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Revue de presse sur le quartier Croix-Rouge - articles - janvier et février 2014.



Quelques articles ne proviennent pas du journal « l’union » ; l’origine est alors indiquée par le lien en tête d’article.

Les notes de bas de page [ ] sont du rédacteur.

 

 


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L’hebdo du vendredi- N° 339- 140228a
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 338 - Semaine du 28 février 2014 au 6 mars

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Hommage : Une rue Alain Polliart à Pays-de-France

 

Dentiste à Croix-Rouge, dans le secteur Pays-de-France, Alain Polliart est décédé subitement en 2011. La Ville de Reims et ses habitants ont rendu un nouvel hommage mercredi à cet humaniste révolté contre les inégalités en donnant son nom à une rue du quartier située à quelques mètres seulement du lieu où se trouvait son cabinet.

Connu dans le quartier pour pratiquer des tarifs accessibles en soignant sans distinction les bénéficiaire de la Couverture Maladie Universelle, Alain Polliart était surtout un homme respecté pour ses combats judiciaires menés en faveur des habitants via l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de- France » qu’il avait créé.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 


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Prochain "Samedis du Sport" le 15 mars

Le samedi 15 mars, l’opération "Samedis du sport" passera par le parc Léo Lagrange et dans les quartiers Sainte-Anne, Croix-Rouge, Laon-Zola, Clairmarais et Europe. Ce jourlà, de 10h à 12h, les Rémois sont invités à venir découvrir gratuitement des sports ou des activités physiques. Au programme (liste non-exhaustive) : escalade (à partir de 8 ans), badminton (à partir de 6 ans), volley-ball, roller skating, marche nordique, échecs, vélo et athlétisme. Chaque activité proposée est encadrée et animée par les bénévoles des clubs partenaires ou par des éducateurs territoriaux des activités physiques et sportives de la Ville de Reims (ETAPS).

Inscriptions gratuites mais obligatoires avant le 13 mars à 17h. Rens. : 03 26 79 19 90 ou www.reims.fr

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l’union 140227 c
INAUGURATION : Alain Polliart ne sera jamais oublié

Pays-de-France a désormais une rue baptisée Alain-Polliart. Hervé Oudin
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Alain Polliart est décédé en 2011. Sur le secteur Pays de France, il était un dentiste au grand coeur. La ville ne voulait pas l’oublier.

Je suis très touchée. Je ne m’attendais pas à ça. C’est une très belle fête généreuse comme lui. Merci, merci pour lui… » Mme Polliart, 97 ans, est visiblement très émue. Hier matin avec son autre fils, elle est venue de la Somme où elle réside assister à l’hommage de la ville pour son fils Alain, décédé en avril 2011. Un hommage sous la forme d’une inauguration de rue qui porte désormais, à jamais, le nom de ce dentiste au grand cœur.

« Nous n’avons pas choisi une rue au hasard », indique Adeline Hazan, le maire de Reims, au cours de son allocution. « Nous avons choisi une rue de son quartier, une rue proche de là où il habitait. » Tout un symbole. « Alain Polliart était dentiste, il soignait tout le monde quels que soient ses moyens », poursuit Adeline Hazan. « Surtout, il était toujours là pour les autres. C’était un humaniste, un grand défenseur des locataires aussi. Il s’est toujours battu pour les habitants. Un volontariste. Il restera à jamais dans nos mémoires. »

« Un ami, un frère »

Dans le quartier, tous les amis d’Alain Polliart lui sont reconnaissants. Tous saluent « un ami, un frère ». « Il m’a donné deux cents francs. C’était en 1994 pour m’aider à créer l’association « Et Croix-Rouge ? Comité Pays-de- France » comme celle qu’il avait créée à Croix-Rouge », se souvient Nacer Benadela. « Il avait le cœur sur la main. C’était quelqu’un de pas fier, de très populaire dans le quartier. Tout le monde le connaissait. Quand certains avaient des soucis de papiers, de dossiers, Alain était toujours le premier à débrouiller les choses. Il avait un bon cœur, un très bon cœur. » « Pour moi, c’était comme un frère », renchérit un jeune homme derrière Nacer. « Il va nous manquer à tous. »

C.T.

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l’union 140227 b
JUDO : Le club de Croix-Rouge fête dignement ses 40 ans

Le club compte actuellement 160 licenciés dont 30 % de féminines.
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L’association sportive Croix- Rouge judo a fêté vendredi ses quarante ans d’existence, en présence de ses cofondateurs, Jean- Pierre et Denise Randoulet. Créé plus précisément en janvier 1974, avec la naissance de ce quartier populaire, Croix-Rouge, le club a compté jusqu’à 380 judokas à une époque. Et actuellement, on en est à 160 licenciés dont 30 % de féminines. « Nous sommes très fiers de vivre ce moment. C’est ici que nous avons été formés. Nous y avons reçu le code moral. Car ce qui est important à nos yeux, c’est l’esprit d’ouverture, la convivialité et le respect des valeurs », confient Patrice Launois et Ludovic Martin-Kleisch, respectivement président et trésorier de l’association sportive Croix- Rouge judo.

« En même temps, quarante ans cela paraît court sur la durée d’une vie humaine. Sauf que pour une association sportive, quarante ans c’est quelque chose de très important, qui démontre qu’il y a eu une continuité générationnelle », ajoutent-ils. Néanmoins, l’on ne peut oublier les crises qui ont jalonné ces quatre décennies.« Je pense qu’on a su les surmonter, notamment au niveau du nombre d’adhérents. Le quartier changeant sociologiquement, il fallait que nous nous adaptions également pour faire évoluer positivement notre environnement. Faire en sorte que les gens que nous accueillons ne soient pas des consommateurs mais des acteurs de la vie du club », conclut Ludovic Martin-Kleisch.

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l’union 140227 a
RENDEZ-VOUS

Carnaval de la Rafale – Université, mercredi 5 mars, le départ sera donné à 14 h 30 devant l’espace billard de la maison de quartier Croix-Rouge, 12 – 14, rue Pierre-Taittinger.

Cette animation est gratuite.

Pour tout renseignement, s’adresser à Sarah Morillon, au 03 26 08 08 78.

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l’union 140226 d
PAYS-DE-France : La rue Alain-Polliart inaugurée aujourd’hui

Alain Polliart fut un ardent défenseur des locataires de Pays-de-France.
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Ce mercredi 26 février à 11 heures, aura lieu l’inauguration de la rue Alain-Polliart, dans le cadre du programme de renouvellement urbain, en présence d’Adeline Hazan, maire de Reims, et d’Éric Quénard, premier adjoint.

Il s’agit d’une nouvelle rue du quartier Pays-de-France qui débouche sur l’avenue Bonaparte juste après la pharmacie à droite en venant du côté du collège Joliot- Curie, dans le secteur où travaillait Alain Polliart, décédé en avril 2011.

Cette dénomination a été plébiscitée par les habitants en conseil de quartier. Tous se souviennent de ce dentiste installé rue Joliot-Curie, qui s’était investi dans un grand combat : défendre les locataires de Pays-de-France.

 

 

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l’union 140226 c
EN IMAGE À CROIX-ROUGE

 

Un carnaval mémorable Le carnaval de Croix-Rouge, organisé par les espaces Watteau et Pays-de-France en partenariat avec l’association de promotion de Pays-de-France, la Maison de l’enfance de la Marelle, la MutES, la médiathèque Croix-Rouge et la Maison du projet, s’est déroulé mercredi 19 février.

Un défilé bariolé, sur le thème du cirque, animé par les percussionnistes de Pily-Pily.

Parti du parvis de la médiathèque Croix-Rouge, il a traversé le quartier jusqu’à la Maison du Projet ou fut réalisé un lâcher de ballons.

Une flash mob, un défilé des enfants en costume et un bon goûter ont terminé la journée.

 

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l’union 140226 b
RENDEZ-VOUS

Les samedis du sport, le 15 mars, de 10 à 12 heures, au parc Léo- Lagrange et dans les quartiers Sainte-Anne, Croix-Rouge, Laon-Zola, Clairmarais et Europe.

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l’union 140226 a
RENDEZ-VOUS

« En avant la zizique ! » un atelier d’initiation à la guitare acoustique ou électrique pour les enfants à partir de 5 ans, pour apprendre quelques petits trucs, astuces et accords basiques, animé par des agents de la bibliothèque. Pensez à ramener votre guitare !

À la médiathèque Croix-Rouge ce mercredi 26 février de 14 à 16 heures.

Renseignements au 03 26 35 68 43 ou www.bm-reims.fr

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l’union 140225 a
RENDEZ-VOUS

Cosimuz, l’association des étudiants musiciens de Reims, organise un concert ce mardi 25 février, à 20 h 30 au centre culturel du Crous (centre régional des oeuvres universitaires et scolaires), au campus Croix Rouge.

Ce concert rock sera animé par deux groupes : « The Woodies » et la « French connection ».

Entrée à 6 euros (3 euros pour les étudiants).

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l’union 140222 a
RẺCOMPENSES : Médailles du travail à l’institut

33 personnes ont été honorées pour 20, 30 ou 35 années de service
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Tout le personnel de l’Institut Michel-Fandre était invité à la remise solennelle des médailles d’honneur du travail, le jeudi 20 février sous la présidence du professeur André Chays et en présence de François Procureur, président de l’Association sparnacienne pour la réadaptation et l’intégration des enfants et adolescents et de Mireille Wojnarowski, maire adjointe à la santé et aux préventions. Cette manifestation, orchestrée par Loïc Haffray, directeur de l’Institut, était dotée par l’Institut et par le comité d’entreprise.

Médailles d’argent (20 années de service) :

Florence Bert, Brigitte Brunet, Myriamme Calmus, Brigitte De Barros, Luc De Wilde, Céline Faure-Brac, Chantal Gauthier, Patricia Germain, Djamila Pérard, Patricia Pinot, Frédérique Réa, Françoise Sommesous et Christine Thomas.

Médailles de vermeil (30 années de service) :

Dominique Adam, Suzanne Angiboust, Michèle Bliard, Jean-Noël Bousquet, Irène Meyer-Dumont, Ẻlisabeth Godmé, Dominique Faure-Brac, Marie-Claude Fourcade, Michèle Nzengu, Jean-Paul Penot, Martine Rollinger, Catherine Rousseaux et Jean-Noël Villenet.

Médailles d’or (35 années de service) :

Annie Demoulin, Claudine Divry, Claire Dorgeot, Gérard Dumetier, Ẻvelyne Poiret, Thérèse Propato et Mauricette Xander.

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L’hebdo du vendredi- N° 338- 140221e
Le quartier Croix-Rouge dans « l’hebdo du vendredi »

Journal gratuit d’information rémoise

N° 338 - Semaine du 21 au 27 février 2014

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LIVRE : « Dieu en soit garde » d’Aïssa Lacheb

« Dieu en soit garde » vient de paraître aux Ed. Diable Vauvert. (© DR)
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Avec « Dieu en soit garde », son 7e roman, Aïssa Lacheb poursuit l’exploration de sa propre vie. Dans son premier livre sorti en 2001 « Playdoyer pour les justes », écrit en prison où il a été incarcéré pendant plus de 10 ans, il y raconte l’injustice de l’administration judiciaire. Treize années sont passées depuis, et après d’autres expériences littéraires (Scènes de la vie carcérale, Le roman du souterrain, etc.), l’écrivain rémois revient sur sa jeunesse vécue dans le Reims des années 70 et plus précisément dans le quartier Croix-Rouge, composées de moments de joie et de drame avec au bout du voyage au mieux une impasse, au pire une terrible chute.

Pour Aïssa Lacheb ce fut la prison. Et si le titre reprend la devise de la Cité des sacres, l’auteur précise « que ce livre ne décrit pas son enfance rémoise. Ce n’est pas mon histoire, mais celle d’une bande de jeunes et de son désœuvrement. Elle pourrait avoir pour cadre n’importe quelle autre cité de n’importe quelle autre ville ».

« Dieu en soit garde », Ed. Diable Vauvert, disponible en librairie au prix de 15 €.

 

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l’union 140221 d
GRÈVE : Des souffrances à François-Legros

« On nous demande de laisser des élèves sur le bord de la route ! ».
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Les trois-quarts des professeurs du collège François-Legros et la totalité du personnel vie scolaire étaient en grève, hier. Au centre des préoccupations des enseignants, la difficulté d’assurer leurs missions dans des conditions normales. « Plusieurs de nos collègues ont été reçus par le recteur et par les représentants de la Dasen, Direction académique des services de l’Education nationale », indiquent les enseignants, « il nous a été clairement dit qu’il fallait nous blinder et qu’on laisserait certainement des élèves sur le bord de la route ; que nous devions choisir entre proposer des offres de langue aux élèves à potentiel et aider les élèves en grande difficulté… C’est inacceptable d’abandonner ds élèves, faute de moyens. Dans de trop nombreuses classes, beaucoup d’élèves, sont en difficulté. Travailler en plus petits groupes permettrait de progresser et de prendre confiance en l’école. Nous nous insurgeons contre les horaires plancher prévus pour l’année prochaine, contre la suppression d’une 5e, contre l’augmentation des effectifs dans les classes, contre la fermeture de la Segpa… »

D’autres collèges

François-Legros n’est pas le seul collège à connaître des souffrances. Des discussions sont en cours avec les autres collèges pour préparer, si besoin, une action plus massive. Pour l’instant, pour soutenir les professeurs et le personnel de vie scolaire de François-Legros contre la baisse des moyens au collège, une pétition peut être signée sur le site www.petition24. net

 

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l’union 140221 c
STUPÉFIANTS : Le cannabis était caché dans le levier de vitesse

La savonnette de 100 grammes aurait été achetée à Anvers (Belgique).
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La banale arrestation d’un automobiliste qui circulait tous feux éteints a permis de découvrir 100 grammes de cannabis dans son levier de vitesse.

Mardi vers 18 h 30, lors d’une patrouille au quartier Croix-Rouge, les policiers ont repéré un automobiliste qui circulait tous feux éteints rue de Rilly-la-Montagne.

À peine le temps de sortir le carnet à souches qu’ils l’ont remballé après avoir vu quelque chose de plus intéressant sur le tableau de bord : un morceau de résine de cannabis.

Lillois de 23 ans dont les parents résident à Reims, le jeune homme avait un autre morceau dans les poches. Les policiers n’étaient pas au bout de leur surprise avec la découverte, dissimulée dans l’habillage du levier de vitesse, d’une balance et d’une « savonnette » de cannabis. Poids total de la prise : 116 grammes. De quoi soupçonner le Ch’ti de faire dans la vente de shit.

D’après ses déclarations, il venait de s’approvisionner à Anvers (Belgique) mais il est resté plutôt flou sur ses intentions.

Gardé à vue au commissariat, il en est ressorti avec une amende de 400 euros à payer et l’obligation d’effectuer un stage de sensibilisation sur les dangers des produits stupéfiants.

L’analyse du produit a révélé qu’il s’agissait d’une résine de cannabis « plus pure », « plus claire », « moins coupée », donc de « bien meilleure qualité » que celle habituellement saisie sur le marché rémois. « C’est d’la bonne », pourrait dire le Ch’ti de son fournisseur anversois. Les consommateurs l’ignorent peut-être, mais on trouve un peu de tout dans les produits de coupe du cannabis : sable, paraffine, laque, verre pilé, cirage à chaussure, pesticides, engrais, plomb, moisissure…

F.C.

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l’union 140221 b
RENDEZ-VOUS

Assemblée générale de l’association Multi échanges Services (MutES), vendredi 21 février à 18 heures à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, 12-14, rue Pierre- Taittinger.

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l’union 140221 a
RENDEZ-VOUS

Quarantième anniversaire de l’association sportive du quartier Croix- Rouge Judo aujourd’hui à 19 h 45 au dojo du gymnase François-Legros.

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l’union 140220 b
VOL : Un arracheur de collier arrêté

Les vols de colliers à l’arraché sont apparus avec la hausse des cours de l’or. Illustration
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Dopés par la hausse des cours de l’or, les vols de colliers à l’arraché sont désormais préférés aux vols de sacs à main par certains délinquants. Le phénomène est endémique dans le sud de la France, heureusement moins répandu à Reims, mais il existe.

Après cinq mois d’enquête, les policiers ont arrêté l’un de ces voleurs qui avait sévi le 12 septembre au quartier Croix-Rouge, place Maurice-Utrillo.

Ce jour-là, alors qu’elle vient chercher son courrier à la boîte aux lettres, une locataire de 58 ans voit deux individus arriver. Le premier entre dans le hall, le second reste à la porte et s’adresse à la dame en des termes incompréhensibles. C’est une manœuvre de diversion : le complice profite de l’étonnement de la victime pour lui arracher sa chaîne de cou en or. Lui et son acolyte prennent la fuite en direction de la rue Raoul-Dufy.

Jeune majeur, l’un des voleurs – celui reste à la porte – a pu être identifié sur les indications la plaignante. Elle l’a formellement reconnu lors d’une confrontation derrière la glace sans tain. Le garçon a pourtant contesté les faits. À l’écouter, ce 12 septembre, il roucoulait en Suisse avec sa copine, mais il n’a pu apporter aucune preuve de ce voyage touristique. Remis en liberté, il est convoqué le 27 mars devant le tribunal correctionnel pour « vol avec violence et en réunion ».

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l’union 140220 b
RENDEZ-VOUS

Assemblée générale de l’association Multi échanges Services (MutES), vendredi 21 février à 18 heures à l’espace Billard.

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l’union 140219 e
RENDEZ-VOUS

Le carnaval de Croix-Rouge aura lieu mercredi 19 février. Le thème de cette année est le cirque.

Le défilé partira du parvis de la médiathèque Croix-Rouge à 15 heures. Ensuite les participants se dirigeront vers la Maison du projet à Pays-de-France, pour réaliser un lâcher de ballons.

La fin du défilé aura lieu dans la salle municipale Croix-Rouge, 4 avenue François-Mauriac avec, au programme, un flash mob, un défilé des enfants en costume et un goûter pour tous les jeunes. Gratuit.

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l’union 140219 d
RENDEZ-VOUS

Assemblée générale de l’association Multi-échanges Services (MutES), vendredi 21 février à 18 heures à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, (12-14, rue Pierre- Taittinger), en présence d’Éric Quénard, premier adjoint à la maire de Reims.

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l’union 140219 c
RENDEZ-VOUS

40e anniversaire de l’association sportive du quartier Croix-Rouge Judo vendredi 21 février à 19 h 45 au dojo du gymnase François-Legros.

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l’union 140219 b
FAITS ET MÉFAITS : Cinq blessés et un alcoolisé

Cinq personnes ont été légèrement blessées lors d’une collision entre trois voitures survenue lundi à 18 h 30 allée du Vignoble (L’Union d’hier).

L’auteur de l’accident s’était déporté dans un virage, percutant deux véhicules en sens inverse. Lui n’a pas été conduit à l’hôpital mais au commissariat, car il était sous l’emprise de l’alcool.

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l’union 140219 a
EN IMAGES DANS NOS POINTS DE VENTE RÉMOIS : L’union fête la Saint-Valentin

Lucie à Euro Tabac, chez Mme Richard, 68, rue de Vesle.
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Flavie au Marigny , chez M. Pannet, 132, avenue de Laon.
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Camille au Gallia, chez M. Mirando, 137, avenue Jean-Jaurès.
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Ludovic au Kennedy, chez M. Cabaret, centre commercial Hippodrome
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Yann au Tabac Presse, chez M. Desforges, 1, rue du Roussillon à Cormontreuil.
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Nicolas au Hall de la presse, chez M. Cousinet, 88, rue Gambetta.
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Cassandra à Chatillons Presse, chez Mme Ferraz, 2, avenue Georges-Hodin.
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À l’occasion de la Saint-Valentin, les étudiants de BTS-NRC du lycée Joliot-Curie ont animé le réseau de diffusion de votre quotidien à Reims.

Ils ont offert un cadeau à chaque acheteur du journal. Quelques clichés de cette journée.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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l’union 140218 a
ACCIDENTS : Cinq blessés dans une collision

Hier soir, vers 18 h 30, une collision impliquant trois voitures s’est produite allée du Vignoble. Les pompiers ont déploré cinq blessés légers, parmi lesquels une femme enceinte et une fillette. Quatre ambulances ont été mobilisées pour prendre en charge les victimes. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de l’accident.

En début de journée, deux autres collisions se sont produites dans l’agglomération rémoise, la première à 8 h 30 rue Irène-et-Frédéric-Joliot- Curie. Elle aussi concernait trois voitures, embouties l’une après l’autre dans un ralentissement. La conductrice du milieu a été légèrement blessée.

Vers 9 h 15, à Bezannes, un motard a heurté une voiture qui lui coupait la route au carrefour de l’avenue Jean- Monnet et de la rue Louis-Victor-de- Broglie. Âgé de 32 ans, le motocycliste se plaignait de douleur au ventre et à un genou.

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l’union 140217 d
HAUTS-DE-MURIGNY : Des travaux pour améliorer les commerces

Les commerçants ont fait part de leurs demandes aux élus.
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L’association des commerçants et entreprises des Hauts-de-Murigny regroupe, sous la présidence de Thibaut Caron, tous les professionnels de ce centre commercial : l’institut de beauté Peau de pêche, Kadimage, Cook d’Asie, Val’graph, la boulangerie l’Artisane, le salon de coiffure Mac’Hair, l’entreprise informatique Logisat, la Maison de la nutrition, la pharmacie, le cabinet infirmier et l’auto-école Abel. Ils ont pour objectif de revitaliser un centre commercial vital pour le quartier. Après une brocante réussie le 22 septembre, un grand jeu concours est organisé jusqu’au 28 février.

Pour obtenir un coup de pouce de la ville de Reims et du bailleur Reims habitat, ils ont demandé au premier adjoint Éric Quénard et à l’adjointe au commerce et à l’artisanat Marie- Noëlle Gabet d’organiser une « balade urbaine » dans le secteur. Les élus étaient accompagnés de Patrick Baudet, directeur général de Reims habitat, de son adjoint Alain Bouny, directeur de l’agence Hauts-de-Murigny, de Nicolas Roche, directeur de la police municipale, Hervé Littierre (voirie municipale) et Stéphane Humbert (éclairages publics de la Ville).

Une visite du quartier a suivi, un large tour d’horizon qui a permis de faire le point sur la fermeture de la supérette, les questions d’éclairage public (enseignes, vitrines, totem), la signalétique par rapport au tramway, les problèmes de stationnement, les rapports avec les élèves du collège Georges-Braque, la peinture des immeubles, la propreté du site et l’entretien des espaces verts.

Dès le lendemain, les premiers travaux étaient attaqués : rehaussement des lampadaires, entretien d’un espace vert délaissé, mise en peinture des murs du centre commercial.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 140217 c
RENDEZ-VOUS

Carnaval de Croix-Rouge mercredi 19 février sur le thème du cirque. Le défilé partira du parvis de la médiathèque Croix-Rouge à 15 heures.

Parcours : vers la Maison du projet à Pays-de-France, avec lâcher de ballonset arrivée à la salle municipale Croix-Rouge, 4 avenue François- Mauriac.

Au programme : flash mob, défilé des enfants en costume et goûter pour tous les jeunes. Gratuit.

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l’union 140217 b
RENDEZ-VOUS

Assemblée générale de l’association Multi échanges services, vendredi 21 février à 18 heures à l’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge, (12-14, rue Pierre- Taittinger), en présence d’Éric Quénard, premier adjoint à la maire de Reims.

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l’union 140217 a
RENDEZ-VOUS

40e anniversaire de l’association sportive du quartier Croix-Rouge Judo vendredi 21 février à 19 h 45 au dojo du gymnase François-Legros.

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ANNONCE

Mercredi 26 février à 11 heures, inauguration de la rue Alain-Polliart, dans le cadre du programme de renouvellement urbain, en présence d’Adeline Hazan, maire de Reims, et d’Ẻric Quénard, premier adjoint à la maire de Reims.

C’est une nouvelle rue sur Pays-de-France qui débouche sur l’avenue Bonaparte juste après la pharmacie à droite en venant du côté collège Joliot-Curie.

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l’union 140215 b
AGRESSION : Deux détenus accusés de violences sur des surveillants

De forts éclats de voix ont résonné mercredi matin à la maison d’arrêt de Reims. Archives
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Deux détenus de la maison d’arrêt de Reims seront jugés le 11 mars. Ils sont accusés d’avoir agressé des surveillants pendant la promenade.

La promenade dans la cour s’est terminée par une excursion jusqu’au tribunal, sous bonne escorte. Accusés d’avoir agressé des surveillants de la maison d’arrêt de Reims, deux détenus ont fait l’objet d’une procédure qui risque d’alourdir leur casier judiciaire.

L’altercation s’est produite jeudi matin. Vers 8 h 30, alors qu’il avait quitté sa cellule pour la promenade, Hamady Dianka, 23 ans, aurait bousculé un gardien, volontairement. Décision fut prise de le menotter et de le conduire en chambre d’isolement, mais le détenu aurait opposé une vive résistance. Bilan : deux surveillants blessés, « à coups de coude », affirment-ils.

L’un des gardiens s’est retrouvé avec « le bras en écharpe », une entorse au doigt et des contusions multiples : dix jours d’incapacité totale de travail. Le second touché aux cervicales a dû passer un scanner qui n’a révélé aucune lésion sérieuse. Il s’est vu prescrire un jour d’arrêt.

Pendant l’altercation, un autre détenu, Abdelkrim Zeradib, 19 ans, serait venu au secours de son camarade. Il se serait interposé entre lui et les surveillants, sans toutefois porter de coups caractérisés.

Les affaires se suivent

Maîtrisés, les deux jeunes gens ont été extraits jeudi matin de leur cellule par les policiers de la brigade de répression des violences chargés de l’enquête. L’après-midi même, ils passaient en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, mais ils ont sollicité un délai pour préparer leur défense. Ils ont été écroués à Châlons-en-Champagne dans l’attente de leur procès renvoyé au 11 mars.

Quand ils ne sont pas détenus, les deux jeunes gens habitent Reims. Depuis cet automne, Hamady Dianka purge deux ans de prison pour une détention de deux kilos de cannabis aggravée de violences sur un policier lors de son arrestation, tandis qu’Abdelkrim Zeradib exécute six mois pour avoir lui aussi frappé un policier et appelé à l’émeute lors de son interpellation dans une rue de Croix- Rouge.

F.C.

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l’union 140215 a
RENDEZ-VOUS

Samedis du sport, le samedi 15 février de 10 à 12 heures, à Croix- Rouge, Laon-Zola, Trois-Fontaines et Orgeval L’idée des "Samedis du sport" est de donner, chaque mois, la possibilité de pratiquer une activité sportive seul(e) ou en famille, à son rythme.

