires) lundi prochain. Le SNUIPP (syndicat national unitaire des instituteurs et professeurs des écoles) a déposé, dans le département, le même préavis de grève pour cette journée du 11 avril. Avec un motif identique : contester la carte scolaire, entériné jeudi dernier en comité technique paritaire, qui va s’appliquer à la rentrée de septembre en « permettant aux collègues concernés par les fermetures ou non ouvertures de classes de se rassembler lundi, avec les parents d’élèves, devant les locaux du conseil général à Châlons », explique Olivier Kosc, secrétaire départemental du SNUIPP.

37 postes en moins

Alors que des mouvements locaux de protestations surgissent, avec parents d’élèves et parfois élus, lundi prochain à 14 h 30, le siège de l’assemblée délibérante de la Marne accueillera le CDEN, Conseil départemental de l’Education nationale. Cette instance, présidée par le préfet et composée de membres de l’inspection académique, d’élus des collectivités locales, des personnels de l’Education nationale et de représentants des parents d’élèves, doit se prononcer sur la carte scolaire.

Celle du 1er degré prévoit 28 suppressions de classes (10 en maternelle et 18 en primaire pour 4 à 7 créations) et 37 postes « rendus » au ministère, dont « 13 de postes spécialisés d’intervenants auprès des enfants en grande difficulté scolaire », selon Olivier Kosc. Quant à la carte scolaire du 2nd degré, 128 postes de professeurs doivent passer à la trappe alors que 30 seraient créés. Le CDEN doit, là, émettre un avis uniquement sur la situation des collèges, les lycées étant de compétence régionale.

F.G.

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Union110407d

Tramway : pour renseigner les habitants

Le nouveau réseau de transports collectifs sera mis en service le 18 avril. Les titres de transport évoluent, les tracés des lignes de bus sont modifiés.

Les « ambassadeurs du tram de Reims Métropole » se tiennent à la disposition des usagers pour toute information sur le nouveau réseau au Point info quartier Croix-Rouge, 65, esplanade Eisenhower, du lundi au vendredi, de 14 à 16 heures.

Ces personnels sont également à la disposition du public par téléphone de 7 à 19 heures du lundi au samedi inclus au 0 800 10 87 26 (appel gratuit depuis un fixe).

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Union110407c

Croix-Rouge : l’emploi au conseil de quartier

La prochaine réunion du conseil de quartier Croix-Rouge/Hauts de Murigny se déroulera mercredi 13 avril à 19 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François-Mauriac.

Alain Bisteur, conseiller municipal co-animateur avec Alain Boudroit, communique l’ordre du jour en quatre points : l’emploi, les actions de soutien à l’emploi, la dénomination de nouvelles rues dans le quartier, les questions diverses et l’expression publique.

Le public peut déposer ses demandes dans une boîte aux lettres « Conseil de quartier » à l’espace Billard, à l’espace Watteau, à l’annexe de la mairie ou au Bistroquet.

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Union110407b

Direction la prison

Lors.d’un contrôle allée Edgar-Degas, les policiers ont mis la main sur un Rémois recherché par la justice. Grégory Courroux, 23 ans, avait deux mois d’emprisonnement à purger.

Dans le même quartier, un autre condamné, Saïd Zaoui, 44 ans, a été retrouvé rue Pierre-Taittinger. Il avait pris un an ferme pour un vol.

Après notification du jugement, les deux prévenus ont été conduits à la maison d’arrêt.

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Union110407a

Feu de voiture

Hier vers I h 30 du matin, une BMW immatriculée en 75 a pris feu rue Joliot-Curie. L’origine du sinistre est indéterminée.

La veille vers 20 heures, une benne remplie de détritus s’est embrasée dans la cour d’une école désaffectée, rue Farman à Bétheny.

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Union110406c

Reims : feux de voitures

Rue Pierre-Taittinger à Reims, les incendiaires n’aiment pas les BMW Dimanche vers 23 h 30, une série 5 y a été mise à feu avec une bouteille remplie d’un liquide inflammable.

Lundi à 19 heures, les pompiers sont retournés rue Pierre-Taittinger, après un début d’incendie sur le siège passager droit d’une BMW.

Toujours lundi, vers 7 h 30, une voiture a pris feu près de Fismes, à Saint-Gilles, le long de la route menant à Mont-sur-Courville. L’origine du sinistre n’a pas été indiquée.

Quant aux poubelles rémoises, la nuit de lundi à mardi a été fatale pour quatre d’entre elles : une première a brûlé à 22 heures rue Jean-de-Foigny, une deuxième à 0 h 30 avenue Ponce-de-Léon, les deux dernières à 2 h 15 rues de Saint Thierry et Pierre-Brossolette, à peu de distance l’une de l’autre.

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Union110406b

TENNIS I Championnats de la Marne : Lancelot « transperce

Les championnats départementaux ont rendu leur verdict ce week-end.

La « surprise » est venue des 4e série dames où les non classées Leslie Lancelot (une ex 15/5 quand même) et surtout Karine Jaumot ont « transpercé » le tableau.

Rendez-vous est donné pour lés finales régionales (pour le champion et son dauphin) les 11 et 12 juin, probablement sur les courts du nouveau Centre de la Ligue (Thiolettes) à Reims.

Pour les jeunes, les finales auront lieu le 1er juin au Centre de l’Aube à Troyes (8 ans) et les 2,3,4 et 5 juin à Reims (pour les 9à 18 ans).

SENIORS

HOMMES.

- 3e série : Pierre Schwartz (15/1, Bétheny) bat Pierre Noyon (15/1, La Vaure) 7/5, 6/1.
- 4e série : Florian Mary (30/1, Bezannes) bat Samuel Cochard (30/1, Bétheny) 7/5, 6/2.

DAMES.

- 3e série : Ketty Koniushok (15/1, Saint-Memmie) bat Alexandra Rondelet (15/1 ; Géo-André) 6/4, 6/0.
- 4e série : Leslie Lancelot (NC,TC Reims) bat Karine Jaumot (NC, Cormontreuil) 6/0, 6/3.

JEUNES

GARÇONS.

- 9 ans : Noé Desanlis (30/4, Nautique Epemay) bat Matis Amier (30/5, Nautique Epernay) 3/5, 5/3, 5/3.
- 10 ans : Louis Peurichard (30/1, Taissy) bat Clément Zarev (30/1, Reims Europe) 5/1, 4/5, 5/4.
- 11 ans : Gauthier Henry (15/4, Géo-André) bat Bastien Villenet (15/4,Taissy) 6/3, 6/0.
- 12 ans : Thomas Gauthier (30, Reims Europe) bat Nathan Bernard 6/3, 7/5.
- 13-14 ans : Louis Compas (15/4, Géo-André) batTilI Suty-Dodero (15/4, Géo-André) 6/4, 6/2.
- 15-16 ans : Benjamin Léveque (15/1, Saint-Memmie) bat Corentin Fazilleau (15/1, La Vaure) 6/2, 6/4. 17-18 ans : Paul Benhayoun (15/3, Géo-André) bat Etienne Agrapart (15/1, La Vaure) 1/6, 6/2, 6/4.

FILLES.

