nous contacter conseiller le site conseiller cet article imprimer cet article


Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - août 2010.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

Pour consulter les articles d’une autre période, cliquez sur le lien correspondant :

1er trimestre 2007, 2ème trimestre 2007, 3ème trimestre 2007, 4ème trimestre 2007, Janvier-février 2008, Mars-avril 2008, mai-juin 2008, juillet-août 2008, septembre-octobre 2008, novembre 2008, décembre 2008, janvier 2009, février 2009, mars 2009, avril 2009, mai 2009, juin 2009, juillet 2009, août 2009, septembre 2009, octobre 2009, novembre 2009, décembre 2009, janvier 2010, février 2010, mars 2010, avril 2010, mai 2010, juin 2010, juillet 2010.

 

 

 


***********************************

Union100831f
ÉCONOMIE dossier : Restauration rapide : Un Quick converti à Reims ?

On saura aujourd’hui si l’un des cinq restaurants Quick de Reims se mettra au « fast-halal ».
- Agrandir la photo

Quick a annoncé la tenue ce mardi d’une conférence de presse très attendue. Elle devrait officialiser des décisions concernant la spécialisation halai de certains de ses fast-foods. Reims est concerné. Le groupe français concurrent de McDonald’s avait défrayé la chronique cet hiver en proposant des hamburgers préparés avec de la viande halai et sans bacon dans huit de ses restaurants. La chaîne de fast-food avait par la suite jugé « l’expérimentation » comme « concluante ». Alors que Quick se disait encore en « réflexion » une indiscrétion sortie d’un comité d’entreprise a dévoilé cet été un projet de montée en puissance des menus à la sauce halai. On a parlé de quatorze nouveaux restaurants servant des hamburgers à la viande dûment abattue en respect des rites musulmans.

Les établissements concernés se trouveraient en banlieue parisienne, vers Lyon et Marseille, et donc dans la cité des Sacres.

Il existe aujourd’hui cinq Quick à Reims. Ils sont détenus par un franchisé, Claude Louis. Ce dernier s’est gardé de tout commentaire avant l’annonce de la maison-mère. Mais il ne fait guère de doute que si Quick halal il y avait à Reims, ce serait celui du quartier Croix-Rouge. Reste à savoir si les restaurants seraient entièrement consacrés aux plats halai où si cohabiteraient sur les menus des sandwichs « haram ». En attendant, une polémique sur le thème du « vivre ensemble » couve. Pourquoi Quick prend de tels risques ? Comme les géants de l’agroalimentaire, l’enseigne trouve ici sans doute le moyen d’atteindre des consommateurs de culture musulmane, dont la moyenne d’âge est plus jeune que celle de l’ensemble des Français. C’est aussi un facteur différenciant vis-à-vis de son concurrent américain McDo. Mais d’après Abbas Bendali, spécialiste de marketing ethnique, Quick voudrait plutôt contrer « la myriade de petits kebabs et de sandwicheries », seuls, pour l’heure, à répondre aux jeunes qui veulent manger du « fast-halal ».


***********************************

Union100831e
Hip-hop / Collaboration haut de gamme !

De gauche à droite : Dry de la Mafia K1fri, Twister aka John Karchere et Ol’Kainry, le célèbre rappeur français.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Le Rémois Twister aka John Karchere vient de réaliser un morceau pour le nouvel album d’Ol’Kainry, le célèbre rappeur originaire de l’Essonne.

À Reims, très rares sont les artistes de rap qui parviennent à s’introduire d’une manière ou d’une autre sur la scène française. Pourtant Twister aka John Karchere, un artiste du hip-hop rémois, a réussi à mettre un pied dedans grâce à l’une de ses nombreuses compositions.

Effectivement, il vient de réaliser une instru pour le prochain album d’Ol’Kainry, un rappeur français originaire du Canal à Courcouronnes dans l’Essonne qui, le 20 septembre prochain, sortira son neuvième disque (4e en solo).

« En fait, j’enregistre dans un studio de l’Essonne, à Juvisy au Black Stud. Mech qui est ingénieur du son dans le studio travaille aussi pour Ol’Kainry. Une fois, je lui ai fait écouter mes sons et il m’a dit que l’un d’eux en particulier plairait à Ol’Kainry et que, si je voulais, il pouvait lui faire écouter », se souvient Twister aka John Karchere.

« Que demander de plus ? »

Ol’Kainry a de suite été emballé et décide d’inclure le morceau composé par Twister dans « Iron Mic », son prochain album qui devait sortir durant l’été mais qui a finalement été reporté au 20 septembre.

« Je suis allé le rencontrer au Black Stud. Il était avec un autre rappeur connu, Dry, un membre de la Mafia K1Fry qui était présent pour enregistrer un duo avec lui sur mon instru, la musique lui a tout de suite plu. Le titre s’appelle « Beleck Beleck », il est déjà en écoute sur plusieurs gros sites de rap français comme Booska-P ou le site de Génération », ajoute-t-il.

Twister n’aura pas gagné un centime pour ce titre mais bien plus, une visibilité qu’il n’avait pas jusqu’à présent.

« Je n’ai pas demandé d’argent, de toute façon artistiquement, qui suis-je pour le faire ? Ma récompense pour ce morceau, c’est la publicité que la notoriété d’Ol’Kainry va m’apporter. De plus, le morceau n’est pas le single de l’album mais tout de même l’un des morceaux phares. L’équipe d’Ol’Kainry s’est récemment réunie pour parler du disque et après concertation mon morceau ressort comme l’un des quatre meilleurs. Je me trouve sur un disque aux côtés de producteurs très connus dans le rap français comme Spike Miller ou Blackstard. Que demander de plus ? », précise l’artiste.

Twister aka John Karchere sortira son propre album, le quatrième, « Collision » au mois d’octobre avec une expérience de plus en poche.

« Je suis content d’avoir collaboré avec Ol’Kainry, c’est un aboutissement personnel mais surtout et avant tout artistique », conclut-il. Sûr et certain que l’on reparlera de Twister, puisque depuis cette collaboration avec le rappeur de l’Essonne, d’autres grosses pointures du hip-hop français ont d’ores et déjà pris contact avec lui.

Thierry ACCAO FARIAS

{{Saint-Remi : forte demande}}|" class='spip_url spip_out' rel='external'>www.myspace.com/twister51100twister...

Est-ce en raison de sa situation assez centrale ? Ou des multiples autant que diverses options qu’il propose (classe bilangue anglais-allemand, horaires aménagés pour tennis de table, musique et aviron, classe européenne espagnol…) ? Le collège de la rue Nicolas-Roland, dirigé par Irène Casalis, enregistre une augmentation sensible (une bonne vingtaine d’élèves en plus) de ses effectifs, pour atteindre le chiffre de 547. « Nous constatons une forte pression pour des dérogations d’entrée en sixième », indique la principale. Au volet des infrastructures, on note le câblage total du réseau pédagogique informatique/internet, en cours ; concernant le personnel, non seulement le gestionnaire et la secrétaire changent, mais dix nouveaux professeurs arrivent sur un total de 40.

[|Brossolette : deux nouveaux à la barre


Le nouveau principal de l’établissement de la rue Roland-Dorgelès (secteur Charles-Arnould) s’appelle Alain Rollinger. Originaire de Reims, il officiait l’an dernier à Asfeld, après avoir notamment été adjoint à feu le collège Picasso. Il succède à Mme Carbonnelle partie à Châlons ; il aura pour l’épauler Ludovic Farcé, en provenance du collège Université, qui lui, pallie le départ de Mme Lemaire pour Dormans. Les effectifs sont quasiment stables à 7 ou 8 élèves près en moins, pour un total de 492 ; on notera la présence d’une Upi (unité pédagogique d’intégration) pour les enfants présentant un retard intellectuel. Le câblage informatique constitue la principale amélioration des infrastructures. La rentrée s’échelonnera sur deux jours : les 6es le jeudi 2 septembre à 9 heures, les autres le lendemain à 8 heures.

Braque : nouveaux rythmes et nouveaux horaires

L’établissement aux limites de Croix-du-sud et Murigny dirigé par Olivier Leloux modifie ses horaires d’après-midi : 13 h 30 - 16 h 30 au lieu de 13 - 17 heures. Par ailleurs, il attaque l’expérimentation des nouveaux rythmes scolaires (cours traditionnels le matin, activités sportives et artistiques l’après-midi) dans deux classes de 5e. Un dispositif européen d’apprentissage de l’anglais (avec sept heures hebdomadaires) débute en 6e. En revanche, fin de la classe bilangue anglais-allemand en 6e, faute de candidats. Avec entre 320 et 330 élèves, les effectifs sont quasiment stables (alors que le principal s’attendait à une baisse).

Maryse-Bastié : tutorat

L’établissement de la rue Léon-Faucher (zone du Port-sec proche de Bétheny) expérimente à cette rentrée le tutorat d’élèves de 5e envers des plus jeunes de 6e. Il accueillera aussi une classe de l’IME (institut médico-éducatif) de Ville-en-Selve dans le cadre d’une « unité d’enseignement externalisée ».

Le principal Dany Allary accueillera quelque 420 élèves, cette diminution par rapport à l‘an dernier (430), malgré sa faiblesse, ayant coûté la perte d’une classe.

Colbert : orientation artistique

Au collège de la cité scolaire d’Orgeval, dirigée par Michel Billet (le proviseur adjoint chargé du collège est toujours Laurent Maréchaux), l’orientation devient davantage artistique, avec une nouvelle option arts plastiques (en 6e) et la poursuite de l’option instruments inaugurée l’an dernier, toutes deux anticipant la création de classes à horaires aménagés pour ces disciplines. A peu de choses près, effectifs stables avec 380 collégiens (375 l’an dernier).

Joliot-Curie : changement à la tête

Le seul collège de la Marne à être labellisé « ambition réussite » (ce qui signifie qu’il a globalement affaire à un public en grande difficulté) est à partir de cette rentrée dirigé par Christophe Georges, originaire des Ardennes, et qui arrive de Jean-de-la-Fontaine de Charleville, après avoir notamment enseigné l’électrotechnique à Tinqueux Croix-Cordier. Il succède à Philippe Lhuillier, parti à la retraite. Le nouveau principal aura sous sa responsabilité 300 élèves, soit une dizaine de plus environ que l’an dernier, qui profiteront d’une salle polyvalente rénovée.

Trois-Fontaines : nouveau principal

Pour succéder, à la tête de l’établissement de la rue Paul-Vaillant-Couturier, à Mme Claude Allara partie pour Aix-en-Provence, apparaît à cette rentrée Nicolas Morelle, ancien professeur de maths, passé notamment par la Réunion, et qui arrive de Suippes.

Il aura la charge de 384 élèves, soit trois de plus que l’an dernier. On notera la création d’une option atelier artistique en arts plastiques. Les 6es rentreront le jeudi 2 septembre à 8 h 30, les autres élèves le même jour à 13 h 30.

Schuman : inspiré par la cathédrale

Les 800 ans de l’édifice emblématique de la ville (que l’on fêtera en 2011) fournira matière à un Pag, ou projet d’action globalisée, au collège du quartier Europe dirigé par Joëlle Buard. Les effectifs, 580 élèves environ, sont quasiment stables, voire plutôt en légère hausse. Le partenariat avec la Comédie se poursuivra, et un voyage en Russie sera mis sur pied.

Université : nouveau principal aussi

Pour diriger le collège de la rue de l’Université, on trouve désormais Jean-Pierre Moufflard, un natif de Reims qui arrive de Châlons/Nicolas-Appert. Il succède à Benoît Bidot parti en terre bordelaise. L’établissement frôle les 700 élèves (697), ce qui représente une hausse d’une bonne dizaine d’unités. Une nouvelle conseillère principale d’éducation, Najat Elomri, arrive également. Et l’infirmière, nommée à l’université (la vraie), doit être remplacée.

A noter que le jour de la rentrée, le 2, tous les élèves sortiront à 16 h 25.

A.P.


………

Gros plan sur François-Legros

Au collège François-Legros, on se prépare à accueillir un peu plus de 530 élèves, dont une douzaine de sourds et malentendants.
- Agrandir la photo

Bienvenue aux malentendants et aux sportifs ! Ce pourrait être un des slogans du collège François-Legros, près de l’hippodrome. Celui-ci présente en effet la particularité d’abriter deux unités spéciales (jusqu’à une époque récente, on disait Upi pour Unité pédagogique d’intégration, maintenant Ulis pour Unité locale pour l’inclusion scolaire), destinée aux enfants souffrant de faiblesses auditives ; il accueillera une douzaine de ces derniers cette année.

Et puis il abrite aussi des classes à horaires aménagés pour des jeunes (à partir de la 6e) branchés foot, dans le cadre d’un partenariat avec le Stade de Reims d’une part, pour des sportifs de haut niveau dans diverses disciplines (foot, hand, basket, judo, tennis…) en partenariat avec le Creps d’autre part (là à partir de la 4e, et le recrutement est dans ce cas carrément national). C’est ainsi que Paul-Henri Matthieu et Gaël Monfils par exemple, les deux joueurs de tennis bien connus, sont passés par François-Legros de Reims…

23 nationalités

Un autre trait caractéristique de ce collège : il est particulièrement cosmopolite. On y trouve un nombre élevé de nationalités parmi les élèves (23 selon le principal Roger Cordier) : Afrique, pays de l’Est, Turquie, sont les origines étrangères les plus représentées.