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l’union 140214 e
EXPOSITION : Un parcours d’œuvres interactives

Une installation ludique et étonnante.
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L’exposition Réel, Irréel, Virtuel promet un voyage à travers un univers numérique et ludique, qui interroge les sens, modifie les perceptions…

Un halo de lumière sur un mur. Intrigué, on se place devant. Au-dessus de son ombre projetée, arrivent un cerf, un paon, un hibou… surgis de nulle part. Des masques d’animaux extraordinaires, qui créent une sorte de fable. L’ombre bien réelle du visiteur se mêle à l’univers virtuel de ces créatures étranges. « In the wood », l’installation interactive de Camille Scherrer, amuse et charme. « Lors d’une balade en forêt, je me suis amusée à transformer ma propre ombre avec des branches et des feuilles. J’ai voulu faire la même chose dans un milieu urbain, surprendre un public plutôt citadin, faire ressortir son côté animal », explique l’artiste, qui s’est inspirée des montagnes des alpes vaudoises où elle a grandi. Un concept qui allie la poésie à la technique : deux détecteurs de présence lancent l’animation.

Une seconde installation de Camille Scherrer « Le monde des montagnes » est visible du 5 février au 29 mars à la médiathèque Croix- Rouge et du 3 avril au 24 mai à la médiathèque Falala. Un livre, feuilleté sous l’oeil d’une caméra, révèle tout un univers invisible. Dans un autre coin de la salle, le « parcours augmenté » de Donald Abad est l’aboutissement d’un travail réalisé dans le cadre d’un Projet Artistique Globalisé « Labos créatifs » avec les écoles Martin Peller, Alfred Gérard et Trois-Fontaines autour du « land art » et de l’architecture. Ce parcours d’oeuvres interactives est le prélude à la 11e édition de la Nuit numérique, temps fort de l’exposition collective, qui aura lieu le 15 mars. « Nous en profiterons pour lancer officiellement notre label «  machine » qui vient regrouper, sur une même entité, l’ensemble des axes de travail autour des cultures digitales et des pratiques numériques », annoncent les organisateurs.

▶ Exposition jusqu’au 24 mai au Centre culturel Saint-Exupéry, esplanade André-Malraux. www.saintex-reims.com 03 26 77 41 41.

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l’union 140214 d
RENDEZ-VOUS

Samedis du sport le 15 février de 10 à 12 heures, à Croix-Rouge, Laon-Zola, Trois-Fontaines et Orgeval L’idée des "Samedis du Sport" est de donner, chaque mois, la possibilité de pratiquer une activité sportive seul(e) ou en famille, à son rythme.

Pour les mineurs, la présence d’un représentant légal est obligatoire.

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l’union 140214 c
RENDEZ-VOUS

Thé dansant à l’initiative de l’espace la Nacelle de la Maison de quartier Croix-Rouge, dimanche 16 février de 14 à 18 heures, au 3 rue du Docteur-Billard (03 26 49 47 07).

Une participation de 10 euros est demandée pour chaque adulte (animation dansante et goûter compris).

Réservation obligatoire à l’Espace Billard (03 26 08 08 78).

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l’union 140214 b
RENDEZ-VOUS

Portes ouvertes au lycée François- Arago : vendredi 14 février de 16 à 20 heures et samedi 15 février en continu de 9 à 15 heures.

Entrée libre 1, rue François-Arago.

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l’union 140214 a
TENNIS CHAMPIONNATS DE LA MARNE : Finales à Reims dimanche

Guillaume Thiérus.
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Organisés dimanche au centre de la Ligue de Reims, les championnats de la Marne individuels seniors non classés, 4es et 3es séries s’annoncent particulièrement disputés.

En effet, en 3e série, les anciens secondes séries Guillaume Thiérus (15/1, Géo- André) et Pierre Schwartz (15/1, Bétheny) seront favoris mais ils devront se méfier des jeunes Valentin Amiot (15/1, Saint-Martin-sur-le-Pré) ou Gauthier Henry (15/1, Géo-André).

Chez les dames, la finale devrait opposer, en toute logique, les 15/1 Charlotte Vecret (URT) et Marine Groulez (TC Reims).

Quant aux non classés/4e série, bien malin qui peut émettre le moindre pronostic puisque, dans les tableaux masculins et féminins, pas moins de sept 30/1 sont sur la ligne de départ !

A noter que cette compétition est qualificative pour les Régionaux qui auront lieu, toujours à Reims, du 7 au 9 juin prochain.

Horaires. – Demi-finales : 9 heures ; finales : 15h30.

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l’union 140213 e
RENDEZ-VOUS

Le carnaval de Croix-Rouge aura lieu le mercredi 19 février. Le thème de cette année est le cirque. Le défilé partira du parvis de la médiathèque Croix-Rouge à 15 heures. Ensuite les participants se dirigeront vers la Maison du projet à Pays-de-France, pour réaliser un lâcher de ballons. La fin du défilé aura lieu dans la salle municipale Croix-Rouge, 4 avenue François-Mauriac avec, au programme, un flash mob, un défilé des enfants en costume et un goûter pour tous les jeunes.

Cette animation est gratuite.

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l’union 140213 d
RENDEZ-VOUS

Portes ouvertes au lycée François- Arago : vendredi 14 février de 16 à 20 heures et samedi 15 février en continu de 9 à 15 heures.

Entrée libre 1, rue François-Arago.

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l’union 140213 c
OMNISPORTS TROPHÉE DU SPORT 2014 : 52 athlètes à l’honneur

Une partie des récompensés présents à la remise. Remi Wafflart
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Le Département a récompensé des sportifs qui portent haut les couleurs la Marne et les valeurs du sport dans des compétitions en France ou à l’étranger.

C’est dans ses locaux de la rue de Jessaint, à Châlons-en-Champagne, que le Conseil général a remis ses Trophées du sport. Cinquante-deux athlètes ont été distingués : trente-huit en haut niveau, neuf jeunes talents et cinq non reconnus de haut niveau. Parmi les athlètes mis à l’honneur, deux jeunes basketteuses du Reims Basket féminin, Marième Badiane et Pauline Lithard qui sont vice-championnes du monde avec l’équipe de France U19 en Lituanie.

« Ça fait toujours plaisir, et c’est aussi une reconnaissance que nous apprécions , déclarent-elles à l’unisson. On espère être dans l’équipe qui jouera les championnat d’Europe des moins de 20 ans en Italie au mois de juillet prochain. »

Une dernière grande compétition chez les jeunes avant de plonger dans le grand bain des seniors où les places seront forcément plus chèrement disputées.

EMMANUEL BUSSON

Divisés en six catégories

Grégoire Pastrès, chargé des sports, de la jeunesse et du tourisme au sein du Conseil général, a officié pour énoncer le palmarès.

JEUNES TALENTS . – Marième Badiane (Reims Basket féminin ), Bastien Chaumet (Reims Roller Hockey ), Kendra Dacher (COCAC lutte ), Clément Foulon (Épernay Canoë-Kayak), Antoine Guenin (Association Sportive Orientation Sillery) , Romane Huet (Épernay Canoë-Kayak ), Mathias Guillouart (La Renaissance gymnastique), Valentin Morizet (Roller Hockey Reims), Lucas Nicolas (Association Croix-Rouge Judo Reims).

ESPOIRS . – Jade Biston (Société de tir de Reims), Jonathan Hauterville (Cercle d’Escrime Châlons), Hichem Halassi (Entente Family Stade de Reims Athlétisme), Sébastien Havot (Association Cycliste Bazancourt-Reims), Nicolas Jonasz (Tennis Club Montmirail ), Temur Musoyan (COCAC lutte), Océane Ropital (La Renaissance Gymnastique ), Thomas Sainte-Rose (Cercle d’Escrime Châlons ), Arthur Elemva (Association Sportive Croix-Rouge Judo Reims) , Jason Hurlain (ASPTT Châlons Judo), Antoine Husson (Régates Rémoises), Daniel Ludwig (Épernay Canoë-Kayak), Antoine Martinet (Entente Family Stade de Reims Athlétisme ), Ludovic Oget (Association Cycliste Bazancourt- Reims).

SPORTIFS NON RECONNUS DE HAUT NIVEAU. – Anne-Sophie Da Costa (Ring Régional de Champagne), Ronia Demoulin (Le Randon du Tardenois, trec), Antoine Rossetti (Reims Enduro Model Car), Christophe Vacter (Club Athlétique de Mourmelon), Jean-Michel Hamilcaro (Boxing-Club Épernay).

JEUNES. – François Barrer (DAC Reims Athlétisme), Hugo Delabre (Roller Hockey Reims), Hugo Garcia-Prieto (Roller Hockey Reims), Pauline Lithard (Reims Basket féminin), Victoire Morelle (École de Bowling Thillois-Reims), Tristan Navarro (Reims Patinage de Vitesse), Soline Tanguy (COCAC lutte).

SENIORS. – Yohann Diniz (Entente Family Stade de Reims Athlétisme), Tabatha Grunenwald (COCAC lutte), Sébastien Henry (Champagne Bowling Association), Catherine Houlmont (Sporting Club Mesnilois, tir à la carabine), Cédric Houssaye (Entente Family Stade de Reims Athlétisme), Daniel Royer (ASAC Les Matelots, sport adapté), Kevin Seve (Champagne Bowling Association), Nicolas Gomont (DAC Athlétisme Reims), Bénédicte Le Panse (Reims Haltérophilie Musculation), Lucie Mathieu (Régates Rémoises), Marc Seretti (Association châlonnaise de vol à voile), Louison Tanet (Dormans Canoë-Kayak).

ÉLITE . – Mahiédine Mekhissi-Benabbad (Entente Family Stade de Reims Athlétisme), Vincent Michaux (Reims Boxe Française), Véronique Pierron, (Reims Patinage de Vitesse), Teddy Tinmar (Entente Family Stade de Reims Athlétisme).

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l’union 140213 b
VIOLENCES : Deux policiers blessés

L’interpellation musclée s’était déroulée sur l’avenue Kennedy. Archives
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Dans la journée du 11 février, le commissariat de police reçoit un appel de la part d’un contrôleur de la Citura : un passager du tramway n’a pas de titre de transport et rechigne à se faire contrôler. Deux policiers arrivent à la station située sur l’avenue Kennedy, dans le quartier Croix-Rouge. L’homme, âgé de 20 ans, s’entête et la situation dérape, de la bousculade à la rébellion : un des fonctionnaires reçoit un coup de poing au visage tandis que son collègue est cueilli au menton. Des renforts sont appelés. Finalement maîtrisé, l’individu à qui il reste encore la liberté de parole outrage en rafale les policiers. Placé en garde à vue, il reconnaît les faits.

Au final, les deux policiers reçoivent respectivement des ITT d’un et dix jours, ce dernier étant touché aux cervicales. De passage sur Reims alors qu’il réside dans le Val-d’Oise, le mis en cause s’est révélé déjà connu des services de police. À l’issue de sa garde à vue, il est reparti avec, en poche, une comparution devant officier de police judiciaire pour le 12 mai prochain.

M.L.

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l’union 140213 a
CAMBRIOLAGE : À 14 ans, interpellé pour vol

Dans l’après-midi du 10 février, rue de Bezannes, un homme en aperçoit trois autres entrer dans un garage. L’instant d’après, ils en ressortent avec une grande housse, comparable à celle qui renferme des fusils. Le témoin appelle la police et donne le signalement des suspects. Un équipage de la brigade anti criminalité (Bac) se met à tourner dans le secteur.

Et finit par interpeller au pied d’un immeuble du quartier Croix- Rouge un adolescent de… 14 ans, identifié peu après par le témoin. Entendu au commissariat, le mineur, porteur d’une « boulette » de cannabis, nie les faits dont il est suspecté.

Relâché à l’issue de sa garde à vue, le très jeune mis en cause sera de nouveau en mars, cette fois par un juge des enfants, en vue de sa mise en examen. Pour le moment, l’arme dérobée dans un garage de la rue de Bezannes n’a pas encore été retrouvée.

M.L.

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l’union 140212 f
ANIMATION : Succès pour la bourse aux livres

Plus de 15 000 livres étaient proposés aux amateurs.
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Pour la 7e année consécutive, le groupe Escapades de l’espace Billard – la Nacelle de la maison de quartier Croix-Rouge, a offert aux Rémois la possibilité d’assouvir leur passion de la lecture. 550 personnes ont pu profiter des bonnes affaires durant une semaine complète. Une quarantaine de personnes, membres du groupe et bénévoles venus de la maison de quartier, de l’AFEV, du centre de bénévolat de Reims et du quartier Croix-Rouge, ont donné de leur temps pour l’installation de plus de 15 000 livres.

A l’issue du rangement, le groupe Escapades a offert à tous ces bénévoles un repas crêpes. Mercredi, une trentaine d’enfants fréquentant les centres de loisir du quartier ont pu procéder à un échange de livres, chaque enfant en apportait un et repartait avec un autre de son choix.

Une partie des invendus a été offerte à l’association Saint-Vincentde- Paul, au Secours populaire et à Emmaüs. Quelques livres scolaires ont même pris la direction du Maroc. Jean-Marie Blancart, animateur du groupe Escapades donne dès maintenant rendez-vous à l’année prochaine pour la 8e édition.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 140212 e
GÉNÉROSITÉ : Des étudiants se vendent aux enchères

Johanna, Mathilde, Benjamin, Margaux et Andy, étudiants à l’URCA.
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Les étudiants de l’association Flash vont être « vendus » aux enchères lors d’une « date auction » pour financer un projet humanitaire au Népal. La vente s’effectuera aujourd’hui entre 12 et 14 heures à l’amphithéâtre n°10 du campus Croix-Rouge.

L’argent récolté par la Fédération lettres, art et sciences humaines servira à financer la restauration d’une école primaire à Bhaktapur au mois de juin. L’association Solidarité Reims-Népal s’est associée à ce projet aux côtés de Solidarité-enfants- Népal. Une autre association rémoise qui a déjà financé la construction de 18 écoles dans ce pays.

Les étudiants en vente peuvent réaliser divers services : laver votre vaisselle, nettoyer votre appartement, écrire vos cours à votre place, vous accompagner au restaurant universitaire. « Boire un café avec un étudiant qui m’a acheté, ce n’est pas ce qu’il y a de plus difficile pour financer un projet qui me tient à coeur », apporte Benjamin, étudiant en deuxième année de licence de philosophie. Pour Margaux, étudiante dans la même filière, « c’est l’occasion de se rendre utile pour une cause juste ».

Cette vente aux enchères hors norme est préparée avec sérieux. Un amphithéâtre est mis à la disposition de l’association et des repas et boissons sont proposés à la vente. Lors de la précédente édition, la « date auction » avait attiré un peu plus de cent personnes et avait rapporté 300 euros à l’association.

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l’union 140212 d
GYMNASTIQUE CHAMPIONNATS DE LA MARNE : « Il faudra confirmer »

Jade Moura et l’AGR ont tenu leur rang. Christian Lantenois
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Les Départementaux A de gym artistique ont donné lieu à des évolutions de qualité, au complexe René- Tys de Reims. Au total, une trentaine d’équipes a foulé les praticables pour décrocher l’un des douze titres en jeu. Avec quatre formations titrées, La Renaissance a été la plus performante, suivie de près par l’Association Gymnique Rémoise (3) et Aÿ (2).

Désormais rodé, l’AGR a montré son savoir-faire en terme d’organisation. Pour l’occasion, de jeunes gymnastes de la section sportive du collège François-Legros ont prêté main forte aux bénévoles. C’est lié à l’investissement de leur professeur d’EPS Mathieu Moura. Également entraîneur bénévole à l’AGR, il revient sur les perfs de ses jeunes pousses.

▶ Comment qualifieriez-vous ces championnats ?

« C’est une réussite. Tout s’est très bien déroulé. Les bénévoles ont été particulièrement efficaces. Le public est venu en nombre et, en parallèle de la 4e édition du « Sport au féminin », nous avons eu la visite d’Adeline Hazan et Christine Michel. »

▶ Êtes-vous satisfait des résultats ?

« Sur sept équipes engagées, nous obtenons trois titres dont un doublé. Ce bilan est conforme à nos attentes. En filles et en garçons, les gymnastes ont bien matché. Personne n’est passé au travers. Mais, les Départementaux sont utiles pour nous préparer aux échéances à venir. Nos sept équipes ont décroché leur billet pour les Régionaux (15 et 16 mars). »

▶ Quels sont les objectifs pour ces Régionaux ?

« La concurrence sera plus rude à ce niveau. C’est là que les choses sérieuses commencent. Nos trois équipes couronnées samedi tenteront de décrocher le titre régional. Surtout, nous espérons qualifier les sept équipes pour le niveau suivant, à savoir les Zones. Pour notre équipe phare, évoluant en Division Fédérale féminine, l’objectif sera de confirmer car elles ont le potentiel pour aller aux France cette saison. »

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l’union 140212 c
SPORTS UNIVERSITAIRES COMITÉ RÉGIONAL : « Promouvoir notre fédération »

Assisté de Christelle Leblanc, Laurent Duclos apprend son nouveau métier. H. Oudin
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Nommé en septembre à la tête du comité régional du sport universitaire, Laurent Duclos déborde de projets. Les premiers se concrétisent déjà.

Ancien prof d’EPS au collège Paul-Fort, Laurent Duclos, succédant à Annabel Marx, est devenu directeur du Comité régional de sport universitaire (CRSU). L’ex-rugbymen d’Épernay veut développer les pratiques et renforcer le statut des athlètes. Il veut aussi promouvoir les sports au travers d’événements majeurs. Revanche de la finale des Mondiaux remportés par les Bleus, le France - Angleterre à Reims répond à cette volonté. Il est fixé au 28 mai.

▶ Laurent Duclos, sous quels axes placez-vous votre mission ?

« C’est une année de découverte, mais j’ai une détermination forte : faire mieux connaître le sport U. On doit le promouvoir vers le grand public car il y a une pratique de masse mais elle cohabite avec du haut niveau. Certains athlètes sont de classe internationale. Mélanie Clément est étudiante en Champagne et championne d’Europe de judo (48 kg). »

▶ Comment comptez-vous assurer la communication ?

« Notre coeur de métier sera l’organisation de toute compétition sportive : du District à l’international. Même si je peux être amené à encadrer une sélection, mes priorités sont à l’organisation, la bonne santé financière de mon comité et aux bonnes relations avec les partenaires institutionnels. L’idée est aussi de rechercher des soutiens privés parce, qui dit événementiel, dit coûts. »

▶ Quel est le sommet de la saison ?

« On organise quatre championnats de France : judo D2 (jeudi dernier), water-polo à Troyes (10-11 avril), volley-ball 4 X 4 à Reims (14-15 mai) et rugby à 7 à Épernay (12-13 juin). Je me suis battu pour celui-là… Mais, il y a un autre choc avec France – Angleterre à Delaune. »

▶ Avez-vous un volet formation dans votre programme ?

« C’est intégré dans notre politique et cela prend plusieurs formes : formation des officiels (licence capacitaire en arbitrage) et aussi création d’un UC libre « événementiel » avec l’UFR Staps. Les étudiants sont les forces vives de notre fédération. Valider un module organisation des compétitions sera intéressant à l’avenir. Comme il est crucial de créer des passerelles vers les Ligues et Fédérations classiques. »

▶ Le sport U garde-t-il une place à part dans la vie étudiante ?

« Sur nos quatre pôles (Reims, Châlons, Troyes et Charleville), la demande évolue vers une pratique en soirée. Il faut aussi créer des pôles universitaires. Ils permettront à des athlètes contraints de quitter leur club pour leurs études de conserver un entraînement de qualité. Avec la proximité du Creps et des pôles locaux, nous avons un atout. »

Propos recueillis par E.B. et PH.L.

Thibaud Molins qualifié pour les France D1

Jeudi, Reims accueillait donc les France D2 à la Halle Croix-Rouge (ainsi que les France kyu en parallèle).

Les six premiers de chaque catégorie se sont qualifiés pour les France D1. Thibaud Molins (Staps Reims), 3e en 60 kg, sera à Montpellier (2 avril).

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l’union 140212 b
BADMINTON TROPHÉE RÉGIONAL : Une deuxième sans surprise

Organisée à la Halle Croix-Rouge de Reims par la Ligue et le Reims Université Club, la deuxième étape du Trophée Regional jeunes et vétérans à rassemblé 75 joueurs issus de 12 clubs pour 123 matches ! Sur le plan des résultats, la logique à très souvent été respectée avec notamment la victoire attendue en minimes de la Courcysienne Estelle Graux actuellement 31e française. A noter que les Championnats régionaux jeunes et vétérans des 24 et 25 mai prochain - logiquement à Reims - serviront de troisième étape à ce Trophée Régional.

D’ici là, d’autres temps forts vont rythmer le calendrier de la Ligue Champagne. Les 1er et 2 mars, Troyes accueillera une étape du Trophée interrégional. C’est un passage obligé vers le Trophée national qui se disputera à Fougères, près des Rennes (Ille-et-Vilaine).

▶ POUSSINS
Simple hommes : Ayot (D4, USCA Chalons) bat Couturier (non classé, Epernay BC) 21-11, 22-20.
Simple dames : Amelia Mollet (NC, RUC) bat Emma Wasselet (NC, RUC) 21-11, 21-10.

▶ BENJAMINS
Simple hommes : Billon (D3, BC Baralbin) bat Attil (D2, ABC Reims) 22-20, 21-19.
Simple dames : Constance Caspar (D3, Magenta BC) bat Léane Vermande (D4, Magenta BC) 21—11, 21-11.

▶ MINIMES
Simple hommes : T. Bougery (D3, BC Bazeilles) bat Sourdot (D2, USCA Chalons) 21-14, 21-16.
Simple dames : Estelle Graux (C3, Courcy) bat Alice Hubail (D1, BC Baralbin) 21-15, 11-21, 21-15.

▶ CADETS
_Simple hommes : Marchand (C4, Piney) bat C.Bougery (D3, Bazeilles) 21-12, 14-21, 21-12.
Simple dames : Elsa Lebon (D1, Courcy) bat Clémence Kesteloot (D1, Magenta BC) 21-17, 21-18.

▶ VÉTÉRANS
Double mixte : Christophe Martinet (D3) – Christine Bertois (D2, Courcy) battent Christian Chizza (D2) – Adeline Audinot (D1, Tinqueux) 21-7, 21-10.

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l’union 140212 a
RENDEZ-VOUS

Portes ouvertes au lycée François- Arago : vendredi 14 février de 16 à 20 heures et samedi 15 février en continu de 9 à 15 heures.

Entrée libre 1, rue François-Arago.

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l’union 140211 c
EDUCATION : Le lycée Joliot-Curie surfe sur le boum de la sécurité privée

En attendant, les élèves viennent de découvrir les métiers de pompiers, gendarmes, sauveteurs, en haute montagne.
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Le bac pro « prévention et sécurité » du lycée Joliot-Curie est unique dans l’académie, avec des demandes qui dépassent le nombre de places et de réels débouchés.

Au coeur du quartier Croix- Rouge, le lycée Joliot-Curie cultive un vraie spécificité : un bac pro « prévention et sécurité », le seul (à part une demi-division à Wassy en Haute-Marne) dans l’académie. Aussi, les classes sont vite remplies. 5,3 demandes pour une place, c’est le ratio livré par Saïd Salia, chef de travaux. Il explique l’engouement par le prestige de l’uniforme, mais pas seulement.« Il y a aussi l’envie d’être au service de l’autre », poursuit- il. Venus donc de toute la région, les élèves préparent des concours pour devenir pompiers, gendarmes ou policiers.

Mais là encore, la concurrence est rude. Et parmi les débouchés, on trouve aussi agent de sécurité, une profession en plein boum. Entre 2005 et 2008, l’activité a bondi de 14 %. Et comme l’explique Aziz Meguebel, professeur d’économie et de gestion commerciale, la profession vient d’être sérieusement encadrée. « Dans les années 80 jusqu’à 2000, c’était un peu n’importe quoi. Tout le monde pouvait créer sa société de sécurité et employer des étudiants par exemple », confie-t-il. Depuis, le ministre de l’Intérieur a pris le contrôle et le Cnaps (Conseil national d’activités privées de sécurité) a vu le jour. C’est cet organisme notamment qui délivre les cartes professionnelles, indispensables normalement pour pratiquer cette profession. 33597 cartes ont ainsi été délivrées sur le plan national en 2012. « Mais le Cnaps effectue aussi des contrôles, ce qui a permis de faire évoluer ce secteur. » Du coup, un bac pro comme celui de Joliot-Curie est d’autant plus pertinent. Dans les tuyaux, on discute même de créer un BTS qui fait cruellement défaut. « Nous serons évidemment les premiers candidats à accueillir une telle formation, sachant que dans la sécurité privée, il y a aussi un manque d’équipes d’encadrement », ajoute Saïd Salia. En attendant, au niveau du lycée, on insiste aussi sur le module secours à la personne qui est donnée. Parmi les lycéens de cette filière, beaucoup sont déjà pompiers volontaires.

L’établissement accueille quelque 600 élèves avec des bacs autour de la vente, de la gestion, du commerce, ainsi qu’un BTS négociation client. Pour en savoir plus, des portes ouvertes auront lieu le 15 mars prochain.

YANN LE BLÉVEC

Un stage à la montagne, ça vous gagne

Les Secondes et Premières du bac pro « prévention et sécurité » viennent d’effectuer un voyage dans la vallée de la Maurienne. « Le but n’était pas uniquement de skier, même si nous avons des élèves qui se doivent d’être sportifs et qu’ils ont pris des cours », glisse Aziz Meguebel, responsable du projet. Le thème était « La montagne en toute sécurité ». Et les élèves ont pu ainsi faire de sensationnelles découvertes. Ils sont allés avec les pompiers notamment sur le terrain pour une simulation de recherche de victimes d’avalanche avec un Arva ou en sondant la neige. Ils sont aussi dans le fameux hélicoptère du peloton de gendarmerie de haute-montagne. Enfin, ils ont suivi les traces d’un pisteur-sauveteur avec son chien. « Ils en ont pris plein les yeux et c’est surtout très motivant. » Cela a permis de se projeter vers un avenir possible ont témoigné les élèves, Romaric se voyant déjà avec les gendarmes savoyards. « Cela a renforcé aussi l’esprit d’équipe, la cohésion, changé le rapport avec les professeurs », disent-ils enthousiastes.

« La profession a redoré son image »

Il existe une vingtaine d’agences spécialisées dans la sécurité sur Reims. Parmi elles, on trouve notamment Lancry protection de sécurité : « Nous ne faisons pas d’installations d’alarmes, nous mettons à disposition du personnel pour du gardiennage, de la surveillance », y explique- t-on. Au total, 180 agents peuvent intervenir sur un très large secteur, dans des domaines aussi divers que la distribution, mais aussi de l’industrie ou du tertiaire. « Le métier n’avait pas forcément une bonne image, elle est en train de la redorer. C’est une fonction importante, il y a plusieurs aspects, dont notamment la relation avec le public qui doit être prise en compte. Nous recrutons uniquement des titulaires de la carte professionnelle, qui est délivrée après une vraie enquête de la préfecture. » Bref, il ne suffirait plus d’avoir des gros bras.