- 9 ans : Marie-Amélie Comarlot (Saint-Memmie) bat Sibylle Pierlot (Muizon) 5/1, 5/0.
- 10 ans : Alexane Habert (30, Witry-les-Reims) bat IloéWallart (30/1, Géo-André) 5/3, 5/0.
- 11 ans : Elvire Prault (30, Géo-André) bat Sara Salles 130/1, Vitry) 4/6, 6/3, 6/1.
- 12 ans : Lisa-Marie Habert (15/2, Géo-André) bat Amélie Lamothe (30/1 Géo-André) 6/0, 6/0.
- 13-14 ans : samedi.
- 15-16 ans : Manon Jacquin (15, Saint-Memmie) bat Délphine Grillon (5/6, Saint-Memmie) 6/1, 6/7, 6/3. 17-18 ans : Alice Grillon (15, Saint-Memmie) bat Camille Neff (15/2, Géo-André) 6/0, 7/5.

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Union110406a

Petits Virtuoses : Logique…

Après le Top 9 de Troyes, les Petites Raquettes de Cormontreuil (9 ns), les Petites Bulles (8 ans) de l’Europe Reims et avant les Petits Marcassins (10 ans) du 20 au 23 avril à Charleville, les meilleurs 11 filles) et 12 ans (garçons) de l’Interrégions se sont testés aux Petits virtuoses de Chaumont.

La Marne avait pour représentante sa championne départementale Elvire Prault (30) qui s’est classée 11e après s’être inclinée en trois sets (3-6, 6-2, 3-6) lors d’un premier match toujours déterminant face à la Bourguignonne Andréa Mbarga (15/5).

Ce long week-end s’est terminé par un duel fratricide pour les 11e et 12e places entre la Rémoise de Géo-André et la Haut-Marnaise Anaïs Lamarre (30) : 6-0, 6-1.

La logique des classements a été respectée jusqu’au bout avec e succès final (7-6, 6-3) de la 15/2 alsacienne, Sophie Muntean, devant la Néo-Calédonienne, Lindsey Moto-Nekiriai (15/4).

L’édition 2012 aura lieu les 6, 7 et 8 avril.

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Union110405f

Crêpes de la solidarité : Une fête aux couleurs de l’arc-en-ciel

Les enfants ont constitué un « arc-en-ciel de copains » avec leurs foulards
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C’était le sujet d’inquiétude pour tout le monde, mercredi dernier, entre les espaces Billard et la Nacelle : le soleil a accepté d’être de la fête ! Heureusement, car plus de cent enfants des centres de loisirs Watteau, Étoile Croix-du-Sud, Promotion Pays-de-France, la Marelle, Billard et de l’Institut l’Éveil attendaient avec impatience le début de la 18e fête des Crêpes de la solidarité organisée par l’association Multi-Échanges services.

Des crêpes par milliers

Dès le matin, les bénévoles étaient sur le pont et commençaient la préparation des crêpes qui, par milliers, seraient distribuées gratuitement l’après-midi aux enfants, aux parents et à des habitants malades ou seuls chez eux.

Martine Massart, présidente de MutES, avec une solide équipe de bénévoles, souhaitait « favoriser la rencontre et la solidarité entre les habitants du quartier Croix-Rouge, selon le principe « Je reçois une crêpe, j’offre une crêpe ». »

Le midi, toute l’équipe a dégusté le fameux couscous qui fait la réputation de l’association des Travailleurs maghrébins de France : un beau geste de l’équipe de Mohammed El Haddaoui !

Un peu à l’écart de la foule, Charles Santini, père fondateur de l’association et inventeur de la fête des Crêpes, est très ému. Il n’en revient toujours pas : « Mon plus grand sujet de satisfaction c’est de constater que, d’année en année, cette tradition se perpétue avec de plus en plus de succès ! »

La Maison de quartier Croix-Rouge avec Élisabeth Causin, Yves Pringault, Laurence Geoffroy et Elham Kouch, le collectif Croix-Rouge accueil, le Centre d’hébergement et de réinsertion sociale « Les Primevères », le conseil de quartier avec Alain Boudroit, le CHRS Les Primevères, les associations MJC et RIRe avaient également répondu présents : il y avait autant d’adultes que d’enfants.

Les mains de l’amitié


Un karaoké endiablé avec le groupe Élégance
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La fête a commencé par un conte interactif sur les couleurs de la planète et les enfants, avec des foulards de toutes les couleurs, étaient invités par Geneviève Pezzotta à constituer un « arc-en-ciel de copains ». Noyés dans cette foule, le premier adjoint Éric Quénard, les conseillers municipaux Michel Guillaudeau et Saïda Soumaya, le père Nicaise Rousseaux pour la paroisse Saint-Bruno, Marie-Christine Chatel pour Reims habitat, un foulard autour du cou comme les enfants, n’avaient plus rien « d’officiels ». Puis des stands de bricolage étaient proposés sous abri aux enfants, et chacun écrivait sur une main en papier un message de partage et d’amitié. Toutes ces mains ont fini collées sur l’arbre de la Solidarité.

Côté ambiance, le groupe « Élégance » a fait participer les enfants à un karaoké endiablé, avant d’offrir son propre répertoire, jusqu’à l’arrivée du groupe « Africaa » qui a donné une belle démonstration de ses talents de percussionnistes et de chanteurs.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

 

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Union110405e

TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS : LIQUIDATION JUDICIAIRE

Par jugement en date du 29/03/2011, le tribunal de commerce de REIMS a ouvert la procédure de liquidation judiciaire à l’égard de : SARL OZ’AFFAIRES, Av. du Général Bonaparte, Centre cial Pays de France -51100 REIMS. N© Registre du Commerce : (B 483 333 415). Activité : Achat et vente de produits d’entretiens, cosmétiques, bazars, etc …

Mandataire liquidateur : SCP DARGENT TIRMANT RAULET, (Maître Isabelle TIRMANT), 34 rue des Moulins - 51100 REIMS.

Les créanciers sont avisés d’avoir à adresser d’urgence leurs titres de créance au mandataire judiciaire sus-désigné dans deux mois suivant la parution au BODACC.

94472 Le greffier : Bernadette DELPY.

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Union110405d

INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant - propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journalofficiel.gouv.fr/… ).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché Maître d’ouvrage REIMS HABITAT CHAMPAGNE ARDENNE, 71, avenue d’Epernay, B.P 2720, 51055 Reims cedex.
2) Procédure de passation procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.
REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.
3) Objet du marché : réalisation d’un garage collectif de 78 places G80 « Les pergolas » et restructuration d’un garage collectif G3 « végétalis », rue du Général-Eisenhower et avenue Pierre-Taittinger, quartier Croix-Rouge universitaire à Reims.
4) Marché non alloti.
5) Le marché contient une clause d’insertion sociale par le travail.
6) Options obligatoires à chiffrer :
Options spécifiques pour les pergolas :
- Option n° 1 pour les pergolas partie 1 GO : voile de béton sur élévation impactée par ventilations voisines,
- Option n° 2 pour les pergolas : partie 3 - électricité vidéo surveillance.
Options spécifiques pour végétalis :
- Option n° 1 pour végétalis : partie 1 GO : non réalisation partielle des travaux de déconstruction du parking G3 « végétalis »
- Option n° 2 pour végétalis : partie 5 - peinture 4-1 peinture vinylique Partie 5 - peinture4-2 Peinture vinylique sous dalle
- Option n° 3 pour végétalis partie 6 - étanchéité : remplacement complet du complexe d’étanchéité
- Option n° 4 pour végétalis : partie 3 - électricité vidéo surveillance.
7) Délai d’exécution : le délai d’exécution des travaux est de 10 mois, la période de préparation de 1 mois étant comprise dans ce délai ainsi que les congés payés.
8) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél : 03.26.48.62.30, fax : 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat.fr
9) Date limite de réception des offres : le 2 mai 2011 à 17 heures.
10) Date d’envoi à la publication : le 30 mars 2011.