« Ce qui n’est pas sans poser le problème de la barrière de la langue avec les parents, souligne le chef d’établissement. Heureusement, nous bénéficions de l’aide de l’association Relais 51 pour les traductions. »

A cette rentrée, François-Legros accueillera 537 élèves, soit 36 de plus que l’an dernier.

A.P.


***********************************

Union100831b
Handicap et école / Une mère se bat pour ses deux enfants sourds

Claire Potier voudrait que ses enfants continuent à avoir une scolarité dans une classe ordinaire. Ce ne sera pas possible pour le moment.
- Agrandir la photo

Claire Potier voudrait que ses enfants continuent à avoir une scolarité dans une classe ordinaire. Ce ne sera pas possible pour le moment.

REIMS (Marne). Une mère multiplie les démarches afin que ses deux enfants, déficients auditifs lourds, poursuivent leur cursus dans « le circuit ordinaire ». Un véritable chemin de croix.

TOUTE la famille a décidé de déménager durant l’été. De la région de Lyon jusqu’à Reims. Il était donc des plus logiques que les enfants trouvent une école dans la cité des sacres.

Oui mais voilà, lorsque le handicap vous rattrape, obtenir des places dans une école « ordinaire » et la garantie d’un apprentissage « normal » s’avèrent pour le moins compliqués. C’est en tout cas la situation que connaissent un frère de 9 ans et sa grande sœur de 11 ans, tous les deux déficients auditifs lourds. Comme leur maman d’ailleurs.

A Lyon, les deux enfants suivaient le circuit ordinaire via des classes Clis, cellules spécifiques qui mêlent les enfants handicapés aux autres. En clair, ils bénéficiaient d’un interprète au sein de leur classe. Ils pouvaient par ailleurs, côtoyer tout au long de la journée, des enfants qui eux, n’avaient aucun handicap. Une « socialisation importante » pour les enfants et que leur mère voulait « absolument conserver lors de son arrivée dans la cité des sacres », commente son avocat, Me Flasaquier.

Dans les faits, le cheminement va être des plus complexes. Des lettres sont envoyées dès le mois de juin à la Maison départementale du handicap, à l’adjoint municipal en charge du secteur scolaire ainsi qu’à l’académie. « Il y aura de la compréhension dans les réponses mais il n’y a aucun aménagement de proposé. » Une commission (CDA) a tranché, les résultats sont sans appel. Selon la CDAPH, via un courrier reçu samedi dernier, cette jeune mère de famille n’a pas le choix. Ses deux enfants ne seront pas admis dans des classes ordinaires « car le département de la Marne ne possède pas d’auxiliaire de vie scolaire formé à la langue des signes ». Il faut préciser aussi que la Ville de Reims dispose d’un dispositif performant avec l’institut Michel-Fandre, spécialement conçu pour l’accueil des jeunes handicapés (lire ci-dessous).

Afin de tenter de conserver ses enfants « dans le circuit ordinaire », la mère a décidé de montrer à l’académie qu’elle faisait des efforts. « Ma cliente a accepté de faire redoubler sa fille afin qu’elle soit dans la même classe que son frère. Ce qui ne permettrait la monopolisation d’un seul interprète lors des cours au lieu de deux. Par ailleurs, elle a accepté de supporter ce coût malgré ses conditions financières délicates », poursuit Me Flasaquier.

Concession

En effet, pour deux interprètes qui se relaient et un auxiliaire de vie scolaire, il faut compter 28 000 euros par année scolaire. « On réalise des annonces, mais les moyens ne sont pas là. On ne peut donc pas dire que les enfants, a fortiori les handicapés, peuvent choisir leur lieu de scolarité », poursuit l’avocat.

Claire Potier, la mère de deux petits, ne compte pas baisser les bras. Elle effectuera prochainement un recours gracieux auprès de la Maison départementale des personnes handicapées de la Marne.

« Nous avons pour objectif d’ouvrir un pôle d’accompagnement pour les élèves sourds avant la Toussaint. Cela concernera plusieurs écoles. Par ailleurs, nous ouvrons cette année, deux Clis supplémentaires, ce qui montre une volonté profonde de progresser. Des auxiliaires de vie ont été recrutés. Nous nous efforçons en tout cas de répondre le plus possible à la demande de chaque famille. A Reims, le taux d’inclusion des élèves handicapés ne cesse de grimper », confie Anne-Marie Filho, inspectrice d’académie.

Th. D.


----------

L’institut Michel-Fandre voudrait « plus de moyens »

Pour certains malentendants, des prothèses peuvent être utilisées, dès le plus jeune âge.
- Agrandir la photo

Loïc Haffray, directeur de l’institut Michel-Fandre, structure spécialisée dans l’accueil des jeunes déficients auditifs, visuels et ayant des troubles du langage, a vu des progrès depuis des années. Et espère en voir d’autres.

Combien d’enfants bénéficient du travail de votre centre ?

Loïc Haffray : Nous accompagnons environ 130 enfants dont les âges varient de 0 à 20 ans. Nous travaillons au sein de notre établissement mais aussi au cœur de « l’école ordinaire ». A l’institut, nous nous occupons des enfants qui nécessitent des prises en charge les plus lourdes. Ces dispositions existaient déjà avant le texte de loi de 2005.

Disposez-vous de moyens suffisants ?

L.H. : Le texte de loi est généreux. C’est une avancée supplémentaire pour l’accueil des handicapés dans des classes ordinaires. Mais nous ne disposons pas des moyens nécessaires pour satisfaire au maximum les enfants et les familles.

Quels sont vos plus gros besoins ?

L.H. : Nous avons une centaine de collaborateurs en tout. Mais nous avons énormément de mal à trouver des interprètes en langue des signes ainsi que des enseignants spécialisés pour travailler en contact avec des enfants handicapés. Par ailleurs, je recherche toujours un orthophoniste.


----------

La loi de février 2005

La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté a engendré, dans chaque département, la création d’une maison départementale des handicapés. Cette MDPH est en fait un groupement d’intérêt public qui réunit plusieurs entités : le Département, l’Etat, les organismes d’assurance-maladie et d’allocations familiales.

Cette maison départementale est un guichet unique qui a pour mission d’accueillir, informer, accompagner et conseiller les personnes handicapées ainsi que les enfants. Ce texte législatif va plus loin encore. Extrait. « La loi du 11 février 2005 affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile, à un parcours scolaire continu et adapté. Les parents sont de plus étroitement associés à la décision d’orientation de leur enfant et à la définition de son projet personnalisé de scolarisation ». En milieu ordinaire, c’est-à-dire que c’est à l’établissement de s’adapter à l’enfant et non à l’enfant d’être forcément scolarisé au sein de telle ou telle classe. Un contournement des textes législatifs qui s’explique, le plus souvent sous couvert d’anonymat, dans les couloirs des diverses académies, par un manque de moyens et de budget. Payer un interprète et des assistants de vie scolaire induit forcément un coût. Des progrès ont été effectués depuis la promulgation de cette loi. Mais, il y a un distinguo à effectuer entre les effets d’annonce et les volontés politiques affichées lorsqu’on les confronte aux réalités abruptes du terrain.


***********************************

Union100831a
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHES

Maître d’ouvrage : PLURIHABITAT L’EFFORT REMOIS, 7, rue Marie-Stuart 51100 Reims.

Objet du marché : marché de travaux de rénovation électrique à Reims, Tinqueux et Fismes. Réf. : MA-170610.

Lots, corps d’état, entreprise, montant euros H.T. :
- Lot 01 : 120, bd Vasco-de-Gama et 43/43 bis, rue Dumont-d’Urville à Reims (2010/2011) ; FME ; 83.381,34 euros.
- Lot 02 : 1/3/5, rue Jacques-Simon et 1/3, rue Gandon à Reims (2010/2011/2012) ; FME ; 110.182,49 euros.
- Lot 03 : 33, 41, 43, 45 et 47, rue François-Dor et 2, 4, 6, 10 -3, 5, 7, rue Sculpteur-Jacques à Reims (2010/2011) ; FME ; 186.263,85 euros.
- Lot 04 : Rues des Anémones, Capucines, Tournelles et Bleuets à Fismes (2010/2011) ; SEBELEC ; 63.443,61 euros.
- Lot 05 : individuels Champ-Paveau à Tinqueux (2010/2011/ 2012) ; SEBELEC ; 166.646,92 euros.
- Lot 06 : collectifs Champ-Paveau à Tinqueux (2010/2011/ 2012) ; LAVOYE ; 226.320 euros.
- Lot 07 : 12 bis/12 ter, Cook et 37, d’Urville à Reims (2011) ; FME ; 98.270,87 euros.
- Lot 08 : Châtillon Tour U et 7, place des Argonautes à Reims (2011/2012) ; FME ; 116.882,77.

Montant du marché : 1.051.391,85 € H.T.

Pour tous renseignements, vous pouvez contacter le service marchés : Mme FORRAY 03.26.05.92.33 / Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / M. MEUNIER 03.26.04.99.82.

Date d’envoi à la publication : le 17 août 2010 aux journaux L’UNION (Marne, Aisne, Ardennes) et L’EST ECLAIR.


***********************************

Union100830a
Le tram sera prioritaire

Nouveauté qu’il faudra intégrer : il y aura des feux dans les giratoires à Croix-Rouge pour laisser passer le tram.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Il faut commencer à penser tram. La bête ne sera pas que pratique et colorée, elle sera aussi dangereuse et prioritaire.

LANCÉ à 40 km/h, le tram aura besoin de 40 mètres pour stopper ses 39 tonnes. Un cycliste qui roulerait sur la plate-forme et qui se prendrait la roue dans un rail alors que le tram arrive derrière lui a toutes les chances de se faire écraser.

Même scénario pour un jeune, les écouteurs, avec musique à fond sur les oreilles, qui couperait la voie sans regarder. Pareil pour un automobiliste qui s’engagerait sur les rails dans un carrefour et s’y retrouverait bloqué par un bouchon.

Il va falloir apprendre à vivre avec le tramway, car ce n’est pas inné. La société Mars qui pilote le projet Tram commence à distribuer des dépliants de mise en garde. A vélo, à pied ou en voiture, cette plaquette récapitule les comportements à avoir et surtout à ne pas avoir.

A première vue tout paraît évident. Qui aurait l’idée de traverser les rails sans regarder si un tram n’est pas en train d’arriver ? Un fada, pas un Rémois. « Ce n’est pas si sûr. Les piétons ont l’habitude du bus qui peut piler ou les éviter d’un coup de volant ». Le tram est comme un train, il emportera tout ce qui se trouve devant lui.

Comme un train

« Dans les villes où un tram circule depuis longtemps, les accidents sont rares. Même quand une nouvelle ligne est ajoutée, les gens ont l’habitude et ne se font pas avoir. C’est plus compliqué dans une cité comme Reims où les habitudes du tramway ont été perdues depuis longtemps », explique Christian Messelyn, président de Mars. « Nous avons au moins pour nous d’avoir des rames colorées qui ne se confondent pas avec la couleur des façades. » Le tram roulera de 30 à 70 km/h. Il sera à 70, rue Laberte, sur les Promenades et avenue De-Gaulle. Avenue de Laon, rue Thiers et dans Croix-Rouge, il roulera à 50 km/heure. Cours Langlet, rue de Vesle, il sera à 30. Rue Schweitzer, seul endroit avec le pont de Vesle où il se partage le terrain avec le trafic automobile, il sera à au maximum à 50 mais devrait le plus souvent rouler à 30. Dans tous les cas et partout, il sera prioritaire. Même devant les poussettes. Tout accrochage avec lui vaudra un malus sur le contrat d’assurance.

De 30 à 70 km/h

Quelle qu’en soit la raison, il sera interdit de circuler sur la plateforme où se trouvent les rails. Une interdiction un peu hypocrite qui servira à exonérer Transdev de toute responsabilité en cas de pépin. Un peu hypocrite car il est évident qu’il y aura du monde sur cette plateforme quand le tram n’y sera pas. Rien qu’avenue de Laon où rien n’a été prévu pour les cyclistes, la plateforme centrale risque de faire office de piste cyclable. En cas d’accident, la responsabilité juridique ne reposera peut-être pas sur les épaules de transporteur mais responsabilité politique, il y aura.

Catherine FREY


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100829b
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7356 du 23 août au 29 août 2010.

----------

AVIS D’ATTRIBUTION

1. MAITRE D’OUVRAGE S.A. d’H.L.M. LE FOYER RÉMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.

2. MODE DE PASSATION DU MARCHE Dialogue compétitif.

3. INTITULE DU MARCHE Réhabilitation urbaine du quartier Pays-de-France îlot A à REIMS.

4. ATTRIBUTION : SA PERTUY CONSTRUCTION, 20 rue Blaise Pascal - 54320 MAXEVILLE pour un montant total de 14.263.561,00 € H.T.

5. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS : Le 15/08/2010.

Il est également possible de consulter l’avis d’attribution relatif à ce marché sur le site du Journal Officiel de l’Union Européenne (JOUE), référence : 2010/S 158-243538.

88117


----------

AVIS D’ATTRIBUTION

1. MAITRE D’OUVRAGE : S.A. d’H.L.M. LE FOYER REMOIS, 8 rue Lanson, B.P. 1 - 51051 REIMS CEDEX.

2. MODE DE PASSATION DU MARCHE : Dialogue compétitif.

3. INTITULE DU MARCHE : Réhabilitation urbaine du quartier Pays-de-France îlot B à REIMS.

4. ATTRIBUTION : SA PERTUY CONSTRUCTION, 20 rue Blaise Pascal - 54320 MAXEVILLE pour un montant total de 15.128.820,80 € H.T.

5. DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS : Le 15/08/2010.

Il est également possible de consulter ravis d’attribution relatif à ce marché sur le site du Journal Officiel de l’Union Européenne (JOUE). référence : 2010/S 158-243539.

88118


***********************************

Union100829a
Reims / Trahi par l’ADN Il monte dans une auto volée « pour s’amuser »

Une Renault Clio, volée entre le 30 octobre et le 2 novembre 2009, a été retrouvée le 28 décembre allée des Landais, dans le quartier Croix-Rouge à Reims.

Les analyses effectuées par la police technique et scientifique ont permis d’isoler une trace ADN correspondant au profil génétique d’un Rémois de 27 ans. Informés du résultat, les enquêteurs sont allés le chercher jeudi matin… à la maison d’arrêt de Reims (il a été écroué cet été après une condamnation à six mois ferme pour un vol, des dégradations et des violences) Placé en garde à vue, le jeune homme a contesté le vol de la voiture. Il affirme qu’elle était déjà fracturée, abandonnée sur un parking, lorsqu’il s’est amusé à s’asseoir au volant pour faire semblant de conduire.

Un camarade l’accompagnait, dit-il, mais celui-ci est actuellement emprisonné au centre de détention de Villenauxe-la-Grande (Aube). Les policiers vont devoir l’interroger. Le copain détenu à Reims a été reconduit en cellule dans l’attente de la suite de l’enquête.


***********************************

Union100828a
TENNIS / France 2e série : Braidy en reprise

Blessée depuis un mois aux adducteurs, au point d’abandonner au tournoi d’Houlgate (Calvados) il y a deux semaines, Charline Braidy (- 4/6, Champagne-Ardenne) effectuera sa rentrée aujourd’hui à Roland-Garros, à l’occasion des championnats de France 2e série.

Battue par Caroline Collomb (0, Troyes) en finale des championnats régionaux mi-juin à Reims, l’Ardennaise (19 ans) bénéficie de la générosité de son adversaire, qui lui a laissé sa place à Paris.

Avant de s’accorder une semaine de vacances, la joueuse de Géo-André Reims sera opposée à la Caennaise Marion Gaud (- 30, Normandie) au premier tour. « Elle est plus âgée que moi, possède une bonne frappe de balle, mais est parfois défaillante mentalement », explique Charline Braidy. « Nous ne nous sommes jamais rencontrées. »

Si l’élève de Stéphane Heyd ne partira pas favorite, elle garde un bon souvenir de l’ocre parisienne puisqu’elle s’était hissée en quarts de finale des championnats de France 17-18 ans l’année dernière. Elle terminera la saison par le tournoi de Rue (Somme) et l’ITF de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) avant de rempiler pour une année au Creps de Reims.

Exilée au TCDijon, Julie Gervais (- 15, Bourgogne) avait également obtenu une invitation pour le rendez-vous de la Porte d’Auteuil.Las, la Carolomacérienne est arrêtée depuis trois mois en raison d’une tendinite à une épaule. Elle espère reprendre l’entraînement très prochainement.

C.G.


***********************************

Union100827c
Association cherche bénévoles : Donner le goût de la lecture aux enfants

Claire Métréau, présidente
- Agrandir la photo

Claire Métréau est présidente de l’association « Lire et faire lire dans la Marne ».

l’union : Quelques mots sur l’origine et les buts de votre association ?

Claire Métréau : « Lire et Faire Lire, créée à l’échelon national par l’écrivain Alexandre Jardin, permet aux aînés de faire passer l’amour de la lecture aux enfants des écoles et des structures socioculturelles. Notre groupe marnais s’est constitué il y a dix ans et compte à ce jour 180 bénévoles. »

De quelles façons intervenez-vous ?

« Nous nous rendons sur place, lire des livres de jeunesse à de petits groupes de 5 à 6 enfants, pendant ou hors temps scolaire ».

« Nous travaillons avec les enseignants et constatons avec satisfaction qu’au bout d’une ou deux années de nos actions dans les écoles, l’intérêt pour la lecture s’y est réellement développé. 5 500 enfants sur toute la Marne bénéficient de nos services, soit environ 10 % des enfants scolarisés. Nous souhaiterions élargir notre champ d’intervention et recherchons de nouveaux bénévoles, surtout dans les zones rurales. »

Il faut un talent particulier pour être lecteur ?

« Il n’est pas nécessaire d’être enseignant ! Il faut juste avoir plus de 50 ans, aimer la lecture et les enfants. Qui ne leur a jamais lu d’histoires ? »

« Nous nous chargeons de développer ces talents en organisant des formations. Quant au temps consacré, ce peut être une heure ou plus, dans une structure toujours proche du domicile. Nos jeunes auditeurs nous accueillent avec un tel enthousiasme qu’il est difficile de résister ! »

Renseignement au 23, rue A.-Daudet à Reims. Tél. 03.26.84.36.90 le jeudi après-midi.


***********************************

Union100827b
Reims / Comparution immédiate Il brûle une voiture et frappe un policier : 22 mois ferme

LE casier judiciaire de Denis M’Guirisima est lourd de dix condamnations. La dernière - six mois de prison dont quatre avec sursis pour un vol - datait du 3 juin. La onzième est tombée dès hier après-midi : vingt-deux mois d’emprisonnement pour avoir incendié une voiture et agressé des policiers en garde à vue.

Domicilié au quartier des Pays-de-France, ce jeune Rémois de 25 ans n’a jamais vraiment travaillé, et n’a jamais vraiment cherché un emploi. Le 29 juillet, une personne chargée de son suivi le sermonne pour qu’il respecte enfin les obligations d’une précédente mise à l’épreuve. Le soir même, Denis M’Guirisima s’alcoolise et part se promener à pied.

Il arrive au quartier Val-de-Murigny où il repère une Citroën AX stationnée rue Fénelon. Personne aux alentours. Il plie la portière, fouille l’habitacle mais ne trouve rien d’intéressant à voler. « J’ai sorti mon briquet. J’ai mis le feu au siège. Le feu a pris doucement. J’ai fermé la portière et je suis parti. »

Il s’exhibe au commissariat

Sans doute pensait-il effacer toute trace de son passage avec la destruction du véhicule. Sauf que l’incendie se limite à l’habitacle. Sur une portière intacte, les policiers découvrent une empreinte digitale du jeune homme.

Denis M’Guirisima est arrêté mardi matin. Assis sur un banc du commissariat, il lui est demandé de suivre un geôlier pour la fouille de sécurité. Il refuse. Le policier insiste. Il se lève, baisse son short et exhibe ses parties génitales…

« C’était pour lui montrer que je n’avais rien sur moi », a-t-il tenté d’expliquer maladroitement.

Le short remonté, il se rassoit. A bout de patience, le policier l’attrape par le bras. « Dans ma tête, je me suis dit : « s’il me tient, je vais le tenir aussi ». Denis M’Guirisima l’attrape par le col, lui serre le cou, déchire sa chemise, lui assène un coup de poing au visage. « T’es mort ! T’es mort ! » hurle-t-il.

Il faut plusieurs fonctionnaires pour le maîtriser. Lors de la notification de ses droits, il répond « Vous me faites ch… ! » et tente de sortir du bureau.

L’affaire s’est terminée hier après-midi devant le tribunal correctionnel de Reims. Jugé en comparution immédiate pour l’incendie et les violences, Denis M’Guirisima a pris dix mois de prison ferme, plus une révocation de sursis d’un an, soit vingt-deux mois à purger derrière les barreaux.

Il devra verser - si un jour il le peut - 600 € au policier, 670 € au propriétaire de la voiture, lesquels peuvent encore espérer la prise en charge de leur préjudice par une commission d’indemnisation en cas de défaillance du prévenu.

L’auto qu’il a brûlée servait beaucoup aux proches de la victime. « J’ai un frère au chômage. Il l’utilisait pour ses recherches d’emploi. »

F.C.


***********************************

Union100827a
Reims : une voiture incendiée

Dans la nuit de mercredi à jeudi, vers 23h 45, une Renault Mégane a été détruite par le feu sur un parking du groupe Eisenhower.

Il s’agit d’un acte criminel.

Une bouteille incendiaire a été retrouvée dans la carcasse.


***********************************

Union100826c
Stéphanie Tadla revient à ses premières amours.

Stéphanie Tadla retourne dans la grande famille des Francas, mouvement d’éducation populaire, le 1er septembre.
- Agrandir la photo

 

 

 

« En effet, mon poste dans le Dispositif de Réussite Éducative Croix-Rouge (Dred) a été pour moi une expérience enrichissante, cependant les volets comme l’engagement des jeunes volontaire dans l’animation des plus jeunes, l’éducation populaire, l’initiative et l’expérimentation de projets nouveaux en lien avec l’enfance et la jeunesse me conviennent davantage ! » explique-t-elle.

Stéphanie Tadla occupera désormais le poste de chargée de développement de la région Champagne-Ardenne aux Francas, un poste basé à Croix-Rouge au 19-23, rue Alphonse-Daudet (tél. 03.26.85.55.18. ou 06.82.91.42.21.).

 

 

 


***********************************

Union100826b
Reims / Drogue Cannabis et cocaïne

Lors d’un contrôle opéré de nuit avenue Bonaparte à Reims, les policiers ont interpellé un homme de 21 ans qui fumait un « joint ».

La fouille a permis la découverte d’une petite quantité de résine de cannabis et de cocaïne. Le consommateur a déclaré s’être fourni auprès d’un inconnu rencontré dans le quartier.

Sanctionné par le biais d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, le garçon a accepté une peine d’un mois d’emprisonnement ferme.

Laissé libre, il la purgera ultérieurement.


***********************************

Union100826a
Reims / Incendies Alertes au feu

Hier vers 10 h 30, une bouteille de gaz a pris feu sur un engin de chantier, rue du Grand-Cerf à Reims. L’incident a été rapidement maîtrisé.

Mardi en fin de nuit, vers 5 h 15, une camionnette Iveco a brûlé avenue Bonaparte. L’incendie est manifestement criminel.

Toujours mardi, à 20 heures, de la fumée s’échappant d’un parking souterrain a motivé l’envoi de gros moyens, rue Jean-Marie-Siegl. Les pompiers n’ont découvert qu’un feu de détritus.

Ce même soir à 23 h 30, une poubelle a flambé rue de Courcelles, devant le n° 108.

Hier vers 0 h 15, des détritus ont pris feu dans un bidon en tôle, à l’extérieur d’une entreprise de la rue de la Gare à Muizon.


***********************************

Union100825b
Des souris et des hommes : Apprendre l’informatique avec l’Acrap

Pour les personnes qui souhaitent se lancer dans l’informatique.
- Agrandir la photo

 

La section Informatique de l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) ouvrira à la rentrée de septembre.

Elle accueillera toutes les personnes qui souhaitent se lancer dans l’informatique. « Vous y verrez l’environnement Windows, la navigation sur Internet, et vous apprendrez à envoyer et recevoir des mails, utiliser des périphériques tels que clé USB, imprimante, scanner, webcam. Vous découvrirez les réseaux sociaux (Facebook, …) et la communication via webcam », précise l’animateur.

Les séances se dérouleront au rythme des participants qui pourront poser toutes les questions leur permettant d’avancer.

Tarif Acrap : 120 € à l’année pour une heure par semaine.

Inscriptions et renseignements du lundi au vendredi de 9 à 12 heures et de 13 à 17 heures au secrétariat, 11, avenue du président-Kennedy (tél. 03.26.06.39.54.).

 


***********************************

Union100825a
La Ville met le paquet pour les écoliers

Hier, Adeline Hazan a constaté l’avancée des travaux de l’école Dauphinot-Courtes Martin.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Début septembre, près de 14.000 petits rejoindront les classes des écoles de la ville. Pour cette rentrée, plus de 17 millions d’euros ont été investis.

« OUVRIR une école, c’est fermer une prison », disait Victor Hugo. A Reims, si la maison d’arrêt ne fermera pas ses portes, on compte bien ouvrir un nouveau lieu d’apprentissage pour les jeunes générations. Ce n’est pas pour rien si la maire de la ville s’est rendue dans les locaux du groupe scolaire Dauphinot-Courtes Martin. En effet, c’est une résurrection qui a eu lieu durant l’été. Fermée depuis de nombreuses années, toute une aile du bâtiment servait de lieu de stockage et de salle de sport aux élèves de l’école maternelle. Désormais, à Dauphinot-Courtes Martin, il y aura aussi une école élémentaire. Des travaux qui auront coûté plus de 430.000 €. Mais il y avait urgence. « Avec la création de nombreuses résidences tout près de notre école, il était nécessaire de pousser les murs. D’ailleurs, l’année passée, nous disposions de quatre classes de maternelle. Pour la prochaine rentrée, nous allons accueillir une classe de plus et 126 enfants. Et nous savons pertinemment que nous devrons nous adapter au cours de l’année car de nouveaux enfants vont arriver. C’est une habitude et c’est un point positif pour le quartier », souligne Eliane Raveau, directrice de l’école maternelle. Sa collègue directrice de l’école élémentaire, Lisette Cordier ne boude pas non plus son plaisir. Dès la rentrée prochaine, elle disposera d’éléments totalement rénovés, de classes plus spacieuses, d’un environnement optimal avec des effectifs raisonnables avec une moyenne de 22 élèves par classe.

Un multi-accueil à Maison-Blanche

Durant tout l’été, des travaux d’aménagement ont été réalisés dans les locaux de l’école élémentaire Maison-Blanche, à deux pas de l’hôpital américain.

Montant de la facture : 800.000 euros.