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l’union 140211 b
AVIS D’ATTRIBUTION DE MARCHÉS

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 7.204.000 €, inscrite au RCS sous le numéro B 335 480 679, dont le siège social est sis 7, rue Marie Stuart, CS 80017
- 51723 Reims Cedex.
Affaire : réhabilitation d’une supérette en locaux associatifs et réalisation d’équipements - Place Rodin, quartier Croix du Sud à Reims (51) / Réf. : MA-040413.
Attributaires : lot nº, libellé du lot, entreprise, montant € HT :
- Lot 01 : gros œuvre - Le Bâtiment Associé (51) : 594.750,00
- Lot 02 : charpente bois - CTB (02) : 76.500,00
- Lot 03 : étanchéité - Gayet Agence Wagner (51) : 65.418,37
- Lot 04 : menuiseries extérieures métalliques / serrurerie - Arti Production (08) : 369.250,00 + en sus option relative aux grilles à enroulement motorisé pour le café associatif : 12.000,00
- Lot 05 : ravalement / peinture - Lagarde et Mérégnani (51) : 74.865,46
- Lot 06 : menuiseries intérieures - Martin JP (51) : 36.072,11
- Lot 07 : doublages / cloisons / plafonds - Martin JP (51) : 82.719,48
- Lot 08 : plafonds démontables - Rodrigues (51) : 23.653,47
- Lot 09 : carrelages / sols minces - Debeaumont (02) : 83.617,73
- Lot 10 : ascenseur - Schindler (51) : 22.720,00
- Lot 11 : plomberie / chauffage / ventilation - Brunet forby (51) : 231.855,00 (option CTA - Centrale de Traitement d’Air non retenue)
- Lot 12 : électricité - Blanchard (51) : 146.464,66 (option alarme intrusion non retenue)
- Lot 13 : cuisine - Serec (51) : 40.171,31
Montant total du marché : 1.860.057,59 € HT.
Pour tous renseignements, contacter le Service Marchés : Mme GALLOIS 03.26.04.99.05 / Mme FORRAY 03.26.05.92.33
Date d’envoi du présent avis à la publication : le jeudi 6 février 2014 aux Journaux L’UNION (éditions Marne, Aisne, Ardennes) et le Matot Braine.

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l’union 140211 a
Les incendiaires Rôdent

Hier à 0 h 15, deux conteneurs ont brûlé rue Raymond-Poincaré, puis une Ford Focus à 3 h 30 rue François- Mauriac.

Dimanche à 0 h 15, une Ford Fiesta signalée volée a été mise à feu allée Edgar-Degas.

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l’union 140210 e
DÉLINQUANCE : Les cambriolages marquent le pas

L’action des forces de police et de gendarmerie a fait baisser de 475 faits le nombre de cambriolages entre 2012 et 2013. Hervé Oudin
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Dans la Marne, les vols dans les résidences principales et secondaires ont baissé de 7,98 % en zone police et de 25,55 % en zone gendarmerie.
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La lutte sans merci que mènent les forces de l’ordre contre les cambriolages porte ses fruits dans la région après une explosion des chiffres en 2012.

L ’année 2012 avait été noire avec un cambriolage toutes les 90 secondes. L’année 2013 reste préoccupante « même si la tendance est au ralentissement en fin d’année ». Car la hausse est de 6,4 % en zone police et de 4,7 % en zone gendarmerie. Si l’avenir reste sombre au plan national, la lutte contre les cambriolages, chère à Manuel Walls, a en tout cas porté ses fruits en région Champagne-Ardenne et dans l’Aisne où la courbe s’est singulièrement infléchie au cours de l’année écoulée.

Le plan de bataille mis en place dans l’Aisne au premier semestre permet d’être optimiste au regard des derniers chiffres disponibles (voir par ailleurs). Mais en la matière, la bonne surprise reste la région Champagne-Ardenne. On y assiste à une évolution générale favorable avec une baisse de 9,5 % tous types de cambriolages confondus. Dans cette belle éclaircie, qui ne doit rien au hasard, la Marne fait particulièrement figure de bonne élève. Sa performance est révélatrice d’une politique de lutte contre les cambriolages particulièrement efficace, initiée dès l’été 2012 par les forces de l’ordre, le parquet de Reims et celui de Châlons-en-Champagne.

« Le viol de l’intimité »

Les vols dans les résidences principales et secondaires y sont en nette diminution avec une baisse de 7,98 % en zone police et de 25,55 % en zone gendarmerie. Policiers et gendarmes ont ainsi enregistré 475 cambriolages de moins en 2013 avec un total qui passe à 2 169 faits. Si l’on tient compte des vols avec effraction dans les locaux industriels, commerciaux et financiers, les chiffres restent encourageants avec une diminution de 12,45 % par rapport à 2012.

Mais les résultats encourageants obtenus dans la région n’atténuent pas de facto la montée du sentiment d’insécurité qui va de pair avec la hausse des cambriolages. D’abord parce que ces derniers atteignent les victimes dans leur intimité. Au-delà du préjudice matériel, elles subissent une grande souffrance au plan psychologique. C’est ce que l’on nomme « le viol de l’intimité. » « Quand nous sommes entrés dans notre chambre à coucher, notre lit était complètement retourné », racontait l’une d’elle. Les jours et les semaines qui suivent n’estompent pas facilement le traumatisme. « On se sent mal à l’aise car extrêmement vulnérable », poursuivaitelle.

« Les cauchemars des enfants »

Une Rémoise avoue qu’elle n’a toujours pas fait le deuil de son cambriolage pourtant perpétré il y a plusieurs mois dans le quartier de Croix-Rouge. « Les enfants ont fait des cauchemars pendant longtemps. Quand j’allais les chercher à l’école, ils étaient pressés de rentrer par peur que les cambrioleurs reviennent. Aujourd’hui encore, nous vivons avec la peur au ventre. Quand ils voient que l’ascenseur est arrêté à notre étage, ils se demandent si les cambrioleurs ne sont pas revenus », témoigne-t-elle. Souvent encore, les enfants cachent leurs jeux vidéos. « À l’époque, les voleurs avaient emporté la Hi-fi, les consoles de jeux, les télévisions et de l’argent liquide », explique la mère de famille.

D’ailleurs, la découverte d’un peu de numéraire avait conduit les malfrats à fouiller l’appartement de fond en comble. « Les classeurs avec les papiers, les cartables des enfants, les étagères… tout avait été retourné à la recherche d’autres liquidités », poursuit-elle. « C’est dur de se dire que des inconnus sont entrés dans votre intimité », conclut-elle.

E.L

Les bons conseils à retenir

Ces conseils paraissent relever de l’évidence. Mais la routine fait bien souvent son oeuvre et votre vigilance s’émousse.

Vérifier si vous respectez à la lettre ces quelques consignes collectées auprès des forces de l’ordre.

Protéger l’accès à ses biens :

Penser à verrouiller les accès de l’habitation (portes, fenêtres, garages…) et à fermer les volets à la nuit tombée.

Ne pas inscrire son nom et son adresse sur son trousseau de clés. Et changer les serrures en cas de perte.

Opter pour un éclairage extérieur qui s’active à la détection d’un mouvement.

Équiper les soupiraux et ouvertures avec des grilles, volets ou barreaux adaptées.

Équiper la maison d’une alarme. Le faire savoir par un écriteau installé sur le portail.

Ne pas laisser une échelle ou des outils dans le jardin à disposition des cambrioleurs.

Ne pas cacher ses clés dans des endroits repérables. Sous le paillasson, dans la boîte aux lettres ou sous un pot de fleur.

Ne pas conserver d’importantes sommes d’argent chez soi.

S’agissant des objets de valeur, les photographier, conserver les factures, noter le numéro de série et la référence des matériels et les mettre dans un endroit sûr.

Laisser des signes de présence :

Éviter de laisser des messages d’absence sur le répondeur ou de livrer des détails concernant vos vacances sur les réseaux sociaux.

Faire relever son courrier, ou à défaut le faire conserver par La Poste.

Créer l’illusion d’une présence (ampoule basse tension allumée, utilisation d’un programmateur…).

En cas d’absence durable, il est possible de signaler son absence à des voisins de confiance ou au gardien de l’immeuble.

Donner vite l’alerte :

Ne rien toucher et ne pas modifier l’état des lieux pour éviter de polluer la scène de cambriolage que la police technique et scientifique va tenter d’exploiter pour confondre le ou les auteurs.

Alerter rapidement les forces de l’ordre en composant le 17, surtout si les malfaiteurs viennent d’être mis en fuite. Car une patrouille se trouve peut-être dans votre secteur.

Mémorisez le signalement des auteurs comme la taille, les vêtements, les signes particuliers, les tatouages, les lunettes, les propos tenus, le type de véhicule utilisé et la direction de la fuite.

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l’union 140210 d
RENDEZ-VOUS

Bal costumé en faveur du club Reims Avenir Patinage samedi 15 février à partir de 20 h 30 à la salle municipale François-Mauriac.

Réservations : Jean-Luc Ploye, au 06 20 45 60 84 ou Agnès Cuillier au 06 07 96 00 69.

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l’union 140210 c
RENDEZ-VOUS

Atelier « Coup de pouce Emploi » mardi 11 février à 14heures à la Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Debar.

Gratuit, inscription au 0326356848.

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l’union 140210 b
RENDEZ-VOUS

Portes ouvertes au lycée François- Arago vendredi 14 février de 16 à 20 heures et samedi 15 février en continu de 9 à 15 heures.

Entrée libre 1, rue François-Arago.

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l’union 140210 a
TENNIS : TOURNOI DE CORMONTREUIL : Visy ne perd pas de temps

L’ancien universitaire de San Diego (États-Unis) a été expéditif. Archives Bernard Sivade
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Limité à – 30, le tournoi d’hiver du Cormontreuil TC a, comme prévu, connu une finale masculine 100% cormontreuilloise ! Entre Thibault Visy (–2/6) et Sébastien Jolly (1/6) soit, en quelle que sorte, l’élève contre le maître !

Amélie Zarev revient sur ses terres

Force est de reconnaître que le premier a désormais dépassé le second comme en témoigne le score sans appel : 6-0, 6-1 ! « Ça va trop vite », reconnaissait même Sébastien Jolly. S’appuyant sur un service performant, Thibault Visy a impressionné par sa densité et par ses longueurs de balles qui n’ont laissé aucune chance à son adversaire.

En + 35 ans, Frédéric Sadouet (15/4, Géo-André) a, pour sa part, bousculé la hiérarchie en dominant logiquement au stade ultime Pietro Iazzolino (15/2, Poix-Terron) : 6-1, 6-3.

Enfin, chez les dames, la néo « Européenne » Amelie Zarev (3/6) a inscrit son nom au palmarès de l’épreuve hivernale de son ancien club. Opposée en finale à la Lorraine Delphine Dethis (4/6, Thionville) qui a réalisé un excellent parcours dans la banlieue rémoise, la jeune Amélie Zarev a dû forcer son talent dans le set initial (7-5) avant de gérer sereinement le deuxième (6-3) en limitant énormément les fautes directes. La Luxembourgeoise de Thionville ne pouvait plus suivre la cadence.

▶ MESSIEURS. – Quarts de finale : Jolly (1/6, Cormontreuil) bat Seuret (3/6, Reims Europe) 6-2, 1-6, 6-0 ; Soumet (3/6, Cormontreuil) bat Andruejol (1/6, Reims Europe) par WO ; Robert (1/6, Cormontreuil) bat Gilles (2/6, TC Reims) 6-2, 2-6, 6-2.
Demi-finales : Jolly bat Soumet 4-4 abandon ; Visy (-2/6, Cormontreuil) bat Robert 6-2, 6-2.
Finale : Visy bat Jolly 6-0, 6-1.

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REIMS MÉTROPOLE MAGAZINE N°137 - 140209c
Le quartier Croix-Rouge dans « REIMS MÉTROPOLE MAGAZINE »

N° 137 . janvier 2014

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Trophée Or du cadre de vie

À l’occasion du Festival professionnel Fimbacte, Plurial L’Effort Rémois a reçu le Trophée Or du Cadre de Vie dans la catégorie « Bâtiments publics, tertiaires et habitat », en reconnaissance du travail réalisé avec le cabinet troyen Axis Architecture pour le « Polidrome de Reims » dans le quartier Croix Rouge.

Ce projet concerne la réhabilitation haute qualité d’un site tertiaire transformé en locaux d’activité, logements locatifs et maisons en accession, avec création conjointe d’un restaurant, d’une salle de sport et d’une micro-crèche et intégration de façades végétalisées.

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l’union 140209 b
RENDEZ-VOUS

Atelier « Coup de pouce Emploi » mardi 11 février, à 14 heures, à la Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean-Louis-Debar.

Gratuit, sur inscription au 03 26 35 68 48.

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l’union 140209 a
BASKET-BALL COUPE DE FRANCE U17 FÉMININE : Bourges n’impressionne pas Fabre

La meneuse du RBF semble promise à un grand avenir. Remi Wafflart
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Cet après-midi, les jeunes du Reims Basket Féminin accueillent Bourges (15 h 30, Gymnase Roland- Bourgoin), poids lourd de l’Hexagone. L’occasion pour la talentueuse meneuse Margaux Fabre de poursuivre son apprentissage.

▶ Margaux Fabre, racontez-nous votre parcours qui vous a conduit à Reims.

« Je suis née à Calais et j’ai intégré le pôle espoirs de basket de Wattignies (Pas-de-Calais). J’y suis restée un an avant de passer des tests dans plusieurs centres de formation : Bourges, Mondeville, Saint-Amand et Reims. J’avais plusieurs possibilités, j’ai choisi Reims. »

▶ Pourquoi avoir choisi le RBF plutôt qu’un autre club ?

« C’était le meilleur projet d’entraînement. C’est une chance unique pour moi, d’autant que j’aurai l’occasion, dès l’année prochaine, d’intégrer l’équipe de L2F. On s’entraîne tous les soirs au Creps et je dispose d’horaires aménagés au Lycée Arago en 1re S. Tout est réuni pour que je puisse progresser et passer pro. »

▶ Vous affrontez Bourges, une grosse cylindrée. Que vous évoque cette rencontre ?

« J’ai passé les tests à Bourges, mais l’encadrement ne recherchait pas de meneuse donc je n’ai pas été retenue. C’est sûr que là-bas, il y a les meilleures joueuses, et en plus, celles de l’équipe de N2 vont redescendre. Ce sera donc très dur. On s’attend à un gros duel avec une défense très agressive. Mais on joue à domicile et si on fait un bon match, tout est possible. »

▶ Après la rencontre, vous rejoindrez dès le soir l’équipe de France pour un stage de préparation. Ce doit être excitant…

« Forcément. J’avais déjà pris part à un rassemblement l’année dernière avec les U16. Là, ce sera un stage d’évaluation jusqu’à vendredi à l’Insep de Paris. Nous serons une vingtaine et seulement douze filles seront retenues. Mon objectif est de disputer le championnat d’Europe U17 à Bratislava en Slovaquie, ce serait génial ! »

Propos recueillis par SIMON KSIAZENICKI

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l’union 140208 a
FAITS ET MEFAITS : Le tramway caillassé

Hier matin, vers 5 h 30, une rame du tramway a été caillassée dans la traversée de Croix-Rouge, à hauteur de l’avenue Bonaparte. La pierre a brisé une vitre.

Aucun blessé n’est à déplorer

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l’union 140207 g
Obligés de payer pour se garer devant chez eux. Par Nastasia Desanti

Les habitants excédés devant le parking de 30 emplacements réservés pour l’agence bancaire.
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Le parking du silo, flambant neuf avec ses gros pots de fleurs colorés… vide la plupart du temps. Et pour cause, il coûte 25 euros par mois
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En début de soirée, les voitures s’accumulent. Christian Lantenois
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REIMS (51). À Croix-Rouge, à cause des travaux, les habitants n’ont plus de places pour se garer. La seule solution proposée par l’Effort rémois est d’utiliser le parking payant.

Ils sont en colère les habitants du quartier Croix-Rouge, et plus précisément ceux de l’avenue du Général-Bonaparte. Là, entre les engins de chantier qui chassent boue et gravats, de nombreux immeubles grisés s’élèvent, accueillant des centaines de famille, la plupart dans des situations précaires. Avant que la rénovation du quartier ne commence, définie par le programme national pour la rénovation urbaine (Anru), les habitants disposaient de quatre parkings pour se garer. Aujourd’hui, il n’en reste plus qu’un seul. Ainsi, lorsque l’on se rend au niveau de la place George-Braque, le soir, à l’heure où les gens rentrent du travail, c’est un véritable ballet qui se joue entre les voitures pour trouver une place. Force est de constater que l’espace restant ne suffit pas.

Les pelouses sont envahies de véhicules s’agglutinant jusque sous les fenêtres des logements, les voies d’accès réservées aux pompiers sont bloquées, le moindre centimètre carré de terrain est utilisé : un trottoir, le seuil d’une porte d’immeuble, un escalier de service, etc.

La réalité c’est qu’en lieu et place de l’un des parkings, une banque a été construite. Pas un siège, non, une agence de quartier. Et pour cette agence, un autre parking a été privatisé, avec barrières celui-ci. Ce dernier compte plus de 30 places. « Vous vous rendez compte ? 30 places de parking pour les employés et les clients de l’agence ? Il n’y a jamais plus de trois voitures dessus. Comme d’habitude, c’est ceux qui ont l’argent qui ont les avantages », s’élève Mehdi, un des habitants. En tout, c’est plus d’une centaine de places en moins.

L’Effort rémois, maître d’œuvre du chantier de la Caisse d’épargne et bailleur social de l’ensemble, assure que d’autres places sont disponibles pour les habitants… à 500 mètres de là et dans un parking payant ! « Nous nous sommes arrangés pour avoir autant de places avant les travaux qu’après », commente-t-on du côté de l’Effort rémois. « Nous avons construit le parking du silo, et les habitants peuvent aller se garer là-bas. » Le parking du silo, flambant neuf avec ses gros pots de fleurs colorés… vide la plupart du temps.

Problème de distance et d’insécurité

Et pour cause, il en coûte 25 euros par mois aux riverains pour y avoir accès. « 25 euros ? Ma voiture vaut 100 euros et je dois aller payer 25 euros pour la garer la nuit ? », s’insurge Nasser. « J’ai une retraite minuscule de 600 euros, plus le loyer, l’électricité, la nourriture, et en plus on me demande de dépenser 25 euros par mois parce qu’ils ont construit une banque, mais de qui se moque-t-on ? » relève Odette, 78 ans, habitante du quartier depuis 37 ans. Le prix mais aussi la distance, posent de réels problèmes aux habitants. « Comment je fais avec les courses, la poussette, les enfants, pour parcourir le chemin entre le parking et chez moi ? » interroge Natacha. Sans compter les problèmes d’insécurité. « Il faut se rendre compte de la situation, une vieille dame qui rentre le soir, une femme seule, ou n’importe quel habitant, ils n’ont pas envie de parcourir tout ce chemin pour rentrer chez eux, ils ont peur de se faire agresser », insiste Nasser. La solution pour certains, est alors d’aller se garer sur le parking du Quick situé en face. « Le souci, c’est que c’est un parking privé. À 22 heures, quand ils ont terminé, ils mettent des chaînes jusqu’au lendemain 11 h 30, explique Natacha. Il ne faut pas travailler tôt le matin, ou avoir une urgence médicale, car on est bloqué. »

Les habitants du quartier ont, une nouvelle fois, l’impression d’être abandonné. « Avant, sur un des parkings, il y avait un marché hebdomadaire. Depuis que la banque est construite, il n’y a plus rien. Pour les espaces verts c’est pareil, ici, nous n’en avons plus, à part le gazon du tram ! » L’Effort rémois rétorque que les travaux créent en effet, des désagréments mais avec comme objectif, une amélioration des conditions de vie. « Croix-Rouge a été découpé en trois îlots correspondant à trois tranches de travaux différentes. La deuxième tranche, celle des travaux de l’avenue Léon-Blum, est bientôt terminée. Celle de l’avenue Bonaparte, elle sera entamée mi-2014 pour une fin en 2015-2016. » En attendant, les riverains s’impatientent et prient pour qu’aucun accident ne survienne.

Les voies pour pompiers encombrées

Suite à ces problèmes de parking, les pompiers tirent la sonnette d’alarme. Le stationnement sauvage les empêche d’intervenir correctement. « Cela fait plusieurs fois que nous ne pouvons pas passer car des véhicules bloquent le passage », indique l’adjudant-chef Lebegue du Centre de secours de Reims Marchandeau. « Lorsqu’il y a des travaux comme ici, on travaille en concertation avec la Ville et les entrepreneurs pour qu’il y ait toujours une voie d’accès qui nous soit réservée, afin d’intervenir dans de bonnes conditions. » Dans le cas présent, il y a en effet des voies d’accès pour pompiers, mais elles sont toutes bouchées par les voitures qui se garent. Les habitants eux-mêmes sont conscients du problème. « C’est sûr que s’il y a le feu dans un appartement, les pompiers ne peuvent pas faire venir la grande échelle, on y passe tous ! » Si les habitants pensent au feu d’appartement, les pompiers préviennent que même un feu de poubelle, de voiture, ou de n’importe quoi dans un escalier peut faire dégénérer la situation. Le plus souvent, les soldats du feu font appel aux forces de l’ordre, soit pour qu’ils verbalisent, soit en cas d’urgence, pour qu’ils fassent enlever les voitures par des dépanneuses. « On le sait bien, mais c’est un risque qu’on prend », se résignent les habitants.

Le stationnement au cœur des préoccupations des Rémois

Selon un sondage Le Figaro / BFM, la circulation et le stationnement occupent la troisième place dans les préoccupations des Rémois. Pour 27 % des sondés, cette problématique serait majeure pour guider leur vote. À Croix-Rouge, clairement, les riverains ont prévenu que ce ras-le-bol se retrouverait dans les urnes. « La municipalité ne prend pas en compte nos difficultés.

Les personnalités politiques, on ne les voit que pour les inaugurations dans le quartier », ont clamé plusieurs habitants.

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l’union 140207 f
RÉNOVATION : Inaugurations en chaîne dans le quartier Croix-Rouge

Adeline Hazan lors de l’inauguration de la résidence Delta. Christian Lantenois
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Adeline Hazan, maire de Reims, s’est rendue hier matin à Croix- Rouge afin d’inaugurer plusieurs lieux dans le cadre du projet de rénovation du quartier, en présence notamment du sous-préfet de l’arrondissement de Reims, Michel Bernard.

Au programme, une fresque collective pour décorer la façade de la maison de quartier Billard, l’embellissement de l’esplanade Eisenhower, de nouvelles voies piétonnes et une nouvelle résidence à proximité du campus universitaire. « Ce projet de rénovation permet de désenclaver le quartier Croix-Rouge, d’en fluidifier la circulation. Il est complété par la création d’une résidence, très accessible en raison de sa proximité avec le tram », explique Mme Hazan.

Ladite résidence, nommée Delta se veut respectueuse de l’environnement puisqu’elle est certifiée « bâtiment basse consommation ». Quant à la fresque de la maison de quartier Billard, elle vise notamment à mieux indiquer cette dernière, dont l’existence serait souvent méconnue des habitants. Tout n’est cependant pas tout rose. En effet, les riverains se plaindraient d’être de plus en plus « bétonnés » et regretteraient le manque d’espaces verts. Des accusations infondées selon Mme Hazan : « C’est tout le contraire, c’est une conception plus humaine du logement ».

ALEXANDRE HÉBERT

4,9 millions d’euros, c’est le budget prévisionnel hors taxes de ces travaux. Il prévoit diverses subventions, notamment du conseil général de la Marne et du conseil régional de Champagne-Ardenne

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l’union 140207 e
RENDEZ-VOUS

Loto de l’association étoile Croix-du- Sud ce vendredi 7 février dans le local du 5, avenue Léon-Blum. Ouverture des portes à 19 heures et début du jeu à 20 heures. Entrée libre. Renseignements au secrétariat de l’association, du lundi au vendredi, de 9 à 12 heures, ou au 03 26 06 56 66.

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l’union 140207 d
RENDEZ-VOUS

Atelier « Coup de pouce Emploi » mardi 11 février à 14 heures à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean-Louis-Debar. Gratuit, sur inscription au 03 26 35 68 48.

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l’union 140207 c
IMPRUDENCE : Il s’endort, le gaz ouvert

Une imprudence identique avait tué quatre personnes lors de l’explosion de l’immeuble de Witrylès- Reims en avril 2013. Mercredi soir, rue d’Alsace-Lorraine à Reims, un homme domicilié au rez-de-chaussée s’est endormi en laissant le gaz ouvert sur sa cuisinière. C’est un voisin, vers 23 heures, qui a prévenu les pompiers en sentant l’odeur. Après avoir localisé l’origine de la fuite, les sauveteurs ont réveillé l’occupant de l’appartement et coupé le gaz au plus vite. Il n’a pas été nécessaire d’évacuer les autres locataires

Hier midi, requis pour une « odeur de gaz » dans un immeuble de la rue Blavier, les pompiers n’ont rien trouvé tandis qu’à 14 h 30, un appel similaire rue Marie-Laurencin (quartier Croix-du-Sud) a révélé une odeur de peinture suite à des travaux.

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l’union 140207 b
BADMINTON TROPHÉE RÉGIONAL : Du monde à la Halle

Après la première étape du Trophée régional de la mi-novembre, qui avait rassemblé à Charleville- Mézières une soixantaine de joueurs pour une centaine de rencontres au total, le Trophée régional jeunes et vétérans se posera dimanche (début des rencontres à 9 heures) à la Halle Universitaire Croix-Rouge de Reims.

Organisée conjointement par la Ligue de Champagne et le Reims université club de badminton, cette deuxième journée rassemblera une bonne centaine de joueurs, dont la minime Estelle Graux (Amicale Mermoz-Courcy badminton), actuellement 31e française.

À noter que pour cette étape rémoise, les jeunes (poussins, benjamins, minimes et cadets) évolueront uniquement en simples alors que les vétérans s’opposeront en double mixte.

L’arbitrage sera assuré par Claude Delcroix (principal) et Florence Clément (adjointe).

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l’union 140207 a
L’ESSENTIEL

Le CCRB disposait déjà d’équipes jeunes en 2012-2013 : les U15 et les U18.

L’engagement d’une formation U20 en championnat national a permis au centre de formation du club d’être agréé l’été dernier.

Des partenariats ont été noués avec le Creps pour l’hébergement et le lycée Arago pour la vie scolaire (Chagall et Liberger à Reims comme OEhmichen et Jean- Talon à Châlons sont des établissements associés).

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l’union 140206 h
SÉCURITÉ : Trop de cambriolages mais peu de plaintes

Les « Gaulois » de La Lézardière défendent leur territoire, devant les élus.
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Les propriétaires du secteur de La Lézardière ont tenu leur assemblée générale, évoquant des problèmes d’insécurité et diverses nuisances.