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Union110405c

ACRAP

L’assemblée générale de l’Acrap (Association Croix-Rouge animation et promotion) aura lieu le vendredi 8 avril à partir de 20 heures, 11, avenue du Président-Kennedy.

Tél. 03.26.06.39.54.

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Union110405b

DANSE SUR GLACE / France Le Rap bronzé deux fois

Solène Manceaux et Juliette Wary ont porté haut les couleurs rémoises aux championnats de France, à Brive.
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Solène Manceaux et Juliette Wary ont porté haut les couleurs rémoises aux championnats de France, à Brive.
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2011 restera marqué comme un bon cru pour le Rap (Reims Acrap patinage). Les élèves de Ludivine Lemaire ont ramené de Brive et des championnats de France (*) deux médailles de bronze. Une de plus que l’an dernier.

En Corrèze, ce sont Solène Manceaux (Espoirs 2e année) et Juliette Wary (Minimes 2e année) qui ont eu les honneurs du podium. « Elles ont donné leur maximum, se réjouit leur professeur. Aussi bien en imposées (valse starlight et paso doble pour la première, Pas de 14 et valse européenne pour la seconde) que lors du libre. Elles n’étaient pas loin de la deuxième place. »

Ces deux médailles récompensent les deux jeunes danseuses mais aussi tout un club. « Nous avions cinq éléments dans quatre catégories différentes », souligne le président Jean-Luc Ployé. Pour Camille Renault (8e en Novices 2e année), Jeanne Reppel (7e en minimes 1re année) et Renan Manceaux, qui découvrait les France (8e en minimes 2e année), il s’agit de suivre le bon exemple de leurs deux partenaires d’entraînement médaillées : le travail paie toujours.

Y.D.

(*) Seuls les dix premiers de la saison sont qualifiés pour les championnats de France.

CHALONS AUSSI. - Le club de Châlons a également enrichi son palmarès national ce week-end à Brive. Lena Bailly (Benjamines 1re année) s’est parée du bronze. Chloé Aubriet a terminé 9e en Benjamines 2e année.

 

 

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Union110405a

Tennis / Vitry-le-François / Les favoris au rendez-vous

Forte d’une augmentation de 10 % des inscriptions (110 engagés), la 26e édition de l’Open de Vitry a, comme prévu, été favorable aux favoris.

Ainsi, chez les messieurs, les deux -30 Gary Lugassy (Le Blanc-Mesnil) et Maxime Bonami (Sarcelles) se sont logiquement retrouvés au dernier stade de la compétition. Seulement, en finale, le Sarcellois s’est montré quelque peu fatigué.

Lugassy était plus frais

« Il a fait un match de plus que Lugassy au TC Reims et ça s’en est ressenti. En tout cas, ils ont joué le jeu et ça n’a pas été un match arrangé », expliquait le juge-arbitre Arnaud Lalouette.

Résultat, Lugassy, en commettant moins de fautes, empochait le set initial (7-5). Le scénario était identique dans la deuxième manche, d’autant que Bonami était au bord des crampes. Toutefois, la décision allait se faire au jeu décisif où Lugassy gérait sereinement la situation en s’imposant 7-4.

Du côté des dames, la tête de série n°1, l’Allemande de Mont Saint-Martin Anastasia Wagner (- 4/6) a tenu son rang. Opposée en finale à la petite prodige du TC Géo-André, Claire Makhloufi (1/6), qui avait créé la sensation en sortant au tour précédant la - 2/6 de Saint-Dizier Mélanie Maietti, la Lorraine, ex - 30 (en 2009), a montré plus de puissance et d’expérience pour s’imposer 6-2, 6-3.

DAMES + 35 ANS. - Reportée pour cause d’indisponibilité, la finale Delphine Jacoillot (15/3, Vitry) et Myriam Chouleur (15/5, Bar-sur-Aube) aura lieu au cours de cette semaine.

MESSIEURS.

Quarts de finale : Lalouette (0, Vitry) bat Cabrillon (3/6, Saint-Dizier) 6-1, 6-1 ; Andruejol (0, Saint-Dizier) bat Gajanovic (1/6, Reims Europe Club) 6-3, 6-4.
Demi-finales : Lugassy (-30, Le Blanc-Mesnil) bat Lalouette 6-2, 7-6 ; Bonami (-30, Sarcelles) bat Andruejol 6-2, 6-2.
Finale : Lugassy bat Bonami 7-5, 7-6 (7/4).
+ 35 ans : Mulat (15/1, Vitry) bat Iazzolino (15/1, Poix Terron) 7-5, 6-0.

DAMES.

Quarts de finale : Claire Makhloufi (1/6, Géo-André) bat Manon Wouters (3/6, Mont Saint-Martin) 6-0, 6-1 ; Amélie Thevenot (1/6, Chaumont) bat Claire Diter (4/6, Sedan) 6-2, 6-1.
Demi-finales : Claire Makhloufi bat Mélanie Maietti (-2/6, Saint-Dizier) 6-2, 7-5 ; Anastasia Wagner (-4/6, Mont Saint-Martin) bat Amélie Thevenot 6-3, 6-1.
Finale : Wagner bat Makhloufi 6-2, 6-3.

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Union110404e
Georges-Braque va ranimer la flamme

Le samedi 9 avril à 18 h 30 à l’Arc de Triomphe de Paris, une cérémonie de prise d’armes réunira des élèves du collège Georges-Braque et l’association des Amis du Fort de la Pompelle, accompagnés de l’adjoint au maire Jean-Claude Laval.

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Union110404d

Groupement pour l’épanouissement des adultes et jeunes handicapés : Deux nouveaux services

MM. Pinot, Raymond et Fournials (de g. à d.)
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Au-delà de son affiliation à l’association nationale de l’APAJH (Association pour adultes et jeunes handicapés), le GPEAJH (Groupement pour l’épanouissement des adultes et jeunes handicapés) de la Marne, créé en 1969, œuvre pour accompagner les personnes en situation de handicap mental de la naissance à l’âge adulte, sans rupture, au travers de ses différentes structures. Comme le rappelait son président, Gérard Raymond, « La personne en situation de handicap n’est pas un malade, mais un citoyen qui, comme tout un chacun, a le droit de mettre en œuvre un projet de vie, de conquérir une autonomie accrue, d’avoir une vie sociale ».

Accompagnement

Au cours du mois de mars, a eu lieu à la salle Thierry-Meng de Bétheny, l’inauguration officielle de deux nouveaux services ambulatoires : le SESSAD (Service d’éducation spéciale de soins à domicile) et le SAVS (Service d’accompagnement à la vie sociale), qui ont été ouverts en janvier 2010.

Le SESSAD, situé 24 A, rue Philippe, à Reims, prend en charge une à trois fois par semaine, vingt enfants et adolescents de 0 à 20 ans, orientés par la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées), et les accompagne dans leur environnement (domicile, crèche, école, loisirs…) après avoir élaboré un projet individuel sur des besoins repérés. La famille est toujours partie prenante dans le projet, car, comme l’explique le directeur général, Jean Fournials, « nous voulons conforter les parents dans leur positionnement, et les faire participer ; pour beaucoup, cela est aussi une ouverture ».

L’équipe comprend des éducateurs spécialisés et un psychologue, mais il manque, car la demande de création de poste n’a toujours pas été accordée, un enseignant spécialisé, seul compétent pour accompagner le soutien scolaire. La mission du SESSAD est d’accompagner la scolarisation, d’aider à l’acquisition d’une autonomie suffisante, et à l’insertion sociale et professionnelle.