Ces travaux permettront de libérer les locaux de l’ancienne école maternelle, jouxtant l’édifice. Un multi-accueil sera construit d’une capacité de 60 enfants. Ce multi-accueil devrait ouvrir à l’automne 2012 après le déroulement de nouveaux travaux.

Autre établissement qui est en plein chamboulement, il s’agit du groupe scolaire Jamin. La fin des travaux est prévue pour le courant de deuxième semestre 2011. Les locaux devenus vétustes seront aménagés et un périscolaire verra le jour. Le budget consacré à ce poste est d’environ 7,5 millions d’euros.

17 millions d’euros en un an

En un an, la municipalité rémoise aura dépensé, avec quelques soutiens, plus de 17 millions d’euros pour les travaux dans les écoles, « des postes de dépenses primordiaux » comme l’a souligné la maire Adeline Hazan, hier.

On se rappelle aussi, le 19 avril dernier, de l’inauguration du groupe scolaire Ravel, au cœur du quartier Wilson qui entre directement dans le cadre « du renouvellement urbain de ce quartier ». Un projet qui frôle les 11 millions d’euros.

Sans parler des 1.200 ordinateurs mis à la disposition des enfants pour les 55 écoles maternelles et les 49 élémentaires de la cité.

Th.D.


……….

Les tableaux blancs se multiplient

Les tableaux numériques, une innovation qui tisse sa toile à Reims. A court terme, il s’agit d’équiper chaque établissement de la ville.
- Agrandir la photo

Les tableaux blancs interactifs (TBI) ont déboulé dans les salles de classe il y a quelques années déjà.

Dans la cité des sacres, 24 tableaux numériques sont d’ores et déjà installés dans les classes (4 dès la rentrée 2009 et 20 de plus depuis). Cette nouvelle technologie nécessite des investissements lourds. Câblage, installation et logiciels d’exploitation coûtent entre 5 et 6.000 euros pour qu’une classe soit équipée.

En 2010, 23 autres tableaux blancs interactifs seront mis en place dans le courant de l’année, ce qui portera donc le nombre de ces nouveaux équipements à 47 dans les écoles de la ville.

Par ailleurs, l’installation de ces TBI (une dizaine) sera également effective dans les classes d’intégration spécialisées (Clis), « une priorité pour l’intégration des enfants souffrant de handicap à l’école ».

L’objectif avoué de la Ville est que chaque établissement élémentaire dispose d’un TBI à court terme. Un programme global et une évolution que les parents d’élèves pourront consulter en se rendant sur le site Internet monecole-reims.fr.

Ce site devrait être totalement opérationnel et pourvu de toutes les informations dans les semaines à venir. Soit quelques jours après la rentrée scolaire.


……….

Les travaux en chiffres

Élémentaire Jard : 32.000 euros.
Élémentaire Dauphinot : 432.463 euros.
Maternelle Paul-Bert : 90.000 euros.
Maternelle Prieur-de-la-Marne : 130.000 euros.
Élémentaire Ruisselet : 105.100 euros.
Maternelle Clovis-Chézel : travaux en régie.
Maternelle SNCF : 11.491 euros.
Maternelle Charles-Péguy : 142.933 euros.
Maternelle Raoul-Dufy : 25.000 euros.
Élémentaire Blanche-Cavarrot : 27 000 euros.
Maternelle les Provençaux : 183.000 euros.
Maternelle Hippodrome : 220.000 euros.
Élémentaire Adriatique : 12.000 euros.
Élémentaire Jules-Ferry : travaux en régie.
Élémentaire Trois-Fontaines : 74.735 euros.
Maternelle Trois-Fontaines : 88.236 euros.
Élémentaire la Neuvillette : 145.161 euros.
Groupe Scolaire Gens du Voyage : 61.857 euros.
Groupe scolaire Docteur-Roux : 153.400 euros.
Élémentaire Maison-Blanche : 602.625 euros.
Élémentaire Clairmarais : 8.000 euros.
Élémentaire Desbureaux : 246.000 euros.


***********************************

Union100824b
CONSTITUTION D’UNE S.A.R.L.

S.A.R.L. YANIS.

Nom commercial  : CLEAN NETTOYAGE 51 sous le sigle CN51.
Siège social : 48, avenue Général-Eisenhower, 51100 Reims.
Objet : nettoyage des bureaux et des locaux commerciaux.
Durée : 99 ans à compter de son immatriculation au registre du commerce de Reims.
Capital : 400 euros.
Gérance : M. HADJ IDRIS AHMED demeurant au 48, esplanade Eisenhower, 51100 Reims.


***********************************

Union100824a
Amicale At’Hom aux Hauts-de-Murigny : Les locataires mécontents ont obtenu satisfaction

Il règne une atmosphère de calme et de propreté dans le secteur Jacques-Simon et Yves-Gandon.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

« Nous n’avons plus de massifs de fleurs ! Celles-ci ont desséché par manque d’arrosage et de soins ! »
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

REIMS (Marne). LA réunion de rentrée du Groupement d’associations de défense des locataires de Reims (GADL) avait permis à Danielle Bonfils, présidente de l’association At’Hom (1, allée Yves-Gandon) de présenter plusieurs revendications à l’encontre du bailleur l’Effort rémois.

On relevait « parmi les promesses non tenues, le lessivage des murs des halls d’entrée noircis par l’incendie de mai 2007, qui n’est toujours pas fait ou simplement bâclé ».

Les locataires constataient que « les sols n’ont jamais été décapés en trente-trois ans, les espaces verts sont abandonnés depuis longtemps (pas de plantations), et les parterres ne sont pas clôturés », d’où leur dégradation par les chiens.

Enfin, « les locaux vide-ordures sont très sales, les containers ne se sont pas décapés correctement par les prestataires et il manque des containers ».

Ces doléances avaient « beaucoup surpris » Patrick Sommet, directeur clientèle à l’Effort rémois : « En effet, nous rencontrons régulièrement cette association et entretenons avec elles les contacts nécessaires pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés ».

Il fait bon vivre ici !

Quant à Emmanuel Picardat, directeur de l’agence Effort rémois de Croix-Rouge, il vient d’organiser une rencontre état des lieux « afin de visiter le site At’Hom, pour constater ou non le bon fondement des demandes de l’amicale ».

Nous avons donc visité tout le secteur At’Hom en sa compagnie et avec l’agent relations locataires de l’Effort rémois et pu constater que les locaux vide-ordures et tri sélectif sont débarrassés et nettoyés.

« Certes, on ne pourra jamais empêcher certains locataires peu scrupuleux de déposer leurs ordures devant la porte des locaux, mais d’une manière générale, c’est propre », admet Emmanuel Picardat. « A l’extérieur, les tags ont été effacés et le ramassage de papiers et objets divers est organisé d’une manière plus rigoureuse ».

Les halls d’entrée et les ascenseurs sont propres et les espaces extérieurs, où les nombreux grands arbres nuisent au bon développement de la pelouse, sont en grande partie soignés, même si, de-ci, de-là, quelques papiers sales traînent, mais là encore, « la majorité des locataires est victime du mauvais comportement de certains ». Enfin, la pose d’une barrière limitant la hauteur des véhicules qui entrent sur le parking Adrien-Sénéchal est programmée pour un prochain exercice.


----------

Si le quartier est tranquille et propre, c’est grâce à l’association et aux bénévoles

Danielle Bonfils regrette que l’association n’ait été ni informée ni invitée à cette visite : « L’environnement est très agréable, effectivement.

Malheureusement, les chiens, par la faute de leurs maîtres, ne sont pas toujours tenus en laisse et continuent de faire leurs déjections sous nos fenêtres.

Il faut aussi et surtout préciser que c’est grâce à l’association et au travail de ses bénévoles que nous avons obtenu satisfaction à presque toutes nos demandes : nous surveillons sans cesse les dégradations qui peuvent se produire tant à l’extérieur que dans les communs (en particulier les locaux poubelles) et en informons aussitôt nos responsables de secteur.

Tous les entretiens, lessivages et remises en état des locaux, ont été effectués grâce à nos demandes répétées. Il ne faut pas, aujourd’hui, que les responsables de notre organisme logeur l’oublient. Par ailleurs, nous sommes en pleine période de vacances !

Lors des rencontres que nous avons d’ailleurs régulièrement avec la direction, il nous est bien précisé qu’il y a beaucoup moins de problèmes « là où il existe une amicale ».

« La moindre des choses aurait été de nous avertir »

l’union nous apprend que la pose d’une barrière sur notre parking, limitant la hauteur des véhicules, est programmée.

La moindre des choses aurait été que nous soyons avertis par l’agence, puisque depuis plusieurs mois, nous avons eu de nombreuses discussions avec nos responsables de secteur au sujet de ce parking, depuis que des fourgons d’entreprise viennent s’y garer, après avoir délaissé le parking de Reims habitat, muni depuis plusieurs mois d’une barrière en hauteur. Là encore c’est grâce à notre intervention.

Voilà ce que nous tenons à préciser, car il pourrait sembler que si le quartier est paisible et s’il y fait bon vivre, c’est exclusivement grâce à l’Effort rémois ! Or, nous nous battons chaque jour, pour justement conserver à notre quartier le bien-être d’y vivre ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


***********************************

Union100823a
Secteur Pays-de-France : Premières vacances pour onze familles

Les 24 enfants, âgés de 3 à 17 ans, ont partagé des moments inoubliables avec leurs parents.
- Agrandir la photo

L’association de promotion de Pays-de-France, l’association MJC Croix-Rouge et les Francas de la Marne ont organisé un séjour familial, du 24 au 30 juillet à Fort-Mahon entre la Baie de Somme et la Baie d’Authie.

Onze familles qui résident à Croix-Rouge et en majorité sur le secteur de Pays-de-France y ont participé. C’était, pour beaucoup, leur premier départ en vacances.

43 participants dont 11 familles avec 24 enfants et 8 encadrants bénévoles des trois associations ont ainsi partagé une semaine durant des moments conviviaux.

Stéphanie Tadla (Francas) raconte : « Au-delà de la baignade, les vacanciers ont pu découvrir le farniente sur la plage, visiter l’asinerie du Marquenterre, se balader en vélo et, pour les plus courageux, découvrir la randonnée pédestre dans les dunes. Les parents, aussi émerveillés que les enfants, ont pu découvrir le naturel de la Baie d’Authie après un pique-nique, par le sentier des pêcheurs. Quant aux soirées à Fort-Mahon plage, elles étaient animées et festives. »

Pour prolonger cette aventure, un repas convivial sera organisé en septembre à l’APPF, afin de partager photos et souvenirs.


***********************************

Union100820b
Croix rouge / Maison de quartier : Astrid remplace Sylvie

Sylvie Brin, une figure légendaire quitte l’espace Billard.
- Agrandir la photo
Astrid Saadi-Birkenstock, cheville ouvrière de l’espace Watteau, la remplace.
- Agrandir la photo

 

À compter du 1er septembre, deux mouvements importants affecteront les espaces Billard et Watteau de la Maison de quartier Croix-Rouge.

À Billard, Sylvie Brin, jusqu’ici secrétaire-hôtesse, monte en grade et devient « animatrice globale » (en clair, directrice adjointe) de l’espace Saint-Remi de la Maison de quartier Arènes-du-sud : une belle promotion « qui va me permettre de me remettre à l’œuvre sur le terrain ».

Sylvie Brin sera remplacée à son poste par une figure emblématique de l’espace Watteau, Astrid Saadi-Burkenstock qui, de secrétaire à mi-temps, va devenir secrétaire-hôtesse à plein temps à Billard.

Une promotion donc également pour cette dame à l’éternel sourire, si appréciée des usagers.

Astrid « effectivement, nous quitte pour l’autre bout du quartier au 1er septembre, nous sommes en cours de recrutement pour son remplacement », précise Patrick Schmid, directeur de l’espace Watteau.

Pour répondre à une inquiétude légitime des usagers de Billard, Sylvie Brin tient à rassurer : « l’opération « Bourse aux livres » que nous avons lancée à Billard sera maintenue, je m’y engage. Par ailleurs les activités du groupe des randonneurs de Billard, réunis maintenant sous l’appellation groupe Escapades et devenus autonomes, seront également maintenues. »

 

 


***********************************

Union100820a
Education / Trois établissements changent de rythme

Elisabeth Becker, proviseure du lycée Arago : « Il y aura des activités sportives bien sûr, mais aussi culturelles : de la danse ».
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Annoncée le 24 mai dernier par le ministre de l’Education Luc Chatel l’expérimentation « cours le matin, sport l’après-midi » débutera dès la rentrée dans deux établissements de Reims et un de Tinqueux.

PARTANT du postulat que « le sport apprend le respect des autres, le respect de la règle, de la loyauté et du développement de soir », Luc Chatel, ministre de l’Education a décidé de lancer dans une centaine de lycées et de collèges de l’hexagone dont trois dans l’agglomération rémoise une expérience déjà pratiquée depuis longue date outre Rhin et baptisée : « cours le matin, sports l’après-midi. »

Parmi les établissements qui mettront en place cette expérience : le collège Georges Braque et le lycée François Arago de Reims et le lycée Croix Cordier de Tinqueux. Proviseure du lycée Arago, Elisabeth Becker, la seule resonsable d’établissement déjà rentrée hier nous donne les grandes lignes du projet d’expérimentation préparée en juin par les enseignants d’éducation physique sportive Delphine Lebègue, Sylvain Moret et Remi Parizl en liaison avec l’équipe pédagogique.