L ’association des propriétaires du secteur La Lézardière a organisé son assemblée générale dans les locaux de la Ligue de l’Enseignement, devant plus de 80 personnes, dont trois élus : Arnaud Robinet, député de la Marne, Éric Quénard, premier adjoint à la maire de Reims, et Alain Bisteur, conseiller municipal, coanimateur élu du conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de-Murigny.

Le président Jacques Vivier a enregistré les démissions de l’administrateur Jacques Blavet, de la secrétaire Nicole Staigre, de la secrétaire adjointe Fatima Bourgois et le départ pour cause de déménagement du vice-président Jean-Marie Poiret.

Problèmes de stationnement

Dans le cadre de sa mission, l’association est toujours vigilante pour défendre les intérêts des propriétaires du lotissement par rapport à l’environnement et aux nuisances de toutes sortes. Les débats actuels concernent la circulation des bus dans le quartier, l’insuffisance de places de parking et les problèmes de stationnement gênant. Les habitants ont demandé que soit aménagée une signalétique sur les voiries. Ils ont également signalé des nuisances sonores diurnes et nocturnes liées à l’établissement d’enseignement Noema (ex-RMS).

Le problème le plus important est la recrudescence de cambriolages ou de tentatives dans le quartier, un véritable fléau : pas moins de 34 pour la seule année 2013 ! Tous les habitants se montrent solidaires et vigilants, tant pour leur propriété que pour celles de leurs voisins. « La moitié des habitants s’est équipée d’alarmes », révèle le président Jacques Vivier. Le premier adjoint a rencontré Christian Pous, responsable du poste de police de Croix- Rouge, et il regrette que seules 9 victimes aient déposé plainte : « Il faut systématiquement le faire, même en cas de cambriolage interrompu, même en cas de tentative avortée », explique-t-il. Il proposera une nouvelle « balade urbaine » (visite de terrain pour les élus) à la Lézardière mais il sera difficile de régler ce problème : certains malandrins opèrent en plein jour et avec un culot incroyable.

de notre correspondant CHRISTIAN CARON

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 140206 g
ÉDUCATION : Portes ouvertes au lycée Arago

Le lycée François-Arago organise deux séquences de portes ouvertes : vendredi 14 février de 16 à 20 heures, et samedi 15 février de 9 à 15 heures.

Au programme : cinq baccalauréats professionnels, cinq BTS, une classe préparatoire aux grandes écoles, deux baccalauréats d’enseignement général et un baccalauréat technologique : de quoi bâtir un parcours de réussite solide. On note une nouveauté intéressante avec le BTS Fluides, énergie et domotique.

Des anciens élèves aujourd’hui responsables d’entreprises, accueilleront les visiteurs dans des ateliers flambant neufs, dans des domaines aussi divers que l’enveloppe du bâtiment et l’énergétique.

Entrée libre 1, rue François-Arago.
Tramway lignes A et B, station Arago.

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l’union 140206 f
AMÉNAGEMENT : Fresque à l’espace Billard

Les trois artistes : Laure Guelle, Florence Kutten et François Petit.
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Projet réalisé avec le concours des habitants du quartier, une grande fresque artistique orne la façade de l’espace Billard de la maison de quartier Croix-Rouge depuis quelques semaines.

Les trois artistes plasticiens, Laure Guelle, Florence Kutten et François Petit ont présenté le travail qu’ils ont mené avec les habitants du quartier pour la réalisation de cette oeuvre collective.

La Ville était représentée par le premier adjoint Éric Quénard et la conseillère municipale Saïda Soumaya- Berthelot.

Toute l’équipe de l’espace Billard a arrosé la foule d’une pluie de confettis multicolores à la fin du discours de François Petit.

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l’union 140206 e
SENIORS : Un bon repas pour les aînés

Amitié et convivialité étaient au menu du repas des retraités.
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L’Association Croix-Rouge animation et promotion a organisé le repas des aînés, sous la présidence de Jean Monteiro, avec l’aide des bénévoles, sous la baguette de Bernadette Canu, animatrice du club Troisième âge de l’ACRAP. Une quarantaine de repas ont été servis, préparés par le traiteur habituel.

L’ambiance a été assurée par JPJ Animation.

Chaque participant a reçu une fleur.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 140206 d
LITTÉRATURE : Lacheb, examen d’adolescence

Aïssa Lacheb en août dernier, dans le quartier Wilson où il réside. Remi WAFFLART
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L’écrivain rémois passé par la case prison publie aujourd’hui « Dieu en soit garde », où il revient sur sa jeunesse à Croix-Rouge. Une réussite.

L orsqu’on l’avait rencontré en août dernier dans son appartement du quartier Wilson, Aïssa Lacheb relisait, nettoyait et fluidifiait son manuscrit. Le titre était déjà prêt : Dieu en soit garde, la devise de Reims. Aujourd’hui, ce quinquagénaire à l’écriture viscéralement sincère publie un roman largement autobiographique où il passe au scanner son adolescence, passée dans le quartier Croix- Rouge. Au menu : un parfum d’insouciance, de tendresse, d’amitiés entre potes, d’initiations en tous genres (sexe, cannabis, etc) et, au fur et à mesure des pages, de dérives de moins en moins maîtrisées dans la délinquance. À l’évidence, Dieu en soit garde se veut d’abord un roman sur le passage de l’adolescence à l’âge adulte. Ce quartier de Croix-Rouge riche en tours grises et en vies aussi bouillonnantes que modestes, Lacheb l’aimait et il l’aime encore.

Avec lui, au-delà d’histoires qui se terminent parfois en prison, il y a l’idée que nos voies sont socialement balisées et qu’on ne peut que subir sa destinée de galérien ou de nanti. Les quelques vies que raconte Lacheb se veulent volontiers banales et Dieu en soit garde, qui s’ouvre sur un suicide, n’a rien d’une épopée à la Scarface.

Cette histoire se passe à Croix- Rouge mais Lacheb, tout en nous en faisant respirer chaque recoin, semble nous murmurer implicitement qu’en cette fin des années 70, elle aurait pu se dérouler dans n’importe quel « quartier » de n’importe quelle ville de France. Voilà pour le fond.

Sur la forme, le retour du narrateur sur ces terres où, avec ses amis, il était encore « affamé de joie », donne à sa plume une tonalité apaisée. « À chaque sujet son style », préfère-t-il dire. Comme souvent, Lacheb épure au maximum et enlève tout « gras » à sa prose. Cela a pour vertu de rendre son propos plus universel.

Pour les néophytes, rappelons qu’Aïssa Lacheb n’en est pas son coup d’essai ; depuis 2001, celui qui avait purgé au siècle dernier plus de dix ans de réclusion pour avoir été condamné aux assises suite à un braquage où il avait raflé 60000 francs sans user de son arme, a déjà signé quelques livres en forme d’uppercut, dont le plus fameux demeure Scènes de la vie carcérale. C’était l’époque où Lacheb, qui exerce désormais la profession d’infirmier, avait encore la rage. Un temps visiblement révolu.

MATHIEU LIVOREIL

▶ « Dieu en soit garde », d’Aïssa Lacheb (Au Diable Vauvert), 250 pages, 15 euros.

3 QUESTIONS À AÏSSA LACHEB : « Croix-Rouge était un quartier formidable »

Aïssa Lacheb a puisé dans ses souvenirs pour raconter « ce qu’il avait été et ce que Reims était à la fin des années 1970 ».

Ce quartier de Croix-Rouge, vous l’avez aimé et vous l’aimez encore, non ?

Croix- Rouge était un quartier formidable et je suppose qu’il l’est toujours, oui.

Ce livre, c’est en quelque sorte la nostalgie de mes 15 ans et d’une époque insouciante. Pour le meilleur et pour le pire. Mais ce n’est pas strictement autobiographique non plus.

▶ On est tenté de comparer avec la situation actuelle, de l’image de Croix-Rouge et des débats sur la situation des quartiers dits « populaires ». Qu’en pensez-vous ?

Le quartier a évolué, ses habitants aussi, tout comme la société de consommation. Aujourd’hui, il y a quand même une surenchère politicienne sur le thème des quartiers. Certains responsables sont malintentionnés. Le fait aussi que les médias évoquent davantage que par le passé les faits divers. Certains sont tout à fait banal mais s’ils sont répétés au quotidien, contribuent à nourrir ce fameux sentiment d’insécurité. Croix-Rouge à l’époque, ce n’était pas Soweto et ça ne l’est toujours pas !

▶ Sur quoi portera votre prochain livre ?

Pour mon adolescence, c’est fini ! Mon prochain roman sera sans doute publié en 2015. Cinq grosses nouvelles qui racontent la déchéance mentale, physique et sociale de cinq héros, tombés pour diverses raisons.

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l’union 140206 c
RENDEZ-VOUS

Loto de l’association étoile Croix-du- Sud vendredi 7 février dans le local du 5 avenue Léon-Blum.

Ouverture des portes à 19 heures et début du jeu à 20 heures.

Entrée libre.

Renseignements au secrétariat de l’association, du lundi au vendredi, de 9 à 12 heures, ou par téléphone au 03 26 06 56 66.

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l’union 140206 b
RENDEZ-VOUS

Atelier « Coup de pouce Emploi » mardi 11 février à 14 heures à la Médiathèque Croix-Rouge, 19 rue Jean Louis Debar.

Gratuit sur inscription au 03 26 35 68 48.

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l’union 140206 a
RENDEZ-VOUS

Le Comité UNICEF a quitté le 12 place Georges-Braque à Croix-du-Sud pour désormais se situer dans les bâtiments de la Ligue de l’enseignement au 23 rue Alphonse-Daudet.

L’adresse postale est BP 2187 - 51081 Reims cedex.

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l’union 140204 b
EN IMAGE AU PARC SAINT-JOHN-PERSE : Le cross des écoles de Reims est lancé !

Une médaille bien méritée que l’on conserve en souvenir.
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Garçons de CM1 et filles de CM2 au départ des deux grandes boucles de 800 mètres.
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Les CE1 de Blanche Cavarrot à l’échauffement, un préalable indispensable.
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Une brioche et un verre d’eau pour récupérer.
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Les parcours sont modulés en fonction de l’âge et du sexe des enfants.PHOTOS : REMI WAFFLART
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Environ 4 300 élèves participent cette année au cross des écoles de Reims, dans la continuité d’un cycle d’endurance commencé en début d’année.

Depuis hier, les élèves des écoles primaires de Reims mettent en pratique leurs cours d’endurance ! Les enfants ont en effet bénéficié en début d’année d’un cycle d’endurance organisé dans le cadre scolaire, conjointement avec les agents territoriaux au sport. Ce cross est l’aboutissement de ce travail en amont.

« Le but, c’était d’assurer une véritable continuité avec ce cycle d’endurance, toutes les écoles publiques de Reims sont concernées », rapporte Lætitia Marinier, chef du service développement sportif de la Ville de Reims.

Côté organisation, le cross sera réparti sur cinq journées, du 3 au 11 février. Il prendra place dans différents lieux comme les parcs Saint-John Perse, Léo-Lagrange, ou encore Murigny.

Les parcours, allant de 800 à 1 800 mètres, sont modulés à la fois en fonction de l’âge et du sexe des enfants et sont composés de deux boucles, une grande et une petite. Ainsi, les garçons de CM2 participeront au parcours le plus long, tandis que les filles de CM2 accompagnées des garçons de CM1 auront une distance plus faible. Et ainsi de suite.

À l’issue de chaque compétition, les enfants se verront offrir un goûter récompensant un après midi bien chargé. Quant aux trois premiers de chaque course, ils recevront une médaille. Chaque jour, l’école la mieux placée recevra un trophée.

L’accueil des élèves se fera à 13 h 45 pour se terminer aux alentours de 16 heures.

ALEXANDRE HÉBERT

 

 

 

 

 

 

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l’union 140204 a
RENDEZ-VOUS

Atelier « Coup de pouce Emploi » mardi 11 février à 14 heures à la médiathèque Croix-Rouge, 19, rue Jean- Louis-Debar.

Gratuit mais sur inscription au 03 26 35 68 48.

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l’union 140203 a
SOLIDARITÉ : Un logement spécial pour des étudiants qui veulent s’engager

Camille, Angélique et Florent dans leur coloc’ solidaire, ravis de contribuer au lien social à l’intérieur de l’immeuble. A.P.
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MARIAM TOURÉ, LOCATAIRE
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La formule est originale. Ces étudiants bénéficient d’un accès facilité à un meublé. En contrepartie, ils sont aux petits soins et facilitent le lien au sein de leur immeuble.

Je cherchais justement une colocation dans cet esprit : quelque chose qui me permettrait de m’investir personnellement au service des autres. » Florent cherchait, et il a trouvé : au 21 de l’avenue Léon-Blum, dans le quartier Croix du sud de Reims. C’est dans cet immeuble que l’association de la fondation étudiante pour la ville (Afev) a lancé chez nous, depuis la rentrée dernière, son opération « Koloc’ A Projets Solidaires », que l’on abrège volontiers en Kaps.

Cent candidats

« Un concept imaginé dans la ville université de Louvain la Neuve en Belgique, commente Dominique Bunel, chargé de la vie étudiante au sein du conseil municipal, concept qui se développe depuis quelques années en France et qui me semble très intéressant. » L’idée générale, c’est de permettre à des étudiants de mener à bien des projets visant à développer « le lien social et le vivre ensemble ». Car si l’on en croit Christophe Paris, le directeur général de l’Afev, qui participait la semaine dernière à l’inauguration officielle des Kaps rémoises, ils seraient nombreux à désirer mener ce genre d’expériences en parallèle à leurs études, et ne sauraient pas toujours très bien à quelle porte frapper pour cela. À l’image de Florent déjà cité, originaire de Lille et inscrit à Néoma (école supérieure de commerce). À l’image de ses deux colocataires, Camille, la Troyenne, étudiante en sciences sanitaires et sociales, et Angélique l’Axonaise, engagée dans un cursus de psychologie. À l’image des quelque cent autres qui se sont portés candidats et qui n’ont pu être retenus.

« Nous avons déjà organisé un moment convivial par mois avec les habitants de l’immeuble, racontent, ravis les trois colocataires solidaires : en octobre par exemple, c’était une lecture de conte avec une auteure québecoise ; en décembre, un atelier de fabrication de décorations de Noël, en janvier, la galette des rois ; en février, est prévue une soirée crêpes… »

On voit donc bien l’intérêt pour les habitants de la présence de ces locataires un peu particuliers. Mais l’intérêt des étudiants ? Ils trouvent bien sûr la possibilité d’assouvir leur tendance altruiste ; et puis, ce qui n’est pas mince, le problème de leur logement est vite résolu : Pas besoin de se casser la tête à chercher, l’association les oriente vers un meublé qui ne demande qu’à les recevoir.

Le bailleur, en l’occurrence l’Effort rémois Plurial, associé de près au projet, fait même un effort particulier : pas sur le montant du loyer, non, qui reste « normal » selon son président Jean-Claude Walterspieler, mais sur des petits arrangements bien appréciables tout de même, notamment sur la dispense de loyer pendant les mois d’été, ou en cas d’absence d’un des colocataires pour cause de stage par exemple.

Cela vous donne des idées ? Sachez alors que l’Afev rémoise envisage d’ouvrir deux Kaps supplémentaires à Reims à la prochaine rentrée.

ANTOINE PARDESSUS

▶ Contact : Afev 03 26 03 36 32.

L’ESSENTIEL

L’Afev (Association de la fondation étudiante pour la ville) propose à Reims deux appartements sous le régime Kaps (Koloc’A Projets Solidaires). En échange d’un accès facile à un meublé, les locataires s’engagent à mener des actions solidaires et bénévoles dans leur quartier pour une durée d’un an renouvelable.

Le loyer reste le même que dans les configurations ordinaires. En revanche, le bailleur dispense de loyer les étudiants pendant les vacances d’été, et se montre arrangeant en cas d’absence temporaire d’un locataire.

LE TÉMOIN : Ils sont trop gentils !

Mariam, d’origine sénégalaise, habite dans l’immeuble depuis huit ans, et jamais elle n’a rencontré des voisins aussi attentionnés que ces étudiants de l’Afev. « Ils aident mes enfants pour leurs devoirs, et j’ai participé avec mes enfants aux animations qu’ils ont organisées, les décorations de Noël, la galette des rois, la lecture des histoires… Ça permet de les connaître eux, mais ça nous aide aussi à se connaître entre voisins, c’est très positif ! »

Deux de plus espérées à la rentrée

Ce concept de Kaps (Koloc’ A Projets Solidaires) visant à développer le lien social, né en Belgique, se développe en France depuis quatre ans. Il existe à Reims depuis la dernière rentrée universitaire.

Les Kaps rémoises sont les seules de Champagne Ardenne ; elles sont financées conjointement par Reims métropole, l’Etat, l’Effort rémois Plurial, la Caisse des dépôts et consignations, l’Agence de services et de paiements, la fondation EDF.

L’Afev espère ouvrir à Reims deux Kaps supplémentaires à la prochaine rentrée, dans le quartier Croix du sud, comme les deux appartements déjà opérationnels.

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l’union 140201 e
POÉSIE : Un nouveau recueil de Liliane Feige consacré à Victor Hugo

Liliane Feige, la poétesse de Croix-Rouge, l’avait annoncé : elle préparait son nouveau recueil de présentation poétique, « Victor Hugo : un grand homme », aux éditions Altaïr (Belgique).

En 30 pages illustrées de photographies et d’un dessin original du rémois Hugues Hommel, elle présente, pour les néophytes, le parcours de l’écrivain, « légende en son temps », qui « ici-bas, a donné sa flamme à la beauté » : sa vie, ses amours, son oeuvre littéraire, sa poésie, son action politique.

C’est « un géant qui occupe toutes les scènes, l’incarnation de la France aux yeux du monde ».

Ce petit recueil sera très utile en particulier pour l’initiation artistique des jeunes qui ne connaissent pas encore le grand homme, avec quelques textes majeurs, comme « Oceano Nox » ou « L’expiation ». Dans la même collection, Liliane Feige prépare maintenant « Baudelaire, poète maudit ».

Pour se procurer l’ouvrage, s’adresser à l’auteur au 06 84 58 36 24.

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l’union 140201 d
PARTENARIAT : Licences de badminton moins chères pour les collégiens

Les trois signataires devant les joueurs du collège.
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Le principal du collège Georges- Braque, Olivier Leloux, accueillait, lundi 20 janvier, René-Paul Savary, président du conseil général de la Marne, et Jean-Michel Edard, président de l’association de badminton champenois, également appelée ABC, pour la signature d’une convention tripartite.

L’objet de cet accord était la location du gymnase Adrien-Sénéchal au club ABC qui pourra y assurer ses entraînements, sachant que le revenu de la location sera utilisé, avec l’accord du conseil général, pour réduire le prix des licences des jeunes du collège qui s’inscrivent au club ABC.

« Grâce à ce dispositif », explique le principal, « le coût de la licence sera ramené de 90 à 20 €. C’est donc une action qui favorise l’engagement des jeunes du quartier dans les clubs sportifs ».

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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l’union 140201 c
RENDEZ-VOUS

7e bourse aux livres organisée par le groupe Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, espaces Billard et la Nacelle, ce samedi 1er février pour une journée non-stop, de 9 à 18 heures, puis le dimanche 2 février, de 14 à 18 heures, et enfin du lundi 3 au vendredi 7 février, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures. Renseignements au 03 26 08 08 78. Maison de quartier Billard – Nacelle, 12-14, rue Pierre-Taittinger.

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l’union 140201 b
RENDEZ-VOUS

Le prochain loto de l’association étoile Croix-du-Sud se déroulera vendredi 7 février dans le local du 5, avenue Léon-Blum. Ouverture des portes à 19 heures et début du jeu à 20 heures. Entrée libre. Renseignements au secrétariat de l’association, du lundi au vendredi, de 9 à 12 heures, ou par téléphone au 03 26 06 56 66.

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l’union 140201 a
CROSS-COUNTRY : Les écoles à l’honneur la semaine prochaine

Comme chaque année, l’Usep et la Direction des sports de la ville de Reims, avec le soutien de l’Efsra, organisent les cross des écoles, anciennement appelés cross de Noël, décalés cette année. Plus de 4 000 enfants des écoles primaires de la ville sont attendus sur les cinq jours de compétition (une date en plus par rapport aux années précédentes sur le quartier de l’Europe).

Lundi 3 février : parc Saint-John Perse ;
mardi 4 février : parc Léo-Lagrange ;
jeudi 6 février : parc Val de Murigny.
Lundi 10 février : parc Europe ; mardi
11 février : stade Georges-Hébert.

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l’union 140131 e
RENDEZ-VOUS

Le prochain loto de l’association étoile Croix-du-Sud se déroulera vendredi 7 février dans le local du 5, avenue Léon-Blum.

Ouverture des portes à 19 heures et début du jeu à 20 heures.

Entrée libre.

Renseignements au secrétariat de l’association, du lundi au vendredi, de 9 à 12 heures ou par téléphone au 03 26 06 56 66.

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l’union 140131 d
HOMMAGE : En mémoire du syndicaliste assassiné

La veuve et le fils de la victime étaient présents à la cérémonie. A.P.
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La plaque à la mémoire de Pierre Maitre, cégétiste abattu sur un piquet de grève en 1977, vient d’être inaugurée dans le quartier Croix du sud.

C’est une plaque qui rappelle de sombres souvenirs de l’histoire de Reims ; une plaque qui rappelle qu’à une époque, les luttes syndicales pouvaient se finir dans le sang. Cette plaque, à la mémoire de Pierre Maitre, a été inaugurée officiellement, ce mercredi, dans le quartier Croix du sud, en présence de la maire Adeline Hazan et du souspréfet. Posée à l’initiative d’un comité de soutien sur l’immeuble numéro 8 de l’allée Edgar-Degas, elle signale le lieu où demeurait ce cégétiste mitraillé dans la nuit du 5 au 6 juin 1977.

Âgé de 37 ans, il tenait alors un piquet de grève aux portes de l’entreprise VMC (Verreries mécaniques champenoises, sur la route vers St- Brice-Courcelles). « La grève avait pour but d’obtenir un 13e mois et des augmentations de salaires », rappelle Martine Séguin, qui prit la parole à l’heure des discours, au nom de l’Union départementale de la CGT. La veuve de la victime, qui demeure aujourd’hui dans le secteur de Vitry-le- François, était présente à cette cérémonie, ainsi que son fils Pascal.

Ni la maire ni le représentant de l’État ne s’exprimèrent. Les seuls à le faire furent des militants CGT ; ils évoquèrent notamment les brutalités dont les grévistes et manifestants étaient parfois victimes à l’époque : Jean-Claude Boulben, secrétaire général de l’Union syndicale des retraités, cita ainsi les « coups de crosse et de matraque, les bousculades et les piétinements » survenus quelques jours plus tôt, le 29 mai, au même endroit où devait avoir lieu la fusillade meurtrière.

Ils ont aussi largement dénoncé « les idées d’extrême droite » et le fascisme, mouvances auxquelles ils attribuent l’assassinat, et non pas à une « simple querelle entre colleurs d’affiches comme le rapportait la presse ». Les coups de feu mortels ont été imputés à un groupe de la Confédération française du travail provenant de l’usine Citroën voisine des VMC. L’assassin, Claude Leconte, allait être arrêté le soir même. Trois ans et demi plus tard, il était condamné à 20 ans de réclusion criminelle. 37 ans après, Reims n’a pas oublié.

ANTOINE PARDESSUS

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l’union 140131 c
HUMANITAIRE : Une trentaine d’ambassadeurs Unicef

Des jeunes lycéens concernés par le devenir des autres.
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Les lycéens de Jean-Jaurès se sentent concernés par les injustices qui touchent les enfants. Leur mission ? Sensibiliser à ce problème un large public. C ela fait un an que des élèves volontaires du Lycée Jean- Jaurès se sont engagés à titre expérimental avec Unicef France, à l’initiative et avec le soutien d’Ichem Bouden, le CPE et de Michel Taron, président de l’Unicef Ardennes.

« Nous avons monté plusieurs actions : vente d’objets Unicef durant la journée portes ouvertes, vente de cafés durant les récréations, vente de cartes de voeux », énumère Ichem Bouden. Ces actions ont été reconduites cette année, en y ajoutant un concert par les élèves de la classe de techniciens musique et danse. Plus de trente lycéens sont ainsi devenus « Jeunes ambassadeurs », au service de l’aide à l’enfance.

Afin de développer les actions au niveau du bassin de Reims, en mutualisant les initiatives, les autres lycées rémois ont été invités à assister à une réunion de présentation des activités 2013 de l’Unicef Ardennes, du Lycée Jean-Jaurès de Charleville-Mézières, en présence de Béatrice Ney, présidente d’Unicef Marne et des représentants des lycées Clémenceau et Georges Brière. « Nous souhaiterions développer cet esprit Unicef au niveau des lycées rémois », a expliqué le proviseur, Denis Vincenot. « C’est un projet qui va vous permettre de faire de l’humanitaire dans le cadre de votre lycée. Au sujet des actions, il n’y a pas de limites à l’imagination : tout ce que vous ferez sera bien », a ajouté M. Taron.

Nous avons demandé aux ambassadeurs de Jean-Jaurès pourquoi ils s’étaient investis dans ce projet : « Cela nous permet de nous sentir vraiment concernés. C’est bien d’entreprendre des actions pour avoir des fonds au sein du lycée. Et en même temps, cela fait connaître cette association », confie Océane, 16 ans, élève en 1re ES. « On a réussi à faire de petites actions. Vendre des cafés et chocolats chauds à 40 centimes, c’est peu, mais mis bout à bout, c’est intéressant. C’est bien parti et j’espère que ça va encore grandir. Il faut qu’on mobilise les Conseils de Vie Lycéenne, c’est important », ajoute Lisa Meilleur qui souhaite « aider les autres. Ici en France, on ne se rend pas trop compte de ce qu’est la situation des enfants dans certains pays. C’est toujours bien de penser à eux ». Et, détail à ne pas négliger, le fait d’écrire, au bas d’un CV « Jeune ambassadeur Unicef », c’est tout à fait valorisant.

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l’union 140131 b
Les ordures ont chaud

Hier vers 4 heures du matin, après la série d’incendies au quartier Wilson, une poubelle s’est enflammée au Val-de-Murigny, esplanade Hemingway, à proximité d’une Fiat qui a été endommagée. L’hypothèse d’un acte de malveillance est privilégiée.

Vers 10 h 30, les sapeurs-pompiers sont intervenus au quartier Croix- Rouge, dans un immeuble de l’allée des Limousins, pour éteindre un feu de local à vide-ordures. Son origine est indéterminée.

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l’union 140131 a
Quinze mois ferme pour 199 grammes de cannabis

REIMS (51). Deux plaquettes de cannabis d’un poids total de 199 grammes jetées dans la rue, 895 euros fourrés dans la poche… Le 9 janvier, vers 18 heures, alors qu’ils patrouillent boulevard Vasco-de-Gama dans le quartier des Châtillons, les policiers de la brigade anticriminalité aperçoivent deux individus qui, à leur vue, prennent leurs jambes à leur cou.