Le SAVS, quant à lui, situé 66 A, rue Clovis, s’adresse à vingt-cinq adultes de 20 ans et plus, célibataires ou en couple, ayant un projet de vie autonome en milieu ordinaire, mais qui ont pour cela besoin d’être accompagnées. Le SAVS favorise une vie citoyenne, et l’objectif est de rompre l’isolement des adultes accompagnés. « Nous voulons tirer le maximum de la potentialité de chacun, et s’interroger pour apporter le maximum d’accompagnement positif aux personnes handicapées », tel est le souhait de M. Fournials.

Renseignements : GPEAJH 19-23, rue Alphonse-Daudet (Reims). Tél. 03.26.07.45.35 ou gpeajh.secretariat51@orange.fr

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Union110404c

L’Acrap en assemblée générale

Forte de près de 1 000 adhérents et bénévoles, l’association Croix-Rouge Animation et promotion (Acrap), maintenant dans sa quarantième année, réunira son assemblée générale le vendredi 8 avril à 20 heures dans la salle polyvalente Jean-Jacques Lapique, au 11, avenue du Président-Kennedy (pendant les travaux, accéder par l’avenue François-Mauriac).

Le président Jean-Pierre Genesseau invitera les seize sections sportives, les cinq sections culturelles et toutes les commissions à rendre compte de leurs activités et à évoquer les soucis rencontrés et leurs souhaits pour la saison 2011-2012.

Renseignements au 03.26.06.39.54. ou sur le site Internet http://www.acrap.fr

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Union110404b

Dans les antennes municipales Inscriptions scolaires jusqu’au 11 juin

Pour l’année scolaire 2011-2012, les inscriptions se dérouleront dans les antennes municipales jusqu’au samedi 11 juin

Antenne Municipale Châtillons - 11, avenue Christophe-Colomb - 03.26.35.60.70 Ouverte le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à 12 heures.

Antenne Municipale Croix-Rouge - 1, rue Joliot-Curie - 03.26.35.60.20. Ouverte le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à midi.

Antenne Municipale Europe - 1 ter, place Jean-Moulin - 03.26.35.60.00. Ouverte le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à midi.

Antenne Municipale La Neuvillette - Avenue Nationale - 03.26.35.60.05. Ouverte le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à midi.

Antenne Municipale Murigny - 2 A, place René-Clair - 03.26.35.60.60. Ouverte le lundi de 14 heures à 17 h 30 ; du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30 ; le samedi de 8 h 30 à midi.

Antenne Municipale Orgeval - 7, place Pierre-de-Fermat - 03.26.35.60.10. Ouverte du lundi au vendredi, de 8 h 30 à midi. et de 14 heures à 17 h 30.

Antenne Mobile - 06.16.39.21.02.

Au Service Education (4, rue Jovin), du lundi 18 avril au vendredi 10 juin du lundi au vendredi, de 8 h 30 à midi et de 13 h 30 à 17 h 30 (17 heures, le vendredi)

Se munir de documents

Documents à présenter : carnet de santé de l’enfant (pour le contrôle des vaccins), livret de famille, justificatif récent de domicile (quittance de loyer ou d’EDF). En cas de séparation : photocopie de la pièce d’identité de l’autre parent et son autorisation écrite pour l’inscription. Certificat de radiation (si l’enfant est déjà scolarisé).

Passage en cours préparatoire - Il se fera en mai par l’intermédiaire de l’école maternelle dans laquelle est scolarisé l’enfant.

Pour tout autre renseignement, contacter le 03.26.77.76.34 (ou 25).

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Union110404a

Tennis (TC Reims) / Un air de Monte-Carlo…

Week-end champagne et payant pour Jean-René Lisnard et l’enfant du pays, Guillaume Couillard.
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REIMS (Marne). Impressionnant sur le court de la rue Lagrive Jean-René Lisnard a tout pour confirmer sur son Rocher.

AVEC ses deux numérotés en finale, l’Open du TC Reims a eu comme des airs d’acompte samedi après-midi. Acompte sur des projets de Challenger ou de Future que mériterait l’endroit, acompte aussi pour Jean-René Lisnard et Fatima Zahra El Allami…

Sur la terre battue de la rue Lagrive, le résidant monégasque a préparé au mieux le Master de Monte-Carlo là où en 2006, il fit mordre la poussière à Andy Murray. C’était avant qu’une méningite et une opération de la hanche n’obligent l’ancien 84e mondial (en 2003) à repartir en bas de l’échelle ATP.

« Si je tente ce come-back (à 31 ans) c’est pour être mieux que 84e mondial, sinon je ne serais pas revenu ». Dans la continuité du Challenger de Saint-Brieuc, Reims ne devrait rester qu’une simple étape sur le chemin de cette résurrection, à laquelle Guillaume Couillard est le premier à « croire ».

« C’est vraiment quelqu’un d’impressionnant physiquement. Et il ne fait pas de muscu. Avec lui, on travaille plutôt en étirements », poursuivait le capitaine monégasque de retour au « pays ».

« Très fort »

En finale, comme avant lui Sébastien Jolly, Maxime Bonami (- 30) a fait ce qu’il a pu (2-6, 0-6), sans jamais pouvoir contenir le physique d’un adversaire d’un mètre 73, certes, mais tout en « tonicité » et aussi percutant en coup droit qu’en revers : « Ce que je trouve vraiment fort, c’est qu’il met de l’intensité dans chacune de ses frappes. Nous, on le fait mais sur un ou deux coups seulement », résumait le Sarcellois. Que ce soit via les qualifs ou avec la wild card espérée, Jean-René Lisnard peut très vite enchaîner à Monte-Carlo, où il a ses « habitudes » dans le tableau final (du 10 au 17 avril).

« Monte-Carlo, c’est un objectif au même titre que les qualifs de Roland-Garros, Wimbledon ou l’US Open », confirmait Guillaume Couillard.

L’Open de Reims aura également servi de mise en jambes pour Fatima Zahra El Allami (n° 454 WTA), avant les tournois de Casablanca et surtout de Fes (220.000 dollars).

Une finale 100 % marocaine était attendue sauf que Lina Bennani (- 15) s’est fait sortir en demi (6-1, 6-3) par Ludivine Choisel (-4/6).

Merci Servane

Fatima El Allami a d’ailleurs failli connaître le même sort face à Servane Delobelle (1/6), déjà tombeuse en quart de Charline Braidy (-4/6). Pour la revenante Cormontreuilloise, la « perf » des perfs s’est jouée sur une balle de 5-3 - un smash loupé - dans le 2e set, alors qu’elle avait remporté le 1er (7-5).

Sitôt sa victoire en poche (6-2, 6-4), Fatami El Allami revenait sur « cette très grande demi-finale » (5-7, 6-4, 6-2) qui l’avait « beaucoup aidée » : « J’ai dû puiser au fond de moi-même. J’ai été étonnée par le niveau de mon adversaire. J’ai compris quand j’ai appris que c’était une ancienne numérotée. C’est grâce à elle si j’ai tout de suite trouvé des sensations en finale ».

L’Europe (où Pheng l’entraîne), l’URT face à Hofmanova (une ancienne lauréate de l’Orange Bowl) et maintenant le TCR : les tournois rémois sont devenus la spécialité de Ludivine Choisel.