Sport et culture

« Nous avons déjà deux classes de seconde sports étude au lycée qui accueille en liaison avec leurs clubs des sportifs de haut niveau du Creps dans de nombreuses disciplines : athlétisme, football, natation, basket, cyclisme… (NDr : la jeune championne du monde cycliste de course en ligne Pauline Ferrand Prevot vient de réussir son bac à Arago).

Nous nous sommes dit qu’il serait intéressant qu’une des deux autres classes de seconde restante puisse ouvrir à la rentrée des horaires aménagés pour des jeunes volontaires et motivés. »

5 000 euros de budget

Dans la classe retenue (2e C ou 2e D) les élèves feront en plus des deux heures d’éducation physique hebdomadaires le lundi, sept heures de sport dans le cadre de l’association sportive du lycée avec prise de licence obligatoire, participation aux entraînements et aux compétitions (les lundis, mardis, mercredis).

A cela s’ajoute le vendredi 3 à 4 heures hebdomadaires dans le cadre de la découverte des activités sportives dans une structure extérieure : le canoë-kayak et l’aviron pour la fin et le début d’année, l’escalade et le hip-hop pour les mois d’hiver.

Et pas question de sécher les après-midi, toutes les activités seront obligatoires. S’ajoute une heure de soutien scolaire le jeudi.

Il n’y aura pas que du sport l’après-midi puisque le mercredi après le sport UNSS, le lycée Arago fera participer les élèves à un enseignement d’exploration « Arts du spectacle » piloté par Delphine Lebègue (prof d’EPS et Thierry Rousseau, prof d’histoire). Il s’agit d’un projet globalisé consacré à la danse avec le Manège de Reims sur le thème : « Le point de vue. ».

Deux heures de danse avec un prof d’EPS, 20 heures avec un professionnel du spectacle, découverte de trois spectacles, réalisation d’une prestation dansée en fin d’année soit un total de 90 heures consacrées à la danse.

Pour conduire cette expérience l’établissement dispose d’un budget de 5 000 €. Pour financer deux heures hebdomadaires au prof chargé de la répartition des activités et de l’organisation des cycles de pratique sportive, pour permettre aux élèves de se déplacer en bus sur les lieux de pratique sportive, pour assurer un suivi médical avec au besoin l’intervention d’un nutritionniste, pour l’élabotation des repas et l’éducation alimentaire.

Elisabeth Becker, proviseure du lycée Arago : « Il y aura des activités sportives bien sûr, mais aussi culturelles : de la danse ».

Alain MOYAT


----------

Les objectifs poursuivis

Ils l’ont clairement exprimé dans leur projet. Pour les professeurs d’EPS, la mise en place de ce projet doit permettre d’atteindre plusieurs objectifs propres à l’éducation physique et sportive : développer chez les élèves une curiosité « sportive » et les aider à développer leur goût de l’effort,
- comprendre et accepter les règles et habitudes de fonctionnement propres aux différentes spécialités sportives,
- connaître et expérimenter les différentes formes de pratique sportive présentes dans notre société : pratique de loisir, d’entretien, de compétition, comprendre et connaître les bienfaits de la pratique sportive sur la santé,
- créer dans l’établissement une vraie dynamique de pratique sportive en s’appuyant sur l’expérience de l’association sportive.


***********************************

Union100819b
« L’été s’affiche à Croix-Rouge » / Défi relevé

Un succès incontestable pour les mères de famille avec leurs enfants.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

« L’été s’affiche à Croix-Rouge », une belle aventure, est terminée et le temps des bilans est venu.

Yves Pringault établira évidemment celui, officiel, de la Maison de quartier. La ville de Reims, principal financeur, y a cru dès le début et s’est engagée financièrement dans ce projet : « comme dans toute première édition, il y a des bilans à tirer, des améliorations à apporter. La municipalité le fera le moment venu », promet le premier adjoint Éric Quénard.

Nous avons voulu établir celui de la vingtaine d’associations et des nombreux particuliers bénévoles qui ont participé à cette innovation. Un seul bénévole, Allaoui Bensad, a commenté : « La plus grande réussite a été le retour d’Abdel (Errafii), le seul à savoir assurer sur tous les plans ! »

Et une seule structure a accepté de nous répondre, l’association de promotion de Pays-de-France, qui applaudit : « Nous n’avons qu’une chose à dire : bravo à vous tous, qui avez travaillé sous la chaleur ! Merci, à recommencer ! »

Du côté des politiques, une seule réaction, celle d’Éric Quénard : « Pour une première édition, ce fut une réussite. C’était un pari que de proposer aux familles et aux jeunes, trois semaines durant, des activités de loisirs entrecoupées de performances artistiques sur l’hippodrome, dans l’opération « Un été dans la ville » à destination de ceux qui ne partent pas en vacances. Je pense que ce défi a été relevé. Ce que je retiens, ce sont les sourires de ces mères de familles du quartier croisées à l’occasion de mes visites. »

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


***********************************

Union100819a
Reims / Deux arrestations 27 boxes cassés, 3 scooters volés

Dans la nuit de dimanche à lundi, deux copains de 19 ans ont quitté leur quartier Croix-du-Sud pour une virée à Murigny. Objectif : farfouiller dans les parkings souterrains.

Rue Guillaume-Apollinaire, les deux lascars ont fracturé 17 boxes de garage.

Ils ont volé un scooter (avec le casque). Le temps d’aller le cacher dans une cave de la place Maurice-Utrillo, ils sont retournés à Murigny, rue André-Faivre, pour casser dix boxes supplémentaires. Ils en sont ressortis avec deux scooters.

Heureusement, une patrouille de police passait par-là. Pris sur le fait, les voleurs ont fini par reconnaître la précédente série d’effractions rue Guillaume-Apollinaire (le scooter dissimulé place Maurice-Utrillo a été récupéré par les enquêteurs).

Laissés libres, les deux compères sont convoqués le 22 août au tribunal pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (plaider-coupable, avec proposition d’une peine par le procureur). Toutes les victimes n’ont pas encore déposé plainte.


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100818a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7355 du 16 août au 22 août 2010.

----------

EXTRAIT DES MINUTES DU GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE REIMS

CLOTURE POUR INSUFFISANCE D’ACTIF



----------

Par jugement du 21/07/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : CUGNET Benoit Jean Marcel,

16 allée Yves Gandon - 51100 REIMS.

Activité : Journaux, papeterie, bimbeloterie, glaces, vidéos, photos développement, dépôt pressing, mercerie. R.C.S. REIMS 2005 A 254 -A 484 429 816.

88069 Le greffier : Bernadette DELPY.


----------

Par jugement du 21/07/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de INSTINCT (SARL),

14 av. Eisenhower - 51100 REIMS.

Activité Vente sur marchés d’articles textiles, de bibelots, de divers objets de décoration, de matériel informatique.

R.C.S. REIMS 2008 B 639 - B 507 992 204.

88070 Le greffier : Bernadette DELPY.


----------

Par jugement du 21/07/2010, le’ tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de LOUMI Abdeslam,

4 pl. Auguste Rodin - 51100 REIMS.

Activité : Travaux du bâtiment. Non inscrit au R.C.S. de REIMS.

88061 Le greffier : Bernadette DELPY.


----------

Par jugement du 21/07/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de BER4TRANSPORTS (SARLU),

7 allée Edgar Degas - 51100 REIMS.

Activité : Transport routier de marchandises de moins de 3,5 tonnes, pour les entreprises, les collectivités et les particuliers. R.C.S. REIMS 2006 B 155 - B 488 925 595.

88082 Le greffier : Bernadette DELPY.


----------

Par jugement du 07/07/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de A.P. SECURITE (SARLU),

2 allée des Bourguignons - 51100 REIMS.

Activité Gardiennage, surveillance, télésurveillance, protection des biens professionnels et particuliers. R.C.S. REIMS 2004 B 395 - B 477 745 178.

87960 Le greffier : Bernadette DELPY.


----------

Par jugement du 07/07/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de la liquidation judiciaire de : AGRIBAT (SARLU), 49 esplanade Eisenhower - 51100 REIMS.

Activité : Maçonnerie, Bâtiment. R.C.S. REIMS 2007 B 682 -B 500 789 672.

87956 Le greffier : Bernadette DELPY.


----------

Par jugement du 07/07/2010, le tribunal a prononcé la clôture pour insuffisance d’actif de fa liquidation judiciaire de : SARL CB & TP, 30 avenue Général Eisenhower - 51100 REIMS.

Activité : Travaux publics et tous travaux du bâtiment. R.C,S. REIMS 2005 B 276 - B 482 170 271.

87991 Le greffier : Bernadette DELPY.


***********************************

Union100817b
Une rentrée à l’école avant l’heure

Thierry a obtenu son Bac avec la mention « bien ».
- Agrandir la photo
Les élèves ont repris le chemin des cours, quinze jours avant la rentrée.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). « January, February, March, April, May… », reprenaient les élèves du lycée Arago avec Marie-France Velter, leur professeur d’anglais.

Effectivement, depuis hier et jusqu’au 26 août, des élèves d’une quinzaine d’établissements scolaire rémois et marnais ont repris le chemin des classes.

À travers le dispositif de réussite scolaire, mis en place au lycée Arago, des élèves volontaires de seconde et de terminale, de toutes les filières, auront la possibilité de travailler différentes matières afin de reprendre le rythme scolaire mais aussi de se perfectionner dans les matières dans lesquelles ils rencontrent quelques difficultés. « Pour le premier jour, nous avons déjà une trentaine d’élèves, je pense qu’une soixantaine viendra durant cette quinzaine », explique Benoît Dieu, chargé de mission auprès du recteur de l’académie.

Ces élèves se verront offrir du soutien et du renforcement scolaires, adaptés au niveau de chacun, des activités culturelles en collaboration avec La Comédie de Reims et l’université (URCA).

Il obtient son bac avec mention

Thierry, un jeune lycéen originaire de Bazancourt participe à ce programme pour la seconde année consécutive, et le moins que l’on puisse dire, c’est que pour lui ça a bien marché.

« J’ai obtenu mon bac cette année avec mention « bien ». Début septembre, je rentre en classe prépa au lycée Clemenceau. Ce genre de dispositif est vraiment bien pour reprendre le rythme, réapprendre à se lever le matin et c’est important avant la vraie reprise », explique le jeune homme.

Au programme, maths, français, histoire, chimie, anglais… avec des professeurs dans chaque matière.

Pour cette dernière, le programme se tourne davantage vers la pratique de la langue avec des salles de cours moins chargées, où profs et élèves peuvent échanger plus facilement.

« C’est 40 heures de cours étalées sur deux semaines, ce qui n’est pas rien en terme de travail », conclut Benoît Dieu.

Des places sont encore disponibles pour ce programme totalement gratuit, pour cela il suffit de contacter le lycée Arago au 03.26.06.40.25.

TAF


***********************************

Union100817a
Langage des signes

Des stages intensifs de langue des signes française (LSF) se déroulent du 23 au 27 août, niveau 8 ; du 30 août au 3 septembre, niveaux 1 et 5 ; du 6 au 10 septembre, niveau 3.

Pour tout renseignement, contactez l’association des Gestes pour se comprendre, 57, esplanade Eisenhower, boîte postale 5, 51571 Reims cedex 2.

Tél, 03.26.08.96.48.

Courriel : infos.lsf@dgpc.fr


***********************************

Union100816a
REIMS / Sur tous les feux : Les pompiers mobilisés

Plusieurs feux ont émaillé la journée de vendredi dernier, mobilisant ainsi les sapeurs-pompiers rémois sur les lieux de plusieurs incendies.

Entre autres, un feu de poubelle, dont l’origine demeure indéterminée, survenu peu avant 13 heures dans un local à ordures d’un immeuble situé au 4 de l’allée des Bourguignons, dans le quartier Croix-Rouge. Selon les premières constatations effectuées par les soldats du feu, le foyer a été localisé au niveau d’un canapé entreposé dans le local.

Un autre feu, de détritus cette fois, a par ailleurs pris naissance au cours de la soirée, vers 21 heures, rue Jean XXIII, dans le secteur de Neufchâtel, à proximité d’un campement des gens du voyage.

La série s’est d’ailleurs poursuivie samedi soir, rue Jules-Staat, où quelque 1 200 mètres cubes de traverses de voie ferrée stockés près de la gare de triage de Reims, sont partis en fumée pour une raison indéterminée, mais vraisemblablement d’origine volontaire. Les sapeurs-pompiers ont œuvré plusieurs heures au cours de la nuit afin de circonscrire le sinistre, de procéder au déblaiement des lieux et prévenir tout risque de reprise de feu.

F.B.


***********************************

Union100814a
A Pays-de-France, terrasses ou balcons pour tout le monde

La mixité sociale est l’un des objectifs recherchés.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

À l’angle de l’avenue du Général-Bonaparte et de la rue François-Arago, 33 nouveaux appartements du type 2 au type 5, dont 3 adaptés pour les personnes à mobilité réduite, viennent d’être livrés par Le Foyer rémois.

Ces bâtiments comportent terrasses ou balcons et comptent au total 71 places de stationnement en sous-sol. Ces logements bénéficient de la certification « Qualitel » garantissant confort et qualité de vie aux futurs occupants, mais également du label « Haute performance énergétique » qui certifie les constructions neuves respectueuses de l’environnement. La conception économe des bâtiments garantit la maîtrise des charges pour les occupants.

Les résidents bénéficient d’un jardin privatif entre les deux bâtiments. Les deux immeubles se situent sur le trajet de la future ligne de tramway et à proximité de la station « Arago » et de l’espace vert du parc Arago.