L’un des fuyards parvient à s’échapper en s’engouffrant dans les étages d’un immeuble. L’autre se débarrasse en pleine rue d’un « objet brunâtre » qui s’avère être les deux plaquettes de cannabis.

Les policiers finissent par rattraper le suspect, un jeune homme de 18 ans, domicilié à Croix-Rouge, du nom de Karim Nassour. Il leur affirme que ce n’est pas lui qui a jeté au sol les stupéfiants, mais son comparse.

Jeux et vendanges

Lors de la fouille, sont retrouvés sur lui 895 euros en liquide. Pour en justifier l’origine, il indique aux policiers qu’un peu plus de 600 euros proviennent des vendanges, et le reste, de gains de jeux de hasard.

Présenté au tribunal correctionnel suivant la procédure de comparution immédiate, il avait demandé un délai pour préparer sa défense. Une ligne de défense inchangée, mardi à la barre, Karim Nassour continuant de contester les faits reprochés.

« Si je suis impliqué dans un trafic, pourquoi je me serais levé à 5 h 30 tous les matins pour faire les vendanges ? », lance-t-il aux juges, sceptiques sur la provenance de l’argent.
« Vous aviez des achats à faire ? », interroge l’un des assesseurs.
« Non, j’ai retiré cette somme à La Poste car je ne voulais pas les y laisser. »

Quatre ans ferme requis

Dans son réquisitoire, la substitute du procureur rappelle l’état de récidive du prévenu, confie ses doutes quant à sa réinsertion, et requiert quatre ans de prison – la peine plancher – ainsi que la révocation d’un sursis antérieur.

Pour la défense, Me Simon Miravete demande aux juges d’accorder « une nouvelle chance » à son client, « profondément marqué » par une situation familiale difficile : « un père absent du domicile, une mère gravement malade ».

Après en avoir délibéré, le tribunal écarte la peine plancher mais condamne Karim Nassour à six mois d’emprisonnement.

Un sursis prononcé par le tribunal pour enfants de Reims est également révoqué à hauteur de neuf mois, soit quinze mois ferme à purger. Le maintien en détention est ordonné.

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l’union 140130 d
LOGEMENT : Les astuces pour faire des économies

Une douche consomme 50 litres d’eau, un bain, 200 litres.
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Un éco-appartement témoin a été mis en place au cœur du quartier Croix-Rouge.

L’objectif ? Informer les habitants sur les gestes responsables et économiques.

Devant la précarité énergétique grandissante de nombreux foyers, la Maison de l’enfance, en partenariat avec le Foyer rémois et Edf, a mis en place un appartement témoin éco-responsable. Ce dernier est équipé de tous les accessoires nécessaires pour réduire sa consommation d’eau, d’électricité, ainsi que ses déchets : mousseur d’eau qui peut permettre de diminuer jusqu’à 70 % le débit d’eau du robinet, prise électrique coupe-veille, chasse d’eau 3 et 6 litres, poubelle de tri sélectif, etc.

520 logements réhabilités à Pays de France

La plupart des logements du quartier Croix-Rouge datent des années 70 et sont très énergivores. Dans le cadre de l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine), 520 logements ont été réhabilités dans le quartier Pays de France. Les façades ont été refaites avec la pose d’un isolant extérieur, de nouvelles colonnes de chauffage ont été installées et à la place des balcons, des loggias ont été créées. Ces derniers obéissent désormais tous aux normes BBC (Bâtiment basse consommation). Seul point noir résistant aux travaux, les ascenseurs, toujours aussi exiguës pour le nombre de logements et familles par palier. L’éco-appartement a été pensé comme un outil pédagogique au service des familles du quartier et d’ailleurs, des partenaires, des écoles, des maisons de quartiers.

Afin de constater l’efficacité des mesures mises en place, un panel de dix familles a par ailleurs été constitué. Toutes seront équipées des mêmes accessoires que ceux présents dans l’appartement témoin. La Maison de l’enfance va ensuite mesurer leur consommation, factures à l’appui, tous les mois, et voir au bout d’un an les économies réalisées.

En outre, au sein même de l’appartement témoin, des ateliers vont être proposés, allant de la fabrication de meubles en carton à l’élaboration de produits ménagers bio et 100 % maison. Exemple de recette pour un nettoyant multiusages : 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude, 2 cuillères à soupe de vinaigre blanc, 2 cuillères à café d’huiles essentielles, complétez le reste de la bouteille avec de l’eau chaude.

N.D

▶ Eco-appartement, 3 avenue Bonaparte. Permanence les lundis après-midi et vendredis matin.

À SAVOIR

▶ Une douche consomme 50 litres d’eau tandis qu’un bain en consomme 200 litres.
▶ Prendre deux bains équivaut à la consommation d’eau potable d’une personne en une année !
▶ Une machine à 30 degrés consomme deux fois moins d’électricité qu’une machine à 60 degrés.
▶ L’Ademe (Agence de maîtrise de l’énergie) recommande une température des chambres à 16 degrés et une température ambiante de 19oC.
▶ Une boule de lavage permet d’économiser 120 kg de lessive par an.
▶ Un chargeur qui reste branché sans appareil au bout équivaut à une dépense de 11 centimes d’euros par jour.

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l’union 140130 c
ENSEIGNEMENT : L’Unsa Éducation à l’écoute du terrain

Secrétaire général de l’Unsa Éducation, Laurent Escure est venu prendre le pouls à Reims. Frédéric Gouis
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Avec rancoeur et pessimisme, on ne peut construire une société. » Dans le paysage syndical, le discours de Laurent Escure se montre singulier. Le secrétaire général de l’Unsa Éducation, deuxième organisation du secteur, de passage hier à Reims dans le cadre d’un tour de France des académies, est venu à la rencontre des militants mais aussi des personnels de l’enseignement aux lycées Clemenceau et Arago de Reims. « Je viens à leur rencontre sur le terrain, cela me permet ensuite, lors des discussions au ministère, de bénéficier de références, d’exemple concrets, pour dénoncer les mauvaises pratiques et encourager les bonnes… » a expliqué Laurent Escure. « Le syndicalisme utile et efficace, ce n’est pas celui du tout ou rien et de l’incantation. »

Forcément, ces rencontres sont aussi l’occasion de rebondir sur l’actualité. « L’Éducation et ses personnels doivent être garants du fait que les extrémismes et les religions ne prennent le pouvoir dans l’épanouissement des élèves », a ainsi martelé le responsable syndical en réaction aux rumeurs sur l’introduction supposée de la théorie du genre dans les écoles. Sur la problématique annuelle de la carte scolaire, Laurent Escure s’avère plus modéré. « L’annonce de la création de 60 000 postes ne résout pas tout. Certaines situations locales sont encore très difficiles après la suppression de plus de 100 000 postes depuis 2002, mais au moins, elle ne se dégrade pas plus. » Enfin, la mise en place de la semaine de 4,5 jours, obligatoire à la rentrée de septembre, « révèle la politique précédente des mairies envers l’enfance. Celles qui avaient déjà l’expérience et un budget consacré à cela s’en sortent très bien. Pour les autres, nous serons vigilants à ce que ce ne soit pas les personnels de l’enseignement qui supportent tout ! »

FRÉDÉRIC GOUIS

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l’union 140130 b
Une plaque à la mémoire du syndicaliste assassiné

 

Ce matin à Reims, une plaque à la mémoire de Pierre Maitre a été inaugurée officiellement.

Apposée sur un immeuble de l’allée Edgar-Degas dans le quartier Croix-du-sud, elle signale le lieu où demeurait ce syndicaliste mitraillé dans la nuit du 5 au 6 juin 1977, alors qu’il tenait un piquet de grève aux portes de l’entreprise VMC, dans un contexte de revendications salariales.

Lors des discours, les militants CGT ont dénoncé « les idées d’extrême droite » et le fascisme, mouvances auxquelles ils attribuent l’assassinat

 

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l’union 140130 a
D’ERLON EN LARGE

On inaugurait hier à Croix-du-sud la plaque à la mémoire de Pierre Maitre, militant syndical abattu en juin 1977 à Reims.

Les discours prononcés dénonçaient « la nocivité des idées d’extrême droite ». Les oreilles des Frontistes nationaux ont dû siffler…

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l’union 140129 c
SOLIDARITÉ : Un chèque pour l’Unicef

Aurore Saffre, Joanna Meurice, Carla Secci et Louison Chenaie.
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Les étudiants de l’Institut universitaire de technologie (IUT) de Reims doivent, dans leur cursus, réaliser de A à Z une action culturelle, technique, ou humanitaire.

Quatre jeunes filles inscrites en gestion des entreprises et des administrations (GEA) ont choisi d’aider l’Unicef dans l’un de ses projets en faveur de la Centrafrique.

Louison Chenaie, Joanna Meurice, Aurore Saffre et Carla Secci, n’ont pas ménagé leurs efforts, sous la direction de Sanah Barka, leur professeur d’informatique : « Nous avons organisé un vide dressing de vêtements et d’accessoires, nous avons vendu des pâtisseries à la fac de Croix-Rouge et à la médiathèque Jean-Falala, nous avons participé à plusieurs opérations d’emballages cadeaux et enfin, nous avons terminé par une tombola. »

Elles ont remis, sous les applaudissements des bénévoles, la somme de 1 139 euros à Béatrice Ney, présidente de l’Unicef de la Marne, qui les a chaleureusement remerciées.

 

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l’union 140129 b
ANIMATION : La septième bourse aux livres le 1er février à Croix-Rouge

Plus de 10 000 livres seront proposés à des sommes modiques.
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Le groupe Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, espaces Billard et la Nacelle, organise sa septième bourse aux livres du samedi 1er au vendredi 7 février inclus.

Cette manifestation est désormais bien connue des Rémois. Elle est destinée à financer en partie un séjour de quatre jours en Normandie.

Elle attire tous les ans plus de 400 amateurs de livres qui peuvent assouvir leur passion à moindre coût.

Plus de 10 000 livres, des bandes dessinées, des revues, et des vinyles, seront présentés tout au long de la semaine à des prix attractifs, allant de trente centimes à trois euros pour la majeure partie. Un peu plus pour certains livres anciens.

Il y aura l’embarras du choix et des tarifs très intéressants.

Les horaires seront les suivants : le groupe Escapades vous donne rendez-vous dès le samedi 1er février pour une journée non-stop de 9 à 18 heures, puis le dimanche 2 février de 14 à 18 heures et enfin du lundi 3 au vendredi 7 février de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

Renseignements au 03 26 08 08 78 - Maison de quartier Billard - Nacelle, 12-14 rue Pierre-Taittinger. Tram A et B, bus 13, arrêt Campus Croix-Rouge.

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l’union 140129 a
Une poubelle incendiée sur le palier

Un incendiaire a sévi lundi soir dans un immeuble de l’avenue Léon-Blum, sur un palier du deuxième étage où il a mis le feu à une poubelle.

Les pompiers ont été alertés à 21 h 45.

À leur arrivée, un locataire avait éteint l’incendie avec des seaux d’eau.

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l’union 140128 b
RENDEZ-VOUS

7e bourse aux livres organisée par Le groupe Escapades de la maison de quartier Croix-Rouge, espaces Billard et la Nacelle, le samedi 1er février pour une journée non-stop de 9 à 18 heures, puis le dimanche 2 février de 14 à 18 heures et enfin du lundi 3 au vendredi 7 février de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

Renseignements au 03 26 08 08 78. Maison de quartier Billard – Nacelle, 12-14 rue Pierre- Taittinger.

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l’union 140128 a
BADMINTON : Le RUC en pôle

Organisée dimanche à la Halle Universitaire Croix Rouge de Reims, la 3e journée de Régionale 1 a permis d’y voir plus clair pour l’accession en Nationale 3. En effet, dans le match d’ouverture, le RUC a confirmé son statut de favori en prenant logiquement le meilleur sur la réserve du PL Troyes. Présentant des classements supérieurs, les Rucistes ont donc poursuivi leur parcours sans faute puisqu’ils sont toujours invaincus dans ce championnat.

En ce qui concerne la relégation, la messe semble dite puisque l’équipe 3 de l’ABC Reims n’a toujours pas gagné le moindre match.

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l’union 140127 c
URBANISME : Pas de fresque sur la tour

L’installation ne sera pas peinte mais recevra des images projetées.
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« Où en est le projet Reims 2 020 “ l’Art dans la ville ”, qui envisageait la peinture d’une grande fresque murale sur le château d’eau de Croix- Rouge ? » La question était posée par la conseillère municipale Soumaya Berthelot Saïda, par ailleurs conseillère de quartier, en séance plénière de conseil de quartier.

C’est l’adjoint Serge Pugeault qui a apporté la réponse : « Ce n’est plus d’actualité. En effet, la procédure est très lourde avec un appel d’offres national ou plus. Par ailleurs, ce projet aurait été trop onéreux. Devant ces lourdeurs, et en attendant, on projettera des images sur le château d’eau servant d’écran. »

 

 

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l’union 140127 b
CROSS-COUNTRY CHAMPIONNATS DE FRANCE UNSS : Trois victoires pour Arago

Lucie Picard ne s’attendait pas à ce succès. Christian Lantenois
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Le lycée François-Arago de Reims a fait fort hier à Autun (Saône-et-Loire) où se déroulaient les championnats de France UNSS. Il a effectivement ramené deux victoires et un titre (deux succès individuels et un titre par équipes). La cadette Cécile Lejeune avait parfaitement lancé les hostilités en remportant sa course après s’être fait « une grosse frayeur » dans la dernière ligne droite, sa dauphine venant tenter de lui ravir le titre sur la ligne (Cassandra Ferey 17e, Coline Martinet 29e, l’équipe cadette 12e au scratch, 5e section sportive).

Les juniors garçons 4es

La Sparnacienne Lucie Picard l’a imitée chez les juniors. Dans les mêmes conditions de course. « Après la ligne droite de départ, ça n’avançait plus, raconte- t-elle. Je suis donc passée devant et j’ai fait l’écrémage au train. Mais, c’est également revenu fort dans les derniers mètres. »

Derrière, ses coéquipières ont aussi réussi leur course. Et, grâce à Noémie Petitfourt (4e), Lucie Reghem (29e), Elodie Berteloodt (31e), Arago était sacré collectivement.

Les juniors garçons de l’établissement rémois ont échoué au pied du podium au classement des sections sportives (à 12 points du troisième) avec un Reda Saana seulement 21e.

À noter la 20e place des minimes garçons du collège François- Legros de Reims, la 47e des minimes filles du collège Perrot- d’Ablancourt de Châlons et la 40e des juniors-seniors filles du lycée Somme-Vesle.

SYLVAIN POHU

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l’union 140127 a
FAITS ET MÉFAITS : Vol de téléphones Portables

Samedi vers 16 h 40, avenue du Maréchal-Juin, trois jeunes s’en sont pris à deux autres et leur ont dérobé leurs téléphones portables. L’une des victimes a été frappée sur la nuque mais n’a pas été blessée. Les individus ont pris la fuite en direction de la place Georges-Braque.

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l’union 140125 e
LOISIRS : 7e bourse aux livres

Plus de 10 000 livres seront proposés à des sommes modiques.
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Le groupe Escapades de la maison de quartier Croix- Rouge, espaces Billard et la Nacelle, organise sa 7e bourse aux livres, du samedi 1er au vendredi 7 février inclus. Des milliers de livres à Disposition

Cette manifestation, désormais bien connue des rémois et destinée à financer en partie un séjour de 4 jours en Normandie, attire tous les ans plus de 400 amateurs de livres qui peuvent assouvir leur passion à moindre coût. Plus de 10 000 livres, BD, revues et vinyles seront présentés tout au long de la semaine à des prix allant de 0.30 € à 3 € pour la majeure partie, et plus pour certains livres anciens. Le groupe Escapades vous donne rendez-vous dès le samedi 1er février, pour une journée non-stop de 9 à 18 heures, puis le dimanche 2 février de 14 à 18 heures et enfin du lundi 3 au vendredi 7 février de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures.

▶ Renseignements au 03 26 08 08 78 - Maison de quartier Billard - Nacelle, 12-14 rue Pierre-Taittinger.

Tram A et B, bus 13, arrêt Campus Croix-Rouge.

 

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l’union 140125 d
LOGEMENT : Coup de jeune chez les seniors

Yolande Forget trouve enrichissant d’accueillir des étudiants étrangers.
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Une trentaine d’étudiants sont logés chez des personnes âgées grâce à l’association « Ensemble 2 générations ». Une formule appelée à se développer.

Je demeure près de la fac de lettres et j’ai une chambre de libre. Alors quand j’ai su par l’Effort rémois que des étudiants cherchaient un logement chez un senior, l’idée m’a plu tout de suite. » Yolande Forget est très enthousiaste quand elle raconte son expérience avec l’association « Ensemble 2 générations » qui en est à sa deuxième année d’existence. L’an dernier, la Rémoise hébergeait un jeune Chinois. Et cette année, c’est un Malgache qui partage son petit rez-dechaussée du quartier Croix- Rouge. « Cela m’a permis de connaître deux cultures différentes. C’est très intéressant et moralement je me sens moins seule. Cela me sécurise car j’habite un rez-de-chaussée. Et puis, mon étudiant adore quand je lui fais des petits plats. A Noël, il les a même pris en photos. Il fait partie de la famille », se réjouit la vieille dame. En contrepartie, le jeune homme rend des petits services comme aller chercher le journal ou promener le chien. Il ne paye que 80 euros par mois pour financer l’eau et l’électricité. « Il y a souvent des relations qui perdurent », assure Anne-Sophie Renard, présidente de l’association. « Cette expérience est très riche humainement, on voit des étudiants désireux de créer un lien avec une personne âgée. Il y a une écoute chez les personnes âges qui n’existe pas forcément chez les autres jeunes gens. Et les seniors sont très sensibles et très heureux d’avoir un souffle de jeunesse auprès d’eux. Cela leur permet de rompre la solitude, cela les rajeunit. »

C’est vrai qu’ils ont l’air heureux de leur expérience. Réunis pour une galette des rois, ils ont discuté et échangé leurs points de vue sur leurs vies avec les jeunes gens, étudiants en école de commerce, en médecine, en psycho. Ce n’est pourtant pas évident d’accueillir chez soi une personne inconnue. Mais l’association est là pour accorder les personnalités et accompagner les binômes tout au long de l’année scolaire. Une sécurité pour les uns et les autres.

M.-C.L.

▶ Renseignements : 06 77 36 37 25.

À SAVOIR

▶ La première année, il y a eu 15 binômes créés. Cette année, il y en a 30. L’objectif pour l’année prochaine est de 40. Avis aux amateurs.

▶ Il n’y a pas d’âge pour accueillir un étudiant. La doyenne des seniors rémoises a 99 ans.

▶ Trois formules sont proposées. Soit l’étudiant est hébergé gratuitement en échange de services, soit il paye des charges modestes en échange de quelques services, soit il acquitte un loyer solidaire toujours en dessous du prix du marché.

▶ Il y a déjà des demandes de futurs étudiants pour septembre prochain.

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l’union 140125 c
CINÉMA : D-Day, un court-métrage prometteur se prépare à Reims

Sarah Lehu réalise « D-Day », son troisième court métrage.
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Un film noir dans lequel un flic désabusé décide de se suicider en prenant une pilule révolutionnaire… Voilà qui a de quoi intriguer ! D-day est le nom qu’a choisi Sarah Lehu pour ce projet de court-métrage. En préparation depuis deux ans déjà, le film sera diffusé principalement dans des festivals et pourquoi pas, si l’occasion se présente, à la télévision.

« J’ai choisi la période du nouvel an 2 000 car j’aimais beaucoup le côté festif noir rendu par le changement de siècle. On va tourner dans pas mal de rues de Reims pour rendre cette ambiance urbaine désenchantée. L’idée, c’est de faire un film noir, un peu comme les BD de Frank Miller, comme Sin City par exemple », a-t-elle confié. Pour l’aider dans cette vaste tâche, elle est secondée par l’association « Autour du Cinéma », qui compte une trentaine de membres et fait souvent appel à des bénévoles ou des professionnels pour épauler ce genre de projets. « Nous aidons chaque année à réaliser deux films, mais nous proposons également divers ateliers pour les jeunes créateurs », explique Abel Monem, son président.

Le film sera tourné en 4k, un format d’ultra haute définition, utilisé principalement dans le monde du cinéma, grâce à l’utilisation de caméras de type « Scarlet ». Le film est, pour l’instant, une auto production et devrait durer environ 12 minutes. De nos stagiaires

ALEXANDRE HÉBERT ET JACK REILLY

L’équipe du film recherche toujours des décors

L’équipe cherche actuellement un appartement de type ancien avec du parquet et disposant d’une grande salle de bain avec une baignoire à pieds.

Contact par mail : tournage@autourducinema. com ou au 03 51 01 35 64.

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l’union 140125 b
CROSS-COUNTRY : Le lycée Arago en force à Autun

Le lycée François-Arago de Reims a trois équipes qualifiées pour les championnats de France de crosscountry UNSS qui se dérouleront demain à Autun (Académie de Dijon) : les juniors-seniors garçon, les juniors-seniors filles et les cadettes.

Les minimes garçons du collège François-Legros de Reims, les minimes filles du collège Perrot- d’Ablancourt de Châlons-en- Champagne et les juniors-seniors filles du lycée Somme Vesle seront également de la fête.

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l’union 140125 a
RALLYE : Départ de Reims sur les chapeaux de roue, direction Monte-Carlo

Les voitures se sont élancées depuis la place du Forum à Reims pour un long périple jusqu’au quai Albert-Ier, à Monte-Carlo. Ici, l’équipage de Roland et Miruna Medici sur Porsche 356 A 1600 S de 1956, à la sortie du stand de départ, place Royale.
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Le départ a été donné à 19 heures après un quiz animé par Jean Berger, ancien pilote et directeur de course, fidèle au poste !
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Hier, dès 8 heures, les commissaires ont passé toutes les voitures au peigne fin au parc des expositions, sous les yeux du public.
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Christian Rattier, de Saint-Martin-sur-le-Pré, est passionné de Renault. Cette fois, il est venu les admirer avec sa femme Jacqueline.
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Le public était une nouvelle fois au rendez-vous pour rencontrer les pilotes et les encourager sur la ligne de départ, malgré le froid hivernal. À noter que, pour la première fois, six jeunes du lycée Joliot-Curie en bac pro sécurité étaient sur le terrain pour veiller au grain.
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106 équipages ont pris le départ du 17e rallye Monte-Carlo historique, hier soir, place du Forum. Au volant de leurs vieux bolides, ils ont attiré les passionnés toute la journée.

Textes Marion Dardard/Photos Remi Wafflart

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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l’union 140124 b
Un court métrage tourné à la halle universitaire

« L’idée était de choisir une actrice qui n’avait jamais grimpé sur un mur d’escalade » Andra Tévy, la réalisatrice
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Andra Tévy « briefe » l’actrice principale avant le tournage d’une nouvelle scène de grimpe. Remi Wafflart
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La halle des sports universitaire a été choisie pour accueillir le tournage d’un court métrage, grâce à son imposant mur d’escalade…

Un soir d’hiver, une femme se rend à son travail. Environnement hostile, labeur éreintant. Une fenêtre ne ferme plus : il neige à l’intérieur. Le lieu de corvée, où elle passe la lessiveuse chaque jour, devient espace de découverte ; le mur d’escalade, une montagne à l’assaut de laquelle cette femme de ménage sans histoire va se lancer…

« Le Mur », le premier court métrage de la jeune réalisatrice Andra Tévy, produit par Les Films du Cygne, a tout d’un grand : une grande actrice dans le rôle principal, Évelyne Didi (Le Havre, d’Aki Kaurismäki) ; un grand budget, 180 000 euros au total ; mais surtout un grand mur d’escalade, terrain de jeu essentiel de ce film d’une vingtaine de minutes. L’équipe, après avoir repéré une trentaine de salles dans toute la région en avril 2013, a finalement jeté son dévolu sur le gymnase de la halle universitaire à Croix- Rouge à Reims. « C’est un film qui avait besoin de temps, confie Jonathan Hazan, le producteur.

Andra voulait un vrai gymnase, un vrai mur d’escalade qui en impose. C’était difficile d’obtenir et mobiliser une salle comme celleci, en général toujours occupée de 20 à 22 heures. » Mais « chouette » de pouvoir « réunir une telle équipe spécialisée, capable d’apporter une réponse à des questions techniques ». Comme fabriquer de la fausse neige plus vraie que nature ! Fini, les ballons. Durant six nuits, jusqu’à lundi dernier – avant trois jours de tournage, pour finir, dans le Val-de- Marne –, ce sont des caméras que le grand gymnase a accueillies.

Et une sexagénaire, prête à s’attaquer aux 12 mètres de haut, chaque soir, pendue par des câbles qui disparaîtront comme par magie grâce aux nombreux effets spéciaux prévus… « L’idée était de choisir une actrice qui n’avait jamais grimpé, confie Andra Tévy. Le défi du personnage devait être celui de l’actrice. Elle est incroyable, a beaucoup d’énergie, dégage de la force et de l’émotion. »

Le film, qui nécessitera un gros travail de post-production, devrait être livré en septembre. Andra croise les doigts pour qu’il séduise dans les festivals ou les chaînes de télévision…

MARION DARDARD

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l’union 140124 a
FAITS ET MÉFAITS : Les voitures brûlent, les poubelles aussi

Mercredi à 22 h 45, cinq personnes ont été évacuées d’un immeuble de la rue de Courcelles, dont deux depuis le toit, en raison des fumées dégagées par un feu de poubelle dans le hall (L’union d’hier). L’origine du sinistre reste indéterminée.

Cette même nuit, des poubelles ont brûlé place Mozart à 19 heures, rue de Rilly-la-Montagne à 20 h 45, rue du Commandant-Arnaud à 1 h 15 et dans un même secteur de Wilson, entre 4 h 30 et 5 heures (rue de la Bonne-Femme, allées Pierre-Eschenbrenner et Fernand-Kinet).

Vers 23 h 50, c’est une Clio qui a flambé allée Duroy-de-Bruignac.

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l’union 140123 a
À REIMS, 300 PLACES DEBOUT À CROIX-ROUGE

▶ Le quartier Croix-Rouge aura sa salle de spectacles, de 100 places assises et 300 places debout.

▶ Prévu pour fin 2015, cet équipement municipal sera construit à deux pas du tramway, en face du lycée Arago, avec un début des travaux pour cette année.

▶ D’autres activités sont prévues dans ce bâtiment multifonctions, dont une halte-garderie pour les moins de 6 ans, et un espace destiné au milieu associatif.

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l’union 140122 g
MARNE : Le « ras-le-bol » des policiers

Le principal syndicat des gradés et gardiens de la police nationale organise une action ce mercredi pour dénoncer leurs conditions de travail. Archives
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Ça grogne sous les casquettes ! Dans le cadre d’une journée d’action organisée ce mercredi, le principal syndicat de gradés et gardiens Unité SGP Police FO appelle les policiers à se rassembler devant les directions départementales de la sécurité publique (DDSP).