Mais samedi, la Beaunoise regrettait surtout que « ce soit un peu toujours les mêmes matches » : « Je ne suis pas assez patiente. Je me précipite. J’ai tellement de déchets. En face, il y avait une 1re balle qui rentrait bien et aussi une régularité que je n’ai pas. J’ai quand même fait ma petite perf à - 15 face à une 700e mondiale et ça fait du bien au moral… ».

Jean-Pierre PRAULT

FEMININES

Quarts : Ludivine Choisel (TC Yonnais, - 4/6) bat Manon Wouters (Mont-Saint-Martin, 3/6) 6-3, 6-1 ; Servane Delobelle (Cormontreuil, 1/6) bat Chahine Braidy (Géo-André, - 4/6) 6-2, 6-2.
Demi : Choisel bat Lina Bennani (Stade Toulousain, - 15) 6-1, 6-3 ; Fatima El Allami (n° 34) bat Delobelle 5-7, 6-4, 6-2.
Finale : El Allami bat Choisel 6-2, 6-4.

MASCULINS

Quarts : Gary Lugassy (Blanc-Mesnil, -30) bat Arthur Mitard (Meaux, 2/6) 6-3, 6-0 ; Maxime Bonami (Sarcelles, - 30) bat Victor Mauz (Bois-de-Boulogne, - 15) 5-7, 6-3, 7-5 ; Sébastien Jolly (Cormontreuil, - 2/6) bat Jérôme Almagrida (Blanc-Mesnil, - 15) 7-6, 4-2 ab
Demi : Bonami bat Lugassy 6-4, 6-3 ; Jean-René Lisnard (Monte-Carlo, n° 21) bat Jolly 6-2, 6-1.
Finale : Lisnard bat Bonami 6-2, 6-0.

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Union110403a
TENNIS / Vitry-le-François. Pour qui la 26e ?

Avec 110 participants (soit plus 10% par rapport à l’an passé), le 26e Open du TC Vitry s’annonce passionnant. Chez les messieurs, déjà engagés au TC Reims, les -30 Maxime Bonami (Sarcelles) et Gary Lugassi (Blanc-Mesnil) ont fait coup double dans la Marne. Et on voit mal comment ils ne se retrouveraient pas en finale puisque la concurrence pointe à 0 avec le tenant du titre mais également juge-arbitre de la compétition Arnaud Lalouette (Vitry) et le désormais sociétaire de Saint-Dizier Gabriel Andruejol.

Quant à Alexandre Gajanovic (1/6, Europe Club) ainsi qu’aux 2/6 Alexandre Blossier (Vitry), Florent Seuret et Théophile Castelhano (Europe Club), ils chercheront à bien figurer.

Du côté des dames, l’Allemande de Mont-Saint-Martin Anastasia Wagner (-4/6) fait figure de favorite d’autant qu’elle était classée -30 en 2009. Toutefois, elle devra se méfier de la néo-bragarde Mélanie Maietti (-2/6) et de la petite prodige de Géo-André Claire Makhloufi (1/6).

Aujourd’hui, 10 heures : demi-finales dames ; 11 h 30 : demi-finales messieurs et finale plus de 35 ans messieurs ; 14 heures : finale dames ; 15 h 3 : finale messieurs.

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Union110401j
28 classes maternelles et primaires supprimées

A l’échelle de l’académie de Reims, ce sont 363 postes (dont 12 administratifs) qui seront supprimés au total.
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MARNE. Après les collèges et lycées (suppression de 98 postes de profs), c’est au tour de l’enseignement du 1er degré de connaître des coupes sombres pour la rentrée : 28 classes seront supprimées dans la Marne, 10 en maternelle et 18 en primaire, alors que 4 à 7 pourraient ouvrir. Un appel à la grève est lancé pour le 11 avril.

TOUT ne sera acté que lors du comité départemental de l’Education nationale (CDEN) le 11 avril. « Mais déjà pour les fermetures, il n’y a plus de suspens », a regretté hier soir Aline Geeraerts, secrétaire départementale de l’Unsa enseignants, à la sortie du comité technique paritaire (CTP) qui venait de faire tomber le couperet.

28 classes vont fermer dans la Marne, à la rentrée de septembre prochain, 10 en écoles maternelles et 18 en primaire. « Pour les ouvertures, cela reste en suspens » a-t-elle poursuivi. La fourchette actuelle varie de 4 à 7. En fait, certaines créations dépendent des effectifs à la rentrée prochaine. « Au vu de la campagne d’inscriptions, des ajustements sont encore possibles », a expliqué hier soir Aline Geeraerts. Et puis, l’ouverture de certaines classes demeure parfois conditionnée à des problèmes de locaux.

Dans le détail, si Châlons n’est que peu touché avec deux fermetures, Reims pourrait voir 8 classes disparaître alors que dans le même temps 3 à 6 pourraient être créées dans d’autres établissements de la ville, en raison des mouvements de population. Pour sa part, Vitry-le-François devrait enregistrer 4 suppressions de classes.

Au-delà de ces fermetures, ce sont aussi des postes qui sont rayés. Ainsi, sur les sept postes équivalents temps plein d’intervenants en langue étrangère, cinq sont supprimés.

« Pas de cohérence pédagogique »

« On mesure le double langage du ministre qui fait de l’apprentissage des langues vivantes une priorité et supprime des postes dans ce secteur. Cela est symptomatique de l’absence de cohérence pédagogique », s’est alarmé la secrétaire départementale de l’Unsa enseignants. Dans la même veine, une douzaine de postes en Rased, Réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté, seront touchés, tout comme trois postes après la fermeture de la circonscription Reims-Sud-Ouest et un autre de conseiller pédagogique.

Rappelons qu’à l’échelle de l’académie de Reims, ce sont 363 postes (dont 12 administratifs) qui seront supprimés au total, dont 98 pour les professeurs en collèges et lycées de la Marne (L’union d’hier).

Un mouvement de protestation des enseignants du 1er degré est d’ores et déjà annoncé pour le 11 avril et d’autres, plus localisés pourraient suivre (lire ci-dessous).

Comme chaque année, le bras de fer va perdurer encore quelques semaines entre l’inspection académique d’une part, enseignants et parents d’autre part, les élus pouvant se mêler à cette lutte des classes.

F.G.

Préavis de grève le 11 avril

« Pour donner un espace d’expression aux collègues touchés par les suppressions, mais aussi faire jouer la solidarité, nous appelons à la grève le lundi 11 avril », a lancé hier soir Aline Geeraerts, secrétaire départementale de l’Unsa enseignants.

Ce jour-là, le CDEN (Comité départemental de l’Education nationale) se tiendra à Reims.

Cette réunion, qui regroupera l’inspection académique, les représentants du personnel, les élus locaux et les représentants des parents d’élèves, actera définitivement la nouvelle carte scolaire.

Recensement internet des actions contre les suppressions.

Le réseau « Sauvons l’école » recense les actions de mobilisation contre les suppressions de classes et de postes (sauvons-lecole. over-blog.com) alors que le site www.rue89.com souhaite mettre en place une cartographie nationale de ces opérations.

Primaires

• 18 fermetures

Bétheny - Petit Bétheny
Bouzy - Camille-Claudel
Bussy-Lettrée - Ecole publique
Châlons - Pierre-Curie
Cumières - Ecole publique
Dormans - Du-Gault
Epernay - Jean-Jacques-Rousseau
Reims - Général-Carré
Reims - Jules-Ferry
Reims - Gerbault
Reims - La Neuvillette
Reims - Prieur-de-la-Marne
Reims - des Provençaux
Reims - Docteur-Roux
Vaudemange - Ecole publique
Vitry - Jules-Ferry
Vitry - Paul-Fort
Vitry - Louis-Pasteur

Dans ces écoles, il est prévu la fermeture d’une classe.