Ce programme, financé en PLS (Prêt locatif social) et Plus-CD (Prêt locatif à usage social-construction démolition), a bénéficié du financement de l’Anru (Agence nationale pour le renouvellement urbain), de la Caisse des dépôts et consignations et du Crédit foncier.

Ces logements ont été complétés par la construction de nouveaux commerces. En effet, dans la continuité du centre commercial Arago, après La Poste, six nouvelles surfaces de commerces-services, de 74 à 105 m2, accessibles depuis l’avenue du Général-Bonaparte, sont ouvertes : une boulangerie pâtisserie, un tabac-presse, un local pizza, kebab, pâtes et salades, un magasin d’alimentation Afric-Asie, une solderie tous produits sauf alimentaires, Oz’Affaires, et une boucherie charcuterie halal, le long de l’axe structurant du tramway.

Après la reconstruction du collège Joliot-Curie, puis la destruction de la célèbre passerelle Bonaparte en août 2009, après les travaux en cours sur le lycée François-Arago et l’érection du nouveau gymnase Jean-Jacques Lapique et enfin avant l’arrivée du tramway, le nouveau quartier se redessine chaque jour un peu plus.

Vers une transformation de fond

Et ce n’est qu’un commencement, cette opération constituant la première étape majeure dans le projet de renouvellement urbain du quartier Pays-de-France, avant les deux projets de rénovation urbaine (îlots A et B) entrepris par le Foyer rémois de part et d’autre de l’avenue du Général-Bonaparte et qui devraient se terminer fin 2013 : réhabilitation et résidentialisation de 530 logements dans les mois qui viennent, poursuite de la réalisation de l’espace commercial Pays-de-France-Arago avec la construction de nouvelles cellules pour des commerces et des services qui relieront les commerces actuels au bureau de La Poste, démolitions ponctuelles de logements pour permettre l’aménagement de voiries et de cheminements piétons et désenclaver le secteur, sans oublier la création d’un équipement public actuellement à l’étude.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


----------

« C’est un vrai mélange de culture, de religions »

Jean-Michel Gauthier préside deux grosses associations de Croix-Rouge.
- Agrandir la photo

 

Jean-Michel Gauthier, président de deux grosses associations de Croix-Rouge, « 2 Mains » et « L’Étoile Croix-du-Sud » (l’une des plus anciennes du quartier), apporte quelques précisions.

« Il faut savoir que je suis président mais qu’avant tout, je suis un habitant de Croix-du-Sud depuis vingt-cinq ans. Il y a des petites dégradations sur le quartier mais c’est vraiment partout pareil et encore, ici c’est l’un des moins chaud. Et puis les gens sortent, ils fréquentent les commerces et les associations. La preuve, à l’Étoile l’an dernier, nous avions 120 adhérents, aujourd’hui il y en a 180. Si vraiment c’était dangereux, les gens ne viendraient pas et resteraient cloîtrés chez eux. Ce quartier est un vrai mélange de culture, de religions. Je peux passer dans le quartier à 1 heure du matin les mains dans les poches, il n’y a aucun problème.

Et puis les jeunes, je les connais, c’est souvent ceux qui viennent de l’extérieur qui font les conneries », explique-t-il.

T.A.F.

 


***********************************

Union100813a
INFORMATION RELATIVE A UN AVIS D’APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

Avant-propos : cette information est destinée à renseigner les candidats sur les éléments généraux d’une procédure de consultation lancée par REIMS HABITAT.

L’intégralité de l’avis d’appel public à la concurrence est consultable sur le site internet du B.O.A.M.P (http://djo.journal officiel.gouv.fr/MarchesPublic).

1) Identification de l’organisme qui passe le marché : Maître d’Ouvrage : REIMS HABITAT CHAMPAGNE-ARDENNE, 71, avenue d’Épernay, B.P. 2720, 51055 Reims cedex.

2) Procédure de passation : procédure adaptée selon l’article 28 du code des marchés publics.

REIMS HABITAT se réserve la possibilité de négocier avec tout ou partie des candidats ayant remis une offre.

3) Objet du marché travaux d’aménagement des espaces extérieurs - Quartier « Les Hauts de Murigny » du 9 au 17, place Toulouse-Lautrec et 7-9, allée Yves-Gandon à Reims.

4) Retrait du dossier de consultation : le dossier peut être retiré gratuitement à REIMS HABITAT auprès du service commande publique, tél. 03.26.48.62.30 - Fax 03.26.48.43.27 ou être consulté et téléchargé gratuitement sur le site : www.reimshabitat.fr

5) Date limite de réception des offres : le 27 septembre 2010 à 17 heures.

6) Date d’envoi à la publication : le 10 août 2010.


***********************************

Union100812a
A Reims, on s’adapte

Edivert, en charge du quartier Croix Rouge, est l’une des sociétés mandatées pour nettoyer voiries et trottoirs dans la ville de Reims.
- Agrandir la photo

La consommation d’eau, nécessaire à l’arrosage des espaces verts et au nettoyage des chaussées, de la communauté d’agglomération de Reims ne sera pas diminuée. En effet, dans son article 3, l’arrêté préfectoral, pris le 9 août dernier, « interdit l’arrosage des pelouses publiques […], le nettoyage à grande eau des voies, trottoirs, terrasses et façades […], entre 11 et 18 heures. »

Des mesures, sauf publication d’un nouvel arrêté, qui seraient applicables jusqu’au 31 octobre 2010. Or, les services concernés de Reims Métropole fonctionnent essentiellement le matin.

14 000 m3 par an pour le nettoyage

« Vous me l’apprenez, je n’ai pas encore reçu de consigne de l’agglomération, affirmait dans la matinée Mme Duval, responsable du service nettoyage au sein de la société Edivert, entreprise qui avait remporté l’appel d’offres pour le nettoyage du quartier Croix-Rouge, dans la cité des Sacres. Mais comme le nettoyage s’effectue avant 11 heures du matin cela ne changera rien. » Une décision que confirme Larbi Ait-Yahia, directeur adjoint à la propreté. « Nous travaillons de 5 heures du matin à midi, justement pour éviter de la déperdition due à l’évaporation.

Alors, pour l’instant cet arrêté ne va pas changer notre consommation. Dans certains quartiers, nous nettoyons une fois par mois, dans le centre-ville », explique ce responsable.

Pourquoi attendre pour agir ?

Une position pas toujours comprise pour les habitants. « Il est vrai que parfois la population interpelle nos employés qui arrosent, alors qu’on leur interdit dans le même temps de nettoyer leur voiture par exemple. Mais si nous continuons c’est aussi une question de salubrité publique », justifie Larbi Ait-Yahia.

Au service des espaces verts, même absence de conséquence, l’arrosage s’effectuant le matin. « Franchement, on parle d’économie des ressources naturelles mais toutes les deux semaines je vois des citernes d’Edivert se remplirent d’eau, dont une partie se déverse sur la chaussée, témoigne un habitant du quartier. Je ne suis pas contre le fait que Reims devienne une ville propre, au contraire. Mais pourquoi attendre un arrêté du préfet pour réagir, il y a sûrement un juste milieu à trouver. »

À noter que le site Internet de l’eau de Reims Métropole (RM) n’était toujours pas à jour hier après-midi, indiquant seulement le placement de RM en seuil d’alerte minimum, d’après le dernier bulletin réglementaire sécheresse (du 5 août 2010).

Damien LE-THANH


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100811a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7354 du 09 août au 15 août 2010.

----------

CONSTITUTION DE SOCIÉTÉ

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 2 août 2010, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

FORME SOCIALE : Société à , responsabilité limitée.
DENOMINATION SOCIALE : AIRELIA.
SIEGE SOCIAL : 6 rue de Rilly la Montagne - 51100 REIMS.
OBJET SOCIAL : Toutes prestations liées à l’activité de nettoyage. La vente de produits et accessoires et matériels s’y rapportant.
DURÉE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au R.C.S.
CAPITAL SOCIAL : 15.000 €.
GÉRANCE : Monsieur Raymond BOUVELLE, demeurant 16 rue des Moissons - 51100 REIMS.
IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au R.C.S. de REIMS. I

87769 La gérance.


***********************************

Union100810b
Le tram était de sortie hier soir

Le tramway était à nouveau de sortie, hier soir.
- Agrandir la photo

REIMS (Marne). Hier soir, une deuxième série de tests, entre les futures stations Léon-Blum et Campus, a été organisée. L’occasion aussi d’effectuer une sortie de nuit.

LES Rémois auront dû attendre près de deux mois pour voir une nouvelle fois le futur tramway, dont la mise en service est annoncée pour avril 2011. Cependant, le verbe « voir » était peut-être un bien grand mot. En effet, la sortie a débuté à 20 heures pour s’achever entre minuit et 2 heures du matin, soit de nuit essentiellement, entre les stations Léon-Blum et Campus.

Après les premiers essais grandeur nature, à la mi-juin, entre le terminus de la ligne 1B, situé sur la commune de Bezannes, et la station Léon-Blum, c’était, hier soir, au tour de la zone 2 d’être testée. « Cette simulation a eu lieu de nuit car le trafic routier est moins dense et parce que tous les carrefours n’ont pas été aménagés », justifie un salarié de Mars.

Contrôler l’absence de défaut

« L’objectif est, bien évidemment, de contrôler que tout fonctionne et qu’il n’y a pas de problème particulier, commentait un autre employé. D’ailleurs, il n’y a aucune raison pour qu’il y ait des surprises. »

Il est vrai qu’avant cet essai, toute une série de vérifications avait été effectuée. Il en a été ainsi des caténaires, qui alimentent en électricité le tramway. Puis, la semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, un gabarit, de la même taille que les wagons, avait emprunté le même parcours que celui de cette nuit, afin de vérifier l’écartement entre les rails.

En centre-ville à la fin du mois

Une simulation en toute sécurité également puisqu’hier soir, le tramway a roulé à vitesse réduite, avec quelques pointes à 50 km/h. Il n’aura pas encore atteint sa vitesse maximale, qui peut aller entre certains tronçons jusqu’à 70 km/h. Afin de vérifier que tout se passe pour le mieux, et d’analyser par la suite les données récoltées, une vingtaine d’employés de Mars, constructeur et exploitant du tramway, étaient présents.

Tout s’accélère donc pour celui qui est attendu avec impatience, depuis trois ans, par les Rémois. Dans trois semaines, au plus tard début septembre, il s’agira cette fois d’une phase plus délicate. En effet, le tramway traversera l’ensemble du centre-ville, de Campus à l’arrêt Boulingrin, dite zone 3. Pour finir, l’ensemble de la ligne devrait être testé à partir de la fin septembre. Des essais qui pourraient peut-être avoir lieu en journée. Histoire que tous les Rémois en profitent ?

Damien LE-THANH


***********************************

Union100810a
Vie du commerce : Ça bouge à Croix-Rouge

L’espace commercial de Pays-de-France est maintenant opérationnel.
- Agrandir la photo
- Voir d’autres photos.

Alors que le nouveau centre commercial de Pays-de-France est déjà entré dans les murs et bien fréquenté, plusieurs autres créations de commerces et d’entreprises ont été relevées dans le quartier Croix-Rouge.

À Croix-du-Sud, Aurélio Rodriguez a créé au 14, place Georges-Braque, la SARL ERT de transport de marchandises.

La SARL iRESEAUX (bureau d’études. Ingénierie des réseaux souterrains) s’est transformée en SAS. Jean-Marc Bardin, ancien gérant, devient donc président-directeur général.

L’ancienne entrée rue de Rilly-la-Montagne est supprimée ; l’adresse définitive est désormais 11, rue Pierre-Taittinger (03.26.35.05.05.). pagespro-orange.fr/ireseaux/index.htm

« Sonorisation Audiovisuel Vente Événementiel » (sigle : Save 51), c’est le nom de la SARL créée par deux jeunes originaires de Croix-du-Sud : Laurent Julliard, gérant et Thierry Julliard, gérants.

Au programme, sonorisation, audiovisuel, location de tente de réception et de structures gonflables. Ils ont posé leur siège social au 8, avenue Benoît-Frachon.

La SARL « Indian grill » s’installe au 20, cours Eisenhower.

Restauration rapide, tous types de restauration, poulets rôtis spécialités indiennes, vêtements, tissus, bazar, fruits et légumes, sont proposés par Taher Hussan et Kamrul Islam (Tél. 03.51.85.28.30). À La SARL « Planète Pizza », au 10, avenue du président-Eisenhower, Nordine Bourfii prépare une restauration rapide à consommer ou à emporter ; Il assure les livraisons.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


***********************************

Union100809b
Activités nautiques : À l’eau, les enfants de Croix-Rouge !

Les plaisirs aquatiques au mois d’août
- Agrandir la photo

Moins chanceux que leurs petits camarades de 3 à 15 ans, qui bénéficient gratuitement de la piscine à Orgeval jusqu’au 20 août, avec des activités aquatiques et de plein air, les enfants de Croix-Rouge devront payer l’entrée de la piscine (1,60 euro pour les moins de 18 ans) pour occuper leurs loisirs à la piscine de l’allée des Landais.

Elle restera en effet ouverte jusqu’au 29 août, tous les jours sauf le dimanche, selon les horaires suivants : lundi de 10 h 15 à 11 h 45 et de 14 heures à 17 h 45. Mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 9 heures à 11 h 45 et de 14 heures à 17 h 45.