Dans la Marne, le rendezvous est fixé à midi devant l’hôtel de police de Reims. « Il y a un ras-le-bol général, une colère qui monte, déjà bien avant l’actuel gouvernement », lâche Olivier Balangé, responsable départemental du syndicat. « Les raisons de se plaindre sont multiples : gel du point d’indice, réforme des retraites, manque de moyens et d’effectifs… Il y a aussi la honteuse problématique des reports de repos. Avant, quand un fonctionnaire était rappelé sur ses jours de repos le week-end pour compenser le manque d’effectif, il bénéficiait d’une compensation horaire majorée, ce qui n’est plus le cas depuis 2008, avec une compensation désormais temps pour temps. »

S’agissant des moyens, M. Balangé reconnaît que « l’État a recruté 2 500 gardiens de la paix, mais ils sont toujours en formation. À Reims, le classement des quartiers Croix-Rouge et Wilson en zone de sécurité prioritaire va amener des effectifs supplémentaires, mais il ne faut pas s’attendre à 40 fonctionnaires en plus, peut-être cinq ou six », estime le syndicaliste. « Le budget de fonctionnement des DDSP est en baisse depuis sept ans. Cela se ressent partout, jusqu’au papier toilette ! Il faut savoir qu’au commissariat de Reims, les deux derniers mois de 2013, des collègues étaient obligés d’apporter eux-mêmes leur papier toilette car l’administration n’en fournissait plus. »

F.C.

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l’union 140122 f
CROIX-ROUGE : Le suicidaire à l’essence interné

Selon un associatif, le retraité n’avait « rien du déséquilibré » quand il l’avait reçu il y a deux ans pour des soucis d’argent.

Le retraité qui menaçait de s’immoler par le feu dans un service du conseil général, jeudi, a été interné. Des problèmes financiers seraient à l’origine de son geste.

Jeudi dernier, un retraité de 66 ans a semé la panique à la circonscription de solidarité départementale de l’agence Reims-Croix-Rouge, avenue Bonaparte, en menaçant de s’immoler par le feu (L’union de vendredi). Comme on pouvait s’y attendre, il a été interné en psychiatrie après avoir été examiné à l’hôtel de police par un médecin qui a conclu à l’existence de sévères troubles mentaux. L’homme s’est présenté à 14 h 15 dans le hall d’accueil de la circonscription, annexe du conseil général. Sitôt arrivé, il a sorti d’un étui à guitare un bidon d’essence qu’il a déversé sur sa tête, tout en menaçant de s’immoler avec un briquet tenu à la main.

Une trentaine d’employés étaient présents. Tous ont été évacués par une porte de service tandis que pompiers et policiers entamaient un siège pour tenter de raisonner le sexagénaire dont les revendications étaient complètement incohérentes, incompréhensibles (il accuse notamment un opéra parisien de jouer certaines de ses oeuvres musicales sans autorisation…). Retrouvé assis en haut d’un escalier, il continuait à s’asperger d’essence pendant les négociations. Il s’est finalement rendu à 16 h 30 après avoir longuement discuté avec le procureur-adjoint (il avait demandé la présence du parquet sur place).

L’homme aurait vécu en région parisienne avant d’arriver à Reims. « Ça fait environ quatre ans qu’il est dans le quartier », indique le responsable d’une association d’aide aux locataires basée à Croix-Rouge. « Il était venu nous voir il y a deux ans car il avait des dettes de loyer. Il n’avait rien du déséquilibré. Il avait aussi un problème avec le RSA. Il nous a dit qu’il lui avait été supprimé du jour au lendemain, mais nous ne pouvions rien pour lui. On l’avait renvoyé vers les assistantes sociales. Depuis, je le croisais régulièrement. On se disait bonjour mais il ne me parlait plus de ses problèmes. Il avait l’air gai. Il chantait quand il se promenait. Quelque chose a dû se passer pour qu’il pète les plombs. »

Parler avec le magistrat lui a manifestement fait du bien. Le travail d’écoute devrait continuer là où il se trouve.

F.C.

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l’union 140122 e
DÉLINQUANCE ROUTIÈRE : Le chauffard tente de corrompre les policiers

Dimanche vers 11 h 15, un automobiliste a pris la fuite à pied après avoir percuté un lampadaire au carrefour des rues de Neufchâtel et du 106e R.I. (L’union d’hier). Revenu voir les policiers qui constataient les dégâts, l’homme a prétendu ne pas être le conducteur. Sa voiture aurait été volée la veille aux Trois- Fontaines, devant le domicile du beau-frère, et c’est en passant par hasard sur les lieux de l’accident qu’il a eu la surprise de reconnaître son auto emboutie contre le lampadaire… Cependant, comme le piéton était sous l’emprise de l’alcool, qu’il avait un couteau sur lui, qu’il a refusé le dépistage d’alcoolémie, menacé de mort, insulté et tenté de corrompre les fonctionnaires en leur proposant 100 à 200 euros moyennant sa libération, il lui fut difficile d’être crédible.

Remis en liberté, l’homme répondra de toutes ces infractions (y compris la conduite en état d’ivresse et la tentative de corruption des fonctionnaires) à l’audience correctionnelle du 15 avril.

Course-poursuite

Deux autres chauffards se sont illustrés dans les rues de Reims. Dimanche à 23 h 40, repéré à la suite d’un dépassement à vive allure et sans clignotant sur une ligne continue de l’avenue du Maréchal-Koenig, un automobiliste a tenté de semer les policiers en filant dans le quartier Croix-Rouge. Une autre patrouille l’a pris en tenaille avenue Bonaparte. Âgé de 23 ans, le fuyard s’est vu remettre une convocation en justice. Dans ce même quartier, un « collègue » de 46 ans a lui aussi accéléré à la vue d’une patrouille. Rattrapé sur le parking du supermarché Match, après avoir calé au volant de son Audi, il a refusé de sortir de l’habitacle mais un policier l’en a extrait manu militari. L’individu avait bu : 1,64 gramme d’alcool par litre de sang. Il est convoqué en justice le 26 février.

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l’union 140122 d
LIRE

Médiathèque Jean-Falala : 2, rue des Fuseliers, de 10 à 19 heures. Tél. 03 26 35 68 00. Ouverture dominicale de la médiathèque, le dimanche 2 février de 14 h 30 à 18 heures. Renseignements : www.bm-reims.fr

Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue J.-L.-Debar, de 10 à 18 heures. Tél. 03 26 35 68 40.

Bibliothèque Carnegie : 2, place Carnegie, de 10 à 13 heures et de 14 à 19 heures. Tél. 03 26 77 81 41. Bibliothèque Holden : place Alfred- Brouette, de 10 à 12 heures et de 14 à 18 heures. Tél. 03 26 02 40 11.

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l’union 140122 c
EN IMAGE À CROIX-ROUGE

 

 

 

Devenir citoyen municipal bénévole Lors du dernier conseil de quartier Croix-Rouge Hauts-de- Murigny, le 1er adjoint Éric Quénard a livré une information susceptible d’intéresser ceux qui souhaitent agir pour la sécurité et la propreté de la ville : « Si vous êtes témoin d’une petite chose du quotidien défaillante, une ampoule à changer, un trou dans la chaussée, un panneau cassé, des poubelles renversées ou non vidées, des tags, un feu tricolore en panne, la Ville a créé Reims contact, un service visant à répondre à votre signalement, au 03 26 77 78 79. »

Vous serez informé de l’intervention effectuée à la suite de votre appel.

 

 

 

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l’union 140122 b
VOL : La Marmite cambriolée, 50 cannettes dérobées

Survêtement et baskets. Samien, 19 ans depuis deux mois, n’a pas la décontraction qu’annonce sa tenue. C’est plutôt penaud qu’il se présente devant le tribunal correctionnel, hier après-midi. Dans la nuit du 29 au 30 juillet dernier, il avait participé au cambriolage du café-restaurant La Marmite, géré par L’Assos’Café. « Participé » seulement. À la barre, le jeune Rémois confirme qu’ils étaient « quinze ou vingt » et maintient qu’il ne donnera pas les noms.

Cette participation, Samien ne la nie pas puisque ses empreintes ont été retrouvées, notamment sur le fil de la caisse enregistreuse, qui a été arrachée. Cinquante cannettes de soda ont été dérobées, ainsi qu’un ordinateur. « Je n’ai gardé que la boisson », admet le prévenu, qui ajoute à plusieurs reprises qu’il regrette cet acte : « Je me suis laissé influencer ». « On fait quoi, avec 50 canettes de Schweppes agrumes ?, s’agace la présidente. Cela vaut-il dix ans d’emprisonnement ? » La magistrate relève qu’une seule condamnation figure sur son casier, un rappel à la loi pour consommation de stupéfiants.

« Fumette » et efforts de réinsertion

Un maigre parcours de délinquant dont même le procureur s’étonne : « Je ne vais pas vous féliciter pour la fumette mais c’est un peu désolant de voir ici un jeune homme capable de faire des efforts d’insertion… » Samien apporte un document prouvant son inscription à la Mission locale et sa recherche d’un emploi dans le domaine des espaces verts.

Le représentant du ministère public requiert six mois de prison avec sursis. Une peine qu’il n’effectuera pas, à condition de s’acquitter de 105 heures de travail d’intérêt général, dans un délai de 18 mois. Il a en outre l’obligation de chercher un travail ou une formation.

A.D.

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l’union 140122 a
ENSEIGNEMENT : « Je prends du plaisir en ZEP ! »

En zone d’éducation prioritaire, la pédagogie s’adapte le plus possible aux enfants. Archives
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Cette enseignante exerce dans une zone d’éducation prioritaire rémoise. Elle préfère ce contexte aux zones « ordinaires » qu’elle a connues auparavant.

À l’heure où le ministre de l’Éducation nationale cherche à rendre les ZEP plus attractives pour les enseignants, nous en avons rencontré une à Reims qui a pratiqué en ZEP et hors ZEP. Sous couvert d’anonymat, elle répond à nos questions.

▶ Quelle est votre expérience de la ZEP ?

J’y travaille depuis 8 ans ; j’y suis actuellement dans une maternelle à Reims, même si officiellement, le terme ZEP n’existe plus : on parle désormais de « réseau de réussite scolaire », depuis 2006.

▶ Et votre expérience des zones « ordinaires » ?

J’y ai enseigné pendant 9 ans.

▶ Et alors, y a-t-il vraiment des différences entre les deux ?

De grosses différences ! En ZEP, vous avez tout un aspect social à gérer que vous ne retrouvez pas ailleurs. Vous trouvez aussi une plus grosse concentration d’élèves en difficulté, qui cumulent des problèmes de comportement.

▶ C’est donc plus difficile pour l’enseignant ?

Je suis obligée d’adapter ma pédagogie. Je fais davantage de manipulations par exemple, j’essaye aussi de faire un enseignement plus différencié, plus individualisé.

▶ Mais les effectifs sont quand même allégés ?

Surtout en maternelle : en ZEP, on a 25 enfants maximum, contre 32 hors-ZEP. Mais en élémentaire, 25 au lieu de 27.

▶ Et les programmes sont-ils eux aussi allégés ?

Pas du tout ! C’est le même programme pour tout le monde, tous les élèves doivent avoir les mêmes compétences en sortant.

▶ Un mot sur les parents. Ceux de ZEP sont-ils différents des autres ?

Ils sont peut-être à la fois plus distants par rapport à l’institution, et plus motivés par l’avenir de leurs enfants, ils ont besoin de davantage d’explicitation de notre travail.

▶ Le fait que vous soyez en ZEP en ce moment, est-ce un choix de votre part ou vous l’a-t-on imposé ?

C’est un choix.

▶ Motivé par quoi essentiellement ?

Je dirais par l’exigence pédagogique et par l’aspect plus visible des progrès des élèves. Ici, je trouve plus de plaisir que dans certaines classes hors- ZEP : je me rends compte que tous les jours, les enfants apprennent ! Par exemple on vient de travailler l’écriture en cursif, pour cela j’ai dû travailler plus longtemps les prérequis, et donc prendre un peu de retard sur le programme officiel, mais ça paye ! Et ici on a affaire à des enfants qui ont soif d’apprendre, ils ne sont pas blasés. En plus pour l’enseignant, c’est très stimulant pour l’esprit, à lui de trouver la bonne stratégie d’apprentissage pour chacun…

▶ Il y a quand même un intérêt financier à exercer en ZEP ?

Effectivement il existe une prime, mais assez faible, inférieure à 100 euros par mois.

▶ Et que pensez-vous des propositions du ministre pour motiver les enseignants en faveur des ZEP ?

Il prévoit notamment 9 jours dans l’année dédiés à la réflexion, à la concertation, à l’échange entre enseignants, c’est une avancée positive. Les enseignants ont besoin partout de ces temps d’échange, mais en ZEP le besoin est encore plus fort pour mettre en place les stratégies pédagogiques.

Propos recueillis par ANTOINE PARDESSUS

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l’union 140121 b
RENDEZ-VOUS

« Rencontres de mamans » à la Marelle de 14 à 16 heures le mardi 21 janvier, atelier création de costumes pour le carnaval et le mardi 28 janvier, visite de l’appart éco de Pays-de-France. Par ailleurs, dans le cadre des animations enfants-parents, ces derniers sont attendus au centre la Marelle, mercredi 22 janvier (Atelier masque de carnaval), mercredi 29 janvier (Viens créer ton portrait), mercredi 5 février (Atelier mosaïque) et mercredi 12 février (Atelier jeux de société). Les adresses : Centre « la Marelle » 3 allée des Picards. Espace Watteau de la Maison de quartier Croix- Rouge, 3 allée Antoine-Watteau (Alexandra Babin, référent familles, au 03 06 36 03 50) ; Espace Billard de la Maison de quartier Croix- Rouge, 12/14 rue Pierre-Taittinger (Tél. 03 26 08 08 78).

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l’union 140121 a
RENDEZ-VOUS

L’association des propriétaires de l’îlot de la Lézardière à Croix- Rouge, réunira son assemblée générale dans les locaux de la Ligue de l’enseignement, 19 rue Alphonse-Daudet, mardi 21 janvier à 18 h 30.

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l’union 140120b
EN IMAGES AUX SAMEDIS DU SPORT DE NOTRE CORRESPONDANTE FRANÇOISE LAPEYRE : Détente, bien-être, découvertes…

Echauffement bien nécessaire pour les courageux adeptes de la marche nordique.
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Initiation à l’escalade pour le papa et son fiston !
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Service à la volée ou à la cuillère ?
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Quels que soient les âges, l’aquagym est toujours un succès.
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Les sports de glace comme le patinage sont très prisés.
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S’initier à une nouvelle discipline sportive, gratuitement, seul ou en famille, c’est l’offre des « samedis du sport ». Et vous, vous commencez quand ?

Une fois par mois, les samedis du sport permettent de découvrir une activité, à son rythme, dans une ambiance décontractée et ludique.

Samedi, de 9 heures à midi, enfants et adultes, en petits groupes bien encadrés par des bénévoles des clubs sportifs partenaires ou par des éducateurs sportifs de la Ville pratiquent le basket, le patinage, l’escalade, le badminton ou encore l’aquazumba !

À la piscine du Château d’Eau, une douzaine de dames se déchaînent sur des rythmes latino, avec une énergie et une bonne humeur communicatives.

Les animateurs de l’association Vertical conseillent et assurent, en toute sécurité, les débutants, sur le mur d’escalade du Château d’Eau.

Sur la piste de la patinoire Barot, le club de patinage artistique encadre des débuts sur la glace à travers diverses activités ludiques.

On s’initie dans deux structures voisines au badminton avec les membres d’ABC Reims ou au basket avec le Reims basket féminin.

Seule activité de plein air ce jour-là, la marche nordique, sport de pleine nature proposé par l’EFSR Reims athlétisme, a eu beaucoup d’adeptes.

 

 

 

 

 

 

 

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l’union 140120 a
RENDEZ-VOUS

L’association des propriétaires de l’îlot de la Lézardière à Croix- Rouge, réunira son assemblée générale dans les locaux de la Ligue de l’enseignement, 19 rue Alphonse-Daudet, mardi 21 janvier à 18 h 30.

Renseignements auprès de Jacques Vivier au 03 26 84 18 34.

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l’union 140118 a
INCENDIE : La cuisine s’enflamme

Les pompiers ont été appelés vers 13 h 30, hier, pour circonscrire un incendie survenu dans un appartement situé 15, rue Pierre-Taittinger à Reims (quartier Croix-Rouge).

Parti, semble-t-il, de la gazinière, le feu s’est propagé à toute la cuisine, la rendant hors service. Le reste de l’habitation a été préservé grâce à l’intervention rapide des pompiers, qui ont éteint les flammes au moyen d’une lance. Aucune personne n’a été intoxiquée. Dès hier, Reims Habitat a procédé à la pose d’une plaque de contreplaqué à la place de la fenêtre de la cuisine et a commandé une fenêtre de remplacement.

Une entreprise s’est aussi, à la demande du bailleur, rendue sur place, pour vérifier l’installation électrique du logement ; de même pour GDF qui procédera au contrôle des circuits de gaz. L’assurance de la locataire a mandaté dès hier une entreprise de décontamination (nettoyage de la suie, produits pour retirer l’odeur…) pour qu’elle intervienne. En l’état des choses, la locataire reste à son domicile. Toutefois, son bailleur demeure à l’écoute de sa situation.

M.D.

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l’union 140117 e
CROIX-ROUGE : Deux nouveaux services publics pour Pays-de-France

Les deux structures municipales bénéficient d’une surface totale de 4 000 m2 louée au Foyer rémois.
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La nouvelle annexe est déjà appréciée des usagers.
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Inauguré le 20 décembre 2013, le site de la nouvelle antenne municipale et de l’antenne du CCAS a ouvert ses portes hier matin.

Désormais implantés au coeur du quartier Croix- Rouge, les nouveaux locaux reflètent le changement qui est en train de s’opérer dans celui-ci. L’ensemble Pays-de- France prend forme, petit à petit, avec la rénovation d’immeubles, une amélioration de l’accessibilité des espaces extérieurs, dans une volonté de réhabiliter le quartier, le rendre plus attractif. Le renouvellement urbain a pour objectif de dynamiser les quartiers en y installant des commerces de proximité et des services publics. Situés au 1 bis, avenue Général- Bonaparte, les deux espaces publics ont été relocalisés dans un seul et même lieu afin de créer une synergie entre la mairie et le centre communal d’action sociale (CCAS). Les usagers ont aussi la possibilité d’accéder à de nombreuses permanences, au sein de l’antenne municipale : la caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), l’ordre des avocats, la Confédération générale du logement, etc. Cette offre diversifiée de services publics en un seul endroit est propre au quartier Croix-Rouge. Un concept qui vise à permettre aux personnes le désirant de garder l’anonymat lorsqu’elles entrent dans la structure en quête de conseils particuliers et parfois de solutions à des problèmes touchant leur vie privée.

Un lieu de convivialité plus lumineux

En entrant dans les locaux de l’antenne municipale, chacun est unanime. La couleur, bien présente, apporte une touche d’optimisme aux lieux, et les grandes baies vitrées laissent passer la lumière du jour.

Khaoussou, accompagné de sa fille, a l’habitude de fréquenter l’antenne. « Je trouve les locaux spacieux, impeccables et plus aérés. Et le passage du tram juste devant est avantageux. Le personnel n’a pas changé et est toujours aussi sympa ! » Sandra, mère de huit enfants, est venue se présenter à la permanence de la caisse des écoles. « L’espace est plus gai, plus vivant. Je viens régulièrement à l’antenne municipale pour la carte d’identité et les cartes de cantine. Je fréquente aussi le CCAS, pour essayer d’obtenir des aides. »

La mutualisation des deux services publics permet un véritable échange, une entraide sur certains problèmes administratifs entre les agents de la municipalité et du CCAS. Benoît Oustric, responsable des sept antennes municipales et de l’antenne mobile, évoque ce gros changement « comme le gain d’une “étoile” ». « Nous n’avons aucun regret à emménager dans ces nouveaux locaux. Nous avons d’ailleurs été contactés par le conciliateur judiciaire pour une éventuelle nouvelle permanence. Nous avons aussi désormais trois guichets et un autre spécifique aux passeports. C’est un lieu de convivialité, des gens viennent parfois ici juste pour se confier. »

MARIE LE LAGADECl

« Un rapprochement symbolique »

L’antenne du centre communal d’action sociale a aussi pris ses quartiers hier matin dès 8 h 30, dans la structure qu’elle partage avec l’antenne municipale. Anne Bréjon, une des deux référentes de l’antenne, montre sa satisfaction : « Nous avons accueilli une cinquantaine de personnes durant cette première matinée, le public était au rendez-vous. » Les bureaux, séparés par une petite cloison qui permet de préserver l’intimité des gens, sont désormais alignés, spacieux et entourés de mobilier coloré et de plantes vertes. « Nous avons recueilli de bonnes impressions des usagers », souligne Anne Bréjon. « Le personnel du CCAS a eu son mot à dire pour le choix des peintures, afin de s’imprégner le plus possible du projet. Ces locaux valorisent les agents. » L’antenne compte maintenant cinq salariés de façon pérenne, au vu de sa forte fréquentation. « C’est une vocation pour ces personnes de travailler dans les quartiers. Et symboliquement, c’est important pour nous de nous rapprocher de la mairie. »

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l’union 140117 d
JARDINAGE : Des récompenses pour les belles parcelles de Pays-de-France

Coup de chapeau aux vainqueurs 2013.
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L’association des Jardins familiaux de Pays-de-France a proclamé les résultats de son concours annuel des plus belles parcelles. En présence de l’adjoint Raymond Joannesse et des présidents d’autres associations de jardins familiaux, les coupes ont été remises aux heureux gagnants avec un bon d’achat offert par le Foyer rémois.

Voici le palmarès 2013.

1er Christophe Buiron ; 2e Danièle Ronez ; 3e Lucienne Bérini ; 4e Americo Azevedo ; 5e Lam Nguyenbe Ngoc ; 6e Madalena Ramalho ; 7e Patricia Lefèvre ; 8e Pascal Lochon ; 9e Pascal Hanquez ; 10e Thami Bouhou ; 11e Francis Devreeze ; 12e Ibrahim Unal ; 13e Claude Bachelet.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

 

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l’union 140117 c
Un déséquilibré menace de s’immoler par le feu

Le détraqué est arrivé à l’agence avec son bidon d’essence caché dans l’étui à guitare tenu par le policier. Fabrice Curlier
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Le siège de l’agence a duré plus de deux heures.
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Panique jeudi après-midi, dans un bâtiment du conseil général à Croix-Rouge. Un détraqué s’est aspergé d’essence et a menacé de s’immoler, briquet à la main.

Les agents du conseil général de la Marne sont régulièrement confrontés à des personnes agressives, vindicatives, mais jamais ne s’était produite pareille scène vécue jeudi par leurs collègues de la circonscription de solidarité départementale de Reims – Croix-Rouge, avenue Bonaparte.

Vers 14 h 15, un homme de 66 ans porteur d’une barbe blanche et d’un étui à guitare a semé la panique sitôt son entrée dans le hall. De l’étui, il a sorti un bidon d’essence de cinq litres qu’il a déversé sur sa tête, avant de prendre un briquet et de menacer de s’immoler.

Discours délirant

Une trentaine d’employés se trouvaient à l’intérieur du bâtiment. La direction les a fait sortir par une porte dérobée, laissant le sexagénaire seul dans les lieux. Pompiers et policiers l’ont retrouvé assis sur la dernière marche de l’escalier menant au seul étage, avec vue imprenable sur l’ensemble du hall. Très vite, ils ont compris que le retraité domicilié à Reims, mais qui aurait auparavant habité en région parisienne, était en proie à de graves troubles mentaux. Son discours était incohérent, ses revendications confuses, pour ne pas dire incompréhensibles.

L’homme n’a aucun contentieux avec l’agence de Croix-Rouge (il n’y aurait même pas de dossier le concernant). Il se plaignait d’obscurs démêlés avec la justice, mais aussi de l’attitude de grandes formations musicales parisiennes, comme l’Opéra, accusé de jouer des compositions de son œuvre sans aucune autorisation ! Et d’en appeler à la Sacem pour que ses droits soient rétablis…

Pendant que la police négociait avec lui, le déséquilibré toujours installé en haut de l’escalier s’aspergeait de temps en temps avec son bidon qui contenait encore de l’essence. Il a exigé de « rencontrer le procureur ».

Interné d’office

Doléance acceptée ! Venu du palais de justice, le procureur-adjoint de la République de Reims a repris les discussions et finalement obtenu la reddition du détraqué, vers 16 h 30, deux heures après son irruption dans le hall d’accueil.

Enveloppé d’une robe de chambre, l’homme a quitté le bâtiment sous bonne escorte, direction le commissariat où un expert psychiatre devait l’examiner.

La décision de l’interner d’office ne semblait guère faire l’ombre d’un doute.

Après avoir patienté tout ce temps à l’extérieur, sur le trottoir, le personnel a pu reprendre possession des lieux mais l’agence est restée fermée pour le reste de la journée. « Il faut aérer et nettoyer », explique son directeur. Le hall empestait d’autant plus l’essence que le déséquilibré en a déversée un peu partout.

FABRICE CURLIER

Deux grosses lances prêtes à jaillir

Une vingtaine de pompiers et policiers ont investi le bâtiment du conseil général. Lors des négociations menées depuis le hall d’accueil, alors que le détraqué était assis sur la dernière marche de l’escalier, une première lance positionnée à l’entrée l’avait en ligne de mire. L’homme l’ignorait, mais d’autres pompiers acheminés par une issue de service se trouvaient à côté de lui, dans un bureau porte fermée, prêts à bondir. « Au moindre geste laissant penser qu’il allait mettre sa menace à exécution, nous étions prêts, sur le top des policiers, à mettre nos deux lances en action », explique un officier. « Elles déversent 500 litres d’eau à la minute. Avec un tel débit, nous étions sûrs de bien le mouiller et de lui sauver la vie. »

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l’union 140117 b
FAITS ET MÉFAITS : Un dépressif retranché chez lui

Est-ce l’effet de la pleine lune ?

Hier après-midi, alors qu’une vingtaine de pompiers et policiers tentaient d’obtenir la reddition d’un déséquilibré qui menaçait de s’immoler par le feu dans un bâtiment du conseil général avenue Bonaparte (lire ci-contre), un homme était retranché chez lui allée des Bourguignons, dans le même quartier, au sixième étage.

Les secours ont parlementé plus d’une heure avant de défoncer sa porte et de le maîtriser.

Il a été hospitalisé.

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l’union 140117 a
Cuisine en feu à Croix-Rouge

Les pompiers de Reims ont été appelés vers 13 h 30 aujourd’hui, pour circonscrire un incendie survenu dans un appartement du 1er étage d’un immeuble de quatre étages situé 15, rue Pierre-Taittinger à Reims (quartier Croix-Rouge).