• 2 à 3 ouvertures

Reims - Anquetil (ouverture conditionnelle)
Reims - Ravel-Franchet
Suippes - Jules-Ferry (classe d’inclusion scolaire, clis)

Dans ces écoles, il est envisagé l’ouverture d’une classe.

Maternelles

• 10 fermetures

Aÿ - La Noue
Châlons - Jean-Macé
Courcy - Ecole publique
Cormontreuil - Enelle
Fagnières - Les Tilleuls
Nuisement - Ecole de la Vallée
Reims - Jardelle
Sainte-Ménehould - Robert-Lancelot
Sézanne - Barbonne-Fayel
Vitry - Mont-Berjon

Dans ces écoles, il est prévu la fermeture d’une classe.

• 2 à 4 ouvertures

Reims - Adriatique
Reims - Gilberte-Droit
Reims - Clairmaret (sous réserve d’effectif)
Reims - Emile-Zola (conditionnée à des problèmes de locaux)

Dans ces écoles, il est envisagé l’ouverture d’une classe.

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Union110401i
Partenariat Acrap-Caisse d’Épargne - l’union : Les Zidane en herbe équipés de la tête aux pieds

Ils l’avaient promis, ils l’ont fait. Signée en octobre dernier, la convention de partenariat entre le club de football du quartier Croix-Rouge, l’Acrap, la Caisse d’Épargne et le journal l’union, a permis d’équiper de la tête aux pieds les quatre-vingt-cinq jeunes de l’école de football du quartier. Les différents partenaires de l’opération étaient réunis cette semaine pour assister à l’entraînement des jeunes au stade Géo-André avec, au premier plan, Jean-Pierre Genesseau, président de l’Acrap, David Schneider, responsable de la section foot de l’association, Benoît Mercier, président du directoire de la Caisse d’Épargne Lorraine-Champagne-Ardenne, et Jacques Tillier, président-directeur général de l’union. « Nous n’avons jamais eu un tel sponsor qui nous permette d’équiper toutes nos équipes », se réjouit Cyril Houppermans, responsable de l’école de foot de l’Acrap. « C’est une première dans toute l’histoire du club. Cela va bien nous aider pour avancer. Maintenant, quand on se déplace, on est envié par les autres clubs ! ».

Le succès de la section foot de l’Acrap est tel qu’il a fallu refuser du monde. « L’image du club a bien évolué. Nous représentons le quartier avec plus de vingt-cinq nationalités différentes parmi nos quatre-vingt-cinq jeunes. C’est une grande richesse. Mais nous manquons de personnes au niveau de l’encadrement pour pouvoir accueillir tout le monde. » Et preuve que ce partenariat fonctionne vraiment bien, les jeunes de l’Acrap devraient bientôt voir arriver deux minibus financés par la Caisse d’Épargne et l’union.

Vous avez envie de vous investir avec les jeunes footballeurs de l’Acrap ? Contactez le 06.69.71.39.06.

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L’hebdo du vendredi- n° 207 - 110401h
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N ° 207 - Semaine du 01 au 07 avril 2011


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Portes ouvertes


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JUSQU’AU 30 AVRIL : « L’ARMEMENT DES CHEVALIERS »

Réalisée par les Archives Municipales, cette expo présente l’évolution des armements des chevaliers du XIe au XVe siècle à travers des moulages et photos de sceaux.

Entrée libre – Rens. : 03 26 35 68 40
Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar


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LUNDI 4 ET MARDI 5 AVRIL : DANSE : « THEY CAN BE HEROES »

Après un an de travail, encadrés par Marinette Dozeville, chorégraphe professionnelle, les étudiants présentent leur création 2011. A noter que le mardi soir, le public est invité à s’initier à la danse dans une ambiance seventies.

A 20h – Entrée libre
Centre Culturel du Crous, campus Croix-Rouge

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Union110401g
Tout savoir sur les métiers des collectivités territoriales

Des métiers qui ont intéressé de nombreux jeunes.

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En partenariat avec la Maison de l’emploi et des métiers du bassin rémois et la Mission locale de Reims, la bibliothèque municipale, grâce au secteur Emploi-Formation de la médiathèque Croix-Rouge, fait découvrir des corps de métiers de manière régulière tout au long de l’année 2011, le mercredi après-midi.

Le 23 mars dernier, pour la présentation des métiers de la Ville et de la Fonction publique territoriale, on se bousculait aux stands pour s’informer : comment devenir cartographe, agent de voirie, policier/ère municipal/e, agent du protocole, chargé/e d’études d’urbanisme et d’aménagements urbains, archiviste, animateur/trice sportif/ve ou encore gardien/ne de cimetière…

Pour orienter cette foule, la médiathèque Croix-Rouge avait posté un pôle d’accueil et de renseignements dès l’entrée avec la Mission locale pour la jeunesse de Reims et du Pays rémois, qui dirigeait ensuite les visiteurs vers le pôle de rencontre avec les professionnels pour « discuter avec des agents de la Fonction publique territoriale, pour une meilleure appréciation des métiers » ou vers le pôle des ressources humaines, pour « découvrir les modalités d’accès à l’emploi, les concours, les carrières et les statuts ».

La Ville de Reims, Reims Métropole et le conseil général ont livré tous leurs secrets et suscité de nombreuses vocations professionnelles, à l’issue de cette manifestation parfaitement réussie.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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Union110401f
Résidence Joséphine : Elle va sortir de terre à Pays-de-France

Joséphine, en perspective.
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Le lancement des travaux de la résidence Joséphine à Pays-de-France se déroulera mercredi 6 avril à 14 heures, avenue du Général-Bonaparte, entre le lycée François-Arago et l’église Saint-Bruno.

Il s’agit d’un programme de construction, par le Foyer rémois, de 49 logements labellisés « Bâtiments basse consommation » (BBC), situé sur l’espace vert du parc Saint-Bruno et planifié dans le cadre du programme de renouvellement urbain de Croix-Rouge.

Cette manifestation se déroulera en présence d’Adeline Hazan, maire de Reims, Éric Quénard, Premier adjoint, Christophe Villers, président du directoire du Foyer rémois et Benoît Pellot, président du conseil de surveillance du Foyer rémois.

 

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Union110401e
Jardinage en ville / La queue au portillon

Ibrahim en action. Il a eu de la chance car les listes d’attente sont souvent longues.
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Autour du président Herbreteau (Pays de France) : « Nous demandons 10 centimes du mètre carré. »
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REIMS (Marne). Pas de problème d’effectifs pour les jardins familiaux, confrontés à une demande bien supérieure à leur offre de parcelles. Il faut dire que leurs tarifs sont légers.

CETTE semaine, Ibrahim a mis ses bottes ; et il a sorti sa bêche. Il faisait beau, il en a profité pour jardiner dans sa parcelle qu’il loue depuis peu sur le terrain des Jardins familiaux Pays de France. « Nous vivons en appartement, confie cet artisan maçon, ma femme voulait un jardin pour passer le temps, pour elle et les enfants. Alors j’ai séparé le terrain en deux parties : d’un côté il y aura la pelouse et les fleurs, et de l’autre côté, je fais un peu de culture, des fèves, du persil, des fraises… »

Trois ans d’attente

Ibrahim a eu la chance de voir sa demande acceptée. Pas évident, parce qu’il n’est pas seul à faire la queue au portillon de l’association jardinière ! « Des demandes, nous en avons de plus en plus, affirme son trésorier Jean-Claude Hirault. L’an dernier, nous avions quarante-neuf parcelles, cette année, nous en avons dix-neuf de plus ; elles sont toutes attribuées ! On en aurait trente de plus, on les donnerait sans problème. »

« Il est vrai que c’est agréable pour les gens de faire pousser leurs légumes, et puis ça leur évite de rester enfermés dans leur immeuble », ajoute le président, Michel Herbreteau.