Des activités sous le solarium

Mieux, jusqu’au 20 août, la ville de Reims et la Rems proposent, dans le solarium de cette piscine, des activités sportives et ludiques aux enfants âgés de 10 à 16 ans. Au programme, tous les jours de 14 à 17 heures, beach soccer (lundi et vendredi), boxe (lundi, mardi et vendredi), ultimate (mardi), beach volley (mercredi), tennis de table (mercredi), jeux autour de la pratique du rugby (jeudi) et badminton (jeudi).

Une animation spécifique, boxe - full contact, sera même proposée les 6, 9, 10, 12, 13, 16, 17 août, de 14 h 45 à 17 h 15. Priorité aux enfants âgés de 12 à 16 ans.

Piscine, 12, allée des Landais (Lignes de bus H, P, N et S).


***********************************

Union100809a
Quatre ans d’échanges européens

Les bénévoles de la quatrième édition.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

En 2007, dans le cadre d’un échange européen, le programme « Jeunesse en action », financé par l’Union Européenne, la région Champagne-Ardenne (Affaires européennes et internationales) et le Foyer rémois, un groupe de jeunes de la Maison de quartier Croix-Rouge était reçu une semaine en Pologne, par l’association Ecoeurowies, sur le thème de la lutte contre toutes les formes de discrimination.

En 2008, dix jeunes Polonais de Walbrzych étaient, à leur tour, accueillis au CREPS de Reims. Pour ce retour, le thème choisi par l’Europe était la découverte du fonctionnement des institutions administratives et politiques de la France et de l’Europe.

En 2009, pour leur troisième participation à ce programme européen, dix jeunes Rémois étaient accueillis en Pologne à Nowa, sur le thème du développement durable, espoir d’une vie meilleure, avec des camarades de République Tchèque, de Lituanie et de Pologne.

Enfin, cette année, pour un quatrième épisode, l’association NGO Krantas de Lituanie, l’association Eucoerowies de Pologne et l’association MAS Krajina SRDCE de République Tchèque ont envoyé chacune six jeunes rejoindre les Français de Reims Croix-Rouge, sur le thème : les nouvelles solidarités et l’investissement des jeunes.

À Reims, les 24 participants, qui ont séjourné au centre international de séjour, ont œuvré pour le secours populaire, avec l’opération les enfants oubliés des vacances, pour les associations ATD Quart-Monde, Multi-Échanges services et auprès de la Maison de l’enfance : du sérieux !

C’est pourquoi on peut s’étonner de l’indifférence de la ville de Reims à leur égard. Alors que le moindre échange linguistique ou culturel entre établissements scolaires, même hors jumelages officiels, bénéficie d’une réception en mairie, nos jeunes européens n’ont pas bénéficié du moindre égard de la cité des Sacres. On peut se demander à quoi sert un adjoint chargé des relations européennes et internationales.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images


***********************************

Union100807a - Marne
Concours de boule à Croix-du-Sud

Le prochain concours de boules en doublettes de l’association Étoile Croix-du-Sud se déroulera le samedi 15 août sur les terrains de Croix-du-Sud, avenue Léon-Blum.

10 € par équipe. Début du jet à 14 h 15. Nombreux lots en jeu : champagne, bons d’achat, repas, etc..

Renseignements et inscriptions au secrétariat 5, avenue Léon-Blum (03.26.06.56.66.).


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100804a
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7353 du 02 août au 08 août 2010.

----------

CONSTITUTION DE SOCIETE

Aux termes d’un acte sous seing privé en date à REIMS du 08/07/2010, il a été constitué une société présentant les caractéristiques suivantes :

- FORME SOCIALE : SARL.
- DENOMINATION SOCIALE : INDIAN GRILL.
- SIEGE SOCIAL : 20 cours Eisenhower - 51100 REIMS.
- OBJET SOCIAL Activité sédentaire et non sédentaire de restauration rapide tout types de restauration, achat vente de poulets rôtis (spécialité indienne), fruits et légumes, boissons non alcoolisées, vêtement, tissus, bazar.
- DUREE DE LA SOCIETE : 99 ans à compter de la date de l’immatriculation de la société au R.C.S.
- CAPITAL SOCIAL : 2.000 €.
- GERANCE : M. Taher HUSSAIN, demeurant 7 allée Edgar Degas -51100 REIMS, et M. Kamrul ISLAM, demeurant 20 cours Eisenhower -51100 REIMS.
- IMMATRICULATION DE LA SOCIETE : Au R.C.S. REIMS.

87031 La gérance.


----------

CONSTITUTION DE SOCIETE

Avis est donné de la constitution d’une société présentant les caractéristiques suivantes :

- DENOMINATION : Planète PIZZA.
- FORME : Société à responsabilité limitée.
- SIEGE SOCIAL : 10 ave du Président Kennedy - 51100 REIMS.
- OBJET : Restauration rapide sur place, à emporter, en livraison.
- DUREE : 99 années.
- CAPITAL : 1.000 €.
- GERANCE BOURFII Nordine, demeurant 17 rue Alphonse Daudet - 51100 REIMS. - - - ---- IMMATRICULATION : Au R.C.S. de REIMS.

87598 Pour avis.


----------

POURSUITE D’ACTIVITE

L’AGENDA MEDICAL

- Société à responsabilité limitée au capital de 1.600 €uros
- Siège social : 27 rue Pierre Taittinger - REIMS (Marne)
- R.C.S. Reims : 453 227 498

Aux termes d’une décision en date du 30 octobre 2009, l’assemblée générale, statuant conformément à l’article L. 223-42 du code de commerce, a décidé de ne pas dissoudre la société.

Mention en sera faite au R.C.S. de REIMS.

Pour unique insertion : 87679

Le gérant.


***********************************

Union100801a - Marne
Sortie des pompiers : Les poubelles flambent

Et dire que certains doivent trouver ça très drôle. Hier matin, peu avant 5 heures du matin, les pompiers, comme s’ils n’avaient que cela à faire, sont intervenus pour éteindre une poubelle en feu du côté de la rue Taittinger.

Bien sûr, ce feu n’a rien d’accidentel. Mais ça n’a malheureusement plus rien d’étonnant.

Par chance, aucun autre dommage n’est à déplorer à proximité de l’incendie.


***********************************

Union100731e- Marne
6 mois et 4 mois de prison ferme. Ils tabassent la maîtresse du père

Six mois de prison ferme pour l’un, quatre mois pour l’autre.

Ce sont les peines auxquelles ont été condamnés un homme de 18 ans et sa belle-sœur de 34 ans poursuivis pour vols et violences volontaires, jeudi, dans le cadre d’une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims.

Ce sont en réalité les conséquences d’un conflit familial qui perdure depuis plusieurs mois entre les deux prévenus et la maîtresse du père du jeune homme. Au mois de juin dernier, ceux-ci l’avaient déjà giflé au motif, selon eux, qu’ils la détestent.

Une haine farouche

Une haine farouche qui les a conduits le 6 juillet, à Tinqueux, aux alentours de 2 heures du matin, à passer une fois de plus à l’acte, alors qu’ils se rendaient au domicile de la maîtresse où le père et amant venait d’être victime d’un malaise.

Profitant de la présence des sapeurs-pompiers, le fils et la belle-sœur avaient alors pénétré à l’intérieur puis attendu que les secours quittent les lieux pour jeter leur dévolu sur leur rivale.

Cette dernière avait en l’occurrence été frappée au visage (6 jours d’ITT) avant que ses agresseurs ne quittent les lieux en possession de son téléphone portable, mais aussi de quinze euros en espèces dérobés à son domicile, quelques bijoux sans grande valeur et le combiné de son téléphone fixe.

Convoqués mercredi à l’hôtel de police de Reims, les deux mis en cause ont été placés en garde à vue. La belle sœur a nié en bloc les faits qui lui étaient reprochés tandis que le jeune homme les a reconnus en partie.

Cela a manifestement suffi au tribunal, jeudi, pour les reconnaître coupables tous les deux et ordonner leur placement en détention à l’issue de l’audience. Le jeune homme à la maison d’arrêt de Reims et sa belle-sœur à la maison d’arrêt de Châlons-en-Champagne.


***********************************

Union100731d - Marne
Malaise dans la police municipale « On n’en peut plus ! »

Les agents de la police municipale semblent souffrir actuellement.
- Agrandir la photo

« ÇA va éclater à la rentrée ! » Voilà ce qu’un syndicaliste de la police municipale nous a lancé, pour dénoncer un malaise avec le directeur de ce service, Nicolas Roche. « Ils n’en peuvent plus et nous préparons une démarche pour fin août avec tous les syndicats. »

Notre interlocuteur, même syndiqué, préfère rester anonyme, c’est dire à quel point il trouve la situation tendue. Il parle de suicides (mais sont-ils liés au travail ?), de harcèlement, « de contraventions qui sautent dans notre dos, à la demande du directeur. Il met la pression sur les agents, beaucoup se mettent en arrêt maladie et sont en dépression. »

« Il peut y avoir malaise »

Les agents ont rencontré la maire, Adeline Hazan, et son premier adjoint, Éric Quénard, responsable de la police municipale. Ils pensaient que Nicolas Roche serait muté, mais « il est toujours là ». Interrogé, Éric Quénard s’est d’abord lancé dans un long plaidoyer sur cette police, à la suite des propos de Jean-François Copé (voir ci-dessous), avant de revenir sur le possible malaise des policiers rémois.

« J’ai eu six mois d’échanges avec eux, lors de la mise en place des nouveaux horaires et de leur positionnement dans les quartiers. Aucun problème ne m’a été remonté. Nous avons même organisé une cérémonie officielle avec le procureur et la DSP, pour la remise de leur carte professionnelle. Ils ont un problème de positionnement dans l’administration : comme ils sont en tenue, ils ne sont jamais considérés comme agents municipaux, alors qu’ils le sont. »

Il argue d’une hausse de 10 % des effectifs depuis que la gauche est aux affaires, « sans oublier des moyens supplémentaires internes d’équipement ». Mais il reconnaît qu’il peut y avoir « malaise, interrogations », et se dit prêt à y répondre.

« Réaffirmer leur rôle »

Rappelons que la police municipale se compose d’une cinquantaine d’agents, avec également une trentaine d’agents de surveillance de la voie publique et du centre de vidéosurveillance.

Son activité a été revue l’année dernière, pour « être plus proche des habitants », c’est-à-dire aller dans les quartiers, surveiller les parcs publics et avoir des horaires élargis pour être présents plus longtemps dans la journée. Pour Éric Quénard, « il y a un vrai questionnement : quel est le statut de ces agents ? Ils ont besoin de reconnaissance ».

L’adjoint veut « réaffirmer le rôle de la police municipale ». C’est son credo depuis qu’il est arrivé aux manettes. N’empêche, son discours ne semble pas porter ses fruits, si l’on en croit notre syndicaliste. À moins que ce ne soit le directeur du service qui soit en cause ?

Guillaume FLATET

Nicolas Roche est en vacances actuellement et n’a pu nous répondre.


----------

Où sont les Unités territoriales de quartier ?

Une Unité territoriale de quartier devrait être créée à Wilson notamment. Mais pour l’instant, pas de nouvelle…
- Agrandir la photo

« Je n’ai aucune confirmation de l’Uteq pour Croix-Rouge et Wilson. » L’info avait été donnée par Catherine Vautrin : l’État s’engageait à créer des Unités territoriales de quartier (Uteq) sur ces zones « sensibles ». C’était à la mi-juin. Depuis…

« La maire n’a reçu aucune notification. Et nous n’avons aucune garantie d’effectifs supplémentaires. Il semble qu’il s’agira de déshabiller Pierre pour habiller Paul », poursuit Eric Quénard. Pour lui, « la pression va glisser sur la police municipale. Mon rôle d’élu est de veiller à rester dans un cadre défini ».

Et selon lui, les policiers municipaux rémois n’ont pas de formation d’intervention. « Ils doivent, certes, travailler en collaboration, en cohérence. La police municipale est une police d’écoute, de contact, qui peut être utile à la police nationale. Nous faisons d’ailleurs un point hebdomadaire pour pouvoir échanger et voir où sont les éventuels points de crispation. »

Reims n’est pas Nice, « où l’effectif de la Municipale est pléthorique, avec des agents armés ».


----------

Contre les violences urbaines

L’Uteq rémoise compterait de huit à quinze agents, et serait mise en place d’ici à la fin de l’année, avec pour mission de lutter contre la délinquance et les violences urbaines, obtenir des renseignements et développer le lien de confiance police-population.

Les deux secteurs visés sont ceux où la violence quotidienne est la plus forte, comme le reconnaissent tous les élus, et notamment au niveau de la faculté.

Jean-François Copé a, lui, récemment estimé que la police municipale était la police de proximité réclamée par certains. « L’État, il ne peut pas tout faire. »


***********************************

Union100731c - Marne
Espace Billard : La tête dans les étoiles

 

 

La fréquentation du planétarium itinérant installé à l’espace Billard le temps d’une semaine « astronomie » a été forte. Il a surtout profité aux enfants des centres de loisirs du quartier.

Le lundi 26 juillet a été consacré à la création d’une carte du ciel.

Le mercredi 28 juillet, l’espace Billard a eu la bonne idée de proposer un temps contes sous le planétarium, puis vers 19 heures, fut organisée une soirée « La tête dans les étoiles », avec pique-nique sur l’hippodrome, autour d’ateliers observation et découverte des étoiles.

On a beaucoup entendu la même question : « Y a-t-il des extraterrestres dans l’espace ? », un problème qui captive même les plus petits !