Parti d’un appareil de cuisson, le feu s’est propagé à toute la cuisine, la rendant totalement hors service. Mais le reste de l’habitation a été préservé grâce à l’intervention rapide des pompiers, qui ont éteint les flammes au moyen d’une lance.

Aucune personne n’a été intoxiquée.

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l’union 140116 b
TENNIS : Départementaux jeunes sans surprise

Organisés au centre de Ligue de Reims, les championnats de la Marne des 12/18 ans ont délivré des résultats logiques. Exceptée la petite « perf » de la nouvelle venue du TC Géo-André Noémie Bellot (5/6) face à Lisa-Marie Habert (4/6, Reims Europe) en 15/16 ans. Les lauréats disputeront les championnats de Ligue les 29 mai et 1er juin.

▶ FILLES

12 ans : Sarah Leroy (15/4, Géo-André) bat Audrey Seck (30/1, Bétheny) 6-4, 6-1 ; 13 ans : Élise Renard (15/2, Cormontreuil) bat Emma Cuny (15/2, Saint-Memmie) 6-3, 6-3 ; 14 ans : Elvire Prault (15/2, Géo-André) bat Sara Salles (30, Vitry) 6-1, 6-3 ; 15/16 ans : Noémie Bellot (5/6, Géo- André) bat Lisa-Marie Habert (4/6, Reims Europe Club) 6-7, 6-2, 6-3 ; 17/18 ans : Maêva Spooner (4/6, Géo-André) bat Flora Calcagno (4/6, Montmirail) 5-7, 6-4, 6-2.

▶ GARÇONS

12 ans : Amier (15/1, Épernay) bat Clauss (15/3, Saint-Memmie) 7-6, 6-0 ; 13 ans : Roussel (15/1, Vitry) bat Lopes (15/1, Cormontreuil) 7-5, 1-6, 6-3 ; 14 ans : Villenet (15/1, Taissy) bat Henry (15/1, Géo-André) 6-4, 6-2 ; 15/16 ans : Collot (15/1, Cormontreuil) bat Halle (15/2, Sarry) 6-2, 6-2. 17/18 ans : Henry (5/6, Géo-André) bat Mulat (15/1, Vitry) 6-3, 7-5.

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l’union 140116 a
PLURIAL : VENTE DE PATRIMOINE À TITRE DE RÉSIDENCE PRINCIPALE

Appartements à vendre à reims :
- 4, allée Deketelaere : T3, 4° étage, 56 m2 environ, cave. Lots 29-38. DPE en cours. 83.700 € (Réf. ER.2037).
- 10, allée Deketelaere : T4, 1°’ étage, 66 m2 environ, cave. Lots 83-93. DPE en cours. 108.000 € (Réf. ER.2061).
- 1, alléeY.-Gandon :T4, 5’ étage, 87 m2 environ, cave, parking. Lots 171-211-288. DPE en cours. 139.700 € (Réf. ER.10360).
- 11, rue A.-Daudet :T5, 7° étage, 92 m2 environ, cellier, parking. Lots 1581-1584-1179. DPE en cours. 155.200 € (Réf. ER.11081).
- 1, rue Henry-Royer :T4, R.-C., 76 m2 environ, cellier, parking. Lots 1419-1422-1286. DPE en cours. 121.900 € (Réf. ER.11156).
- 9F, boulevard Saint-Marceaux :T4, 2° étage, 78 m2 environ, cave, parking. Lots 185-174-323. DPE en cours. 161.800 € (Réf. ER.12482).
- 14, esplanade Pellot : T3, 2’ étage, 69 m2 environ, box. Lot 65-273. DPE en cours. 121.000 € (Réf. ER.13420).

Ventes ouvertes à tous à titre de résidence principale, réservées pendant 2 mois aux locataires de l’EFFORT REMOIS (à compter de la date de parution). Frais de notaire réduits et frais de notaire offerts aux locataires de l’EFFORT REMOIS.

Pour tous renseignements : Reims : 03.26.05.92.23 ou 03.26.05.92.97.

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l’union 140115 f
PAYS DE France : Projets pour les jardiniers

Les jardiniers et jardinières ont été très attentifs au bilan.
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L’assemblée générale de l’association des Jardins familiaux de Pays-de-France s’est déroulée dans la salle municipale Croix-Rouge. C’était la première réunion présidée par le nouveau président, Yves Monflier, après le départ de Michel Herbreteaut. Il était assisté du secrétaire et vice-président Jacques Pigné et du nouveau trésorier, Jacques Fonte.

Ces jardins, créés en novembre 1986, comportent maintenant 59 parcelles, dont un lopin pédagogique ouvert au centre de loisirs et rejoignent les jardins de Croix-du-Sud, pour un ensemble de 151 parcelles le long de la rue Joliot-Curie, faisant une frontière verte avec Bezannes. La même géographie provoque les mêmes nuisances. En 2013, six cabanons ont été dégradés et il a fallu changer sept serrures. Un sinistre, probablement malveillant, a fait perdre 2 700 m3 d’eau, en 45 jours, d’où une facture inattendue. Grâce aux subventions municipales (871 € pour l’équipement et 2 900 € pour le fonctionnement), l’association a installé des bacs à compost et acquis une tondeuse à gazon, deux débroussailleurs, un taille-haie, une tronçonneuse et un souffleur thermiques. Avec 5 983 € de dépenses pour 9 170 € de recettes, le solde 2013 est positif de 3 187 €, qui s’ajoutent au trésor de guerre de 2012 (2 526 €) pour une disponibilité 2014 de 5 713 €. L’achat d’un conteneur qui servira au stockage de matériel de l’association, est programmé.

L’adjoint au maire, Raymond Joannesse, s’est réjoui de la bonne ambiance : « Pas de souci de fréquentation, si 5 jardiniers ont quitté, 10 autres ont été accueillis. »

▶ Yves Monflier, président, 3 allée des Limousins, 03 26 86 16 87.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

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l’union 140115 e
IMMIGRATION : Nouvel espoir pour les Hovsepian

Luciné, Lilit et Hratche (au centre) ont été soutenus par leurs professeurs et camarades. Archives Christian Lantenois
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Soulagement pour la famille Hovsepian. Elle dispose de quatre mois (jusqu’au 13 mai) avant que ne soit examinée sa nouvelle demande de régularisation. Reçus hier en préfecture, les parents, d’origine arménienne, se sont vu délivrer le récépissé attestant de cette demande, assorti d’une autorisation de travailler pour la mère comme pour le père. Conséquence : l’obligation de quitter le territoire français est suspendue, ainsi que les obligations liées à l’assignation en résidence (notamment le fait de se présenter tous les jours au commissariat de Reims).

« Plus festifs qu’offensifs »

« On redémarre tout… mais pas de zéro », commente, réjoui, le représentant de Réseau éducation sans frontière, très actif sur le plan juridique. La famille, dont trois des quatre enfants sont mineurs, va avoir l’occasion de compléter son dossier. « Toutes les pièces continueront à être envoyées à la préfecture et au ministère de l’Intérieur », indiquent des membres du comité de soutien, qui s’est mobilisé de façon régulière depuis près de deux mois (lire nos précédentes éditions).

Parmi les documents nécessaires à l’obtention d’un titre de séjour doit figurer une promesse d’embauche. « Des pistes sont actuellement à l’étude », assure encore un bénévole. Le père de famille est « plus motivé que jamais » pour apprendre le français. Le nouvel examen de la demande lui redonne espoir et volonté : « Il était tellement persuadé qu’on le renverrait en Arménie… Ses enfants vont lui servir de professeurs ! »

Le comité de soutien, composé de nombreux professeurs du collège François-Legros et du lycée Joliot-Curie entre autres, promet cependant de ne pas se démobiliser : « Nos prochaines manifestations seront désormais plus festives qu’offensives. Nous avons l’espoir que les choses aillent vite. Mais nous restons vigilants ».

A .D.

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l’union 140115 d
LOGEMENT : Des relais pour le voisinage

A chaque entrée d’immeuble, un correspondant qui, comme Danielle Hannequin, aime bien les contacts.
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Il y a une dizaine de correspondants d’entrées d’immeubles dans le quartier Pommery. Ce sont des bénévoles qui cherchent à être utiles.

Gardienne d’immeuble, moi ? Mais pas du tout ». Danielle Hannequin est une correspondante d’entrée d’immeuble. Elle se défend d’avoir un rôle de surveillante. Cette locataire aime tout simplement être utile. « Il n’est pas question de fliquer les gens, mais plutôt de les aider quand ils en ont besoin, leur donner du temps, faire remonter leurs doléances. Ils viennent me voir, sachant qu’ils peuvent compter sur moi. » Ce concept a été mis en place par Reims Habitat dans le quartier Pommery à l’occasion de travaux de réhabilitation. Une dizaine de volontaires servaient alors de référents et de lien entre le bailleur et les locataires pour que le chantier se passe bien. Après la rénovation, les correspondants ont continué à exercer un certain rôle, à créer du lien social au quotidien. « Ce sont des gens reconnus comme personnes-ressources pour informer les habitants de leur immeuble, organiser des petites fêtes en concertation avec nous et faire remonter tout ce qui peut être utile pour améliorer la vie des locataires », précise Domitille Rouhi, chargée de communication pour le bailleur social. « Ils travaillent avec notre service de développement social et du territoire et rédigent notamment un petit journal de quartier diffusé à l’ensemble des habitants. »

Un rôle que Danielle Hannequin apprécie, surtout quand il consiste à faire plaisir aux enfants ou aux personnes âgées en organisant la fête de Noël, la galette, ou les animations de printemps.

Reims Habitat a trouvé l’expérience concluante et a commencé à mettre en place une initiative semblable à Croix- Rouge. « N’importe qui peut devenir correspondant. C’est un engagement libre en fonction de son temps libre et de ses envies. »

M.-C.L.

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l’union 140115 c
LIRE

Médiathèque Jean-Falala : 2, rue des Fuseliers, de 10 à 19 heures. Tél. 03 26 35 68 00.

Médiathèque Croix-Rouge : 19, rue J.-L.-Debar, de 10 à 18 heures. Tél. 03 26 35 68 40.

Bibliothèque Carnegie : 2, place Carnegie, de 10 à 13 heures et de 14 à 19 heures. Tél. 03 26 77 81 41.

Bibliothèque Holden : place Alfred- Brouette, de 10 à 12 heures et de 14 à 18heures. Tél. 03 26 02 40 11.

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l’union 140115 b
STUPÉFIANTS : 200 g de drogue dans la rue, 900 euros dans la poche

Le cannabis du fuyard saisi aux Châtillons ne finira pas en « joint ». Archives
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Que font des policiers, quand des personnes se mettent soudain à détaler en découvrant leur présence ? Ils leur courent derrière, évidemment. La scène s’est déroulée jeudi dernier au quartier des Châtillons, boulevard Vasco-de-Gama.

Vers 18 heures, deux hommes prennent la fuite à la vue d’un équipage de la brigade anticriminalité qui patrouillait sans objectif particulier. L’un des fuyards parvient à s’échapper en s’engouffrant dans les étages d’un immeuble. L’autre se débarrasse en pleine rue de « quelque chose » qui se révèle être deux plaquettes de résine de cannabis pour un poids total de 200 grammes.

Les policiers finissent par rattraper le suspect qu’ils affirment n’avoir jamais perdu de vue depuis le début de « la courette », aidés en cela par la couleur rouge vif de son survêtement. Domicilié à Croix-Rouge, le mis en cause, Karim Nassour, 18 ans, affirme pourtant ne pas être celui qui a jeté les deux plaquettes de cannabis. Les policiers l’auraient confondu avec un autre.

Une somme en liquide de 900 euros est découverte dans ses poches. D’après ses déclarations, 630 euros proviennent des vendanges, le reste de gains aux jeux.

Déjà condamné à cinq reprises, notamment pour des infractions à la législation sur les stupéfiants, le jeune homme a été déféré en comparution immédiate devant le tribunal, mais il a demandé un délai pour préparer sa défense. Il a été écroué dans l’attente de son procès renvoyé au 28 janvier.

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l’union 140115 a
Il voulait sauter par la fenêtre

La police et les pompiers ont dû intervenir place Georges- Braque, dimanche à 19 heures, où un homme menaçait de se jeter par une fenêtre de son appartement situé dans un immeuble de huit étages. Ramené à la raison, le dépressif n’a pas sauté et s’est laissé conduire au centre hospitalier.

À signaler que les pompiers ont mis du temps à accéder à l’immeuble en raison de plusieurs voitures mal garées.

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l’union 140114 d
JARDINAGE : Croix-du-Sud bien équipé

Les jardiniers de Croix-du-Sud sont ravis.
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À Croix-du-Sud, les jardiniers vont bénéficier de nouveau matériel grâce à la subvention de fonctionnement de la ville de Reims (5 000 euros). C’est ce qu’a annoncé Bachir Mellouka, le nouveau président de l’association des jardins familiaux de ce quartier qui a pris ses fonctions après le départ d’Évelyne Nkounkou.

Ils ont pu acquérir deux tronçonneuses, un motoculteur puissant, des tables et des bancs, une armoire et un fauteuil de bureau, du grillage pour les anciennes parcelles de la rocade des Hortensias et deux parcelles dans la rocade des Lilas, des compteurs et des vannes, une tondeuse, une roue de secours et un cric pour la remorque, et du petit matériel, pelles, fourche, pinces, sécateur, pulvérisateur…

Par ailleurs, 10 cabanes (quatre qui ont brûlé et six nouvelles) ont été reçues et montées par les jardiniers. De quoi commencer la nouvelle saison culturale dans les meilleures conditions.

- Des photographies de cet événement sont disponibles dans notre galerie d’images

 

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l’union 140114 c
DÉMÉNAGEMENT : Services municipaux fermés jusqu’à jeudi

Pour organiser le déménagement de l’antenne municipale et de l’antenne du centre communal d’action sociale de la rue Joliot-Curie dans les nouveaux locaux situés au 1 bis, avenue Général- Bonaparte, ces services publics seront temporairement fermés.

Les usagers seront accueillis aux horaires habituels le jeudi 16 janvier prochain dans les locaux récemment aménagés à Pays-de- France.

La fermeture de l’antenne du centre oommunal d’action sociale de Croix-Rouge est effective depuis vendredi et se poursuit jusqu’à demain mercredi 15 janvier inclus. Les usagers sont invités en cas de besoin à se rendre au siège du centre communale d’action sociale, situé au 11, rue Voltaire, tél. 03 26 40 2626. Horaires d’ouverture : lundi, mardi et mercredi, et vendredi, de 8 h 30 à 11 h 45 et 13 heures à 17 heures, ainsi que le jeudi de 8 h 30 à 11 h 45 et de 13 heures à 16 heures. En bus : lignes 2, 4, 5, 6, 9, arrêt Coquault et ligne Citadine 1, arrêt Université.

L’antenne municipale de Croix-Rouge est également fermée jusq’au mercredi 15 janvier inclus.

Les usagers sont invités à se rendre à l’antenne municipale Murigny pour leurs formalités urgentes ou leurs retraits de documents urgents, au 2 A, place René-Clair, tél. 03 26 35 60 60. Ouverture : lundi de 14 heures à 17 h 30 et les mardi et mercredi de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 h 30. En bus : lignes 5, 12, 15 ; arrêt Richelieu.

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l’union 140114 b
Avis d’appel public à concurrence

Maître d’ouvrage : L’EFFORT REMOIS, SA d’HLM au capital de 7.204.000 euros, inscrite au RCS sous le n° B 335 480 679, dont le siège social est sis 7 rue Marie Stuart, CS 80017, 51723 Reims Cedex

Objet : Marché de travaux de Réfection de l’étanchéité de parking à Reims (51)

Procédure adaptée ouverte soumise à l’ordonnance 2005-649 du 6 juin 2005

Le marché est composé de 2 lots :

-  Lot 01 : Réfection de l’étanchéité du parking REIMS – rues de Béthléem / René Huet
- Lot 02 : Réfection de l’étanchéité du parking REIMS – G.Braque - avenue Bonaparte

Visite sur sites et Renseignements techniques : Les visites sont obligatoires. Veuillez contacter les personnes ci-dessous pour la prise de rendez-vous :
- Lot 01 : Service Maintenance / Mr Goglin : 06.16.56.13.88
- Lot 02 : Service Maintenance / Mr Maillard : 06.10.76.26.23

Délai d’exécution :
- Lot 01 : 1 mois de prépa chantier et 5 semaines de travaux
- Lot 02 : 1 mois de prépa chantier et 5 semaines de travaux

Présentation des offres : Les offres pourront être présentées en Entreprise Individuelle, en Groupement d’Entreprises, ou en Entreprise Générale pour un lot ou l’ensemble du marché.

Date limite de réception des candidatures et des offres : Vendredi 14 février 2014 avant 12h00, par dépôt ou envoi des dossiers au Service Marchés de L’EFFORT REMOIS 7, rue Marie Stuart - CS 80017 - 51723 Reims Cedex

Retrait du dossier de consultation en téléchargement, à partir du mardi 14 janvier 2014, dès 10 heures, aux adresses suivantes : www.effort-remois.com rubrique Appels d’Offres ou www.lunion-legales.fr Référence du marché : MA-010114

Renseignements administratifs : Service Marchés : Mme Gallois 03.26.04.99.05 / Mme Forray 03.26.05.92.33

Date d’envoi du présent avis à la publication : le mercredi 8 janvier 2014 aux Journaux L’UNION (édition Marne) et le Matot Braine.

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l’union 140114 a
FAITS ET MÉFAITS : Scooter incendié, policiers caillassés

Dimanche vers 22 h 30, un scooter et une poubelle ont été incendiés avenue Bonaparte à Croix-Rouge. À l’arrivée des policiers, plusieurs individus ont jeté des pierres dans leur direction, sans les toucher.

Hier vers 16 heures, un autre scooter est parti en fumée dans un box désaffecté de la rue Dumont d’Urville aux Châtillons. Sans doute était-il volé lui aussi.

Dimanche vers 15 h 30, un feu de détritus s’est déclaré rue de la Husselle (ex-rue Havé).

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l’union 140113 a
MUNICIPALES : L’adjoint n’ira pas

Raymond Joannesse a dit qu’il ne se représentait pas.
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L’adjoint Raymond Joannesse (développement durable, environnement et qualité de la vie, espaces verts, jardins familiaux et parcs publics) a indiqué, devant les représentants des jardins familiaux de Pays-de- France, qu’il ne se représentait pas. « C’est la dernière fois que je viens assister à votre assemblée, car je ne me représente pas aux prochaines élections. C’est mon choix, c’est volontaire et en aucun cas une éviction ou une obligation. » Pour la prochaine municipalité, il livre des pistes de réflexion, fruit de six ans de travail auprès des associations de jardiniers, « très riche en enseignements ». La nouvelle équipe municipale devra selon lui s’interroger sur la taille de certaines parcelles : « Parfois c’est lourd ! » Autre réflexion, à propos des familles monoparentales, de plus en plus nombreuses : « Une femme seule aimerait peut-être disposer elle aussi d’un jardin plus petit, pour récolter quelques légumes. » Enfin, s’il existe déjà sept jardins partagés à Reims, « il faudrait les développer ».

 

 

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l’union 140112 b
RECRUTEMENT. Qui veut devenir cadet ?

L’école nationale de police de Reims recrute des cadets de la République.

Vous êtes domicilié dans la Marne, garçon ou fille de nationalité française, de 18 à moins de 30 ans, (18 ans le jour de l’incorporation et moins de 30 ans le jour du dépôt du dossier) ayant une bonne vue et une bonne condition physique (pas de critère de taille) et ayant satisfait aux critères d’aptitude morale. Aucun diplôme n’est exigé. Les épreuves de sélection (étude du dossier scolaire, tests psychotechniques, épreuves sportives, entretien avec le jury, examen médical) sont organisées à l’école nationale de police de Reims.

Le cadet de la police nationale bénéficie pendant 12 mois d’une formation alternée de 1 400 heures, en lycée professionnel, à l’école de police, et dans un commissariat de police. La première année, il perçoit une allocation d’études de 597 € brut.

Contact : Mireille Rivoirard, 03 26 79 38 47 ou 06 81 10 39 43 ou mireille.rivoirard@interieur.gouv.fr

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l’union 140112 a
FORCE ATHLÉTIQUE : Régionaux à Reims

Le Reims HM organise aujourd’hui les championnats de Champagne de force athlétique au gymnase François-Legros.

La compétition débutera à 12 heures. Elle est qualificative pour les championnats de France.

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l’union 140111 d
SOLIDARITẺ. Cent personnes au concert

« Et pendant ce temps-là, à l’école, la police arrêtera des marmots du quartier. Mais on chantera à tue-tête pour que tout ça un jour s’arrête. » La chanson d’Akel fait mouche.

L’artiste a répondu à la sollicitation des associations qui soutiennent depuis deux mois les Hovsepian, famille d’origine arménienne déboutée de ses différentes demandes de régularisation. L’univers du chanteur (ex-Gavroche) fait surgir les déracinés, les oubliés, les paumés. Sur la scène, à la fin du concert, Hratche et sa sœur Lili sont chaleureusement applaudis. « Ne nous laissez pas tomber », lance Akel à la place des deux adolescents, intimidés.

Interrogé le lendemain, l’auteur-compositeur a détaillé les raisons de son engagement : « Mes parents, Kabyles, n’ont jamais pu aller à l’école. On n’a pas le droit d’empêcher qui que ce soit d’aller à l’école. »

A.B.

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l’union 140111 c
Akel signe une « quenelle » avec sa guitare

Akel a effectué le geste « de mécontentement et de victoire », jeudi.
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REIMS (51). Jeudi soir au cours d’un concert de soutien, le chanteur Akel (ex-Gavroche) a signé "une quenelle" avec sa guitare… Une manière de dénoncer "un acharnement sur Dieudonné".

REIMS (51). « Je chante ces chansons-là tant que je le peux. Peut-être que le conseil d’État viendra me l’interdire. » La pique est revenue à plusieurs reprises, sous différentes formes, jeudi soir, à Reims, lors d’un concert de solidarité avec une famille arménienne menacée d’expulsion. Le chanteur Akel (ex-Gavroche) a étonné voire perturbé son public. Il s’est livré à une improvisation, faisant rimer miel et… quenelle. L’auteur compositeur interprète a ponctué sa prise de position « en faveur de la liberté d’expression » par le geste controversé, effectué avec sa guitare à la main. Interrogé hier après-midi, Akel persiste et signe. « C’est un geste de mécontentement, de victoire et de résistance. Je suis scandalisé par l’acharnement qui pèse sur Dieudonné. Manuel Valls est en croisade contre lui. Les conditions dans lesquelles le conseil d’État s’est prononcé sont aberrantes, des juristes l’ont remarqué. » Et de s’inquiéter de toutes les plaintes qui pourront trouver écho pour interdire spectacles ou manifestations.

Quid des propos antisémites tenus par l’ancien acolyte d’Élie Semoun ? « Il attaque tout autant les musulmans », assure le chanteur, de racines kabyles, qui assure avoir des amis de toutes confessions « morts de rire » devant les sketches en question. « Il faut arrêter, la France n’est pas antisémite, ni raciste. Il y aura toujours des imbéciles pour détourner les propos. Mais parmi les 2,5 millions de personnes qui le suivent sur YouTube, il y a 96 % de gens qui veulent rire. Il faut rire de tout, pour guérir les plaies ». Et quand Dieudonné fait applaudir le révisionniste Faurisson ? « C’est de la pure provocation ! Il critique aussi le président du Cameroun… »

Akel s’insurge : « Qu’on ne me dise pas ce que je dois écouter. Les spectacles, vous pouvez choisir de ne pas y aller. Je continuerai pour ma part à faire la quenelle sur scène. Ce n’est absolument pas un salut nazi, c’est un doigt d’honneur, mais en moins offensant. » Le chansonnier livre un couplet d’une de ses prochaines compositions : « Dieudonné n’est pas nazi. Est-ce que vous êtes daltoniens ? Hitler, vous l’aurez compris, en aurait fait un sac à main ».

Anne Despagne

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l’union 140111 b
BIBLIOTHÈQUES : Ouvrir plus pour travailler plus

Julie aimerait que la médiathèque ouvre plus tôt le matin et plusieurs jours dans la semaine.
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Une pétition nationale a été engagée pour élargir l’amplitude horaire des bibliothèques. À Reims, les étudiants seraient prêts à la signer.

Onze heures, un vendredi matin de semaine d’examens.

La bibliothèque universitaire (BU) du campus Croix-Rouge ne fait pas le plein mais les étudiants présents sont très concentrés sur leurs livres, cahiers et ordinateur. Julie, 22 ans, est étudiante en cinquième année de médecine. Elle vient tous les jours pour préparer son concours d’internat, dès l’ouverture des portes à 8 heures.

« Pour moi qui habite en ville, ce serait plus commode d’aller à la médiathèque Jean-Falala, mais ici c’est beaucoup plus calme et ça ouvre très tôt. En ville, la médiathèque n’est ouverte que deux matinées par semaine, c’est bien trop peu », explique celle qui est entourée de Stabilos et de feuilles de cours éparpillées. « Ici, il y a de la place », poursuit-elle en souriant. Cet argument, Juliette, 20 ans, en deuxième année de droit, le comprend totalement. « J’allais beaucoup à la médiathèque l’année dernière pour réviser mes examens », livre la jeune femme. « Mais le gros souci, c’est que le samedi, à 13 heures, quand je finissais mes cours, le temps d’aller là-bas, il n’y avait déjà plus de places. C’est plein tout le temps. »

Ceux qui ont fait l’expérience du samedi le savent. Pour pouvoir s’installer, il faut venir très tôt. En ce qui concerne les conditions de travail, le réseau internet est aussi décrié. « Ça sautait tout le temps, car il est rapidement saturé. » La plupart des étudiants rencontrés tenaient le même discours. Si la BU est plus grande et plus calme, la proximité de la ville les attirerait plus volontiers, d’autant que le cadre de la médiathèque Falala est très agréable. Pour beaucoup, ce serait une bonne nouvelle si la médiathèque ouvrait dès 9 heures pour ne fermer que vers 20 heures. En France, les bibliothèques sont ouvertes en moyenne 30 heures par semaine, tandis qu’aux Pays-Bas, ce chiffre atteint les 90 heures ! Une pétition a été lancée par l’historien Patrick Weil, président de l’association Bibliothèques sans frontières.

N.D

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l’union 140111 a
VOL : Le cambrioleur n’a pas respecté le couvre-feu

Le 23 décembre à 2 heures du matin, alors qu’elle dort dans son appartement du quartier Croix-Rouge, une handicapée mentale n’entend pas plusieurs personnes entrer chez elle pour s’y livrer à une razzia. Les visiteurs emportent des bijoux, un écran plat, du matériel vidéo, des appareils hi-fi…

Parmi les voleurs, des mineurs que la victime avait l’habitude de recevoir, et qui eurent tout loisir d’évaluer le butin à prendre. Composée d’une dizaine d’individus, la bande repart avec les bras chargés d’objets mais elle est repérée par une patrouille de police rue Pierre-Taittinger. Tout le monde se disperse. Deux des adolescents ne courent pas assez vite, ainsi que Morgane Lecossois, 18 ans.