Son de cloche comparable dans une autre association du même genre, celle des Trois-Fontaines, qui, elle, dispose de plus de deux cents parcelles : « Nous avons à peu près cent à cent cinquante demandes par an, indique le président Franck Leroy, on ne peut pas satisfaire tout le monde, il faut compter en moyenne trois ans d’attente ! » Ça en fait des kilos de légumes à acheter sur le marché avant de pouvoir mettre les siens dans son assiette… Et ce n’est pas Evelyne Nkounkou, qui, elle, est à la barre des Jardins de Croix-du-Sud (quatre-vingt-douze parcelles), qui détonnera dans le paysage : « Nous devons avoir une cinquantaine de demandes en attente, j’en reçois tout le temps ; chez nous, les parcelles ne sont jamais en friche, dès qu’il y en a une qui se libère, elle est reprise ! »

Le service des espaces verts de la Ville confirme la tendance : il reçoit en gros quelque deux cents demandes par an émanant de particuliers désireux de jouer eux aussi les mains vertes. On voit donc que, contrairement à d’autres associations qui voient fondre leurs effectifs, les Jardins familiaux, eux, ne connaissent pas cette crise.

Il est vrai que les conditions financières sont plutôt abordables : « Nous demandons 10 centimes du mètre carré, explique le président Herbreteau (même tarif à Croix-du-Sud), cela revient en gros à 45 à 50 euros par an pour les plus grosses parcelles, 30 euros pour les moins chères. » À cela s’ajoute éventuellement la consommation d’eau, cela dépend des associations ; mais malgré ça, on ne peut pas dire que le jardinage urbain soit devenu un luxe. Il faut juste être patient avant de pouvoir imiter Ibrahim. Comme une fois qu’on a planté ses patates et qu’on attend qu’elles poussent.

Antoine PARDESSUS

C’est le moment de planter l’ail

Que peut-on faire au jardin ces jours-ci ?

« Comme il fait encore un peu froid, surtout le matin, répond Michel Herbreteau, le président des Jardins familiaux de Pays de France, on peut planter l’ail, l’oignon, l’échalote, en espérant qu’il ne gèle pas trop quand même. On peut aussi planter de la pomme de terre, de la Belle de Fontenay en particulier, la première qu’on arrache : au bout de trois mois, elle est bonne à arracher. Moi, pour les pommes de terre, je fais une saignée, avec une butte de chaque côté, comme ça, elles ont davantage de terre au-dessus d’elles ; elles mettent un peu plus de temps à sortir, mais au moins, ça les garde plus au chaud. On peut aussi planter de la salade sous un « tunnel », un morceau de plastique fixé sur des arceaux. »

A.P.

Comment obtenir un jardin familial ?


Vous voulez louer un jardin familial ? Plus de 1 500 jardins, d’une superficie moyenne de 250 m2, destinés à la culture potagère, ont été créés dans l’agglomération de Reims. La gestion de ces parcelles a été confiée à huit associations de Jardins familiaux.

Si vous souhaitez louer une parcelle de jardin, il faut adresser une demande écrite en précisant en objet : « Demande de jardins familiaux » à la direction de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire, 36, rue de Mars, 51096 Reims Cedex.

Vous recevrez sous 15 jours un accusé réception de votre demande qui sera transmise à l’association gestionnaire de parcelles à proximité de votre domicile. Cette dernière prendra contact directement avec vous pour l’attribution. Le délai d’attente pour obtenir un jardin varie, suivant les secteurs, de 1 à 3 ans.

Source : Reims Métropole

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Union110401d
Résidence Lucien-Doyen : Les seniors et le chien visiteur

Les résidents ont très vite accueilli Calystar, une chienne de 3 ans.
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Sophie Atane, hôtesse « aide à vivre » à la résidence Lucien-Doyen ARFO, située au 7, rue du Docteur-Billard, a organisé le mercredi 23 mars, une rencontre entre les résidants et un « chien visiteur », éduqué au domaine de l’Ange gardien, à Gourgançon (Marne), un élevage spécialisé à cet effet. Sandrine Cabaret, déléguée régionale Champagne-Ardenne de l’association « chien visiteur », animée par Joseph Ortega, explique : « le chien visiteur est, on peut l’assurer, un cothérapeute ou un auxiliaire de santé ».

Ces chiens peuvent servir d’outil thérapeutique et pédagogique dans les écoles, les maisons de retraite, les hôpitaux, les institutions pour handicapés et les prisons où ils apportent un bienfait mental et physique : « sa présence apporte énormément et permet, par exemple d’établir un climat de confiance, de valoriser, de stimuler la concentration, de communiquer et d’instaurer un sentiment de sécurité. » Les résidants ont très vite accueilli Calystar, un beau berger blanc suisse, animal ni peureux, ni aboyeur, ni agressif, calme, posé, qui aime le contact avec les personnes et qui est très obéissant. Après un après-midi d’échange et de tendresse. Ils attendent avec impatience, la prochaine venue de ce compagnon à quatre pattes.

http ://www.langegardien.info/

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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Union110401c
Association At’Hom : Un lapin au vide-ordures

Qu’on est bien dans les bras de la présidente, Danielle Bonfils !
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Un lapin a été abandonné par des gens sans scrupule dans un local à ordures de l’allée Yves-Gandon aux Hauts-de-Murigny.

« Nous l’avons trouvé prostré dans une cage remplie d’excréments et nous l’avons recueilli au local de l’association de défense des locataires où il coule maintenant des jours heureux » explique la présidente Danielle Bonfils.

Bien entendu, il a été baptisé du nom de l’association : At’Hom !

 

 

 

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Union110401b
Ils sont partis vers Pékin

Applaudissements pour les aventuriers qui vont aller à la rencontre des écoliers du monde, jusqu’en Chine.
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Remi WAFFLART
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REIMS (Marne). Un an de préparation, des au revoir émouvants : à 15 heures hier, Anne et Benjamin sont montés sur leur drôle de tandem couché, place d’Erlon, direction Pékin, dans… six mois et 14 000 km !

« NOUS sommes à la fois excités et heureux » : Anne et Benjamin, les deux étudiants de RMS, sont place d’Erlon, sur le point de pédaler vers Pékin, en passant par Suippes hier soir, puis l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche, la Hongrie, l’Ukraine, la Russie, le Kazakhstan, la Mongolie…

« Quand nous serons arrivés à Suippes, ce sera déjà une belle étape », lançait Benjamin. Sauf que le trajet représente un peu plus de 50 km, et qu’ils en ont en tout 14 000 jusqu’en Chine !

Ce pari un peu fou est né dans la tête d’Anne Salaün et de Benjamin Stoll il y a un peu plus d’un an. « Ce n’est pas une parenthèse, mais nous voulons découvrir le monde, et partager ce qu’on a vu, avant de se mettre à travailler. »

Un documentaire

Les étudiants en école de commerce ont pratiquement bouclé leurs études, mais ont conçu leur voyage en intégrant leur futur projet professionnel. Ce n’est pas une aventure sportive, ou un défi : « Nous ne partons pas pour une course, mais nous allons vivre notre projet sur la durée ».