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 


***********************************

Union100731b - Marne
Exposition : Zoom sur les films d’arts martiaux

« Le long de la rivière Xiajiang ».
- Agrandir la photo

 

Des films d’arts martiaux, on ne retient souvent que quelques clichés et une légende nommée Bruce Lee. C’est pourtant bien plus que cela. C’est surtout l’histoire d’un genre cinématographique populaire avec ses propres codes, son esthétique et ses techniques de combats qui divergent suivant les studios et les pays de production.

Des films de kung-fu et de sabre chinois en passant par les films de samouraïs, de yakusas ou de ninjas japonais jusqu’à son influence dans la production internationale actuelle, la médiathèque Croix-Rouge invite ses visiteurs à découvrir le film d’arts martiaux à travers une exposition composée de photos cinématographiques sur toiles accompagnées de repères historiques, conçue par Christophe Champclaux pour l’Adav (Ateliers diffusion audiovisuelle).

Médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. L’exposition est ouverte jusqu’au 30 octobre. Entrée libre.

 


***********************************

Union100731a - Marne
Feu à Croix-Rouge : Un incendiaire écroué

Un Rémois de 21 ans a écopé, jeudi, d’une peine de 12 mois d’emprisonnement dont 6 assortis d’un sursis pour avoir été reconnu coupable d’un incendie déclenché volontairement dans un hall d’immeuble du quartier Croix-Rouge.

Mercredi, vers 22 h 15, un témoin l’avait vu pénétrer dans les lieux situés au 3, de l’allée des Tourangeaux, avant de l’en voir ressortir quelques instants plus tard, laissant derrière lui un feu naissant.

Désigné aux policiers par le témoin, celui-ci avait été interpellé en état d’ivresse, puis placé en garde à vue dans les locaux de l’hôtel de police de la cité des sacres, avant d’être déféré jeudi devant le parquet et présenté dans la foulée devant le tribunal correctionnel dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate.

Tribunal qui a en outre ordonné son placement en détention à l’issue de l’audience.

L’incendiaire dort depuis dans une cellule de la maison d’arrêt de Reims.

F.B.


***********************************

PETITES AFFICHES MATOT BRAINE 100728e
Articles parus dans « Petites Affiches Matot-Braine »

Numéro 7352 du 26 juillet au 01 août 2010.

----------

Reims installe des conteneurs enterrés pour la gestion des déchets

Propreté. Le plan propreté de la Ville de Reims, et plus largement la politique du tri sélectif appliquée dans l’agglomération, franchissent une étape majeure avec le déploiement de conteneurs semi-enterrés et enterrés pour la gestion des déchets.

La Ville de Reims, Reims Métropole, Le Foyer Rémois, Plurihabitat l’Effort Rémois et Reims habitat ont signé une convention cadre pour l’implantation et l’usage de mobiliers enterrés et semi-enterrés de 2010 à 2029. Au moins 400 conteneurs sont prévus actuellement sur les quatre années à venir dans l’agglomération de Reims. Ceci représente un budget d’investissement de prés de 2 M€ TTC pour Reims Métropole. Un budget quasi équivalent sera globalement engagé par les bailleurs pour les travaux de génie civil nécessaires aux installations. Les premières implantations sont prévues dés septembre prochain.

La convention formalise un partenariat très équilibré et durable pour la mise en place de ce nouveau dispositif de collecte.

Ainsi, elle répartit les charges financières liées à l’achat et à l’installation des conteneurs entre les collectivités et les bailleurs, organise également un partage entre ces derniers pour le suivi des équipements en termes de nettoyage des parties aériennes, des abords comme de leur maintenance, et enfin, elle envisage très précisément les modalités d’information des interlocuteurs concernés : usagers comme prestataires de service.

DES TESTS POSITIFS


Une expérimentation très concluante a été menée pendant six mois dans un secteur de 90 logements propriété de Plurihabitat l’Effort Rémois dans le quartier Croix-du-Sud à Croix-Rouge. L’amélioration du geste du tri est à la fois quantitative et qualitative. La performance de tri sélectif a été multipliée par cinq avec une moyenne de performance de collecte passée de moins de 7kg par habitant par an à 38kg/hab. /an. Le geste du tri s’est amélioré avec un taux de 10% d’erreurs de tri atteint.

GAINS COLLECTIFS

Tous les types d’interlocuteurs concernés par ce mode de collecte de déchets sont gagnants avec le nouveau scénario :
- la collectivité qui gère la collecte : amélioration de la performance du tri, et réduction du nombre d’interventions liées aux vandalismes. L’augmentation du nombre d’implantation va également permettre d’envisager une optimisation des tournées de collecte,
- les propriétaires des logements collectifs : réduction du risque d’incendie et donc sécurisation des immeubles, moins de contraintes pour la gestion quotidienne ou récurrente des réceptacles des déchets,
- les habitants : moins de charges induites par la gestion des bacs roulants (lavage et sorties des bacs, entretien du local, gestion des vide-ordures, une qualité de vie induite par la réduction des odeurs, du bruit, des dégâts, des abords de logement plus propres et avenants, un système plus pratique, moins de risques d’incendies, une accessibilité totale pour les personnes à mobilité réduite.


----------

CHANGEMENT DE NOM PATRONYMIQUE

PUBLICATION

Monsieur Harold LELEMBE MAPEYE, né le 10 mars 1982 à POINTE NOIRE (Congo), de nationalité française, domicilié 54 esplanade Eisenhower à REIMS (51100).

Dépose une requête devant Monsieur le Procureur de la République près le tribunal de grande instance de REIMS à l’effet de voir substituer à son nom patronymique celui de MAPEYE.

87380


***********************************

Union100728d - Marne
Croix-du-Sud / Les parcs publics ne sont plus entretenus

Les détritus jonchent le gazon qui n’est pas tondu.
- Agrandir la photo
Des palettes et des gravats peuvent provoquer des accidents.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.
Les poubelles ne sont pas vidées.
- Agrandir la photo
- Voir toutes les photos.

 

Depuis qu’il est membre du conseil de quartier Croix-Rouge, Jérôme Weiler prend son rôle très au sérieux et il pousse un « coup de gueule ». Comme tous les habitants présents à la réunion du conseil de quartier du 19 mai, il a entendu les responsables municipaux de la propreté expliquer comment ils entretenaient les espaces verts des quartiers.

Mais il constate qu’il n’en est rien. « Reims ville propre », mais pas à Croix-du-Sud ! « À ce jour, nous constatons que les parcs de la ville de Reims sur le quartier Croix-du-Sud ne sont pas entretenus depuis maintenant trois semaines ! »

Jérôme Weiler, preuves photographiques à l’appui, vient d’interpeller les responsables politiques municipaux : « Je trouve lamentable de voir ces parcs dans un tel état ! »

En qualité de vice-président de l’association Etoile Croix-du-Sud, il avance un autre argument de choc pour renforcer son indignation : « En cette période de l’année, les enfants des centres de loisirs du quartier dont le nôtre se rendent sur les trois parcs Saint-Bruno, Raoul-Dufy, Jacques-Simon et sur les espaces verts près des terrains de boules Léon-Blum pour des animations et ils évoluent parmi les détritus, l’absence de poubelles, sans tonte des pelouses, et avec l’aire de jeux Raoul-Dufy détériorée, etc. ! »

La direction des espaces verts de la Ville est consciente des problèmes, mais elle ne peut pas assurer le nettoyage des parcs en juillet : « Ces espaces verts sont habituellement nettoyés deux, voire trois fois par semaine pour le parc Saint-Bruno. Or, il se trouve que depuis début juillet, nous ne pouvons plus les entretenir avec la même fréquence.

D’autre part, les vacances scolaires sont là et les parcs sont hyperfréquentés et quelque peu malmenés ! Tout devrait rentrer dans l’ordre début août. »

En clair, c’est au moment où ils sont le plus fréquentés par les enfants que l’entretien des parcs publics est délaissé…

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 


***********************************

Union100728c - Marne
Séances au gymnase François-Legros : Apprendre l’haltérophilie

Cet été, le Reims haltérophilie musculation propose aux jeunes une série de séances
- Agrandir la photo

 

Cet été, au gymnase François-Legros, il n’y aura pas de porte pour le Reims haltérophilie musculation. Du lundi au vendredi, le club propose, à tous les jeunes désireux d’apprendre les rudiments de l’haltérophilie, une série de séances.

« Nous sommes ouverts de 16 heures à 20 h 30. Les premiers, qu’on a déjà reçus, viennent essentiellement des quartiers d’à-côté. Tous sont les bienvenus. On a l’attention pour chacun. Pour l’instant on a six nouveaux gamins, on espère en avoir beaucoup plus.

Le but, c’est de les inviter à découvrir notre discipline. Les enseignements abordent deux points fondamentaux : l’arraché et l’épaulé-jeté. Pour les plus vieux d’entre eux, nous leur donnons la possibilité de faire du renforcement musculaire », explique Frédéric Chauvat, entraîneur.

A 16 ans, Gary a déjà participé aux premières séances : « Moi, je viens pour prendre de la puissance, évoluer, car en septembre je compte participer aux premières compétitions. Cela fait un an que je suis dans cette association sportive. Je m’y plais. Il y a de la bonne ambiance », souligne-t-il.

 


***********************************

Union100728b - Marne
Association « Les Boisseliers » Des moyens demandés pour assurer la sécurité

C’est à l’issue d’un regroupement de trois locataires en 1990 puis de la création d’un collectif de défense en 2000 qu’est née l’association « Les Boisseliers ». Président fondateur, Gérard Lacroix a « créé ce collectif face aux nombreux et importants vices cachés ou vices de forme dans la construction des 35 pavillons en ossature bois du lotissement « des Boisseliers » situé derrière le Ludoval ».

Après l’Opac, puis Reims Habitat, « notre dossier n’est pas encore clos, tout au moins sur deux points très importants, les façades et les troubles de jouissances ». Une réunion a eu lieu avec Eric Quénard, premier adjoint et président de Reims Habitat pour mettre un terme à la situation « d’abandon » et aux inquiétudes des résidents pour trouver des solutions et clôturer ce dossier. « Nous attendons sa réponse. »

L’association s’est aussi ouverte à l’ensemble des habitants du quartier Val-de-Murigny et de Reims. « Notre but est de venir en aide, conseiller, soutenir mais surtout défendre les intérêts des locataires et propriétaires mais aussi pour améliorer les conditions de vie ou tenter de maintenir un certain cadre de vie. » Cela concerne l’environnement, la sécurité routière, l’insécurité… Sur ce point, l’association est « montée au créneau pour dénoncer le sentiment d’insécurité grandissant qui régnait place René-Clair et sa périphérie ».

La demande était liée à l’urgence afin de faire cesser les agressions physiques, les incendies volontaires qui prenaient de l’ampleur. « De la poubelle, aux haies clôtures on est passé aux véhicules automobiles. » Il a été réclamé une présence policière adaptée sur le terrain pour interpeller les auteurs. Les Boisseliers, en collaboration avec « La Pépinière » et l’ensemble des commerçants et professionnels ont souhaité attirer l’attention des personnes en charge de la sécurité publique.

De même est attendue une réponse de Mme la maire, sur l’audit demandé par la Ville pour la présence de moyens de vidéo protection. « J’ai fait des propositions à Mme la maire, indique Gérard Lacroix, pour étudier des dispositifs de vidéo protection, dites « mobiles » car nous avons parfaitement connaissance que la délinquance se déplace ».

L’association « Les Boisseliers », adhérente au groupement des associations de locataires qui compte neuf associations, s’ouvre donc sur d’importants nouveaux objectifs. Le bureau a été reconduit dans sa majorité : président : Gérard Lacroix ; vice-président : Dominique Jaubert ; trésorier : Joël Cordier ; secrétaire : Sandrine Jaubert.

Renseignements au 06.81.07.26.89.


***********************************

Union100728a - Marne
Taekwondo / Trois questions à… Ibrahima Diouf

Ibrahima Diouf : « Nous allons poursuivre »
- Agrandir la photo

Vous êtes entraîneur au Daehan taekwondo Reims. Quel bilan faites-vous de votre saison sportive ?

« Elle a été très axée sur la formation des jeunes. Ainsi nous avons eu Sofiane Assefar qui s’est vu remettre son diplôme d’entraîneur ; Jérôme Manthe, lui, finalise le sien. De mon côté, j’ai passé mon brevet d’Etat d’éducateur sportif du 2e degré (partie spécifique). Parallèlement, en section sport-insertion, un titre de champion de France nous a été décerné. Sont venus s’ajouter à cela : plusieurs podiums obtenus à l’occasion de l’open international du Luxembourg et une médaille d’or dans le cadre de la sélection élite de Lorraine-Champagne-Ardenne. Nos filles ont été également à l’honneur cette année. Chloé Fernandez, Kim Angelloz-Micoud et Emelie Planté ont brillamment décroché la qualification au championnat régional pour la coupe de France. Pour terminer, et sur la demande des parents, nous avons pu mettre en place un nouveau pôle appelé taekwondo-gym. »

Quelle a été la plus grande de vos satisfactions ?

« La progression du groupe. Elle a été illustrée par la ceinture noire, premier dan, qu’a eue Aglae Miguel. Elle est la première Champardennaise à avoir un diplôme d’experte mondial certifié par Kukkiwon (qui est le temple mondial du taekwondo). »

Comment voyez-vous l’avenir ?

« Nous allons continuer dans cette recherche d’excellence qui passe autant par les exploits en compétition que par la qualité de la formation des jeunes à l’encadrement. Poursuivre notre engagement vis-à-vis du sport-insertion et notre ouverture aux vétérans. »


Commentaires

Navigation

Articles de la rubrique