L’écran plat est retrouvé près de lui. Il affirme être étranger au cambriolage, mais les policiers assurent l’avoir formellement reconnu comme faisant partie du groupe.

Le jeune homme n’aurait pas dû se trouver hors de chez lui à deux heures du matin. Libéré en avril 2013 après neuf mois de détention provisoire dans le cadre d’une affaire où il était encore mineur, il était sous contrôle judiciaire, avec interdiction de sortir la nuit.

Incarcéré depuis son arrestation, et jusqu’ici habitué du tribunal pour enfants, Morgane Lecossois entame sa carrière dans la cour des grands par une peine de trois mois d’emprisonnement. Il est maintenu en détention.

À l’époque des faits, l’un des mineurs interpellés fut écroué, le second placé dans un foyer.

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l’union 140110 c
TENNIS DE TABLE : Week-end en individuel

Le 3e tour du Critérium Fédéral débute aujourd’hui avec les N1 à Joué-les-Tours (Indre-et-Loire) pour les garçons et Mont-de- Marsan (Landes) pour les filles.

Pour la N2, le rendez-vous est fixé demain et dimanche à Wissembourg (Bas-Rhin).

Les Régionaux sont convoqués demain après-midi et dimanche à Saint- Memie.

Enfin, l’échelon départemental, comme lors du 2e tour, est rassemblé à Géo-André (Reims).

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l’union 140110 b
HALTÉROPHILIE : Nationale 1 A : Reims, du coq à l’âne

La 3e journée des interclubs N1A va offrir, demain à Reims, un match des extrêmes. Dans son gymnase François-Legros, le RHM recevra en effet à partir de 16 heures le leader (Clermontl’Hérault) et le dernier (Luxeuil).

Portés par plusieurs internationaux dont le Français Jean-Baptiste Bardis (9e des Mondiaux en 85 kg), les Languedociens sont promis au titre. En revanche, Champenois et Franc-Comtois luttent pour le maintien. Malheur au vaincu ! Pour cette triangulaire, Reims alignera Allan Poiret, Ludwig Colombo, Romain Dijoux, Pierre Drubigny et Kevin Bouly. En revanche, le Norvégien Hordnes est absent alors que le RHM veut décrocher la 2e place du tournoi.

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l’union 140110 a
RENDEZ-VOUS

Le court-métrage « Mur » d’Andra Tévy sera tourné du 15 au 24 janvier à Reims, à l’Université Croix Rouge.

Soutenu par la Région Champagne-Ardenne, ce film raconte l’histoire d’une femme qui se rend à son travail.

Environnement hostile, labeur éreintant. Une fenêtre ne ferme plus : il neige à l’intérieur… Le lieu de corvée devient espace de découverte.

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l’union 140109 b
L’HOMME DU JOUR : Il démissionne pour mieux agir

Benjamin Ossenne a démissionné de la maison de quartier mais compte poursuivre son engagement. Hervé Oudin
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Suite à des désaccords, Benjamin Ossenne a démissionné de la maison de quartier Croix-Rouge. Il tire la sonnette d’alarme sur de nombreux points.

Dix ans que Benjamin Ossenne habite une des tours de quinze étages de la partie Eisenhower de Croix-Rouge. Et son quartier, ses habitants, il les aime. Militant associatif, bénévole, ce réfugié kurde a toujours eu à coeur de s’engager pour les gens. « Il faut faire des projets pour les habitants, les jeunes, cesser de bétonner, empêcher la misère sociale, développer un certain nombre de structures », énumère-t-il. L’homme à la stature imposante et au regard bleu azur a des idées bien arrêtées. « Regardez ces immeubles, dit-il en désignant les nouvelles constructions situées au niveau du rond-point du campus. C’est moche, ça ressemble à des prisons. Vous avez vu les volets en barreaux ? Manque plus qu’on nous jette des cacahuètes. »

Difficile harmonie entre discours et actions

Alors, pour être actif, Benjamin Ossenne est devenu adhérent à la maison de quartier Billard et a même été désigné président, « un titre plus honorifique que permettant d’agir », tranche-t-il. Il a par exemple essayé d’obtenir l’ouverture du terrain de sport de l’école Billard durant les vacances scolaires, pour les jeunes du quartier. Bitume, paniers de basket, cages de foot… ce qu’il manque aux ados pour s’occuper. « Au début, tout le monde était d’accord. École, maison de quartier, même le gardien de l’établissement. Et puis au dernier moment, les portes sont restées closes. Les jeunes à qui on a fait miroiter un terrain ont alors dégradé les grillages pour rentrer de force. »

Après cet événement, l’ex président tape du poing sur la table, défendant les jeunes, et parle au nom de la maison de quartier Billard, lors du conseil de quartier Croix- Rouge, auquel est présente la maire… Ce que n’apprécient pas les membres du conseil d’orientation, le directeur en tête. À cela s’ajoutent des accusations de propos racistes et discriminatoires au sein du conseil. La rupture est consommée entre les deux parties. « Benjamin Ossenne nous reproche de ne pas être assez actifs. Mais le rôle d’une maison de quartier est d’être dans la pédagogie. On ne veut pas être frontal sur un phénomène. Quant aux propos racistes, ce sont des formulations maladroites de la part d’une bénévole qui ont été sur-interprétés », insiste Raymond Guignard, le directeur. Pour autant, ce dernier ne fait pas dans l’angélisme. « Il y a encore des choses à faire pour la jeunesse, c’est certain, mais ça avance. Les subventions ont doublé pour le secteur et le quartier entre 2012 et 2013. » Le quartier Croix-Rouge est ainsi en pleine mutation. De nombreux travaux sont menés, des immeubles ont été détruits pour en reconstruire d‘autres, de nouveaux espaces ont été aménagés, mais il y a encore beaucoup de chantiers à mener. Les habitants sont là pour le rappeler.

NASTASIA DESANTI

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l’union 140109 a
RENDEZ-VOUS

Le court-métrage « Mur » d’Andra Tévy sera tourné du 15 au 24 janvier à Reims, à l’Université Croix Rouge. Soutenu par la Région Champagne-Ardenne, ce film raconte l’histoire d’une femme qui se rend à son travail.

Environnement hostile, labeur éreintant. Une fenêtre ne ferme plus : il neige à l’intérieur… Le lieu de corvée devient espace de découverte.

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l’union 140108 e
RENDEZ-VOUS

Concert de solidarité à la famille arménienne Hovsepian, jeudi 9 janvier, à 20 h 30, à la salle municipale Rossini.

Le concert est gracieusement donné par le chanteur- compositeur Akel (anciennement Gavroche), accompagné de ses musiciens.

L’entrée est gratuite et les dons seront intégralement reversés à la famille.

Ce concert vient soutenir le maintien et la poursuite de la scolarité des enfants Hratche et Lilith.

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l’union 140108 d
VIE ASSOCIATIVE : Pays-de-France en assemblée générale

La bonne humeur est toujours de rigueur à l’APPF.
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En présence d’Éric Quénard, adjoint à la maire de Reims, Christiane Monflier a présidé l’assemblée générale de l’association de promotion de Pays-de-France (APPF). Elle a rappelé les mots clés qui guident toutes les actions des administrateurs : « Simplicité, convivialité, solidarité entre les générations et valorisation de l’image du quartier ». De nombreuses occasions permettent un tel fonctionnement. Pour les aînés, des activités temps libre toute l’année, un atelier couture, un goûter de Noël et un repas amical. Pour les adhérents, des journées festives (galette des Rois, Beaujolais nouveau, carnaval, fête des voisins, et autre fête du quartier) et sorties familiales (parcs de loisirs, journées pêche, salon de l’Agriculture). Pour les enfants, une trentaine de jeunes du quartier reçus dans le centre de loisirs du mercredi après-midi et toute la semaine pendant les vacances scolaires (jeux, sorties, promenades, travaux créatifs, goûters, bowling, piscine, cinéma).

Deux subventions Avec 108 adhérents, l’APPF se retrouve dans toutes les actions menées dans le secteur Pays-de-France, comme les crêpes de la solidarité, ou l’été s’affiche à Croix-Rouge, mais aussi au conseil de quartier. Pour vivre, cette association reçoit deux subventions de fonctionnement, 5 000 € de la ville de Reims et 4 025 € du Foyer rémois et elle équilibre son compte d’exploitation.

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l’union 140108 c
VACANCES : La fréquentation en baisse

« L’été s’affiche à Croix-Rouge » a enregistré près de 5 300 entrées.
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Il est de tradition, lorsque toutes les données sont réunies, d’établir un bilan de l’opération « L’été s’affiche à Croix-Rouge », devant les intervenants et partenaires, professionnels et associatifs. Cette année encore, c’est Elisabeth Causin et Slimane Hamdi, directeurs d’espaces à la maison de quartier Croix-Rouge, qui se sont chargés de cette mission devant 83 personnes, les élus, Alain Bisteur, co-animateur du conseil de quartier et Soumaya Berthelot Saïda, et la déléguée du préfet.

Après une projection photo et vidéo de l’édition 2013, il ont exposé le bilan de 19 jours d’animations artistiques, sportives et de loisirs ouverts gratuitement, du 8 au 26 juillet, à toutes les générations, sur le complexe sportif Géo-André, avenue François- Mauriac. Le site de l’hippodrome était indisponible pour cause de travaux. « En 2013, nous avons reçu un peu moins de public qu’en 2012 car le terrain de Géo-André est moins connu de la population, et pourtant, il y a beaucoup plus de place et de l’ombre sur l’espace familles », regrettait Slimane Hamdi.

Implantée sur le territoire de Croix-Rouge, elle a reçu en trois semaines 5 295 entrées (40 % d’habitants de Pays-de-France, 35 % du secteur Université, 15 % venus de Croix-du-Sud et 10 % de l’agglomération de Reims). Pour les organisateurs, il est incontestable que les objectifs de base ont été atteints : favoriser le lien social et intergénérationnel et rompre l’isolement des habitants pendant la période estivale.

Pour cela, l’ensemble des acteurs du quartier a été mobilisé, y compris les forces bénévoles (APPF, Mutes, Escapades, médiathèque Croix-Rouge, éducateurs du SDP, Trac, Citura…), les jeunes des Scop’Ados et les jeunes filles de l’espace la Nacelle (une vingtaine d’adolescentes de 14 à 16 ans).

En final, une prestation musicale était offerte par le trio Paris- Montmartre (Django Influence), avant un pot amical et un rendez-vous en juillet 2014.

À SAVOIR

▶ L’opération a coûté 64 771 €, subventionnée, dans le cadre du Contrat urbain de cohésion sociale.
▶ La Ville de Reims particpe à hauteur de 30 000 €, l’État de 28 000 €, les trois organismes logeurs, Effort rémois, Reims habitat et Foyer rémois : 2 000 € chacun et par le conseil général de la Marne, 1 395 €.

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l’union 140108 b
CULTURE : Performance poétique partagée

Claude-André Tabart aux textes et Sylvain Guérineau au saxo.
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La médiathèque Croix- Rouge a présenté une performance poésie et saxophone , une rencontre en mots, musique et peinture. Un libre voyage où sont apparus les textes de Lorand Gaspar, Louis Aragon, Arthur Rimbaud, Blaise Cendrars, Jacques Dupin, Henri Michaux, Saint-John-Perse, Aimé Césaire, Birago Diop, Georges Perros, Raymond Queneau et Pierre Reverdy, dits par Claude-André Tabart, agrégé de lettres classiques et grand amateur d’art. Ces textes vibraient et résonnaient avec le saxophone de Sylvain Guérineau, un virtuose qui improvisait en toute liberté.

Dans les vitrines et sur les murs de la médiathèque, une quinzaine d’oeuvres de Sylvain Guérineau attiraient l’attention des visiteurs pour une mini exposition de tableaux sur le thème « La poésie souffle où elle veut ».

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l’union 140108 a
REIMS (51). La manifestation "Les samedis du sport" reprend du service

 

La manifestation "Les samedis du sport" reprend du service à Reims… La prochaine se déroulera le samedi 18 janvier, de 9 à 12 heures, sur le secteur Croix-Rouge et le parc de Champagne.

L’idée de ce rendez-vous est de donner, chaque mois, la possibilité de pratiquer une activité sportive seul (e) ou en famille, à son rythme. Ce rendez-vous mensuel est l’occasion de mettre en avant le bien-être. A noter que pour les mineurs, la présence d’un représentant légal est obligatoire. Samedi 18 janvier, place à la zumba, l’escalade ; badminton, patinage artistique, kinball, roller skating, basket, marche nordique…

Les personnes intéressées peuvent s’inscrire en ligne. Les inscriptions seront closes le jeudi 16 janvier à 17 heures. Renseignements auprès du stade-Auguste-Delaune, chaussée Bocquaine, à Reims au 03.26.79.19.90.

Attention les places sont limitées selon le type d’activités.

 

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l’union 140107 c
EN IMAGE À REIMS

 

 

 

Hier à 18 heures, une vingtaine de personnes s’est retrouvée sur les marches de l’hôtel de ville de Reims pour appeler à la régularisation de la famille Hovsepian, d’origine arménienne.

À l’entrée de la conférence sur les 30 ans de la marche des Beurs, des tracts ont été distribués, invitant au concert de soutien, jeudi, à 20 h 30 à la salle Rossini.

 

 

 

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l’union 140107 b
VIOLENCES URBAINES : Des pompiers caillassés pendant l’extinction d’un feu de voiture

Les feux de voitures sont fréquents à Reims, les caillassages de pompiers beaucoup moins. archives l’union
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On ne l’a su qu’hier – pour cause de black-out sur les incidents du Nouvel An – mais des pompiers ont été caillassés sur un feu de voiture à Orgeval.

Rien de notable », annonçait la préfecture au soir du 1er janvier à propos du bilan des violences urbaines du Nouvel An à Reims. Interdiction était faite aux autorités de communiquer.

Il y aurait pourtant eu matière à noircir quelques colonnes, avec plusieurs véhicules incendiés à Croix-Rouge, Châtillons, Clairmarais mais aussi Orgeval où des pompiers ont même été caillassés pendant l’intervention.

D’après les informations parvenues hier à notre connaissance, les faits se sont déroulés vers 7 heures, mercredi, à proximité de la place Pierre-de-Fermat. Deux feux de voitures distincts ont été signalés. Le premier se trouvait rue du Docteur- Lucien-Bettinger. Alors qu’ils procédaient à l’extinction, les pompiers ont été pris à partie, de loin, par un groupe de quatre ou cinq individus qui ont commencé par les insulter. Ils ont ensuite jeté des branches d’arbre, puis des pierres, des blocs de béton et des bordures de trottoir probablement ramassées sur un chantier.

Les sauveteurs se trouvaient à une vingtaine de mètres de leurs agresseurs. Ils ont pu éviter les projectiles, certains de grosses tailles (jusqu’à 10 centimètres de longueur). Leur fourgon en revanche a été touché, mais les dégâts sont restés limités en raison de l’éloignement des vandales : un impact sur le pare-brise, des rayures ou de légers enfoncements sur les portières.

L’incendie éteint, les pompiers se sont dépêchés de remonter dans le fourgon et de filer vers la deuxième voiture en flammes, rue Pierre-de-Coubertin, où l’extinction s’est effectuée sans incident.

Le premier véhicule semble avoir été mis à feu après avoir été fouillé. Une valise se trouvait à proximité, laissant penser que les vandales venaient de la voler dans l’auto. Si tel est le cas, l’incendie aurait été motivé par la volonté de détruire les traces. Les chances d’aboutir à l’identification des caillasseurs paraissent minces : les témoins n’ont vu que des silhouettes masquées par des écharpes ou des capuches.

Les caillassages de pompiers sont heureusement sporadiques à Reims : le dernier porté à notre connaissance datait de novembre 2012 à Croix-Rouge.

F.C.

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l’union 140107 a
AGRESSION : Scandale au kebab

L’ambiance n’était pas à se souhaiter la bonne année, jeudi après-midi, dans ce kebab de l’avenue Kennedy à Croix- Rouge. Vers 15 h 30, un étudiant de 26 ans s’y est présenté pour exiger du gérant une somme de 2000 € qui lui serait dû après avoir travaillé chez lui. Le commerçant l’a éconduit. Furieux, l’homme a sorti un couteau. Après avoir été désarmé par des témoins, et distribué plusieurs coups de poing, il a menacé l’assistance d’une bombe lacrymogène avant de quitter le kebab et de revenir casser la vitrine avec un marteau.

Interpellé par les policiers avant de pouvoir s’enfuir, l’étudiant a fait l’objet d’un examen psychiatrique. L’expert en a conclu qu’il n’était pas pénalement responsable de ses actes en raison d’une altération sévère de son état mental au moment des faits.

La garde à vue a été levée, le vandale hospitalisé d’office dans une unité spécialisée.

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l’union 140106 b
IMMIGRATION : Concert de soutien jeudi

Les marques de soutien à la famille arménienne se poursuivent. Le 31 décembre, le tribunal administratif a confirmé l’obligation de quitter le territoire pour les Hovsepian, qui résident à Reims depuis un an et demi.

Depuis plus d’un mois et demi, face à la menace d’une expulsion, de nombreux enseignants, parents, élèves et militants de diverses associations se sont mobilisés pour faire part de leur opposition à cette éventualité. Rappelons que deux des enfants de cette famille, arrivée en France il y a cinq ans, sont scolarisés au collège François-Legros et au lycée Joliot-Curie de Reims. Une pétition en ligne et une autre sur papier ont été remises fin décembre à la préfecture, regroupant 1 750 signatures. Les professeurs de Lilit et Hratche avaient alors eu une nouvelle occasion de dire tout le bien qu’ils pensaient des deux adolescents, très impliqués dans leurs études.

Après les manifestations devant les établissements scolaires et devant le sous-préfecture, en décembre, c’est un concert de solidarité qui est organisé jeudi, avec le chanteurcompositeur Akel, anciennement Gavroche, accompagné de ses musiciens.

▶ Jeudi 9 janvier à 20 h 30 à la salle municipale Rossini (en face du parking d’Intermarché).

Entrée gratuite mais dons intégralement reversés à la famille Hovsepian.

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l’union 140106 a
TENNIS : Reims : des pépites en devenir

Avec 175 inscrits sur huit tableaux, l’édition 2014 du tournoi jeunes du TC Reims a remporté un franc succès. L’ocre de la rue Lagrive a même vu deux superbes finales en 13/14 et 17/18 ans gagnées respectivement par le prometteur Arnaud Floucaud (15/1, Géo-André) et le puissant Issey Chaudré (15, URT). À noter enfin le fabuleux parcours de Kimi Benhaddou (non classé) qui, à même pas 9 ans, a traversé tout le tableau des 10 ans pour triompher en finale sur le score sans appel de 5-0, 5-0.

Assurément un nom à retenir !

FILLES.

9 ANS : Noëlla Ramdani (Non Classée, Saint-Memmie) bat Clémence Noël (NC, Montmirail) 1-5, 5-1, 5-3 ;
11/12 ANS : Savine Erler (30, TC Troyes) bat Margaux Rubino (30, Cormontreuil) 6-2, 6-3.

GARÇONS.

9 ANS : Elmo (non classé, Sézanne) bat Magu (NC, Cormontreuil) 3-5, 5-2, 5-0 ;
10 ANS : Benhaddou (NC, Vitry) bat Gonzalez-Leeks (30/3, Soissons) 5-0, 5-0.
11/12 ANS : Desanlis (30, Société Nautique Épernay) bat Renauld (30, Dormans) 6-1, 6-2 ;
13/14 ANS : Floucaud (15/1, Géo- André) bat Duliere (15/1, Géo-André) 7-6, 5-7, 7-6.
15/16 ANS : Collot (15/1, Cormontreuil) bat Le Bailly (15/1, Bois Guillaume) 6-4, 6-2 ;
17-18 ANS : Chaudré (15, URT) bat Perez (15/1, URT) 3-6, 6-1, 6-1.

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l’union 140102 a
RENDEZ-VOUS

Les Jardins de France (jardins familiaux) tiendront leur assemblée générale vendredi 3 janvier à 18 heures, dans la salle municipale Croix-Rouge, avenue François- Mauriac. Ce sera la première réunion organisée par le nouveau président Yves Monflier.

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l’union 131231 f
VŒUX : Leurs bonnes résolutions pour l’année 2014

 

 

Faire du sport, arrêter de fumer ou juste profiter de la vie, les Rémois ont des projets pour 2014. Qu’ils soient simples citoyens ou élus résolus à rester ou devenir maire.

BERNARD LESUEUR, plombier chauffagiste à la retraite, quartier Croix-Rouge : « Il faudrait que j’arrête de fumer. Je sais que c’est une résolution de menteur ! Il y a deux ans que j’ai repris après avoir réussi à arrêter. J’ai aussi dans l’idée de trouver la location d’un petit bâtiment pour pouvoir bricoler avec mes petits-enfants. Quand je sors mes outils au milieu du salon, ça fait désordre. Enfin je prends la résolution de profiter de la vie au maximum. Je vais profiter de mon père encore vivant et je vais tâcher d’emmener ma femme prendre du bon temps quelque part. »

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l’union 131231 e
ÉCHECS : Des titres pour les jeunes

Les jeunes Rémois se sont imposés dans cinq des huit catégories.
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Un beau cadeau de Noël pour le club « Reims échec et mat ». Douze joueurs se sont déplacés aux Championnats de ligue Jeunes d’échecs, organisés au Centre sportif de l’Aube à Troyes. Certains ont trusté les titres en s’imposant dans cinq des huit catégories. La rencontre a vu s’affronter les cinquante meilleurs joueurs régionaux de moins de seize ans. Ils tentaient de décrocher leur ticket pour les championnats de France jeunes qui auront lieu fin avril à Montbéliard. Christophe Barnier, leur entraîneur, est ravi : « Ils montrent que le travail accompli au club, mais également dans les différentes écoles où sont enseignés les échecs, porte ses fruits. Nous intervenons en effet dans le cadre de l’accompagnement éducatif, mais aussi comme matière à part entière dans deux classes de CP du quartier Croix-du-Sud ».

Le palmarès

Champions par catégories : Léna Maloulli (poussines). Gwladys François (pupillettes). Marie Fornes (benjamines). Nabil Benkirane (minimes). Quentin Jouniaux (benjamins).

Vice-champions : Thérence Lenoir (poussins), Hugo Bertrand (benjamins).

Les activités reprennent avec le « Tournoi des Rois » le samedi 4 janvier. Inscriptions de 13 h 30 à 14 heures. ▶ Reims Échec et Mat. 32, rue Ledru-Rollin. 03 26 07 17 07.

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l’union 131231 d
JARDINS : Nouveau président à Croix-du-Sud

Évelyne Nkounkou (debout) a fait ses adieux aux jardiniers.
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Évelyne Nkounkou est entrée au conseil d’administration de l’association des jardins familiaux de Croix-du- Sud en 2006 en qualité de secrétaire, puis elle a dirigé la structure comme présidente en août 2008 à la suite de la démission de l’ancien président. Elle vient de quitter l’association pour cause de déménagement hors de Croix-Rouge, après cinq ans de bons et loyaux services. « Elle a eu le temps de prouver ses capacités de présidente naturelle » précise Alain Chevallier (Pluri-habitat, l’Effort rémois) : « Elle a redressé une situation très complexe et difficile en 2008, mais sa succession sera facile avec quatre nouveaux volontaires pour entrer au conseil d’administration. Je propose qu’elle soit nommée présidente d’honneur, comme le doyen Michel Méther. »

Éric Quénard et Raymond Joannesse, adjoints à la maire de Reims, rappellent qu’elle est « la seule femme présidente d’une association de jardiniers. » Et ils signalent qu’ « elle laisse derrière elle une situation financière confortable, avec un compte d’exploitation 2012-2013 positif de 5 743 euros, en profitant de la subvention municipale de 8 500 euros, pour acquérir un matériel collectif conséquent ».

Un nouveau bureau a été désigné : président, Bachir Mellouka ; vice-président, Jean-Michel Gauthier ; trésorière, Michèle Moreau ; vice-trésorier, José Lejeune ; secrétaire, Jean Prime ; administrateurs, Mohammed Berkane et Jean-Pierre Lafrogne.

 

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l’union 131231 c
VACANCES : L’Acrap fait dessiner les enfants de Croix-Rouge

Chaque dessinateur est reparti avec un jouet de son choix.
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Chaque année, en décembre, l’association Croix-Rouge animation et promotion (Acrap) propose un concours de dessins aux enfants du quartier.

Trois catégories sont en compétition et le jury a sélectionné 18 dessins dont les auteurs ont tous reçu un jouet distribué par le Père Noël.

Le palmarès des 4 à 6 ans est le suivant : 1re Cléa Canu, 2e Yanis Zeroual. Chez les 7 à 9 ans : 1re Léa Canu, 2e Elsa Mujdj, 3e Pauline Gallois-Sohim.

Chez les grands de 10 à 12 ans : 1re Anne-Lise Lapérouse, 2e Sara Guedri, 3e Pauline Gérard.

Quelques jolis poèmes ont été écrits par les enfants : « Je fais ce poème pour tous les enfants défavorisés qui n’ont ni habitat, ni nourriture, ni réconfort, ni chauffage et pas d’histoire d’amour » (Pauline Gérard). « Mon voeu est de ne plus vous voir souffrir et d’avoir une maison » (Anne-Lise Lapérouse).

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l’union 131231 b
La famille Hovsepian toujours soutenue

La mobilisation se poursuit, même pendant les vacances scolaires, pour soutenir la famille d’origine arménienne dont deux des enfants sont scolarisés au collège François- Legros et au lycée Joliot-Curie. Une délégation de parents d’élèves et de professeurs a été reçue hier en préfecture par le secrétaire général. Un échange au cours duquel ont été remises les 1 750 signatures de la pétition (en ligne et sur papier). C’est aujourd’hui que le tribunal administratif doit rendre la dernière partie de sa décision concernant les Hovsepian (deux parents, quatre enfants). De nouvelles actions sont prévues : le 6 janvier, lors de la marche pour l’égalité, et le 9 janvier à 20 h 30, salle Rossini, lors d’un concert du chanteur Gavroche.

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l’union 131231 a
RENDEZ-VOUS

L’espace Billard de la Maison de quartier Croix-Rouge propose, en partenariat avec Cesare, centre national de création musicale, un atelier Chants polyphoniques sur le thème « Chants du monde », avec Valérie Joly, intervenante et Catherine Pierrejean, animatrice à la Maison de quartier. Les séances se déroulent au 14, rue Pierre- Taittinger, de 14 à 16 heures. Les prochaines répétitions sont programmées les jeudis 16 janvier, 13 février, 6 mars, 15 mai et 5 juin.

Tarifs : adhésion maison de quartier 8 ou 15 euros. Renseignements : 03 26 08 08 78.


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