Pendant six mois, ils traverseront dix pays, et s’arrêteront dans des écoles avec lesquelles des contacts ont déjà été noués par l’association Oikos qui les soutient. Le but est de réaliser un documentaire sur le quotidien des jeunes de 9 à 15 ans, et surtout de les faire interréagir, créer un lien, du partage…

Il y a beaucoup de monde pour saluer ces deux aventuriers qui arrivent à la fonatine de la solidarité : « Voilà 200 mètres réussis, on verra pour le reste ! » Salutations, embrassades : on sent l’émotion chez les deux amoureux. « Si, ça va le faire », répond Anne à une jeune de Joliot-Curie, des collégiens chez qui les deux étudiants sont allés présenter leur projet, et qui vont les suivre via leur blog.

« Il n’y a plus rien dans l’appart, donc on n’a rien dû oublier… On va rouler doucement, car c’est la première fois que le vélo est chargé avec à la fois les affaires d’hiver et celles d’été. » Benjamin sait que les conditions climatiques vont être très différentes, et a pris plein de conseils à droite et à gauche.

Comme ceux de Gigi, par exemple, du club de vélo de Sacy : « Quand j’ai vu qu’ils passaient par Fribourg, je me suis souvenu d’un tunnel délicat où on s’était fait une belle frayeur en allant près de Münich. Je leur ai conseillé une autre route. Pareil en Ukraine, où j’ai des amis qui les ont rassurés sur une grande route qui leur faisait peur ».

Jusqu’au départ, Gigi sera de bon conseil : « Pour aller à Suippes, ne prenez pas la grande route, mais passez par Mourmelon ». Il leur a ouvert la route.

Nul doute qu’Anne et Benjamin trouveront tout au long des 14 000 de nombreux cyclistes qui feront un bout de chemin avec eux. Il y aura aussi des moments de solitude. Il leur faudra du courage. Bonne route !

G.F.

Suivez leur progression sur biketoschool.fr

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Union110401a
Deux autres incendiaires arrêtés

Deux autres incendiaires ont été arrêtés par les policiers de Reims. Lundi vers 18 h 45, une poubelle a été mise à feu dans un local de l’avenue Bonaparte, au quartier Croix-Rouge.

L’incendie s’est propagé au plafond, occasionnant des dégâts.

Deux filles accompagnaient le vandale. L’une d’elles a été retrouvée. De là, les enquêteurs ont identifié son copain, un mineur d’une quinzaine d’années qui ne sait pas trop pourquoi il a mis le feu à la poubelle.

Il a été remis en liberté avec une convocation devant le juge des enfants.

De nombreux autres incendies ont été allumés ces derniers temps avenue Bonaparte, mais le jeune homme n’a pas été mis en cause dans ces précédents sinistres. Hier vers 2 heures du matin, une épaisse fumée a envahi les communs d’un immeuble de la rue André-Chenier, au quartier Val-de-Murigny. Elle provenait d’un sac-plastique incendié avec des papiers dans le parking souterrain. Le sol a été dégradé sur une superficie d’un mètre carré.

Whisky à gogo

C’est l’incendiaire lui-même, un locataire d’une trentaine d’années, qui a éteint les flammes. De retour d’une soirée au cours de laquelle il a bu quatre verres de whisky, l’idée lui est venue de se débarrasser de plusieurs facturettes en les brûlant sur le sol du parking, dans le sac-plastique.

« Je ne pensais pas que ça allait faire autant de fumée. J’ai pris une bouteille d’eau pour éteindre mais il y a encore plus de fumée qui s’est dégagée », a-t-il expliqué lors de son procès hier après-midi en comparution immédiate.

« J’ai ouvert la porte du parking et une fois qu’il n’y avait plus de braises, j’ai pris le tas pour le mettre dans une poubelle. » La police l’a cueillie peu de temps après.

Les juges ont été sensibles à l’argumentaire de l’avocat, Me Gauthier Lefèvre, qui a plaidé l’absence d’intention de nuire. Les faits ont été requalifiés en « dégradation involontaire », une simple contravention pour laquelle le prévenu a été condamné à 400 euros d’amende. Il est ressorti libre du tribunal.

F.C.

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Union110331e
Judo / Championnats de France cadets. Le-Fé tient bien son rang

Mélanie Le-Fé a terminé 9e des récents championnats de France UNSS.
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Avec l’apport de Nina Rottger, la Picarde du JC Omois pensionnaire du Creps de Reims (1), la Marne abordera les France cadets samedi et dimanche (2) avec plus d’atouts qu’en 2010.

A l’Institut national du judo de Paris, quelles seront les chances départementales ? Elles reposeront sur les Rémoises Sophie Goncalves (- 63 kg) et Mélanie Le-Fé (- 70 kg).

Les sociétaires de Reims Judo tireront dimanche. Elles évolueront toutefois dans deux catégories assez denses.

Les élèves de Xavier Supernant perpétuent la tradition de représentation du Reims Judo aux France cadettes. En 2010, Juliette Rieu (- 52 kg) et Ingrid Maroquivoi (+ de 70 kg) étaient en lice.

Samedi à Paris, la Marne comptera sur une troisième représentante : Colyne Thieffain. Pour sa première grande expérience nationale, l’athlète du Cercle de l’Amitié de Cauroy-lès-Hermonville, près de Reims, combattra en - 48 kg.

La représentation féminine ne doit en revanche pas masquer les carences masculines. Représenté en 2010 au moins par le léger de l’AS Croix Rouge Dylan Girard (- 46 kg), le département n’a qualifié personne pour ce week-end.

Ph.L.

(1) Vainqueur de la demi-finale à Saint-Julien, la Sud-Axonaise sera une sérieuse cliente en moins de 63 kg.

(2) Il s’agit du championnat Elite. Les championnats nationaux cadets comprennent trois niveaux. Après l’Elite ce week-end, la Coupe de France (2e niveau) et le critérium national (3e échelon) se dérouleront les 4 et 5 juin à Ceyrat (Puy-de-Dôme).

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110331d - RMmag février 2011

Le quartier Croix-Rouge dans « REIMS METROPOLE magazine » de mars 2011


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Distribution gratuite de compost


Dans l’académie, 128 postes sont supprimés, 30 sont créés dans le secondaire. Pour le primaire, résultat ce soir.
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Une distribution gratuite de compost aura lieu le 26 mars de 9h à 19h sur les 4 déchetteries de l’agglo (Reims Croix Rouge, impasse de la chaufferie - Reims Europe, rue de l’Escaut- Saint Brice Courcelles, chemin des Temples – Tinqueux, rue Marcel Dassault).

Les habitants intéressés peuvent venir avec des seaux (ou autres contenants) et les remplir dans la limite de 150 litres. En parallèle, les animateurs du tri présents lors de cette journée apporteront toutes les informations nécessaires et présenteront le compostage domestique. Des composteurs seront également proposés sur ces sites sur présentation d’un justificatif de domicile et paiement d’une caution de 15 €. Déjà été réalisée en 2010, cette opération est renouvelée cette année en raison de la forte demande.

Rappelons que le compost, mélangé à une terre simple, permet d’obtenir un terreau riche.

Il peut également être dispersé en couche fine sur la pelouse ou au pied des arbustes et plantes vivaces.


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Résultats d’analyses de l’eau distribuée dans l’agglomération



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